La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 09/09/13
Avions hier des "envoyés spéciaux" ( ) à l'un des concerts de Mylène Farmer à Bercy dans le cadre de sa tournée "Timeless Tour" entamé dans la foulée de la sortie de l'album "Monkey Me". ---------------------Cliquez pour voir les photos en plus grand et l'article associé sur le site de l'Express. Cette tournée affirme un peu plus encore, Mylène Farmer comme une icône gay (et lesbien dans une moindre mesure) au regard de la composition du public. Il est probable que la chanteuse rousse joue probablement depuis un moment avec un certain nombre de "codes" pour construire un personnage par opportunisme marketing. Pour autant, qu'elle met en lumière aux yeux du grand public (puisque le concert a fait l'objet de pastilles dans les grands journaux de 20h nationaux) les dits codes (dans une version acceptable et aseptisée diront les plus chafouins). La tendance de cette tournée allant aux danseurs exclusivement masculins, en Shaolin (voir photo de l'Express) ou men in black corsetés , aux services de la diva. Cliquez pour voir les photos en plus grand et l'article associé sur le site de l'Express Pas de photo des danseurs en costard façon Men in Black, mais porté avec un corset, la tenue ne manquait pourtant pas de classe ! Si ce n'est pas nécessairement par adhésion au marketing de Mylène Farmer (ni forcément à toute sa musique), vous pouvez vous y rendre, c'est une ambiance particulière (en fosse aussi) et le spectacle (au sens strict du terme) est très réussi.
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Par : le 08/09/13
J étais dans mon bureau classant des papiers lorsque tu es rentrée. Après t être débarrasée de tes affaires tu es venue me voir, et tu es restée devant la porte du bureau pourtant grande ouverte. Tu me regardais fixement , sans bouger, je levais donc la tête vers toi et te dis un bonjour petite, ton voyage s est bien passé, tu n as pas eu de soucis sur la route, tu as bien fais "tes devoirs" ? Elle venait de rentrer d un séminaire de trois jours. Toujours immobile elle ne répondait rien, aussi devant son mutisme je l invitais a entrer et a venir s assoir près de moi, mais rien, pas un geste, pas une parole. Du coup je me suis levé de mon fauteuil et suis allé vers elle et droit dans les yeux je lui ai demandé ce qu il se passait ? Elle me fixait elle aussi du regard, nous sommes restés ainsi face à face plusieurs minutes avant qu elle se décide enfin à prendre la parole. D une voix légèrement tremblante elle me dit: maître je vous ai désobéî , je n ai pas fait ce que vous m aviez demandé. Je la regardais sans mot dire, ses yeux fixant les miens comme par défi, comme par provocation ! Je ne disais toujours rien , nouveau silence, cette fois-ci il se faisait pesant, et dura bien trop longtemps à mon goút. Elle prit de nouveau la parole et me redit les mêmes propos, mot pour moi que précédement s attendant , je le voyais bien à une réaction de ma part . Mais non je ne disais rien , mon regard se faisant plus sévère elle fini par baisser les yeux et d une petite voix presque enfantine me dit : Maître de vous avoir désobéî je mérite une punition je le sais. Nouveau silence de ma part tout en continuant de la fixer du regard et là je commençais à la voir perdre l assurance qu elle avait eu en arrivant. De nouveau elle me redit mériter une punition sévère et qu à on avis une féssée digne de ce nom suivi de nombreux coups de fouet devrait lui être infligé sans plus tarder. Mais toujours aucune réaction de ma part , je venais de repenser aux deux jours précedant son départ ou elle me faisait remarquer qu il y avait déjà un certain temps que je ne l avais pas féssée et fouéttée et que cela lui manquait, voilà la vraie raison de sa déobéissance.... Mon silence si prolongé la troublait de plus en plus et elle en perdait non seulement son assurance mais aussi ses moyens je le voyais bien. Elle me dit : Allez y Maître punissez moi et surtout ne soyez pas tendre avec moi je mérite amplement que vous passiez votre colère ainsi contre moi , je le mérite tant !! Je pris une grande inspiration et je suis retourné m assoir dans mon fauteuil lui tournant ainsi le dos tout en continuant à faire comme si j étais seul dans la pièce. Du coup elle avança dans la pièce pour se poster debout juste à mes cotés et d une voix cette fois-ci suppliante me dit: Maître je sais que vous êtes très en colère contre moi, je le sais , désolée de vous avoir décue , punissez moi oh mon Maître et surtout qu aucune indulgenge ne votre part vienne troubler cette punition que je mérite tant, elle continuait de nouveau ses suppliques cette fois-ci à genoux les mains tendues en avant comme faisant une prière tout en me demandant d être totalement intraitable avec elle de que je fasse de cette féssée celle dont elle se souviendra toute sa vie !! Je me suis touné vers elle ce qui a eu le mérite de faire stopper le débit intenable de ses paroles. Elle sanglottait et tremblait en même temps. Toujours sans un mot je la dévisageait lentement faisant durer le , mon plaisir plus que de raison . De ses yeux larmoyant elle m implorait , me demandant pardon et qu il fallait vraiment que je la punisse, que c était mon devoir de Maître et qu il n y avait pas un seul Maître au monde qui ne punirait pas sévèrement de tels agissements. Je lui fît un signe du regard et aussitôt elle se mît en position de proternation devant moi tout en me disant qu elle savait qu elle la méritait sa pinition suivi d un merci, merci Maître... D un tiroir du bureau je sortais des menottes et des cordes ,puis lui demandais de se lever et de me suivre jusqu au jardin sans mot dire. Une fois dans le jardin je m arrêtais devant le beau marronnier qui l ornait, là je lui ordonnais de se mettre complêtement nue et apres je lui dit : Approche toi lui dis-je et colle toi face en avant contre le tronc d arbre , je vais t attacher à celui-ci Je lui ordonnais d une voix sévère, dure ,de ne surtout pas bouger , elle me répondît par un oui spontanné qui eut comme réponse : tais toi je ne veux pas t entendre . Je l attachait donc au marronnier puis d une voux douce mais trés ferme lui dit : La seule punition que tu aimerais tant avoir n est pas celle que tu auras, tu vas rester ainsi aussi longtemps que je le déciderai et cela peut prendre des heures, voir plus d une journée si tel est mon désir et plus tard, oui tu recevras une féssée digne de ce nom et je te fais la promesse que ce jour là tu ne pourras plus t assoir pendant plusieurs jours. Sans même me retourner je suis rentré dans la maison directement dans le salon d où l on voyait si bien le marronnier qui n était au plus qu à 10 mètres de la baie vitrée que j ai ouverte en grand et après m être servi une petite Chartreuse et avoir mis de la musique je me suis installé dans un fauteuil que j ai tourné face à la baie vitrée pour t avoir en ligne de mire collée à ce si beau marronnier .......
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Par : le 08/09/13
Au départ une simple conversation, qui de fil en aiguille au fur et a mesure du récit-témoignage de votre vie se révèle être intéressante, surprenante ! Je vous lis patiemment ne vous interrompant que pour vous signifier mon interêt ou mon opinion concernant certains sujets me risquant même parfois à plaisanter lorsque le sujet devenait grave comme pour en atténuer ses effets. Votre vie, peu ordinaire au demeurant évoque en moi certains souvenirs que je préfère garder pour moi seul. Vous la racontez avec beaucoup de brio, mots simples presque dénués d émotion comme pour masquer les souffrances que vous avez enduré, vous êtes maitre-sse de votre plume, cela se ressent. Votre parcours parsemé de tant d embûches ne vous a nullement freiné dans la voie que vous avez, au détours d une rencontre, finie par trouver. Je ressent votre détermination quand a vivre pleinement votre nouvelle vie dans laquelle, enfin vous vous épanouissez. Votre voie trouvée, elle semble dessinée à votre mesure, maintenant plus aucun doute ne viendra troubler la quiétude de votre choix. Vous me dites avec trouver l amour celui avec un grand A , vous êtes si sure de vous qu il ressort de vos écrits et une sereinité certaine. Je prends beaucoup de plaisir à vous lire et à échanger avec vous. Les heures défilent sans même sans rendre compte. A la fin de votre récit vous voulez savoir également le mien mais avec une pointe d humour je botte en touche vous disant que plus tard je vous en ferai part. Et puis je ne puis vous dire qu étant votre ainé j en ai forcément, vu mon vécu, beaucoup plus a raconter que vous ce qui nous prendrait au moins toute la nuit. Je ne me souviens plus si je vous ai remercié de vous étre ouverte et ainsi livrée à moi, mais juste après la fin de votre histoire, ne voulant surtout pas que la conversation s arrête là je vous ai formuler une requête, celle de mettre la cam , juste un court instant, histoire de mettre un vidage sur l interlocutrice généreuse que vous aviez été , ce qui vous a semble t-il surprise et de fait vous avez bien essayer d esquiver ma demande par un je suis dans mon lit et j ai les cheveux tout ébouriffés ...... Humm réponse typiquement féminine qui me fît sourire et a laquelle je répondit par , si cela vous dérange tant vous n avez qu à mettre un chapeau ou une casquette et je crois que voyant que je ne lacherai pas le morceau aussi facilement vous avez fini par acceder à ma requête me demandant juste un peu de temps pour vous arranger. J en profitais pour une petite pause clope bienvenue. Une fois revenu et après vous l avoir annoncé vous avez lancé la cam Et là, vous m êtes apparue..... De suite j ai remarqué que vous ne correspondiez pas à l image que je m étais fait de vous et je vous en fait part , jolie petite brune, vous ne faisiez pas du tout votre àge mais bien 10-15 ans de moins, ça je ne vous l ai pas dit, joli visage presque angélique, presque d adolescente mais beaucoup d plomb et surtout très sure de vos convictions, prêtes à épiloguer en douceur sans jamais vous dévier de vos certitudes. Physiquement et je m en suis fait la refflexion vous faisiez " gamine" dans le bon sens du terme mais vraiment femme lorsque vous preniez la parole et défendiez avec verve vos différents points de vue. Vous sachant prise et même éprise la conversation ne tenait plus lieu d être aussi rigide et elle devenait de fait plus légère et le tutoiement s installa tout naturellement. Du coup je me suis trouvé charmé autant par votre visage d ange que par votre personnalité si attachante. Vous étiez allongée sur votre lit face à moi, vêtue d un simple tee-shirt couleur orangée qui ne couvrait que le haut de votre corps, ce qui au gré de vos mouvements me laissait tout à loisir de découvrir le reste de votre anatomie si plaisante à regarder. A un moment vous vous êtes même levée me laissant de fait admirer votre plastique si avantageuse. Humm....jolies petites fesses qui auraient bien méritées quelques petits sévices bien appuyés que de vous même finissez par m avouer n avoir plus reçu depuis plus de 6 mois ( quel gachis !!) et que le manque se faisait bien présent. Intérieurement je souriais , de charmé je passais a excité mais, vous sachant si éprise, si amoureuse et surtout trop loin en distance de moi je n essayais même pas d aller plus loin, non pas par manque d envie.... Elle se faisait déjà bien présente... Dans la conversation vous m avez dit faire peur aux hommes, le répétant même plusieurs fous comme pour me tester, ce à quoi, avec un grand sourire et droit dans les yeux je vous ai répondu ... pas à tous, pas à tous , deux fois pour bien vous signifier que je ne faisait pas partie de ceux là. Et comme si vous lisiez dans mes pensées, de suite vous m avez dit qu il était inutile que je nourisse quelconques illusions à votre égard et que j arrivais trop tard.... ou trop tôt joli sourire à l appui. Sourire franc, sincère, craquant ! Le court instant cam demandé s était transformé gentiment, au gré de nos discussion et petits délires en un long moment bien agréable.... 1:35 que nous étions là à discuter, il était bien tard ou très tôt, c est selon et la fatigue commençait à vous submerger , vous m en fîtes part, votre tête déjà couchée sur l oreiller tandis que vos paupières trop lourdes se refermaient sur vos yeux. Après une dernière petite boutade nous nous sommes souhaiter une bonne nuit. Merci beaucoup Petite Brune pour ce petit moment de plaisir en votre compagnie Charmé de vous je resterai......
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Par : le 08/09/13
Elle s appellait A...., plutôt grande,un petit peu plus que moi, brune, un corps d ancienne gymnaste à rendre un eunuque fertile, un vrai avion de chasse comme disent les adolescents. En très peu de temps nous sommes devenus hyper complices, tant de points communs nous unissaient, cela en était même inquiétant, à ce point là je n avait jamais connu ça et puis aussi l humour , nos conversations tantôt softs , tantôt hard, tantôt sérieuses étaient presque toujours teintées d humour. Entre les mails, sms puis au téléphonne, que d heure passées ne dormant presque plus dans nos discussions et découverte commune. Elle habitait à près de 250 km de chez moi et entre mon travail et le sien il nous a fallu un certain temps afin de pouvoir fixer une date pour notre rencontre... La First One . Pourtant l envie était bien plus que présente et je crois même que si nous avions pu on l aurait fait dès les 1 ers jours. Le grand jour arriva enfin, ne tenant plus elle decida de venir en voiture me retrouver. Elle avait à peine retirer son doigt de la sonnette que déjà je lui ouvrais la porte et je suis resté planté là quelques instants, sourire idiot rivé aux lèvres tant sa beauté m a subjugué, elle me souriais également puis je l invitais à entrer tout en la débarrassant de ses affaires. Puis je lui pris la main l attirant vers moi , nos corps se touchaient déjà , et je déposais un petit baiser sur ses lèvres suivi d un long, tres long baiser passionné puis fougueux, nous sommes restés ainsi debout à nous embrasser pendant de longues minutes. Quel plaisir !! Elle embrassait divinement. Puis je lui ai propser une petite accolade qu elle s est empressée d accepter . Tout en continuant de discuter et nous embrasser, nous sommes passés à table. A la fin du diner, les deux assis sur le canapé l un à côté de l autre je commençai a me faire plus entreprenant la couvrant de caresses et de baisers tout en la déshabillant doucement. Son soutien-gorge retiré laissait à mon regard admiratif une paire de seins bien fermes que l on aurait pu croire ceux d une jeune femme, pourtant elle avait 50 ans mais personne ne les lui aurait donné. Mes mains et ma bouche attirées comme des aimants entreprirent de s en occupper illico, elle très sensible à ce genre de caresses gémissait déja bruyamment. Je parcourais son corps méthodiquement tel un explorateur ne voulant surtout pas laisser m échapper un quelconque trésor en cours de route. Arriver au niveau de son pubis je glissais mes doigts à l intérieur de la couture de son string et les ai fait coulisser de tout son long tout doucement, elle frémissait, gémissait et quand, enfin je lui retirai ce minuscule rempart et posais doucement mes lèvres sur son intimité naissante elle sursauta tout en laissant échapper un petit cri de plaisir. Je l aidai à se relever afin de passer à la chambre pour y continuer nos ébats .une fois sur le lit, les deux nus, elle entrepris une fellation dont elle se disais experte.... et bien croyez moi ou pas mais experte oui elle l étais bien, jamais je n avais été sucer ainsi , elle avait une façon très particulière, bien à elle de le faire mais c était bougrement efficace, puis de nouveau enlacés tout en s embrassant partout.... partout partout même et surtout là, elle gémissant de plus en plus fort, cette situation m excitait terriblement , puis profitant d un léger relachement de notre étreinte je descendis doucement jusqu à son sexe alternant baisers et caresse afin de lui prodiguer un cunni dont j ai le secret. Et là , à peine avais-je commencé que déjà elle criait très fort de plaisir, quand je dis fort c est....fort !! Au début j étais un petit peu décontenancé par l ampleur de ses cris si bruyants , pensant, je ne sais pourquoi aux futures plaintes que j allais avoir de mes voisins au petit matin, je me repris vite et continuais avec ma bouche et ma langue à lui procurer tout le plaisir qu elle en espérait. Et d un coup elle se cambra et dans un cri profond, d une puissance inconnue de moi jusqu à présent, très prolongé elle eut son 1 er orgasme. La puissance et la longueur de ce cri restera gravé à jamais dans ma mémoire. Motivé comme jamais je ne baissais pas la garde et continuait de la lecher ainsi jusqu à son 3ème orgasme. Cette fois-ci j ai fait exprès de " donner le maximum" afin que mes voisins tout comme moi gardent un souvenir mémorable de cette nuit si bruyante. Après une courte pause , nous avons repris nos ébats , la faisant crier encore et encore et encore jusque tard dans la nuit. Puis nous nous sommes endormis enlacés et fatigués. Le lendemain matin au petit déjeuné, sourire radieux collé à ses lèvres elle me fit une révélation dont je ne peux que m enorgueuillir .... Je savais qu elle était Bi elle me l avais dit lors de nos précédentes conversation et là elle me félicita pour mes cunni qui selon ses dires étaient du même niveau , voir mieux que ceux prodigués par ses copines lesbiennes. En une phrase, une seule je me suis senti comme un dieu du stade , médaille d or accrochée autour du cou , j étais prêt à courir jusqu à Paris en la montrant à tout va !!! Comme quoi Mesdames, un homme peut faire aussi bien , voir mieux que vous lol ........................................................................................................................................................................................................................... Suite ........
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Par : le 05/09/13
Les liens du sang…. Lier son âme à une autre et qu’un coup de cravache Vienne bénir et graver cette sublime attache Déposer enfin mes armes pour cesser d’être un autre Terrassant d’un rire, mes craintes mes doutes et mes fautes Avoir le bonheur de Vous toucher, de Vous sentir, de Vous caresser, Et laisser Nos deux corps se mêler dans un ultime brasier Assumer ses démons, et les changer en plaisir Séduire, enfin, pour les partager, les offrir et en jouir Rattraper un oiseau qui s’est perdu en vol Panser ses plaies, le chérir jusqu’au nouvel envol Découvrir un univers aux mœurs différentes En goûter les saveurs, voilà ce qui me tente Me repaître de ton œil, de ton souffle, de ta sueur, Et voir naître enfin le plaisir qui succède à la peur Avancer pas à pas dans l’immense obscurité Pour malgré la pénombre, voir bien plus de clarté Ressentir votre fouet s’approprier mes fesses Et savourer ce geste comme une douce caresse Abandonner sous Vos yeux toutes résistances Maître, Vous l’êtes désormais de mes sens Éclairez mes pas qui naissent par Vous dans l'ombre Et oublier en jouissant que c’est Vous que je comble Découvrir ensemble La subtile alchimie Vous offrir ma reddition qui lui donnera vie Naviguer sans relâche entre les mots et les maux Ne cesser de nager, de se perdre entre ces deux eaux… S'offrir des marqueurs pour dessiner sur nos murs, Nos postures, nos brûlures et nos luxures au cyanure Te réduire à néant et dans un souffle d’amour brûlant Te faire naître à nouveau plus fort encore qu’avant Fondre dans ses bras, renaitre dans ses mains, Craindre de Le décevoir, s'abandonner enfin, Frémir sous Son souffle, exister dans Ses regards, Accepter d'être aujourd'hui pour devenir plus tard Mourir entre Tes mains de mille petites morts, Te subir, Te craindre, mais T'espérer encore, Tressaillir dans le silence précédant Tes assauts, Puis le déchirer de mes râles quand Tu éprouves ma peau, M'abandonner enfin à Tes tourments les plus doux, N'être plus rien, m'oublier, mais pour toi, être tout Me soumettre, c'est ce plaisir d'être à Ses pieds, de L'honorer, C'est être Sienne, impatiente de combler Ses volontés... Me soumettre, c'est tisser des liens de chairs et de sang, Et ressentir le moindre désir, le moindre chuchotement... Etre ton idéale, ta féérie, ton ultime abandon T’accorder sous mon fouet la totale absolution Participation et réécriture : Empire Merci pour leur vers à : Heatbeat, Camille, Lady Liliam, Panthère, Mistrall, Maestria, Meline, Joliepulpeuse, Paradoxale, Lilirose, Inoha, Laikadomsoum, Maîtresse Valandréa, Hopen, Tily, Lise, sluttyboy, Selena Sensei et un modérateur de BDSM.fr
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Par : le 05/09/13
Pour se plaire sur notre site, faire des connaissances, rencontrer, nous vous conseillons d'appliquer cette recette : Pour lier connaissance, vous allez devoir demander des membres en amis pour discuter, échanger, rencontrer. Pour qu'un autre membre vous accepte comme ami, il doit savoir quelle est votre recherche, où vous habitez, ce que vous aimez, comment vous êtes … Une annonce bien renseignée, c'est une des clés du succès. Cliquez ici pour revoir votre annonce/profil et l'améliorer. Notez-bien : repérez qu'il y a 4 onglets dans la partie supérieure de l'écran, voir ci dessous: ETAPE 2 : TROUVER DES MEMBRES COMPATIBLES AVEC VOTRE RECHERCHE Pour cela, cliquez ici pour vous rendre dans la rubrique "Annonces" Par défaut s'affiche à cet instant toutes sortes de membres (Dominatrice, Dominateur, Soumis, Soumise, etc) sans critères géographiques. Certains ont une photo, d'autres un pictogramme par rapport à leur recherche. Dans la partie gauche de l'écran, vous allez pouvoir préciser le type de personne que vous cherchez (Dominatrice, Dominateur, Soumis, Soumise, etc). Vous allez pouvoir aussi indiquer le pays (et compléter par la région, si vous le souhaitez). Indiquez vos préférences et cliquez sur le bouton rouge "Valider". Ne soyez pas trop restrictifs sur vos critères de recherches (surtout sur les critères géographiques). Cliquez sur les membres qui vous intéressent, et LISEZ BIEN CHAQUE ANNONCE AVANT D'ECRIRE, d'une part pour voir si elle vous convient, mais aussi si vous convenez à la recherche de la personne. C'est très important, si vous ne correspondez pas à la recherche de la personne, vous allez perdre votre temps, et elle aussi ! Une personne à qui vous aller faire une demande d'ami va très très probablement venir voir votre fiche/annonce, mais aussi voir ce que vous avez publiez sur le site (en visitant votre mur) : posez-vous ces questions : "est-ce que ma fiche/annonce, est-ce que ce que j'ai posé sur mon mur est informatif sur ce que je suis ? est-ce que c'est en correlation avec ce que cherche la personne que je m'apprête à demander en amie ?" LES MAUVAISES PRATIQUES : Ecrire directement sur le mur des personnes avec qui ont est pas amis est une mauvaise pratique, car elle est intrusive. En conséquence, elles incitent de plus en plus de personnes à interdire l'accès de leur mur aux personnes avec qui elles ne sont pas amis. Ne pas prendre le temps, c'est perde son temps : lisez les annonces et les profils des personnes que vous souhaitez demander comme ami : quelqu'un qui indique sur son profil : un soumis ou une soumise qui indique qu'elle est en "Couple BDSM" ne pourra sans doute rien pour vous si vous cherchez un(e) soumis(e). Consultez le mur de la personne s'il est ouvert à tous pour comprendre sa recherche. Ne pas tenir compte des conseils de cette recherche : se dire que prendre une heure pour envoyer 80 demandes d'amitié sans avoir lu les fiches des personnes ciblées aura de meilleurs résultats que d'utiliser cette même heure à soigner 5 demandes est définitivement une mauvaise idée ;).
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Par : le 04/09/13
Je suis toujours surpris quand je lis un Dom se plaindre de son soumis qui "ne se comporte pas comme il faut"... De mon point de vue, c'est le soumis qui conduit une relation D/s, pas le Dom. Un Dom n'a que le pouvoir de le soumis lui donne (voir mes autres articles). Sans un soumis, un Dom n'est rien : un Dom n'existe que grâce à un soumis. Le but d'un Dom est de répondre aux besoins de son soumis, pour aider ce soumis à explorer ses désirs intérieurs (parfois ignorés, refoulés), à se développer, à expérimenter de nouvelles sensations en toute sécurité. Bien entendu, le Dom doit aussi y trouver son avance en réalisant ses désirs, mais pas au détriment du soumis ! Abuser n'est pas dominer (si un soumis demande à être abuser, ce n'est plus de l'abus, puisque volontaire). Manipuler n'est pas dominer (si un Dom arrive à ses fins en manipulant son soumis, c'est de l'abus pas de la domination). Concernant la modification comportementale, ce n'est pas à mon sens de la domination. Il s'agirait plutôt pour moi de «coaching». Bien entendu, cela sous entend une demande de la part du soumis. Si les modifications comportementales, sont imposées par le Dom, ou obtenues par manipulation, il s'agit là d'abus de la part du Dom. Une fois de plus, la communicaion est fondamentalle pour identifier la limite entre abus et domination. Il est du devoir d'un soumis de toujours s'interroger si les demandes du dominant correspondent à ses attentes ou si c'est le dominant qui tente d'abuser de la situation.
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Par : le 03/09/13
Après une belle soirée riche en échanges de toutes sortes, préalable impératif de tous N/nos moments physiques en commun, ceci autour d’une bonne table que j’ai méticuleusement préparée en l’honneur de Sa venue dans mon humble demeure, mon Maître me donne l'Ordre de me préparer en vue de N/notre séance... Je m'exécute, et prends un bain, me rase soigneusement... Je sais que mon Maître va procéder à une inspection minutieuse, et gare aux poils qui pourraient être restés... Je sors de mon bain, me sèche, passe du lait parfumé sur mon corps... Mes idées vagabondent... Bien que je connaisse parfaitement tous « les Amis » dont mon Maître se sert, je ne sais jamais comment se déroulera la séance... Il a le Don de toujours me surprendre... Je me coiffe soigneusement, me maquille telle qu'Il l'aime, refais mon vernis, qui se doit d'être toujours rouge et parfait sur les ongles des pieds et des mains... Je lisse ensuite une paire de bas résilles sur mes jambes, et enfile mes escarpins noirs... J'avais Ordre de me présenter ainsi devant Lui... mais j’ai aussi besoin de Le représenter du mieux possible, j’aime cela… Je reviens aux pieds de mon Maître, m'y prosterne humblement comme j’aime à le faire pour N/notre plaisir et N/notre façon d’être... Il me demande de me relever, et me dit de Sa voix grave et autoritaire : « Préparation pour Présentation et Inspection, Ma chienne... ! » Des frissons me parcourent l'échine... Je recule de quelques pas, me positionne jambes écartées, regardant droit devant moi, mains derrière la tête, immobile... J'aperçois furtivement « tous les accessoires » de mon Maître méticuleusement placés sur la table du salon, parfaitement alignés...peut être dans l’ordre dans lequel ils seront utilisés… mes pensées foisonnent en cascade… Confortablement installé dans le canapé, mon Maître allume une cigarette, en finissant de déguster Son Malt, tout en admirant de son oeil inquisiteur Sa propriété... « Tournes-toi.. » Je m'empresse de m'exécuter avec élégance et féminité comme Il lui plait à l’exiger, mains toujours derrière la tête... « Penches-toi en avant, et ouvres-moi ton beau cul... » L'Ordre est exécuté, mes mains sur chaque lobe de mes fesses ouvrant largement mes orifices... Il peut s'apercevoir que mon entrecuisse est déjà dégoulinante... J'aime me retrouver ainsi devant Lui, sans pudeur aucune, offerte, ouverte... Il se lève, je Le sens et Le respire, Il tourne autour de moi, tout en palpant, caressant tantôt doucement, tantôt fermement, soit mon cul ouvert, soit mes mamelles pendantes dans cette position, soit ma chatte coulante, soit mon ventre... Il se saisit de mon rosebud, et me le place en bouche pour l’humidifier baveusement afin qu’il puisse, me dit-Il, se glisser aisément quand Il l’enfournera dans mon fondement... C’est chose faite… avec délicatesse et attentions constantes et je sens qu’Il prend plaisir à me l’introduire ainsi prouvant que tout de moi est à Lui… Il me relève doucement, retourne s'asseoir, m'ordonne de me positionner à Ses pieds, tête respectueusement posée sur Ses genoux afin de mettre et refermer le cadenas de mon Collier autour de mon cou, gardant la clé, Tel le Gardien du Temple... Il y accroche la laisse, et me promène, remuant de la croupe ainsi dans le salon... Puis Il me fait sortir, toujours à quatre pattes, dans le jardin, et m’ordonne de me déverser là tout de suite, telle une bonne chienne... Passées les premières secondes d'humiliation que je ressens au plus profond de mon être, Il me donne Son accord pour commencer à couler, car Il avait refusé toutes demandes préalables dans la soirée pour uriner, me forçant ainsi à en avoir vraiment envie le moment venu… Et c’est à quatre pattes que je me vide en quantité, sous l'œil satisfait de mon Maître, telle une chienne, Sa chienne... Mon ventre bouillonne... Dans la douceur de la nuit, Il me fait me relever, s'approche de moi, me bande les yeux, et me pare d'un magnifique corset noir, qu’Il serre de toutes Ses forces… du coup, j’ai le souffle court, mais je crois surtout qu’une certaine appréhension m’envahit… Il positionne ensuite mes bracelets de cheville, qu'Il fixe sur la barre d'écartement que j'ai fabriquée sur Ses ordres, puis attache mes poignets à la monture de la tonnelle... Je sens Ses mains sur ma croupe et sur mes mamelles dont Il raffole comme Il aime à le rappeler, qui se tendent à la rencontre de Ses mains... et là, à ma grande surprise, Il me dit que la séance ne commencera qu’après une petite punition, en suspend depuis le début de la matinée... Et d’un coup, je ressens une première morsure sur ma fesse gauche, dont la douleur m'est inconnue... Qu'utilise-t-Il ? Je compte les coups, sans omettre de L'en remercier... Dix coups me seront ainsi assénés, tout autant sur ma croupe que sur mes cuisses, la douleur est vive et brûlante... Je n'aime pas les punitions... Non pas par rapport à la douleur engendrée, mais du fait de ce qu'elles représentent : un manquement de ma part... Une insatisfaction de mon Maître... Depuis le 7ème coup, je ne retiens plus mes larmes qui coulent en silence le long de mes joues... Il se place derrière moi, et je sens la fraicheur apaisante de Sa main sur ma croupe... Il me félicite d'avoir fièrement reçu cette punition, utile pour mon Education, et je baise respectueusement Sa main qu'Il me tend... Je lui demande humblement ce qui a été utilisé pour cette punition, et, avec un sourire pervers, il me fait voir Sa ceinture qu'Il remet dans les passants de son pantalon noir... Il me détache, et N/nous rentrons à l'intérieur, prenant le temps de N/nous poser un peu avant de procéder à la séance proprement dite... Il me veut nue, et veut voir mes yeux... Pour la première fois depuis que je suis à Ses pieds, je ne serai pas privée de la vue pendant une séance... Il ôte le corset, puis place un masque noir et blanc sur mon visage... Il me demande de me positionner au centre du salon, jambes écartées, mains derrière la tête... Il s'approche de moi, et positionne une chaine à pinces sur mes tétons érigés qu'Il avait préalablement fortement pincés et étirés auparavant, Son regard sévère et froid, mais rempli d’attention, que j’aime tant dans le mien... Assis dans le canapé, Il m’écarte encore plus les jambes et positionne des pinces d'un cintre à pantalon tordu, afin que mon sexe reste bien ouvert, et une pince en bois, avec un peu de difficulté sur mon clito gonflé et honteusement mouillé... Il se recule dans le fond du canapé en fumant une cigarette, tout en admirant Son oeuvre... Puis, Il se saisit de son flogger, et commence à jouer Sa symphonie qui s'enchaine, sur mon dos, mes épaules, ma croupe, mes reins, mes cuisses... Je dois avouer que la douloureuse caresse du flogger est ma préférée (je suis toujours accueilli par une vingtaine de coups de flogger, à chacune de N/nos rencontres.) Sa mise en action fait naître un souffle profond et chaud, un peu lourd, qui atteint le corps avant les lanières. Puis leurs extrémités viennent frapper la peau, produisant une sensation de picotements rapides et léger qui se ressent en un dixième de seconde... Ces picotements et caresses réveillent chaque centimètre carré de mon corps. Mon Maître a décidé de varier les plaisirs... Après une quinzaine de coups de flogger, (Je ne compte jamais le nombre de coups lors de séance), il prend Sa cravache et caresse cette fois, uniquement ma croupe qui se tend malgré moi, à la recherche de cette caresse... Petits coups rapides qui rougissent et chauffent mes fesses... L'humidité de mon entrecuisse s'intensifie... Il la vérifie constamment en introduisant Ses doigts dans ma partie qui ne demande que ça, d’ailleurs… Il dépose Sa cravache, puis, se place devant moi en allumant deux bougies blanches, dont il laisse couler la cire d'une hauteur de 5/6 cm environ sur mes mamelles et mes tétons toujours pincés... Extase parmi les extases, plaisir des plus voluptueux, surpassant pour moi de très loin absolument tout le reste... Les premières gouttes sont un peu difficiles, j'ai l'impression que de petites épines, très fines, viennent titiller ma poitrine, aussitôt fondantes, formant de petites plaques chaudes. Gouttelettes brûlantes, dès qu'elles se posent sur moi, rafraîchies par l'air ambiant, elles se changent en un doux cataplasme apaisant. Je me cambre, tout en laissant échapper des râles de plaisir, Lui offrant mes seins en toute confiance... Une fois mes mamelles et tétons recouverts, Il approche les bougies de mes lèvres, afin que je les éteigne en soufflant délicatement dessus... Il se recule, admire encore Son oeuvre, avec un sourire pervers et satisfait, et de Sa voix calme et posée, Il m’apaise… puis Il se saisit de Son long fouet en cuir... C'est un serpent au venin puissant… j’ai encore beaucoup de mal à l’apprécier, car je le trouve beaucoup plus cinglant et mordant que les autres... j’ai besoin de faire plus d’effort pour appréhender, accepter et transformer les multiples douleurs qu’il procure. J’adore cependant son claquement et son souffle... ce son très chaud, sec et grave, comme chargé d’électricité qui me grise en quelques secondes alors que mon Maître ne m’a pas encore effleurée. Son souffle est magistral : c’est un serpent qui s’élance sur sa proie et qui siffle autour d’elle pour mieux l’hypnotiser, et l’enlace, jouant avec elle afin de mieux la happer, au moment où elle s’y attend le moins, s'enroulant autour de mon corps... Les multiples sensations proviennent à la fois de la force que mon Maître emploie à appliquer ses touches, et de la façon dont il fait se coucher son fouet sur moi. Suivant la force des coups, et la manière de le faire claquer, cela peut être une morsure franche qui me transperce jusqu’à l’intérieur de mes os, j’ai le sentiment d’être percutée par des billes brûlantes... Je ne peux, pendant la flagellation au fouet, m'empêcher de crier lors de l'impact, ni ne peut retenir mes larmes, malgré l'excitation montante qui est la mienne... Pendant ces flagellations au fouet ou au flogger, mon Maître est venu plusieurs fois apaiser mon corps brulant avec la fraicheur de la caresse de Ses mains, déposant un baiser sur mes lèvres, et s'assurant de Ses doigts de mon excitation grandissante de part l'écoulement entre mes cuisses, m'ordonnant en même temps de respirer plus doucement... Il a ensuite décidé de retirer la cire de mes seins à l'aide d'une petite brosse à ongles... Nouvelle perversité de mon Maître, qui la retire normalement à la cravache ou au flogger... Autre sensation découverte... mes mamelles étaient joliment rosées après ce traitement... Il a retiré d'un coup les pinces de mes tétons, et s'en ai saisi entre les doigts... Quelques cris se sont échappés de mes lèvres tant la douleur est fulgurante lorsque le sang afflue à nouveau... Désirant en Maître Absolu prendre possession de Sa chienne, mon Maître a ensuite exigé que je me positionne à quatre pattes, et après avoir retiré le rosebud qu'Il avait introduit en début de séance, Il a investit sauvagement mon anus, m'ordonnant de réciter la table de multiplication de 2... Waow... exercice tout nouveau pour moi... Qu'il me fut difficile de me concentrer... A la fin de la table de deux, Il s'est retiré, puis a ré-investit mon anus en exigeant cette fois la table de 3... puis celle de 4, et enfin de 5... moi qui trouvait ces tables faciles, et qui ai eu un petit sourire lorsqu'Il a eu cette exigence... je me suis trompée 5 fois en tout... Bien entendu, je dus recommencer du début... Mon excitation et mon plaisir montant, cet exercice, à l'apparence simple fut plus difficile que je ne crus, et mes erreurs allaient être comptabilisés pour une nouvelle punition... Il se retira, et ma bouche Lui servit d'écrin, honorant Son Noble Membre avec un plaisir non dissimulé, de la manière dont Il m'a enseigné, afin de Le satisfaire au mieux... Il m'installa ensuite sur le tabouret du bar, et les yeux dans les yeux, me prit la chatte que j'avais littéralement dégoulinante, avec l'interdiction de jouir... Je dus lui demander plusieurs fois humblement avant que l'autorisation me soit accordée... N/nous avons partagé un orgasme intense et libérateur, les yeux dans les yeux, avant que me soit assénée ma punition des tables de multiplication pour clôturer cette séance : 5 coups de canne anglaise : un sur chaque sein, et 3 sur ma croupe, debout, mains derrière la tête... A la fin de cette punition, j'ai humblement remercié mon Maître, en lui baisant la main, et me positionnant à quatre pattes, je Lui ai humblement demandé un dernier coup de canne anglaise sur ma croupe... très fort... J'ai aujourd'hui encore la marque de ce dernier coup... Mon Maître m'a relevée, remerciée, et à déposer deux baisers dont je connais la signification : l'un sur mon front, l'autre sur mes lèvres... Je Vous remercie humblement mon Maître, de ce merveilleux moment partagé avec Vous, dans la confiance et le respect les plus Absolus..
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Par : le 03/09/13
Je me souviens de vous Madame. C était il y a bien longtemps et pourtant, je ne sais pourquoi vous êtes restée bien présente dans ma mémoire. Vous qui m avez surpris et ce à plus d un titre. De notre rencontre éphémère qui ne devait pas l être. Après plusieurs journées et nuits à discuter de manière intense sur le net, nous avions convenu d un rdv dans une brasserie. Là nous avons beaucoup discuté et déliré , l ambiance était très plaisante , vous étiez aussi charmante qu agréable. Après plusieurs heures vous m avez dit vouloir passer la nuit avec moi, et moi fatigué que j étais je vous ai répondu que pas ce soir car cela faisait plus de 24 heures que je n avais pas dormis après avoir enchainé 5 nuits d affilées. Vous avez (plus) qu insisté et devant mon refus poli vous promettant de remettre cela nous nous sommes levés et vous m avez demandé de vous raccompagner avec ma voiture à la votre qui était garée bien loin. Naturellement j ai accepté et chemin faisant vous avez de nouveau essayé de me convaincre sans résultat. Après m être garé près de votre voiture, j ai coupé le moteur et là vous m avez embrassé fougueusement en insistant de plus belle pour que l on passe la nuit ensemble. Nouveau refus poli de ma part qui au lieu de vous freiner décupla votre motivation. Là vous avez pris ma main pour la poser sur votre opulente poitrine qui ainsi offerte je ne pu m empêcher de caresser allègrement. Nouvelle demande de votre part et nouveau refus insistant bien sur mon état de fatigue. Et là vous avez repris ma main pour la glisser dans votre string sous votre jupe...... Vous étiez trempée... grave !!!! Mon sang n a fait qu un tour et là je vous ai dit de suite : ok vous gagnez (lol) Je me rappelle vous avoir caressé ainsi pendant tout le trajet, l excitation de votre humidité abondante provoquait en moi un état d excitation extrème . Arrivé chez moi, la porte à peine refermée , nous étions déjà enlacés, nous embrassant et caressant sans retenue aucune. Sans plus attendre je vous deshabillais tout en vous caressant et en vous embrassant. Une fois nue,alors que nous étions toujours de pied, mes mains au plus près de votre intimité je commençai à la fouiller vigoureusement ce qui vous arracha un 1 er orgasme bien trempé. Alors que j allais attaquer les choses sérieuses, ainsi, au beau milieu de la pièce, vous m avez demandez avec un grand sourire de passer à la chambre car vous vouliez un pti peu plus de confort. Sans nous lacher et toujours collés l un à l autre nous y sommes allés et de suite vous vous êtes allongée à même sur le lit sans le défaire. Ma fatigue avait disparue comme par enchantement , nous étions là nous caressant et nous embrassant passionnément , la situation était brûlante de notre excitation commune. Sans même nous concerter nous avons entrepris un 69 endiablé . Quelle excellente suceuse vous étiez et il m a fallu vraiment me contrôler afin de ne pas exploser dans votre bouche. Vous vous étiez aux anges et gémissiez de plus en plus fort jusqu au moment ou après un début de contorsion vous avez de nouveau crié et explosé. Explosé c est bien le bon mot , un long cri suivi de spasmes et là j ai découvert en pleine figure que vous étiez femme fontaine. J en avais partout sur mon visage , le bonheur total. Cette situation a décuplé mon envie et de suite je suis retourné vous faire un cunni qui a eu pour effet d avoir les mêmes heureuses conséquences. Je suis passé de grand fatigué à fougueux passionné en un éclair , nous avons fait l amour plusieurs fois avec à chaque fois le même bonheur. Au petit matin ,alors que le soleil se levait nous étions là, repus, assis dans le canapé du salon à discuter et délirer au sujet de cette folle nuit que nous venions de passer. Je vous faisais remarquer qu il aurait été sympa de me prévenir avant qu elle était femme fontaine ce à quoi elle me répondit n avoir pas osé de peur que ça me gène. Un comble !!! Et là , contre toute attente , vous m avez dit que j avais été l un de vos deux meilleurs amants et que vous me téléphonnerez de temps en temps lorsque l envie de bon sexe se fera pressante. Je suis resté tout d abord bouche bée , puis je me suis permis de vous remettre en mémoire l objet de cette rencontre, qui selon ma recherche devait être de longue durée et non éphémère. Vous m avez répondu que vous disiez toujours cela mais qu en fait vous ne vouliez pas de vraie relation. Touché dans mon orgueil avec ce sentiment désagréable d avoir été trompé je vous ai répondu qu il vous faudrait vous passer de mes services car je n étais pas de ceux que l on siffle lorsqu on en a envie et que bien que cette nuit fût à plusieurs titres super méga excitante je préfèrai arrêter là et vous congédiais sans plus attendre. Une fois partie, j allais dans ma chambre et là oh desastre !!! La couette était trempée , je la retirai donc , les draps l étaient également ainsi que le matelas qui du coup était lui aussi tout taché de votre abondante mouille. Moi qui n aspirait qu à me coucher pour dormir j ai dû me résigner à aller sur mon canapé en priant que ça sèche très vite. Oui je me souviens de vous Madame , De votre prénom je l ai oublié Vous n étiez pas la 1 ère femme fontaine que je rencontrai ni la dernière d ailleurs mais bien celle qui m a le plus marqué !! Cette histoire est authentique de A à Z Je vous la devais bien Madame, vous que je n ai jamais oublié
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Par : le 02/09/13
Voici mon humble avis du jour...Qui sommes nous pour juger! Critiques, reproches... Cela fut pendant bien longtemps les signes de réprimande... L'enfant que nous étions dispose de son environnement propre et qui sera l'origine de l'Homme (ou la Femme). Aux travers des Erreurs commises... Volontairement... Ou pas! Tout le monde apprend et se forme... La perfection n'étant en rien humaine, on prend initialement des remarques pour nous faire évoluer sans pour autant toujours les accepter. L'acceptation ne peut se faire qu'au biais de deux choses! - d'une confiance en la personne qui vous donnera son "conseils" - ou aux travers d'un recul sur nos erreurs et son analyse. Chacun se pourvoit alors de son propre avis sur la chose... Complexité de l'Age avançant et alors de l'étude environnemental... L'enfant ouvre les yeux et de par son vécu va comparer son monde... Rien de tout Blanc ou Noir mais la nuance des gris qui nous entoure. L'opposition esprit/réalité déclenche des lors un conflit. La notion de morale se forme et le libre arbitre s'ensuit... La logique n'a parfois plus de sens car nos raisons varient en fonction de chacun. Les actes de chacun ne sont alors pas toujours compris, Parfois même subit comme un choc malgré la logique initiale de l'auteur. Quid du Jugement! Qui sommes nous pour dés lors intervenir. Juger. Nul n'a ce pouvoir sur autrui! Nul n'a le droit! Nul ne peut avoir la prérogative de pouvoir Juger! Viendront les commentaires sur les désaccords (car nous sommes tous bel et bien différent... ) d'une mère sur son fils... D'une victime sur son agresseur... Tous les sentiments d'injustices et de vengeances. Et je vous l'accorde, lecteurs que vous êtes... Une sanction se doit d'avoir lieu après chaque dommage. Œil pour Œil... Dent pour dent... Mais ou cela mène? Cela ne permet en rien d'évoluer. Je me détourne du sujet mais c'est pour pourtant la meilleure manière de répondre au préjudice et donner le jugement le plus impartiale... Sans attention, signification, sans jugement... Comment évaluer l'importance d'un évènement? A vous de juger!
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Par : le 31/08/13
Analyse d'un échange afin que vous appreniez à reconnaître et à déjouer les pièges ... Il est clair qu'ici je fais part de mon interprétation quant-aux propos du maître XY, et que donc cela implique le fait que je puisse me tromper... c'est pourquoi je suis toute prête à entendre vos interprétations... alors n'hésitez pas... maîtreXY: bonjour sara soumise (le maître fait un rappel, en douceur, des statuts de chacun) Moi: bonsoir Monsieur maîtreXY: comment vas-tu ? (le «tu» implique une emprise) Moi: je vais fort bien et vous même ? maîtreXY: très bien merci soumise (le maître renforce son statut... statut que j'accepterais si il était mon maître, ce qui n'est pas le cas) Moi: Monsieur je me nomme Sara... le mot soumise est et sera réservé à celui qui sera mon maître. (compte tenu que le maître n'est pas MON maître, je me permets de remettre les choses au clair) maîtreXY: ok ok sara si cela te fait plaisir (le maître souligne qu'il accepte ma demande pour me faire plaisir, et il en attend donc un remerciement.) Moi: ce n'est pas par plaisir Monsieur (sauf que je fais remarquer au maître que c'est un état de fait et non un plaisir) maîtreXY: tu mérites d'être cravachée sara (réaction normale du maître devant le fait que j'aie omis de le remercier) Moi: oui c'est fort possible Monsieur (je lui fait comprendre que mon omission est des plus volontaire) maîtreXY: sûr, c'est cela qui te manque un bon dressage (le maître me fait comprendre qu'il sait que mon omission est volontaire et il me donne sa solution au problème) Moi: si vous le dites Monsieur (j'essaie de lui faire remarquer que ceux sont là ses paroles et non les miennes) maîtreXY: tu es habillée comment sara ? (le maître prend de l'assurance, un peu trop à mon goût) Moi: et pourquoi devrais-je vous le dire Monsieur ? (je lui fait comprendre qu'il a été présomptueux) maîtreXY: tu dois obéir sara (le maître se place en tant que tel tout en me faisant comprendre où est ma place) Moi: non je ne dois obéissance qu'à mon maître quand j'en aurais un !!! (je recadre les choses et je reprends le pouvoir) maîtreXY: tu dois apprendre à obéir et à respecter les maîtres (rappel à l'ordre des statuts, le maître exige mon obéissance) Moi: je respecte les Maîtres mais je ne suis pas tenue à leur donner obéissance. Je ne confonds pas le "LES Maître" avec le "MON Maître"; Monsieur. (je reprends le pouvoir en lui disant ma façon de penser) maîtreXY: tu as la langue trop bien pendue sara (le maître sous entend que je serais une «mauvaise» soumise et que j'ai besoin d'être dressée, et ce bien entendu, dressage donné par ses soins) Moi: Non du tout Monsieur, je ne suis pas votre soumise et de ce fait, oui je vous dois le respect du à votre titre de la même façon que je le dois à tous les autres Maîtres, mais en aucun cas je vous dois obéissance; Monsieur. (je fais comprendre au maître que je l'ai entendu, mais que je refuse sa proposition) maîtreXY: je comprends pourquoi tu n'oses pas les rencontres, tu as trop peur d’être punie (le maître essaie de me culpabiliser... ) Moi: Peur d'être punie Monsieur ? Moi: Au cours d'une rencontre ? maîtreXY: et de devoir te soumettre Moi: Non pas du tout, au risque de me répéter... vous n'êtes pas MON Maître Monsieur, de ce fait je ne me soumettrais pas à vous et de même je n'accepterais pas d'être punie par vous. (je refuse cette pseudo culpabilité et je le lui fait savoir) maîtreXY: si tu ne veux pas être ma soumise alors salut (le maître semble avoir compris qu'il ne sera pas Mon Maître) Moi: je vous souhaite donc bonne chance Monsieur ainsi qu'une bonne soirée (là je me permets une moquerie tout en finesse... ) maîtreXY: bonne nuit sara fait de beaux rêves Moi: Merci Monsieur maîtreXY: salut Moi: Au revoir Monsieur À ce moment je me dis que le maître a compris et que de ce fait l'échange s'arrête là... mais non... maîtreXY: ton skype sara (le maître voudrait reprendre la main sur et dans un autre «lieu» ) Moi: pourquoi faire Monsieur ? (je lui en demande la raison, bien que je la connaisse déjà) maîtreXY: pour te voir sara (le maître me donne en effet la seule réponse possible) Moi: me voir Monsieur ? Moi: et dans quel but ? (je demande au maître un complément d'information) maîtreXY: faire mieux connaissance et voir qui est sara (le maître m'explique le pourquoi de sa demande tout en me faisant comprendre qu'il aimerait aller plus loin avec moi) Moi: Je me permets Monsieur de vous remettre en mémoire le fait que vous m'avez congédiée il y a peu et ce pour le fait que je me refuse d'être votre soumise. Ce qui est vrai. Du coup je ne vois pas l'utilité que nous allions sur skype pour faire plus ample connaissance, d'autant plus que vous m'aviez déjà fait cette demande en m'ordonnant de m'y montrer nue. (je remets certaines choses passées au clair et je reprends le pouvoir) maîtreXY: et bien tu veux ou tu veux pas me donner ton skype sara (le maître sent que je lui échappe et cela ne lui plaît pas) Moi: Monsieur, je vous l'avais déjà donné et vu la conversation que nous avions eu je pense que vous m'avez, par la suite, aussi congédiée de votre skype. (Je lui rappelle à nouveau des mots dits il y a peu ainsi que la finalité de l'échange qui eu lieu entre nous sur skype) maîtreXY: votre skype ne discuter pas (le maître perd de son statut car il me donne du vous... de ce fait c'est comme si il me considérait comme son égal) Moi: Vous n'êtes pas MON Maître Monsieur ! Je n'accepte donc pas vos ordres. (j'ai le pouvoir et je lui confirme le fait que je suis en pôle position) maîtreXY: ok donnes (le maître tente une ultime fois tout en me passant de la pommade pour m'amadouer) Moi: Non Monsieur. Je ne vous le redonnerais pas. (je lui fais comprendre que la pommade ne sert à rien... ) et là a-t-il enfin compris ?... à priori oui... ACT II avec maîtreXY... maîtreXY: bonjour sara Moi: bonjour monsieur maîtreXY: comment allez vous Moi: je vais bien merci maîtreXY: toujours rebelle (le maître prend la température... ) Moi: en voilà une drôle de question Monsieur (je lui faire part de mon étonnement...) maîtreXY: et pourquoi çà (le maître ne comprend pas...) Moi: car cela sous-entends que je l'ai été il y a peu Monsieur (... d'où mon complément d'explications) maîtreXY: pour moi tu mérites d'être traitée très sévèrement et dresser sans ménagement (le maître se souvient fort bien de mon côté rebelle... et par la même occasion il me redonne sa vision des chose) Moi: ha oui? et pourquoi Monsieur ? (je demande un complément d'information) maîtreXY: pour que tu deviennes une très bonne soumise et faire la fierté de ton maître quand il t'offre (le maître tente de me culpabiliser et de me faire douter des mes capacités à être une bonne soumise) Moi: oui mais cela incombera à MON Maître, Monsieur; si tel sera son désir. (je refuse cette pseudo culpabilité et je lui donne par la même occasion MA vision des choses) maîtreXY: oui si vous voulez vraiment un maître? (le maître essaie d'insinuer en moi le doute quand à mes envies et désirs) Moi: oui je veux un Maître mais je veux MON Maître. (je coupe cette tentative en lui mettant clairement par écrit ce que je cherche) maîtreXY: vous êtes surtout une esclave devant être la propriété d'un maître, pour l'instant une chose, un meuble, qui bien dressé fera de vous une bonne soumise (le maître essaie de reprendre le pouvoir en accentuant les positions de chacun.... tout en me laissant entrevoir que je pourrais, entre ses mains, devenir une bonne soumise) Moi: et tout ceci pour dire quoi Monsieur ? (j'oblige le maître à abattre son jeu) maîtreXY: que j'aimerai bien vous voir pour vous testez et vous punir (le maître me fait comprendre que pour pouvoir être sa soumise je dois accepter une mise à l'épreuve, sauf que ce faisant il a «oublié» que je ne suis et que je n'ai jamais été intéressée par son offre) Moi: pour me tester Monsieur? Moi: Ben voyons... c'est clair... quoi qu'il en soit je suis désolée, je me permets de refuser votre offre. (ce que je lui fait comprendre de suite...) maîtreXY: je le savais (le maître abdique... ou presque..) Moi: nos visions sont opposées ce qui fait que nous ne serions jamais d'accord Monsieur (je lui donne un complément d'information pour expliquer mon refus) maîtreXY: vos visions sur quoi ???? (le maître ne fait comprendre qu'en fait il n'en a que faire de ma façon de concevoir une relation D/s) Moi: sur la relation Maître/soumise Monsieur (simple rappel de ma part... ) maîtreXY: je ne sais pour quelle raison vous avez disparu de mon skype (le maître s'étant rendu compte de son impair tente de passer à un autre sujet) Moi: je n'en sais pas plus que vous Monsieur maîtreXY: c'est quand même bizarre (le maître met en doute ma parole) Moi: je ne sais pas Monsieur... c'est ainsi... parfois le hasard s'en mêle... maîtreXY: tu en fais une belle de hasard, tu aurais pu me prévenir (le maître fait une accusation en bonne et due forme) Moi: pardon Monsieur ? Moi: vous prévenir de quoi Monsieur ? (étant accusée je lui demande un complément d'information...) maîtreXY: de m'avoir retiré de tes amis sur skype Moi: non Monsieur... vous y êtes toujours sur mon skype... le retrait ne vient pas de mon côté. (je lui fait comprendre que l'erreur vient de sa part...) maîtreXY: bon ok, j'ai du faire une fausse manœuvre. mais vous n'êtes plus là (le maître avoue qu'il a fait «une fausse manœuvre»...) Moi: et donc ? que suis-je sensée faire ? maîtreXY: remettre les chose en l'état Moi: c'est à dire Monsieur ? maîtreXY: que vous me contactiez sara Moi: et pourquoi le ferais-je Monsieur ? maîtreXY: parce que je pense que vous n'êtes pas une pétasse. (le maître me passe la pommade «flatterie» ... ) Moi: et bien c'est gentil pour toutes les autres soumises Monsieur Moi: donc si je vous comprends bien, toutes les soumises qui vous ont dit non sont des pétasses... et pour ne pas l'être je me dois donc de vous dire oui... est-ce cela Monsieur ? (je fais comprendre au maître que la flatterie ne fonctionne pas sur moi... bien au contraire.) maîtreXY: vous avez des ondes vraiment très négatives, soyez ce que vous voulez sara (et rebelote le maître essaie à nouveau de me culpabiliser tout en voulant me faire douter de ma capacité à être une soumise... ) Moi: non Monsieur je n'ai aucune onde négative (je refuse, à nouveau, cette pseudo-culpabilité) maîtreXY: vous l'êtes tellement que vous n'arrivez plus à vous situez dans votre vie (le maître tente encore de me déstabiliser... ) Moi: et je suppose que vous seriez tout prêt à m'aider à reprendre pied... n'est-ce pas Monsieur ? Moi: sauf que, Monsieur, pour votre information... je me situe très bien dans ma vie et dans mes envies. (je lui fait donc comprendre que cela ne fonctionne pas... ) maîtreXY: je le voulais oui, mais maintenant je pense que je ne peux pas grand chose pour vous rendre heureuse (le maître avoue qu'il avait des vues sur moi, mais il avoue aussi son incapacité...) Moi: et bien vous vous y êtes pris comme un manche avec moi Monsieur... vous avez juste oublié que derrière toute soumise il y a d'abord une femme et que pour avoir la soumise il faut avant charmer la femme. Moi: sur ce Monsieur je vous souhaite bonne chance dans votre recherche. maîtreXY: je ne cherchais pas à être ton amant mais ton maître, mais là vous avez un blocage qui prouve que vous n'êtes pas encore une soumise (le maître se sent attaquer dans son statut...et comme il ne peut reconnaître sa propre incapacité, il voudrait me la mettre sur le dos en essayant de me culpabiliser) Moi: les amants, comme vous dites Monsieur, je peux en avoir quand je veux... mais cela ne change en rien qu'une soumise est aussi et avant tout une femme... si vous n'avez pas compris ça vous n'avez rien compris... Moi: de plus vouloir me culpabiliser ou vouloir me faire douter de ma soumission est indigne d'un Maître. (je suis fatiguée de ce dialogue de sourd, du coup je lui fais savoir que je ne suis pas dupe quant-à ses tentatives de culpabilisation et autre, tout en lui faisant comprendre que cela accentue le fait qu'il ne soit pas digne de son statut) maîtreXY: ouh ouh ouh on arrête là si vous voulez bien, une seule chose à dire " dommage" (le maître a fort bien compris, du coup il prend la sortie de secours...) Moi: oui Monsieur, il me semble que c'est le mieux à faire faute de quoi mes mots pourraient dépasser ma pensée. maîtreXY: et des pensées vous en avez Moi: bien sûr Monsieur, autant si ce n'est plus que vous. maîtreXY: oui, mais moi je suis simple Moi: moi aussi Monsieur je le suis maîtreXY: alors tout est bien sara, et tout le monde a sa place. Moi: oui Monsieur maîtreXY: CQFD Moi: CQFD Monsieur maîtreXY: bises Moi: bonne continuation Monsieur maîtreXY: merci, au plaisir Cela dit je me permets de dire à toutes les soumises... "Ne laissez JAMAIS un maître vous faire douter de votre soumission et/ou de votre capacité à être une bonne soumise... et refusez toutes tentatives de culpabilisation de sa part... sur ce prenez soin de vous mes toutes belles... (PS... cela s'adresse aussi aux soumis!!!)"
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Par : le 30/08/13
Il faisait encore bon en vendredi de fin août. Une petite brise accompagnait l'été crépusculaire. Cela arrangeait bien mon cas, je n'avais ni trop chaud ni trop froid sur ma motocyclette anglaise. Je me dirigeais vers les appartements de Dame Saphire, mon sac en bandouilère, situés quelque part dans un quartier tranquille de la ville de S. La résidence de Madame n'était pas difficile à trouver, en face de l'immeuble se trouvait une forêt qui annonçait la fin de la zone urbaine. Je garais donc ma moto en face de l'immeuble beige de trois étages . Après avoir retiré mon casque intégral je me dirigeais vers la porte d'entrée en métal et m'apprêtais à appuyer sur la sonnette qui répondait au nom de Madame S. J'eu la surprise d'entendre une voix féminine et un peu lasse: -C'est ouvert, et vous avez trois minutes de retard.... C'est au troisième étage, la porte est ouverte. Je me hâtais de prendre l'escalier et de trouver la dite porte, et y toquais enfin. Dame S. me dit d'entrer, de bien refermer la porte, d'enlever mes chaussures et mes chaussettes et enfin de la suivre au salon. Ce que je fis, tout en gardant mon sac. Le couloir était fait d'un parquet en chêne gris, et les murs étaient également gris, mais de ce gris clair qu'on peut étrangement trouver chaleureux et agréable à l'œil. Cela semblait être un leitmotiv que l'on retrouvait dans le salon, dont le mobilier était moderne, mais classieux. Rien à voir avec les promotions d'une enseigne scandinave reconnu, le design contemporain à l'italienne primait. Dame S. m'ordonna de poser mon sac et pris ses aises sur une méridienne ovale en cuir capitonné beige, et dont l'assise et le dossier formaient un bloc qui s'arrêtait au tiers de de l'ensemble, et croisa les jambes. Je pouvais enfin contempler mon hôtesse, elle était gironde, dans le genre qui était encensé au dix-neuvième siècle ainsi que dans les représentations réalistes de la Renaissance, son visage, me rappelait celui de Tarja Turunen, avec la mâchoire moins agressive et des yeux vert-de-gris. Ses cheveux foncés mi-longs et relâchés parachevait le tableau. Elle portait une robe que je devinais être en cuir ou en simili qui laissait apparaître ses jambes mises en valeur par une paire de bas tenues par des jarretelles, alors que ses pieds étaient protégés par des escarpins noirs dont les extrémités de l'avant et les rebords étaient blancs comme le petit nœud papillon qui les ornait au niveau des orteils. Son ventre et sa poitrine étaient maintenus par un corset noir avec des motifs représentant des roses et des crânes. Elle était très désirable et imposait l'obéissance absolue par son aura. -Déshabille-toi, et mets tes frusques dans le couloirs, m'ordonna-t-elle d'un ton autoritaire. Complètement soumis à sa volonté, j'obéis et retirait plus ou moins adroitement mes vêtements et les posais dans le dit couloir. J'eu ensuite la bêtise de vouloir ouvrir la bouche et d'arborer un sourire. Je n'eu pas le temps de dire un premier mot, qu'elle me fit signe de me taire, d'un doigt sur sa bouche et dit: -Tu n'as pas à m'adresser la parole si je ne te le demande pas. Tu es sensé savoir comment te comporter, alors cesse de faire l'idiot, tu es là parce que je suis bien bonne de te laisser ta chance de me prouver que tu es mesure au minimum de me distraire. C'est clair? -Oui, répondis-je les yeux baissé et dénudé. Elle se leva et vint prestement vers moi, approcha son visage du mien et me tira les cheveux, en demandant, visiblement irritée: -Oui qui? Tu crois que je suis ta copine? Ou un clown peut-être? Elle me relâcha les cheveux et regagna sa méridienne. -Oui Madame, je ne voulais pas disconvenir aux règles de base, baragouinais-je, confus. -Maintenant tu vas te mettre à genoux et me jurer obéissance absolue. Je vais faire de toi un esclave à mon service. Tu seras ma propriété. Mais si tu ne fais d'effort je te jetterai comme on jette une ordure dans les poubelles, tu n'es pour l'instant rien de plus pour moi, mais je crois que je pourrai tirer quelques plaisirs à te mettre à mon service. Alors pour la première et dernière fois, es-tu sûr de vouloir devenir mon soumis et ma petite putain, de m'appartenir corps et âme, et de faire au mieux? -Oui Madame, je le désire ardemment, répondis-je à genoux et ému aux pieds de Dame S.
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Par : le 29/08/13
Tu te trouvais là au beau milieu de ce chemin, Qui tu t en doutais n étais pas sans fin Allongée, nue , ventre à terre De mes chaussures tu en sentais le fer A tes cotés debout je me tenais La laisse qui nous unissaient pendait De ramper à même le sol je t ordonnais Quelques dizaines de mètres suffisaient Dans la douleur et dans la boue Ta volonté ne se joue Au détour d un virage apparut Mon choix voulu De sa verte couleur On n en voyait pas la douceur Un coin remplit de hautes orties Qui allaient , je le savais te redonner vie Ton regard effrayé touné vers moi N en fût pas récompensé comme il se doit De tirer sur la laisse en cette direction Plaisir je me fît d attirer ton attention Et d une voix autoritaire et sans appel T ordonnais d y aller sans querelle Afin de te faciliter la tâche Je t enlevais ton attache Et dans un élan d extrème bonté Tu te plias à ma volonté Ne voulant pas l exercice trop facile Te bander les yeux je donnais dans le mille A 4 pattres te fît mettre Afin que les morsures enfin pénètrent Chaque centimètre de ton corps rétif Pour que tu le sentes plus actif De douleur tu poussas un cri Lorsque le premier mètre tu fîs De te protéger ,les mains en avant tu essayas De te passer les menottes me motiva Tes larmes ,à flots coulaient Mais fermé à tes suppliques, je te retenais Ton corps se couvrait de piqures Qui ressemblaient presque à des morsures Plus que cinq mètres te dis-je Juste encore quelques tiges Au sortir de ce douloureux parcours Tu me dis dis que tu m aimeras toujours Après tant de souffrances Tu voulais ta récompense De te prendre dans mes bras ne me fîs prier Telle était ta volonté Fier de toi Je te le dois
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Par : le 29/08/13
Il était une fois une fille sans joie, Qui bien que gardant la foi De ses rêves jamais enfouis S en allait sous la pluie D un pas rapide elle avançait Sans se retourner jamais Vers son destin Qui était au bout de ce chemin Son choix étant fait Point elle ne doutait De que sa vie devait changer Afin de ne pas sombrer De retour en arrière il n y en aurait point Elle se voyait déjà très loin Sa libido de s exprimer voulait A son maximum elle s exprimerait De limites ,d en avoir elle s en voudrait Que de ne pas en avoir ,de plaisirs elle en attendait Ce n est pas donné a tout le monde Même en y regardant des kilomètres à la ronde Que de vouloir passer sans plus douter De fille sans joie A fille de joie
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Par : le 29/08/13
Enchainée vous l étiez depuis la veille Ainsi vous êtes restée sans sommeil Attachée tout contre cet arbre Vous en avez versé des larmes Si dure était l écorce Qu elle vous laissait sans forces Ainsi laissée profitant de votre punition Votre retour sera bien dans la soumission Votre dos lacéré Par tant de coups de fouet De par ses douleurs vous relançait Presque sans arrêt De vos lointaines pensées La punition faisait effet Un souvenir sans cesse vous revenait Votre désobéissance jamais se renouvellerait De m implorer vous le voulez Pour ne pas devenir mon boulet Entre deux larmes mon pardon vous le demandiez Tout en me promettant ne jamais recommencer Ma clémence vous l accordait Contre promesse que vous ne recommenceriez jamais
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Par : le 29/08/13
Après de longs moments passés a échanger sur le net arrive enfin LE moment de se rencontrer ! Conformément aux directives on ne peut plus détaillées que je vous ai envoyé , vous êtes là garée a environ 50 mètres de ma voiture ou dans cet endroit inconnu de vous, vous allez enfin pouvoir exprimer ce dont vous m avez tant parlé, votre désir d être à la merci totale du dominant que je suis. Situé près d un parcours sportif, il y a déjà, bien qu il soit tôt plusieurs voitures stationnées ici et là. Il pleut, non d une pluie drue, plutôt fine mais continue, la température avoisine les 15* guère plus. D un appel de phare vous me signaler votre arrivée, je réponds par un, puis trois rapides ce qui signifie le début de cette aventure. Vous savez maintenant ce que vous avez à faire, je vous ai tout écrit et bien détaillé chaque phase de ce que j attendais de vous. Bien qu éloigné et sans pouvoir vraiment distinguer clairement vos gestes, je vous sais accomplissant vos devoirs sachant très bien la difficulté que je vous ai imposé , je savoure déjà votre début de soumission. Il vous a fallu bien 10 bonnes minutes afin d être prête et qu enfin une fois la portière ouverte vous m apparaissiez..... Vous êtes là, toute nue, tout d abord immobile, puis faisant doucement un tour sur vous-même afin que je puisse me faire une idée de votre physique qui je l avoue ne me laisse pas indifférent. Après avoir fermé votre voiture, vous avancez lentement ainsi sur environ 30 mètres, puis vous vous arrêtez de nouveau , vous savez que je veux vous découvrir petit à petit, aucune précipitation de prévue même si le temps pluvieux lui ne l était pas. De nouveau vous faites un tour sur vous-même encore plus doucement que tout à l heure.... Je vois l eau de pluie ruisseler sur votre corps, vous ne grelotter même pas, sans doute est-ce l excitation de cette situation qui vous maintient en température? D un appel de phare je vous indique de passer à l étape suivante . D un hochement de tête vous me signifiez votre accord , puis vous vous baissez afin de vous mettre à quatre pattes, le postérieur bien relevé et de venir jusqu à ma voiture tout en décomposant bien chaque lents mouvements que je vous ai imposé. Une fois arrivé à hauteur de ma portière, vous vous immobilisez, votre postérieur bien offert à ma vue, vous le relevez un peu plus vous cambrant davantage. De voir l eau dégouliner jusque dans votre intimité m émeut . Je baisse ma vitre ce qui signifie de vous relever, obéissante vous le faite, et tout en ayant les yeux baissés vers le sol vous vous tenez là, face a moi. .......................
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Par : le 23/08/13
nous avons rendez-vous à quinze heures, au café de l'horloge, j'arrive un peu en avance, sans être inquiet, une petite appréhension m'étreint tout de même. je m'assois en fond de salle. Comme à un rendez-vous d'espions. L'impression que tous mes sens sont sur-développé est agréable, excitante, je guette les passants, les clients, je cherche celle que je dois rencontrer. Qui changera peut-être le cours de ma vie. J'en suis conscient. la peur me glace. Je frissonne. Étonnamment cela me plaît. Un rendez-vous classique aurait moins d’effet. Faire marche arrière, me lever,partir, ne me vient pas à l'esprit. Je désire vivre cette émotion qui me gonfle la poitrine. Ces éclairs électriques qui parcourent mon corps, me semble indispensable à ma survie. Je sursaute quand mon téléphone se met à sonner. Vite, mes doigts tremblant prennent l'appareil, mon genou heurte la table le bruit résonne dans l'établissement comme une bombe. Maîtresse s'affiche sur l'écran. Tous les passants, tous les clients ce sont arrêtes et me regardent. le monde entier retient son souffle. La voix claire, nette, de Maîtresse chatouille mon oreille d'un «ou est tu? En terrasse ou à l’intérieur?» Le monde entier attend ma réponse les yeux rivés sur moi. Un son rauque, malhabile sort d'entre mes lèvres « à l’intérieur Maîtresse au fond de la salle» le monde entier pousse un soupir de soulagement et reprend ses occupations, je me met à trembler doucement, c'est pourtant une chaude journée. J'essaie de reprendre mon souffle. Elle arrive. Elle arrive, oui. Mais comment cela est arrivé. Un soir ma copine du moment, après avoir réalisé ensemble plusieurs de ses fantasmes, me demanda quels étaient les miens. Je lui répondis qu'être soumis à une dominatrice, me plairait beaucoup. Elle m'avoua que ce qu'elle aimait justement chez moi et dans cette relation uniquement sexuelle que nous pratiquions,était le fait que j’étaie très doux. Canada dry, l'apparence d'un homme, la force d'un homme, mais un coté féminin au lit. Elle me proposa de faire une soirée à trois, ou je ferais l'amour à un homme. De toutes les femmes que j'ai connus, c'est la deuxième qui me proposait cette situation. Nous l'avons fait, et j'ai pris beaucoup de plaisir. J'ai alors compris que je devais allier les deux possibilités. Assumer mon rôle de soumis, et un coté féminin très fort. Le dieu internet vint en renfort, et j'essayais quelques sites. Après un long temps, quelques flops et de gros flippes, je la découvris par hasard au détour d'une demande bien comprise, les mots ce jour là sonnaient justes, ils s'accordait aux envies, elle recherchait un homme canada dry, je cherchais une femme canada dry. Ils ne se marièrent pas et n'eurent pas de bouteilles, mais un rendez-vous ce jour. Et elle est là devant moi. Souriante, je me lève en tremblant, elle est belle, on s'embrasse, elle pose sa main sur mon épaule. Mon esprit plie, fond, je ne m'appartient plus.
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Par : le 21/08/13
En ce jeudi automnal, il pleuvait légèrement, quelques gouttelettes qui rappelait que l'été n'était plus qu'un souvenir. Il faisait frais également, pas suffisamment pour sortir de lourds manteaux, mais suffisamment pour inciter à se mettre plus qu'une chemisette sur le dos. Et donc en ce jeudi après-midi, Maître Margraf s'en allait fournir ses bons offices. On l'appelait "Maître", car il était avocat auprès du barreau de la ville de S. Il avait tout du bon citoyen bien établi, c'est à dire un métier respectable, un appartement spacieux et confortable dans un quartier tranquille, ainsi que des amis de marque avec lesquels il se plaisait à partager des activités de bons goûts. Il était plutôt bel homme, ses cheveux blonds cendrés étaient coiffés de telle sorte qu'apparaisse une raie sur le côté gauche. Ses yeux noisettes contrastaient avec une la pâleur de sa peau. Sa mâchoire carrée apportait la touche de virilité qui s'imposait à son visage impeccablement lisse. De plus, il se rendait de temps à autre à la salle de sport afin de parfaire sa plastique. Mais sans en abuser, il estimait que l'équilibre était un des piliers d'une vie réussie. Maître Margraf se rendait à l'hôtel de police sur la demande d'un officier de police judiciaire. En effet lors d'une interpellation, l'un des droits du mis en cause était de pouvoir consulter un avocat, soit de son choix, soit désigné. Il ne se souvenait plus pourquoi il avait accepté de figurer dans la liste des avocats joignables, après tout ses revenus lui permettait de s'épargner ce genre de mission. Peut-être cela lui fournissait un prétexte pour se forcer à sortir en milieu de journée, ou alors espérait-il croiser des gens intéressants à l'occasion d'un déplacement. Le bâtiment n'avait pas quinze ans d'existence, mais quelques traces orangeâtres au niveau des zones de contact entre différents matériaux tels que le béton et les parties métalliques laissaient deviner un souci constant de mégoter sur la qualité et une attention suivie sur les économies de bout de chandelle. Les préposées à l'accueil le reconnurent, et l'une d'entre elles l'accompagna dans la salle réservée aux entrevues entre gardés-à-vue et avocats. L'accès à cette salle se faisait par une porte située à l'opposé de l'entrée principale du grand bâtiment. Il fallait ensuite descendre au sous-sol où était parqués les gens interpelés, puis passer par un double-sas ouvert à distance par un fonctionnaire qui vérifiait les entrées au moyen d'une caméra. Alors que Maître Margraf et la jeune contractuelle entraient dans le premier sas, une odeur nauséabonde commençait à agresser les narines des deux visiteurs. Un pot-pourri d'odeurs de chaussettes, de sueur et d'urine flottait effectivement dans cet endroit; la raison était l'inexistence de douche pour les "pensionnaires" ainsi que la mise à disposition unique d'un seul sanitaire mal conçu. D'autres problèmes existaient, mais il ne serait pas séant d'en donner une description. Heureusement la salle où se rendait Maître Margraf était accessible à la droite du premier sas, et juste en face se trouvait une salle de visio-conférence. La salle était petite, pas plus de dix mètres carrés. Elle était insonorisée et mal éclairée par l'unique ampoule. Les murs étaient grisâtres et le seul élément de fantaisie était un petit bouton qui actionnait une sonnette afin d'avertir les fonctionnaires des geôles quand un entretien était fini ou quand il y avait un problème. Il s'installa donc, posa son porte-documents, et attendit quelques minutes qu'on lui amène son client. L'entretien fût bref, il s'agissait d'un voleur à la tire déjà connu des services de police locaux. Le contraste était saisissant, l'un vêtu d'un survêtement jaune tâché, et l'autre portant un costume noir qui le mettait en valeur ainsi qu'une chemise de couleur Bourgogne. L'entretien fini, il actionna la sonnette et attendit l'officier chargé de son dossier afin de dire si oui ou non, il avait des remarques à formuler, et également pour savoir s'il était possible de procéder à l'audition du mis-en-cause sur le champ. L'officier en question fût prévenue de la fin de l'entretien et descendit dans la salle ou l'avocat attendait. Elle était plus petite que le Maître, et sans être adipeuse elle avait quelques petites rondeurs qui lui donnait un air mignon. Sa tresse châtain claire accompagnait une tête faite d'un visage au teint pâle que certains décriraient comme étant un océan de douceur dans lequel on se noierait volontiers. Elle était plutôt agréable à vivre et compétente dans les tâches qu'elle accomplissait, et on ne lui connaissait pas d'activité particulière. Bien que franche du collier avec les quelques personnes qui avaient son amitié, elle était quelque peu timide. Maître Margraf demanda d'une voix claire quand est-ce qu'ils pourraient partir en audition: "Il serait de bon ton que nous procédions à l'audition de ce jeune homme". Alice, c'est ainsi qu'elle se prénommait, appréciait les visites du Maître, il avait ce charme de l'Homme moderne avec un grand "H", viril et raffiné à la fois, avec cette aisance à s'adresser à ses interlocuteurs, et à diriger. Il lui plaisait c'était certain. Possédée par son charme, Alice rougit un peu, et perdant un peu de son assurance elle baissa un court moment les yeux et lui répondit ainsi: "Je... je suis désolée Maître..., mais j'ai besoin de temps pour collecter certaines informations". Maître Margraf, devinant le trouble d'Alice, se mit dans l'idée de voir à quel point il pouvait étendre son autorité sur elle. Le Maître se leva donc, dominant d'une tête Alice et pris un air courroucé. Sa voix se fit impérieuse et son regard sévère: "Je ne puis tolérer un tel manque de rigueur... Ce manquement sera signalé à votre hiérarchie ainsi qu'aux autorités judiciaires compétentes qui accordent les fonctions judiciaires dont vous usez. Ils n'ont pas besoin d'incompétents de votre espèce. Si vous êtes incapables de faire les choses les plus élémentaires, laissez la place à d'autres!" Alice, baissa la tête et croisa les mains. Elle bafouilla: "Mais... vous n'avez pas à, à... je suis fonctionnaire de..., vous ne...". Elle peinait à trouver ses mots. A ces mots le Maître tapa du poing sur la table et augmenta d'un ton le volume sonore de sa voix, c'est à dire assez pour prendre un ton un peu plus agressif, mais pas trop pour qu'on le n'entende pas. "Vous savez pertinemment que dans ce pays vos dires ne valent rien face à un avocat bien placé! Je sais en outre que cela arrive fréquemment, donnez-moi satisfaction ou je me verrai dans l'obligation de sévir!". En effet la pauvre Alice avait quelques soucis à gérer ses dossiers, cela était connu, mais on ne pouvait décemment lui reprocher ses carences. Le manque de temps et de moyens, ainsi que les lourdeurs administratives faisaient que l'on mettait deux à quatre fois plus de temps pour gérer les affaires. Ces remarques lui avaient déjà été adressées, mais sur le ton de la blague, car tout le monde était concerné à vrai dire. Mais Aline avait tendance à prendre certaines remarques un peu trop à coeur. De plus, elle savait qu'on ne pouvait jouir que de peu de considération face au Maître. Maître Margraf, satisfait de son effet, poursuivit. "Je crois que je vais devoir saisir vos supérieurs, mais comme semblez être une gentille fille, je puis régler cela d'une manière privée... Cependant vous devez me jurer de faire exactement ce que je dis!" Alice laissa couler quelques larmes, et répondit en ces termes, d'une voix étouffée par l'émotion: "S'il vous plait... épargnez-moi.. j'ai.. j'ai investi tellement de temps pour en arriver là! Pi..pitié Maître..." Le Maître reprit en reprenant un ton plus posé, et en affichant un petit sourire. "Bien, vous allez donc posez vos mains sur la table et baisser votre pantalon." Alice laissa couler d'autres larmes et fit mine de parler. Le Maître l'interrompit aussitôt: "Je ne veux pas vous baiser petite idiote, je vais vous punir? Vous allez faire ce que je vous ordonne, et à la prochaine tentative d'interruption, j'irai faire sauter votre carrière? Est-ce clair dans votre petite tête?" Aline répondit d'une voix résignée: "Oui..." "Oui, oui qui?" questionna sèchement le Maître, accompagnant la question d'une petite claque sur la joue trempée par les larmes. "Oui, Maître! Par...pardonnez-moi, Maître!" répondit Alice. La pauvrette était toute chamboulée par son état de soumission, offerte au désirs sadiques de Maître Margraf. Mais celui-ci était un homme raffiné, il savait jusqu'où aller et ne pas transformer ses jeux pervers en simple déchaînement de violence bête et méchant. Le Maître était un artiste pour cela, une sorte de vampire aristocratique qui vous subjuguait et vous hypnotisait avant de vous sucer le sang, et ce, de votre plein gré. Le Maître sorti de son porte-document une règle en plastique et commença à donner des coups sur la croupe d'Alice d'un geste assuré. Elle gémit, et commença à éprouver en son for intérieur une autre honte que celle qui la voyait cul nu, à subir les outrages du Maître. Chaque coup porté se concluait par un bruit de claquement sourd qui s'accompagnement d'un raidissement d'Alice. Au bout d'une vingtaine de coup, les fesses d'Alice, présentait de longue marques claires. Une honte mêlée au plaisir masochiste d'être humiliée et rudoyée ainsi, d'être soumise et d'appartenir à quelqu'un. Elle découvrait ce plaisir honteux comme un prêtre dévôt s'abandonnant à la masturbation. La conséquence fût que son sexe larmoyait de cyprine, ce qui n'échappa pas au Maître. Le Maître empoigna fermement la base de la tresse d'Alice, approcha son visage et lui susura :"je constate que cela vous plait. Vous êtes une petite traînée qui s'ignore, je vais faire de vous une vraie salope qui s'assumera en tant que tel. Dites-le!" Alice, complètement chamboulée, laissa maladroitement ses émotions parler, ses larmes étaient devenues des larmes de honte et des larmes de plaisir. D'une voix enrouée elle admit les faits: "Je...suis..." hésita-t-elle. "Dites-le! Ayant le cran de l'admettre petite garce!" grogna le maître. "...Je..suis...une...une...salope!" admit enfin Alice, qui ferma les yeux, vaincue et humide. N'en pouvant plus, elle se laissa doucement tomber à genoux, la tête baissée et les yeux fermées. Le Maître s'écarta d'elle, alors qu'elle se laissait glisser vers le sol. Il approcha son visage sévère et lui d'un ton neutre: "je vais vous laisser un choix, et je vous le proposerai une seule et unique fois. Devenez ma soumise, et vos chaînes seront votre lien vers la libération de votre être intime. Refusez, et vous resterez dans vos petites certitudes ineptes et vos frustrations quotidiennes." Le Maître s'écarta alors de celle qui avait à choisir entre une soumission libératrice ou un retour à la liberté bien-pensante et en désaccord avec son moi profond, et déposa une carte de visite en carton avec son numéro de téléphone. Ses derniers mots furent les suivants: "relevez-vous, et rhabillez-vous, nous n'avons pas besoin de montrer votre être véritable dans ce lieu crasseux. Vous serez MA soumise, et pas celle des autres, j'espère que c'est clair. Vous avez jusqu'à ce soir, vingt-et-une heures pour vous décider." Alice obéit, elle se rhabilla maladroitement et sêcha son visage encore rougit par l'intensité des émotions et les attouchements. On vint donc leur ouvrir et le Maître s'en alla sans se retourner vers Alice, en direction du sas et des escaliers. Alice passa le sas juste après lui, mais resta dans les escaliers pour prendre un répis. Un choix s'imposait à elle. La vérité ou le mensonge? L'expression sincère des tréfonds de son âme ou un mensonge couplé à de l'hypocrisie?
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Par : le 20/08/13
D humeur badine ce matin au réveil , Mes pensées étaient aussi légères que mon érection, qui bravant les lois de l apesanteur semblait vouloir s envoler vers le plafond. Bien que ne me souvenant pas des rêves m ayant provoqué cet état , Nul n en fût besoin tant mon esprit bouillonnait déjà. Me tournant vers toi, toujours dans ton sommeil Je te pris doucement la main ,pour la poser sans peine Sur mon sexe mouvant qui faisait déjà des siennes Espérant ainsi secrètement Ta main s agitant en avant Ne voyant aucune réaction de ta part De te secouer avant qu il ne soit trop tard J entrepris sans ménagement Tout en me redressant Sortie de ton sommeil, les yeux à peine ouverts Tes mains se refermèrent Sur mon sexe bouillant, dressé Que tu avais sous ton nez Au delà de mes espérances Tu le suça jusqu à avaler ma semence
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Par : le 20/08/13
Si il y a un mot que je n aime pas , c est bien celui-ci . Il signifie tant de contraintes et nous empêche souvent d aller plus loin Depuis toujours on nous assène qu il faut l être , mettant ainsi un frein à nos envies d évasion. Pourquoi ne pourrions nous pas tout simplement nous laisser aller , sans contraintes aucunes Sois raisonnable nous dit-on souvent ... Mais pourquoi ? Souvent pour , ainsi, faire plaisir a telle ou telle personne qui portant un jugement de valeur sur ce qui serait bien ou pas pour nous Nous privant ainsi du pouvoir de l expression , quelle soit écrite, orale , gestuelle ou autre et de nous plonger parfois dans des excès pourtant salvateurs. Mais c est oublier un peu trop vite le plaisir que l on trouve à ne pas l être De cette liberté de se laisser aller au gré de ses envies, sans compter. Seulement ainsi , aucun frein ne vous retient Sans aller sans cesse dans les excès, vous pouvez , quand vous le voulez les tutoyer De cette liberté bien ancrée, vous en faite ce que vous voulez
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