La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/08/21
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction" Histoire d'O Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury alias Pauline Réage. Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de saint André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs, idéalement expérimentés, utilisant du matériel sûr et révisé, avec le recours toujours possible à un safeword. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/08/21
Marianne est assise sur son canapé. Elle porte une robe légère. Ses pieds sont posés sur le dos nu de Sylvain qui se tient à 4 pattes entre le canapé et la table basse. Il ne porte qu’un collier autour de son cou accroché à une laisse qui pendouille ainsi qu’une cagoule en cuir avec fermeture éclaire au niveau de la bouche. Il porte également une cage de chasteté. Marianne consulte son téléphone tout en bougeant ses pieds, s’amusant à les glisser le long du corps de Sylvain. Elle le sait chatouilleux et s’amuse de ses réactions quand elle touche un point sensible. Il se contient comme il peut tandis qu’elle inspecte les surfaces de son corps en cherchant à le faire craquer. Il pousse des petits cris de panique et se contorsionne quand elle approche d’un point sensible, ce qui la pousse à explorer plus en détail cette région avec son pied. Sylvain se met à gémir sous les doigts de pied de Marianne qui arbore un sourire sadique. Sylvain tente de bouger son corps pour éviter les chatouilles en gémissant. - Non, non non dit-il - Comment ça « non » ? dit Marianne sévère mais amusée - C’est trop dur Maîtresse, répond-il Elle donne un coup de pied sur son flanc, ce qui le déstabilise et pousse son autre flanc contre la table basse. - Aie, dit Sylvain Elle pose vigoureusement son pied sur sa tête encagoulée et le pousse face contre sol. Il s’affale au sol et ne bouge plus. - Lève tes fesses, ordonne-t-elle en prenant sa cravache. Il lève doucement ses fesses tandis que son visage reste collé au sol sur le côté sous le pied de Marianne qui l’écrase de toutes ses forces. - Plus haut, ordonne-t-elle en donnant des petits coups de cravache sur ses cuisses. - Aie, aie, oui Maîtresse, dit-il en relevant ses fesses. - Bien, dit-elle en souriant. Elle fait passer la cravache sur ses fesses, puis sur son dos. Sa peau frémit au passage de la cravache. Il respire fort. Elle l’observe amusée. - Tu es bien ? lui demande-t-elle d’un ton sarcastique - Et bien ce n’est pas ma position préférée mais je m’en accommode Maîtresse, répond Sylvain Clac fait la cravache en contact de ses fesses. - Aie gémit-t-il - JE…dit Marianne en donnant un coup de cravache sur ses fesses. - JE…répète Sylvain - NE… clac - NE…. - GEMIRAI…clac ….PAS…clac…EN…clac…PRESENCE…clac…DE…clac….MA…clac…MAITRESSE…clac…ADOREE…clac - gémirai pas en présence de ma Maîtresse vénérée dit rapidement Sylvain. Elle donne un coup de cravache plus fort sur ses fesses. - AIEEEEEUUUU….Mais c’est pas juste Maîtresse, gémit Sylvain - Tu t’es trompé, dit Marianne en le fouettant à nouveau - AIEEUUUU, Non Maîtresse, j’ai répété ce que vous avez dit se défend Sylvain - Tu oses remettre en doute ce que je dis ? demande-t-elle - Euh….Non Maîtresse, murmure Sylvain Elle glisse sa main entre ses cuisses et attrape ses testicules. - Ouh la la, réagit Sylvain avec effroi. - Ca chatouille ? demande Marianne en souriant. - Oui…On peut dire ça Maîtresse, répond Sylvain. Elle serre un peu ses testicules dans sa main. - OH OH Pitié Maîtresse, crie-t-il - Alors tu disais ? Demande-t-elle avec douceur - Que je me suis trompé Maîtresse, répond Sylvain - Tu dis ça uniquement pour que je lâche tes boules, dit-elle - euh…oui Maîtresse, je l’avoue…J’ai peur pour mes boules, dit-il Marianne se met à rire. Puis elle s’arrête et regarde son visage collé au sol. Elle bouge son pied pour atteindre sa bouche. Sylvain tire la langue pour lécher la plante de son pied avec délicatesse. Elle le regarde en souriant puis elle prend la laisse et retire son pied. - Redresse toi. Mets toi à genoux, dit-elle en tirant sur la laisse. Sylvain se redresse et se met à genoux face à Marianne. Elle approche son visage du sien, pose ses main sur le cuir de sa cagoule, glisse ses doigts dans sa bouche. Sylvain lèche ses doigts et ne peut empêcher un râle de plaisir. Elle retire ses doigts. Ils se regardent dans les yeux. - J’ai dit « Maîtresse adorée » pas « Maîtresse vénérée », dit-elle Le regard de Sylvain montre qu’il réfléchit ce qui fait rire Marianne. - Oui vous avez raison Maîtresse, dit Sylvain. - Et ? demande-t-elle - Et bien, j’ai pris quelques libertés créatives Maîtresse, explique-t-il, car la vérité c’est que je vous vénère ce qui va bien au delà de l’adoration…. Elle l’écoute avec curiosité en tenant fermement la laisse. - Bien sûr Maîtresse c’est une interprétation personnelle et je suis prêt à argumenter… - En fait tu t’es trompé ? Demande-t-elle - ….Oui j’avoue Maîtresse, je me suis trompé, répond Sylvain - Et là tu tentes de te rattraper en me baratinant ? demande-t-elle - Euh…Oui Maîtresse c’est vrai, c’est du gros baratin. Elle sourit. - Tourne-toi, dit-elle en tirant sur la laisse. Il se retourne est s’assoit au sol entre les jambes de Marianne. Elle pose ses pieds sur ses cuisses et approche sa bouche de son oreille. - Sage..susurre-t-elle à son oreille Puis elle referme la fermeture au niveau de sa bouche et dépose ses lèvre sur le cuir de sa cagoule. Sylvain profite du moindre contact physique avec elle. Il reste silencieux. Puis elle prend la télécommande et allume la télévision. - Je vais regarder un épisode de la série que tu aimes tant, dit-elle avec sarcasme. - mmmmhmmhmmhmhm On peut voir l’effroi dans le regard de Sylvain. (à suivre)
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Par : le 15/08/21
LA HIEROPHILIE, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les, pratiques sexuelles, La Hiérophilie est probablement l’une des plus méconnues mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. La hiérophilie (du grec hieros : sacré, et philia : amour de) Attirance érotique vers les choses sacrées. Le sexe et la religion entretiennent d’étroits rapports, ne serait-ce que par les positions sévères que certaines églises conservent face aux pratiques érotiques. Les conduites d’abstinence, d’ascèse, de mortification mènent souvent le religieux à une véritable obsession sexuelle négative. C’est souvent la cause d’un sadisme exacerbé, non ressenti comme pervers puisque justifié par la loi divine. C’est ainsi que de bons moines, fort charitables au demeurant, en vinrent à brûler des sorcières par haine de leurs propres désirs, considérés comme impurs. D’autres moines sublimaient leur instinct et le tournaient vers les dieux et les saints. On connaît, dans les hôpitaux psychiatriques, quelques malades qui se masturbent en récitant des ‘Ave Maria’ ou des ‘Pater Noster’. Moins douloureux est le goût de certains amants pour les cimetières, ou les églises : faire l’amour sur l’autel ou dans le confessionnal, jouer à la confession sont des pratiques sinon courantes, du moins attestées. Se frotter à la statue d’un saint, lui toucher les parties sexuelles sont des pratiques assez courantes. La légende veut que dans certaines églises, des statues présentent un pénis en érection. Les fidèles de sexe féminin s’y accrochent afin d’en être pénétrées. Certaines religions pratiquent une hiérophilie institutionnelle, femmes et hommes se servant d’une statue ou du sexe sculpté en forme de crucifix comme objet érotique. ( J'aurai pu rajouter d'autres Discipline (objet) En rapport avec la religion, mais c'est un autre sujet tout aussi vaste pourquoi pas par la suite ). Au XVIIIe siècle, le Marquis de Sade fut condamné à mort pour avoir, entre autres, sodomisé une prostituée avec un cierge et demandé à une autre de rendre son lavement anal sur une croix. Longtemps considérés comme de condamnables sacrilèges, les hiérophiles peuvent maintenant goûter au fruit défendu sans risquer la mort. Même par contumace. La hiérophilie est une attraction pour ce qui relève du sacré: elle regroupe des pratiques sexuelles aussi diverses que la masturbation avec des objets atyphiques. Kroll-religieuse La hiérophilie est une attraction pour ce qui relève du sacré: elle regroupe des pratiques sexuelles aussi diverses que la masturbation avec des objets de culte et le détournement sexuel de tous les rituels religieux. Au XIXè siècle, certains clients de maisons closes payent des sommes astronomique pour faire l’amour avec des prostituées déguisées en nonnes, répétant l’acte sacrilège de Don Juan qui par défi séduit de jeunes femmes entrées en religion et les enlève du couvent. Beaucoup de hiérophiles jouissent de jouer les diables tentateurs. Ils rêvent de salir les Saintes, d’induire les vierges en Faute et de transformer les messes en orgies. Pour les hiérophiles marqués par le monothéisme, rien de plus troublant que la confusion des valeurs… Dans les donjons de dominatrices , il n’est pas rare de trouver des Croix de St André sur lesquelles les masochistes se font littéralement crucifier (sans les clous)… Ce qui explique peut-être pourquoi les godemichés à l'effigie du Christ ou des saints, ces jouets pour adulte sont fabriqués «avec beaucoup de dévotion». «Je suis sûr que mes soumises les vénèrent avec toute la piété requise…». Le plus populaire à la forme d'un Jésus crucifié de 20 cm de long pour 5 cm de diamètre en rouge, il s'offre aussi comme un ironique objet d'idôlatrie. Car «Les voies du Seigneur sont pénétrables». ( Avis aux amatrices). "BEAST MASTER"
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Par : le 15/08/21
La salle de bain était vaste et comprenait outre une douche, une baignoire et deux vasques en marbre blanc, une coiffeuse, et une table de massage, ce qui n’empêchait nullement deux femmes d'utiliser ces commodités sans se gêner. Juliette se déshabilla et invita Charlotte à faire de même. En se dévêtant, elle se fit la réflexion qu’elle n’avait jamais vue Juliette nue. Sans ses talons hauts, elle paraissait toujours aussi grande; sa poitrine parfaite faisait oublier sa sihouette un peu androgyne, accentuée par sa coupe de cheveux à la garçonne. Sa peau parsemée de taches de rousseur accentuait le hâle de son corps élancé. Elle avait les cuisses et des fesses musclées, les reins cambrés et le pubis nu, intégralement rasé, aussi lisse qu'à sa naissance. Juliette prit un flacon d’huile qui reposait dans un des lavabos rempli d’eau chaude et versa un peu de liquide au creux de sa main. L’huile coulait par petites touches le long de la colonne vertébrale de son amie. les deux mains se posèrent sur les épaules et commencèrent à masser. Charlotte ferma les yeux, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait masser par une femme, mais elle savait qu’à partir de maintenant, à un moment ou à un autre, la séance allait basculer pour son plus grand plaisir. Elle s'abandonna sensuellement à cette idée. – Allonge-toi sur la table, je vais te masser. Charlotte se déshabilla à son tour et prit place, la tête calée dans l’appuie-tête et attendit. Juliette abandonna les épaules et descendit jusqu’aux reins en massant également les flancs puis abaissa encore et posa ses mains sur les deux globes charnus mais fermes. Juliette résistait pour ne pas brûler les étapes. Elle voulait que ce massage soit lent et progressif pour que sa partenaire ait le temps de s’abandonner complètement à ses doigts à la fois doux et audacieux. Elle s’aventura dans le sillon des reins de Charlotte en passant son pouce à l'entrée de son anus. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, son cœur battait très fort. Elle frissonna retrouvant ainsi les quelques sensations ressenties le jour de leur première rencontre; le cœur qui bat un peu plus vite, les fourmillements dans le bas du ventre, le délicieux courant d’air frais parcourant l’épine dorsale, et surtout l'humidification de son sexe. Juliette massait les fesses de Charlotte avec application, et faisait glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Cela serait si bon pour elle. Juliette présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. Juliette vida la moitié de l'huile dans le rectum de sa complice qui lui présentait sa croupe en se cambrant, accentuant la courbe de ses reins. – Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal; elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. De son côté, Charlotte avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche, elle était dans cet état second où l’appréhension des gestes de Juliette conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnante, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvements du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. Juliette le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face à sa table. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, Juliette devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus; la chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Juliette admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Juliette enfonça alors l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours la vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Qu'il était doux pour elle de s'abandonner. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et Juliette écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des jeunes femmes. Avec douceur et détermination, Juliette continuait sa progression. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage; le devinant, Juliette ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de Juliette. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant; la décharge fut intense et l'orgasme violent. Charlotte mis ses bras autour du cou de son amie, la serrant de toutes ses forces et elle hurla, sa jouissance fut si forte que son cœur battait à se rompre, son ventre était inondé au point qu'elle crut un instant que la cyprine coulait le long de ses cuisses. Alors, Juliette retira lentement son poignet et elles s’embrassèrent fiévreusement en mêlant leurs langues. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/08/21
Un WE très spécial Chapitre 3 Le téléphone sonne : « Oui Madame, il est toujours là . - -Non , il n’a rien dit , et oui , il ‘est laissé faire même quand on lui a pissé dessus. . - -Mais rassurez vous , je l’ai lavé à grande eau pour que l’odeur ne vous incommode pas . -…… - A 4 Pattes ? Ce n’est pas un peu loin ? -…….. - Comme vous voulez Madame je vous l’amène tout de suite comme un gros toutou . Un employé me détache, me fait mettre à 4 pattes et m’emmène, les yeux toujours bandés, en tirant sur la laisse. Les couloirs s’enchainent,. Je sens que nous croisons des gens. Comment me regardent-ils et que pensent ils ? En grand exhibitionniste que je suis , je n’ai pas vraiment honte d’être ainsi baladé …tant que personne ne me reconnaît Après la moquette, nous arrivons sur du carrelage et aux bruits, je pense être proche de la piscine. « Voici votre chien, Madame » -a t’ Il a été très sage, -oui madame , il n’a pas dit un mot et a tout supporté ; même de se faire pisser dessus. - Encore heureux, sinon il aurait été puni. Vous voulez bien lui apporter une écuelle d’eau ? Il doit avoir soif, ce chien » Je reconnais la voix de Dame Anna et je suis tout heureux d’être maintenant à coté d’elle. Elle attrape ma laisse et me tire vers elle. Je me heurte à un bord et devine qu’elle doit être allongée sur une chaise longue. Elle me caresse la nuque et la croupe : « C’est bien mon noname , tu es un bon chien, je suis contente de toi ;-Fais le beau maintenant« Je m’agenouille et met les mains en offrande au niveau de ma poitrine. Elle enlève mon bandeau et mon museau et me fait laper l’eau que l’employé vient d’apporter. C’est moins bien que de boire au verre, mais cela fait beaucoup de bien quand même. Un chien doit se contenter de ce qu’il a . Je suis maintenant à genoux, assis sur les talons à coté de son fauteuil. les mains en position de soumission. Elle m’explique que nous sommes dans un gite libertin et que le SM est le thème du Week-end. Notre mission est de faire quelques démonstrations et d’apprendre à ceux qui le désirent ce que le SM peut leur apporter. Je devrais donc me plier à toutes leurs exigences et aux siennes aussi bien sur. Maintenant que je n’ai plus mon bandeau, et même si je dois garder les yeux baissés, j’ai remarqué qu’une croix de St André avait été dressée à un bout de la piscine, non loin de là où nous sommes. Mais avant de commencer à jouer tu vas danser pour ta Maitresse, soumis. - allez ! Debout !, Danse en te caressant devant mon fauteuil au rythme de cette musique. Mais pas touche à ton sexe ou à ta cage ! J’ai toujours ma cage qui ballote entre mes jambes et je me caresse le corps le plus langoureusement possible au rythme de la musique diffusée au bord de la piscine. Quelques morceaux plus tard elle me fait signe de m’agenouiller à coté d’elle et m’ordonne de boire, toujours dans l’écuelle bien sur. Couché sur le sol, j’ai apparemment droit à un peu de repos avant ????
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Par : le 13/08/21
Tu es comme la plupart des mecs. Un salaud de manipulateur. Un salaud de prédateur. Mais c’est pour ça que je suis dingue de toi, accro à toi, droguée de toi. _______________ Tu n’y peux rien. Tu es comme ça. C'est dans tes gènes. Dans votre mode de fonctionnement, à vous, les mecs. Et c’est ce que j’aime chez toi :smile: _______________ Ta capacité à me séduire, me manipuler depuis que tu m'as choisie pour proie. Pour m'entraîner là où tu veux m'emmener Et cette rage que tu as de vouloir me "posséder". Tu ne t’en rends même pas compte, mais je n’ai jamais été dupe. Et pourtant je me suis laissée prendre. Et je ne le regrette pas. Parce que c’est ce que j’aime en toi. Ce pouvoir que tu exerces sur moi. Ta capacité à m’entraîner plus loin que je ne l’ai jamais cru possible. _______________ Oui, tu es comme la plupart des mecs. Un salaud de manipulateur, un salaud de prédateur. Sauf que chez toi, le côté séducteur, c'est pas du flan. Et c'est grâce à ça que tu es devenu le seul salaud qui m’ait jamais permis de rêver éveillée. Depuis que je suis ses côtés. _______________ Alors ne change rien surtout. Demeure pour moi ce salaud que j'adorerai toujours ce manipulateur, ce prédateur qui m’a fait découvrir le bonheur de devenir sa proie. Un salaud de mec.
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Par : le 13/08/21
Le vin et le chocolat, ça m’a fait du bien, un rayon de soleil dans une nuit noire. Il n’y a qu’une chose de positive dans cette affreuse punition que nous inflige mon beau père... c’est Ailla. Elle est belle et intelligente et elle sent bon. Je sais bien qu'elle ne doit pas être facile à vivre, mais c’est elle, le vrai rayon de soleil. Et puis, j’ai un plan. Pas un plan foireux comme le casse, un plan qui va nous sauver. Sainte Sara veille sur nous, pauvres Roms rejetés de partout et... — Samia ! — Oui, la Voix, mais j’ai pas le moral... Bon, j’ai Ailla, le vin, le chocolat... Un peu avant 22 h, les gens quittent le bar. On se rhabille et on s’en va aussi. Ailla sait où sont nos chambres... enfin, nos chambres, c’est une façon de parler. On dort dans le dortoir n° 8. Dans cette très grande pièce, il y a des rangées de minces matelas posés directement sur le sol et dans un coin, un tas de couvertures crasseuses. La salle de bains et les toilettes consistent en quelques seaux. Bonjour l’hygiène et les odeurs. Il y a heureusement une grande fenêtre ouverte, je vois même la lune... Ailla sait aussi qui est le chef de cette chambre. Madame Lóng dirige tout le groupe, mais chaque chambre a une dure à cuire qui fait la loi. Ailla est un génie, je crois l’avoir déjà dit. Elle va s’incliner devant une grosse Chinoise. Elle lui parle et la fait rire ! Cette fille est... — SAMIA ! — Oui, d’accord la Voix. Je disais qu’elle la fait rire et la Chinoise lui caresse même la hanche et les fesses. Elle ne va quand même pas passer la nuit là ? Non, heureusement, elle revient vers nous. Intriguée, je lui demande : — Et alors ? — Je te dirai ça demain, je suis crevée. Elle se couche sur un des matelas en ajoutant : — Va chercher des couvertures. — Il n’en reste que deux, les filles ne vont pas me laisser les prendre. — VAS-Y ! — Oui... On me donne quand même les deux dernières couvertures, mais c’est peu pour trois personnes. En me couchant, je demande à Ailla : — Je peux me mettre contre toi ? — Oouiii.... Maintenant, tais-toi. Julien se couche lui aussi derrière moi et il me colle. Je le laisse faire, pour une fois. *** Au milieu de la nuit, on est réveillés par la lumière du plafonnier et une voix qui crie un truc en chinois. En fait, ce n’est pas le milieu de la nuit, mais l’aube. Il doit être horriblement tôt. Je vais vite faire la file pour pouvoir m’asseoir sur un des seaux. C’est pressé. Ailla me dit : — Laisse tomber, on peut aller ailleurs. Comment elle sait ça ? Cette fille est... non, j’ai rien dit ! On sort dans une cour qui donne sur un champ, il y a plusieurs tranchées et des filles qui se soulagent, pantalons baissés. Et le papier pour s’essuyer ? Et la douche ? De là, on va manger du riz collant avec un peu de légumes et des bananes mi-jaunes, mi-noires. Ensuite, on doit toutes se mettre en rang dans une autre cour. Là, tous ceux qui ne sont pas en orange viennent faire leur marché. D’abord, les gens en civil. Un homme fait signe à Julien et il part avec lui.     Puis un couple vient nous observer. L’homme dit : — Elles sont spectaculaires ! La femme répond : — Oui, mais elles puent, il faudrait les laver et leur donner un uniforme propre. La faute à qui si on pue ? Le même homme dit à un des gardes qui nous surveille : — On prend ces deux-là. Le garde s’incline en disant : — Très bon choix, Monsieur. On suit le couple jusqu’à une salle de douche. La femme nous dit : — Lavez-vous soigneusement et vite ! Ailla et moi, on se savonne mutuellement. J’aimerais me frotter à elle, mais c’est impossible avec cette femme qui nous surveille. Quand on est lavées et rincées, elle nous donne une serviette propre pour nous essuyer. Ensuite, l’homme revient avec deux uniformes propres. On suit ce couple jusqu’à l’entrée de l’usine, la vraie, la grande. Derrière un comptoir, il y a deux filles en tailleur noir, sûrement des Thaïs, à nouveau. L’homme leur dit : — C’est elles qui vont rester à l’entrée pour accueillir les gens et prendre les bagages. Elles doivent vous obéir, sinon, il faut les punir. Charmant ! Moi qui pensais qu’on allait devoir coudre dans un atelier... Les filles parlent entre elles, puis l’une d’elles nous annonce : — Je vais montrer à ma collègue comment vous punir. Penchez-vous en avant. Je m’exclame : — Mais on n’a rien fait ! — Obéissez ! Bon, on se penche, la fille prend une canne en bambou et elle me donne cinq coups sur les fesses, heureusement sans me faire baisser mon pantalon. Ça fait quand même vraiment mal, ce bambou, je crie à chaque coup. L’autre fille s’exerce sur les fesses de Ailla qui reste stoïque et ne crie pas, évidemment... La fille qui m’a frappée me dit : — Quand des visiteurs arrivent en voiture, vous devez vite leur ouvrir la portière, les saluer et prendre leurs bagages. Chaque fois que vous ne le ferez pas bien, ce sera cinq coups sur les fesses. Compris ? Ailla et moi on répond : — Oui Mademoiselle. On passe l’heure suivante à courir quand il y a une voiture et à s’incliner devant ceux qui en sortent. On se prend chacune encore 5 coups de canne sur les fesses. Pourquoi ? La fille qui ne savait pas comment frapper nous le dit : — Ça, c’est sans raison. À part que c’est amusant. N’est-ce pas ? — Oui Mademoiselle Grrrrr ! Et puis... une grosse voiture arrive, je cours ouvrir la portière côté passager et il en sort... Satan ! Non, pire que ça, mon beau père ! Il est accompagné d’une jolie brune sexy. Il me demande : — Qu’est-ce que tu fais là, toi ? Tu devrais être dans un atelier aux ordres des ouvrières. Je vais m’en occuper. Ma Voix intérieure a beau me hurler "Ta gueule !", je réplique : — Je suis ici parce qu’un psychopathe m’y a envoyée. Il sourit... Aïe, aïe, aïe... Cette expression me rappelle de très mauvais souvenirs, qu’est-ce que j’ai fait ! Il me répond : — Tu n’as pas envie d’une semaine de vacances avec ton mari ? À la campagne, par exemple. Ça te plairait ? Cette fois-ci, je me tais. Sa copine lui demande : — C’est quoi cette folle, darling ? Darling (!!) répond : — Son mari et elle travaillent pour moi. Ils ont essayé de voler la paye des ouvriers, alors je les ai envoyés ici, plutôt qu’en prison. — Tu as trop bon cœur, darling. Bon cœur ! Oui, autant qu’un tigre affamé ! Quand il parle aux hôtesses, je l’entends dire : — On va venir chercher la brune, la rousse peut continuer à travailler. — Certainement, Monsieur. Profondes courbettes des deux hôtesses. On ne vient pas me chercher tout de suite. J’ai le temps d’expliquer mon plan à Ailla. Les hôtesses ont beau crier et me donner des coups sur les fesses, je ne sens rien ou presque. Je lui répète plusieurs fois de suite, en finissant par lui demander : — Tu as tout retenu ? — Tout, Samia. Un garde arrive. Il me passe un collier autour du cou. Plus exactement un épais cercle en fer avec une chaîne comme laisse. Ailla me dit : — Tiens bon ! — Ouiiii... Le garde tire sur ma chaîne. On sort de l’usine pour nous diriger vers une camionnette. Il me tire à l’intérieur du véhicule et attache ma chaîne à un anneau au plafond. Je suis obligée de rester debout. Julien est là, il me fait un signe de tête "Ça va ?", je réponds de la même façon "Impec !" Il y a deux Occidentales attachées de la même façon. On roule pendant une petite heure, debout, se cognant les unes aux autres dans les tournants. Par le pare-brise, je vois qu’on arrive devant une forêt de bambous géants. Lorsqu’on y pénètre, je m’aperçois que cette forêt n’est qu’une ceinture de bambous cachant une haute palissade, surmontée de fils de fer barbelés. C’est une prison ! Deux gardes ouvrent une grande porte et on se dirige vers de vieux bâtiments... Autour de nous, des champs s’étendent à perte de vue. Un peu partout, il y a des gens qui travaillent. Les femmes et les hommes sont nus, à part un collier en fer, des sandales et un très grand chapeau conique, sans doute en paille. Ce serait une scène... bucolique, s’il n’y avait des gardes qui encouragent les prisonniers en leur donnant des coups de cannes en bambous sur le dos, les fesses et les jambes ! Je remarque que les gardes ne sont pas Chinois, mais Occidentaux. C’est le cas du garde blond qui vient détacher nos chaînes et nous fait descendre de la camionnette. Julien vient près de moi. Le garde appelle une jeune Chinoise – nue, évidemment – pour lui dire : — Donne-leur de l’eau. La fille s’incline en répondant : — Oui, Maître. Ah, carrément ! La fille se plie encore en deux, puis va nous chercher deux bouteilles d’eau qu’elle dépose à nos pieds. Le garde nous jette : — Buvez. Beaucoup ! On lui obéit, ça fait du bien, surtout qu’il fait vraiment chaud. Quand tout le monde s’est désaltéré, le garde nous annonce : — Vous allez rencontrer vos Maîtres. Quand ils seront à dix pas, vous vous mettrez à genoux, puis vous poserez vos fronts sur le sol, mains croisées sur les reins. Faites-le ! On se met tous en position, le garde passe derrière nous et... — Aïe !! Il vient de me donner un coup de canne en bambou sur les fesses en disant : — Cambre-toi plus ! — Aïe !! Nouveau coup sur mes fesses ! — Mieux que ça, je veux voir ton trou du cul ! Les deux filles et Julien se prennent aussi deux ou trois coups de canne. Il nous dit : — Debout et vous avez bien compris, à dix pas. On attend au soleil... Je passe mes mains sur mes fesses et je sens les deux boursouflures laissées par la canne. Enfin, nos maîtres arrivent... Un gros Chinois d’une cinquantaine d’années et une adolescente fluette, également chinoise et... habillée. Ils sont suivis par deux filles nues qui tiennent chacune un parasol pour protéger les Maîtres du soleil. Deux autres filles portent un lourd fauteuil. Dès qu’ils sont à ce que j’estime être dix pas, je me mets à genoux, puis je pose le front sur le sol. Julien et les filles font la même chose. Je suis incapable de voir ce qui se passe, je dirais que l’homme s’est écroulé dans le fauteuil et la jeune fille fait le tour de notre petit groupe prosterné. Elle s’arrête derrière moi et elle me donne un petit coup de pied dans les fesses en disant : — Samia ? — Oui Maîtresse. Pas facile de parler avec la bouche presque contre le sol. Elle tâte mes fesses du bout du pied en disant : — Tu as un beau cul... À côté de toi, c’est ton mari ? — Oui Maîtresse. — Vous êtes aussi bien assortis qu’une grenouille et un lapin. Pourquoi l’as-tu épousé ? Je lui réponds la vérité : — Par intérêt, Maîtresse, son père est riche et il faisait tout ce que je voulais. A suivre. Un tout grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 11/08/21
« Lorsque nous monterons vers la pièce, sans un mot de notre part, tu te déshabilleras, lentement car je sais que tu porteras une jolie tenue. Nous te dirons ce que tu laisses et ce que tu enlèves. Tu te positionneras à genoux, face à nous, comme tu sais le faire. Et lorsque nous nous approcherons de toi, tu relèveras tes cheveux pour aider au passage de ton collier ».    Voici dont leurs mots avant notre échange, notre séance, notre moment… Mon moment de lâcher-prise.    Suivie de mes Dhoms, je monte ces marches une à une… en silence.  J’entre dans la pièce et me met à ma place, au milieu de celle-ci.  Une fois installés en face de moi, je commence à me déshabiller.  J’enlève cette petite robe en filet noire, elle est très sexy, j’aime la porter lorsque je me rends dans un club libertin.  Avec celle-ci je ne portais qu’un cache-sexe, des bas autoportants ainsi que mes bottes en cuir noires.  Ce que j’ai gardé.    Comme il me l’a été demandé, je me suis mise à genoux et j’ai relevé mes cheveux. Mon Dhom, m’a posé mon collier de notre séance et l’a cadenassé comme il a fait pour les attaches de mes chevilles et mes poignets.     Pendant ce temps ma Dom me regardait, assise dans le fauteuil face à moi, son beau sourire aux lèvres.  « Tu sais ce qu’on attend de toi ? » Je les regarde tous les deux, elle, avec ses magnifiques cuissardes, j’avais compris… Il y a un an, je refusais de le faire, il y a un an je ne comprenais pas, il y a un an je n’étais pas prête…  Toujours à genoux, les bras derrière le dos, je me penche et embrasse ses pieds, je veux me relever mon Dhom d’un ton sévère : « Tu peux mieux faire! » et j’ai recommencé, plus lentement et en m’attardant sur les deux pieds de ma Dom.    Au milieu de cette pièce, une chaine traverse le plafond, ils m’y attachent les bras et les cheveux à celles-ci et terminent par me relier les pieds ensemble.  Voilà…  Je suis leur…. Telle une soumise pour leurs Dhoms, prête à tous les sévices, prête à être malmenée pour leurs bons plaisirs… Pour mes bons plaisirs.    Ils connaissent mes doux travers et ne doutent pas de ce que j’aime.  Ils commencent doucement, des petits pincements, des coups de cravache, …  Mmm j’aime !   Ils continuent en me fouettant…  ensemble ! Elle derrière s’occupant de malmener mon dos et mes fesses avec ses accessoires et lui devant moi avec un martinet dans chaque main me fouettant les seins du bas vers le haut comme s’il jonglait avec des balles et que jamais il n’en perdait une !    Les claquements des martinets se font ressentir sur tout mon corps à chaque fois que ceux-ci atteignent ma peau, j’ai mal ! J’aime ça !   Douleur-plaisir, plaisir-douleur, mon cœur/corps sont partagés… Et puis, pourquoi choisir quand je peux avoir les deux !    Mon « SafeWord » est disponible à tout moment mais avec mes Dhoms, je n’en ai point besoin, ils me connaissent pour savoir quant arrêter. De toute façon, je ne l’utiliserai pas…     Ils me malmènent un peu, beaucoup, passionnant! Des gouttes perlent le long de mes joues, ils s’arrêtent, me prennent dans leurs bras…  Après quelques minutes des larmes, des rires, des sourires : « On continue ? ».  Moi : « oui » *sourire*  Et on recommence, encore et encore…  Pour en arriver au fouet…. le fouet ! Celui que je reconnais au son qu’il produit, à la douleur qu’il me procure et aux marques qu’il me laisse sur la peau, oui ce fouet… Je ne peux m’en passer et je ne veux m’en passer, ils le savent bien…    Le corps marqués et douloureux de plaisir, ils me détachent les bras et les cheveux.  « Mets-toi à genoux, penches toi en avant et lèves bien tes fesses ». J’obéis.  Sous le regard de ma Dom, mon Dhom prend la canne.  Ah là là cette canne, je m’en souviens lors de notre dernière séance… elle fait mal, très mal… mais je m’en sens capable.  Lors de nos derniers messages, je n’ai pas manqué d’être insolente avec mon Dhom, à se demander pour quelle raison… Ce, en quoi il m’a promis 35 coups de canne et où j’ai répondu : « Oui Monsieur ».  Le jour même, il en a rajouté 5 car j’ai manqué de politesse…  Me voilà dans cette position à attendre mes 40 coups de canne…  « Comptes les à voix haute ». « 1, 2, 3,….10 »… J’ai mal ! Il me demande : « On continue ? », je lui réponds : « Oui Monsieur ».  « 11, 12 , 13, 25 »… Je souffre, je sanglote mais c’est hors de question que je lâche! « On continue ? »   D’une petite voix : « Oui Monsieur, 26, 27, 28, 29, … » je pleure, la douleur est intense « 30, 31, …35 ».  Ils me relèvent pour enlever mes attachent et là je dis tout en reniflant : « Et les 5 coups de canne pour mon manque de politesse ?  « Ah tu les réclames en plus, mets-toi à genoux ! ».  J’obéis  « 36, 37, 38, 39, 40. » Je fonds en larme ! Le moment tant attendu, le voilà enfin ! MON lâcher-prise.   Me voilà couchée à terre, dans les bras bienveillants de mes Dhoms et moi en pleurs, en train de verser toutes les larmes de mon corps, mon corps malmené de plaisir. 
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Par : le 09/08/21
Mon seul repas fût quelques restes que me jeta Maîtresse directement sur le sol. Je m’empressais de les avaler. Un grand coup de cravache me rappela à l’ordre - «Doucement espèce de porc et puis tu nettoie mieux que ça avec ta langue» Il y eu une petite pose car Maîtresse attendait une cage que Allan lui apporte. Elle était munie de roulettes pour une mobilité parfaite. Je ne savais pas encore que ce serait ma principale demeure jusqu’au lendemain. En effet, après avoir pris place à l’intérieur, je dus m’accroupir, l’arrière des cuisses écartées contre les barreaux, mes mollets sortant de la cage. Dans cette position, elle me scotcha littéralement sur la cage. J’avais le cul bien offert et le torse incliné avec le front et les coudes sur le fond de la cage. Ma jeune Maîtresse prenait plaisir à varier les sévices, commençant par me fouetter les mollets. Après cela je sentis un liquide froid sur ma raie. Pas de doute possible, mon anus en prendra pour son grade. Elle commença par le dilater avec des plugs de plus en plus gros. Satisfaite de sa préparation, Maîtresse enfila un gant et commença à me pénétrer. Deux doigts tout d’abord qu’elle tournait dans l’orifice, puis trois, quatre et enfin toute sa main força mon entrée. Je la sentais maintenant profondément en moi. De douleur, je passais à un état de jouissance quand elle venais titiller ma prostate. Je ne maîtrisais plus grand-chose et Maîtresse se défoulait allègrement. J’avais l’impression qu’elle faisait le tour du propriétaire pour savoir si elle en ferait son bien. La dilatation dura longtemps et elle ne laissa jamais mon cul vide. Si elle se retirait, elle m’enfournait un gros plug. Elle ne l’enlevais que pour me fister à nouveau ou pour me sodomiser avec son gode ceinture qu’elle m’enfournait jusqu’au fond de la gorge entre deux pénétrations. Enfin rassasié, elle se détourna de mon orifice. Je n’avais plus de notion du temps mais Allan apporta une gamelle de bouillie qu’il me mis sous la gueule. Je n’ai eu que quelques minutes pour la vider. Pour la boisson, Maîtresse m’a servi une gamelle de son urine que je ne pouvais que difficilement laper. Tout cela toujours attaché dans ma cage. Je comprenais maintenant que ma position durera bien au-delà de la soirée surtout quand Allan m’emmena dans ma cage à roulettes jusqu’à ma cellule. Des coussins sous mes genoux rendaient la position supportable bien que particulièrement inconfortable. Maîtresse nous avait suivi à distance. Sans doute pour que je ne l’oublie pas, elle avait pris une roulette piquante qu’elle me passa sur toutes les parties de ma peau accessibles entre les barreaux de la cage. Entre la cravache, la roulette et autres petites réjouissantes, j’étais bien chaud et marqué de toute part. Maîtresse me souhaita une bonne nuit avec un sourire en coin car le mot «bonne» n’était pas le plus approprié. Ma position était très inconfortable. Je me calais au mieux la tête sur les avants bras en me demandant comment trouver le sommeil. Le temps passa lentement. Je m’assoupissais un peu quand quelqu’un se présenta à la porte de la cellule. Rapidement, je reconnaissais Maîtresse Célia qui m’avait accueillis. - «Bonsoir l’esclave» me dit-elle Elle avait mis un gode ceinture impressionnant. Je n’eus pas le temps de réfléchir. Maîtresse fit tourner la cage et m’enfonça son gode d’un coup sans la moindre préparation. J’en criai de douleur, sans pour autant ralentir son ardeur. Son gode envahissait mon bas ventre avant de se retirer et de revenir plus loin, plus fort. Enfin, elle se retire définitivement avant de me lancer : - «Désolé, je ne peux pas me retenir quand on me prépare aussi bien un soumis» Bien secoué par cet épisode surprise. Je finis par me rendormir. Un sommeil léger jusqu’à ce que je sente ma cage tourner une nouvelle fois et dans la seconde, un gode bien froid m’envahir l’anus. Cette fois-ci, c’est ma Maîtresse de la journée qui vient se rassasier. Mon anus est une nouvelle fois dilaté violemment. Il n’y a plus de plaisir mais une douleur lancinante. De nouveau abandonné après que Maîtresse aie pris son pied. J’ai de plus en plus de mal à trouver le sommeil mais la nuit s’écoule inexorablement sans de nouvelles surprises cette fois-ci. Au matin Allan reprends la cage et m’amène dans la la pièce principale. N’ayant pas mangé hier soir, il me gratifie à nouveau d’une bouillie que j’avale sans sourcilier. Il me lave de nouveau au jet d’eau froide, soit dit en passant, mon cul est bien offert à un grand nettoyage. Trempé et plus ou moins propre, Allan me laisse planté là sans la moindre explication. Un long moment après cela ma Maîtresse d’hier arrive. Elle tient en laisse un nouveau soumis, aussi nu que moi. Elle l’amène à l’arrière de la cage et lui intime l’ordre de me pénétrer. Elle l’excite par une forte masturbation. Je sens son gland contre ma rondelle. Il est bien monté et son gland me pénètre sans difficulté. Ses va-et-vient sont plus doux que le caoutchouc des godes et je prends plus de plaisir. Avant de jouir, Maîtresse l’arrache à mon cul, lui retire son préservatif et l’amène contre la cage pour que je le fasse jouir par ma bouche. Je m’applique à lui donner du plaisir pour le faire jouir. L’avantage de sucer un homme, c’est que je sais ce qui le fait craquer. J’arrive à lui aspirer les testicules que je lèche délicatement. Puis, j’avale sa bite à travers les barreaux contre lesquelles il est plaqué par notre Maîtresse. Je fais des aller retour jusqu’en gorge profonde, fais tourner ma langue autour de son gland. Il ne tarde pas à jouir dans ma gorge et me couvre le visage de son sperme abondant. Je ne suis pas particulièrement bi mais cette expérience me surprend agréablement. Le contact d’un sexe chaud après la froidure des godes est des plus agréable. Maîtresse reprend le contrôle de son soumis et l’éloigne de la cage. C’est maintenant Allan qui vient de nouveau rechercher la cage à roulettes. Finalement, il me libère de mes liens et me sort de la cage. Je tiens à peine debout après être resté bondé si longtemps contre les barreaux de la cage. Il me nettoie de mon foutre avec la lance d’eau froide et me ramène à la cellule où il m’attache à la chaîne qui cette fois-ci me permet d’atteindre ma couche. Je suis épuisé et je tombe dans un sommeil réparateur sans vraiment savoir quel jour et quelle heure il était. A suivre…. Un grand merci à Ma Maîtresse qui a semé ce petit grain de folie qui me permet d'imaginer cette fiction improbable.
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Par : le 09/08/21
< Célèbre maître dominateur parisien, Patrick Le Sage nous invite à travers ce reportage dans son monde en se prêtant au jeu de la confession. Artiste du sexe qui vit de son plaisir, il raconte tout : les soumises, leurs maris et amants, les grands patrons, les notables, les gens de tous bords et de tous milieux qui visitent son donjon. Il évoque les moments les plus forts de trente années de pratique. Un témoignage aussi fort qu’Histoire d’O, sauf qu’ici le récit est authentique. BIO auteurs : Patrick Le Sage est le maître d’un donjon très particulier, un monde à la sexualité sans tabou, à l’hédonisme presque sans limites. C’est un vrai dominateur qui officie au coeur de Paris, dans les soubassements d’un ancien château du XIIe siècle aménagés pour accueillir les jeux les plus raffinés. Il reçoit des femmes en quête de frissons troubles, de sensations extrêmes. Chez lui, c’est l’éducation anglaise, une étrange forme d’érotisme par procuration, où le maître agit comme un metteur en scène des désirs des soumises et de leurs époux. Son Journal d’un Maître défraya, en 2005, la chronique et est régulièrement réimprimé depuis. > https://youtu.be/-WGCpsk6dBI
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Par : le 09/08/21
Quand leurs mots prennent vie Au gré de leurs envies Au fil de leurs vies Empreints de mélancolie Ou d'un brin de folie Les poètes anonymes vous convient A partager leur amour de la poésie Ils nous invitent en toute simplicité Mais toujours avec une immense sincérité Sans la moindre once de vanité A franchir les portes de leur intimité Ils vous relateront leurs plus folles aventures Ils vous confieront leurs déchirures Et même leurs plus profondes blessures Chacun dans son propre style d'écriture C'est avec une infinie passion Qu'ils vous révèlent leurs émotions Leurs sentiments, leurs motivations C'est en toute modestie et sans prétention Qu'ils nous invitent dans leur maison... 17 11 2020
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Par : le 08/08/21
Résumé : Cet ouvrage aux illustrations impressionnantes se présente à la fois comme une somme d'informations sur l'histoire de la torture, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours, et comme une réflexion éthique, esthétique et anthropologique sur la cruauté que l'homme entretient dans son rapport avec le corps d'autrui.
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