La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/06/23
Satyne a besoin de nouvelles robes. Enfin besoin... Sa penderie est pleine à craquer comme beaucoup de femmes. Mais là elle veut une robe cache coeur ou boutonnée pour jouer à s'exhiber plus facilement.   Comme toujours elle est nue sous sa robe pour partir à cette session de shopping-exhib, et reçoit la consigne d' obéir sans poser la moindre question.   Premier arrêt, premiers essayages, jolie robe, mais le rideau de la cabine d'essayage est bloqué, impossible de le laisser à moitié ouvert. Deuxième arrêt, beaucoup plus intéressant. Je vous décris le lieu, c'est important : le stand est ouvert sur deux côtés dont un est plus ou moins '' fermé'' par des portants de robes. Et sur l'avant deux petits portants réduisent l'ouverture. Nous pénétrons dans l'espace exigu, je remarque qu'il n'y a pas de cabine. Ma chérie a repéré deux robes parmi celles proposées par le vendeur. Elle essaie la première par dessus la sienne (je me dis qu'elle manque d'initiative, elle sera punie si elle continue comme ça). Deuxième robe j'interviens, je dis au vendeur que s'il sort, elle pourra se déshabiller dans son stand vide de client. Il s'exécute et ma petite exhibe se dénude. Elle constate que des passants la voient entre les portants sur l'avant du stand. Mais elle ne repère pas tout de suite le vendeur qui se rince l'œil en '' arrangeant '' des vêtements sur le portant latéral. Passants et vendeur se régalent de son corps nu, les passants ne remarquent peut-être pas les piercings aux tétons et aux grandes lèvres de ma salope , mais le vendeur a tout le temps nécessaire.   La robe est jolie, s'ouvre facilement, elle va la prendre. Nouveau déshabillage, pour le plus grand plaisir du vendeur.   La connaissant, ça doit énormément l'exciter d'être nue, au milieu du marché, à la vue de n'importe qui (elle a maintenant remarqué le manège du vendeur). Elle finit de se rhabiller, mais ... C'était la première fois que je l'emmenais au marché mais ce ne sera pas la dernière : nous y retournerons, surtout sur des stands sans cabine...
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Par : le 26/06/23
Un lope gays devient pire qu’une chienne destinée à la reproduction BDSM. - Allo - Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte. - Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ? - Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ? - Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres. - On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ? - Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle. - C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ? - Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  - J’ai encore une question ? - Je vous en prie ! - Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ? - La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes. - Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places. - Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ? - Oui c’est ça ! - A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location. Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM. Sur Fessestivites il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client. Pauvre Damien.... Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.   Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence.... A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».    Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres) A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage. - Cela vous plait ? Demande Damien    - Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier ! - Au gîte fétichistes ! - C’est assez surprenant répond Master Paul. - Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider ! Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou. Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting. Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien. Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.   Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit. Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques. Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky. Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony. - La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter. Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain. - Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier ! - Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ? - Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ? - Non jamais ! - Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter. Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ». Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout. Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.      Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.   Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour. Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^. N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir... Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive. Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné. - Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices. Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain. Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage. - Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, en plus le rosebud est petit, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café. Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui. La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes. Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner. C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max. - Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir. C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   FIN TSM - Si Marc existe réellement - Si le gîte fétichistes existe réellement - Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes - Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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Par : le 25/06/23
-Mais à peine sortis du magasin ,poussant le cady le plus vite possible pour atteindre notre voiture ;des cris ;des rires !ce sont eux !!!regardez comme ils filent –Oui, les voleurs !rires ! -Une femme agée, ses cheveux gris en bataille hurle :moi je trouve qu’elle n’en n’a pas eu assez ! -ouais !!! -Bientôt, hommes femmes et même gamins nous entourent !tous ages et tout sexe confondu ; les yeux brillants, l’insulte à la bouche ! -Salope voleuse, putain pour ma femme, et moi cocu p’tite bite !!! -Chiche qu’on leur en met une bonne de fessée déculottée ! -Oauis, aux deux ! -Allez, cul nu la fessée !hihi ! -Tous nus plutôt insiste la vieille, on les fout à poils ! -Morts de peur, tétanisés par cette foule haineuse, je suis incapable de nous défendre , ma petite femme encore moins ! -De plus la foule qui nous entoure a grossit ; tous ne sont pas actifs mais les regards ironiques et les mines éxcitées me font comprendre qu’aucune aide ne viendra ;ils sont là pour s’en mettre plein la vue. -Dailleurs, à voir les portables et les tablettes numériques brandies vers nous,ce qui les interesse c’est de nous filmer à poils ! -Nous sommes alors empoignés ; des mains fébriles s’attaquent à nos vêtements ! -Inutile de resister, ma petite femme est mise rapidement nue, -On garde leurs fringues !oui ils repartiront à poils !rires ! -Amon tour, je suis dénudé ;malgré ma honte où peut-être est-ce- la cause je me mets à bander ! -Regardez le cochon il a la trique !!rires !!! -on nous met à quatre pattes ,et des claques commencent à nous rougir le cul !chacun leur tour avec plus où moins de force -La plupart des hommes ayant claqué le cul de ma femme en profitent pour glisser leurs doigts dans son sex,et les ressortir luisant de mouille en ricanant ! -Lui il bande, elle, elle mouille ! -Alors les insultes redoublent de vigueur !grosse salope ;ça la fait mouille la pute ! -Mettez lui un doigt dans le cul on va voir si elle aime ça aussi !rires ! -Ils ne se gênent pas pour doigter le trou du cul de ma femme qui couine de plus belle ! -Si elle aime ça, vous n’avez qu’a l’enculer hurle la vieille qui semble la plus virulente ! -Oui, on l’encule allez ! -Déjà des mecs se présentent devant le cul de ma femme, leur queue sortie du slip !Et sous mes yeux hagards mon épouse se fait enculer en public !l’un après l’autre des mecs, surtout des jeunes viennent lui fourrer le cul ! -Elle se met immédiatement à couiner sous les rires et les quolibets !elle aime ça la pute !!! Heureusement l’arrivée de Pascal de ses deux adjoints met fin à cette folie ! -Ils arrivent armés de matraques électriques ! -Ça suffit hurle Pascal !laissez- les et barrez- vous ! -Seule la vieille vache se met en travers ; virulente !a Laissez- nous la punir ! -Attend , toi tu vas voir ce que ça fait d’être mise à poils en public ! -Et, sous nos yeux il sort un poignard et lacère la robe  de la vieille ,qui pousse un cri de terreur, ensuite il tire sur son soutien-gorge et l(arrache, il continue avec sa culotte qu’il lui arrache, et voici la vieille Entièrement nue, frissonnante de honte essayant de cacher son pauvre corps, des seins flasques qui lui tombent sur la poitrine, des cuisses pales, des jambes bleuient de varices, un cul mou et laid ! -Si vous voulez enculer une salope elle vous atttend lance Pascal ! -Il récupère le soutien-gorge en lambeaux pour lier les mains de la vieille dans le dos, incapable de se défendre, elle est alors entourée et attrapée ;avant de voir ce qui va lui advenir, nous profitons de l’occasion pour grimper dans notre voiture et nous enfuir, non sans avoir lancé un Merci vers Pascal qui rigole ! -A ce soir les jeunes !je viendrai vous faire une petite visite. -Je m’y attendais mais pas si rapidement ! -Après être rentrés, nus courses rangées, ma petite femme enlacée nue,le cœur battant : -Alors maintenant tu vas me dire tout ! -Oui chéri ! -Tu m’as trompé ? -Oui soufle t-elle ! -Beaucoup où un peu ? -Euh !!! -Je veux dire avec un mec où  deux où plus ? -Plus, répond – elle les yeux baissées ? -Oh !plus de cinq où moins ? -Plus ! -Oh ;plus de dix ? -Oui ! -Je n’ose pas aller plus loin dans les investigations, j’ai peur qu’elle me réponde plus de vingt !!! -Je la prends dans mes bras et l’embrasse, je t’aime quand même ! -Tu me pardonnes ? -ça t’excites un peu de savoir que je me fais mettre par d’autres ? -Oui un peu ! -Tu es mon petit cocu chéri ? -Oui ! -Tu es content d’être mon petit cocu chéri ? -Oui ! -Dis -le –Je suis content d’être ton petit cocu chéri ! -Dis-moi que tu m’aimes encore plus quand je te fais cocu ! dis-le ! -Je t’aime encore plus quand tu me fais cocu, ma chérie ! -Elle se serre plus fort contre moi ! -Viens sur le lit et prend moi mon cocu !ce soir Pascal va venir me baiser ! -Fou de désir j’allonge mon épouse, lui écarte les cuisses, et , vite je lui fourre ma petite bite ! quelques va-et vient et je décharge en elle, fou de bonheur ! -Vers 20h,on sonne ;Pascal arrive accompagné de ses deux adjoints . -On vient chercher notre récompense nous dit-il en souriant ! -Voici henri, un type d’une quarantaine d’années, et georges, un sympathique noir costaud et souriant de toutes ses dents blanches ! -Ils vont baiser ta femme, mais avant tu vas les sucer ! -Mais avant on va boire un coup ;il sort deux bouteilles de champagne d’un sac ! -Tu vas faire le service, cocu, pendant qu’on chatouille un peu ta femme !rires ! -Ensuite ils l’emmèneront dans la chambre pour la tringler ! -Quand à moi je vais passer la nuit avec !Oui, ce soir je couche avec Thérèse ! -Je frissonne en entendant cette phrase cet homme va coucher avec ma femme !!! -Je fais le service, on a tôt fait de liquider le champagne ;Thérèse, assise entre les deux hommes, ses jambes écartées, leurs mains plongées entre ses cuisses ;sa culotte baissée à ses chevilles puis, otée, je devine d’après le mouvement de leurs bras, qu’ils la branlent doucement ! -Allez, lance Pascal la chambre est au premier !baisez la, elle n’attend que ça !hihi ! -Mon épouse, évitant mon regard se laisse emmener sans protester ! -On va l’écouter jouir s’amuse Pascal !Georges le noir en a une énorme s’amuse –t-il, tu le suceras la prochaine fois, va !!hihi ! -Ta femme va le sucer , elle ! -Quelques minutes plus tard, j’entends effectivement mon épouse couiner !humm ohhh ouiiiiii oh ouiiii ohhhhhhça y est !!!!ouiiiii ! -Elle vient de jouir ta salope commente Pascal ! -ça t’excite s’amuse Pascal en posant sa main sur ma braguette ! -Je sursaute !je n’ose pas bouger ! -Tu bandes mon salaud ! -Oui ! -Il serre sa main sur moi ! -Je suis tout rouge ! -Tranquillement il se met à déboutonner ma braguette, il ouvre mon pantalon ! -Soulève tes fesses ! -J’obéis ;il tire sur le pantalon et le slip ;me voici déculotté ! -Ma petite bite à l’air, dressée, décalottée ! -C’est à ce moment que les deux vigiles redescendent de la chambre après avoir baisé Thérèse ! Souriant ! -Oh le petit cocu bande ! s’esclaffent-ils ! -Oui il entendu sa femme jouir ! -Sûr qu’elle a bien joui ! -Allez cocu branle toi ! -Oh je je ! -Ma femme arrive ,elle est nue ! -Regarde ta femme comme elle est mignonne, tout à l’heure ça va être mon tour de la tringler ! -Allez astique toi devant nous !Thérèse écarte els cuisses , montre ton minou pour exciter ton cocu ! -Ma femme obéit ; sa craquette ouverte laisse sourde un long filet de sperme qui lui coule vers l’interieur des cuisses ! -sans force, excité , comme un fou j’empoigne ma zezette, et je me branle ,sous les yeux amusés des amants de ma femme ! -flic floc et rien de temps je décharge sous les rires des hommes ! -Pascal recueille mon sperme dans un verre !En riant il me le fait boire ! -Ils prennent congé de ma femme en lui roulant une pelle !A la prochaine ! -Je vais aller laver Thérèse lance Pascal !et il pousse ma femme vers la salle de bain !j’aime bien laver une femme des pieds à la tête ! Tu veux voir ?          
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Par : le 25/06/23
Bonjour, Je recherche près de Nice, une femme Dominatrice ou couple de femmes dominatrice pour me soumettre et leur apporter du plaisir. J'aimerais devenir le soumis de cette ou ces femmes lors de relations suivies. 
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Par : le 24/06/23
Homme dominant de Strasbourg de 57 ans cherche femme soumise sur Strasbourg peut recevoir maitrephke 
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Par : le 23/06/23
À mesure que l'aurore chatouille la rosée, la roseraie du jardin de ma Dame dévoile ses couleurs chatoyantes.  Cette humidité perlée s'ajoute à celle déjà présente sur l'épiderme de mes cuisses. Le contraste de température des deux fluides provoque en moi un excès d'excitation. Pourtant raisonné par cet habitacle métallique que ma Dame m'oblige à porter, je ne peux m'empêcher de gémir tant mes sens sont stimulés. Seul au milieu des plantes, agenouillé dans ce gazon recouvrant l'humus, je suis une statue. Mes bras sont tendus par des liens raccrochés à la structure métallique de la roseraie. Je donne à ma Dame la vue qu'elle désire en lui faisant dos. Pendant qu'elle sirote son Nicaragua dans la véranda, elle s'amuse de mon isolement.  Je dois bien en convenir; ce lever de soleil est magnifique.  La chaleur recommence à monter en moi tant la lumière caresse mon corps nu. Les épines de roses logées entre mes omoplates me rappellent à l'ordre comme ma Dame sait le faire. C'est ainsi qu'elle me marque de son sceau. La douleur se calque sur le battement de mon cœur qui ralentit de plus en plus depuis qu'elle est partie. Pendant que la lumière révèle le reste de la flore, c'est la faune qui se réveille. Les oiseaux gazouillent, s'abreuvent et jouent dans une des vasques du jardin. J'aimerais aussi pouvoir me libérer de cette étreinte et m'envoler... "- Tu les envie n'est-ce pas ? À quoi te servirait cette liberté à toi ? Et pour aller où ? Dit fermement la Dame aux Roses, qui s'était rapprochée à pas feutrés. - Nulle part, Madame, dis-je piteusement en cachant ma surprise. Que ferais-je sans vous ? - Tu n'irais pas bien loin, c'est certain, dit-elle sèchement. Au moins, tu as le mérite de le reconnaître. Décidément, mes chéries ont vraiment un bon effet sur toi." Au même moment, je sens comme une pression sous ma nuque. La Dame appuie avec la semelle de sa botte sur les épines restées ancrées dans le haut de mon échine. Je ne puis m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure afin d'étouffer la moindre plainte. Plus elle appuie, plus les épines déchirent ma chaire laissant couler de légers filets vermillons que je sens rouler jusqu'à mon bassin. Après que mon cou se soit contracté de douleur, me faisant lever la tête et contempler le ciel, ma tête retombe. Je ne vois plus que mon torse suintant et cette cage entre mes deux jambes. Après un rictus sonore, appuyant un peu plus son emprise, la Dame s'en retourne dans sa véranda. Éreinté, je ferme les yeux et m'assoupis peu après.
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Par : le 22/06/23
Comme tous les jours maintenant il faut que j'aille me préparer pour notre séance de 19h. Avant de monter je te demande si faut que je redescende nue tu me réponds oui.  Je monte me doucher. Je me nettoie de fond en comble pour être prête pour toi.  Une fois fait, je mets mon plug et je descends habillée seulement de mon collier.    Arriver au pied de l'escalier, je te vois jouer sur ton pc. Je m'installe à genoux à côté de toi et j'attends tes ordres.  Tu me regardes, me fait une caresse sur la joue et m'ordonnes :  - Va me préparer un thé s'il te plaît. -qu'elle thé, Monsieur ? -Un thé à la cerise. -Je m'en doutais .  Je repars le sourire au lèvre pour lui préparer son thé. Je suis comme toujours heureuse. De faire ce rituel de 19h.  Selon les règles, je dois préparer ce thé en ne faisant rien d'autre alors je m'affaire à  ma tâche.    Une fois le thé prêt, je viens vers toi avec le thé chaud dans les mains.  Je me mets à genoux et j'attends.  Tu te lever et me dit : Je vais aller dans le canapé. Toi tu vas me servir juste de porte thé à côté. Je veux que tu le porte correctement et si y a un goût qui tombe tu sera punie. Je me lève en disant -D'accord Monsieur. Je vous suit.   Je le suit jusqu'au canapé. Il s'installe. Je me pose juste à côté de lui au sol. Je me mets à genoux. Le bras tendus avec le thé. Le thé est chaud alors j'ai du mal à le tenir correctement. Mais je fini par réussir à le tenir droit en tenant sa hanse. Maintenant tu es un porte thé et rien d'autre. Si je te vois regarder la télé ou penser à autre chose ça sera punition. -Bien Monsieur Je ferme les yeux pour me concentrer sur ma tâche. Je fais tourner en boucle la phrase "je suis un porte thé".  J'entends la télé et je reconnais une série que je voulais lui faire découvrir. Le bougre, il l'a mis en anglais pour pas que je sois distraite. Après cette constatation je retourne à ma phrase. Je deviens ce que signifie cette phrase. Je ne pense plus. Je pars petit à petit en méditations. Plus rien n'existe à part cet instant où je suis simplement un porte thé pour Monsieur.    Voilà 30 minutes que je suis à genoux. Mes genoux et chevilles me font mal. Je commence à gesticuler dans tous les sens. Mon Monsieur me remet à l'ordre à chaque mouvement: tu es un porte thé et rien d'autre. En réponse, j'arrête de bouger.   Monsieur a fini son thé et je continue à bouger malgré moi.  Alors il me dit :  Bon on va changer ton utilité. Allonge-toi par terre. Je suis nue, le sol est couvert de carrelage froid.  Je pose mes fesses sur le sol et tout de suite le froid me fait tressaillir.  Malgré ce ressenti, je m'allonge sur le sol.  Le sol froid me fait prendre conscience où je suis mais pour en rajouter à la situation Monsieur pose ses pieds sur moi.  Me voilà humilié, je ne suis plus qu'un paillasson.    -Et bien sûr tu diras en boucle cette phrase : "Je suis un paillasson. " Tu ne penses à rien d'autre.    Je récite cette phrase. Cela me fait partir en méditations. Je ne pense plus à rien à partir de maintenant.  Je ressens seulement le froid du carrelage et le poid de ses pieds.    Pour en rajouter à la situation. Il ne se prive pas de poser ses pieds. Sur ma gorge, sur ma bouche, sur mon sexe, il pose ses pieds là où dicte son envie.    Ce serait mentir si je disais que cette situation n'est pas excitante. Me sentir ainsi rabaissé est très plaisant.    ça fait 30 min à nouveau que je suis ainsi.  Il retire ses pieds et me dit de me lever.  Je le rejoins sur le canapé. -Merci, Monsieur, pour le moment. Lui dis- je en m'installant. -es ce que ça va? Comment tu te sens ?  -ça va bien, je me sens détendu et toi comment tu vas? Tu a aimé ? -oui bien-sûr et toi tu as aimer?  -c'était très agréable. Je ne pensais à rien . Quand mon esprit vagabondait. La phase que je me répétais me faisait revenir.   On reste l'un contre l'autre pendant de longues minutes pour faire redescendre la pression. Mais aussi pour ce montrer qu'on s'aime.
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Par : le 21/06/23
Parlons dévotion,  " Un pied dans les flammes, un autre dans la glace, séduit par les extrêmes j ai trouvé ma place " Lomepal  Ce chanteur fabuleux mets en avant l'équilibre de deux facettes opposées d'une personnalité ou nous pouvons toutes et tous nous identifier, qui creer la complexité de nos desirs et de nombreux paradoxes, comme celui, pour mesdames les soumises, de devenir une femme à travers l infantilisation, une femme responsable, qui prend soin de son Mari, de ces enfants, de son habitat, de son travaille, une femme organisée, disciplinée, serviable et douce, sans oublier bien-sûr très chienne prête à ouvrir sa bouche et ces cuisses pour lacher l'éxcitation de satisfaire son homme, loin des exemples féminins de la femme indépendante, et pourtant, la femme indépendante que fait elle dans son quotidien ? Une vrai pieuvre multifonction n'est ce pas ? La seule différence, c'est la dévotion, la femme soumise ne réalise pas toutes ces taches que pour elle même, mais aussi pour l'homme qu'elle admir, au delà de son satut, qu'elle vénère et qu'elle aime, une passion envahissante qui l'à fait aimer être punie, être fessée, se faire humilier, recadrer, une dépendance qui l'à fait mettre à genoux aux pieds de son Maitre qui fait reigner son autorité à travers la douceur, son sadisme à travers l'empathie, le dépassement des limites à travers l'analyse. Le fondement des relations bdsm, basés sur deux mentalités contraires pour arriver au même but, une mentalité archaïque dans un monde moderne, le quotidien d'une femme d'affaire à travers la dépendance, le dévouement, et l'infantilisation. Il faut reussir à trouver sa place et son équilibre malgré le faite d'aimer jouer à la balançoire dans ce monde paradoxal. Prochain article davantage érotique, cet article est surtout fait pour présenter ma façon de penser, et qui peut aider aux jeunes novices d'avoir un point de vu sur le fonctionnement de ces relations.  Bisous ;) 
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Par : le 20/06/23
Bonjour à vous, Une question me taraude l'esprit. Pas de jugement, juste une question. "pour une soumise ou un soumis, que porte l'humiliation ?"
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Par : le 20/06/23
Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira, car elle ne dira rien rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela importe peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, elle est toujours là. Ses yeux, ce fut longtemps tout ce qu'elle connut d'elle. Beaucoup croient qu'elle fut séduite par sa voix. Mais il a fallu longtemps pour qu'elle en entende le timbre et, déjà, tout était joué. En vérité, c'est son regard qui l'a frappé au cœur. Quand un tel choc amoureux arrive, le temps est suspendu. Bien ou mal, un corps finit toujours par réagir mais à forcer la repartie, on en amoindrit la valeur et le sens. En aimant d'amour, on aime quelqu'un d'autre et même en faisant l'amour, on se donne. De nature plus narcissique, l'amitié tolère l'égotisme, elle l'encourage. Car le climat tempéré de l'amitié favorise l'éclosion du beau sentiment dont chacun renvoie à l'autre l'image délicieuse. Rien d'urticant, rien de vénéneux dans ce jardin. La fleur bleue n'a pas d'épines. Complaisante plus que toute autre, l'amitié amoureuse est un jeu de miroirs qui reproduisent à l'infini le meilleur profil de soi-même. Il s'agit d'un accord, dont les orages de la passion ne risquent pas de troubler l'harmonie et, surtout, d'un moyen de se contempler mieux que dans la solitude dont l'ombre portée obscurcit le jugement. Charlotte entrait dans l'enfer. Elle ne le savait pas. Une miséricordieuse providence cachait l'avenir de rencontres fortuites et de désespoirs où elle avançait. Elle avait repris ses habitudes. Les chagrins s'y cachaient encore, tapis sous les souvenirs et sous les gestes quotidiens, mais le temps qui passait les entourait d'un brouillard, les insensibilisait peu à peu. Elle avait mal mais elle pouvait vivre. Une existence mélancolique où l'attente était remplacée par la résignation et les espérances par des reproches toujours sanglants qu'elle ne pouvait cesser de s'adresser. Elle n'était pas encore descendue à ces profondeurs de souffrances où de mystérieux rendez-vous lui avaient été donnés auxquels il lui fallait devoir se rendre. Il lui semblait qu'elle aurait à souffrir. Mais les prémonitions sont toujours aisées après coup. Elle avait tant de fois retourné dans sa tête tous ces monstrueux enchaînements. Un simple coup de téléphone. L'espoir l'avait ressaisie d'un seul coup, l'avait enlevée, comme un paquet de mer, vers des hauteurs où elle flottait avec un peu d'hébétude, d'où l'incrédulité n'était pas absente. La voix de Juliette avait été très sèche, froide. Elle se répétait que le bonheur, ce n'était plus possible. Mais l'espérance était là pourtant.   Il ne s'agissait pas de cette mélancolie qui vous fait bâiller, mais vous permet de rire de soulagement une minute plus tard. C'était quelque chose de grave, qui atteignait l'esprit et le désolait. On imagine trop volontiers que le mal est armé de flèches précises qui étincellent au soleil. Chez Juliette, c'était faux. Il s'engluait dans sa malice universelle. Les vieux rêves de Charlotte ne l'avaient pas abandonnée. Elle allait se jeter encore dans ses bras et le monde entier en serait transformé. C'est cette fille innocente et belle si cruellement violentée par ses propres fantasmes que Juliette avait le désir de protéger. Vient toujours un moment où les mères ressentent le désir douloureux et désespéré de protéger à tout prix leurs adolescentes, comme s'il était en leur pouvoir de leur donner à vivre une autre vie. On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espérant un jour, qu'elle changerait. Juliette l'avait promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans la routine. Charlotte n'aimait pas en discuter avec elle, parce qu'elle savait qu'elle ne lui disait pas la vérité. Son travail était prenant, comme au temps de son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée, constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues en khâgne au lycée Louis-le-Grand et rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été. Elle n'avait pas changé. Elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres classiques.   Elle faisait plus jeune qu'elle. On disait aussi qu'elle peignait un peu. Il était drôle qu'on lui attribuât cette amante quand elle avait connu tant de femmes futiles. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle. Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude. Quand elle la vit s'avancer vers elle, elle eut un imperceptible mouvement de recul. Puis, sans y penser, elle lui tendit la main. C'était une manière tout à la fois de s'en approcher et de se tenir à distance. Le contact de sa main chaude la surprit et la fit revenir à elle. D'un coup, le rêve prenait une réalité et la femme à laquelle elle songeait cessait de d'être une pure apparence pour devenir un corps et promettre le plaisir. Elles venaient de quitter une vie qu'elles ne vivraient jamais plus. Celle pendant laquelle elles ne s'étaient pas connues. Elles furent ainsi frappées par l'amour. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait. Mes cheveux étaient mouillés, elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle. Je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique.   Qui sait ? Se laisser toucher, se faire battre, s'étendre à côté d'elle, être aimable et toujours nue, à la rigueur, c'était possible. L'époque compare souvent l'amour physique à une partie de tennis. Il n'est même pas nécessaire de savoir bien jouer. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne force personne. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Elle fut si heureuse que tout ce qu'elle vit, rendit encore plus séduisante la femme impétueuse. Elle aimait son regard couleur d'aveline, l'épi de cheveux noir de jais sur le coin de son front. Elle aimait sa gêne et son malaise car elle y lut la confirmation qu'elle était aussi fortement attirée par elle. Très hardie dans l'intimité, elle parvint à tout lui céder. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Charlotte comprit en cet instant qu'elle ne cesserait plus de désirer Juliette et que cet assouvissement, dont elle s'était passée pendant si longtemps, lui deviendrait dès lors aussi nécessaire que l'air qu'on respire, le silence qu'on entend.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir
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Par : le 18/06/23
Je me promène dans la maison. Partout, il y a des photos et des tableaux de Dolorès. Je sors dans le jardin et là je vois... des statues de Dolorès faisant impudiquement saillir ses seins et ses fesses. Le señor de la Cruz a l'air d'être fou de sa fille. Il y a encore des gens à la piscine, je les évite... Comme il fait très chaud, je transpire dans mon uniforme. Je vais m'asseoir à l'ombre d'un grand arbre... Je m'allonge dans l'herbe et... je m'endors. Je suis réveillée par une esclave qui me dit : — Mademoiselle Ashley, vous devez aller à la cuisine. Ce n’est pas Dolorès qui me fait appeler. Elle a peut-être changé d'avis. Je me lève et j'y vais. Autour de la table, il y a Lucinda, six hommes et une femme. Je les situe "gardes du corps" : la petite armée personnelle du señor de la Cruz. Lucinda leur dit : — Voici Ashley, la nouvelle servante de Mademoiselle Dolorès. Ils me disent bonjour et bienvenue. Lucinda me dit : — Fais le tour et dis bonjour. Elle peut me commander ? Dans le doute, j'obéis. Tous m'embrassent et deux d'entre eux glissent la main sous ma jupe pour me caresser les fesses. Un des hommes me dit : — Viens te mettre près de moi, petite. Son voisin s'est reculé et, sans qu'on lui en donne l'ordre, une esclave apporte une chaise. Mon voisin me dit : — On a Cléopâtre et la Première Dame des États-Unis à notre table. C'est ça ? — Oui, Monsieur... — Et tu passes de Summer à Mademoiselle Dolorès. Ils disent tous "Mademoiselle", il y a sûrement des micros. Je réponds : — Elle n'est pas trop dure ? — Pas plus que Summer. Elle aime humilier les femmes libres ou ses amies, même sa sœur quand elle a raté son année scolaire. Des esclaves font le service. On mange, c'est bon. On a même droit à un dessert : une pâtisserie très sucrée. Quand j'ai fini de manger, il me dit : — Je dois partir demain pour quelques jours, alors tu dors avec moi. Ce n'est pas une question ! Lucinda lui dit : — Je ne l'ai même pas encore essayée... Bon, OK Mateo, mais elle doit être ici à 8 h précise. Mademoiselle l'appellera sûrement demain matin. — D'accord. Et mon avis ? Ils s'en foutent tous, on dirait. Lucinda roucoule avec le garde Black, un autre se fait sucer par une esclave. On reste encore un peu, puis Mateo me dit : — Viens, petite. On sort par l'arrière de la maison et on se dirige vers un bâtiment caché derrière des bambous, c'est là que logent les gardes. Il me tient par la taille et me dit : — On a tous vu ton film Cléopâtre. — Et ça vous a plu ? — Beaucoup... même à Mademoiselle Dolorès. Ce n'est pas normal qu'il dise encore "Mademoiselle Dolorès" quand on est deux. Je m'arrête, monte sur la pointe des pieds et je lui dis à l'oreille : — On nous entend ? Il répond tout bas : — Il y a des micros et des drones partout, tu ne les vois pas, tu ne les entends pas. C'est bien ce que je pensais. On arrive dans sa chambre. Elle est très simple, un lit, une armoire. Il se déshabille, moi aussi. On se regarde, on se plaît. Il est grand, musclé, poilu sur le torse et le ventre... Son sexe est déjà tendu vers moi. Je me couche sur le lit et il m'embrasse de la tête aux pieds, recto verso, en s'attardant spécialement sur mes fesses. Ensuite, il me lèche et on finit dans la position du missionnaire... Il est gentil pour un costaud. Il jouit en moi et on s'endort en cuiller. Je me sens protégée, ça fait du bien... *** Le lendemain, à 7 h 45, il me donne une claque sur les fesses pour me  réveiller en disant : — Va à la cuisine. — Oui. Merci pour tout Monsieur. J'exagère un peu, mais ça a l'air de lui faire plaisir et je veux en faire un allié. On s'habille... Je crois que la douche, ce sera pour plus tard. Dans la cuisine, deux gardes sont occupés à déjeuner et Lucinda crie sur deux esclaves. Les filles sont déjà à quatre pattes. En me voyant, elle me dit : — Viens m'aider à punir ces filles. J'hésite, je suis passée par là et... Elle crie : — Obéis ou tu seras également punie ! Je prends aussitôt le fouet qu'elle me tend. Je ne sais pas si elle a le droit de me fouetter, mais je suis prudente. Lucinda ajoute : — Si tu ne frappes pas assez fort, je m'occuperai de tes fesses. Sans discuter, je lève le bras et j'abats les lanières sur le derrière d'une esclave. La fille pousse un cri et Lucinda me dit : — Ensemble maintenant ! On frappe de concert, les fouets claquent  sur les fesses des filles qui crient... Marrant ! Non, ce n'est pas ce que je voulais dire ! Je suis forcée, d'ailleurs ! Dix fois, les fouets vont claquer sur les fesses des filles. Ça me rappelle le temps de la villa à Malibu... Quand on s'arrête, les esclaves nous remercient en embrassant nos chevilles, ensuite elles vont mettre des grains de maïs dans deux coins de la pièce et elles s'agenouillent dessus, les mains croisées dans la nuque. Ouch ! Tout ça me donne chaud. Lucinda me dit : — Viens ici, toi. Qu'est-ce qu'elle me veut ? Elle ajoute : — Écarte les jambes. Elle glisse la main entre mes cuisses, jusqu'à ma chatte. Elle me regarde en souriant... Oui, d'accord, je mouille. Elle ajoute : — Ça m'excite aussi. Tu as juste le temps de me remercier. File sous la table. Allez ! Oui, mais... Mateo et les deux hommes me regardent en souriant. Je demande à Lucinda : — Ce ne sont pas les esclaves qui font ça ? — Je suis comme Mademoiselle Dolorès, j'ai envie qu'une star de cinéma me lèche la chatte ! ALLEZ... sous la table ! Je lui obéis. Lucinda est une belle femme et pour peu qu'elle soit soignée, ça peut être agréable... humiliant mais agréable. Elle a déjà remonté sa jupe et elle s'est avancée sur sa chaise, les cuisses écartées. Il fait sombre sous la table, et j'aperçois à peine la masse foncée de ses poils. Elle me prend par la nuque et colle mon visage contre sa chatte mouillée. Je lape sa chatte comme un chaton assoiffé laperait le lait de son bol. Elle a une odeur sauvage qui me rappelle celle de Summer, mais son goût est différent. Je ne tiens quand même pas à rester longtemps sous la table, comme une esclave que je ne suis pas ! Je lèche et je suce son clito. Là, elle me reçoit 5 sur 5 et lâche ma nuque. Elle n'a pas les cuisses collées à mes oreilles et j'entends bien ce qu'ils se disent. Un des hommes demande : — Elle fait ça bien ? Elle répond : — Pas mal... elle aime ça ! Mais non, j’y suis obligée ! J'aime ça avec Summer. Je continue à lécher, jusqu'à ce qu'elle jouisse en me plaquant contre sa chatte. Elle me dit : — Tu peux te relever. Je me lève, gênée. Ils me regardent en souriant, même les esclaves, mais c'est peut-être une impression. Lucinda me dit : — Va te laver le visage, tu sens la chatte. Tu m'étonnes ! Ça les fait rire... Je me lave avec un bout de savon. Quand j'ai fini, je reviens à table et Lucinda me donne un papier en disant : — Voilà ce que tu devras faire et dire à Mademoiselle Dolorès. Tu as 10 minutes pour apprendre ça par coeur. Ouch, c'est long ! Je lis et relis. Déjà, quand je faisais du cinéma, il y a des siècles, ce n'était pas facile de retenir mon texte. Lucinda me dit : — C'est l'heure, vas-y. — Mais... — Cours !! Je fonce jusqu'à la chambre. J'ai mis le papier dans une des poches de mon chemisier d'uniforme. J'entre doucement et j'ouvre grand les tentures. Comme dans presque toutes les pièces, il y a des photos et des tableaux de Dolorès, généralement nue. Dans un grand lit, père et fille sont couchés, enlacés. La chambre sent le sexe et... le pipi. Je comprends vite pourquoi en allant me mettre à genoux à côté du lit. Il y a une salle de bain, mais elle fait pipi dans un pot de chambre, une antiquité. La suite, je l'ai bien apprise... La lumière réveille les amants. Dolorès s'assied et met ses pieds sur le sol. Elle s'étire en bâillant puis elle active son drone, qui va rester au-dessus d'elle presque sans arrêt. Elle me fait un signe et aussitôt, je dois me baisser pour embrasser ses pieds en disant à ses orteils : — Bonjour Maîtresse. Ashley, à votre service. Le drone tourne autour de nous en photographiant ou en filmant. Elle pose son autre pied sur ma nuque, je suis coincée. Elle dit à son père : — J'adore ton cadeau, merci papa. — Avec plaisir, querida. Elle caresse ma nuque de son pied nu en disant : — Je l'ai vue à la première de Cléopâtre et maintenant, elle est littéralement sous mes pieds. Elle retire son pied de ma nuque et me dit : — Va vider le pot de chambre. — Oui Maîtresse. Je dois le prendre à deux mains et... embrasser le bord... clic, clic, fait le drone. Je vais le vider dans les w.c.. Là, je dois attendre à genoux. Elle vient s'asseoir et... pousse, tout en me regardant.     Quand elle a fini, elle me dit : — Tu as de la chance que j'aime bien Summer, sinon je te ferais lécher mon cul sale... Elle se lève, pousse un gros soupir et dit : — Papier ! Je la nettoie... et jette les papiers dans la cuvette. Elle demande : — C'est propre ? — Oui, Maîtresse. — Écarte mes fesses et embrasse. J'embrasse son anus avec passion, comme Lucinda m'a dit de le faire. Elle me laisse un moment embrasser son trou du cul, comme Marc Antoine embrassait Cléopâtre sur la bouche. Le drone cliquette toujours. Elle finit par se redresser en disant : — Cuisine. — Oui Maîtresse. Je suppose que toutes ces photos et ces films vont se retrouver sur le Net. Mais au point où j'en suis, je m'en fous. Je vais vite à la cuisine. Lucinda me demande : — Tu ne t'es pas trompée ? — Non, Madame. — Bon, il y a des gens déjà installés dans la grande salle à manger. Elle veut que tu sois la seule à servir. Demande à ces invités ce qu'ils veulent. J'y vais. Il y a  deux couples installés à une table. Je leur demande : — Bonjour, que puis-je vous servir ? Une femme d'une quarantaine d'années avec un énorme brillant répond : — Présente-toi d'abord, petite malpolie. Je fais une révérence en disant : — Je m'appelle Ashley et je suis à votre service, Madame. — L'ex Première Dame ? — Oui Madame. Elle est avec un homme plus âgé et un autre couple. Ils parlent du fait que c'est amusant, une Première Dame devenue une servante. Ils me disent ce qu'ils veulent. De tout. Je devrais avoir un carnet pour noter. J'essaie de ne rien oublier et je vais vers la cuisine. Une des femmes me dit : — Reviens ici. — Oui Madame ? — Quand tu entres dans une pièce et quand tu la quittes, tu dois faire une révérence. — Oui, pardon, Madame. Je fais une belle révérence et je quitte la pièce. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.   Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 14/06/23
Après tout ses succés, le colonel Valeri du GRU a été promu. Mais bon, vous connaissez Valeri depuis que je décris ses aventures pendant l'opération militaire spéciale. Alors il a tout refusé et il a fait comme les autres, il a crée sa milice privée. C'est totalement illégal, contraire à la constitution de la Fédération de Russie, mais la légalité et les milices privées. Bien sûr, le GRU lui a immédiatement apporté son soutien et Vladimir en personne l'a reçu, ....pour lui ouvrir l'accès aux fonds spéciaux.  -Tu as fait un boulot incroyable camarade Valeri, je te donne les moyens de créer la plus redoutrable milice privée de la planète. Fais à ton idée et va terroriser les mercenaires de l'OTAN en Ukraine. -Avec Plaisir, camarade Président, surtout que comme ils ne sont pas là, d'après leur propagande, nous ferons en sorte que leurs balivernes deviennent realité pour eux.  Valéri a appris les arts martiaux en Corée du Nord, les vrais arts martiaux, pas les trucs des chochotes nipones ou les trucages des films made in Hong Kong. Il est donc allé recruter là bas et rendre visite à son vieux Maitre. Il n'a eu aucun mal a s'entourer d'une equipe de tueurs et tueuses professionnels.  Il a baptisé sa milice сталин  c'est à dire Stalin. Il a recruté aussi en Sibérie, en Iran.  Il a patiement attendu que les forces de l'Otan sous drapeau bleu et jaune se lancent dans leur suicidaire "contre offensive". Sa milice est partie de nuit, par petits groupes de deux, sur toute la ligne du front, là où il était possible de traverser toutes les lignes de façon invisible. Valéri, avec sa soif d'action, n'est pas resté dans un quelconque bunker à attendre. Il est accompagné de la sublime capitaine Kim, une des pires tueuses d'Asie. Une femme dont la seule presence fout la trouille. C'est comme cela. Une sorte d'emanation propre aux tueurs. C'est à se demander s'ils ont une âme. Kim est d'autant plus effrayante qu'elle est belle. C'est peut être un démon incarné. Et comme toujours, c'est cela qui excite Valéri et donc il l'a sautée dès qu'il l'a vue. Un truc electrique qui ne s'explique pas. Et c'est reciproque chez kim. En presence de Valeri sa chatte souvre, elle mouille et son clito se dresse. Dès que Valéri la penètre, elle jouit et ne peut retenir les vagues d'orgasmes. Un plaisir de traverser les lignes adverses comme si elles n'existaient pas, de dormir le jour, de baiser et de jouir de chaque instant comme si c'etait le dernier. Plus le risque est fort et plus l'envie de baiser devient furieuse. Kim est remplie de sperme par tous les trous. elle est resplendissante. C'est vrai que le sperme est bon pour les femmes.  Valéri est heureux de bosser pour son compte. Désormais il facture ses services le plus cher possible directement au Président Vladimir. Il pense bientôt aller offrir ses services en Afrique ou chez quelque richissime potentat oriental. Il est toujours marié avec Roxana mais il est totalement libre. Roxana est une bonne épouse perse, merveilleusement intelligente. Sa place est d'obéir en tout et pour tout à son homme. Valeri peut tout lui demander. Il claque des doigts et elle s'execute. Kim aussi a vite compris les règles avec Valéri. Obéir et écarter les cuisses. ne pas se poser de questions. Executer les ordres et ne parler que sur autorisation. Il n'est pas bon de laisser parler les femelles. Elles sont intelligentes et donc elles gambergent trop.  Valeri et Kim accomplissent la mission quils se sont fixée. Liquider un poste de commandement loin derrière le front. Récuperer toutes les informations sensibles. Une vraie ballade avec ce beau mois de juin. Kim est heureuse. Elle adore obéir. Valéri est devenu son Maitre. Rien de tel qu'un peu d'action et d'adrénaline pour bien bander ou mouiller. La morale de cette histoire c'est:  ne laisse pas ta soumise gamberger, c'est pas bon pour elle.
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Par : le 14/06/23
Le ciel bleu et fixe, la mer bougeant à peine, les pins immobiles sous le soleil brûlant, tout paraissait surnaturel et minéral. De grands murs à droite et à gauche protégeaient la villa des voisins. Il avait fait moins chaud que de coutume. Vanessa, qui avait nagé une partie de la matinée, dormait sur le divan d'une chambre fraîche au rez-de-chaussée. Juliette, piquée de voir qu'elle préférait dormir, avait rejoint Charlotte dans son alcôve. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage. Ses cheveux et ses sourcils semblaient poudrés d'argent, et comme elle n'était pas du tout maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au creux de son ventre. Les volets étaient tirés, la pièce presque obscure, malgré des rais de clarté à travers les bois mal jointés. Charlotte gémit plus d'une heure sous les bontés de Juliette. À la moindre caresse, sa peau frémit. Elle ferma les yeux. Juliette contemplait impunément le pur ovale du visage de Charlotte. Des épaules fines et le cou gracieux. Sur la peau mate des joues et du front, sur les paupières bistrées passaient, comme des risées sur la mer, de brefs frissons qui gagnaient le ventre, les bras et les doigts entremêlés. Une émotion inconnue s'empara d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir, se condamner à n'en connaître que des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour reconstituer un être entièrement fabriqué de souvenirs épars. Les seins, la bouche, la chute des reins, la tiédeur des aisselles, la paume dans laquelle on a imprimé ses lèvres. Or, parce qu'elle se présentait allongée, pétrifiée comme une gisante dans son linceul de drap blanc, Juliette découvrait Charlotte comme elle ne croyait jamais l'avoir vue. Des cheveux courts d'une blondeur de blé, les jambes brunies par le soleil. Elle ne reconnaissait pas la fragile silhouette vacillante sous le fouet. Bouleversée, elle regarda un moment le corps mince où d'épaisses balafres faisaient comme des cordes en travers du dos, des épaules, du ventre et des seins, parfois en s'entrecroisant. Charlotte, étendue sans défense, était infiniment désirable. Comme le suaire que les sculpteurs jettent sur une statue d'argile ocreuse encore fraîche, le drap mollement tendu épousait les formes secrètes de la jeune femme; le ventre lisse et bombé, le creux des cuisses, les seins aux larges aréoles et aux pointes au repos. L'onde tiède surprit son ventre. La blondeur accepta l'étreinte. Le ballet érotique devint un chef-d'œuvre de sensualité, un miracle de volupté. Juliette fut la corde sous l'archet, le clavier sous les doigts du du pianiste, le fouet sur la chair, l'astre solaire dans les mains d'une déesse. Ne plus s'appartenir est déjà l'extase. Les traces encore fraîches témoignaient de l'ardeur de leur duel passionnel, des courbes s'inclinant sous la force du fouet comme les arbres sous la bourrasque.   Elles furent ardentes, fougueuses et passionnées. La muraille d'air, de chair et de silence qui les abritait où la jeune femme était soumise, le plaisir que Juliette prenait à la voir haleter sous ses caresses de cuir, les yeux fermés, les pointes des seins dressées, le ventre fouillé. Ce désir était aigu car il lui rendait constamment présent sans trêve. Les êtres sont doubles. Le tempérament de feu qui façonnait Charlotte la conduisait à l'abnégation, de supplices en délices. Elle avait gardé les yeux fermés. Elle croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'elle contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, à son arrivée, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Elle lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus fort et Juliette avait noué des liens plus étroits. Elle voulait la rendre rapidement à merci pour leur plaisir. D'elle-même alors elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait beaucoup excitée de la sentir aussi vulnérable en dessous d'elle. Elle s'était dévêtue rapidement. Elle lui avait relevé son shorty d'un geste sec. Elle l'avait écarté pour dégager les reins et l'avait fouettée sans échauffement. Elle reçut sans se débattre des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades violettes. À chaque coup, Charlotte remercia Juliette. Elle devint son sang. La vague accéléra son mouvement. L'ivresse les emporta et les corps ne surent plus dire non. Ils vibrèrent, se plaignirent, s'immobilisèrent bientôt. Juliette la coucha sur le dos, écarta ses jambes juste au-dessus de son visage et exigea d'elle avec humeur qu'elle la lèche aussitôt comme une chienne. Elle lapa son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce et ce contact nacré la chavira. Les cuisses musclées de Juliette s'écartèrent sous la pression de la langue et des dents. Elle s'ouvrit bientôt davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Surprise par ce torrent fougueux, Charlotte connut un nouvel orgasme qui la tétanisa, lorsqu'elle prit conscience qu'elle jouissait sans l'autorisation de sa Maîtresse, avec la nonchalance que procure le plaisir poussé à son paroxysme. Elle l'en punirait certainement sauvagement pour son plus grand bonheur. Après une toilette minutieuse, comme pour retrouver son état de femme libre, Juliette qui regrettait de ne pouvoir la fouetter davantage, l'embrassa tendrement. Il était temps de sceller le lien qui les unissait. Le jour tant attendu arriva. Elle la fit allonger sur un fauteuil recouvert d'un tissu damassé rouge. La couleur donnait une évidente solennité au rituel qui allait être célébré. Elle ne put éviter de penser au sang qui coulerait sans doute bientôt des lèvres de son sexe.   La jeune femme chercha alors de ses yeux éplorés le regard de son amante et ne la vit d'abord pas. Puis, elle la devina, Sa Maîtresse pouvait la voir, elle en fut rassurée. Et puis tout alla très vite. On lui écarta les cuisses, poignets et chevilles fermement liés au fauteuil gynécologique. Elle résista mais on transperça le coté gauche de sa lèvre. Juliette lui caressa le visage tendrement, et dans un geste délicat, elle passa l'anneau d'or dans la nymphe percée. Il lui fallut écarter la chair blessée afin d'élargir le minuscule trou. L'anneau coulissa facilement et la douleur s'estompa. Mais presque aussitôt, elle ressentit une nouvelle brûlure. L'aiguille déchira la seconde lèvre pour recevoir l'autre anneau. Tout se passa bien. Charlotte se sentit libérée malgré son marquage. Elle ferma les yeux pour vivre plus intensément ce moment de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes. Juliette lui prit la main dans la sienne et l'embrassa. Ces anneaux qui meurtrissaient sa chair intime trahiraient désormais son appartenance à sa Maîtresse. La condition d'esclave ne l'autorisait pas à extérioriser sa jalousie ou son agressivité envers une jeune femme dont pouvait se servir trop souvent Juliette. Car les jeunes filles qu'elle convoitait n'étaient là que pour assouvir ses fantasmes; elle les utilisait comme telles. Elles ne pouvaient imaginer qu'elles servaient de test à satisfaire sa passion avant tout. Le prétexte de sa soumission semblait lui donner tous les droits, même celui de la faire souffrir dans son orgueil de femme amoureuse. Juliette a le droit de prêter Charlotte. Elle puise son plaisir dans celui qu'elle prend d'elle et qu'elle lui vole. Elle lui donna alors son amour. Pour elle, il n'y avait pas de plus grande passion que dans l'abnégation. Charlotte était particulièrement en beauté, ce soir-là. Elle portait des bas noirs à couture et une veste en soie de la même couleur dont l'amplitude laissait entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent et serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse conférait à sa tenue le plus bel effet. Juliette lui fit prendre des poses provocantes. Elle en rajouta jusqu'à devenir franchement obscène. Le harnais de cuir et le bustier emprisonnaient son sexe et ses seins. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Sa Maîtresse expliqua calmement aux invitées qu'elle était à leur disposition. Elle avait décidé de l'offrir à des femmes. Bientôt des inconnues s'approchèrent d'elle. Elle sentit des dizaines de doigts la palper, s'insinuer en elle, la fouiller, la dilater. Cela lui parut grisant. Elle éprouva un plaisir enivrant à être ainsi exhibée devant des inconnues. Elle devint une courtisane docile. Juliette interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce et génératrice d'un plaisir auquel elle n'avait pas droit. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Elle attendit dans la position infamante de la putain offerte avant que des mains inconnues ne commencent à la pénétrer. Elle fut alors malmenée, fouettée et saccagée telle une chose muette et ouverte. Ce que sa Maîtresse lui demandait, elle le voulait aussitôt, uniquement parce qu'elle lui demandait. Alors, elle s'abandonna totalement. Ayant deviné les pulsions contradictoires qui l'ébranlaient, Juliette mit fin à la scène, l'entraîna hors de la pièce et la calma par des caresses. Lorsqu'elle eut retrouvé la maîtrise de ses nerfs, ce fut Charlotte qui lui demanda de la ramener dans le salon où les invitées attendaient son retour. Elle fit son apparition, les yeux de nouveau bandés, nue, droite et fière, guidée par Juliette qui la dirigea vers le cercle des inconnues. Ce fut elle seule qui décida de s'agenouiller pour leur offrir du plaisir, sans réserve. Jamais, elle ne fut autant heureuse que cette nuit-là.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 13/06/23
D'un coup, ce prénom était sorti de la gorge de la jeune femme, qu'elle avait étroite en cet instant. L'homme se retourna, tandis qu'elle venait à lui, sans préméditation, avec cette simple envie de l'enlacer, de l'ébouriffer de caresses. Mais il se devait de la dominer sans sentimentalisme. Alors, il se contourna tout à fait vers Charlotte, toujours allongée sur le ventre. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit claire de pleine lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, losqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il lui avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les fesses et l'avait pénétrée ainsi, tout habillée. Jamais Charlotte n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol, peut-être, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de Xavier. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Longtemps et à son rythme. Il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car Charlotte lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait bousculée, insultée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir.   Surprise, elle se laissa faire, et cet outrage sans méthode eut le goût d'une première fois, sous un ciel tout en clarté que ne contrariait aucun nuage. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer sans doute, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes sur le sol et au milieu du séjour. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. " Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la terreur et la honte, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de Xavier s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. Pour leur plus grand bonheur. - Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi. Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où Xavier la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel Charlotte, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles: là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses.   Alors soudain elle se ravisa, et songea qu'elle avait perdu la tête d'éconduire un homme pareil, un si concerné par elle. La taille de cette passion lui fit honte. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau. À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ? Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois me tenir sur les omoplates, les jambes très écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le protocole de nos relations. La manière dont, je devrais toujours me mettre à genoux. La lingerie que je devrais porter dorénavant, et ne pas porter, surtout. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, devant une sorte de lourd guéridon bas où reposait une fine cravache. Xavier m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les reins, en stries parallèles bien nettes. "-Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plus, mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais le visage brouillé de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. Voilà que cela fait deux ans que cela dure.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 10/06/23
L'esclave nous précède et je mate ses fesses. Elle a quelques marques rouges laissées par un fouet. Ça, c'est normal. Mais elle a aussi, au milieu de la fesse gauche, une marque au fer rouge qui représente une feuille de marijuana, entourée des lettres A D L C, et en dessous, 121. La marque fine a sans doute été faite avec un fer électrique, mais je préfère sur sa fesse que sur la mienne. Je donne un coup de coude à Summer pour lui montrer cette marque. Elle lève les yeux au ciel. Oui, j'ai l'habitude. On arrive devant une très grande maison à deux étages. On doit être à l'arrière et on contourne la maison en suivant les fesses de l'esclave qui remuent devant nous. On est entourées de fleurs et de plantes tropicales. On arrive sur le devant de la maison... Une grande terrasse surplombe une piscine, puis la plage et la mer. Cette maison me fait penser à "ma" maison de Malibu, en plus grand. On monte quelques marches. Un couple est assis dans un grand fauteuil, il y a une esclave à genoux tenant un plateau à côté de chacun d'eux. À portée de main, ils ont un verre. Quatre esclaves sont "aux ordres", c'est-à-dire qu'elles sont immobiles, têtes baissées, les mains croisées sur les reins. L'homme a une quarantaine d'années, il n'est pas mal dans le genre buriné. Sa femme ou sa compagne doit avoir 20 ans de moins, elle est vêtue d'un chemisier qui laisse voir ses seins en poires. Summer me présente : — Bonjour Monsieur, Bonjour Dolorès, voici Ashley. Puis à moi : — C'est grâce à Monsieur de la Cruz qu'on a pu te faire évader. Je lui prends la main en disant : — Je vous remercie infiniment, Monsieur. Ils sont tous les trois étonnés de mon geste et la gamine murmure : — Elle est bien familière, pour une esclave. Je jette un coup d'œil affolé à Summer, je ne suis plus une esclave ! Enfin, si. Je sais bien qu'on ne m'a pas affranchie, mais ici on est au Mexique, pas aux Etats-Unis. L'homme dit à Summer : — Comment ça s'est passé avec Valdès ? — Très bien, Monsieur. Moi, je fais vigoureusement non de la tête. Il demande : — Ashley n'a pas l'air d'accord. Il n'a pas été gentil ? — En fait, il a été aussi méchant que souriant. Ils se mettent à rire tous les deux. Elle dit à Monsieur de la Cruz : — Je la prendrais bien à mon service ! Mais non, je ne veux pas, moi !! Il répond : — D'accord, mais le soir, tu t'occuperas des invités avec elle. — Bien sûr. Elle vient vers moi. Elle n'a pas d'autres vêtements que ce chemisier et je vois la broussaille noire de son bas-ventre. Elle se penche et embrasse l'homme sur la bouche, tandis qu'il met sa grande main sur les fesses de... sa fille, si j'ai bien compris. La fille lui dit : — Je te laisse jouer avec elle. Viens Sum, j'ai à te parler. Elles se dirigent vers l'intérieur de la maison. L'homme me dit : — Maintenant que ma fille n'est plus là, assieds-toi. Tu veux boire quelque chose ? — Oh oui, volontiers, une Margarita. Un regard de son maître et une des esclaves part en courant. Vachement bien éduquées, les esclaves, ici. Quelques minutes plus tard, elle revient avec mon verre. Je le lève en disant : — Merci encore, Monsieur — À tu salud. On boit, puis je lui dis : — Pardon, mais Summer m'avait promis que je ne serais plus esclave. — Tu seras sa servante, avant qu'elle en choisisse une autre. Ce n'est pas esclave. — Elle va me faire fouetter ? — Non, pas de fouet. Obéis et ça ira. — Il y a plein d'esclaves ici, pourquoi moi ? — Ça l'amuse que l'ex Première Dame des États-Unis devienne sa servante. Tu obéissais à Summer, n’est-ce pas ? — Oui. — Fais la même chose avec ma fille. Elle se lassera vite de toi, elle aime changer. On a un projet pour Summer et toi. Il faut encore un moment pour tout préparer, mais tu partiras dans les Caraïbes avec elle. — Pour de vrai ? Ça le fait tire et il répond : — Pour de vrai. Maintenant, raconte comment ça s'est passé à ce festival. Je comprends que je l'amuse. Je lui raconte le bureau, les sacs à remplir de canettes et de mégots et le fait de ne jamais pouvoir s'arrêter, de l'aube au crépuscule, quand il faut distraire les festivaliers. Je sais ce qui va l'amuser : — Un soir, comme j'étais épuisée, j'ai prié Dieu pour qu’il m'aide. L'instant suivant, un curé et une religieuse apparaissaient devant moi. — Et alors ? — Je leur ai demandé de me louer et pour les convaincre, je leur ai chanté un cantique. — Chante ! Je l'amuse ! Je me lève pour chanter : "Swing on sweet chariot - Coming for to carry me home". À la fin, il applaudit. Je vais être le chouchou du patron, un rêve pour une fille aussi insécurisée que moi. Je vais me rasseoir et je reprends mon histoire : — Ils ont payé ma location. On a été dans leur tente et j'ai léché la religieuse pendant que le curé me sodomisait... Sans doute un vrai curé, non ? Il rit à nouveau. Yes !! Je continue : — Ensuite, je leur ai demandé si je pouvais dormir là, mais ils ont refusé. Donc je suis repartie dans la nuit, tristement, mais j'ai fait une autre rencontre. Je lui raconte le tout vieux minou déguisé en pirate et sa jeune esclave et maîtresse. Quand j'ai fini, il me dit : — J'aime bien ta façon de raconter... Je te ferai peut-être écrire tout ça... Maintenant, va te mettre à la disposition de ma fille. — Je ne peux pas rester avec vous, Monsieur ? — Passe d'abord une semaine au service de ma fille, et ensuite, je ferai quelque chose pour toi. Allez, va... J'embrasse sa main et je rentre dans la maison. Je dis à une esclave : — Conduis-moi à l'endroit où se trouve Mademoiselle Dolorès. — Oui Maîtresse. Facile quand on a des esclaves et moi, je n'en suis plus une. Enfin, ici, au Mexique. Elle me conduit devant une porte avant de me dire : — Mademoiselle Dolorès est là, Maîtresse. Je toque... pas de réponse. J'ouvre et j'entre dans une grande pièce. Summer et Dolorès sont occupées de regarder des papiers. Sur les murs, il y a plusieurs grandes photos de Dolorès aussi nue qu'une esclave. Ce sont de très belles photos, de son visage, ses seins, ses fesses et même sa chatte. Je m'approche pour les regarde. Elle me dit : — Fais comme chez toi ! — C'est que... je ne sais pas... J'ai à nouveau les larmes aux yeux. Summer lui dit : — C'est une gamine... — C'est, ta petite sœur ? — Sois chic. — Mouais... Bon, je la traiterai comme une gamine. Pas de fouet, mais une fessée, si elle n'obéit pas. Ça y est, je pleure ! Il y a eu trop de choses et puis j'ai trop espéré être enfin libre, avec Summer. Dolorès dit : — Je ne supporte pas les pleurnicheuses. Elle me prend par une oreille et elle me met dans un coin de la pièce en disant : — À genoux, mains croisées dans le dos. Je me retrouve contre le mur, pleurant de plus belle Elle dit à Summer : — C'est comme ça que mon père me traitait quand j'étais capricieuse. Je pleure dans mon coin. Je reste à genoux, ce qui me semble durer des heures. Elles parlent suffisamment bas pour que je n'entende pas ce qu'elles se disent. J'ai mal aux genoux. J'ai mis tellement d'espoir dans cette libération... Et puis je repense à la conversation avec le père de cette garce. Il a bien dit que dans deux ou trois semaines, je partirai avec Summer. Je dois m'accrocher. Dolorès finit par me dire : — Tu es calmée, tu as fini de pleurer ? — Oui Maîtresse. — Dis mademoiselle, pas Maîtresse, tu n'es pas une esclave. Viens ici. Quand je suis devant la table, elle me dit : — Va à la cuisine. La cuisinière enverra une fille te montrer ta chambre. Tu mets l'uniforme qui est sur le lit. Ensuite tu peux visiter la maison. J'enverrai une esclave te chercher quand j'aurai besoin de toi. Allez ! Je sors de la pièce. Je ne veux retenir de tout ça que deux choses : je vais bientôt partir avec Summer et Dolorès va s'amuser avec moi pendant une semaine. Summer m'a sauvée des griffes des marchands de cochons et de Madame Stone... et on a un projet. Je demande à une esclave de me conduire à la cuisine. Je la suis en regardant la marque au fer rouge sur sa fesse. Je n'ai pas ça, moi, et même si je dois être une sorte de femme de chambre pour Dolorès, c'est seulement pendant une semaine. Le temps qu'elle se lasse d'avoir une ex Première Dame comme servante. La fille me conduit jusqu'à la cuisine. La porte est ouverte et je vois la cuisinière. C'est une belle Black d'une trentaine d'années, assise derrière une grande table entourée d'esclaves, occupées à préparer divers aliments. Il y a aussi deux esclaves à genoux contre un mur, les mains croisées sur la nuque. Deux choses attirent spécialement mon regard : des marques de fouet sur leurs fesses et le fait qu'elles soient à genoux sur des grains de maïs. Ouch ! Ça doit être vraiment pénible. J'ai connu le fouet et je devrais les plaindre, mais... je suis juste... intéressée. Je me présente à la cuisinière : — Bonjour Madame. Je m'appelle Ashley et Mademoiselle Dolorès m'a dit de venir ici pour... Elle tend le bras en disant : — Viens m'embrasser, petite. C'est gentil... Je me penche, elle m'attrape par le cou et m'embrasse sur la bouche. Quand ses lèvres quittent les miennes, elle dit : — Ashley Stirland... J'ai vu Cléopâtre, tu es super belle dans ce film et en vrai aussi. Elle me caresse les fesses. Je réponds : — C'est vraiment gentil... — On va bien s'entendre. Tu devras m'obéir, tu le sais. Non, je n'en sais rien, mais je réponds : — Oui Madame. — Une fille va te montrer ta chambre. — D'accord, merci Madame. Elle s'adresse à une des filles assises autour de la table en disant : — Shirley ! Aussitôt, une fille se lève en disant — Oui Maîtresse. — Montre sa chambre à Mademoiselle Ashley — Oui Maîtresse. Les esclaves sont toutes Blanches, je veux dire Américaines ou Européennes blanches. Et voilà, je sers de nouveau de servante. Il y a un grand escalier et un ascenseur pour accéder aux étages, mais la vraie esclave et moi, nous prenons le petit escalier de service. Elle a aussi la marque du Señor de la Cruz au milieu d'une fesse. Moi pas, c'est la preuve que je ne suis pas une esclave. On monte trois étages jusqu'à une toute petite chambre sous le toit. Il y a un lit et un lavabo. Je n'avais pas ça à Vegas et encore moins le long de la Salton Sea. L'esclave me demande : — Puis-je retourner à la cuisine, Maîtresse ? — Oui, oui... Sur le lit, il y a une jupe noire qui arrive un peu au-dessous du genou, un chemisier à manches courtes et fine rayure rose et blanc, un petit tablier et des chaussures plates. Ce n'est pas vraiment un uniforme de bonne... mais avec le tablier, on sait tout de suite ce que je suis, ici. Moi qui aimais être nue, je suis ravie de mettre ces vêtements. J'ai été nue trop longtemps et puis ça me différencie des authentiques esclaves. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 09/06/23
Retrouvez toutes les vidéos faites sur les différents évènements organisés à l'Antre Des Vices : https://antredesvices.fr/galeries/galerie-l-antre-des-vices
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Par : le 09/06/23
Une vidéo de résumé des 4 nuits de l'Antre en mai 2023 à l'Antre Des Vices https://antredesvices.fr/images/videos/Game%20of%20ADV.mp4 4 jours et nuits d'immersion totale BDSM    Une Petite Vidéo des deux premiers jours des Nuits De L'Antre lors du week-end de l'ascension à l'Antre Des Vices : https://antredesvices.fr/images/videos/NUITS_DE_L_ANTRE_PART_I.mp4    
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Par : le 09/06/23
Je me sens bille qui gravite autour de ton javelot.   Un lien m'attache à toi et sa tension me fait voler vers toi au hasard des mouvements du temps et de l'espace. Je suis destinée à me fondre avec toi, à fusionner puisque c'est ainsi que nous sommes faits. Pourtant, je me heurte, sans cesse, à tes volutes.   Comment peut-on à ce point être faits pour s'emboîter mais se rater autant à la fois ? La Fortune n'est pas bonne au jeu des figures. Le bois dont nous sommes faits s'abîme et les heurts laissent leur trace entre les lignes fragiles qui nous dessinent.   J'ai mal de sentir ce vide mais aussi d'essayer de le combler. Dis-moi, Tyché, où as-tu caché tes ciseaux ?
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Par : le 09/06/23
Tout avait débuté un mois auparavant. J’avais répondu à une petite annonce sur un site de rencontre Gay/Bi. Cette annonce spécifiait que deux Maitres cherchaient un Soumis pour des jeux « anales » J’avais répondu à cette annonce avec enthousiasme, moi-même étant amateur de dilatation anale depuis de nombreuses années. En effet j’avais dans mes habitudes de régulièrement me fouiller le trou, tantôt avec mes doigts, tantôt avec mes godes et plug XXL. J’avoue que depuis que je m’expérimentais ces jeux, j’avais atteint une  certaine dextérité dans ce domaine.   J’avais eu un retour assez rapide et nous avions pu échanger et poser une confiance mutuelle. J’avais donc appris durant nos échanges, que ces deux Maitres voulaient s’offrir un Soumis en totale liberté parsemée d’humiliation et d’exhibition. Nous avions effectivement parlé de plaisir anal, de fouille anale et godage en tout genre. J’avais exclue d’emblée toute violence. La thématique de ce rendez-vous était posée (enfin je le croyais).   Le jour J était donc arrivé et une soirée mystérieuse allait s’offrir à moi.   On m’avait demandé de venir comme j’étais, la seule chose qu’on m’avait demandé c’était d’avoir le « cul propre ».   Je roulais donc en direction d’une petite résidence de petites maisons fleuries, je cherchais une place et me garait. Avant de descendre de voiture mon cœur s’emballait, j’étais excité et assez rassuré des échanges que nous avions eus. Je n’avais rien à craindre. Les limites étaient posées. Je me dirigeais maintenant vers cette maison, une porte allait s’ouvrir.   Petit coup de sonnette, un Maitre ouvrit la porte d’entrée, en s’y plaçant derrière me laissant entrer dans un petit hall d’entrée. Pas le temps de me retourner, il m’invita à rester dos à lui et m’enfila une cagoule opaque sur la tête.   Il avait une voix rassurante : « Nous allons nous occuper de toi, ne crains rien »   Je me laissais guider, pris par le bras, ils m'installèrent sur un canapé.   « Bonjour petit Soumis, tes deux Maîtres sont devant toi » « Nous allons te guider et profiter de ton corps »   On me prit par le bras de nouveau et on me demanda de me mettre debout.  Je m’exécutai.   « Nous allons te mettre nu » Ainsi quatres mains commençaient à me déshabiller sans précipitation. Je sentais des mains me caresser, me peloter. Ma queue et mes couilles n’étaient pas épargnées. Des mains écartaient mes fesses pour exhiber mon trou rose.   « Joli tout ça, nous allons te préparer »   On me demanda alors de lever les bras et je sentis une enveloppe agréable se positionner autour de moi.   À l’évidence, ils venaient de m’habiller avec un corset autour du torse.   « Ce n’est pas fini »   Je sentis alors une main prendre mes couilles.   « Tu connais le ballstretcher ? »   J’avais déjà entendu ce mot et par curiosité parcouru les pages du Net pour découvrir cet objet.   Je sentais le froid du métal enserrer mes couilles, au bout de quelques secondes, l’objet était en place. Mes couilles étaient lourdes, gonflées, c’était agréable.   « Nous allons t’installer »   J’étais maintenant soutenu de chaque côté par un Maître, on m’installa d’abord sur le dos, puis on m’installa en position gynéco et on me ligota les jambes.   J’imaginais ma position indécente à l’équerre en offrant à la vue des deux Maîtres mes fesses et mon trou.   Le jeu de corde n’était pas terminé, je sentais maintenant des liens entourer mon torse, prisonnier de cette table, type bondage.   « Tu es maintenant prisonnier de ces liens, nous te laissons les mains et les bras libres » « Elles vont servir, mais interdiction de te toucher la queue pour te branler » « Elles serviront pour nous et dans une certaine mesure pour toi, tu verras »   Mais l’installation n’était pas tout à fait terminée.   Je sentais maintenant un des Maîtres me saisir les couilles entouré du ballstretcher. Je sentais une manipulation, je ne savais pas très bien ce qu’il faisait. Puis je sentis mes couilles étirées, j’imaginais une ou deux cordes accrochées au ballstretcher avec des poids à l’extrémité qui pendaient. « Tu es maintenant installé et sous notre contrainte » « Nous allons t’expliquer comment tu vas être humilié et exhibé » « Nous allons profiter de toi, mais pas que nous… » « La pièce dispose de web-cam et nous allons d’exhiber sur le Net, pour que des dizaines de surexcités se branlent en te voyant ainsi contraint et examiné »   Ce discours m’impressionnait et en même temps m’excitait.   « Durant nos échanges, tu nous disais que tu avais l’habitude de t’occuper de ton trou, nous allons vérifier ça » « Un bon Soumis anal doit être disposé à s’ouvrir »   Je ne savais pas à quoi m’attendre même si j’étais déjà disposé à m’ouvrir pour les deux Maîtres.   Un Maître me prit le poignet et je sentais un objet lisse parcourir le dos de ma main.   « Tu reconnais cet objet ? » « Tu vas voir ou plutôt sentir ! »   Je sentais des mouvements autour de moi.    « Allez ! On y va »   Je sentais maintenant des doigts caresser mon trou, je sentais une lubrification et des doigts qui s’enfonçaient dans mon trou.   Puis vient le moment ou j’ai senti un objet dur s’enfoncer dans mon trou, puis un élargissement.   J’ai compris que ma chatte anale était en train d’être examiné au spéculum, je me sentais très ouvert.   On devait y voir mon trou et mes entrailles roses.   Le Maître enfonçait ses doigts et caressait mes muqueuses anales.   « Tu aimes être dilaté comme ça Soumis ? » « Les pervers sont sur leurs écrans, tu es en direct ! »   Les insultes commençaient à arriver sur le fil de discussions.   « Nous allons te laisser ouvert comme ça un petit moment, ce n’est que le début » « Nous allons te détendre un peu »   A cet instant, je sentis à travers ma cagoule des effluves chimiques qui me faisaient planer, un Maître venait de coller sur mon visage cagoulé un masque avec poppers. Je me sentais détendu et dilaté.   Puis on me tournait la tête d’un côté pour m’enfiler une queue mouillée dans la bouche.   « Bouffe ma queue Soumis, lèche ma mouille »   Je me régalais d’avoir la bouche remplie et de sucer la queue du Maître.   Ma tête allait ainsi de droite à gauche, suçant tour à tour les queues ou gobant des couilles.   En même temps je sentais ma queue malaxée.   « A priori tu tiens bien le spéculum ! » « Certain que tu peux faire mieux, mais ça sera pour tout à l’heure » « Nous allons nous occuper de ta queue ou plutôt de ton urètre ! »   Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de violence ou d’acte brutal. Le poppers m’enivrait encore, j’acquiesçais   Je sentais mon sexe décalotté et mon gland massé et lubrifié.   Un Maître caressait mes couilles étirées par les poids.   Je sentis enfin une sonde titiller mon urètre et s’enfoncer doucement dans ma queue.   Un Maître avait collé de nouveau le masque à poppers sur mon nez.   « Ne t’inquiète pas nous allons commencer petit »   La sonde branlait mon urètre, pendant que mon trou était toujours ouvert à la vue des internautes.   « Allez ! On passe à la taille supérieure »   Je sentais mon urètre gonflé et branlé. J’allais ainsi être branlé plusieurs minutes avec des tailles différentes, jusqu'à ce que mon urètre ne puisse plus accepter de sondes plus grosses.   « Tu as aimé Soumis ? » « En tout cas les pervers se régalent de te voir ainsi exposé ! » « C’est pas fini … » « On va s’occuper de ta chatte anale, ton trou est bien dilaté, il va rester comme ça encore longtemps » « Il ne sera refermé qu’à la fin de la séance »   « Tu vas devoir te dilater au maximum »   Pendant que j’avais la bouche remplie par la queue d’un Maître, l’autre Maître était derrière pour m’enlever le spéculum.   Avec ses doigts, un Maître s’occupait de lubrifier l’intérieur de mon trou.   Je sentais maintenant un gode généreux m’enculer la chatte anale.   « Nous aimons baiser un Soumis au gode »   De l’autre côté de l’écran, les pervers alimentaient le fil de discussions et m’insultaient.   Mon trou se dilatait de plus en plus avec des godes de plus en plus gros.   J’avais maintenant à disposition, les mains libres, le masque à poppers que j’inhalais.   A tour de rôle les Maitres m’enculaient au gode et me faisaient sucer leurs queues et gober leurs couilles.   J’étais aux anges de me faire ainsi démonter le trou comme cela et de m’exhiber devant les pervers qui se branlaient devant leurs écrans.   Cette petite séance de godage dura plusieurs minutes.   « Tu es une bonne lope, tu encaisses bien, ton trou est bien ouvert, mais tu peux encore faire mieux » « Tu ne vas pas te refermer tout de suite »   Aussitôt je sentais un énorme plug remplir mon ampoule anale en laissant mon trou encore très dilaté.   « Un Maître lança : Ouvre la bouche ! »   Je pensais déjà à une queue qui allait remplir ma bouche ou une paire de couilles.   « Referme ta bouche sur l’entonnoir maintenant »   Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais j’allais le découvrir rapidement…   Je sentis alors un liquide chaud remplir ma bouche, un liquide salé.   « Avale ! Lançât un Maître »   J’avais maintenant compris qu’un Maître m’obligeait à boire sa pisse.   Mes joues enflaient maintenant de pisse chaude.   « Avale Soumis ! »   J’exécutai les ordres, je toussais et avalais petit à petit la pisse chaude du Maître.   Ma chatte anale quant à elle était ouverte et dilatée avec cet énorme plug.   « Allez ! Retour à ta dilatation ! »   Sans pouvoir y toucher, je sentais ma queue mouillée et mes couilles toujours étirées avec les poids.   « Tu vas prendre ton pied ! »   Le terme avait été choisi, comme au propre comme au figuré.   Un Maître me décapsula le trou, le plug n’était plus là, mais j’étais énormément dilaté. Je sentais mes muqueuses anales au bord de mon trou.   J’étais maintenant lubrifié encore une fois généreusement à l’extérieur et à l’intérieur par les doigts d’un Maître.   Je sentais une grosse masse s'enfoncer, je n’avais pas l’impression d’un nouveau gode ou plug. Je devinais que c’était le pied du Maître dans ma chatte anale qui était en train de m’ouvrir.    Au bout de quelques minutes, j’avais maintenant avalé la moitié du pied du Maître.   Sous poppers, je me laissais dilater la chatte au pied copieusement avec une queue qui me remplissait la bouche.   Après ce Foot-Fist, on me laissa reposer un peu. Bien évidemment un Maître me repositionna le plug pour ne pas me refermer.   Les deux Maîtres passèrent ensuite derrière moi.   L’un deux me décapsula le trou et me lubrifia plus en profondeur encore. Je sentais ses doigts parcourir les muqueuses de ma chatte anale.   « On va te travailler manuellement de l’intérieur maintenant ! »   Je sentais des doigts s'enfoncer dans mon trou, jusqu’à avaler la main entière du Maître. Je me faisais maintenant copieusement fister comme une pute. Je sentais le va et vient du poignet du Maître.   Pendant qu’un Maître me fistait, l’autre Maître se délectait de passer ses doigts autour du poignet du Maître Fisteur.   Je m’élargissais sous poppers de plus en plus.   Les pervers derrière leurs écrans gloussaient, le fil de discussions était parsemé d’insultes et de messages d’encouragements envers les Maîtres.   Vint le moment de la dilatation extrême.   Au fur et à mesure de m’élargir ainsi, chaque Maître avait réussi à introduire une main chacun dans mon trou béant.   Je gémissais, je jouissais intérieurement, mes entrailles poussaient, mais les deux mains revenaient à leur place au fond de ma chatte anale défoncée. Avec le phénomène d’expulsion naturelle, je pissais.   « Tu es vraiment une belle pute anale, digne d’un Soumis »   Après plusieurs minutes, le mouvement s’arrêta enfin.   Une main se retira, puis une deuxième, laissant place à un prolapsus débordant de mon trou. Mes muqueuses étaient luisantes et je dégorgeais de lubrifiant.   « Tu as bien joué ton rôle Soumis, une vraie pute anale » « Tu as le droit de te reposer maintenant »   Ils me laissèrent ainsi reprendre mes esprits pendant plusieurs minutes.   Le fil de discussions du Net cessait progressivement de s’activer. Les pervers avaient fini de se branler et j’imaginais les litres de sperme projetés sur les écrans.   Je sentais maintenant mes couilles écarlates plus légères. On venait de me retirer le Ballstertcher, les poids et les liens se dénouèrent.   Les deux Maîtres m’aidèrent pour descendre, j’étais encore étourdi par le poppers et par l’expérience extrême vécue.   Une fois debout, je sentais mon trou encore bien ouvert, je dégorgeai encore.   On m’installa dans le hall d’entrée avec mes vêtements. Je m’habillais fébrilement.   Un Maître apparu cagoulé.   « Tu as comblé nos attentes » « Ton baptême du Soumis est validé » « Nous t’autorisons à nous solliciter pour une autre session »   Je quittais la maison encore désorienté par ce qui venait de m’arriver. Je venais de vivre de longues minutes d’extrême jouissance. #PhotoPerso#
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Par : le 08/06/23
Repassant rapidement dans sa tête, l'enchaînement très simple et pourtant follement arbitraire des causes et des effets qui avaient fait d'elle celle qu'elle semblait être devenue, Juliette s'arracha du lit le matin, avec plus d'agressivité que d'élan, se doucha et se maquilla à la hâte, n'accepta que la tasse de café noir que Charlotte avait eu juste le temps de lui préparer, et se laissa seulement baiser fugacement le bout des doigts, avec un sourire machinal et un regard plein d'animosité. Elle l'avait pliée à tous ses fantasmes, façonnée à sa mesure, avait exigé et obtenu d'elle comme allant de soi les plus outrageantes complaisances. Charlotte n'avait plus rien à livrer qu'elle ne possédât déjà. Du moins, elle le croyait. Elle était infiniment plus bouleversante lorsque son corps arborait des traces, des traces, quelles qu'elles fussent, car elles prouvaient que rien ne luit était épargné. Les cicatrices s'étaient boursouflées et formaient des renflements plus foncés que la couleur de sa peau. Ce matin-là, Juliette voulut l'observer dans son sommeil. Charlotte reposait sur le ventre, les mains sous l'édredon, recroquevillée en position fœtale. Elle s'approcha, s'assit dans un fauteuil et se surprit à rabaisser les draps jusqu'à ses chevilles pour mieux l'examiner. Ses traits si parfaitement réguliers qu'on en venait à espérer le hiatus qui briserait cette harmonie, exaspérante à force d'équilibre. Elle était si claire de cheveux que sa peau pourtant laiteuse paraissait plus foncée que sa chevelure, bise et beige comme du sable fin quand la marée vient juste de se retirer. On voyait encore briller la sueur sur ses seins. La veille, elle avait été fouettée, d'abord à peine, puis plus fort, puis encore plus fort. Elle avait pleuré. Juliette avait cessé qu'elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte.   Elle s'était donné beaucoup de mal pour arriver à ce résultat, pour penser et dire "nous" plutôt que "je". Elle était heureuse d'être devenue le centre d'intérêt du jeu. Pour dissimuler son émotion, de sa tête, seul son regard se dérobait alors à l'observation, mais les yeux fermés, tout en elle paraissait si limpide qu'on lui voyait l'âme. Charlotte n'avait à se reprocher que des pensées, et des tentations fugitives. Pourtant, il était certain qu'elle était coupable et que sans le vouloir, Juliette la punissait d'une faute qu'elle ne connaissait pas, puisqu'elle restait intime, tout intérieure mais avec le temps, elle l'avait décelée: la facilité et surtout la servilité. Charlotte était heureuse que Juliette la fouette et l'avilisse dans la prostitution parce que son abnégation donnait à sa Maîtresse la preuve de son appartenance, mais aussi parce que la douleur, la honte du fouet, les outrages infligés, lui semblaient le rachat de sa faute. Elle savait des choses que nul ne savait mais ne voyait pas ce que tout le monde voyait. Elle croyait tout connaître d'elle, mais rien de plus. Jamais elle n'avait autant éprouvé ce manque qu'en cet instant précis, à la faveur de cette relation si anodine aux yeux des autres mais capitale aux siens. Fallait-il qu'elle ait un désir charnel intact pour choir dans un tel gouffre existentiel au bord vertigineux du lit. Se sentait-elle un peu coupable de la jubilation goûtée lors de la première séance de flagellation, la facilité avec laquelle elle s'était donnée. Mais non, ça ne pouvait pas être cela, pas uniquement. Pour la première fois en trois ans, elle remettait en question ce qu'elle savait de Charlotte. Une phrase l'obsédait: "Êtes-vous vraiment sûre d'elle ?." Il y avait des étreintes qui lui avaient été immondes, des doigts dans l'anneau de ses reins qui étaient une intolérable insulte, et des langues et des sexes, se caressant à sa bouche fermée, au sillon de toutes ses forces serré de son ventre et de ses reins, si longuement que le fouet n'avait pas été de trop pour la réduire, mais auxquels elle avait fini par s'ouvrir, avec une indifférence et une servilité insupportable. Et si malgré cela, son avilissement lui était doux ? Alors, plus sa bassesse était grande, plus Juliette était miséricordieuse de consentir à faire de Charlotte, l'objet de son plaisir. Mais de qui est-ton vraiment sûre quand on ne l'est même pas de soi ? Juliette ne l'était plus de sa propre soumise, donc alors d'elle-même. Plus, elle la méditait, plus le bloc de mystère se durcissait. Charlotte était-elle insensée ? Indéchiffrable, celle qu'elle l'avait toujours crue si lisible.   Quatre jours jours durant, elle s'enferma dans une sorte de mutisme qui surprit tout le monde. Aux questions qu'on ne manqua pas de lui poser, elle répondit évasivement en évoquant la migraine. On la trouva nerveuse et irritable. Le soupçon avait instillé le doute. Elle la regardait dormir tout en se demandant si elle dormait vraiment. Une énigme que son esclave gisant dans le lit. Elle la regardait dormir et la jugeait. Rien ne semblait troubler le sommeil de Charlotte. Mais quelle Charlotte observait-elle dans la pénombre de leur chambre: la compagne, l'amante, la soumise ? Elle les aimait toutes à travers celle qu'elle était devenue. Mais comment prétendre aimer quelqu'un que l'on outrageait ? Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient. Bien sûr, elle parlait dans les supplices, mais peut-on appeler paroles ce qui n'est le plus souvent que plaintes et cris. S'installer dans cette contradiction, c'était déjà y répondre. Tant de choses avaient eu lieu et tant de paroles avaient été échangées, souvent si regrettables mais jamais regrettées. Juliette avait déjà éprouvé de la haine mais jamais encore de l'indifférence, qui est son stade ultime. L'oubli étant essentiel à la survie, elles étaient capables d'oublier. Chacun son rôle. Ça tenait presque à rien. C'est pourquoi nulle n'était prête à y renoncer si facilement. Juliette avait rencontré Charlotte. Le contraire idéal de Juliette, son négatif dans la soumission et dans la vie. Charlotte était blonde, Juliette était brune, le teint toujours hâlé, un corps superbe où tout était parfaitement en place dans les quantités recommandées par les magazines féminins et les proportions suggérées par les magazines masculins, le rire adorablement mutin, qui donnait le change avec brio mais qui semblait se moquer de tous les enjeux. Des signes d'une nature insoupçonnée, secrètement scellée par une complicité acquise par le fouet et en se chevauchant dans un lit. Après, quoi qu'il advienne, on ne se regarde plus de la même manière. On est conniventes pour toujours puisque, en toutes choses, et plus encore en amour, on oublie jamais les premières fois. Leur intimité avait façonné un monde de souvenirs communs. Les volets tirés, la chambre obscure, malgré des raies de clarté à travers les bois mal jointés, Charlotte gémit plus d'une heure sous les caresses de Juliette, et enfin les seins dressés, les bras rejetés en arrière, serrant à pleine main les barreaux qui formaient la tête du lit baldaquin, elle commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Juliette la sentait brûlante, raidie sous sa langue, la fit hurler sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendit d'un seul coup, tétanisée, moite de plaisir, épuisée mais heureuse.   Pensant alors qu'elle était véritablement ce qu'il y avait de plus précieux au monde, le lendemain, Juliette l'avait vue sourire, si curieusement qu'elle se demanda ce qu'elle avait imaginé sur l'instant. Charlotte ne portait qu'un corset, la serrant à la taille, dont l'armature dessinait la poitrine, les seins largement offerts, ligotant durement le sexe par le cuir des lanières. Juliette tira ses bras, l'un après l'autre, pour les tendre davantage. Les chevilles et les poignets entravés par des bracelets, Charlotte sentit bientôt ses jambes s'élonger. Puis Juliette lui caressa le visage. Aux premiers coups de cravache qui lui brûlèrent l'intérieur des cuisses, elle gémit. Juliette passa de la droite à la gauche, s'arrêta puis continua. Charlotte se débattit de tout son corps. Elle crut que le jonc la déchirerait. Elle ne voulut pas supplier, demander grâce. Mais bientôt, elle céda aux cris et aux larmes. Juliette ne s'arrêta qu'au quarantième coup. Insensiblement, la douleur parut s'atténuer pour laisser place alors à un plaisir diffus. Après la dernière sanglade, Juliette caressa furtivement ses jambes enflammées, cette simple marque de tendresse donna à Charlotte le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. Comme si Juliette avait deviné l'intensité de son plaisir, qu'elle avait dissimulé de son mieux sous des râles et des sursauts, elle fit le tour de son corps écartelé et se plaça devant elle. Puis, elle écarta ses fesses et l'inspecta intimement avec ses doigts, puis avec un speculum dont l'acier froid affola son anus qui s'ouvrit au gré de l'écartement de l'instrument qui le dilata jusqu'à la douleur. Charlotte n'était plus qu'un objet privé de volonté, soumis et servile. Juliette se ceignit d'une ceinture harnais armée d'un olisbos trapu et veineux et la sodomisa brutalement, exigeant d'elle qu'elle se cambra davantage, afin que le dard massif la pénétra profondément, jusqu'au tréfonds de ses entrailles. Rares furent les nuits où il ne se trouva pas quelqu'un pour faire usage de cette voie rendue aussi aisé, bien que plus étroite que l'autre. Juliette s'arracha d'elle comme l'animal repu après l'accouplement. Elle fut heureuse que Charlotte fut doublement ouverte et lui dît qu'elle veillerait à ce qu'elle le demeura. La jeune esclave fut si claire de joie, que sa peau hâlée ne sembla pas marquée. Elle remercia sa maîtresse, et lui dit qu'elle l'aimait. Juliette ne la libéra que lorsqu'elle eut fait d'elle à son plaisir. Moite et tremblant de froid, elle avait descendu les dernières marches qui menaient au sous-sol. Il n'y avait ni lit, ni simulacre de lit, ni couverture, seulement la gourde et austère chape de sol. Juliette lui demanda de s'allonger sur le béton glaçant. Charlotte demeurerait le reste de la nuit, enchaînée, cuisses ouvertes et écartées, sans pouvoir refermer ses jambes. Seule dans le noir et le silence, en sueur, elle ne sentait plus que le collier et les bracelets, son corps partait à la dérive, alors elle s'endormit.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.        
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Par : le 04/06/23
Préambule: Photo piquée sur le Murgé ayant inspiré un dialogue plus qu'intéressant mais malheureusement inachevé à mon sens... Mais je sais que celui-ci se retrouvera sur le mur et que certains de mes "amis" ne lisent pas le Murgé... C'est essentiellement à eux, et en particulier à une esclave ayant collier que je le mets ici... Aimeraude, qui a posté en premier cette photo, à mis comme titre: "Étienne de la Boétie - Discours de la servitude volontaire"  dont la phrase est tirée... Photo que personnellemnt j'aurai titré: "esclave dans sa bulle" Je mets donc ici le fameux échange en copié/collé en mettant de coté le reste des commentaires. cependant, n'hésitez pas à compléter ce dialogue avec vos propres commentaires et élargir le débat!!! (moi) Mais une question peut se poser si c'est une réflexion sur la servitude volontaire: Ne sommes nous pas à genoux parce qu'ils sont grands??? (elle) VraiEsclavagiste , selon mon point de vue, une rhétorique philosophique n'a de raison que de susciter en l'autre de bonnes questions. Je m'explique : Le pouvoir n'a d'existence que car il trouve : soumis ou oppressés sur lesquels s'exercer. Dans certains contextes (societales par exemple) , s'agenouiller, et se présenter comme victime d'un pouvoir n'est autre que reconnaître ce pouvoir, et lui donner raison. (Cas échéant, manifester un mécontentement revient à faire l'éloge du pouvoir) Ce qu'inspirait De la Boetie dans son discours , c'est que d'un point de vue societale, le problème n'est pas le pouvoir, le problème c'est la victime de ce pouvoir. Tant qu'elle se complaira à s'en déclarer victime. De la Boetie nous enseigne également que : “Quelle malchance a pu dénaturer l'homme - seul vraiment né pour vivre libre - au point de lui faire perdre la souvenance de son premier état et le désir de le reprendre ?” Car c'est de par sa culture que L'Homme , se rangera comme homme de bien , et montrera du doigt le mal. Le pouvoir (societale) représentant le mal. Le fort étant par hyperbole le mal qui opprime le faible. Si l'on attend du pouvoir de la compassion, alors attendons... La compassion étant raison du faible... Se libérer du pouvoir, dans cette figure de style, est de se relever. De manière pragmatique, c'est sans violence, sans cris, sans heurts ; abandonner le pouvoir . 69 millions de personnes refusant tout ce qu'on leurs impose. Sans cris, sans lutte. Et le pouvoir devient comme un feu sans bois, il consumera ses braises et s'éteindra de lui même. Biensûr, c'est utopique. Mais le concept de servitude volontaire réside en cela. C'est l'asservi qui accepte son asservissement. L'asservi qui accepte le pouvoir et non le pouvoir qui désigne ses serviteurs. S'agenouiller revient donc à accepter. En espérant que certains ou certaines y voient un nouveau point de vue qu'ils n'avaient pas décerné. Un paradoxe. (moi) Vaste sujet... Rajoutons y aussi la psychologie de la personne... Mais une expérience à été faite avec des rats au nombre de 6: Dans un aquarium une séparation, avec sous l'eau un passage permettant aux rats de passer d'un côté à l'autre... D'un coté, un endroit sec sur lequel les rats peuvent se reposer avec toutes la place qu'il leur faut. De l'autre se trouve la nourriture, mais sans place réelle pour qu'un rat se pose.. Pour manger, les rats doivent donc passer d'un coté à l'autre, et retourner de l'autre pour pouvoir se substanter. Le schéma qui s'en est suivi à été celui-ci: 2 rats dominants qui frappaient les dominés au nombre de 2 afin qu'ils leur donnent la nourriture. Et 2 rats indépendants... Et ce schéma se répétaient continuellement en reprenant les dominants avec les dominants, les dominés avec les dominés et les indépendants avec les indépendants.... Après expérience les rats ont été autopsiés... Les rats dominants montraient toujours des signent de stress que ne présentaient pas les dominés... Car ayant peur de perdre leurs statuts de dominants... les dominés, eux n'avaient pas ce stress... Ramené aux hommes, ne pas oublier que certaines personnes n'aiment pas avoir de responsabilités et ne pas prendre de décisions, de réfléchir plus que de besoins... Dans les usines, tu as des tas d'ouvriers aimant faire des taches répétitives ne voulant pas changer de postes afin de ne pas à avoir à apprendre d'autres choses, ne pas réfléchir.... Le savoir est le véritable pouvoir... C'est pourquoi les pouvoirs dictatoriaux, qu'ils soient durs (dictatures) ou déguisés (fausses démocraties) n'aiment pas ceux qui réfléchissent, recherchent le savoir... Et il existe 2 façons d'empêcher les personnes d'atteindre ce savoir et donc ce pouvoir: 1) les autodafés (dictatures) 2) noyer le savoir afin qu'il soit dur à atteindre (les fausses démocraties) Mais l'un et l'autre utilisent les grands médias afin de manipuler les masses et de les maintenir à genoux.... (elle) Et supprimer les langues anciennes des parcours d'enseignement afin de ne plus permettre de s'intéresser à notre passé et réformer le système éducatif, afin de ne plus tirer les plus démunis et défavorisés à s'instruire au maximum en les accompagnants vers le génie, mais ajustant les curseurs vers le bas. Aujourd'hui l'égalité des chances et d'égaliser l'ignorance au lieu du savoir. (moi) La tentative de faire table rase du passé est aussi un signe de volonté dictatoriale. Pire: totalitaire. Certains partis politique en France en sont spécialiste afin de créer "un homme nouveau"...ou le déconstruire... Ce fut ainsi le cas de la Révolution française avec son calendrier par exemple, le Grand Bond en avant de Mao en Chine, la liste est longue... Mais une diatribe tiré de V pour Vendetta me vient à l'esprit: "Bonsoir Londres, Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun. Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu. Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ? Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité. Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir. Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier. Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays. Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre." Celle-ci montre bien que la mise à genoux peut se faire de manière coercitive, mais aussi volontaire de la part de celui qui se met à genoux en acceptant de se mettre à genoux... Tout dépend donc aussi de la perspective. Que ce soit BDSMement parlant ou politiquement (pris dans le sens large du terme) en étant à genoux on peut voir l'autre plus grand qu'il ne l'est, que cette mise à genoux se soient faite volontairement ou par la force... Mais on peut tout aussi bien se mettre à genoux JUSTEMENT parce que l'autre est grand, dans le sens admirable... Ta photo d'illustration montre visiblement une soumise en position nadu ... Il faut mieux alors pour elle qu'elle se soit mise dans cette position volontairement, parce qu'elle trouve son Maître Grand, qu'elle l'admire, et non de ne le trouver que grand parce qu'elle est dans cette position ce qui voudrait dire qu'elle le fut forcée et contrainte ou pour avoir fait un mauvais choix..... (vous???)
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Par : le 04/06/23
Son visage calme aux traits réguliers réflèta curieusement une bienveillance qui eut sur la toute jeune femme des effets miraculeux. Elle se leva sans un regard au miroir pendu au-dessus du lit. Depuis la dernière séance de domination, elle semblait avoir renoncé à tout désir de coquetterie. Elle la regarda longuement, puis eut un vrai sourire, dans lequel en faisant un effort, on pouvait retrouver ce qui avait été sa féminité avantageuse mais qu'un nouvel élément transformait en une sorte de féminité crispée, mais tout de même empreint de sérénité. Juliette a eu raison bien à l'avance et je ne lui suis déjà plus loyale. Alors, je me sentis mue par cette naïveté qui habite les cœurs encore jeunes, je fus convaincue que ma vie sentimentale ne pouvait abriter deux intrigues à la fois. J'étais poussée, en outre, par je ne sais quelle intime impossibilité de lui mentir. Nous ne possédions rien ensemble. Rien d'autre qu'un engagement mutuel, un collier de cuir et un lit. Rien, aucune activité sociale, aucun contact avec d'autres êtres humains, la lumière du ciel ou de la ville. Il n'était rentré dans notre relation que la vérité, crue et nue, de notre sexualité. Nous n'avions pas eu à donner le change, pas plus à nous-mêmes qu'aux autres, et les subtils aménagements ou glissements successifs vers le mensonge et l'omission qui s'opèrent entre deux amantes, n'avaient pas pu amorcer le chemin qui mène très souvent, vers l'hypocrisie, le compromis et le malentendu librement consenti. Nous n'étions pas des animaux très sociaux. Le mensonge, dès lors, ne servait à rien et nous n'y avions pas eu recours. Aussi, je me sentais tenue de tout lui dire, sans même l'embrasser ou la caresser, mais je n'avais pas assez comptée sur l'appétit que nous avions l'une de l'autre, et je lui fis d'abord l'amour, et le mal après. Sous le fouet, elle ne réagit pas. Elle eut un bref pincement aux commissures des lèvres si promptes habituellement au sarcasme, elle baissa la tête, elle la releva à peine émue. Ce n'était pas de l'indifférence, mais de la discrétion. Charlotte regarda Juliette sans pouvoir prononcer une parole. Elle prit une douche, et se brossa les cheveux. Elle finit de se sécher et passa seulement un peignoir. Et tout en s'essuyant avec une serviette de bain, elle se regarda dans le miroir, en contemplant les deux lettres JM qui ornaient son pubis lisse, double signe de son appartenance, mais surtout les vives cicatrices. Les coups de cravaches. Juliette la fouettait généralement elle-même, mais il lui arrivait de la faire fouetter par une autre jeune femme. C'était une fille très mate de peau, élancée et fine, les yeux bleus dévorant le visage, des cheveux noirs coupés droits au-dessus des sourcils, en frange à la garçonne. Elle avait de petits seins fermes et frémissants, des hanches enfantines à peine formées. À force d'être battue, elle était tombée amoureuse de Juliette.   Malgré les quatre derniers jours harassants, l'inconfort des lieux, la promiscuité avec les cinq autres jeunes femmes, sa beauté demeurait intacte, comme à jamais préservée. Elle obtint le droit de demeurer près d'elle. Mais Juliette lui interdisait de la caresser, de l'embrasser fût-ce sur la joue, ou de se laisser embrasser par elle. Elle attendait qu'elle arrivât à se soumettre sans avoir été touchée par les mains ou les lèvres de qui que ce fût. En revanche, elle exigeait souvent, puisqu'elle ne la quittait à aucun moment, qu'elle la vît aussi bien caresser une autre femme mais uniquement en sa présence et pour son seul plaisir. Peut-être Juliette avait trop comptée sur l'indifférence à la fois et la sensualité de Charlotte par rapport aux jeunes filles. Jamais, elle n'avait eu avec elle l'attitude d'une amante amoureuse. Elle la regardait froidement, quand elle lui souriait, le sourire n'allait pas jusqu'aux yeux. En admettant que Charlotte fût avec elle aussi abandonnée qu'elle l'était avec une autre, ce qui était probable, elle ne pouvait s'empêcher de croire que cet abandon ne l'engageait pas à grand chose ou rien. Mais dans ce double jeu subtil de duplicité, la sensualité n'était jamais absente, et le plaisir à fleur de peau. Et quel repos, quel délice le fouet qui balafre la chair et marque pour toujours, la main d'une Maîtresse qui vous couche sur un lit de fer, l'amour d'une Maîtresse qui sait s'approprier sans pitié ce qu'on aime. Et Charlotte se disait que finalement elle n'avait jamais aimé Juliette que pour apprendre l'amour, mieux se donner, esclave et comblée, à elle. Comme si elle avait deviné l'intensité de son plaisir, qu'elle dissimulait de son mieux sous les râles et les spasmes. Elle apprit à aimer porter des pinces aux seins. Mais Juliette disait qu'elle en profitait trop, que le plaisir effaçait la douleur et que cela était scandaleux. Les lèvres de son sexe étaient en revanche très sensibles, quels que soient ses efforts. Mais cette farouche volonté de ne jamais la décevoir lui permettait alors d'assumer bien des sévices. Elle se concentrait de toutes ses forces pour oublier ses souffrances. Parfois elle parvenait à oublier la douleur lorsque brisant ses chaînes et la tension nerveuse qui la faisait trembler, Juliette la fouettait et qu'elle se débattait entre ses mains, le visage durci par la peur et le désir. Elle cessait de se raidir, pressée contre le mur, saisie au ventre et aux seins, la bouche entrouverte par la langue de sa Maîtresse, pour gémir de bonheur et de délivrance. La pointe de ses seins se raidissait sous les doigts et parfois même les dents de Juliette. Elle fouillait alors si rudement son ventre qu'elle crut s'évanouir. Oserait-elle jamais lui dire qu'aucun désir, aucune joie, aucune imagination n'approchait le bonheur qu'elle ressentait à la liberté avec laquelle elle usait d'elle, à l'idée que Juliette n'avait aucun ménagement à garder, aucune limite à la façon dont, sur son corps, elle pouvait chercher son plaisir.   La chambre où elle se trouvait possédait des rideaux noirs et des volets toujours fermés, comme si de façon horriblement fantomatique, on l'obligeait à se cacher dans une cave, pour que son corps lui cause chaque fois un sentiment d'effroi et de révolte. Sans doute aussi, pour ne pas entendre ses cris. La certitude que lorsqu'elle la touchait, ce fût pour la caresser ou pour la battre. Sitôt que Juliette l'eut mise nue, certaine qu'elle ne désirait que sa parfaite docilité, elle demeura, les yeux baissés.Comme elle était là, plaquée contre le mur, les yeux fermés, les mains de sa Maîtresse montaient et descendaient le long d'elle la faisant brûler chaque fois davantage. Cette nuit, Charlotte passa une nuit agitée, maintes fois la jeune fille se réveilla en sursaut. L'aube fraîche apaisa son énervement. Elle en conclut qu'elle n'avait plus l'habitude d'être fouettée et quelques traces douloureuses sur ses reins la confirmèrent dans cette idée. Étendue nue sur son lit, elle se remémora la soirée et seulement toute l'horreur de son abandon lui apparut. Elle frémit à l'idée qu'elle avait pu s'offrir, se laisser ainsi sodomiser dans des poses d'une lubricité atroce par des inconnus. Puis, peu à peu, le souvenir de certaines émotions charnelles supplanta la vague de pudeur qui déferlait en elle. Elle repensa à l'ardente virilité de l'homme et trouva la vie plus belle que jamais. Elle se caressa dans la douce lumière du jour tamisée par les volets. La foi où elle était que lorsqu'on la touchait, que ce fût pour la caresser ou pour la battre, c'était pour sa Maîtresse. L'après-midi, elle retrouva Juliette et l'emmena chez Paul. Ainsi vêtues toutes deux de blanc, on aurait dit des sœurs et le miroir éclairé renvoya bientôt aux yeux de l'homme leurs intimités lisses et moites. Bientôt, les deux corps dénudés se roulèrent sur le lit en une étreinte sauvage où Charlotte exhala non sans passion sa volupté toujours puissante. Alors la jeune fille abandonna son corps aux désirs sadiques de Paul. Il l'entraîna sur une table haute et l'allongea à plat-ventre, jambes et bras écartés en lui liant les chevilles et les poignets fermement avec des cordes en prenant soin d'étirer ses membres en position d'écartèlement extrême. Paul se saisit d'un martinet aux lanières en cuir et commença avec art à flageller les reins qui s'offraient à lui. Il commença doucement, visant le sommet des fesses tendues. Elle n'avait pas très mal. Chaque coup amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion légère des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la soumise contrainte sortirent de longs soupirs. Paul, excité, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements de Charlotte furent plus profonds et la danse de la croupe s'accentua bientôt. Elle se débattait entre ses liens, non pas pour s'en soustraire, mais au contraire, pour le plaisir d'être plus faible. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure dans les reins et hurla. L'homme la flagellait à toute volée. Il n'attendit pas qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à la tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules de Charlotte et lui caressa la tête, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Paul frappa encore plus fort et les fines lanières claquèrent dans un bruit mat les fesses musclées. La suppliciée se mit à gémir en hoquetant et en tordant son buste que sa Maîtresse maintenait tout en le caressant.   Autour d'elle cinq autres jeunes femmes se préparaient pour la nuit. Elles le savaient et s'accomodaient les unes aux autres. Charlotte apprit à être docile et patiente. Sa Maîtresse lui promit toutes les joies charnelles qu'elle voudrait sur son propre corps, mais lui demanda de résister encore. Parfois Charlotte se tournait vers Paul dénudé, qui, tel un démon, les yeux fous de luxure, le ventre tendu, la verge en érection, la flagellait avec une force inouïe. Alors les lanières léchèrent le sexe entre les cuisses écartées et un long cri s'échappa des lèvres de la soumise douloureusement atteinte. Elle voulut fermer les jambes mais des cinglements plus vifs l'atteignirent sur leur coté. Mais la douleur devint trop vive. Mais quel bonheur, le cuir qui marque les chairs, le désir d'une Maîtresse qui sait s'adjuger sans compassionce qu'elle veut. Elle se disait qu'enfin, elle avait aimé son amante que pour mieux se donner, esclave et comblée. Elle laissa alors couler quelques larmes sur la main de Juliette qui fit signe à Paul de cesser la flagellation. On la détacha de façon à lui permettre de pouvoir prendre un peu de repos, mais cet intermède ne dura que peu de temps. Penchée sur le ventre ouvert de la soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité mais elle même, sentit monter en elle la plus violente des jouissances sous la caresse précise de Paul qui, glissant sa langue entre ses reins, lapait alors la peau satinée de sa voie étroite, tandis que des lèvres de Charlotte s'échappait la plainte d'amour, s'éleva bientôt legémissement étouffé de la chair humide et palpitante de Juliette, jouissant de toutes ses forces. Paul dut alors maintenir les hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Quand Charlotte eut repris ses sens, tous trois revinrent sur le lit. Paul fit prendre à la jeune soumise les positions les plus indécentes, puis à son tour, il lui tendit sa verge en érection. Elle s'agenouilla et le masturba lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair avant de le prendre en bouche. Avec violence le phallus se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres qui l'aspiraient pour le retenir. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge de son sperme abondant et visqueux qu'elle avala mystiquement jusqu'à la dernière goutte.Ses yeux brillaient de grâce sous le regard envieux et jaloux des cinq autres jeunes femmes.    La jeune femme se sentait plus à l'aise, moins égoïste et surtout savait mieux apprécier le vrai bonheur d'être offerte. Elle s'aimait moins pour elle que pour l'homme. Ce sentimentalisme excèdait sa Maîtresse. -"Quels enfantillages !" pensait-elle. Le plaisir sur lequel elle ouvrait les yeux était un plaisir anonyme et impersonnel. Elle gémit bientôt sous les caresses de sa Maîtresse, et commença à crier quand son amante, se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre ses cuisses engourdies, les fines et souples petites lèvres.Juliette posa son index sur l'anus de Charlotte, et lentement l'enfonça dans les entrailles chaudes, jusqu'au bout. Les yeux fermés, elle cherchait à imaginer, en sentant les contractions des sphincters intimes, la volupté ressentie par un homme dont le membre était pris dans cette voie exiguë. Doucement, elle agita son doigt dans l'orifice offert, tandis que sa soumise redonnait de la vigueur à Paul, par le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur le membre gonflé. Elle comprit simplement qu'à son tour, il souhaitait frayer un chemin au plus étroit. Alors, bientôt il se dégagea, se leva et, attirant par les reins Charlotte, laissa son sexe se caresser au sillon des reins, que Juliette avait laissé à regret. Alors avec force, sans préliminaire, il enfonça son phallus, remontant et allant frapper au fond de la cavité de l'orifice naturellement étroit. Dans un long gémissement, elle accepta cette chair qui distendait ses reins non sans se débattre et sans être comblée de honte, mais à laquelle, elle ne se déroberait pas, même si cela lui semblait sacrilège. Elle gémit encore plus fort, quand elle sentit le membre caché, buter au fond de ses entrailles offensées. L'homme ne la quitterait, qu'à la nuit tombée, après lui avoir avec frénésie, labouré les reins tant il était épais et roide. Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau. Paul sodomisa profondément ce jeune corps soumis, se regardant glisser hors de l'étui intime, se contracter et distendre les bords plissés de l'anneau anal. Bientôt, l'excitation fut trop forte et il accentua la cadence, secouant la croupe empalée. Charlotte, elle même avivée par ce frottement intense dans ses entrailles forcées, s'abandonna à son tour, tandis que l'homme lançait en elle, par saccades quatre jets de sperme visqueux et âcre. Elle se tordit de jouissance et, dans une longue plainte, soupira, s'écroula, vaincue par un orgasme dont l'intensité la bouleversa. Paul se retira, la libérant. Charlotte voulut le prendre dans sa bouche pour le laver, mais dédaigneusement, il refusa. Elle avait remarqué que sa Maîtresse aimait aussi à tout instant, même si elle ne la désirait pas, la savoir à sa merci. Semi-consciente, elle pensa seulement qu'aucun orifice de son corps ne serait épargné, qu'elle devrait aussi accepter d'être prise au plus étroit et savait que cette humiliation lui serait infligée par la volonté de la maîtresse qu'elle aimait. Elle était là pour que Juliette assouvisse ses bas instincts, ses plus vils fantasmes. Au fond d'elle même, elle était décidée à ne pas la décevoir. En fut-elle délivrée ? Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de sueur, de salive, et de sperme, elle se sentait comme un réceptacle d'impureté. Cependant les parties de son corps les plus souvent offensées lui paraissaient, malgré elle, plus belles, comme anoblies. Sa liberté serait pire que n'importe quelle chaîne. Elle ne fut pas déçue, lorsque Juliette décida finalement de la posséder outrageusement par l'arrière à l'aide d'un gode-ceinture, laissant à Paul ragaillardi, le soin de forcer sans aucun ménagement les lèvres de son vagin. Au bord de l'épuisement, sa Maîtresse l'offrit pour le restant de la nuit aux caprices des cinq jeunes vierges impatientes et envieuses, comme bon il leur semblerait.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/06/23
La fin de l'amour, on ne l'aperçoit pas toujours. Mais parfois, si. Parfois même, on peut la dater. Mais le début ? Et de vanter les merveilles de la passion véritable, quand on s'aime vraiment, le sexe et l'union des corps comme une fusion. La métamorphose fut délectable. Les souvenirs très précis de leur dernière étreinte la cambrèrent d'une délicieuse honte et courut en petits frissons dans son dos. Une bouffée d'orgueil l'obligea soudain à sourire et à respirer très vite. La première fois, c'est la promesse d'une longue série d'autres fois, mais c'est aussi le deuil de quelque chose qui n'arrivera plus. Il ne peut pas y avoir hélas plusieurs premières fois. Charlotte prit sur le lit une robe dos-nu, très échancrée sur les reins, le serre-taille assorti, les bracelets en cuir et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant ainsi suivre la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on avait plus ou moins serré le corset. Juliette l'avait beaucoup serré. Sa robe était de soie noire. Sa Maîtresse lui demanda de la relever. À deux mains, elle releva la soie légère et le linon qui la doublait découvrit un ventre doré, des cuisses hâlées, et un triangle glabre clos. Juliette y porta la main et le fouilla lentement, de l'autre main faisant saillir la pointe d'un sein. Charlotte voyait son visage ironique mais attentif, ses yeux cruels qui guettaient la bouche entrouverte et le cou renversé que serrait le collier de cuir. Elle se sentait ainsi en danger constant. Lorsque Juliette l'avertit qu'elle désirait la fouetter, Charlotte se déshabilla, ne conservant que l'étroit corset et ses bracelets. Juliette lui attacha les mains au-dessus de la tête, avec la chaîne qui passait dans l'anneau fixé au plafond et tira pour la raccourcir. La chaîne cliquetait dans l'anneau, et se tendit si bien que la jeune femme pouvait seulement se tenir debout. Quand elle fut ainsi liée, sa Maîtresse l'embrassa, lui dit qu'elle l'aimait, et la fouetta alors sans ménagement. Un touble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance la saisit à la fois. Il y eut une plainte, un sursaut de poitrine. Elle soupira, serra les dents, regardant intensément Juliette, alors animée du désir irrésistible de vouloir la dépecer, puis renversa la tête et attendit. À nouveau, une longue plainte jaillit des lèvres serrées, finit en un cri aigu. Endolorie et horrifiée, elle ne savait comment remercier Juliette de ce qu'elle venait de faire pour elle, mais elle était aussi heureuse de lui avoir fait plaisir.    Son triomphe fut modeste et absolu. La domination venait de son amante. Lorsque Charlotte tourna la tête vers Juliette, alertée par le bruit d'une cascade qu'elle avait, à sa grande confusion, du mal à maîtriser et à diriger, il y avait sur son visage, non pas cette attention pointue et intimidée que sa Maîtresse attendait, ce guet presque animal, regard aminci, sourcils bas, lippe close et frémissante, mais une gravité douce, comme si soudain elle avait eu la pudeur de ses exigences, et honte qu'on les satisfît. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. Elle la regarda se débattre, si vainement, elle écouta ses gémissement devenir des cris. Le corset qui la tenait droite, les chaînes qui la tenaient soumise, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose. À force d'être fouettée, une affreuse satiété de la douleur dût la plonger dans un état proche du sommeil ou du somnambulisme. Le spectacle aussi et la conscience de son propre corps. Mais au contraire, on voyait sur son visage la sérénité et le calme intérieur qu'on devine aux yeux des recluses. Elle perdit le compte des supplices, de ses cris, que la voûte étouffait. Charlotte oscillait de douleur. Mains libres, elle aurait tenté de braver les assauts de Juliette, elle aurait osé dérisoirement s'interposer entre ses reins et le fouet, qui la transperçait. Chaque cinglement amenait un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. Lorsqu'elle entendit un sifflement sec, Charlotte ressentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'approchât de Charlotte et lui caressa le visage, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée, puis elle lui ordonna de se retourner et recommença, frappant plus fort, les fines lanières de cuir lacérèrent sans pitié l'auréole de ses seins. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Charlotte laissa couler quelques larmes. Mais espérer que cette faiblesse désarmerait sa Maîtresse était futile, et elle savait bien que c'était tout le contraire. Sa douceur offerte appelait les blessures autant que les caresses. Elle eut ainsi un moment d'illusion.    Une femme menacée, ce n'est pas un pléonasme. Le ridicule ne tue pas, la violence, si. Elle sut alors que la position de sa Maîtresse était plus difficile que la sienne, car on ne s'improvise pas meneuse de jeux érotiques, violeuse de tabous, dénonciatrice de routine. Sa résistance l'eût peut-être agaçé, ou déçu, mais réconforté. Elle avait obéi, et elle se sentait soudain dépassée par l'idée que le geste était un geste d'amour pour un bourreau étrange auquel on s'efforce de plaire. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/06/23
Je l’ai croisé Par un matin brumeux D’un gris cotonneux Elle était tombée d’un escalier La faute au bois et à ses nœuds C’est traitre le hêtre   Elle avait des bleus Des bleus à lames Piquetés de jaune paille Venus des champs de bataille   Elle avait des lèvres rouges Rouge gorgée D’encre sanguinolente   Elle tenait des plumes blanches Eventail de colombe affolée Coincée entre ronces et branches   Elle portait une cape marron Maron gadoue, grillée au plastron Pèlerine effilochée d’espoirs voyagés     Pourtant si vous l’aviez vue M’sieurs Dames, si vous aviez vu comment elle irradiait de joie, d’amour et de vie Et sa voix, sa voix M’sieurs Dames ! Si vous l’aviez entendue vous auriez été envoutés Elle a haussé les épaules d’un geste fatal et fantaisiste et m’a dit « Tu n’y peux rien, continue d’y croire. Un jour ils seront prêts et je reviendrai » C’était il y a une semaine, J’vous jure M’sieurs Dames Que ce matin là J’ai vu La Fraternité Dans un arc-en-ciel s’envoler Dans un matin brumeux D’un gris cotonneux
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Par : le 02/06/23
Jeune sous officier de 25 ans dans les années 80, solitaire, beau gosse me trouvaient les filles, à l'époque, séductueur plutot d'épouses mariées, aventureux, sans lendemain, pas envie de vivre en couple.  Sportifs, militaires, nous avions l'habitude de prendre une douche à coté des vestiaires. Douches communes tous ensemble, quel que soit le grade. "Bonjour,... ça va ?.... à demain..." , échanges neutres et polis, jusqu'au jour ou un jeune capitaine, à peine 30ans m'invite. "On se croise, on ne se connait pas, après le travail, venez boire un verre, j'habite à trois stations de métro d'ici" .  Naif, réellement naif, je me rends chez lui, juste pour échanger, aucune idée derrière la tete. Juste une amitié naissante. Assis dans son salon, devant un petit apéro, il mets une K7 vidéo érotique, se caresse à travers son pantalon. Il sort son sexe et se masturbe naturellement. Dans ma culture à l'époque, se masturber est mal, honteux, je pose ma main sur la sienne d'une façon volontaire pour qu'il arrete. En meme temps je touche son sexe sans arrière pensée. Et c'est là que tout a basculé, ma vie chamboulée par ce simple geste spontanné. en disant "Arretez..." J'avais honte pour lui, franchement, se masturber... Naturellement j'ai pris son sexe chaud dans ma main, des doux va et vient réconfortants, et sentir ma puissance devant ce jeune et beau capitaine, je voulait lui donner du plaisir. Tout en restant vêtu, j'ai approché mes lèvres de son sexe pour ressentir encore plus son désir, son plaisir jusqu'à ce qu'il s'abandonne dans ma bouche. Ensuite je l'ai embrassé, partageant sa semence. Première fois que j'avais un rapport avec un homme. Je suis rentré ensuite chez moi, en banlieue, honteux, de part mon éducation et mes valeurs. Nous nous sommes revus au mess, cotoyés dans les couloirs, complices sans que plus rien ne se passe, de part ma volonté. Il aurait voulu continuer. Nous avons eu des mutations, nos chemins ne se sont plus croisés. Qu est il  devenu ? De mon coté des regrets... la bisexualité n'éxistait pas dans les années 80.  
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Par : le 31/05/23
Il existe autant de BDSM que de pratiquants, chaque relation étant unique... Rajoutons-y le SM pur et dur, et la D/s Certains sont, ce que l'on pourrait appelé des "sadiens", pensant juste à la torture, à la destructions, à l'exemple de Sade, et les "masochiens" plus prenant le plaisirs dans celui de la soumise... Tout comme il existe des soumises qui sont dans l'auto-destructions.... répondant aux "sadiens" quand d'autres sont plus dans le plaisirs d'être punies, humiliées pour s'élever.... Chaque pot ayant sont couvercles, une recherchant juste l'auto-destruction ne peut correspondre à un "masochien" qui lui, n'a pour but que l’élévation de la soumise... Mais si un "sadien" ne peut être "masochien", ne nous cachons pas que, en ce qui concerne les Doms/Maîtres, un "masochien" prenant le plaisirs en premier de la soumise et peut plus facilement répondre à une soumise auto-destrutrice, puisque prenant aussi plaisir à voir dans les yeux de celle-ci le mélange douleurs/plaisirs de cette dernière quand elle est humilée, punies.. Car quand bien même il vous dira qu'il ne prends pas plaisirs à vous punir, soyons un minimum honnête! Sinon, il ne serait pas dans le BDSM... Quoiqu'il en soi, quelque soit le type de relation chosie, le Maître doit amener sa soumise là ou elle veut, que ce soit vers l'élévation ou la destructions, la soumise se soumettre, autrement dit se mettre sous et obéir... Soyons donc sûr de la recherche de l'autre!!!... Edit du 1er juin: la précision de ma pensée se trouve dans ma réponse à Féanor. Merci à lui de sa réaction!
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Par : le 31/05/23
Depuis très jeune, j ai aimé. J ai donc connu des expériences de toutes sortes... Il y a qq temps sur ce site,j ai été contacté par un homme âgé, qui m a demandé de venir devant la porte de son garage , un début de soirée, en talons haut et cagoule pleine, ouverte juste pour la bouche. Je me suis présenté à l heure, avec les bras croisés dans le dos. Il m'a ouvert, et m'a lancé : rentre chienne, et mets toi à genoux! J exécute. Il me lance: je veux tjrs voir ta langue tendue! Il me dis :je filme, ça te dérange pas? C est un voisin qui regarde, pour voir si ça vaut le coût qu il vienne. Il me fout ça grosse queue au fond de la gorge, que j'avale sans hoqueter, le plus longtemps possible.. Je sens claquer ça ceinture sur mon cul, et tout de suite après, une vive brûlure..et c 'est partie pour une série qu'il me demande de compter, la bouche pleine Ensuite,  il m'appui avec ça main, puis son pied pour mettre ma tête contre le sol, et me dit de pas bouger. J' entends visser d un côté de ma tête, puis de l autres, et sent une sangle qui joint les deux, m immobilisant ccomplètement, le cul en l'air. Puis deux sirflex autour de mes bras joints dans le dos. Il m' a écarté les cuisses, et iimmobilisé de la même manière mes chevilles. Il a ensuite dit: voilà, elle est prête la petite chienne ! J ai quelques trucs qui devraient bien t' ouvrir pour commencer! Il m'a lubrifié abondement, et commencé à entrer ces doigts, et d'autres choses qui forçaient de plus en plus. Il m'a rempli la bouche avec un torchon qu'il a maintenu avec une cordelette autour de ma tête , et mi un petit coussin dessous. Je me sentais bien car je sentais un contrôle étudié Son voisin est arrivé, et il lui a dit : à toi l'honneur! Il s'en ai suivi une séance longue et puissante, de poings qui rentraient, sortaient, l' un, puis l'autre. Ils m' ont ensuite détaché et mi dehors, comme ça, et il m'a lancé : Merci, t'es une bonne salope, je vais te recommander au club... Voilà, je suis parti comme ça. En souhaitant que cette aventure vous a plus              
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Par : le 28/05/23
Au fil des mois, sous la coupe de Mon Maître, je devins la parfaite esclave sexuelle pour lui et ses relations mais également une véritable petite pute. Le dressage avait si bien fonctionné que même en son absence, mon esprit était entièrement tourné vers l'asservissement. Durant la période lycée, je passais mes heures de libres dans un parc public. J'avais repéré un banc sur une artère empruntée par des joggers. Je m'y asseillais et dès qu'un homme arrivait, je me redressais, écartait les jambes, posais les mains sur les genoux paumes vers le haut. La tête baissée et bouche légèrement ouverte complaitait le tableau. Quelques fois l'homme s'arraitait de courir pour s'asseoir à mon côté. Tu m'as l'air d'être une bonne salope soumise toi ! Oui monsieur j'en suis une. La plupart fourageaenit vite dans mon survêtement et me tripotaient la queue . Tu es maquée ? Oui monsieur j'appartiens à Maître Marc. Combien la pipe ? 50 Frans Monsieur, 100 francs par le cul. Derrière le banc un gros bosquet nous accueillait pour une fellation ou une sodomie. Bien sûr sans capote. Comme j'étais très ouverte, seules les grosses queues arrivaient à me faire jouir. penser à Maître me comblait, il m'arrivait certains jours à vider une dizaine de types. Avec le recul, je reconnais que j'ai eu énormément de chance de ne pas attraper une saloperie ou de tomber sur un brutal mais j'aimais énormément cela et ne pouvais plus m'en passer. Cette période bénie pris fin peu après mes 18 ans avec la convocation pour les trois jours pour effectuer le service militaire obligatoire....
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Par : le 27/05/23
Prendre le temps par la main Glisser dans une robe moulante Laisser la porte ouverte aux surprises Repasser ses souvenirs Sans faire un seul pli Sauter entre les points de suspension Lézarder ses pensées Déprisonner les mots muets Etaler un drap blanc sur la plage Être une île flottante Au rythme de l’océan S’allonger le soleil Aux battements de mon cœur Grignoter du melon S’envoler pour de vrai S’oublier sur la plage ...
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Par : le 27/05/23
Un mélange de désir, d' envie, de plaisir, ... et de frustration agréable, douce. Ne pas l'associer forcément au hard, mais bien au soft, meme lorsqu'elle se revendique métal hard rock. Pourquoi avoir peur de la cage pour homme, perso si elle est portée en tant que "bijou" elle peut valoriser un sexe. "Un sexe masculin qui pendouille et se balade n'est pas très beau et gracieux" me disait une amie de ma femme.  De plus cela évite les érections génantes pour l'entourage, un cache sexe élégant, meme sans cadena, à quand la cage-bijou banalisée.    
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Par : le 26/05/23
CONFIANCE / RECIPROCITE / COMPLICITE / SENSUALITE :    1 CONFIANCE Ce n'est pas anodin que de pratiquer une relation BDSM ! En premier lieu, le Soumis doit avoir une confiance aveugle envers son Maître, car il y a des risques à  se laisser librement & volontairement dominer autant sensuellement, physiquement & sexuellement! Le soumis peut en effet se retrouver dans une situation bien délicate où alors il lui sera impossible de demander une libération ou de pouvoir se libérer lui-même ! C'est déjà arrivé de trouver un soumis incapable de se libérer! Le Maître doit également avoir une entière confiance avec celui qui a accepté de se livrer, une fois bien clairement établi les limites des deux complices bien réciproques! J'ai pu ainsi me laisser entraver dans des lieux privés ou publics en toute confiance envers celui qui aimait ainsi voir mon corps offert et disponible en toute sérénité et confiance ! Je savais qu'il prenait du plaisir à me voir ainsi immobilisé autant que j'en prenais à me savoir à sa disposition !    2 RECIPROCITE : Ce n'est guère évident de trouver une réelle réciprocité entre le soumis et son Dominant : j'avoue avoir eu le bonheur et la chance d'avoir pu expérimenter une réelle réciprocité avec deux de mes anciens Maîtres ! Je suis toujours venu chez mes Dominateurs sans crainte du risque de pouvoir me trouver dans une situation indésirable ! 3 COMPLICITE : Pas toujours sur de trouver une agréable complicité entre les deux partenaires complémentaires et pourtant bien opposés ! Quels bonheurs et plaisirs surement partagés de se savoir réellement complice de son dominateur ! Savoir et parfois voir que son Dominateur prend autant de plaisirs à Vous contraindre qu'il en à Vous dominer physiquement, sensuellement et sexuellement ! Avoir la possibilité de sentir son corps à la complète disposition d'un Maître qui est vraiment complice d'une relation Dominant-Dominé !   4 SENSUALITE :   Personnellement c'est un passage obligé : je n'entrevois guère une relation Domi/soumis sans une réelle sensualité ! Le Maître doit exercer une sensualité forte sans brutalité qui doit mener son soumis à une soumission réelle, non exclue d'une forte sensualité bien réelle! Le Maître doit pouvoir parcourir l'ensemble du corps de son soumis sensuellement jusqu'à la limite du supportable sans devoir exercer une brutalité trop souvent inutile! La Domination n'exclue pas la sensualité, bien au contraire : elle peut être d'une violence souvent plus efficace que la brutalité!
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Par : le 26/05/23
Dans le BDSM, le piétinement peut avoir une symbolique forte de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut aussi procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission. Le piétinement : une pratique BDSM Le piétinement est une pratique BDSM où une personne (généralement la dominante) piétine l'autre personne (généralement la soumise) avec ses pieds nus ou chaussés. Cette pratique peut inclure plusieurs variantes, notamment : Piétinement en talons hauts : Cette variante consiste à piétiner la personne soumise avec des chaussures à talons hauts, ce qui peut intensifier la sensation de douleur ou d'inconfort. Les talons peuvent être pointus ou larges, en fonction des préférences des participants. Piétinement sur des parties spécifiques du corps : Cette variante implique de piétiner une partie spécifique du corps, comme le ventre, le visage ou les parties génitales. Cela peut être particulièrement stimulant pour la personne soumise. Piétinement avec des accessoires : Cette variante implique d'utiliser des accessoires tels que des bottes, , des bas ou des chaussettes pour piétiner la personne soumise. Ces accessoires peuvent ajouter une texture ou une sensation supplémentaire. Marche sur le corps : Cette variante implique que la dominante marche sur le corps de la personne soumise, de la tête aux pieds. Cette pratique peut être particulièrement intense, surtout si elle est pratiquée en talons hauts. Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut également procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et doivent être pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. La communication entre les participants est essentielle pour établir les limites et les règles de la pratique. La symbolique du piétinement dans le BDSM Dans le BDSM, le piétinement a une symbolique forte de domination et de soumission. La personne soumise est littéralement sous les pieds de la personne dominante, ce qui peut être interprété comme une représentation de son infériorité et de sa soumission totale à la volonté de la personne dominante. Le piétinement peut également symboliser la punition ou la correction. En effet, si la personne soumise a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre, la dominante peut lui infliger une punition en le piétinant. En outre, le piétinement peut être utilisé pour créer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, ce qui peut renforcer le sentiment de soumission et de contrôle de la personne dominante. Enfin, le piétinement peut également être utilisé comme une pratique de fétichisme. Certaines personnes trouvent les pieds très érotiques et peuvent être excitées par l'idée d'être piétinées ou de piétiner quelqu'un d'autre.   Les dominatrices et le piétinement Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement peuvent varier en fonction des préférences et des motivations personnelles de chaque personne. Cependant, voici quelques raisons courantes pour lesquelles les dominatrices peuvent être attirées par cette pratique : 1. La domination : Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination dans le BDSM. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de pouvoir contrôler et dominer complètement la personne soumise, qui se trouve sous leurs pieds. 2. Le fétichisme des pieds : Certaines dominatrices peuvent avoir un fétichisme des pieds, ce qui signifie qu'elles sont sexuellement excitées par les pieds. Le piétinement peut leur permettre de satisfaire leur fétichisme tout en dominant leur partenaire. 3. La punition : Le piétinement peut être utilisé comme une forme de punition pour la personne soumise, si elle a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre. Les dominatrices peuvent trouver cela satisfaisant de pouvoir punir leur partenaire de cette manière. 4. La stimulation : Le piétinement peut être utilisé pour créer une stimulation physique pour la personne soumise. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de voir la réaction de leur partenaire à la sensation de douleur ou d'inconfort créée par le piétinement. La relation entre la dominatrice et le soumis dans le piétinement Le piétinement dans le BDSM implique une relation de domination et de soumission entre la dominatrice et le soumis. La dominatrice est celle qui domine et contrôle la situation, tandis que le soumis est celui qui est soumis à sa volonté. Le piétinement est l'un des moyens pour la dominatrice de manifester cette domination. Dans une relation BDSM, la dominatrice et le soumis ont établi des règles et des limites claires avant de commencer la pratique. Ils ont également discuté de leurs désirs et de leurs attentes en ce qui concerne le piétinement, afin que chacun soit conscient des attentes de l'autre. Le soumis est prêt à se soumettre à la volonté de la dominatrice, qui est prête à assumer la responsabilité de la sécurité et du bien-être de son partenaire soumis. Lors du piétinement, la dominatrice peut demander au soumis de se mettre à genoux ou à plat ventre, afin qu'elle puisse le piétiner. Elle peut utiliser ses pieds nus ou chaussés pour piétiner différentes parties du corps, en fonction de ce qui a été convenu au préalable. Le soumis peut ressentir de la douleur, de l'inconfort ou de l'excitation en fonction de l'intensité du piétinement. La dominatrice peut également communiquer avec son partenaire soumis pour savoir comment il se sent et s'assurer que les limites établies sont respectées. Dans le cadre d'une relation BDSM, le piétinement est une pratique consensuelle qui peut renforcer la relation de confiance et de respect mutuel entre la dominatrice et le soumis. En effet, le soumis fait confiance à la dominatrice pour respecter ses limites et pour le protéger, tandis que la dominatrice respecte les limites établies et assume la responsabilité de la sécurité de son partenaire soumis. Cette pratique peut également permettre aux participants de mieux comprendre leurs désirs et leurs limites, ainsi que de renforcer leur connexion émotionnelle et physique.  Les aspects psychologiques et physiques du piétinement Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement par une dominatrice peuvent varier en fonction de l'intensité de la pratique, de la durée et des parties du corps impliquées. Cependant, voici quelques sensations courantes que le soumis peut ressentir : 1. Douleur : Le piétinement peut être douloureux, surtout si la dominatrice applique une pression importante sur une zone sensible du corps. Cette douleur peut être ressentie comme une sensation de brûlure ou de piqûre. 2. Inconfort : Même si le piétinement n'est pas nécessairement douloureux, il peut être très inconfortable pour le soumis. Il peut ressentir une pression sur les parties de son corps piétinées, qui peuvent devenir engourdies ou endolories. 3. Excitation : Certaines personnes soumises peuvent trouver le piétinement excitant, surtout s'il est pratiqué avec une certaine intensité. Cette excitation peut être ressentie comme une montée d'adrénaline ou une augmentation de la tension sexuelle. 4. Soumission : Le piétinement est une pratique BDSM qui implique une relation de domination et de soumission. Le soumis peut ressentir une sensation de soumission en étant sous les pieds de la dominatrice, qui contrôle la situation et a le pouvoir de décider de la suite des événements. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. Les limites et les règles de la pratique doivent être clairement établies avant de commencer, et la communication entre les participants est essentielle pour s'assurer que chacun est à l'aise avec ce qui se passe.   L'impact psychologique du piétinement sur les participants DOMINATRICE : Le piétinement dans le BDSM peut avoir un impact psychologique sur la dominatrice qui le pratique, même si cette pratique peut être source de plaisir et d'épanouissement pour elle. En effet, cette pratique implique une relation de domination et de soumission qui peut avoir des répercussions psychologiques sur les participants. Dans le cas spécifique de la dominatrice, le piétinement peut renforcer son sentiment de pouvoir et de contrôle sur son partenaire soumis. Elle peut ressentir une satisfaction à l'idée de dominer et de soumettre son partenaire, ce qui peut renforcer son estime de soi et son sentiment de puissance. Cependant, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur la dominatrice si elle se sent mal à l'aise ou coupable d'infliger de la douleur ou de l'inconfort à son partenaire. Si elle ne parvient pas à distinguer clairement la frontière entre le jeu BDSM et la réalité, cela peut entraîner des sentiments de culpabilité et de confusion chez la dominatrice. De plus, la pratique du piétinement peut être mentalement éprouvante pour la dominatrice. Elle doit être en mesure de gérer les émotions et les sensations de son partenaire soumis tout en restant concentrée sur la pratique elle-même. Si la dominatrice a du mal à gérer ses propres émotions ou à maintenir une communication claire avec son partenaire soumis, cela peut rendre la pratique difficile et épuisante sur le plan mental. Il est donc important que la dominatrice soit consciente de ses limites personnelles et qu'elle s'assure que son partenaire soumis respecte les règles et les limites établies. La communication ouverte et honnête est essentielle pour que les deux participants puissent tirer le maximum de plaisir et de satisfaction de cette pratique BDSM. SOUMIS : Le piétinement dans le cadre d'une relation BDSM peut avoir un impact psychologique sur le soumis qui peut être à la fois positif et négatif. D'une part, le piétinement peut provoquer une excitation sexuelle chez le soumis, ce qui peut renforcer son désir et son attraction pour la dominatrice. Il peut également ressentir une sensation de soumission qui peut être source de plaisir et d'épanouissement, en étant sous les pieds de la dominatrice et en se soumettant à ses désirs. D'autre part, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur le soumis si les limites sont dépassées ou si la pratique est trop intense. La douleur et l'inconfort peuvent être ressentis comme extrêmement désagréables et traumatisants, ce qui peut avoir des conséquences psychologiques à long terme. Le piétinement peut également avoir un impact sur l'estime de soi du soumis. Si la dominatrice utilise cette pratique pour humilier ou dévaloriser le soumis, cela peut affecter son image de lui-même et le faire douter de sa valeur personnelle. Il est donc important que le soumis soit en mesure de fixer des limites claires et de communiquer ouvertement avec la dominatrice afin de s'assurer que ses besoins et ses désirs sont respectés. En fin de compte, il est important que les participants à une pratique BDSM comme le piétinement soient conscients des risques potentiels et de l'impact émotionnel que cela peut avoir sur eux. La communication ouverte, l'établissement de limites claires et le respect mutuel sont essentiels pour que cette pratique soit pratiquée en toute sécurité et pour que les participants en retirent une expérience positive et enrichissante.  
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Par : le 25/05/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________ En 2016   C’est la rentrée, me voici dans une nouvelle école pour refaire mon année, je vais mieux et j’ai soif d’aventures, il est temps que je profite de tout ce que la vie peut m’offrir. Les derniers mois furent salvateurs pour la jeune femme abimée que j’étais, cette rentrée est pour moi un nouveau départ mais avant de vous conter cette nouvelle et tumultueuse aventure, revenons sur ma rédemption.   J’étais suivie par un psychologue à qui j’ai pu tout dire de mon rapport aux hommes, mettre le doigt sur mon problème avec mon père, ce que son absence a créée chez moi ainsi que pointer du doigt mon envie d’autodestruction et ma culpabilité vis-à-vis de Thomas. Je travaillais avec lui sur la vision que j’avais de moi et des relations hommes/femmes, je mettais pour la première fois de ma vie des mots sur mon besoin d’affection, mon insécurité quand il s’agit de s’attacher à un homme, ma peur de l’abandon ou encore mon estime de moi et au fil des séances, je sentais que je reprenais confiance en moi. Je me confiais beaucoup à ma mère sur mon manque de confiance en moi et ma peur de l’abandon, à Clara sur mes addictions et la relation toxique que j’avais eue avec Adrien et enfin à Kévin sur ma sexualité, mes vices et mon besoin d’affection, tout ce beau-monde m’aida a affronter mes démons. Il se passa plusieurs semaines où mon quotidien se résumait à regarder des séries, à jouer aux jeux-vidéos, à faire du shopping, profiter de mes proches. La vie était agréable, sans pression, loin des cours et de cette vie solitaire que j’avais menée, je pouvais me consacrer à mon introspection et ma thérapie mais surtout à tenir mon régime et me buter à la salle de sport pour retrouver un corps dont je sois fière. La salle de sport était l’endroit où j’étais le plus vulnérable, je devais faire face à mon corps et ce qu’il fallait que je change mais j’y étais majoritairement entourée d’hommes et je sentais leur regard sur moi. J’essayais d’y aller l’après-midi pour éviter les heures où la salle est trop fréquentée, je savais que voir des beaux garçons pourraient me donner des envies que je ne pouvais m’autoriser dans mon état actuel et que me faire accoster par des mecs là-bas mettrait à l’épreuve la vision que j’ai de moi, je n’étais pas prête pour du flirt surtout que j’avais jurée de faire abstinence le temps d’aller mieux. Etonnamment l’addiction dont j’avais le plus de mal à me sevrer ce n’était pas l’alcool ou la drogue mais la masturbation et ma consommation de porno, mon psy m’avait demandée de réduire drastiquement ma fréquence de plaisir en solitaire et c’est la résolution que j’avais prise que j’avais le plus de mal à appliquer. Ayant reconnue que j’étais nymphomane et que le sexe prenait trop de place dans ma vie et dans mon rapport avec les hommes, il fallait que je m’en détache un certain moment afin de mieux appréhender pourquoi j’étais aussi accroc à la chose.  Mon psy pensait que ma surexposition au porno et l’obscénité du contenu sur lequel j’avais l’habitude de fantasmer ne pouvait qu’alimenter la faible estime que j’avais de moi et ma vision peu flatteuse du rapport homme/femme donc il me conseillait d’essayer de ne plus en regarder et de faire appel à mon imagination si je devais me toucher. Ce qu’il n’avait sûrement pas imaginé c’est qu’un tel exercice me ferait fantasmer sur lui, il était automatiquement dans ma tête au moment où je devais me retenir de céder a mes pulsions et j’avais la sensation d’être sous son contrôle à lui obéir… Je me touchais en m’imaginant le faire sur son canapé en pleine séance, j’avais envie qu’il me voit en train de me toucher comme la petite salope que je suis, qu’il me dise qu’il allait calmer mes envies avec sa propre bite … Bref, je me touchais en m’imaginant me faire sauter par mon psy dans son bureau alors on ne peut pas dire que j’arrivais à m’assagir … Les mois passèrent et ma convalescence psychique commençait à arriver à son terme, je me caressais certes moins et faisait dorénavant beaucoup plus appel à mon imagination et mes fantasmes que du porno mais j’étais par contre plus perverse que jamais … Mon envie de sexe n’avait pas diminuée, il m’arrivait de temps en temps d’aller chercher dans le coffre de ma voiture mon sextoy a ventouse pour m’empaler dessus quand mon besoin de sexe était trop intense (vivant de nouveau chez ma mère, il était essentiel que je cache mes jouets dans ma voiture pour être certaine qu’elle ne tombe pas dessus) mais ça ne remplaçait pas une vraie bite et j’étais en manque. Je reconnais que m’éloigner du porno avait en effet participer à changer ma façon de voir le sexe mais cela n’avait en rien réduit ma perversion, je me touchais moins souvent mais j’étais toujours aussi cochonne quand je le faisais, il m’est arrivée de prendre la voiture et aller me garer sur une route de campagne pour me goder librement et pouvoir jouir sans retenue hors de la demeure familiale … J’avais souvent les mêmes garçons en tête : - Mon psychologue qui abusait de son statut sur moi durant une séance ... - L'’un des coachs de la salle de sport qui fermait a clé la salle des cours de fitness pour m’arracher mon jogging et m’offrir une séance cardio des plus intenses ... - L'’un des adhérents de la salle, un chauve hyper musclé à qui j’aimais m’imaginer donner rendez-vous aux toilettes pour qu’il me démonte comme une pute ... - Le père de Clara chez qui je dormais régulièrement et que je rejoignais secrètement en pleine nuit pour un 69 sur le canapé du salon ou qui me laissait m'empaler sur sa queue dans la salle de bain pendant que sa femme et sa fille dorment ... - Kévin, mon meilleur ami qui dormait régulièrement avec moi depuis des mois, je connais sa bite, je connais son désir pour mon corps et il serait si simple quand il dort de commencer à le branler, le sucer ou me mettre nue pour venir le chevaucher … Je confesse avoir tout fait pour que Kévin craque et se permette un geste ou une parole déplacée quand nous dormions ensemble … Je faisais exprès de ne porter qu’un t-shirt sans soutif avec une culotte pour l’aguicher, le tenter mais lui qui autrefois m’avait palpé le cul dans mon sommeil sans mon autorisation n’a jamais rien fait durant cette période. Je lui ai fait part de mon manque de sexe à diverses reprises pour lui lancer des perches, je le câlinais tendrement parfois comme une petite amie quand nous dormions mais rien ne semblait motiver mon meilleur ami a raviver la flamme qui l’avait autrefois consumé ! Pourtant tout bascula lors de notre dernière nuit avant qu’il ne parte en vacances avec sa petite amie pour deux semaines et que je ne fasse ma valise pour ma rentrée … Je ressentais une certaine nostalgie à me dire que nous n’allions plus dormir ensemble avant très longtemps mais j’avais aussi beaucoup de reconnaissance pour sa présence à mes côtés lors de ces derniers mois particulièrement difficiles alors je me montra particulièrement douce et attentionnée ce soir-là. On passa une belle soirée à discuter, délirer et regarder un film puis nous nous couchâmes afin de discuter encore un peu sur l’oreiller comme nous avions l'habitude de le faire. Je lui fit part de mes craintes pour la rentrée à venir, qu’il allait me manquer et nous nous primes dans les bras, il me réconforta sur le fait que maintenant j’étais « clean », forte et que c’était derrière moi. Je le remercia pour sa présence indéfectible et son soutien durant cette période de désintox, il m’embrassa sur le front. Je lui avoua avoir besoin de tendresse et être bien dans ses bras, il me dit qu’il serait toujours là pour m’en donner. Je lui confessa avoir besoin de plus d’affection qu’il ne pouvait m’en donner et un silence s’installa. Mon cœur se mit à battre la chamade, une chaleur s’empara de moi, j’attendais sa réaction, je leva les yeux vers lui et c’est quand mes yeux plongèrent dans les siens qu’il me demanda de quelle affection j’avais besoin ? Je fus intimidée comme une vierge qui n’oserait parler de sexe pourtant c’était mon confident sexuel, celui avec qui j’en parlais ouvertement, celui que j’avais déjà sucé plus jeune, qui m’avait bouffé les seins et que j’avais branlé mais j’avais l’impression que j’allais dire quelque-chose d’honteux, tabou et risqué … « J’ai besoin de tendresse, qu’on me fasse l’amour » Je me sentis rougir, cela faisait des années que je n’avais pas été intimidée de la sorte, je baissa les yeux, trop gênée pour soutenir son regard … « Tu sais que je ne peux pas Charlotte, y’a Laura et puis t’es dans une période de ta vie où c’est compliqué de savoir si tu le veux vraiment … Je veux dire, je ne sais pas si ça serait une bonne chose pour toi.  - Je sais, je sais, je n’aurais pas dû te le dire mais j’en ai vraiment besoin et puis va bien falloir que je remonte en selle. » Je m’allonge sur son épaule et pose ma main sur son pectoral, résignée mais toujours génée. « Haha ouais c’est sûr, je ne t’imagine pas te faire nonne ! - Aucune chance ! - On rigole mais reprends quand tu te sens prête et avec la bonne personne, quelqu’un qui te respectera et ne risquera pas de réveiller de mauvais souvenirs ... - Justement, je me disais et je voulais que ça soit toi mais je comprends vis-à-vis de Laura … » Un silence s’installe, il ne réponds pas, un bref espoir jaillit en moi, je connais cet instant. « Tu sais à quel point … J’ai toujours fantasmé sur toi malgré que tu sois ma meilleure amie alors je t’assure que j’en crève d’envie mais c’est aussi parce-que je suis ton meilleur ami que je dois prendre soin de toi plutôt qu’écouter mes bas-instincts.» Je passe ma main sous son t-shirt et caresse son torse, une flamme s’embrase dans mon bas-ventre. « Si tu veux prendre soin de moi, fais-moi tendrement l’amour Kévin, j’en meurs d’envie ! Tu sais que je ne dirais rien à Laura, ça restera entre toi et moi comme toujours et je sais que tu l’auras fait pour moi … Comme j’ai pu faire le reste autrefois pour toi …  - Beaucoup trop tentant mais de toute façon je n’ai pas de capotes … - Si c’est toi pourquoi en mettre ? Je n’ai rien fait depuis mon dernier test de dépistage et puis toi t’es en couple depuis des années, que je sache tu le fais qu’avec elle, non ? » Mes yeux descendent vers son caleçon, je constate qu’il bande, je prends ça pour un signal de départ et commence à l’embrasser dans le cou alors qu’il acquiesce ne coucher qu’avec sa petite-amie, mes lèvres humides embrassent langoureusement son cou et ma langue se permets quelques léchettes, je suis en chaleur et dorénavant incapable de ralentir les évènements. « Je veux te sentir en moi, je veux que tu jouisses en moi … dis-je entre deux baisers alors que je commence à agripper son sexe. - Ok, t’as gagnée ! » Il passe au-dessus de moi, m’embrasse fougueusement, nos langues s’entrelacent pour la première fois, mon cœur fait un bond, c’est mon meilleur ami qui m’embrasse, c’est la salive de Kévin qui coule dans ma bouche, ce geste d’amour que nous partageons ne devrait pas avoir lieu avec celui que je considère comme mon meilleur pote depuis plus de 8 ans et ça m’excite terriblement. Sa main remonte mon t-shirt au-dessus de mes seins, il descend dessus et les embrasses, les caresses, les lèches, il est doux, sensuel, patient rien à voir avec la dernière fois qu’il a eu l’occasion de les voir, je fonds sous ce traitement, ma poitrine ne m’a jamais autant excitée. Sa langue se perds sur mon ventre, il titille mon nombril, joue avec mon désir pendant qu’il s’approche de ma culotte que je sais déjà bien humide, il me l’ôte soudainement et contemple mon intimité, je suis embarrassée par le fait qu’il me regarde ainsi, ses doigts écartent mes lèvres, il complimente ma chatte en même temps qu’il commence a la caresser, je deviens folle alors qu’il stimule mon clitoris, je n’ai qu’une hâte, qu’il me laboure la chatte ... Il plonge sa bouche sur mon sexe et me goûte, des baisers, des coups de langues maitrisés et diverses caresses de la main me font jouir en quelques minutes, ça faisait longtemps, c’est si bon, il me fait prendre mon pied juste avec sa bouche. Kévin se redresse le menton trempé, il vient m’embrasser, il sent la mouille, il plonge un doigt dans ma chatte si sensible après avoir joui et me roule une pelle où j’ai l’impression de me bouffer le minou au passage. Je lui demande de ralentir avec ses doigts étant trop sensible après avoir pris mon pied, il retire alors sa main de mon sexe et je l’invite à me laisser faire à mon tour, il s’installe sur le dos alors que je retire son caleçon pour m’occuper de lui. J’empoigne sa queue qui n’est plus très dure, je commence à le branler délicatement tout en lui caressant les boules, sentir sa queue durcir dans ma main est plaisant, la chaleur et la douceur d’une bite m’avaient manqué. Je découvre que sa queue est bien baveuse, visiblement il a été très excité tout ce temps et son gland est déjà bien lubrifié,. Je promène ma langue sur sa verge et ses couilles sans jamais m’approcher de son gland luisant qui suinte du pré-sperme me suppliant de le mettre à contribution, je veux qu’il crève d’envie que je le prenne en bouche et les gémissements de Monsieur comme ses gestes me font sentir qu’il est a bout. Je me redresse face a sa queue, j’hésite un instant a baver sur le sommet de son gland ou a l’essuyer d’un bref passage du pouce mais finalement je décide de le savourer tel qu’il est, baveux et généreux, plein de désir pour moi. J’offre a mon meilleur ami la meilleure pipe possible, je lui lustre le gland avec passion et tendresse, je m’applique a promener ma langue partout et a varier la cadence de mes aspirations, succions et léchettes, il se régale et me complimente pour ma technique. « C’est pour te remercier d’avoir pris soin de moi ces derniers mois ! - T’avais aucunement besoin de faire ça mais je ne vais pas m’en plaindre … -Je veux que tu sentes à quel point je t’en suis reconnaissante - Tu suces tellement bien et c’est si excitant parce-que c’est toi … - T’aimes voir ta meilleure amie avec ta queue dans la bouche ? - Ouais ça me rappelle des souvenirs et faut dire qu’elle a bien progressée ! - Heureusement que je suce mieux qu’au collège … J’en ai taillé des pipes depuis. - Tu peux me branler dans ta bouche comme tout à l’heure pendant que tu me léchais ? - Attends, j’ai encore mieux à te montrer puisque tu vantais mes progrès, tu vas m’en dire des nouvelles ! » J’empoigne alors sa queue et la glisse tout au fond de ma bouche, je décompose le mouvement avec une cadence lente et salive a volonté sur sa verge raide que je fais à chaque va et vient glisser un peu plus loin dans ma gorge. Kévin se crispe et pousse des gémissements à chaque plongée, il devient plus vulgaire dans sa façon de parler mais gémit quand je l’avale complètement, son bassin commence a remuer instinctivement et ma bouche débute alors une gorge profonde plus rapide. Mon meilleur ami se fait pomper la dard sans retenue, je lui délivre ma meilleure performance en lâchant prise et ne me considérant plus que comme une ventouse bonne a aspirer son membre, il me baise la bouche du bassin alors que je m’efforce de ne pas m’étouffer et le garder dans ma gorge, il n'a plus l'air de se soucier de mon cas et me baise la bouche comme si c'était ma chatte. Après quelques minutes, il retire ma tête subitement en me suppliant d’arrêter sinon il va cracher, je l’embrasse a mon tour baveuse et je reprends mon souffle avant d'ôter mon t-shirt pour venir le chevaucher. Je prends sa queue baveuse et raide que j’oriente vers l’entrée de mon corps, je m’assois alors délicatement sur celui qui connait tout de moi, mon confident, mon meilleur pote, mon frère pénètre alors en moi. Je m’écroule sur lui, savourant sa queue qui commence à se remuer en moi, il imprime une cadence calme et efficace, je ne dis plus rien, je gémis juste dans son cou alors que ses mains parcourent mon dos, mes hanches, mes fesses et que sa queue me laboure. Je prends mon pied, le faire avec lui est plus fort émotionnellement qu’avec mes autres partenaires, quand il empoigne mon cul pour l’écarter et me baiser plus fort c’est plus intense que dans mes souvenirs, ma chatte se liquéfie sur son membre et j’ai terriblement honte qu’il m’entende jouir ou me voit ainsi mais c’est aussi ce qui rends l’instant si puissant et déroutant. Alors que j’allais jouir de ce divin traitement, Kévin me bascule sur le dos et ralentis la cadence, me disant qu’il commençait à perdre le contrôle et que je voulais "faire l’amour", il m’embrasse alors puis reprends plus doucement sa course de face. Il décompose les mouvements me faisant ressentir l’intégralité de sa queue en moi, je la sens frotter mes parois, taper dans le fond et limer l’entrée de mon trou, il joue avec mes seins, les embrasses, les suces et je me sens si belle, féminine, sexy entre ses mains, nos corps ne font plus qu’un, nos sexes fusionnent et pour la première fois depuis des années, je fais l’amour et je n’ai pas l’impression d’être l’objet de plaisir de cet homme mais que nous sommes égaux, qu’il se dévoue a moi. Il me demande si je suis prête a conclure ? J’acquiesce alors il se couche sur moi, empoigne mes fesses par le dessous et me fourre avec vigueur, sa queue bute au fond de ma chatte, j’ai l’impression de l’avoir dans le ventre, il s’affale de tout son poids sur moi et me pine comme un lapin, il buffle virilement sous l’effort et je couine comme une chienne en chaleur les jambes en l’air subissant la fougue de ce male devenue si sauvage, un long jet chaud me parcourt soudainement, puis un second et un troisième alors qu’il reste empalé profondément en moi. Il se retire puis bascule sur le coté, il reprends sa respiration, mes seins et mon ventre sont en sueur, la chaleur et le frottement de nos corps nous ayant faits transpirer c'est comme si l'air sur ma peau me démangeait, il reprends péniblement sa respiration alors que je regarde sa queue débander, il me demande si c’était bon, je lui réponds que c’était parfait. Alors que nous reprenons nos esprits et que les remords commencent à arriver, une première coulée de sperme se fit sentir entre mes lèvres, je l'abandonna alors pour aller me vider aux WC. Dans les toilettes, je regarde ce sperme visqueux dégouliner hors de ma chatte alors que je pousse pour le faire sortir, je m’essuie avec du papier et constate qu’il s’est bien vidé les couilles, je prends conscience que ce foutre est celui de mon meilleur pote et que je viens de commettre l’irréparable. J’inspire profondément alors que je tire la chasse et retourne en direction de la chambre, nue et de nouveau mal a l’aise, je m’empresse de chercher mon t-shirt pour me couvrir, c’est là qu’il se lève et m’enlace entre ses bras, me disant qu’il est heureux d’avoir pu le faire avec moi et qu’il ne regrettera de son côté jamais ce moment qu'importe les éventuelles conséquences. Je l’en remercie et l’enlace en retour puis me rhabille avant de glisser sous la couette. Nous parlâmes de sexe un moment, de nos sentiments sur ce qu’on venait de faire puis nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre sauf que pour la première fois il s’endormit avec sa main sous mon t-shirt avec l’un de mes seins en main. Lorsque je me réveilla il était déjà sous la douche, il avait un repas de famille de prévu le midi et notre grasse matinée ne lui permettait pas de trainer, je resta un peu sur ma faim ayant secrètement espérer qu’on recommence une dernière fois avant qu’il ne parte ... Je fis ma rentrée dans une nouvelle ville quelques jours plus tard, je me créa un profil sur deux sites de rencontres étant résolue a profiter de ma jeunesse et jouir de ce physique si durement retrouvé, je me jura de ne donner que dans les coups d’un soir et ne pas m’intéresser autrement que sexuellement aux hommes que je daterais. J'aimais le sexe, le plaisir charnel et il était temps que je puisse assumer la nymphomane accroc au sexe que j'étais ayant maintenant connaissance de mes faiblesses émotionelles et mes failles mais sachant aussi a quel point je ne pouvais pas me passer de cul, je décida de devenir une salope qui s'assume et qui resterait libre comme l'air refusant d'être sous le controle d'un homme. Un choix qui me changera a tout jamais avant que l'on ne me montre où est ma place.
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Par : le 23/05/23
La douleur ne se lasse pas. J'eus encore mal. Ce que je souhaitais de toutes mes forces, c'était que ma Maîtresse fût cruelle, qu'elle eût envie de me faire souffrir et de se venger de moi: alors, j'aurais pu espérer. Rêver à haute voix, avec cette fierté de la plainte et des pleurs, cette violence conquérante, avec cette rapacité de la souffrance et cette volonté, tendue jusqu'à la déchirure et à l'éclatement. M'ayant entraînée au fond de la cave, là où la pénombre était la plus dense, Juliette fit pivoter mon corps contre la paroi humide. Je sentis le salpêtre se dissoudre sous mes doigts qui s'accrochaient. Pour me racheter, j'aurais voulu être attachée, là, dans cette position, le ventre nu contre ce mur poisseux, le dos, les reins, offerts aux hommes qui auraient eu la libre disposition de moi, sans conditions. Sentir mes mains prises dans la pierre pour ne plus pouvoir bouger et tout endurer, pour prouver que je pouvais devenir un jour une parfaite esclave. Aucune imagination n'approcherait le bonheur que je ressentirais à la liberté avec laquelle on userait de moi, aucune limite à la façon dont sur mon corps on pourrait chercher du plaisir. Juliette commença par me caresser. Elle savait qu'en faisant cela, elle me donnait une chance de me faire oublier ma faute. Elle s'empara d'un martinet et commença à me travailler le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses des lanières avec des coups cruels et violents. Plus elle frappait fort et plus je m'offrais. Je n'éprouvais qu'un pincement aigu au moment où mes seins furent brutalement saisis par des pinces, puis je sentis les pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant. Chacun des mouvements que je faisais alors amplifiait le balancement des pinces, provoquant une sensation effrayante d'arrachement. Je me souviens de ce moment précis où je fus mise à quatre pattes sur le sol au milieu de la cave. Juliette dont j'étais désormais l'esclave d'un soir fixa d'autres pinces sur les lèvres de mon sexe, en dessous de mon clitoris.   Mes yeux, ses mains, sa bouche s'adressaient à elle. En quelques instants, elle obtiendrait de moi plus que je n'avais acquis depuis des mois. J'avais besoin d'une bonne Maîtresse, et qui se défie de sa bonté. Tout était sexe en moi, et jusqu'à l'esprit. Obéir jusqu'au sang. Tout mon corps se balançait de façon obscène, tenaillé entre deux douleurs, partagée entre le désir de faire cesser mes souffrances et celui d'en augmenter l'intensité par mes balancements, pour satisfaire Juliette et mériter son pardon. J'observais avec orgueil la rotation des poids suspendus aux pinces attachées à mes seins, de droite à gauche et de gauche à droite. La douleur devenait intolérable, mais je devenais la spectatrice de cette douleur. Je souffrais, mais je dominais cette souffrance: le plaisir qui naissait en moi la dépassait, la stigmatisait. Pour marquer sa satisfaction, Juliette me désigna la croix de saint André où je fus attachée dans une position d'extrême écartèlement. Un inconnu s'approcha de moi, comme si je devenais digne de son intérêt. Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent écarquiller les yeux. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusqu'à ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche. Je me livrai au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré. Juliette me dit soudainement: - J'aimerais te fouetter jusqu'au sang. Je lui répondis que je lui appartenais. Dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient celles d'une tombe, l'inconnu me contemplait silencieusement et je m'aperçus qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles. Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse. Lorsque la pointe fut excitée, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt après, la seconde dans le mamelon du sein qui n'avait pas été caressé. D'autres aiguilles furent plantées tout autour des aréoles, quelques gouttes de sang vinrent ternir le métal que la lueur d'une ampoule faisait jusque-là scintiller. Brûlante et raidie, mon martyre devint bientôt délicieux. Ainsi, j'étais devenue l'objet de plaisir de cette femme et de cet homme. Juliette parut subitement échauffée: elle s'approcha de moi et de me libéra de la croix de saint André. Avant même que je puisse savourer ce répit, on me porta sur une table où je fus allongée et solidement attachée. Je fus alors fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée comme une chose muette et ouverte. L'inconnu qui violentait mes reins se retira brusquement. Juliette effleura de ses lèvres la dure pointe de mes seins, et de sa main gantée le creux de mon ventre. Elle me fit jouir sans relâche. Dans un éclair, je me sentis délivrée, anéantie mais comblée.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/05/23
Il fait froid et j'ai peur. Soudain, j'entends des sirènes de police ! Je m'accroupis, sans bouger. C'est foutu ! Ils vont me rattraper et me faire payer ma fugue et... Je sens une présence. Summer est arrivée sans que je l'entende et elle me dit à l'oreille : — Je vais te prendre par la main et on court. OK ? — Ouiii... On se lève en même temps et on détale... Les sirènes beuglent toujours et en plus, il y a des lumières clignotantes. On arrive sur un quai. Un homme debout sur une échelle m'aide à descendre dans un bateau, Summer me suit et l’embarcation démarre. Je me colle à Summer. Ce bateau file à une vitesse folle ! Je suis avec Summer et on s'enfuit ou je délire ? Je suis peut-être blessée par les balles des flics et je délire. Je prends une giclée d'eau de mer dans la figure, je suis bien réveillée. Difficile de parler, il y a le bruit du moteur et du vent. J'ai lu un article sur les "speed boats" des passeurs de drogues. Ils ont des moteurs de centaines de chevaux pour échapper aux garde-côtes. On est sûrement dans un de ces bateaux. Il fait froid et je suis mouillée... On navigue à toute allure pendant un bon quart d'heure. Le jour se lève et je distingue une plage au loin. Arrivé à une cinquantaine de mètres de la plage, le bateau stoppe et Summer me dit : — On saute ! — Mais... Elle me prend par la main, on monte sur le bord et on saute. Je suis un moment tétanisée par l'eau froide et puis Summer me crie : — Nage ! Heureusement qu'elle m'a appris ! Elle nage à côté de moi... si les requins ne me bouffent pas, c'est l'hypothermie qui aura ma peau ! Non, j'ai bientôt pied. Summer me tire sur la plage. Il n'y a personne à cette heure-là, à part un homme qui vient à notre rencontre. Summer et lui s'embrassent et se parlent en espagnol. Elle ouvre le sac qu'il lui donne. Elle me tend des vêtements, en disant : — Tu enlèves tes vêtements mouillés et tu mets ceux-là. T’as 5 minutes ! Je me dépêche d'obéir. Je mets un jean un tee-shirt, une veste et des baskets. Summer est habillée de la même façon, sauf que je la vois glisser un revolver dans le jean à hauteur de ses reins. Je fais tout ça mécaniquement, il y a trop de choses qui sont arrivées trop vite... C'est un peu comme si j'étais spectatrice de ce qui m'arrive. Elle embrasse l'homme en disant : — Merci Diego, on se voit bientôt. — Que Dieu vous garde. Oh oui ! Ça, c'est une bonne idée !! On quitte la plage et on va sur la route du bord de mer. Je commence à lui dire : — Je savais que tu... Elle me coupe : — Plus tard. Pour le moment, on doit faire de l'autostop jusqu'à la station. Je ne pose pas de questions. Avec Summer, ça vaut mieux. Eh ! Je suis libre... Enfin, j'ai une maîtresse, mais je l'ai choisie. Justement, elle me dit : — Ouvre ta veste pour montrer tes nichons. Je les exhibe, bien mis en valeur par le mince tee-shirt. Il n'y a pas beaucoup de voitures, mais la première s'arrête. Summer explique au chauffeur : — On doit aller à la première station d'essence sur la route de Mexicali. — Désolé les filles, je ne vais pas par là. — Et si elle te fait une pipe ? Tout ça en espagnol, bien sûr. Je ne parle pas aussi bien que Summer mais je comprends que je devrai faire : une pipe a un vieux Mexicain. Je sais, quand on a sucé la bite d'un tout vieux minou, on ne fait pas les difficiles. Le mec répond : — Une pipe et voir ses seins. Summer tend la main, il la serre, elle vient de me vendre. Enfin, de me louer. Mais comme elle m'a sauvé la vie, elle a tous les droits. De Tijuana plage, on se dirige vers Tijuana ville, puis on arrive au début de la route de Mexicali. L'homme s'arrête sur le parking d'une station d'essence. Summer lui dit : — T'as un quart d'heure, ça va ? — Oui Madame. Puis à moi : — Fais ça bien, il faut laisser un bon souvenir. — Oui Summer. Pourquoi laisser un bon souvenir ? Peut-être... pour qu'il ne nous dénonce pas, s'il voit ma photo à la télé ? Bon, je relève mon tee-shirt et aussitôt, le vieux bonhomme se transforme en bébé assoiffé qui me tète vigoureusement. Est-ce la fatigue, le stress, la joie d'être là, mais ça m'excite. Quand il m'a bien... tétée, il recule son siège et sort son sexe de son pantalon. Prendre le sexe d'un inconnu dans la bouche, c'est souvent une mauvaise surprise. D'accord, le gars ne s'attendait pas à se faire sucer à 7 h du matin... Après un début pénible, je le suce tout en comptant et recomptant ses couilles : ça reste deux mais ça l'excite. Il ne faut pas dix minutes avant que l'homme ne jouisse dans ma bouche. Comme je ne veux pas faire de taches de plus sur son pantalon, j'avale tout. Quand je relève la tête, je vois Summer qui a assisté à la fin de la fellation. L'homme lui dit : — C'est une championne du monde, ta copine. — Merci... Dites, une chose nous ferait plaisir : vous ne nous avez pas vues. — J'ai dû m'arrêter pour prendre de l'essence, je n'ai vu personne. — Merci. Au revoir, Monsieur. — Au revoir les filles et merci petite, ta bouche est un cadeau de Dieu. Ouch ! Je n'aime pas beaucoup qu'on mette Dieu dans une situation aussi scabreuse. On va dans le magasin de la station. Ce n'est pas les USA, ici, il n'y a pas grand-chose. Summer achète des pâtisseries, deux Cocas et on va s'installer à une petite table. Je mange goulûment parce que j'ai faim et puis parce que je préfère avoir un goût de sucre dans la bouche qu'un goût de... bite ! Comme je ne dis rien, ce qui est inhabituel, Summer me demande : — Tu voulais rester au festival ? — Non, mais je ne réalise pas encore bien... C'était très dur, ce festival et ce Valdès... — Tu as été fouettée ? Tu as des marques ? Je ne réponds pas. Voilà pourquoi je ne veux pas discuter avec elle ! Elle ajoute : — Si tu préfères, je te donne tes papiers et tu vis ta vie. — NON ! Non, juste le temps de... bien réaliser. — Donc tu restes avec moi et tu m'obéis ? — Oui... — Mieux que ça. — Oui, je veux rester avec toi et j'obéirai comme toujours. Ça, c'est fait ! Summer regarde l'heure et dit : — Ils doivent être là, viens. On va vers un coin du parking... Il y a vieux camion. À l'arrière, il est écrit : "Transport de bétail" et en dessous, on a écrit grossièrement à la peinture noire "et d'esclaves." Summer fait un signe aux deux hommes qui sont dans le camion. Ils nous rejoignent et elle me dit à l'oreille : — Fais comme moi et tais-toi. Elle se déshabille, moi aussi. Quand on est nues, les deux hommes nous mettent des colliers d'esclave autour du cou. Summer me dit tout bas mais en articulant bien : — Ce - sont - des - faux. Ils nous font monter dans le camion à l'aide de grandes claques sur les fesses. Normal pour aider des esclaves. À l'intérieur, l'odeur est forte. Des esclaves sont attachées par des menottes à deux barres qui se font face, à 30 cm du toit du camion. Elles ont donc les bras à moitié fléchis. D'un côté, il y a cinq filles et de l'autre, trois. Les hommes nous attachent à cette barre. Dernière claque sur les fesses et ils s'en vont. Le camion démarre et on perd l'équilibre, toutes pressées les unes contre les autres. Je remarque que plusieurs filles ont été fouettées. Il faut que je réfléchisse vraiment très fort, cette fois-ci. Pourquoi voyager en tant qu'esclaves au milieu des esclaves ??? Summer me glisse à l'oreille : — Rien de mieux pour passer inaperçues. Summer lit en moi comme dans un livre ouvert. À chaque cahot, on est secouées et quand le camion freine ou accélère, on se retrouve à nouveau les unes contre les autres. Ça sent le fauve dans le camion ! Summer me laisse me coller à elle... On ne voit rien, évidemment... À un moment, on entend des bruits de circulation. On passe peut-être par Mexicali. On roule pendant des heures... On finit toutes par pisser debout. J'ai mal aux poignets, j'ai faim, j'ai soif. Des heures après notre départ, le camion s'arrête. Les hommes ouvrent les portes arrières et nous enlèvent les menottes. On descend de cette saleté de camion. Oh ! On est au bord de la mer et même d'une plage. C'est le début de l'après-midi. Il y a des gens sur la plage, des familles, des gens qui nagent... Au loin, on aperçoit une petite ville qui s'étire le long de la côte. Le chauffeur nous dit : — Voici ce que vous allez faire, écoutez bien : 1 - Vous allez remplir ces seaux d'eau de mer. 2 - Avec des brosses et cette poudre, vous nettoierez soigneusement le camion. Celle qui ne le fait pas à fond sera fouettée et croyez-moi, je sais repérer les paresseuses. 3 - Quand le camion est impeccable, vous prenez toutes un morceau de savon, du shampoing et vous allez vous laver dans la mer. Celle qui ne sentira pas la rose sera fouettée et j'ai le nez fin. 6 - Toutes celles qui ont bien nettoyé et qui seront propres recevront à manger. Exécution ! On se précipite sur les seaux et on va les remplir d'eau de mer. Les gens qui sont sur la plage viennent regarder le spectacle et faire des photos. Une grosse femme dit : — C'est indécent, ces filles nues. Un homme lui répond : — Ce sont des esclaves. Tu ne vas pas mettre un caleçon à ton chien. Ça fait rire les gens, pas nous, les esclaves. Quand on a rapporté assez de  seaux d'eau, c'est Summer qui nous dit ce qu'il faut faire : — D'abord on va nettoyer les parois et le dessus, ensuite les barres. Quand c'est fait, on nettoie le plancher. Toutes, on y va au fond. On a faim et pas envie d'être fouettées. Les hommes ont pris des fouets et chaque fois qu'ils les font claquer derrière nous, on pousse un petit cri. Ça amuse les spectateurs. En 20 minutes, le camion est comme neuf. Enfin, c'est toujours un vieux camion... En tout cas, il ne pue plus. Le chauffeur crie : — À vous maintenant. On court dans la mer... Oh, ça fait du bien... On s'éclabousse un peu, puis on se savonne et on se lave les cheveux. Le savon ne mousse pas bien dans l'eau de mer mais on est bientôt propres. Un des hommes siffle et on accourt, ruisselantes. Les spectateurs mitraillent. Je suppose que ça n'a plus d'importance si je suis sur les photos. Les hommes ont déballé le repas : des galettes de maïs, des fruits, du fromage en portions et le mieux : des barres chocolatées. Tout est en vrac sur un bout de drap. C'est de nouveau Summer qui joue le rôle de "première fille", la chef des esclaves. Elle dit : — Personne n'y touche, on partage. Elle fait des tas qu'on vient prendre. On mange toutes goulûment. Les hommes apportent des bouteilles d'eau. J'aurais préféré de la bière... Quand on a mangé et bu, on regarde les hommes, en se demandant ce qui va se passer. Le chauffeur nous montre une barque de pêche qui arrive en disant : — Montez dans ce bateau. Quel voyage depuis Vegas ! Il y a trois pécheurs à bord de la barque. Ils nous aident à monter, en nous pelotant. Le bateau part et on se rapproche de l'île qu'on voyait du bord. Il y a une très grande propriété entourée de murs. Ce qui surprend, c'est qu'autour de cette propriété, ce n'est pas le désert ou quelques maigres plantes, mais au contraire une végétation tropicale. Le bateau se range le long d'un ponton de bois. On descend toutes à terre. Un garde arrive à notre rencontre et nous dit : — Sur une rangée, face à moi. Quand c'est fait, il regarde sur une tablette et il nous désigne, Summer et moi, en disant : — Vous deux, suivez le sentier et attendez devant le portail. Ouf ! La comédie des esclaves va se terminer... Enfin, j'espère. Dès qu'on est devant le haut portail, il s'ouvre et une esclave nue se plie en deux en disant : — Bienvenue Mademoiselle Summer. Je dois enlever vos colliers. Alors ça, on ne demande pas mieux. Quand c'est fait, elle nous dit : — Veuillez me suivre, je vous prie. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search    
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Par : le 19/05/23
Lundi soir Après un début de séjour tranquille, passé à se reposer et à refaire le monde, tu consacres la soirée du lundi à me transformer en une nouvelle espèce, à croire que tu aurais été gardienne de zoo dans une autre vie. Après le nounours, après le chien, après la proie d’araignée, voilà que tu as décidé de me transformer en papillon. Souvent je me demande où tu vas chercher certaines idées. Néanmoins, je n’ai jamais eu à m’en plaindre ; les pires (ou plutôt les plus démentes) ne pourront jamais se transformer en réalité. Quoi que ! Il ne faut jamais dire jamais. De fil en aiguille, d’idée en idée, de suggestion en suggestion, tout est possible avec ton cerveau prolifique dès qu’il s’agit de s’occuper de ton nounours. Mais revenons à ma mutation du soir. A ta demande, j’enfile la combinaison noire qui va te servir de toile pour réaliser ton œuvre. Parce que je reste avant tout ton soumis, un collier vient compléter ma tenue. Et pas n’importe lequel : le large noir en cuir, abondamment doté en clous de toutes tailles. Difficile d’échapper à ma condition avec une telle parure. Dès lors, j’ai le sentiment de me muer en pantin mécanique ou presque. Un léger shibari à base de cordelettes blanches vient orner mon buste, apportant un contraste bienvenu sur ce fond sombre. Même si cela ne se voit pas totalement tu m’invites à bien faire en sorte que mon pénis soit bloqué entre les deux liens qui passent au niveau de mon entrejambe. Aucun détail n’est négligé ! C’est alors que tu peux passer à ta phase créative, version animalière. Ou comment doter un nounours d’ailes. Vaste question … Bien évidemment, tu avais déjà réfléchi à la question et préparé ton affaire. Deux paréos sont extraits de ton placard, les plus accordés possible. Il ne reste plus qu’à assembler le tout. Facile à dire pour le « pantin » : il suffit de lever les bras et les maintenir à l’horizontale quand l’artiste vous le demande. Un peu compliqué pour l’artiste. Néanmoins, avec un peu de patience, tu sembles parvenir à tes fins. Cela doit être le cas puisque tu me demandes de « prendre mon envol » sous tous les angles comme si je sortais de ma chrysalide (certes c’était déjà il y a quelques mois, mais je suis une espèce unique, les temps d’évolution sont spéciaux !). J’avoue que je me prends au jeu, mais en restant les pieds bien posés au sol ; cela serait béta de chuter dès les premiers jours du séjour. Dire que cette idée rongeait son frein depuis des lustres : elle aussi a pris son envol …     Mercredi Dès le matin (ou plutôt la veille au soir), tu m’imposes une tenue de ton choix, de celles où tu prends un malin plaisir à mélanger « standard » et « original ». Ainsi, au moment de partir faire les courses en ta compagnie, il est difficile pour quiconque de discerner quoi que ce soit d’anormal à mon apparence extérieure. Pourtant, sous le jean se cache ta touche personnelle. En l’occurrence, oubliés boxer et chaussettes : trop classique, trop masculin. Place à une jolie culotte rouge et une paire de collants noirs : bien plus transgressif. Et c’est parti. Probablement du fait que rien ne soit visible, je n’ai pas cette appréhension d’être percé à jour, comme cela a pu être le cas par le passé. Mais intérieurement, cela a une petite saveur excitante. J’allais oublier de préciser que toute excitation est bien évidemment contenue : on n’est jamais trop prudente. Cage de chasteté imposée aussi. Tu sais « parler » à ton nounours ! Et surtout mettre lentement ses sens en éveil.   Dans l’après-midi, tu apportes quelques compléments à tes premières consignes vestimentaires. Tu restes toujours dans cet esprit de contrastes mais un poil plus exhib. Dans l’intimité de ton antre, tu peux te permettre beaucoup d’excentricités. Et comme je ne dis jamais non ;-). On garde donc les éléments cachés ce matin. A vrai dire je les avais tous gardés sur moi, seule la couche extérieure avait changé en rentrant. Original d’ailleurs, le port du short par-dessus une paire de collants. Sexy ? Pas vraiment … Mais revenons aux nouvelles consignes. Tu me prêtes donc un soutien-gorge rouge, totalement assorti à la culotte, ainsi qu’un chemisier blanc à liseré noir. Et tu me demandes d’enfiler par-dessus tout cela mon costume noir. Un savant mélange masculin-féminin et tu pousses le vice jusqu’à le prolonger jusqu’au bout des orteils. En effet, je dois porter une chaussure d’homme à un pied, et un escarpin noir à l’autre. Autant dire que je penche du côté où je pourrais tomber. Dans ta grande bonté, tu ne m’imposes pas de me déplacer longtemps ainsi chaussé. Je t’en suis plus que reconnaissant. Voilà qui semble te plaire. Quelques dernières touches pour que le chemisier ne soit pas trop pudiquement ajusté et le pantalon déboutonné pour bien montrer la présence noire et rouge des dessous imposés : et voilà que je suis parfait à tes yeux en tenue pour les courses, façon Maitresse Samantha. Encore une fois, tu te révèles bien taquine et joueuse. Et cela ne fait que commencer … car je dois vite paraître bien trop pudique à tes yeux. Sinon, pourquoi cette envie soudaine de me demander de sortir la cage. C’est que le collant s’y opposerait presque. Quelques manipulations plus tard, je me retrouve la cage à l’air, soutenue par une alliance de nylon et de dentelle. Pour plus de confort, je suis désormais chaussé avec la paire d’escarpins (ouf, fin des expériences cascadeuses). Toujours trop pudique ? Qu’à cela ne tienne, il suffit de baisser le pantalon. Je reconnais que c’est la meilleure solution pour révéler cette culotte de la plus belle couleur qui soit délicatement enveloppée par l’écran voilé que forme les collants … Je finis par comprendre pourquoi tu souhaitais me voir porter cette carapace métallique. Sa morsure est là pour me le rappeler. Apparemment ma « poitrine » ou plutôt devrais-je dire sa parure n’était pas suffisamment exhibée. Tu t’approches donc pour faire en sorte que le chemisier laisse amplement apparaitre la dentelle rouge qui me ceint. Mais comment suis-je devenu aussi impudique ? Ca restera un mystère non résolu. Temporairement, j’en retrouve une certaine, mais néanmoins toujours affublé des obligations du matin. Il y a fort à croire que la journée n’est pas terminée. C’est bien ce qui se confirme lorsqu’en début de soirée, tu m’invites à te suivre à l’étage. Tu me tends la mini robe rouge dont je sais désormais qu’elle m’ira à merveille, le fin collier rouge et tu me demandes de sortir mes « échasses », enfin, non, mes cuissardes. Pour la robe, je galère moins à la mettre, à croire que j’y ai pris goût, et pourtant sans entrainement. Tu te contentes de l’ajuster convenablement : je reste un mâle quand même ! Quant aux cuissardes, tu as un tel coup de main et une technique si maitrisée que je te laisse faire. En quelques minutes à peine, mes jambes sont joliment parées de cuir noir et brillant. Même si je n’y tiens plus dessus, j’aime toujours autant les voir sur moi. En tout cas, jusqu’à ce que tu m’entraves la vision avec une autre culotte rouge, semble-t-il la jumelle de celle que je porte, qui vient faire office de « cagoule ». Est-ce pour me faire taire ou pour la maintenir en place (à moins que ce ne soit pour les deux à la fois) ? Toujours est-il que tu viens compléter ma panoplie avec le bâillon pénis qui, une fois n’est pas coutume, vient par-dessus la dentelle. Hummm ! Direction le lit, d’abord sur le dos, pour des poses d’abord sages, enfin, nonobstant la tenue qui ne l’est pas du tout. Mais j’aime ne pas être sage de la sorte ! Ceci explique peut être pourquoi cette robe s’accompagne à chaque fois de la « prison » métallique. Tu dois vouloir vérifier par toi-même : je sens que tu remontes petit à petit la robe pour inspecter ce qui se passe en-dessous. Délesté du bâillon (faudrait pas que je finisse étouffé), tu me fais changer de face et le même manège se reproduit, la hauteur de la robe évoluant au fil de tes envies. De retour assis sur le rebord du lit, tu sembles me refaire jouer la scène de « Basic instinct » version BDSM à ta façon. Plus ça va, plus j’écarte impudiquement mes cuisses encore gainées de cuir pour m’offrir à ton regard intéressé. Bon, j’avoue, la cage était une excellente initiative pour une telle session. L’absence de pudeur me « tend » ! Pour plus de confort pour la suite, tu me fais retirer les cuissardes tout en conservant le reste de ma tenue. Retour à plat ventre. A peine installé, voici que je sens la brise de la climatisation. Normal, tu viens de me relever la robe sur les reins, et descendre collants et culotte sous la lisière des fesses. Autant dire que tu viens de t’aménager une aire de jeux bordée de rouge. Rouge n’est ce pas la couleur recherchée ? La thématique du soir ? En tout cas, c’est l’hypothèse que je fais quand tes mains commencent à se mettre en action sur mon postérieur. Je constate avec un certain plaisir que tu y reprends goût. Chic alors ! En plus, tu fais durer longuement ce moment, te ménageant néanmoins quelques pauses pour faire refroidir tes mains. Comme dirait l’autre « qui veut fesser longtemps, ménage ses mains. ». Lorsque je suis à bonne température et probablement à bonne teinte (mais de cela je ne peux en juger), les paumes se reposent progressivement avant de laisser entrer en action les griffes uniquement. Bien évidemment, je n’y résiste pas. C’est déjà mon pêché mignon par nature, alors quand c’est appliqué sur une zone déjà sensibilisée, que dire sinon que je grogne de plaisir. Comme tu me connais bien, et que tu prends soin de moi, tu finis par dégager le haut de mon dos pour laisser tes ongles y flâner avec plus ou moins d’insistance. Tu excelles dans le subtil mélange du sucré et du salé ! Quant à la robe, elle ne ressemble plus à grand-chose ainsi portée. A croire que je me suis fait troussé par une horde ….     Jeudi Le lendemain, tu émets le vœu de tester un de mes ballstretchers. Tu m’avais déjà demandé de le porter à mon arrivée mais c’était juste pour voir ce que cela donnait sur moi en vrai, après l’avoir vu en photo il y a quelques semaines. Il est temps de faire un aparté à ce sujet. J’en avais acquis deux de taille raisonnable (à peine un peu plus de deux cents grammes) il y a déjà plusieurs années mais à défaut de pouvoir les mettre en place facilement et de manière reproductible, j’avais laissé tombé le sujet et les deux bourses qui leur servent d’écrin trainaient dans mon armoire. Et puis, sans que je sache expliquer pourquoi, je me suis repenché sur ces objets il y a quelques semaines. Cette fois, j’ai réussi à mettre un en place sans trop de difficulté, puis j’ai réitéré l’opération à plusieurs reprises, réussissant même à poser le deuxième. Alors seulement je t’ai révélé que je les avais en ma possession. Tu m’as alors répondu que tu connaissais que de nom mais que tu n’en avais jamais utilisé par le passé. Et ta curiosité de la nouveauté nous a conduit à ce soir. Je t’avais néanmoins révélé une légère contrainte : mon anatomie étant ce qu’elle est, si tu veux que je le porte, il est fortement recommandé de me le demander à l’avance, que je puisse le mettre en place loin de toute stimulation « gênante ». C’est donc dans l’après-midi que tu m’as prévenu de ton désir d’en profiter. Pendant ta sieste, c’était le moment parfait pour me ceindre de cet anneau métallique, un poil pesant mais tout à fait supportable pendant quelques heures au moins. Le soir venu, tu me tends juste le gros collier noir à clous pour toute tenue. Je ne suis pas certain que nous ayons déjà fait plus succinct. Après une courte vérification que tout est bien place debout, tu me demandes très rapidement de m’installer à quatre pattes sur le lit, postérieur vers toi. Une fois les cuisses suffisamment écartées, cette position te laisse une bonne vue et un accès facile vers ces deux fruits mûrs que comprime délicatement mais certainement mon « bijou » du soir. Ces deux choses bien gonflées et à fleur de peau sont irrésistibles pour toi qui a plus qu’un faible dès lors qu’il s’agit de tourmenter mon intimité. D’ailleurs, comme tu as bien compris qu’ainsi équipé, j’étais devenu encore plus sensible que je peux l’être d’habitude, tu souhaites identifier quels seraient tes « armes » les plus adaptées pour un maximum d’effet. Mais le meilleur spectacle en ce qui me concerne c’est lorsque tu poursuis ton étude après m’avoir fait mettre face à toi, agenouillé. Comme tu m’as laissé voir, je vois ce qui passe dans tes mains mais aussi ta moue tantôt de satisfaction, tantôt de non sélection, sans parler de ton sourire perversement malicieux quand tu tombes sur un accessoire efficace. Dans ma position, je ne peux guère m’échapper, seulement m’affaisser avant de me redresser, par réflexe, comme pour te redonner le meilleur accès possible. Serais-je conditionné ? Bien évidemment, sans bâillon non plus, je réagis, soit pour grogner, soit pour gémir, soit même pour partir en fou rire à une ou deux reprises. C’est le risque quand je vois ce qui se passe… Vont ainsi se succéder petits martinets aux effets limités, tapette cœur, mini strap en cuir noir (à revoir en deuxième semaine ?), faisceau de paille ô combien stimulant, cravache plus ou moins sensible selon la façon de la manier, paddle à clous, bien heureusement manipulé uniquement sur sa face pur cuir, évidemment tes griffes naturelles qui trouvent là un terrain de jeu parfait et je dois en oublier. Par contre ce dont je suis certain c’est que tu fais longuement durer les tourments sans néanmoins être trop brutale (c’est quand même fragile ces petites choses). Bizarrement, avec le recul, je m’étonne d’avoir échappé au contact perforant d’une de tes roulettes. J’ai bien l’impression que cette longue évaluation à mes dépends valide l’intégration de ces lests dans notre panoplie. Je ne doute pas que la prochaine fois, je devrais te montrer ce que cela donne avec les deux. Tu voudras sûrement vérifier si cela augmente encore ma sensibilité ou s’il s’agit juste d’un poids supplémentaire. Affaire à suivre. Mais avant de libérer ton nounours de laboratoire, tu ne pouvais pas ne pas marquer ton territoire. Ce soir c’est avec la pointe de ton feutre que tu viens l’appliquer sur mon bas ventre. Bien que je puisse voir, pour une fois, ce n’est que théorique. Vu où tu écris, je ne peux que voir le stylo glisser sur ma peau à défaut de pouvoir lire. En revanche, je parviens à déchiffrer la conclusion que tu apposes sur mon pénis (oui j’ai eu comme un doute avec l’oubli d’une lettre. Tu seras resté taquine jusqu’au bout : comment rester de marbre et imperturbable après une telle série de stimulations. Douillet moi ?     Samedi Ce soir, je vais être un peu plus harnaché. Difficile cela dit de faire moins qu’hier. Après l’avoir cherché un moment, tu retrouves mon harnais avant de me le tendre. Léger détail, comment le mettre dans le bon sens ? On ne se moque pas. Il faut se concentrer quelques instants avant de se parer. Un coup de main est le bienvenu pour fermer les sangles dans le dos. Tant que les miennes (de mains) sont toujours utilisables, tu me tends ma cagoule en cuir. C’est un privilège que tu me laisses encore et toujours : une histoire de parfait ajustement si j’ai bien saisi. Désormais, tu peux me priver sereinement de l’usage de mes mains en les enfermant dans les manchons rouges, rapidement bouclés au niveau des poignets avant de les ajuster au niveau des biceps. Dès lors, je sens que tu t’attelles à une savante opération de ficelage qui vise à contraindre totalement le haut du corps. Cela commence par les extrémités des manchons qui se retrouvent tirés vers mon entrejambe. Je comprends que ces liens rouges sont en train d’aller et venir dans mon dos, puis ensuite sur mon torse, venant petit à petit s’insérer dans les boucles métalliques, celles du harnais comme celles des manchons. Au fil des minutes, je sens la contrainte se faire de plus en plus prégnante. Alors que je ne l’aurais pas soupçonné à  ce point, je me retrouve incapable de bouger les bras. Seules les mains peuvent encore se mouvoir mais seulement à l’intérieur de leur écrin rouge. Pour être sûre d’avoir réussi ton coup, tu me demandes si j’arrive quand même à bouger. Réponse négative. En retour, tu me surprends à me pousser en arrière sans prévenir. Heureusement que le lit est souple, il a amorti ma chute. Ainsi, immobilisé, j’ai l’impression d’être comme une tortue qu’on aurait posé sur sa carapace : seules les pattes peuvent encore bouger. Sans me laisser reprendre mes esprits, tu assènes quelques tapes bien senties sur les couilles. Ouch ! Mais quelle mouche t’a donc piqué ? Ou bien c’est la suite de la séance « spécialisée » d’hier ? Va savoir ! Avec cette disposition des manchons qui mettent bien en valeur mon intimité, ton terrain de jeu est bien mis en évidence et accessible. Quelques bruits caractéristiques (cliquetis métallique, claquement de gant) me laissent imaginer la suite. Tu sais te faire très douce et patiente pour ces moments. Désormais, je sais que je vais y prendre ma part de plaisir, oublié la crainte de la première fois. Par contre, je reste définitivement incapable de dire si la sonde est en train de rentrer ou bien déjà en passe de disparaitre. Ma seule certitude est qu’elle s’est immiscée en moi et qu’elle semble bien ancrée. Tu joues un moment avec avant de m’abandonner provisoirement à mon sort (triste ? Sûrement pas). Tiens, ne serait-ce point le crépitement d’un briquet que je viens d’entendre. Si c’est le cas, je devrais en ressentir les conséquences d’ici quelques minutes. Mon soupçon se confirme quand je sens les premières gouttes de cire chaude tomber sur mes couilles tandis que mon pénis est toujours « sondé ». J’ai même l’impression que tu es en train de me « baiser la queue » d’une main tandis que tu me gratifies d’une averse de bougie de l’autre. Que tu es imaginative dans les tourments que tu m’infliges. Mais je dois reconnaitre que le mélange est plein de contrastes m’amenant à émettre tantôt des couinements de surprise, tantôt des grognements de pure satisfaction. Déroutant mélange de sensation ô combien efficace. Après m’avoir libéré de mon tuteur métallique (ou baguette magique ?), tu profites d’avoir encore tes gants en vinyle pour me faire profiter de cette sensation si soyeuse et chaudes sur ma peau. Bien sûr, ce serait trop simple si cela se limitait à cela. Il faut bien enlever une partie de la cire, et quoi de mieux que des griffes, mais recouvertes. Bon, j’ai quand même l’impression que tu abuses de la situation : quelle est cette poigne qui vient enserrer mon intimité ainsi offerte ? Et puis tu remontes vers ma poitrine pour titiller de la même manière mes tétons avant de tout bonnement les pincer. Et dire que je ne peux pas bouger d’un centimètre sous toutes ses stimulations …   Pour poursuivre, tu n’as pas d’autre choix que de me déficeler (ou alors il aurait fallu un palan) pour me permettre de me positionner sur le ventre, tout en conservant tous mes attributs du soir. J’essaie de m’installer le plus confortablement possible, anticipant une suite plus mordante. Que serait un séjour en ta compagnie sans l’intervention de lanières ou assimilées. Je vais être servi, en guise de conclusion à notre semaine. Tellement servi que j’en ai perdu le fil ; mes neurones ont dû être perturbés. Toujours est-il que je n’ai pas reconnu certaines choses, imaginé d’autres qui ne sont pas entrées en action. C’est grave docteur Samantha ? J’ai quand même bien reconnu la nouvelle séance de fessée alors que tu avais encore les gants, limite, cela pourrait la rendre plus douce, sauf qu’à la fin cela chauffe autant. Ensuite, j’ai bien cru reconnaitre des baguettes qui se déguisaient en cravache et vice-versa. Au final, les trois sont venues me mordre. Etonnant tout de même que je n’ai pas imprimé la morsure pourtant si spéciale des tiges de bois. Rho là là, mais où était mon esprit ? Sans le moindre doute, la grande langue de dragon est bien venue s’abattre sur mon dos, en mode éventail, pour bien balayer d’une épaule à l’autre … par contre sa petite sœur ? Le chat à neuf queues a soudainement apporté une touche de poids sur mon dos. C’est vraiment différent après une série de contacts plus ciblés. Difficile de ne pas sentir le changement d’accessoire. La spatule en bois fait aussi son passage bien claquant : c’est fou comme une simple chose comme celle-ci arrive à produire une telle intensité à l’impact. Que les poêles et casseroles se le disent ! Je ne m’étendrais pas sur les objets fantômes qui m’ont virtuellement réchauffé le postérieur … La rédaction me signale dans l'oreillette que finalement tout ceci a sévi sur mon popotin : martinets vingt-cinq brins, baguette de noisetier, canne, catnine, petite langue de dragon, fouet langue de dragon, spatule, tapette a clous et deux cravaches. Je vous disais que j’étais ailleurs.   Pour adoucir l’atmosphère et attendrir ton nounours, tu optes pour la griffo-thérapie en guise de point final à cette soirée. Cette séance de griffes ne semble jamais se terminer pour mon plus grand plaisir. Heureusement que j’avais de la réserve de ronron-grognements. Tu commences d’abord par les cuisses avant de progressivement remonter vers les fesses et le bas du dos. De temps en temps, tu viens sur mes bras désormais libérés des manchons avant de revenir sur le dos. Finalement tu déboucles le harnais pour pouvoir parcourir tout mon dos sans en oublier la moindre petite surface. J’y resterais des heures à frissonner, profiter … « m’exprimer » …
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