La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 23/02/21
Je suis à ses pieds  depuis quelques heures déjà.  Maîtresse m’entraîne au fil de la soirée dans ses envies. Elle me gave d’eau, reprise d’un défi qui ne l’avait pas entièrement satisfaite. Elle me remplit en jouant avec ma bouche et le goulot de la bouteille et s’arrange bien pour que j’en laisse échapper par terre. Le plaisir de me voir  nettoyer peut-être ou tout simplement  celui de m' embêter... Elle achève également notre défi dilation en cours. Mon cul se retrouve bien dilaté après cela. Sacrée soirée soit dit en passant...  Elle décide alors  que c'est l' heure que j' aille à la niche,  va me chercher un pyjama 2 pièces de fille, chemisier et culotte soyeuse. C’est en Sissi,  accrochée à sa laisse  que Maîtresse me veut pour la nuit.  J’ai encore ingéré quelques litres d’eau avant de me retrouver dans une  chambre au pied du lit. Maîtresse se régale de me voir comme cela à sa merci. Elle me montre ma couche, sommaire, 2 coussins à côté du lit mais elle prend soin de m’apporter une couette salutaire. Ma laisse est vite attachée au pied du lit. Mon rayon d’action est plus que limité. Maîtresse a prévu un petit seau destiné à mes besoins exacerbés par le gavage. Elle le place à la limite, je peux à peine le toucher. Je me retrouve vite agenouillé au bord du lit à subir une  sodomisation bien  profonde. Je gémis mais Maîtresse m’intime le silence , bientôt seulement rompu par sa forte jouissance.  Satisfaite, elle quitte la chambre, sans oublier de repousser encore un petit peu plus le seau, et m’abandonne dans le noir. Je me débrouille tant bien que mal à regrouper ma litière. Je ramène le seau vers moi en tirant fortement sur ma laisse et en tendant la jambe. Maîtresse doit se régaler en pensant à comment je dois me contorsionner pour soulager ma vessie. Enfin, je réussis à me soulager dans ce maudit seau. Ce ne sera pas la dernière fois. Couché, la pression retombe lentement, je m’imagine pouvoir m’endormir après cette soirée épuisante, je m’assoupis légèrement mais bientôt j’entends Maîtresse revenir. «A genoux au bord du lit et vite, tends moi ton cul» me lance-t-elle autoritairement Elle m’encule à nouveau profondément. Le rythme s’accélère, Maîtresse s’emballe, j’aime même si c’est douloureux. Maîtresse jouit autant de me limer que de la surprise qu’elle m’a faite. Pour preuve, Elle  me retourne sur ma couche. Elle m’enfile son gode dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. Je suis sur un nuage, le cœur affolé. Le gode force ma bouche, tour à tour gonfle mes joues, m’impose des gorges profondes appuyées. Je suis sa pute, elle est Ma Reine qui vibre  de  ma totale soumission. Maîtresse retourne à ses occupations sans oublier de repousser discrètement mon petit seau, j’imagine son sourire narquois. «Bois encore me lance-t-elle à travers la porte, c’est bon pour ta santé».  J'obéis. Je rassemble à nouveau ma couche , ferme les yeux. La porte s'ouvre et je passe à nouveau à la casserole et Maîtresse repart.  Juste le temps de me calmer et de remplir un peu plus mon seau, la porte s’ouvre à nouveau. Je suis aveuglé par la lumière du couloir mais cette fois, Maîtresse  n'entre pas. Je reste en suspens dans ma tête. Pas le temps de comprendre, Maîtresse revient silencieusement et me surprend dans mon désarroi. Je décèle ce petit sourire qui lui va si bien Elle m’enfourne le gode au fond de la gorge. Ma langue le lubrifie et elle me l’enfonce encore plus profond. J’éructe et Maîtresse le ressort habilement pour ne pas m’étouffer M'étale  de la bave sur mes joue avec son gode. Elle est toujours aussi excitée. Mon trou en prend encore un max. Il est bien dilaté et ça rentre facile. Je suis sodomisé, violé dans tous mes trous par ce gode que Maîtresse anime avec passion. Je suis humilié et Maîtresse jubile en prenant son pied. Mon slip qui ne reste pas longtemps en place  est sur mes chevilles, je l’enlève et me retrouve le cul à l’air près à servir. Je ne compte plus le nombre de fois où je me fais enculer, où je suce ce gros gode. Je ne suis plus qu’une pute qui se fait défoncer la chatte. Couché, je regarde la porte et guette le filet de lumière qui va se glisser en dessous quand Maîtresse reviendra à la charge. Elle me déstabilise comme pas possible ; elle allume et ne vient pas, me tangue à travers la porte,  entre par surprise sans avoir allumé, repart en me laissant en lévitation. Je la sens joueuse et prête à jouir dès qu’elle le décidera. A peine le temps d’évacuer l’adrénaline que Maîtresse est déjà dans mon cul. D’un côté je redoute et de l’autre je ne souhaite que cela. Mon cul est devenu un garage pour sa bite.  A force, je me mets en position avant qu’elle ouvre la porte. Maîtresse me traite alors  de salope et je suis heureux. Je lui appartiens au plus profond de moi. A chaque fois, elle atteint des sommets de plaisir. Pas le droit de gémir, ça lui est réservé et elle ne s’en prive pas. Ne pouvant s’en empêcher, Maîtresse relève mon haut de  pyjama et me laboure le dos. C’est sensible car ce n’est pas la première fois aujourd’hui. L’excitation monte encore d’un cran. Je tends encore plus ma chatte en direction de ce gode comme si ses griffes m'imposait cette position. Ses cris, ses gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle s’offre. Couché sur moi au plus fort de l’excitation, je sens sa douceur. Et si elle restait là ? Je me transformerais en futon.Ça serait si bon... Et non, elle se relève, me met au sol sur le dos, la tête au-dessus du seau, sa douche dorée vient remplir ma gorge comme la récompense ultime. Elle me dit d'avaler au fur et à mesure. Je m' applique  pour ne rien perdre du liquide divin. J’aime son goût, sa chaleur. Je déguste cette urine que Maîtresse me déverse précautionneusement pour me laisser le temps de tout avaler. Puis Elle repart ... Maîtresse revient  ... Mais d’où lui vient cette énergie, jamais elle ne dors pensais-je. Pas possible, elle va me transpercer le cul. Jamais je n’aurais imaginé être baisé aussi longtemps. La nuit n’en finit pas.  Je passe par tous les états, là , au plus bas sur ma couche puis dans l’instant qui suit au sommet de la jouissance avec ma Maîtresse qui me défonce encore et encore. Je ne fais qu’accompagner ces emballements. Je suis l’instrument de ces jouissances. Maîtresse reviens, force de nouveau mon intimité et avant de partir, me fourre une belle racine de gingembre  épluché dans le cul. Même pas douloureux après tous les ramonages en règle qu’il s’est pris. Cette fois-ci les lumières s’éteignent pour de bon. Je reste encore suspendu à une visite surprise de Maîtresse. Je dors enfin, complètement épuisé. En pointillé car le petit seau se remplit inexorablement. J’éjecte le gingembre sans vraiment m’en rendre compte. Complètement dans le brouillard, j’ai du mal à retrouver mon petit seau que Maîtresse s’est fait un malin plaisir de déplacer à chacune de ses visites. Je pisse à côté, craignant la punition de Maîtresse, je me débrouille pour tout sécher avant qu’elle ne reviennent. Maîtresse m’a expédié sur Mars ! Je suis en orbite autour d’elle Au matin, je l’entends vaquer à ses occupations. Mais elle ne dort jamais ? ... Attaché court au lit, je reste à attendre sa volonté de me rendre ma liberté . Enfin la porte s’ouvre. Elle a toujours son gode ceinture. Pas possible, elle doit dormir avec. «Bonjour Maîtresse» « Bonjour Rnby, ce matin, je t’encule à sec ! ». Waouh, la journée commence fort... De nouveau au bord du lit, Maîtresse force ce trou qui est devenu accueillant même à sec, Elle prend son temps  cette fois, me pénètre en douceur, ses va-et-viens lents commencent à s’accélérer. Je ressens son plaisir qui irrigue mes entrailles. Je m’ouvre comme la fleur au lever du soleil. Ça dure longtemps, jusqu'à ce qu'elle  en jouisse, jouissance à son paroxysme dès le matin.  «Putain que c’est bon de prendre son pied au réveil en baisant son soumis» lâche-t-elle en s'en allant après m' avoir détaché. «Elle est pas belle la vie Rnby ?» Me crie-t-elle  de  l' autre bout de l' appartement. Ma chatte est de nouveau en chaleur. Je coule bien vite comme la petite salope que je suis devenue en une toute petite nuit. Maîtresse a fait un joli tour de propriété depuis hier soir. Je suis sûr qu’il n’y a pas le moindre centimètre carré qu’elle n’ait pas exploré. Elle a réussit à en extraire plein de jouissances. Je rejoins Maîtresse,  une nouvelle journée peut débuter. Je lui prépare  son café, remplis  quelques corvées jusqu'à ce  qu’une nouvelle idée lui traverse l’esprit ... 
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Par : le 09/07/22
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture :wink: ___________________________________________________________ De 2012 a 2015 Je suis en terminale, fraichement célibataire et plutôt déçue du sexe, je ne suis plus autant en quête d'un pénis pour combler ma vie ... Je me réfugie auprès de mes copines et dans mes loisirs choisissant de me concentrer sur mes études pour le BAC en fin d'année ! Il y'a pourtant dans ma nouvelle classe un garçon qui ne me laisse pas indifférente, il a des yeux bleus à tomber, de beaux cheveux mi-longs blonds et il me fait beaucoup rire mais je ne me projette pas dans une quelconque relation pour le moment. Plusieurs garçons me tournent autour ayant appris ma rupture durant l'été et certains se montrent assez grossier en se comparant à Clément, ils sont d'emblés à mes yeux inintéressants en s'y prenant de la sorte mais pensent avoir une chance. Mon Crush discute de plus en plus avec moi par messages, nous avons beaucoup de points communs et une complicité rare, il flirte de plus en plus ouvertement, me complimente souvent le soir sur ma tenue du jour, me dit qu'il va rêver de moi quand il va dormir ... Je m'amuse en retour a lui dire que je suis en pyjama dans mon lit quand je lui parle ou bien que je sors juste de la douche (alors que souvent ce n'est pas vrai), je fais en sorte de lui mettre des images plus ou moins sexy de moi dans la tête pour attiser son désir et voir comment il réagit dans ses messages suivants. Je me caresse régulièrement avant de dormir en l'imaginant se branler en pensant à moi, un soir alors que je me touche pendant que nous échangeons par messages, il me dit le plus spontanément du monde, qu'il me laisse-là car il doit aller se branler avant de dormir et qu'il est tard ! J'hésite entre lui répondre un simple "d'accord, bonne nuit, à demain" ou le chauffer mais ma chatte qui supplie que je continue de jouer avec elle me pousse à choisir la seconde option, je lui réponds alors "c'est moi qui te mets dans cet état ?" Son texto mets quelques instants a tomber ... "Truc de mecs ma belle, faut faire sortir le venin pour bien dormir, n'y voit pas là un rapport avec toi, tu n'es pas le centre du monde" Je le prends un peu mal car il refroidit l'ambiance mais je sais qu'il cherche a me taquiner et me faire parler de sexe ou manifester par écrit une quelconque déception, je m'amuse alors de cet affront et décide de surenchérir ! "Je parie que t'as déjà la main dans le calbar pourtant puisque t'as mis un peu de temps a répondre, pas joli-joli de m'envoyer un message alors que tu secoues Popol !" " J'avoue que j'ai peut-être commencé mon affaire, après-tout je te l'ai dit, il se fait tard et on se lève tôt demain ..." " Ah tu vois, bon garçon j'aime quand tu es honnête, du coup ça se branle sur quoi ?" (Je me frotte le clito comme une folle sur notre conversation quand je ne lui réponds pas et attends son message) " Qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est un peu gênant en plus; tu trouves pas ?" " Oh voilà qu'il fait le timide maintenant, je sais pas, je pensais que t'assumerais puisque c'est toi qu'a commencé a parler branlette !" " Je regarde une scène porno, t'es contente ?" " Ok, quelle genre, petit cochon ?" " Pourquoi tu veux en regarder un aussi peut-être, petite cochonne ?" (Je mouille comme une folle depuis plusieurs messages, il m'excite carrément trop, j'ai envie de lui, de le voir se branler ...) " Qui sait ? Peut-être que je vais m'en faire un petit avant de dormir aussi ..." " Ah ouais, tu regardes des pornos toi ?" " Moi aussi je me caresse souvent avant de dormir pour ta gouverne !" " Charlotte ... T'es en train de carrément m'exciter là, faut pas me dire des choses pareilles !" " De ? Savoir que je me frotte la chatte ça te rends fou ? Y'a pas que les mecs qui aiment le porno et prendre du plaisir avant de dormir" " C'était pas le moment pour me dire des choses comme ça, je me branlais petite idiote, maintenant je t'imagine le faire ..." " Bah justement si je peux aider, je vois pas où est le problème ..." " Ah ça te dérange pas de savoir que je suis en train de me branler en discutant de ça avec toi ? Que tu m'excites ..." " Non au contraire surtout de savoir que ça t'excite est flatteur et puis je fais peut-être la même chose ..." " Jure ?! Tu te touches là ?" " Peut-être, peut-être pas, en tout cas, je t'imagine t'acharner sur ta queue mon cher et ça m'amuse" " Bordel, je viens de finir, tu m'as complétement fait vriller, j'en ai mis partout, je me sens un peu honteux " " Faut pas, ça restera notre petit secret, j'espère que c'était bon en tout cas" " Ok, on fait ça, je te promets d'en parler a personne, j'ai kiffé mais a la fois je me dis qu'on a dérapé, allez bonne nuit la miss" " Yep a demain et y'a pas de mal a se faire du bien, dors bien" Je me caressa encore quelques instants totalement en transe avant de m'endormir avec un peu de remords d'avoir été aussi cru. Le lendemain matin, Thomas arrive dans la cour du lycée, me prends par la main, m'entraine avec lui en me disant qu'il faut qu'il me parle, il me plaque contre le mur derrière les toilettes, me regarde fixement dans les yeux "Je t'aime, petite cochonne" me dit-t-il avec aplomb, je rigole et lui réponds "moi aussi petit cochon", il me roule une pelle des plus intenses en me prenant dans ses bras, je fonds littéralement et tombe inéluctablement folle amoureuse de lui. Thomas et moi étions un couple très fusionnel, il était beau garçon, populaire et très apprécié, je l'étais aussi donc nous devînmes l'un de ses couples stars d'un bahut. Plusieurs de mes copines m'enviait notre relation, plusieurs de ses copains jalousait celui qui profitait de mon corps et ça, pour en profiter, il en profitait ... Thomas fut une révélation, il répara les dégâts de Clément (le précoce) avec lui je redécouvris cette passion que j'avais pour la queue, j'adorais sa bite, l'avoir dans ma main, dans ma bouche, dans ma chatte ! Thomas était endurant, mieux membré, plus sauvage, plus pervers, il me prenait dans toutes les positions, dans plusieurs pièces de nos maisons, à l'extérieur, il avait toujours envie de moi et c'était à chaque fois un réel plaisir que de satisfaire ses besoins ! Le sexe était un fondement de notre relation, on baisait tout le temps, on parlait de cul tout le temps, on était des animaux en ruts qui se découvrent une sexualité et la consume a toute vitesse ! J'adorais le voir en érection, savoir qu'il bande pour moi. J'adorais embrasser son gland, couvrir ses boules de baisers et dévorer son chibre de longues minutes en l'écoutant gémir de plaisir. J'adorais quand il dévorait ma poitrine, bouffait ma chatte et me léchait le cul, sentir son envie pour mon corps. J'adorais par dessus-tout ses coups de reins violents, sa bite raide qui tapait si fort et profondément en moi, la fougue qui le caractérisait et nos parties de jambes en l'air digne des pornos que nous regardions ! Thomas réveilla de nouveau la salope qui dormait en moi, il me rendit accroc a sa bite, au sexe et me déprava ! Totalement en confiance avec ce garçon qui me témoignait tout son amour et tous ses désirs, je me laissais aller et oubliait petit a petit la conception de pudeur, tabous ou limites. Thomas avait instauré une règle dans notre couple, nous devions toujours tout faire pour le plaisir de l'autre et ne rien lui demander que nous ne pourrions faire nous-même ! Si tu m'aimes, pourquoi m'empêcher de prendre du plaisir ou faire ce que j'aime ? C'était un peu son crédo et dans le fond ça se tenait. Je me dévouais a le faire prendre son pied et m'assurer qu'il exprime toutes ses envies et en retour il s'assurait également que je jouisse avant lui et communique sur mon ressenti ou ce dont j'avais envie. Thomas me fit découvrir le véritable plaisir, il m'emmena aux portes de l'orgasme que je ne franchissais pas mais nous n'étions pas loin, il savait me faire jouir et je vénérais sa queue. Il fut le premier garçon que je présenta a ma mère, elle l'appréciait beaucoup. Quelques semaines après avoir officialisé mon couple auprès de ma Maman elle m'offrit mon premier string en me disant que maintenant j'avais l'âge d'en avoir un, elle se doutait que j'étais devenue sexuellement active avec mon petit-copain alors elle me posa la question, je lui confirma que je couchais avec Thomas. Monsieur souhaitait que je prenne la pilule pour que l'on se passe du préservatif, j'en parla a ma mère en lui disant que je souhaiterais avoir une contraception plus sûre, elle m'encouragea a prendre en effet la pilule. Les premières baises sans capotes furent incroyables, la sensation du peau contre peau me fit redécouvrir sa queue ou la bite de manière plus générale, tout était plus doux, sensuel, meilleur et le sentir jouir en moi était une satisfaction totale, les jets chauds qui se déversaient dans mes entrailles me donnait l'impression de servir de vide-couilles, accomplir ma fonction jusqu'au bout. Au fil des mois, Thomas me baisait de manière plus brutale et j'aimais cela, ces mots devenaient plus crus, il parlait de mon corps de manière obscène, de moi en des termes peu élogieux mais dans les situations que nous vivions, il disait toujours vrai ... Comment contester le fait que j'étais une salope ? Moi qui adorait le sucer, m'étouffer sur sa queue raide pleine de salive, m'empaler dessus pour m'y remuer sans pudeur, gémir sans honte sous ses coups de bites, me faire remplir de sperme ... Comment contester le fait que j'étais une chienne ? Moi qui voulait toujours me faire baiser, qui en prenait plein la chatte tout le week-end, qui cambrait mon cul à m'en déboiter le dos et écartait mes deux fesses pour lui offrir la meilleure vue sur mes trous ... Comment contester le fait que j'étais une pute ? Moi qui obéissait à toutes ses envies, me faisait baiser en extérieur avec le risque d'être surpris, jouissait avec ses parents dans la pièce d'à coté, lui gobait les deux boules en même temps pendant qu'il se branle, lui léchait le cul s'il me le demandait, avalait son sperme ou le laissait me recouvrir le visage ... Au lycée et devant nos amis, j'étais sa petite amie. A la maison ou chez ses parents, j'étais sa copine. Entre nous, j'étais sa femme, sa meilleure amie, sa confidente, sa partenaire mais au lit quand les vêtements tombaient je n'étais plus qu'une salope bonne qu'à se faire défoncer la chatte, une chienne docile vouée a lui vider les couilles et une pute dépravée qui ferait tout pour satisfaire sa queue ... J'aimais cela, j'aimais être cette salope, j'aimais le sexe, la bite, sa bite et j'aimais ce qu'on était, c'était parfait ainsi ! Durant l'année de mes 18 ans, j'ai discuté un jour a cœur ouvert avec ma mère sur l'abandon de mon paternel, elle me raconta qu'ils ne s'entendaient plus du tout, qu'elle ne le comblait pas assez sexuellement selon lui mais aussi qu'elle savait qu'il avait une maitresse, fréquentait des établissement libertins et avait une double vie. Les révélations de ma mère me poussèrent a m'investir encore plus sexuellement avec Thomas, à le combler et ne rien lui refuser. Avec le recul, je pense que ma soumission trouve ses origines dans cet instant, mon rapport aux hommes a toujours été influencé par l'absence d'une figure paternelle dans ma vie mais mon rapport au sexe a aussi toujours été influencé par ce besoin d'affection et cette volonté de combler l'autre pour m'assurer qu'il reste a mes cotés. Savoir que mon géniteur était un salaud infidèle a la libido insatiable qui faisait passer ses besoins sexuels avant tout le reste m'aida a le détester encore plus mais je releva aussi les points communs que nous commencions à avoir ... Pire encore, parfois quand je me masturbais, j'imaginais cet homme qui baisait autrefois ma mère, elle qui m'a éduqué de façon plutôt stricte, que je ne vois jamais se relâcher, qui n'a jamais refait sa vie et que je ne peux imaginer avoir eu ne serait-ce qu'une aventure depuis leur séparation. A quoi pouvait bien ressembler leurs parties de jambes en l'air ? Un fantasme commença à germer en moi, celui d'un jour aller en club libertin ! Je m'informais régulièrement sur le milieu, ses codes, son fonctionnement et consommait de temps en temps du porno en lien avec le libertinage, l'échangisme ou les glory-holes. Quand je me caressais, Il m'arrivait de fantasmer sur une soirée dans un club avec Thomas, de voir des gens en train de baiser, de nous joindre à eux mais je n'en étais pas capable, ce n'était que des pensées obscènes quand j'étais trop excitée ... Pourquoi cela m'excitait autant d'ailleurs ? Est-ce que j'avais réellement envie de sexe a plusieurs ? Que Thomas me voit coucher avec un autre homme sous ses yeux ? De sucer la bite d'un parfait inconnu sans savoir à quoi il ressemble physiquement en le pompant à travers le trou d'un mur ? Un soir, je pris conscience que ce qui m'attirait autant dans ce fantasme du club libertin ce n'était pas tant le milieu décomplexé sexuellement et tout ce qui va avec mais plutôt l'idée de marcher sur les traces de mon paternel, que ce qui m'excitait c'était de me dire que je pourrais tomber sur lui, que je ne le reconnaitrais pas et lui encore moins, que je pourrais me faire baiser par mon propre père ou sucer sa queue sans le savoir ... Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis faites du bien avec des pensées pareilles dans la tête ... Je fantasmais sur le fait d'entrer dans un club, de voir une femme se faire prendre sous mes yeux et de me dire que c'est peut-être mon père qui est en train de la baiser. Je fantasmais sur le fait de me faire baiser par Thomas devant des voyeurs et que mon paternel serait peut-être dans le groupe d'hommes qui me regarde, qu'il constate la chienne que je suis sans que lui ou moi ne le sachions. Je fantasmais sur le fait de sucer des bites dont je ne sais rien, d'en voir de toutes les tailles et diverses formes, de m'atteler à en vidanger plusieurs sans avoir la moindre idée de la beauté de l'homme derrière le mur, sa corpulence ou son âge. J''étais excitée par l'idée de sucer des mecs repoussants, qu'ils soient moches, gros ou vieux mais que je n'en sache rien. Que je sois en train de pomper un gars de mon bahut, un de mes profs, le père d'une amie mais que je n'en sache rien. Que je sois en train de vider les couilles de mon propre père dans ma bouche mais que je n'en sache rien. Je fantasmais sur le fait de me faire prendre par de parfaits inconnus, que Thomas m'offre à des mâles en rut, m'échange à un gars contre sa copine, de n'être qu'un corps dont des hommes dont je ne sais rien disposent pour leurs besoins. Il y'avait de la perversion en moi qui aimait l'idée que mon père soit un jour l'un d'eux, qu'il pénètre dans la chatte de sa propre fille, celle qu'il a abandonnée dont il ne connait rien et surtout pas le manque dont elle a souffert, qu'il profite de ce qu'il a engendré, que son égoïsme et ses vices comme ma dépendance aux hommes et ma dépravation nous conduisent a baiser ensemble comme les obsédés maudits que nous sommes. Ce fantasme était irréalisable et bien trop immoral, il se manifestait dans un coin de ma tête quand j'étais très excitée et perdait le sens des réalités avant de jouir, je ne pouvais pas en parler à Thomas tant il était obscène, difficile a comprendre sans une parfaite connaissance de mes blessures psychiques et je ne voulais pas que mon petit-ami voit cet aspect de moi ... La vie suivait son cours, j'étais épanouie tant socialement, émotionnellement que sexuellement ! Depuis les révélations de ma mère et ma décision de m'offrir sans aucune limites a mon petit-ami, je ne faisais plus l'amour, je me faisais baiser. Je ne suçais plus simplement une bite, je m'exerçais a la gorge profonde. Je ne recrachais plus le sperme après une pipe, j'avalais son foutre, le laissait venir sur mon visage, ma poitrine, mon cul ou la plupart du temps, au fond de ma chatte ! Thomas était un conquérant, celui qui annexait mon corps, lui faisait vivre diverses premières fois mais surtout celui qui me ferait tout faire, tout vivre, tout essayer ne serait-ce qu'une fois juste pour voir ! Il ne cachait plus sa part d'ombre et me délivrait toutes ses envies, à chaque fois que nous repoussions nos limites ou faisions quelque chose de nouveau, il se tournait instantanément vers la prochaine étape, c'était comme une liste de pratiques, perversions, situations, jeux de rôles qu'il voulait cocher comme pour se dire, on l'a fait ! Mon obsédé de petit-ami m'avait convaincu de me laisser prendre en photos totalement nue et filmer en plein acte pour qu'il se branle sur moi/nous plutôt que du porno pendant la semaine. Il vouait un tel culte a mon corps que j'avais acceptée par amour de lui faire confiance pour garder ça pour lui. Je me disais que si ça l'aidait à rester focus sur moi même dans ses moments solitaires, il n'en serait que plus bouillant le week-end lorsqu'il retrouverait "la came" sur laquelle il se branlait toute la semaine ! Je me fis violence au départ pour lui offrir le contenu qu'il recherchait pour ses branlettes, les premiers shootings furent éprouvants et gênant mais quand il me filmait en train de le sucer c'était excitant de me dire que je devais fournir une belle prestation car elle était enregistrée et qu'il allait la revivre en solo. Au fil des mois, je me pris finalement au jeu et il amassa plusieurs centaines de photos allant de shootings complets dédiés a une tenue ou un ensemble de lingerie a des photos prises a la va-vite pendant nos ébats. Une baise sur deux, il sortait dorénavant son téléphone pour me filmer, il se filmait en train de se faire sucer, de me baiser et d'éjaculer sur mon visage ou mon corps. Déjà bien dépravée et sans pudeur, le fait de savoir qu'il détenait autant de photos/vidéos compromettantes sur moi où il avait la preuve que j'étais bel et bien une salope fit voler en éclats ma capacité a garder encore quelques limites ou lui refuser quelque-chose ... J'étais déjà soumise à cet homme sans le dire, nous ne mettions pas de mots sur cela mais dans les faits ma dévotion était totale depuis des mois, mes tabous presque tous envolés et la notion de limites, il savait la faire disparaitre. La semaine nous avions maintenant du sexe virtuellement, allant des sextos/appels cochons où on se touchent avant de dormir aux échanges de nudes, il n'y avait plus de temps morts avec le week-end où nous passions aux rapports plus concrets. J'aimais envoyer des photos de mon corps a mon mec, qu'il me réponde avec une photo de sa queue en érection ou me dise que si j'étais face a lui, il boufferait la chatte que je venais de lui envoyer ! J'aimais qu'il me promette "de me détruire" ce soir quand je lui envoyais une photo de moi dans mon bain m'épilant la chatte pour lui. J'aimais me réveiller et avoir une photo de ses jets de sperme sur le parquet de sa chambre où il me disait que c'était le résultat de sa masturbation devant notre vidéo du week-end dernier ! J'aimais aussi me toucher sur nos vidéos, parfois je lui demandais de m'en envoyer certaines quand j'avais trouver le moment génial pour pouvoir me masturber devant. Je ne m'en suis pas rendue compte à cette époque mais je pense que c'est à cette période que je suis devenue nymphomane, le sexe était présent chaque jour. Ma dévotion totale à mon petit ami, sa recherche constante de nouveautés et notre volonté de tout essayer nous poussèrent à aller très loin pour des jeunes de nos âges. Lorsqu'il m'avait demandé de lui faire un anulingus par exemple, j'avais au départ émis des réticences mais il avait argumenté en me disant qu'il me le faisait bien lui, alors pourquoi pas l'inverse ? J'avais rétorqué le fait de n'avoir rien demandé mais avec le couplet sur le fait de donner du plaisir à la personne qu'on aime en veillant a son épanouissement, j'y étais allé ! Les premiers coups de langues furent fébriles mais il s'était entièrement épilé pour l'occasion alors je lécha le pourtour de son anus et appuya légèrement sur son entrée, les gémissements de plaisir de mon copain m'encouragèrent a poursuivre cette mascarade. Dans les minutes qui suivirent, je recevais des ordres clairs et autoritaires me disant d'embrasser ses fesses, de lécher plus vite, de remuer de haut en bas ma langue, de la laisser sortie et de ne bouger que ma tête, de lui limer la raie dans son ensemble ! Son cul était baveux, le bas de mon visage recouvert de salive, j'étouffais parfois entre ses fesses, cherchant a reprendre une respiration contre son cul, il se branlait lui-même en me regardant et appuyais parfois sur ma tête pour me maintenir entre ses fesses. Il m'ordonna de rentrer ma langue dans son cul, je ne voulais pas le faire, lécher l'extérieur était une chose mais j'avais peur du goût ou d'un accident ... En exprimant un refus, il argumenta aussitôt sur le fait qu'il me le faisait, qu'il rentrait sa langue dans mon cul mais aussi dans ma chatte alors il prit ma tête et l'enfonça entre ses fesses en m'ordonnant de lécher, "mets-la dedans" me dit-il plusieurs fois alors que je léchais l'entrée puis j'obéis et pénétra son anus de la pointe de la langue ! "Fais des vas et viens, je veux te sentir entrer et sortir en moi" me dit-il en m'agrippant les cheveux. "Plus loin s'il te plait" me dit-il en appuyant derrière mon crâne pour m'enfoncer le visage dans ses fesses alors que ma langue était en lui. "Encule-moi avec ta langue" me dit-il pendant que je gardais ses fesses écartées et que j'y mettais des hochements de tête la langue enroulée pour en faire une pointe qui le gode ... Voici comment je suis passée en moins de dix minutes de quelqu'un qui ne s'était jamais approchée d'un anus a quelqu'un qui raclais l'intérieur d'un trou de balle avec sa langue ! Après cette première fois, je lui léchais le cul un week-end sur deux pendant nos préliminaires et cela ne me dérangeait plus. L'anus de mon mec était copieusement léché s'il soulevait ses jambes pour m'y laisser l'accès et j'aimais que ma langue remonte en continu de sa raie à ses couilles pour revenir à sa queue. L'anus de mon mec était habilement sollicité s'il se mettait à quatre pattes, je lui écartais bien les fesses et l'enculait avec ma langue tout en masturbant sa queue qui pendait dans le vide. L'anus de mon mec était violemment frotté contre ma langue et sur mon visage quand il s'asseyait sur moi pour que j'étouffe entre ses fesses alors qu'il se remuait sur la pointe de ma langue tout en se branlant et m'agrippant parfois par les cheveux pour enfouir mon visage dans son cul. Nous avions 18 ans et je bouffais le fion de mon petit-copain comme une actrice de gonzos ! Je pense que le plus hors du commun ou inavouable c'est quand nous nous sommes mutuellement pissés dessus ... Thomas m'avait plusieurs fois fait part de son envie de m'uriner dessus, sur le visage plus précisément mais j'avais évidemment tout de suite décliner la proposition et bien qu'il en reparle parfois sur ce sujet il ne me forçait pas la main sachant que c'était bien plus hardcore. Je lui avais demandé ce qu'il cherchait là dedans et il m'avait expliqué vouloir voir jusqu'où je pourrais aller pour lui, si ma dévotion était réelle et que c'était une façon de se sentir supérieur à moi sur l'instant, une envie d'humiliation, de dominer. Un soir après une bonne baise chez lui, nous avions tous les deux envie d'aller aux toilettes pour pisser puis a la douche, nous venions de passer un bon moment et lorsqu'on se chamaillait pour la première place aux WC, il me dit que je n'avais qu'à pisser dans la douche puisque je devais y aller, je lui concéda alors les toilettes en acceptant de le faire sous l'eau de la douche. Alors que je déclenchais l'eau, Thomas s'engouffra dans la salle de bain, la ferma a clé et me chuchota (parents dans le salon au rez de chaussée) que si j'étais capable de me pisser dessus moi-même dans la douche et bien nous n'avions qu'a nous pisser dessus à tour de rôles dans la douche. Je lui demanda pourquoi ça et il me rappela qu'il ne me demanderait jamais de subir quelque-chose qu'il n'est pas prêt à faire aussi donc que s'il me pissait dessus, il subirait l'expérience en retour ! Je ne sais pas si c'est l'euphorie de la soirée sympa que nous passions ou le fait que j'avais trop envie de pisser pour que l'on débatte mais j'accepta si c'était juste sur le corps. Thomas coupa l'eau, se positionna dans le bac de la douche et me dit de mettre un pied sur son épaule puis de me laisser aller, je fis ce qu'il dit et commença à uriner. Au début je me pissa plus le long de la jambe qui me servait d'appui que sur lui, je me retins alors de nouveau pendant qu'il se positionnait davantage sous moi bien collé à ma cuisse alors qu'il maintenait mon autre jambe sur son épaule. La seconde tentative fut aussi calamiteuse mais fonctionna, ma pisse coulait sur lui, sur son bras, une partie de son ventre et ses cuisses, il me demanda d'orienter ma chatte de la main alors je tira dessus pour tenter de viser avec le jet et lui en mettre un maximum dessus, on rigola énormément lorsqu'il me dit que "c'était très bizarre la sensation, chaud et que ça puait" alors que j'arrosais son torse et savourait ses grimaces. Monsieur se rinça puis m'invita a prendre place. C'était mon tour, je m'accroupis jambes écartés en étant bien appuyé sur mes talons, il me demanda de tenir et écraser mes seins l'un contre l'autre puis il débuta, c'était tout de suite bien plus facile pour un homme de viser ... Il s'amusa à pisser sur mes seins, mes épaules, mes cuisses, c'était brulant et ça démangeait, l'odeur était forte, je puais la pisse ! Il me fit me retourner a quatre pattes pendant qu'il retenait ses derniers jets puis il urina sur mes fesses et mon dos. Je me mis debout, puante avec des relents de dégout devant l'odeur de l'urine, on prit un fou rire en concédant tous les deux que ça puait et que c'était n'importe quoi ce qu'on venait de faire puis je me rinça en vitesse à grand renfort de gel douche ! Il est difficile de vous conter toutes les parties de jambes en l'air et diverses pratiques que nous avons vécues au sein de cette relation mais si je devais encore vous partager quelques anecdotes, je vous parlerais de notre penchant pour le sexe en extérieur ! Déjà c'était pratique, deux adolescents/jeunes adultes chez leurs parents c'est pas toujours simple pour baiser discrètement chez nous donc le faire à l'extérieur était un bon plan en plus de terriblement nous exciter avec le risque d'être surpris. Il y avait un petit bosquet derrière le quartier de Thomas, je ne sais pas combien de fois je me suis faites baiser contre un arbre ... Au lycée, nous nous éclipsions parfois le midi pour faire nos affaires entre les buissons d'un parc à coté du bahut ou dans une ruelle. Chez moi, nous partions nous promener dans les champs et mes premières exhibitions furent devant un troupeau de vaches. Il y'a aussi une anecdote honteuse, un week-end où les parents de Thomas n'étaient pas a la maison, il me fit part d'une découverte ! Monsieur avait trouvé dans l'un des placards de sa mère, un gode vibromasseur et il voulait que l'on essaie ... J'ai au départ comme souvent tenté de refuser en lui expliquant que c'était à sa mère, qu'elle se l'enfonçait dans la chatte et qu'il était hors de question que je fasse de même avec son jouet a elle ! "N'importe quoi, y'a rien de sale, je vais le passer sous l'eau avant de toute façon et on le nettoiera aussi après ! C'est qu'un jouet et puis tu faisais pas toutes ces manières quand on a baisé dans le lit de mes parents le mois dernier !" Thomas continua de me forcer la main en m'expliquant qu'on avait l'occasion d'essayer et de voir ce que ça me ferait, il alluma le sex-toy qui commença a vibrer et en regardant ce jouet en forme de pénis fuchsia vibrer, j'eue en effet envie de savoir ce que ça faisait. Mon pervers de petit-copain enleva ma culotte et me fit me coucher sur le dos, les jambes bien écartées, il frotta la tête du jouet contre mon sexe, les vibrations étaient agréables et stimulaient bien mon clitoris, je mouillais sur le sex-toy de ma belle-mère ! Thomas commença alors à me lécher, à insérer ses doigts puis fit entrer le gode en moi, au début il me pénétra avec le sex-toy à l'arrêt, il faisait des vas et viens en moi, j'étais trempée et très excitée. Thomas me goda de longues minutes avant de me défoncer littéralement la chatte à la force de son avant-bras, si le jouet n'était pas aussi bon que sa queue en sensations, la vitesse de pénétration et la cadence des vas et viens qu'il pouvait imposer à ce pénis par la force de sa main était bien supérieur à celle de ses coups de reins ! Je serra les cuisses et voulu interrompre la folle cadence ne tenant plus devant tant d'intensité, il me retourna, suréleva mes fesses et reprit de plus belle bien agrippé a mon postérieur qu'il tenait coincée entre son torse et ses bras ! Il alluma le vibromasseur qui commença alors à vibrer et résonner en moi, mes parois étaient chatouillées mais c'est plutôt la pénétration effrénée que reprit vite Thomas qui me faisait péter un plomb, trop de plaisir se mêlaient en moi. "Je croyais que t'en voulais pas ? Ecoute les bruits obscènes que fait ta chatte maintenant ! T'aimes te faire goder ma salope, regarde comment tu mouilles sur le sex-toy de ta belle-mère, tu vois que t'es qu'une pute ! - Oui, je suis qu'une pute qui aime s'en prendre plein la chatte !" Je gémis comme une chienne en chaleur, plusieurs fois je tente de fuir l'intensité de ma jouissance mais mon masturbateur ne me laisse pas bouger, je ne peux qu'encaisser sa fougue tant que son poignet en a sous le coude ! Thomas cessera ce divin supplice après d'intenses minutes, relâchant mon cul et me laissant inerte avec le sex-toy éteint mais encore plantée dans la chatte c'est un ordre qui me fit revenir a moi. "Allez maintenant, je veux que tu le suces bien fort et nettoie toute la mouille que t'as mis dessus" Thomas retire le jouet de ma chatte dilatée, il l'approche de ma bouche et je l'avale, il le remue entre mes lèvres et me demande de bien le lécher, je m'exécute et goute à de la mouille tout sauf délicieuse, il sort alors sa queue et me dit de manger de la vraie bite. Je me souviens que je l'ai sucé avec application, qu'à un moment j'ai repris le sex-toy de sa mère pour me goder moi-même pendant que je le suçais ... J'avais conscience d'être une dépravée mais j'ai eu du mal a regarder sa mère dans les yeux quelques temps après cet épisode. La dernière anecdote qui sort du lot et mérite d'être racontée serait qu'on se racontait des histoires de culs fictives avec des potes à nous dedans pour nous exciter ... Thomas fantasmait sur un plan a trois avec deux filles, moi sur mon club libertin donc souvent nous aimions nous masturber en écoutant l'autre nous raconter des obscénités sur nous et quelqu'un qui nous excite mais cet aspect sera plus amplement évoquer dans un chapitre bonus. Thomas était un pervers insatiable et moi j'étais devenue une salope dévergondée, nous nous comblions tellement ! Le seul point noir dans notre sexualité était le sexe anal, lui en raffolait et en regardait énormément en vidéos, moi pas plus que ça. Il avait forcé de longues semaines pour que je le laisse me sodomiser, j'avais fini par accepter d'essayer ! De longs préliminaires, beaucoup de lubrifiant et une pénétration patiente et progressive n'avait pas réussit à me détendre suffisamment pour que j'y prenne du plaisir, la sodomie avait été douloureuse et déplaisante. Une seconde tentative avait eu lieu le mois suivant de mémoire et c'était encore moins bien passée, il m'avait enculée jusqu'à se finir alors que je n'en pouvais plus et j'avais pris sur moi pour le laisser finir en me cramponnant au matelas de longues minutes ... Depuis ce jour, la sodomie avait été proscrite de nos ébats et si j'autorisais le doigt dans le cul, je lui refusais dorénavant l'accès à ce trou avec sa queue qui était synonyme pour moi de mauvais quart d'heure ! On ne pouvait pas dire que j'avais peur de la douleur ou que je ne laissais pas mon mec me violenter, les fessées franches en levrette, le tirage de cheveux pendant la pénétration, les claques pendant la pipe ou la baise, les étranglements et les jeux de salives étaient monnaies courantes après notre première année de couple mais l'anal restait a l'écart. Alors que nous approchions de nos deux ans de relation, je commis une grave erreur, toujours folle amoureuse de mon copain et épanouie, je ressentais néanmoins qu'une routine s'installait entre nous et passant tout mon temps avec lui, je ne me sentais plus que comme la copine DE alors je me demandais si je plaisais encore aux autres hommes ... Comme un besoin de séduire, de me rassurer ou de braver un interdit, j'alla flirter par messages avec un garçon qui prenait mon bus et que je trouvais pas mal, nous discutions de temps en temps et je le chauffait légèrement pour m'attirer ses compliments. Thomas le découvrit un jour en fouillant dans mon portable (chose qu'il ne faisait jamais mais il avait senti que quelque-chose se tramait) s'en suivit une dispute dévastatrice où je m'excusa à ses pieds et le supplia de ne pas me quitter, que je ne faisais que jouer pour me rassurer, que je ne l'aurais jamais trompé, il ne l'entendait pas ainsi et considérait que je l'avais trahi, il me quitta ... Ce fut un week-end à pleurer, m'en vouloir et tenter de le reconquérir, il était blessé, trahi et vexé. Mes déclarations d'amour, mes excuses, mes promesses de me racheter ne changeaient rien et alors que je le pensais perdu a jamais, il me donna rendez-vous chez lui le week-end suivant en me disant de venir que si j'étais prête à tout pour le récupérer ... Je rejoignis mon petit-copain blessé qui me faisait la gueule depuis plus d'une semaine, nous sauvâmes les apparences devant ses parents et montèrent vite à l'étage pour nous enfermer dans sa chambre et discuter. Thomas affichait toujours une mine grave, je le prit dans mes bras en m'excusant et lui rappelant que je l'aimais plus que tout, il me rassura en me disant que lui aussi et qu'il avait énormément de mal à vivre sans moi, que cette séparation le dévastait mais qu'il n'en était pas la cause, juste la victime suite a ma trahison, que si je voulais regagner sa confiance, je devrais lui prouver que je suis prête a tout pour lui et que je lui appartiens ! Je lui confirma être folle de lui et ne pas vouloir le perdre, que je saurais me racheter alors il me répondit d'un ton froid et autoritaire "on va voir ça, enlève ta culotte" ... Je m'exécuta avec un peu d'appréhension mais en me disant qu'il voulait sûrement se réconcilier par le sexe. "Voilà" dis-je les fesses à l'air devant lui, il me positionna a quatre pattes sur le matelas, baissa son jogging, cracha sur son sexe, sur mon anus et commença à y engouffrer un doigt, "Non pas ça ..." suppliais-je, notre dernière sodomie remontait a plus d'un an ... "Ta gueule, t'as pas le choix ! T'as dit être prête à tout ! Vouloir prouver que tu m'aimes ! C'est une bien maigre punition vu que ce que t'as osée faire, salope !" sa voix était différente, agressive, en colère, pleine de rancune ! "Alors j'entends rien ? Tu veux te faire pardonner ?" "Oui mais tu sais que je vais avoir mal, que j'aime pas ..." sa bite s'enfonce en moi, il me la mets sans prévenir et plus franchement que d'habitude, son gland entier entre d'un coup et il continue de la plonger dans mon anus sans aucune forme de retenue. Je pousse un cri et tente de faire ressortir sa bite, il m'agrippe le cul et les bras avec fermeté ! "J'espère bien que tu vas avoir mal, tu crois pas que j'ai eu mal, moi, hein ?" J'hurle de douleur, sa bite vient d'enflammer mon cul, d'habitude déjà, j'ai du mal a encaisser mais alors sans préliminaires ni lubrifiant, je dérouille ... Il me bouche la bouche, me dit de "fermer ma gueule", je me mets à pleurer ... "C'est ça, chiale pour une bonne raison, c'est facile de pleurer quand on se fait chopper a draguer un autre mec, là au moins t'as une bonne raison de pleurer" me dit-il revanchard et culpabilisateur ! Sa bite va et viens dans mon cul sans pitié, il me baise par ce trou si difficile pour moi comme si c'était ma chatte, je suis en larmes et pleure bruyamment ... "Allez mords donc dans l'oreiller, je veux pas t'entendre Charlotte, souffre en silence, a chaque fois que t'as mal, dis-toi que c'est rien comparé à ce que tu m'as fait et comment moi j'ai mal de découvrir que ma copine est une sale pute infidèle" Je pleure dans l'oreiller, mords dans le tissu et étouffe mes cris pendant qu'il m'encule sans la moindre retenue, pitié ou tendresse ! Je comprends ce qu'il me dit, je ne nie pas l'avoir blessé et devoir faire amende honorable, s'il a choisit mon cul pour cela, alors soit ... Je sens sa haine pour moi sur l'instant, que je n'ai surement que ce que je mérite, il me dit que ça lui fait du bien et qu'au moins après ça, il pourra sûrement me pardonner si je le laisse m'enculer à fond comme il en rêve depuis toujours, il ira mieux ! Il m'encule avec vigueur, se cramponne à mes hanches et mes fesses, me demande parfois d'écarter mes fesses, il filme la scène en commentant des obscénités très humiliantes du genre "Voilà ce qu'une chienne en chaleur mérite, ça t'apprendra à allez remuer du cul auprès d'un autre", "Sale pute t'as que ce tu mérites", "Dis moi merci de te punir et te pardonner, je devrais même pas t'enculer, tu mérites même plus d'avoir un gars comme moi" les minutes passent, la colère de Thomas redescends, je baigne dans mes larmes et ma salive avec le visage enfoui dans l'oreiller, je ne suis plus là depuis plusieurs minutes, mon cul me brule, il est en feu mais je ne sens même plus sa bite qui se déchaine. Il est désormais couché sur moi; il se termine avec des coups violents et profonds, je sens une éruption de lave coulée en moi, se mêler au brasier qu'est mon anus, Thomas se retire, prends en photo la destruction de mon fion et me laisse pleurer quelques minutes en me regardant. Je suis détruite psychologiquement comme physiquement, ma culpabilité me dévore et m'empêche de le détester pourtant je ressens bien de la haine et de la colère pour lui, mon anus me lance et son sperme qui en coule me fait me sentir encore plus souillée, je me sens sale, abusée, meurtrie. Je me tiens les fesses et pleure de nouveau à chaudes larmes maintenant que c'est enfin fini, je réalise a quel point cela a été éprouvant. "Voilà ce que ça fait, la trahison, la souffrance, je pense qu'on est a peu près quittes" a-t-il osé me dire pour briser le silence. "T'es qu'un connard" lui lançais-je haineuse a mon tour ! "Ouais c'est bien le minimum pour être avec une pute comme toi, maintenant soit on se pardonne, soit on va se faire foutre mais au moins, on est quittes" Je quitte la chambre part prendre une douche, expulser son sperme qui coule de mon cul en feu, j'ai mal, je pleure encore une fois sous la douche partagée entre les remords de l'avoir autant blessé pour l'avoir rendu aussi méchant lui qui était un amour et la honte de ce qu'il vient de me faire subir ... En sortant de la salle de bain, il me prends dans ses bras, m'embrasse et me demande si on est quittes, je lui dit qu'on l'est, il me réponds que dans ce cas, nous allons aller de l'avant. Les semaines suivantes je retrouva mon Thomas, le petit ami doux et amusant, l'amant sauvage et super bon coup mais dans les mois qui suivirent plusieurs choses dans son comportement changèrent au lit ... Adepte des jeux de soumissions et du sexe plutôt hard, Thomas était assez dominant et plutôt brutal au lit mais depuis cette "tromperie" je le trouvais plus dur dans sa manière d'être et plus tourné sur son plaisir dans les pratiques que nous faisions ! En bonne chienne docile que j'étais, j'obéissais et comblait toutes ses envies mais moi qui aimait particulièrement sucer je me retrouvais presque exclusivement à me faire baiser la bouche, la gorge profonde ou le baisage de gueule étaient quelque-chose que j'avais appris à maitriser et qui parfois me reposait (rien a faire, juste laisser monsieur aller et venir dans ma bouche) mais quand cela représente 90% de vos rapports buccaux ce n'est plus la même chose ... Thomas m'insultait constamment au lit alors qu'autrefois c'était une manière de pimenter nos ébats qui se manifestait ponctuellement, il n'éjaculait plus que sur mon visage ou dans ma bouche, il marquait au Stabilo sur mon corps des injures ou "Propriété de Thomas", "Sac a foutre de Thomas", "Pute de Thomas", nos rapports contenaient maintenant toujours une part d'humiliation ou de violence qui autrefois étaient des événements irréguliers et donc appréciables, cela devenait malsain et dégradant ... J'aimais toujours le sexe, j'aimais toujours qu'il me baise, j'aimais toujours le hard mais je n'aimais pas la façon qu'il avait de parler de moi au lit, l'image que je me renvoyais à moi-même dans le miroir, je perdais petit a petit confiance en moi et commençais a subir mon couple au point de ne plus me sentir à l'aise avec lui ... Quand nous baisions, j'incarnais mon personnage et remplissais ma fonction avec brio mais quand nous étions le reste du temps simplement nous, un couple, Charlotte et Thomas, j'avais l'impression qu'il ne restait plus grand chose ... N''étais-je pas devenue qu'une salope, une pute, une chienne, un sex-toy, un vide-couilles à ses yeux ? Après presque 3 ans de relations, je décida de le quitter formulant mes envies de profiter un peu plus de ma jeunesse, la sensation d'avoir perdu nos sentiments l'un pour l'autre et de n'être plus que des partenaires attachés l'un a l'autre, il confirma moins m'aimer et n'avoir jamais vraiment réussit à pardonner mon faux-pas mais me témoigna son attachement et sa reconnaissance pour notre histoire. Je quitta Thomas quelques semaines avant de partir étudiée dans une autre ville, je fis le choix d'un nouveau départ, je venais d'avoir 19 ans, j'allais avoir mon premier appartement, je devrais me trouver un petit job étudiant, prendre ma vie en main et c'est une Charlotte dépravée mais amochée par sa précédente histoire qui allait devoir se reconstruire seule afin de devenir celle qu'elle voulait être ... A suivre ...
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Par : le 02/02/23
Le doute, et non l'irrésolution, la paralysait. Si sa Maîtresse avait délibérément décidé de refaire sa vie, de se mettre en parenthèses et de se consacrer à sa jeune stagiaire, elle adopterait une toute autre stratégie. Mais si elle était encore victime d'une de ses lubies, tous les espoirs étaient permis. Ainsi,quand elle franchit la porte de son bureau, Charlotte se sentait nerveuse. La veille, elle avait accepté, malgré elle, de se soumettre à Emmanuelle. Elle était revêtue de l'un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant qu'Emmanuelle ne lui impose des tenues plus provocantes. Le tailleur jupe, en flanelle noire, était composé d'une jupe droite lui arrivant très au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur, sous son corsage flottant, un soutien-gorge balconnet, ouvert, transparent et durement baleiné, rehaussant une poitrine généreuse mais ferme aux larges aréoles brunes. Elle ne portait ni string, ni tanga. Elle allait donc le ventre nu, d'autant plus nu qu'Emmanuelle exigeait qu'elle soit intégralement rasée, lisse, offerte et ouverte, et qu'elle porte en permanence, fixé au centre de ses reins, un rosebud anal, de façon que le mouvement de ses muscles ne puisse le repousser mais qu'en même temps, il serait ainsi facile de pénétrer au besoin son autre voie. Elle entretenait sa silhouette, en faisant de la gymnastique quotidiennement, et en montant à cheval tous les week-ends. La quarantaine passée, c'était une femme au physique séduisant, à la fois stricte et féminine. Ses lunettes fines lui donnaient un air sérieux et élégant. Elle en imposait car elle se tenait toujours très droite avec des chaussures à talons hauts. Ce jour-là, elle portait le chignon et son maquillage était discret. Lorsqu'elle passa devant Emmanuelle qui était assise à l'accueil, elle la salua d'un signe de tête sans dire un mot et se dirigea rapidement vers son bureau. Où qu'elle fût, elle l'entrainerait désormais dans sa spirale. Ne lui restait plus qu'à reprendre leur chemin en sens inverse. Retrouver leurs endroits. Dans un but, un seul: faire surgir les traces de leur passion afin de mieux les effacer. Rien ne devait subsister de leur relation, alors qu'elle n'était même pas défunte. On peut convoquer la mémoire pour mieux oublier. L'exercice n'est pas sans danger, tant il paraît artificiel. Quand on revient sur ses pas, le désir n'est plus naturel. On ne sait jamais ce que le passé nous réserve.    Inconstante, elle l'était juste assez pour passer sans prévenir du registre de la séduction à celui de la frustration, de la tendresse à l'abandon, et retour, mais n'était-ce pas l'ordinaire des rapports de domination. Le bureau était spacieux, meublé en style moderne, d'un canapé en cuir noir Knoll, et d'une grande table en verre. Des plantes vertes agrémentaient le décor. Elle prit l'interphone et demanda à Emmanuelle de venir. Quelques instants plus tard, elle frappa à la porte. Emmanuelle s'assit sans dire un mot. Ce fut Charlotte qui entama le dialogue: - Voilà, j'ai décidé d'arrêter ce petit jeu, c'était une fantaisie mais nous sommes allées trop loin, je ne suis pas vraiment lesbienne, vous non plus d'ailleurs, nous nous sommes accordées mutuellement des libertés mais je crois qu'il faut mettre un terme à tout cela. Nos relations resteront cordiales mais compte tenu de ce qui s'est passé entre nous il est préférable de nous éloigner. Bien entendu il est hors de question que vous en subissiez quelque dommage que ce soit, j'ai donc conclu un arrangement avec l'un de nos sous-traitants, il vous fera un contrat avec un salaire plus élevé que celui que vous percevez ici. Voilà, je vous conserve toute mon amitié mais il serait souhaitable à l'avenir de se vouvoyer." Emmanuelle eut un nœud à la gorge, elle était déstabilisée, l'attitude calme de Charlotte, le fait de la voir dans cette tenue qu'elle associait à celle qui était sa patronne froide et autoritaire, le fait de ressentir sa détermination, tout ça remettait en cause ses acquis, tout allait peut-être s'écrouler comme un jeu de cartes. Elle savait que sa prochaine phrase allait déterminer la nature de leur relation future. Ce sera celle qui fera la première erreur qui aura perdu se dit-elle. Elles s'observèrent un long moment, puis Emmanuelle décida d'entrer dans la bataille. Cependant, elle avait senti le changement de ton de Charlotte, celui-ci n'était plus aussi assuré, bien que cherchant à le dissimuler, elle commençait à perdre pied, elle profita de ce moment de faiblesse pour porter l'estocade, elle se leva et s'approcha, elle lui tira les cheveux pour la forcer à la regarder, droit dans les yeux. Au chagrin se substituait l'écœurement. Charlotte était décidément trop sentimentale.    Ce fut Emmanuelle qui prit la parole en premier, oubliant le respect qu'elle devait à sa patronne. Plus rien n'était sûr. Il faut dire que le terrain était fertile. - C'est toi qui es venue me chercher, moi je ne t'avais rien demandé. - Euh oui je sais, mais j'y ai été contrainte par Juliette. - Oui mais Juliette ne t'a rien imposé elle non plus, je connais votre histoire, elle t'a laissé le choix de poursuivre votre relation ou non, c'est toi qui a accepté. - Tu as accepté oui ou non ? - Oui. - Tu dis que tu n'es pas lesbienne, je crois plutôt que tu es bisexuelle, maso-bisexuelle, tu as pris autant de plaisir que moi dans cette relation, alors pourquoi veux-tu arrêter ? - Mais vous non plus, vous n'êtes pas lesbienne, vous me l'avez dit. - Moi c'est différent, je suis libertine, je prends le plaisir là où il est sans me poser de question, me faire lécher par ma patronne, c'est une jouissance autant cérébrale que physique; pour toi de lécher ta secrétaire, c'est un plaisir aussi, le plaisir de l'interdit sans doute. - Emmanuelle, je vous en prie, ne rendez pas ma tâche plus difficile, nous sommes libres de nos choix, nous avons joué vous et moi mais maintenant ça suffit, cette situation ne me convient plus, alors je vous le dit voilà tout. Regardez notre différence d'âge, nos styles sont différents, nous ne faisons pas partie de la même classe sociale, nous n'avons pas la même culture, tout nous sépare. - C'est justement pour ça que tu m'intéresses, parce que tout nous sépare. Puis elle lui saisit la main et la fourra entre ses jambes. - Allez vas-y, tu sais ce que tu as à faire. Charlotte retira sa main énergiquement et baissa le tête, Emmanuelle lui tira à nouveau les cheveux plus fort, puis d'un ton autoritaire: - Vas y je te dis ! Alors Charlotte, mécaniquement, la main tremblante, lentement, remonta vers son sexe et le caressa. - Écoute ma chérie, il faut que tu te mettes dans la tête que tu as deux vies bien distinctes, ta vie classique, celle que tu mènes depuis toujours de femme d'affaires qui s'amuse à regarder les autres de haut et puis celle où tu es exactement l'inverse, tu es ma soumise, c'est toi qui doit exécuter tous mes caprices. Emmanuelle avait dû la harceler pour obtenir une explication qui ne fût pas un faux-fuyant. Charlotte devait à tout prix céder.    Ce qu'on ne dit pas devient un secret, un lieu où s'enracinent la honte et la peur. Mais Charlotte avait vite compris que désormais, il y aurait toujours cette différence entre elles, que l'une allait faire du mal à l'autre. Elle devrait baisser la tête, et abdiquant toute fierté, renonçant à toute pudeur, implorer sa clémence. Ainsi Emmanuelle poursuivit: -Mais réfléchis, au fond tu as de la chance, avec moi au moins tu vis vraiment ! Bon je vais être gentille, je t'accorde la liberté totale en dehors de nos relations, c'est à dire que tu pourras rencontrer un homme si tu en as envie ou quoi que ce soit d'autre. Mais je te préviens, je n'accepterai plus de rébellion dans nos relations personnelles, tu dois accepter cette situation, tu n'as plus le choix, tu m'appartiens." - J'ai compris. - Tu vas être sage et obéissante ? - Oui... - Alors dis-le. - Je vais être sage et obéissante. Emmanuelle se déshabilla et se mit à quatre pattes sur le canapé, Charlotte lui lécha le cul. Emmanuelle jouissait de la situation. Celle qui un quart-d'heure plus tôt avec son tailleur Chanel lui faisait la leçon était en train de lui lécher l'anus, à elle, sa secrétaire. Puis, au bout d'un moment, Emmanuelle se leva, se rhabilla et sortit du bureau, elle revint deux minutes plus tard, un trousseau de clés en main qu'elle jeta sur le bureau puis elle prit une feuille et griffonna quelque chose dessus. - Voilà c'est mon adresse et mes clés, tu prépareras le dîner, je reviendrai vers 20h, tu resteras habillée comme tu es mais tu auras ôté ton soutien-gorge et ton string et dégrafé deux boutons de ton chemisier. Charlotte, livide, acquiesça sans dire un mot. Lorsque Emmanuelle rentra chez elle il était vingt et une heures passé, elle s'approcha de Charlotte, la prit affectueusement dans les bras et l'embrassa, en ouvrant un coffret qu'elle avait à la main et en sortit un large collier, ras le cou en or, avec un médaillon gravé. - Je t'ai fait un cadeau, tu ne peux pas dire que je ne te gâte pas. - Ah bon ? Je ne m'attendais pas à ça, vraiment c'est gentil. - Avant de dire que c'est gentil, lis ce qui est gravé sur le médaillon. Elle prit ses lunettes et lu "Charlotte" en gros, puis en petit "Propriété d'Emmanuelle de Moras" suivi de son téléphone. - Non tu plaisantes !! Tu veux que je mette ça ? Tu n'as donc plus aucun respect pour moi ? C'est hors de question, tu vas trop loin maintenant. - Viens ici et baisse les yeux, tu veux que je me fâche ? - Non. Comme un robot elle approcha, Emmanuelle lui mit le collier autour du cou puis sortant une petite pince de son sac écrasa le fermoir pour qu'on ne puisse plus jamais l'ouvrir. - Attention, si tu l'enlèves, je te fais tatouer au fer sur le pubis. Le choix était tout fait.    Le jeu de leur relation était subtil et délicat. La directrice devenue soumise devait indiquer à sa Maîtresse les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas aurait rompu  l'harmonie et au-delà aurait brisé la considération que l'une porterait à l'autre. Progressivement Charlotte s’enfonçait dans la soumission totale, Emmanuelle avait l'intelligence de la faire progresser par paliers. Jusqu'ou l'amènerait-elle ? Charlotte qui était une femme BCBG avait une honte infinie, d'abord de se retrouver à agir d'une manière qu'elle jugeait totalement avilissante et inavouable mais de plus avec une jeune fille de vingt ans, qui non seulement aurait pu être sa fille, mais qui de plus était son employée. Malgré cela et contre son gré elle devait bien admettre que cette situation l'excitait. Elle savait qu'elle obtiendrait tout d'elle, même ce qu'elle n'osait pas avouer. Le lendemain, au travail elle reçu un SMS : Appelle moi à ton bureau ! Elle le fit, une fois entrée, Emmanuelle s'assit sur le canapé, retira son string et écarta les jambes, puis l'œil narquois. - J'ai une petite envie, viens ici ! Sans dire un mot, Charlotte qui avait compris ce qu'elle attendait d'elle s'accroupit et entama un cunnilingus, bien malgré elle elle était devenue experte en la matière lui léchant d'abord les grandes lèvres avec le plat de sa langue puis se concentrant sur le clitoris le titillant du bout de la langue d'abord doucement puis en accélérant, pendant ce temps elle pénétrait un doigt dans son anus, en faisait des petits cercles. La jouissance vint rapidement, une fois satisfaite dans un râle étouffé, Emmanuelle lui lui tapota la joue. - Maintenant, lèche moi l'anus, ce soir tu viens chez moi à vingt heures. Je sonne et au lieu d'Emmanuelle, c’est une belle inconnue qui m’ouvre riant de ma surprise. Je l'entends me demander de rentrer et de venir à la cuisine où elle s’active pour finir de préparer des cocktails. Charlotte fut effrayée à l'idée de ce duo infernal. Allait-elle devoir se soumettre en même temps à sa Maîtresse et à cette inconnue ?   Elle n'avait alors aucune expérience sexuelle de la pluralité homosexuelle, et éprouvait une certaine répulsion à l'idée de devoir se soumettre ainsi. Emmanuelle lui présenta simplement la jolie jeune fille. - Voilà, c’est Marion et ne ris pas, moi aussi j’ai franchi le pas, c’est ma femme me dit-elle en m’embrassant doucement sur les joues. Je pensais que toutes mes prévisions tombaient à l’eau et j’étais bien loin du compte en réalité. On s’installa au salon pour déguster les douceurs un peu alcoolisées qui avaient été préparées. Emmanuelle me raconta leur rencontre faisant référence à la nôtre en comparaison comme si elle voulait me la rappeler, en me narguant. Après trois verres, Marion mit de la musique douce et me demandant si j’aimais danser, elle me tendit la main; regardant Emmanuelle, elle acquiesça de la tête. Je me retrouvais dans les bras de Marion me guidant dans une danse lascive, ses ses mains sur mes reins. Emmanuelle nous regardait sirotant son verre quand les doigts de Marion se posèrent sur mes hanches faisant remonter ma robe sur mes cuisses découvrant le haut de mes bas tenus par un porte-jarretelles. - "Regarde ma chérie, comme elle s’est habillée pour toi la salope" lui dit-elle. Je ne pouvais pas nier que la lingerie La Perla en dessous de ma robe devait faire son effet. - Déshabille-la, elle adore ça dit en réponse Emmanuelle. Alors Marion fit glisser la fermeture de ma robe, me la retira, frôlant de ses doigts ma peau la faisant frissonner à ce contact. Elle me fit tourner sur moi-même pour laisser Emmanuelle me voir en entier. Au bout de quelques instants, celle-ci se leva, vint vers moi et m’arrêta face à elle et posa ses lèvres sur les miennes, m’en faisant partager le goût. Je me laissai griser par le plaisir quand je sentis Marion se coller dans mon dos. Bientôt Emmanuelle me fixa sur la bouche un bâillon-boule pendant que Marion me liait les chevilles avec des lanières de cuir reliées au canapé. Elle saisit ensuite mes poignets, qu'elle écarta en croix, comme mes cuisses. J'étais ainsi offerte à mes deux maîtresses. J'allais être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique. Ce fut Emmanuelle qui me flagella, sur le ventre, l'intérieur des cuisses et les seins. Puis, elles me détachèrent de façon à pouvoir prendre un peu de repos, mais cet intermède ne dura que très peu de temps. J’étais alors prise entre les bouches de ses deux femmes, désirant me soumettre. Marion dégrafant mon soutien-gorge pour qu'Emmanuelle pétrisse mes seins de ses deux mains. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche simultanément.    L'obéissance personnifiée. Leurs désirs sont des ordres. Qu'importe dès lors que l'on se serve de mon corps comme celui d'une putain ?J'étais en position, jambes docilement écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche ouverte, prête à être investie selon le bon vouloir de mes deux Maîtresses. Puis les lèvres glissèrent vers le bas, l’une dans mon dos, l’autre passant de mes seins à mon ventre. Doucement les quatre mains firent glisser mon string, leurs bouches sur mes fesses pour l’une et sur mon pubis rasé pour l’autre, me goûtant en totalité, en me faisant tourner sur moi-même au bout d’un moment pour explorer l'intégralité de mon corps pris en étau, de leurs langues intrusives et de leurs doigts gourmands. Je jouis une première fois, bien incapable de savoir sous la langue de laquelle cela se produisit. Puis elles me prirent par la main, et on se retrouva dans la chambre. Je m’allongeais docilement sur le lit, elles se déshabillèrent devant moi. Je découvris le corps de Marion, sportif, très sculpté qui vint s’allonger contre moi. Je pus le caresser, l’embrasser, le goûter, pétrir ses seins, leurs aréoles et les pointes très sensibles, en érection déjà, et son ventre parfaitement lisse. Emmanuelle m’encourageait en me caressant, tout en introduisant un doigt dans mon rectum, puis elle s’arrêta, me laissant au plaisir et à la merci de Marion qui me surprit, dans mon dos, par la dureté de l'olisbos dont elle s'était ceint à la taille. M'ordonnant de me mettre en levrette sans que ma langue ne perde les lèvres d'Emmanuelle et pour la première fois, alors qu’elle ne me l’avait jamais imposé, elle frotta son gode sur mon ventre inondé de cyprine et d’un coup, me sodomisa. Les mains sur mes hanches, la jeune fille poussa des reins, et le cône se prêta aux replis de mon étroite bouche. L'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue en se distendant. L'olisbos disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Elles eurent toutes deux le spectacle de mon corps arqué dans un spasme délirant de volupté. La fin de soirée dura un long moment, prenant du plaisir plusieurs fois chacune jusqu’à ce que la faim ne nous ramène nues à table et pendant que je finissais le dessert, Marion glissa sous la table avec sa flûte de champagne, m'écarta et me força à uriner dedans, à la porter à mes lèvres et à en déguster jusqu'à la dernière goutte le nectar encore tiède. Où était passée la fringante quadragénaire sûre d'elle ? - Qu’est-ce qui m’attend maintenant ? demanda Charlotte fébrilement. - Tu seras dressée par une Domina, une Maîtresse professionnelle. - Durement ? - Oui, très durement, tu franchiras un nouvel échelon dans la hiérarchie de l'esclavage. - La prochaine fois, lors d'une soirée privée, tu seras mise à l'abattage, mais ne t'inquiète pas les invités seront triés sur le volet, tu n'auras qu'à te soumettre docilement. Ces mots bouleversèrent Charlotte. Elle avait envie de lui répondre: - Ordonnez et j'obéirai, je veux vous surprendre pour que vous me placiez au-dessus de toutes les esclaves connues jusqu'à ce jour. Je suis capable de tout endurer pour simplement connaître le bonheur d'acquérir votre confiance et votre considération.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/11/17
"Tu porteras un serre-taille et un shorty. C’est parfait pour ce que j’ai en tête". Comme toujours, Madame a donné sa consigne pour ma tenue. Inutile de poser la moindre question, je sais que je n’aurai aucune explication. Bien Madame est la seule réponse possible -et admise. Le moment venu, je me prépare avec soin, longue douche brûlante, maquillage un peu plus appuyé qu’en journée mais, c’est l’usage, pas de rouge à lèvres. Madame n’ayant pas précisé la couleur du serre-taille, j’en mets trois dans un sac. Je choisis aussi plusieurs shortys, j’ajoute deux paires de bas identiques et des bottines pointues à fin talon. En attendant, j’enfile une petite robe noire près du corps et des bottes montantes. Un chèche, un fin blouson en cuir ajusté, je suis prête. A l’heure prévue, je passe chercher Madame. Son sac -*le* sac- est particulièrement lourd, cette fois. Il nous reste un peu de route à faire, moment pendant lequel s’installe une ambiance joyeuse. Je n’oublie jamais que la femme assise à côté de moi est une Domina sévère et exigeante, qu’elle a mon profond respect et que je lui appartiens, mais nos conversations en voiture ne sont pas très codifiées. Nous nous connaissons bien et j’ai le privilège, dans l’intimité, d’avoir une grande liberté de ton. La brat en moi fait surface, je plaisante, le tête-à-tête est léger. Madame est détendue, elle plaisante aussi, son rire est cristallin. Je trouve cette connexion parfaite. Nous y sommes. Je prends ma place derrière Madame pour entrer. Soixante-dix personnes sont là, le cadre a été aménagé pour jouer dans toutes les pièces. Rapidement, nous allons nous changer. Madame désigne pour moi un serre-taille rouge et noir et un shorty en dentelle noire qui m’arrive à mi fesses. La tenue qu’elle a choisie pour elle-même me laisse sans voix. Son corset en cuir met ses épaules et son décolleté follement en valeur, sa jupe ample en voile laisse entrevoir juste ce qu’il faut de ses courbes, ses jambes sont impeccablement gainées dans des bottes à talons hauts. Je la trouve magnifique. Le temps de déposer nos affaires au cellier transformé en vestiaire et je rejoins Madame. Elle croise amis et connaissances. Je suis le mouvement, à ses côtés mais toujours en retrait. Madame discute ici et là, embrasse des Dominants, salue des soumis. Je reconnais du monde et je découvre avec plaisir des personnes croisées uniquement en virtuel jusqu'à présent. Nous plaisantons un moment avec deux soumises de nos "dîners de filles" lyonnais, qui accompagnent leur Maître. L’ambiance générale est agréable et respectueuse. Dans cette maison aménagée en donjon, la température monte doucement. Les soumis des deux sexes prennent leurs consignes pour le dîner de leurs Dominants. Madame s’installe dans un canapé. Je propose d’aller lui chercher une assiette au buffet. Inutile de demander ce qui lui ferait plaisir, je connais ses goûts. A mon retour, un regard bienveillant, un léger sourire : "Merci Lily, tu peux aller te servir". Je souris aussi, merci Madame. Comme d’habitude y compris lorsque nous sommes seules, je m’assois à ses pieds, position naturelle, évidente. Madame veille toujours à ce que j’ai suffisamment de place. Tandis qu’elle discute avec ses voisins, sa main se pose sur ma tête et joue avec mes cheveux. Un de ses gestes ordinaires de propriétaire. Le dîner s'achève. Les soumis débarrassent et font circuler les cafés, puis les invités se répartissent dans toutes les pièces de la maison, aux lumières tamisées. Très vite, les premières frappes des martinets se font entendre, des mains claquent sur des peaux nues, des fouets se mettent à siffler. Des gémissements leur font écho. Je surprends quelques regards qui m’amusent. Il est vrai que Madame passe rarement inaperçue, avec sa peau sombre et douce aux reflets satinés, son profil délicat et son autorité naturelle. Sa main glisse dans mon dos. La caresse devient griffure. Ses ongles, manucurés mais naturels ce soir, s’enfoncent dans ma peau. J’ai un hoquet de surprise. La pression s’accentue, elle s’étend à mes épaules et à ma nuque. La main de Madame se fait douce à nouveau et caresse mes seins nus, soulignés par mon serre-taille. Puis elle griffe encore, de plus en plus lentement mais aussi de plus en plus profondément, tandis qu’elle empoigne mes cheveux dans un ordre silencieux de ne pas bouger. La douleur naissante fait monter le plaisir, je m’entends gémir doucement à ses pieds. Madame laboure ma peau. Elle pince mes tétons, pince encore, de plus en plus fort. Son autre main se referme sur ma gorge. Elle serre, dans ce geste de Domination dont je raffole. Je ferme les yeux et je respire son parfum. Son souffle s’accélère dans mon cou. Madame fait une pause, désigne le sac et se lève. "Suis-moi". Nous passons dans la pièce voisine. Un banc. J’y dépose le sac et j’attends. Le bruit de la fermeture éclair me fait frissonner, comme à chaque fois. "Penche-toi. Tes mains sur le banc". J’entends un petit rire, puis deux claques s’abattent sur mes fesses. Suivent deux autres, plus fortes. Encore deux, intenses. Les deux dernières sont magistrales. Ça fait mal mais j’aime. Quelques personnes passent discrètement dans la pièce. Moi, je ne vois rien à part ma Domina. Madame plonge la main dans le sac et je comprends que cette petite fessée n’avait pour but que de sensibiliser ma peau, de la préparer pour la suite. Du coin de l’œil, j’aperçois ce qui m’attend. Je grimace et je me crispe. Non, pas lui. J’expire bruyamment. "Tu sais pourquoi". Oui Madame. "Je n’ai toujours pas mon dû". Mes comptes-rendus. Je suis horriblement en retard dans leur rédaction. La punition, je l’ai sous le nez : un paddle de cuir rouge garni de têtes de métal. Ce terrible paddle. Mieux vaut le chat, mieux vaut le fouet que le paddle. Je le déteste et je le dis. Madame s’esclaffe. "Mais lui, il t’aime beaucoup. C’est ton ami. En position". Résignée, je m'exécute. En rythme, le paddle vient rougir mes fesses. J’essaie de retenir mes gémissements. La punition s'achève enfin et je sens la caresse d’une main douce et fraîche. Je bredouille merci Madame. "Ce n’est pas moi que tu dois remercier. Dis merci à ton ami". Je ne réponds pas. Son corps se plaque derrière le mien, sa voix chuchote à mon oreille, sadique et autoritaire. "Lily. Dis merci à ton ami". Je murmure, merci mon ami. Madame me retourne, me tient dans ses bras et me fait un sourire éclatant. Mon regard se verrouille au sien, je me détends. Comment ne pas sourire en retour ? Mes fesses cuisent mais je sais que la douleur s’estompera rapidement. Du moins jusqu’à ce que je m’assoie. Avec soulagement, je vois Madame remettre le maudit paddle dans son sac. J’entends tinter. Des chaînes. Madame m’a enchaînée pour la première fois il y a quelques mois, bousculant mes certitudes, effaçant des années de crainte. Sans doute n’avais-je jamais été suffisamment en confiance pour repousser cette limite. J’ai eu mal. Mais j’ai aussi été dévorée par un plaisir cérébral autant que physique. Chaque fois que Madame sort ses chaînes, les sensations sont différentes, mais toujours intenses. Ce soir, je trouve les chaînes particulièrement froides. Je frissonne tandis qu’elles s’enroulent autour de moi, un peu à la manière d’un karada, et passent entre mes jambes, compressant déjà mon sexe. Madame me fait légèrement pencher en avant puis sur les côtés pour donner du jeu et accrocher les mousquetons. Dès que je me redresse, les chaînes se tendent et je sens les maillons appuyer sur mes flancs, mes clavicules, dans la zone du sacrum et du coccyx. Me tenir droite -point sur lequel Madame ne transige pas- va rapidement devenir douloureux, je le sais. Des bracelets de cuir rouge se referment sur mes poignets et sont reliés par des mousquetons à la chaîne qui passe autour de mon bassin. Je ne vais plus pouvoir faire grand-chose de mes bras. Madame recule et me détaille, comme elle le fait souvent. Les yeux plissés, elle semble satisfaite et prend quelques photos. Du monde continue à passer, on admire et on complimente respectueusement. Madame apprécie et remercie. Puis elle finit d'accentuer la tension en reliant deux maillons au-dessus de mon plexus par l'attache d’une laisse. Un coup sec sur la laisse et je suis à quelques centimètres, partiellement entravée, de cette femme à qui j’appartiens. Je pose ma tête dans son cou, je respire son odeur, j’embrasse sa peau. Madame me parle doucement à l’oreille. Je sens poindre une douleur sourde, surtout sur mes épaules, accompagnée d’une chaleur diffuse qui monte dans mon sexe pourtant écrasé. Madame s’assoit sur le banc et m'enjoint de m’allonger sur le dos à ses côtés, ma tête sur ses genoux. Je repose sur les chaînes et mes fesses sont loin d'avoir récupéré de ma punition. Une main ferme mes yeux et j'entends le bruit d'un briquet. L'heure de la cire. Mais je n’imaginais pas que les premières gouttes allaient être pour mon front. C'est une bougie de massage, je sens une délicate odeur d’agrumes. La cire tombe et coule, sensation surprenante mais pas franchement douloureuse. Madame l’étale et masse mon visage. Je me sens glisser dans un bien-être à forte connotation érotique, les chaines scient mon corps, mes fesses font mal mais mon intimité palpite franchement. Comme pour me rappeler à l’ordre, Madame me griffe à nouveau, les bras, la gorge, les seins. J’entends son plaisir, qui décuple le mien. Elle malmène, elle tire, elle tord mes tétons et je gémis de douleur autant que d’excitation. J’ai toujours les yeux fermés. Alors je sens couler une autre cire, cuisante cette fois. Des filets brûlants se répandent sur le haut de mon corps. Mes seins griffés et mes tétons, pincés à vif, sont peu à peu recouverts. Je peine à retenir mes cris, Madame exulte. J’ai l’impression que les maillons des chaînes sont incrustés dans mes os et que ma peau va bouillir. Le parfum de Madame me transporte, je suis trempée de désir. Écartant les chaînes, Madame glisse enfin une main dans mon shorty... #BMOM
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Par : le 25/08/17
Ce texte est publié sous forme d'article avec l'aimable autorisation de sa rédactrice, Hamadryade.     "Parfois on me pose cette question, mais bien souvent, je croise des Dominatrices qui finissent par baisser les bras, par ne plus y croire, totalement désabusées et déçues par tout ce à quoi elles sont confrontées au quotidien.   Alors me concernant la réponse est simple, j'ai cru être Domina, mais le constat était sans appel, ça n'a jamais été le cas. Être autoritaire et indépendante dans le "civil" ne suffira jamais à faire d'une femme une dominatrice. Correction d'itinéraire en cours de route et aucune marche arrière envisagée ou envisageable. Sujet clos.   En revanche pour les Top-ines et les autres, pour ces FEMMES réellement dominantes et qui désespèrent de trouver le compagnon de vie qui saura se soumettre à leurs désirs à ELLES .... j'ai souvent de la peine et donc j'a eu l'envie de leurs prêter main forte et de leurs apporter tout mon soutien.   Du coup, suite à un post de Madame-L sur le mur général (https://www.bdsm.fr/murgeneral/wall/comment-id_17664/) et aussi à une question sincère d'un switch demandant où le bas blessait, je me suis amusée à tirer quelques fiches de soumis au hasard et à faire un petit (vraiment petit je vous le promets) florilège de tout ce à quoi ces femmes sont confrontées et qui finit par leur donner envie de rendre leurs cravaches.   Je n'ai trouvé aucune fiche n'exigeant pas, aucune fiche respectant les femmes auxquelles ces descriptions sont destinées. Parfois des profils totalement fermés ça oui, et alors ne vous étonnez pas de n'intéresser personne, mais pas une seule fois un profil qui sorte de l'ordinaire, qui donne envie d'en savoir + sur celui qui l'a rédigé. Bon je n'y ai passé que 15/20 minutes au max, et donc ma sélection n'est ni complète ni même objective, mais elles se rapprochent malheureusement énormément de cette triste réalité.   Alors voilà messieurs, pourquoi finalement vous ne trouvez jamais Domina à vos fantasmes. Vous ne vous concentrez que sur vous-même, oubliant systématiquement qu'avant d'être inscrite sur un site tel que celui-ci sous l'étiquette domina, celle que vous recherchez EST D'ABORD UNE FEMME. Avec des goûts, des envies, des attentes, des espoirs, des fantasmes de FEMME. Leur domination, ce n'est que la cerise sur le gâteau, que ce petit truc en plus qui pourrait transformer la relation que vous pourriez établir (avec beaucoup plus d'humilité pitié) avec l'une d'entre elles, en quelque chose de merveilleux pour vous 2.   Mais tant que vous ne fantasmerez que sur de la Dominatrix de papier glacé ou de pixel, alors vous aurez la garantie de devoir faire face à déceptions sur déceptions. Oubliez les récits fantasmés qui pullulent sur le net, les bandes dessinées érotiques, les images mises en scène, les livres gynarchiques etc. Oubliez tout ce fatras qui vous encombre les neurones et regardez avant tout en chaque Domina la FEMME. Tentez de la découvrir, de la séduire, de la faire vibrer émotionnellement, ne lui parlez pas de vos envies et autres exigences, apprenez à découvrir ses attentes à elle et je vous en supplie restez humble et oubliez toute l'obséquiosité dont vous croyez obligé de remplir les messages que vous lui envoyez. C'est insupportable. Stop les "divine Maîtresse", les "Oh ma Reine" et autres fadaises. Vous ne les connaissez pas et il n'y a qu'une minuscule chance qu'elles puissent devenir un jour VOTRE Maîtresse. La politesse ce n'est pas du léchage de pompe et du passage de la brosse à reluire, la politesse vous l'avez apprise enfant, c'est bête comme chou et ça change vraiment la donne.   Voici donc un petit florilège des passages que j'ai pu trouver sur vos profils et qui vous garantissent un échec en 2 secondes chrono :   La recherche tout zazimut, peu importe le flacon tant qu'il est sûr d'avoir l'ivresse   "La Maîtresse d'une vie ! ...ou une Maîtresse d'un moment... ou éventuellement une soumise..." / "relation bdsm, soumission avec femme, homme, couple" / "femme couple homme trans"   la recherche ultra ciblée (il sait ce qu'il veut mais qu'a-t-il a offrir en retour ???) dit aussi le soumis liste de courses "Recherche réel suivi : contraintes, humiliation, punitions corporelles" / "A la recherche d'une dominatrice maniant douceur et sévérité qui saura prendre en compte mes divers goûts..." / "Fétichisme cuir et naturisme souhaité." / "attache, enfermement, stage, obéissance, contrainte, services divers.. soirée privée, multi couples... chasteté et travestissement "léger" possible / "Soumis soft ! jeux humiliation !!! Fessés, gifles, uro" /. Je souhaite rencontrer des femmes black, dominatrice, vêtue d'un uniforme. Des femmes très sévères impitoyables ne cèdent pas aux soumis, pour réaliser des jeux de rôle, basés sur la domination féminine. Des spectatrices pour humiliation, seront les bienvenues."   la recherche dont tu sais que tu vas te coltiner tout le boulot et que tu n'as pas intérêt à relâcher une fois la bride sinon ça serra la preuve que tu n'es pas une vraie domina "soumis a éduquer par une femme autoritaire" / "une maîtresse qui me prenne en main qui me dresse" / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."   la recherche qui te garantit que ta jouissance et la queue de ton gars, bah tu peux oublier tout de suite. T'es Domina merde, tu n'as pas le droit d'aimer te prendre un coup de bite, c'est indigne de ton rang. " Je ne recherche pas de relation sexuelle (à proprement parler) mais une utilisation forcée et quotidienne au gré de la Volonté de la Maitresse." / "passif soumis je suis aux désirs et offre mon corps de soumis aux jeux de mes maitres".   la recherche qui te fait dire que le gars ne veut surtout pas devoir aller pointer à l'usine, toi tu fais bouillir la marmite, lui il attend que tu rentres pour le fourrer avant que tu ne fourres la dinde parce que "oh mais Maîtresse vous faites tellement mieux à manger que moi" "Mariage gynarchique" / "très soumis, gynarchiste, âme d'esclave"   la recherche MOI JE (souvent chez les jeunots, ils viennent de quitter maman et z'ont peur tout seul le soir) "Je recherche une domination de préférence suivi afin d'accroître mon expérience et découvrir de nouveaux plaisirs." / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."   la recherche ethnologique "Je suis a la recherche d'une Damme voulant bien me dresser et faire de moi son sujet d'expérience..."   la recherche cadrée dans le temps (Madame l'officielle part en vacances avec les enfants chez belle-maman, alors c'est maintenant ou tout de suite putain !!!) "A disposition cet été pour être placé en soumission domestique et sexuelle" Et tout ça n'est qu'un extrait minuscule de ce que l'on peut lire sur vos profils messieurs .... je suis certaine que les Dominantes de ce site ont du beaucoup plus lourd en stock.   D'ailleurs Mesdames si vous souhaitez partager tout ce qui vous insupporte (sans citer de pseudo, merci) ce post vous est offert. Et vu la masse de soumis en recherche de collier, même si seulement 2% d'entre eux évoluent un peu après cette lecture, ça fera déjà du monde ;) Ajout de Team BDSM : A lire également : https://www.bdsm.fr/annonces-dominatrices/
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Par : le 02/06/21
Mes debuts dans la Domination avec Miss Pestouille Une journée  pas comme les autres écrite à quatre mains Beau souvenir Nous devons nous voir avec Miss Pestouille     Moi : Je suis dans le train. Je reçois un texto de la Miss Pestouille qui a loupé son train. Pffff,  Je ne suis pas étonnée,  elle va me faire attendre ENCORE UNE FOIS!!! Je lui promets une fessée, encore une. Je patiente en faisant les magasins et en la maudissant. Elle arrive vers moi, enfin!!! Toute mimi, en jupe, comme je lui ai demandé. La jupe est bien courte, on voit la lisière de ses bas....  Elle : (ben oui, quoi, jamais fichue d'être à l'heure, je sais, pardon ma Dame, mais je me suis dejà excusée plein de fois... comment ça, j'ai toujours des bonnes excuses?  mais non c'est pas pour avoir des fessées en rab... :p Elle :  cela faisait deux semaines que nous avions envisagées de nous voir, cela faisait un bon moment. ça nous changerait chacune les idées, on se fait toujours de ces parties de rigolade! nous deux dans un magasin bdsm, je me rappelle encore de la première chez D., on s'était faites repérées et disputées car ma Dame posait pour des photos salaces (avec le plus gros gode du rayon, impressionnant, c'est qui la gourmande?   et aussi elle essayait des martinets sur moi, me faisant cirer de... surprise, et bien rire un dom qui assistait à celà . je pensais venir en tenue décontractée, mais en discutant la veille avec ma Dame, elle m'interdit le jean :(, jupe obligatoire. En même temps, je lui ai confié vouloir un serre taille et quelques achats, un corset peut etre, si j'ai un coup de coeur! -après une nuit courte et agitée, ben oui, j'avais le trac, elle me fait un de ces effets, ma Dame! ça et les discussions sur le minou au soir, avec quelques filles, Msr L... toujours aussi agréable euh ronchon, K qui reclamait des photos, alors qu'Il ne veut meme pas faire honneur aux enchères!!  ;) et s'invitait presque au dejeuner, pour finir par se défiler (Il a affreusement peur du Maitre de ma Dame, je vois pas pourquoi!).  j'étais toute excitée moi. Lever difficile, je me suis préparée non sans mal, distraite par ma Dame qui me salue et papote sur le net. je me suis faite toute belle, vu que je La rencontrais de nouveau!!! lisse, crèmée, dessous sexy, ma jupe et mes bas, un pj, un top assorti, hésitant entre escarpins et bottes, je mets les dernières et emporte les autres! je fus chargée comme une bourrique, qu'elle blonde, ah non, la blonde c'est ma Dame, pardon faut pas que je dise cela :) ça m'a fait tout drole, frissonnant a un moment, on aurait cru que je me préparais pour aller voir mon Maitre, ben non marre des doms, qui tiennent pas le choc, je préfère me consacrer à ma Dame pour qui j'ai eu un vrai coup de coeur. l'heure tournant, je suis partie à la hâté, oubliant mon tel, pffff... j'arrive a la gare, le train part devant moi... aie, je m'étais promise de pas être en retard cette fois!) je préviens ma Dame et prend le suivant, pour enfin la rejoindre, toute embarrassée mais ravie. Qu'est ce que je vais encore ramasser^! Enfin, je la retrouve, la salue, l'embrasse. Ses levres me frolent , Ouf! j'ai cru que j'allais devoir m'excuser a genoux en public, mais elle a trop faim, elle m'en fait grâce... vite il faut contenter Madame. En marchant, ma jupe me pose souci, la doublure remonte, j'essaie maladroitement et genée, dans la rue, d'y remèdier. Dame Hydréane, ni une ni deux, passe sa main sous ma jupe pour tirer sur la doublure, oui tu parles. me voila surprise, toute rougissante! Moi : j'adore tu rougis si facillement Pestouille ...   Nous allons déjeuner dans une brasserie sympa où le serveur nous drague, nous disant qu'il nous a vues arriver , que l'on était classe ( ba oui les soumises sont classes, il croit quoi celui la). - Oui enfin surtout ma Dame, trop élégante et sexy, avec sa robe boutonnée de bas en haut, qui remonte quand elle marche, devoilant ses magnifiques jambes. Elle est toute appretée, faisant très naturelle en même temps, juste ce qu'il faut, très attirante, il a raison ce serveur^^ mais grrrr, pas touche! deja que je partage Madame avec Msr S ****** faut pas abuser! nous discutons de tout et de rien, confidences entre filles... dejeuner bref mais bon, Madame dit qu'on a pas que ça a faire, des achats surtout!  je suis, je n'ose La contredire.  Moi : Direction le magasin M. (merci le GPS intregré dans le téléphone de Pestouille qui nous a beaucoup aidées)...  - Elle : et oui, Madame a un sens de l'orientation aussi aiguisé que le mien, donc ni une ni deux, nous sommes arrivées au magasin repèré par ma Dame, après quelques détours. je regarde au passage les vitrines, les robes, mais d'un ton ferme, Madame me rappelle qu'on est pas venues pour cela, qu'il faut se hater, je ne la savais pas si autoritaire!!! j'en frémis encore^^ Moi : Nous nous glissons dans le magasin, qui est assez classe, il y a peu de" jouets " , certains en vitrine. Les murs sont en vielles pierres. nous regardons, touchons et admirons tout. Mais la ou j'emmène ma petite Pestouille c'est au sous-sol ... - Elle : j'étais déja venue, ma Dame me montre les engins de torture (roulette pleine de pics, baguettes et autres), qui la tentent ; non pitié, je la supplie du regard de ne pas essayer ceux là sur moi, cette fois en plein milieu de la boutique, ouf elle renonce quand nous trouvons au sous sol ce qui m'interressait. j'ai bien essayé de La conseiller en matière d'intruments pour chatier son taquin de Maitre, mais elle ne veut pas ..  Moi : Nous tombons sur les serre-tailles que Pestouille recherche... elle en trouve un qui lui plait, mais doit l'essayer! direction les cabines d'essayage... Elle : je me la joue discrète, furete, regarde, il y a tant de choses à voir, tentantes et quelques modèles qui me plaisent, certains peu abordables dommage. mais ma Dame en trouve un sobre, qui me plait beaucoup. Elle interpelle la vendeuse, alors que je file en cabine. ou je commence seule à me devetir. la vendeuse demande si elle doit aider, je decline l'offre car....   Moi : Evidemment, je rentre dans la cabine avec elle, pas question de la laisser seule, elle serait perdue sans moi^^ et mon Maître m'avait ordonné de l'aider ^^ je me suis pliée avec plaisir à Ses ordres......... Elle :  j'ai pas eu le temps de dire ouf que nous voilà a deux dans la cabine, je continue à enlever le haut, un peu embarrassée et essaie de mettre ce fichu machin sublime. "Bah faut enlever ta jupe pour l'essayer!" me dit-Elle... euh oui Ma Dame, bon me voilà en dessous.  Moi : Déshabillage de la belle. Oups, mince, elle est jolie en dessous noir et porte jarretelle assorti (je me pose la question si c'est pour moi qu'elle a mis ça).... Elle : -oh merki, encore a rougir, et oui en réel, je suis bien plus timorée et là, Madame est bien plus devergondée, qui aurait cru... oui c'est pour elle euhhhh et pour me sentir aussi bien, attirante.  Cette idée évoquée en plaisantant me tentait bien, excitante situation qui ne m'est pas commune!   Moi  : Je l'aide, non sans plaisir, à mettre le serre taille.. evidement que le frole et la pince , elle rougit encore ... Elle : aieeeeeeeeeeeeee! mais comment il se met ce truc, je me suis coincée la peau, pis y a des attaches qui partent en haut quand j'essaie de mettre celles du bas, et encore on a pas resserré! ah faut enlever le soutien gorge? bon en temps normal oui mais la bon, et puis non hé, la vendeuse elle vient pas s'en meler, bientot elles vont ouvrir le rideau. Il me faut essayer deux tailles différentes et voila Madame et le vendeuse qui s'affairent a me trouver le bon. Pas de corset dans le même genre dommage...  Moi : Il  faut être deux pour le mettre, personne ne Me dira le contraire. (voire trois !)  Je frôle sa douce peau... Hum, Je serre fort le cordon.... - Elle (mais euh je peux plus respirer, oui c'est joli, ça fait la taille fine, mais euh c'est toujours aussi serré, ah ouf, ça se détend a force de le mettre ok!)  Moi :  Hum sa taille est vraiment cambrée, elle est vraiment belle ainsi.. oups claque sur ses fesses, Je ne peux m’empêcher...  Elle : rhooo mais pas ici, remarque depuis le temps que j'attends Ses fameuses fessées, après Son entrainement par un certain Maitre S.  Mouais, un peut plus fort , ça m'étonne pas, vu le pas pro-fesseur^^ Moi : On ajuste le serre taille, ça lui va bien Je trouve, il lui manque le collier.... Je prends des photos d'elle,  normal non , je la trouve trés belle avec ses seins qui ressortent .. Elle : merci Ma Dame, je suis ecarlate déjà, Vous en rajoutez, c'est fait exprès ou quoi? ??? Ah oui, le collier, la laisse aussi pour pas que je me perde dans le métro ou les rues du quartier en cherchant les boutiques^^ Moi : si tu me le demande pourquoi pas charmante Pestouille ... Elle : me fait me devetir peu a peu, je sens Son regard sur moi, puis Elle me touche, m'effleure, replace ce serre taille, quant à mes seins , Madame les prends dans ses mains pour les remonter .., redescend, le centre par rapport a mes fesses... Ses gestes assurés, sensuels, me donnent soudain très chaud, je risque pas d'attrapper froid, je suis toute tendue et emoustillée, quand elle sort de la cabine, le souffle un peu mais regrette déjà qu'elle se soit éloignée. je dois me rhabiller, Elle m'aide a défaire le vetement, Ses mains comme Sa vois sont douces, sauf quand elle monte le ton. Son rire, si cristallin me transporte... quoi des photos? oui je Lui appartiens, Elle a le droit sauf de les montrer à n'importe qui .. nous choisissons de faire d'autres en boutiques avant de succomber devant ce modèle et je me rhabille pendant que ma Dame le remet en place  Moi : Nous repartons d'abord, sans rien, décidées à voir le magasin dont MONSIEUR L .. nous a parlé.... Nous marchons un moment, cherchons le magasin des yeux : pas de magasin à l'adresse indiquée!!!  MERCI MONSIEUR LE DINOSAURE , le magasin est fermé!!!  Je maudis L... et promets de le fouetter à la premiere occasion.. vous n'aurez pas les photos pour cela! Elle : ah j'aime quand ma Dame exerce son courroux sur quelqu'un d'autre, ça va morfler, le fouet en plus^^ mais Il va pas supporter à son age, Madame... Que nous avons marché et monté d'escalier, épuisant, mais ça fait de jolies jambes il parait... très déçues de trouver une vitrine vide, maudit soit ce Msr L. notre vengeance sera terrible... Moi : Nous traversons Paris pour un autre magasin , où j'avais vu des corsets et serre tailles vers Pigalle. Coup pour rien car ils n'ont plus ce que l'on cherchait, mais J'ai quand meme pris un palabe et en  ai donné quelques coups sur les fesses rebondies de la pestouille ..  qui a eu les yeux qui brillaient!  Je sais qu'elle aime ça et son air quand elle m'appele Ma Dame ne me trompe pas..... Cher lecteur, Je ne peux vous dire ce qui s'en est suivi mais c'etait divin. Elle : je ne connais pas ce quartier, pas très bien fréquenté, elle est folle ma Dame, mais avec quel pervers Ma Dame à t'elle osé y aller , je me doute de qui , ça m'étonne pas, ma pauvre Dame ^^ Elle me montre un hammam libertin qu'elle apprécie beaucoup, toute émue, elle est si touchante et si belle, je l'admire tant... Quel courage de subir ce pervers , vraiment. le lieu a l'air a l'interieur très joliment agencé et l'ambiance, agréable. C'est très chaud, il parait. j'avais défié ma Dame qui disait qu'elle m'y ferait entrer, alors que je n'ai pas très envie, ne me sentant pas très a l'aise dans ce genre de lieu, mais Elle n'a pas osé, par manque de temps paraiit il. la boutique recèle d'autres trésors mais pas ce qu'on desirait trouver... peu importe, ma Dame et moi sortons et reprenons les transports! Elle doit partir donc je La laisse tristement s'en aller et suis bien décidée a aller retrouver ce modèle vu et essayé, qu'elle a touché de ses mains, frolant mon dos, mes fesses, qui lui a devoilé mes formes, cette fois^^   Elle : chacune est rentrée, sagement, et nous voilà des souvenirs plein la tête, eclats de rire, vives émotions, que de rouge aux joues et vagues de chaleur pour moi^^ Moi : nous ne nous reverrons pas de suite, mais j'en ai deja très envie. gardons pour nous les choses plus intimes.. Lady H et MissPestouille ...
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Par : le 29/07/21
Dans la rue qui conduisait au restaurant où elles devaient dîner, Juliette prit l'initiative de demander à sa Maîtresse Ka-Sandra de l'autoriser à se soulager dans le caniveau, ce qu'elle fit, agréablement surprise. Elle s'accroupit donc entre deux voitures et comme une petite chienne qu'elle voulait être ce soir-là, elle se laissa aller au besoin naturel, satisfaction qui se doubla de l'humiliation d'être observée dans cette posture intime. Au moment d'entrer dans le restaurant, sans que j'aie le temps de poser une question, Ka-Sandra me poussa dans le hall d'entrée de l'immeuble mitoyen et me tendit un walkman en m'ordonnant d'écouter la cassette glissée à l'intérieur et de suivre les instructions à la lettre. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette épreuve inattendue, je tentai d'intercepter le regard de Ka-Sandra. Mes jambes commençaient à trembler. Autour de moi, tout s'écroulait. Aurai-je la force, le courage d'appuyer sur le bouton "on" et d'écouter les indications ? J'ai alors réussi à contrôler les battements de mon cœur, et j'ai pressé le bouton pour écouter la bande. Voici scrupuleusement mot pour mot les ordres qui m'étaient donnés par ma Maîtresse Ka-Sandra. - "Dans le hall de l'entrée, appuie sur le bouton marqué au nom de Monsieur Alexandre. Prends l'ascenseur jusqu'au deuxième étage, c'est la porte de droite. Une très jolie jeune femme t'ouvrira, tu la déshabilleras et tu lui feras l'amour sans t'être déshabillée. Tu recevras ensuite un homme avec lequel tu devras te comporter avec gentillesse, tact et élégance. Tu le feras rentrer dans la chambre. Tu lui dégraferas son pantalon avant de lui ôter ses vêtements et tu donneras l'ordre à Valérie de se dévêtir. L'homme te remettra la somme convenue. Elle le masturbera sur ta demande et lorsque son sexe sera suffisamment en érection tu le prendras délicatement dans ta bouche. Tu t'allongeras ensuite sur le lit, en prenant soin de tenir tes jambes bien écartées. Allongée sur le lit, tu t'offriras à lui pour qu'il te prenne. Une fois qu'il t'aura prise, Valérie te léchera jusqu'à ce que tu jouisses dans sa bouche. Puis vous irez toutes les deux dans la cabine de douche où l'homme urinera sur vous. C'est son fantasme. Tu accepteras sans rien dire. Ensuite, tu urineras sur Valérie et elle en fera autant sur toi. Accepte cela et accomplis ta tâche." J'appuyai sur le bouton de l'interphone, sans rien ne pourrait commencer. Mes mains tremblaient et je sentis mon corps plus vulnérable encore. Aucune voix ne répondit. Je frappai à la porte, une très belle jeune femme apparût. Je commis ma première faute: j'oubliai de la déshabiller. Elle le fit elle même, avec grâce et naturel. Il me fallait réagir, si je ne voulais pas commettre une seconde erreur. Je commençais à embrasser son ventre doux et moite, délicatement parfumé, lorsqu'on frappa à la porte. Valérie parut étonnée de cette visite. L'homme entra. J'entrepris de dégrafer la ceinture de son pantalon suivant les instructions. Valérie acheva de le déshabiller et prit le sexe de l'homme entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après avoir ordonné sèchement à Valérie de cesser de le masturber, il m'ordonna de m'allonger sur le lit, et après avoir écarté et levé bien haut mes jambes, sans que je sois préparée, il me pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il demanda à Valérie de se mettre en position et la prit à son tour tout aussi brutalement que moi. L'homme demanda d'une voix autoritaire: - Laquelle veut me recevoir ? Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant que Valérie caresserait la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue. Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Je pensais fort à ma Maîtresse, à la fierté qu'elle éprouverait. Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour entre Valérie et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement. La sonnette de la porte retentit. Valérie se précipita pour ouvrir. Je la vis se jeter au cou de Ka-Sandra et fus stupéfaite de la dureté avec laquelle ma Maîtresse la repoussa. Valérie fut contrainte de se mettre à quatre pattes et eut droit à une sévère correction. Elle ne put retenir ses larmes sous l'effet de la douleur et le spectacle de cette jolie fille en pleurs m'émut étrangement. Après une minutieuse toilette, Maîtresse Ka-Sandra nous ordonna de nous rhabiller avant de descendre dîner. J'étais heureuse et très fière d'avoir accompli ma mission. Je lui remis l'argent de mon travail. Ce soir-là, j'avais réalisé l'un de mes fantasmes, me vendre. Hommage à Ka-Sandra, la Maîtresse de Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 12/08/20
La séance de nettoyage dura longtemps. J’eus droit à trois lavements, administrés par Ennia. Elle prit soin ensuite de me doucher, longuement. Ses mains savonneuses sur mon corps me firent retrouver une certaine vigueur, et la belle rousse ne se privait pas de quelques va et vient sur ma queue de nouveau bandée. Elle termina en épilant soigneusement ma raie culière et ponctua : -Maîtresse adore une raie bien lisse. Et je crois qu’elle te réserve une belle surprise pendant ton dressage. Enfin, peut-être pas pour tout de suite… mais je t’avoue que j’ai hâte de voir ça. Je plongeai mon regard dans le sien et elle se rapprocha jusqu’à presser son corps contre le mien. Nous venions de baiser comme des fous, mais nous avions visiblement encore envie l’un de l’autre. Elle posa sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un long baiser profond pendant lequel elle empoigna ma queue et me masturba très lentement. J’étais sur un nuage. Caroline avait raison. Ennia me faisait fantasmer depuis le début de l’année et jamais je n’aurais pensé vivre ces moments avec elle. Elle se recula un peu, me tenant toujours par la queue. – Tu as entendu ce qu’a dit Maîtresse Caroline. Je suis sa soumise, mais je suis aussi ta supérieure, et tu me dois respect et obéissance. Je sais que je te plais, beaucoup même. Tu me plais aussi, et j’espère avoir souvent l’occasion d’abuser de toi. A genoux ma chienne. Lèche moi un peu… Je lui obéis immédiatement, trop content de la goûter encore. Ennia debout, un pied sur le rebord de la baignoire, moi à genoux sur le carrelage, j’enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la dégustai très lentement. C’est dans cette position que Maîtresse Caroline nous surpris : – Mais vous êtes obsédés ou quoi ? La lope, debout, au milieu du salon, mais sur la tête, immédiatement. Quant à toi, ma chienne, en position, sur le fauteuil !!!. Caroline n’avait pas crié. Nul besoin. Sa voix dure et autoritaire suffisait à nous faire obéir. Je pris la pose ordonnée, et Ennia s’installa, le ventre sur le dossier du fauteuil de cuir, cuisses écartées, cul offert. Maîtresse Caroline s’approcha très lentement. – D’habitude, je te punis sans t’attacher. Mais là, entre tes cris de chienne obscène de tout à l’heure, et le fait que tu te fasses lécher comme un truie sans mon autorisation, je crois que tu mérites une vraie correction, qu’en penses tu ma chienne ? – Comme vous voulez Maîtresse Caroline. Je suis votre chienne, punissez moi, je le mérite. Caroline prit plusieurs cordes et lia Ennia au fauteuil, comme sur un cheval d’arçons, avant de lui poser un bâillon boule. Ennia me faisait face et je pouvais lire une certaine appréhension dans son regard. La situation m’excitait terriblement. Je n’avais jamais assisté à une punition, en réel. Je me contentais de vidéos trouvées sur le net. -Tu as le droit de crier ma chienne. Tu vas te retenir comme d’habitude, mais je vais te faire craquer tu vas voir. Le premier coup de cravache tomba. Le corps d’Ennia se tendit dans ses liens, et la douleur et la surprise emplirent ses yeux. Un deuxième lui arracha un bref gémissement. Caroline frappait fort. Le bruit, la vision d’Ennia attachée et de Caroline maniant la cravache, mon érection devenait incontrôlable. J’aimais ce que je voyais, ce que je ressentais. Et je remerciais en silence Caroline de m’offrir la concrétisation de mes fantasmes. Trois, quatre, cinq… Ennia gémissait à chaque coup. De plus en plus fort. Je ne voyais pas ses fesses, sans doute marquées sérieusement par la cravache vu l’intensité des coups. Mais je voyais son visage. Six, sept, huit, neuf…. Au dixième, elle hurla et rua dans ses liens. Les larmes coulaient et son visage était défait. Elle avait lutté, mais elle craquait. Maîtresse Caroline avait gagné. Onze, douze, treize, quatorze…. Ennia criait sans discontinuer, à moitié étouffée par son bâillon. Caroline prenait son temps. Aucun coup ne s’abattait au même rythme. Elle ménageait le suspens. Caressait la peau du bout de sa cravache, ou le passait entre les cuisses d’Ennia, pour venir tapoter sa chatte. Ennia s’apaisait un peu et Caroline frappait à nouveau, provoquant un autre hurlement de sa soumise. Je souffrais pour elle, et je croisais les doigts de ne jamais subir une telle punition. La douleur me faisait peur. Quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf….. -Je vais te passer l’envie de te faire baiser comme la dernière des salopes. Ton cul va te chauffer demain, en cours. Le vingtième s’abattit,le baillon étouffant un dernier hurlement. Ennia, le visage ravagé, semblait irradier la douleur. Et moi je bandais encore plus fort, fasciné par la scène qui venait de se dérouler sous mes yeux. Caroline posa la cravache et plaqua sa main sur la chatte de sa soumise. – Mais c’est qu’elle mouille cette chienne !!! Je te corrige et toi tu dégoulines. Tu es vraiment une pute en chaleur. Tu ne penses qu’à cela…. La prochaine fois, c’est ta chatte que je vais travailler. Ça te fera peut-être passer l’envie !. Caroline n’avait pas retiré sa main. Et je la devinais aller et venir sur les lèvres d’Ennia. Sans doute avait-elle enfoncé ses doigts pour la branler plus profondément. Je voyais le poignet de Caroline bouger d’un bon rythme, et Ennia gémissait de plus en plus fort. – Hmmmm laisse toi aller ma chienne, tu as bien enduré la cravache, je vais t’accorder une petite récompense express. Tu as 1 minute pour jouir. Pas une seconde de plus. Caroline accéléra encore le rythme de ses doigts. Ennia soufflait, criait à travers son bâillon, et elle jouit rapidement, en un nouveau hurlement. De plaisir cette fois. Son visage, bien que marqué par la correction, rayonnait. Elle semblait totalement ailleurs. Caroline retira sa main et me regarda. – A genoux la lope. Puisque tu aimes tellement le goût de sa chatte, viens nettoyer mes doigts. Je me précipitai aux pieds de Caroline, et pris soin de bien lécher et sucer chacun des doigts qu’elle présentait à ma bouche. -Hmmm c’est que tu aimes vraiment ça dis donc…. Tu as besoin d’un bon dressage. Je vais t’entraîner encore un peu, et je pourrai peut-être louer tes services de lécheur. Tu ferais des passes et tu lécherais des chattes pour me ramener un peu de fric, comme une vraie pute. Peut-être même que tu aimes aussi sucer des queues ? Hein ? Tu as déjà sucé une queue ma petite lope ? -Non Maîtresse Caroline, jamais Maîtresse Caroline. Cela me dégoûte. -Ca te dégoute ?!!! Parce que tu crois que c’est toi qui décides ? Tu te rappelles des vidéos ? Du directeur ? Je ne savais plus ou me mettre. Je sentais que je rougissais, et l’idée même de sucer la queue d’un homme me révulsait vraiment. -Je vous en supplie Maîtresse Caroline, pas ça. Je ne pourrai pas ! La gifle fut immédiate. – Tu parles si je t’autorise, sale pute. Tu suceras des queues si j’en ai envie. Je fais faire de toi une vraie lope, qui réclamera du foutre et des queue dures pour lui défoncer le cul !. Les mots de Caroline m’avaient ramené brutalement à la réalité de ma nouvelle condition. Je n’avais pas d’autre choix que de lui obéir. Même si le jeu allait trop loin à mon goût, elle avait les moyens de me contraindre à ce qu’elle désirait. Si elle voulait que je suce des queues, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir y échapper.
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Par : le 05/12/20
elle a fait de moi un soumis et bisexuel j’ai rencontré une fille qui m’a plu tout de suite, elle aimait chez moi mon côté un peu féminin ; je suis grand, mince, une musculature fine, cheveux longs et peu poilu sur le corps. Au fil du temps, mon côté féminin s’accentuait ; quand les 1er strings pour homme sont sortis dans les catalogues de vente par correspondance j’ai eu très envie d’essayer ; ma compagne n’était pas contre ; au final il y en a eu ensuite dans des grands magasins de vêtements et il lui arrivait parfois de m’en offrir. Elle trouvait ça très mignon, elle m’a même dit que j’avais un beau petit cul de gonzesse. j’avais pris l’habitude de lui faire un cunnilingus après mon éjaculation en elle, ce qui me faisait rebander aussitôt et me permettait de la reprendre avec vigueur. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu un jour faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. Elle n’a pas hésité longtemps pour me mettre un gode dans le cul. Elle a commencé alors à me traiter de « pédé » et ça m’excitait. Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, passif, soumis. Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non. Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un de ses amis. C’était un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique et plutôt viril. j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle. Chemisier noir assez transparent et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse. La discussion devint grivoise, et orientée sur le sexe. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors elle a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins et qu’elle et son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir. Quand je suis revenu, ils étaient entrain de s’embrasser, une main avait disparue dans les plis de la jupe, l’autre dans son chemisier, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ça ; Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j’en ai très envie. viens nous rejoindre dans le lit » J’étais incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être soumis à d’un homme. En arrivant dans la chambre je les ai trouvés nus enlacés. Quant ils se sont séparés j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une fellation. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien. Fait comme j’ai fait, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya sur ma tête d’une main et se masturba de l’autre. Puis elle s’est levée. Peu après, tout en continuant à sucer cette bite, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel lubrifiant. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon cul, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. Je sentais que le sexe devenait de plus en plus dur. Il se dégagea de ma bouche, et demanda « par qui je commence ? « Par lui » dit ma maîtresse avec un ton autoritaire. « Il en a envie et il aimera ça ». Cela me fis bander comme et je me sentais complètement soumis Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé mon anus, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me me traitait de pédé, d’enculé. Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, je me sentais vaincu, dominé et cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur de l’anus pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma compagne, en me faisant un peu souffrir. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas y à fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur de lopette Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait. « Retiens toi me dit-elle … Attends que je jouisse » J’ai à peine eu le temps de me rendre compte qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ». Après voir repris nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première « Te voilà dépucelé, maintenant viens me lécher pour me nettoyer » ce que je fis avec plaisir. Tu seras dorénavant à mes ordres. Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé.
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Par : le 28/05/20
Juliette m'avait préparée à vivre des évènements importants au cours de ce week-end. J'étais terriblement anxieuse de me retrouver face à un couple de dominateurs chevronnés, qui pratiquaient les rites du sadomasochisme depuis plus d'années que j'en avais moi-même vécu. Ils seraient accompagnés de plusieurs invités auxquels je m'offrirais. Une fois encore, ma principale crainte était de ne pas avoir la force et la volonté de me montrer à la hauteur des épreuves sur lesquelles on allait me juger, et à travers moi, ma Maîtresse. En tout état de cause, j'allais devoir donner le meilleur de moi-même, et considérer, dans les pires situations auxquelles je serais peut-être confrontée, l'honneur qui m'était accordé. Lorsque la porte d'entrée se referma sur moi, ma déception fut vive. Mes yeux s'équarquillèrent et je passai en revue l'espace des pièces où l'on me conduisait sans y déceler la moindre trace de matériel, d'accessoires, ni même l'ombre d'une ambiance SM. Cette première soirée dura environ trois heures. Selon le rite cher aux initiés, c'est la Maîtresse qui présente son esclave, afin que ses hôtes puissent se rendre compte de ses limites réelles et ainsi l'utiliser au mieux par la suite. Selon le désir de Juliette, je relevai ma robe puis j'écartai mes jambes en me cambrant. Cela accentue la courbe de mes reins et met en valeur le galbe de mes fesses musclées. Se présenter ainsi oblige l'esclave mise à nu à mettre son corps en offrande quels que soient ses défauts, à mieux se connaître et à mieux s'assumer. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié sans concession. L'être ainsi exhibé apprend le pouvoir de son corps et l'esclave tire sa force de la fascination qu'il exerce sur la Maîtresse. Dans la salle plongée dans la pénombre, j'entendais des gémissements, où maintenant des corps s'entremêlaient. Une grande femme brune, aux seins fermes, à peine dissimulés sous un chemisier transparent, chaussée d'escarpins Louboutin, aux jambes interminables, galbées dans des bas à couture noirs, s'offrait à trois hommes qui la prenaient, allant et venant, dans les trois voies qui leur étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche. Plus loin, une soumise à la tête rasée, les cuisses renversées, criait sous les caresses d'une jeune fille, raidie sous sa langue. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller; sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaitre l'aréoles de ses seins; Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge. Un cercle se forma bientôt autour de l'alcôve, avec autant de verges tendues que de participants, n’attendant plus que sa langue et sa bouche pour les enjôler; elle voletait de l’un à l’autre, au gré de leur ardeur; le premier à se libérer maintint fortement sa tête, jusqu’à que la source ne fut tarie; elle avala la précieuse semence qui inondait sa gorge; l’un après l’autre se délivrèrent; le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton; l'un des invités se coucha sur le dos et la fit l’allonger sur lui, il la bloqua aux épaules et la pénétra en la forçant à se cambrer. Pendant qu’il la prenait, un autre s’intéressa à son orifice le plus étroit et y introduisit alors un doigt; approchant sa virilité de ses reins offerts, il la sodomisa brutalement avant de se retirer libéré; un autre, stimulé par la facilité à laquelle elle se prêtait à cette double pénétration, prit rapidement la place et éjacula en longues saccades; ils furent trois à choisir cette voie exiguë, à mêler leur foutre dans les entrailles de la jeune femme masquée qui n'était plus qu'un réceptacle béant. Ma peau subit assitôt le contact de mains froides posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Ces mains inconnues, redoutées et tant attendues, me palpèrent, me flattèrent, comme si elles voulaient à la fois découvrir mes formes et mes pensées; j'ouvris davantage mes cuisses afin que les doigts attentifs puissent m'explorer en totalité. Lorsque ma Maîtresse qui me testait fut parfaitement convaincue de mon absolue docilité, les Maîtres entreprirent d'autres jeux. Une cravache noire me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un rugissement. Il est connu que l'alternance de la douceur et de la violence contribue à dresser les esclaves réticents: mais moi, pauvre débutante désireuse de bien faire pour le bonheur de ma Maîtresse, je ne savais rien de tout cela et crus être punie pour une faute commise à mon insu. Aurais-je déplu par ma position ? Mon regard, malgré moi, se serait-il montré insolent ? La rigidité de la cravache enflammait mes reins et mon dos. Les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un bon mois. Juliette me promettait parfois de me fouetter, comme s'il s'agissait d'une récompense Insensiblement, la douleur parut s'atténuer pour laisser place à une sensation de plaisir diffus. Les coups devenant plus légers, plus dirigés, je compris soudain que j'allais jouir. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, j'éprouvais la délicieuse honte de me laisser aller à gémir, en fléchissant légèrement les jambes pour serrer mes cuisses, et je connus un orgasme qui enchanta ma Maîtresse et ses hôtes. Une fois la fulgurante jouissance dissipée, je sentis revenir la douleur me tenailler et, avec une inconscience rare, j'osai imporer leur pitié. Les invités se regardèrent, déçus et interloqués. Ils décidèrent de me faire payer ma faiblesse. Ce fut ma Maitresse qui me conduisit. Je fus placée face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que ma tête dépassait d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même temps. Juliette m'installa. J'étais en position, jambes écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche déjà ouverte, prête à être investie selon le bon vouloir des invités. À me voir ainsi soumise, leur colère s'apaisa. Qu'importait dès lors qu'un homme se servît de ma bouche comme celle d'un esclave docile. Qu'il me malmenât et m'abreuvât de son plaisir. Impatient de se satisfaire à son tour, un autre homme prit la place du précédent. Il me baisa la bouche, ma langue lui servant d'écrin. J'accomplis cette fellation avec un recueillement mystique. Pendant ce temps, un troisième utilisait mon vagin sans ménagement. Excité par le spectacle de la fellation que je pratiquais, il décida brusquement d'utiliser mes reins, qui, comme la totalité de mon corps, étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal et je trouvai le courage de ne pas gémir dans le regard de ma maîtresse qui m'observait intensément; je comprimai sa verge avec mes deux mains au même rythme que les coups qui me projetaient en avant. Je croyais l'épreuve terminée, mais un troisième sexe plus épais que le précédent força les lèvres de mon vagin. Je ne comprenais plus. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qu'il se passait autour de moi. J'étais prise, on me pénétrait, j'étais aveugle, je ne reconnaissais aucun des invités. Je compris enfin que le membre qui me pénétrait était un olisbos à ceinture dont ma Maîtresse s'était ceint la taille. Cette audace m'excita. Je me sentis fondre, mon ventre se liquéfia. Avec un vocabulaire outragieusement vicieux, elle exigea de moi que je me cambre davantage, que je m'offre afin qu'elle puisse me remplir jusqu'au fond. Je cédai à l'impétuosité d'un ogasme que j'aurais voulu pouvoir contrôler, tout simplement parce que c'était la première fois qu'une femme me pénétrait ainsi. Je jouis avec la certitude que ma Maîtresse connaissait elle-même le plaisir en m'empalant comme si elle avait été un mâle, un de ces mâles qu'elle aime dresser pour les humilier dans leur machisme. Epuisée, quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur mes épaules, Juliette se décolla de moi comme l'animal après l'accouplement et m'aida à sortir de mon carcan. Après m'avoir conduite à la salle de bain, où elle me doucha, elle m'ordonna d'aller rejoindre les hommes. Ainsi, j'étais l'objet de plaisir de ces trois hommes et de cette femme. Juliette parut subitement échauffée: elle s'approcha de moi, me coucha sur le sol, écarta ses jambes et exigea avec humeur que je la lèche comme une chienne. Je lapai son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce, et ce contact nouveau me transporta. Ses cuisses musclées s'écartaient sous la pression de ma langue et de mes dents. Elle ouvrit davantage son sexe et se libéra violemment dans ma bouche; surprise par cette véritable éjaculation, je connus un nouvel orgasme qui me tétanisa, lorsque je pris brutalement conscience que je jouissais sous l'autorisation de ma Maîtresse. Un homme plaqua mon ventre contre la table et m'ordonna d'écarter les cuisses. D'un coup de rein brusque, après avoir observé le spectacle impudique que je lui offrais malgré moi, il pénétra mes reins en criant avec fureur. Je me laissai sodomiser par cet homme auquel Juliette m'avait prêtée, car tel était mon devoir. Une jeune femme, intégralement nue, soumise également, me rejoignit. Elle prit le sexe de l'homme qui venait de me sodomiser entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après lui avoir ordonné sèchement de cesser de le masturber, il lui demanda de s'allonger sur le sol et après avoir écarté et levé bien haut ses jambes, sans qu'elle soit préparée, il la pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il me demanda de me mettre en position et me reprit tout aussi brutalement. Il demanda d'une voix autoritaire: - Laquelle veut me recevoir ? Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant qu'elle caressait la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue. Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour entre la jeune femme et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/09/21
J’étais tendue cette après midi. Nous allions rendre visite à un de ces couples d’amis. Une après midi piscine. Isabelle et Jean avait une superbe maison en pleine campagne. Lui était architecte. Cela se voyait à leur maison. - Hey, salut Véronika. Comment vas-tu ? - Salut Isabelle. Ca va bien. - Ah tu n’as pas l’air en grande forme. Elle nous accueillait si chaleureusement. M. rejoignit son ami. Je discutais avec Isabelle dans la cuisine. J’étais fan de leur intérieur. - T’es sur que ça va ? tu as une petite mine. - Oh j’ai juste un début de névralgie. Je vais prendre un truc et ça passera. Ma semaine a été horrible. - Tu as ce qu’il faut ? - Oui je vais voir dans mon sac. Je me massais les cervicales. Elles me pourrissaient parfois la vie mais il fallait composer avec. Mes névralgies ne choisissaient jamais le bon moment. Les hommes étaient au bord de la piscine. - Champagne !!! Je souriais malgré moi. Le médicament semblait ne pas trop agir. Isabelle se leva vers moi et me dit - Viens, je ne peux pas te laisser en souffrance ! - Suis moi ! La suivant, elle se dirigea vers la porte d’entrée. - J’ai en bas une salle de soin. Je vais m’occuper de toi. Tu me peines de trop d’être en souffrance. Je ne comprenais où elle venait en venir. - Je ne le dis jamais car ça m’énerve quand les gens savent ce que je fais mais j’ai une formation de kiné, j’ai arrêté il y a quelques années mais j’aime toujours faire des soins de détente de temps à autre. Elle était comme une providence ! - déshabille toi ! - Je suis gênée Isa.. là - Mais non pas de ça avec moi, laisse moi de détendre, te faire du bien. On est entre filles! Elle s’était mise face à moi. Elle était si mince, grande. Elle avait ce naturel. Ses grands yeux bleus, sa blondeur. Elle en imposait. Elle commençait à installer la table de massage qu’elle avait. Elle tamisa la lumière et alluma quelques bougies. - Enlève tes vêtements et installe toi ! - Isa, je suis gênée! - Mais de quoi ? - Je.. Je n’ai pas de culotte sous ma robe. - Ce n’est pas grave ! mets toi nue M. m’avait demandé de ne pas en mettre. Cela m’excitait. Mais là pour le coup je me sentais prise en flagrant délit. Sur le ventre, installée sur la table de massage, je prenais de grande respiration. J’avais si mal, ça tambourinait. Le médicament avait légèrement agi mais je sentais cette contracture. - Bien à nous deux ma belle. - Je vais te bander les yeux pour que tu sois dans le noir. Je sais combien on n’est pas bien quand ça tape dans la tête. Profite maintenant. Elle commença par positionner mon corps. Elle m’installa sous le ventre une sorte d’oreiller remontant mon fessier. Cela me faisait du bien au dos. Elle écarta mes jambes, mis mes bras le long de mon corps. A la première pression qu’elle exerça sur mes pieds, je sentis ce contact qui allait me faire du bien. Cette main masseuse, je la ressentais. Elle avait les mains d’une douceur et d’une certaine fermeté. Je sentis alors l’huile, qu’elle avait chauffé, coulée sur mes jambes. Elle commença par un divin massage des pieds. - Tu aimes ? - Oh… c’est si… - Maintenant profite. Je vais te faire du bien. Tu as une peau si douce, c’est un plaisir de te masser. - Humm.. merci Je sentais ses mains danser sur mes mollets, mes cuisses. Elle devait avec une vue sur mon sexe, j’avais une certaine gène qui ne dura que quelques minutes. Le plaisir de ses mains me faisant un tel bien. Elle effleura mes fesses, puis plus naturellement elle vint les masser. - Isa… je.. - Il y a pas mal de tensions dans tes fesses, je le ressens, juste ici… Elle toucha un point qui me rendit folle sans que j’ose l’avouer, sur la partie haute de mes fesses. Elle continua de les masser, de les malaxer. Cela me faisait de l’effet malgré moi. Je sentais les effluves de son parfum. Bien que je ne sois pas du tout attirée par les femmes, isabelle dégageait quelque chose que je lui enviais. - Voilà détend toi… - Humm.. ca fait tellement du bien Isa… Elle continua son ascension vers mon dos. Je n’attendais que cela même si sentir ses mains masser mes fesses me manquaient. Je me dandinais presque. Pour une fois que j’abusais de quelqu’un.. me faire masser. Que du bonheur. Ses mains si douces m’effleuraient, cela me détendait mais je sentais la professionnelle masser comme il fallait. Quand elle arriva à ma nuque, elle rabattit mes cheveux vers l’avant. Ses griffes se posant dans mon cuir chevelu., mes cervicales. Elle me grattait la tête, c’était divin, cette partie des cervicales si sensible. - Oh oui.. J’adore ça… humm. Tu me fais un tel .. bien Isa. Ma voix se perdait, la détente m’envoutant. Elle tirait légèrement sur mes cheveux, revenait masser mes cervicales. Placée devant ma tête, je sentais son ventre juste au dessus de ma tête. Ses deux mains avançant jusqu’à mes fesses pour remonter à nouveau vers ma tête. Ses mains expertes savaient où elles devaient aller. - Quelle cicatrice tu as ! Harrington ? - Hum hum.. - Je vois… Puis elle se mit sur le coté et effleura avec la pulpe de ses doigts mon corps. C’était si relaxant. Elle redescendit vers mes mollets et s’attarda ensuite sur le creux de mes genoux. Elle provoquait en moi quelque chose d’indescriptible ; Je me sentais mouillée malgré moi. Je voulus resserrer mes jambes - Garde les ouvertes ! Elle avait pris un ton doux et autoritaire à la fois. - Je n’ai pas fini. Elle monta sur la table, se mettant sur ses genoux à hauteur de mes pieds. Chacune de ses mains sur chacune de mes jambes. Elle continuait à masser, à exercer des petites pressions, remontant jusqu’au bas de mes fesses. Mes lèvres s’étaient entre-ouverte, ma mâchoire complètement détendue. Elle fit couler à nouveau de l’huile sur le creux de mon dos entre mes salières. - Hummm c’est … - Chut…. Elle prit de pleine mains mes fesses pour les enduire d’huile. Parfois, elles les écartaient en me massant, offrant à sa vue, je l’imagine mon petit trou. Dans ma tête, étais-je en train de rêver ou Isa voulait plus ? Je me sentais intriguée. Cela est une sensation unique pour moi que de vivre cela. Je ne me considère pas bi. Je n’ai jamais eu cette attirance, mais j’avais juste là, à ce moment là l’envie de me laisser faire. Ses doigts faisaient plein de petite pressions sur mes fesses, ses pouces étaient entre mes cuisses sans toucher mon sexe. Elle faisait monter mon excitation incontrôlable. Elle ne cessait ainsi de jouer avec moi sans toucher mon sexe. Mais peut être que ce n’était que mon imagination qui me jouer des tours. Son massage était de plus en plus intime. Elle prenait un soin particulier à rester autours de mes cuisses, de mon entrejambe. Ecartant outrageusement mes fesses avec la paume de ses mains, je rougissais. Je n’osais plus bouger, je me laissais faire car c’était si bon. Et si M. me découvrait ainsi ! Je commençais à vouloir me relever. C’est là qu’elle commença à poser 4 de ses doigts sur ma chatte. - Ne bouge pas…chuchotat-t-elle. - Laisse moi continuer à te faire du bien. Je reposais ma tête Je n’osais plus rien dire tellement ses doigts fins et doux me rendaient folles. Je décidais de lâcher prise. Elle caressait avec légèreté mon intimité jouant avec la pulpe de ses doigts, sa main toute entière. Remontant de mon clitoris à mon anus. Elle écartait, mettait des petites pressions me rendant folle. Je me dandinais, expier mon désir par des râlements. Doucement, ses doigts tournoyaient autours de l’entrée de ma petite chatte.. Je sentais combien j’étais ouverte quand elle m’enfonça un premier doigt. Dans une infinie douceur, ce va et vient, puis ce second doigt. Son autre main caressait mes fesses. Elle descendit alors sur mon petit trou et elle s’amusait à en faire le tour avec la pulpe de ses doigts. Un troisième doigt disparu dans ma chatte. Mon corps ondulait. Elle entrait, sortait, entrait sortait, pour rajouter encore un quatrième doigt, ressortant pour ensuite caresser mon clitoris et prendre ma mouille dégoulinante. Elle continuait de me masser tout en gardant cette main ferme qui faisait que je ne pouvais que me laisser faire et garder mes jambes écartées. Quand je sentis son pouce voulant entrer dans ma chatte, je gémissais. J'avais toujours fantasmer sur cela. Je sentais sa petite main se frayer un chemin en moi. Ma chatte lui cédait, ouverte, chaude et accueillante. Elle prit son temps à me fister. - Humm tout doux ma belle... on y est presque.. regarde comme elle rentre. Une fois à l'intérieur, elle commença par des petites vibrations. des vas et vient doux. Je gémissais encore et encore. Sa main se fît plus possédante, plus profonde, plus ferme. Quand elle se retira, elle caressa ma chatte de pleine main, pleine de mouille, d'huiles.. Elle se releva, pour se placer à coté de moi, sans que nous disions mot elle glissa sa main sous mon ventre. Elle caressait mon clitoris et de l’autre me doigtait. Elle entrait ses doigts bien en profondeur, me fouillant. Je gémissais toujours. - Hummm.. ahhhh… ahhhh.. Chaque coups de doigts allait toujours plus au fond. Quand elle resta bien au fond pour me fouiller, me masser de l’intérieur. Elle se stoppa soudainement et m'ordonna de me mettre sur le dos. Une fois sur le dos, elle se mit au dessus de ma tête. Elle commença alors par me caresser le visage. Elle descendait ensuite sur mon décolleté et saisi mes seins. Elle les malaxait, les prenant de pleine main. J’étais complètement huilée mais aussi à sa merci, sous son emprise. Tout glissait naturellement. JE gémissais. Elle tournoyait autours de mes tétons, les attrapant, sentant combien ils étaient dressés, gonflés par le désir et le plaisir qu’elle me provoquait. Elle tournait autours de moi et attrapa mes jambes. elle me tira vers elle vers le bord de la table et remonta mes jambes sur mon ventre. - Hummmm… entendais-je… - Ne bouge pas… tu es si divine ainsi. Elle caressa alors mes fesses repassant à nouveau sur mon sexe et me pénétrant à nouveau avec ses doigts. Cette fois ci je sentis sa bouche se poser sur mon clitoris. Je sentais sa langue l’aspirer tout en appréciant son doigté. J’aspirais ses doigts en moi. Je me sentais honteuse de profiter ainsi. car je n'avais pas envie d'elle comme elle s'occupait de moi. J'avais la sensation d'abuser. Elle se plaça la tête entre mes jambes et écarta mes petites lèvres. Elle donna de gros coups de langue et me pénétra avec. Elle commença à lécher également mon anus remontant jusqu’à mon clitoris. Elle était en train de me dévorer. - Ahhhh… Ohhhhhhhhh… je gémissais si fortement. Elle me possédait totalement, elle eut raison de moi quand elle me prit par l’anus. Des doigts dans la chatte, dans l’anus. J’étais au nirvana. Ses doigts inquisiteurs me prenait fermement. Je sentais sa poigne, mes seins subir chaque coup, remontant et descendant comme lorsque me baisait. Je gémissais encore et encore. Je n’étais pas loin d’être au bord de l’extase. - C’est ça ma belle.. détends toi ! - Ahhhhh… ahhhhhhh…… - Oh oui gémis, tu m’excites.. continue de gémir ainsi … Elle insistait encore plus quand elle retira tous ses doigts. Elle effleura à nouveau mon sexe. Je tremblais de tant d’excitation. Je ne savais pas ce qu’elle faisait j’entendais quelques bruits. Je sentis alors la froideur au niveau de mon anus. - Hummmm… ça rentre comme dans du beurre, je t’ai bien dilatée.. Je vais t’orner d’un magnifique plus en cristal dans ton petit cul. Elle s’amusa à le faire entrer et sortir tout en me suçant le clitoris, de me doigter Je n’en pouvais plus. Elle me fit exploser . Je jouissais fortement. Elle tenait alors mon ventre, tout en lâchant pas mon clitoris. Je ne m’appartenais plus. Ma névralgie avait complètement disparue. - Je pense que tu es bien détendue. Elle s’approcha de moi, et à mon oreille me dit. - Maintenant, on va remonter. Tu vas garder ce plug dans ton petit cul. Dis toi que Jean va sentir que je l’ai léché quand je t’ai brouté ta petite chatte. Tu t’es bien laissé faire, je dois le reconnaitre. Je lui dirais combien que je t’ai doigté et de fister. Je lui murmurait tout ça à l’oreille. - Isa.. mais arrête. Elle mit sa main autours de mon cou et continua. - M. va se demander pourquoi tu as un plug dans ton cul. Repense au bien que je t’ai fait à l’instant. Jean lui sera excité et M.tout autant j’en suis certaine. J’imagine combien il va te baiser et de prendre la chatte avec ce plug dans le cul. Tu seras accueillante et si ouverte.. je regrette presque de ne pas être là pour le voir.. Je me relevais, me sentant fautive, honteuse. - Relève toi et réhabille toi. Je reste ici, je veux être certaine que tu le gardes bien en place. Elle ne ratait pas une miette. Elle me regardait remettre ma robe. Je me sentais terriblement mal d’etre si trempée. Elle ne me laissa même pas la possibilité d’essuyer toute ma mouille. - Isa, je me sens honteuse! je ne suis pas attirée par les femmes.. je.. - Tais toi, j'ai eu envie de te baiser dès que je t'ai vu. Ne t'inquiète pas Jean va bien me baiser après. Elle me regardait avec désir. Elle s'approcha pour plaquer contre le mur et saisir mon sein gauche. - Tu n'es pas attirée par les femmes, mais tu adore te faire prendre de partout, homme ou femme.. Eh bien la prochaine fois je te baiserais avec un gode ceinture. Elle relacha la pression, je me sentais honteuse d'avouer que l'idée m'excitait. Elle m'impressionnait. Nous remontions les escaliers. - Ejh bien vous êtes parties longtemps les filles. Je rejoignais M. - Oh tu as l’air détendu ma chérie.. - Humm.. oui.. je le suis, répondais-je en baisant les yeux. Je vis Isabelle murmurant à l’oreille de Jean. Elle l’embrassa sauvagement. Ce dernier me regardant. Je le voyais regarder mon entrejambe puis il me dit - Tu as l’air en effet si détendu. Isabelle a des doigts de fée et une main de velours, je le sais ! Je vis son sourire et son regard mêlé d’excitation. M. Lui me regardait. Isabelle s’adressa à M. - Je lui ai ouvert ses chakras. - Ah oui ? tu sais Isa je n’y connais pas grand-chose. Je ne savais quoi faire. Le repas se fit alors que j’avais son plug dans mes fesses. Je voulus allez aux toilettes mais Isabelle me surveillait du regard. Pourquoi l’écoutais-je ? Au fond j’étais terriblement excitée par la situation. Comment avouez à M. que je m’étais laissée faire par Isa. Nous avons l’un pour l’autre cette transparence. Une ligne de conduite de tout se dire, nos envies, nos fantasmes. Mais celui-ci nétait pas dans ma tête. En disant au regard à Jean et à Isabelle, cette dernière murmura quelque chose à M. Il me regardait, ses yeux complètement éclairés. - Passez une belle soirée nous disaient Jean et Isa en même temps. Sur le chemin du retour M il s’arrêta dans sur un chemin de forêt. - J’ai terriblement envie de te sauter là. Il agrippa mes cheveux et plaqua mon visage contre sa queue dure. - Regarde l’effet que tu me provoques.. . Il me redressa puis me tenant par le cou me dit. - Caresse toi maintenant et raconte moi ! Je… je baissais le regard. Je lui racontais dans les moindre détails ce qui s’était passé avec Isabelle. Je voyais ses yeux briller. - Quelle salope tu es. Te faire lécher ainsi, doigter, et surtout faire! Je ne savais pas s’il m’en voulait ou s’il était excité ou les deux. - Va ouvrir le coffre de la voiture, maintenant. Tu mettras ta tête à l’intérieur et tu me tendras mes fesses. Tu m'attendras ainsi. Je pense qu’avec ce que tu m’as dit, ta chatte et ton cul sont bien béants. Je m’exécutais. Je plaçais mes mains sur le coffre, ma tête à l’intérieur. Je lui tendais mon fessier. L'attendant, offerte et suppliante. Sans aucun ménagement il vient vers moi. Il déboutonna le haut de son jean et sortit son sexe. - Remonte ta robe sur ton cul. Il commença à me caresser les fesses. - Humm si douce… si huilée, si trempée.. Il me donna la fessées avec sa queue. - Continue de me parler, comment elle t’a fistée. Pendant que je remontais ma robe, je ne lui avais pas encore parler du plug. - Oh.. sacrée Isabelle… Puis il me prit sauvement par la chatte. Il agrippa ma hanche. Sa frénésie à me prendre. Je compris combien cela l’avait excité. - Ainsi.. Isa t’a fistée et tu ne me dis rien ma salope. - AHh… ahhhhh… oui.. elle .. m’a….. - Je demande à voir cela la prochaine fois petite chienne ! as-tu aimé ? - Je… ahhhh… ahh… ooouiiiii. - Tu aimes que je te prennes comme ça avec le cul rempli - Ahh…. Ahhhhh… ouiiiiiiiiii… ouiiiiiiii.. monsieur. Il ne se contenait plus. Ses coups de queues si fermes. Il se retira et éjacula sur mes fesses. - Reste comme ça … Je sentais le sperme couler sur les fesses. - Hummm… hummm tu m’as bien vidé là…. Il m’aida à me relever et m’embrassa avec une infinie tendresse. - Dire que j’ai raté ça ! Je lui souriais. Il m’avait ôté ce poids de culpabilité. è - Je savais qu’isa avait des tendances bi, elle m’a confié qu’elle te trouvait jolie. Ne t’inquièe pas je ne t’en veux pas, tant que tu es toujours sincère avec moi. - Je ne savais pas comment tout de dire. Elle m'a aussi dit que la prochaine fois qu'on se verrait qu'elle me baiserait avec un gode ceinture. - Qu'elle perverse. Je veux voir cela! Tout était si simple, on pouvait se parler. Nous avions établi nos règles et nos limites. - Et pour te punir, on va rentrer. Tu vas te doucher et tu garderas ton plug.. si jamais l’envie de te posséder me reprends cette nuit….
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Par : le 21/04/23
Voyez comme les amants s'éloignent du monde justifiable. Rien ne peut leur donner raison, rien ne peut leur donner tort, car ni le tort ni la raison n'existent quand on aime. On passe dans une dimension où l'on ne reconnaît que sa fantaisie. Et si vous trouvez celle-ci indécente, c'est que vous ne supportez pas l'innocence. Car ces deux-là, en s'aimant, ouvrent un monde intact. Et si, comme cette nuit-là, ils s'enroulent avec leurs gémissements dans une trouée d'étoiles, c'est parce que le plaisir les protège. Dîner avec son mari au restaurant n'avait rien d'exceptionnel. Pourtant en cet instant, ils étaient assis, main dans la main, silencieux, enveloppés dans un même bonheur. Juliette avait découvert qu'elle aimait ces moments de complicité silencieuse, de joie simple et d'intimitié. "- Chéri, jai besoin d'aller aux toilettes, me rafraîchir", ai-je dit en me levant. Je l'embrasse sur la joue et je me dirige vers le fond de la salle. À gauche, celles des femmes; à droite celles des hommes. Je ne choisis ni l'un ni l'autre. Mais je poursuis mon chemin vers une porte au-dessus de laquelle le mot "Sortie" est en rouge illuminé. Je me retrouve dehors. La ruelle est sombre; le seul lampadaire qui doit servir à prodiguer un peu d'éclairage est cassé. Sans doute l'action d'un gamin. Un peu moins de trois mètres séparent les deux hauts murs de brique. De la rue proviennent des bruits de sirène, puis des éclats de rire. Je reconnais tous ces bruits de la ville tandis que je m'enfonce dans la ruelle. Dans le creux de ma main droite est plié le bout de papier qu'il m'a discrètement remis au bar, où je prenais l'apéritif avec mon mari en attendant notre hôte. Sur ce papier, quelques mots griffonnés à la hâte: "Dans la ruelle, dans dix minutes." Je ne connais pas son auteur, nous nous sommes seulement lancé des regards appuyés par-dessus l'épaule de mon mari. Une sorte d'attraction subite, un échange puissant, inexplicable. Les ténèbres m'aspirent, un faible éclairage provient finalement des fenêtres qui percent les murs de brique quelques étages plus haut. Il surgit du renfoncement d'une porte en me prenant le bras. Je porte une robe légère en coton et ses doigts sur mes bras me font frémir. Je lui retourne son sourire, ses yeux brillent dans la pénombre, d'un mélange de concupiscence et d'impatience. Je suis bouleversée par son regard, par ses lèvres sensuelles, les traits anguleux de son visage. Il me repousse violemment dans l'alcôve de la porte, un mouvement qui ressemble à un pas de danse, un tango. Il pose ses mains sur mes épaules, il presse son torse contre ma poitrine.   Je sens que j'étouffe, comme si l'air s'était soudainement et mystérieusement raréfié. Les mots me manquent, mon souffle s'alourdit, comme si un poids oppressant me pesait sur la poitrine. - Mon mari m'attend à l'intérieur, ai-je prétexté en laissant mes bras raides le long de mon corps. - Je sais, je ne serai pas long. Sa voix, basse et autoritaire, me fait frissonner. Il approche ses lèvres des miennes, tout juste pour les effleurer. Je ferme les yeux, je lève la tête, j'accueille son baiser. Une caresse soyeuse et prometteuse. Mes doigts raclent la brique et le bois de la porte. Ses lèvres glissent sur mon cou, puis sur mon épaule tout près de la bretelle. Je me sens à l'étroite dans ma robe, comme si mes seins étaient comprimés et qu'ils avaient brusquement pris de l'expansion, gonflés de désir. Sa main droite descend sur mon bras, elle saute sur ma hanche. Elle descend encore, jusqu'à ce qu'elle rejoigne le bas de ma robe et la retroussse brutalement, provoquant un bref et frais courant d'air sur mes cuisses brûlantes. Je sens ses doigts sur la peau de mon genou. Je retiens un gémissement quand elle fait l'ascension de ma jambe. À travers la soie de mon tanga, je sens son contact léger, une caresse insoutenable. Il tâtonne mon sexe, comme pour en définir les limites. Il est blotti contre moi, sa chaleur m'enveloppe tel un linceul lascif, sa passion contenue dans ses gestes m'essouffle. Je garde les yeux fermés alors que ses doigts touchent mon ventre lisse, puis s'immiscent sous l'élastique de ma culotte. Sa main chaude survole les lèvres humides de mon sexe. Je souris lorsque je sens son index fouiller mes replis mouillés. Il maîtrise la situation. Le glissement habile de ses doigts sur mon clitoris chasse vite le sourire sur mon visage. J'entrouve la bouche, je souffle ma tension dans son cou. Une bretelle de ma robe a glissé sur mon bras, découvrant la lisière de dentelle de mon soutien-gorge, blanc dans la pénombre. Je me sens complètement nue, exposée, et pourtant, ma robe est collante, comme une seconde peau.    Rien d'autre n'existe à côté d'un désir qui vous sépare du monde qui dort et s'étreindre dans la nuit, sous un ciel qui rugit, appelle un bonheur fou. Moi chevauchant l'inconnu, la pointe de mes seins enfoncée dans sa bouche, et mes ongles plantés dans sa peau. Lui léchant mon sexe, et mêlant sa salive à l'humidité de mes reins. Son index et son annulaire frôlent mes lèvres, tandis que son majeur s'introduit en moi avec aisance. J'ouvre les yeux, mes mains s'agrippent plus fermement au mur, cherchant en vain désespérément à s'accrocher à l'alcôve de la porte. Lui me fixe droit dans les yeux, tandis qu'il me fouille les reins. Il en agite au moins deux dans mon vagin, il frotte son pouce sur mon clitoris, tandis que de l'autre main, il force mon anus.Des voix fusent des fenêtres au-dessus de nos têtes; la seconde bretelle de ma robe tombe sur mon bras. Les deux bonnets blancs de mon soutien-gorge jaillissent désormais dans le noir et mes seins semblent prêts à en bondir de désir. Mon tanga est étiré au maximum, sa main l'envahit, ses doigts me remplissent. Je me sens couler, comme si tout mon être se répandait dans sa main. Je prends finalement ses épaules, je les agrippe et j'y plante mes ongles. Puis mes mains suivent ses bras, ses avant-bras, se posant enfin sur ses doigts en mouvement. C'est comme si je venais d'enfoncer mes doigts dans une épaisse éponge gorgée d'eau. Je mouille en abondance, jusqu'à mes cuisses et sur les poignets de mon partenaire. Bien involontairement, sous l'emprise d'un plaisir déboussolant, je flèchis légèrment les genoux, ce qui m'empale plus à fond sur ses doigts. J'échappe de longs gémissements. Ils rebondissent sur les murs de brique, se mêlant aux bruits nocturnes de la ville en sommeil, ne devenant que de banals sons urbains. Je jouis en serrant son poignet, et lui continue de bouger ses doigts jusqu'à ce que je me taise, la voix brisée, les larmes aux jeux, les jambes tremblantes. Puis, il retire sa main, l'élastique de mon tanga se relâche, la soie adhère à ma vulve mouillée. Il s'écarte, juste un peu, et porte ses doigts à ma bouche. Subitement, il me plaque le ventre face à la porte. Je sens son sexe en érection glisser entre mes reins, comme une épée dans son fourreau, je goûte la sensation de cette chair palpitante et mafflue, me prenant un sein d'une main, l'autre fouillant mes fesses, préparant le chemin vers l'étroit pertuis, puis d'un seul coup il me pénètre. Oubliant la douleur de la sodomie, je laisse échapper un cri, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués. Je me sens défaillir. Il retourne le premier dans le restaurant et j'attends deux ou trois minutes avant de le suivre. Au bar, mon mari consulte sa montre d'un air impatient. Il me prend par le bras quand je reviens. - Bon sang, il y avait foule aux toilettes ou quoi ? - C'est ça, dis-je, la tête ailleurs. - Notre table est prête. Il m'entraîne à travers la salle. - Mon nouveau patron est arrivé, me glisse-t-il à l'oreille. Il paraît qu'il est très ennuyeux. Sois gentille avec lui, d'accord ? L'homme se lève à notre arrivée. Je tente d'effacer sur mon visage ce sourire béat que je pressens. Je lui sers la main, ses doigts encore humides s'enroulent autour des miens. Je combats mon envie de rire. - Bonsoir, dis-je d'une voix secouée et anxieuse. - J'ai l'impression de vous connaître déjà." Est-il possible que la vie entière prenne une couleur passionnée ? Les amants vivent à l'intérieur de la joie qu'ils se donnent. Tous ceux qui aiment la poésie savent qu'elle prend sa source ici: la féerie sexuelle est le secret de ces phases.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 26/01/24
  Aujourd’hui je suis toute excitée. Car ce soir c'est notre sortie au club. Après une semaine de travail intense pour moi et pour Monsieur, ça va nous faire du bien. Je choisis dans mon dressing une robe plutôt sexy. Elle est noir avec des lanières au niveau de la poitrine. Elle est fendue sur le côté.Le haut et la jupe sont séparés. Je file à la douche rapidement avant que Monsieur arrive. Pendant que je suis dans ma douche. J’entend mon chien s'exciter. Je comprends alors qu’il arrive. Je sors rapidement de la douche. Je n’ai pas le temps de m’habiller, je cours vite pour me mettre à genoux devant la porte. A peine installé que Monsieur ouvre la porte.    Il ne s’attendait pas à me trouver nue. Il me sourit et me tend sa main que j’attrape. Il m’aide à me relever. - Bha alors c’est dans cette tenue que tu m'attends?  Alors tu es prête pour la soirée. Me dit-il avec un clin d'œil. - Dit pas n’importe quoi j’ai pas eu le temps de mettre ma robe. -Mais tu pourrais aller nue, non?  avec juste ton blouson. - Je sais que je vais vite finir nue mais tout de même. Sur ces mots je ne lui laisse pas beaucoup le choix et je monte m’habiller. Une fois changer, coiffer et collier mis, je descend retrouver Monsieur. Lui est déjà prêt, dans le canapé à m’attendre.Je viens me mettre à genoux devant lui en lui tendant la laisse. Il me met la laisse et nous nous mettons en route en direction du club. Nous prenons la voiture. Nous discutons de nos journées respectives. Et bien sûr nous exprimons notre hâte d'arriver au club. - Ma Sluty je t’ai préparé une petite surprise au club. - Ah oui !  Moi qui a hâte, j’ai encore plus hâte. J’ai du mal à tenir sur mon siège. Je vois enfin le club au loin. Le grand manoir nous attend pour bien nous amuser. De l’extérieur nous n’entendons rien. Personne ne peut se douter de ce qui se passe à l’intérieur.   Une fois rentrée, je dépose mon blouson dans le vestiaire.   Je marche derrière mon Monsieur, lui tenant ma laisse pour ne pas me perdre. Nous allons saluer les membres du club qu’on connaît. A quelques-uns de nos amis leur chuchotent de nous rejoindre à l’étage tout à l’heure.   Je m’inquiète légèrement de ce qui pourrait bien se passer à l’étage. - Monsieur, pourrions nous aller boire quelque verre ? -Bha alors Sluty, tu serais inquiète? C’est la première fois que tu me proposes ça. D'habitude tu cours à l’étage. Je baisse les yeux et dit d’une petite voix. - Vi, mais je ne sais pas ce qui m’attend. - Ho bha alors Dit t’il en me tapant la tête. -Bon aller viens tu vas prendre un petit coca.   Dit il en se moquant. Je vais rester dans mon stress pour l’instant. Je le suis en baissant la tête. Je prends mon coca en baissant la tête pendant que mon Monsieur lui discute avec ses amis en buvant son verre. Une fois qu’il a fini son verre, il tire sur ma laisse et me conduit à l’étage.  L’étage est fait de nombreuses chambres. Il y a de quoi attacher  au mur. Mais c’est pas là bas que Monsieur m’y conduit à mon grand étonnement. Monsieur m'emmène juste entre les chambre et les salle de torture. Il s’y arrête. Évidement c’est par là que tout le monde passe. L’étage est rempli de monde. D’une voix autoritaire il m’ordonne,  A genoux ! Je regarde mon Monsieur dans les yeux, le regard noir de Monsieur me fait instantanément obéir. Je me met alors à genoux. Je n’avais pas vu mais un de ses amis nous a suivi. Je sens alors de l’acier froid dans mon dos. - Sluty fait attention à ne pas trop bouger. Tu te rappelles avant de venir je t’ai dit de venir nue. Tu as refusé. Alors voici ta punition. Monsieur vient à peine de finir sa phrase que je sens le couteau passer sous mon haut. J’entend le haut de déchirer. Une bretelle tombe. Je le sens passer de l’autre côté. la deuxième bretelle tombe. Je lève les yeux vers mon Monsieur pour le regarder de manière implorante. Mais son regard à lui n’a pas changé. Je baisse alors à nouveau la tête. Je subis la sentence sans dire mot.   Son ami au couteau s'amuse à passer la lame sur ma peau dénudée. Je ne peux m'empêcher de frissonner. Je sens la lame passer dans mon dos. D’un coup franc il coupe mon haut qui tombe au sol. Je me retrouve alors poitrine nue. Ma poitrine est exposée devant des inconnues qui sont venues  voir ce qui se passait. Ils ne sont pas déçus du spectacle. Nous voila entouré par de nombreuses personnes. J'entends leur chuchotement. Je ne peux m'empêcher de me sentir excitée par cette scène. Monsieur me connaissant se doute de mon état. La lame passe maintenant le long de mon dos. La lame froide refroidit mon corps. Elle passe maintenant le long de ma jupe. Il n’a pas grande difficulté à la coupé. N’ayant aucun sous-vêtement, je me retrouve entièrement nue devant ses inconnues. Je lève la tête, et dans le regroupement de personne. Je reconnais certains visages qui sont des amis de Monsieur qu’il a invité à venir nous rejoindre.   Il y a un moment de flottement. Il ne se passe rien mais j’entend les chuchotements. et les regards des gens.  J’ai l’impression que ces quelques secondes sont des heures. Monsieur me demande de tendre la main. J’obéis et il y dépose des capotes. Il se retourne et s'adresse à l'assemblée.   Ce soir, chers amis, je vous prête mon jouet. Je vous offre sa bouche. La seule obligation, c’est de mettre une capote. Mais bien sûr vous pouvez éjaculer sur elle mais seulement pas dans sa bouche. En entendant les mots de mon Monsieur je sens l’excitation en moi. Sur ces mots, il s’écarte laissant le champ libre à ses nouveaux invités. Le premier à en profiter est l’homme au couteau. Il range son couteau et passe devant moi. Je le regarde dans les yeux. Je vois ses yeux plein d’excitation. Il a clairement envie de me baisé la bouche. Il met alors la capote sur son sexe, il prend ma tête et besogne ma bouche. J’essaye de suivre ses mouvements avec ma langue mais ce n’est pas simple avec la vitesse . Il met son sexe dans ma gorge. Je peine alors à respirer. Entre deux aller retour j’arrive à prendre de grand bouffer. J’ai de la bave qui coule au coin de la bouche.   Je sens que le Monsieur à lame commence à se tendre. Il se retire. Il retire la capote et éjacule sur mes seins. En partant il vient me chuchoter à l’oreil  Merci ma jolie sluty.     Après que le Maître des lames est fini. Les hommes font la queue pour venir me baiser la bouche. Me sentir utiliser ainsi m’excite énormément. De la mouille coule le long de ma cuisse. Une petite flaque se forme en dessous moi. Pendant que je suce des hommes, d'autres viennent juste éjaculer sur moi. Quelque mains baladeuse viennent toucher mon sexe. Ici je me sens pleinement à ma place. Je suis seulement leur jouet Je ne pense qu’au plaisir que je donne mais aussi au plaisir que je reçois par certains hommes généreux. Quand je sens la jouissance monter. Je regarde mon Monsieur d’un regard suppliant. Par chance il acquiesce. Alors j’ai un orgasme sous leurs mains. Par chance, mon Monsieur me l’a autorisé de nombreuses fois. Ce soir Monsieur est généreux. Une fois tous les hommes passés. je me sens totalement vidé. Je tombe au sol. Je suis recouverte entièrement de sperme. Mon Monsieur m’aide à me lever et m'emmène à la douche. Il me lave doucement. - Bravos ma belle sluty. Tu as été très bien. Je suis très fière de toi. Après la douche, Monsieur me ramène à la voiture. Je suis totalement épuisé. Dans la voiture je m'endors. Une fois rentré Monsieur m'emmène au lit et je m’endore instantanément   
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Par : le 25/09/17
Je fus sorti de mes rêveries par un jet d'eau qui avait pour butte de me laver le corps du vin séché. Sophie m’a dit d’aller débarrasser, faire la vaisselle et de revenir ensuite. Ses ordres donné, elle est partie s'installer sur le transate avec son bouquin. Moi de mon côté, je suis allé vaquer à mes tâches, comme un esclave du temps de rome. Une foi celle si terminées, je suis retourné sur la terrasse me positionner debout les mains dans le dos à côté du transate de sofie toujours nu comme un verre. “Voila Maîtresse sophie les tâches que tu m'a demandées sont accomplies.” Dis je. Elle lève alors les yeux de son livre pour les poser sur moi. “C'est bien belle bite” dit 'elle. Par contre tu va cramer avec ta peau blanche au soleil sans protection. -” attend.” Elle se lève ,prend de la crème solaire dans ses mains et me dit de lever les bras . Ensuite elle commence à tendrement me mettre de la crème sur le corp, les épaules,les bras, le torse,le visage. Nos deux corps sont très proche, presque l'un contre l’autre. Cette situation n'en finit pas de m'exciter et je me met à bander bien dur. Elle le voit. En me regardant dans les yeux elle se met à m'enduire les testicules de crème solaire. Mon visage se déforme de plaisir mon corp est parcouru par un soubresaut. Ensuite elle saisit ma queue et commence à l’astiquer doucement pour l'enduire elle aussi. Mon souffle se fait plus fort. Elle me regarde dans le syeux et me dit : -” Tu n'en peux plus hein ? cela t'excite grave! “ On se retrouve front contre front et je m'entend lui dire ,oui sophie. “Tu es ma chose.” Me dit 'elle, en prenant mon menton dans sa main libre avant de m'embrasser intensément.Toujours front à front, elle me dit d'une voix,plus douce de m'allonger sur le ventre les bras en croix . Je m'exécute. Je sent qu'elle fait couler de la crème sur le haut de mon dos. Elle est positionnée au dessu de moi. je vois ensuite tomber à côté de ma tête son haut et son bas de bikini. Mon dieu elle est nue au dessu de moi. Cette idée me fait encore bander plus fort si il est possible. Mon sex est écrasé sur le carrelage de la terrasse. Je la sent s'asseoir sur mes fesses.Elle passe ses mains dans mon dos, ma nuqe, pour étaler la crème .humm c'est divin... Ensuite elle descend sur le bas de mon dos, mes fesses, l'intérieur de mes cuisses pour descendre doucement et langoureusement jusqu'au bout de mes orteille. Une foi cette étalage de crème hautement excitant,réalisé . elle se positionne devant moi et reprend son ton autoritaire - “A genoux, jambes ouverte esclave.” Je prend la position et lève enfin les yeux sur elle. Les mains sur les hanches jambes ouvertes, elle me regarde de haut avec des yeux autoritaires. Elle est magnifique. Elle me voit la contempler et me dit: -” Au lieu de te rincer l'oeil enduit moi de crème solaire.” “Oui sofie.” Je m'entend lui répondre. Je commence par prendre de la crème solaire au creux de mes mains et j'enduis ses petits pieds,je remonte sur ses mollet ses cuisses, je m’appliques. L'instant est troublant. Je crois que c'est la première fois que je la touche. j'arrive à ses fesses, ses hanches son sex que je masse avec plaisir.Je sent bien qu'elle est excitée elle aussi. Sa respiration s'accélère. “n'en profite pas trop belle bite, continue.” Je continue de parcourir son corps pour l’enduire de crème solaire; son dos, ses bras , ses épaules. J’arrive à son coup et son visage, l'instant est troublant. Nos regards se croisent de nouveau. Son corp m'attire. paff je suis sorti de ma rêverie par une gifle monumentale. -” A genoux.” Me crie telle. Elle m'empoigne par les cheveux pour me traîner vers la table. Bien que tous les deux nu, il n'y a aucun doute qu'en à la hiérarchie établi entre nous. Pour commencer, je suis à quatre pattes, traîné par les cheveux d'une main ferme et mon cul est rougi par les fessées reçues alors que le sien est d'une perfection immaculée. Ensuite à son attitude on voit qu'elle est à l'aise nue dans ce jardin, alors que moi j'ai la peur du débutant. La peur d'être surpris. Sans lacher ma chevelure, elle atrape son telephone sur la table,et m'entraine vers le transate. Elle s'installe confortablement me temps une de ses jambe de manière nonchalante. ” Allez. Leche mes pieds. Suce mes orteilles, masse moi.J'ai un coup de file à passer.” M’ordonne t elle. Me voila a ses pieds, à les lécher, les sucer, tendit qu'elle passe ses coups de fil. Elle appelle d'abord un ami, puis sa mère. Elle était en grande conversation avec une amie quand à force de voir son sex nu devant moi,à quelques dizaines de centimètres de ma bouche, je ne pu résister à l'envie de la lecher. Ma bouche remonte le long de sa jambe et arrive à l'entrée de son sex. Elle me jette un regard mais ne m'interrompe pas. Je suis en trian de laicher son sex tandis qu'elle reprend la conversation. Elle mouille abondamment, c'est un régal de la titiller alors qu'elle essaye de continuer ca conversation. Je sent sa respiration s'accélérer, son auditrice aussi. Je l'entend lui demander.” sofie ca va? tu as laire essoufflée.” - “ oui ma chérie ca va je viens juste de descendre les escalier c'est pour ca. jen profite pour accélérer mes coup de langue sur son sex. je sent sofie s'emballer juste avant de dire à son amie d'une voix hésitante. - “ Je vais devoir te laisser. Je suis désolé mais je dois y aller, je suis déjà en retard.” Elle lui raccroche précipitamment le téléphone au nez. Elle m'atrappe par les cheveux,attire ma tête encore plus contre elle et pendant que je le lèche, frote son sex sur mon visage en gémissant. Ca respiration se met à s'accélérer alors qu'elle écarte encore plus les jambes pour mieu me sentir. Encouragé par ses gémissements de plus en plus sonore je la lèche frénétiquement. Son corps se met à trembler de plus en plus fort jusqu'à son orgazme qu'elle acompagne d'un cri de plaisir. Totalement impudique, se moquant éperdument d'être entendue, alors que nous nous trouvons dans le jardin de la propriété. En plein paroxysme de son plaisir, elle m'enserre avec ses jambes autour de ma tête,m'empêchant presque de respirer. Elle fini par me libérer au bord de l'asphyxie. je suis a ses pieds en train de reprendre mon souffle. Son regard se pose sur moi. Affalée dans son transate une jambe grande ouverte, elle me dit avec un regard coquin. - “ humm tu va être une bonne pute toi belle bite. Allez allonge toi sur le dos.” Finit elle en me montrant le sol d'une main nonchalante. Me voila nu sur le sol la queue raide comme un piquet. Assise sur son transate, les coudes sur les genoux, la tête dans la paume des mains. Sophie apprécie le spectacle d'un regard félin Elle se lève, vient se positionner au-dessus de moi les jambes écartées. Elle me sourit. descends doucement se mettre à genoux. D'une main elle prend mon sexe bandé en l'attrapant par le gland entre un doigts et son pousse. Le Décalotte doucement avant de le faire entrer lentement en elle. Quand mon sexe rentre en contact avec le sien je sens un frisson de plaisir nous parcourir. Sa bouche s'ouvre doucement et elle enfonce lentement ma queue de toute sa longueur dans son sexe. Elle lâcher un petit souffle qui trahit son plaisir, avant de poser ses mains sur mon torse. Elle commence à faire des va-et-vient sur ma queue. Je me fais littéralement chevaucher. Je sens notre excitation à tous les deux monter ses mouvements de rein accélèrent. Quand j'essaye de poser mes mains sur son cul, une gifle monumentale me ramène à la réalité. “ même pas en rêve belle bite. Me crie-t-elle d’une voie pleine d'excitation. Tu touchera mon cul quand je te le dirai.” Elle continue à accélérer ses mouvements. Elle se met à gémir des gifles volent sur mes joues. En pleine frénésie, sans un mot elle attrape mes mains et les pose sur ses fesses. Je je les les Agrippent pleinement. Cette action est comme un signal. Elle pose alors ses mains sur mon torse et accélère encore ses mouvements de hanches. Je sent le plaisir monter en elle. Elle se met à respirer de plus en plus fort, à pousser des gémissement de plus en plus sonores. Elle est au bord d'un nouvelle orgasme quand elle me dit hors d'haleine.-” Je t'interdis de jouir. Tu jouiras quand je te le dirai retient toi! ” Je lui répond oui maîtresse sophie. Ces mots sont un déclencheur pour elle.Son corp est parcouru de spasmes, ses ongles s'enfoncent dans la chère de mes pectoraux. Elle pousse un grand cri de jouissance,tout son corp se tend de nombreuses seconde et sa tête est tirée vers l'arrière. Elle fini par s'effondrer sur mon torse. Je sens son soufle dans mon coup.Je lui caresse le dos doucement, ses mains caresse maintenant plus tendrement ma nuque.Ma queue est toujours en elle ,sensible sous l'exitation du moment.
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Par : le 10/04/20
Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à son bureau, Charlotte portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Juliette ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce chemisier, un corset en dentelle noir, durement baleiné, long et rigide, rehaussait une poitrine généreuse mais ferme aux larges aréoles brunes, enserrant une taille très mince. Elle entretenait sa silhouette, en faisant de la gymnastique quotidiennement, et en montant à cheval tous les week-ends; à vingt ans, c'était une femme au physique séduisant, à la fois stricte et féminime; ses lunettes fines lui donnaient un air sérieux et élégant. Elle en imposait car elle se tenait toujours très droite avec des chaussures à talons hauts; ce jour-là, elle portait le chignon et son maquillage était discret. Lorsqu'elle passa devant Juliette qui était assise à l'accueil, elle la salua d'un signe de tête sans dire un mot et se dirigea vers son bureau. Celui-ci était spacieux, meublé en style moderne, d'un canapé en cuir noir Knoll, et d'une grande table en verre. Des plantes vertes agrémentaient le décor. Elle prit l'interphone et demanda à Juliette de venir. Quelques instants plus tard, elle frappa à la porte. Charlotte s'assit sans dire un mot. "Voilà, j'ai décidé d'arrêter ce petit jeu, c'était une fantaisie mais nous sommes allées trop loin, je ne suis pas vraiment lesbienne, vous non plus d'ailleurs, nous nous sommes accordées mutuellement des libertés mais je crois qu'il faut mettre un terme à tout cela. Nos relations resteront cordiales mais compte tenu de ce qui s'est passé entre nous il est préférable de nous éloigner. Bien entendu il est hors de question que vous en subissiez quelque dommage que ce soit, j'ai donc conclu un arrangement avec l'un de nos sous-traitants, il vous fera un contrat avec un salaire d'ailleurs plus élevé que celui que vous percevez ici. Voilà, je vous conserve toute mon amitié mais il serait souhaitable à l'avenir de se vouvoyer." Juliette eut un nœud à la gorge, elle était déstabilisée, l'attitude calme de Charlotte, le fait de la voir dans cette tenue qu'elle associait à celle qui était sa patronne froide et autoritaire, le fait de ressentir sa détermination, tout ça remettait en cause ses acquis, tout allait peut-être s'écrouler comme un jeu de cartes. Elle savait que sa prochaine phrase allait déterminer la nature de leur relation future. Ce sera celle qui fera la première erreur qui aura perdu se dit-elle. Elles s'observèrent un long moment, puis Juliette décida d'entrer dans la bataille. Cependant, Charlotte avait senti le changement de ton de Juliette, celui-ci n'était plus aussi assuré, bien que cherchant à le dissimuler, elle commençait à perdre pied, elle profita de ce moment de faiblesse pour porter l'estocade, elle se leva et s'approcha, elle lui tira les cheveux pour la forcer à la regarder, droit dans les yeux. - C'est toi qui es venue me chercher, moi je ne t'avais rien demandé. - Euh oui je sais, mais j'y ai été contrainte par Caroline. - Oui mais Caroline ne t'a rien imposée elle non plus, je connais votre histoire, elle t'a laissé le choix de poursuivre votre relation ou non, c'est toi qui a accepté. - Tu as accepté oui ou non ? - Oui. - Tu dis que tu n'es pas lesbienne, je crois plutôt que tu es bisexuelle, maso-bisexuelle, tu as pris autant de plaisir que moi dans cette relation, alors pourquoi veux-tu arrêter ? - Mais vous non plus, vous n'êtes pas lesbienne, vous me l'avez dit. - Moi c'est différent, je suis libertine, je prends le plaisir là où il est sans me poser de question, me faire lécher par ma patronne, c'est une jouissance autant cérébrale que physique; pour toi de lécher ta secrétaire, c'est un plaisir aussi, le plaisir de l'interdit sans doute. - Charlotte, je vous en prie, ne rendez pas ma tâche plus difficile, nous sommes libres de nos choix, nous avons joué vous et moi mais maintenant ça suffit, cette situation ne me convient plus, alors je vous le dit voilà tout. Regardez notre différence d'âge, nos styles sont différents, nous ne faisons pas partie de la même classe sociale, nous n'avons pas la même culture, tout nous sépare. - C'est justement pour ça que tu m'intéresses, parce que tout nous sépare. Puis elle lui saisit la main et la fourra entre ses jambes. - Allez vas-y, tu sais ce que tu as à faire. Juliette retira sa main énergiquement et baissa le tête, Charlotte lui tira à nouveau les cheveux plus fort, puis d'un ton autoritaire. - Vas-y je te dis ! Alors Juliette, mécaniquement, la main tremblante, lentement, remonta vers son sexe et le caressa. - Écoute ma chérie, il faut que tu te mettes dans la tête que tu as deux vies bien distinctes, ta vie classique, celle que tu mènes depuis toujours de femme d'affaires qui s'amuse à regarder les autres de haut et puis celle où tu es exactement l'inverse, tu es ma soumise, c'est toi qui doit exécuter tous mes caprices. Mais réfléchis, au fond tu as de la chance, avec moi au moins tu vis vraiment ! Bon je vais être gentille, je t'accorde la liberté totale en dehors de nos relations, c'est à dire que tu pourras rencontrer un homme si tu en as envie ou quoi que ce soit d'autre. Mais je te préviens, je n'accepterai plus de rébellion dans nos relations personnelles, tu dois accepter cette situation, tu n'as plus le choix, tu m'appartiens." - J'ai compris. - Tu vas être sâge et obéissante ? - Oui... - Alors dis-le. - Je vais être sâge et obéissante... Charlotte se déshabilla et se mit à quatre pattes sur le canapé, Juliette lui lécha le cul. Charlotte jouissait de la situation; celle qui un quart-d'heure plus tôt avec son tailleur Chanel lui faisait la leçon était en train de lui lécher l'anus, à elle, sa secrétaire. Puis, au bout d'un moment, Charlotte se leva, se rhabilla et sortit du bureau, elle revint deux minutes plus tard, un trousseau de clés en main qu'elle jeta sur le bureau puis elle prit une feuille et griffonna quelque chose dessus. - Voilà c'est mon adresse et mes clés, tu prépareras le dîner, je reviendrai vers 20h, tu resteras habillée comme tu es mais tu auras ôté ton soutien-gorge et ton string et dégraffé deux boutons de ton chemisier. Juliette, livide, acquiesça sans dire un mot. Lorsque Charlotte rentra chez elle il était vingt et une heures passé, elle s'approcha de Françoise, la prit affectueusement dans les bras et l'embrassa, en ouvrant un coffret qu'elle avait à la main et en sortit un large collier, ras le cou en or, avec un médaillon gravé. - Je t'ai fait un cadeau, tu ne peux pas dire que je ne te gâte pas. - Ah bon ? Je ne m'attendais pas à ça, vraiment c'est gentil. - Avant de dire que c'est gentil, lis ce qui est gravé sur le médaillon. Elle prit ses lunettes et lu "Juliette" en gros, puis en petit "Propriété de Charlotte de Moras" suivi de son téléphone. - Non tu plaisantes !! Tu veux que je mette ça ? Tu n'as donc plus aucun respect pour moi ? C'est hors de question, tu vas trop loin maintenant. - Viens ici et baisse les yeux, tu veux que je me fâche ? - Non. Comme un robot elle approcha, Charlotte lui mit le collier autour du cou puis sortant une petite pince de son sac écrasa le fermoir pour qu'on ne puisse plus jamais l'ouvrir. - Attention, si tu l'enlèves, je te fais tatouer. Progressivement Juliette s’enfonçait dans la soumission totale, Charlotte avait l'intelligence de la faire progresser par paliers; jusqu'ou l'aménerait-elle ? Juliette qui était une femme BCBG avait une honte infinie, d'abord de se retrouver à agir d'une manière qu'elle jugeait totalement avilissante et inavouable mais de plus avec une jeune fille de vingt ans, qui non seulement aurait pu être sa fille, mais qui de plus était son employée. Malgré cela et contre son gré elle devait bien admettre que cette situation l'excitait. Elle savait qu'elle obtiendrait tout d'elle, même ce qu'elle n'osait pas avouer. Le lendemain, au travail elle reçu un SMS : Appelle moi à ton bureau ! Elle le fit, une fois entrée, Charlotte s'assit sur le canapé, retira son string et écarta les jambes, puis l'oeil narquois. - J'ai une petite envie, viens ici ! Sans dire un mot, Juliette qui avait compris ce qu'elle attendait d'elle s'accroupit et entama un cunnilingus, bien malgré elle elle était devenue experte en la matière lui léchant d'abord les grandes lèvres avec le plat de sa langue puis se concentrant sur le clitoris le titillant du bout de la langue d'abord doucement puis en accélérant, pendant ce temps elle pénétrait un doigt dans son anus, en faisait des petits cercles; la jouissance vint rapidement, une fois satisfaite dans un râle étouffé, Charlotte lui tapota la joue. - Ce soir tu viens chez moi à vingt heures. Je sonne et au lieu de Charlotte, c’est une belle inconnue qui m’ouvre riant de ma surprise. Je l'entends me demander de rentrer et de venir à la cuisine où elle s’active pour finir de préparer des cocktails. Elle me présente la jolie jeune fille. - Voilà, c’est Caroline et ne ris pas, moi aussi j’ai franchi le pas, c’est ma femme me dit-elle en m’embrassant doucement sur les joues. Je pensais que toutes mes prévisions tombaient à l’eau et j’étais bien loin du compte en réalité. On s’installa au salon pour déguster les douceurs un peu alcoolisées qui avaient été préparées. Charlotte me raconta leur rencontre faisant référence à la nôtre en comparaison comme si elle voulait me la rappeler, en me narguant. Après trois verres, Caroline mit de la musique douce et me demandant si j’aimais danser, elle me tendit la main; regardant Charlotte, elle acquiesça de la tête; je me retrouvais dans les bras de Caroline me guidant dans une danse lascive, ses mains sur mes reins. Charlotte nous regardait sirotant son verre quand les doigts de Caroline se posèrent sur mes hanches faisant remonter ma robe sur mes cuisses découvrant le haut de mes bas tenus par un porte-jarretelles. - "Regarde ma chérie, comme elle s’est habillée pour toi la salope" lui dit-elle. Je ne pouvais pas nier que la lingerie La Perla en dessous de ma robe devait faire son effet. - Déshabille-la, elle adore ça dit en réponse Charlotte. Alors Caroline fit glisser la fermeture de ma robe, me la retira frôlant de ses doigts ma peau la faisant frissonner à ce contact. Elle me fit tourner sur moi-même pour laisser Charlotte me voir en entier. Au bout de quelques instants, celle-ci se leva, vint vers moi et m’arrêta face à elle et posa ses lèvres sur les miennes, m’en faisant partager le goût; je me laissai griser par le plaisir quand je sentis Caroline se coller dans mon dos. J’étais prise entre les bouches de ses deux femmes, désirant me soumettre. Caroline dégrafant mon soutien-gorge pour que Charlotte pétrisse mes seins de ses mains. Puis les deux bouches glissèrent vers le bas, l’une dans mon dos, l’autre passant de mes seins à mon ventre; doucement les quatre mains firent glisser mon string, leurs bouches sur mes fesses pour l’une et sur mon pubis rasé pour l’autre, me goûtant en totalité, en me faisant tourner sur moi-même au bout d’un moment pour explorer l'intégralité de mon corps pris en étau, de leurs langues intrusives et de leurs doigts gourmands. Je jouis une première fois, bien incapable de savoir sous la langue de laquelle cela se produisit. Puis elles me prirent par la main, et on se retrouva dans la chambre; je m’allongeais docilement sur le lit, elles se déshabillèrent devant moi. Je découvris le corps de Caroline, sportif, très sculpté qui vint s’allonger contre moi. Je pus le caresser, l’embrasser, le goûter, pétrir ses seins, leurs aréoles et les pointes très sensibles, en érection déjà, et son ventre parfaitement lisse. Charlotte m’encourageait en me caressant, tout en intoduisant un doigt dans mon rectum, puis elle s’arrêta, me laissant au plaisir et à la merci de Caroline qui me surprit, dans mon dos, par la dureté de l'olisbos dont elle s'était ceint à la taille. M'ordonnant de me mettre en levrette sans que ma langue ne perde les lèvres de Charlotte et pour la première fois, alors qu’elle ne me l’avait jamais imposé, elle frotta son gode sur mon ventre innondé de cyprine et d’un coup, me sodomisa. Les mains sur mes hanches, la jeune fille poussa des reins, et le cône se prêta aux replis de mon étroite bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue en se distendant; l'olisbos disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants; elles eurent toutes deux le spectacle de mon corps arqué dans un spasme délirant de volupté. La fin de soirée dura un long moment, prenant du plaisir plusieurs fois chacune jusqu’à ce que la faim ne nous ramène nues à table et pendant que je finissais le dessert, Caroline glissa sous la table avec sa flûte de champagne, m'écarta et me força à uriner dedans, à la porter à mes lèvres et à en déguster jusqu'à la dernière goutte le nectar encore tiède. Où était passée la fringante quadragénaire sûre d'elle. - Qu’est-ce qui m’attend maintenant ? demanda Juliette fébrilement. - Tu seras fouettée…. Durement. - Durement ? - Durement. Par des professionnelles ! - La prochaine fois, tu seras offerte à des femmes. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/07/15
Déjà posté ailleurs, mais ça a peut être aussi sa place ici ...Attention c'est longCes derniers jours je discute beaucoup et avec un tas de monde.Des soumis, des masos, des Dominas, des Dom, des switchs.Il ne manque que les soumises Et ces discussions, sauf avec mes 2 amours, sont sans enjeu, sans besoin de séduction, sans espoir de sentiments ni d'un côté ni de l'autre.Et cela libère ma parole, mais libère aussi avec bonheur la leur.Je deviens confidente et je me nourris avec délectation et un bonheur sincère de tout ce que ces personnes me donnent.Et je prends de plus en plus conscience du mal et des blessures, parfois devenus insurmontables, qu'a provoqués et que provoque encore la fantasmagorie de la Dominatrice implacable et inaccessible. Tant chez les Dominas que chez les soumis.Je suis venue à la Domination pour énormément de très mauvaises raisons, et même si j'ai enfin su me débarrasser de tout cela, je perçois, je devine que de nombreuses Femmes Dominantes sont paralysées, tout comme je l'étais, par ces mauvaises raisons.Je ne suis pas venue à la Domination par amour de Dominer, même si j'ai toujours été autoritaire et dirigiste dans ma vie réelle, je n'aimais pas particulièrement ça ou en tout cas ça ne me procurait aucun plaisir cérébral. C'était simplement comme ça, dans mon caractère.La Domination m'a au départ attirée, parce que ce que j'avais découvert que cette fantasmagorie littéraire semblait offrir une réponse idéale à mon mal être et à mes manques de l'époque.Les 2 « préceptes » qui me correspondaient le plus à l'époque, j'en avais en tout cas l'illusion sincère, étaient :- La Dominatrice garde son soumis chaste, tend à le rendre impuissant et n'a jamais aucun rapport sexuel avec lui, elle s'aide en cela d'une cage de chasteté et cette chasteté lui garantira un homme obéissant et servile à vie ….Et cette règle absolue faisait écho en moi. Même si j'avais multiplié bien au delà de la norme ou de la bienséance les plans culs d'un soir, j'étais alors et depuis si longtemps en conflit avec mon corps que je ne prenais pratiquement jamais de plaisir sexuel avec ces multiples hommes de passage. Dans la masse de toutes ces rencontres éphémères je ne me souviens que d'une seule m'ayant donné réellement du plaisir dans un abandon total.Je m'étais donc convaincue que je n'aimais pas ça, que ce n'était que du blabla et que je ne pouvais pas réellement éprouver de jouissance physique ET cérébrale avec un homme.Du coup la Domina qui ne baise pas avec son soumis c'était le top comme idée.Et j'ai été amenée à prendre conscience que je ne suis pas la seule à avoir pensé cela. Que beaucoup de Femmes Dominantes repoussent ou redoutent la pénétration et le plaisir sexuel. Peu importe les raisons de cette peur.- La Dominatrice ne doit jamais être nue devant son soumis, il ne doit pas voir son corps, il se doit de le servir sans limite mais il ne devra jamais voir l'objet de son désir. Il doit obéir aveuglement.Whaou le pied !!! Complexée comme je l'étais, avoir le droit, même l'obligation d'empêcher mon soumis de voir mon corps c'était l'idéal. J'allais pouvoir m'épanouir puisqu'il ne verrait jamais mes défauts physiques et donc il ne pourrait jamais être dégoûté de ces derniers et donc de moi. Parce que je me dégoûtais moi même, je me trouvais moche, difforme, obèse. Alors, avoir l'assurance que puisque j'étais maintenant une Domme, jamais plus un homme n'aurait à voir mon corps … quelle sublime perspective.Sauf que … sauf que la vie, la vraie, celle que l'on vit tous les jours ce n'est pas cela.Et maintenant que mes complexes, mes blocages, mon mal être ont disparu, je me rends compte à quel point j'avais fait fausse route. A quel point je me suis fait du mal à moi-même et à quel point je vivais dans un état de frustration permanente.Aucune de mes relations sexuelles n'avaient été épanouissantes, non pas parce que je n'étais pas physiologiquement capable de ressentir du plaisir, mais parce que ce plaisir me faisait peur et que je le redoutais.Et mon corps qui me faisait tant honte avant, ce n'était pas de le cacher dont j'avais besoin, mais au contraire de le montrer et de voir dans les yeux de l'autre, de ressentir dans ses caresses et ses baisers, d'entendre dans ses mots que mon corps lui plaisait, qu'il l'aimait parce qu'il faisait partie de moi, qu'il était moi et qu'il ne voulait pas s'en priver.Non, bien sûr, la pénétration n'est pas obligatoire, pas plus que les jeux sexuels si ces derniers vous sont insupportables.Non, bien sûr, vous montrer nue devant votre soumis n'est pas obligatoire et cela peut être bien trop difficile pour vous.Mais avant d'appliquer ces règles tirées des fantasmes de personnes qui ne sont pas vous, posez-vous les bonnes questions. Réfléchissez à la raison pour laquelle vous voulez les appliquer et faites-le uniquement si ça vous correspond très exactement. Sinon explorez d'autres voies, cela vous apportera bien plus de plaisir et d'épanouissement.Au départ je les ai appliquées avec conviction et espoir et je les respectais pratiquement à la lettre sauf quelques rares moments où la frustration et le manque devenaient insupportables.Mais avec le temps je me suis vidée, desséchée, j'avais perdu tout goût à la Domination, mais aussi au sexe, au plaisir, aux plaisirs de la vie elle-même. Je ne vivais plus, je survivais et je souffrais.Il m'a fallu du temps pour comprendre la perversion de mon analyse de départ. Pour accepter de regarder mes erreurs en face.Mon corps est ce qu'il est, ni mieux ni moins bien qu'un autre, il est en bonne santé et même si il ne l'était pas, il ne mérite absolument pas que je le haïsse, que je le méprise, que je le fasse souffrir. Mon corps est beau parce qu'il est moi, parce que c'est le mien, et il a droit aux plaisirs, aux attentions, aux regards amoureux, tout autant que le corps de n'importe qui.Et le corps de TOUTES les Femmes et de tous les Hommes sont aussi beaux que le mien, aussi parfaits dans l'accumulation de toutes leurs imperfections. Et tous les corps méritent de l'affection, du plaisir, de l'attention et de l'amour. TOUS !Par ailleurs, le fait d'avoir recueilli les confidences de nombreux soumis m'a permis de prendre conscience qu'eux aussi étaient paralysés et blessés par ces mêmes diktats venus d'on ne sait où.Combien deviennent impuissants ou au mieux précoces à force de se refuser et de se voir refuser ce droit à la jouissance ?Combien se morfondent dans une frustration qui les pousse à la dépression ?Combien encore sont venus à la soumission parce qu'ils vénèrent les Femmes et crèvent de ne pouvoir les aimer totalement et absolument, de les regarder, de les toucher, de les embrasser, de les vénérer, de les pénétrer et surtout de partager tout ça avec LA Femme qu'ils AIMENT ?Combien s'imposent ses règles imbéciles pensant que ça sera la seule et unique façon de plaire à une Domina, alors que ce sont ces règles mêmes qui les rendent malheureux ?Alors oui, en effet, pour de très nombreux soumis la jouissance implique une baisse de l'envie, une baisse de leur sentiment de soumission, un besoin d'isolement, un repli sur eux-mêmes.Et alors ?Cela voudrait dire que ce ne sont pas de « vrais » soumis ?Cela voudrait dire qu'il faut qu'ils vivent indéfiniment dans la frustration au point d'en perdre toute libido et de devenir impuissants ?Cela voudrait dire, qu'en punition d'un simple processus physiologique il faudrait les priver de tout ce qui fait que la vie est belle ?Cet état réfractaire ne peut pas être évité pour nombre d'entre eux, il est dans la nature même du corps humain. La jouissance provoque en effet une libération hormonale qui est plus forte que la volonté et l'envie.Et alors ?Elle est nécessaire au fonctionnement de l'organisme; de quel droit, une Femme, même la plus parfaite, devrait s'arroger le droit de refuser cela à un homme ?Et non, le soumis ne devient pas un gros macho violent et méprisant après la jouissance. Non, il ne va pas s'étaler dans le canapé devant le foot avec une bière dans une main et l'autre dans le caleçon à se gratter les couilles.Si votre homme vous est soumis, il le reste même après la jouissance, parce que sa soumission n'est pas physiologique mais cérébrale. Il ne vous en aime pas moins ensuite, bien au contraire.Bien souvent d'ailleurs, il redoute encore plus que vous ce moment où il n'est plus tout à fait comme il aime être avec vous. Parce qu'il a peur de vous déplaire, parce qu'il a peur de vous rendre malheureuse.Mais ça ne remet rien en jeu dans votre choix commun d'une vie où la Femme Domine et où l'homme se soumet à elle.Vous restez Maîtresse de vos envies et de vos plaisirs communs.Ce ne sont pas ces quelques instants, ridiculement insignifiants au vue d'une vie humaine, qui feront que votre homme ne vous sera plus soumis.A vous deux seulement de découvrir le rythme qui vous convient. Là non plus aucune règle obligatoire ou universelle, à part celle ci : l'échange de parole, la communication, l'écoute de l'autre et de soi-même.J'ai eu la chance extraordinaire de rencontrer un homme formidable il y a un peu moins de 2 mois, (53 jours exactement me dit Fetlife ).Nous discutons depuis tous les jours, longtemps, passionnément.Il est profondément et sincèrement soumis.Il prend un réel plaisir à servir sa Dame, à la combler, à la rendre heureuse.C'est une évidence pour lui, il ne peut être heureux qu'aux pieds de la Femme qu'il aime.Mais lui aussi pensait qu'il ne pouvait se permettre d'avoir des envies sexuelles pour sa Dame.« Ça ne se fait pas, une Domina n'aime pas qu'un soumis puisse avoir envie d'elle » …..A force de discussions, d'échanges, je crois avoir su le convaincre du contraire.Je l'espère sincèrement.L'autre jour il m'a fait un merveilleux cadeau, il m'a écrit qu'il se sentait revivre, que sa libido revenait et qu'il se sentait bien, qu'il se sentait mieux alors qu'il pensait ne plus jamais ressentir cela.Et très sincèrement il est pourtant tout aussi soumis, et prévenant, tout aussi adorable et gentil, peut-être même plus qu'au début de nos échanges.Oui il (re)bande, enfin, vraiment ! Et oh horreur, il jouit même … impensable n'est-ce pas ?Mais NON, il ne s'est pas transformé, il n'est pas devenu un être vil et méprisant, il est simplement plus heureux, plus épanoui et finalement encore plus soumis, encore plus enthousiaste à l'idée de servir sa Dame.Même dans ses périodes réfractaires. Même si elles restent encore un peu aujourd'hui « difficiles » pour lui car il ne sait pas encore vraiment en profiter sans culpabilité. Mais j'espère que je pourrai aussi l'aider à dépasser cela.Je sais que j'ai été une accompagnatrice pour lui, et ça me rend heureuse.Parce que je le sais plus heureux et plus épanoui aujourd'hui qu'il y a deux mois.Et la Dame qui aura la chance de lui passer son collier autour du cou sera une Femme heureuse.Et même si la vie fait que ça ne sera probablement pas moi.Quel pourrait être mon plaisir de rendre malheureux un homme qui échange et partage avec moi ?Quelle Domina pourrait bien vouloir rendre malheureux le soumis qui la comble d'attentions et d'amour ?Abandonnez les convictions que d'autres que vous-mêmes ont enfoncé dans vos têtes, abandonnez-les si elles ne peuvent vous rendre heureux.Le bonheur ne résidera jamais dans l'application imbécile et pulsionnelle de concepts ne vous correspondant pas.Et rien absolument rien ne justifie de se priver soi-même du droit au bonheur.Abandonnez vos carcans, soyez libre d'être heureux, nous le méritons tous !
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Par : le 11/02/19
J'étais à genoux dans cette chambre, qui avait vue tant d'ébats et où je m'étais soumise à mon Maître pour son plaisir. J'étais offerte à mon Maître une nouvelle fois. Offerte de tout mon corps et de toute mon âme à ses moindres attentes, à ses moindres ordres. J'entendis la porte s'ouvrir puis se refermer tout aussi rapidement. Il se mit devant moi mais je ne pouvais voir que ses pieds. Je sentais sur moi ce regard intense qu'il m'adressait et qui me perçait tout au fond de mon être. Je sentais à la fois un regard inspecteur et autoritaire qui me faisait frissonner mais aussi cette chaleur intense liée à son désir de me dominer et d'abuser de tout mon être. Il me caressait la tête, satisfait de ce qu'il voyait et je savais que la séance pouvait bien commencer. "Je t'ai préparé un petit jeu ma belle. Tout d'abord je vais insérer un ballon anal ainsi que ce petit jouet vibrant dans tes deux chauds orifices. Ils seront au niveau minimum. Assez pour que tu les sentent bien mais pas trop sinon le jeu se terminerait trop rapidement." "Aujourd'hui j'ai envie que tu me satisfasses avec ta jolie et douce bouche. Mais je ne contenterai pas d'une fellation simple que tu sais très bien faire. Je voudrais que l'on travaille une gorge profonde. Ainsi tu vas travailler ta respiration et tous les muscles que tu peux mettre à ma disposition pour mon plaisir." "Si je sens que tu n'es pas concentré ou que tu essayes de te dérober à l’exercice j'augmente le volume de mes deux jouets. Si tu travailles bien, je te prendrais et nous satisferait tous les deux. Si ce n'est pas le cas et que je suis déçu de ta performance, je me libèrerais sur ton visage. Puis je t'attacherai sur le lit bras et jambes écartées avec le vibro au minimum pour maintenir ton état d'excitation. Tu resteras dans cette position le temps que je jugerai nécessaire pour ta punition." Tout au long de son explication il m'avait caressé la tête et j'avais docilement écouté et enregistré chacune de ses paroles. "M'as-tu bien compris ? dit-il en arrêtant ses caresses. "Oui Monsieur" ....
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Par : le 04/02/20
Dans la rue qui conduisait au restaurant où elles devaient dîner, Juliette prit l'initiative de demander à sa Maîtresse Ka-Sandra de l'autoriser à se soulager dans le caniveau, ce qu'elle fit, agréablement surprise. Elle s'accroupit donc entre deux voitures et comme une petite chienne qu'elle voulait être ce soir-là, elle se laissa aller au besoin naturel, satisfaction qui se doubla de l'humiliation d'être observée dans cette posture intime. Au moment d'entrer dans le restaurant, sans que j'aie le temps de poser une question, Ka-Sandra me poussa dans le hall d'entrée de l'immeuble mitoyen et me tendit un walkman en m'ordonnant d'écouter la cassette glissée à l'intérieur et de suivre les instructions à la lettre. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette épreuve inattendue, je tentai d'intercepter le regard de Ka-Sandra. Mes jambes commençaient à trembler. Autour de moi, tout s'écroulait. Aurai-je la force, le courage d'appuyer sur le bouton "on" et d'écouter les indications ? J'ai alors réussi à contrôler les battements de mon cœur, et j'ai pressé le bouton pour écouter la bande. Voici scrupuleusement mot pour mot les ordres qui m'étaient donnés par ma Maîtresse Ka-Sandra. - "Dans le hall de l'entrée, appuie sur le bouton marqué au nom de Monsieur Alexandre. Prends l'ascenseur jusqu'au deuxième étage, c'est la porte de droite. Une très jolie jeune femme t'ouvrira, tu la déshabilleras et tu lui feras l'amour sans t'être déshabillée. Tu recevras ensuite un homme avec lequel tu devras te comporter avec gentillesse, tact et élégance. Tu le feras rentrer dans la chambre. Tu lui dégraferas son pantalon avant de lui ôter ses vêtements et tu donneras l'ordre à Valérie de se dévêtir. L'homme te remettra la somme convenue. Elle le masturbera sur ta demande et lorsque son sexe sera suffisamment en érection tu le prendras délicatement dans ta bouche. Tu t'allongeras ensuite sur le lit, en prenant soin de tenir tes jambes bien écartées. Allongée sur le lit, tu t'offriras à lui pour qu'il te prenne. Une fois qu'il t'aura prise, Valérie te léchera jusqu'à ce que tu jouisses dans sa bouche. Puis vous irez toutes les deux dans la cabine de douche où l'homme urinera sur vous. C'est son fantasme. Tu accepteras sans rien dire. Ensuite, tu urineras sur Valérie et elle en fera autant sur toi. Accepte cela et accomplis ta tâche." J'appuyai sur le bouton de l'interphone, sans rien ne pourrait commencer. Mes mains tremblaient et je sentis mon corps plus vulnérable encore. Aucune voix ne répondit. Je frappai à la porte, une très belle jeune femme apparût. Je commis ma première faute: j'oubliai de la déshabiller. Elle le fit elle même, avec grâce et naturel. Il me fallait réagir, si je ne voulais pas commettre une seconde erreur. Je commençais à embrasser son ventre doux et moite, délicatement parfumé, lorsqu'on frappa à la porte. Valérie parut étonnée de cette visite. L'homme entra. J'entrepris de dégrafer la ceinture de son pantalon suivant les instructions. Valérie acheva de le déshabiller et prit le sexe de l'homme entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après avoir ordonné sèchement à Valérie de cesser de le masturber, il m'ordonna de m'allonger sur le lit, et après avoir écarté et levé bien haut mes jambes, sans que je sois préparée, il me pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il demanda à Valérie de se mettre en position et la prit à son tour tout aussi brutalement que moi. L'homme demanda d'une voix autoritaire: - Laquelle veut me recevoir ? Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant que Valérie caresserait la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue. Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Je pensais fort à ma Maîtresse, à la fierté qu'elle éprouverait. Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour entre Valérie et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement. La sonnette de la porte retentit. Valérie se précipita pour ouvrir. Je la vis se jeter au cou de Ka-Sandra et fus stupéfaite de la dureté avec laquelle ma Maîtresse la repoussa. Valérie fut contrainte de se mettre à quatre pattes et eut droit à une sévère correction. Elle ne put retenir ses larmes sous l'effet de la douleur et le spectacle de cette jolie fille en pleurs m'émut étrangement. Après une minutieuse toilette, Maîtresse Ka-Sandra nous ordonna de nous rhabiller avant de descendre dîner. J'étais heureuse et très fière d'avoir accompli ma mission. Je lui remis l'argent de mon travail. Ce soir-là, j'avais réaliser l'un de mes fantasmes, me vendre. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/06/21
C'est un peu par hasard, que je tombais par internet sur un article parlant d'un village de vacances proposant à ses touristes masculins le port obligatoire d'une cage de chasteté. Ma curiosité m'imposa de contacter par téléphone ce drôle d'établissement. On me confirma que les séjours étaient réservables pour une durée minimale de trois semaines. Le port de la cage était obligatoire ainsi que la nudité. Si pour une raison quelconque je souhaitais écourter le séjour celui-ci ne serait pas remboursable. Les photos montraient un bel hôtel avec parc et piscine. Une voie autoritaire me demanda 'je réserve à quelle nom'?. Je ne sais encore aujourd'hui pas pourquoi, je donnais mon identité et paya mes futures vacances avec ma carte bleue. L'entretien téléphonique ne dura pas longtemps, je reçus très rapidement un mail de confirmation de réservation. Ces vacances d'été étaient donc prévu d'ici un mois. Je ne cessais d'aller sur leur site internet et me dis que j'allais vivre une extraordinaire aventure. Je trouvais difficilement le sommeil. Puis je reçu par voix postale un colis avec une lettre m'indiquant que je devais transmettre mes dimensions intimes en m'aidant du kit fourni. Le courrier stipulait que je devais communiquer toutes les dimensions au moyen d'un petit tableau façon Excel. Ces mesures étaient difficiles sous risque d'être prise en érection et j'avoue avoir été terriblement honteux de savoir que au moins une personne allait recevoir ces informations fortement personnelles. Quelques jour plus tard, je reçu un appel téléphonique. - Bonjour je suis M.Leon de 'L'Hotel', je suis le soudeur et c'est moi qui vais prendre en charge la conception de votre cage de chasteté. Pourriez vous me confirmer certaines mesures ? - Heu, ho, oui Honteux je confirma certaines particularité de mon anatomie à un parfait inconnu. Plus mes vacances approchaient plus une boule d'angoisse commençait à faire pression en moi.....
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Par : le 02/08/23
Le supplice de la douceur   Je vais t'infliger le supplice de la douceur. Et il l'allonge, nue, sur le dos.   Elle en frémit, elle en tremble. C'est la première fois qu'il lui parle ainsi. La première fois qu'il emploie ces mots "le supplice de la douceur". A quoi doit-elle s'attendre ? La douceur ? C'est plutôt de la douleur qu'il lui inflige. Quand il la corrige. Quand il l'empoigne. Durement. Par les seins ou par la vulve. Il l'aime la tenir dans sa poigne. Et elle en coule. Et elle en crie. S'ouvre et s'abandonne. Coule, crie, et jouit. Elle hurle sa jouissance dans la douleur. Elle se répand dans ses poings crispés qui la broie. La réduise à ça. Cette femme pantelante. Délabrée. Ruinée. Secouée de spasmes. Qui ne finissent pas de l'ébranler...   Mais la douceur... Je vais t'infliger le supplice de la douceur, a-t-il dit.   Quand il se penche sur son visage, et lèche avec une douceur extrême ses lèvres, elle comprend. Il ne fourre pas sa langue dans sa bouche. Non. Il lèche ses lèvres. Il dessine sa bouche de sa langue. Lui qui d'habitude l'embrasse sauvagement fougueusement. Ou lui impose toute sa bite au fond de sa gorge. Longuement. Puissamment. Pour qu'elle en bave. En pleure. A bout de souffle n'en puisse plus...   Non. Il la lèche doucement. Et sa bouche descend dans son cou. Sa main se pose sur son ventre. Avec une légèreté qui la trouble. Sa main ne pèse pas. Et pourtant. Elle est là présente. Simplement là. Posée sur son ventre. Toute sa main. La paume, les doigts. Au cœur d'elle-même. Elle s'en émeut. De le sentir là. Si tendre. Ce geste. Cette présence. Ni autoritaire ni possessif. Simplement là. Dans sa bienveillance. Il prend soin d'elle. Elle lui a donné ce droit.   Et sa bouche descend, contourne ses seins. Effleure. Lèche. Elle sent son souffle. Il la parcourt. Chaque mamelon. Chaque sein tour à tour. Jusqu'à ses tétons qu'il frôle. Il les fait bander, durcir, se tendre. Sous la douce caresse de sa langue. Qui passe et repasse. Légère. Elle ne peut s'empêcher d'en gémir. De se cambrer. De lui offrir ses seins gonflés. Elle voudrait qu'il les empoigne. Qu'il pince brutalement ses tétons. Qu'il les morde ! Mais non... Je vais t'infliger le supplice de la douceur, a-t-il dit.   Et sa bouche descend sur ses flancs. Frôle son ventre. Alors que sa main se pose, délicatement, sur sa vulve. Enfin ! Elle en tremble. Sa main est là. Posée. Entre ses cuisses. Mais si présente... Et sa bouche descend, ses doigts frôlent. Elle les sent à peine. Sur ses lèvres. Sur son clitoris. Quand furtivement il passe. Et pourtant. Elle est ouverte trempée. Et elle voudrait qu'il la prenne, la fouille, lui impose ses doigts dans sa chatte, sa main. Toute sa main. Qu'il la remplisse ! De toute sa puissance ! Qu'il lui impose sa force ! Mais non.   Ses doigts effleurent. Ne font que passer. Frôler. Et sa bouche est si près de son clito ! Si près. Terrible frustration ! Elle voudrait qu'il la lèche. Avec vigueur. Mais sa langue, son doigt, ne font qu'effleurer. Et pourtant. Elle sent qu'elle monte. Sous la douceur de sa langue. Qui passe et repasse avec une indicible lenteur. Elle la sent à peine. Et pourtant. C'est cette frustration qui l'excite. Qui la prend. La mène. Avec une insupportable lenteur. Impitoyablement. Elle qui aime tant sa violence. Sa fougue. Quand il la travaille au corps. Mais là, elle ne peut que s’abandonner. S’offrir. Totalement s’offrir. Se laisser emporter par cette insupportable douceur. Ce supplice. Car c’est un bien un supplice. Jusqu'à l'orgasme.
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Par : le 11/04/24
"La jouissance de l’Autre, de l’Autre avec un grand A, du corps de l’Autre qui le symbolise, n’est pas le signe de l’amour, surtout quand le plaisir partagé est du même sexe" La coexistence des sexes nous amène à nous interroger aujourd'hui sur la question de leur représentation sociale et de leurs relations. En ce début du XXIème siècle, faut-il parler d'antagonisme ou d'harmonie ? Peut-on toujours invoquer la complémentarité homme-femme sur un plan biologique et psychologique ou n'est-il pas plus simple de rappeler l'audacieux concept de bisexualité psychique au détriment de la bipolarisation masculin-féminin ? Les stéréotypes de la masculinité et de la féminité sont une invention récente, précisément du XVIIIème siècle. C’est à ce moment-là que les rôles féminins et masculins ont commencé à se mettre en place sous l’effet de la révolution industrielle qui organisait la division des tâches. Les divers régimes politiques européens partageaient alors le même sentiment qu’on pourrait résumer par la phrase suivante: "Plus la femme est féminine, plus l’homme est viril et mieux, l’état et la société se portent." La transformation de la structure économique a en effet exclu les femmes des lieux de travail, et la société bourgeoise éprise de dynamisme et d’ordre les a rangées dans la maison. Le XVIIIème et le XIXème siècle, mais aussi le XXème, ont aimé représenter les femmes entourées de fleurs et d’enfants. Ce modèle s’est également accompagné d’une exclusion de tous les individus qui ne semblaient pas lui correspondre. Comme tout modèle, il avait en effet besoin d’adversaires pour se fortifier et se donner une apparente légitimité. Les ennemis de la nation, notamment, ont toujours été jugés décadents et efféminés. C’était l’avis des allemands sur les français des armées napoléoniennes tout comme celui des français sur les allemands, qu’ils jugeaient dépourvus de "vraies vertus viriles." À ce moment-là, "être masculin" signifiait posséder un ensemble de qualités qui étaient la force, le courage, la capacité de mettre une volonté passionnée au service d’un but clair et bien défini et de ne jamais fléchir dans ses positions. Au contraire, "être féminine" revenait à être douce, souriante et maternelle, et le code Napoléon a donné un fondement légal à cette situation en privant les femmes de tout droit et en faisant d’elles la propriété de leur mari au même titre qu’un meuble. Plus tard, et jusqu’à l’histoire récente, le mythe d’une complémentarité entre un homme "viril", possédant la force et la détermination, et une femme "féminine" qui posséderait la douceur et la générosité, a servi de fondement à toutes les sociétés autoritaires européennes. Elle a culminé malheureusement dans le fascisme et le nazisme, mais faut-il le rappeler, elle avait imprégné le christianisme depuis bien longtemps.    "L’écriture n’est jamais que quelque chose qui s’articule comme os dont le langage serait la chair. Chez la jeune femme, ce sont les désirs érotiques qui dominent de façon presque exclusive, car son ambition est en général absorbée par son aspiration amoureuse. Chez le jeune homme, outre les desirs érotiques, les désirs égoïstes et ambitieux sont nettement prioritaires." De nos jours, heureusement, la différenciation sexuelle est admise de façon plus large. Les digues ont cédé sous les exigences salvatrices de la pluralité des acteurs. Les personnes transgenres trouvent désormais leur place dans la société, à l'intérieur de la classification binaire normative élargie aux êtres homosexuels, bisexuels, pansexuels ou asexuels. Si le but de la pulsion est bien la satisfaction, cette satisfaction peut être obtenue. Nous retrouvons ici quelque chose de très banal et que nous rencontrons dans tous les domaines du vivant. L’organisme oscille entre le maintien d’une identité qui aboutira à la reproduction du même et l’enrichissement que lui procure son expansion, sa conquête de l’altérité. La bisexualité originaire représente pour nous l’antagonisme de ces deux visées phalliques, et c’est seulement en cet antagonisme que l’on trouve en germe leurs mises en suspens sociales respectives. En sciences, bien avant la formation des concepts d'homosexuel et d'hétérosexuel, on rapporte la première utilisation du terme bisexuel dans la botanique française vers la fin du XVIIIème siècle pour désigner les plantes possédant à la fois des organes de l'un et de l'autre sexe, par opposition au terme unisexuel, introduit pour désigner des végétaux n'ayant des organes que d'un seul sexe. Selon Freud, la notion de bisexualité réfère à un dispositif psychique. En effet, il utilisait le terme homosexualité ou "phénomène d'inversion" pour référer au choix d'objet, c'est-à-dire à l'acte d'élire une personne ou un type de personne comme objet d'amour. La psychiatrie a inventé toute une pathologie issue des pratiques sexuelles. En réalité, tout n’est pas noir ou blanc. Entre les hétérosexuels et les homosexuels, la majorité de l’humanité représente un continuum d’individus se rapprochant plus ou moins de l’un ou de l’autre. Ainsi peut-on être bisexuel en ayant toutefois une préférence pour l’un des deux sexes, ce qui n’exclut pas d’avoir des expériences sexuelles avec les deux. Le désir, l’orientation, la sexualité vécue, évoluent en permanence. Ces catégorisations sont bien sûr le produit d’une construction sociale. Kinsey a prouvé que des individus hétérosexuels et homosexuels ne formaient pas des populations discrètes et qu'une fluctuation considérable des pôles d'attirances et de comportements était possible au cours de la vie d'une femme ou d'un homme. La définition du terme bisexuel ne fait toujours pas consensus. L'auto-identification sexuelle réfère avant tout à la reconnaissance de soi. L'attirance sexuelle, quant à elle, réfère aux fantasmes, désirs, pulsions et émotions romantiques envers une personne définie.    "Tout mythe se rapporte à l’inexplicable du réel, et il est toujours inexplicable que quoi que ce soit réponde au désir. Peut-être me fera-t-on l’objection que tout cela n’est pas de la sexualité. J’emploie le mot dans un sens beaucoup plus large que l’usage ne le réclame, soit. Mais la question est de savoir si ce n’est pas l’usage qui l’emploie dans un sens beaucoup trop étroit, en le limitant au domaine de la reproduction." La mythologie a toujours exercé un pouvoir fascinant sur la psychanalyse, on passe très souvent d'un mythe à l'autre. Il y eut Gaïa, la Terre, et Ouranos, le Ciel, par qui Gaïa fut couverte et fécondée. Trop couverte et trop fécondée car elle demandera à ses fils, les Titans, d’émasculer leur père, ce à quoi consent le plus jeune, Cronos. Voilà la scène d’où le sujet est appelé à naître en tant que sujet du désir et du symbole et le mythe nous dit que cette naissance ne peut être exempte de violence et même qu’elle ne peut faire autre chose qu’au fond la répéter. Les scènes primitives sont toujours quelque peu sadiques, c’est connu. Sur terre, il y a "l’Œdipe" de Sophocle, c’est-à-dire la représentation d’un dramaturge qui donne à voir que tout ce que dit le mythe est une histoire d’homme, sur laquelle, lui, Sophocle comme Œdipe et comme Freud sont amenés à enquêter. Moment capital sûrement dans l’histoire des idées qui fait de la connaissance de l’homme une connaissance d’après coup. Quelque chose est énigmatique et oriente l’enquête. La question de l’identité et de la différence et celle de leur engendrement réciproque. Ce sont là les deux questions du Sphynx et là semble se trouver, en cette rencontre avec une figure dévorante, bisexuelle, biphallique, une situation quasiment originaire. À travers le processus de reconnaissance tardif de l'homosexualité, les orientations sexuelles ont été décloisonnées de leurs catégories initiales, opposant une homosexualité exclusive à une hétérosexualité exclusive, permettant ainsi la considération de la bisexualité comme une orientation sexuelle distincte et autonome. La question de la norme est reformulée après coup et montre un cheminement vers une autre notion très simple, celle du bonheur.    "Ce que les dieux trouvent sublime, plus merveilleux que tout, c’est quand l’aimé se comporte comme on attendrait que se comportât l’amant. Les différences qui séparent le normal de l’anormal ne peuvent résider que dans l’intensité relative des différentes composantes constitutives de la pulsion sexuelle, et dans le rôle qu’elles sont appelées à jouer au cours de leur développement." Car en laissant de coté quelque temps toutes les considérations psychanalytiques, elle est annonciatrice de l’élaboration d’une théorie du libre arbitre en matière sexuelle. Dans les années soixante, les éditions catholiques proposaient deux livres pour préparer les adolescents à la vie de couple. L’un était réservé à l’édification des garçons et s’appelait "Réussir."Le second, strictement réservé à l’éducation des filles, s’appelait "Donner." C’était évidemment un programme ségrégatif. Autrement dit, non seulement ce qu’il est convenue d'appeler la "complémentarité" de l’homme et de la femme est une invention sociale, mais c’est une invention qui a toujours été valorisée par des pouvoirs politiques soucieux de contrôler leurs citoyens. Et, pire encore, cette invention a été reprise par certains psychanalystes qui l’ont traduite dans leur théorie et leur pratique. Cela s’est fait précisément à travers deux concepts dont les effets ont été ravageurs, "l’envie du pénis chez la femme" et "le complexe de castration." Sans être nécessaires à la pratique de la psychanalyse, ils empoisonnent encore aujourd’hui la conception que nous avons de l’homme et de la femme. C’est tout le mérite de Maria Torok d’avoir montré qu’il n’y a pas d’envie du pénis chez la femme au sens où il pourrait y avoir chez elle le désir de posséder un sexe masculin. Il existe en revanche une envie du "pénis idéalisé" parce que celui-ci peut paraître incarner aux femmes un pouvoir phallique qu’elles désirent au même titre que les hommes. Du point de vue de l’envie du pénis idéalisé, l'homme et la femme sont égaux. Il y a des raisons différentes à l’idéalisation du pénis, que ce soit par l’homme ou par la femme.    "Faire l’amour, comme le nom l’indique, c’est de la poésie. Mais il y a un monde entre la poésie et l’acte. L’acte d’amour, c’est la perversion polymorphe du mâle, cela chez l’être parlant. Plus on considère de près les troubles profonds de l’évolution psychosexuelle, et plus on prend conscience de l’importance que l’élément incestueux a dans le choix de l’objet." Sans entrer pour autant dans des concepts analytiques souvent abscons, la nature permet ainsi de le comprendre. Quand bien même l’égalité des hommes et des femmes serait enfin socialement instaurée, l'envie du pénis idéalisé ne disparaîtrait pas pour autant chez les fillettes. Car en effet, la source principale de l’envie du pénis idéalisé, tant chez l’homme que chez la femme, est constituée par le fait que garçons et filles, dans leur petite enfance, sont soumis aux mêmes problèmes, mais que leur sexe anatomique les conduit à les résoudre très différemment. Ces problèmes communs aux deux sexes concernent la relation à la mère. Le petit garçon et la petite fille partagent le désir d’échapper à l’emprise des soins maternels qu’ils vivent comme une menace, même s’ils ont par ailleurs le bonheur d’en bénéficier. L’angoisse d’une mère contraignante et envahissante, qui serait en quelque sorte propriétaire du corps de l’enfant, est partagée par tous les êtres humains quel que soit leur sexe. Tous doivent en effet apprendre à s’aligner sur les rythmes d’alimentation et de défécation imposés par la mère. Mais cette angoisse commune est justement gérée différemment en fonction du sexe anatomique. Face à cette menace, le petit garçon est amené à investir un organe extérieur à son corps, à savoir son pénis, comme une manière de tenter d’échapper à cette emprise maternelle qu’il vit comme une menace pour son identité. Son pénis lui appartient bien en propre. La petite fille n’a pas cette chance, et c’est pourquoi elle envie parfois le pénis du garçon. Mais elle ne l’envie que de la façon dont elle l’idéalise comme moyen d’échapper à l’emprise maternelle. Le cas échéant, elle sera obligée pour échapper à cette emprise, d’investir un homme de l’entourage vis-à-vis duquel la mère semble éprouver des sentiments tendres, afin d’entrer en rivalité avec cette mère, et de pouvoir ainsi s’assurer une identité distincte d’elle. Un autre concept psychanalytique peut donner lieu à une interprétation erronée.    "Il y a un autre registre où l’on peut méditer sur la fonction du langage, c’est celui du langage stupide de l’amour, qui consiste, au dernier degré du spasme de l’extase, ou au contraire de la routine. La sexualité de la plupart des hommes contient des éléments d’agression, soit une tendance à vouloir maîtriser l’objet sexuel, tendance que la biologie pourrait expliquer par la nécessité pour l’homme d’employer, s’il veut vaincre la résistance de l’objet, d’autres moyens que la séduction." Il serait difficile de l'oublier tant les études analytiques sont nombreuses à son sujet, même bien avant Freud et Lacan. Dans la mythologie il surgit chez le couple incestueux formé par la Terre, Gaïa et le Ciel, Ouranos par Artémis d’Éphèse. Il s’agit du "complexe de castration." Qui dit "castré" dit en effet, dans l’imaginaire collectif, "castré du sexe masculin ", même si la castration peut concerner l’un et l’autre sexe dans ses organes génitaux propres. Il n’y a pas, bien entendu, un sexe qui serait castré et un autre qui ne le serait pas. Les deux le sont dans la mesure où ils partagent l’angoisse et l’amertume de devoir se contenter du sexe qu’ils ont sans jamais pouvoir jouir de celui de l’autre, sauf dans le sien propre au moment des relations sexuelles. L’angoisse "de castration" rapportée à la problématique sexuelle correspond au fait d’être enfermé dans une identité sexuelle arrêtée et définie. L’être humain est homme ou femme, et il ne peut jamais être l’un et l’autre. En outre, chez tout enfant, et quel que soit son sexe, s’y ajoute le fait que ses désirs sexuels, notamment de rapprochement avec son père ou sa mère, se heurte à l’angoisse d’avoir des organes génitaux plus petits que ceux des adultes qu’il côtoie. Malheureusement, le mot de "castration" est bien mal choisi et il a parfois engagé certains psychanalystes à penser que la femme serait "irrémédiablement castrée." Enfin, il est impossible d’évoquerles écueils où la psychanalyse s’est fourvoyée sans mentionner l’homosexualité. Elle l’a largement condamnée sous prétexte qu’il s’agirait d’un choix narcissique, en oubliant que la plupart des choix hétérosexuels ne le sont pas moins.   "Il croit désirer parce qu’il se voit comme désiré, et il ne voit pas que ce que l’Autre veut lui arracher c’est son regard. Un certain degré d’hermaphrodisme anatomique est normal. Chez tout individu, soit mâle, soit femelle, on trouve des vestiges de l’organe génital du sexe opposé." De ce point de vue, il apparaît de plus en plus indigne d'oublier les condamnations dont l’homosexualité a été l’objet de la part des mouvements psychanalytiques. D'aucun rapporte la violence sociale à l’importance prise dans notre société par la force de la masculinité. Le moteur principal des violences professionnelles se trouverait dans le fait que ceux qui sont appelés à les exercer seraient encouragés à cela par une idéologie qui identifie exercice de la violence et virilité. Chacun serait invité à être inhumain et impitoyable à la fois avec ses subalternes et ses concurrents, tout en apportant preuve de sa "virilité." Jouant sur les deux homonymes "mal" et "mâle", cela désignerait la violence dans les entreprises comme le "travail du mâle." Ce serait donc l’angoisse de castration qui serait le moteur de la violence sociale. Celui qui est sommé de l’accomplir craint, s’il n’y parvient pas, de se voir privé de la qualité virile. Que ce soit une femme ou un homme qui exerce le pouvoir au sein de l'organisme professionnel. Le problème de cette opinion est que la "virilité" est un concept récent, qui date précisément du XVIIIème siècle. La violence exercée pendant les guerres de religion, par exemple, ne l’a pas été au nom d’un idéal de virilité, mais d’un idéal religieux. Il ne faut donc pas confondre la virilité comme prétexte avec la virilité comme moteur de la violence. Ce n’est pas l’angoisse de castration qui amène à se conformer à la loi du groupe, c’est l’angoisse d’être rejeté par lui. Cette réalité s'avère d'autant plus cruelle aujourd'hui. L’aptitude à une violence sans honte ni culpabilité trouve son origine en effet dans une certaine forme de constitution de la personnalité pour laquelle l’obtention de la reconnaissance du groupe est tout. Dans les entreprises, de nos jours, c’est en effet trop souvent la "virilité" qui est mise en avant comme condition de cette reconnaissance, mais il ne s’agit que d’un prétexte qui pourrait être remplacé par un autre sans rien changer au fonctionnement du monde du travail.    "Le désir trouve ordinairement dans l’acte plutôt son collapsus que sa réalisation et, au mieux, l'acte ne présente au désir que son exploit, sa geste héroïque.  La notion qui découle de ces faits connus depuis longtemps déjà est celle d’un organisme bisexuel à l’origine, et qui, au cours de l’évolution, s’oriente vers la monosexualité, tout en conservant quelques restes atrophiés du sexe contraire. On peut transposer cette conception dans le domaine psychique et comprendre l’inversion dans ses variantes, comme l’expression d’un hermaphrodisme psychique. D'où l'importance de la bisexualité.   Les rapports de l’hybridité psychique avec l’hybridité anatomique évidente ne sont certes pas aussi intimes, aussi constants qu’on a bien voulu le dire." L'étude serait incomplète si nous passions sous silence le modèle mythologique platonicien de la partie manquante de l'être que nous étions, avant la colère de Zeus. Dans le "Banquet" de Platon, Aristophane parle de l'amour en s'inspirant du mythe d'Androgyne. Aujourd’hui, si nous pouvons l'évoquer, c’est parce que les modèles sont en train de changer. Après la seconde guerre mondiale, les États-Unis ont diffusé en Europe des modèles différents de ceux auxquels nous avait familiarisés l’exaltation de l’antiquité grecque et latine entre 1900 et 1945. La musique américaine, les vêtements et les modes qui ont été adoptés par la jeunesse européenne depuis 1950 ont popularisé des images nouvelles de l’homme et de la femme. La valorisation des décharges affectives indisciplinées dans la nouvelle donne va à l’encontre des qualités viriles exaltées depuis le XVIIIème siècle dans la culture occidentale. La maîtrise de soi n’est plus érigée en vertu absolue. Enfin, la vogue de l’unisexe dans les années quatre-vingt, puis celle de l’androgyne dans les années quatre-vingt-dix a eu un effet libératoire sur les modèles. L’androgynie en tant que principe concerne la liberté de choisir sa sexualité, de remplir divers rôles sociaux, d’aller et venir entre masculinité et féminité. Cet idéal est bien entendu porteur d’utopie, mais il a permis aux femmes d’échapper à leur rôle traditionnel de gardienne du foyer et de faire usage de leur talent. L’androgynie a représenté en somme le défi principal aux stéréotypes de la virilité et de la féminité.    "La seule chose dont on puisse être coupable, c'est d'avoir cédé sur son désir. Il fallait venir à bout de nombre de mensonges et de cachotteries, mais, quand on y était parvenu, on s'apercevait que tous ces malades se livraient à des usages gravement aberrants de la fonction sexuelle." La dernière exigence intellectuelle serait de renoncer définitivement à l'archétype de l'homme parfait, issu de Jupiter. Cependant, rien n'est simple. Sur le chemin de la conception de l’homme et de la femme, nous rencontrons en effet un mythe très tenace, celui de "l’homme d’acier." Ce modèle a imprégné toute la pensée occidentale et il a culminé dans l’esthétique nazie. L'esthétique ne désigne plus seulement la norme artistique des hommes musclés réalisés par Arno Becker, le sculpteur officiel du IIIème Reich. Ces modèles, aujourd’hui, n’ont plus cours. Les mannequins masculins ont volontiers des corps fins et les mannequins féminins sont de plus en plus androgynes, avec des hanches étroites et des poitrines plates. Mais le vieux modèle du nazisme a malheureusement encore cours à travers une exaltation de la maîtrise absolue des émotions, des sentiments et du corps. L’homme parfaitement maître de ses émotions est évidemment d’une redoutable efficacité parce qu’il est sans état d’âme. C’est pourquoi, quand il se dévoue à une cause, rien ne l’arrête. C’est véritablement un homme d’acier. L'embrigader au service d’une cause juste ne suffit pourtant pas à désactiver son modèle, loin s’en faut. Alors, une fois dénoncé l’homme jupitérien dont le pendant serait la femme soumise et généreuse, sur quelles bases construire la relation entre hommes et femmes aujourd’hui ? Pour nous libérer définitivement du mythe de la dualité hommes/femmes et de tous les stéréotypes dans lesquels il a piégé les sexes depuis des siècles, ne conviendrait-il pas mieux d'admettre la possible bisexualité psychique de chacun et d’accepter tout simplement l'autonomie sexuelle ? Pour tous les "genres", la référence absolue serait alors l'absence de normes.     Bibliographie et références:   - Sigmund Freud, "Les fantasmes hystériques et la bisexualité" - Marie Delcourt, "Mythes et rites de la bisexualité" - Paulo R.Ceccarelli, "Bisexualité" - Serge Viderman, "Ce que deux est à trois" - Claude Aron, "La bisexualité" - Eva Cantarella, " La bisexualité dans le monde antique" - Eric Wastiaux, "La bisexualité, tout un art" - Faustine Bollaert, "Tous bi ?" - Frédéric Monneyron, "Bisexualité et littérature" - Samuel Demers, "Polyvalente Hyacinthe" - Catherine Deschamps, "Le miroir bisexuel" - Christian David, "Bisexualité psychique" - Éric Michaud, "Un art de l’éternité" - Michel Emile de M'Uzan, "Trajectoire de la bisexualité"   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/09/17
prenant des poses obscènes et dégradantes pour un homme,tripotant mes parties génitales pour me rendre compte de leur nouvelle état. -” Tu es bien excité dit moi belle bite. Allez met toi à genoux jambes ouvertes devant moi et branle toi. Je veux te voir jouir..” Je sors un peu de mon état et suis un peu gêné à cette idée, mais la je me rend conte que sophie ah une main dans son maillot de bain et se caresse aussi. Je me laisse aller en arrière m'apuyant sur une main offrand ainsi mon sex tendu dans la direction de sofie. De l'autre main, je saisi mon membre et commence à me masturber. -” Allez belle bite regarde moi dans les yeux quand tu fais ça.” me dit 'elle. Me voilà en train de me masturber devant sofie, nu, à genou au pied de cette jeune fille autoritaire et magnifique... Quand je la regarde sur son translate une main dans son bas de maillot à me contempler me rabaisser devant elle, quand mes yeux croisent les siens, je n'aie plus qu'une envie contenter le moindre de ses désirs. “C'est bien belle bite demande moi l'autorisation pour jouir.” Quand je sent le plaisir monter en moi je lui dit:” sophie je vais venir est que je peut jouir!” -“oui belle bite” me dit 'elle, un sourire au lèvre.” Jouis ma salope!” Je ne tien plus je joui et perd toutes notions de réalités et d'espace pendant un court instant. Je reviens à moi, au moment ou sofie , toujours installée sur son transate m'asperge d'eau . -”'T’endors pas belle bite. Tu dois me servir maintenant.” Un peu confus je me ressaisi et déclare - oui sofie. ”aujourd'hui c'est Maîtresse sophie me lance t elle.” je me corrige - “Oui maitresse Sophie.” Le reste de la matinée nous voit , elle toujours dans son transate, moi la servant en esclave nu comme un verre. temps tôt lui amenant un verre d'eau, temps tôt lui servant de repose pied. Elle me gratifiant par moment d'une vulgarité,par d'autre instant d'une bonne claque sur les fesses, le tout dans la complicité et les rires... Vient ensuite l'heure du repa,elle m'habille d'un tablier blanc de cuisine et me demande d'aller lui faire à manger. je commence à lui cuisiner des spaghettis bolognaise, son repas préféré. Pendant ce temps là, elle s'installe sur la table de jardin et commence à faire ses contes. Je peux la voir depuis la fenêtre de la cuisine, ne prêtant aucune attention à moi. Cela rajoute à mon humiliation d'être là, à cuisiner pour elle, excité par la situation tandis qu'elle vaque à ses occupations sans tenir compte de moi. Quand le repas est prêt je lui signale. Elle me dit depuis le jardin. -”Enlève ton tablier et sert moi à manger. je m'exécute. Me revoilà nu comme un verre mettant la table.Une foi qu'elle a fini ses contes je lui sert son repas et un verre de vin, attendant nu à côté d'elle la bouteille à la main et la queue de nouveau raide... ” Ca à l'aire bon belle bite.” Déclare t elle. Elle porte la fourchette à sa bouche en me regardant dans les yeux. Je peux voir de la satisfaction sur son visage.- ” C'est délicieux ma pute, bravo.” Elle porte ensuite le verre de vin à ses lèvres mais dès qu'elle y goûte je comprend que quelques choses ne va pas... ” c'est le vin d'hier ça esclave. Non? ” ” Oui maîtresse ” “Tu l'as gouté avant de me l'amener? “ Je perçois mon erreur “ non sofie “ “ Il est éventé.” dit elle . Elle pose le verre sur la table,claque des doigts en montrant la cuisine et me dit d'aller chercher un autr verre, et une autre bouteille de vin. “Oui maîtresse.” Dis je, en courant lui chercher. Je reviens bien vite lui sert un verre et me prosterne à ses pieds, lui demandant pardon. Elle goûte le nouveau verre et semble satisfaite. Ensuite sofie d'une main me caresse les cheveux, d'une voix ferme et douce à la fois. - “ allez viens t'asseoir on va manger maintenant”. Nous commençons à manger tout les deux, je me détend un peu. On rigole, discute de tout et de ce que l'on est en train de faire. “ Tu es vraiment givré! ” me dit t'elle en souriant. “Tu te serrai vu courir cul tout nu me chercher une autre bouteille de vin.” Tu étais ridicule. Un peu honteux je rougi. -” Oui je sais, c'est un peu bizarre. Je dois être pervers d'aimer cela.” -” Ne t'inquiète pas. C'est bizarre mais ce n'est pas grave.Puis j'aime bien avoir mon petit esclave à la maison.Puis pour tout te dire, j'aime bien qu'on m'obéisse et soumettre un hommes et 'l'humilier Ca commence à me plaire.J'y prend goût. ” Sur ces dernières paroles sont sourires s'élargit. Le repas touche à sa fin quand sophie me dit : - “ bon maintenant belle bite tu vas débarrasser et faire la vaisselle, mais avant il faut te punir pour ce mauvais vin servi lève toi! “ Je m'exécute, le coeur battant à la chamade de peur et d'excitation. Je me demande ce qu'elle va bien pouvoir inventer. Je sais qu'elle est pleine d'imagination... Elle recule un peu la chaise sur laquelle elle est installée. Toujours assise elle me regarde dans les yeux et en claquant des doigts me montre ses genoux. Je comprend directement ce qu'elle veut et ne me fait pas prier... Silencieusement je m'installe sur le ventre en travers de ses jambes, mon nombril sur ses cuisses. Elle me demande de passer les mains dans le dos. Elles me saisis les poignets et les emprisonnes. Le contactes de nos peaux qui se touchent et la situation commence à me faire bander. Sophie doit sentir ma queue grossir contre sa cuisse. Elle pose alors son autre main sur mes fesses et les caresse doucement en me susurrant. “Ca t'excite belle bite hein? c'est ton grand fantasme de recevoir la fessée? “ “oui Maîtresse sophie ca m'excite beaucoup.” Dit je d'une petite voix un peu honteuse. “Allez belle bite, écarte un peu tes jambes.” En silence je le fais. Je suis sur la pointe des pieds les fesse tendues vers le haut. Elle en profite pour passer sa main entre mes cuisses à fin de me caresser doucement les testicules et la verge. Tu sais belle bite, j'ai lu qu'il y a deux type de fessée, la petite fessée gentille pour faire plaisir... et celle pour punir. Tout le long de son discours elle me mettait des petites fessées de plus en plus fort . Je sentais mes fesses devenir chaude et picoter cela m'excitait doucement, mais sur le dernier mot la claque fut beaucoup plus forte m'arrachant un cri de surprise et de douleur. Ensuite les coups se sont mit à pleuvoir sur mes fesses de plus en plus fort et douloureux, devenant rapide pour finir en rafale. Mes fesses me brûle me font mal.Je la supplie d'arrêter. -”pitié sophie j'ai mal,arrête”. Mais rien y fait. -”J'arrêterai quand j’en aurai envie! ” Me crie t elle en repartant de plus belle. Je suis vaincu je couine à chaque coup je supplie, j'implore. Elle finit par arréter me repoussant en bas de ses genoux. Je tombe à ses pieds vaincus et épuisé. Elle se lève me temps un pied et me dit: - “ allez face contre terre, implore mon pardon. “ Je pose ma tête sur son pied et lui gémit pardon sophie,pitié je t'implore. J'implore ton pardon. “A genoux les mains sur la tête. “ Me dit 'elle. Je m'exécute,les fesses brulantes. Je la voit aller chercher mon téléphone portable sur la table. Elle comprend que je suis inquiet. “Ne t'en fait pas belle bite. je vais juste te faire une vidéo souvenir… “ Elle passe passe derrière moi. Je comprend qu'elle a dut commencer la vidéo... j'entend ses commentaires. -” Voilà belle bite, et oui c'est ton nouveau nom . Voila je te fait une petite vidéo souvenir pour que tu puisses te branler quand je serais pas là pour t'humilier.. regarde l'état de tes fesses.Tu as le cul tout rouge.” Elle passe ensuite devant moi le téléphone à la main, braque la caméra sur moi, à genoux les mains derrière la tête ”Alors belle bite,regarde la caméra et dit combien tu es content d'avoir reçu une fessée.” Je lève la tête toujours dans la même position. Je vois son visage radieu et moqueur regarder le mien au travers de l'écran du téléphone. ”Merci sophie de m'avoir donné la fessée. ” Dis je un peu honteux. “Mais de rien ma petite pute. hein oui que tu es ma pute? “ “Oui maîtresse sophie. Je suis votre pute , votre salope male, votre esclave et votre chien. “ Elle se met à rire et me dit : - “ C'est bien ma salope, allez ouvre ta bouche que je la fourre.” Je m'exécute et aussitôt elle m'enfonce plusieur doigts dans la bouche, et s’amuse à faire des va et vient dedans. Elle rigole toujours et me dit que bientôt c'est son gode ceinture que je vais sucer.Le vas et vient de ses doigts fini par me faire beaucoup saliver et baver. Elle décide alors d'enlever ses doigts de ma bouche, de me mettre deux gifle et de s'essuyer la mains sur mon visage - “Que voilà une belle vidéo souvenir....” En coupant le téléphone elle me dit de mettre ma tête en arrière et de garder ma bouche ouverte. Ensuite elle pose le portable sur la table et prend le verre rempli de mauvais vin. Elle me dit de fermer les yeux et je sent le vin couler dans ma bouche et sur mon visage. Il ruisselle sur mon corp . “Allez avale ce mauvais vin que tu voulais donner à ta reine, voilà c'est bien salope. Maintenant tu va rester un peu nu comme cela pour méditer sur ton erreur.” Et c'est ainsi que je suis resté complètement nu à genou, les mains derrière la tête, du vin collant sur mon corps. Exposé pendant un temps indéterminé sur le sol de la terrasse. Pendant ce moment j'ai eu le temps de penser à la situation. Au fait que j'étais en train de vivre mon fantasme après tout ce temps. Au fait que; oh mon dieu. J'avais montré cette face cachée de ma personnalité à une amie proche. Que je n'étais plus en train de fantasmer derrière mon écran, à parler à des inconnus, mais que maintenant quelqu'un connaissait vraiment cette facette de ma personnalité.
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Par : le 14/05/20
Quand elle franchit la porte de son bureau, Juliette se sentait nerveuse; la veille, elle avait accepté, malgré elle, de se soumettre à Chloé; elle était revêtue de l'un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues plus provocantes; le tailleur jupe, en flanelle noire, était composé d'une jupe droite lui arrivant très au dessus des genoux et d'une veste croisée sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur, sous son corsage flottant, un soutien-gorge balconnet, ouvert, transparent et durement baleiné, rehaussant une poitrine généreuse mais ferme aux larges aréoles brunes; elle ne portait ni string, ni tanga; elle allait donc le ventre nu, d'autant plus nu que Chloé exigeait qu'elle soit intégralement rasée, lisse, offerte et ouverte, et qu'elle porte en permanence, fixé au centre de ses reins, un rosebud anal, de façon que le mouvement de ses muscles ne puisse le repousser mais qu'on puisse pénétrer au besoin son autre voie. Elle entretenait sa silhouette, en faisant de la gymnastique quotidiennement, et en montant à cheval tous les week-ends; à vingt ans, c'était une femme au physique séduisant, à la fois stricte et féminine; ses lunettes fines lui donnaient un air sérieux et élégant. Elle en imposait car elle se tenait toujours très droite avec des chaussures à talons hauts; ce jour-là, elle portait le chignon et son maquillage était discret. Lorsqu'elle passa devant Chloé qui était assise à l'accueil, elle la salua d'un signe de tête sans dire un mot et se dirigea vers son bureau. Celui-ci était spacieux, meublé en style moderne, d'un canapé en cuir noir Knoll, et d'une grande table en verre. Des plantes vertes agrémentaient le décor. Elle prit l'interphone et demanda à Chloé de venir. Quelques instants plus tard, elle frappa à la porte. Chloé s'assit sans dire un mot. - Voilà, j'ai décidé d'arrêter ce petit jeu, c'était une fantaisie mais nous sommes allées trop loin, je ne suis pas vraiment lesbienne, vous non plus d'ailleurs, nous nous sommes accordées mutuellement des libertés mais je crois qu'il faut mettre un terme à tout cela. Nos relations resteront cordiales mais compte tenu de ce qui s'est passé entre nous il est préférable de nous éloigner. Bien entendu il est hors de question que vous en subissiez quelque dommage que ce soit, j'ai donc conclu un arrangement avec l'un de nos sous-traitants, il vous fera un contrat avec un salaire plus élevé que celui que vous percevez ici. Voilà, je vous conserve toute mon amitié mais il serait souhaitable à l'avenir de se vouvoyer." Chloé eut un nœud à la gorge, elle était déstabilisée, l'attitude calme de Juliette, le fait de la voir dans cette tenue qu'elle associait à celle qui était sa patronne froide et autoritaire, le fait de ressentir sa détermination, tout ça remettait en cause ses acquis, tout allait peut-être s'écrouler comme un jeu de cartes. Elle savait que sa prochaine phrase allait déterminer la nature de leur relation future. Ce sera celle qui fera la première erreur qui aura perdu se dit-elle. Elles s'observèrent un long moment, puis Chloé décida d'entrer dans la bataille. Cependant, elle avait senti le changement de ton de Juliette, celui-ci n'était plus aussi assuré, bien que cherchant à le dissimuler, elle commençait à perdre pied, elle profita de ce moment de faiblesse pour porter l'estocade, elle se leva et s'approcha, elle lui tira les cheveux pour la forcer à la regarder, droit dans les yeux: - C'est toi qui es venue me chercher, moi je ne t'avais rien demandé. - Euh oui je sais, mais j'y ai été contrainte par Laurence. - Oui mais Laurence ne t'a rien imposée elle non plus, je connais votre histoire, elle t'a laissé le choix de poursuivre votre relation ou non, c'est toi qui a accepté. - Tu as accepté oui ou non ? - Oui. - Tu dis que tu n'es pas lesbienne, je crois plutôt que tu es bisexuelle, maso-bisexuelle, tu as pris autant de plaisir que moi dans cette relation, alors pourquoi veux-tu arrêter ? - Mais vous non plus, vous n'êtes pas lesbienne, vous me l'avez dit. - Moi c'est différent, je suis libertine, je prends le plaisir là où il est sans me poser de question, me faire lécher par ma patronne, c'est une jouissance autant cérébrale que physique; pour toi de lécher ta secrétaire, c'est un plaisir aussi, le plaisir de l'interdit sans doute. - Chloé, je vous en prie, ne rendez pas ma tâche plus difficile, nous sommes libres de nos choix, nous avons joué vous et moi mais maintenant ça suffit, cette situation ne me convient plus, alors je vous le dit voilà tout. Regardez notre différence d'âge, nos styles sont différents, nous ne faisons pas partie de la même classe sociale, nous n'avons pas la même culture, tout nous sépare. - C'est justement pour ça que tu m'intéresses, parce que tout nous sépare. Puis elle lui saisit la main et la fourra entre ses jambes. - Allez vas-y, tu sais ce que tu as à faire. Juliette retira sa main énergiquement et baissa le tête, Chloé lui tira à nouveau les cheveux plus fort, puis d'un ton autoritaire: - Vas y je te dis ! Alors Juliette, mécaniquement, la main tremblante, lentement, remonta vers son sexe et le caressa. - Écoute ma chérie, il faut que tu te mettes dans la tête que tu as deux vies bien distinctes, ta vie classique, celle que tu mènes depuis toujours de femme d'affaires qui s'amuse à regarder les autres de haut et puis celle où tu es exactement l'inverse, tu es ma soumise, c'est toi qui doit exécuter tous mes caprices. Mais réfléchis, au fond tu as de la chance, avec moi au moins tu vis vraiment ! Bon je vais être gentille, je t'accorde la liberté totale en dehors de nos relations, c'est à dire que tu pourras rencontrer un homme si tu en as envie ou quoi que ce soit d'autre. Mais je te préviens, je n'accepterai plus de rébellion dans nos relations personnelles, tu dois accepter cette situation, tu n'as plus le choix, tu m'appartiens." - J'ai compris. - Tu vas être sage et obéissante ? - Oui... - Alors dis-le. - Je vais être sage et obéissante... Chloé se déshabilla et se mit à quatre pattes sur le canapé, Juliette lui lécha le cul. Chloé jouissait de la situation; celle qui un quart-d'heure plus tôt avec son tailleur Chanel lui faisait la leçon était en train de lui lécher l'anus, à elle, sa secrétaire. Puis, au bout d'un moment, Chloé se leva, se rhabilla et sortit du bureau, elle revint deux minutes plus tard, un trousseau de clés en main qu'elle jeta sur le bureau puis elle prit une feuille et griffonna quelque chose dessus. - Voilà c'est mon adresse et mes clés, tu prépareras le dîner, je reviendrai vers 20h, tu resteras habillée comme tu es mais tu auras ôté ton soutien-gorge et ton string et dégrafé deux boutons de ton chemisier. Juliette, livide, acquiesça sans dire un mot. Lorsque Chloé rentra chez elle il était vingt et une heures passé, elle s'approcha de Juliette, la prit affectueusement dans les bras et l'embrassa, en ouvrant un coffret qu'elle avait à la main et en sortit un large collier, ras le cou en or, avec un médaillon gravé. - Je t'ai fait un cadeau, tu ne peux pas dire que je ne te gâte pas. - Ah bon ? Je ne m'attendais pas à ça, vraiment c'est gentil. - Avant de dire que c'est gentil, lis ce qui est gravé sur le médaillon. Elle prit ses lunettes et lu "Juliette" en gros, puis en petit "Propriété de Chloé de Moras" suivi de son téléphone. - Non tu plaisantes !! Tu veux que je mette ça ? Tu n'as donc plus aucun respect pour moi ? C'est hors de question, tu vas trop loin maintenant. - Viens ici et baisse les yeux, tu veux que je me fâche ? - Non. Comme un robot elle approcha, Chloé lui mit le collier autour du cou puis sortant une petite pince de son sac écrasa le fermoir pour qu'on ne puisse plus jamais l'ouvrir. - Attention, si tu l'enlèves, je te fais tatouer au fer sur le pubis. Progressivement Juliette s’enfonçait dans la soumission totale, Chloé avait l'intelligence de la faire progresser par paliers; jusqu'ou l'amènerait-elle ? Juliette qui était une femme BCBG avait une honte infinie, d'abord de se retrouver à agir d'une manière qu'elle jugeait totalement avilissante et inavouable mais de plus avec une jeune fille de vingt ans, qui non seulement aurait pu être sa fille, mais qui de plus était son employée. Malgré cela et contre son gré elle devait bien admettre que cette situation l'excitait. Elle savait qu'elle obtiendrait tout d'elle, même ce qu'elle n'osait pas avouer. Le lendemain, au travail elle reçu un SMS : Appelle moi à ton bureau ! Elle le fit, une fois entrée, Chloé s'assit sur le canapé, retira son string et écarta les jambes, puis l'œil narquois. - J'ai une petite envie, viens ici ! Sans dire un mot, Juliette qui avait compris ce qu'elle attendait d'elle s'accroupit et entama un cunnilingus, bien malgré elle elle était devenue experte en la matière lui léchant d'abord les grandes lèvres avec le plat de sa langue puis se concentrant sur le clitoris le titillant du bout de la langue d'abord doucement puis en accélérant, pendant ce temps elle pénétrait un doigt dans son anus, en faisait des petits cercles; la jouissance vint rapidement, une fois satisfaite dans un râle étouffé, Chloé lui lui tapota la joue. - Maintenant, lèche moi l'anus, ce soir tu viens chez moi à vingt heures. Je sonne et au lieu de Chloé, c’est une belle inconnue qui m’ouvre riant de ma surprise. Je l'entends me demander de rentrer et de venir à la cuisine où elle s’active pour finir de préparer des cocktails. Elle me présente la jolie fille. - Voilà, c’est Laura et ne ris pas, moi aussi j’ai franchi le pas, c’est ma femme me dit-elle en m’embrassant doucement sur les joues. Je pensais que toutes mes prévisions tombaient à l’eau et j’étais bien loin du compte en réalité. On s’installa au salon pour déguster les douceurs un peu alcoolisées qui avaient été préparées. Chloé me raconta leur rencontre faisant référence à la nôtre en comparaison comme si elle voulait me la rappeler, en me narguant. Après trois verres, Laura mit de la musique douce et me demandant si j’aimais danser, elle me tendit la main; regardant Chloé, elle acquiesça de la tête; je me retrouvais dans les bras de Laura me guidant dans une danse lascive, ses ses mains sur mes reins. Chloé nous regardait sirotant son verre quand les doigts de Laura se posèrent sur mes hanches faisant remonter ma robe sur mes cuisses découvrant le haut de mes bas tenus par un porte-jarretelles. - "Regarde ma chérie, comme elle s’est habillée pour toi la salope" lui dit-elle. Je ne pouvais pas nier que la lingerie La Perla en dessous de ma robe devait faire son effet. - Déshabille-la, elle adore ça dit en réponse Chloé. Alors Laura fit glisser la fermeture de ma robe, me la retira, frôlant de ses doigts ma peau la faisant frissonner à ce contact. Elle me fit tourner sur moi-même pour laisser Chloé me voir en entier. Au bout de quelques instants, celle-ci se leva, vint vers moi et m’arrêta face à elle et posa ses lèvres sur les miennes, m’en faisant partager le goût; je me laissai griser par le plaisir quand je sentis Laura se coller dans mon dos. Bientôt Chloé me fixa sur la bouche un bâillon-boule pendant que Laura me liait les chevilles avec des lanières de cuir reliées au canapé. Elle saisit ensuite mes poignets, qu'elle écarta en croix, comme mes cuisses. J'étais ainsi offerte à mes deux maîtresses. J'allais être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique. Ce fut Chloé qui me flagella, sur le ventre, l'intérieur des cuisses et les seins. Puis, elles me détachèrent de façon à pouvoir prendre un peu de repos, mais cet intermède ne dura que peu de temps. J’étais prise entre les bouches de ses deux femmes, désirant me soumettre. Laura dégrafant mon soutien-gorge pour que Chloé pétrisse mes seins de ses mains. Puis les deux bouches glissèrent vers le bas, l’une dans mon dos, l’autre passant de mes seins à mon ventre; doucement les quatre mains firent glisser mon string, leurs bouches sur mes fesses pour l’une et sur mon pubis rasé pour l’autre, me goûtant en totalité, en me faisant tourner sur moi-même au bout d’un moment pour explorer l'intégralité de mon corps pris en étau, de leurs langues intrusives et de leurs doigts gourmands. Je jouis une première fois, bien incapable de savoir sous la langue de laquelle cela se produisit. Puis elles me prirent par la main, et on se retrouva dans la chambre; je m’allongeais docilement sur le lit, elles se déshabillèrent devant moi. Je découvris le corps de Laura, sportif, très sculpté qui vint s’allonger contre moi. Je pus le caresser, l’embrasser, le goûter, pétrir ses seins, leurs aréoles et les pointes très sensibles, en érection déjà, et son ventre parfaitement lisse. Chloé m’encourageait en me caressant, tout en introduisant un doigt dans mon rectum, puis elle s’arrêta, me laissant au plaisir et à la merci de Laura qui me surprit, dans mon dos, par la dureté de l'olisbos dont elle s'était ceint à la taille. M'ordonnant de me mettre en levrette sans que ma langue ne perde les lèvres de Chloé et pour la première fois, alors qu’elle ne me l’avait jamais imposé, elle frotta son gode sur mon ventre inondé de cyprine et d’un coup, me sodomisa. Les mains sur mes hanches, la jeune fille poussa des reins, et le cône se prêta aux replis de mon étroite bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée continue en se distendant; l'olisbos disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants; elles eurent toutes deux le spectacle de mon corps arqué dans un spasme délirant de volupté. La fin de soirée dura un long moment, prenant du plaisir plusieurs fois chacune jusqu’à ce que la faim ne nous ramène nues à table et pendant que je finissais le dessert, Laura glissa sous la table avec sa flûte de champagne, m'écarta et me força à uriner dedans, à la porter à mes lèvres et à en déguster jusqu'à la dernière goutte le nectar encore tiède. Où était passée la fringante quadragénaire sûre d'elle ? - Qu’est-ce qui m’attend maintenant ? demanda Juliette fébrilement. - Tu seras dressée par une Domina, une Maîtresse professionnelle. - Durement ? - Oui, très durement, tu franchiras un nouvel échelon dans la hiérarchie de l'esclavage. - La prochaine fois, lors d'une soirée privée, tu seras mise à l'abattage, mais ne t'inquiète pas les invités seront triés sur le volet, tu n'auras qu'à te soumettre docilement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 22/05/20
Le lendemain, nous retournâmes chez nos amis où m'attendaient de nouvelles épreuves. Vers la fin de l'après-midi, je fus préparée dans l'attente d'un couple; j'avais été avertie que Béatrice était dominatrice, et qu'elle serait accompagnée d'une dizaine d'invités tous masqués. Il fut décidé que je ne les verrais pas. Juliette avait choisi ma tenue: je portais une robe droite noire, avec une fente arrière arrivant jusqu'à mi-cuisse; en dessous, un corset rigide réhaussait mes seins, révélant les aréoles, et la naissance des pointes, en faisant saillir mon ventre, des bas fins et noirs tenus par un porte-jarretelles; j'étais chaussée de talons hauts. Lorsque la porte d'entrée se referma sur moi, ma déception fut vive. Mes yeux s'équarquillèrent et je passai en revue l'espace des pièces où l'on me conduisait sans y déceler la moindre trace de matériel, d'accessoires, ni même l'ombre d'une ambiance SM. Cette première soirée dura environ trois heures. Selon le rite cher aux initiés, c'est la Maîtresse qui présente son esclave, afin que ses hôtes puissent se rendre compte de ses limites réelles et ainsi l'utiliser au mieux par la suite. Selon le désir de Juliette, je relevai ma robe puis j'écartai mes jambes en me cambrant. Cela accentue la courbe de mes reins et met en valeur le galbe de mes fesses musclées. Se présenter ainsi oblige l'esclave mise à nu à mettre son corps en offrande quels que soient ses défauts, à mieux se connaître et à mieux s'assumer. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié sans concession. L'être ainsi exhibé apprend le pouvoir de son corps et l'esclave tire sa force de la fascination qu'il exerce sur la Maîtresse. Ma peau subit assitôt le contact de mains froides posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Ces mains inconnues, redoutées et tant attendues, me palpèrent, me flattèrent, comme si elles voulaient à la fois découvrir mes formes et mes pensées; j'ouvris davantage mes cuisses afin que les doigts attentifs puissent m'explorer en totalité. Lorsque ma Maîtresse qui me testait fut parfaitement convaincue de mon absolue docilité, les Maîtres entreprirent d'autres jeux. Une cravache noire me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un rugissement. Il est connu que l'alternance de la douceur et de la violence contribue à dresser les esclaves réticents: mais moi, pauvre débutante désireuse de bien faire pour le bonheur de ma Maîtresse, je ne savais rien de tout cela et crus être punie pour une faute commise à mon insu. Aurais-je déplu par ma position ? Mon regard, malgré moi, se serait-il montré insolent ? La rigidité de la cravache enflammait mes reins et mon dos. Les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un bon mois. Juliette me promettait parfois de me fouetter, comme s'il s'agissait d'une récompense. Insensiblement, la douleur parut s'atténuer pour laisser place à une sensation de plaisir diffus. Les coups devenant plus légers, plus dirigés, je compris soudain que j'allais jouir. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, j'éprouvais la délicieuse honte de me laisser aller à gémir, en fléchissant légèrement les jambes pour serrer mes cuisses, et je connus un orgasme qui enchanta ma Maîtresse et ses hôtes. Une fois la fulgurante jouissance dissipée, je sentis revenir la douleur me tenailler et, avec une inconscience rare, j'osai imporer leur pitié. Les invités se regardèrent, déçus et interloqués. Ils décidèrent de me faire payer ma faiblesse. Ce fut la maîtresse des lieux qui me conduisit. Je fus placée face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que ma tête dépassait d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même temps. Béatrice m'installa. J'étais en position, jambes écartées, la croupe offerte, la bouche déjà ouverte, prête à être investie selon le bon vouloir des invités. À me voir ainsi soumise, leur colère s'apaisa. Qu'importait dès lors qu'un homme se servît de ma bouche comme celle d'un esclave docile. Qu'il me malmenât et m'abreuvât de son plaisir. Impatient de se satisfaire à son tour, un autre homme prit la place du précédent. Il me baisa la bouche, ma langue lui servant d'écrin. J'accomplis cette fellation avec un recueillement mystique. Pendant ce temps, un troisième utilisait mon vagin sans ménagement. Excité par le spectacle de la fellation que je pratiquais, il décida brusquement d'utiliser mes reins, qui, comme la totalité de mon corps, étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal et je trouvai le courage de ne pas gémir dans le regard de ma maîtresse qui m'observait intensément; je comprimai sa verge avec mes deux mains au même rythme que les coups qui me projetaient en avant. Je croyais l'épreuve terminée, mais un troisième sexe plus épais que le précédent força les lèvres de mon vagin. Je ne comprenais plus. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qu'il se passait autour de moi. J'étais prise, on me pénétrait, j'étais aveugle, je ne reconnaissais aucun des invités. Je compris enfin que le membre qui me pénétrait était un olisbos à ceinture dont ma Maîtresse s'était ceint la taille. Cette audace m'excita. Je me sentis fondre, mon ventre se liquéfia. Avec un vocabulaire outragieusement vicieux, elle exigea de moi que je me cambre davantage, que je m'offre afin qu'elle puisse me remplir jusqu'au fond. Je cédai à l'impétuosité d'un ogasme que j'aurais voulu pouvoir contrôler, tout simplement parce que c'était la première fois qu'une femme me pénétrait ainsi. Je jouis avec la certitude que ma Maîtresse connaissait elle-même le plaisir en m'empalant comme si elle avait été un mâle, un de ces mâles qu'elle aime dresser pour les humilier dans leur machisme. Epuisée, quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur mes épaules, Juliette se décolla de moi comme l'animal après l'accouplement et m'aida à sortir de mon carcan. Après m'avoir conduite à la salle de bain, où elle me doucha, elle m'ordonna d'aller rejoindre les hommes. Ainsi, j'étais l'objet de plaisir de ces trois hommes et de cette femme. Juliette parut subitement échauffée: elle s'approcha de moi, me coucha sur le sol, écarta ses jambes et exigea avec humeur que je la lèche comme une chienne. Je lapai son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce, et ce contact nouveau me transporta. Ses cuisses musclées s'écartaient sous la pression de ma langue et de mes dents. Elle ouvrit davantage son sexe et se libéra violemment dans ma bouche; surprise par cette véritable éjaculation, je connus un nouvel orgasme qui me tétanisa, lorsque je pris brutalement conscience que je jouissais sous l'autorisation de ma Maîtresse. Un homme plaqua mon ventre contre la table et m'ordonna d'écarter les cuisses. D'un coup de rein brusque, après avoir observé le spectacle impudique que je lui offrais malgré moi, il pénétra mes reins en criant avec fureur. Je me laissai sodomiser par cet homme auquel Juliette m'avait prêtée, car tel était mon devoir. Une jeune femme, intégralement nue, soumise également, me rejoignit. Elle prit le sexe de l'homme qui venait de me sodomiser entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après lui avoir ordonné sèchement de cesser de le masturber, il lui demanda de s'allonger sur le sol et après avoir écarté et levé bien haut ses jambes, sans qu'elle soit préparée, il la pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il me demanda de me mettre en position et me reprit tout aussi brutalement. Il demanda d'une voix autoritaire: - Laquelle veut me recevoir ? Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant qu'elle caressait la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue. Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour entre la jeune femme et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/08/20
vous me faites patientez quelques secondes comme ca...privé de ma vue, j ecoute le moindre de vos mouvements. Le seul bruit que je capte est celui de vos talons, vous marchez autour de moi puls j entends le bruit de vos chaussures juste a cote de mes oreilles... puis quelques secondes apres, je sens le poids de votre corps sur mon visage, ma bouche au contact de votre petite culotte que je devine legerement humide...cela m excite terriblement d etre dans cette position j adore cela et j imagine la vue que je pourrai avoir si je n avais pas les yeux bandés.. Vous ondulez legerement votre corps, faites de petits va et vient puis vous caressez mon torse avec vos mains ...vous accentuez la pression sur ma tete, j embrasse votre sexe a travers ce bout de tissu, je suis attentif a chacun de vos mouvements, vous decollez quelques secondes vos mains, puis revenez les poser sur mon torse pour y plantez vos ongles et vous vous amusez a les faire parcourir sur ma poitrine autour de mes tetons... cela me plait beaucoup, j intensifie mes mouvements de bouche, puis d un coup vous attrappez mes 2 tetons et les serrez bien fort. je pousse un gemissement ettouffe par votre corps, je sursaute... vous tirez delicatement sur mes tetons, doucement mais fermement, je me laisse entierement faire, j adore souffrir sous vos doigts... vous les relachez, vous vous penchez en avant, je leve ma tete pour rester au contact de votre sexe, puis passez une de vos mains autour de mes testicules, vous les serrez progressivement au creux de vos mains, je gemis, je gigote... j aime quand vous me tenez par cet endroit... Vous relachez votre prise, puis je vous sens vous relever. Vous me dites alors de votre voix excitante et sensuelle " maintenant leve toi". Je m execute, me met en position assise, puis vous attrapez une de mes mains pour m aider a me relever. Une fois debout, vous tirez sur ma main, je comprends qu il faut que je vous suive. Je n ai aucun repere, je vous suis aveuglemment en me demandant bien ou vous allez me mener. Je marche doucement me fiant entierement a vous, en essayant de ne pas perdre l equilibre. Apres quelques metres, vous vous stoppez, puis posez ma main sur un objet que je devine etre une table. Vous prenez mon autre main que vous posez a son tour sur cette table, puis me dites d un ton plus autoritaire " laisse bien tes mains poser a plat, ne bouge pas , penche toi en avant et tends bien ton cul". En meme temps vous placez une de vos mains sur mes hanches et appuyez dessus en arriere pour m inciter a me mettre dans la position souhaitée. Je m execute, un sourire au coin des levres, penché en avant, les jambes tendues legerement ecartees et mes fesses bien tendues dans la position que vous souhaitez Vous commencez par caresser doucement, tendrement mon cul, passez bien votre main sur toute la surface de mes globes fermes, vous intensifiez vos caresses, votre main devient plus ferme, par moment vous compressez une de mes fesses au creux de vos mains... de mon cote je me laisse aller a vos caresses, j adore le contact de votre main sur ma peau, je ne bouge pas et garde mon cul bien tendu.... puis vous alternez petites claques et caresses, pour ensuite ne mettre que des claques... elles deviennent de plus en plus fortes, vous changez regulierement de zone de frappe, je sens mon cul chauffer lentement et devenir legerement rose, ce qui me ravi. De votre autre main vous attrappez un de mes tetons et tirez bien fort dessus ce qui m excite encore plus... Vous relachez un de mes tetons, je vous entends vous eloigner, chercher quelque chose dans votre sac puis revenir vers moi... soudain je sens un coup dur s abattre sur mes fesses, je gemis, sursaute, mais je reconnai instatannement cet instrument... un paddle en cuir... vous continuez a me fesser avec, en espacant chaque coup, en variant bien les intensites et les zones de contact.... ma douleur initiale se transforme petit a petit en plaisir, je garde bien mon cul tendu, j adore sentir mon cul rougir sous l effet de votre instrument... mon cul doit etre bien rouge la... une fois que ma peau a la couleur qui vous plait vous venez vous placer derriere moi, votre bassin contre mes fesses, le cuir de votre mini jupe contre ma peau puis deposez un long baiser dans mon cou... puis vous me dites " suis moi" vous attrapez une de mes mains, me guider vers un autre endroit, vous placez une chaise contre mes genoux. "assieds toi puis ecartes tes cuisses" je m execute, la chaise est en bois dur, ce qui me fait bien ressentir l effet de vos fessées, j ecarte mes cuisses, puis vous aggrippez mes poignets fermement dans vos mains, vous les placez derriere la chaise puis je sens que vous attachez mes poignets avec une paire de menottes. Me voila donc attaché, yeux bandés, le cul en feu, tres excité entierement a Vous.
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Par : le 20/08/23
Elle se réveilla aux aurores, angoissée à ce qui l'attendait aujourd'hui. Elle savait que cette relation peu banale avec cette femme d'affaires n'était pas terminée, et qu'elle allait forcément devoir la rencontrer, sans doute plus tard dans la soirée. Après une mauvaise nuit, elle se leva peu avant six heures, prit une douche rapide et mit en route le café. Parfois, elle regrettait de ne pas avoir quelqu'un avec qui partager ses soucis. Non pas que le fait de vivre seule lui déplaise. Elle avait vécu pendant trois ans avec une jeune femme, une enseignante comme elle. Mais une fois passé leur état de grâce, elle était devenue de plus en plus dominatrice, voire parfois très humiliante et ourageusement sadique dans leurs jeux érotiques. Elle était soulagée de ne plus avoir à supporter son comportement autoritaire, ses humiliations et ses brutalités sans cesse renouvelées. Elle était pourtant si différente lorsqu'elles s'étaient rencontrées. Elle la faisait rire et la couvrait de cadeaux et de surprises. Mais tout cela s'était peu à peu tari quand elles avaient emménagé ensemble. Elle avait attrapé son poisson, et Charlotte avait parfois l'impression qu'elle lui déchirait les chairs pour retirer l'hameçon. Bien qu'elle ait été toujours indépendante, elle était calme de nature, un peu introvertie, soucieuse de protéger son intimité, et l'absence d'une femme chez elle ne la dérangeait pas. En dehors des éprouvantes séances de soumission où son corps était bafoué, leur vie sexuelle n'avait rien eu de spectaculaire, si bien que cela ne lui manquait pas non plus. Lorsque le désir la prenait, elle pouvait toujours se satisfaire elle-même, et elle appréciait la liberté que cela lui offrait. Elle avait éprouvé un tel soulagement quand cette relation s'était achevée qu'elle n'était pas sûre de vouloir un jour, à nouveau, partager son espace vital. C'était peut-être un trop grand sacrifice. Mais sa surprise fut grande quand, après quelques mois de solitude, elle rencontra au cours d'un dîner, la femme qui devint rapidement son amante et sa Maîtresse qui sut, jour après jour, satisfaire pleinement son tempérament masochiste. Ce fut pour elle une révélation. Elle se sentait comme illuminée de l'intérieur, quand Juliette l'humiliait, la brutalisait, dans des situations de plus en plus inconvenantes. De nature réservée, jusqu'à cette rencontre, elle n'aurait jamais osé tenir le rôle d'une prostituée, encore moins celui d'une esclave sexuelle. Sa fierté dans l'obéissance et l'asservissement lui procurait une exaltation proche d'un état permanent de jouissance. Ce soir-là, elle tenta d'articuler un mot, mais son visage se froissa. Ravagée de lubricité, elle regarda silencieusement sa Maîtresse. La soif de la débauche faisait d'elle une amante admirable et une esclave infatigable. Charlotte prit sur le lit une robe dos-nu, très échancrée sur les reins, le serre-taille assorti, les bracelets en cuir et le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant ainsi suivre la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on avait plus ou moins serré le corset. Juliette l'avait beaucoup serré. Sa robe était de soie noire. Sa Maîtresse lui demanda de la relever. À deux mains, elle releva la soie légère et le linon qui la doublait découvrit un ventre doré, des cuisses hâlées, et un triangle glabre clos. Juliette y porta la main et le fouilla lentement, de l'autre main faisant saillir la pointe d'un sein. Charlotte voyait son visage ironique mais attentif, ses yeux cruels qui guettaient la bouche entrouverte et le cou renversé que serrait le collier de cuir. Elle se sentait ainsi en danger constant. Lorsque Juliette l'avertit qu'elle désirait la fouetter, Charlotte se déshabilla, ne conservant que l'étroit corset et ses bracelets. Juliette lui attacha les mains au-dessus de la tête, avec la chaîne qui passait dans l'anneau fixé au plafond et tira pour la raccourcir. La chaîne cliquetait dans l'anneau, et se tendit si bien que la jeune femme pouvait seulement se tenir debout. Quand elle fut ainsi liée, sa Maîtresse l'embrassa, lui dit qu'elle l'aimait, et la fouetta sans ménagement. Il était essentiel pour Charlotte de se donner sans réserve. Elle se muait pour son plus grand bonheur en une femme refoulée au rang d'objet, silencieux et complaisant.   La souffrance devenait insoutenable, mais elle surmontait cette douleur. L'euphorie qui sourdait en elle l'exaltait en la glorifiant. Elle avait contracté la manie d'être indélébile dans la vie de sa Maîtresse. Qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à ses lèvres gonflées, à son cou enserré par le collier, et à ses yeux plus grands et plus clairs, et qui ne fuyaient pas. Elle la regarda se débattre, si vainement, elle écouta ses gémissement devenir des cris. Le corset qui la tenait droite, les chaînes qui la tenaient soumise, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose. À force d'être fouettée, une affreuse satiété de la douleur dût la plonger dans un état proche du sommeil ou du somnambulisme. Le spectacle aussi et la conscience de son propre corps. Mais au contraire, on voyait sur son visage la sérénité et le calme intérieur qu'on devine aux yeux des recluses. Elle perdit le compte des supplices, de ses cris, que la voûte étouffait. Charlotte oscillait de douleur. Mains libres, elle aurait tenté de braver les assauts de Juliette, elle aurait osé dérisoirement s'interposer entre ses reins et le fouet, qui la transperçait. Chaque cinglement amenait un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. Lorsqu'elle entendit un sifflement sec, Charlotte ressentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'approchât de Charlotte et lui caressa le visage, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée, puis elle lui ordonna de se retourner et recommença, frappant plus fort, les fines lanières de cuir lacérèrent sans pitié l'auréole de ses seins. Sa séduction demeurait une offensive de tous les instants. Cernée de brouillard, elle était à nouveau une féminité disponible. Le dénouement était là, quand elle ne l'attendait plus, en admettant, se disait-elle, que ce fut bien le dénouement. Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses écartées et toujours enchaînée. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. S'approchant d'elle, Juliette tenait à la main une bougie allumée. Lentement, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Muette et comme enfermée dans un corridor de ténèbres, la jeune femme semblait cuver sa souffrance, digérer de l'amertume et subir au plus profond d'elle-même de terribles craquelures. Pas un instant elle n'eut la gravité légère d'une fière hétaïre ni la courtoisie de paraître heureuse. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la contraignait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait jamais de sédition.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/10/23
"Seule la mort est gratis, et encore, elle vous coûte la vie. Une des conditions fondamentales de l'amour est de se sentir valorisé parce qu'un autre vous place au premier rang de ses aspirations. Dans l'interprétation d'une œuvre musicale il y a un point où s'arrête la précision, et où commence l'imprécision de la véritable création. L'attrait essentiel de l'art réside, pour la plupart, dans la reconnaissance de quelque chose qu'ils s'imaginent comprendre". Cette femme qui nous toise, impériale et distante, a reçu le Prix Nobel en 2004 pour une œuvre d'une rare violence. Violence faite à la langue, violence imposée aux lecteurs, infligée à elle-même. De ce rôle d'imprécatrice, de cette image hautaine, elle souffre, fatiguée d'assumer sans répit la tâche de rappeler à l'Autriche sa tache originelle, son passé nazi enseveli, jamais liquidé. Elle est née le vingt octobre 1946 à Mürzzuschlag, en Styrie, dans les montagnes où se jouent son maître-livre, "Enfants des morts", et plusieurs de ses livres. Mais elle a grandi à Vienne, dans un cocon familial, terreau à schizophrénie. Une mère, bourgeoise, catholique, qui abuse de son pouvoir. Un père juif, opposant au nazisme, engagé à gauche, détruit par la guerre. Les deux sombreront dans la folie, lui très tôt, désertant la place, elle à la fin d'une longue tyrannie, à quatre-vingt-dix-sept ans. "Et c'est peut-être cette même folie que je côtoie dans mon écriture. Je parviens tout juste à me maintenir au bord, j'ai toujours un pied qui dérape dans l'abîme". Entre les deux, une petite fille destinée à être une grande musicienne, soumise à un dressage inhumain, privée d'enfance, qui se "claque" la tête contre les murs, formée "à l'école de la destruction". À dix-huit ans, une crise d'angoisse l'enferme dans sa chambre, agoraphobe, durant une année. Elle la passe à lire, la poésie américaine mais aussi des romans de gare, de la littérature trash, et à regarder des séries à la télévision "de manière presque scientifique", matériau dont elle saura tirer par la suite des effets d'écriture, particulièrement dans "Les Amantes", où l'on voit deux filles se faire engrosser pour se trouver un mari. C'est dans cette réclusion que la jeune femme commence à écrire. Des poèmes érotiques qui ont pour fonction de sublimer une libido écrasée. Dans "La Pianiste", son texte le plus autobiographique, on voit à l'œuvre les ravages d'une éducation mortifère. C'est son roman le plus connu, à cause du film de Michael Haneke (2001). Mais la poésie n'est pas sa voix. "Je ne suis pas quelqu'un de la réduction", reconnaît-elle. Il faut "que ça fuse dans tous les sens". Dans les années 1970, elle pratique alors le cut up, l'écriture aléatoire. Bouillonnante et révoltée, c'est à ce moment aussi qu'elle s'engage politiquement. "Pour bien s'y prendre avec les femmes, il faut connaître le secret. Il n'est pas absolument nécessaire d'être médecin pour éventrer les gens, mais il est préférable de l'être si l'on veut dénicher le serpent logé dans le ventre, ce vilain serpent qui nous a jadis induit en tentation". Elle s'engage en politique contre sa mère qui honnit la "racaille de gauche". Surtout par fidélité envers le père qui abdiqua toute autorité paternelle sauf pour imposer la manifestation du premier Mai. Elle entre même au Parti communiste, pour y rester jusqu'en 1991. Ce qu'aujourd'hui elle considère avec étonnement sans rien renier: "Je n'ai rien perdu de mon anticapitalisme, de ma haine de la destruction et de l'injustice sociale engendrée par un tel système". Ce qu'elle a perdu, en revanche, c'est l'illusion que l'art peut changer les choses. Pourtant, comme tant d'écrivains autrichiens, elle ne cesse de rappeler à son pays son allégeance au nazisme, la complaisance envers les anciens membres du Parti, l'amnésie générale. Le retour de Kurt Waldheim à la présidence en 1986, puis, la montée au pouvoir de Jörg Haider, l'antisémitisme renaissant poussent Elfriede Jelinek à se radicaliser.   "Erika ne sent rien et n’a jamais rien senti. Elle est aussi insensible que du carton goudronné sous la pluie"."Mais je tiens à dire que ma conscience juive n'a rien à voir avec le judaïsme ou la religion juive". Dans les années 1980, sa pièce "Burgtheater" fait scandale. En 2000, à Salzbourg, une affiche qui la représente est lacérée puis retirée. C'est alors elle-même qui se retire, interdisant que ses pièces soient jouées dans son pays, "par hygiène personnelle". "Je suis la caution de l'opposition aux nazis, aux néonazis, à la droite, au fascisme clérical, mais de ma démarche esthétique, il n'est jamais question", se plaint-elle. "Il est au fond arrivé un peu la même chose avec Thomas Bernhard", ajoute-t-elle. De cet auteur auquel on la renvoie souvent, elle perçoit avant tout "l'incroyable musicalité" alors qu'elle-même travaille les dissonances, la destruction de la musique qui a failli la détruire. Son modèle à elle, aux antipodes de son esthétique, c'est Robert Walser, "aussi bas que les fleurs", dont elle scelle toujours une phrase dans ses livres. Quant à elle, cataloguée comme politique et féministe, elle se voudrait "un auteur méditatif". D'abord effrayée par le poids du Prix Nobel, perçu comme un hommage à toutes les femmes, elle a fini par le recevoir comme une reconnaissance de son travail d'écriture. Dans son discours de Stockholm, intitulé "À l'écart", il n'est question que de la langue, cette entité qui est "la gardienne de sa prison", dont elle semble être coupée. "Je suis le père de ma langue maternelle". "L'art et l'ordre, parents ennemis. En sport la camaraderie s'arrête là où l'autre risque de vous gagner de vitesse". Cette phrase énigmatique renvoie à la défection du père mais aussi à l'impossibilité d'utiliser innocemment un langage souillé à jamais par tout ce qu'il a dû "cracher". Cet instrument, qu'elle compare aussi à "un chien en laisse qui tire celui qui le tient", elle le tord et le triture, le plie aux "assonances, variations, amalgames" jusqu'à ce que quelque chose s'écrive "qui relève aussi en partie de l'inconscient". Elfriede Jelinek se situe dans une esthétique du choc et de la lutte. Sa prose trouve, de manière exhaustive, différentes manières d’exprimer l’obsession et la névrose et vitupère à l'extrême jusqu'à l'absurde contre la phallocratie, les rapports de forces socio-politiques et leurs répercussions sur les comportements sentimentaux et sexuels. La rhétorique pornographique, exclusivement masculine, est déconstruite et dénoncée et le pacte inconscient qui consiste alors à voir le triomphe de l’homme sur la femme, analysé et fustigé. La décision de l’Académie suédoise pour l'année 2004 est inattendue. Elle provoque alors une controverse au sein des milieux littéraires. Certains dénoncent la haine redondante et le ressentiment fastidieux des textes de Jelinek ainsi que l’extrême noirceur, à la limite de la caricature, des situations dépeintes. D'autres y voient la juste reconnaissance d’un grand écrivain qui convoque la puissance incantatoire du langage littéraire pour trouver une manière neuve et dérangeante d’exprimer le délire, le ressassement et l’aliénation, conditionnés par la culture de masse et la morale régnante. La polémique atteint également les jurés du prix Nobel. En octobre 2005, Knut Ahnlund démissionne alors de l'Académie suédoise en protestation de ce choix qu’il juge "indigne de la réputation du prix". Il qualifie l’œuvre de l’auteur de "fouillis anarchique" et de "pornographie", "plaqués sur un fond de haine obsessionnelle et d’égocentrisme". Après l'attribution du prix, Elfriede Jelinek dit profiter de l'argent de la récompense afin de vivre plus confortablement et arrêter les traductions auxquelles elle est astreinte pour subvenir à ses besoins. La femme de lettres n’en est pas pour autant rentrée dans le rang. Malgré son statut de grande dame de la littérature de langue allemande, elle garde et mérite, en Autriche, sa sulfureuse réputation de "pétroleuse". Elfriede Jelinek s’insère dans la tradition des grands polémistes, misanthropes et grands satiristes viennois tels que Karl Kraus, Kurt Tucholsky ou Thomas Bernhard. La vigueur de sa pensée et l’originalité formelle de ses œuvres en font malgré tout l’auteur majeur de sa génération.   "Les applaudissements sont encore plus forts qu'avant l'entracte, car tous sont soulagés que ce soit fini. La mère dit qu'elle a sur le bout de la langue la citation latine de ce qu'elle vient de mentionner, qu'on apprend pour la vie et non pour l'école. Elle possède un réservoir de proverbes et de maximes". Elfriede Jelinek est née le vingt octobre 1946, à Mürzzuschlag dans la province de Styrie en Autriche. Après des études musicales au Conservatoire de musique de Vienne, elle étudia le théâtre et les beaux-arts à l’université de Vienne. C’est en 1968 qu’elle composa ses premiers poèmes. Son père décéda en 1969 dans une clinique psychiatrique. Le parcours de son père, chimiste, qui avait pu échapper à la déportation et fut enrôlé pour le travail forcé, a profondément marqué l’écrivain: "Mais qui suis-je ? La vengeresse ridicule de mon père accrochée au passé comme une mouche dans l’ambre jaune". Comme cela est le cas pour beaucoup d’écrivains de deuxième génération, le traitement littéraire du traumatisme n’est assurément pas un aspect mineur de son œuvre. C’est à ce titre qu’il doit être pris en compte. En 1969, engagée dans les mouvements estudiantins, elle participa aux discussions littéraires de la fameuse revue "Manuskripte". Elle était proche du groupe de Vienne, écrivains inspirés par le dadaïsme, la littérature baroque, le surréalisme, la philosophie de Wittgenstein et la littérature expérimentale. Les années 1970 furent consacrées à l’écriture de pièces radiophoniques, de traductions et de scénarios. En 1975, "Les Amantes", "Die Liebhaberinnen", son premier roman, célébrait un nouveau féminisme. Apprécié par le grand public et couronné de nombreux prix, il souleva néanmoins de vives polémiques. Son auteur, cynique et sans cœur, se désolidarisait de ses protagonistes féminines. Puis vint le premier scandale, en 1983, lors de l’avant-première de "Burgtheater". Dans cette pièce dont le titre est le nom du prestigieux théâtre national viennois, Jelinek s’attaquait à l’implication dans l’appareil de propagande nazi des artistes, comme Paula Wessly, l’une des comédiennes les plus populaires en Autriche. La presse, choquée que la vérité sur l’icône du théâtre viennois eût vu le jour, fit de Jelinek une Nestbeschmutzerin, celle qui souille son nid. Jelinek interdit alors donc la représentation de "Burgtheater" en Autriche qui n’y fut jouée que vingt ans plus tard. La femme de lettres démontra toute sa ténacité. "Il n'y comprendra rien, sera anéanti, et par la suite laissera sa fille en paix. Dans la famille de la mère, la culture est une tradition, elle n'est jamais laissée à l'initiative personnelle, étant trop précieuse pour cela. La savoir, le voilà le plus précieux des biens". Lors de la parution de "La Pianiste" en 1983, l’auteur fut alors insultée et en 1989, avec "Lust", elle s’attira la foudre de la presse. En 1995, suite à une campagne de diffamation déclenchée contre Elfriede Jelinek par le parti autrichien d’extrême droite, le FPÖ, l’écrivain refusa alors que ses pièces soient jouées dans les théâtres nationaux. En février 2000, après l’entrée dans la coalition gouvernementale de membres du FPÖ, parti autrichien d’extrême droite, Elfriede Jelinek interdit, une nouvelle fois, la représentation de ses pièces. En dépit de ses nombreux détracteurs, son œuvre fut couronnée par de nombreux prix prestigieux, dont le prix Nobel en 2004. Ce fut l’occasion d’un nouveau scandale, provoqué par Knut Ahnlund, membre de l’Académie suédoise, qui quitta définitivement son siège et fut rejoint dans un concert de critiques moralisatrices par le Vatican. Le portrait que brosse alors la presse autrichienne et étrangère de l’écrivain oscille entre pornographie et prix Nobel. Avant cette consécration, qui fut loin de faire l’unanimité, Elfriede Jelinek, qui fut pendant des décennies la tête de turc de la presse populaire en Autriche, s’est peu à peu retirée de la sphère publique. Le rapide cadre imparti ici ne suffirait pas à énumérer les scandales qui éclatèrent à propos de ses œuvres.   "Souvent la mère est prise d’inquiétude, car tout possédant doit apprendre d’abord, et il l’apprend dans la douleur, que la confiance c’est bien, mais le contrôle c’est mieux". Les œuvres de Jelinek sont lues dans différentes perspectives: littérature féminine, démythification, recherche sur la langue, études de la mise en scène de ses textes très souvent adaptés, critique de l’Autriche et du mensonge qui a permis de consolider une identité nationale très ébranlée après 1945 et après son occupation pendant dix ans par l’Union soviétique, critique de la société de consommation, réflexion sur l’oppression, sur la nature dans la littérature. Dans son entreprise de déconstruction, c’est à la langue que Elfriede Jelinek s’attaque d’abord avec la virtuosité de musicienne qui est la sienne. Jelinek, musicienne pendant toute sa jeunesse, devient compositeur quand elle prend la plume. Elle-même y fait allusion lorsqu’elle fait apparaître de façon récurrente des noms de compositeurs et des citations de leurs œuvres, par exemple: "La Belle Meunière" de Franz Schubert dans "Dans les Alpes", les trios de Haydn et une sonate d’Alban Berg dans "Les Exclus", et Clara et Robert Schuman, protagonistes de "Clara S". Elfriede Jelinek livre sans retenue ce qui la taraude, la terre allemande est de la cendre. "Ce qui vient de vous est toujours un facteur de risque, mieux vaut l'éliminer. Par ailleurs elle n'aimerait pas voir ces deux-là disparaître sans surveillance dans la chambre de jeune fille d'Anna aménagée par ses soins". Et au fil des années, la complexité des textes de Jelinek s’accentue, l’intertextualité devient presque inextricable. L’illisibilité des textes, dissonance assourdissante plus qu’harmonie musicale, semble pourtant accoucher d’un motif qui parcourt l’ensemble de son œuvre. Au cœur de celle-ci git un corps torturé. Ainsi dans le village de Rechnitz, le devenir des cadavres des déportés juifs reste mystérieux car la fosse commune, où ils sont susceptibles d’avoir été ensevelis, reste introuvable. D’une part leurs corps, portant les stigmates de la torture et de la mort, d’autre part l’impunité des bourreaux semblent vouloir obstruer l’espace de notre compréhension. L’incompréhension éprouvée face à de tels événements entraîne l’impossibilité de partager, mentalement, la motivation des bourreaux et de s’identifier au sort des victimes, donc, d’une certaine manière, de le partager. Ainsi le corps mutilé et assassiné barre la voie au partage de l’expérience. Et c’est assurément cet aspect des écrits de Jelinek qui établit un lien direct avec la mémoire de la Shoah. Ce motif du corps est déjà présent en 1975 dans son premier roman "Les Amantes" ("Die Liebhaberinnen"). En 1989, dans "Lust", la sexualité est traitée comme le lieu de la dominance masculine dans lequel le corps féminin, dont le désir est nié, n’est qu’un objet offert aux coups et la femme, "das Nichts", le rien. Plus que de sexualité, il s’agit ici de la négation de la personne, de la réification du corps et de l’usage qui en est fait, bafouant toutes les valeurs relatives au respect de l’autre. Le corps est maltraité et une voix semble commenter son propre accablement. Le corps chez Jelinek est tout entier livré à la violence qui lui est infligée. Les personnages, dénués de psychologie, s’appellent souvent homme, femme et ne sont là que pour subir les coups qui s’abattent sur leur corps sans visage.   "Aujourd'hui, un jeune homme sorti d'on ne sait où prend la place de cette mère qui a pourtant fait ses preuves et qui, froissée et délaissée, se voit reléguée à l'arrière-garde. Les courroies de transmission mère-fille se tendent, tirant Erika en arrière. Quel supplice de savoir sa mère obligée de marcher toute seule derrière". L'œuvre d'Elfriede Jelinek n’est scandaleuse que dans la mesure où le geste de la déconstruction, qui n’est ni théorie ni code ni règle, ne se soumet pas, il fait acte de résistance en opposant à l’essence, à la solidité de l’Être, la survivance du reste. En ce sens, le scandale est entier, non que l’auteur soit masochiste, sadique ou qu’elle flirte avec l’obscénité, mais parce que, dans son économie, son œuvre se fait tabou. Ce faisant, elle se réclame d’une appartenance indéfectible à l’après-Shoah, non pas d’un point de vue chronologique mais comme puissance qui surgit contre ce qui fut, advint et donc ne "cessera d’advenir". Pourtant, contre toute apparence et pour la raison énoncée précédemment, l’œuvre de Jelinek, en tant que telle, ne se réduit ni au sombre désespoir ni à la présupposée morbidité qu’elle affiche. Sa prolificité, ses débordements, sa fureur de dire sont l’expression d’une liberté que l’écrivain s’autorise. Si les textes de Jelinek sont illisibles, quand ils sont lus noir sur blanc, ils prennent vie, en revanche, quand ils sont proférés sur une scène de théâtre. Théâtre en tant que geste contre la mimesis qui n’est donc jamais la représentation de la vie. On en voudra pour preuve l’assertion d’Elfriede Jelinek: "Je ne veux pas de théâtre où les comédiens doivent dire ce que personne ne dit". Son théâtre qui est, comme la vie elle-même dans ce qu’elle a d’irreprésentable. Elfriede Jelinek a obtenu plusieurs récompenses de premier ordre dont le prix Heinrich Böll 1986, le prix Georg-Büchner 1998 et enfin le prix Heinrich Heine 2002 pour sa contribution aux lettres germanophones. Puis elle se voit attribuer, en 2004, le prix Nobel de littérature pour "le flot de voix et de contre-voix dans ses romans et ses drames qui dévoilent ainsi avec une exceptionnelle passion langagière l’absurdité et le pouvoir autoritaire des clichés sociaux", selon l'explication de l'Académie suédoise. Bien qu'Elias Canetti fût distingué comme auteur autrichien en 1981, Jelinek devient cependant le premier écrivain de nationalité autrichienne à être honoré par le comité de Stockholm. Elle se demande pourquoi Peter Handke n'a pas été couronné à sa place. "Qu'elle l'ait proposé d'elle-même n'arrange rien, bien au contraire. Si M. Klemmer n'était pas en apparence indispensable, Erika pourrait marcher tranquillement à côté de sa mère. Ensemble elles pourraient ruminer ce qu'elles viennent de vivre, tout en se repaissant de quelques bonbons".   "La douleur n'est que la conséquence de la volonté de plaisir, de la volonté de détruire, d'anéantir, et dans sa forme suprême, c'est une sorte de plaisir". Elle accepte ensuite le prix comme une reconnaissance de son travail. "Je n’irai certainement pas à Stockholm. La directrice de la maison d’édition Rowohlt Theater acceptera le prix pour moi. Bien sûr, en Autriche, on tentera d’exploiter l’honneur qui m’est fait, mais il faut rejeter cette publicité. Malheureusement, je vais devoir écarter la foule d’importuns que mon prix va attirer. En ce moment, je suis incapable d’abandonner ma vie solitaire". Elle dit une nouvelle fois qu’elle refuse que cette récompense soit "une fleur à la boutonnière de l’Autriche". Pour la cérémonie de remise de prix, elle adresse alors à l’Académie suédoise et la Fondation Nobel une simple vidéo de remerciements. À l'annonce de la nouvelle, la République autrichienne se partage alors entre joie et réprobation. À l'international et notamment en France, les réactions sont contrastées. La comédienne Isabelle Huppert, lauréate de deux Prix d'interprétation à Cannes dont un pour "La Pianiste", déclare: "En général, un prix peut récompenser l'audace, mais là, le choix est plus qu'audacieux. Car la brutalité, la violence, la puissance de l'écriture de Jelinek ont souvent été mal comprises. En lisant et relisant "La Pianiste", ce qui ressort, c'est finalement beaucoup plus l'impression d'être face à un grand écrivain classique". Sensible à l'expérimentation, l'œuvre d'Elfriede Jelinek joue ainsi sur plusieurs niveaux de lecture et de construction. Proche de l'avant-garde, elle emprunte à l'expressionnisme, au dada et au surréalisme. Elle mêle diverses formes d'écriture et multiplie les citations disparates, des grands philosophes aux tragédies grecques, en passant par le polar, le cinéma, les romans à l'eau de rose et les feuilletons populaires. L'écrivain affirme se sentir proche de Stephen King pour sa noirceur, sa caractérisation des personnages et la justesse de son étude sociale. Le langage de l'auteur combine déluge verbal, délire, métaphores aiguisées, jugements universels, distance critique, forme dialectique et fort esprit d'analyse. L'écrivain n'hésite pas à utiliser la violence, l'outrance, la caricature et les formules provocantes bien qu'elle refuse de passer pour une provocatrice. Elle se situe dans une esthétique du choc et de la lutte. "Avant-goût de la chaleur et du confort douillet qui les attend dans leur salon. Dont personne n'a fait échapper la chaleur. Peut-être arriveront-elles même à temps pour le film de minuit à la télévision. Quel merveilleux final pour une journée si musicale". Sa prose trouve, de manière exhaustive, différentes manières d’exprimer l’obsession et la névrose et vitupère jusqu'à l'absurde contre la phallocratie, les rapports de forces socio-politiques, leurs répercussions sur les comportements sentimentaux et sexuels. Dans "La Pianiste" ("Die Klavierspielerin", 1983), récit quasi-autobiographique, Jelinek dépeint, sous des angles multiples, l'intimité d’une femme sexuellement frustrée, victime de sa position culturelle dominante et d'une mère possessive et étouffante, ressemblant à la sienne. Elle revendique une filiation avec la culture critique de la littérature et la philosophie autrichiennes, de Karl Kraus à Ludwig Wittgenstein, en passant par Fritz Mauthner, qui réfléchit le langage et le met à distance. Elle dit également avoir été influencée par Labiche et Feydeau pour leur humour abrasif et leur étude très subversive de la bourgeoisie du XIXème siècle. Lorsque l'Académie suédoise décerne le prix Nobel à l'allemand Günter Grass en 1999, elle déclare avoir été largement marquée par sa lecture du "Tambour" dont le style a nourri son inspiration littéraire: "Le Tambour a été pour nous, les auteurs qui nous réclamions d'une activité expérimentale, quelque chose d'incontournable. Le début du "Tambour" est l'une des plus grandes ouvertures de roman dans toute l'histoire de la littérature. Peut-être qu'on a voulu honorer avec le Nobel l'auteur politique, mais l'œuvre aurait mérité de l'être depuis déjà longtemps". En réalité, Elfriede Jelinek a élaboré une écriture nourrie de négativité. Nul ne sera surpris, dès lors, de ne pas retrouver chez Jelinek d’éloge de la vieillesse. Quand Jelinek écrit la sénescence, elle ne se plie guère à la réalité ni ne fait d’elle un objet contre lequel il serait bon de se blottir. L’image des cheveux et des jupes est parlante, puisqu’Erika va à un certain moment scalper sa mère tandis que cette dernière ne peut s’empêcher de déchirer les robes de sa fille. Il s’agit d’indices nous révélant à nous, lecteurs, que la réalité passe entre la mère et la fille. La vie à l’écart que mènent Erika Kohut et sa mère permet à Elfriede Jelinek de s’attaquer à la vieillesse comme construction sociale historiquement et culturellement marquée. Par-delà leurs deux figures, c’est une culture entière dont elle dynamite les bases. La vigueur de sa pensée et l’originalité de ses œuvres en font l’auteur majeur de sa génération.     Bibliographie et références:   - Nicole Bary, "Elfriede Jelinek, la déconstruction des mythes" - Vanessa Besand, "L’œuvre romanesque d’Elfriede Jelinek" - Thierry Clermont, "Elfriede Jelinek, l'insaisissable" - Yasmin Hoffmann, "Elfriede Jelinek, une biographie" - Magali Jourdan, "Qui a peur d’Elfriede Jelinek ?" - Roland Koberg, "Elfriede Jelinek, un portrait" - Christine Lecerf, "Elfriede Jelinek, l’entretien" - Gitta Honegger, "Un Nobel imprévu, Elfriede Jelinek" - Claire Devarrieux, "Jelinek, la subversion primée à Stockholm" - Christian Fillitz, "L'Autriche partagée entre joie et réprobation" - Liza Steiner, "Elfriede Jelinek, anatomie de la pornocratie" - Gérard Thiériot, "Elfriede Jelinek et le devenir du drame" - Béatrice Gonzalés-Vangell, "Elfriede Jelinek" - Klaus Zeyringer, "Dossier Elfriede Jelinek"   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/03/21
Il existe des rencontres qui vous marquent à jamais le corps et l'esprit. Je me souviens de Laura, jeune femme de 28 ans, jolie espagnole d'origine, avec de jolis yeux noirs et une coupe de cheveux mi longs chatain foncé . Petit bout de femme d'1m60, mais aux formes généreuse et à la peau d'une douceur extrême. Dés que je suis entré dans la chambre, elle m'ordonna de me déshabiller. Je me tenais debout, face à elle, immobile et nu . Elle était vétue d'un bustier porte jaretelles et d'un string en latex rouge qui soulignait parfaitement ses jolies fesses fermes et rondes. Elle me posa de suite le collier autour de mon coup. Elle m'attacha les mains dans le dos avec ses menottes. "tu es un bon esclave, c'est bien, j'adore ça". Elle commença par prendre mon sexe dans ses mains, me masturbant doucement, mais s'arréta au bout de 10 secondes . "mais tu bandes? es ce que je t'ai donné l'autorisation?" , je lui répondit, docile, "non maitresse". Alors elle pris son martinet et commença à me fouetter le dos, les fesses, les cuisses. J'étais toujours debout, elle me tenait par la laisse du collier pendant qu'elle me fouettait. Elle m'ordonna d'écarter les cuisses tout en restant debout. Je m'exécutais. là, elle se mis à me fouetter par derrière jusque sur le sex. je sentais les lanières carresser mon anus, et venir éveiller mes testicules et mon gland. je me remis à bander trés fort. Elle se mis en colère. "tu n'obéis pas esclave". Alors elle me tira avec la laisse dans un coin de la pièce. Là, elle se mit face à moi, me tenant toujours par la laisse, et se mis à me fouetter le torse, le ventre, les cuisses et le sex. 20 minutes plus tard, elle m'ordonna de me mettre à 4 pattes sur le lit, l'anus face à elle. Elle continua à me fouetter les fesses et le dos, puis elle pris un paddle. Elle me massacra les fesses et les reins avec. "tu es un vilain esclave, tu n'obéis pas". Puis elle prit un plug qu'elle m'enfonça dans l'anus. elle commença quelques va et vient et s'arrêta quand elle vit que je commençais à aimer ça. "ce n'est pas bien, c'est ta maitresse qui doit prende du plaisir" me disait t'elle. Alors elle repris la laisse violemment et me tira hors du lit. Toujours à quattre pattes devant elle, elle m'ordonna de lui lêcher les pieds.... mais ça ne lui suffisait pas... elle continuait à me fouetter pendant celà. Puis elle tira mon visage en tendant la chaîne. Elle m'ordonna de lui enlever le string. je commençais à m'exécuter lorsque je pris une giffle violente dans la figure "mieux que ça esclave, soit plus doux"... alors je faisais doucement glilsser son string sur ses jolies cuisses. je voyais son hymen qui me paraissait délicieux. Ses lèvres étaient déjà humides, j'avait une envie intense de gouter aux saveurs intimes de ma maitresse... une fois le string enlevé, elle me dit "lêche moi la chatte esclave". Toujours à 4 pattes je m'exécutait, je lui obéissait. Le coup tordu en arrière, je m'abreuvait de sa cyprine qui coulait à flot dans ma bouche. Je lappais sa chatte comme si je n'avais pas bu depuis des mois. ma langue s'enfonçait au plus profond d'elle, et je continuais encore et encore. pendant plus de 15 mn je m'abreuvais à sa source intime, parfumant ma gorge de ses sécrétions dont je me délectait. Elle lâcha complètement le fouet, sa tête complètement penchée en arrière, elle jouissait sous mes caresses buccales; "tu lêches vraiment trés bien esclave, continu, j'adore". Ma maîtresse plaqua de plus en plus fort ma tête entre ses cuisses au point où je m'étouffais dans son hymen. ma machoire se tétanisait entre ses cuisses, je me noyais dans ses sucs paradisiaques. Elle se tourna et m'ordonna de lui lêcher les fesses. je m'exécutait bien docilement, comme l'esclave que j'étais. Puis elle se mis en colère, se retourna. j'étais encore à 4 pattes et me gifla plusieurs fois. "je t'avais dit de me lêcher les fesses, tu ne m'a pas lêcher le cul esclave, lêche moi le cul esclave". Et elle repris le martinet pour me punir. A 4 pattes face à elle, elle me fouetta le torse, me gifla encore plusieurs fois... Puis elle me représenta ses fesses, se pencha en avant, pris ma tête avec sa main et m'ordonna de lui lêcher l'anus. Je commençais à lapper son anus délicieux. ses parfums ennivrants m'enflammaient le visage. Ma langue docile entrait dans son merveilleux anus ... elle gémissait doucement "oui esclave, c'est bien ,continu comme ça, j'adore". Au bout de 10 mn, elle m'ordonna de me coucher sur le dos sur le lit en tirant la chaine. J'obéissais. elle enfila un straponme, , me releva les cuisses, et doucement, elle me pris l'anus. d'une douceur extrême mais autoritaire, je lui appartenais, elle me prenait, j'étais à elle et elle étais en moi. Ses coups de reins devanaient de plus en plus forts, de plus en plus puissant, Puis elle se coucha sur moi, torse contre torse, elle passa ses bras autour de ma tête, je sentais sa belle poitrine s'écraser contre la mienne. les mains toujours attachées dans le dos, elle continuait ses va et viens en moi, j'étais son esclave, sa chose , son jouet. Elle se mis à gémir, à me serrer de plus en plus fort contre elle, à m'écraser sous son poids, mes jambes autour de ses hanches elle me pénétrait d eplus en plus vite. puis d'un coup, elle se mit à crier, "oh je jouis, je jouis, je jouis" en me serrant de toute ses forces entre ses bras, callant son visage dans mon coup, je sentais son orgasme l'envahir. Son corps pris de soubressaut lui faisait faire des coups de reins puissants qui me brisaient l'anus, j'avais mal, mais j'étais heureux de voir ma jolie maîtresse jouir ainsi en moi, en me prenant. Au bout de plusieurs minutes, ainsi calés l'un dans l'autre, elle se mis à me carresser doucement le visage, à m'embrasser, elle venait de me baiser et d'en jouir. elle me détacha les menottes, m'enleva le collier. "reste allongé mon esclave d'amour". Puis elle se mis à m'embrasser, à me carresser doucement le corps. descendant son visage jusqu'à mon entrecuisse, elle pris mon sex dans sa bouche. Elle commença à me sucer avec force, me tenant fortement la verge. Il ne fallut pas plus de 2 minutes avant que je n'explose dans sa bouche. Elle recracha mon suc sur mon ventre, l'essuya, et m'embrassa une dernière fois. Nous sommes restés collés presque une heure les bras l'un dans l'autre..... c'était juste parfait, doux et dur à la fois, violent et respectueux...elle m'avait donné confiance en elle, je me suis complètement abandonné à elle à ses désirs, elle aurait put aller plus loin tellement j'étais en confiance avec elle; mais c'est parce que je savais qu'elle n'irait pas plus loin que j'avais confiance en elle et que je me suis abandonné à elle...ça s'appelle le respect dans la relation SM... et tout l'art de cette pratique est basé là dessus :le respect de l'autre. Ah mon dieu, quel regret de ne plus la voir ma jolie espagnole..mais quel bonheur de domina... j'ai vécu bien plus extrême, mais cette relation restera à jamais celle qui m'a le plus bouleversé car nous étions dans l'équilibre, le respect, et la confiance
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Par : le 15/11/15
Un de mes textes publiés ailleurs Une femme n'est pas qu'une petite chose gentille, tendre, ronronnant et ondulant comme un chaton pour plaire ! Et une femme dominante, quand elle ne se montre pas franchement autoritaire, est souvent sexy, désirable, et représente un défi, souvent la réalisation d'un fantasme lors d'un moment exceptionnel. La séduction : Une femme marche souvent aux coups de cœur. Mais parfois le gibier se fait rare. En période de disette, si elle découvre un homme qui peut être intéressant, faute de mieux, et dans le doute, elle ira l'étudier avec l'acuité d'un entomologiste passionné par son sujet. Les tests : Se montrer impolie, désagréable : (donc tester les limites), ou essayer de le mettre en colère Poser un lapin Tenter de rendre jaloux Elle parle de sexe directement, histoire de déstabiliser l'homme (eh non, chez une femme, parler sexe ce n'est pas faire des avances) Lui demander combien il gagne, quel auto il conduit : tester vos valeurs et/ou son porte-monnaie Lui demander s'il est gay : façon de découvrir si vous êtes à l'aise avec vous-même. Bon, le Monsieur a réussi les tests... Mais peut-être faut-il rajouter le fameux "je ne couche pas le 1er soir", délicate merveille de perversité féminine emballée sous un papier de soie de convenances ? La femme un chouia dominante a une caractéristique : elle prend le contrôle des choses, fermement, mais avec assez de subtilités que vous n'y verrez que du feu. C'est ce qui la différencie de la femme autoritaire. Elle prend les initiatives, elle sait ce qu'elle veut ! Mais enfin, ça y est, MONSIEUR est dans la place, enfin, dans la chambre de Madame (Enfin, ça, c'est s’il ne s'est pas fait violer avant !!!) Donc, assis du bout des fesses sur une courtepointe de boutis rose, un peu interloqué, il voit la dame de ses pensées présentes, câline mais déterminée, lui retirer ses vêtements. Détail significatif : elle laisse la cravate. Et voilà l'homme toutou d'un soir, assez décontenancé. Elle-même se charge de retirer ses vêtements, langoureusement. Vous tentez de la toucher, elle esquive gracieusement. L'homme se rend assez vite compte qu'il n'a plus qu'à abdiquer. Quel homme n'a pas rêvé, au moins une fois dans sa vie, de s'abandonner ? Et l'important, l'essentiel, le primordial, pour un homme, est de faire l'amour. Et tant que la femme n'essuie pas ses escarpins sur sa fierté comme sur un vulgaire paillasson, aucun risque qu'il se rebiffe! D'autant que la dame, sous ses façons autoritaires, ne lui veut que du bien : lui faire l'amour. Elle prend les initiatives des caresses, des baisers. Peut-être lui passera-elle des menottes fourrées aux poignets, pour le lier aux barres de cuivres de son lit, réalisant ainsi un de ses fantasmes secrets ? Ou pourquoi pas, prendra-t-elle peut-être l'initiative de le masser, jouant avec ses sens et ses zones érogènes ? Lui bandera-t’elle les yeux, vous faisant picorer des douceurs, avant d'offrir sa propre intimité à déguster dans un face-sitting ? Au terme des préliminaires, où Madame, par de savantes manipulations, de caresses avisées en fellations raffinées a mis en forme sa monture impatiente, dont le vit turgescent vibrant comme un ludion supplie désespérément qu'on daigne lui offrir un nid douillet ou une délivrance à son heureux calvaire, vient enfin l'instant T des chevauchées coquines. Une femme dominante, c'est une femme qui se place au dessus, et qui s'y maintient. Si elle est parvenue à attacher l'homme, aucun risque qu'il ne retourne la situation, au propre ou au figuré. Cela dit, sa situation à lui reste toutefois enviable! Nombreuses sont les positions possibles et délicieuses. Elles offrent également moins de risques d'éjaculations prématurées, et la possibilité pour la femme de stimuler à loisir son clitoris. Les inconvénients : Le risque un poil accru de fracture pénienne, incident toutefois rare, mais qui vous enverra derechef finir la soirée aux urgences. Mais revenons plutôt à nos amants ! Puisque Monsieur est sans défense, Madame peut décider d'explorer plus en avant. Un mini vibro posé sur des boules à l'écoute ou la rose de Monsieur peut être une sensation terriblement excitante! Madame peut aussi se révéler sacrément délurée, et profiter de son état de faiblesse momentané pour tenter des privautés parfaitement inconvenantes, et aller taquiner du doigt votre prostate. L'orgasme prostatique est souvent intense, et peut être multiple. Le 1er set joué, comment et pourquoi ne pas tenter d'enchaîner sur un second ? Ce qui est parfaitement possible si le Monsieur est en verve et spécialement excité. Il suffit parfois de discuter un peu d'inflation, pour que le tour soit joué...
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Par : le 03/01/21
Figure de la vie parisienne de la Belle Époque, Natalie Clifford Barney (1876-1972), demeure davantage connue pour ses frasques légendaires que pour ses écrits. Cherchant à faire de sa propre existence son véritable chef-d’oeuvre, la jeune femme qui affiche ouvertement et très jeune son homosexualité puise l’inspiration chez la poétesse de l’antiquité, Sappho. "Que de chaînes brisées ! " Colette, du temps des "Claudine", avait croqué Natalie Clifford Barney sous les traits de Flossie, chez qui "il n'y a pas de sérénité plus cruelle. " "Je m'émerveille de ta sérénité qui tombe de haut sur nous. Juste assez d'amour, juste assez de mépris de l'amour", et constate la justesse de sa description quand elle croise le regard triomphant de Natalie sur elle. Quand ses découvertes brillent aux yeux de tous, l'Amazone exulte. "Oublier que je la regarde, la faire mieux que mienne, la faire sienne. La précéder vers elle-même et la révéler à elle-même", telle est la Natalie amoureuse et ainsi est-elle avec toutes les femmes: une muse, une mécène, une formatrice, un refuge, mais surtout une grande séductrice. En rupture avec son père, qui tient absolument à la marier, et confrontée au puritanisme américain, elle choisit de vivre en France. Riche héritière, elle y mène une vie mondaine des plus animées et rencontre les grands noms de l’époque. On croise ainsi dans son Salon et son fameux “Temple de l’amitié” des personnalités telles que Isadora Duncan, Ezra Pound, Anna de Noailles, James Joyce, Truman Capote ou encore Marguerite Yourcenar. "Autant que je vivrai, l'amour du Beau sera mon guide. Il me faudrait donc trouver ou fonder un milieu en accord avec mes aspirations, un monde composé de ceux qui cherchent à élever leur vie à travers un art ou un amour capable de les rendre de pures présences. C'est avec eux seuls que je pourrais m'entendre et communier et m'exprimer librement parmi des esprits libres." Cette confiance absolue, ce narcissisme décomplexé doublé d'une immense fortune lui assura une vie à la hauteur de ses ambitions. Quand, à vingt-et-un ans, elle hérite, l'américaine n'hésite pas. Ce sera Paris qui lui a toujours semblé être "la seule ville où l'on peut vivre et s'exprimer à sa guise." C’est en Ohio, aux États-Unis, que Natalie voit le jour le trente-et-un octobre 1876. Prémonition, chaque trente-et-un octobre, c'est le sabbat de Samhain marquant le début et la fin de l'année païenne, c'est la fête celte des morts, la fête de tous les saints, la fête des esprits et la fête des sorcières, Halloween. Le bien et le mal en une seule date symbolique, Janus aux deux visages, définissant très tôt Natalie, laquelle revendique ce double moi sacré et profane, adorable et démoniaque, attirante comme une fille et libre comme un garçon. Entre un père aimant mais brutal et une mère artiste bohème mais incapable de tendresse, elle grandit librement dans la bonne société américaine et excelle dans tous les domaines. Cavalière émérite, nageuse infatigable, elle parle le français très tôt grâce à sa gouvernante et à une vieille tante française. Elle apprend aussi le grec et l’allemand, le violon et l’alto et fait preuve d’un esprit peu commun. Très blonde et sûre d’elle, elle ne laisse alors et ne laissera jamais personne indifférent. "J'ai honte que tu aies vu d'aussi près mes chaînes", Natalie Barney se souvient de l'aveu de Colette. De dix à seize ans, Natalie et sa sœur Laura reçoivent une éducation internationale entre la France, aux Ruches de Fontainebleau et Washington, où la famille a déménagé après l’héritage du grand-père, un magnat des chemins de fer à Dayton qui les met toutes les deux à l'abri de tout besoin. Elle prend conscience très tôt de son homosexualité et décide de "vivre au grand jour, sans cacher quoi que ce fût." Elle vit à l'âge de seize ans une passion avec Eva Palmer, la première d’une très longue série. La bonne société réalise assez vite la singularité de Natalie et son père lui-même s’inquiète de son attitude rebelle, non conformiste, voire séditieuse, encouragée par sa mère. De plus, elle refuse de faire des études. "Pourquoi être forcée d’apprendre un tas de choses inutiles alors que savoir lire, écrire, et ressentir me semblent suffisant ? "Deux ans plus tard, Robert K. Cassett lui propose un mariage blanc après qu’elle lui ait avoué son goût pour la femme. Pression paternelle ou simple arrangement à l’époque où les filles ne peuvent sortir seule. Elle se contente prudemment que de fiançailles. Toujours opposée à l'idée d'entamer un cursus universitaire, devenue adulte, elle parlera français couramment et sans accent, et écrira la grande majorité de ses ouvrages en langue française. Au printemps 1896, Natalie est à Paris et tombe sous le charme de Carmen Rossi, un des modèles de sa mère, Alice. Après son initiation, elle apprend tous les délices de l’amour lesbien entre les bras d’une femme accomplie. Mais la catastrophe du Bazar de la Charité, le quatre mai 1897, décimé par l’incendie du cinématographe des frères Lumières qui tue cent vingt-sept personnes, dont la duchesse d'Alençon et où Natalie devait tenir un stand, signe brutalement la fin de la récréation. Son père exige qu’elle rentre à Washington où elle retrouve Eva, qui s’est sacrifiée pour ne pas la tromper. Natalie comprend que la fidélité n’est pas pour elle et le revendique déjà ouvertement. Pour ses vingt ans, elle retourne à Paris, où sa mère prend des cours de peinture. Natalie sort beaucoup, couverte par son arrangeant fiancé. "Je savoure vite et il n’y a en général pas de lendemain. " À cette époque, Paris foisonne de clubs, music-halls, et autres lieux de fête où le maître mot est plaisir. Ceux qui ont pignon sur rue colorient la Belle Époque de leurs cartes postales et de leurs scandales, chroniqués dans le "Gil Blas." Les belles horizontales, créatures ou demi-mondaines en sont les reines. Parmi elles, la plus célèbre, la Divine, dite encore "Sultane du sexe" n'est autre que la languide Liane de Pougy. Entre la jeune lesbienne et la courtisane qui deviendra à la fin de sa vie religieuse, débute une passion jugée scandaleuse et une amitié qui durera toute leur vie. Après leur rupture, Liane publie "Idylle Saphique", racontant sa liaison avec Natalie, surnommée moonbeam (rayon de lune), et celle ci publie "Lettres à une connue", sans grande valeur littéraire mais d'un caractère enthousiaste et d'un contenu révolutionnaire en ce qu'il revendique un saphisme naturel et surtout joyeux. Plus intéressants sont les "Quelques portraits, sonnets de femmes", recueil illustré de dessins de sa mère et publié à compte d'auteur en 1900. Pris dans le tourbillon, Robert K. Cassettet rompt les fiançailles pour se marier classiquement avec une jeune américaine. En 1900, Natalie Barney, dite Natalie Clifford Barney rencontre Renée Vivien. Elles s’encouragent toutes les deux à écrire, sous l’égide de leur professeur commun, Charles Brun. Natalie, solaire, charnelle et infidèle par nature se sent vite à l’étroit auprès de Renée dépressive, morbide et plus sensible à ses vers et ses mots qu’à ses baisers et caresses. Très vite, Natalie ouvre le couple à un trio inédit avec Eva, où la jeune poétesse ne trouve pas sa place. Elle collectione alors les aventures: la femme de lettres anglaise Olive Custance, future lady Douglas, Colette, la cantatrice Emma Calvé, ou bien encore l'actrice Henriette Roggers. En 1902, elle hérite d’une grosse fortune qui lui permet de louer une maison à Neuilly-sur-Seine. Mais surtout, en 1909, elle s’installe au vingt rue Jacob, dans le sixième arrondissement à Paris dans un pavillon entouré d’un jardin au fond duquel se trouve un petit temple à colonnes doriques qu’elle baptise Temple de l’Amitié et qui sera, pendant soixante ans, le cadre de ses célèbres "vendredis." Naît alors son célèbre Salon. Connue pour ses frasques et son indépendance, elle donne, chez elle des pièces de théâtre écrites par elle-même ou par Pierre Louÿs et jouées par Colette ou Marguerite Moreno. Elle continue de jouer un rôle dans les Lettres françaises tout en restant fidèle à sa nature volage et charnelle. Lucie Delarue-Mardrus cède à son penchant. Renée Vivien revient pour quelques mois puis repart, laissant Natalie désemparée. Eva Palmer quant à elle se marie à un jeune prince grec et et l'accompagne en Grèce pour y développer les arts et les traditions. Si elle n'est pas parvenue à arracher Liane à une vie de luxe et de facilité, elle ne parviendra pas davantage à sauver Renée Vivien d'elle-même. De son vrai nom Pauline Tarn, la vie de la jeune poète anglaise ne fut "qu'un long suicide", d'après Natalie, "incapable de se libérer des contraintes sociales qui font des plaisirs sexuels une question morale et confèrent un caractère morbide à la sexualité." Pour Colette qui est sa voisine, rue de Villejust, Renée, "aux épaules découragées", était une romantique et exaltée, anorexique et possessive, se nourrissant que d'alcool et de thé." L'irréductible séductrice Natalie Barney broie-t-elle ce qu'elle étreint ? La Vally-Natalie d'"Une femme m'apparut", ne blâme-t-elle pas la narratrice, Renée Vivien "d'exiger une fidélité chrétienne, contre laquelle se révoltaient ses instincts de jeune faunesse ?", car "fidèle dans l'infidélité, c'est auprès d'une aimée que j'apprécie pleinement la valeur de l'autre et auprès de cette autre que j'apprends à regretter celle que je viens de quitter". Natalie ne s'épanouit que dans le trio, voire plus. Ainsi, le trio qu'elle forma avec la peintre Romaine Brooks et Elisabeth de Gramont, duchesse de Clermont-Tonnerre, débuta dans les années 1910 et durera tout au long de leur vie, sans pour autant faire disparaître les amours contingentes. "Qu'elles soient épouses, courtisanes, amante ou esclaves n'est qu'une affaire de classe, de hasard et de tempérament". Peut-être est-ce Lucie Delarue-Mardrus, qui décrit sa rencontre avec Natalie comme un "tremblement", qui lui inspirera deux livres, les poésies de "Nos secrètes amours" et le roman "L'Ange et les Pervers", qui a le mieux cerné Natalie sous les traits de Laurette: "Vous êtes perverse, dissolvante, égoïste, injuste, têtue, parfois avare, souvent comédienne, la plupart du temps irritante et monstrueuse. Mais vous êtes une vraie révoltée et toujours prête à rebeller les autres. En dedans de vous-même un chic type. Vous êtes capable, c'est votre seule fidélité, d'aimer un être tel qu'il est, alors je vous estime." Rémi de Gourmont, jeune écrivain, surnomma Natalie Barney, l’Amazone. La même année, Natalie publie trois volumes: "Je me souviens", un poème en prose offert à Renée Vivien lors de leurs retrouvailles, "Actes et Entr’actes", poèmes en vers et prose et "Éparpillements ", des aphorismes brillants, subversifs et anticonventionnels, où elle défend une place plus libre pour les femmes. Elle les observe, tout en les protégeant, les femmes de la rue Jacob, qu'elle inspire, et qui nourrissent son écriture. Car si sa vie est son œuvre, ses écrits en sont les symptômes, ainsi Natalie Clifford Barney fait le choix de la poésie classique et de l'aphorisme, traditionnellement "virils", accentuant la portée subversive de ses propos. "Les Pensées d'une amazone" sont truffées de formules chocs: " Ce n'est pas parce que je ne pense pas aux hommes que je ne les aime pas, c'est parce que j'y pense." Sa personnalité, son œuvre, tout comme son rapport aux femmes, sont à l'exact opposé de ceux d'une autre femme de lettres, qui règne sur le Mercure de France, d'une femme tout aussi singulière et fascinante, Rachilde, dite "Mademoiselle Baudelaire." Son Salon devient un lieu d’échange à vocation internationale, favorisant les rencontres intellectuelles franco-américaines. S’y pressent alors Pierre Louÿs, Paul Claudel, Colette, Paul Valéry, André Gide, Anatole France, Max Jacob, Louis Aragon, Jean Cocteau, ou Gertrude Stein, Somerset Maugham, Françoise Sagan et tous les écrivains américains dits de la "Génération perdue." Durant la première guerre mondiale, Natalie Barney est une des rares à ne pas s’engager pour une cause. De fait, elle est contre la guerre, qu’elle trouve inutile et tellement masculine, et son Salon reste un des rares endroits où les avis sont libres et où les antipatriotiques peuvent librement s’exprimer, un havre, aussi, où l’on vient se réchauffer et se sustenter. C’est durant cette période que Natalie rencontre celle qui va l’accompagner jusqu’à la fin de sa vie, Romaine Brooks. Encore une fois, elles sont opposées l’une à l’autre mais l'artiste peintre possède deux qualités indéniables à ses yeux; elle est très souvent en déplacement, ce qui la rend inaccessible donc désirable, et elle s’accommode, pendant ses absences de ses infidélités multiples. L'année 1920 annonce une nouvelle ère. l’Europe pleure ses millions de morts et veut prendre sa revanche sur la vie tandis qu’aux États-Unis, les femmes votent pour la première fois et veulent changer l’histoire. Natalie Barney a quarante-quatre ans. Elle sait qu’elle ne sera jamais un bon auteur par manque de travail mais demeure la maîtresse de son Salon, où elle accueille Paul Valéry, qui sera élu à l’Académie Française seulement cinq ans plus tard. Seule et déplorant le départ de Liane de Pougy qui épousé un prince roumain, elle se console bientôt dans les bras de Dolly Wilde, la nièce d’Oscar Wilde, jeune femme qu’elle trouve brillante et radieuse mais qu’elle découvre hélas vite dépendante de différentes drogues. Protectrice, Elle l'héberge chez elle, pour quatre mois de passion. Un privilège mal vu par Romaine Brooks. Peu avant la crise de vingt-neuf, qui verra fuir de nombreux américains, paraissent deux livres qui ajoutent encore à la réputation déjà sulfureuse de Natalie Barney: Radcyffe Hall publie "Le puits de solitude", un livre lesbien scandaleux et interdit où on la reconnaît aisément sous les traits de Valérie Seymour et Djuna Barnes écrit "Ladies Almanack", où elle apparaît en Angéline Musset dans un livre parodique à tiroir humoristique. La seconde guerre mondiale marque une période de repli "neutre" car Natalie et Romaine demeurent alors en Italie où, sous l’influence d’un écrivain et critique américain influent du nom d’Ezra Pound, la romancière émet des propos antisémites dans quelques lettres, qui n'ont peut-être été écrites que par pure lâcheté, pour donner des gages. À la fin de la guerre, elle pleure la mort de Lucie Delarue Mardrus. Dès son retour à Paris, Natalie rouvre son Salon rue Jacob, dans son appartement jalousement gardé par son intendante, Berthe, qui a opposé aux nazis venus le saisir pour cause de judéité de Miss Barney, un mensonge éhonté. Elle y reçoit Truman Capote et Renée Lang, la biographe d’André Gide et de Rilke. Natalie, qui veut écrire ses mémoires, s’entiche de Renée et lui propose de s'y atteler. Mais le projet tournera court à cause de son caractère autoritaire et ombrageux ne laissant que très peu de liberté à l'intellectuelle. Renée Lang abandonne le projet mais reste une habituée de la rue Jacob. Marguerite Yourcenar, rencontrée chez Marie Laurencin, fait son entrée aux vendredis tandis qu’Alice B. Toklas, depuis la mort de Gertrude Stein, y vient régulièrement en compagnie de Françoise Sagan. Natalie, soixante-quatorze ans en 1950, enterre ses amis avec chagrin. Liane de Pougy meurt dans un couvent près de Grenoble en 1950, Gide en 51, Eva Palmer, "la mère de ses désirs", "l’initiatrice de ses premières joies" en 1952, Colette en 1954 et Marie Laurencin en 1957. Toujours énergique cependant, elle réhabilite en 1948 le prix Renée Vivien, récompensant les jeunes poétesses et publie divers hommages à ses anciennes maîtresses. En 1955, l'Amazone rencontre son dernier amour, Jeanne Lahovary, épouse d’un ambassadeur à la retraite qui, après la mort de son mari, vient prendre soin de Natalie Barney au vingt de la rue Jacob. Ayant été expulsée de son Temple de l'Amitié classé à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1947, elle meurt le deux février 1972, à l'Hôtel Meurice, d’un arrêt cardiaque à l'âge de quatre-vingt-quinze ans. Elle est inhumée au cimetière de Passy, (neuvième division), non loin de Renée Vivien, avec sa sœur Laura, femme de lettres et sculptrice. Bibliographie et références: - Jean L. Kling, "Natalie Clifford Barney" - Suzanne Rodriguez, "Natalie Clifford Barney" - Emmanuelle de Boysson, "Je ne vis que pour toi" - Jean Chalon, "Chère Natalie Barney" - Jean Chalon, "Portrait d'une séductrice" - Denise Bourdet, "Natalie Clifford Barney" - Daviel Shy, "The Ladies Almanack" - Françoise Werner, "Romaine Brooks" - Annie Le Brun, "Des dessins inévitables" - Philippe Martin-Horie, "Liane de Pougy" - Robert Greene, "L'art de la séduction" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/10/21
Me réveiller dans ses bras, le voir me sourire, me caresser, pouvoir me blottir contre lui, me sentir juste bien. Nous nous élevions chaque jour. Quoi de mieux que d’être soi avec l’autre. Avoir conscience de nos tourments, nos névroses, les accepter ou les comprendre et sortir de schéma inconscient. Notre soirée d’hier m’a permis de comprendre que j’avais toujours cet peur de l’abandon. Au final, à force d’y penser, nous agissons toujours de telle sorte qu’au fina l on se fait abandonner, ou bien, parfois les gens nous quittent ou que nous quittons car c’est simplement ainsi. Il ne faut pas rechercher un fautif, c'est juste que l'un ou l'autre ou les deux n'était pas bien dans cette relation. La clé à tout cela.. la sincérité, la franchise et la communication qui induisent la confiance. Les mots sont souvent utilisés mais les actes parlent. Ils peuvent parler selon notre analyse, notre logique et peut être totalement mal interprétée. C'est ainsi que nous nous conditionnons. Les êtres humains sont si fort en général pour faire culpabiliser l’autre pour se déculpabiliser soi-même de ses actes. Souvent ce sont ces mêmes personnes qui se caractérisent pas prise de tête ou passionner du « Carpe Diem ». Ne pas à justifier de nos agissements, évitent aussi de se remettre en question. J’ai évolué, pris du recul et que dire de la période de la quarantaine.La meilleure, même si j'ai bien encore du chemin à parcourir. Hier soir, il m’avait poussé dans mes retranchements. La peur de le perdre comme au final lui aussi pouvait me perdre. Ce sentiment lié à mon manque de confiance en moi. Et s’il ne voulait plus être avec moi ? Eh bien c’est que cela devait se passer ainsi. Personne ne nous appartient. Il est vrai que lorsqu’on a une telle connexion si forte et où l’on s’abandonne, s’adonne si fortement que la chute est vertigineuse. La perte de ces sensations n’enlèvent en rien aux moments intenses vécus. Et cela amène à se relever et découvrir d’autres choses. En faire le deuil. Mais il était là. Il faisait tout pour assouvir mes désirs, il me voyait avec d’autres hommes et pourtant il restait. Il m’avait confié aimé me voir prise par d’autres, que ça le rendait fou de me voir ainsi baiser, prise. Il voyait la chienne que j’étais et de l’autre, il voyait la femme que j’étais. Dans les deux cas, il me respectait. - Ce soir, on va bien s’amuser ma belle. - Ah oui qu’as-tu prévu ? - Hum tu verras mais il y aura du spectacle j’ai hâte. - Quel spectacle ? - Hum tu verras. - En attendant, je te propose d’aller nos détendre au spa qu’en penses tu ? - Oh oui !!!!! tu sais combien je raffole de ça. Il sortit alors de sa boite la clé de mon collier et me l’ôta. Nous sortions de Deadalus pour nous rendre au thermes situés non loin de là. De vieilles thermes sublimes à l’ambiance romaine. La nudité était obligatoire. Je songeais à mes fesses marquées. - Tu te débrouilleras petite chienne me glissa-t-il à l’oreille en me taquinant. Dans ces thermes, il y avait une multiplicité de bains L’eau était à température de 32 dégrés d'autres bassins elle était plus froide. Puis il y avait ces petites alcoves pour une ou deux personnes. Il faisait juste bon, chaud. Je posais mon peignoir. Un pied puis l’autre c’était si divin. Je me sentais envelopper d’une chaleur réconfortante. Tout de suite j’étais bien, je ne pensais à plus rien. Il me rejoignait, face à moi. Juste nous deux. - Ecarte tes jambes. - Humm tu es si belle. Hier tu l’étais tout autant. Je baissais les yeux, rougissante. Une partie de moi me cachait à en parler, ll le savait. - As-tu aimé que je t’offre à Cassandra hier ? - Je dois dire que cela m’a terriblement excitée. Alors pour autant je ne suis pas bi, tu le sais. - Ce n’est pas la réponse à ma question. Mets toi un doigt dans la chatte et réponds. Je le regardais droit dans les yeux en m’exécutant. - Oui, j’ai aimé. - Et que je la prenne devant toi ? - Tu en connais la réponse. Tu connais ma dualité. Maintenant, j’ai saisi une chose que je ne peux expliquer. Toi, tu acceptes de me voir avec d’autres et tu es là. Je pense que tu voulais me punir peut être et de l’autre provoquer en moi une excitation à te vouloir davantage. Je ne sais pas. On va pas dire que j’adore ça. Nous étions dans un contexte particulier. - En effet contexte particulier. J’ai adoré te voir ainsi attachée offerte en objet sexuel, être à disposition et qu’on fasse de toi ce que tu voulais. Je l’ai baisé en pensant à toi et tout ce que je voudrais te faire subir, et tu vas les subir ma belle. Je le regardais souriante. - Tu connais notre règle. On parle de tout ! n’analyse pas de ton coté avec ta logique me réponda-t-il - Oui.. tu as raison. Il se rapprocha de moi pour m’embrasser. Il se plaça derrière moi, mon dos se posant contre lui. - T’ai-je dit d’arrêter de te doigter ? - Pardon.. non… Je sentais derrière moi son sexe se durcir. - Je vais avoir du mal à sortir de là. Tu me rends fou tu sais. Je rigolais.. - Chacun ses problèmes, toi c’est ta queue, moi mes fesses. Nous rigolions comme deux gosses. Il y avait plusieurs bains à faire. Il y avait des mosaïques de partout. Une grande salle de détente avec une verrière style Art Nouveau. Ce calme d’antan. J’adorais ces lieux avec cette atmosphère. Il ne cessait de me provoquer de m’exciter. Nous arrivions à des bains où la lumière était tamisée. Une sorte de grotte, nous étions presque dans la pénombre. Je m’étais accrochée à lui comme un petit koala. Il avançait dans l’eau. Ses mains sous mes fesses, personne ne nous voyait. Il n’y avait quasi personne. C’était génial. Il me déposa sur une assise en pierre. Lui restant debout devant moi. Il s’empara de mes lèvres, de mes seins. - Eh doucement, quelqu’un pourrait arriver! - Chut… Sa langue s’entremêlaient à la mienne. Je voulais le dévorer, lui faire l’amour. Il écarta mes cuisses et déposa ses doigts à mon entrejambe. - Tu adores ça être doigtée petite chipie. Je sens déjà que tu es humide. - Normal avec toute cette eau le taquinais-je. Il prit mon cou en main et m'embrassait fougueusement. - Vilaine. Pour la peine je ne te doigterai pas. Je le regardais avec une air innoc ent, qui disait si je veux. Il me laissa quand même ainsi. Trois hommes pénétraient dans cette grotte. J’étais déçue de ne plus être seule. - Garde tes jambes écartées. - Non mais arrête ! - Garde tes jambes écartées. Il se plaça a coté de moi. Les hommes se plaçaient un peu partout. J’étais la seule femme. Bizarrement on se jetait des regards furtifs sans oser se regarder. Une certaine pudeur et un respect qu’on retrouvait partout dans les termes allemandes. Assis à coté de moi, je sentis alors sa main se poser sur ma cuisse. Il me parlait à l’oreille. - Maintenant je vais te doigter. Avec un geste presque naturel, sa main glissa doucement vers l’intérieur de mes cuisses. Mon cœur battait à l’idée d’être surprise. Je sentis alors un doigt pénétrer doucement dans ma chatte. Je pinçais mes lèvres. Je tentais de rester la plus naturelle pendant qu’il s’occupait de moi. - Il y a un homme qui te regarde. Crois-tu qu’il voit ou devine que je te doigte ? - Mais non .. - Si, il te regarde. Provoque le… - Arrête avec ça. Un second doigt pénétra. - Regarde comment tu excites les hommes. Tu as cela en toi. Tu aimes ça, qu’on te regarde. - Arrête s’il te plait. - Au contraire, avec moi tu assumes ta partie sombre. Il se redressa. - Comme tu veux, j’arrête. Je me sentais interdite. Je ne voyais jamais les regards des autres hommes et je ne le cherchais pas. Pourtant là où il avait raison, j’avais besoin qu’on me regarde, d’attirer l’attention. Je me levais pour m’asseoir entre ses jambes. A nouveau je laissais tomber mon torse contre son dos ma tête au creux de son épaule gauche. Il m’embrassa la tempe et enroulait ses bras autours de moi. Je prenais soin de bien placer mes fesses contre lui, de faire ses petits mouvements pour le rendre fou. - Arrête, après je ne pourrais me retenir. Tu vas me le payer... - Ah oui ? tu veux que j’arrête. Ma main s’était glissée à l’arrière de mon dos pour saisir son sexe. Je commençais doucement à le caresser. - Regarde les autres sans rien transparaitre lui taquinais-je. - Tu ne paies rien pour attendre.. mais continue, tu masturbes divinement bien ma petite salope. Je riais. Je sentis alors ses mains me tenir par le haut de mes cuisses à l’entrejambe. Je sentais ses doigts me caresser , malaxer sans toucher mon sexe. Il me rendait complètement folle. On s’amusait à se rendre fou. J’adorais ça. Soudain, il reprit le contrôle. Soudain ses doigts pénétraient ma chatte deux de chaque main. Il l’écartelaient. - Tu es bien ouverte maintenant… - Humm c’est si bon… Jen’avais plus la force de le caresser tellement il m’avait coupé l’herbe sous le pied. - Concentre toi, continue de me caresser petite putain. Il savait qu’il me rendait folle et que la réciproque était vrai. - Aimerais tu sentir ma queue dans ton cul ? - Humm oui j’aimerai.. - Hummm… Il frotta sa queue contre moi. Je sentais les autres hommes me regardaient. - Le premier là, sur ta gauche, il a remarqué notre manège. Je pense qu’il aimerai bien être à ma place. Et comme il a chuchoté à l’autre quelque chose, je pense que cela doit être par rapport à toi. Alors maintenant je ne sais pas si je vais t’enculer, pour qu’il voit comment tu aimes te montrer. La question, as-tu envie de moi ? - Tu le sais que j’ai envie de toi. - Alors arrête de parler, agis. Fais en sorte que je te prenne et assume. - T’es fou, on ne peut pas faire ça ici. - Empale toi. Je ne me sentais pas à l’aise de le faire. - Petite joueuse riai-til. Il savait quelle corde sensible jouer et que je réagissais au quart de tour. - A force de t’interdire des choses, tu oublies le goût de la liberté. Ose ! Prends les choses en main, enfin si je puis dire, dit-il d’un ton sincère. Je m’enlevais de mon assise pour me retourner et l’embrasser. Les autres hommes ne bougeaient toujours pas. - Tiens ton sexe que je m’empale dessus quand je me retourne lui ordonnai-je. Je me retournais à nouveau pour m’asseoir sur sa queue. Malgré moi j’y mis le temps. Sa queue dans mon cul qui cédait assez facilement. Je le sentais me tenir fermement par la taille, allant au plus profond de mon cul. Le plus dur était de ne rien laisser passer au niveau de mon visage. Il faisait des mouvements de bassins très légers et les hommes nous regardaient. - Tu sais je les regarde. Ils savent que je te prends là… Je me sentais rougissante et si excitée à la fois. Doucement je me posais contre lui, comme avant, ma tête au creux de son épaule gauche.. Il me parlait à l’oreille, je sentais sa queue en moi et ses doigts dans ma chatte. Avec lui, je sortais totalement de ma zone de confort. Ses doigts si doux sur mon clitoris. - Repense à la langue de Cassandra sur ta chatte. Repense à ses petits coups de langue, ses aspirations, pense à moi qui te regardait te faire baiser par une femme.. tu étais merveilleuse. Il me rendait complètement folle. - Arrête de bouger. Il me replaçait pour donner quelques coups de bassin. - Pense à ma queue dans ton cul comme il aimerait bien te défoncer, et ma main te cajoler. - Ma princesse, ma putain. Regarde ces mâles qui veulent te baiser. Excite les. - Je… tu me rends folle, encore.. parle moi. - Repense à Mickaël, comment il t’a tringlé dans les toilettes comme la petite chienne que tu es, ses coups de ceinture que je lui ai demandé qu’il te fasse. - Humm ouiiii, j’ai adoré ça, tu m’excites trop, j’adore que tu me rendes ainsi. - Que je te rende comment ? - Si chienne, si putain. - Je ne te rends pas ainsi, tu es ainsi. Ses doigts tournoyaient autours de mon clitoris, j’avais du mal à tenir. - Je vais.. jouir.. Mon clitoris, mon sexe étaient gonflés de désir. Je contractais mon corps, fermant les yeux, me concentrant sur sa voix qui me guidait. - C’est ça, laisse toi aller ma chérie. Contracte toi bien, hummm je le sens sur mon sexe. J’oubliais tout, je ne pensais qu’à ce plaisir montant encore et encore ; Je me concentrais sur ses doigts, sa voix, je revivais tout ces derniers jours vécus si intense. - C’est ça jouis ma chérie, jouis.. Je refermais mes cuisses, je tentais de ne rien laisser transparaitre ; Je fermais les yeux, mes lèvres se pinçaient. - Ouvre tes yeux pendant que tu jouis, regarde autours de toi. La jouissance était terrible. Je voyais ses hommes me regarder. Mon visage malgré mon impassibilité a dû laisser transparaitre ma jouissance. Je me laissais retomber totalement contre lui. Il me cajolait. - Allez viens là mon petit koala. Nous ressortions de l’eau. Il cherchait mon peignoir et m’emmitoufla dedans. Il me prit par la main. Allez viens un bon hammam et ensuite du repos. Je savourais cette journée. La journée se terminait doucement. Arrivés aux vestiaires, il pénétra furtivement dans ma cabine et la verrouilla. Sans me laisser le temps de réfléchir ou de parler, il mit sa main sur ma bouche. Il posa ma jambe sur le banc et me pénétra sauvagement la chatte. Aucun son ne pouvait sortir de ma bouche. Il me pilonnait si fermement. Aucun mot ne sortait de sa bouche, il me baisait seulement. Je sentais ses couilles claquer. Ses vas et viens intenses c’était si bon, je mouillais terriblement. Sa main sur ma bouche m’excitait et m’empêchait totalement de crier. - Bonne petite salope. L’attaque fut fulgurante avec de si bons coups de reins. - Chut… je ne veux rien entendre. Il me tringla sans aucun ménagement, éjaculant sur mes fesses. - Rhabille toi maintenant ma chienne, je t’ai préparé une belle surprise digne de nous ce soir. Il sortit aussi rapidement qu’il était entré, me laissant souiller de sa semence sur moi. Nous nous étions rejoins à la sortie des thermes. J’avais pris le temps pour me sécher les cheveux. - Comment te sens tu ? - Humm merveilleusement bien et détendue. - Humm parfait tu vas en avoir besoin dit-il en claquant mes fesses avec espièglerie. Arrivés à Deadalus, Cassandra nous attendait. Elle m’adressa un tel sourire. - Conduisez là à sa chambre qu’elle se prépare. Je la veux à 19h30 dans ma chambre. Kassandra me tenait par le bras. - Allez petite chienne, dans ta chambre. Tu vas te faire belle pour ton Maitre. Voici ta tenue. Je me parais de ma tenue assez affriolante, des bas, un masque en dentelle. Cassandra arriva à l’heure. - Tu es superbe. Laisse moi te regarder. Elle palpa mes seins, tira sur mes tétons. Elle s’approchait de moi tout en me murmurant. - Le goût de ta chatte me manque déjà. Elle passa sa main sur mon entrejambe. - Suis moi. Je pénétrais dans la chambre de Monsieur. Il était là, habillé en smoking, il était magnifique. - Vous êtes.. - Taisez-vous ! Sa voix était autoritaire. Je compris que je devais à son regard, entrer dans nos jeux. - Venez ici. Je m’approchais. Je restais debout devant lui, pendant qu’il me tournait autours. Il prenait de temps, m’effleurant. - Relevez vos cheveux. Je m’exécutais. Il fixa mon collier et remis son cadenas. - Ce soir, vous serez exposée et à mes ordres ma chère. Vous n'avez pas le droit de parler, sauf si je vous autorise. - Allez la mettre dans sa cage Cassandra. Je vis alors son sourire. Elle me banda les yeux. Elle me fit avancer hors de la chambre. Je ne savais pas où nous allions Tout ce que je devinais c’est qu’elle me fit pénétrer dans une cage et m’enchaina au sol. Elle fixa une oreillette à mon oreille droite. - Allez couchez petite chienne.
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Par : le 07/01/22
A défaut de pratiquer à nouveau et d'être en attente, voici ce qui m'est arrivé lors d'une soirée. Surement banal mais vécu intensément. Je suis aussi somme toute banal, agréable, début cinquantaine, comportement toujours correct. Jai des relations "vanilles" avec les femmes, bon amant, et parfois des fessées données et des exib imposées, car j aime dominer dans les ébats si la partenaire est demandeuse. Donc j arrive à une soirée, qui se dit libertine sans définir de limite ni de thèmes. Je connais l'hôte et la propriété est grande. De la musique, des femmes superbes, souriantes et accessibles, le tout dans la bonne humeur, une trentaine de personnes, une dizaines d hommes. Des couples s'embrassent, des femmes entres elles, quelques hommes aussi et du cuir dans une partie de la pièce principale. Je flâne dans cette partie et là je vois une femme plus jeune que moi, assise sur un fauteuil, en cuissarde, cravache à la ceinture, elle me regarde et me sourit. Je suis attiré comme un aimant. C est la première fois que j ai une érection à la simple vue d'une personne et j approche en sentant mes mains devenir moite. Je suis debout près d'elle, elle me regarde puis jette son regard sur ses pieds et me regarde à nouveau sans le sourire. J ai toujours été excité à l idée de ponctuellement me soumettre sans avoir osé passé à l acte. Je ne me sent plus maitre de moi et me jette à ces pieds, le sexe plus dur que jamais et mon palpitant qui bat des records. Une sensation nouvelle. Elle m ignore puis met sa main sur ma tête, s'approche de mon oreille et me dit "novice?". Je dit oui. Elle me dit qu'elle adore les novices, qu'elle est soft, dominante, humiliante, sexuelle et prend son pied à dresser les débutants. Elle m attire dans un coin plus intime en m amenant par les cheveux mais sans me faire mal, cela devant l assemblée qui regarde, et seule son amie qui était à coté d'elle nous suit. Je dois marcher à quatre pattes autour d'elle . Puis, elle me plaque contre le mur, me demande de me mettre nu et de cambrer mes fesses. Je reçois une fessée magistrale, je suis en érection nu face au mur et son amie s'est assise et à rapprocher la chaise près de moi. Puis elle me retourne et me cravache légèrement sur le corps et le sexe. Elle me retourne à nouveau, mets ses gants me masturbe. je sent que son amie mets du lubrifiant sur mon anus, elle aussi gantée. Elle me pénètre avec un, puis deux, puis trois doigts. Je n aurai jamais pensé aimé cela. Je vais imploser,exploser de désir. Je suis bien dilaté. Ma soumission dure depuis plus d'une heure, j'en suis sûr. Elle me retourne. Je dois me mettre à genou et lécher les pieds de son amie qui rit. Un jeune homme de leur connaissance arrive. Il embrasse son amie. Elle lui ôte son pantalon et son slip. Je ne suis pas Bi et n ai jamais eu ce genre de situation et je me demande inquiet mais excité ce qui va m arriver. Elle me relève et me branle, puis me demande de branler le jeune homme qui embrasse et caresse toujours son amie. C est la première fois que je touche une queue, je suis conquis par cette maitresse, douce, sensuelle mais perverse et autoritaire dominatrice. Je branle le jeune homme et je sent un sexe chaud entre mes mains. 10 minutes de râles, de cris étouffés, puis elle dit" laissez nous" et je me retrouve seul avec elle. Elle me gifle, me pince les tétons, se doigte et enfonce durement ses mains souillées et mouillées dans ma bouche. Elle me dit " j ai aimé, tu te branlera à l idée que j aurai pu te faire sucer la queue que tu as branlé, j aurai pu te travailler au god ceinture aussi". Elle me tire la tête en arrière par les cheveux et me gifle à plusieurs reprises, puis m emballe en m'écrasant le sexe. Elle me dit pour finir," tu repart nu avec tes habits à la main et te rhabille dehors". Ce que je fis, toujours en érection. Voilà, il était tard, plutôt tôt dans la matinée et je prenais mon service professionnel tôt. Je suis directement allé au travail, me suis branler dans la douche de service, douché puis pris mon service. La soumission n est pas un mode de vie pour moi, mais ponctuellement j ai pris un plaisir jamais égalé à ce jour, j ai branlé un mec, incroyable, et j attend comme jamais, de rencontrer à nouveau une femme aimant dominer pour revivre, poursuivre et découvrir. Je me suis branlé chaque soir pendant deux semaines revivant les scènes. De récrire mon aventure m' a excité, j'espère que vous prendrez plaisir à lire. Bien à vous.
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Par : le 01/02/23
Il est tôt ce matin-là, quand Fabrice est jeune diplômé d’une grande école d’administration et doit valider ses partiels par un stage en entreprise, se réveille, le soleil commence à apparaitre à travers ces volets. les réveils sont souvent pour fabrice un moment de plaisir solitaire car une belle érection est présente comme chaque jour. Après quelques va vient énergique, la queue du jeune homme devient dur comme un morceau de bois. si fabrice est bien pourvu, il n’a que peu d’expérience sexuel, qui se résume à un dépucelage avec une amie tout ce qu’il y a de plus vanille et le visionnage régulier de site porno suivi de masturbation rapide et orgasme perdu.   Karoline arrive très tôt à son bureau, sa journée commence souvent par un bon café avec une viennoiserie tout en parcourant ses emails reçus après son départ de la veille. Elle est assez raffinée, tailleur de marque bien dessiné bleu, chemisier blanc avec des sous-vêtements Chantal thomas, bas noir auto fixant, qu’elle préfère car plus simple à mettre le matin. ces chaussures à talon montrent bien ces formes bien proportionnées et la rendre très sensuel, et bien souvent elle aime voir le regard de ces collègues quand elle passe dans le couloir. - Karoline, votre stagiaire est à l’accueil, il vous attend ! -merci pascale, je finis mon email et je vais le chercher -d’accord Karoline, je préviens l’accueil de le faire patienter 5 minutes dit pascale Karoline arrive à l’accueil et aperçois le jeune homme plutôt beau garçon, 1,75m et assez musclé a première vue, un petit sourire de plaisir envahie Karoline et son imagination sexuelle fait le reste, elle le voit déjà se glisser sous bureau a ces pieds, remontant lentement sous ses ordres, elle jupe relever jusqu’aux genoux … -Karoline ! -oui pardon   , j’étais dans mes pensées excusez-moi !!!!! -je vous présente Fabrice qui sera en stage dans votre service pour 5 mois -enchanté jeune homme, suivez-moi, je vais vous présenter à mes collègues Dans l’ascenseur qui monte au 6eme étage, une ambiance étrange et excitante envahie l’esprit de Karoline. le jeune homme semble tétanisé et à la fois il a une forme d’assurance physique, ce qui émoustille encore plus Karoline, ces seins commence à trahir son excitation, car on aperçoit les tetons pointer à travers la dentelle de sous soutien-gorge. Fabrice le remarque et ne peut s’empêcher de regarder cette poitrine si belle et provoque une réaction rapide à travers son pantalon de costume, il se concentre pour que cela disparaisse mais trop tard l’érection est là et visiblement très forte. De son côté Karoline a bien remarqué cette belle bosse sur le pantalon du jeune homme et faisant semblant de reculer elle fait mine de perdre l’équilibre et pose sa main sur son sexe a travers le jeans, -excusez-moi fabrice, !!! j’ai perdu l’équilibre avec ces nouvelles chaussures -pas grave madame Karoline, ne vous excusez pas, d’ailleurs elles sont très jolies -c’est que le jeune homme est flatteur !!et  qu’il a l’air bien pourvu ce Fabrice se dit elle ) Ces quelques mots font rougir de plus belle fabrice qui en plus de son érection, voit son visage devenir chaud et bien rouge. Sauvé grâce à l’ouverture de la porte, fabrice sort rapidement afin de penser à autre chose. -suivez-moi fabrice, je vous présente -ici dans ce bureau c’est le service immobilier … La présentation permet à fabrice de reprendre ces esprits et ainsi faire retomber son érection. Karoline quant à elle, poursuit son chemin et indique à fabrice que pour un coté plus pratique, il sera installé dans le même bureau qu’elle ... Fabrice sur le coup fut un peu surpris mais cela ne lui déplait pas non plus et la 1ere journée se passe normalement même si dans la tête de Karoline, elle avait trouvé là un objet sexuel dont elle allait profiter au plus vite.       Le soir venu Fabrice rentrait chez lui et n’avait qu’une idée en tête, regarder une vidéo pour se masturber tellement l’envie du matin n’avait jamais quitter son esprit Je vais lui bouffer la chatte à cette Karoline se disait-il !!! Elle m’excite trop !!! Rien que d’y penser, son sexe se dressa rapidement et il n’en fallut pas plus fabrice de mit nu dans son canapé une main sur ces testicules et l’autre sur le sexe et commença une masturbation, ses mains malaxait ses couilles et il se branlait en imaginant Karoline devant lui nue qui le regardait dans les yeux en lui disant Branle-toi pour moi salaud, montre-moi comment tu jouis !!! Son esprit était rempli du visage et du corps de Karoline et rapidement sa masturbation s’accélérait et se mit  à gémir puis  un râle de plaisir , ce qui provoquaune belle ejaculation et un beau  jet bien visqueux sorti de sa queue. Il éjacula plusieurs fois, ce qui le rempli de satisfaction et de frustration a la fois  ,mais a quand une vraie partenaire ... ?   La nuit fut reposante et fabrice était rapidement prêt pour retourner à son stagele lendemain , en arrivant il fut déçu, pas de Karoline, au bureau, du coup il se replongea dans les dossiers qu’il devait analyser et présenter à Karoline.   Vers 15h00 Karoline entrait dans le bureau -bonjour fabrice, vous allez bien ? Fabrice leva les yeux et son regard fut figée ! -oui très bien Karoline et je… Fabrice n’eut pas le temps de finir sa phrase -ce soir j’ai besoin de vous pour analyser un dossier, ça ne vous gêne pas de rester un peu plus tard ? Euh !! non Karoline, pas de souci ! Je n’ai pas d’obligation vous savez !! -parfait !! je file en réunion et on se voit après . Karoline était repartie du bureau aussi vite qu’elle était arrivée Fabrice avait cependant pu voir sa tenue, elle était vêtue d’un robe portefeuille rouge qui malgré le peu de temps qu’elle fut dans le bureau, il réussit à voir ces bas ! (dont bien sur Karoline a volontairement ouverte sa robe pour qu’il puisse voir, mais ça il ne le saura que bien plus tard) Un petit chemisier noir bien déboutonnée laissait apparaitre un décolletée des plus sensuelle L’attente de fabrice fut longue, et vers 19h30, ne voyant personne arriver et les bureaux se vidés, se décida à partir … Arrivé devant l’ascenseur, il appuya sur le bouton quand la porte s’ouvrit -oh fabrice, je vous ai oublié, vous partez vraiment ? Je ne vous voyais pas arrivée donc j’ai pensé ... -oui desolé ! allez suivez-moi  , je vous paye un verre dans mon bureau et on s’y met, ça prendra 1h ou 2 pas plus N’attendant pas de réponse de Fabrice, Karoline avança d’un pas décidé vers son bureau et en ouvrant la porte se retourna : Venez fabrice !! (et avec une voix toute douce : svp fabrice Une fois assis dans le petit salon du bureau, Karoline assise en face de Fabrice croisait et décroisait ses jambes de manière volontairement provoquante. -Dites-moi Fabrice, parlez-moi de vous ! -que ... que voulez-vous savoir ? il  était désorienté, paniqué, il voulait parler mais ces yeux fixait les jambes de Karoline et le troublait -vous avez une petite amie fabrice ? -non, madame ! -ah, comment un beau garçon comme vous est célibataire ? Euh…. Vous savez je me suis concentré sur mes études Karoline s’approcha de lui et mis un doigt sur sa bouche et d’un ton doux et ferme a la fois ! -tu es pas puceau mais presque toi je pense , je vais m’occuper de ton éducation !!!si tu veux biensur ? -mais madame !! -tu veux ou pas ??répondit Karoline d’un ton plus ferme !! -Oui je veux bien ! réussi à dire Fabriced’une voix incertaine … -écoute moi attentivement, je vais faire de toi un amant docile et disponible de grande classe afin de venir une Appolon sexuelle !!! D’accord madame ! mais que dois-je f… -enlève-moi ton pantalon fabrice dit Karoline d’un ton autoritaire !!! Fabrice était excité, paniqué et ne sachant pas si elle blaguait ou pas -tu attends quoi pour m’obéir !! Fabrice fit glisser son pantalon de costume le long de ses jambes, il mit instinctivement ses mains pour cacher son érection qui faisait gonfler son caleçon -je vois que je te fais de l’effet dit elle !!!! -enlève tes mains ! Fabrice s’exécuta avec febrilité et docilité, laissa apparaitre un sexe bien dur à travers son caleçon, Karoline le fixa et lui dit avec un sourire malicieux : -tu bandes comme un âne mon bébé , tu as l’air d’aimer ce qui se passe ,  on dirait !!! Fabrice rougit, mais aucun mot ne put sortir sa bouche. Karoline s’approcha de fabrice et se posa devant lui écarta les jambes de fabrice et se mit debout près de lui : -regarde-moi !! Elle commença à défaire son chemisier, bouton après bouton lentement, fabrice était comme un statut de cire, fixé sur les yeux de Karoline, mais son sexe était gonflé à tel point qu’il pensa un instant qu’il allait éjaculer comme ça ! Karoline pris la tête de fabrice pour la plonger dans son décolletée !! -tu aimes mes seins fabrices ?? -oui oui madame !! Lèche-moi les tetons avec ta langue et ne t’arrête pas tant que je ne te le dis pas d’arrêter !! Fabrice sorti les seins du soutien-gorge avec douceur et excitation et se mit à les lécher, sucer , tel un veau qui tète sa mère … Il allait du sein droit au gauche sans pause, il gémissait aussi tellement son excitation lui faisait mal !!! Après un long moment Karoline sans ménagement le repoussa !! -Allez rhabille toi il est tard !! Fabrice ne compris pas ce qu’il se passait lui demanda : -j’ai …j’ai fait quelque chose de mal ? -non mais je dois partir, demain tu viens plus tôt et tu allumes ton ordi, je vais t’envoyer des instructions à suivre à la lettre. -compris bébé ? -oui madame !! -allez filer chez toi, et fabrice, interdiction à toi de te masturber et faire jouir tant que je ne l’ai pas décidé !!!!ok fabrice ? -oui madame !!!! -désormais ça sera « OUI maitresse quand on est seule ensemble » -oui maitresse !!!!!!! Refermant son chemisier, Karoline s’approcha de lui fit un doux baiser sur les lèvres en posant sa main sur sa queue en serrant assez fort Fabrice ne put retenir un petit gémissement de plaisir  !!-je vais t’apprendre à être un étalon du sexe !!   A demain mon bébé  dit d’une voix douce Karoline en quittant le bureau…     Fabrice était rentré chez lui avec la queue en erection  tellement l’excitation de ce moment passé avec Karoline était intense .la soirée fut longue et son érection ne retomba que tard dans la nuit. Au réveil fabrice était déjà surexcité, a l’idée de lire les instructions de sa maitresse. Mais déjà son portable sonnait :sms de Karoline -mon bébé !! j’ai oublié de te dire hier soir «  pas de caleçon sous ton costume » -oui maitresse répondit Fabrice par sms   Karoline de son côté n’avait pas résisté en rentrant chez elle a se caresser sous la douche, Et commençait à réfléchir sur ce qu’elle exigerait de fabrice le lendemain ... Après un repas des plus rapide, elle fila se coucher à côté de son mari Eric. Il sentit la main de Karoline qui se posa sur son sexe et commençait à le masturber, Voulant se retourner elle le repoussa et accéléra sa masturbation, son mari la laissa faire et Après 10 minutes de caresses, il finit par jouir dans les mains de Karoline qui lui sourit, l’embrassa. -bonne nuit chéri   6h00, Karoline est déjà debout, bol de café à la main en nuisette transparente, (qui laisse bien apparaitre sa poitrine qui pointe), file sur son ordi portable, très concentrée et avec le sourire en coin, elle prépare ses instructions … » clic (envoyé). Fabrice arrive comme prévu assez tôt vers 7h30 au bureau, seul un responsable marketing est la qui d’ailleurs lui fait remarquer : -bien matinale fabrice !! -oui monsieur, j’ai des dossiers à préparer pour Karoline, qu’ elle doit les rendre cet après-midi,et  elle m’a demandé de tout vérifier une dernière fois ! Fabrice trouva la première excuse qui lui passait par la tête, et  son collègue a cru à cette histoire : -bon courage alors et n’oubliez rien car Karoline est assez exigeante sur la qualité des dossiers qu’elle présente !   Fabrice alluma son ordi fébrilement et avec une pointe d’excitation aussi : Bonjour fabrice, je vais arriver à 9h30 au bureau, à 9h15 tu vas t’installer sous mon bureau qui tu pourras le voir est fermé en dessous donc personne ne te verra ! Je serais accompagnée d’une cliente avec qui j’ai rdv, elle ne doit absolument ni  t’entendre ni bouger ou quoi que ce soit !!! Quand je vais m’installer à mon bureau, voilà ce que tu devras faire Pour commencer, m’enlever mes talons délicatement, me faire un massage des pieds avec tes mains et me caresser avec ta bouche les pieds. Ensuite, dès que je vais écarter les jambes ça sera le moment de remonté le long de mes jambes en me caressant avec ta langue jusqu’à mon sexe, tu n’utiliseras jamais tes doigts mais uniquement ta langue et je jeux que tu me lèches tant que m’a cliente sera la …   Karoline positionnée dans son dressing commence à s’habillée en prenant soin de bien choisir sa tenue, toujours en nuisette, son mari rentre dans la pièce sortant de la douche encore humide, et s’approchant de Karoline qui était dos a lui : -dis donc hier soir tu étais excitée  j’ai l’impression !!!   dis Eric -un peu oui dit-elle avec un petit sourire et se retournant -je vois que tu es en forme ce matin Eric s’approcha de Karoline, la plaquant contre l’armoire et écartant ces jambes : A mon tour ma chérie !!! Il frotta son sexe déjà raide sur les fesses de Karoline et la pénétra lentement mais sans difficulté, Karoline était déjà bien humide à préparer son email pour fabrice. -je vois que tu es bien humide ma petite salope ,il  rentra sa queue sans ménagement dans le sexe de Karoline, qui commençai à lâcher quelques petits cris de plaisir -tu aimes ça que je te baise comme ça chérie, humm -tu m’as trop excité hier soir, à mon tour de te faire jouir !!!!écartes bien tes cuisses !!! Eric faisait des mouvements du bassin assez fort qui provoquait un gémissement à chaque coup de rein et accélérant la cadence, il sentit Karoline ondule de tout son corps, la jouissance était proche : -humm oui mon chéri ne t’arrête pas humm oui baise moi !! ouii -Karoline poussa un cri de plaisir sur les derniers coups de reins de son mari et se mit à vibrer par la jouissance. -avec un sourire aux lèvres Eric reparti se doucher de nouveau en ne manquant pas de dire à sa femme : -bonne journée chérie 😊       9h15, fabrice qui bandait déjà derrière son bureau, hésita à suivre les instructions, de peur de se faire griller par ces collègues, mais en y réfléchissant, le bureau de Karoline était assez isolé et de l’extérieur, avec une baie vitrée vue sur un parc. Son bureau d’un style assez large laissait la place pour se glisser dessous sans être trop comprimé du a sa taille. Mais l’heure n’était plus à réfléchir, car il entendit la voix de Karoline dans le couloir. Karoline rentre dans le bureau le tel portable collé à l’oreille : -oui faites monter madame dubordant, je viens d’arriver à mon bureau ! Fabrice était, comme prévu à genoux sous le bureau, il était en pantalon de costume chemise, il était pétrifié de la situation et pourtant son sexe raide le trahissait du plaisir qu’il ressentait ! -fabrice, tu as intérêt à pas faire de bruit !! -non maitresse !! -bonjour madame dubordant, installez-vous !! Les deux femmes commençaient à discuter.  Fabrice commença par enlever les chaussures à talons noires de sa maitresse, chaussures de grande marque avec des semelles rouge, ensuite avec ces mains commença à masser délicatement les pieds, ce que ne savait pas Karoline, c’est que fabrice était le fils d’un kiné et qu’il avait appris à prodiguer des massages des plus relaxant et connaissait les points de sensibilité de la voute plantaire. Karoline ne s’attendait pas à cette nouvelle sensation et fut agréablement surpris du bien-être et de la maitrise de son soumis. Fabrice profitait aussi de la situation et savait qu’en appuyant à certain endroit du pied, cela pouvait engendrer une montée de plaisir, Karoline se mordillait la lèvre pour ne pas gémir. Fabrice suivait à la lettre les instructions, il commença ces caresses non plus avec les mains, mais avec la langue le long des jambes, très vite il atteint le haut des bas, Il sentit Karoline décroisée les jambes et fabrice les yeux grands ouvert constatèrent qu’elle ne portait rien dessous sa jupe, son érection si forte désormais qu’il défait le plus discrètement sa braguette pour faire sortir son membre rouge d’excitation ! Avec douceur et sans un bruit il s’approcha de la toison de Karoline et sorti sa langue pour léchée sa maitresse ! Karoline ferma quelques instants les yeux dès qu’elle sentit les premières caresses Fabrice était aux anges et le gout de ces lèvres étaient divin, il buvait ce nectar sans discontinuer parfois en pénétrant légèrement du bout de sa langue. Karoline compris très vite que fabrice était plutôt doué malgré son peu expérience sexuelle, elle mouillait bcp, et plus il la léchait plus le plaisir montait en elle Il fallait qu’elle represse les reines sinon, elle ne pourrait plus contrôler la situation et par chance son tel fixe sonna et en profita pour recroiser les jambes et ainsi fabrice du reculé et attendre dans une position qui devenait très inconfortable du a sa grande taille. -oui faites monter le directeur, je suis actuellement avec madame dubordant ! Fabrice écoutait attentivement les mots que venaient de prononcer Karoline -je suis là sous le bureau alors que le directeur vient voir ma cheffe se dit fabrice !!!! -mais s’il demande ou je suis ? pensa t’il !! Figée et à genoux il s’efforça à ne pas bouger -entrez Alain, je vous présente madame dubordant qui va nous confier son projet à Dubaï. Après quelques banalités, Karoline suivi de son patron et la cliente allaient t sortir du bureau : -votre stagiaire n’est pas la aujourd’hui Karoline ? -si si mais je l’ai envoyé chercher un colis au service postaux a l’étage -ok prenez soin de lui, c’est le fis d’un de mes amis !! -oui bien sur Alain ! Fabrice profita du départ de tout ce petit monde pour sortir enfin et pris rapidement le temps de refermer son costume remettre sa queue qui avait un peu dégonflé à l’intérieur de son pantalon. il reprit sa place à son bureau, et essaya de se concentrer sur ces dossiers mais sans vraiment y arriver. Karoline revint une demi-heure plus tard, et a peine rentrée, ferma à clé et se dirigeant vers fabrice : -tu ne diras rien de ce qui se passe ici à ton père sinon je suis grillée !! Bien sûr maitresse ! mais il faudra aussi être gentil avec moi !! -comment ça ? -et bien je suis peut-être novice en sexe mais je sais profiter des opportunités !! -que veux-tu dire ?? ronchonna Karoline -tu vas m’apprendre à être un étalon comme tu me l’as dit mais en plus tu vas me trouver des femmes comme toi qui me payerons pour les baisers !!! -mais…. Je … on verra !! -non on signe un pacte, tu m’apprends à être un étalon du sexe et je suis à toi le temps de la formation sexuelle après tu me trouves des femmes à baiser, sinon. -sinon quoi ? J’en parle à mon parrain !! Karoline se mit à rire sur ces mots -je m’en fou de ton parrain -pas certain !! Pourquoi ? C’est Alain mon parrain ! Karoline resta bouche bée et retourna à son bureau, furieuse et mêlée d’excitation d’avoir le plaisir de former à son gout un jeune puceau -ok !!je signe où ? dit-elle - je prépare le contrat pour cette après-midi Karoline -ok mais ça ne change rien, c’est maitresse quand on est tous les 2   Karoline vexé n’adressa plus la parole a fabrice de la journée et replongea dans ces dossiers sans interruption jusqu’à 18h00, l’heure à laquelle partait en général fabrice !! -tu es encore la finit par lancer Karoline -oui j.… maitresse, répondit fabrice -je vous le dépose ici Karoline ! -déposé quoi ? -le contrat !! dit-il avec un petit rictus de provocation -ok je le lis ce soir et dès que je rentre de mon séminaire qui débute demain pour une semaine on en reparle Karoline attendit que fabrice parte pour prendre le contrat Après une lecture bien attentive, Karoline compris très vite que le jeune homme désirait apprendre à faire l’amour et procurer du plaisir à ces partenaires féminines, ce qui réjouissait Karoline. Quelques jours plus tard, Karoline vêtu d’une simple petite robe courte orange faisant apparaitre ces jolies jambes montées sur des talons qui faisait bien ressortir ses fesses et mollets revenait de son séminaire, et en rentrant s’approcha de fabrice et lui fit la bise ! -ça va fabrice ? -oui impeccable et toi ? -oui super bien, et puis dit-elle en fermant la porte, j’ai lu ton contrat, ça me va bien Si tu respectes tout ce que tu as écris, ça sera parfait pour moi -je respecterais le contrat Karoline affirma fabrice -ok, on déjeune ensemble ce midi ? demanda Karoline -oui avec plaisir maitresse !! dit-il en souriant Un sourire aussi était sur le visage de Karoline, qui se mit à son bureau décrocha son tel : -oui bonjour madame, je voudrais une réservation pour 2 personnes dans le petit salon si c’était possible … merci ,  a tou t a l’heure vers 12h30 -fabrice, on prendra ma voiture, vers 12h, c’est moi qui t’invite !! -d’accord maitresse L’atmosphère était des plus léger entre eux, et à 12h00 comme prévu il partait déjeuner. Une fois en voiture Karoline, assise et faisant volontairement remonter sa robe orange et regardant fabrice lui dit : -sort ta queue de ton pantalon et montre-moi comment tu es excité  ou pas encore !! Electrochoc, pour fabrice surpris, mais décidé à respecter le contrat, défait sa braguette et sorti sa queue molle mais qui rapidement se dressa comme un serpent pour impressionner sa proie !! Laisse-moi te caresser fabrice !! ordonna Karoline Elle prit sa queue et commença à le branler, fabrice avachit dans le siège et les yeux fermés essayait de se concentrer pour ne pas éjaculer trop vite mais Karoline le savait très bien, et accélérait volontairement sa masturbation !! -arrêtez maitresse !! je   … je vais … je …. Ahhhhhhhhh Fabrice ne put se retenir de jouir et un jet bien fournit et chaud sorti de sa queue pour finir sur la boite a gant devant lui, Karoline continua encore afin de faire sortir les dernières goutes de ce nectar perdu !!! -tu as des choses à apprendre pour ne pas jouir aussi vite !!allez essuies toi on file déjeuner maintenant !!   Arrivée 30 minutes plus tard au restaurant, fabrice avait repris ces esprits, et ils s’installaient l’un a coté de l’autre dans ce petit salon privatif . -servez nous 2 coupes de champagne et on prendra le menu découverte des saveurs du moment !! --tu as l’air de bien connaitre cette endroit Karoline ? -oui j’y ai mes habitudes !!et puis on est tranquille lui dit-elle en prenant sa main et la posant sur sa cuisse !! -mais on peut nous voir !! -fais ce que je te dis pour le moment !! Caresse-moi doucement avec tes doigts, tu m’as excitée à te voir jouir comme ça et si vite !! Bien sûr Karoline avait pris 5 min avant de partir de retirer son string pour être plus à l’aise -humm, oui fabrice comme ça !! doucement !!ouiii plus vite !!! -ça m’excite maitresse, j’ai envie de glisser sous la table pour te lécher !! -patience fabrice !!continue à me caresser !!ahhh hummmm Karoline ondule sur sa banquette ! -continue !!humm mm !! Soudain la porte du salon s’ouvre et la serveuse entre pour servir les coupes de champagne, fabrice retire sa main mais Karoline l’en empêche !! -tu ne bouges pas ta main lui ordonne Karoline en lui parlant dans l’oreille ! La serveuse pose les 2 coupes et son regard se pose quelques instants sur fabrice et Karoline, puis : -bonne dégustation avec un sourire malicieux !! La serveuse a peine partie, Karoline s’approche de fabrice et l’embrasse, les langues s’entremêles, Karoline prend les choses en main, prend l’autre main de fabrice pour la poser sur ces seins !! -continue à me caresser fabrice murmure Karoline !!j’adore !!fais-moi jouir avant qu’on mange !! -oui Karoline !! -hummm continue !!! Karoline, les jambes écartées, la tête en arrière, yeux fermés, est à la merci des doigts de fabrice !! Un doigt, puis 2 hummm ahh ouiiiiii fabrice ouiiiiiii vas-y ! ça vient continue salaud, tu vas me faire jouir !!!! Le moment est intense, Karoline ferme les yeux et dans un râle de plaisir jouis ainsi au grand plaisir de fabrice qui comprends à cet instant l’importance des caresses, ils retirent ces doigts, lèche ce nectar et bois une gorgé d champagne, sous le regard ravi de Karoline, chacun d’eux avait compris que le début d’une relation sexuelle allait les emmener vers des plaisirs divins.   Les semaines passaient et la formation de l’étalon avançait à grand pas, fabrice était capable désormais de gérer son excitation, récupérait très vite, et pouvait jouir 2 voire 3 fois en une heure, pour le plus grand plaisir de Karoline, mais toujours pas de pénétration, Karoline lui interdisait toute relation sexuelle, en dehors de leur rencontre. Très souvent elle le faisait venir aux toilettes lui baissait le pantalon et le masturbait ainsi pour voir combien de temps il résistait, et tant qu’il ne pouvait pas résister plus de 15 min a une masturbation intense, il ne pourrait pas la baiser, alors fabrice s’entrainait chez lui seul à contrôler sa jouissance. Parfois aussi Karoline lui donnait rdv dans un petit terrain privé pour pratiquer avec lui de long 69 jusqu’à la jouissance. Chaque fois était différente mais avec beaucoup de plaisir et s’excitation Le stage de fabrice se terminait dans 2 semaines, et toujours pas fait l’amour avec Karoline, fabrice commençait à s’impatienter, et Karoline l’avait remarqué …. Ce matin-là, fabrice reçu un sms différant de ceux habituel : -prévois des affaires pour 3 jours, on part cet après-midi à Deauville voire un client Fabrice était réjoui de ce sms et répondit très vite : -ok je prépare mes affaires et j’arrive Karoline était déjà arrivée quand fabrice rentra dans le bureau : -bonjour Karoline ! -bonjour fabrice, approche-toi !! Il avait l’habitude qu’elle vérifiait s’il ne s’était pas masturber la veille en défaisant sa braguette et elle le suçait juste pour vérifier que son gland ne sentait pas le sperme, et bien sûr il bandait rapidement, a peine avait-elle poser sa main sur sa queue que l’érection était présente. -j’adore ta queue mon pti fabrice !!on devrait bien s’amuser ces 3 jours et je t’ai réservé une surprise. Sur la route qui même à Deauville, fabrice conduit à la demande de Karoline, car elle se sentait fatiguée, avec sa robe courte a fleur, fabrice avait du mal à se concentrer et parfois il posait sa main sur la cuisse de Karoline, mais Karoline le stoppait : -conduis, concentre-toi et laisse-moi me caresser devant toi pendant que tu conduis, et fais-moi plaisir sort ta queue, je veux voir l’effet que j’ai sur toi quand je me caresse !! Fabrice ne perdit pas de temps et sa braguette rapidement défait, sa queue était à la vue de Karoline. -mais tu bandes déjà mon salaud !! Karoline la tête posée sur le dossier du siège se caressait lentement et fabrice conduisait du mieux qu’il pouvait mais il était excité de voir Karoline gémir sans retenue dans la voiture : -hummm !! que c’est bon fabrice !! ahhh je mouille comme une belle salope, donne-moi tes doigts !! Prenant la main droite de fabrice, elle le guide, pour lui faire gouter son nectar -mets tes doigts dans ta bouche !!!!goute mon nectar fabrice Fabrice adorait lécher Karoline donc il connaissait ce gout si doux et savoureux !! Et sa queue ne faisait que gonflé et durcir comme du bois !!mais Karoline avait décidé que ces 3 jours seraient l’aboutissement de son éducation sexuelle et elle devait voir sa résistance. Elle prit la queue de fabrice dans sa main et le branla doucement au départ pour voir sa réaction : -Je t’interdit de jouir !!! -Oui maitresse Les yeux sur la route, fabrice ne disait rien mais quelque râle sortait de temps en temps sur les accélérations de la masturbation de Karoline. Malgré tout fabrice tient sur la durer même si parfois il sent qu’il est au bord de la jouissance Karoline est fière de lui !! -tu es fin prêt mon pit fabrice pour ce soir !!lui dit elle en remettant sa bite dans le pantalon !   Arrivée à l’hôtel, chacun prend sa clé de chambre et monte se changer : -rdv à 20h30 à l’accueil fabrice, on a rdv à 21h00 -ah ok, je croyais que l’on voyait le client demain répondit surpris fabrice ! -changement de programme ! -ok Karoline a tout à l’heure 20h30 fabrice était déjà dans le salon de l’hôtel à attendre Karoline, quand il l’aperçue sortir de l’ascenseur, Karoline avait une robe en cuir noire moulante, et un haut transparent blanc et on devinait facilement les dessous en dentelles blancs, talon noire, maquillée comme jamais : -on y va fabrice !!? Euhhhh oui Karoline, tu es superbe !! -ravie que ça te plaise !! c’est moi qui conduis ce soir si ça ne te gêne pas ! - non Karoline ! Karoline restait silencieuse durant tout le trajet, ce qui perturbait fabrice, elle était si bavarde d’habitude. Après 15 min de route, Karoline se stationnais dans un pti square d’un pti village pas loin de Deauville ! -on fait quoi ici Karoline !!!?? -fais-moi confiance fabrice !! Fabrice suivait Karoline en reluquant ces fesses si bien galbées avec les hauts talons qu’elle portait. Karoline s’approcha d’une maison et sonna à la porte -coucou marie !! La porte s’ouvrit et les yeux de fabrice semblait sortir de ces orbites, une femme vêtue d’une simple nuisette totalement transparente était la devant lui ! -toujours aussi a l’aise chez toi à ce que je vois marie !! -bien sûr Karoline !! et là j’ai fait un effort, d’habitude je suis toujours nue chez moi -je te présente fabrice, le stagiaire dont je te parle régulièrement -bonjour madame !!dit fabrice en tendant sa main -pas madame !! mais marie et on se fait la bise !! Marie fit une bise bien forte sur la joue de fabrice -allez entrer mes amis !! Marie referma la porte et suivait fabrice et Karoline vers le salon -champagne ? -avec plaisir répondit Karoline !! c’est fête ce soir !! -et toi champagne aussi j’espère fabrice ? demanda marie -oui bien sûr marie ! La nuisette de marie attirait le regard de fabrice qui commença à bander à la vue de ces seins qui pointaient sous la nuisette, Karoline qui ne ratait rien du spectacle souriait -dis donc fabrice tu as l’air d’aimer la tenue de mon amie on dirait !!! -euh ...oui Karoline !! -alors montre lui comment tu es contente de la voir !!!ordonna Karoline -comment ça ? demanda fabrice surpris -défais ton pantalon t sors ta queue !!! -mais…  -sors ta queue, montre à marie ta bite !! Marie assise jambe écarté sur le fauteuil face à fabrice avait ces mains posées sur son sexe et commençait à doucement se caresser pendant que fabrice se relevait et baissait son pantalon et caleçon pour sortir sa queue bien raide et rasé de près depuis que Karoline lui avait dit qu’elle n’aimait pas les poils sur les testicules et autour du sexe ! son sexe était bien raide et Karoline s’approcha de fabrice et lui dit : -allonge toi sur le canapé !! Fabrice s’exécuta pendant que marie en profiter pour se lever et chevauchant fabrice au niveau du visage : -il parait que tu es doué en caresse, montre-moi cela fabrice ! dit-elle en approchait sa toison de la bouche de fabrice qui avait déjà sortie sa langue prête à accueillir le sexe de marie déjà humide ! Karoline de son coté avait retirer sa jupe et chemise et s’approchant de fabrice, elle commença à ouvrir la chemise de fabrice et lui faire des baisers sur les tetons, sur le torse, avec ces mains elle continue de titiller ces tetons tout en descendant sur le nombril !! Fabrice gémissait de plaisir et continuait de léchée marie qui émettait des ptis cris de plaisir a chaque coup de langue !! -humm, tu as raison ma Karoline, il est doué ton stage... ohh humm oui...stagiaire !!hummm continue fabrice hummm Quant à Karoline elle prit en bouche fabrice qui secoua le bassin tellement le plaisir montait !! Karoline commença sa fellation par de légère caresse sur le gland ... ensuite elle prit plaisir à prendre ces testicules dans ces mains tout en caressant le gland !! Fabrice était en état second avec ces deux femmes, Karoline décidait de passer à la vitesse supérieure en prodiguant sur la queue de fabrice une fellation bien humide et rapide qui faisait monter la sève et elle sentait qu’il était proche du a l’excitation du moment, proche de jouir et d’un ton malicieux : -tu me laisse ta place marie !! -bien sûr ma Karoline, dit marie en se relevant et embrassant sur les lèvres Karoline et s’enlaçaient sous les yeux de fabrice, prenant place sur le visage de fabrice Karoline donna ces ordres : -fais moi jouir avec ta langue mon pti chéri !! De son coté marie se mis à califourchon et s’empala sur le sexe raide de fabrice qui cria de plaisir Ahhhhhhhhhh !!! hummmmmmmmmmm -tu aimes ma surprise fabrice ??murmura Karoline -humm oh oui humm merci maitresse, ahhhh ohhh Il arrivait plus à parler entre le sexe humide de Karoline à lécher et marie qui faisait des vas et vient sur sa bite le plaisir était totale. Après un moment dans cette position, Karoline se releva elle mit ces mains sur le bord du canapé les fesses prête à accueillir fabrice, allez marie, laisse-moi voir de quoi est capable notre étalon : -je te confirme que sa queue est bonne, humm ouiii !!! dit marie en se relevant à son tour, pendant que fabrice se mit debout et se mettant derrière Karoline commença à la baiser en levrette, il entra sans difficulté dans la chatte de Karoline bien lubrifié avec ces caresses Et commençait avec vigueur ces coups de reins, sa queue raide et rouge gorgé de sang faisait effet sur Karoline qui yeux fermés faisait à son tour des ptis cris de plaisir. Marie était venue face à Karoline et commençait à l’embrasser et pincé a laide de ces mains les tetons bien dures et qui accentua les gémissements de celle-ci qui semblait être proche de la jouissance.   La scène mettait fabrice dans tous ces états et devenait de plus en plus rapide dans ces coups de reins. Karoline ordonna à fabrice de continuer sans arrêter car elle allait jouir : -oui vas-y , baise-moi !!!!! oui continue ……ahhhhhhhh je jouis fabrice !!  ouiiiii ahhhhhhhhhhhh !!!!!Karoline était sans voix et se laissa tomber sur le canapé, fabrice avait le visage radieux de voir Karoline comme ça et sa queue bien raide toujours et encore était prête pour baiser à son tour : - viens me baiser bel étalon cria marie jambes écarté assise sur le fauteuil !!! Fabrice la queue entre les mains s’approcha et comme Karoline il la pénétra sans souci humide voir plus que Karoline !!!!! Fabrice était devenu un vrai étalon, résistant doué, bien monté et ces coups de reins faisait mouche sur marie aussi, il faisait des vas et vient tel un taureau et marie avec les yeux mi-clos et était excitée comme jamais à lui parler avec un mélange d’excitation, et de jouissance -vas y baise moi comme une belle salope !! vas y mets moi ta queue bien a fond dans m.… oh ouiiiii vas y continue Karoline avait un peu repris ces esprits et s’approcha de fabrice et lui saisi les testicules et elle les serras dans sa main !! -vas-y baise mon amie et je veux voir quand tu jouis -ces mots avaient galvanisé fabrice qui accélérait la cadence et marie à son tour cria en atteignant l’orgasme, fabrice lui aussi était très proche d’éjaculer et a peine retirer de la chatte de marie, Karoline lâcha les couilles et pris la queue de fabrice pour le branlé avec une cadence tel que D’un coup fabrice se mit à gémir et un énorme premier jet sorti de son gland pour finit sur l’entre jambe de marie face a lui, d’autres jets suivirent sous les caresses de Karoline !!! Fabrice allongé sur le canapé venait de concrétiser ces quelques mois ou frustré il n’avait pas eu cet énorme plaisir de jouissance.     Les 3 étaient extenué mais heureux, sourire aux lèvres, ils se regardaient complices du plaisir qu’ils venaient de partager … Avec ces quelque mois fabrice avait appris toutes les subtilités du plaisir, du partage, des caresses. Karoline s’approcha de lui pour l’embrasser langoureusement suivi de marie et leurs mains caressaient de nouveau le sexe de fabrice qui très vite recommença à se dresser, toujours prêt C’était bien la fin de sa formation, le stagiaire est devenu étalon et la soirée continua dans le lit de marie ……        
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Par : le 03/09/13
Après une belle soirée riche en échanges de toutes sortes, préalable impératif de tous N/nos moments physiques en commun, ceci autour d’une bonne table que j’ai méticuleusement préparée en l’honneur de Sa venue dans mon humble demeure, mon Maître me donne l'Ordre de me préparer en vue de N/notre séance... Je m'exécute, et prends un bain, me rase soigneusement... Je sais que mon Maître va procéder à une inspection minutieuse, et gare aux poils qui pourraient être restés... Je sors de mon bain, me sèche, passe du lait parfumé sur mon corps... Mes idées vagabondent... Bien que je connaisse parfaitement tous « les Amis » dont mon Maître se sert, je ne sais jamais comment se déroulera la séance... Il a le Don de toujours me surprendre... Je me coiffe soigneusement, me maquille telle qu'Il l'aime, refais mon vernis, qui se doit d'être toujours rouge et parfait sur les ongles des pieds et des mains... Je lisse ensuite une paire de bas résilles sur mes jambes, et enfile mes escarpins noirs... J'avais Ordre de me présenter ainsi devant Lui... mais j’ai aussi besoin de Le représenter du mieux possible, j’aime cela… Je reviens aux pieds de mon Maître, m'y prosterne humblement comme j’aime à le faire pour N/notre plaisir et N/notre façon d’être... Il me demande de me relever, et me dit de Sa voix grave et autoritaire : « Préparation pour Présentation et Inspection, Ma chienne... ! » Des frissons me parcourent l'échine... Je recule de quelques pas, me positionne jambes écartées, regardant droit devant moi, mains derrière la tête, immobile... J'aperçois furtivement « tous les accessoires » de mon Maître méticuleusement placés sur la table du salon, parfaitement alignés...peut être dans l’ordre dans lequel ils seront utilisés… mes pensées foisonnent en cascade… Confortablement installé dans le canapé, mon Maître allume une cigarette, en finissant de déguster Son Malt, tout en admirant de son oeil inquisiteur Sa propriété... « Tournes-toi.. » Je m'empresse de m'exécuter avec élégance et féminité comme Il lui plait à l’exiger, mains toujours derrière la tête... « Penches-toi en avant, et ouvres-moi ton beau cul... » L'Ordre est exécuté, mes mains sur chaque lobe de mes fesses ouvrant largement mes orifices... Il peut s'apercevoir que mon entrecuisse est déjà dégoulinante... J'aime me retrouver ainsi devant Lui, sans pudeur aucune, offerte, ouverte... Il se lève, je Le sens et Le respire, Il tourne autour de moi, tout en palpant, caressant tantôt doucement, tantôt fermement, soit mon cul ouvert, soit mes mamelles pendantes dans cette position, soit ma chatte coulante, soit mon ventre... Il se saisit de mon rosebud, et me le place en bouche pour l’humidifier baveusement afin qu’il puisse, me dit-Il, se glisser aisément quand Il l’enfournera dans mon fondement... C’est chose faite… avec délicatesse et attentions constantes et je sens qu’Il prend plaisir à me l’introduire ainsi prouvant que tout de moi est à Lui… Il me relève doucement, retourne s'asseoir, m'ordonne de me positionner à Ses pieds, tête respectueusement posée sur Ses genoux afin de mettre et refermer le cadenas de mon Collier autour de mon cou, gardant la clé, Tel le Gardien du Temple... Il y accroche la laisse, et me promène, remuant de la croupe ainsi dans le salon... Puis Il me fait sortir, toujours à quatre pattes, dans le jardin, et m’ordonne de me déverser là tout de suite, telle une bonne chienne... Passées les premières secondes d'humiliation que je ressens au plus profond de mon être, Il me donne Son accord pour commencer à couler, car Il avait refusé toutes demandes préalables dans la soirée pour uriner, me forçant ainsi à en avoir vraiment envie le moment venu… Et c’est à quatre pattes que je me vide en quantité, sous l'œil satisfait de mon Maître, telle une chienne, Sa chienne... Mon ventre bouillonne... Dans la douceur de la nuit, Il me fait me relever, s'approche de moi, me bande les yeux, et me pare d'un magnifique corset noir, qu’Il serre de toutes Ses forces… du coup, j’ai le souffle court, mais je crois surtout qu’une certaine appréhension m’envahit… Il positionne ensuite mes bracelets de cheville, qu'Il fixe sur la barre d'écartement que j'ai fabriquée sur Ses ordres, puis attache mes poignets à la monture de la tonnelle... Je sens Ses mains sur ma croupe et sur mes mamelles dont Il raffole comme Il aime à le rappeler, qui se tendent à la rencontre de Ses mains... et là, à ma grande surprise, Il me dit que la séance ne commencera qu’après une petite punition, en suspend depuis le début de la matinée... Et d’un coup, je ressens une première morsure sur ma fesse gauche, dont la douleur m'est inconnue... Qu'utilise-t-Il ? Je compte les coups, sans omettre de L'en remercier... Dix coups me seront ainsi assénés, tout autant sur ma croupe que sur mes cuisses, la douleur est vive et brûlante... Je n'aime pas les punitions... Non pas par rapport à la douleur engendrée, mais du fait de ce qu'elles représentent : un manquement de ma part... Une insatisfaction de mon Maître... Depuis le 7ème coup, je ne retiens plus mes larmes qui coulent en silence le long de mes joues... Il se place derrière moi, et je sens la fraicheur apaisante de Sa main sur ma croupe... Il me félicite d'avoir fièrement reçu cette punition, utile pour mon Education, et je baise respectueusement Sa main qu'Il me tend... Je lui demande humblement ce qui a été utilisé pour cette punition, et, avec un sourire pervers, il me fait voir Sa ceinture qu'Il remet dans les passants de son pantalon noir... Il me détache, et N/nous rentrons à l'intérieur, prenant le temps de N/nous poser un peu avant de procéder à la séance proprement dite... Il me veut nue, et veut voir mes yeux... Pour la première fois depuis que je suis à Ses pieds, je ne serai pas privée de la vue pendant une séance... Il ôte le corset, puis place un masque noir et blanc sur mon visage... Il me demande de me positionner au centre du salon, jambes écartées, mains derrière la tête... Il s'approche de moi, et positionne une chaine à pinces sur mes tétons érigés qu'Il avait préalablement fortement pincés et étirés auparavant, Son regard sévère et froid, mais rempli d’attention, que j’aime tant dans le mien... Assis dans le canapé, Il m’écarte encore plus les jambes et positionne des pinces d'un cintre à pantalon tordu, afin que mon sexe reste bien ouvert, et une pince en bois, avec un peu de difficulté sur mon clito gonflé et honteusement mouillé... Il se recule dans le fond du canapé en fumant une cigarette, tout en admirant Son oeuvre... Puis, Il se saisit de son flogger, et commence à jouer Sa symphonie qui s'enchaine, sur mon dos, mes épaules, ma croupe, mes reins, mes cuisses... Je dois avouer que la douloureuse caresse du flogger est ma préférée (je suis toujours accueilli par une vingtaine de coups de flogger, à chacune de N/nos rencontres.) Sa mise en action fait naître un souffle profond et chaud, un peu lourd, qui atteint le corps avant les lanières. Puis leurs extrémités viennent frapper la peau, produisant une sensation de picotements rapides et léger qui se ressent en un dixième de seconde... Ces picotements et caresses réveillent chaque centimètre carré de mon corps. Mon Maître a décidé de varier les plaisirs... Après une quinzaine de coups de flogger, (Je ne compte jamais le nombre de coups lors de séance), il prend Sa cravache et caresse cette fois, uniquement ma croupe qui se tend malgré moi, à la recherche de cette caresse... Petits coups rapides qui rougissent et chauffent mes fesses... L'humidité de mon entrecuisse s'intensifie... Il la vérifie constamment en introduisant Ses doigts dans ma partie qui ne demande que ça, d’ailleurs… Il dépose Sa cravache, puis, se place devant moi en allumant deux bougies blanches, dont il laisse couler la cire d'une hauteur de 5/6 cm environ sur mes mamelles et mes tétons toujours pincés... Extase parmi les extases, plaisir des plus voluptueux, surpassant pour moi de très loin absolument tout le reste... Les premières gouttes sont un peu difficiles, j'ai l'impression que de petites épines, très fines, viennent titiller ma poitrine, aussitôt fondantes, formant de petites plaques chaudes. Gouttelettes brûlantes, dès qu'elles se posent sur moi, rafraîchies par l'air ambiant, elles se changent en un doux cataplasme apaisant. Je me cambre, tout en laissant échapper des râles de plaisir, Lui offrant mes seins en toute confiance... Une fois mes mamelles et tétons recouverts, Il approche les bougies de mes lèvres, afin que je les éteigne en soufflant délicatement dessus... Il se recule, admire encore Son oeuvre, avec un sourire pervers et satisfait, et de Sa voix calme et posée, Il m’apaise… puis Il se saisit de Son long fouet en cuir... C'est un serpent au venin puissant… j’ai encore beaucoup de mal à l’apprécier, car je le trouve beaucoup plus cinglant et mordant que les autres... j’ai besoin de faire plus d’effort pour appréhender, accepter et transformer les multiples douleurs qu’il procure. J’adore cependant son claquement et son souffle... ce son très chaud, sec et grave, comme chargé d’électricité qui me grise en quelques secondes alors que mon Maître ne m’a pas encore effleurée. Son souffle est magistral : c’est un serpent qui s’élance sur sa proie et qui siffle autour d’elle pour mieux l’hypnotiser, et l’enlace, jouant avec elle afin de mieux la happer, au moment où elle s’y attend le moins, s'enroulant autour de mon corps... Les multiples sensations proviennent à la fois de la force que mon Maître emploie à appliquer ses touches, et de la façon dont il fait se coucher son fouet sur moi. Suivant la force des coups, et la manière de le faire claquer, cela peut être une morsure franche qui me transperce jusqu’à l’intérieur de mes os, j’ai le sentiment d’être percutée par des billes brûlantes... Je ne peux, pendant la flagellation au fouet, m'empêcher de crier lors de l'impact, ni ne peut retenir mes larmes, malgré l'excitation montante qui est la mienne... Pendant ces flagellations au fouet ou au flogger, mon Maître est venu plusieurs fois apaiser mon corps brulant avec la fraicheur de la caresse de Ses mains, déposant un baiser sur mes lèvres, et s'assurant de Ses doigts de mon excitation grandissante de part l'écoulement entre mes cuisses, m'ordonnant en même temps de respirer plus doucement... Il a ensuite décidé de retirer la cire de mes seins à l'aide d'une petite brosse à ongles... Nouvelle perversité de mon Maître, qui la retire normalement à la cravache ou au flogger... Autre sensation découverte... mes mamelles étaient joliment rosées après ce traitement... Il a retiré d'un coup les pinces de mes tétons, et s'en ai saisi entre les doigts... Quelques cris se sont échappés de mes lèvres tant la douleur est fulgurante lorsque le sang afflue à nouveau... Désirant en Maître Absolu prendre possession de Sa chienne, mon Maître a ensuite exigé que je me positionne à quatre pattes, et après avoir retiré le rosebud qu'Il avait introduit en début de séance, Il a investit sauvagement mon anus, m'ordonnant de réciter la table de multiplication de 2... Waow... exercice tout nouveau pour moi... Qu'il me fut difficile de me concentrer... A la fin de la table de deux, Il s'est retiré, puis a ré-investit mon anus en exigeant cette fois la table de 3... puis celle de 4, et enfin de 5... moi qui trouvait ces tables faciles, et qui ai eu un petit sourire lorsqu'Il a eu cette exigence... je me suis trompée 5 fois en tout... Bien entendu, je dus recommencer du début... Mon excitation et mon plaisir montant, cet exercice, à l'apparence simple fut plus difficile que je ne crus, et mes erreurs allaient être comptabilisés pour une nouvelle punition... Il se retira, et ma bouche Lui servit d'écrin, honorant Son Noble Membre avec un plaisir non dissimulé, de la manière dont Il m'a enseigné, afin de Le satisfaire au mieux... Il m'installa ensuite sur le tabouret du bar, et les yeux dans les yeux, me prit la chatte que j'avais littéralement dégoulinante, avec l'interdiction de jouir... Je dus lui demander plusieurs fois humblement avant que l'autorisation me soit accordée... N/nous avons partagé un orgasme intense et libérateur, les yeux dans les yeux, avant que me soit assénée ma punition des tables de multiplication pour clôturer cette séance : 5 coups de canne anglaise : un sur chaque sein, et 3 sur ma croupe, debout, mains derrière la tête... A la fin de cette punition, j'ai humblement remercié mon Maître, en lui baisant la main, et me positionnant à quatre pattes, je Lui ai humblement demandé un dernier coup de canne anglaise sur ma croupe... très fort... J'ai aujourd'hui encore la marque de ce dernier coup... Mon Maître m'a relevée, remerciée, et à déposer deux baisers dont je connais la signification : l'un sur mon front, l'autre sur mes lèvres... Je Vous remercie humblement mon Maître, de ce merveilleux moment partagé avec Vous, dans la confiance et le respect les plus Absolus..
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Par : le 18/04/20
Juliette m'avait préparée à vivre des évènements importants au cours de ce week-end. J'étais terriblement anxieuse de me retrouver face à un couple de dominateurs chevronnés, qui pratiquaient les rites du sadomasochisme depuis plus d'années que j'en avais moi-même vécu. Une fois encore, ma principale crainte était de ne pas avoir la force et la volonté de me montrer à la hauteur des épreuves sur lesquelles on allait me juger, et à travers moi, ma Maîtresse. En tout état de cause, je devais donner le meilleur de moi-même, et considérer, dans les pires situations auxquelles je serais peut-être confrontée, la chance qui m'était offerte. Lorsque la porte d'entrée se referma sur moi, ma déception fut vive. Mes yeux s'équarquillèrent et je passai en revue l'espace des pièces où l'on me conduisait sans y déceler la moindre trace de matériel, d'accessoires, ni même l'ombre d'une ambiance SM. Cette première soirée dura environ trois heures. Selon le rite cher aux initiés, c'est la Maîtresse qui présente son esclave, afin que ses hôtes puissent se rendre compte de ses limites réelles et ainsi l'utiliser au mieux par la suite. Selon le désir de Juliette, je relevai ma robe puis j'écartai mes jambes en me cambrant. Cela accentue la courbe de mes reins et met en valeur le galbe de mes fesses musclées. Se présenter ainsi oblige l'esclave mise à nu à mettre son corps en offrande quels que soient ses défauts, à mieux se connaître et à mieux s'assumer. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié sans concession. L'être ainsi exhibé apprend le pouvoir de son corps et l'esclave tire sa force de la fascination qu'il exerce sur la Maîtresse. Ma peau subit assitôt le contact de mains froides posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Ces mains inconnues, redoutées et tant attendues, me palpèrent, me flattèrent, comme si elles voulaient à la fois découvrir mes formes et mes pensées; j'ouvris davantage mes cuisses afin que les doigts attentifs puissent m'explorer en totalité. Lorsque ma Maîtresse qui me testait fut parfaitement convaincue de mon absolue docilité, les Maîtres entreprirent d'autres jeux. Une cravache noire me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un rugissement. Il est connu que l'alternance de la douceur et de la violence contribue à dresser les esclaves réticents: mais moi, pauvre débutante désireuse de bien faire pour le bonheur de ma Maîtresse, je ne savais rien de tout cela et crus être punie pour une faute commise à mon insu. Aurais-je déplu par ma position ? Mon regard, malgré moi, se serait-il montré insolent ? La rigidité de la cravache enflammait mes reins et mon dos. Les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un bon mois. Juliette me promettait parfois de me fouetter, comme s'il s'agissait d'une récompense. Insensiblement, la douleur parut s'atténuer pour laisser place à une sensation de plaisir diffus. Les coups devenant plus légers, plus dirigés, je compris soudain que j'allais jouir. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, j'éprouvais la délicieuse honte de me laisser aller à gémir, en fléchissant légèrement les jambes pour serrer mes cuisses, et je connus un orgasme qui enchanta ma Maîtresse et ses hôtes. Une fois la fulgurante jouissance dissipée, je sentis revenir la douleur me tenailler et, avec une inconscience rare, j'osai imporer leur pitié. Les invités se regardèrent, déçus et interloqués. Ils décidèrent de me faire payer ma faiblesse. Ce fut ma Maitresse qui me conduisit. Je fus placée face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que ma tête dépassait d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même temps. Juliette m'installa. J'étais en position, jambes écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche déjà ouverte, prête à être investie selon le bon vouloir des invités. À me voir ainsi soumise, leur colère s'apaisa. Qu'importait dès lors qu'un homme se servît de ma bouche comme celle d'un esclave docile. Qu'il me malmenât et m'abreuvât de son plaisir. Impatient de se satisfaire à son tour, un autre homme prit la place du précédent. Il me baisa la bouche, ma langue lui servant d'écrin. J'accomplis cette fellation avec un recueillement mystique. Pendant ce temps, un troisième utilisait mon vagin sans ménagement. Excité par le spectacle de la fellation que je pratiquais, il décida brusquement d'utiliser mes reins, qui, comme la totalité de mon corps, étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal et je trouvai le courage de ne pas gémir dans le regard de ma maîtresse qui m'observait intensément; je comprimai sa verge avec mes deux mains au même rythme que les coups qui me projetaient en avant. Je croyais l'épreuve terminée, mais un troisième sexe plus épais que le précédent força les lèvres de mon vagin. Je ne comprenais plus. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qu'il se passait autour de moi. J'étais prise, on me pénétrait, j'étais aveugle, je ne reconnaissais aucun des invités. Je compris enfin que le membre qui me pénétrait était un olisbos à ceinture dont ma Maîtresse s'était ceint la taille. Cette audace m'excita. Je me sentis fondre, mon ventre se liquéfia. Avec un vocabulaire outragieusement vicieux, elle exigea de moi que je me cambre davantage, que je m'offre afin qu'elle puisse me remplir jusqu'au fond. Je cédai à l'impétuosité d'un ogasme que j'aurais voulu pouvoir contrôler, tout simplement parce que c'était la première fois qu'une femme me pénétrait ainsi. Je jouis avec la certitude que ma Maîtresse connaissait elle-même le plaisir en m'empalant comme si elle avait été un mâle, un de ces mâles qu'elle aime dresser pour les humilier dans leur machisme. Epuisée, quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur mes épaules, Juliette se décolla de moi comme l'animal après l'accouplement et m'aida à sortir de mon carcan. Après m'avoir conduite à la salle de bain, où elle me doucha, elle m'ordonna d'aller rejoindre les hommes. Ainsi, j'étais l'objet de plaisir de ces trois hommes et de cette femme. Juliette parut subitement échauffée: elle s'approcha de moi, me coucha sur le sol, écarta ses jambes et exigea avec humeur que je la lèche comme une chienne. Je lapai son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce, et ce contact nouveau me transporta. Ses cuisses musclées s'écartaient sous la pression de ma langue et de mes dents. Elle ouvrit davantage son sexe et se libéra violemment dans ma bouche; surprise par cette véritable éjaculation, je connus un nouvel orgasme qui me tétanisa, lorsque je pris brutalement conscience que je jouissais sous l'autorisation de ma Maîtresse. Un homme plaqua mon ventre contre la table et m'ordonna d'écarter les cuisses. D'un coup de rein brusque, après avoir observé le spectacle impudique que je lui offrais malgré moi, il pénétra mes reins en criant avec fureur. Je me laissai sodomiser par cet homme auquel Juliette m'avait prêtée, car tel était mon devoir. Une jeune femme, intégralement nue, soumise également, me rejoignit. Elle prit le sexe de l'homme qui venait de me sodomiser entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après lui avoir ordonné sèchement de cesser de le masturber, il lui demanda de s'allonger sur le sol et après avoir écarté et levé bien haut ses jambes, sans qu'elle soit préparée, il la pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il me demanda de me mettre en position et me reprit tout aussi brutalement. Il demanda d'une voix autoritaire: - Laquelle veut me recevoir ? Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant qu'elle caressait la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue. Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour entre la jeune femme et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/09/20
Le 15 avril 1719, Madame de Maintenon s’éteint, seule et insatisfaite, quatre ans après Louis XIV. À Saint-Cyr, institution créée par ses soins pour protéger et éduquer les jeunes filles nobles et pauvres, et leur éviter les désarrois et les humiliations qu’elle a elle-même supportés, elle achève un destin tumultueux, audacieux et hautement romanesque. Toute de passions contrariées, celle qui a œuvré pour le bonheur de ses proches, l’avenir de ses neveux et nièces, l’instruction des enfants illégitimes du roi, la gloire de son époux, part sans jamais avoir vraiment rencontré le Dieu qu’elle cherche depuis sa jeunesse. La figure et l’œuvre de Françoise d’Aubigné, veuve Scarron et marquise de Maintenon, se sont trouvées longtemps prisonnières des mythes qu’ont inspirés dès le XVII ème siècle la vie romanesque et le destin exceptionnel de l’épouse morganatique du Roi-Soleil. La Palatine, Saint-Simon, Michelet ont bâti la légende noire, les Dames de Saint-Louis, Mme de Caylus et Mlle d’Aumale en ont édifié l’hagiographie, Voltaire et Sainte-Beuve tracé des portraits plus nuancés, mais insuffisants à faire sortir Madame de Maintenon de son statut de conseillère de l’ombre et de fondatrice de l'institution de Saint-Cyr, ou à dégager l’épistolière de grand talent qu’elle fut. L’enfance de Françoise, née d’Aubigné, offre trop peu de souvenirs heureux. Elle doit sa naissance en novembre 1635, dans la prison de Niort, à un père coutumier des cachots, faux-monnayeur, tricheur, renégat et assassin de sa première femme. Déshérité par le poète Agrippa, grand-père de Françoise, compagnon d’Henri IV, pourfendeur de catholiques et homme de convictions, le mal nommé Constant laisse à son épouse Jeanne le soin d’élever seule leurs enfants. Celle-ci parvient mal à assumer la survie des siens. Surtout, Françoise manque de tendresse: "Je ne me souviens d’avoir été embrassée de ma mère que deux fois, et seulement au front, après une grande séparation." La jeunesse de "Bignette", son surnom, s’embourbe dans la nécessité, dans la grande pauvreté et parfois même dans la misère, hormis six ans au cours desquels elle savoure le bonheur, l’amour et les rires chez sa tante Louise-Arthémise. Avec son cousin chéri, elle découvre les travaux des champs, les semailles et les récoltes, les marchés aux bestiaux. Personne ne l’oblige à rallier la foi protestante, personne ne l’intimide, personne ne la blesse. Mais son bonheur butte sur les retrouvailles inopinées de sa famille, un temps reconstituée, partie à la conquête de chimériques richesses aux Antilles. Le retour à La Rochelle, trois ans plus tard, accuse la défaite et la honte. Françoise mendie parfois aux portes des couvents et du collège des jésuites. Elle s’endurcit, forge son tempérament, consolide son assurance et assoit sa volonté ; bientôt placée entre les mains d’une parente catholique, riche et pingre, arrogante et ennuyeuse, elle apprend à dissimuler et à faire bonne figure. Elle s’initie aussi à l’art de la conversation, une nécessité pour qui veut appartenir à la bonne société. Avec ses immenses yeux noirs, sa chevelure brune, quand la mode est aux blondes, sa taille élancée, son goût prononcé pour la répartie et la science des précieuses, elle affirme une personnalité originale. Du haut de ses seize ans, elle fait déjà seule, face au destin. Sa marraine l'introduit dans les salons, elle y acquiert le surnom de "belle indienne." Faute de dot, elle préfère au couvent se marier à un paralytique de quarante-et un-ans, bel esprit au corps atrophié. Pour autant, le poète Scarron, ce "raccourci de la misère humaine", lui apporte bienveillance, carnet d’adresses, renommée, gentillesse. Il conforte son intelligence, lui permet de briller en société, de goûter aux jeux de l’esprit, de la séduction et de l’amour chaste. En échange, elle lui offre sa jeunesse, son éclat, son indéfectible fidélité. Le couple tient bon face au mépris et aux mauvaises langues, et à "l’hôtel de l’Impécuniosité" esprits fins, élégants, libertins, lettrés, frondeurs, aristocrates critiques, peintres et musiciens se pressent au chevet de l’écrivain tordu. L'auteur à l'esprit mordant est au sommet de sa gloire. Il dispose d'une confortable pension et fréquente une foule d'esprits distingués et de personnalités influentes. Françoise sait qu'il lui est impossible de trouver meilleur parti. Veuve à vingt-quatre ans, Françoise reçoit des dettes pour tout héritage. Mais, pendant huit ans, elle a placé ses pions, tissé un étroit réseau de relations, cultivé un comportement exemplaire et rassurant, consolidé une réputation sans faille. Pragmatique, sensible, consciente de sa précarité, elle a déjà entrepris son irrésistible ascension sociale. "Comptez que jamais personne n’a établi sa réputation en se divertissant. C’est un grand bien mais il coûte cher. La première chose qu’il faut sacrifier pour sa réputation, c’est le plaisir", analyse-t-elle. Et cet adroit calcul la propulse sans peine auprès d’épouses dévotes et puissantes, qui assoient sa notoriété. Installée dans une chambre au couvent de la Petite-Charité, elle cultive son image de femme respectable, dévouée et charitable, entre sincérité et nécessité. Le soir, auprès des d’Albret, Richelieu, Montchevreuil, elle parfait son masque de chrétienne accomplie. Lors d’un dîner, elle croise la piquante Madame de Montespan, de cinq ans sa cadette. La rencontre, décisive, dicte son avenir. Françoise devient bientôt, dans la plus grande clandestinité, la gouvernante des enfants naturels de la favorite de Louis XIV, l’éblouissante et mordante Athénaïs. Ainsi, durant quatre années, dans une maison discrète de Vaugirard, dans l'actuel XV ème arrondissement de Paris, la future marquise de Maintenon s'occupe des quatre enfants cachés de Madame de Montespan et de Louis XIV: le duc du Maine, le comte de Vexin, Mademoiselle de Nantes et Mademoiselle de Tours. Tout en organisant la vie de ses petits protégés, Françoise Scarron continue de remplir ses obligations mondaines et de se montrer dans les salons. Malgré cette double vie exténuante, elle se prend d'affection pour les petits bâtards royaux, s'attachant particulièrement à l'aîné, le duc du Maine, enfant boiteux et à la santé fragile. Doté d'une vraie fibre paternelle, Louis XIV rend régulièrement visite à sa progéniture, et s'attarde pour bavarder avec leur charmante nourrice. Elle remplit son rôle à merveille auprès des bâtards du roi. Les questions de pédagogie et d’éducation la passionnent, et elle défend avec ardeur l’intérêt et l’éveil des enfants. Louis XIV découvre la dévote sous un autre jour. Elle le touche, le séduit. "Elle sait bien aimer, il y aurait tant de plaisir à être aimé d’elle." Pour conquérir le cœur du roi, Françoise use de toute son intelligence. La tête froide, l’habile gouvernante se lance avec le Roi-Soleil dans une relation amicale, intellectuelle, amoureuse qui perdure de 1673 à 1715, année de la mort du souverain. Bien que discrète, elle vit dans l'intimité du roi et se révèle une conseillère de taille. En raison de son austérité et de son intransigeance, l'épouse secrète de Louis XIV est détestée par la famille royale. Son influence pèsera surtout sur les mariages des bâtards royaux et sur la nomination de certains ministres. Très hostile au marquis de Louvois, elle prend parti pour le clan de Colbert et favorise les carrières du maréchal de Villars et de Chamillart. Au long de leurs trente-deux ans de vie commune, elle apprend à connaître, à respecter et à craindre un homme égoïste, tyrannique, autoritaire, rigide. Déçue par cet amour qui ne correspond pas à un absolu tant espéré, elle s’adonne avec passion, sincérité et efficacité aux œuvres charitables et utiles. Loin de la mystique et de la contemplation qui, dans le fond, ne l’intéressent pas vraiment, elle pense à son grand dessein, Saint-Cyr, son cadeau de mariage, son salut et sa dernière demeure, qui doit la réconforter. Il n’en sera rien. À quatre-vingt-deux ans, l’ambitieuse généreuse achève un destin exceptionnel dans la peine et la lassitude. "Ma lassitude m’avertit que je suis mortelle mais j’aperçois un miroir qui me dit que je suis morte." Toute de complexité et de paradoxe, elle n’a pourtant rien abdiqué, elle n’a jamais renié sa liberté de penser ou encore entaché son orgueilleuse constance. Bibliographie et références: - Arthur Conan Doyle, "Les Réfugiés de Madame de Maintenon" - Marguerite Teilhard-Chambon, "Françoise d'Aubigné, marquise de Maintenon" - Christine Mongenot, "Madame de Maintenon, une femme de lettres" - Éric Le Nabour, "La Marquise de Maintenon, l'épouse secrète de Louis XIV" - Jean-Paul Desprat, "Madame de Maintenon, le prix de la réputation" - Éric Le Nabour, "La Porteuse d'ombre. Madame de Maintenon et le Roi Soleil" - Simone Bertière, "Les Femmes du Roi-Soleil" - André Castelot, "Madame de Maintenon, La reine secrète" - Françoise Chandernagor, "L’Allée du roi, souvenirs de Françoise d’Aubigné" - Louis Mermaz, "Madame de Maintenon" - Alexandre Maral, "Madame de Maintenon, la presque reine" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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