La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 10/02/23
Adossée à un pilier, elle souriait de sa surprise sans bouger. Tout de suite, son amante remarqua dans les cheveux noirs de jais de la jeune femme d'émouvants fils blancs. Si sur de si jolis visages dépourvus d'intérêt, les années passent un long temps sans laisser de traces, n'éclatant soudain que très tard pour révéler, un matin, une pitoyable poupée défraîchie, au contraire les stigmates de l'âge font resplendir les visages animés par une ardente vie intérieure. La beauté mûre de Charlotte émut Juliette comme une révélation. Une bouche fière, un tein mat, un nez aquilin, des yeux d'un noir oriental qui assombrissait le visage. Sur le lac Majeur, le ciel était bas et lourd, les étoiles absentes. J'observais Charlotte de cet œil impitoyable et injuste qu'on réserve aux êtres auxquels on a que des bienfaits à reprocher. Son amour me pesait. Les ombres de Stresa et de Verbania nous avaient communiqué leur poison. Par toutes mes pensées déjà je la trahissais. Je souffrais d'autant plus que j'étais seule coupable. Je ne pouvais me fournir à moi-même aucune explication. Sinon une: mon démon m'avait repris. Il avait un joli visage ce démon, tant de jeunesse et tant de fantaisie. Mon cœur inflammable était déjà embrasé. Rien n'est plus érotique, plus stimulant pour l'imagination, plus échauffant pour les sens, que l'extrait du "Rouge et le Noir" où Julien après avoir gravi les degrés d'une échelle pénètre par la fenêtre dans la chambre de où l'attend Mathilde de la Mole: "C'est donc toi, dit-elle en se précipitant dans ses bras ...".................................................." Rien de plus sensuel que cette ligne de points, comme la suggestion qu'elle provoque. Quelle nuit réelle aura donné autant d'émotions, de feu, dans le cœur ? Ce jour-là, Stendhal n'a pas imposé une scène d'amour au lecteur. Il a fait beaucoup mieux. Il lui à prié d'entrer dans la chambre, de prendre Mathilde dans ses bras, toute chaude et frémissante dans sa chemise de nuit, et de faire à sa guise, jusqu'à l'aube, tout ce qu'il voulait. Une route blanche de pousière coupait les haies, sautait les fleuves. Derrière la route, derrière les champs, derrière le riz à perte de vue, des montagnes naissaient de la nuit.    Plus loin, c'était Bergame et les lacs, un peu à droite, Véronne, les palais de Vicence, et puis Venise, Ravenne, Bologne et Ferrare, Parme et Modène. Il naissait de de ces noms qui jetaient au hasard, sur des campagnes intérieures, l'or de leurs peintures, de leur gloire et de leurs mosaïques. Rien de plus efficace pour la littérature érotique que la liberté de l'esprit. La volupté, les caresses, la sensualité permettent de réinventer le plaisir sexuel en dehors des normes pornographiques dominantes, la littérature érotique féminine insiste sur l’imagination et le désir pour créer un climat sensuel, contre le plaisir immédiat; cette conception de la sexualité semble aussi plus réaliste que les scénarios érotiques occultant les relations humaines, avec leurs frustrations et leurs contrariétés; dans la pornographie traditionnelle, les individus se livrent au plaisir sexuel sans même se rencontrer et se connaître. Que l’amour soit un chef-d’œuvre, que l’éros soit poésie, nul n’en disconviendra; non pas au prix toutefois du rejet de la négativité, ce noyau de réel au cœur de l’expérience érotique. Cette part maudite que tous les auteurs affirment diversement est inséparable du travail littéraire dont elle est la source. L'odeur d'un parfum excite, une fragrance inédite, le corps devant elle se raidit. Revenons à l'amour, puisqu'il n'y a que cette passion éphémère qui donne seule à la vie un goût d'éternité. Souvent des images me reviennent. Chaudes, épicées, elles se superposent aux visages et aux corps. Les femmes que j'évoque m'apparaissent alors dans l'éclairage violent de de leur autre vie, celle ardente du lit, de la volupté, des étreintes. Ces souvenirs familiers deviennent aussi étrangers que la mémoire d'anciens accès de folie. Pourtant un rien les ressuscite. Un mot, une anecdote, un parfum.   Ce qu'il  avait d'admirable dans mes relations avec mon amante, c'était que nous connaissions jamais si cette intelligence du cœur n'avait pas succédé entre-temps la froide logique des mots. Nous attendions des silences où nous lirions l'avenir. Peut-être allions-nous trouver des phrases où le cœur se tairait. L'incertitude, presque une angoisse se mêlait ainsi à l'aisance et à la facilité. C'était comme si nous continuions à nous servir d'un code dont nous risquions toujours d'avoir perdu la clef. Nous avions le désir, nous avions l'amour discret, nous connaissions le prix que donnent aux ardeurs cachées les lents détours et la patience du cœur. Aussitôt s'éveille et s'anime le théâtre de la jouissance, de l'extase. Je me demande quel lien l'unit à l'amour ? Sommes-nous dans les cris que nous poussons ou que nous suscitons dans l'alcôve ? Quelle part de nous-mêmes participe à ces coups de reins, à la furie des corps embrassés à bouche-que-veux ? De ces feux éteints, que me reste-t-il ? Rien n'est volatile comme le souvenir de la volupté. Mais quelle denrée périssable que le seul plaisir. Le passé n'est pas le temps du désir. Celui-ci s'enflamme et s'enfuit ailleurs aussi vite qu'il était venu, comme une amante oublieuse et volage. Au présent, c'est le sexe qui nous tient, nous insuffle ses ardeurs; au passé, il faut faire un effort de mémoire pour rallumer nos anciennes fièvres. Car ce sont rarement les moments parfaits où tout concourait à l'harmonie de l'amour et des siens, les instants de la plénitude où la vie rendait justice. Ces heures-là, douces comme de paisibles siestes, basculent dans l'oubli comme tant de moments du bonheur passé. Nous ne conservons en souvenirs que les nuits d'excès et les scènes de perversité. La mauvaise humeur passa. Pas la blessure, qui demeura intacte. Cet échec ne fut pas inutile. Il donna matière à réfléchir. Je ne cessais de penser à Charlotte, non plus dans l'espoir d'un retour d'affection. J'étais trop meurtrie pour remettre en route cette machine à souffrir, mais pour tenter d'élucider l'énigme de sa conduite. D'autant qu'elle ne fit rien pour se justifier. Je ne reçus pas de nouvelles d'elle, ni lettre ni message d'aucune sorte.   Je ne pensais depuis six semaines qu'à ma première promenade dans Rome. J'avais Charlotte à côté de moi et Rome défilait sous mes yeux comme un trésor un peu absurde. Je m'en voulus presque violemment de mon inconsistance. J'avais rêvé de cette Italie de Stendhal et de Chateaubriand, et cette première promenade dans Rome n'allait même pas m'arracher à moi-même. J'avais envie d'elle et je n'étais pas certaine qu'elle eût encore envie de moi. Charlotte connaissait ces tourbillons d'insignifiances qui s'emparaient de moi. Je ne sais quelles conclusions elle en tirait sur mes rapports avec elle. Elle ne détestait pas ce qui l'intriguait. Ce qui l'amusait en moi, c'était ma faiblesse sous le cynisme. Elle s'était évanouie dans le silence. Cela fut l'occasion d'un examen de conscience. Avais-je des torts envers elle ? J'avais beau me livrer à la plus sévère critique de mes faits et gestes depuis notre rencontre, je ne trouvais rien à me reprocher. Pourtant j'étais experte en autodénigrement; mais en la circonstance, quel que fût mon désir de me flageller et de me condamner, force est de constater que pour une fois, peut-être la seule dans une vie amoureuse déjà longue et parsemée de petites vilénies, mon comportement se signalait par son honnêteté. Mais un doute affreux me traversait. N'était-ce pas justement dans cette honnêteté un peu niaise que résidait mon erreur ? Pourquoi s'imaginer que les jeunes filles veulent être traitées comme des saintes ou des chaisières ? Peut-être ce respect n'était-il pas de mise avec elle ? Ne m'eût-elle pas mieux traitée si je l'avais bousculée au lieu d'accumuler ces stupides désuets préliminaires ? L'amoureuse et la tacticienne, qui dans le succès amoureux ne font qu'une, s'affrontaient dans l'échec. Elles se donnaient toujours réciproquement tort.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/02/23
"Deux démons à leur gré partagent notre vie et de son patrimoine ont chassé la raison. Je ne vois point de cœur qui ne leur sacrifie. Si vous me demandez leur état et leur nom. J'appelle l'un, Amour, et l'autre, Ambition". Si de nos jours, Le mot "succube" désigne un démon féminin qui séduit les hommes et abuse d’eux pendant leur sommeil, quant est-il de sa signification autrefois ? Certes, personne n'ignore les noms de Mallarmé, Verlaine ou même Huysmans. Ce sont des astres encore vifs. Mais qu'en est-il de Remy de Gourmont, Jean Lorrain, Joséphin Péladan, Robert de Montesquiou, Renée Vivien, dont la lumière, qui a fécondé toute une littérature de la modernité et inspiré une génération d'écrivains illustres, n'aurait besoin que de nouveaux regards pour retrouver son éclat ? Qu'en est-il, a fortiori, de Louis Denise, Camille Lemonnier, Jules Bois, Camille Delthil, étoiles désormais éteintes, braises dormant sous la cendre de l'histoire littéraire, sur lesquelles soufflent seulement de rares spécialistes du romantisme noir, de la décadence ou du symbolisme ? Progressivement ou subitement, ils ont disparu dans la nuit. Peut-être l'avait-il eux-mêmes trop convoquée de leur vivant ? Sans doute était-il inconsidéré de plonger un siècle positiviste, tout entier tourné vers le progrès matériel, éclairé par la seule fée électricité, dans les ténèbres, fussent ces ténèbres celles de l'être. L'entrée en force des succubes, déjà connus dans l'Antiquité et étudiés au Moyen Âge, dans le roman gothique d'abord puis dans la littérature de la fin du siècle avant-dernier, réclamait l'instauration de la nuit la plus noire. Celle qui rend l'homme à lui-même, à son mystère. Le succube, ou l'incube, son pendant masculin, ou encore l'égrégore qui ne s'attache qu'aux personnes du même sexe, est un phénomène spirite, une manifestation démoniaque, spectre ou vampire, qui vient abuser le dormeur pendant son sommeil, et l'épuise, voire l'anéantit. Voilà qui renseigne sur les inquiétudes, les angoisses d'une société troublée en quête de sens. Mais là n'est pas l'enseignement essentiel délivré par les succubes. Car il faut bien voir que si le succubat fut défini et condamné par l'Église comme manifestation diabolique, c'est qu'il échappe justement au social, c'est qu'il isole justement l'individu de la société. "Quand je m'arrache de ce lit, où seul j'agonise. Quand je me traîne dans la rue, je suis si blême, si décharné que les hommes se détournent quand je passe et que les femmes poussent un cri". L'être que visite le succube ou l'incube est en entier livré à son esprit. Ce sont des imaginatifs.   "Les êtres humains sont des créatures compliquées. Ils sont capables de grands élans de générosité mais ils sont également capables de la plus ignoble des trahisons. Une bataille permanente fait rage à l'intérieur de nous. Elle oppose notre nature angélique à nos tendances démoniaques. Et, parfois, la seule façon de résister à nos démons intérieurs c'est encore d'allumer la flamme de la compassion". Tel est le désir, car il s'agit bien de cela et exclusivement de cela. Tel est le désir dont ces récits de succubes nous disent la puissance et l'origine: cet "infracassable noyau de nuit" dont parlait André Breton. Freud n'avait pas encore théorisé l'inconscient, Charcot s'intéressait déjà à l'hystérie dont l'héroïne de Remy de Gourmont, la "nerveuse et pauvre, imaginative et famélique, Douceline qui se prit d'une tendresse de contradiction pour le coin méprisé et défendu", présente toutes les dispositions. L'adolescente se prend d'une passion dévorante pour les images pieuses. Le désir de Jésus la creuse, charnellement. Elle s'éprend de Péhor qui "se logea dans l'auberge du vice, sûr d'être choyé et caressé, sûr de l'obscène baiser des mains en fièvre". Douceline est visitée, possédée par l'incube. Le désir s'extériorise, prend forme, devient autre. Douceline ne s'appartient plus. Elle appartient à Péhor, elle appartient à son désir, "et l'âme de Douceline quitta ce monde, bue par les entrailles du démon Péhor". Comme si on faisait ce qu'on veut de son corps ! lancera, en 1926, Aragon en conclusion du magnifique "Entrée des succubes". Les succube sont des démons qui, sous une apparence féminine attrayante, se présentent aux hommes. Certaines théories disent qu’elles peuvent changer de forme, s’adaptant ainsi au goût de chaque homme et même se faire passer pour des femmes connues qu’un homme désire. Dans tous les cas, par le biais du sexe avec sa victime, le succube draine l’énergie et implante des penchants pervers qui mènent à la perdition. Étymologiquement "succubus" vient d’une altération de "succuba", un terme latin signifiant "prostituée". De même, le mot succube dérive du préfixe sub ("sous") et du verbe "cubo" (qui se traduirait par "je reste"), véhiculant ainsi l’idée de quelqu’un qui reste en dessous d’une autre personne. La plupart des témoignages sur l’apparition des succubes proviennent du Moyen Âge, période durant laquelle ces démons ont connu leur apogée dans l’imaginaire social et dans la sphère théologique. De ces témoignages, on peut déduire que, dans une large mesure, l’apparence de la succube varie en fonction du goût sexuel de la victime masculine supposée, un fait qui suggère la possibilité que le phénomène puisse provenir totalement ou partiellement de la psyché de l’individu.   "Parfois, j'ai l'impression d'être possédée d'une multitude de démons. Un peuple qui tue son dieu se fabrique des démons avant d'adorer le dieu de son voisin". En dépit de ce qui précède, les érudits médiévaux s’accordent à dire que les succubes apparaissent généralement comme des femmes d’une beauté irrésistible, voluptueuse et surnaturelle, même si, à côté de ces traits agréables, il y a toujours des détails qui trahissent leur affiliation démoniaque: crocs acérés, oreilles pointues, ou encore pieds boueux. Selon les représentations les plus répandues, les succubes présentent des caractéristiques telles que des ailes de chauve-souris sur le dos, des cornes, des griffes, des yeux de serpent, une queue se terminant par un triangle ou encore un vagin denté. Enfin, bien qu’il ne soit pas possible de parler d’une image spécifique, un fait curieux est qu’au Moyen Âge, on utilisait des images de succubes dans de nombreuses maisons closes et bordels. Le célèbre théologien Saint Augustin d’Hippone avait postulé que le passage de la Genèse 6:4 faisait référence au fait que les anges déchus avaient des enfants avec des femmes mortelles. Sur le même passage, le pape Benoît XIV (1740-1758) a déclaré: "Ce passage fait référence aux démons connus sous le nom d’incubes et de succubes". De même, et étant donné qu’entre saint Augustin et lui-même (Benoît XIV) de nombreux théologiens s’étaient prononcés sur le sujet, le père a résumé, en ayant l’humilité de ne pas utiliser son autorité doctrinale pour trancher la question. le tableau simplement par ces mots:  "Certains auteurs nient qu’il ne puisse y avoir de progéniture… d’autres, en revanche, affirment que le coït est possible, de sorte qu’il peut y avoir place pour la procréation". C’est cependant bien avant Benoît XIV que, à partir du XIIIème siècle, la question des incubes et des succubes a commencé à prendre de l’importance, en grande partie grâce au pouvoir dominant et répressif de la Sainte Inquisition, une institution qui a joué un rôle clé dans le fort renforcement au Moyen Âge de la relation entre le mal, le sexe et les démons. C’est dans ce cadre de fanatisme et de superstition que le sinistre "Malleus Maleficarum" (publié en 1489) a été rédigé par Kramer et Sprenger. Il y est dit, parmi tant d’autres choses sur les démons, que les succubes et les incubes n’ont pas de sexe fixe, le même démon agissant en tant que succube devant un homme et en tant qu’incube devant une femme, prenant le sperme du premier pour féconder la femme qu’il victimise lorsqu’il prend son état d’incube. Au début des années 2000, l'actrice Angelina Jolie est considérée comme la succube ultime, grâce à son look de "bad girl".    "On a tous autour et en nous des démons à combattre, sur Terren la vie est un éternel combat. Vivre, c'est lutter contre eux". Plus tard, en 1595, le magistrat et chasseur de sorcières Nicalás Remy publie son "Daemonolatriae libris tres" (1595), dans lequel il affirme que les démons (et donc les succubes) sont incapables d’amour, mais peuvent avoir des relations sexuelles et même vivre dans un état de luxure permanent, le sexe étant pour eux un instrument d’humiliation et de soumission complètement détaché de l’amour et de la tendresse. À l’encontre d’un certain aspect de ces propositions, l’éminent théologien Thomas d’Aquin (XIIIème siècle) pensait que les démons étaient incapables de désir sexuel et donc de luxure mais que, malgré cela, ils ne reniaient pas leur sexualité et l’utilisaient comme moyen d’infliger des douleurs et des souffrances. Quoi qu’il en soit, il est clair que Thomas et Rémy soutenaient tous deux que les démons utilisaient le sexe pour infliger des dommages et même, dans un prétendu cas réel rapporté par Rémy, que les rapports charnels avec les démons n’étaient pas du tout agréables. De son côté, Pierre de Rostegny (1553-1631) postulait que les démons, qu’il s’agisse de succubes ou d’incubes, préféraient avoir des relations sexuelles avec des hommes ou des femmes mariés, car ils ajoutaient ainsi au péché de luxure le péché d’adultère. De plus, l'auteur tenait un discours que beaucoup d’autres tenaient également, à savoir que les démons jouissaient de manifestations sexuelles interdites ou désapprouvées par l’Église, même au sein du mariage, des manifestations telles que, dans le cas des incubes, le sexe anal. Quant à leur comportement, une chose que l’on a toujours cru (même aujourd’hui) à propos des succubes est qu’ils attaquent principalement la nuit, après que la victime se soit endormie. Cependant, certains rapports font état d’attaques pendant les siestes de l’après-midi ou autres, ce qui montre que le simple fait de dormir rend un homme plus sensible aux attaques de succubes. Enfin, certains démonologues ont affirmé que les succubes peuvent apparaître sous la forme de personnes familières, un pouvoir qu’elles utiliseraient pour causer un préjudice moral bien plus important que s’il leur suffisait de se présenter sous la forme de la voluptueuse diablesse qui coupe le sommeil du chevalier pour forniquer avec lui. Ainsi, en théorie, ce pouvoir de succube expliquerait les cas étranges où un homme est à l’aise et, contrairement au comportement qu’il affiche alors depuis des années, sa belle-sœur semble le séduire ou, pire encore, son cousin ou sa sœur.   "Le matin, passons du temps dans la prière. Nous vivons dans un monde totalement influencé par les démons. Et le diable danse avec eux, et la sarabande est loin d'être terminée." Dans le cadre des conceptions de la réincarnation qui excluent la possibilité de se réincarner en un animal, il existe une certaine théorie selon laquelle les succubes et les incubes ne sont pas des démons mais des âmes désincarnées lascives qui, n’étant pas encore entrées dans le processus de renaissance dans un autre corps, errent sur les plans inférieurs du monde astral, des plans où se trouvent les désirs les plus terrestres, comme, par exemple, la volupté débridée qui les habite et leur cause une grande angoisse et anxiété car ils ont un désir sexuel mais n’ont pas de corps pour satisfaire pleinement ce désir. Ce serait alors l’origine supposée des succubes et des incubes, puisque ces esprits désincarnés seraient attirés par les personnes qui émettent des vibrations astrales de désirs sexuels intenses et fréquents. Ainsi, pendant les heures de sommeil, ces succubes et incubes se rendaient auprès de certains hommes et femmes et établissaient un contact sur le plan éthérique, laissant la personne imprégnée des fluides énergétiques du désir charnel, fluides qui les inciteraient à développer des perversions et qui augmenteraient toujours la luxure, tendant ainsi à plonger la personne dans un cercle vicieux dans lequel la partie astrale de son énergie libidinale attirerait des succubes ou des incubes, qui augmenteraient alors cette énergie libidinale et avec cela la personne aurait tendance à attirer plus de succubes ou d’incubes, et ainsi de suite indéfiniment à moins que quelque chose ne se produise, venant de l’extérieur ou de l’intérieur de la personne, pour arrêter le processus. Dans l’esprit scientifique, les rencontres avec les succubes et les incubes sont en fait des épisodes d’hallucinations visuelles, auditives, tactiles et même dans certains cas olfactives et gustatives qui surviennent principalement lors de paralysies du sommeil et dans une moindre mesure lors d’épisodes de rêves intenses. Quant à la cause, ces épisodes hallucinatoires seraient principalement motivés par le désir sexuel, qui dans de nombreux cas serait un désir sexuel refoulé ou un désir sexuel frustré. Enfin, et pour montrer l’utilité de l’explication scientifique, il suffit de rappeler qu’au Moyen Âge, la plupart des cas connus de succubes et d’incubes étaient la proie de prêtres, de moines et de nonnes, ce qui nous amène à nous poser la question suivante: Les hôtes lubriques du Diable se sont-ils attaqués à eux parce qu’ils étaient "purs" et "pures" et ont-ils voulu les éloigner de Dieu, ou ont-ils vécu sexuellement de façon si réprimée et refoulée que, pour ne pas éprouver la culpabilité qu’impliquerait la violation volontaire du vœu de chasteté, leur esprit a créé pour eux des diables et des démons qui, sans rien demander, ont fait irruption et donné libre cours aux actes charnels ?   "La civisation n'est que l'usage efficace du corps, et surtout du système nerveux. Le trait qui distingue l'homme éduqué du barbare, c'est le contrôle de l'imagination, des démons et des rêves". L’approche de base, développée par des chercheurs avant-gardistes, stipule que, de manière générale, nous constatons que dans la culture occidentale, les individus ont tendance à considérer la sexualité comme quelque chose de sale et à la vivre souvent comme quelque chose qui produit de la culpabilité, de la honte et de la détresse, en particulier lorsqu’elle se produit en dehors des expressions socialement acceptables. Selon la théorie présentée ici, cela est dû au fait que l’héritage judéo-chrétien a fait que les individus ont introjecté l’association sexe-mal-démon, une relation qui, tout au long des siècles de christianisme, s’est accompagnée d’une misogynie qui a considéré les femmes comme un être plus enclin au mal que les hommes, dont l’expression est le fait que le premier démon sexuel était une succube: Lilith. Elle n’est mentionnée que dans un seul passage de la Bible, mais elle était la première compagne d’Adam selon les interprétations rabbiniques de la Genèse, interprétations d’où émerge une histoire acceptée au sein du judaïsme selon laquelle Adam, lorsqu’il a voulu avoir des relations sexuelles avec Lilith, lui a demandé de s’allonger sous lui. Elle a dit: "Je ne m’allongerai pas sous toi", et il a répondu: "Je ne m’allongerai pas à côté de toi, seulement sur toi. Car tu n’es fait que pour te coucher en dessous, alors que moi j’ai été fait pour me coucher au-dessus de toi". Lilith, cependant, trouvait cette position humiliante car elle se considérait comme l’égale d’Adam et ne pensait pas avoir le devoir de lui obéir. Elle finit par quitter l’Eden après qu’Adam eut tenté de l’y contraindre. Plus tard, on dit que Lilith a forniqué avec le démon Asmodée et que de cette union sont nés les premiers incubes et aussi de nouvelles succubes. Les versions de la Bible et conceptions chrétiennes ne gardèrent pour figure centrale du mythe de la création qu’une seule femme: l’Ève que nous connaissons. Selon les croyances, Lilith fut remplacée par cette femme plus sage. Il faut attendre la Renaissance pour trouver le nom de Lilith dans les écrits chrétiens. Son caractère androgyne la place au centre de tous les mythes qui traitent de la sexualité, de l’amour, de la distinction des sexes, de la question des origines, du pouvoir et de la force la plus obscure de l’humain: son animalité. Pour les hommes, Lilith les séduit car elle se nourrit de leur semence. Née du Limon elle est l’esprit tellurique primitif, le démon de la terre. Aussi chaque fois que la semence d’un homme tombe sur la terre, il la féconde et engendre un démon. Mais ces enfants-démons n’ont qu’une durée de vie réduite, plus courte que celle d’un humain, alors que la Lilith a la durée de vie de la Création, née au début elle ne mourra qu’au jugement dernier.   "Les faits des démons incubes et succubes sont si multiples, qu'on ne saurait les nier sans imprudence". Les démonologues du Moyen Âge et de la Renaissance, dans leur énorme littérature, écrivent beaucoup sur Lilith, qu’ils ont l’air de bien connaître. Ils mélangent toutes les traditions, en particulier ils amalgament le mythe grécoromain et celui de la religion Assyro-babylonienne. Lamme est devenue les Lamies. Lamia, fille de Belos et de Lybia, reine de Lybie, est la reine des Lestrygions anthropophages qui dévorèrent les compagnons d’Ulysse. Elle est aimée de Zeus, et Hera jalouse tue tous ses enfants sauf Scylla qui avait des chiens autour des aînés et qui s’installe face à Charybde. En compensation elle a le pouvoir de tuer tous les enfants des autres. Elle est aidée par les Pharées, au derrière d’ânesse et par les Empuses, qui sucent le sang des jeunes hommes et dont on ne se sauve qu’en les insultant et en les traitant de putes. Et J. Bril approche Lilith, de Gorgone, de Méduse, des Grées qui n’avaient qu’un œil pour trois, des sphinx, des sirènes, de la Lorelei. Par la suite nous retrouverons Lilith tout au long de notre littérature, mais le mythe va en se réduisant. En 1857 Alfred de Vigny entreprend d’écrire "Lilith ou le génie de la nuit", où elle est vaincue par Eloa, né d’une larme de Dieu. Victor Hugo parle plusieurs fois de Lilith. Dans "la Fin de Satan", il écrit: "je suis Lilith-Isis, l’âme noire du Monde, la fille aînée de Satan". Et une assimilation est faite avec Isis, la déesse égyptienne aux ailes d’hirondelle, qui était pourtant en Égypte une image de la bonne mère, comme la poule qui protège ses poussins sous ses ailes. Et dans "Le Gibet", Lilith est la grande Ombre Noire qui s’élève sur la terre, lorsque Jésus est arrêté au jardin des Oliviers et meurt cloué sur le Golgotha, la colline du Crâne. Et par contamination avec Ghula, la ghoule arabe, elle devient la Bouche Obscure. En 1889, Anatole France écrit "La fille de Lilith" toujours jalouse de ses demi-sœurs, les filles d’Ève. Enfin ceci rejoint la psychanalyse, en 1940, avec Anaïs Nin qui écrit une nouvelle, "Lilith" dans sa "Vénus érotica". Lilith était frigide, égoïste, masochiste, anxieuse, jalouse, agressive, la bête en fureur et elle lui donne tous les aspects de la négativité féminine. Récemment le mythe est en train de renaître avec force. Lilith est devenue la figure emblématique de tout le mouvement féministe, particulièrement aux USA où un véritable culte religieux lui est rendu. Lilith est le souvenir des femmes non encore soumises à l’homme selon Samuel. Au passage du matriarcat au patriarcat lors de l’invention de l’agriculture, elle fut transformée par le mâle dominant en un terrifiant vampire suceur de sang. Elle porte son obsession sexuelle sur son visage, puisqu’elle a son sexe dans la tête et ne le cache pas.   "Nous nions l'existence de nos anges. Nous nous persuadons qu'ils ne peuvent pas exister. Mais ils se manifestent. Là où on les attend le moins, et quand on s'y attend le moins. Ils peuvent s'exprimer à travers tout être sorti de notre imaginaire. Ils crieront à travers des démons s'il le faut. Pour nous pousser à engager le combat". Par la suite, la peur de la sexualité inassouvissable des femmes fait imposer tous les mythes de la pudeur et de la Virginité ainsi que tous les instruments d’oppression qui vont avec: tchadors et tchadris. Ainsi une figure identique surgit sans cesse des ténèbres. La psychanalyse nous permet de mieux comprendre qui est Lilith, en nous révélant les racines inconscientes de ces transformations sociales. Lilith est la projection de l’archaïque. Pomper, vider, sucer à mort, assécher, aspirer l’énergie vitale se retrouve dans de nombreux mythes comme la lutte du jeune Krishna contre la nourrice Putana. Dans tous les peuples sévissent ces démons vampirisants dont les hordes babyloniennes sont les prototypes. Et le nouveau-né est le premier cannibale puisqu’il se nourrit du corps de sa mère. Lilith, cette exhibitionniste du sexe, a beaucoup de rapport avec le mauvais œil, le regard fascinant et dangereux sur l’énigmatique scène primitive, ce coït parental constitutif de mon être. L’origine des frayeurs nocturnes des enfants, ce sont les avatars fantasmatiques de l’image refoulée de la scène primitive. Lilith se nourrit de chairs d’enfants, elle représente les pulsions cannibaliques qui s’établissent à l’articulation de la séduction et de la dévoration où ce que l’on aime se trouve être succulent comme pour le nourrisson. L’humanité a longtemps cédé au vertige de ce fantasme et n’a cessé de s’entre-dévorer pendant toute la préhistoire, ouvrant les os et les crânes pour en sucer la substantifique moelle. Depuis elle a soulevé de puissantes barrières d’horreur devant ce vertige. Mais il est soutenu par toutes ces pulsions archaïques. Aussi est-il plus facile de parler d’un animal dévorant que de sa mère. Ce n’est au fond que le fantasme du retour au sein maternel, mais par la bouche: être englouti en étant mangé, "c’est pour mieux te manger, mon enfant !" Il s’agit donc d’un inceste précoce de nature orale. À travers la succion alimentaire, les invocations conjuratoires, l’agressivité cannibalique, Lilith est la figuration des pulsions orales. Est particulièrement significative dans de nombreuses langues, la liaison du double LL avec l’oral labial, lécher, lingula, lèvres, lippe, du grec lalein, le latin lalare signifie, chanter pour endormir, d’où la lallation. Lilith est donc la bien nommée et ce n’est pas par hasard. La succube aspire l’énergie vitale de ses victimes par un baiser. Quand elle utilise ses pouvoirs, on peut voir un halo rouge qui l’enveloppe, son "énergie". S’il y a permanence du mythe, c’est que le mythe est toujours vivant même au XXIème siècle. Ce qui pose bien des questions.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir. 
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Par : le 09/02/23
J’ai essayé les femmes, celles que je trouvais belles, sexy, charnelles … Mais non rien n’y fait j’aime les hommes !   J’aime les hommes qui embrassent de toute leur bouche J’aime les hommes sensibles, un peu écorchés, un peu égratignés J’aime les hommes dont les mains sont fouilleuses, impétueuses, vicieuses, caressantes, pressantes, branlantes J’aime les hommes qui aiment autant mon cul que mon âme J’aime les hommes qui me font rire J’aime les hommes virils, un peu macho J’aime les hommes et leur Queue qui se dresse et se sert de mes trous J’aime les hommes qui explorent mon cœur comme mon corps J’aime les hommes dont le regard se fait luxure et le sourire carnassier J’aime les hommes dans leurs quotidiennes petites attentions et leurs grandes rares déclarations J’aime les hommes qui savent me rendre chienne en toute facilité J’aime les hommes qui me prêtent leur épaule pour me sentir en sécurité J’aime les hommes qui éveillent ma lubricité et me font rayonner J’aime les hommes qui ont la capacité de questionner et m’écouter J’aime les hommes qui savent qu’on peut tout perdre et prennent soin de ceux qu’ils aiment J’aime les hommes qui me rendent liquide et torride J’aime les hommes qui ont la patience de m’amener là où je n’ose aller J’aime les hommes qui me font une place dans leur vie J’aime les hommes un peu poilus qui apprécient de se laisser masser J’aime les hommes qui s’émerveillent du chant d’un oiseau, d’une danse virevoltante d’une feuille, d’un coucher de soleil aux couleurs symphoniques J’aime les hommes qui m’émeuvent d’une petite phrase, de quelques mots bien dosés J’aime les hommes qui aiment me déshabiller J’aime les hommes qui bousculent mes doutes, révèlent mes envies et me mettant à leurs pieds délivrent mes fermetures
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Par : le 07/02/23
Tout s'annonçait sous les meilleurs auspices. Même le temps se mettait de la partie. Il nous offrait une de ces pimpantes journées de juin pas encore caniculaires où le soleil joue allègrement entre les branches des arbres. Elle portait un parfum léger, sensuel. Et sa façon de le saluer, toute simple, était éblouissante. Il ne se souvenait pas qu'une femme l'ait jamais intrigué à ce point. Peut-être était-ce dû au masque qu'elle portait ou à la réputation qui la précédait. Quoi qu'il en soit, elle était ravissante, et de celles qui accrochent le regard et fascinent. Et ce n'était pas une question de robe ni de bijoux. C'était toute sa personnalité qui transparaissait: sexy, impertinente, séductrice. S'amuser à provoquer un homme aussi désirable, était plus facile qu'elle ne l'aurait cru. Le déguisement n'était qu'un artifice. C'étaient ses yeux verts derrière son masque et sa bouche sensuelle qui le troublait. La soie fluide moulait somptueusement les courbes de sa silhouette. Le précieux collier plongeait de manière suggestive entre ses seins, le métal froid lui rappelant que si elle jouait correctement son rôle, très bientôt les doigts de l'inconnu effleureraient sa peau avide de caresses. Elle laissa ses doigts glisser le long du collier, jusqu'au cabochon niché au creux de sa poitrine. Elle avait réussi à le surprendre, à l'intriguer. Elle ne disposait que d'une nuit. - Monsieur, dit-elle. Je veux que nous fassions l'amour. L'homme leva un sourcil étonné et un sourire amusé effleura ses lèvres. Charlotte ne voulait surtout pas qu'il réfléchisse. Elle voulait qu'il se contente de ressentir et de réagir. D'un geste téméraire, elle glissa la main vers sa nuque, noua les doigts dans ses cheveux sombres et attira son visage vers le sien. C'était elle qui avait pris l'initiative du baiser. Ce fut l'homme qui en prit le contrôle. Il n'y eut pas de phase d'approche. Ses lèvres pressèrent les siennes, sa langue pénétra sa bouche, trouva la sienne, s'y mêla en un baiser sauvage, exigeant, prenant d'elle tout ce qu'elle avait à donner. Il passa une main sur sa hanche, puis fit très lentement remonter le tissu de sa robe. Elle lui attrapa la main en cherchant son regard, mais ne l'arrêta pas ni ne l'aida. Il lui sourit et continua, jusqu'à ce que le string en soie noire apparaisse enfin.    Derrière son masque, elle pouvait le voir et fut rassurée. Un seul regard deviné dans les yeux de la jeune femme lui apprit qu'elle en avait autant envie que lui. Il déplaça ses doigts, et les pressa contre le tissu de son entrejambe. Cette fois, elle suffoqua. Un son étranglé lui échappa alors qu'il contemplait son sexe. Il suivit alors la jointure de sa cuisse du pouce avant de le presser contre son clitoris. Elle rejeta la tête en arrière en gémissant alors qu'il le caressait lentement et délicatement. Incapable de respirer, elle rouvrit les yeux pour le voir arrimer sa bouche sur ses grandes lèvres. Elle s'abandonna à son étreinte, s'enivrant de l'odeur de sa peau, une odeur virile, troublante. - Allons dans un endroit plus intime, voulez-vous ? Il eut un bref mouvement de sourcils, comme s'il soupçonnait un piège, mais il était trop poli pour répondre. - Nous venons d'arriver. - N'avez-vous pas envie d'être seul avec moi ? Car je n'ai aucune envie de différer mon plaisir. Ni le vôtre. - Comment savez-vous que nous aurons du plaisir ? - Une femme sait ces choses-là. - Même si mes exigences sortent du commun ? L'ascenseur s'immobilisa à son étage. Elle prit l'homme par la main et ils franchirent la double porte aux vitres gravées, traversèrent le hall de marbre et gagnèrent la luxueuse suite préparée. Elle était toute entière éclairée de bougies et ils traversèrent le salon en direction de la vaste chambre élégante, raffinée, décorée dans un subtil dégradé de tons chauds. D'autres bougies étaient disposées de part et d'autre de l'immense lit. Sur la commode, on avait disposé deux flûtes de cristal et une bouteille de champagne dans un seau à glace en argent. Le lit était entrouvert et les draps soyeux, comme une invitation aux ébats. Charlotte avait ouvert toutes grandes les portes de la terrasse qui surplombait l'océan pour laisser la brise parfumée baigner la chambre. L'homme ne prêta pas la moindre attention au décor. Il ne s'intéressait qu'à elle. - Baissez la fermeture de ma robe, susurra-t-elle d'une voix enjôleuse. - Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je prenne mon temps, j'espère, murmura-t-il à son oreille. Elle se sentit soudain la bouche sèche. Elle avait envie d'être nue, de sentir ses mains sur elle tout de suite, mais aussi follement envie qu'il prenne tout son temps. Il descendit la fermeture Eclair de quelques centimètres. Le corsage de la robe s'ouvrit dans son dos, s'écarta de sa poitrine et elle sentit un souffle d'air frais balayer ses seins. Du bout des doigts, il caressa son son cou, ses épaules, décrivant de petits cercles sur sa peau nue tandis qu'elle écartait doucement les pans de son corsage. Pour lui, la seule chose plus stimulante que son désir était qu'elle le désire autant.    Il l'attira à lui, et elle se retrouva debout, dos contre son torse, ses mains emprisonnant ses seins menus. Elle tremblait à présent de tous ses membres. Les yeux clos, la tête rejetée en arrière, elle offrit et sa plaie et son esprit à l'emprise de l'inconnu. La jeune femme fit lentement ce qu'il lui ordonnait, et il croisa son regard dans le miroir mural qui, face à eux, leur renvoyait leur image. Elle n'avait pas bougé, tenant toujours ses cheveux relevés pour lui, dans une position cambrée qui projetait en avant ses seins avides de la caresse de ses mains expertes. Elle ne s'inquiéta pas quand il plaça autour de son cou, un collier en acier comportant une charnière, située au centre. Il le verrouilla brusquement grâce à un système de vis et d'écrou. - Vous avez un dos superbe, dit l'homme sans se troubler. Il fallait qu'elle s'écarte, qu'elle reprenne le contrôle du jeu. Mais c'était si bon de sentir ses mains sur ses seins qu'elle n'en eut pas la volonté. Et il s'y attendait. Il savait qu'elle ne pourrait pas. Il l'avait lu dans son regard, senti dans la façon dont elle cédait à la tentation, s'abandonnant à ses mains expertes. Ses paumes effleuraient sa chair, ses doigts la frôlaient à peine. La sensation était telle qu'elle dut se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle referma les doigts sur ses épaules. Sa peau était chaude et douce. Du velours sur de l'acier. Chaque caresse de ses mains sur ses seins, chaque pression de ses doigts faisait croître le désir niché au creux de son ventre. Jamais elle ne s'était sentie à ce point prête pour un homme, excitée, humide. Elle l'était déjà au moment où elle avait ôté sa robe. Il pressa de nouveau la pointe de ses seins. Mais l'homme avait décidé d'imposer son rythme, de l'exciter, de la pousser à bout, puis de faire machine arrière au moment où il la sentirait prête à chavirer. Quand elle glissa les pouces sous l'élastique de son string et le fit glisser très lentement sur ses fesses, des fesses musclées, elle se retourna et il découvrit son pubis finement rasé, il la fixa, fasciné, le regard brûlant de désir, une expression si intense sur le visage qu'elle fut saisie de peur. L'homme bondit alors, tel un animal sauvage, et tandis qu'elle se redressait, il la souleva dans ses bras.    Elle obéit, sans qu'il sache si c'était pour lui, ou pour avoir le temps de reprendre son souffle. Il fit courir ses mains sur ses fesses puis il passa une main sur le ventre et l'autre sur un sein. Lorsqu'il l'eut posée sur la terrasse, il saisit la rambarde, emprisonnant Charlotte entre ses bras. Elle était piégée. Son petit numéro de strip-tease avait définitivement chassé l'homme réservé et distant et libéré l'être viril et impétueux. Comme attirés par un aimant, ses doigts se refermèrent sur son sexe. Il était long et dur. Il sursauta lorsqu'elle allongea les doigts, les referma sur ses testicules qu'elle pressa doucement. Du pouce, elle effleura son gland gonflé et fut heureuse de l'entendre gémir de plaisir. - Je vais explorer toutes les zones sensibles de votre corps avec ma langue, murmura-t-elle. Comme hypnotisée par le bruit des vagues qui se brisaient sur les rochers de la côte, en contrebas, elle s'agenouilla et prit le sexe de l'homme dans sa bouche. Il avait le goût du vent et de la pluie, le goût viril d'un homme. Et comme elle le lui avait promis, elle l'amena au bord de l'orgasme. Brusquement, il glissa les mains entre ses reins. Perchée sur ses talons hauts, elle se trouvait cambrée, les fesses en arrière, dans la position idéale pour qu'il glisse un doigt en elle. Un doigt qu'il plongea dans sa voie la plus étroite, l'élargissant avec volupté jusqu'à ce qu'elle fut détendue. - Je veux que vous veniez en moi par cet endroit. - Je le sais. Mais il s'arrêta. Il se redressa, plaqua son corps contre le dos de Charlotte. Son membre dur plongea entre ses fesses. Elle se cambra pour le prendre en elle, mais il s'écarta, referma les mains sur ses seins et en pressa la pointe durcie. Ce fut comme si une décharge électrique traversait le corps de la jeune femme. Elle se cambra de nouveau, collant son rectum contre lui. Lorsque enfin, il la pénétra, elle était si brûlante, si excitée qu'elle jouit aussitôt dans une explosion de tous les sens. Elle se serait écroulée si les bras puissants de l'homme ne l'avaient retenue. Il glissa une main entre ses cuisses et, ouvrant délicatement sa chair, il se mit à caresser son clitoris. Elle le sentait partout, avec son sexe planté profondément dans ses entrailles. Quand elle atteignit l'orgasme, il se décolla d'elle brutalement. Bientôt, tandis qu'elle retrouvait ses esprits, l'homme la tenait serrée contre lui, blottie dans ses bras. - Avez-vous déjà été attachée et fouettée ? - Non jamais. Sans attendre, l'inconnu dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une corde de chanvre qu'il attacha au plafonnier de la chambre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis qu'il l'ôtait de son pantalon. - Que faites-vous ? - Je répare seulement un oubli. Souvenez-vous de mes exigences spéciales. Il lui caressa doucement les cheveux, lui lissa les sourcils du bout des doigts, lui baisa doucement les lèvres.    Le reflet de la lune qui était faible, éclairait son corps à elle, non ses gestes à lui. La main gauche de l'inconnu se posa contre sa taille. La jeune femme, songeuse, regarda naître une lente aurore pâle, qui traînait ses brumes sur les arbres dehors au pied de la terrasse. L'homme commença par apprécier la souplesse du ceinturon en cuir en fouettant l'air. Le premier coup claqua sèchement contre ses fesses. Il n'était pas du style à y aller progressivement. Il avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses. L'homme la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Vingt, trente, quarante coups. Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées, s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle était exposée à un âtre crépitant. - Vous voudrez bien vous retourner. - Non, pas devant, haleta-t-elle, Pas devant. - Vous devez aller jusqu'au bout de vos fantasmes de soumission. Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Il la regarda se débattre, si vainement, il écouta ses gémissements devenir des cris.    Finalement, sans mot dire, elle céda et se retourna, offrant à l'inconnu ses seins nus et son ventre lisse. La voix calme et posée de l'homme s'élevait dans un silence absolu. En même temps qu'elle entendit un sifflement dans la pénombre, Charlotte sentit une atroce brûlure par le travers des cuisses et hurla. L'inconnu la fouettait à toute volée. Elle hurla à nouveau et releva la jambe pour essayer de se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue. Il ne refrappa pas immédiatement. Il attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet. Il continua à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. L'homme cessa presque aussitôt de la frapper. Le tout avait duré cinq minutes. Il s'approcha de la jeune femme et ce fut lui qui remarqua le premier que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer parfois par fantaisie. Charlotte n'avait aucune envie de bouger. Comblée, elle ne rêvait que de rester là, blottie dans les bras de l'inconnu. Mais pour lui, il était hors de question de passer la nuit avec elle. Le risque était trop grand qu'elle découvre son identité. La jeune femme, encore meurtrie mais paradoxalement épanouie, songea seulement que s'il la quittait, c'était légitime. Ses yeux encore embués se perdirent par-dessus le balcon dans le crépuscule.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/02/23
Il est un phénomène issu de la culture japonaise adepte des mangas et autre pop-culture qui a conquis une bonne partie de la jeune génération. Le cosplay qui autrefois était assez marginal, a envahit cet espace de pop-culture laissé à l’abandon. Durant les salons, conventions, ils ont même leur concours.  Force est de constater que beaucoup d’adeptes et de passionné(e)s redoublent de travail et d’imagination pour confectionner leur « costumes » dans le moindre détail et cela donne des résultats impressionnants...et sexy ! Car dans cette culture, il y a un point qui revient souvent dans les manifestations ou le cosplay est représenté, c’est que cela frôle souvent avec un petit côté sexy (Ce qui pose certains problèmes aussi avec certaines personnes malintentionnée durant ces salons, mais c’est un autre sujet.) voire pour certain(e)s un peu trop pour la fréquentation jeune qui arpente ce type d’événement. Durant ces conventions, je me suis toujours demandé si ces personnes avaient dans leur fantaisie, le fantasme de le faire en costume ? C’est de là que m’est venu l’idée d’un jeu en costume ou en cosplay. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/hot-cosplay/
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Par : le 07/02/23
Avant propos Cet article peut être lu isolément. Cependant, pour en comprendre pleinement le sens, certains éléments de contexte apportés par mes articles précédents sont incontournables. La liste est ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). L'article étant assez long (désolée...), je l'ai découpé en cinq épisodes pour vous permettre, si vous le souhaitez, d'en interrompre la lecture pour la reprendre plus tard. Je vous souhaite une bonne lecture, en espérant qu'elle vous sera plaisante.   ************************************************** --- Episode 1:  Redoutable gravitation   Des barreaux pour seul horizon, des minutes qui semblent des heures, des questions sans réponse, ... J’en ai assez de moisir dans cette cage! Je me suis masturbée jusqu'à épuisement et maintenant je me languis dans le noir. C'est long, très long... J'ai l'impression qu'une bonne partie de la nuit est déjà écoulée. Mais que fait mon Maître?  Il est passé en coup de vent pour me retirer cet objet qu’il m’avait mis dans le cul et relier mon collier à l'un des barreaux par une courte chaîne.  Pourquoi ne m'a-t-il pas baisée?  Pourquoi me laisse-t-il seule, enfermée, au lieu de profiter de mes orifices?  Est-ce que je ne lui plais pas? Est-ce qu'il est en train de baiser Sonia ? Je me console en me disant qu'au moins j'ai eu l’un des plus puissants orgasmes de ma vie dans cette cage. La situation, l'enfermement, l’incertitude, ... C'était trop excitant. Mais maintenant j'en ai marre !!! Mes pensées ne sont pas celles de la soumise dans l'âme que je croyais être. Je me déçois moi-même. J'essaie de me raisonner mais ces pensées de gamine capricieuse me reviennent sans cesse dans la tête. J'ai envie de piquer ma crise et de hurler, d'appeler mon Maître: "Eh, je suis là! J'existe!" Et puis je redeviens rationnelle, avant de sombrer à nouveau dans l'énervement. Un cycle sans fin. Et si j'étais tombée sur un psychopathe ? Est-ce qu'il va me laisser mourir de faim et de soif dans cette cage ? A peine ces pensées m'ont-elles traversé l'esprit que je me sens ridicule, honteuse de les avoir eues. Est-ce qu'il est encore dans la maison? Suis-je totalement seule? Et s'il y avait le feu? Je secoue les barreaux, mais ils ne bougent pas. Ils sont solides et la cage est bien verrouillée. Aucune possibilité d'en sortir, même en y mettant toutes mes forces. J'examine la lourde chaîne reliant mon collier à l'un des barreaux. Il faudrait s'appeler Hercule pour la briser. J'ignore pourquoi mon Maitre a pris autant de précautions. Là c'est sûr que je ne risque pas de m'échapper ! Je me sentais déjà à l'étroit dans cette cage, maintenant la chaîne restreint encore davantage mes possibilités de mouvement. Elle est courte mais extrêmement lourde. Son poids et son inertie rendent chaque mouvement laborieux, pénible, épuisant. Par son intermédiaire, la pesanteur exerce une forte tension sur mon collier, même lorsque je reste tranquille: impossible de me sortir cette sensation désagréable de l'esprit. Impossible d'oublier que je suis esclave à présent. Le mince éclairage lunaire qui filtre à travers les volets me laisse apercevoir une enveloppe. Je la saisis en passant la main à travers les barreaux. "à n'ouvrir qu'en cas d'urgence", est-il écrit. La clé de la cage ? La clé de mon collier ? Les deux ? Je n'en sais rien, mais cette idée me rassure. J'essaie de sentir ce qu'il y a à l'intérieur, mais c'est impossible. Enveloppe à bulles contenant une autre enveloppe à bulles apparemment. Tant pis. Je la remets à sa place. L'ouverture des volets me réveille brutalement. Je m'étais endormie. Comment ais-je pu m'endormir alors que j'étais tellement énervée ? Je n'en ai aucune idée. Dès mon réveil, toutes les sensations désagréables reviennent. Je tente de me redresser un peu et je pousse un cri, surprise par l'énorme masse inertielle de la chaîne, qui se rappelle à mon bon souvenir. Mon Maître s'approche de la cage et m’observe, amusé. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" Il se fiche de moi, visiblement. J'ai bien envie de lui faire part de ma frustration, de mon agacement, de lui dire que je ne supporte plus cette chaîne, mais mon cerveau rationnel me rappelle à l'ordre et je me contente de faire la moue, sans vraiment répondre. Cela le fait rire. "Ouvre la bouche!" Pendant une fraction de seconde je crois comprendre que cela signifie "Répond!", et puis non, il m'ordonne de fermer les yeux et de pencher la tête en arrière. Pas facile de me positionner comme il l'entend avec la chaîne au cou, mais j'y arrive plus ou moins. J'attends ainsi, intriguée, mais rien ne se passe. J'ai l'impression qu'il est parti. La position est difficile à tenir, mais je n'ose pas entrouvrir les yeux pour en avoir le cœur net. Un liquide froid, presque glacé,  me coule sur la langue. Je le bloque avant qu'il s'infiltre dans ma gorge.  C'est inhabituel, mais il ne me faut qu'une fraction de seconde pour reconnaître le goût du sperme.  Sans doute qu'il en a congelé et l'a ressorti pour moi. Quelle idée bizarre. Mais c'est excitant. Le goût est tellement différent quand il est glacé. "Tu peux rouvrir les yeux et refermer la bouche, mais n'avale pas!" J'ai juste le temps d'apercevoir le sourire amusé de mon Maître, avant de m'empresser de baisser les yeux. Baisser les yeux face au Maître. Tellement simple à dire et si compliqué à faire. Il faut y penser tout le temps. Est-ce qu'un jour cela deviendra un réflexe? J’aime quand mon Maître me sourit. Ses dents blanches qui contrastent si joliment avec sa peau noire. Qu’est-ce qu’il est beau ! « Mais bien sûr qu’il est beau, idiote, puisqu’il est ton Maître ! », me dis-je à moi-même.  « La beauté est dans les yeux de celui qui regarde », m’a dit un jour un grand sage. Me voilà seule à nouveau. Vais-je passer toutes mes journées ainsi, seule, en cage? Je dois reprendre le travail mercredi, à l'issue de ce week-end prolongé. Est-ce qu'au moins il me laissera sortir? Moi qui pensais venir ici pour être baisée, fessée, fouettée, ... Je ne m’attendais pas à passer du bon temps, je m'y étais préparée psychologiquement, mais jamais je n'aurais imaginé que mon séjour allait se dérouler ainsi. C'est terriblement frustrant ! J'adore le sperme, mais le garder en bouche pendant une éternité cela finit par devenir vraiment pénible. A mesure qu'il se réchauffe dans ma bouche, le goût change. C'est surprenant. Je me demande quand mon Maître va revenir et m'autoriser à avaler. Il m'en a mis des quantités et j'ai les joues presque gonflées. Initialement excitée par le fait de goûter pour la première fois le sperme de mon Maître, j'ai maintenant de plus en plus de mal à me retenir d'avaler. Voilà Sonia qui entre. "Hello Ysideulte! Nice day, isn't it ?" Elle se fout de ma gueule ou quoi ? C’est de l’humour britannique ? Impossible de lui répondre avec la bouche remplie de sperme, à part "humm, humm". Moi qui rêvais de harceler de questions cette femme que j'admire : entrevoir les coulisses de ses enquêtes, savoir comment elle fait pour se procurer de tels documents compromettants, comprendre d'où elle tire son courage et sa clairvoyance... Mais non, me voilà nue, en cage, la bouche remplie de sperme, sans possibilité de lui parler. Difficile de faire plus frustrant ! Elle ressort presque aussitôt en me faisant un grand sourire. Au moins, elle a l'air d'aller mieux, même si son visage a été salement amoché par les coups de matraque des défenseurs de la démocratie. Elle s’en fiche, on dirait. Quelle femme étrange… --- Episode 2: Une gifle bien méritée   Encore de longues minutes à attendre. Je n'en peux plus. Je crois que je vais finir par avaler, quitte à être punie. Heureusement, voilà enfin mon Maître de retour, et la permission tant attendue d'avaler. Il me demande de lui faire part de mes impressions, ce que je m'empresse de faire. Je lui témoigne l'honneur que j'ai ressenti à pouvoir goûter son sperme. Il s'éloigne. Zut! Il va encore me laisser seule dans ma cage. Tant pis, j'ose demander: "Est-ce que je vais rester longtemps dans la cage, Maître?" Au lieu de me répondre, il déverrouille la chaîne. Oh mon Dieu ! Quelle sensation incroyable d'être soudain débarrassée de cette masse pesante qui était devenue un vrai fardeau, comme si j'avais une tonne suspendue à mon collier. Je me sens légère tout à coup. Mon Maître ouvre la grille et m'ordonne de sortir. Ouf, ça fait du bien, je suis toute ankylosée. Je suis heureuse et soulagée d'être enfin dehors. J'ai le sourire aux lèvres, je m'apprête à dire un grand Merci et... je reçois une gifle magistrale. Je ne l'avais pas vue venir celle-là. Mon Maître me montre la cage du doigt et je m'empresse d'y retourner. C'était sa réponse... Sans doute était-ce nécessaire pour que je prenne conscience de l'insolence de ma question. Il me remet la chaîne, en la raccourcissant. C'est ma punition, certainement, pour avoir été insolente. Mon séjour en cage va être encore plus contraint, plus inconfortable. Je ne vois plus personne de la journée. Au moins, la lumière du jour me permet d'avoir une vague idée de l'écoulement du temps. J'ai une bouteille d'eau à portée de main, atteignable à travers les barreaux, un pot pour mes besoins, mais rien à manger, rien à lire, rien à faire ... C'est long ! C'est humiliant ! L'utilisation du pot est très très compliquée avec si peu de liberté de mouvement. Je fais extrêmement attention car lorsque nous échangions pas mail, mon Maître a de nombreuses fois insisté sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour. Je pensais qu'il voulait parler de mon hygiène intime et j'étais un peu vexée qu'il insiste autant car pour moi c'était une évidence de me présenter propre devant mon Maître. C'est seulement maintenant que je comprends vraiment de quoi il voulait parler. La lumière décroît et je sens que me voilà partie pour passer une nouvelle nuit en cage. Je vais essayer de dormir et de ne pas trop m'énerver cette fois. Je n'avais pas du tout imaginé ma vie de soumise comme ça. Est-ce que cela fait partie de mon dressage? S'agit-il de me faire bien comprendre que ce n'est pas moi qui décide? Mon Maître a dit que je peux mettre fin à cette relation à tout moment. Je n'ai pas de raison de ne pas continuer à lui faire confiance, même si je suis perturbée par l'écart entre ce que j'avais anticipé et ce que je vis. Il suffirait que je l'appelle et que je lui dise que c'est fini, que je veux partir. Mais non, il faut que je tienne bon. Je ne vais pas renoncer maintenant. Ce serait trop bête. Cette enveloppe qui contient très probablement des clés - du moins ais-je envie de le croire - me rassure. Il suffirait que je l'ouvre et... Je me suis endormie tôt cette fois, et facilement, même si je me suis réveillée plusieurs fois dans la nuit à cause de rêves érotiques intenses. Le clitoris en feu à chaque fois. A chaque réveil, les sensations désagréables reviennent, me rappelant brutalement ma condition d'esclave. Et pourtant, cela n'appaise en rien mon excitation sexuelle, bien au contraire. Au moins je peux me masturber pour me soulager. Il ne me l'a pas interdit. Il ne me l'a pas explicitement autorisé non plus. Est-ce que j'aurais dû demander la permission? Le doute m'assaille, mais je ne peux me retenir de crier de plaisir à chaque orgasme. La crainte qu'il m'entende et vienne me mettre une bonne raclée n'y change rien - le plaisir qui m'envahit est trop puissant, irrépressible, animal. Comment se fait-il qu'il ne m'ait pas encore baisée? C'est bizarre quand même. A l'aéroport il m'avait dit que je le faisais bander, et puis maintenant j'ai l'impression de ne lui faire aucun effet. Réveillée par l'ouverture de volets. La présence de mon Maître déclenche des frissons de plaisir qui me parcourent tout le corps, telle la chienne qui retrouve son Maître après une longue absence. C'est étrange, mais je me sens bien, apaisée, comme si l'énervement, la frustration, s'étaient envolés. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" "Oui Maître". Je me rends compte que je souris en lui répondant. Je me sens bien. "Voilà qui est mieux", me dit-il, d'une voix douce. Mieux que quoi? Mieux qu'hier matin sans doute, où mon énervement se lisait certainement sur mon visage. C'est donc comme cela que l'on dresse une chienne? En tout cas, c'est efficace. Je me sens heureuse, à ma place. Il me retire la chaîne. Je crois que c'est une récompense. « Ouvre la bouche ! »  Pas besoin d'explication cette fois. Je ferme les yeux, je penche la tête en arrière, bouche grande ouverte, avide de recevoir la précieuse semence, ... "Quand je reviendrai, je veux te voir en position, prête à accueillir ton Maître dans le cul". Et puis je me retrouve seule, avec le sperme en bouche. Je vois qu'il m'a laissé de quoi me préparer, me lubrifier le cul, me bander les yeux, ...   Je m'empresse de me préparer du mieux possible, n'ayant aucune idée du temps dont je dispose. J'ai tout le matériel à portée de main, mais c'est vraiment difficile de se préparer à la sodomie quand on est en cage. Les possibilités de mouvement sont restreintes. Je fais au mieux. Un semblant de toilette, un semblant de lavement, un rapide passage de rasoir, ... C'est loin d'être parfait, mais difficile de faire mieux dans ces circonstances. J'allais commencer à me lubrifier, et puis, je me ravise. Les multiples mails de mon Maître dans lesquels il insistait lourdement sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour viennent de défiler dans ma tête en accéléré. Je suis terrifiée à l'idée de le décevoir. Je recommence tout en m'appliquant du mieux que je peux: toilette, lavement, rasoir, ... Je me lubrifie copieusement l’anus. Je n’aime pas la sodomie. Je n’ai été enculée qu’une fois dans ma vie et j’ai tellement détesté que je n’ai jamais remis ça. Mais pouvais-je me porter candidate à la soumission et refuser à mon Maître l’accès à l’un de mes orifices ? L’aurait-il accepté ? Peu importe, de toute façon, c’était inenvisageable pour moi : j’ai besoin de cohérence, de logique, sinon je ne comprends plus rien à ma propre démarche. Je me sens un peu agacée à nouveau. "C'est vraiment n'importe quoi", me dis-je. Et dire que je m'étais parfaitement préparée avant de prendre l'avion ! Moi qui pensais être baisée tout de suite à mon arrivée. Je m'étais même examinée à la loupe pour m'assurer qu'aucun poil n'avait échappé au rasoir. La chatte parfaitement lisse, la raie des fesses parfaitement lisse, ... Quel gâchis ! Et pourtant je me sens excitée par la manière dont je suis traitée. Je crois que je perds mes repères. Ou bien suis-je en train de m'en recréer d'autres, plus conformes à mon nouveau statut ? Pas facile de trouver la meilleure position. J'essaie différentes possibilités. Il faut que je m'imagine du point de vue de mon Maître. Quelle position lui faciliterait au mieux l'accès à mon cul, à travers les barreaux? Quelle drôle d'idée quand même de m'enculer ainsi, en cage. Mais ce n'est pas moi qui décide... J'attends encore une éternité, en position, le bandeau sur les yeux... Dommage, si j'avais su j'aurais pris davantage de temps pour me préparer. Tant pis, maintenant il vaut mieux que je reste en position car il peut débarquer d'un moment à l'autre. S'il ne me trouve pas en position, il ne sera vraiment pas content, ça j'en suis sûre. Et Sonia, où est-elle? J'espère qu'elle ne va pas assister à ma sodomie ? Je me suis fermement plaquée le cul contre les barreaux après m’être bien écarté les fesses. Bien centrée, cambrée au maximum. J’ai bloqué mes tibias entre les barreaux du côté, ce qui par la même occasion me maintient bien ouverte. C’est très inconfortable, mais peu importe, la seule chose qui m’occupe l’esprit est que mon Maître y prenne du plaisir. Ma poitrine est plaquée au sol, mes mains tiennent fermement les barreaux. J’espère ainsi pouvoir tenir bon, ne pas trop bouger pendant qu’il s’enfoncera en moi. J’appréhende la sodomie. La seule que j’ai connue m’a laissé un souvenir amer, et je suis saisie d’angoisse quand j’entends mon Maître. Je m’attendais à une pénétration brutale, mais mon Maître y va lentement. Très lentement. « Ouh là ! Il va falloir travailler ce cul » me dit-il. « On est comme dans un étau là dedans. » Puis il accélère la cadence et je mets toutes mes forces en œuvre pour ne pas être projetée en avant sous ses coups de boutoir, tenant les barreaux le plus fermement possible. Mes muscles commençaient à tétaniser quand je l’ai entendu gémir de plaisir. Heureusement car j’aurai difficilement tenu plus longtemps. Je dois avoir les marques des barreaux sur les fesses, tellement j’ai poussé en arrière de toutes mes forces pour rester bien plaquée. Malheureusement, il m’a été impossible de garder tout le sperme en bouche. J’en ai laissé échapper pendant qu’il me sodomisait, j’ai bavé, je crois que j’en ai mis un peu partout mais avec le bandeau je ne peux pas voir… « Tu seras punie », me dit-il. Je remercie mon Maître, après qu’il m’ait autorisée à avaler le peu que j’avais réussi à garder en bouche. Je sais que cela se fait quand on est soumise, mais je n'y ai pas réfléchi :  les remerciements me sont venus spontanément. "La bite, ça se mérite" m'a-t-il écrit à plusieurs reprises lorsque nous échangions par mail. Je crois que je viens de vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.  J'ai tenu bon, je n'ai pas renoncé, malgré l'incertitude, malgré l'inconfort, malgré mes doutes, seule dans ma cage. J'ai mérité la bite. Enfin, je crois que c'est ce qu'il faut comprendre. "Tu es une bonne chienne" me dit-il pendant que je lui nettoie la bite avec ma langue. C'est tout ce qu'il m'a dit. Mais quel compliment !  Qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer par son Maître ! Je n'aime pas être sodomisée, et pourtant, malgré l'inconfort, j'étais au bord de l'extase... Rien de physique, non, tout se passe dans ma tête, et c'est vraiment puissant. Mon cul déteste, mais mon cerveau adore. Je dois être un peu cinglée, me dis-je... --- Episode 3: Visite guidée Après avoir été autorisée à retirer mon bandeau et avoir soigneusement léché le sperme que j'avais laissé échapper, je suis enfin libérée de ma cage. Des douleurs aux articulations et quelques vertiges – j’ai repris trop vite la position debout. Mais rien de grave. C'est bon la liberté ! C'est quand on en a été privée que l'on s'en rend vraiment compte. Mon Maître m'autorise à utiliser les toilettes et la salle de bain. Il me suit et m'observe... Bonjour l’intimité… La douche à l'eau froide n'est pas des plus agréables, mais après presque deux jours en cage, on relativise... De toute façon, les règles sont claires: "pas d'eau chaude pour les chiennes". « J’aime bien tes mamelles », me dit-il, quand je sors de la douche. C’est la première fois qu’il me fait un compliment sur mon anatomie. L’eau était glaciale : j’ai la chair de poule et les tétons hyper saillants. C’est spécial… Mais plutôt joli. Maître accroche une laisse à mon collier et me fait visiter sa maison, puis son jardin. Nue, complètement nue... Heureusement qu'il n'y a pas de vis-à-vis... J’ai une bouffée d’émotions quand il me fait visiter sa chambre. Est-ce que je serai autorisée à partager son lit, une fois dressée ? Ou bien est-ce que je passerai mes nuits en cage ? Je cherche des yeux des affaires appartenant à Sonia, mais je n’en vois pas. Est-ce qu’il l’a baisée ? Je n’en sais toujours rien. Rien de visible. De toute façon, cela ne prouve rien, me dis-je. Elle n’aurait pas forcément laissé traîner sa culotte… Mais je regarde partout à la recherche du moindre détail. Une boucle d’oreille, un mouchoir, une plaquette de pilules, n’importe quoi… « Tu as perdu quelque chose ? » me demande mon Maître, l’air amusé. « Euh, non Maître, j’observe simplement ». La jalousie est un très vilain défaut, surtout quand on est esclave sexuelle… Dans la pièce voisine, un fauteuil d’examen gynéco, avec tout le matériel. Je savais qu’il en avait un, il me l’avait dit. Je m’attendais à être examinée très intimement dès mon arrivée, mais je ne l’ai pas été. Pourquoi ? Mystère. Je pensais qu’examiner le vagin de son esclave était une des premières choses qu’un Maître faisait. "Installe-toi pendant que je vais chercher Sonia. Elle souhaitait voir ton clitoris." Ces paroles me glacent le sang. "Rassure-toi, c'est purement professionnel. Elle ne te touchera pas. Tu comprendras plus tard." Qu'est-ce que c'est que cette histoire? Je n'y comprends rien, mais j'obéis. J'ai à peine le temps de m'installer que mon Maître est de retour, accompagné de Sonia, et je me fais immédiatement engueuler: "Décapuchonne-le correctement! Comment veux-tu qu'elle l'évalue?" "Do you think her clit is well suited for your needs ?" lui demande mon Maître "Perfect! It is far beyond my expectations", dit Sonia en me souriant. "Thank you so much, Ysideulte, and so sorry to have asked you that". Elle ressort aussitôt. J'apprécie la délicatesse qu'elle a eue de ne pas prolonger inutilement mon humiliation. Je m'attendais à ce que mon Maître poursuive mon examen et me mette le spéculum, mais il m'ordonne de redescendre. Je ne sais pas s'il fait exprès de contrarier mes anticipations. C'est très perturbant pour moi qui aime tout planifier. Certaines pièces ne font pas partie de la visite. Peut-être que Sonia a dormi dans l’une d’elles et que je me fais du souci pour rien. « C’est ici que tu seras attachée et fouettée », me dit mon Maître, en me montrant des anneaux au plafond de la cave. « Tu pourras hurler, personne ne t’entendra ». Ces mots me font frémir de crainte et d’excitation à la fois. C’est très désagréable de marcher pieds nus sur les gravillons qui tapissent l’allée, mais je m’efforce de ne pas me plaindre et de marcher à la cadence de mon Maître pour qu'il ne soit pas obligé de tirer sur la laisse. Sur la pelouse ça va mieux. Je me sens fière d’être ainsi promenée en laisse pour une visite guidée. Par chance, il ne me demande pas de marcher à 4 pattes. J’aime cet homme. Malgré mon énervement dans la cage, je sens que j’ai fait le bon choix, que j’ai viscéralement envie d’être sa chienne. Je sens sa bonté intérieure, malgré la manière dont il me traite. "Est-ce que tu étais consciente de ton érection quand Sonia t'a examinée ? J'ai vu ton clitoris gonfler dès que tu l'as décapuchonné.", me demande mon Maître. Non, pas vraiment. J'étais tellement perturbée que j'ai un peu déconnecté de la réalité. C'est que que je tente d'expliquer à mon Maître. "En tout cas, je suis extrêmement fier de toi. Tu lui as montré que tu es une salope, même si c'était involontaire". Alors là ! S'il savait l'effet que ces mots me font ! J’admire une nouvelle fois l’Aston Martin garée au fond du jardin. Je meurs d’envie de la conduire, mais malheureusement mon permis m’a été retiré. --- Episode 4: Plaisir d'un repas partagé Sonia nous rejoint pendant que l’on fait le tour du jardin. J'avais tellement de questions à lui poser et puis je me borne à quelques banalités. J'ignore pourquoi. Suis-je intimidée? Certainement. J'ai honte d'être nue, en laisse, en présence d’une autre femme. Et puis, elle m'impressionne. Un mental d'acier derrière une apparence toute douce. Je le ressens de plus en plus. Elle me fait presque peur parfois. Celui qui la fera plier n’est pas encore né. Elle nous annonce que le déjeuner est servi. Ah bon? Je croyais que c'était moi l'esclave ici. Mais je ne vais pas m'en plaindre. C'est tellement agréable de se faire servir. Je meurs de faim et sans même m'en rendre compte je me jette sur la nourriture, à peine servie. "Tu manges comme une truie ! Où as-tu été éduquée ?" me dit mon Maître, sur un ton proche de l'engueulade. Je me confonds en excuses, ne sachant plus où me mettre. Je viens de me rendre compte du ridicule de mon comportement. Sonia me demande ce que cela me fait de déjeuner nue en présence de deux personnes habillées, ce qui me fait rougir. Elle m'interroge au sujet de mon expérience en cage. Nous échangeons en anglais. Pas facile pour exprimer le fond de ma pensée mais, moi, la grande timide, j'ose m'exprimer. Il faut dire que les félicitations appuyées de mon Maître, pendant que l'on faisait le tour du jardin, m'ont vraiment dopée. Ces deux nuits en cages ont été très dures, mais quelle récompense à la clé! Rien à faire, ma curiosité dépasse ma timidité. Que faisait-elle sur le lieu de cette manifestation? Quel intérêt?  La population est en large majorité favorable aux miliciens et hostile aux manifestants : une bande d’ignorants, anti-vax, anti-science, racistes, fascistes, ... La lie de l’humanité, à en croire les journalistes. Ce n'est pas une vidéo montrant la brutalité des Brigades de Défense de la Démocratie qui y changera quelque chose. Que faisait-elle donc là? Pourquoi prendre le risque de se faire capturer par les défenseurs de la démocratie? Cela n'a aucun sens. Elle était certainement là pour une autre raison, mais laquelle? Et pourquoi s'inquiétait-elle autant de l'état de sa caméra? Il y a des éléments qui m'échappent. Je tente de lui poser quelques questions, mais je comprends vite que je n'en saurai pas plus. Après le dessert, mon Maître pose un petit flacon sur la table et me demande si je sais ce que c'est. Aucune idée... A part une forme un peu originale, je ne vois pas ce que ce flacon représente ni ce qu'il contient. Du verre tout ce qu'il y a de plus classique. A l'intérieur, un liquide transparent, qui a toute l'apparence de l'eau, quoiqu’un peu plus opaque. Sonia place une puissante loupe devant le flacon. Mais je ne vois rien de plus. Ah si! Je viens d'apercevoir deux formes bizarres qui nagent de concert dans le liquide. On dirait qu'ils sont liés l'un à l'autre tellement leurs mouvements sont parfaitement synchrones. Ils ont une tête, on distingue presque un visage très étrange, à la fois doux et inquiétant. Qu'est-ce que c'est que ce truc? C'est Sonia qui me donne l'explication. Un zébralyvox gémellaire, être improbable surgi de la préhistoire. Ils sont toujours par deux mais ne semblent faire qu'un: synchrones alors qu'ils ne sont pas matériellement reliés, incapables de survivre l'un sans l'autre. Intrication quantique? Non, je délire... Je me prends à rêver de ce lien impalpable mais pourtant tellement puissant qui, je l'espère, m'unira un jour à mon Maître. Les premiers spécimens ont été découverts dans la région du Nuvavut, au Canada, lors d'un sondage, dans la calotte glaciaire. Mais l'on a de bonnes raisons de penser que le gisement principal se situait dans le grand glacier de l’île Komsomolets, au Nord de la Sibérie. Comment a-t-elle pu se procurer ce spécimen ? Mystère. J'ose le lui demander mais elle me fait comprendre que cela fait partie des informations qu'elle ne peut pas divulguer. Le zébralyvox gémellaire est le plus remarquable anti-douleur qui soit. Il se fixe sur un faisceau de fibres nerveuses et émet une multitude de filaments pour établir des ponts électriques entre les points d'interruption de la gaine de myéline, prenant par la même occasion le contrôle total de la transmission de l'influx nerveux, qu'il détourne à son profit. L'électricité humaine ou animale lui fournit l'énergie essentielle à son métabolisme. S'il en est privé, il ne peut survivre plus d'une quinzaine de jours, d'où l'importance pour lui de trouver rapidement un hôte. Pendant des millions d’années, il a vécu en parfaite symbiose avec les vertébrés, apaisant leurs souffrances en échange de la précieuse énergie électrique. Puis il a disparu, on ne sait pourquoi. Enfin, pas totalement, puisque quelques spécimens ont traversé les âges, emprisonnés dans les glaces. Comment se fait-il que cette découverte ne soit pas connue du grand public? Ce serait une magnifique alternative pour apaiser les souffrances des malades, sans l'effet assommant, voire toxique, des analgésiques chimiques. Le marché des soins palliatifs est énorme et a explosé en raison de la forte dégradation de la santé de la population que l’on observe depuis quelques années. Ce n'est pas si simple. La Bill&Alvértos Fucking Corporation vise le monopole de la distribution de ce nouvel anti-douleur, m'explique Sonia. Ils sont en train de mettre au point une version génétiquement modifiée, stérile, qu’ils reproduiront dans leurs laboratoires par clonage. Parallèlement, ils cherchent à détruire les spécimens naturels, pour tuer dans l’œuf tout risque de concurrence. Ainsi, la BAFC pourra vendre à prix d'or ce remède miracle contre la douleur. Une magnifique invention de la nature détournée au profit de politiciens et de financiers véreux. Je comprends maintenant les motivations profondes de l'opération militaire massive menée par la Suprême Alliance Démocratique en Sibérie, qui me semblait absurde quand elle a été relatée. Pourquoi un tel déchaînement de violence dans une région qui ne me semblait pas spécialement stratégique ? Pourquoi raser l’île Komsomolets au point de faire fondre une grande partie du glacier sous un déluge ininterrompu de bombes thermobariques ? La Suprême Alliance Démocratique a perdu 53 bombardiers stratégiques dans l’opération, interceptés par les S-500 et les forces aérospatiales ennemies. Pourquoi assumer de telles pertes pour un enjeu qui me semblait dérisoire ? « Mais enfin ! On ne doit reculer devant aucun sacrifice quand il s’agit d’apporter la démocratie aux peuples opprimés. C’est ce qui fait la grandeur de la Suprême Alliance et la noblesse des valeurs que nous défendons », martelaient les journalistes… C’est cela, oui… J’y vois plus clair à présent. Quelle est l’idée de Sonia? Je ne vois pas ce que l'on peut y faire. Révéler l'affaire? Neuf citoyens sur dix n’en croiront pas un mot. Ils se laisseront facilement convaincre que tout cela n'est que « fake news ». Il suffit de lâcher la meute des fact-checkers, avec si besoin le soutien de quelques experts de plateaux, et le tour est joué. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête, mais je comprends qu'elle veut absolument préserver ce spécimen et qu'il lui faut donc un hôte. Visiblement elle pensait à se l’implanter et maintenant elle pense à moi. Mais pourquoi moi? Qu'est-ce que j'ai de spécial? Et si j'accepte, qu'est-ce que je risque? Mon esprit fourmille de questions, mais ma curiosité est brutalement interrompue par mon Maître. "En cage!" Oui, Maître. Je m'empresse d'y aller et de refermer la grille, qui se verrouille automatiquement. Mon Maître a le don de me frustrer comme c'est pas possible. J'avais tellement de questions à poser. C'est bête. C’est énervant. Je suis en train de bouillir intérieurement. Et puis j’explose. Je secoue les barreaux de ma cage, de rage, mais ils ne bougent presque pas. C’est du solide. --- Episode 5: Décision difficile ? ... ou évidence ? Cette fois, je ne reste pas seule bien longtemps. Mon Maître me rejoint et sourit. Je me rends compte que la rage doit se voir sur mon visage et que, bien que je sois totalement nue, je transpire, je dégouline, tellement je me suis acharnée sur les barreaux comme une furie. « Vous, les femelles, vous possédez un organe dont l’unique fonction est de procurer du plaisir. Plus de dix mille terminaisons nerveuses dans un minuscule volume. Imagine l’énergie électrique que le symbiote pourrait récupérer sur ton nerf dorsal. Le paradis pour lui. »  « Et toi en particulier, tu semble exceptionnellement bien dotée, d'après ce que j'ai pu observer », rajoute-t-il en rigolant. Il m'observait donc les nuits passées quand je me masturbais. Comment? Caméra infra-rouge? Entrebâillement de la porte ? La honte... « Tu es intelligente, je suppose que tu as compris. Je te laisse réfléchir, Ysideulte. Appelle-moi quand tu auras décidé. » Tiens, il m’appelle par mon prénom maintenant. Je commençais à penser que je me prénomme « salope ». "S'il vous plait, Maître". Je l'interpelle avant qu'il ne me laisse seule. "Est-ce que Sonia vous a expliqué comment je devrai procéder, si j’accepte ?" "Tu ouvres le flacon et tu verses le contenu très délicatement sur ta chatte. Ne t'inquiète pas, le symbiote trouvera tout seul son chemin. Il a parasité des mammouths, alors ce n’est pas ta peau qui lui fera obstacle. Mais si tu veux lui faciliter la tâche, attends d'être bien excitée et décapuchonne soigneusement ton clitoris en érection". "Et si je perds une goutte et qu’il est dedans?" "C'est un liquide nutritif, légèrement visqueux. Si tu fais attention, tu n’en perdras pas. Et puis je serai à tes côtés pour te surveiller. Je ne tiens pas à rater ça» "Je risque de ne plus avoir d'orgasmes tant qu'il sera en moi ?" "Peut-être. Peut-être pas. Mais est-ce important ? N'es-tu pas esclave sexuelle à présent ?" Je me retrouve seule à nouveau. Cette fois je ne vois pas le temps passer. Les questions, les pensées, me traversent l'esprit dans tous les sens. Peser le pour et le contre. Méditer. C'est ce que voulait mon Maître, certainement. Il aurait pu m'imposer de servir d'hôte. J'aurais obéi. Mais il ne l'a pas fait. Pourquoi? Sans doute parce qu'il estime que ce serait de l'abus de pouvoir. C'est donc à moi de décider... Je sais ce qu’il veut, mais il me laisse le choix. Mes yeux restent fixés sur le flacon, que mon Maître m’a laissé à portée de vue, derrière la loupe. J'observe l'élégant ballet de ce duo impeccablement synchronisé. Il me devient presque familier. Je finis par éprouver une sorte d'affection pour cet être étrange surgi du fond des âges. Si j’accepte, est-ce que je devrai passer les prochains mois, ou peut-être même les prochaines années, avec un passager clandestin dans mon clitoris ? Quel étonnant passager ! Son double visage a presque l'air humain. On a envie de le protéger. Est-ce que je vais souffrir quand il percera ma délicate chair pour se frayer un chemin jusqu’au nerf dorsal de mon clitoris ? Et comment est-ce que l'on me le retirera? Est-ce qu’il ne risque pas de me grignoter peu à peu le clitoris de l’intérieur? L’influx nerveux lui fournit l’énergie, mais il doit bien manger un peu, non ? Il a une bouche – non, deux bouches. Je vais finir par péter les plombs à force de réfléchir. Le temps passe sans que j'arrive à y voir clair. Ma réflexion tourne en rond. Je me fais une liste de questions importantes, que j'essaie de mémoriser. Sonia y répondra. Mon Maître ne peut pas me refuser cela. Et puis je me ravise, je me dis que je ne prends pas le problème par le bon bout. Qu'y-a-t'il de plus important que d'aider Sonia dans sa démarche, quoi qu'elle ait en tête et même si elle ne peut pas me le dire? Qu'y-a-t'il de plus important que de montrer à cet homme - mon Maître - dont je suis en train de tomber éperdument amoureuse que cette relation compte vraiment pour moi, que ses souhaits, même s'ils ne sont pas des ordres, comptent plus que tout pour moi ? Ma liste de questions pratiques semble dérisoire en comparaison. Je suis à nouveau prise d'une folle envie de me masturber. Et si c'était l'un de mes derniers orgasmes? Cette seule pensée me fait hurler de plaisir à peine me suis-je effleurée. Bon sang, il était fort celui-là ! J'éprouve soudain un sentiment de honte en réalisant que Sonia, où qu'elle soit en ce moment dans la maison, m'a certainement entendue hurler de plaisir. Je dois être une sacrée salope à ses yeux... C’est pour cela qu’elle a pensé à moi, sans doute. à suivre...  
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Par : le 06/02/23
Se gâcher la vie. En y repensant, la jeune fille se disait qu'elle avait mené une existence décourageante tellement elle y avait mis du sien pour s'infliger un sort irritable. Il n'y avait pas que son insistant besoin d'infini pour la torturer et l'empêcher de jouir de ce que la vie s'acharnait à lui accorder. Il y avait surtout cette manie qu'elle avait de se désigner comme volontaire pour s'inventer du malheur. Charlotte entrait dans l'enfer. Elle ne le savait pas. Une miséricordieuse providence cachait l'avenir de rencontres fortuites et de désespoirs où elle avançait. Elle avait repris ses habitudes. Les chagrins s'y cachaient encore, tapis sous les souvenirs et sous les gestes quotidiens, mais le temps qui passait les entourait d'un brouillard, les insensibilisait peu à peu. Elle avait mal mais elle pouvait vivre. Une existence mélancolique où l'attente était remplacée par la résignation et les espérances par des reproches toujours sanglants qu'elle ne pouvait cesser de s'adresser. Elle n'était pas encore descendue à ces profondeurs de souffrances où de mystérieux rendez-vous lui avaient été donnés auxquels il lui fallait devoir se rendre. Il lui semblait qu'elle aurait à souffrir. Mais les prémonitions sont toujours aisées après coup. Elle avait tant de fois retourné dans sa tête tous ces monstrueux enchaînements. Un simple coup de téléphone. L'espoir l'avait ressaisie d'un seul coup, l'avait enlevée, comme un paquet de mer, vers des hauteurs où elle flottait avec un peu d'hébétude, d'où l'incrédulité n'était pas absente. La voix de Juliette avait été très sèche, froide. Elle se répétait que le bonheur, ce n'était plus possible. Mais l'espérance était là pourtant. Ses vieux rêves ne l'avaient pas abandonnée. Elle allait se jeter encore dans ses bras et le monde entier en serait transformé. Mais le silence se fut. Charlotte n'aimait pas en discuter avec elle parce qu'elle savait qu'elle ne lui disait la vérité. Longtemps, la géographie des désirs de sa Maîtresse l'avait désorienté. Puis elle avait admis qu'on ne rencontre les attentes d'une femme que pour trouver le vivant de la vie en essayant d'y répondre. Comme si les désirs essentiels de Charlotte, voire ses ressentiments, étaient ses plus grands maîtres à viellir. Comme si, en touchant son dû d'intimité, sa Maîtresse la dédommageait de n'être qu'une esclave. Seule une compagne osant les vraies questions et ne l'épargnant pas pouvait l'autoriser à fréquenter tout ce qu'elle était, même les filigranes de sa personne.   Avec ferveur, elle avait espéré que la liaison avec Juliette ferait d'elle un mieux pour elle. Elle aspirait à se laver de son égoÏsme, à se donner plus qu'à se prêter, à deviner les incomprises qui s'ennuyaient dans sa Maîtresse. Cette cure de vérité devait, elle l'espérait, lui révéler ses propres fantasmes, l'exonérer de la tentation d'être ordinaire. Son travail était très prenant, aussi bien avant son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée en constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues en khâgne au lycée Louis-le-Grand puis rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été. Elle n'avait pas changé: elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres classiques. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant que les masques. Sitôt que Charlotte lui parlait d'amour, Juliette ironisait au canif, dépiautait ses fautes, révoquait ses désirs, la licenciant presque. Avec cruauté, elle se remboursait de la confiance naïve et sublime qu'elle lui avait donnée autrefois.   Quelle denrée périssable que le plaisir ! Le passé n'est pas le temps du désir. Celui-ci s'enflamme et s'enfuit aussi vite qu'il était venu, comme un amant oublieux et volage. C'était ce lien avec l'angoisse qui donnait tant d'intensité et de force à nos rencontres. Elles avaient un goût de première et de dernière fois. Nous savions que l'instant serait bref. Cette perspective de la séparation jetait sur nous son ombre mais aussi elle exacerbait notre soif de profiter du présent. Par allusions brèves, son amante la diminuait alors avec une rage exaspérée. Elle l'éclaboussait de désaccords. Toutes les fois qu'elle s'appliquait à interrompre ce naufrage au ralenti, par des initiatives funambulesques qui satisfaisaient ses priorités plus que les siennes, elle répondait par des diètes de silence, des regards désœuvrés qui faisaient écran entre elles. Charlotte ne croyait plus en ses baisers. Elle séchait de déception. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle. Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude. Ce serait hors propos. Le silence se fit. Elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. M'ordonnant ensuite de me relever, elle m'a demandé de me mettre à nu, puis de me présenter devant la croix de saint André, où elle m'a attaché en position d'écartèlement extrême. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusqu'à ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche. Je me livrais au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré.    Comme si ma peine d'exister ne suffisait pas. Comme si je n'étais pas déjà chargée à bloc de larmes retenues, ballonnée de tourments. Des images fulgurantes de sacrifices déferlaient en moi. Je voulais être l'animal offert sur l'autel. Je me surprenais à dire "merci" à chaque nouveau coup, et qu'importe que ma chair se déchire, que mon sang coule, que mes jambes fléchissent soudain, faisant cruellement porter tout le poids de mon corps torturé sur mes épaules et mes poignets brutalement entravés. J'avais retrouvé la considération de Juliette. J'étais redevenue son esclave, digne de ce nom et digne d'elle, comme si mon esprit voulait en évacuer tous les ressentiments pour ne conserver de ce bonheur étrange et subversif que l'image d'un couple réuni dans une passion commune, une complicité absolue et divine. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque, la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Puis l'image des corps s'évanouit, perd ses contours, s'enveloppe de vague et de brume.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir
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Par : le 06/02/23
Bonjour, Je suis étudiant en cinéma. Je sort d'un BTS audiovisuel à Toulouse et après avoir réalisé quelques courts métrages je tente cette année le concours général de la fémis (école de cinéma à Paris) en section scénario. La première épreuve de ce concours consiste à la réalisation d'un dossier personnel d'enquête. Parmis les thèmes proposés j'ai choisi celui des "limites" pour la réalisation de ce dossier. Je doit donc produire une document moitié écrit et moitié visuel qui développe un angle personnel sur le thème des limites. Personnellement mon point de départ, c'est le lien entre les limites personnelles et les limittes de la société dans laquelle nous vivons, le stade d'évolution des moeurs, de la morale, de l'économie et de la philosophie où en est l'humanité. Je compte aborder des sujets très différents parmis lesquels l'espace, la mort, l'univers des boites de nuits et enfin le BDSM dans la sexualité. Mon but est de montrer que tous ces thèmes, si différents soit-ils, disent tous quelque chose du lien entre nos limites personnelles et les limites du monde dans lequel nous vivons. Cette reflexion m'a assez rapidement mener a également considérer des sujets comme la recherche et la peur de l'infini. Pour parler plus précisement de la partie liée au BDSM je suis à la recherche de personnes qui le pratique (quelle qu'en soit la forme ou l'expérience) pour une collaboration qui se déroulerais en deux parties: La première, c'est une discussion sur le rapport personelle que la personne entretient avec le BDSM et la sexualité en général. On pourras aborder cette question sous un angle societal, educatil et même philosophique (qu'est ce que la personne recherche dans le BDSM, quest-ce que cela lui apporte etc). Il n'y a pas d'impératifs la discussion doit être naturelle et apporter de quoi nourrir ma reflexion mais également, pourquoi pas, faire reflechir la personne interrogée sur l'origine de ses envies. Cette discussion serait enregistrée (son uniquement). Je me servirait ensuite de citation dans mon développement écrit mais aussi d'extrait sonore dans un montage son que je compte réaliser pour accompagner mon dossier. Le deuxième temps de la collaboration serait la réalisation d'un portrait photographique de la personne (là encore aucun impératif la personne doit seulement être à l'aise). Cette photo servira à illustrer mon dossier et me servira aussi pour réaliser un collage que j'effecturais à partir de plusieurs photos de personnes différentes. Enfin nous pourrions egalement, si la personne le souhaite, réaliser une dernière phase du projet enssemble: Il sagirait d'une série de photo à l'argentique qui présenterais l'ambivalence du BDSM et son rapport ambigu avec la société. La mise en scène de cette série de photographie reste à déterminer avec la personne (je tiens à ce que se soit une véritable collaboration) mais, comme je souhaite mettre en scène la porosité des frontières, mon idée de base et de prendre une série de photo de la personne portant des attribut, costumes et accéssoires BDSM dans un lieu public. Cette mise en scène aurait pour intérêt de ramener un univers "tabou" ou parfois considérer comme marginal, sur le devant de la scène, dans des lieux ou il n'a normalement "pas sa place". Ce choix est motivé par l'idée que cette série de photo illustrerais le propos celon lequel les lieux banal de la société, emprunté par tous, rejette des pratiques considérées comme extrèmes mais en sont pourtant à l'origine puisque les pratiques extrèmes, et le fait qu'elles soient considérées comme extrèmes découle de tout le monde qui nous entoure. Néanmoins j'ai bien conscience que prendre ce genre de photos nécéssite une certaines confiance en soit (même si la personne peut être masquée), aussi faut-il être pret à tenter l'aventure. Ceci étant dit je suis ouvert à d'autres propositions de mise en scène qui illustrerait des thèmes interessant mais sont différente de celle que j'ai imaginée. Si quelqu'un parmis vous, qui lisent ce texte, est intéréssé.e par le projet, que ce soit pour toutes les parties de la collaboration, ou seulement pour une seules des parties, n'hésitez pas à me faire signe, y compris si vous souhaitez plus de précision sur le projet et les intentions. N'hésitez pas à me contacter, j'habite près de Toulouse mais je peux me déplacer un peu partout en France dans le cas où vous seriez interessé.e par la prise de photos. De manière générale je suis ouvert à toutes discussion autour du BDSM mais aussi au fait d'assister à des évènements qui pourrait ausis nourrir ma reflexion. Merci de m'avoir lu et bonne journée! Note de l'admin BDSM : une adresse email a été retirée de la publication. Contactez le rédacteur en privé (où vous pourrez échanger des adresses emails)
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Par : le 06/02/23
  Hier j’ai eu une journée très chargée et intense. J’ai profité que ma puce travaillait pour me faire une journée salace. Le matin je me suis fait une bonne séance de douche intime, suivi de mon stretching bi hebdomadaire. J’ai vite mangé un bout. Je suis parti dans la grande zone commerciale qu’il y a entre Aix et Marseille, où il y a un sex-shop avec espace ciné rencontre. Ayant mon rectum bien propre, a peine arrivé je me suis changé en salope, j’ai laissé mon sac d’affaires de ville à la caisse et je suis monté faire ma chaudasse. Il n’y avait pas grand monde et j’ai vite été repéré par un gars beaucoup plus âgé que moi. Il m’a abordé et m’a proposé d’aller dans un recoin discret qui soit disant fermait à clé pour y être tranquilles. Il a commencé à m’embrasser sur tout mon corps (perso je n’embrasse pas, beurk) et était fasciné par ma cage. Je lui ai fait une bonne fellation mais il avait une demi molle (plus de prostate). Un jeune gars nous avait suivi et par les gloryholes il me caressait le cul et me mettais un doigt dans ma rondelle. Comme la porte ne fermait pas il n’a pas tardé à se joindre à nous. Il avait une belle queue, un peu fine mais avec une bonne érection. Tout en masturbant mon papy, je lui faisais une bonne pipe. N’arrêtant pas de fouiller mon fondement avec ses doigts je lui ai proposé de me prendre en lui ayant mis un préservatif au préalable. Dans cette nouvelle variante, je retournais faire un bonne pipe au papy tout en étant assené des coups de boutoir du jeune étalon. Bien que je la trouvais fine au départ, il m’a bien défoncé la rondelle c’était trop bon. Il s’est retiré au bout d’un moment et il a voulu que je le suce. Il m’enfonçait sa queue tout au fond de ma gorge ce qui me donnait des hauts le cœur que je ne trouvais pas si désagréables tant ils étaient obscènes. Me tenant la tête bien plaquée contre lui, il se déchargeât en m’inondant le gosier de son sperme douceâtre. Dans l’impossibilité de reculer j’avalais toute sa semence directement. Il s’est rhabillé ma remercié et ma laissé finir le papy, qui n’a pas tardé à avoir son petit plaisir lui aussi, il était tout content et il m’a avoué avoir 88 ans avec une vie sexuelle bien remplie. Je me suis fait un petit bain de bouche, remis de l’ordre dans ma tenue et je suis retourné dans la salle ciné la plus petite pour attendre le prochain coquin. Un quart d’heure après un monsieur assez grand mais pas trop bavard est venu me caresser les têtons (j’adore ça) c’était son truc à lui aussi. Apres un long moment de titillages et de stimulation mutuelle des têtons nous sommes allés nous isoler. J’ai entrepris de lui faire une bonne pipe mais lui aussi avait du avoir des problèmes de prostate. Je lui ai proposé de me fister il a bien aimé mais ma rondelle n’était pas assez distendue pour avaler sa grosse main. On a pu jouer un bon petit moment tranquille car un couple (H/F) est venu et tous les mâles en rut étaient après eux. Le monsieur m’a quitté enchanté d’avoir fait ma connaissance en me remerciant de lui avoir fait passer un bon moment. Une fois de plus je me suis remis en ordre pour attendre le nouveau prétendant. Pendant que je déambulais dans les couloirs de l’espace ciné tous les mâles affairés sur le couple, un gars un peu plus jeune que moi est venu me caresser la poitrine. Apres un bref échange de caresses nous sommes allés nous isoler. Avec ses mains, il était très porté sur la palpation de ma rondelle. Il m’a demandé si j’étais propre, je l’ai rassuré tout en lui proposant de me fister. Je lui ai donné un gant du gel et il a commencé à me caresser longuement la rondelle qui s’est ouverte comme une fleur qui s’épanouit. Sa main, non sans mal a réussi à se glisser dans mon anus. Avoir la rondelle ainsi écartelée c’était trop bon. Je l’ai un peu calmé car vu sa taille j’aspirais à un peu plus de douceur. Il a essayé en suite de me sodomiser mais il m’a confié ne rien ressentir tellement mon trou était béant et je l’ai finit à la main. Nous nous sommes rhabillés il m’a quitté en espérant me revoir car il fréquentait le lieu de temps en temps. Je suis redescendu à la caisse du sex-shop pour aller récupérer mon sac pour me changer, m’enlever le rouge à lèvres, mais il n’y avait plus rien car j’avais tout perdu sur toutes les queues que j’avais sucé. Je suis vite retourné à la maison pour me défaire de toutes mes affaires de salope, car il fallait que j’aille chercher ma puce à son travail. J’ai passé une bonne après-midi bien cochonne. Il me languis la prochaine en espérant quelle soit aussi fructueuse que celle-ci    
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Par : le 06/02/23
  Bonjour à toutes et à tous. Pas de photos de la séance cette fois-ci, elle a refusées et comme toujours, c'est un devoir pour moi de respecter cela. Après trois mois d'échanges par mail, par textos, une rencontre autour d'une table d'un établissement sympathique pour faire connaissance autour d'un verre en toute convivialité, le rendez-vous est pris. La voilà devant la porte de mon donjon, belle, féminine, élégante, bref Femme avec un grand F. Je l'invite à entrer, lui ôte son lourd manteau d'hiver pour découvrir une magnifique robe de laine de couleur grise qui, galbe sa silhouette et mets bien ses formes en valeur. Des magnifiques escarpins assortis à talons hauts et fins qui lui font un magnifique galbe de ses jambes. Ces jambes habillées de bas, mon imagination fait le reste et dans un moment, cela ne sera plus imaginaire. Coiffée pour l'occasion, maquillée avec soin, bijoux qui brillent, elle est magnifique. Je la laisse vagabonder dans le donjon, la regarde toucher le chevalet du bout d'un doigt, faire une pause le regard imaginatif devant mon poteau de l'offrande, se dirige vers le pilori et là, toute chose, touche le bois de sa main fébrile, caresse le velours, passe une main dans une ouverture où sont poignet sera bientôt contraint. Elle me regarde avec un regard aussi bien excité que fébrile avec ses joux qui rougissent. Elle s'assoit sur un des supports du pilori où, une de ces jambes sera bientôt liée, encordée, contraintes, dans l'impossibilité de bouger, de se libérer. Elle se lève, se dirige vers ma commode et prend le collier en inox chirurgical et me donne celui-ci d'un regard décidé et prêt à vivre enfin ce fantasme qui la ronge depuis plus de 3 ans. Elle s'agenouille devant moi, mets ses bras dans son dos, les poignets l'un contre l'autre, resserre ses jambes pour que ses chevilles soient l'une contre l'autre. Elle lève la tête, me regarde et d'une voie presque tremblante, me dit, je suis à vous, faite de moi ce que vous voulez, je suis votre chose, votre jouet, votre soumise pour cette après midi. Utilisez-moi, dominez-moi, prenez-moi, je suis à vous. Comment résister devant cette offrande ? Pour ma part, impossible mais, je le reconnais, je ne suis pas un saint et j'aime les Femmes. Les posséder en leurs donnent le plus de plaisirs possibles, c'est ainsi qu'elles m'appartiennent. Je lui ordonne de se lever et, glisse mes mains sous sa robe pour retrousser celle-ci et ainsi, lui ôter. Je découvre sous cette robe un ensemble trois-pièces en satin de couleur gris comme la robe, élégante et coordonnée jusqu'au bout des ongles. Un magnifique soutien-gorge balconnet qui met en valeur sa joie poitrine. Un serre-taille bien large avec 8 porte-jarretelles, une petite culotte que je vais m'empresser d'ôter. Ses bas porte jarretelle magnifiquement féminin et tellement glamour. Je la caresse sur la totalité de son corps, dégrafe.    son soutien-gorge pour libérer cette poitrine en forme de poire. Je commence avec la pulpe de mes doigts, caresser ses seins, ses tétons. Elle frissonne, croise ses jambes, pince ses lèvres. D'une voix ferme et autoritaire, je lui ordonne de décroiser ses jambes et lui donne une bonne fessée. Très stimulée par cette chaleur et ces couleurs sur son fessier, elle baisse les yeux. Je lui pose le collier en inox autour du cou, froid, lourd elle est impressionnée et, quand le clique du verrouillage de la serrure se fait entendre, elle se met à trembler. Je prends les bracelets de poignets de cette parure d'esclave et immobilise ses poignets dans son dos. Elle tente de tirer pour séparer ses poignets mais la contrainte d'acier l'en empêche. Je la regarde droit dans les yeux et prends devant elle avec un sourire diabolique les bracelets de chevilles. J'ouvre ceux-ci et me baisse pour les mettre en place sur ses fines chevilles féminine. La voilà en sous-vêtements, les poignets et les chevilles enchaînés, un collier d'esclave autour du cou. Magnifiquement soumise, je viens vers elle pour lui montrer qui est le Maître. Je passe un doigt dans l'anneau du collier, l'oblige à baisser sa tête pour l'embrasser et lui montrer, lui faire comprendre, qu'à ce moment elle n'est plus à elle mais à moi, tel un objet, une chose. Je pose une chaîne supplémentaire pour marier les bracelets de poignets et de chevilles. Impossible pour elle de bouger, aucun mouvement ni liberté. Je prends une cravache et commence à la caresser avec sur la totalité de son corps, ses seins, son ventre, son dos, son entre jambes. Passé le moment des caresses, les gestes se font plus fermes, plus francs, plus durs. Des petits cris sortant de sa bouche, doux mélange de plaisirs et de honte. Après avoir bien stimulé sa poitrine, les tétons bien durs et bien tendus, je pose sur ceux-ci des pinces avec chaîne pour, être coordonnées avec le collier et les bracelets. Une Femme doit toujours être élégante et coordonnée, je m'en voudrais d'être l'hauteur d'un tel sacrilège. Elle est profondément excitée, des gémissements se font entendre à chaque coup de cravache. Je mets mes mains sur ses hanches, elle sursaute. Je glisse doucement mes mains le long de ses hanches pour m'arrêter sur le début de l'élastique de sa petite culotte. Là sa respiration s'emballe, ses cuisses se resserrent. Je passe ma main à l'intérieur de sa petite culotte et toute en la fessant, là stimule avec un doigt entre les lèvres de son intimité. Je m'attarde sur son clitoris et redouble les fessées. Elle n'en peut plus et commence à vaciller, ces sensations, ces ressenties, ces plaisirs sont presque insupportables car, contrainte et dans l'obligation de subir ces vagues de plaisirs intenses. Cette fois il est temps d'ôter ce bout de tissu qui ne sert à rien et le faire tomber sur ces chevilles contraintes par ce métal. Les seins nus, son intimité à mes yeux, elle se sent honteuse d'être ainsi exposée et de plus, ouverte, humide, voire mouillée. Je saisis une laisse, la pose sur l'anneau du collier et d'un geste ferme, l'oblige à s'agenouiller. Je saisis ses cheveux, les réuni pour faire une queue-de-cheval qui va devenir bientôt, un levier de commande pour faire d'elle, mon objet de plaisir. Ses cheveux dans une main, je déboutonne mon pantalon, fait glisser mon slip, prends mon pénis et lui ordonne de le prendre en bouche. Elle hésite et d'une main dirigiste, lui Insert mon pénis dans sa bouche rouge, chaude et douce. Grâce à sa chevelure, je dirige vitesse et profondeur pour mon plaisir, t'elle une esclave, elle finit par s'exécuter et m'offre une fellation gourmande. Au bout d'un moment, je prends un fouet et tout en exécutant son devoir, je lui fouette le dos, les fesses. Mon sexe en bouche, je l'entends gémir de plus en plus au rythme des va-et-viens et des lanières de cuir qui frappent sa peau. Pas de doute elle aime beaucoup, enfin elle est contrainte, utilisée, soumise, utilisée par cette Homme qui fait d'elle une chienne heureuse de servir enfin. Je finis par éjaculer sur sa poitrine et du bout d'un doigt, prendre de ma semence et lui Insert dans la bouche, une autre façon de la posséder, d'être à moi. Elle lèche mon doigt avec gourmandise. Je lui ôte les contraintes de métal sur ses poignets, ses chevilles mais laisse le collier et la laisse. Je prends celle-ci, lui ordonne de se positionner à quatre pattes et lui fait faire ainsi plusieurs tours du donjon tout en lui fouettent les fesses. Au bout d'un moment, très humiliée, un peu essoufflée, les fesses colorées, je lui ordonne de se lever et de s'installer sur le pilori. Le cou posé sur le bois, les poignets dans les trous qui leur sont réservés, je referme la planche qui vient verrouiller ceux-ci et les cliques des cadenas retentissent pour bien marquer son subconscient et ainsi comprendre qu'elle est prisonnière de ce meuble, ne fessant plus qu'un avec lui et dans l'impossibilité de s'en libérer. Mes mains parcourent la totalité de son corps ainsi offert, ses jambes écartées, dans cette position d'offrande de toute son intimité, t'elle une esclave sexuelle, je glisse une main jusqu'à une de ses chevilles, saisie celle-ci et avec une corde, immobilise cette cheville, et le mollet pour une douce sensation de contrainte forte et bien présente. Au lieu de me précipiter pour contrainte son autre cheville, son autre mollet, je fais glisser doucement ma main le long de sa jambe encordée pour, m'attarder à la porte de son intimité trempée et la stimulée ainsi presque entièrement contrainte et offerte au Maître du lieu. Sa peau vibre, la chair de poule se fait présente, les gémissements sont de plus en plus en notre compagnie, son seul membre de libre, sa jambe droite sautille comme une anguille au rythme de ses plaisirs nouveaux et intenses. Après l'avoir bien fait criée, après l'avoir bien fait mouiller, je saisis une autre corde et entrave cette dernière cheville, ce dernier mollet et la voilà, complètement contrainte, offerte, dans une position très humiliante de chienne en chaleur, prête à être possédée par tous ses orifices et comblée d'être enfin arrivée là et de devoir subir les plaisirs extrêmes d'être baissée ainsi. Je me positionne devant elle et lui Insert mon sexe dans sa bouche et, fait des va-et-vient pour lui faire comprendre, prendre conscience, qu'elle n'est plus qu'un objet à mon service mais, il est vrai, à nos plaisirs. Elle de n'être plus qu'une esclave dans l'obligation de donner des plaisirs et d'être utilisée ainsi et pour moi, quoi de meilleur que la bouche d'une Femme entravée et dans l'obligation fantasmée de sucer. Au bout d'un moment, je lui fais mouiller avec sa salive en lui introduisant dans la bouche, un crochet anal. Une fois bien humide, je lui introduis dans l'anus et fixe une corde à son anneau. Cette corde bien sûr va me servira à le faire mouvoir quand je serai à nouveau dans sa bouche, offrande dont elle raffole. Me voici en elle, tirant sur la corde pendant qu'elle me suce avec beaucoup de vitalité et de puissants gémissements qui ressemblent de plus en plus aux prémisses d'un orgasme. Comme je suis un vilain garçon, au bout d'un moment, j'ajoute à ces sensations, les douces sensations des lanières de cuir sur ce magnifique postérieur qui ne demande pas moins. Mon pénis en bouche, le crochet et sa corde, le fouet la voilà en trans, s'agitent comme un démon en cage et de se sentir fortement contrainte, utilisée lui déclenche un orgasme puissant. Je profite de ce moment pour la pénétrer d'un coup sans prévenir ni ménagement là, complètement en overdose de plaisirs intenses, un deuxième orgasme arrive. Trempée, exténuée t'elle une bête, je la laisse souffler ainsi épuisée par toute cette adrenaline. Mais très rapidement, elle me supplie encore, encore, baisez-moi Maître, je veux encore, je vous veux en moi, au plus profond de moi, je suis votre chienne, votre salope, baisez-moi. C'est curieux chez les Femmes quand elles sont excitées, comme elles peuvent s'humilier elle mêmes. Non sans idées pour lui faire connaître des plaisirs encore plus forts, je désire lui introduire dans le vagin des boules de geisha motorisées et télécommandées. Oui je sais, je ne suis pas gentil...... Je ne mets pas en route dans l'immédiat ce jouet vibrant des plus diaboliques. Je me dirige à nouveau vers sa bouche pour profiter de celle-ci qui est si accueillante qui pour moi et ce que je préfère même avant la pénétration vaginale ou anale. Une fois bien en place dans sa bouche, je fais avec la télécommande vibrer les boules. Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie et, dans une explosion de plaisirs, elle m'offre un troisième orgasme dont je ne me laisserai jamais. Je profite de ce moment de trans intense pour la prendre et la fouetter en même temps et, c'est un quatrième orgasme qui vient à la suite. Je suis heureux pour elle, d'avoir découvert, vécu, sont fantasmes de domination, de soumission, d'être une esclave utilisée comme jamais. L'heure tourne malheureusement et avant de nous séparer, un moment de partage, d'échange, gentiment assis sur le bord du lit comme deux amants qui se quittent avec regret, tout deux encore drogues par tous ces plaisirs intenses. J'espère que ce résumé vous a plu et que les photos habituelles de mes séances ne vont pas trop vous manquer. Cordialement Passions
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Par : le 02/02/23
Le doute, et non l'irrésolution, la paralysait. Si sa Maîtresse avait délibérément décidé de refaire sa vie, de se mettre en parenthèses et de se consacrer à sa jeune stagiaire, elle adopterait une toute autre stratégie. Mais si elle était encore victime d'une de ses lubies, tous les espoirs étaient permis. Ainsi,quand elle franchit la porte de son bureau, Charlotte se sentait nerveuse. La veille, elle avait accepté, malgré elle, de se soumettre à Emmanuelle. Elle était revêtue de l'un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant qu'Emmanuelle ne lui impose des tenues plus provocantes. Le tailleur jupe, en flanelle noire, était composé d'une jupe droite lui arrivant très au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur, sous son corsage flottant, un soutien-gorge balconnet, ouvert, transparent et durement baleiné, rehaussant une poitrine généreuse mais ferme aux larges aréoles brunes. Elle ne portait ni string, ni tanga. Elle allait donc le ventre nu, d'autant plus nu qu'Emmanuelle exigeait qu'elle soit intégralement rasée, lisse, offerte et ouverte, et qu'elle porte en permanence, fixé au centre de ses reins, un rosebud anal, de façon que le mouvement de ses muscles ne puisse le repousser mais qu'en même temps, il serait ainsi facile de pénétrer au besoin son autre voie. Elle entretenait sa silhouette, en faisant de la gymnastique quotidiennement, et en montant à cheval tous les week-ends. La quarantaine passée, c'était une femme au physique séduisant, à la fois stricte et féminine. Ses lunettes fines lui donnaient un air sérieux et élégant. Elle en imposait car elle se tenait toujours très droite avec des chaussures à talons hauts. Ce jour-là, elle portait le chignon et son maquillage était discret. Lorsqu'elle passa devant Emmanuelle qui était assise à l'accueil, elle la salua d'un signe de tête sans dire un mot et se dirigea rapidement vers son bureau. Où qu'elle fût, elle l'entrainerait désormais dans sa spirale. Ne lui restait plus qu'à reprendre leur chemin en sens inverse. Retrouver leurs endroits. Dans un but, un seul: faire surgir les traces de leur passion afin de mieux les effacer. Rien ne devait subsister de leur relation, alors qu'elle n'était même pas défunte. On peut convoquer la mémoire pour mieux oublier. L'exercice n'est pas sans danger, tant il paraît artificiel. Quand on revient sur ses pas, le désir n'est plus naturel. On ne sait jamais ce que le passé nous réserve.    Inconstante, elle l'était juste assez pour passer sans prévenir du registre de la séduction à celui de la frustration, de la tendresse à l'abandon, et retour, mais n'était-ce pas l'ordinaire des rapports de domination. Le bureau était spacieux, meublé en style moderne, d'un canapé en cuir noir Knoll, et d'une grande table en verre. Des plantes vertes agrémentaient le décor. Elle prit l'interphone et demanda à Emmanuelle de venir. Quelques instants plus tard, elle frappa à la porte. Emmanuelle s'assit sans dire un mot. Ce fut Charlotte qui entama le dialogue: - Voilà, j'ai décidé d'arrêter ce petit jeu, c'était une fantaisie mais nous sommes allées trop loin, je ne suis pas vraiment lesbienne, vous non plus d'ailleurs, nous nous sommes accordées mutuellement des libertés mais je crois qu'il faut mettre un terme à tout cela. Nos relations resteront cordiales mais compte tenu de ce qui s'est passé entre nous il est préférable de nous éloigner. Bien entendu il est hors de question que vous en subissiez quelque dommage que ce soit, j'ai donc conclu un arrangement avec l'un de nos sous-traitants, il vous fera un contrat avec un salaire plus élevé que celui que vous percevez ici. Voilà, je vous conserve toute mon amitié mais il serait souhaitable à l'avenir de se vouvoyer." Emmanuelle eut un nœud à la gorge, elle était déstabilisée, l'attitude calme de Charlotte, le fait de la voir dans cette tenue qu'elle associait à celle qui était sa patronne froide et autoritaire, le fait de ressentir sa détermination, tout ça remettait en cause ses acquis, tout allait peut-être s'écrouler comme un jeu de cartes. Elle savait que sa prochaine phrase allait déterminer la nature de leur relation future. Ce sera celle qui fera la première erreur qui aura perdu se dit-elle. Elles s'observèrent un long moment, puis Emmanuelle décida d'entrer dans la bataille. Cependant, elle avait senti le changement de ton de Charlotte, celui-ci n'était plus aussi assuré, bien que cherchant à le dissimuler, elle commençait à perdre pied, elle profita de ce moment de faiblesse pour porter l'estocade, elle se leva et s'approcha, elle lui tira les cheveux pour la forcer à la regarder, droit dans les yeux. Au chagrin se substituait l'écœurement. Charlotte était décidément trop sentimentale.    Ce fut Emmanuelle qui prit la parole en premier, oubliant le respect qu'elle devait à sa patronne. Plus rien n'était sûr. Il faut dire que le terrain était fertile. - C'est toi qui es venue me chercher, moi je ne t'avais rien demandé. - Euh oui je sais, mais j'y ai été contrainte par Juliette. - Oui mais Juliette ne t'a rien imposé elle non plus, je connais votre histoire, elle t'a laissé le choix de poursuivre votre relation ou non, c'est toi qui a accepté. - Tu as accepté oui ou non ? - Oui. - Tu dis que tu n'es pas lesbienne, je crois plutôt que tu es bisexuelle, maso-bisexuelle, tu as pris autant de plaisir que moi dans cette relation, alors pourquoi veux-tu arrêter ? - Mais vous non plus, vous n'êtes pas lesbienne, vous me l'avez dit. - Moi c'est différent, je suis libertine, je prends le plaisir là où il est sans me poser de question, me faire lécher par ma patronne, c'est une jouissance autant cérébrale que physique; pour toi de lécher ta secrétaire, c'est un plaisir aussi, le plaisir de l'interdit sans doute. - Emmanuelle, je vous en prie, ne rendez pas ma tâche plus difficile, nous sommes libres de nos choix, nous avons joué vous et moi mais maintenant ça suffit, cette situation ne me convient plus, alors je vous le dit voilà tout. Regardez notre différence d'âge, nos styles sont différents, nous ne faisons pas partie de la même classe sociale, nous n'avons pas la même culture, tout nous sépare. - C'est justement pour ça que tu m'intéresses, parce que tout nous sépare. Puis elle lui saisit la main et la fourra entre ses jambes. - Allez vas-y, tu sais ce que tu as à faire. Charlotte retira sa main énergiquement et baissa le tête, Emmanuelle lui tira à nouveau les cheveux plus fort, puis d'un ton autoritaire: - Vas y je te dis ! Alors Charlotte, mécaniquement, la main tremblante, lentement, remonta vers son sexe et le caressa. - Écoute ma chérie, il faut que tu te mettes dans la tête que tu as deux vies bien distinctes, ta vie classique, celle que tu mènes depuis toujours de femme d'affaires qui s'amuse à regarder les autres de haut et puis celle où tu es exactement l'inverse, tu es ma soumise, c'est toi qui doit exécuter tous mes caprices. Emmanuelle avait dû la harceler pour obtenir une explication qui ne fût pas un faux-fuyant. Charlotte devait à tout prix céder.    Ce qu'on ne dit pas devient un secret, un lieu où s'enracinent la honte et la peur. Mais Charlotte avait vite compris que désormais, il y aurait toujours cette différence entre elles, que l'une allait faire du mal à l'autre. Elle devrait baisser la tête, et abdiquant toute fierté, renonçant à toute pudeur, implorer sa clémence. Ainsi Emmanuelle poursuivit: -Mais réfléchis, au fond tu as de la chance, avec moi au moins tu vis vraiment ! Bon je vais être gentille, je t'accorde la liberté totale en dehors de nos relations, c'est à dire que tu pourras rencontrer un homme si tu en as envie ou quoi que ce soit d'autre. Mais je te préviens, je n'accepterai plus de rébellion dans nos relations personnelles, tu dois accepter cette situation, tu n'as plus le choix, tu m'appartiens." - J'ai compris. - Tu vas être sage et obéissante ? - Oui... - Alors dis-le. - Je vais être sage et obéissante. Emmanuelle se déshabilla et se mit à quatre pattes sur le canapé, Charlotte lui lécha le cul. Emmanuelle jouissait de la situation. Celle qui un quart-d'heure plus tôt avec son tailleur Chanel lui faisait la leçon était en train de lui lécher l'anus, à elle, sa secrétaire. Puis, au bout d'un moment, Emmanuelle se leva, se rhabilla et sortit du bureau, elle revint deux minutes plus tard, un trousseau de clés en main qu'elle jeta sur le bureau puis elle prit une feuille et griffonna quelque chose dessus. - Voilà c'est mon adresse et mes clés, tu prépareras le dîner, je reviendrai vers 20h, tu resteras habillée comme tu es mais tu auras ôté ton soutien-gorge et ton string et dégrafé deux boutons de ton chemisier. Charlotte, livide, acquiesça sans dire un mot. Lorsque Emmanuelle rentra chez elle il était vingt et une heures passé, elle s'approcha de Charlotte, la prit affectueusement dans les bras et l'embrassa, en ouvrant un coffret qu'elle avait à la main et en sortit un large collier, ras le cou en or, avec un médaillon gravé. - Je t'ai fait un cadeau, tu ne peux pas dire que je ne te gâte pas. - Ah bon ? Je ne m'attendais pas à ça, vraiment c'est gentil. - Avant de dire que c'est gentil, lis ce qui est gravé sur le médaillon. Elle prit ses lunettes et lu "Charlotte" en gros, puis en petit "Propriété d'Emmanuelle de Moras" suivi de son téléphone. - Non tu plaisantes !! Tu veux que je mette ça ? Tu n'as donc plus aucun respect pour moi ? C'est hors de question, tu vas trop loin maintenant. - Viens ici et baisse les yeux, tu veux que je me fâche ? - Non. Comme un robot elle approcha, Emmanuelle lui mit le collier autour du cou puis sortant une petite pince de son sac écrasa le fermoir pour qu'on ne puisse plus jamais l'ouvrir. - Attention, si tu l'enlèves, je te fais tatouer au fer sur le pubis. Le choix était tout fait.    Le jeu de leur relation était subtil et délicat. La directrice devenue soumise devait indiquer à sa Maîtresse les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas aurait rompu  l'harmonie et au-delà aurait brisé la considération que l'une porterait à l'autre. Progressivement Charlotte s’enfonçait dans la soumission totale, Emmanuelle avait l'intelligence de la faire progresser par paliers. Jusqu'ou l'amènerait-elle ? Charlotte qui était une femme BCBG avait une honte infinie, d'abord de se retrouver à agir d'une manière qu'elle jugeait totalement avilissante et inavouable mais de plus avec une jeune fille de vingt ans, qui non seulement aurait pu être sa fille, mais qui de plus était son employée. Malgré cela et contre son gré elle devait bien admettre que cette situation l'excitait. Elle savait qu'elle obtiendrait tout d'elle, même ce qu'elle n'osait pas avouer. Le lendemain, au travail elle reçu un SMS : Appelle moi à ton bureau ! Elle le fit, une fois entrée, Emmanuelle s'assit sur le canapé, retira son string et écarta les jambes, puis l'œil narquois. - J'ai une petite envie, viens ici ! Sans dire un mot, Charlotte qui avait compris ce qu'elle attendait d'elle s'accroupit et entama un cunnilingus, bien malgré elle elle était devenue experte en la matière lui léchant d'abord les grandes lèvres avec le plat de sa langue puis se concentrant sur le clitoris le titillant du bout de la langue d'abord doucement puis en accélérant, pendant ce temps elle pénétrait un doigt dans son anus, en faisait des petits cercles. La jouissance vint rapidement, une fois satisfaite dans un râle étouffé, Emmanuelle lui lui tapota la joue. - Maintenant, lèche moi l'anus, ce soir tu viens chez moi à vingt heures. Je sonne et au lieu d'Emmanuelle, c’est une belle inconnue qui m’ouvre riant de ma surprise. Je l'entends me demander de rentrer et de venir à la cuisine où elle s’active pour finir de préparer des cocktails. Charlotte fut effrayée à l'idée de ce duo infernal. Allait-elle devoir se soumettre en même temps à sa Maîtresse et à cette inconnue ?   Elle n'avait alors aucune expérience sexuelle de la pluralité homosexuelle, et éprouvait une certaine répulsion à l'idée de devoir se soumettre ainsi. Emmanuelle lui présenta simplement la jolie jeune fille. - Voilà, c’est Marion et ne ris pas, moi aussi j’ai franchi le pas, c’est ma femme me dit-elle en m’embrassant doucement sur les joues. Je pensais que toutes mes prévisions tombaient à l’eau et j’étais bien loin du compte en réalité. On s’installa au salon pour déguster les douceurs un peu alcoolisées qui avaient été préparées. Emmanuelle me raconta leur rencontre faisant référence à la nôtre en comparaison comme si elle voulait me la rappeler, en me narguant. Après trois verres, Marion mit de la musique douce et me demandant si j’aimais danser, elle me tendit la main; regardant Emmanuelle, elle acquiesça de la tête. Je me retrouvais dans les bras de Marion me guidant dans une danse lascive, ses ses mains sur mes reins. Emmanuelle nous regardait sirotant son verre quand les doigts de Marion se posèrent sur mes hanches faisant remonter ma robe sur mes cuisses découvrant le haut de mes bas tenus par un porte-jarretelles. - "Regarde ma chérie, comme elle s’est habillée pour toi la salope" lui dit-elle. Je ne pouvais pas nier que la lingerie La Perla en dessous de ma robe devait faire son effet. - Déshabille-la, elle adore ça dit en réponse Emmanuelle. Alors Marion fit glisser la fermeture de ma robe, me la retira, frôlant de ses doigts ma peau la faisant frissonner à ce contact. Elle me fit tourner sur moi-même pour laisser Emmanuelle me voir en entier. Au bout de quelques instants, celle-ci se leva, vint vers moi et m’arrêta face à elle et posa ses lèvres sur les miennes, m’en faisant partager le goût. Je me laissai griser par le plaisir quand je sentis Marion se coller dans mon dos. Bientôt Emmanuelle me fixa sur la bouche un bâillon-boule pendant que Marion me liait les chevilles avec des lanières de cuir reliées au canapé. Elle saisit ensuite mes poignets, qu'elle écarta en croix, comme mes cuisses. J'étais ainsi offerte à mes deux maîtresses. J'allais être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique. Ce fut Emmanuelle qui me flagella, sur le ventre, l'intérieur des cuisses et les seins. Puis, elles me détachèrent de façon à pouvoir prendre un peu de repos, mais cet intermède ne dura que très peu de temps. J’étais alors prise entre les bouches de ses deux femmes, désirant me soumettre. Marion dégrafant mon soutien-gorge pour qu'Emmanuelle pétrisse mes seins de ses deux mains. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche simultanément.    L'obéissance personnifiée. Leurs désirs sont des ordres. Qu'importe dès lors que l'on se serve de mon corps comme celui d'une putain ?J'étais en position, jambes docilement écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche ouverte, prête à être investie selon le bon vouloir de mes deux Maîtresses. Puis les lèvres glissèrent vers le bas, l’une dans mon dos, l’autre passant de mes seins à mon ventre. Doucement les quatre mains firent glisser mon string, leurs bouches sur mes fesses pour l’une et sur mon pubis rasé pour l’autre, me goûtant en totalité, en me faisant tourner sur moi-même au bout d’un moment pour explorer l'intégralité de mon corps pris en étau, de leurs langues intrusives et de leurs doigts gourmands. Je jouis une première fois, bien incapable de savoir sous la langue de laquelle cela se produisit. Puis elles me prirent par la main, et on se retrouva dans la chambre. Je m’allongeais docilement sur le lit, elles se déshabillèrent devant moi. Je découvris le corps de Marion, sportif, très sculpté qui vint s’allonger contre moi. Je pus le caresser, l’embrasser, le goûter, pétrir ses seins, leurs aréoles et les pointes très sensibles, en érection déjà, et son ventre parfaitement lisse. Emmanuelle m’encourageait en me caressant, tout en introduisant un doigt dans mon rectum, puis elle s’arrêta, me laissant au plaisir et à la merci de Marion qui me surprit, dans mon dos, par la dureté de l'olisbos dont elle s'était ceint à la taille. M'ordonnant de me mettre en levrette sans que ma langue ne perde les lèvres d'Emmanuelle et pour la première fois, alors qu’elle ne me l’avait jamais imposé, elle frotta son gode sur mon ventre inondé de cyprine et d’un coup, me sodomisa. Les mains sur mes hanches, la jeune fille poussa des reins, et le cône se prêta aux replis de mon étroite bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue en se distendant. L'olisbos disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Elles eurent toutes deux le spectacle de mon corps arqué dans un spasme délirant de volupté. La fin de soirée dura un long moment, prenant du plaisir plusieurs fois chacune jusqu’à ce que la faim ne nous ramène nues à table et pendant que je finissais le dessert, Marion glissa sous la table avec sa flûte de champagne, m'écarta et me força à uriner dedans, à la porter à mes lèvres et à en déguster jusqu'à la dernière goutte le nectar encore tiède. Où était passée la fringante quadragénaire sûre d'elle ? - Qu’est-ce qui m’attend maintenant ? demanda Charlotte fébrilement. - Tu seras dressée par une Domina, une Maîtresse professionnelle. - Durement ? - Oui, très durement, tu franchiras un nouvel échelon dans la hiérarchie de l'esclavage. - La prochaine fois, lors d'une soirée privée, tu seras mise à l'abattage, mais ne t'inquiète pas les invités seront triés sur le volet, tu n'auras qu'à te soumettre docilement. Ces mots bouleversèrent Charlotte. Elle avait envie de lui répondre: - Ordonnez et j'obéirai, je veux vous surprendre pour que vous me placiez au-dessus de toutes les esclaves connues jusqu'à ce jour. Je suis capable de tout endurer pour simplement connaître le bonheur d'acquérir votre confiance et votre considération.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/02/23
Il est tôt ce matin-là, quand Fabrice est jeune diplômé d’une grande école d’administration et doit valider ses partiels par un stage en entreprise, se réveille, le soleil commence à apparaitre à travers ces volets. les réveils sont souvent pour fabrice un moment de plaisir solitaire car une belle érection est présente comme chaque jour. Après quelques va vient énergique, la queue du jeune homme devient dur comme un morceau de bois. si fabrice est bien pourvu, il n’a que peu d’expérience sexuel, qui se résume à un dépucelage avec une amie tout ce qu’il y a de plus vanille et le visionnage régulier de site porno suivi de masturbation rapide et orgasme perdu.   Karoline arrive très tôt à son bureau, sa journée commence souvent par un bon café avec une viennoiserie tout en parcourant ses emails reçus après son départ de la veille. Elle est assez raffinée, tailleur de marque bien dessiné bleu, chemisier blanc avec des sous-vêtements Chantal thomas, bas noir auto fixant, qu’elle préfère car plus simple à mettre le matin. ces chaussures à talon montrent bien ces formes bien proportionnées et la rendre très sensuel, et bien souvent elle aime voir le regard de ces collègues quand elle passe dans le couloir. - Karoline, votre stagiaire est à l’accueil, il vous attend ! -merci pascale, je finis mon email et je vais le chercher -d’accord Karoline, je préviens l’accueil de le faire patienter 5 minutes dit pascale Karoline arrive à l’accueil et aperçois le jeune homme plutôt beau garçon, 1,75m et assez musclé a première vue, un petit sourire de plaisir envahie Karoline et son imagination sexuelle fait le reste, elle le voit déjà se glisser sous bureau a ces pieds, remontant lentement sous ses ordres, elle jupe relever jusqu’aux genoux … -Karoline ! -oui pardon   , j’étais dans mes pensées excusez-moi !!!!! -je vous présente Fabrice qui sera en stage dans votre service pour 5 mois -enchanté jeune homme, suivez-moi, je vais vous présenter à mes collègues Dans l’ascenseur qui monte au 6eme étage, une ambiance étrange et excitante envahie l’esprit de Karoline. le jeune homme semble tétanisé et à la fois il a une forme d’assurance physique, ce qui émoustille encore plus Karoline, ces seins commence à trahir son excitation, car on aperçoit les tetons pointer à travers la dentelle de sous soutien-gorge. Fabrice le remarque et ne peut s’empêcher de regarder cette poitrine si belle et provoque une réaction rapide à travers son pantalon de costume, il se concentre pour que cela disparaisse mais trop tard l’érection est là et visiblement très forte. De son côté Karoline a bien remarqué cette belle bosse sur le pantalon du jeune homme et faisant semblant de reculer elle fait mine de perdre l’équilibre et pose sa main sur son sexe a travers le jeans, -excusez-moi fabrice, !!! j’ai perdu l’équilibre avec ces nouvelles chaussures -pas grave madame Karoline, ne vous excusez pas, d’ailleurs elles sont très jolies -c’est que le jeune homme est flatteur !!et  qu’il a l’air bien pourvu ce Fabrice se dit elle ) Ces quelques mots font rougir de plus belle fabrice qui en plus de son érection, voit son visage devenir chaud et bien rouge. Sauvé grâce à l’ouverture de la porte, fabrice sort rapidement afin de penser à autre chose. -suivez-moi fabrice, je vous présente -ici dans ce bureau c’est le service immobilier … La présentation permet à fabrice de reprendre ces esprits et ainsi faire retomber son érection. Karoline quant à elle, poursuit son chemin et indique à fabrice que pour un coté plus pratique, il sera installé dans le même bureau qu’elle ... Fabrice sur le coup fut un peu surpris mais cela ne lui déplait pas non plus et la 1ere journée se passe normalement même si dans la tête de Karoline, elle avait trouvé là un objet sexuel dont elle allait profiter au plus vite.       Le soir venu Fabrice rentrait chez lui et n’avait qu’une idée en tête, regarder une vidéo pour se masturber tellement l’envie du matin n’avait jamais quitter son esprit Je vais lui bouffer la chatte à cette Karoline se disait-il !!! Elle m’excite trop !!! Rien que d’y penser, son sexe se dressa rapidement et il n’en fallut pas plus fabrice de mit nu dans son canapé une main sur ces testicules et l’autre sur le sexe et commença une masturbation, ses mains malaxait ses couilles et il se branlait en imaginant Karoline devant lui nue qui le regardait dans les yeux en lui disant Branle-toi pour moi salaud, montre-moi comment tu jouis !!! Son esprit était rempli du visage et du corps de Karoline et rapidement sa masturbation s’accélérait et se mit  à gémir puis  un râle de plaisir , ce qui provoquaune belle ejaculation et un beau  jet bien visqueux sorti de sa queue. Il éjacula plusieurs fois, ce qui le rempli de satisfaction et de frustration a la fois  ,mais a quand une vraie partenaire ... ?   La nuit fut reposante et fabrice était rapidement prêt pour retourner à son stagele lendemain , en arrivant il fut déçu, pas de Karoline, au bureau, du coup il se replongea dans les dossiers qu’il devait analyser et présenter à Karoline.   Vers 15h00 Karoline entrait dans le bureau -bonjour fabrice, vous allez bien ? Fabrice leva les yeux et son regard fut figée ! -oui très bien Karoline et je… Fabrice n’eut pas le temps de finir sa phrase -ce soir j’ai besoin de vous pour analyser un dossier, ça ne vous gêne pas de rester un peu plus tard ? Euh !! non Karoline, pas de souci ! Je n’ai pas d’obligation vous savez !! -parfait !! je file en réunion et on se voit après . Karoline était repartie du bureau aussi vite qu’elle était arrivée Fabrice avait cependant pu voir sa tenue, elle était vêtue d’un robe portefeuille rouge qui malgré le peu de temps qu’elle fut dans le bureau, il réussit à voir ces bas ! (dont bien sur Karoline a volontairement ouverte sa robe pour qu’il puisse voir, mais ça il ne le saura que bien plus tard) Un petit chemisier noir bien déboutonnée laissait apparaitre un décolletée des plus sensuelle L’attente de fabrice fut longue, et vers 19h30, ne voyant personne arriver et les bureaux se vidés, se décida à partir … Arrivé devant l’ascenseur, il appuya sur le bouton quand la porte s’ouvrit -oh fabrice, je vous ai oublié, vous partez vraiment ? Je ne vous voyais pas arrivée donc j’ai pensé ... -oui desolé ! allez suivez-moi  , je vous paye un verre dans mon bureau et on s’y met, ça prendra 1h ou 2 pas plus N’attendant pas de réponse de Fabrice, Karoline avança d’un pas décidé vers son bureau et en ouvrant la porte se retourna : Venez fabrice !! (et avec une voix toute douce : svp fabrice Une fois assis dans le petit salon du bureau, Karoline assise en face de Fabrice croisait et décroisait ses jambes de manière volontairement provoquante. -Dites-moi Fabrice, parlez-moi de vous ! -que ... que voulez-vous savoir ? il  était désorienté, paniqué, il voulait parler mais ces yeux fixait les jambes de Karoline et le troublait -vous avez une petite amie fabrice ? -non, madame ! -ah, comment un beau garçon comme vous est célibataire ? Euh…. Vous savez je me suis concentré sur mes études Karoline s’approcha de lui et mis un doigt sur sa bouche et d’un ton doux et ferme a la fois ! -tu es pas puceau mais presque toi je pense , je vais m’occuper de ton éducation !!!si tu veux biensur ? -mais madame !! -tu veux ou pas ??répondit Karoline d’un ton plus ferme !! -Oui je veux bien ! réussi à dire Fabriced’une voix incertaine … -écoute moi attentivement, je vais faire de toi un amant docile et disponible de grande classe afin de venir une Appolon sexuelle !!! D’accord madame ! mais que dois-je f… -enlève-moi ton pantalon fabrice dit Karoline d’un ton autoritaire !!! Fabrice était excité, paniqué et ne sachant pas si elle blaguait ou pas -tu attends quoi pour m’obéir !! Fabrice fit glisser son pantalon de costume le long de ses jambes, il mit instinctivement ses mains pour cacher son érection qui faisait gonfler son caleçon -je vois que je te fais de l’effet dit elle !!!! -enlève tes mains ! Fabrice s’exécuta avec febrilité et docilité, laissa apparaitre un sexe bien dur à travers son caleçon, Karoline le fixa et lui dit avec un sourire malicieux : -tu bandes comme un âne mon bébé , tu as l’air d’aimer ce qui se passe ,  on dirait !!! Fabrice rougit, mais aucun mot ne put sortir sa bouche. Karoline s’approcha de fabrice et se posa devant lui écarta les jambes de fabrice et se mit debout près de lui : -regarde-moi !! Elle commença à défaire son chemisier, bouton après bouton lentement, fabrice était comme un statut de cire, fixé sur les yeux de Karoline, mais son sexe était gonflé à tel point qu’il pensa un instant qu’il allait éjaculer comme ça ! Karoline pris la tête de fabrice pour la plonger dans son décolletée !! -tu aimes mes seins fabrices ?? -oui oui madame !! Lèche-moi les tetons avec ta langue et ne t’arrête pas tant que je ne te le dis pas d’arrêter !! Fabrice sorti les seins du soutien-gorge avec douceur et excitation et se mit à les lécher, sucer , tel un veau qui tète sa mère … Il allait du sein droit au gauche sans pause, il gémissait aussi tellement son excitation lui faisait mal !!! Après un long moment Karoline sans ménagement le repoussa !! -Allez rhabille toi il est tard !! Fabrice ne compris pas ce qu’il se passait lui demanda : -j’ai …j’ai fait quelque chose de mal ? -non mais je dois partir, demain tu viens plus tôt et tu allumes ton ordi, je vais t’envoyer des instructions à suivre à la lettre. -compris bébé ? -oui madame !! -allez filer chez toi, et fabrice, interdiction à toi de te masturber et faire jouir tant que je ne l’ai pas décidé !!!!ok fabrice ? -oui madame !!!! -désormais ça sera « OUI maitresse quand on est seule ensemble » -oui maitresse !!!!!!! Refermant son chemisier, Karoline s’approcha de lui fit un doux baiser sur les lèvres en posant sa main sur sa queue en serrant assez fort Fabrice ne put retenir un petit gémissement de plaisir  !!-je vais t’apprendre à être un étalon du sexe !!   A demain mon bébé  dit d’une voix douce Karoline en quittant le bureau…     Fabrice était rentré chez lui avec la queue en erection  tellement l’excitation de ce moment passé avec Karoline était intense .la soirée fut longue et son érection ne retomba que tard dans la nuit. Au réveil fabrice était déjà surexcité, a l’idée de lire les instructions de sa maitresse. Mais déjà son portable sonnait :sms de Karoline -mon bébé !! j’ai oublié de te dire hier soir «  pas de caleçon sous ton costume » -oui maitresse répondit Fabrice par sms   Karoline de son côté n’avait pas résisté en rentrant chez elle a se caresser sous la douche, Et commençait à réfléchir sur ce qu’elle exigerait de fabrice le lendemain ... Après un repas des plus rapide, elle fila se coucher à côté de son mari Eric. Il sentit la main de Karoline qui se posa sur son sexe et commençait à le masturber, Voulant se retourner elle le repoussa et accéléra sa masturbation, son mari la laissa faire et Après 10 minutes de caresses, il finit par jouir dans les mains de Karoline qui lui sourit, l’embrassa. -bonne nuit chéri   6h00, Karoline est déjà debout, bol de café à la main en nuisette transparente, (qui laisse bien apparaitre sa poitrine qui pointe), file sur son ordi portable, très concentrée et avec le sourire en coin, elle prépare ses instructions … » clic (envoyé). Fabrice arrive comme prévu assez tôt vers 7h30 au bureau, seul un responsable marketing est la qui d’ailleurs lui fait remarquer : -bien matinale fabrice !! -oui monsieur, j’ai des dossiers à préparer pour Karoline, qu’ elle doit les rendre cet après-midi,et  elle m’a demandé de tout vérifier une dernière fois ! Fabrice trouva la première excuse qui lui passait par la tête, et  son collègue a cru à cette histoire : -bon courage alors et n’oubliez rien car Karoline est assez exigeante sur la qualité des dossiers qu’elle présente !   Fabrice alluma son ordi fébrilement et avec une pointe d’excitation aussi : Bonjour fabrice, je vais arriver à 9h30 au bureau, à 9h15 tu vas t’installer sous mon bureau qui tu pourras le voir est fermé en dessous donc personne ne te verra ! Je serais accompagnée d’une cliente avec qui j’ai rdv, elle ne doit absolument ni  t’entendre ni bouger ou quoi que ce soit !!! Quand je vais m’installer à mon bureau, voilà ce que tu devras faire Pour commencer, m’enlever mes talons délicatement, me faire un massage des pieds avec tes mains et me caresser avec ta bouche les pieds. Ensuite, dès que je vais écarter les jambes ça sera le moment de remonté le long de mes jambes en me caressant avec ta langue jusqu’à mon sexe, tu n’utiliseras jamais tes doigts mais uniquement ta langue et je jeux que tu me lèches tant que m’a cliente sera la …   Karoline positionnée dans son dressing commence à s’habillée en prenant soin de bien choisir sa tenue, toujours en nuisette, son mari rentre dans la pièce sortant de la douche encore humide, et s’approchant de Karoline qui était dos a lui : -dis donc hier soir tu étais excitée  j’ai l’impression !!!   dis Eric -un peu oui dit-elle avec un petit sourire et se retournant -je vois que tu es en forme ce matin Eric s’approcha de Karoline, la plaquant contre l’armoire et écartant ces jambes : A mon tour ma chérie !!! Il frotta son sexe déjà raide sur les fesses de Karoline et la pénétra lentement mais sans difficulté, Karoline était déjà bien humide à préparer son email pour fabrice. -je vois que tu es bien humide ma petite salope ,il  rentra sa queue sans ménagement dans le sexe de Karoline, qui commençai à lâcher quelques petits cris de plaisir -tu aimes ça que je te baise comme ça chérie, humm -tu m’as trop excité hier soir, à mon tour de te faire jouir !!!!écartes bien tes cuisses !!! Eric faisait des mouvements du bassin assez fort qui provoquait un gémissement à chaque coup de rein et accélérant la cadence, il sentit Karoline ondule de tout son corps, la jouissance était proche : -humm oui mon chéri ne t’arrête pas humm oui baise moi !! ouii -Karoline poussa un cri de plaisir sur les derniers coups de reins de son mari et se mit à vibrer par la jouissance. -avec un sourire aux lèvres Eric reparti se doucher de nouveau en ne manquant pas de dire à sa femme : -bonne journée chérie 😊       9h15, fabrice qui bandait déjà derrière son bureau, hésita à suivre les instructions, de peur de se faire griller par ces collègues, mais en y réfléchissant, le bureau de Karoline était assez isolé et de l’extérieur, avec une baie vitrée vue sur un parc. Son bureau d’un style assez large laissait la place pour se glisser dessous sans être trop comprimé du a sa taille. Mais l’heure n’était plus à réfléchir, car il entendit la voix de Karoline dans le couloir. Karoline rentre dans le bureau le tel portable collé à l’oreille : -oui faites monter madame dubordant, je viens d’arriver à mon bureau ! Fabrice était, comme prévu à genoux sous le bureau, il était en pantalon de costume chemise, il était pétrifié de la situation et pourtant son sexe raide le trahissait du plaisir qu’il ressentait ! -fabrice, tu as intérêt à pas faire de bruit !! -non maitresse !! -bonjour madame dubordant, installez-vous !! Les deux femmes commençaient à discuter.  Fabrice commença par enlever les chaussures à talons noires de sa maitresse, chaussures de grande marque avec des semelles rouge, ensuite avec ces mains commença à masser délicatement les pieds, ce que ne savait pas Karoline, c’est que fabrice était le fils d’un kiné et qu’il avait appris à prodiguer des massages des plus relaxant et connaissait les points de sensibilité de la voute plantaire. Karoline ne s’attendait pas à cette nouvelle sensation et fut agréablement surpris du bien-être et de la maitrise de son soumis. Fabrice profitait aussi de la situation et savait qu’en appuyant à certain endroit du pied, cela pouvait engendrer une montée de plaisir, Karoline se mordillait la lèvre pour ne pas gémir. Fabrice suivait à la lettre les instructions, il commença ces caresses non plus avec les mains, mais avec la langue le long des jambes, très vite il atteint le haut des bas, Il sentit Karoline décroisée les jambes et fabrice les yeux grands ouvert constatèrent qu’elle ne portait rien dessous sa jupe, son érection si forte désormais qu’il défait le plus discrètement sa braguette pour faire sortir son membre rouge d’excitation ! Avec douceur et sans un bruit il s’approcha de la toison de Karoline et sorti sa langue pour léchée sa maitresse ! Karoline ferma quelques instants les yeux dès qu’elle sentit les premières caresses Fabrice était aux anges et le gout de ces lèvres étaient divin, il buvait ce nectar sans discontinuer parfois en pénétrant légèrement du bout de sa langue. Karoline compris très vite que fabrice était plutôt doué malgré son peu expérience sexuelle, elle mouillait bcp, et plus il la léchait plus le plaisir montait en elle Il fallait qu’elle represse les reines sinon, elle ne pourrait plus contrôler la situation et par chance son tel fixe sonna et en profita pour recroiser les jambes et ainsi fabrice du reculé et attendre dans une position qui devenait très inconfortable du a sa grande taille. -oui faites monter le directeur, je suis actuellement avec madame dubordant ! Fabrice écoutait attentivement les mots que venaient de prononcer Karoline -je suis là sous le bureau alors que le directeur vient voir ma cheffe se dit fabrice !!!! -mais s’il demande ou je suis ? pensa t’il !! Figée et à genoux il s’efforça à ne pas bouger -entrez Alain, je vous présente madame dubordant qui va nous confier son projet à Dubaï. Après quelques banalités, Karoline suivi de son patron et la cliente allaient t sortir du bureau : -votre stagiaire n’est pas la aujourd’hui Karoline ? -si si mais je l’ai envoyé chercher un colis au service postaux a l’étage -ok prenez soin de lui, c’est le fis d’un de mes amis !! -oui bien sur Alain ! Fabrice profita du départ de tout ce petit monde pour sortir enfin et pris rapidement le temps de refermer son costume remettre sa queue qui avait un peu dégonflé à l’intérieur de son pantalon. il reprit sa place à son bureau, et essaya de se concentrer sur ces dossiers mais sans vraiment y arriver. Karoline revint une demi-heure plus tard, et a peine rentrée, ferma à clé et se dirigeant vers fabrice : -tu ne diras rien de ce qui se passe ici à ton père sinon je suis grillée !! Bien sûr maitresse ! mais il faudra aussi être gentil avec moi !! -comment ça ? -et bien je suis peut-être novice en sexe mais je sais profiter des opportunités !! -que veux-tu dire ?? ronchonna Karoline -tu vas m’apprendre à être un étalon comme tu me l’as dit mais en plus tu vas me trouver des femmes comme toi qui me payerons pour les baisers !!! -mais…. Je … on verra !! -non on signe un pacte, tu m’apprends à être un étalon du sexe et je suis à toi le temps de la formation sexuelle après tu me trouves des femmes à baiser, sinon. -sinon quoi ? J’en parle à mon parrain !! Karoline se mit à rire sur ces mots -je m’en fou de ton parrain -pas certain !! Pourquoi ? C’est Alain mon parrain ! Karoline resta bouche bée et retourna à son bureau, furieuse et mêlée d’excitation d’avoir le plaisir de former à son gout un jeune puceau -ok !!je signe où ? dit-elle - je prépare le contrat pour cette après-midi Karoline -ok mais ça ne change rien, c’est maitresse quand on est tous les 2   Karoline vexé n’adressa plus la parole a fabrice de la journée et replongea dans ces dossiers sans interruption jusqu’à 18h00, l’heure à laquelle partait en général fabrice !! -tu es encore la finit par lancer Karoline -oui j.… maitresse, répondit fabrice -je vous le dépose ici Karoline ! -déposé quoi ? -le contrat !! dit-il avec un petit rictus de provocation -ok je le lis ce soir et dès que je rentre de mon séminaire qui débute demain pour une semaine on en reparle Karoline attendit que fabrice parte pour prendre le contrat Après une lecture bien attentive, Karoline compris très vite que le jeune homme désirait apprendre à faire l’amour et procurer du plaisir à ces partenaires féminines, ce qui réjouissait Karoline. Quelques jours plus tard, Karoline vêtu d’une simple petite robe courte orange faisant apparaitre ces jolies jambes montées sur des talons qui faisait bien ressortir ses fesses et mollets revenait de son séminaire, et en rentrant s’approcha de fabrice et lui fit la bise ! -ça va fabrice ? -oui impeccable et toi ? -oui super bien, et puis dit-elle en fermant la porte, j’ai lu ton contrat, ça me va bien Si tu respectes tout ce que tu as écris, ça sera parfait pour moi -je respecterais le contrat Karoline affirma fabrice -ok, on déjeune ensemble ce midi ? demanda Karoline -oui avec plaisir maitresse !! dit-il en souriant Un sourire aussi était sur le visage de Karoline, qui se mit à son bureau décrocha son tel : -oui bonjour madame, je voudrais une réservation pour 2 personnes dans le petit salon si c’était possible … merci ,  a tou t a l’heure vers 12h30 -fabrice, on prendra ma voiture, vers 12h, c’est moi qui t’invite !! -d’accord maitresse L’atmosphère était des plus léger entre eux, et à 12h00 comme prévu il partait déjeuner. Une fois en voiture Karoline, assise et faisant volontairement remonter sa robe orange et regardant fabrice lui dit : -sort ta queue de ton pantalon et montre-moi comment tu es excité  ou pas encore !! Electrochoc, pour fabrice surpris, mais décidé à respecter le contrat, défait sa braguette et sorti sa queue molle mais qui rapidement se dressa comme un serpent pour impressionner sa proie !! Laisse-moi te caresser fabrice !! ordonna Karoline Elle prit sa queue et commença à le branler, fabrice avachit dans le siège et les yeux fermés essayait de se concentrer pour ne pas éjaculer trop vite mais Karoline le savait très bien, et accélérait volontairement sa masturbation !! -arrêtez maitresse !! je   … je vais … je …. Ahhhhhhhhh Fabrice ne put se retenir de jouir et un jet bien fournit et chaud sorti de sa queue pour finir sur la boite a gant devant lui, Karoline continua encore afin de faire sortir les dernières goutes de ce nectar perdu !!! -tu as des choses à apprendre pour ne pas jouir aussi vite !!allez essuies toi on file déjeuner maintenant !!   Arrivée 30 minutes plus tard au restaurant, fabrice avait repris ces esprits, et ils s’installaient l’un a coté de l’autre dans ce petit salon privatif . -servez nous 2 coupes de champagne et on prendra le menu découverte des saveurs du moment !! --tu as l’air de bien connaitre cette endroit Karoline ? -oui j’y ai mes habitudes !!et puis on est tranquille lui dit-elle en prenant sa main et la posant sur sa cuisse !! -mais on peut nous voir !! -fais ce que je te dis pour le moment !! Caresse-moi doucement avec tes doigts, tu m’as excitée à te voir jouir comme ça et si vite !! Bien sûr Karoline avait pris 5 min avant de partir de retirer son string pour être plus à l’aise -humm, oui fabrice comme ça !! doucement !!ouiii plus vite !!! -ça m’excite maitresse, j’ai envie de glisser sous la table pour te lécher !! -patience fabrice !!continue à me caresser !!ahhh hummmm Karoline ondule sur sa banquette ! -continue !!humm mm !! Soudain la porte du salon s’ouvre et la serveuse entre pour servir les coupes de champagne, fabrice retire sa main mais Karoline l’en empêche !! -tu ne bouges pas ta main lui ordonne Karoline en lui parlant dans l’oreille ! La serveuse pose les 2 coupes et son regard se pose quelques instants sur fabrice et Karoline, puis : -bonne dégustation avec un sourire malicieux !! La serveuse a peine partie, Karoline s’approche de fabrice et l’embrasse, les langues s’entremêles, Karoline prend les choses en main, prend l’autre main de fabrice pour la poser sur ces seins !! -continue à me caresser fabrice murmure Karoline !!j’adore !!fais-moi jouir avant qu’on mange !! -oui Karoline !! -hummm continue !!! Karoline, les jambes écartées, la tête en arrière, yeux fermés, est à la merci des doigts de fabrice !! Un doigt, puis 2 hummm ahh ouiiiiii fabrice ouiiiiiii vas-y ! ça vient continue salaud, tu vas me faire jouir !!!! Le moment est intense, Karoline ferme les yeux et dans un râle de plaisir jouis ainsi au grand plaisir de fabrice qui comprends à cet instant l’importance des caresses, ils retirent ces doigts, lèche ce nectar et bois une gorgé d champagne, sous le regard ravi de Karoline, chacun d’eux avait compris que le début d’une relation sexuelle allait les emmener vers des plaisirs divins.   Les semaines passaient et la formation de l’étalon avançait à grand pas, fabrice était capable désormais de gérer son excitation, récupérait très vite, et pouvait jouir 2 voire 3 fois en une heure, pour le plus grand plaisir de Karoline, mais toujours pas de pénétration, Karoline lui interdisait toute relation sexuelle, en dehors de leur rencontre. Très souvent elle le faisait venir aux toilettes lui baissait le pantalon et le masturbait ainsi pour voir combien de temps il résistait, et tant qu’il ne pouvait pas résister plus de 15 min a une masturbation intense, il ne pourrait pas la baiser, alors fabrice s’entrainait chez lui seul à contrôler sa jouissance. Parfois aussi Karoline lui donnait rdv dans un petit terrain privé pour pratiquer avec lui de long 69 jusqu’à la jouissance. Chaque fois était différente mais avec beaucoup de plaisir et s’excitation Le stage de fabrice se terminait dans 2 semaines, et toujours pas fait l’amour avec Karoline, fabrice commençait à s’impatienter, et Karoline l’avait remarqué …. Ce matin-là, fabrice reçu un sms différant de ceux habituel : -prévois des affaires pour 3 jours, on part cet après-midi à Deauville voire un client Fabrice était réjoui de ce sms et répondit très vite : -ok je prépare mes affaires et j’arrive Karoline était déjà arrivée quand fabrice rentra dans le bureau : -bonjour Karoline ! -bonjour fabrice, approche-toi !! Il avait l’habitude qu’elle vérifiait s’il ne s’était pas masturber la veille en défaisant sa braguette et elle le suçait juste pour vérifier que son gland ne sentait pas le sperme, et bien sûr il bandait rapidement, a peine avait-elle poser sa main sur sa queue que l’érection était présente. -j’adore ta queue mon pti fabrice !!on devrait bien s’amuser ces 3 jours et je t’ai réservé une surprise. Sur la route qui même à Deauville, fabrice conduit à la demande de Karoline, car elle se sentait fatiguée, avec sa robe courte a fleur, fabrice avait du mal à se concentrer et parfois il posait sa main sur la cuisse de Karoline, mais Karoline le stoppait : -conduis, concentre-toi et laisse-moi me caresser devant toi pendant que tu conduis, et fais-moi plaisir sort ta queue, je veux voir l’effet que j’ai sur toi quand je me caresse !! Fabrice ne perdit pas de temps et sa braguette rapidement défait, sa queue était à la vue de Karoline. -mais tu bandes déjà mon salaud !! Karoline la tête posée sur le dossier du siège se caressait lentement et fabrice conduisait du mieux qu’il pouvait mais il était excité de voir Karoline gémir sans retenue dans la voiture : -hummm !! que c’est bon fabrice !! ahhh je mouille comme une belle salope, donne-moi tes doigts !! Prenant la main droite de fabrice, elle le guide, pour lui faire gouter son nectar -mets tes doigts dans ta bouche !!!!goute mon nectar fabrice Fabrice adorait lécher Karoline donc il connaissait ce gout si doux et savoureux !! Et sa queue ne faisait que gonflé et durcir comme du bois !!mais Karoline avait décidé que ces 3 jours seraient l’aboutissement de son éducation sexuelle et elle devait voir sa résistance. Elle prit la queue de fabrice dans sa main et le branla doucement au départ pour voir sa réaction : -Je t’interdit de jouir !!! -Oui maitresse Les yeux sur la route, fabrice ne disait rien mais quelque râle sortait de temps en temps sur les accélérations de la masturbation de Karoline. Malgré tout fabrice tient sur la durer même si parfois il sent qu’il est au bord de la jouissance Karoline est fière de lui !! -tu es fin prêt mon pit fabrice pour ce soir !!lui dit elle en remettant sa bite dans le pantalon !   Arrivée à l’hôtel, chacun prend sa clé de chambre et monte se changer : -rdv à 20h30 à l’accueil fabrice, on a rdv à 21h00 -ah ok, je croyais que l’on voyait le client demain répondit surpris fabrice ! -changement de programme ! -ok Karoline a tout à l’heure 20h30 fabrice était déjà dans le salon de l’hôtel à attendre Karoline, quand il l’aperçue sortir de l’ascenseur, Karoline avait une robe en cuir noire moulante, et un haut transparent blanc et on devinait facilement les dessous en dentelles blancs, talon noire, maquillée comme jamais : -on y va fabrice !!? Euhhhh oui Karoline, tu es superbe !! -ravie que ça te plaise !! c’est moi qui conduis ce soir si ça ne te gêne pas ! - non Karoline ! Karoline restait silencieuse durant tout le trajet, ce qui perturbait fabrice, elle était si bavarde d’habitude. Après 15 min de route, Karoline se stationnais dans un pti square d’un pti village pas loin de Deauville ! -on fait quoi ici Karoline !!!?? -fais-moi confiance fabrice !! Fabrice suivait Karoline en reluquant ces fesses si bien galbées avec les hauts talons qu’elle portait. Karoline s’approcha d’une maison et sonna à la porte -coucou marie !! La porte s’ouvrit et les yeux de fabrice semblait sortir de ces orbites, une femme vêtue d’une simple nuisette totalement transparente était la devant lui ! -toujours aussi a l’aise chez toi à ce que je vois marie !! -bien sûr Karoline !! et là j’ai fait un effort, d’habitude je suis toujours nue chez moi -je te présente fabrice, le stagiaire dont je te parle régulièrement -bonjour madame !!dit fabrice en tendant sa main -pas madame !! mais marie et on se fait la bise !! Marie fit une bise bien forte sur la joue de fabrice -allez entrer mes amis !! Marie referma la porte et suivait fabrice et Karoline vers le salon -champagne ? -avec plaisir répondit Karoline !! c’est fête ce soir !! -et toi champagne aussi j’espère fabrice ? demanda marie -oui bien sûr marie ! La nuisette de marie attirait le regard de fabrice qui commença à bander à la vue de ces seins qui pointaient sous la nuisette, Karoline qui ne ratait rien du spectacle souriait -dis donc fabrice tu as l’air d’aimer la tenue de mon amie on dirait !!! -euh ...oui Karoline !! -alors montre lui comment tu es contente de la voir !!!ordonna Karoline -comment ça ? demanda fabrice surpris -défais ton pantalon t sors ta queue !!! -mais…  -sors ta queue, montre à marie ta bite !! Marie assise jambe écarté sur le fauteuil face à fabrice avait ces mains posées sur son sexe et commençait à doucement se caresser pendant que fabrice se relevait et baissait son pantalon et caleçon pour sortir sa queue bien raide et rasé de près depuis que Karoline lui avait dit qu’elle n’aimait pas les poils sur les testicules et autour du sexe ! son sexe était bien raide et Karoline s’approcha de fabrice et lui dit : -allonge toi sur le canapé !! Fabrice s’exécuta pendant que marie en profiter pour se lever et chevauchant fabrice au niveau du visage : -il parait que tu es doué en caresse, montre-moi cela fabrice ! dit-elle en approchait sa toison de la bouche de fabrice qui avait déjà sortie sa langue prête à accueillir le sexe de marie déjà humide ! Karoline de son coté avait retirer sa jupe et chemise et s’approchant de fabrice, elle commença à ouvrir la chemise de fabrice et lui faire des baisers sur les tetons, sur le torse, avec ces mains elle continue de titiller ces tetons tout en descendant sur le nombril !! Fabrice gémissait de plaisir et continuait de léchée marie qui émettait des ptis cris de plaisir a chaque coup de langue !! -humm, tu as raison ma Karoline, il est doué ton stage... ohh humm oui...stagiaire !!hummm continue fabrice hummm Quant à Karoline elle prit en bouche fabrice qui secoua le bassin tellement le plaisir montait !! Karoline commença sa fellation par de légère caresse sur le gland ... ensuite elle prit plaisir à prendre ces testicules dans ces mains tout en caressant le gland !! Fabrice était en état second avec ces deux femmes, Karoline décidait de passer à la vitesse supérieure en prodiguant sur la queue de fabrice une fellation bien humide et rapide qui faisait monter la sève et elle sentait qu’il était proche du a l’excitation du moment, proche de jouir et d’un ton malicieux : -tu me laisse ta place marie !! -bien sûr ma Karoline, dit marie en se relevant et embrassant sur les lèvres Karoline et s’enlaçaient sous les yeux de fabrice, prenant place sur le visage de fabrice Karoline donna ces ordres : -fais moi jouir avec ta langue mon pti chéri !! De son coté marie se mis à califourchon et s’empala sur le sexe raide de fabrice qui cria de plaisir Ahhhhhhhhhh !!! hummmmmmmmmmm -tu aimes ma surprise fabrice ??murmura Karoline -humm oh oui humm merci maitresse, ahhhh ohhh Il arrivait plus à parler entre le sexe humide de Karoline à lécher et marie qui faisait des vas et vient sur sa bite le plaisir était totale. Après un moment dans cette position, Karoline se releva elle mit ces mains sur le bord du canapé les fesses prête à accueillir fabrice, allez marie, laisse-moi voir de quoi est capable notre étalon : -je te confirme que sa queue est bonne, humm ouiii !!! dit marie en se relevant à son tour, pendant que fabrice se mit debout et se mettant derrière Karoline commença à la baiser en levrette, il entra sans difficulté dans la chatte de Karoline bien lubrifié avec ces caresses Et commençait avec vigueur ces coups de reins, sa queue raide et rouge gorgé de sang faisait effet sur Karoline qui yeux fermés faisait à son tour des ptis cris de plaisir. Marie était venue face à Karoline et commençait à l’embrasser et pincé a laide de ces mains les tetons bien dures et qui accentua les gémissements de celle-ci qui semblait être proche de la jouissance.   La scène mettait fabrice dans tous ces états et devenait de plus en plus rapide dans ces coups de reins. Karoline ordonna à fabrice de continuer sans arrêter car elle allait jouir : -oui vas-y , baise-moi !!!!! oui continue ……ahhhhhhhh je jouis fabrice !!  ouiiiii ahhhhhhhhhhhh !!!!!Karoline était sans voix et se laissa tomber sur le canapé, fabrice avait le visage radieux de voir Karoline comme ça et sa queue bien raide toujours et encore était prête pour baiser à son tour : - viens me baiser bel étalon cria marie jambes écarté assise sur le fauteuil !!! Fabrice la queue entre les mains s’approcha et comme Karoline il la pénétra sans souci humide voir plus que Karoline !!!!! Fabrice était devenu un vrai étalon, résistant doué, bien monté et ces coups de reins faisait mouche sur marie aussi, il faisait des vas et vient tel un taureau et marie avec les yeux mi-clos et était excitée comme jamais à lui parler avec un mélange d’excitation, et de jouissance -vas y baise moi comme une belle salope !! vas y mets moi ta queue bien a fond dans m.… oh ouiiiii vas y continue Karoline avait un peu repris ces esprits et s’approcha de fabrice et lui saisi les testicules et elle les serras dans sa main !! -vas-y baise mon amie et je veux voir quand tu jouis -ces mots avaient galvanisé fabrice qui accélérait la cadence et marie à son tour cria en atteignant l’orgasme, fabrice lui aussi était très proche d’éjaculer et a peine retirer de la chatte de marie, Karoline lâcha les couilles et pris la queue de fabrice pour le branlé avec une cadence tel que D’un coup fabrice se mit à gémir et un énorme premier jet sorti de son gland pour finit sur l’entre jambe de marie face a lui, d’autres jets suivirent sous les caresses de Karoline !!! Fabrice allongé sur le canapé venait de concrétiser ces quelques mois ou frustré il n’avait pas eu cet énorme plaisir de jouissance.     Les 3 étaient extenué mais heureux, sourire aux lèvres, ils se regardaient complices du plaisir qu’ils venaient de partager … Avec ces quelque mois fabrice avait appris toutes les subtilités du plaisir, du partage, des caresses. Karoline s’approcha de lui pour l’embrasser langoureusement suivi de marie et leurs mains caressaient de nouveau le sexe de fabrice qui très vite recommença à se dresser, toujours prêt C’était bien la fin de sa formation, le stagiaire est devenu étalon et la soirée continua dans le lit de marie ……        
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Par : le 31/01/23
Au ton qui était désormais le leur, on sentait que la tension montait progressivement. La jeune stagiaire avait vu juste car elle soupçonnait que peu à peu, sa patronne cédait secrètement à ses exigences de domination, même si elle se savait solidaire de toute femme en faute. La soumission, c'est d'abord l'oubli de soi. Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à son bureau, Charlotte portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant qu'Emmanuelle ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines. Sous ce chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins aux larges aréoles brunes. Comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une paire de bas, un porte-jarretelle, et un plug anal destiné à l'évaser car Emmanuelle souhaitait la prendre à son gré à l'aide d'un gode-ceinture, par sa voie la plus étroite. Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés. Juliette avait exigé d'elle qu'elle séduise Emmanuelle, la jeune stagiaire que Charlotte venait d'embaucher. Elle y parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Charlotte, sous ses attitudes hautaines avait des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester. Charlotte se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite, toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon. Sportive, elle avait gardé un corps ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. L'équitation qu'elle pratiquait depuis l'âge de seize ans avait façonné sa silhouette et musclé ses jambes, mais pas à outrance. Et surtout, elle était demeurée très féminine, sachant toujours mettre en avant ses atouts, en affaires comme en amour.    Son corps était là mais son esprit était déjà loin, si loin. Elle l'avait remarqué, et malgré son appréhension, rien ne lui échappait, l'esprit de géométrie ayant définitivement vaincu l'esprit de finesse. Sous le poids des responsabilités à son bureau, elle ignorait les interstices où se réfugie l'essentiel des vies parallèles. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Juliette souriante dans le hall qui discutait avec Emmanuelle, un café à la main. - On va aller à ton bureau on a des choses à te dire. Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Charlotte allait s'asseoir quand Juliette la stoppa. - Reste debout. Alors Charlotte, à bout de nerfs s'exclama: - Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle. - C'est justement de ça que nous discutions avec Emmanuelle, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent, tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope. - Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me semble... Alors, tu es à moi, point final. - Tu es une salope, dis-le. - Je... Je suis une salope. - Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant tu es devenue une vraie lesbienne et j'aime pas les lesbiennes, je préfère les membres bien durs, alors je te donne à Emmanuelle, c'est une brave fille et elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ? - À toi de jouer, Emmanuelle. La confusion gagna Charlotte. Un météorologue aurait été à même de définir son état: brumeux, avec quelques éclaicies. Un climat pesant, surtout pour sa fierté, mais au fond d'elle-même, elle désirait se jeter dans l'abîme.    Ce jour-là, l'épreuve lui parût insurmontable. Elle craignait que la jeune stagiaire prenne trop de place dans sa vie et plus prosaïquement dans l'agence de publicité. La solution était pour elle de cloisonner strictement ses vies. Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Emmanuelle étant à l'accueil, lui fit un clin d'œil, Charlotte détourna le regard faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau. - Oui entrez. Emmanuelle entra et referma la porte. - Tu m'ignores ? - Non Emmanuelle, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent. - Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Juliette ? - Non ne fais pas ça, je ne veux pas me fâcher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser, je ne voulais pas te vexer. - Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies. Emmanuelle s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui mordit les lèvres. Charlotte, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Emmanuelle lui lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses. - Vas y branle moi. Charlotte était morte de peur et résista. - Tu veux que je te le dise plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ? Charlotte céda. Emmanuelle jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices. - Plus vite, mieux que ça, pendant ce temps la jeune stagiaire malaxait la poitrine de Charlotte, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la fourra sous son string. - Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme. Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Emmanuelle lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en cuir du bureau. Elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus de sa tête. - Vas y suce moi, et fais le bien. Charlotte lui suça le clitoris avec application. Emmanuelle s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup. - Suce moi le cul, Juliette m'a dit que tu le faisais bien. Pendant ce temps, Emmanuelle se caressait le clitoris et Charlotte, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes les deux puis Emmanuelle se releva et se retourna vers elle. - Juliette avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ? Il te faudra également accepter d'être mise à nu et fouettée. Charlotte qui s'était assise, rougit et lui fit un signe de tête qui voulait dire qu'elle acceptait. Puis Emmanuelle se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna. Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vêtue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Emmanuelle, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'œil, elle lui répondit par un petit sourire gêné. La veille, elle s'était rendue, dans un institut de beauté, pour respecter la volonté de la jeune fille, avoir le pubis intégralement rasé, lisse, ouverte à ses désirs où à ceux de sa Maîtresse Juliette.    Les êtres sont doubles. Comment pouvait-elle désormais se passer d'une jeune femme aussi séduisante ? Le tempérament de feu qui façonne certains individus, attire, parce qu'il met en évidence ce qui est inexistant en nous. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Emmanuelle entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Charlotte. - Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes. Charlotte fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait classique sauf qu'Emmanuelle lui avait interdit de porter un soutien-gorge. La poitrine de Charlotte était ferme de sorte qu'on devinait bien les pointes à travers le chemisier, et vu sa taille généreuse, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait empêcher un balancement lascif de ses seins. Cela ne dura pas longtemps, un habitué de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui demander l'heure, puis il lui demanda s'il pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans son écouteur. L'homme qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, il était séduisant et avait les cheveux coupés courts, il commanda un café, puis souriant, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière qu'il croyait discrète sa poitrine entre sa veste entrouverte. Charlotte rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à des inconnus. Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'homme sortit un mouchoir et s'essuya le front, la poitrine de Charlotte à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors prenant cela pour une invitation, il s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille: - J'habite à côté, tu viens ? Elle entendit dans son écouteur: - Accepte et surtout, cède à toutes ses exigences, quelles qu'elles soient. Tu t'offriras à lui pour qu'il te prenne comme une putain.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/01/23
Il n'y aura pas de pénétration, ni sexe,  peut-être même pas de plaisir non plus Il m'attache les chevilles et les poignets je peux bouger je sens le poids et le froid des chaînes. Il met un foulard sur les yeux, je ne vois plus rien. Je sens juste sa présence son corps autour de moi. Dans ce silence, je sais qu’il me regarde. Commencent ses caresses, ses baisers. Puis mes fesses claquent, mes épaules se morsurent, mes seins se tordent. La douceur d'une plume m’effleure. J’entends le bruit d'un ventilateur, je sens les bourrasques chaudes froides finir sur ma peau. Un jet d'eau tiède coule de ma nuque jusqu'à mes reins.  Des glaçons se posent sur mes lèvres, descendent sur ma gorge, glissent sur mes tétons.  Dans cet espace-temps indéfinissable je ne suis qu'un corps qui résiste encore un peu. Il accélère le rythme de ses claques, de ses crachats. Il m’enserre, me caresse. Il m’embrasse, me tire les cheveux. Tout va plus vite, tout va plus fort. Chaque parcelle de mon corps est en fusion. Je m’épuise et m’assoie les fesses sur mes talons, les chaines chantent pendant que je descends. Une eau glacée sur ma tête, il me pince les seins, mord ma nuque. Il est partout, ses mains me fouillent, me blessent, me caressent. Un liquide chaud entre mes seins, je sens ma cire se durcir. Ses ongles viennent l’arracher pendant que ses lèvres gobent mon lobe. Je suis un mélange d’air et d’eau, de chaud et froid, de bien et de mal. Mon corps ploie, mon cerveau débranche Une lourdeur m’envahit. Soudain, je sens venir de mes ovaires une brulure,  remonter mes seins, enserrer mes mamelons, et inonder ma gorge : Le Cri Le cri, le seul, l’ultime Il franchit 13 générations, il vient des mères des mères enfantant ma grand-mère, ma mère il est la Femme, l’odeur de mes terreurs, la musicalité de mes douleurs, le rythme de mes erreurs, la couleur de mes bonheurs. Le Cri , celui qui emporte tout, déchire l’atmosphère, se fracasse dans les astres, se nourrit des tempêtes, se gonfle de vagues, se façonne des larmes. Le Cri d’une fillette sans mémoire qui ne sait pas crier, le Cri d’une hirondelle blessée qui ne sait plus voler, le Cri d’une feuille d’automne qui se laisse balayer, Le Cri de points de suspension qui ne savent demander les mots qui réconfortent. Le Cri qui s’enfonce dans l’abime et déchire les nuages. Le Cri du sang, écarlate, effluve salé aux parfums aquatiques, qui explose en gouttelettes souveraines, jaillissantes des ombres lunaires.  Elles volent, s’alentissent un instant et viennent se cogner, rebondir en écho turbulent, créant des arabesques sur mon corps impuissant Le Cri, d’espoir et de doute, Le Cri des sens et d’essence ... Le Cri Vital Je me réveille, essoufflée, assoiffée, trempée de sueur, en position fœtale. Ma gorge me fait mal, mes cordes vocales étirées et brulantes. Je sens le Cri, le cri muet qui est resté coincé dans mes rêves chimères ou mon âme pétrifiée, dans le creux d’une rivière ou sur une plage endormie. Ce Cri, cette étincelle Je vais prendre une douche, boire 2 verres d’eau fraiche, je retourne dans mon lit. Derrière mes paupières grises de sommeil, j’appelle le pygargue, je me colle à son aile pour qu’il m‘envole dans les voyages bleus des ciels silencieux
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Par : le 27/01/23
Elle pensait aux cinq hommes qui l'avaient prise dans sa vie. C'était d'abord un stupide cousin et elle mourrait de honte à cette idée. Il l'avait possédée par surprise et s'était sauvé ensuite. Le second était un personnage mystérieux, terrifiant, qui n'était jamais à court d'idée pour l'humilier. Le troisième était n'importe qui, un soir, elle avait trop bu. Et puis c'était assez réfléchir sur des temps lointains qu'elle sentait partir d'elle-même, comme un sang fatigué. À demi endormie, comme dans un éclair, elle fut traversée par la certitude, mais aussitôt évanouie, qu'elle l'aimait. Bien qu'elle n'y crût pas, et se moquât d'elle-même, elle en fut réconfortée. Alors, pour la première fois depuis qu'elle la faisait venir deux ou trois par semaine, et usait d'elle lentement, la faisait attendre dénudée parfois une heure avant de l'approcher, écoutant sans jamais répondre à ses supplications, car elle suppliait parfois, répétant les mêmes injonctions au même moment, comme dans un rituel, si bien qu'elle savait quand sa bouche la devait caresser, et quand à genoux, la tête enfouie entre ses mains dans la soie de l'oreiller, elle ne devait lui offrir que ses reins, dont elle s'emparait désormais sans la blesser, tant elle s'était ouverte à elle, pour la première fois, malgré la peur qui la décomposait, ou peut-être à cause de cette peur. Et pour la première fois, si doux étaient ses yeux consentants lorsqu'ils rencontrèrent les yeux clairs brûlants de Juliette. Le plaisir qu'elle prenait à la voir haleter sous ses caresses, ses yeux se fermer, à faire dresser la pointe de ses seins sous ses lèvres et sous ses dents, à s'enfoncer en elle en lui fouillant le ventre et les reins de ses mains, et la sentir se resserrer autour de ses doigts. Charlotte voulut parler, poser une question. "- Un instant, dit Juliette, va dans la salle de bain, habille-toi, et reviens". Charlotte prit les bas noirs, le porte-jarretelle et la jupe, posés sur une chaise près de la coiffeuse et lentement se revêtit. Elle accrocha ses bas aux quatre jarretelles et sentit son ventre et sa taille se creuser sous la pression du corset, dont le busc descendait devant presque jusqu'au pubis. La guêpière était plus courte par-derrière et laissait les reins totalement libre, de façon à ne pas gêner si on ne prenait pas le temps de la déshabiller. Il était très excitant pour Charlotte de toujours ignorer ce qui pouvait advenir au cours d'une séance.    Elle était folle de compassion et du plaisir d'être aimée de cette façon brutale. Tant de dureté chez cette femme qui avait passé la trentaine. Jamais elle n'aurait peur d'elle tant elle était fière de lui appartenir. Sa Maîtresse était pourtant indifférente et cynique. L'homme à la gauche de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, sous la jupe, le reflet voluptueux des jarretelles. Insensiblement, elle écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les yeux baissés son impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, en-dessous, le sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. À la fin du repas, il lui demanda de le rejoindre immédiatement, au rez-de-chaussée, dans les toilettes pour hommes. À peine dans l'escalier, elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. De nouveau, sa jupe fut troussée, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, l'anneau de ses reins fut frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit et, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. Subitement, elle se dégagea, se tourna. Il l'accola face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses reins, comme une épée dans son fourreau. Elle goûta la sensation de cette chair palpitante et mafflue. Lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui prenant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son ventre. Dans cette position qui favorisait l'examen de son corps, le membre s'enfonça profondément.   Puis il se dégagea d'un mouvement lent, demeura immobile, les mains sur les genoux, ses lourdes paupières abaissées. Une seconde ainsi, pendant laquelle elle était déjà moins malheureuse de se sentir sauvage et plaint. Elle n'éprouva qu'un petit pincement aigu au moment où ses seins furent brutalement saisis par des pinces puis elle sentit les pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui pinçait les mamelons. Charlotte se complut à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche. Elle suça avec ferveur la verge tendue qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la gorge. Elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la succion. Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif de l'inconnu. Le gland était beaucoup plus gros que la hampe. Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui enveloppèrent la colonne de chair. Les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à cœur à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Après quoi, il la fit le rajuster, et partit. Un garçon du restaurant, que la soumission de Charlotte, et ce qu'il avait aperçu des lacérations de son corps bouleversaient, au lieu de se jeter sur elle, la prit par la main, remonta avec elle l'escalier sans un regard aux sourires narquois des autres serveurs, et ne la laissa alors, qu'une fois installée de nouveau, dans le cabinet privé du deuxième étage. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre sur un lit de fer. Un long silence suivit, troublé seulement  par quelques chuchotements dont elle essaya en vain de percevoir le sens.   Elle souffrait mais elle dominait cette souffrance. Le plaisir qui naissait insidieusement en elle l'envahissait. Chacun des mouvements qu'elle faisait amplifiait alors le balancement des pinces, provoquant une sensation effrayante d'arrachement. On la déshabilla alors totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle serait offerte à des inconnus. Charlotte allait être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique. On la cingla alors brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas faire mal, il voulait l'amener à ce degré d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de cette Vénus callipyge. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia alors la chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées. L'orgueil qu'elle mit à résister et à se taire ne dura pas longtemps. Les invités l'entendirent même supplier qu'on arrêtât un instant, un seul. Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, quand elle ne put plus résister, elle céda. Tel un pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence rejoignit alors la nuit. Charlotte, les yeux mi-clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement. Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir. Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident. Elle s'y attendait pourtant, haletante, les tempes battantes. Il s'enfonça sans préliminaire pour lui faire mal mais elle trouva le courage de ne pas gémir dans le regard de sa Maîtresse qui l'observait intensément.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           Elle avait les reins en feu, elle se consumait. Sans doute, n'était-ce pas là seulement la sensation du plaisir, mais la réalité elle-même. Arrivée au paroxysme de l'excitation, elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était enfoncé. Sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité. Il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués. Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la pénétra profondément entre ses reins. Le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler. Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée et coupable. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit sur un lit. Souillée de sperme et de sueur, chancelante et presque évanouie, seule dans le noir, elle s'endormit, fière à l'idée qu'elle était devenue une esclave à part entière.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 27/01/23
J'avais un but : devenir une star, puis être riche et vivre avec Summer. Maintenant j'en ai un troisième : supprimer Madame cochon ! Sarah me prend par le bras et m'amène dans la grande salle. Il y a une dizaine de filles nues qui font du pole dance. Putain !! Je commence à regretter d'avoir accepté les 15000 $... Enfin, non, quand même pas. Elle m'amène devant un gros homme qui se trouve à côté du bar. Elle lui dit : — Monsieur Brown vous envoie cette fille qui...euh... L'homme lui montre son téléphone en disant : — Je sais, je viens de recevoir son message. D'accord, elle danse et fait des pipes, mais je dois d'abord me rendre compte de ce qu'elle vaut. Viens derrière le bar petite et suce -moi... Il y a des rires autour de nous J'y vais et, d'accord avec vous, Madame Obama ne l'aurait pas fait. C'est pas le bout du monde non plus, j'ai fait ça à Atlanta. Je me mets à genoux. Les deux barmaids me regardent en souriant, ravies d'avoir une remplaçante pour sucer le patron ! L'homme se met devant moi et ne bouge pas. C'est moi qui dois tout faire ? Je descends la tirette de son pantalon et quelques kilos d'abats me sautent à la figure. C'est-à-dire une grosse saucisse molle et deux énormes couilles. L'homme me regarde. Il a un verre à la main et il me dit : — A tu salud pequeña Ce qui veut dire "à ta santé petite" comme vous vous en doutez. Je réponds : — Je peux boire un peu avant de sucer votre bel engin M'sieur ? Il boit, puis il me donne son verre. C'est fort ! Je tremperais bien son gland dans le verre, genre petite toilette. Je vide le verre et lui rends... Ensuite, je tire la peau pour dégager le gland et j'ouvre grand la bouche pour l'accueillir.  Je le suce et je réfléchis en même temps... Si quelqu'un lisait ces lignes, il se dirait, "C'est de la folie tout ce qu'elle raconte. Une Première  Dame des Etats-Unis, à genoux derrière le bar d'un bordel à sucer un gros Mexicain, c'est quoi ce truc ?!?!" D'accord, avec le lecteur imaginaire. Et, pourtant ma tête va et vient sur une grosse bite, tandis que ma langue titille un gland... Je continue à penser tout en suçant. Mon mari m'a promis une somme proprement scandaleuse s'il était réélu. Ensuite je divorce et je vais vivre de mes rentes avec Summer. On se débarrassera d'abord du couple cochon ! Ouch ! Le sexe grossit dans ma bouche et le senor grogne en me caressant la tête, en clair, ça veut dire "je vais tout te lâcher dans le gosier". Ça y est : une douche tiède et saccadée envahit le fond de ma bouche, j'avale tout.... J'avale son sperme et je ravale ma frustration et ma rancoeur. Il faut que mon mari soit réélu, ensuite bye. On ira où Summer voudra et on  achètera des esclaves. En attendant le patron est bien disposé à mon égard. Ça arrive souvent avec un monsieur que vous venez de sucer. Il me dit : — Tu es douée petite. relève-toi. Je me mets debout. Les clients me regardent en souriant. C'est gênant. Le patron me donne un verre de Tequila... Ça pique la bouche mais ça fait du bien... Je le bois en 3 gorgées. Il me désigne une table de jeunes occidentaux en disant : — Va danser pour eux Je m'approche de la table... Les jeunes gens ont l'air d'être des étudiants plutôt propres sur eux. Il y a 4 garçons et 3 filles, des étudiantes aussi, pas des putes. Quand je suis près de la table, un garçon me met la main sur les fesses. Difficile de jouer les pucelles quand on vient de sucer la bite d'un Mexicain de 100 kg. Je leur dit : — Vous avez demandé que je danse ? C'est une fille qui répond, une brune bien en chair, jolie. Elle me dit : — Qu'est-ce qu'une fille aussi belle que toi fait dans un bordel de Tijuana. Je pourrais dire "et vous qu'est-ce que vous y faites ?", mais à mon avis, il cherche de la dope spéciale. Je réponds : — C'est que... mon... euh... ami... La fille me coupe : — Ton mac. — Oui...mon mac en avait marre que je me plaigne des clients pas très nets, alors il m'oblige à passer quelques jours ici. Ça leur convient.  La brune dit même : — Il a raison ! Tu es une esclave ? — Euh... non, mais... — Aucune importance. Allez grimpe sur la table et danse. Il y a quelques semaines, je dansais à poils sur une table à la "House of Pussies" et aujourd'hui, je danse à poils dans un bordel mexicain ! Je vais changer ça... même si je devais m'allier à Dany Prince, l'adversaire de mon mari ! En attendant, je suis debout sur une table dans le simple appareil d'une pute dans un bordel. Je remue mes fesses, balance mes seins et je me penche en avant pour que tout le monde puisse constater que je suis bien une fille. Ici, ce n'est pas Atlanta, les clients font ce qu'ils veulent. Tandis que je virevolte autour de la barre, les mains des garçons et des filles me caressent. Il y a des clients qui se sont levés pour mieux me voir et bientôt, il y a un petit attroupement autour de la table. Au Grauman's Chinese Theater ou ici, c'est moi la star. Après une dizaine de minutes de danse un des garçons dit : — Je bande comme un phoque. Les autres garçons et même les filles aussi. La brune  dit : — Tournée générale de pipe et de cunni... — En me regardant elle ajoute : — Tu auras 10 $ par personne. Mon Dieu, quelle générosité, mais je jure devant Dieu que ce sont les dernières pipes que je fais sous la contrainte. Ils sont sept,  ça fait quatre pipes et trois cunnis. C'est beaucoup ! Un garçon me dit : — Commence par moi. Il est un peu affalé dans son fauteuil. Je m'agenouille entre ses jambes et il dégage son sexe de son pantalon. Je suce cette bite le mieux possible tout en pressant les couilles juste ce qu'il faut. Le mec est jeune, pas trop bourré et puis moi j'ai de la technique. Aussi, quelques minutes plus tard la bite molle devenue dure jouit dans ma bouche. Il me dit : — Avale ! Ils me regardent tous, impossible de cracher en douce, alors j'avale tout. Je ferai régime demain, mes fesses sont assez rebondies comme ça, d'après Madame cochon ! Et les siennes, elles sont comment ? Le gars suivant est moins propre, alors pour ne pas l'avoir sous le nez, je mets vite son gland dans la bouche. Oui, c'est un truc de pute ! Dingue, non ? Moi, une star de cinéma et... — Suce plus énergiquement ! Le gars s'impatiente. Je le suce, je joue avec ses couilles, il jouit. Il m'attrape par le cou et me maintient pour jouir dans ma bouche. Je dois tout avaler. Je souhaite qu'il rate ses examens !  La suivante est une fille. Une chatte, ça me change, même si elle n'est pas lavée de frais... Je vois un peu de lassitude dans les yeux du lecteur imaginaire et je suis d'accord avec lui, on va raccourcir tout ça :  Ashley fait des fellations et des cunnis à des étudiants et des étudiantes pas mal physiquement mais pas trop soignés. Je fais quatre fellations et deux cunnis... Quand, je me relève, j'ai un sale goût en bouche et les genoux douloureux. Sarah dit aux clients : — Elle reviendra dans 10 minutes et dansera pour tous ceux qui veulent. Ça convient aux clients. On sort de la salle et elle me tend ma robe en disant ; — Dépêche-toi. On monte dans la voiture et je lui demande : — Qu'est-ce qu'il se passe, Mademoiselle ? — Ton mari a eu de mauvaises nouvelles, il doit  rentrer d'urgence. On se tait jusqu'à l'aéroport. Un garde nous attend et règle les formalités. On monte dans le jet et on décolle. Mon mari est déjà là et il ne quitte pas son écran  des yeux. A un moment, je lui demande : — C'est grave ? — Ça va s'arranger. Ouf ! Je bois un cocktail et je somnole. On atterrit à Washington et on part à la Maison Blanche. Là, il va s'enfermer avec ses conseillers. Moi, je prends deux esclaves au passage et je vais dans ma chambre. Je les fouette un peu parce que... je suis énervée. Ensuite, elles me lèchent mais bien et partout, c'est la magie des esclaves fouettées.... *** Le lendemain, quelqu'un tire les lourdes tentures et tandis que le soleil inonde la pièce, on arrache le drap qui me recouvre. Je crie : — Non mais ça ne va pas la tête !! Deux hommes et une femme me regardent en souriant, tandis qu'un cameraman nous filme. La femme me dit : — Vous êtes bien Ashley Stirland ? — Oui mais... — Je vous arrête ! — Mais vous êtes folle, je suis la Première Dame ! Mon mari vous fera... — Mais oui... Les hommes m'empoignent et me mettent debout. Ensuite, ils me mettent des menottes aux poignets dans le dos. Je dois être en plein cauchemar ! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 24/01/23
Elle me manquait terriblement. Bien sûr, l’addiction aux tourments qu'elle m’infligeait quand j’étais à ses pieds amplifiait ce manque.Je n’avais jamais imaginé la douleur que comme une expérience se faisant voyage pour aller à la rencontre de soi-même, comme une exploration de mes zones d’ombres. Depuis que j’avais croisé son chemin, la douleur s’était faite lumineuse.Elle était une des manières de me donner à elle. De lui prouver mon amour, même si je savais qu’elle savait. Ses cordes n’étaient jamais si délicieuses que quand elles marquaient ma peau, quand elles irritaient mon derme. Il ne s’agissait pas de marques, mais de sa marque. Ma peau ne se faisait pas support d’un élégant motif torsadé, j’étais le support de sa signature. Ce qui est peint à la manière d’un Saudek, n’est un Saudek que si l'œuvre est signée du Maître. Je n’avais jamais vraiment aimé mon reflet dans le miroir, encore moins me voir en photo. A la genèse de notre relation, elle m’avait clairement annoncé qu’elle ferait des clichés de moi quand elle aurait pris possession. Elle savait que cela me bousculait, m’inquiétait. C’est probablement à la fois parce qu’elle aimait cela et pour me faire grandir que dès le premier jour, dès la première immobilisation, elle avait multiplié les photos. Ses cordes. Ma peau blanche. Son pouvoir. Ma soumission. Je me souviens encore de ses pas cadencés tandis qu’elle me photographiait sous toutes les coutures. Elle l’avait promis, non seulement elle prendrait ces clichés mais elle allait me les montrer, aussitôt.Je devrais regarder. Dans le vertige de l’abandon,ce jour-là, je n’avais pas pris la pleine mesure de ce qui se cristallisait alors, dès cette première fois : j’avais regardé ces clichés, ligoté et pluggé sur la couche, avec étonnement, curiosité et je crois avec délectation. Comment était-ce possible, moi qui ne détestais rien de plus que de voir ce corps ? Il me fallut du temps pour comprendre : ce n’était pas mon corps qui me fascinait, c’était la posture du modèle qu’elle avait choisi d’imposer, je n’y voyais pas ma peau, j’étais habillé de ses cordes, ce n’était pas une position de celles qui peuvent faire honte, c’était son œuvre. Je ne m’aimais pas. Mais à ses pieds, dans ses cordes, avec sa signature sur ma peau, j’étais sa toile. Et j’aimais son art. Elle me manquait terriblement. Donc. Mais bien avant qu’elle me possède, qu’elle s’en prenne à ma peau et à mon cul. Elle me manquait terriblement. D’avant. Bien avant que les plans s’échafaudent, que les scénarios s’écrivent à quatre mains. Que le tourbillon des fantasmes nous emmène loin, que les pulsions nous fassent tourner la tête, qu’une outrance en appelle une autre.. Qu’elle mouille. Que je bande. Nous avions tant écrit. Tant confiés. Tant partagés. Je lui avais avoué mes faiblesses, la manière dont torturer mon corps pour me rendre un peu plus addict, un peu plus chien, encore. Je lui avais donné les clés, bien que je croie qu’elle aurait su entrer par effraction, pour récupérer ce qui lui appartenait. Elle m’avait décrit par le menu le goût de son intimité, ses envies les plus secrètes. Elle jouait avec les allumettes, elle avait incendié mes nuits, j’y brûlais pour elle. Indécent. Incandescent. Mais elle me manquait terriblement. D’avant encore. Lorsque nous ignorions que nous existions. Elle me manquait déjà. Je ne connaissais ni son visage, ni son prénom, ni ses courbes divines, ni son histoire, ni le goût de son jus, ni le son de sa voix, ni la manière dont ses mains agrippent les hanches, ni la sensation qu’on a quand on pose le front sur son épaule, ni la sérénité qui vous enveloppe quand la joue se frotte à sa cheville, à son pied, avec dévotion… Je ne connaissais alors rien de tout cela, mais elle me manquait déjà. Pas une autre. Elle. Comme si cette relation était une évidence. Comme si c’était la destinée. Comme s’il y avait un lien. À travers l’espace, à travers le temps. Entre cette vie et une autre ? Entre ce monde et un autre. Il est des rencontres qui nouent ou qui dénouent les existences. Qui nouent et qui dénouent nos fors intérieurs. . J’ai vraiment su qui j’étais quand j’ai su qui elle était. Mon attachement n'était pas le fruit de ses attaches mais de celle qu’elle est. J’étais le chien car elle était la Femme. Tout cela me dépasse. Tout cela est tellement plus grand que moi. Elle est mon amour, ma Passion. Golgother, de ses vices en sévices. Elle me manque délicieusement. Là. Maintenant. Encore... Encore... Encore... (Illustration : Bondage boy / vitrail de Diego Tolomelli)
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Par : le 23/01/23
Sentir tes mains, tes doigts me caresser, Et d'être excité, de ressentir l'effet mouillé. Nus l'un contre l'autre, pour des douceurs, S’entrelacant avec fureur, envie de chaleur, Un besoin de câlin coquin, l’envie de jouer, Aller jusqu'à exulter de joie et d’impudeur. L’extase des lèvres sur sa peau parfumée, Imprégné de chair et de rut, sublime odeur, Tel l’effluve pure de la reine des orchidée. Entêté par le désir rageur de  jouissance. 
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Par : le 22/01/23
Nos Mains Elles ont connu d’autres rivages, des oasis chimériques, des poignets légers, des tissus magnifiques, Elles ont cru toucher les étoiles plusieurs fois Elles ont affronté des tempêtes, se sont brulées aux flammes passionnées, Elles se sont réchauffées dans des gants de velours Elles ont cajolé les terreurs innocentes d’enfants apeurés Elles ont soigné nos morsures et caché nos blessures Elles ont fabriqué des tiroirs pour cacher nos rêves illusoires Elles ont essuyé des larmes désabusées et des sourires émerveillés Nos mains Elles sont là l’une dans l’autre à leur juste place, emboitées, rassurées Elles glissent , palpent, soupirent, s’attendrissent, s’aventurent Elles s’excitent, s’ébranlent, se charment, s’enfièvrent Elles s’insinuent, se cherchent, se chauffent, se remuent Elles se tendressent, se bousculent, se crispent, se tendent Elles se bouleversent, se basculent, se sondent, se remuent Elles s’appellent, s’incitent, s’apaisent, s’ensemblent Elles s’osent, s’entre-jambent, s’entre-baisent, se sensations Nos mains se lèvrent se livrent se lovent Dévalent nos dunes frivolent nos fentes jaillissent des geysers Nos mains   Nos doigts doucement emmêlés Nos pouces se caresser Nos index discrets Nos majeurs se fouiller Nos annulaires libérés Nos auriculaires murmurés Nos peaux embrassées Nos mains qui s’épeaument face aux incertitudes du monde Nos cicatrices additionnées s’adoucissent à la somme de nos deux mains Et nos lignes de vie qui se croisent et se rejoignent A Nos Mains  
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Par : le 22/01/23
 PREMIER CONTACT  Cela faisait déjà un moment que je recherchais sur le net une femme dominatrice. Il faut dire que j'aime porter une culotte plastique sur mes sous-vêtements et faire pipi dedans. Trouver une dominatrice qui ne soit pas vénale n'est pas déjà chose aisée, mais en trouver une qui m'utilise comme je souhaitais l'être relevait de l'impossible. Aussi, quand j'ai reçu ce mail m'annonçant qu'une certaine Maîtresse P. avait répondu à l'une de mes nombreuses annonces et qui plus est, qu'elle était dans ma région et désirait me voir, j'ai sauté sur l'occasion. Le mail était clair : « Sois lundi prochain à quatorze heures précises debout au comptoir du bar X, je viendrai t'y rejoindre. Je te veux en culotte plastique, trempé, et plugué sous tes vêtements. J'ai toujours rêvé d'avoir une petite salope pisseuse comme jouet. Si tu te montres à la hauteur, je saurai te donner ce que tu cherches. Mais attention, je ne tolèrerai AUCUN écart de conduite de ta part ou je disparaitrai de ta vie aussitôt ! Suis-je claire ? » J’ai immédiatement répondu par l’affirmative, me disant qu’au pire, je pouvais toujours mettre fin au jeu à ma convenance puisqu’elle m’en donnait la possibilité. Puis nous échangeâmes encore quelques détails sur mes phantasmes et mes limites avant de nous séparer sur ce rendez-vous. La nuit de dimanche à lundi fut peuplée de rêves oniriques où de somptueuses créatures vêtues de cuissardes brillantes m’exhibaient et m’humiliaient publiquement, et au réveil, une érection terrible m’obligea même à me satisfaire afin de calmer mes esprits. Je pris une douche, m’administrai un profond lavement, me rasai de près, puis je mis un plug d’une taille raisonnable, une belle culotte en dentelle rose, passai une serviette en pagne dessus en guise de couche, enfilai ma culotte plastique par-dessus et finis de m’habiller. L’ensemble restait malgré tout à peu près discret, et une veste longue finit de rendre ma tenue, quelque peu incongrue, totalement invisible. Je filai alors à la gare et profitai du voyage pour me lâcher dans ma culotte, assez pour la mouiller, mais sans risquer de fuites et c’est donc les fesses bien trempées que j’arrivais au bar. Le bar était plutôt glauque et les quelques clients présents, essentiellement des arabes, avaient tous plus de 40 ans et ne ressemblaient pas vraiment à des cadres supérieurs. L’air était enfumé et il y régnait une odeur spécifique, mélange de fumée froide et de sueur. Mais même si je trouvais étrange que Maîtresse P m’ait donné rendez vous ici, je me disais qu'après tout, j’avais dit obéir en tout point à ses directives et que je n’allais tout de même pas me faire agresser comme cela, en plein jour et dans un lieu public. Je me dirigeai donc vers le bar et commandais une bière, étant en avance. Puis je me dirigeais vers les toilettes pour soulager ma vessie pas totalement vide. Les toilettes en question étaient à l’image du bar : sales et pas nettoyées. Le sol carrelé était trempé de ce que j'espérais secrètement n’être que de l’eau... Les murs, recouverts de graffiti à l’orthographe aussi douteuse que la propreté des lieux, invitaient l’utilisateur au stupre et à la luxure en termes crus et obscènes et une odeur de vieille urine agressait les narines. Décidément, quel étrange lieu de rendez vous... Je retournai au bar, payai ma consommation et savourai ma bière, laissant libre cours à mon imagination en observant les autres consommateurs présents. Tous mes scénarios échafaudés la veille s'écroulaient comme un château de carte : point de superbes filles en cuissardes ni de lieux aménagés, et je commençai à penser que cette histoire sentait le lapin à plein nez... Mais bon, rien de bien grave à priori, j’allais finir tranquille ma bière et aviser du reste de la journée. Je ne prêtai plus guère attention à la salle, ni au téléphone qui sonna, ni au barman qui prit l’appel. Entendant quelques « oui », « non », « bien sûr », je ne remarquai dans ces propos rien que de bien banal. Je ne pris pas garde non plus au signe qu’il fit à l’homme assis prés de l’entrée. Mais quand celui-ci se leva et ferma la porte du bar en mettant le verrou, et que le barman descendit les volets roulants, je sentis une montée d'adrénaline. D’une voix que je voulais aussi sûre que possible, je demandai : — Y’a un problème ? — Non, on attend quelqu’un, mais tu peux finir ta bière. Ce tutoiement ne me rassurait pas du tout. Et quand le barman sortit de sous le comptoir une pochette avec des photos, je crus défaillir : des photos de moi nu en couches, d’autres où j'avais le plug entre les fesses,... Tous les hommes présents s’étaient levés et se dirigeaient vers moi. Je commençai sérieusement à ne plus trouver la situation très drôle. Une main se posa sur mes fesses : — Shouf, il porte vraiment une culotte de bébé ! Des rires gras, des mains qui me tâtaient les fesses, les premières injures qui fusaient : — Quelle salope ! — Je suis sûr qu’il est trempé ! — Je sens qu’on va bien s’amuser avec cette pute ! La terreur me gagna petit à petit. Impossible de fuir ! Comment avais-je pu être aussi bête ? J’essayais de me dégager, mais ces hommes étaient trop forts et trop nombreux pour moi. Je me retrouvais vite fait torse nu avec mon pantalon sur les chevilles, entrainé vers les toilettes. — Alors salope ? Tu es venu ? Tu as obéi à mes ordres ? Devant moi se tenait Maîtresse P, superbe sur ses talons, en tailleur strict ! Ma peur disparut, j’avais confiance en elle. Je tentais un timide « oui » et une baffe me coucha sur le sol froid et trempé. — C’est : « oui Maîtresse ». Et pour eux, ce sera : « Monsieur ». Tu as saisi, sous-merde ? Et pour commencer, voici ce que tu m’as écrit. Tu vas le lire à haute et intelligible voix. Je pris le texte qu’elle me tendait et lus : « Je suis une truie pisseuse, Maîtresse, et j’aime être humilié et exhibé en public, servir de jouets sexuel aux hommes pour votre plaisir » — Bien ! Je suis heureuse de te l’entendre dire. Sa voix se calma. Puis s’adressant aux mâles : — Comme je vous l’avais promis, je vous offre une bonne petite pute pour vous satisfaire : servez-vous de sa bouche et de son cul à volonté, et sachez qu’elle aime autant le sperme que la pisse. Sa culotte doit normalement être trempée, je vais vérifier cela de suite, et son cul plugué. Elle abaissa ma culotte plastique, découvrant mon lange mouillé et ma culotte de dentelle rose. — J’avais dit « trempée », sous-merde, pas humide ! On va t’arranger cela tout de suite, n’est ce pas, messieurs ? Ils vont te la remplir à tour de rôle et venir se faire nettoyer le sexe par ta bouche de pipeuse. À chacun d’eux, tu diras : « Merci, monsieur, de me traiter comme la salope que je suis ! » Elle remonta sans ménagement ma culotte plastique et les hommes, les uns après les autres, vinrent se soulager dedans, la faisant se gonfler de leur mélange d’urine. Et à chaque fois, je devais nettoyer leur sexe pas toujours propre et répéter la même phrase humiliante. — Te voilà en condition, salope ! On va pouvoir passer à la suite. Tu vas te mettre à quatre pattes, la figure dans l’urinoir et bien écarter ta culotte que l’on puisse voir que tu baignes dans la pisse et que tu es plugué, comme une bonne truie en chaleur. J'obtempérai sans discuter, autant par peur des représailles que par le plaisir malsain de m’avilir ainsi devant cette femme hautaine. Des flashes crépitèrent ! Je me retournai pour protester, il n’avait jamais été question de photos. Mais un talon aiguille m’obligea à replonger la figure dans l’urinoir. — Tu bouges pas, salope, ou ce talon pourrait bien te faire très mal ! Tu voulais servir de pute gratuite ? Être souillé et avili ? Maintenant, assume ta condition. Jusqu’à présent, je suis content de toi. Et si je veux prendre des photos, je le fais ! Compris ? Tu n’as rien à dire à part : « Oui Maîtresse » ou « Merci Maîtresse ». Tu seras dorénavant ma salope soumise et je me servirai de toi comme telle. Compris ? Sinon ces photos pourraient bien atterrir là où tu n’aimerais sûrement pas qu’elles atterrissent ! Le « Oui Maîtresse » ne fut qu’un glouglou inintelligible, ma bouche baignant dans la rigole odorante qui s'écoulait du trop-plein de ma culotte. Je me résignai, honteux mais heureux à la fois, lorsqu’une douche chaude m’arrosa le dos et la tête : Maitresse P. me pissait dessus, devant tout le monde, tout en continuant à prendre des clichés de la scène. Puis elle retira sans ménagement le plug qui obstruait mes fesses, le jeta dans la flaque d’urine où je baignais, puis m’ordonna de le ramasser et de le sucer jusqu'à ce qu’il soit impeccablement propre. Encore des flashes. Puis Maîtresse enleva son pieds de ma tête et annonça : — Voila, messieurs, cette salope est à vous pour l’après-midi, amusez-vous bien mais ne me l’abimez pas. Ce fut la ruée. Sous les injures, baignant dans l’urine, des sexes de toutes dimensions forcèrent mon cul ouvert et ma bouche, déversant leur semence au fond de mes orifices, me traitant comme un simple objet de plaisir, durant un après-midi qui me semblait ne devoir jamais finir. Enfin, je fus libéré. Comme une ultime humiliation, l’un des hommes me dit : — T’es vraiment une bonne salope bien soumise comme on les aime ici. Tu vas maintenant te rhabiller et bien sûr garder ta couche pisseuse, puis prendre un verre au bar, tu l’as bien mérité. Et ne pense même pas à te laver avant, le foutre séché et la pisse te vont très bien au teint. Au bar, Maîtresse P. m’attendait, tout sourire. Devant elle, un verre plein. — Dorénavant, tu seras ma pute. Je suis fière de toi. À chaque convocation, tu viendras ici. Ahmed se fera un plaisir de faire savoir à ses amies et amis que tu n’es qu’une pisseuse dont on peut user et abuser. Et c’est ainsi que tu serviras en m’attendant. Bien entendu, la tenue sera la même que cet après-midi, et interdiction d’en changer sans mon autorisation. Enfin, pour te remercier, je t’offre ce verre : c’est un ami SDF qui n’a pas pu venir, mais qui t’a laissé un bon verre de pisse pour se faire pardonner. Tu vas le boire devant nous, puis tu pourras partir et trouver un endroit où te rincer. Tu pues la pisse comme c’est pas permis. Ce sera d'ailleurs ton nom ici : « Pue-la-pisse », ça te va très bien. Toute fierté totalement annihilée, je bus l’infâme breuvage sous les railleries et le sourire conquérant de Maîtresse P. et quittai les lieux. Totalement épuisé, vidé de toute volonté, souillé et avili, je me dirigeai, hébété, vers la gare, espérant pouvoir au moins me laver la figure avant de retourner chez moi, lorsqu’une voix se fit entendre derrière moi : — Ho, man, t’as pas un euro ou deux pour moi s’il te plaît ? Un SDF venait vers moi, mendiant la pièce. Franchement, ce n'était pas vraiment le meilleur moment. Aussi je refusai poliment. — Désolé, plus une seule pièce. Une autre fois ! Que ne venais-je de dire. L’homme devint plus agressif et me répondit en haussant la voix : — Ho la salope ! Faut pas le prendre de si haut ! Tout le monde sait que tu portes une couche pisseuse et que tu t’es fait enculer tout l'après-midi ! En plus, tu pues la pisse à 100 m et tu te la pètes ? Moi qui t’ai payé un verre il y a dix minutes à peine ? Il y avait du monde autour de nous, et deux ou trois personnes se retournèrent. Rouge de honte, je fouillai nerveusement mes poches et lui donnai les quelques piécettes qui y traînaient, espérant le calmer. Il me remercia et, tandis que je faisais déjà mine de m’en retourner, me rappela : — Attends! Il y a ta Maîtresse qui m’a dit de te redonner ton plug. Tu sais où il se range, parait-il... Il me jeta le plug au vu et au su de tout le monde et s’esclaffa bruyamment. Je ramassai l’objet et courus vers la gare. Il me sembla encore entendre les rires de la foule dans le train qui me ramenait à la maison. Jamais je n’avais été autant humilié de ma vie. Mais une chose est sure : si Maîtresse P. me siffle, j'accourrai comme la petite chienne soumise qu’elle a fait de moi, pour son plus grand plaisir et ma plus grande honte. LE CAUCHEMAR RECOMMENCE Un mois s'était écoulé depuis cette journée mémorable, et je commençais à penser que tout cela n'avait été qu'un cauchemar d'une journée. Cependant, je rêvais toutes les nuit à Maîtresse P et à ce qu'elle m'avait infligé ce jour là, et ne pouvais m’empêcher de me branler dans mes couches trempées. Bien sûr, j'allais régulièrement m'exhiber dans ma tenue de truie pisseuse et offrir mes orifices à quiconque en voulait, mais il me manquait le petit plus d'être dirigé et en quelque sorte poussé que m'avais apporté Maîtresse P. Ce jour la, en ouvrant mon mail "latruiepisseuse@yahoo.fr", j'ai brutalement senti mon cœur s’accélérer en découvrant une convocation de Maîtresse P: Bonjour "pue la pisse" Tu te souviens de moi, j'espère?! Sinon, tu trouveras en pièce jointe quelques photos qui te rappelleront de bons souvenir. J'ai été impressionné par ta performance de l'autre fois et j'ai donc décidé de me servir de tes talents. Tu n'y verras, je pense, aucune objection, n'est-ce pas? Tu te souviens de Moktar? il était au bar, et lui aussi à beaucoup aimé se servir de toi. Aussi, avec son aide, j'ai organisé une petite réunion pour toi dans un foyer d'immigrés, et bien entendu, tu seras l'invité vedette. Histoire de rentabiliser la chose, j'ai demandé une participation symbolique de 1€ à chacun, cette somme comprenant bien sûr ton utilisation sans limite de temps et me permettant du même coup d'arrondir mes fins de mois et de t'acheter quelques tenues qui iront mieux à ta condition. Et je te promets d'ores et déjà, un sacrée week-end ! Bref, tu es attendu vendredi soir sans faute au foyer ** rue de ** 0 **, avec bien sur ta couche non lavée mais sèche et ta culotte plastique et ton cul plugué. Tu te présenteras sous ton nom de "pue-la-pisse" à l’accueil, en précisant le but de ta visite. Ils sont prévenus et on te montrera où te rendre. Comme je sais que tu ne roule pas sur l'or non plus, une voiture passera te prendre à 19h00 précise devant chez toi. Je compte sur toi pour ne pas me décevoir, et si tu te montres à la hauteur de mes attentes, je peux te garantir que tu ne le regretteras pas, bien au contraire, car je te ferai progresser encore et encore, jusqu'à ce que tu sois devenue une bonne truie soumise, comme tu rêves de le devenir, et comme tu l'es déjà au plus profond de toi. Ta Maîtresse Vendredi soir? c'est-à-dire ce soir! Et il était déjà 14h00... J’ôtais rapidement mon lange et mon slip trempé, les essorai sur mon oreiller, comme j'avais pris l'habitude de le faire afin de dormir le nez dans l'odeur de vieille pisse, et les mis à plat sur le rebord de la fenêtre avec la culotte plastique. Heureusement, il faisait beau dehors et le soleil de ce mois de juillet sur la tôle de mon rebord de fenêtre sécherait tout cela très vite. Je passai le reste de la journée nu, devant le PC, à respirer l'odeur de ma couche que me rabattait la brise soufflant doucement à l’extérieur, essayant d'imaginer ce que pourrait donner ce weekend et guettant le moindre bruit qui pourrait m'annoncer le début des festivités. Vers 18h45, bien que pas encore totalement sec, je remis mon slip et mon lange et enfilai la culotte plastique par dessus. Puis je complétais le tout avec un pantalon et un tee-shirt, que j'eus à peine le temps d'enfiler quand la sonnette retentit. Je me précipitai pour ouvrir la porte du bas, et guettai qui allait monter. Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre le bruit de deux pas distincts, dont celui d'une paire de talons, reconnaissable à leur bruit caractéristique. Une minute plus tard, Maîtresse P se tenait devant moi, accompagnée de Moktar. À peine entré, Maîtresse sourit, puis se bouchant le nez, me dit: — Hé ben dis donc, ça pue la vieille pisse ici, tu ne trouves pas Moktar? — Oui, en effet, je reconnais bien là la truie de l'autre soir, et à propos de pisse, je me viderai bien la vessie. — Je t'en prie, mais comme elle doit être sèche pour ce soir, impossible de lui remplir la couche, il va falloir trouver autre chose. — Pas de soucis, je vais me soulager sur son lit, je suis sûr qu'elle adore dormir dans des draps pisseux, à voir l'auréole qui le décore. — Très bonne idée, et si tu le permets, je vais prendre des photos, ce sera excellent pour son press-book! Aussitôt dit, aussitôt fait, Moktar sortit sa bite et arrosa copieusement ma literie pendant que Maîtresse P, assis sur mon oreiller, en faisait autant au travers de sa petite culotte, tout en prenant des photos. Une fois soulagé, Moktar me mit sa bite en bouche, et je le suçais avec plaisir sous les yeux de Maîtresse jusqu'à ce que de longs jets de sperme chauds viennent s'ecraser sur mon palais. Maîtresse prit quelques clichés de ma bouche remplie de sperme, ôta sa petite culotte, puis me la plaçant sur la tête, entrejambe plaquée sur ma bouche, précisa: — Tu vas rester ainsi jusqu'à ce qu'on arrive, et pas question d'avaler le foutre de Moktar avant qu'on ne te le dise! C'est bien compris, pue-la-pisse? Malgré le sperme de Moktar qui stagnait dans ma bouche, je réussis à dire: — Oui Maîtresse, comme il vous plaira, j'ai été heureux de sucer Monsieur Moktar et ce sera un honneur de garder sa liqueur en bouche. — Bien, maintenant, tu enlèves pantalon et tee-shirt, et tu nous suis. — Mais Maîtresse, je ne peux pas sortir ainsi, si on me voyait? Le regard que me jeta Maîtresse suffit à m'ôter toute forme de récrimination et j’obtempérai sans discuter plus avant. Et c'est donc simplement vêtu de ma tenue de truie pisseuse que je les suivis dans l'escalier, puis dans la rue jusqu’à la voiture. Heureusement, cette dernière était garée juste devant le porche et Maîtresse ouvrit le coffre, me faisant comprendre d'un signe que c’était là que je devais monter. La voiture démarra et, dans le noir absolu, il ne me restait plus qu'à attendre. Au bout, d'une éternité, la voiture ralentit puis s'immobilisa. Le coffre s'ouvrit et mes yeux, un moment éblouis par la lumière, distinguèrent la cimes d'arbres autour de moi. Je pensais de prime abord à un parc puis, une fois sorti du coffre, je m’aperçus qu'il s'agissait en fait d'une aire de repos sur une autoroute puis la voix de Maîtresse: — Dehors, pue-la-pisse, Moktar a besoin de se soulager et moi de me dégourdir les jambes! Toi, tu mets cette pancarte autour de ton cou, et tu vas attendre sagement à genoux devant les urinoirs. La pancarte en question, un simple bout de carton percé de deux trous dans lesquels passait un lacet, affichait un texte en grosse lettres marquées au feutre noir: Truie pisseuse, à arroser au foutre et à la pisse à volonté. Sa bouche est déjà remplie de sperme, vous pouvez bien sur y ajouter le vôtre, mais elle ne doit en aucun cas l'avaler. Son cul est par contre à votre entière disposition, libre à vous de l'utiliser à vôtre convenance. Lorsque Maîtresse me récupéra, près d'une demie heure plus tard, elle me trouva la couche sur les chevilles, le plug et sa culotte traînant dans l'urinoir, le cul béant, dégoulinant de foutre et de pisse sur tout le corps, la bouche remplie à ras bord du sperme de ces inconnus qui s'étaient vidés dedans. Pas moins de 10 hommes avaient ainsi abusé de mon corps durant ce court laps de temps. Maîtresse me fit me rhabiller, remettre le plug en place et la petite culotte sur ma figure puis, avant de retourner dans le coffre de la voiture, m'ordonna de laper l'urine de la rigole à travers le fin tissu de la culotte déjà bien mouillée afin, dit-elle, de me réhydrater pour le reste du voyage. J’obéis, tandis qu'elle reprenait quelques clichés. Puis le voyage reprit. Enfin, nous sommes arrivés à destination, le coffre s'ouvrit une nouvelle fois sur un ciel rougeoyant, il devait être près de 22h00. Maîtresse me fit sortir du coffre et me montra du doigt le bureau de l’accueil. Je m'y dirigeai d'un pas rapide, sentant les regards concupiscent derrière les fenêtres aux rideaux opaques. Comme Maîtresse l'avais précisé, je me présentai au bureau de l’accueil et annonçai: — Bonjour, je suis pue-la-pisse, la truie soumise de Maîtresse P, et je suis envoyé par elle afin de servir de jouets aux résidents durant ce week-end! — Oui, en effet, mais parle plus fort et plus clairement, on ne comprend rien à ce que tu dis. Ah oui, c'est vrai, tu as une petite culotte pisseuse sur la tête et la bouche pleine de foutre, j'avais oublié, mais on va arranger cela tout de suite. Il ôta la culotte qui me couvrait le visage avec deux doigts et une moue dégoûtée, me la fourra dans la couche puis me tendit un verre et je fus heureux de pouvoir vider ma bouche du jus salé et épais qui y stagnait depuis mon départ. Je reformulai ma présentation. À peine avais-je terminé que Maîtresse P fit son apparition, tenant à la main un collier de chien et une laisse. Dans le hall, derrière moi, des hommes étaient présents, visiblement au courant de ce qui se passait car plusieurs d'entre eux avaient dejà sorti leur sexe et se masturbaient doucement. Ignorant leur présence, Maîtresse P me tendit le verre et me dit: — Je vois qu'Ahmed a pensé à te faire vider la bouche! Il est vrai qu'il n'est pas facile de parler avec la bouche remplie à ras de foutre. Tu peux à présent vider le verre, ça te donnera des forces et un avant-goût de ce qui t'attend. — Oui! Avale bien tout, et tourne toi que mes amis voient à quel point tu adores boire le jus de couilles de mecs que tu ne connais même pas! — Et après tu en profiteras pour les soulager, je suis sûre qu'ils apprécieront tes talents de pipeuse, puis tu suivras Ahmed, il te montrera ta place pour le week-end à venir. Elle me mit le collier autour du cou, y fixa la laisse et me tira vers le premier homme. Je m'agenouillais entre ses jambes et pris son sexe en bouche. Il sentait fort la sueur et l'urine, et n'avais pas du voir un savon depuis plusieurs jours. Je fermai les yeux et le suçai cependant avec plaisir, passant de son sexe à ses couilles, alternant de petits coups de langue avec des gorges profondes. Les autres hommes s'étaient regroupés autour de nous et des mains inconnues me flattaient la couche, sous les commentaires salaces : — La salope, on voit qu'elle aime sucer de la bite d'arabe ! — Oui, je suis sûr qu'elle a hâte qu'on lui remplisse la couche de pisse. — C'est sûr, et on va pas que s’arrêter à sa couche, on va lui en remplir le cul et l'estomac. — Oui, la pisse, c'est excellent pour digérer le foutre, parait-il. — Surtout, les truies de son genre, ça doit adorer cela, mariner dans la pisse et en avaler jusqu'à plus soif ! Ces mots provoquaient en moi une excitation sans bornes, et je m'efforçai à paraître aussi chienne que possible, ondulant des fesses, cambrant les reins, invitation sans doute possible à être avili encore plus que je ne l'étais déjà. Le message passa parfaitement, et alors que je sentais une main écarter l’élastique de ma culotte plastique et un liquide chaud couler entre mes fesses, l'homme dont je suçais la tige me prit par les cheveux, et me tirant la tête en arrière, arrosa ma figure de long jets de sperme chaud. Alors que je nettoyais consciencieusement le sexe à présent ramolli qui venait de me tartiner la figure de son jus, je reçus une rasade de pisse qui me surprit et qui faillit m’étouffer. Le temps de me ressaisir, une flaque jaune s'était formée sous moi, mais cela ne semblait nullement gêner les mâles présents dont la seule préoccupation du moment était d'abuser de moi sans limite. Une fois sa miction terminée, l'homme me prit la tête et me la frotta sur le sol : — Lèche, salope, et qu'il n'en reste pas une goutte, ou on va t'apprendre à gâcher de la pisse ! Et tandis que je lapais la flaque odorante, les autres hommes s'amusaient à me pisser dessus, augmentant la taille de la mare pisseuse, que je ne finissais pas de boire. Parfois, l'un des hommes interrompait ma tâche pour venir se faire sucer et éjaculer de longues traînées blanchâtres sur ma figure avant de m’écraser la figure au sol du pieds, afin que je continue l'infâme nettoyage. Enfin, lorsque Maîtresse jugea le sol assez propre, elle me mit à quatre pattes, et m'emmena en laisse vers le fond du couloir. La, se trouvait une pièce meublée d'un panier en plastique, genre caisse pour gros chien, garni d'un vieux coussin et d'une couverture miteuse. Au mur, était fixé un gros anneau en métal. Maîtresse P fixa la laisse à l'anneau à l'aide de cadenas et m'ordonna de prendre place de le panier. Puis, avec un sourire ravi, elle se positionna au-dessus de moi et m'arrosa de son divin champagne intime. À nouveau des photos, puis elle me dit: — Voila, c'est ici que tu va passer les prochains jours, à dormir dans la pisse et à te faire saillir chaque fois que quelqu'un aura envie de tes trous. Je passerai te voir régulièrement, mais tu penses bien que ta condition m'importe peu, ce qui compte, c'est le fric que tu vas me rapporter. Pour ma part, je vais profiter de ce week-end pour me faire sauter par de vrais hommes, pas des pue-la-pisse comme toi. Mais comme je suis gentille, je te permettrai de faire ma toilette intime avec ta langue de temps en temps, et bien sûr, tu me serviras de W.C. personnel à chaque fois que cela sera nécessaire. Je te souhaite bonne nuit, pue-la-pisse, et à demain ! Elle quitta la pièce, alors que déjà le premier homme arrivait. Sans un regard pour moi, il sortit son sexe et se soulagea dans mon panier, avant de me le donner à sucer et de jouir au fond de ma gorge. Il n'avait pas prononcé un seul mot. Le reste de la nuit se passa ainsi, de courts moments de sommeils entrecoupés par l'arrivée de l'un ou l'autre, chacun choisissant de tremper ma couche culotte, d'arroser ma literie, ou de me faire boire son urine directement. Certains s'amusaient à me faire boire le jus de mes couches en me forçant à les enlever pour les essorer directement dans ma bouche avant de me les faire remettre, mais tous me remplissaient la gorge et le cul de quantités de foutre épais, me couvrant d'insultes et me rabaissant comme j'aimais l'être, me rappelant que quand on s'appelle pue-la-pisse, ce n'est pas par hasard. Le week-end était prometteur...  LE WEEK END AU FOYER Je me réveillais ce samedi matin, baignant dans une mare de pisse et de foutre mélangés,ma couche pisseuse sur la tête après m'être fait gaver tous les orifices une bonne partie de la nuit. Le dernier homme m'avais fait ôter ma couche totalement trempée et me la fait mettre sur la tête, en guise de bonnet de nuit, dit-il, avant de partir se coucher, non sans se vider la vessie directement dans ma couche, ajoutant son urine chaude et odorante à celle de tous les autres mâles qui avaient défilés se soir là. Je me rappelais la soirée du vendredi, toutes les humiliations subies ce jour là, lorsque Maîtresse apparue dans l'encadrement de la porte. Elle me regarda avec dégoût, en se bouchant le nez, puis s'approcha de moi, posa ses longues jambes de chaque cote de ma tête, m'offrant au passage une vue magnifique sur son triangle d'or magnifiquement entretenu, et urina directement à travers sa petite culotte, avant de me faire remettre ma couche et me permette de la lécher et d'aspirer les liqueurs intimes. Puis elle me mit mon collier, ôta sa culotte qu'elle me fourra en bouche et tira un coup sec, m'intimant par là l'ordre de la suivre à quatre pattes. Nous traversons le foyer, sous les quolibets des mâles présents, dont la plupart m'ont baisé tous les trous à plusieurs reprises durant la nuit passée:     "-Mais c'est notre grosse truie pisseuse!!     - Alors salope, bien dormi dans la pisse?     -Quelle chienne, je lui ai bourré le cul et la gueule au moins cinq fois, et elle en redemandait     -Pareil, cette salope n'en a jamais assez, il lui en faut tout le temps plus     -Ne vous inquiétez pas, elle va encore servir toute la journée, mais je lui ai préparé une journée qu'elle n'est pas prête d'oublier" Alors que Maîtresse prenait son temps, laissant les mains tâter ma couche, s’arrêtant de temps à autre pour me faire laper la pisse qui dégoulinait entre mes cuisses et laissait une traînée odorante sur le sol, j'eus la surprise de voir débarquer le SDF qui m'avais déjà humilié lors de ma première rencontre avec Maîtresse. Il se dirigea vers Maitresse, lui glissa quelques mots a l'oreille, puis sans autre considération, pissa sur le sol devant moi et m'appuya du pied sur la tête afin que je lèche le sol. Une fois la flaque nettoyée, il m'enfonça dans la gorge une bite qui n'avait visiblement pas été lavée depuis plusieurs semaines, à l'odeur forte de vieille pisse et de sueur, auquel se mêlait un relent de fromage à vous soulever le cœur. Je m’appliquais néanmoins à bien la sucer, prenant plaisir à la sentir enfler entre mes lèvres, me régalant de ses gémissements de plaisir, jusqu’à ce qu'il me décharge de longs jets de foutre épais au fond de la gorge et se retire sans un mot. Je montrai ma bouche emplie du sperme de ce clochard à Maîtresse, qui sourit et me dit de le garder en bouche jusqu'à ce qu'elle me dise de l'avaler. Elle me conduisit ainsi jusqu’à une vieille cabane, dans laquelle m'attendait le surprise du jour : Une douzaine de SDF, hommes et femmes réunis, dont la plupart avec leur chien, attendaient la, certains avaient deja le sexe à l'air, d'autres se caressaient à travers leur pantalon crasseux. Maitresse me poussa à l' intérieur, et annonça:     "-Voici la pute gratuite que je vous avais promis, elle est à vous pour la journée entière.     -Elle suce, lèche, avale foutre, mouille et pisse, et adore se faire défoncer le cul.     -On peut lui remplir la couche, à cette truie aussi, madame?     -Bien sur, faites en ce que vous voulez, il n'y a aucune limite à ce que cette chienne ne fasse, du moment qu'on l'humilie, elle est contente     -et pour les chiens? on fait quoi?     -C'est une chienne, elle suce aussi les chiens et se fait saillir sans aucun problème     -Super, je sens qu'elle va passer une journée d'enfer cette salope, merci Madame     - de rien, et comme dit, ne vous gênez pas pour l'insulter et l'humilier, ça l’excite cette truie. Et comme elle est diffusée sur grand     écran dans le foyer, ce sera mieux pour tout le monde. Maîtresse n'avait pas fini de refermer la porte que déjà une femme m’arrachait ma couche et me la faisait lécher, sous les rires gras de l'assemblée. Les Chiens, excités par l'odeur qui régnait dans la pièce, commençaient à se faire aller, sur mes jambes, encouragés par la foule.     "-C'est vrai que cette chienne les excite, faut pas laisser ces pauvres bêtes dans cet état     -t'as entendu, la salope, allez ! à quatre pattes et tends bien ton trou à foutre!     -oui, et avale le foutre que tu as dans la gueule, que tu puisses les sucer en même temps!!     -Quand ils en auront fini avec toi, c'est nous qui nous occuperons de tes trous, on va te les remplir à t'en faire déborder" Ainsi fut fait, et durant près de deux heures durant, je fus sailli sans répit, et obligé de sucer ces sexes canins. Bientôt, je débordais et l'estomac au bord des lèvres, gavé de sperme de chien, un filet blanchâtre et continu s’échappait de mon cul ouvert, alors que parfois l'une ou l'autre de ces dames venait se soulager sur mon corps, et se servait de ma couche pour me frotter sous toutes les coutures. L'idée que l'on me voit, ainsi rabaissé plus bas que terre m’échauffait au plus haut point, et c'est moi même qui à présent venait m'offrir aux animaux excités, allant et venant de la bouche sur leur sexe, cambrant les reins sous leurs assauts. Une fois la meute calmée, c’était à présent aux hommes et aux femmes de m'utiliser, et ce fut une succession de chattes puantes et de sexes fromageux qui se succédaient à présent entre mes lèvres et dans mon cul, tassant sans ménagement le sperme que les chiens avait laissé au fond de mes intestins, certains en profitant pour m’administrer un lavement à la pisse. Maîtresse avait du faire courir le bruit de ma mise à l'abattage, car les SDF n’arrêtaient pas de défiler, et ma journée se passa ainsi, violé en continu parfois par des chiens, parfois par des mâles ou des femmes, mais toujours sous les insultes les plus crues que l'on puisse imaginer. Enfin, en fin de soirée, Maîtresse vint me récupérer et me ramena à mon "écurie", ou les locataires du foyer, excités toute la journée par la vision de mon avilissement, furent à nouveau nombreux à me fourrer les trous au foutre et à la pisse. Je finis par m'endormir, alors même que le ballet incessant des sexes continuait à me ramoner. Même les nombreux jets de pisse ne parvenaient plus à me réveiller, mais par réflexe, j'ouvrais la bouche sous la douche jaune et chaude, avalant de ci de la une gorgée de ce nectar, m'abandonnant aux assauts de ces mâles en rut comme une poupée, toute honte bue, savourant cette vie dont j'avais tant rêvée  
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Par : le 22/01/23
Quand tout a débuté, nous étions trois on s'est réinventés à deux. Quand les sentiments s'en sont mêlés, ces sentiments que l'on a tant voulu niés, on s'est réinventés. Quand on a du composer avec le quotidien en plus de notre relation bdsm on s'est réinventés. Quand deux petits ont liés nos destins à jamais on s'est réinventés. Alors, aujourd'hui que mon physique décide de me mettre, de nous mettre des bâtons dans les roues je te le promets on se réinventera.....  
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Par : le 20/01/23
Approche, ose Te coller contre moi Sentir ta queue contre ma hanche Sans mes talons je suis petite tu vois Semi-molle semi-dure Entre deux mers tu sais Le calme et la violence Plus fort touche-moi Je veux la sentir bander contre moi Laisse-moi, prends ce risque De mes doigts malhabiles Te décintrer Tomber ton pantalon Apprécier ta surgescence La caresser Appuie sur mon épaule Abaisse ma tête A quatre pattes A ta merci Ravie Me retrouver à genoux Entre tes jambes Me délecter de la vue De ta Queue tendue Mes mains qui frôlent Ma bouche qui cherche Ma langue pendante Ma chatte qui mouille Mes cuisses qui s’écartent Mes doigts saisissent ta Queue Pour te branler doucement Ma bouche s’approche Je me joue de ton gland Ma langue vient gouter ton odeur Ma chatte dégouline déjà Je te prends en bouche Quelques va-et-vient Et tes mains viennent S’accrocher à mes cheveux Tu tires Tu tends Tu marques le rythme Tu t’enfonces dans ma gorge Profond, au plus profond Je déguste, déglutis Etouffe, bave Je reprends mon souffle Laissant couler ma salive Sur ta belle Queue Délicieusement dressée J’ai envie d’encore te gober Même si ma respiration halète Je te veux Dans mon palais Jusque ma luette Bâillonne-moi de ta Queue Suffoque-moi Fais-moi monter les larmes aux yeux Suscite en moi des torrents de salive Qui refluent Engloutie moi de ton désir Immerge-moi de tes râles Jusqu’au souffle coupé Des lames foudroyantes De feu ardent Perlent de mon sexe Sur le parquet Ta Queue enrobée de ma bave Sublime turgescence Vient gaver mon gosier Comblant ma jugulaire Taquinant mes cordes vocales Je gémis Tu m’encourages M’excitant encore plus Tu tires ma crinière En arrière Me regardant Saliver, respirer Reprendre une bouffée Le regard crie encore Le maquillage s’écroule Mes lèvres restent ouvertes Laisse-toi aller Hasarde-moi Tente-moi Abuse-moi Je suis pantin A tes cordes d’envies Le métal fusion A ta Queue aimantée
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Par : le 20/01/23
Pour se détendre avec humour parce que c'est pas parce qu'on est dans le BDSM pour coller des gifles et des fessées qu'on doit se priver de rigoler un-peu, voici quelques Dominants assez célèbres au cinéma.   King-Kong (King-Kong) Assez calin, genre grosse peluche. Enfin, très très grosse peluche, même. Il a également de la poigne, du doigté et du poil au menton (et un peu partout, en fait.). Ce qui en fait un homme, un vrai ! Il aime la vie au grand air et courir tout nu dans les bois. Spécialité(s) : Cordes, Shibari   La bête (La belle et la bête) D'humeur assez changeante, certains matins peuvent être assez pénibles. Il a également tendance à sortir la nuit pour manger des animaux tout crus et comme il ne connais toujours pas le dentifrice, ça reste un peu un problème... Cependant, il s'efforce de protéger sa prisonnière de tous les dangers extérieurs : les animaux aussi sauvages que lui, les voisins, le facteur, les amis, la famille, l'aide humanitaire, etc. Spécialité(s) : Griffures et morsures, Knife Play, Blood Play   Terminator, modèle T800 (Terminator) Fonctionnant sur piles (très) longue durée, il ne laisse JAMAIS tomber la personne qu'il protège. Cependant c'est du courant alternatif et il peut disparaître du jour au lendemain et réapparaître des années plus tard sans que vous sachiez ni comment ni pourquoi. Mais quand il est présent, il ne vous lâche plus d'une semelle et vous n'avez absolument pas le temps de vous ennuyer. Il vous change la vie... et le monde aussi. Spécialité(s) : Fusil à pompe.   Xenomorphe (Alien) Parle peu mais bave beaucoup. Assez collant et très gluant, avec une assez furieuse tendance à vouloir engrosser tout ce qui bouge (homme, femmes, chiens, etc.), adepte de l’échangisme et des orifices en tous genres, très peu porté sur la fidélité et l'hygiène. De plus, sa soumise ne sert généralement qu'une seule fois... Spécialité(s) : Gorge (très) profonde et césariennes foireuses.   Lord of Darkness (Legend) Très théâtral et sachant parfaitement soigner son entrée, il impressionne par l’ampleur des moyens qu'il met en œuvre pour captiver sa soumise : si il veut fermer la lumière, il éteint le soleil ; Si il veut manger un steak, il capture une licorne ; Si il veut un petit chez-soi avec sa belle, il s'offre un royaume. D'un caractère assez fougueux, il voit souvent rouge. Spécialité(s) : hypnose.   Jabba the hutt (Star Wars) Un autre Dominant très collant et très gluant. Ce magnifique corps d'athlète est aussi celui d'un riche homme d'affaire très influant qui sais toujours très bien s'entourer et placer sa soumise en bonne vue. Dans l'intimité, sa grosse langue très agile remplace admirablement tout le reste qui est beaucoup moins agile. Spécialité(s) : Cunnilingus.
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Par : le 20/01/23
  Il y a six mois que le renouvellement de mon serment d'allégeance a eu lieu , il est donc temps de relater cet évènement .   Ce projet avait commencé par le constat de l'estompement inéluctable de la marque au fer rouge que Lady Gabrielle avait gravée dans ma chair en 2010. En outre elle n'appréciait pas l'usure de notre relation BDSM .Elle trouvait que cette relation devenait trop << vanille >> . Elle avait donc émit le désir de remettre nos rôles dans le bon ordre .Elle me trouvait un peu trop << brat >> si je peux employer cette expression pour ce qui me concerne . Il me faut bien avouer que je suis un soumis quelque peu rebelle .   Lady Gabrielle avait donc décrété qu'il me fallait réitérer mon serment d'allégeance envers elle au cours d'une cérémonie durant laquelle je serai , une nouvelle fois , marqué au fer rouge de son initiale . J'éprouvais depuis quelques temps le fantasme de subir à nouveau cette << flétrissure >>. Mais d'entendre les premières paroles annonçant sa concrétisation m'emplissait , immédiatement, d'un stress que je ne connaissais plus depuis longtemps .   L'organisation de la cérémonie du marquage mûrit tranquillement à l'intérieur même de nos fantasmes pour aboutir au 2 juillet 2022 . Après moult recherches nous découvrîmes le lieu idéale à tous points de vue pour célébrer cet événement : la maison d'un couple tout à fait charmant , Lux et Ivy . Leur maison sise près de Bézier est entourée d'un magnifique petit parc végétalisé qui dispense une ombre agréable et fort bien venue par les chauds après midi d'été particulièrement en cette année 2022 qui connu une terrible canicule . Ce parc entouré de hauts murs , planté de bosquets de buis , de figuiers , de chênes , de catalpas et autres essences ménageant de nombreux recoins invitent à l'intimité , aux jeux sensuels en toute discrétion et a fortiori aux jeux BDSM .   Avec le maître des lieux , nous installâmes différents agrès et meubles de tourments dont un grand nombre fût prêté par les propriétaires d' un club privé SM de la région . Il y avait là , croix de Saint André , pilori , banc à fesser , cage de compression en lanière de cuire , cage en métal , barres en bambou etc . Le tout disséminé dans les espaces aménagés dans la végétation . Et tous ces petits espaces étaient subtilement éclairés conférant au parc une ambiance mystérieuse . Sous les ordres de Lux nous l'aidâmes à monter un chapiteau sous lequel nos invités purent dîner d'un buffet d'entrées d'été , d'une salade piémontaise d'anthologie confectionnée par Lux en personne , d'un << rougaille saucisse >> , spécialité réunionnaise , cuisiné par Ivy la charmante hôtesse de la maison . De nombreuses bouteilles de vin de la région étaient à la discrétion des convives mais les boissons soft eurent plus de succès en raison des fortes chaleurs .   Nos invités commencèrent à arriver aux alentours de dix neuf heures . Tous ces gens charmants avaient fais d'énormes efforts d'apprêts vestimentaires et de maquillage . Avec un petit discours Lady Gabrielle porta un toast de bienvenue à chacun et à chacune .   Il était vingt trois heures quand arriva enfin la cérémonie de mon marquage . J'attendais avec une appréhension grandissante ce moment . Lady Gabrielle , ses deux assesseurs et moi même tenu en laisse arrivâmes en procession . Lady Gabrielle prononça une petite oraison en préambule à cette célébration pour expliquer son désir de réaffirmer son autorité sur son mari soumis .     Ses assesseurs étaient vêtus d'aube blanche . L'un portait sur un coussin , le fer représentant un G majuscule qui après avoir été chauffé me marquera et l'autre portait un petit coffret où se trouvaient les anneaux de notre union BDSM . Lux entra dans le rôle de maître de cérémonie pour nous inviter à procéder à l'échange des alliances , en prononçant lui aussi une petite oraison . Puis vînt le moment où je réitérais mon serment d'allégeance.   En voici le texte :     Lady Gabrielle , il y a maintenant 17 ans que vous m'avez demandé d'être votre soumis .   Le 31 juillet 2005 j'ai accepté . Depuis ce jour je vous appartiens sans possibilité de retour en arrière pour ce qui me concerne .   J'étais au crépuscule d'une vie terne , vous avez fais de ce crépuscule une aube claire . Vous avez su voir dans le brouillard de mon existence , de la votre aussi , la lueur qui éclairerait notre relation .   Depuis le jour où nous nous sommes rencontrés , je vois le monde d'une autre façon .   Depuis le jour où vous m'avez choisi , je n'ai plus de sentiments que pour vous .   Depuis le jour où je suis devenu votre jouet sous votre fouet , mon désir d'appartenance s'est réalisé .   Toutes ces raisons et tout ce que nous avons vécu depuis ce 31 juillet 2005 m'ont convaincu que le bonheur existe , que ce n'est pas une vue de l'esprit .   C'est pourquoi en ce jour du 2 juillet 2022 je réitère mon serment d'allégeance envers vous . Vous savez que vous êtes propriétaire de mon corps et de mon esprit pour le temps qu'il vous plaira . Je souhaite , désormais , qu'il en soit ainsi jusqu'à ce que la mort nous sépare .     Lady Gabrielle , je suis prêt à recevoir , une nouvelle fois , votre marque .       Après ma prise de parole je m'installais en prenant appuie sur un chevalet en bois pour attendre ma << flétrissure >>. L'un des assesseurs me banda les yeux tandis que l'autre me débarrassait de ma cape noire dont j'étais vêtu . C'était donc nu et libre de toute entrave que j'attendais dans l'anxiété . J'avais formulé le voeux de n'être ni attaché ni contraint d'aucune façon pour subir cette épreuve . Lady Gabrielle avait accédé à ma demande énonçant ses propres exigences : je ne devais ni bouger ni gémir ni crier sous la douleur . Je devais rester impassible et stoïque . Après un temps qui me parut une éternité , le ronflement du chalumeau chauffant le fer se fit entendre. Le ronflement cessa , Lady Gabrielle prononça des paroles dont je n'ai aucun souvenir en raison de la concentration de mes pensées à ce moment là . Enfin elle appliqua le fer chauffé à blanc sur ma chair au dessus de ma fesse gauche . Je n'émis aucun son mais je fus pris d'un réflexe irrépressible , je fléchissais les genoux au moment du contact du fer . Ce réflexe m'emplit aussitôt d'une grande déception : je n'avais pas obéi aux ordres de Lady Gabrielle . Dans un effort de volonté je reprenais ma position initiale , Lady Gabrielle appliquait une deuxième fois le fer exactement au même endroit sur mon corps et le laissait les trois secondes nécessaires au marquage .           Quelques instants plus tard , dans un semblant de retour à la réalité , je me prosternais , à genou, aux pieds de ma Maîtresse , démontrant mon incontestable , si cela était encore nécessaire , soumission envers elle .     Plus tard le sentiment de déception s'estompa car je m'étais remis en position et le temps de contact du fer avait été quasiment doublé . Surtout Lady Gabrielle exprima sa fierté devant le fait que je n'avais émis ni gémissement ni cri .       Durant la soirée nos invités nous avaient offert des cadeaux : fouet , baillon boule , bandeau aveuglant, meuble plug . . . etc etc etc . Lady Gabrielle se fit un point d'honneur à essayer tous ses nouveaux joujoux . Elle fût bientôt imitée par les participants à cette soirée qui se disséminèrent dans le parc profitant des bancs à fessée et autres agrès de tourments .   Inutile de dire que la nuit fut longue à devenir demain . Berny de Lady Gabrielle
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