La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/02/16
Salut à toutes et tous, dans la série je reprend un vieil article que j'ai écrit pour lap révention, je recycle. si j'en sauve un ou deux avec, ça sera déjà pas mal! Aujourd'hui donc, voyons les dangers du port de la cage de chasteté. On parle souvent de l'aspect excitant du bousin, ses soit disant avantages toussa, mais.....des soucis qui vont avec, nada walou, et faut vraiment bien chercher pour trouver des références là dessus croyez moi! Dans mon ex relation D/s, j'ai par le passé porté une cage de chasteté, d'abord une CB, puis ensuite une Prison de Morgane en acier sur mesure, quasi en 24/7 sur des mois. Nous avions fait une pause...puis retour en cage, avant que je ne lise des Maitresses sane safe and consensual sur un autre forum. En ayant subit plusieurs désagréments la première fois(port très régulier voire permanent sur plusieurs mois) ma Maitresse a alors préféré passé au port de ballstretcher en sa présence, notamment la nuit, devant mes craintes et interrogations du moment, plutôt qu'à celui de la cage. Je portai encore la cage quand je n'étais pas avec elle.... J'ai alors souhaité me renseigner un maximum sur le net sur les effets de la cage, notamment avec plusieurs avis médicaux. Et là....c’est le drame...difficile de trouver des avis tout à fait semblables. Si chaque médecin a son propre avis sur la question, on retrouve quand même certaines tendances. Je vous livre ici les différents avis médicaux que j'ai pu trouver, qui sont pas légion, pris à droite à gauche. Merci aux posts judicieux des Maitresses du Château des Dames notamment, j'espère qu'elles m'en voudront pas de partager ici ces infos pour faire vivre le débat hors de leurs murs, la plupart de ce qui suit n'étant pas de moi, mais un simple travail de rassemblement des infos sur la toile : 1 : "Selon elle(une médecin généraliste), deux sorties hebdomadaires le temps d'une branlette (par exemple) sont largement suffisantes pour conserver un pénis en bonne santé, cad afin que les corps caverneux conservent leurs élasticité. Donc en clair vous pouvez rester en cage 24/7, du moment que votre KH vous accorde ces deux sorties hebdomadaires(avec éjaculation), votre pénis restera en pleine forme et ne perdra aucune de ses qualités érectiles ou même fertilisant" 2 : "Bonjour Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée. La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d’une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir. Ce qui est étonnant, c’est que le risque d’impuissance liée au port prolongée d’un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n’est que rarement évoqué...... .......Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles...... ........Néanmoins, le port prolongé d’un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l’inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l’exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s’avérer plus capricieuse si la chasteté s’est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n’aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s’en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n’engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l’impuissance pourrait s’avérer définitive. Au bout d’un an, l’inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d’érections normales. Pour ma part, j’ai noté un raccourcissement de plus d’un centimètre en trois ans de port sans rémission........ .........Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n’a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s’agit seulement d’un état de fait lié à l’âge. Chez la majorité des hommes, la « vidange » de la prostate n’a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d’où vient ce mythe réitérée de la nécessaire « traite » de cet organe. En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l’éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s’écouler tout seul lors de « pollutions nocturnes ». Il n’y a lieu à « dégorger » la glande que dans de rares cas pathologique de d’épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. En règle générale et hors rarissimes cas d’inflammation, il n’y a nul besoin de laisser s’écouler le liquide prostatique, pas plus qu’il n’est obligatoire de dégorger les glandes de Skene des dames." 3: "La fonction érectile, comme toutes les autres fonctions de notre organisme, pour durer a besoin de fonctionner : ce n'est pas "la pile Wonder qui ne s'use que si l'on s'en sert" (les plus âgés comprendront), mais tout le contraire. Voici les bases scientifiques du raisonnement qui devrait tous nous conduire au tact et à la mesure quant à l'usage de la cage sur le long terme. Sur le principe il a donc un consensus; mais là où la médecine ne peut répondre, faute d'étude scientifique réelle, c'est sur la situation exacte du seuil du danger (durée, fréquence du port, taille de la cage, fréquence et type d'éjaculation, orgasme ou ruine..). Comme pour tous les risques médicaux, il est sans doute extrêmement variable d'un individu à l'autre, en fonction de tout un tas de critères: âge, tension, cholestérol, diabète, etc... Tous les soumis ayant porté une cage connaissent les réveils douloureux en pleine nuit dus à une érection. Ces mêmes soumis décrivent une amélioration au fil du temps. Cela signifie t-il qu'ils s'y habituent.. Je le pense pas: mais plutôt d'une raréfaction des érections, début de la spirale... En conclusion, le risque patent est la perte des érections au fil du temps. Mais est-ce un danger? Non car l'individu n'est pas en danger, et peut-être même que pour certains, cette disparition prématurée correspondra à un renforcement de leur psyché. La tête du soumis dirigeant pour une fois son fonctionnement." 4: "Vous parlez de cette si célèbre cage(la CB), je relève en effet "il ne peut plus s'en passer" ... L'outil a fait un fameux chemin dans les chaumières n'est ce pas ? De mon côté, ma modeste expérience médicale extérieure m'alerte justement sur ce côté Pavlovien quasi et sur l'impuissance à long terme qui menace le soumis-toutou. Je préfère, comme me disait une de mes "collègues" la cage mentale que j'impose à mon soumis et qui m'amuse tellement pour le carnet de fausses notes qu'il rempli à force de gaffes. Encore de quoi rire et punir. Étant de près dans le milieu médical et ayant les infos à la source (mdr ... je ne peux en dire plus mais c'est tout à fait cela), le port prolongé au delà du côté Pavlov si on peut dire :D , empêche les fonctions érectiles si l'objet est bien choisi. Hors donc plus de fonction érectile = impuissance à long terme puisque c'est le manque de fonction érectile nocturne qui est le premier symptôme de l'impuissance à traiter. Donc dixit source (lol) au lieu de traiter on provoque indubitablement le problème. Voilà en très bref .... .... Plus de fonction érectile nocturne du tout = impuissance à long terme. Combien de temps ? Sur quelle durée ? Pas de réponse mais risque existant. -Comment ensuite y remédier et est-ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !! -Donc on revient au mode jouet . Un jouet est un jouet et ne peut être pris comme mode de vie total sous peine de ne plus être un jouet mais un déformation de la personne. Si je suis ce que dit le forum ce n'est plus du sûr, sain et consensuel . En abrégé le corps médical avisé dit : " si on s'amuse à provoquer ce que nous tentons de soigner avec difficulté, notre profession a des beaux jours devant elle..... .....On l'a dit : le mental a sa part dans l'érection. Donc tout jeu mental portant sur l'interdiction d'érection, la restriction de celle ci, la privation, la récompense etc... Porte automatiquement au terrain glissant de risques à la longue d'accoutumances de la personne à ces jeux au point de ne plus pouvoir fonctionner que par ceux- ci. Si le sujet est d'accord pour prendre ces risques il ne se rend évidement pas compte de la puissance de ceux-ci et de la difficulté ensuite à le "déprogrammer" le jour où il voudrait l'être. La encore on revient à la case plus haut : - Comment ensuite y remédier et est- ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !" Voilà pour la partie citation, je reprend le clavier....et les avantages de la cage dans tout ça? Je vais faire court, tant les infos abondent sur le net à ce niveau: -Le port de la cage est agréable mentalement, vous maintenant dans un état de désir constant, mélangé à la frustration, obnubilant le cerveau(très agréable si vous êtes quelqu'un de très cérébral), et à terme vous trouvez ça souvent plus fort qu'un orgasme finalement si court..... Plus à fleur de peau, le soumis devient parfois aussi une vraie chienne en chaleur.... -Il assure que le soumis soit plus attentif, obéissant, moins agressif, dévoué envers sa Maitresse puisque moins concentré sur son pénis. -L'encagé doit faire pipi assis, donc les toilettes sont propres et les dames contentes ^^ Résumé des dangers lors d'un port prolongé de la cage(en 24/7 sur de longues périodes). Désolé c'est long, donc pas si anodin que ça: -Avec le temps, le pénis va rétrécir un peu en longueur. Ce n'est pas forcément irréversible s'il recommence à pouvoir bander souvent -Comme vôtre sexe ne peut pas bander la nuit pour sa bonne santé, vous perdez peu à peu la puissance et la longueur de vos érections. -Chez la plupart des sujets, le port de la cage prolongé vous rend aussi de plus en plus précoce pour éjaculer, car à peine libéré, vôtre corps ne pense plus qu'à une chose, se soulager rapidement.... -La nuit l'encagé sera réveillé par une tentative de bandaison douloureuse, parfois plusieurs fois dans la même nuit. C'est surtout valable les premiers temps...l'encagé dort mal, puis il s'habitue car ses érections se raréfient. Il n'est donc jamais au meilleur de sa forme, que ce soit professionnellement, quant à sa vie familiale et de fait, pour servir sa Maîtresse. -Le port prolongé, mais surtout les premiers temps là encore, va irriter la peau, en particulier au niveau du scrotum(en tentant de bander ça fait remonter les bourses, et donc étire la peau). Attention à ce que ça devienne pas des plaies. -Qui dit port de la cage dit moins de production de testostérone. La diminution du taux de Testostérone impacte ces organes cibles : Le Cerveau par une : - diminution de l'agressivité et de la concentration - tendance à la déprime et à l'insomnie - baisse voire une disparition du désir sexuel - diminution de la fréquence des érections Les Muscles par une : - diminution de leur volume - fatigabilité physique croissante lors de l'exercice Les Os : -par une réduction de l'hématopoïèse dans la moelle osseuse et une déminéralisation : La Peau : -qui devient plus fine, plus fragile, plus sèche, plus ridée Le Visage : -par un teint pâle, un regard terne, les muscles des joues relâchés, des ridules au coin des lèvres et des yeux Les Organes sexuels : -par une diminution ou une disparition de la fertilité, un manque de sensibilité clitoridienne, une perte du désir sexuel Le Système immunitaire : -par une diminution des lymphocytes T et des défenses immunitaires contre les mitogènes Il en résulte une sensation de " mal-être ", accentuée par les modifications de l'image corporelle (obésité, rides, calvitie, taches brunes, raideur et douleurs articulaires...) et de certains comportements (fatigue permanente, tendance à la dépression, manque de confiance en soi, sommeil agité, pertes de mémoire, manque de créativité, bouffées de chaleur). Dans quels domaines agit-elle ? L'action de la Testostérone porte principalement sur les organes génitaux et sur le cerveau. Ses autres cibles sont le système pileux, le tissu musculaire, la masse graisseuse, les cellules sanguines et les os. Elle agit de manière identique chez l'Homme et chez la Femme dans les domaines suivants : Surcharge pondérale : La Testostérone régule la répartition entre la masse maigre et la masse grasse : la diminution de son taux amène ainsi à un excès de graisse s'accumulant principalement dans la ceinture abdominale chez l'Homme et dans les cuisses chez la Femme. Ostéoporose : La Testostérone et l'Oestrogène peuvent augmenter la densité des os et contribuent à la prévention de l'ostéoporose. Le déficit en Testostérone caractéristique de l'andropause et de la ménopause a des répercussions sur la fragilité des os. L'ostéoporose peut donc exister chez l'Homme comme chez la Femme. Masse musculaire : La testostérone contribue au renforcement de la masse musculaire de façon conséquente. C'est pour cette raison que les sportifs en sont " friands" bien que la prise de Testostérone soit interdite en compétition pour des raisons d'égalité de chances. Cholestérol : La Testostérone contribue à une bonne circulation sanguine et aide à favoriser le taux de " bon " cholestérol et à réduire les taux sériques de cholestérol total et de triglycérides. Système cardio-vasculaire : Un lien étroit a été établi entre de faibles niveaux de Testostérone et les maladies cardiaques ; l'augmentation de la quantité de Testostérone entraîne une dilatation des vaisseaux sanguins stoppant ainsi l'amincissement des artères ; l'hypertension artérielle et les maladies coronariennes sont concernées par cet effet. Troubles de la Libido : Chez l'Homme comme chez la Femme, de faibles taux de Testostérone entraînent une diminution voire une perte de désir et d'efficacité sexuels. Même si l'homme en produit 10 à 20 fois plus que la femme, la diminution de production de celle-ci ne fait donc pas qu'éteindre son désir sexuel. -Une hygiène douteuse....même si avec les cages "ouvertes", il n'y a pas de souci -Risque de formation d'œdème gros souvent au niveau du prépuce, occasionné par une circulation lymphatique ralentie par la cage compressant le dessous de la base du pénis. C’est totalement insensible et se résorbe après une libération de quelques heures. -Risque de peau irritée, surtout les premiers temps. Si on ne retire pas la cage à ce moment, on risque que ça se transforme en plaie.... Voilà pour la liste des risques purement anatomiques. Vous trouvez pas que ça fait beaucoup? Moi si. Quelques questions essentielles à se poser selon moi: -L'équilibre mental...et bien, oui, pour certains hommes porter une cage c'est résoudre un souci par un autre, par exemple un soumis éjaculateur précoce dont le psychisme rejette la relation sexuelle, l'érection et l'éjaculation. Être encagé le plus souvent possible lui permet de mettre de côté des soucis psychologiques qui n'auraient peut être nécessité plutôt un traitement psycho-médical et médicamenté? -Que devient un soumis impuissant, habitué à être 100% sous cage et sans relation sexuelle lorsque, par accident , aléas de la vie ou tout simplement séparation ou divorce, celui ci se retrouve seul ? -Quand la médecine dit et redit que les érections nocturnes sont signe de bonne santé , comment un/e simple quidam peut il/elle affirmer que l'en priver ne comporte aucun risque ? Pour sa santé physique et morale, pour son avenir ? -L'homme encagé vieillit sexuellement très rapidement (au bout de quelques mois)... Sa libido baisse pour devenir inexistante, ce parfois assez jeune. Certains n'ont plus aucune érection même pour leur Maîtresse... et c'est bien le but de certaines femmes pour qui cette cage est une aubaine pour ne plus se cacher derrière des migraines, maux de têtes, fatigue etc au moment du sacro-saint "devoir conjugal"... -Faut-il qu'un homme porte une cage de chasteté pour être un "bon" soumis ? Mais alors, cet homme n'est il pas soumis à sa cage plutôt qu'à sa Dame ? Il suffit pour s'en convaincre de prendre ça et là quelques déclarations de ces "soumis" encagés : "sans ma cage je me sens nu", "sans ma cage je ne me sens pas/plus "soumis" etc... -Quid des Dominas qui aiment dominer et/ou pratiquer une sexualité avec pénétration? -Cet objet n'est il pas un prétexte à manipulation de l'un ou de l'autre? Je t'offre ma chasteté et fais de toi la reine de mes désirs dont tu as la clef (trad : sous clef je suis bien tranquille et tu n'auras aucune idée de mes problèmes sexuels) J'accepte ou je désire que tu sois sous la clef que je garde afin d'être le soumis parfait que tu désires tellement être (trad : ainsi je suis bien tranquille, tu ne m'ennuiera plus avec des désirs sexuels qui ne m'intéressent pas et m'ennuient plus que tout) -Pourquoi une Dame qui n'a plus de désir ne fait elle pas l'effort de consulter pour en connaître la raison (la ménopause peut être belle) et saute plutôt sur l'occasion sur la cage comme bouée de sauvetage? On parle de la bonne santé du soumis par sa sexualité, les études prouvent que la bonne santé de sa Dame passe par la même chose. Conclusion: La cage de chasteté n'est pas un jeu BDSM anodin. Si on passe à du port prolongé, on est en droit de se demander si on est encore dans du safe sane and consensual, car on entre rapidement dans une addiction, avec tous les risques des dangers cités que celà comporte. La cage "mentale" de la Maitresse qui ordonne à son soumis de rester chaste mais sans cage peut être une meilleure solution, et de plus très gratifiante pour le soumis qui va résister, tout en éliminant une bonne part des dangers et désagréments de la cage. La cage mentale a comme supériorité par rapport à la cage de chasteté qu'elle devient en plus un jeu intellectuel entre deux êtres pensants. La domination de l'un par L'Une est alors au stade ultime de l'interpénétration, de la connivence. Elle n'apporte aucune souffrance physique, ce qui est bon pour les non-masos, et favorise l'imagination. Maintenant au vu de tous les témoignages que j'ai pu lire, jouer en mode ludique occasionnel sur quelques jours, voire au max quelques semaines, ne semble pas dangereux, surtout si des libérations sont fréquentes, donc que cela ne refroidisse pas trop ceux qui veulent s'y essayer. Simplement, j'espère qu'après lecture de tout ça, tous sont prévenus de ce qu'ils risquent en voulant passer à du port permanent. PS: Je serais très curieux d'avoir d'autres avis argumentés, notamment de médecins sur la question Eenwë
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Par : le 15/06/18
je me suis déjà fait enculer par des femmes avec des godes ceinture,mais le plaisir ne doit pas le même qu’avec une vraie bite. Pourrais je donc prendre du plaisir avec des trans. Mais jusqu’où ? Il fallait que je le sache… J’entrepris donc de poursuivre mon exploration du genre, et de mes limites. Je consultais donc des sites de trans à la recherche de celle qui me plairait le plus. A l’heure dite, je me présente au domicile de la belle avec un peu d’excitation et beaucoup d’appréhension. Elle m’ouvre la porte. Première bonne surprise, elle est belle, très féminine et très sexy. Passé les formalités d’usage, elle me donne une serviette de toilette propre et je me dirige vers la douche. Douche finie, je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain. Elle est allongée sur le lit, tallons aiguilles, bas, et belle lingerie. Elle me fait signe de venir la rejoindre. Je lui explique que c’est la première fois avec un trans, elle me rassure aussitôt avec des mots doux. Puis elle m’allonge sur le lit, se penche sur moi. Très vite, elle glisse sa main sous la serviette, mon sexe est déjà dur, elle m’excite. Presque machinalement, je descends ma main vers son string pour la caresser. Elle ne bande pas encore mais je sens son sexe qui commence à durcir. J’imagine que d’avoir à faire à un novice doit l’exciter un peu. Elle retire son string pour libérer sa queue puis se place en 69. Elle commence à me sucer. Mon excitation ne fait aucun doute, mon sexe est dur et sa bouche l’engloutit sans difficulté, elle sait y faire. Je me retrouve avec sa queue sous les yeux. Machinalement, je commence à la branler doucement. « Suce moi » me dit-elle… J’obéis. J’avance ma bouche, met ma main à la base de sa queue et commence à la sucer. Je suis plutôt excité d’avantage. Passé les premiers va et vient, je prends confiance et pousse plus loin son sexe dans ma bouche. Elle apprécie visiblement. Sa queue devient toute dure, elle guide ma tête de sa main, sans arrêter de me sucer. Puis je sens un de ces doigts caresser mon anus, d’abord doucement, avant qu’elle ne l’enfonce lentement pour me préparer à la suite. Je ne peux plus lâcher sa queue. La sentir grossir dans ma bouche m’électrise. J’accélère le mouvement de ma main comme si je voulais la faire jouir. Mais ce n’était pas encore le moment. Avant il fallait passer à la casserole… Après quelques minutes de ce 69 excitant et surtout qu’elle m’ait bien ouvert le cul avec deux doigts, elle m’allongea sur le dos et passa un coussin sous mes fesses. Je ne contrôlais plus rien, j’étais son jouet. Elle a relevé mes jambes, enfilé une capote, placé sa queue à l’entrée de mon cul et m’a pénétrée doucement. Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais c’était aussi jouissif. Tout en s’enfonçant en moi, elle branlait ma queue. Et elle rentra toute sa queue dans mon cul. Voilà, je l’avais fait, pour la première fois, je me faisais enculer. Elle resta quelques instant figée au fond de moi avant d’entamer un lent va et vient. La douleur s’estompa , le plaisir prenant la relève au fur et à mesure qu’elle allait et venait dans mon cul. Après que minutes dans cette position, elle se retira, me retourna sur le ventre et me pénétra à nouveau. Plus fort, plus violemment, plus vite… Je me laissais faire, je ne réfléchissais plus. Sa queue me faisait du bien. J’en voulais encore. Elle me pilonna pendant de longues minutes en me susurrant des mots crus : « Tu aimes que je t’encule . Tu aimes que je défonce ton petit cul serré » Je ne répondais même plus, j’étais submergé par le plaisir. Elle se retira, s’allongea sur le dos et me fit s’asseoir accroupi sur sa queue. Dans cette position, elle m’a possédé encore plus loin. Sa queue me provoquait un plaisir intense, je la voulais encore plus loin dans mon cul. En même temps quelle me prenait, elle branlait ma queue qui était gonflée comme jamais. J’allais de plus en plus vite sur son sexe, je sentais que j’allais exploser, et elle aussi. « Vas y , bouge, je vais jouir » Elle a eu en un spasme puissant, elle jouissait dans mon cul. Cette sensation m’a fait jouir violemment, d’autant qu’elle me branlait toujours. Je me suis vidé sur son ventre puis écroulé sur elle. Je suis resté comme ça plusieurs minutes sans bouger, je ne pouvais plus. " Tu l’as fait… Et tu aimes ça. Tu es une vraie petite lopette et je vais t'enculer tous les semaines pour que tu deviennes une vraie salope.."
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Par : le 10/12/18
Sans avoir retrouvé un lexique ici sur tous les termes possibles et imaginables en BDSM, et en étant parfois perdue sur certains de ces termes, je reprends un lexique trouvé sur Fet-Life, plutôt bien documenté : s'il est déjà publié ailleurs, vous m'excuserez de ne pas avoir assez cherché et j'effacerai celui-ci Allez, c'est parti ! Case Gender Male (M) - une personne ayant l'identité et les caractéristiques d'une homme ; Female (F) - une personne ayant l'identité et les caractéristiques d'un femme ; CrossDresser/Transvestite (CD/TV) - une personne qui aime s'habiller et se comporter dans le style et les manières généralement associés au sexe opposé ; Trans - une personne dont le sens de l'identité personnelle et du sexe ne correspondent pas au sexe biologique assigné à la naissance. ** Male to Female - homme vers femme (MtF) ; ** Female to Male = femme vers homme (FtM) ; Transgender (TG), terme vaste qui englobe toutes les personnes qui sortent du cadre traditionnel du genre qui leur a été assigné ; Gender Fluid (GF) - une personne qui fluctue entre plus d'un genre, ou entre avoir un genre et ne pas avoir un ; Genderqueer (GQ), une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au binaire mâle-femelle. ; Intersex (IS) - une personne née avec une anatomie reproductive ou sexuelle qui ne semble pas correspondre aux définitions typiques de femmes ou d'hommes. ; Butch (B) - une personne généralement identifiée comme une femme mais dont les rôles sociaux et relationnels sont perçus par beaucoup comme masculins, ayant souvent une orientation lesbienne, gay ou "étrange" ; Femme (FEM) - une personne qui a une apparence ou d'autres caractéristiques traditionnellement considérées comme féminines, et qui ont souvent une orientation lesbienne, gay ou "étrange" ; Not Applicable = pas applicable. Sources : Mais qu'est ce que ça veut dire? - cherche traduction Anglais/français - Kinktionary Case Sexual Orientation Straight = hétérosexuel. Heteroflexible = personne qui s'identifie comme hétérosexuelle, mais qui peut parfois trouver le même sexe attrayant. Bisexual = bisexuel. Homoflexible = personne qui s'identifie comme homosexuelle, mais qui peut parfois trouver le sexe différent attrayant. Gay = gay. Lesbian = lesbienne. Queer = queer. Pansexual = pansexuel, a des activités sexuelles ou érotiques sans distinction de genre, sexe et/ou orientation. Fluctuating/Evolving = fluctuant/en évolution. Asexual = asexué. Unsure = incertain. Not Applicable = pas applicable. Case Role Dominant = Dominant (Dom), qui exerce un contrôle sur une personne soumise dans une dynamique D/s. Domme = Dominante/Domina (Domme), qui exerce un contrôle sur une personne soumise dans une dynamique D/s - terme habituellement féminin. Switch = Switch (Switch), qui peut se sentir Dominante/sadique ou soumis/masochiste en fonction de son partenaire, du contexte ou de son humeur, etc. submissive = soumis(e) (sub), qui donne le contrôle à un(e) Dominant(e) dans une dynamique D/s. Master = Maître (Master), qui exerce le contrôle en tant que propriétaire d'un esclave dans une dynamique M/s. Mistress = Maîtresse (Mistress), qui exerce le contrôle en tant que propriétaire d'un esclave dans une dynamique M/s - terme habituellement féminin. slave = esclave (slave), qui donne le contrôle quasi-totale à son Maître/Maîtresse/Propriétaire. kajira = kajira (kajira), esclave féminine dans la culture Goréenne ; kajirus = kajirus (kajirus), esclave masculin dans la culture Goréenne ; Top = littéralement celui du Dessus (Top), qui exerce le contrôle pendant une session. Bottom = littéralement celui du dessous (Bottom), qui donne le contrôle pendant une session. Sadist = sadique (Sadist), qui aime infliger de la douleur et/ou de l'humiliation (émotionnellement et/ou physiquement) sur une autre personne. Masochist = masochiste (Masochist), qui aime recevoir de la douleur et/ou de l'humiliation (émotionnellement et/ou physiquement) d'une autre personne. Sadomasochist = sadomasochiste (Sadomasochist), qui aime à la fois recevoir et infliger (émotionnellement et/ou physiquement) de la douleur et/ou de l'humiliation. Kinkster = kinkster (Kinkster), qui a des préférences sexuelles ou un comportement sexuel inhabituels pour la société. Fetichist = fétichiste (Fetishist), qui est excité par un fétiche spécifique. Swinger = Échangiste ( Swinger ), qui n'est pas monogame et peut avoir des relations sexuelles avec d'autres personnes que les relations officielles. Hedonist = hédoniste (Hedonist), qui considère que la recherche du plaisir est la quête primaire de la vie. Exhibitionist = Exhibitionniste (Exhibitionist ), qui aime s'exposer ou s'afficher de manière publique ou semi-publique. Voyeur = Voyeur (Voyeur), qui aime regarder les autres, le plus souvent dans un contexte sexuel, sans s'impliquer envers eux. Sensualist = Sensualiste (Sensualist), qui considère la recherche du plaisir via les sensations physiques comme un de ses objectifs principaux dans la vie. Princess = Princesse (Princess), qui réclame un soin particulier en terme de compliments, d'attention et de précautions. Slut = littéralement une femme avec une morale d'homme (Slut), qui se donne la liberté de s'adonner à des relations sexuelles avec qui elle veut, comme elle le veut. ( complément) Doll = Poupée (Doll), qui aime être une poupée, mentalement et physiquement. sissy = sissy (sissy), qui se livre à un mélange de féminisation et d'humiliation afin d'atteindre un état émotionnel ou mental différent - généralement un homme soumis. Rigger = Attacheur (Rigger), qui pratique l'art du bondage ; la plupart du temps avec de la corde. Rope Top = littéralement celui "du dessus" avec les cordes (Rope Top), qui pratique le bondage sur un Rope Bottom. Rope Bottom = littéralement celui "du dessous" avec les cordes (Rope Bottom), qui pratique le bondage avec un Rope Top. Rope Bunny = littéralement lapin de corde (Rope Bunny), qui sert de modèle de démonstration avec des cordes, comme le Shibari. Spanko = terme racourci pour "spankophilie" : adepte de la fessée (Spanko), qui aime la fessée sans préjugé du rôle. Spanker = fesseur (Spanker), qui donne des fessées aux autres. Spankee = fessé(e) (Spankee), qui aime recevoir des fessées. Furry = adepte de personnage anthropomorphique (Furry) , qui s'identifie fortement à un animal particulier ou une créature anthropomorphe particulière. Leather Man = littéralement Homme de cuir (Leather Man), qui exerce le contrôle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather - terme habituellement masculin. Leather Woman = littéralement Femme de cuir (Leather Woman), qui exerce le contrôle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather - terme habituellement féminin. Leather Daddy = littéralement Papa de cuir (Leather Daddy), qui exerce une figure paternelle pour un(e) garçon/fille, , terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather Top = littéralement celui du dessus (Leather Top), qui exerce le contrôle pendant une session, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather bottom = littéralement celui du dessous (Leather bottom), qui donne le contrôle pendant une session, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather boy = littéralement garçon de cuir (Leather boy), qui est un homme soumis cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather girl = littéralement fille de cuir (Leather girl), qui est une femme soumies cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather Boi = littéralement garçon de cuir (Leather Boi), qui est un soumis cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Boi désignant une personne de sexe biologique féminin qui adopte un comportement de jeune homme. Bootblack = littéralement Cireur de chaussures (Bootblack), qui considère dans le cirage de bottes comme appartenant au cadre du jeu. Primal = Primale (Primal), qui définit 1/ ceux qui veulent rompre avec les traditions en créant leur propre mode de vie sans règles pré-établies ou protocoles pré-définis. 2/ ceux qui se réfèrent à une sorte d'instinct primaire/primitif très animal. Predator Primal = littéralement Prédateur Primal (Predator Primal), qui cherche à chasser et à dominer sa proie. Primal Prey = littéralement Proie Primale ( Primal Prey), qui cherche à être chassé et se soumettre à un prédateur. Bull = littéralement Taureau (Bull ), qui a des relations sexuelles avec le partenaire "infidèle" dans un cocufiage dynamique. cuckold = cocu (cuckold), qui a un partenaire à long terme "infidèle" - terme habituellement masculin. cuckquean = cocue (cuckquean), qui a un partenaire à long terme "infidèle" - terme habituellement féminin. Ageplayer = Adepte des jeux de régression (Ageplayer), aime qu'une différence d'âge soit incarné par l'un ou les deux partenaires. Daddy = Papa (Daddy), qui incarne la figure paternelle dans la relation - souvent mais pas toujours un Dominant. Mommy = Maman (Mommy), qui incarne la figure maternelle dans la relation - souvent mais pas toujours une Dominante. Big = littéralement Grand (Big), qui a un rôle de soutien dans une dynamique de jeux de régression/ageplay - souvent avec un little. Middle = littéralement Milieu (Middle), qui s'inscrit dans la dynamique Big/little mais qui se sent plus grand qu'un little - souvent mais pas toujours un soumis. little = littéralement petit (little), qui agit et se comporte comme un enfant- souvent mais pas toujours un soumis. brat = soumise insoumise/sale gosse (brat), qui est insolent, répond, et est désobéissant - souvent mais pas toujours un soumis. babygirl = bébé fille (babygirl), qui s'identifie ou joue le rôle d'une petite fille - souvent mais pas toujours un soumis. babyboy = bébé garçon (babyboy), qui s'identifie ou joue le rôle d'un petit garçon - souvent mais pas toujours un soumis. pet = animal (pet), qui aime le petplay (jeu d'identification à un animal familier) - souvent comme bottom ou soumis(e). kitten = chaton (kitten), qui s'identifie à un chaton ou un chat dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). pup = chiot (pup), qui s'identifie à un chiot ou un chien dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). pony = poney (pony), qui s'identifie à un poney ou un cheval dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). Evolving = En évolution (Evolving), qui est actuellement en évolution. Exploring = En exploration (Exploring), qui voyage librement dans le monde de la perversion/kink. Vanilla = Vanille (Vanilla), qui n'a pas de kinks ou de fétiches identifiés. Undecided = Indécis (Undecided), qui n'a pas encore identifié un rôle particulier. Not Applicable = pas applicable (Not Applicable), qui ne souhaite pas spécifier de rôle particulier. Source {en} : Describing Our Roles case How Active Are You I Live it 24/7 = je le vis en 24/7 (tous les jours, tout le temps). I Live The Lifestyle When I Can = je vis le style de vie quand je le peux. Just In Bedroom = seulement dans la chambre à coucher. Once In A While To Spice Things Up = une fois de temps en temps pour pimenter les choses. Curious And Want To Try = curieux et veut essayer. Just Curious Rgith Now = seulement curieux. Case Relationships Single = seul, célibataire ; Dating = voit/fréquente quelqu'un(e) ; Friends With Benefits = ami avec intimité sexuelle ; Play Partners = partenaires de jeux ; In A Relationship = en relation ; Lover = amoureux ; In A Open Relationship = en relation ouverte ; Engaged = fiancé ; Married = marié ; Widow = veuve ; Widower = veuf ; Monogamous = monogame ; Polyamorous = polyamoureux (Quand aimer ne se conjugue pas qu'au singulier) ; In A Poly Group = appartient à un groupe polyamoureux ; In A Leather Family = appartient à une "Leather Family" ; In A Pack = appartient à une "meute" ; In A Rope Family = appartient à une "famille de cordes" ; Member Of A House = membre d'une Maison ; It's Complicated = c'est compliqué. Case D/s Relationships Dominant = Dominant ; Sadist = sadique ; Sadomasochist = sadomasochiste ; Master = Maître ; Mistress = Maîtresse ; Owner = Propriétaire ; Master And Owner = Maître et Propriétaire ; Mistress And Owner = Maîtresse et Propriétaire ; Top = littéralement celui du Dessus ; Daddy = papa ; Mommy = maman ; Brother = frère ; Sister = soeur ; Being Served = est servi ; Considering = considérant ; Protecting = protégeant ; Mentoring = mentor ; Teaching = enseignant ; Training = formateur ; Switches = switch ; submissive = soumise ; masochist = masochiste ; bottom = littéralement celui du dessous ; owned and collared = appartenant avec collier ; owned = appartenant ; property = propriété ; collared = portant le collier ; slave = esclave ; kajira = kajira (cf ci-dessus) ; kajirus = kajirus (cf ci-dessus) ; in service = au service ; under protection = sous la protection ; under consideration = sous la considération ; pet = animal ; toy = jouet ; girl = fille ; boy = garçon ; babygirl = bébé fille ; babyboy = bébé garçon ; brat = soumise insoumise/sale gosse ; Keyholder = porteur de la clé ; in chastity = sous chasteté ; being mentored = sous mentorat ; student = étudiant ; trainee = stagiaire ; unowned = sans propriétaire ; unpartnered = sans partenaire ; It's Complicated = c'est compliqué ; Presently Inactive = actuellement inactif ; Not Applicable = pas applicable.   Liens complémentaires et sources :   {fr} Mode d'emploi francophone pour FetLife {fr} Faq francophone FetLife - Les questions les plus courantes {en} Roles, Orientations and Genders Defined.
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Par : le 31/08/17
Plusieurs personnes dont Tendresseab voudraient avoir des conseils sur le marquage au fer : je propose ici un récapitulatif non exhaustif sur cette pratique EXTREME : il ne s'agit pas d'un simple tatouage, il s'agit d'une brûlure bien réelle, qui est réalisée pour durer plusieurs années. D'où une réflexion profonde à discuter entre deux personnes au sein de la relation DS, et pas, à mon sens, un désir de poser son empreinte sur un coup de tète ! Je ne place dans cet article QUE mes avis et ma pratique, sans exclure d'autres avis bien-sûr, toujours les bienvenus, en précisant 2 points importants : > j'ai réalisé 2 marquages au fer rouge > je suis infirmière, ce qui a facilité l'approche de la technique et les soins "post-op" Je n'aborderai pas les désirs de marquage : ils sont propres à chaque couple et ne se discutent normalement pas . Que l'on trouve cette pratique extrème, oui car c'est le cas : mais merci de ne pas porter de jugement hâtif sur le bien ou le mal de cet acte Voici donc quelques conseils techniques sur les fers en alliage de bronze : pour les autres fers, voir avec le créateur du fer > l'emplacement du marquage : toutes zones charnues du corps (fesses, bras, cuisses, abdomen, épaules, seins.....) Eviter les zones cicatricielles, zones de peau fine, zones osseuses Le fer de grande taille, devra être en contact complet avec la peau > l'état de santé de la personne marquée : ne pas réaliser le marquage lors d'une maladie même bénigne , reporter l'acte . Précision qui peut sembler "logique" mais qui ne l'est pas tant que cela : si la personne devant subir un branding est en phase dépressive, ne pas pratiquer l'acte non plus : physiquement, les brûlures peuvent être beaucoup plus difficiles à cicatriser, et psychologiquement, le vécu du branding peut en être modifié > réalisation : contention de la personne : ça me semble indispensable ! Le fer est chauffé entre 800 et 900°, son application est certes brève mais la douleur est très violente : attacher sur une table par ex, bras et jambes solidement écartés et immobilisés pour éviter tout mouvement incontrôlé > bloc de glace : pour analgésier la zone, vous pouvez mettre un bloc de glace pendant quelques minutes avant (enveloppé dans un tissu et sorti du congel 1/4h avant le marquage : sinon,risque de brûlure par le froid) L'analgésie n'est pas recherchée par tous, à voir selon vos désirs > > asepsie : la zone de marquage sera lavée eau et savon, rinçage +++ et séchage +++ (rasage éventuel) puis, compresse alcoolisée (alcool à70°) à passer sur la zone large > préparation du fer : prévoir un récipient pour poser le fer en fin de marquage Le chauffer sur une flamme de type camping gaz par ex, jamais sur un brasero qui laisseraient des résidus charbonneux (tant pis pour le coté western) Précision : commencer par chauffer l'extrémité du fer (jointure) et finir par le fer lui-même Conseil : lors de cette phase, mettez vous dans la pénombre pour surveiller la couleur de chauffe : le fer ne doit jamais être ROUGE VIF, pour un fer en bronze 2 à 3 minutes suffisent pour atteindre la bonne température Lorsqu'une couleur rouge sombre apparait sur les extrémités du fer, le sortir de la flamme et attendre 5 secondes environ pour que la chaleur se répartisse dans tout le fer : la couleur rouge sombre disparaitra alors. Le fer est prêt pour l'application > Application : d'une main ferme, geste sûr, sans trembler, appliquer le fer sur la peau , sans forcer (vous constaterez combien le fer pénètre la chair) > Temps de pose : ATTENTION : 2 à 3 SECONDES, PAS PLUS (c'est long pour celui qui reçoit et très court pour celui qui applique) Entrainez vous avant, avec le fer froid sur un tissu par ex : vous pouvez prononcer une phrase calmement, du style "Par ce fer, je te marque" Pour stopper la brûlure qui continue après le retrait du fer, posez immédiatement le bloc de glace avec une compresse sur la plaie. > Là, c'est un instant d'émotion pure : je ne vous donne aucun conseil (sourire) > Soins post-marquage : le but du marquage par brûlure de la peau, est de la remplacer par un tissu cicatriciel donc, les soins sont essentiels La cicatrisation sera plus ou moins longue (3 à 4 semaines, voire plus) La plaie sera de suite nettoyée avec des compresses stériles et du sérum physiologique à 0.9 %, pas de coton qui s'accrocherait et laisserait des micro fibres . Pansement tous les jours la 1ère semaine puis tous les 2 jours Si plaie inflammée (rouge et sensible) : nettoyage à la Bétadine (jaune) Protéger la plaie avec un pansement sec, compresse et pommade pour brûlure ou avec un pansement hydrocellulaire (vendu en pharmacie suivant la taille) Ne jamais gratter les croutes, elle tomberont seules Si un problème infectieux survient, rougeur anormale, douleur lancinante, fièvre....consulter immédiatement un médecin et ne pas hésiter à lui expliquer le marquage : il n'est pas là pour juger mais pour vous aider et vous soigner Le marquage obtenu aura une couleur nacrée dans les semaines suivant la fin de la cicatrisation : plus visible sur une peau bronzée par exemple Conseils en collaboration avec Marc Sainteul de "Corpus Delicti" ,créateur de bijoux BDSM
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Par : le 16/02/20
Je précise que le terme "urologie" est plutôt en rapport avec l'étude (médicale) des fonctions urinaires, et donc est impropre aux activités évoquées ici.  Urophilie et golden shower : Définitions, pratiques et hygiène  « Soumission », « humiliation », « intimité », « don », « partage », « marquer son territoire », « fantasme », « bienfaits thérapeutiques », voilà autant de termes qui reviennent dans la bouche des personnes pratiquant l’urophilie comme de celles qui l’observent avec un regard extérieur. Egalement appelé ondinisme ou urolagnie, cet ensemble de pratiques sexuelles, souvent associées au BDSM et consistant entre autres à uriner sur son partenaire, sur son corps ou dans sa bouche, demeure aussi mystérieux que tabouisé par la société. P lacée par les spécialistes de la sexualité, les urologues et les psychiatres, dans la liste des paraphilies, c’est-à-dire des pratiques sexuelles hors normes et "déviantes" voire considérées comme des délits ou des crimes sexuels pour certaines d’entre elles, l’urophilie provoque chez certaines personnes une très puissante excitation érotique. La « golden shower », comme les anglophones l’appellent et que l’on peut traduire littéralement par « douche dorée », fait ainsi partie de ces choses qui inspirent autant la fascination que le dégoût. Elle n’est cependant pas interdite par la loi, pourvu qu’elle soit effectuée dans une relation de consentement entre les différents participants et participantes d’âge adulte. Entre jeu érotique sadomasochiste, fétichisme, mode d’alimentation et médecine naturelle pour les uns, tabou, perversion et trouble clinique pour les autres, difficile d’y voir clair et de se faire un avis objectif sur la question. Au travers de cet article sur l’urophilie, ses différentes variantes, les motivations de ses adeptes, les observations cliniques et les critiques de ses détracteurs, je vais donc essayer de faire tomber cette chape de plomb qui entoure ce terme flou et les pratiques qui se cachent derrière. L’ondinisme est en effet un ensemble de pratiques et de jeux sexuels qui font fantasmer plus d’un et d’une, que certains et certaines pratiquent dans le cadre de jeux sexuels BDSM (jeu de pisse), mais qui peuvent aussi susciter de violentes critiques. Des critiques portant aussi bien sur l’aspect dégoûtant que sur les risques sanitaires et de transmission de maladies sexuellement transmissibles (MST) et d’infections sexuellement transmissibles (IST). Des critiques que l’on peut bien entendu adresser à d’autres pratiques sexuelles bien moins marginales…  Définition de l’urophilie : « Ensemble complexe de pratiques où l’urine joue un rôle d’excitant sexuel »  Sur le plan purement théorique, l’urophilie est sommairement définie comme une « attirance sexuelle d’un urophile pour l’urine ou l’urination ou la miction ». Cette définition simplifiée n’explique cependant que très superficiellement ce qu’est l’urophilie. L’ondinisme constitue en réalité un ensemble complexe de pratiques où l’urine joue un rôle d’excitant sexuel, une sorte d’aphrodisiaque pour ainsi dire. Il serait donc plus juste de parler de définitions (au pluriel) de l’urophilie, car, en plus de la diversité des pratiques liées à la pisse ou à l’action d’uriner, les urophiles n’ont pas forcément les mêmes motivations, les mêmes fantasmes, les mêmes sensations, ni les mêmes façons de pratiquer l’urophilie. De plus, il y a ceux et celles qui reçoivent et les autres qui aspergent – l’un n’empêchant d’ailleurs pas l’autre. Il est en effet nécessaire de préciser que certains urophiles sont à la fois receveurs et donneurs. Dans ce cas-là, ils alternent en fonction de leurs envies, de celles de leur partenaire ou bien au gré des opportunités. Il parait donc nécessaire d’aborder maintenant les différentes pratiques urophiles, tout en précisant d’emblée qu’un ou une urophile ne les pratique pas nécessairement toutes à la fois. En outre, il serait également bon de rappeler que l’urophilie peut être pratiquée aussi bien par les hétérosexuels que par les homosexuels, les lesbiennes urophiles, les pansexuels, etc.  Les pratiques urophiles : De la douche dorée à l’urophagie (boire l’urine de son partenaire) Comme vu ci-dessus, l’urophilie englobe tout un tas de pratiques érotiques liées à l’urine et à l’acte d’uriner. En voici les principales pratiques.  Douche dorée ou golden shower :  Comme l’indique cette expression, la douche dorée consiste à se faire uriner dessus ou à uriner sur son partenaire. Il s’agit d’une des pratiques de base de l’ondinisme. Certaines personnes lui donnent parfois le nom de « pluie dorée » ou de « fontaine dorée ». Ce jeu de pisse peut aussi bien avoir lieu dans un lieu privé que dans un donjon SM ou un club libertin lors d’une soirée exclusivement dédiée à l’ondinisme (plan pisse).  Urophagie : Ce terme désigne le fait de boire l’urine de son partenaire. Si cette pratique peut être réalisée dans le cadre de jeux sexuels, certaines personnes décident de boire de l’urine à des fins thérapeutiques (urinothérapie). Les adeptes de cette thérapie hors du commun parlent de l’urine comme d’un « élixir de vie », d’un « breuvage divin » ou d’un « remède ancestral ».  Omorashi : Plus qu’une pratique, l’omorashi est un terme japonais signifiant « fuite de liquide » et/ou « se mouiller » et désignant plus particulièrement un fétichisme sexuel dans lequel une personne éprouve de l’excitation et du plaisir à voir une vessie pleine. Le summum de l’excitation intervient la plupart du temps au moment où la personne ne peut plus se retenir et se fait pipi dessus. C’est pourquoi certaines personnes la surnomment « désespoir de vessie » ou « slip trempé ».  Urophilie visuelle (vidéo ondinisme) : Davantage individuelle que collective, cette pratique consiste à prendre du plaisir, souvent accompagnée d’une masturbation, devant un film urophile. Ce genre pornographique peut d’ailleurs attirer et être apprécié par des personnes, hommes ou femmes, qui n’ont jamais uriné sur quelqu’un ou qui ne se sont jamais fait uriner dessus. « Vidéo ondinisme », « femme qui urine en vidéo » ou encore « golden shower » sont les principaux mots clés utiliser pour trouver des vidéos d’urophilie sur internet.  Uriner à l’intérieur du vagin : Cette pratique consiste, comme son nom l’indique, à uriner à l’intérieur du vagin, le plus souvent après l’éjaculation. Certaines personnes le font lors d’une sodomie. Pour la personne qui reçoit la pisse, une vague de chaleur l’envahit. Celle-ci peut néanmoins s’accompagner d’une sensation de brûlure. Pour l’homme, lâcher les vannes après une éjaculation s’avère être une sensation très agréable. Mais ne le plaisir ne s’arrête pas là : la vue du mélange de sperme et d’urine s’écoulant des orifices est une source d’excitation supplémentaire ou complémentaire.  Soupeur et soupeuse : Ces deux termes désignent avant tout les adeptes d’une pratique dangereuse sur le plan sanitaire, car elle consiste à manger du pain imbibé d’urine. Le pain ayant trempé plusieurs heures dans un urinoir public (vespasienne), le mélange de plusieurs urines ainsi que toutes les bactéries qui ont pu s’y développer en font un « met » potentiellement dangereux, avec un risque très élevé de MST et d’autres infections (Hépatite A et B, notamment) Une dernière définition qui nous permet de faire la transition avec la question de l’hygiène dans l’ondinisme.  Urophilie et hygiène : Les choses à savoir  Urophilie et hygiène vont de pair. Difficile en effet de parler d’ondinisme sans évoquer l’hygiène et les éventuels risques qui peuvent découler d’une ingestion de pisse, et plus particulièrement quand le donneur a une infection urinaire. Et les risques ne sont pas uniquement liés à la seule action de boire du pipi. Uriner sur son partenaire, et notamment sur le visage, les yeux ou sur le sexe, peut parfois engendrer des complications médicales, du moins des sensations de brûlures. Néanmoins les risques ne sont pas très élevés chez les personnes en bonne santé n’ayant ni infection ni MST. Cependant j’ai entendu dire par des médecins que les yeux, comme le sang, seraient de possibles voies de transmission, à vérifier. Recevoir de l’urine sur le corps : Sensations, plaisirs et risques sanitaires  Selon les différents témoignages que l’on peut retrouver facilement sur internet et notamment sur les forums, recevoir de l’urine sur le corps offre de nombreuses sensations et émotions qui peuvent s’avérer très excitantes pour la personne qui reçoit — comme pour celle qui donne d’ailleurs. Le fluide chaud, les odeurs qui en émanent, la vue du sexe laissant couler la pisse, tout cela représente des sources de stimulation, de désir et de plaisir. L’aspect psychologique n’est non plus pas à oublier ni à négliger dans la pratique de l’uro. Recevoir la pisse de quelqu’un sur soi peut aussi produire une impression de soumission et un sentiment d’humiliation qui sont deux ressorts du plaisir dans les pratiques BDSM. De la même façon, un pisseur ou une pisseuse pourra ressentir un fort sentiment de domination. C’est entre autres ce type de sensations et de plaisirs que recherchent les adeptes de jeux BDSM impliquant l’urine. Mais ce n’est pas tout. L’urine peut aussi être considérée comme un « présent », un « cadeau », un « don ». Dans ce cas-là, la reconnaissance prend le dessus sur les autres sentiments et sensations. Certes beaucoup moins grands que dans l’urophagie, les risques sanitaires ne sont pas inexistants. Même si l’urine est composée à 95% d’eau (avec certaines variations constatées en fonction du niveau d’hydratation), elle contient des déchets rejetés par l’organisme. Ceux-ci ne sont pas forcément très dangereux si les deux personnes sont en bonne santé et ont un bon système immunitaire. Mais si le donneur a une maladie ou une infection, il vaut mieux qu’il évite de pisser sur son ou sa partenaire, et cela même si la peau est une barrière naturelle contre les bactéries. Une petite coupure peut suffire à la transmission de la maladie ou de l’infection. En outre, l’urine peut être un désinfectant pour des plaies et des brûlures superficielles (brûlure d’ortie ou de méduse, par exemple). On recommande cependant de bien désinfecter la plaie et de consulter un médecin en cas de complications.  Boire de l’urine : Goût, sensations, élixir de vie et risques d’infection  Boire de l’urine, notamment l’urine d’autrui, est beaucoup plus risqué que de se faire asperger le corps de pipi. Néanmoins cela n’arrête pas certaines personnes de consommer leur propre urine ou celle de leur partenaire — et dans le cas des soupeurs, celle d’inconnus. Question goût, il s’avère beaucoup plus difficile qu’on ne le croit de trouver un dénominateur commun, même si l’acidité et la sapidité légèrement salée sont les deux saveurs plus évoquées. En effet, le goût de l’urine est propre à l’alimentation de la personne, mais également à son hydratation. Une pisse claire, c’est-à-dire une urine composée en grande partie d’eau, n’aura pas le même goût qu’une pisse foncée et très acide, ou qu’une urine imbibée d’alcool. De la même manière, manger des asperges ou des pâtes au beurre influera grandement sur le goût de la pisse. Les sensations et l’excitation sexuelle pour celui ou celle qui avale de l’urine sont proches de celles procurées par un jet de pisse coulant sur la peau. Néanmoins la saveur et l’odeur sont beaucoup plus présentes, ce qui est logique puisque ce sont surtout le goût et l’odorat qui sont mis à l’épreuve. Comme pour la douche dorée, les questions « domination/soumission » « don/réception » font partie intégrante de l’urophagie. Boire de l’urine est aussi un mode de vie, ou plutôt un mode d’alimentation. Certaines personnes boivent quotidiennement leur urine pour se purger. « Breuvage divin », « élixir de vie », « remède ancestral », le régime urinothérapeutique aurait des bienfaits sur la santé. C’est du moins ce que certaines personnes avancent, arguant notamment que l’urine est utilisée comme un engrais ou du compost (preuve en est, la Mairie de Paris a installé les premiers pissoirs écolos dans la rue). Il est cependant recommandé d’en parler à son médecin quand cette pratique devient quotidienne. Sur le plan sanitaire, il faut être conscient des risques de transmission du VIH, d’IST et de MST. Le risque zéro n’existe pas. Au moindre doute, il vaut mieux s’abstenir et/ou en parler à son médecin. Cela nous mène à notre prochaine partie, à savoir l’urophilie et le VIH/Sida.  Urophilie et VIH/Sida : Faites un dépistage avant un plan pisse !  Comme pour n’importe quelle pratique sexuelle impliquant un contact entre des muqueuses et/ou des sécrétions génitales, le risque de transmission du VIH (Sida) subsiste aussi pour l’ondinisme. Néanmoins il faut que le pisseur ou la pisseuse soit porteur du virus. Donc si vous souhaitez faire un plan pisse avec quelqu’un ou plusieurs personnes, assurez-vous que tout le monde ait fait un test de dépistage du VIH. Vous pouvez également vérifier que vous ne portez pas en vous l’hépatite A ou B et que vous n’avez pas de problème urinaire et/ou rénal — cela ne gâchera pas le plaisir, au contraire !  Histoire de l’ondinisme :  Encore tabou, l’ondinisme n’est pas un thème ayant fait l’objet de recherches historiques très poussées. On ne trouve en effet que très peu de sources sur l’histoire de l’ondinisme — pour ne pas dire aucune. Pour l’instant, l’ondinisme a surtout fait l’objet de recherches cliniques réalisées notamment par l’association française d’urologie secondée par des sociologues, des psychiatres, des spécialistes des paraphilies et troubles sexuels. Ces derniers cherchent avant tout à déceler les origines de ces pulsions sexuelles et à les traiter — des pulsions sexuelles qu’ils considèrent comme une « perversion », une « déviance sexuelle » ou une « fantaisie ». Certains chercheurs ont par ailleurs trouvé des traces de pratiques urophiles ou de cultes de l’urine dans d’autres civilisations. Mais encore une fois, on ne dispose pas encore d’études suffisamment approfondies et de recherches historiques vérifiées pour ériger une histoire de l’urophilie. Néanmoins, l’urophilie apparait dans la culture littéraire et cinématographique.  L’urophilie dans la culture littéraire et cinématographique (Friends, Céline, film porno, etc.)  La littérature du XXème siècle a osé aborder l’urophilie à plusieurs reprises, comme dans les œuvres de Louis-Ferdinand Céline et d’Auguste Le Breton. Ces derniers ont surtout évoqué les soupeurs et leurs habitudes « répugnantes ». Dans l’épisode 1 de la saison 4 de la série américaine Friends, l’urophilie est mise en scène indirectement puisqu’on ne voit pas la scène où Chandler urine sur Monica qui vient d’être piquée par une méduse. Ce qui est intéressant dans cet exemple, c’est que le thème est abordé de façon détournée sans même être cité explicitement. Les notions de remède désinfectant et antidouleur, de répugnance et de tabou sont mises en avant par les personnages qui ne prononcent d’ailleurs jamais le mot. Mais encore une fois, l’urophilie demeure marginale dans les arts comme dans les médias.  Pourquoi la pratique de l’urophilie ?  Si on se place d’un point de vue clinique, l’urolagnie est une paraphilie. Les notions d’anormalité et de perversion sont ainsi très présentes dans le discours des praticiens spécialistes de l’urologie. Ceux qui se basent sur la psychologie et/ou la psychanalyse y voient surtout un retour à la petite enfance (vers 2 ans), période à laquelle les enfants n’éprouvent pas de dégoût pour les excréments et l’urine, mais plutôt une fascination. Du point de vue de ceux et celles qui fantasment ou qui pratiquent l’urophilie, le discours est évidemment tout autre. Les notions de partage, de plaisirs corporels et sensoriels dus à la chaleur et à l’odeur, de confiance en l’autre, mais aussi de domination et de soumission, sont des remarques souvent faites par les adeptes, qu’ils soient pisseurs ou receveurs. Précisons par ailleurs que certains adeptes admettent ne pas aimer le goût ni l’odeur de la pisse, mais être très excités par le fait de voir le fluide sortir de l’orifice de leur partenaire.  Quelques conseils pratiques pour pratiquer l’urophilie  En plus des tests de dépistage de MST et IST, il est conseillé de bien s’hydrater avant de pratiquer l’urophilie, quelle que soit sa forme. Comme vu plus haut, il vaut mieux veiller à son alimentation. Certains aliments colorent, donnent du goût et de l’odeur de l’urine plus que d’autres (les asperges, par exemple). Pour plus d’informations concernant l’ondinisme, vous trouverez ci-dessous plusieurs liens.  Sources et références  Cet article sur l’ondinisme base sur plusieurs sources d’origines scientifiques, journalistiques et sociologiques et sur des témoignages d’adeptes, dont voici les principales sources :  www.urofrance.org  www.planpisse.com  www.objetsdeplaisir.fr/urophilie-1/  www.objetsdeplaisir.fr/urophilie-2/  www.afrosantelgbt.org/chapitre/urophilie/ indepedants.over-blog.com/  www.heteroclite.org/2016/12/urophilie-pratique-risque-37573  www.sexshop-ilxelle.com/blog/bdsm-bondage-sm/urophilie-et-ondinisme/  www.69desirs.fr/experience-urophilie
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Par : le 07/04/20
Elle lui avait téléphoné la veille :" Demain 16h au xx Avenue de Paris au Chesnay appartement 42" puis il avait reçu un message précisant " Tu porteras une culotte en dentelle rouge et un corset assorti bien serré et tu monteras rapidement par l'escalier " Ansi vêtu sous sa veste et son pantalon en jean,il craignait le regard des passants, et surtout celui de ces belles versaillaises si élégantes avec leurs petites jupes écossaises et leurs chemises blanches. Allaient-elles imaginer qu'il avait rendez-vous avec l'une d'entre elles pour sa première séance de dressage? Oui il était un homme soumis. Cela avait été long pour l accepter, mais depuis que c'était chose faite, il se sentait mieux. Il se souvenait des sensations si agréables quand ses potes de karaté lui touchaient le sexe à plusieurs, impressionnés par sa taille . Il se souvenait la première fois qu'une amie l'avait obligé à se mettre à genoux sous sa jupe pour un cuni rapide après un pari stupide. Son sexe avait gonflé de plaisir de cette humiliation. Alors il s'était inscrit là, sur ce site de rencontres un peu particulières. Oh cela ne s'était pas fait sans hésitation. Mais ce déménagement en Île de France lui avait fait perdre sa partenaire. Et ces moments de soumission lui manquaient, c'était un réel besoin viscéral. Alors quand Maitresse Julie l'avait contacté pour lui proposer un rendez-vous chez elle, il avait de suite accepté avec enthousiasme.... Et me voilà tout intimidé devant ce bel immeuble de type Mansart à la grande porte en chaîne sculptée aux armes d'un quelconque noble disparu. Je tape le numéro 42 sur le digicode et j'entends le déclenchement de l'ouverture de la porte. Mon coeur rate un battement d émotion et je sens un frémissement dans mon ventre. Je cherche l escalier des yeux. Où est-il? Derrière cette porte? Non! Ah , suis-je nerveux, une flèche cuivrée dans un cadre de chêne indique sa direction. Je me précipite et monte deux par deux les marches en faux marbre de cet escalier majestueux. Une corde rouge court sur le mur tout du long, glissée régulièrement dans des anneaux de cuivre. Au troisième palier mon allure ralentit un peu. J'arrive tremblant et troublé au quatrième étage. Un carrelage blanc très chic s'éloigne des deux côtés. Mes yeux cherchent et trouvent rapidement la bonne porte. Elle s'ouvre devant moi et ma Maitresse apparaît. La silhouette de sa longue robe du soir se profile à contrejour, encadrée du montant de la porte et j aperçois derrière elle un couloir recouvert de moquette qui semble filer jusqu'à l'horizon. Le bras gauche tendu, une longue main fine couverte de bagues brillantes se pose sur mon sternum. Je suis pétrifié et ose à peine respirer. Son autre main vient se poser sur ma tête et appuie fermement. Mon cou se courbe,mon menton vient s'appuyer sur mon col . Instinctivement mes yeux se baissent sur la poitrine opulente de Maitresse Julie. Je rougis. La pression s'accentue et les deux mains s'emparent de mes épaules. Un murmure parvient à mes oreilles : " À genoux le chien! Devant moi." Mes jambes se plient sans que ma volonté intervienne. "Mains sur la tête! " . Heureux d'obéir, mes bras se plient et mes mains se croisent sur ma nuque. " Mmmm bien . Gentil chien " . Elle se penche vers moi et je sens son souffle dans mes cheveux. Malgré le plaisir éprouvé, j'ai très peur qu'un de ses voisins n'ouvre sa porte et ne me surprenne dans cette position humiliante. En même temps, le risque décuple les sensations, ma respiration accélère et je sens mon sexe gonfler. Elle saisit mon menton entre son pouce et son index et je sens son majeur forcer ma bouche. Mes dents s'écartent et son doigt se replie sur mes incisives inférieures. Elle tire sur ma mâchoire et murmure "Avance... ". Mes genoux progressent chacun leur tour sur le paillasson. La barre de seuil appuie fortement et je gémis. Une claque me fait retenir le gémissement suivant. J'entre dans cet appartement luxueux dans une position très humiliante et mon âme de soumis se réjouit. Après avoir passé la porte je vois sur ma gauche un fauteuil Voltaire habillé de toile de Jouy. Le doigt sort très lentement de ma bouche et je comprends que la porte se referme. Maîtresse Julie relève légèrement sa robe et s'assoit dignement sur le fauteuil. Elle saisit une badine accrochée au bras du fauteuil et soulève mon menton : " As-tu bien suivi mes consignes? " Je hoche la tête et murmure :" Oui Maitresse Julie" je savoure ces mots enfin prononcés à haute voix. Ma tête penchée en arrière je m'efforce de garder les yeux baissés. Elle sort sa langue et lèche ma joue. " Mmm tu transpires. Voyons voir. Ôte ta veste que je vérifie " . Mes doigts fébriles déboutonnent les fausses pressions de ma veste difficilement. Pourquoi les boutonnières sont-elles donc si petites? La crainte de faire attendre ma domina rendent mes mouvements encore plus maladroits. Elle ressent mon anxiété et caresse doucement ma tête. " Cool. On a le temps. Calme toi donc sale petit chien. " Ce mélange d'insultes et de douceur me perturbent encore plus. Mes yeux s' humidifient d'angoisse. Elle prend mes mains entre les siennes , les écarte et je me retrouve les bras ballants, la tête basse, les yeux humides de honte . Elle finit en murmurant :" Petit chien, il va falloir apprendre à mieux obéir. Tu vas être puni. " Et d'un coup sec elle m'arrache ma veste. Je perds un peu l'équilibre et me retrouve le front au sol. " Joli déshabillé, il te va très bien. L'as-tu volé à ton ancienne domina? Ou est-ce un cadeau? "Elle rit "Non tu l'as acheté exprès sur internet? Ou dans une boutique en disant que c'était pour ta petite amie? " Je murmure :" Sur Internet Maîtresse Julie " un franc sourire éclaire son visage " Au moins tu as du goût , même sur toi c'est très mignon " Heureux je frotte ma tête à ses chevilles et les entoure de mes mains. Elle se penche et caresse mon crâne . Mes cheveux ne sont pas si courts et elle tire un peu dessus pour relever ma tête ." Bien. Reste à terre et ôte ton pantalon et tes chaussures " Et pour être certaine que je ne me relève pas ,sa botte se pose sur ma joue et appuie de plus en plus. Je me contorsionne en tous sens et arrive à me dévêtir . " Mignonne petite culotte" s esclaffe-t-elle! Je rougis. La dentelle m'irrite . Des rougeurs sont apparues au creux de l'aine. Mon sexe est compressé, le gland coincé sous l'élastique me fait un peu mal. L'excitation tente de le redresser . Douleur et plaisir, honte et fierté, que de sentiments mélangés. "Bien, dit-elle en se relevant, nous n'allons pas passer la journée dans l'entrée! " Elle me tire les cheveux pour me faire avancer à quatre pattes sur la moquette qui brûle mes genoux nus. Nous arrivons dans un grand salon. Je ne vois que les bas des meubles mais il respire le luxe pour mes yeux de prolétaire provincial. L'assortiment des matières nobles indiquent un goût certain. Ma domina me dirige vers un canapé en peau de vachette et je vois une lirette qui dénote avec la décoration. "Vois ce petit tapis. Ce sera là ta place le chien quand tu m'entendras t'y envoyer . À genoux! Mains sur la tête! Et baisse les yeux! Tu vas te punir. Tu vas te fesser, compter, alterner les deux côtés, et dire après chaque : Merci Maîtresse . As-tu compris? Ou dois-je répéter? " Ces deux questions à la suite dont les réponses sont contraires me perturbent. Je me mets à bafouiller :" oui Maîtresse, non Maîtresse , heu....." Ma confusion la fait rire et je perds encore plus mes moyens. " Qu'attends-tu ? Commence " Rouge de honte je me penche un peu, me donne une claque sur la fesse droite et murmure :" Un Merci Maîtresse " Un coup de badine sur mes cuisses me déséquilibre et je l'entends me sussurer en se penchant sur moi : "Bien petit chien, mais je ne t'entends pas assez . Un peu plus fort s'il te plait. " Je me redresse et me fesse à gauche : "Deux, Merci Maîtresse " je perds de nouveau l'équilibre. Honteux de mon échec je tente de me relever. " Il va falloir t'entraîner chez toi d'ici la prochaine fois! Bon pour cette fois, allonge-toi sur le dos. " Allongé sur le dos,je serre mes genoux relevés et claque à droite en criant presque "Trois! Merci Maîtresse! " Elle approuve de la tête et je continue jusqu'à huit. La paume de mes mains est douloureuse, mon sexe se dresse un peu plus à chaque coup malgré la culotte qui le comprime, mes fesses commencent à me faire mal. "Stop! À quatre pattes! Tête au sol! Mains sur la tête! Pieds croisés! "Les ordres retentissent dans la pièce. Je m' efforce d'obéir rapidement. Une caresse me réconforte. Ma Maitresse est satisfaite. Je laisse échapper un petit soupir de satisfaction. Je sens un doigt se glisser sous l'élastique de la culotte et la glisser à mi-cuisses. Il me griffe l intérieur de la raie et vient appuyer sur mon anus . Malgré moi je me redresse un peu mais mon mouvement est vite interrompu quand je reçois un coup de badine sur mes fesses dressées. " Pas bouger le chien! Au sol!" Je replie mes jambes et mes fesses s'écartent un peu. Je sens un doigt s'immiscer dans mon orifice et je gémis, honte et plaisir, douleur et fierté, tout se mélange. Elle me masse doucement. Le plaisir monte en moi. Je commence à baver par terre. De l'autre main elle redresse ma tête pour savourer mon plaisir. D'un petit coup de langue elle remonte ma bave dans la bouche, lèche mes lèvres et mon menton,puis me mordille l'oreille. Son doigt s'agite de plus en plus et un deuxième le rejoint. Elle tire sur mon sphincter qui se dilate. Mon corps se souvient des doigtés de mon amie de province et un peu de sperme coule au sol. Les yeux de Maitresse Julie brillent de plaisir mais elle fronce les sourcils. Ses doigts quittent mon trou et je gémis de frustration." À genoux! Mains sur la tête " Elle s'assoit devant moi, remonte sa robe sur ses cuisses, écarte des jambes parfaites et j'aperçois son sexe délicatement poilu bien ouvert. " C'est bien petit chien, je t'autorise à te masturber, Mais Interdit De Jouir!! Une seule main! Et regarde moi! " Ma main s'agite, mon sexe grandit. Maîtresse Julie me regarde et je ne sais interpréter son expression. Ma deuxième main descend vers mon sexe et un coup de pied me fait rouler sur le côté. " Tu vas devoir apprendre à obéir! Une seule main! Qu'est ce que tu n'as pas compris? Allez sur le dos et tu te fesses comme tout à l'heure! Compris? " Frustré, honteux, je murmure :" Oui Maîtresse Julie " je me repositionne sur le dos et me fesse de nouveau. Mes mains et mes fesses me brûlent et je pleure. Mon nez coule et je bave. Mon décompte ne s'entend pas. Un pied bloque mon bras dès la deuxième claque assenée. Ma domina se baisse à croupeton sur mon visage, sa robe du soir est relevée et coincée dans son soutien gorge de dentelle rouge. Je comprends son exigence de couleur. Sa chatte s'écarte devant mes yeux éblouis. Elle suinte de mouille et vient se positionner sur ma bouche qui s'ouvre . Je tends ma langue et suçotte son clitoris. Enfin! Ça y est! J'ai enfin un soumis obéissant! Un peu maladroit certes, mais c'est notre première séance, je dois le ménager. Sinon il ne reviendra pas et ce serait fort dommage. Je lui pressens un fort potentiel à ce gars. Il n'en est même pas conscient. Il n'a sûrement jamais vu un tel logement dans sa province miteuse. Et bon sang, ce corps, wahou, je ne suis pas déçue. Beau cul belle gueule comme on dit. Langue agile en plus. Ma kundalini libérée s'enroule le long de ma colonne. Oh la vache! Plusieurs orgasmes d affilée. Trop bon. Allons, je dois être raisonnable, mais ce courant partout! Il a eu une bonne domina! Je vais me le mijoter aux petits oignons celui-ci. Mmmm Je sens le plaisir de Maitresse Julie couler dans ma bouche. Mon sexe se tend à me faire mal. Elle se redresse , se met à genoux à côté de moi et griffe doucement ma verge en pleine érection. Son regard capture le mien. Un sourire étire ses lèvres. Elle s'assoit à nouveau sur le canapé. Je trouve que son plaisir visible lui fait perdre un peu de dignité. Mais cela m'excite encore plus. " À genoux, branle toi et je t'autorise à jouir sur mes bottes gentil petit chien !" Ma main s'agite tout du long de mon sexe. Elle monte et descend, serre et se relâche. C'est si bon. Mais je crains que Maîtresse Julie ne m'interrompe et cela freine mon plaisir. " Stop! " Je lâche ma verge tendue en gémissant. Je mords ma lèvre d'angoisse. Une main relève ma tête. Maitresse Julie avance au bord du canapé, les cuisses écartées. Elle attire ma tête vers son sexe ouvert et glisse une jambe entre mes cuisses. " Tu vas lécher ma chatte petit chien. Tu as le droit de te branler mais donne moi du plaisir sinon gare à toi. " Son pied se dresse et remonte mes testicules vers mon scrotum. Je bande si fort que j'ai presque mal. Ce plaisir mélangé à la douleur et à l humiliation me réjouit. Je suis si bien là, aux pieds de ma Maitresse." Pourvu qu'elle accepte de me recevoir de nouveau. Pourvu que cette séance lui ait plu...Pourvu...Non , arrête de penser! Tu dois bien la faire jouir! ..." Je glisse ma tête vers ce moulin à miel offert. Ma langue titille le clitoris dressé. Mon nez souffle doucement sur sa vulve. Puis ma langue pénètre son intimité et je sens son plaisir jaillir. J'éjacule au même instant sur les bottes de cuir. Une boucle griffe ma fesse et un dernier courant de plaisir me parcourt. Je me tends et pousse un petit cri retenu. Ma tête est fermement maintenue et je continue à lécher ma Maitresse. Elle me pousse vers son anus et ma langue agile le pénètre délicatement. Ses cris sont indignes d'une domina mais je suis certain qu'elle ne simule pas. Elle crie:" je veux sentir tes doigts! " Je m'exécute fébrilement. Je n'ai jamais rencontré une femme qui réagisse de manière si intense, pourtant j'ai une certaine expérience. Je doigte m'a maîtresse tout en agitant ma langue. Ses mains tirent mes cheveux. Elle a lâché prise. Je suis si heureux. Puis brutalement elle me repousse d'un coup de pied au sternum, tire sa robe sur ses genoux et étend ses jambes. "Nettoie mes bottes! Lèche! Chien! " Le moment est passé, elle reprend un air sévère. À ses pieds je lèche ma semence répandue sur ses bottes. Mon hésitation me vaut des coups de badine : " Les femmes le font! C'est ton jus! Te crois-tu supérieur à une femme? Nettoie et plus vite! Ta langue est agile! Prouve le encore! " J obéis et sens une érection tendre mon sexe. Le cuir des bottes brillent de ma salive. Maîtresse Julie se penche en avant ,saisit mes couilles et leur inflige une violente torsion. La douleur parcourt tout mon corps en un instant. Je pleure et tremble, douleur et plaisir, je ne sais plus où j'en suis. De douces mains enserrent mon torse, je m'étire légèrement vers le haut. Ma Maitresse me caresse, m'embrasse doucement, et murmure tout bas, ma tête blottie entre ses seins généreux :" je suis contente de toi petit chien. Ta domina t'a bien éduqué. Je vais te faire dépasser tes limites. " Puis elle me fait asseoir sur mon tapis , me caresse gentiment, et m'autorise à me branler en la regardant. Elle se lève et revient vite, un bol plein d'eau à la main posé sur un plateau métallique . Sa main interrompt de nouveau mon plaisir. "As-tu soif petit chien? " Je lève un regard douloureux vers elle et hoche la tête. Elle désigne le bol d'un claquement de doigts. Je me remets à quatre pattes et commence à laper. Une caresse sur mes reins m'assure que j'ai bien interprété son souhait. L'eau coule le long de mon menton sur mon torse. Un frisson me parcourt. Maîtresse va ranger le bol mais laisse le plateau. Puis d'un geste moqueur elle m'ordonne de reprendre ma masturbation. Son regard glacial limite mon érection. Je gémis de douleur et reçoit plusieurs coups de badine. " À quatre pattes le chien! " je m'exécute vivement et elle commence à me branler violemment. Je serre les dents de honte et de douleur. Mais le plaisir monte, il irradie de mon bas-ventre, parcourt tout mon corps. Et au moment où son majeur me pénètre j'éjacule royalement dans le plateau avec un râle d'agonie. Je reste tremblant sur mes bras tendus. Mon bassin s'affaisse. Je sens des bras m'enserrer la taille, des lèvres lécher mon oreille gauche et j'entends dans un murmure . " C'est bien petit chien, je crois que nous nous reverrons ". Elle me laisse ainsi reprendre mon souffle puis revient avec des fruits secs dans une gamelle pour chien. Elle fait couler mon sperme dessus, attrape mes cheveux, pousse ma tête vers l'assiette. Sans rien dire j'attrape les fruits du bout des dents, lève les yeux vers Maîtresse Julie et croque le mélange. Je recommence jusqu'à vider l'assiette . Un froncement de sourcils me fait comprendre que je dois nettoyer l'assiette avec ma langue. Honteux du plaisir ressenti, je lèche jusqu'à la disparition de toute trace. Maîtresse Julie s'est redressée. Elle tapote l'intérieur de mes cuisses de sa badine de plus en plus fort. Un mélange de douleur et de plaisir électrise mon corps. Elle pousse la gamelle du pied et l'envoie rouler loin de moi. Puis avec un petit sourire en coin elle m'ordonne dans un claquement de doigts d'aller la chercher. Toujours à quatre pattes je me dirige vers le fauteuil sous lequel la gamelle a glissé. Je tends la main pour l'attraper mais un coup de badine brutal sur mes fesses stoppe de suite mon geste. "Un chien n'a pas de mains voyons. Aurais-tu oublié que tu n'es qu'un chien? " Je rougis, me colle au sol et rampe sous le fauteuil. Mon arrière-train dépasse . Une main appuie dessus et je me retrouve à plat ventre." Pas bouger le chien " Je me transforme en statue . Mes jambes sont violemment écartées, mon bassin soulevé, et je sens qu'un rouleau de plastique décoré de pointe est glissé sous mon ventre. La peur contracte mes muscles et me tétanise. Je ne vois rien. Le silence devient oppressant. Le bas de mon corps est à la merci de Maitresse Julie. Elle introduit alors un embout dans mon anus et de la vaseline en jaillit. Rassuré je me détends. Je sens des doigts me pénétrer. Je relache mon corps puis un gode les remplace. Le plaisir m'envahit. Il irradie. Je crie mon plaisir et le gode est ôté brutalement. Une tape me rappelle que je n'ai pas eu d'autorisation pour jouir. Mon sexe se replie. Maîtresse Julie pousse le fauteuil, se baisse et me muselle avec un torchon. Elle pose la gamelle sur ma tête. Puis elle me gode à fond en griffant mon dos. Penchée sur moi elle susurre: branle toi et jouis chien. Mes mains s'emparent fébrilement de mon sexe et leurs mouvements s'adaptent à celui de ma Maitresse. Je jouis de nouveau malgré l'inconfort de la situation . Mon ventre me brûle, mon fondement me brûle, mon sexe me brûle, mais je lâche prise et connais un moment d'extase. Des caresses sur mon dos permettent un retour en douceur dans mon corps. Mon sexe coule, mon nez coule, de la bave coule sur mon menton. Je plane encore. Maîtresse se lève et une douce couverture recouvre mon corps. Mes yeux se ferment de plénitude, je suis comblé et m'assoupit. Il est beau au repos ce bougre, je vais améliorer ses cuni et il sera prêt pour le concours. Sa bandaison est belle, il récupère vite. J'ai bien fait de le contacter. Cela va être un vrai plaisir je pense. Allongé au milieu du salon, le soumis rêve puis s'éveille. Une belle femme en robe du soir l observe. D'un claquement de doigts elle lui montre le couloir. Il tente de se relever mais le poids d'un pied sur son dos lui fait vite comprendre qu'il doit ramper. Il se déplace ainsi jusqu'à l'entrée. De la badine sa maitresse lui montre ses vêtements. Il se rhabille au sol. Un geste pour le mettre à genoux. La porte s'ouvre. Le couloir est vide. Il sort comme il est entré, il y a une éternité, à genoux les mains sur la tête. La lourde porte sécurisée se referme sans un bruit. Il se relève et se dirige vers l'escalier. Les quatre étages lui offre le laps de temps nécessaire pour qu'il quitte son personnage . La brûlure à l'aine lui rappellera cette soirée pendant un moment. Il sort de l'immeuble et sourit à la vie. Un bus passe . Il décide de marcher,libre et heureux. Cette belle séance lui a permis d'évacuer le stress. Sa nouvelle vie en région parisienne commence sous d'heureux auspices. La lune qui brille entre deux bâtiments lui adresse un clin d'oeil complice.
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Par : le 23/02/20
Un nouveau chapitre de notre histoire préférée à ma soumise et moi-même. Cela faisait quelques semaines, mais il ne faut pas trop la gâter... Bien, nous en étions restés au moment où, après avoir été présentée aux clients de l'Académie avec les autres novices, tâtée et humiliée sur le podium devant les photographes et les yeux scrutateurs des sadiques de l'assistance, la demoiselle était emmenée. Elle se retrouva entre deux gardes, passant à travers les couloirs. Son souffle était encore haletant après la peur et le déluge de sensations. Les caresses, les regards lubriques, les parfums étouffants de la pièce, semblaient perdurer autour d'elle. Une chaleur moite montait de son corps. Les crèmes qu'on avait étalées sur sa peau semblaient dégager une aura qui mettait son corps aux aguets, sensible à chaque caresse de l'air et à chaque gémissement autour d'elle. Les scènes passaient en un éclair devant ses yeux. Une main posée à plat sur un sein à la lueur d'une flamme, qui se serrait soudain et glissait jusqu'à ce que les doigts se referment, implacablement, sur le téton. Un corps rose étalé sur un meuble, rond et ouvert, donc les courbes se tordaient, de plus en plus étirés, à mesure que chaque centimètre de peau était couvert par la cire brûlante d'une bougie. Une bouche qui glissait le long d'un phallus de métal scintillant, poussée toujours plus loin par une main gantée contre sa nuque. Des cris faisaient tressauter son cœur. Un "ah" perçant de surprise, arraché à un visage enfantin par un coup de fouet inattendu. Un gémissement long et monotone, épuisé déjà, d'une jeune fille attachée à une roue. Un râle émanant d'une sorte de masque de cuir, dont la seule ouverture était bouchée le reste du temps par le sexe des hommes qui s'en servaient. Des corps la frôlaient. Les hommes, souvent en costumes de soirée, tenant en laisse des demoiselles ou des soumises d'une autre origine, jetaient un œil cupide à ses formes en la voyant passer. Les filles ne la regardaient pas, les yeux à terre ou toutes entières concentrées sur leur tâche ou leur douleur. Les gardes l'arrêtèrent devant un meuble étrange. Celui de derrière la plaqua négligemment contre le mur, en grognant "Ne bouge pas." Sans oser bouger, elle les regarda s'affairer autour du meuble. On aurait dit une petite armoire à première vue, haute d'un peu plus d'un mètre et demi, et fermée de tous les côtés. Ils l'ouvrirent par en haut, et entreprirent d'en défaire la partie supérieure. Des petite trappes circulaires s'ouvraient, à l'avant et en bas à l'arrière. Puis ils ouvrirent le côté, et la demoiselle put en voir l'intérieur. La panique fit trembler ses jambes. Sans les sévices qu'elle avait enduré jusque là, elle aurait pris la fuite aussitôt. la partie supérieure était évidée. On voulait l'enfermer dans cette cage de bois. Et dans la partie inférieure, au niveau de son abdomen, un triangle de bois pointait vers le haut, étalant son arête sur toute la longueur du meuble. Les trous en bas étaient pour ses pieds. Ils allaient la faire s'asseoir sur cette pointe effilée. Aussitôt le côté du meuble ouvert, les gardes la prirent par les jambes et la firent chevaucher ce "cheval de bois" étroit. A l'arrière du meuble, des anneaux permettaient d'attacher ses bras. Quand ils lui firent lâcher le montant de la boîte, auquel sa main s'était agrippée par réflexe, elle n'eut plus aucun point d'appui. Ses genoux tombèrent sur les côtés du triangle, et son entrejambe s'enfonça contre l'arête effilée. La douleur monta d'un coup. Comme si on était en train de la couper en deux par en bas. Mais son gémissement à peine commencé fut étranglé. Un des gardes profita de ce que sa bouche était ouverte et y enfourna un godemiché noir. Il attrapa son cou et tira son visage en avant, pour visser ce bâillon infernal à l'avant de la machine. Enfin, l'autre garde appuya sur son dos, poussant son corps en avant. L'arête du triangle écrasa contre elle une de ses lèvres intimes, et les pleurs jaillirent de ses yeux. L'autre garde s'était baissé, et ajusta les trappes à l'avant du meuble. Les yeux de la demoiselle se baissèrent sur le spectacle obscène de ses seins, comprimés et poussés en avant par l'impitoyable machine, qui ressortaient du meuble comme deux globes de chair désincarnés. Après avoir ajusté une planche du meuble pour pousser sa poitrine le plus avant possible, le garde derrière elle s'approcha de son oreille et murmura "Pas de douceur pour toi par en dessous ce soir. On protège vos parties intimes, pour nos clients les plus "select". Ouvre grand les yeux, et profite du spectacle. Tu vas voir ce qui t'attend. Et un conseil: oublie la douleur. Ce n'est rien à côté de ce que tu vas connaître..." Quand ils furent partis, un calme de purgatoire s'abattit sur la demoiselle. La douleur dans son entrejambe commença par monter jusqu'à devenir intolérable. Tout son corps était tendu, accroché à cette arête qui broyait sa peau la plus tendre sous son propre poids Elle entra dans une sorte de transe, d'où elle se réveillait par a-coups, dans de nouvelles crises de douleur ou quand le godemiché dans sa bouche la faisait s'étrangler. Le monde autour d'elle semblait bouger au ralenti, flou, dans ce temps qui n'avançait plus, qui n'était qu'abandon à la douleur et vulnérabilité totale. Soudain, une sensation nouvelle s'empara d'elle. Ses yeux qui s'étaient à demi-fermés s'ouvrirent grand. Une main s'était posée sur ses seins Un homme se tenait devant elle. De sa position, elle devait lever les yeux pour voir son visage. Il ne la regardait pas. Il parlait avec quelqu'un d'autre qu'elle ne pouvait pas voir. A côté de lui, à genoux, une jeune fille attendait. Elle avait la peau mate, et des yeux verts tellement brillants que la demoiselle en oublia sa douleur. Elle avait rarement vu une jeune femme aussi belle. Les courbes de son corps étaient à peine visibles dans la pénombre, mais la grâce de ses mouvements, même les plus discrets, était ensorceleuse. Un bruit près de son corps rappela à elle la pauvre prisonnière dans sa boîte infernale. L'homme ouvrait sa braguette. Aussitôt, le visage aux yeux verts s'avança, et une langue lascive en sortit, baignant de salive le sexe déjà en érection du maître. Ce ballet, ce va et vient de la langue sur ce membre qu'elle ne percevait que du coin de l’œil - son visage était fixé à la boîte par le godemiché - semblaient surréels pour la demoiselle. Que faisaient-ils devant elle, ainsi? Dans le brouillard de douleur et de fatigue qui la tenait, son esprit ne parvenait pas à comprendre cette cérémonie étrange, qui semblait détachée entièrement du reste de la soirée. Puis les bras de la jeune femme montèrent le long du meuble, et ses mains s'arrêtèrent sur les deux seins qui en ressortaient. La demoiselle sentit les doigts serrer, tirer, malaxer. Entre ses deux seins, doucement, monta le sexe de cet homme. La jeune femme aux yeux verts le masturbait avec ce jouet humain, ces mamelles sans corps sorties de la boîte comme par magie. Sans les voir, le visage toujours fixé en avant, la demoiselle put sentir les doigts, le membre qui se gonflait de plus en plus dans les plis de sa chair, les caresses que lui administrait la savante et habile esclave Elle sentit se tendre le pénis, les mouvements se firent de plus en plus rapides. Les boules de l'homme frappaient à présent le bas de ses seins. Puis un bruit sourd. Le bras de l'homme s'était baissé d'un coup, frappant le visage aux yeux verts d'une claque violente. "Assez!" L'homme, toujours sans la regarder, passa la main sur son sexe puis essuya la salive de son esclave sur les cheveux de la demoiselle Puis il repartit, entraînant avec lui la jeune femme à quatre pattes, dont le corps serpenta le long de la salle, ses hanches se soulevant et s'abaissant de nouveau comme le mouvement d'une vague qui se perdait dans la tempête de l'orgie. Les yeux de la demoiselle se fermèrent, ses forces l'avaient lâchée. La douleur, le bruit autour d'elle, tout ne fut plus qu'un long demi-sommeil maladif. Bercé parfois par la lueur mystérieuse, lointaine, de deux yeux verts. Voilà pour cette fois. N'hésitez pas si vous avez quelques idées à rajouter pour la suite. Je suis preneur, mon imagination se nourrit de tout. Et bien entendu, je réitère, ne refaites pas ça chez vous. A moins d'être vraiment un ébéniste de génie! ;)
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Par : le 22/09/16
Subspace & After Care by Sue Rozen ( http://femdommag.com/?p=32 ) (pour un soucis de pratique dû à la traduction du neutre en anglais et pour ne pas répéter les termes au féminin puis au masculin, je garderai le terme "Doms" (regroupant dominateurs et dominatrices) et "Sub" pour les soumis et soumises. J'utiliserai ensuite un masculin général mais ceci s'adresse autant aux femmes qu'aux hommes) Pendant mes cours avec des doms nouveaux ou peu expérimentés, quand je mentionne le subspace la réponse que j'entends le plus souvent c'est "qu'est ce que c'est?" Le Subspace et l'aftercare sont deux sujets dont certains sont complètement ignorant. Pour s'assurer que tout le monde soit heureux et en sécurité cependant, les Dommes ont besoin d'une connaissance active de ce qu'est le subspace, ce qui le provoque, comment identifier si un sub entre en subspace pendant la session et comment en repérer les signes. Le D/s est universel dans le sens ou il ne concerne pas que le jeu de rôles, la jouissance, le plaisir, la joie, le contrôle et toutes les choses excitantes que nous faisons. Il concerne des personnes réelles, leurs envies et leurs besoins. Un Dom consciencieux saura qu'il est responsable du bien être de son sub. Une part de cette responsabilité implique de savoir ce qui peut arriver à son Sub quand il interagit avec lui. En tant que scientifique qui a personnellement l'expérience du D/s et le bénéfice de recherches en physiologie humaine et en biochimique, je vais essayer de partager des conseils tout en expliquant le côté scientifique de notre sujet. D'abord, qu'est ce que le subspace? Le subspace [littérallement traduit "état/espace de soumission"], aussi appelé le headspace, est le nom donné à un état mental et physique du sub lorsqu'il est profondément pris dans un jeu ou une scène. C'est un état second insaisissable et recherché qui est le saint Graal de beaucoup de subs. Certaines pratiques du BDSM provoquent des réponses physiques fortes. L'aspect physiologique du BDSM cause aussi à beaucoup de subs une séparation mentale entre eux et leur environnement quand il font l'expérience du subspace. Un subspace profond est souvent caractérisé par un état de récession profonde et d'incohérence. Un Subspace profond peut éventuellement mettre en danger des subs inexpérimentés qui ne sont pas familier avec ses effets. Cet état requiers que le Dom soit particulièrement vigilant à ce que son sub ne se mette pas lui-même en danger. Comment cela arrive-t-il? (Accrochez vous à vos sièges, c'est la partie scientifique) Pendant la session, l'expérience intense de douleur et de plaisir déclenche une réaction du système nerveux, celle ci cause la libération d'adrénaline dans le corps du sub. D'autres substances sont alors libérées, comme les endorphines et enképhalines (qui sont des anti douleurs naturels), et ces agents naturels vont alors combattre le stress imposé à l'organisme et produire effet comparable à celui d'une prise de morphine. Ces réactions chimiques de l'organisme ont cet effet sur le cerveau qu'ils accroissent sa résistance à la douleur, plus le jeu s'intensifie, plus cet effet s'approfondit. Sous l'influence ce ces réactions chimiques, le sujet entre alors dans un genre de transe. Le sub commence à se sentir détaché de son corps, de la réalité, comme s'il flottait ou planait. Beaucoup de sub, atteignant ce point, perdent la sensation de douleur et n'importe quel stimulus prolonge cet état. Une fois que le système nerveux parasympathique reviens en force pour contrer les effets du surplus des réactions sus-nommées, une profonde fatigue et une incohérence peuvent parfois se faire sentir. C'est à ce moment que la notion d'aftercare devient importante pour le bien-être du sub. Ok, c'est très bien tout ça, mais qu'est ce que ça implique en réalité? Les Subs qui tombent profondément dans le subspace peuvent souvent être incapacités dans leur communication. Ça veut dire qu'ils ne sont plus capable d'utiliser leur safeword ou safesignals quand les choses tournent mal! En fait ils ne seront même pas conscients que le choses tournent mal! Cette capacité réduite ou absente à communiquer avec leur Dom, combiné avec le fait qu'ils sont moins ou plus capables de ressentir la douleur à cause du trop haut niveau d'endorphines présentes dans leurs corps, peuvent amener la scène à aller trop loin. Si par exemple, un Dom peu expérimenté doit gérer un sub qui est est tombé dans un subspace profond, et qu'il ne sait pas comment en reconnaitre les symptômes, ce Dom peut passer la limite de la résistance physique et aller trop loin en attendant sincèrement un safeword qui ne viendra pas parce que son sub est incapable de le lui donner. Du coup qu'est ce que je cherche? Quels sont les signes que mon sub est parti en subspace? C'est exactement comme le reste, ça varie d'un individue à l'autre. Le temps qu'il faut pour atteindre le subspace, le genre d'activité qui le déclenchent sont souvent spécifiques à chaque individu. Pour certainil faut de longues séances de stimulation physique, pour d'autres ce peut être simplement la voix de leur dom ou être touché qui les envoie dans cet état particulier. Mais il y a quand même quelques signes révélateurs: Le soumis va devenir moins communicatif verbalement lorsqu'il entre dans une phase intense du subspace. Le Dom va certainement noter une difficulté à utiliser des mots pour communiquer ou décrire les ressentis, remplacé par des gémissements ou des grognements (qui sont, admettons le, difficile à interpréter). Il y a des changement de couleurs de peau, les yeux peuvent se révulser. Le corps peut devenir complètement amorphe (ce qui est étonnant car une stimulation physique devrait induire une tension des muscles en réaction logique d'une punition) En apprenant à connaitre son Sub, le Dom identifiera ses signes particuliers d'atteinte du subspace. Le "trip" que provoque les endorphines mixées à l'adrénaline est souvent comparé par les subs à un "trip" induit par une drogue et peut être adictif. Exactement comme peut l'être la libération des mêmes hormones pendant la pratique d'un sport. Un sub peut supplier pour plus de stimulation physique pour se garder en subspace sans se rendre compte que cela peut finir en une véritable blessure. C'est là que le rôle revient au dominant de garder le contrôle de la situation, et d'organiser le "retour sur terre" de son sub. Maintenant que je sais ce que je cherche, qu'est ce que je dois faire? Il peut être très dangereux pour un sub d'être abandonné là à décrocher tout seul, sans être ramené en sécurité dans sa "redescente". Un Dom qui n'aurait pas conscience des effets physiques et mentaux du subspace sur son sub pourrait juste se lever et s'en aller, avec la possibilité que son soumis soit toujours en subspace. Ce n'est pas suffisant de juste défaire les liens et de s'en aller. C'est la responsabilité du Dom de prendre le temps d'accompagner son sub dans son retour à la réalité, graduellement, en réduisant les stimulations, en lui parlant pour le faire revenir à lui, de lui donner l'affection et de le rassurer, de lui dire qu'il a fait du bon travail et de lui donner beaucoup de contact physique pour l'accompagner, par exemple. L'épuisement accompagne souvent le sub dans sa redescente du subspace. Donc le Dom peut avoir prévu un environnement sécurisé où le sub puisse dormir et récupérer des forces. Laisser un sub dans un état de subspace, où il est grisé et peut se sentir en dehors de son corps, peut être dangereux. Imaginez un sub, toujours en subspace, essayer de rentrer chez lui en voiture. Les subs n'ont pas la concentration et les capacités nécessaires pour des taches complexes lorsqu'ils sont en subspace, et en ne les rattachant pas à la réalité avant de les laisser partir, le Dom peut mettre son soumis en danger. Maintenant vous vous dîtes "Bien, je n’interagis qu'avec des subs en ligne, je n'ai pas besoin de m'inquiéter pour ça" Ce n'est pas nécessairement vrai. Les subs en cyber-relations entre en subspace juste aussi facilement et complètement que dans les situations réelles. Et en tant que Dom dans une cyber-relation D/s ne peuvent pas souvent voir leur sub ils doivent s'appuyer sur d'autres méthodes pour determiner si le sub est revenu après la session. Dans ce cas, la voix est encore les meilleur moyen disponible pour le Dom -il doit bien connaitre les intonations de voix de son sub et la manière dont elles changent quand il est en subspace donc il peut définir quand le sub est revenu à lui. Quand la scene se réduit uniquement à du texte, la communication pendant la scène et après la scène, pendant l'aftercare, entre le sub et le Dom est toute aussi critique pour le bien-être du sub. Bon j'ai compris.... Mais c'est quoi le Subdrop? Même après le meilleur des aftercare, il y a des effets résiduels de l'expérience du subspace qui peuvent rester présent chez le sub. Le phénomène de "subdrop" est le nom donné aux épisodes qui surviennent dans les heures voir les jours qui suivent une session de BDSM intense. Le terme "Subdrop" est généralement utilisé pour les effets "negatif" ou l'état dépressif qu'un sub peut vivre après la scène. Les causes peuvent être multiples mais cela peut être causé par les endorphines et de l'adrénaline qui quittent le corps. Pour ceux qui ont été élevés dans un milieu très traditionnel il peut en résulter que ces "drops" soit associé avec un sentiment de culpabilité ou de honte. Le subdrop peut se manifester de bien des manières -larmes, peurs irrationnelles exprimées par le sub, il peut se sentir triste, ou seul dans les heures ou les jours qui suivent la séparation d'avec le dom. Le subdrop peut être comparé à un état de choc en quelque sorte et le traitement est le même. Le dominant devrait fournir un espace pour son sub où il puisse exprimer ses sentiments et recevoir son attention. (après tout le dom est en partie responsable de son état). Le Dom devrait également chercher les signes de détresse et essayer de comprendre ce dont son sub a besoin- sachant que ce peut être très différent selon le sub. Le point important dans l'aftercare, c'est de faire en sorte que le sub se sente accepté, désiré, sain, sauf et à l'aise. Avec une application systématique, un bon aftercare aidera les liens entre un sub et son Dom , et aidera la relation à s'épanouir et à atteindre des somments, puisque le sub saura que son dom n'a que son intérêt en tête, comprends ce qui lui arrive et soulagera les situations négatives qui pourraient se développer. Un Dom bon et attentionné aura toujours le soin de son sub comme soucis principal. Mais surtout faîtes cous plaisir, c'est le point essentiel du D/s -mais ne faîtes pas que prendre sans donner en retour. L'expérience du D/s devrait être gratifiant et plaisant pour à la fois le Dom et le Sub. Les Doms et les subs se complètent et cet équilibre ne peut pas être ignoré ou oublié. Le BDSM est tou à propos de confiance mutuelle et de compréhension, et les deux paries se chargent de comprendre l'autre, dans ce cas beaucoup de responsabilités pèsent sur le Dom d'apporter le contrôle et la cohérence que le sub désire tellement dans sa vie. Le sub n'est cependant pas exempt de toute responsabilité en relation avec le subdrop et l'aftercare, le sub doit communiquer ses besoins et ses sentiments au Dom ouvertement et honnêtement pour donner au dominant l'occasion d'y répondre. En prodiguant un aftercare satisfaisant, le sub saura que son dom lui procure un environnement sécurisant qui lui permettent de discuter sans peur et avec honnêteté. Un Dom qui comprends le subspace - ses frissons comme ses écueils- peut tirer le meilleur de son Sib et donc le meilleur de l'expérience pour lui-même et tout le monde est gagnant.        
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Par : le 02/03/23
Guide pour fist et fist profond (mon expérience) Loin de moi l'idée de tout connaître dans la pratique du fist , mon seul objet est d'éviter les erreurs à toute personne voulant débuter ou approfondir cette pratique . Vous pouvez compléter ce guide à loisir et me faire part de vos expérience , vous messieurs et surtout j'avoue que j'aimerais beaucoup partager avec des femmes qui aiment ou aimerez s'adonner à mon sport préféré . j'utiliserais dans ce texte le mot générique fisteur et fisté mais bien entendu il n'y a pas de sexisme dans mon propos , mesdames vous avez le droit d'aimer cette pratique et n'hésitez pas à commenter (attention quand on y goûte on ne peut plus s'en passer) . Pour ceux qui pratique le fist couramment qui veulent expérimenter le fist profond , vous pouvez passer au paragraphe B . Je vais parler de ce que je connais le fist anal , pour le fist vaginal , je manque de ressenti et pour cause . Pour la première étape le fist anal ou vaginal je pense que les premiers paragraphes sont identique : patience , communication , propreté , lubrification . Dans les 2 types de fist , l'important c'est l'objectif donc procéder par étape pour élargir vos orifices . D'abord utiliser un gode normal de la taille d'une bite puis augmenter le diamètre petit à petit , il ne faut pas brûler les étapes au risque de vous bloquer . Pour pouvoir introduire une main cela peu prendre plusieurs années mais les sensations seront toujours au rendez-vous Ceci est un guide pour le fisting et fist profond , pour le fist profond , il faudra d'abord pouvoir mettre facilement un poing ou deux dans votre cul pour l'envisager alors sortez vos jouets et commencez à vous étirer. A- le fist anal Avant de commencer avec les détails techniques, j'ai identifié quatre aspects clés pour le fist et ensuite le fist profond. Patience, communication, propreté et lubrification (comme dans toute chose). Je rajouterai si vous n'avez pas d'avis contraire qu'un peu de poppers vous facilitera la tâche , vous en avez beaucoup , les sites comme Menstore peuvent vous aider à choisir ... Attention , si vous avez des insuffisances cardiaques ou des tendances à l'épilepsie oublié . Si vous débutez n'abusez pas là encore Menstore peut vous conseillez . Pour les dilatations les arômes à base d'amyl sont conseillés , personnellement je prends Iron Fist . Attention les premières fois il décoiffe , vous pouvez même perdre l'équilibre . Commençons par le commencement La patience, probablement l'aspect le plus important. dans le fist . Ne vous attendez pas à renter votre coude dans le cul ou le vagin de votre partenaire pendant la première nuit. Pour certains, cela prendra des années. Se précipiter causera de la douleur et gâchera l'expérience ou pire encore, pire pourra causer blessure interne (mais jamais vu jusqu'à maintenant). Je suis sûr que nous sommes tous d'accord pour dire que se présenter à l'urgence et avoir à expliquer pourquoi nous ne pouvons pas arrêter de saigner à cet endroit est quelque chose que nous voulons tous éviter. Sur cette note. Un peu de sang n'est pas rare. Tant qu'il est rouge vif, ce n'est pas un problème. En particulier , le rectum et le côlon sont remplis de petits vaisseaux sanguins qui sont facilement endommagés. C'est probablement une bonne idée de s'arrêter, mais certaines personnes continuent s'il n'y en a qu'un petit peu et que ça n'empire pas. Cependant, une couleur rouge plus foncée peut être un problème. Arrêtez-vous immédiatement et surveillez. Si le saignement ne ralentit pas, une visite chez le médecin peut être nécessaire. Alors prenez votre temps, ne vous précipitez pas et assurez-vous que toutes les personnes impliquées sont en accord et que tout se passe dans la bonne humeur. La communication est évidemment importante. Peut être que vous aimeriez bâillonner votre partenaire et lui enfoncer direct votre bras dans son cul jusqu'à l'épaule mais ce n'est peut-être pas une bonne idée. Il est très important pour le fisteur et le fisté(e)" parlent de ce qui se passe , ralentir au besoin ". Vous devez créer un environnement relaxant sans faire pression sur le fisteur / fiste . Tout type d'anxiété ou de stress provoquera le plissement ou blocage de la partie concernée . C'est pourquoi une communication calme, rassurante et informative est bonne pour tout le monde. Pour exprimer l'évidence, tout type de douleur ou d'inconfort doit être exprimé. Même du fisteur , s'il sent que le ou la fisté est très tendue et non détendue, ils doivent l'exprimer plutôt que de le garder chacun pour soi et continuer. Une communication constante et libérée est la meilleure des approches . La propreté, c'est assez explicite. Rien de plus décevant que de se mettre dans l'ambiance et avoir tout préparé et trouver votre partenaire avec les intestins encombrés (même si certains aiment) . Cela peut être dangereux également car il peut y avoir des objets abrasifs ou tranchants dans votre intestin qui pourraient rayer ou déchirer les doublures de votre côlon. Tout ce qui dépasse le rectum nécessitera une préparation appropriée qui peut prendre du temps et nécessiter de la discipline et de la patience. Un bon lavement me semble indispensable , il existe des canules longues appropriées (30 à 40cm voir plus suivant votre appétit) pour une bonne préparation au fist , il est très important de retirer tous les solides de votre côlon sigmoïde et plus loin avant tout type de fist encore plus pour les fists en profondeur. De toute évidence, une hygiène complète est requise, vous devez prendre une douche , vous lavez particulièrement bien les parties intimes les mains et les bras et vous couper soigneusement les ongles pour éviter tout inconvénient désagréable , le but premier est de prendre du plaisir . Lubrifiant, eh bien c'est une autre évidence. Ce n'est jamais trop. Vous pouvez remplir le cul de vos partenaires avec un gallon de lubrifiant si vous le souhaitez. Plus il y en a mieux c'est t! De plus, tous les bruits et les reflux de lubrifiant sont toujours très amusants. Vous avez besoin d'un lubrifiant qui dure car fister quelqu'un crée probablement le plus de friction de tout acte sexuel. J'utilise personnellement du lubrifiant que prépare moi-même à base de poudre type J-lube , vous le préparais selon votre convenance épais ou plus liquide . Personnellement je le prépare ni trop épais , ni trop liquide , un peu la consistance d'une crème épaisse pour la cuisine . C'est aussi agréable et facile à nettoyer , plus facilement avec un peu de vinaigre . D'autres préfèrent commencer avec l'huile de crisco dont je ne suis pas si fan juste parce qu'elle est plus chère , plus difficile à nettoyer et aussi incompatible avec les certains godes et préservatifs Il existe de plus en plus de lubrifiants sur le marché spécialement conçus pour le fisting anal. Je ne les connais pas très bien mais je suis sûr qu'ils seront super. Cependant, la plupart ne sont pas bon marché. Il suffit de google et vous pouvez trouver les nombreuses marques autour. Pour moi le J-lube me semble bien , efficace et pas cher et plébiscité par de nombreux fistés . J'ai aussi trouvé sur un site vétérinaire des produits adaptés par exemple Vet Gel chez Praxisdienst plus cher que la poudre mais beaucoup moins cher que les gels siliconés personnellement je le coupe avec de l'eau(produit un peu trop épais pour moi) Attention un lubrifiant peu convenir en début de séance et demander des adaptations au fur et à mesure de la progression du fist , attention aussi s'il fait très chaud , l'eau du lubrifiant aura tendance à s'évaporer N'ayez pas peur de mettre du lubrifiant le plus loin possible dans le colon, j'utilise une seringue de 60 ml que j'ai acheté en pharmacie , j'ai élargie le trou d'injection avec un tourne vis (je crois) et j'ai adapté un tuyau en prolongement . Il existe aussi des seringues sur tous les sites de sexshop (un peu plus cher et pas forcément plus pratique) Ok, maintenant nous pouvons entrer dans le vif du sujet pourrais-je dire . Attention : pour progresser dans le fist , utilisez divers objets ou godes mais prévoyez toujours un moyen pour récupérer l'objet en question , attachez une ficelle par exemple , sans cela il pourrait être difficile de récupérer votre gode une fois introduit dans le rectum , ça peut être gênant ... Donc avant le fist , il faudra détendre votre sphincter c'est la première étape à franchir pas forcément la plus facile puisque dans ce cas vous débutez donc de la patience . Le mieux , c'est d'utiliser des godes ou tout objet assimilé , procédez étape par étape en augmentant petit à petit le diamètre de l'objet à insérer (attention on ne parle pas d'aller de cm en cm plutôt de mm en mm) seul le résultat compte et lubrifiez , lubrifiez , lubrifiez ... votre cul contrairement au vagin ne produit pas de lubrifiant naturel . Moi même encore maintenant , je commence toujours une séance pour un ouverture progressive du rectum avec ce type de plug qui a l'avantage d'être progressif . Attention , je dis bien pour moi , gardez à l'esprit que nous sommes tous différents je pense pour d'autre il faudra des plug plus court mais de toute manière toujours progressif , écoutez votre corps , c'est le meilleur indicateur si vous n'êtes pas bien ralentissez ou arrêtez vous recommencerez plus tard , le temps importe peu ... Quand vous pouvez accueillir un gode de 6 cm , vous pouvez penser pouvoir insérer une main , gardez à l'esprit que le corps de chacun est différent . Je pense que toute personne peut se faire fister , s'il a suivi les étapes décrites précédemment , pour certaines personnes, cela peut être plus long que pour d'autre , surtout si le fisteur a de grosses mains . Il faut préparer le lieu du fist , lit ou sol en mettant une toile imperméable , au minimum des serviettes ou des alèses et beaucoup de sopalin , même avec un bon lavement , il peut y avoir des reflux ou au moins des débordements de lubrifiant . Mieux vaut prévoir pour éviter les désagréments . Les gants , le poppers sont sorti si nécessaire , le lubrifiant est prêt (attention au fur et à mesure de la séance tout va être enduit de lubrifiant et donc glissant) , je recommande d'enrober le flacon de lubrifiant avec du sopalin maintenu par un élastique le tout dans une boite pour éviter de renverser surtout si le lubrifiant reste ouvert . Pour débuter , je conseille au fisté de se mettre à quatre pattes , les genoux sur des coussins ou un tapis rembourré Après s'être enduit les mains de lubrifiant avoir copieusement enduit l'anus et injecter du lubrifiant à l'intérieur , le fisteur introduira un doigt dans l'anus et le fera tourner pour assouplir l'orifice . Puis viendra le deuxième doigt , toujours faire des rotations . Même procédure pour le troisième et quatrième doigt ... Suivant le degré de préparation et d'entrainement avec les godes , cette étapes peut être plus ou moins longue voir nécessité plusieurs essais sur plusieurs jours . Pour passer le gros de la main cela va être plus difficile . Faites intervenir la deuxième main , même processus 1,2,3,4 doigts . Les phalanges des 4 doigts introduits , la première mains va rejoindre la deuxième , toujours la même progression 4 doigts plus 1,2,3,4 , vous avez introduit les phalanges des 8 doigts paume de mains jointes , faites des mouvement aller et retour , n'hésitez pas à lubrifier régulièrement . Mettez vos mains en opposition , dos des mains joints les phalanges des 8 doigts introduits , faites des mouvements d'étirement en écartant les mains . Répéter l'opération plusieurs fois , mains en opposition , étirement , mains jointes , va et vient . Le fisté commence à apprécier le travail de son anus , il veut arrêter ou faire une pause , le fisté commande , le fisteur doit être à l'écoute et suit les directives du fisté . Le fisté en demande plus , à cette étape s'il ne la pas déjà fait , plusieurs inhalation de poppers peuvent aider ... C'est le moment de passer aux choses sérieuses , le passage du gros de la main !!! Utiliser plutôt la main gauche en général moins grosse . Le fisteur met sa main en cuillère , pouce à l'intérieur de la paume et va exercer une pression constante sur l'anus comme vous feriez pour entrer un gode , on relâche la pression , on rajoute du lubrifiant et on revient à la charge , à cette étape un pression constante , pas de coup de bélier . Au besoin , le fisteur peu utiliser un doigt de sa main libre , l'insérer et faire le tour de la main introduite pour progressivement élargir . Le passage des articulations des phalanges (gros de la main) est toujours l'étape difficile et ultime du fist . Petit à petit l'anus va s'ouvrir , le fisté le ressent , la main n'est pas encore passée mais le fisté sent que l'apothéose est proche . Des miroirs judicieusement peuvent permettre au fisté de suivre la progression (pour moi , c'est une vision toujours terriblement excitante et motivante pour aller plus loin) . Un dernier effort , le fisté peut lui même venir pousser sur la main pour mieux contrôler l'avancée ... Enfin l'anus rend grâce , la main est comme aspirée à l'intérieur . A ce stade , main à l'intérieur , on fait une pause relâcher la pression et laisser au fisté le temps de s'acclimater ... Quelquefois juste après l'introduction , le fisté demande à ce qu'on ressorte la main tout de suite , la pression est trop grande , ressortir toujours la main en douceur , pas de mouvement brusque , sortir la main est aussi difficile que la rentrer ... Le fisté s'est habitué à la présence de cet intrus dans son intérieur , le fisteur peut commencer à faire doucement aller sa main suivant les indications du fisté . Dans un premier temps ne pas effectuer de rotation plus stressante que les va et vient . En général , à ce stade ,il n'est pas rare que le fisté éjacule , s'il ne l'a pas fait plus tôt , la proximité de la prostate y est pour quelque chose Voilà , vous faites partie du monde des fistés mais attention cette pratique est addict et un fil des séances , vous demanderait toujours plus gros toujours plus loin , une main , deux mains , la main ... le coude ce qui fait une excellente transition pour le chapitre B B -Le fist profond (pas la profondeur du fist) Tout d'abord, je pense que l'on devrait considérer l'anatomie du corps. La progression est la suivante , le rectum, l'ampoule anale , le côlon sigmoïde (premier coude), puis on remonte à gauche du corps du fisté le colon descendant , on prend ensuite un virage à droite ( deuxième coude)chemin en travers du corps un peu en dessous des côtes le colon transverse et enfin on redescend.(troisième coude) colon ascendant . Donc les termes médicaux (ascendant, transversal et descendant). Gardez à l'esprit que le corps de chacun est différent . Pour certaines personnes, le fist profond peut être plus compliqué que pour d'autre , observez les images ci-dessous. L'image en haut à droite montre le chemin le plus facile à suivre tandis que les deux dernières sont beaucoup plus courbés, ce qui rend toute pénétration profonde plus difficile. La première image représente ce que je pense être la forme la plus courante. Un "S" pointu juste après le rectum, d'où le nom sigmoïde signifiant en forme de S. Gardez à l'esprit que tout est assez flexible, plus vous fistez et plus vous allez profondément, plus le côlon commencera à se redresser et plus le fist profond deviendra facile. Je ne saurais dire exactement mais je pense que petit à petit la partie du sigmoïde se redresse pour passer de la figure 1 à la figure 2 ou tout devient plus facile . Pour moi je pense que toute personne peut recevoir un fist profond au moins jusqu'au coude , s'il est patient et motivé et s'il suit mes recommandations . Au préalable il va falloir préparer le terrain comme avec un fist "normal" avec un gode long minimum 45cm de diamètre minimum 3cm . n'oubliez pas la sécurité toujours mettre un lien à votre gode pour pouvoir le récupérer le cas échéant . Je recommande avant tout de commencer par un lavement profond , moi j'utilise un petit tuyau souple 10mm de diamètre et 1 mètre de long que j'adapte sur une douche ou un robinet , comme je l'ai dit , il existe des canules longues appropriées (30 à 40cm voir plus suivant votre appétit) . Procédez au lavement avec de l'eau tiède cela aura pour effet de détendre votre colon sur la longueur nécessaire . Pensez ensuite à lubrifier en profondeur avec une seringue . Bien enduire le gode de lubrifiant , un petit mais long gode , j'avais essayé directement avec le gode 70x5cm (trop gourmand pour un début) , j'ai finalement progressais avec son petit frère 70x4cm mais pour vous peut être il faudra vous limiter plus 45x3cm à priori pas moins si vous voulez travailler la profondeur , l'important c'est que le gode soit bien arrondi au bout , relativement régulier sur sa longueur et très important flexible , il devra suivre le méandres de votre colon et soyez à l'écoute de votre corps , n'hésitez pas stopper , si vous ne vous sentez pas de continuer . La plupart des fisteurs / fistes parviennent à entrer dans le rectum avec leurs mains (ils ne seraient pas des fisteurs / fistés autrement). Après ce point, le plaisir commence. Pour entrer dans le côlon sigmoïde, il y a une petite ouverture un peu comme votre deuxième trou du cul (rappelez vous vos débuts de fisté pour ouvrir votre rectum) . Contrairement à votre trou du cul, ce n'est pas un muscle , simplement une partie de l'intestin qui fait le premier coude (3 au total pour le gros intestin voir au dessus) . Il peut sembler difficile à franchir , tout l'art sera de progressivement trouver l'issue très serrée mais avec un peu de pratique, de patience vous franchirez l'obstacle mais cela pourra prendre plusieurs séances , n'hésitez pas à lubrifier , faites des va et vient sans trop forcer , faites des mouvements de rotation ... Votre posture peut aussi avoir de l'importance , si vous êtes seul , vous n'avez pas beaucoup de possibilité , vous êtes debout ou allongé sur un lit (à moins d'être contorsionniste) personnellement je suis debout comme sur les vidéos postées . J'ai réussi à faire pénétrer le gode de 70x4cm au bout de trois essais , c'est la vidéo ou je suis nu . Si vous avez un partenaire , vous pouvez prendre la position qui vous va le mieux : quatre pattes , sling ... Une fois le sigmoïde passé , vous êtes déjà très profond car les 20cm à 30cm suivant ne posent pas de problème , vous êtes dans la partie droite du colon descendant . Si on compare avec un fist , vous seriez juste avant le coude Les choses se complique à nouveau à 45cm (passage du deuxième coude) pour pénétrer dans le colon transverse .Même méthode que pour le premier coude , gode pas trop gros , lubrifiant , va et vient et rotation (et un peu de poppers ...) . Vous pouvez sentir en tâtant votre ventre au dessous des cotes la progression du gode , remuer le gode pour mieux le sentir , si vous n'êtes pas trop enrobé (ce qui n'est pas mon cas) vous pouvez voir votre ventre bouger , cette vision est terriblement excitante ... Pour ma part , j'ai besoin quelquefois de pousser de l'extérieur le gode pour lui faire franchir le virage . Ensuite une fois le deuxième coude franchit la progression redevient plus facile mais vous allez peut être ressentir de la gène et un certain inconfort et le besoin d'expulser le gode rapidement , c'est normal , moi-même , malgré l'expérience ça m'arrive parfois . Parfois , je fais un blocage et je ne peux pas franchir le deuxième coude , ce n'est pas grave , les chose se passeront mieux la prochaine fois . Si vous avez franchi cette étape vous saurez la franchir encore . Pour reprendre "l'anal-ogie" avec le fist , vous avez dépassé le coude et vous êtes à mi biceps (là c'est vraiment très profond ...) Au fur et à mesure de vos séances avec vos longs godes , vous allez progresser à votre rythme et petit à petit la pénétration sera de plus en plus grosse et plus profonde . Respectez toujours les étapes de préparations , lavement , lubrification . Ma préparation de j-lube est comme je l'ai dit moyennement épaisse , je trouve quelle adhère mieux à mes godes . J'ai changé de texture au fur et à mesure de mon expérience , j'utilise maintenant des préparation plus liquide . je progresse toujours lentement . J'avale maintenant trop facilement le gode de 70x4 en entier . Le gode de 70x5 demande quelquefois un peu plus de patience , après 20cm , je force un peu pour le passage du sigmoïde , je fais quelque va-et-vient pour bien l'ouvrir . Le passage au colon transversal (deuxième coude) reste toujours plus ou moins délicat et peut réclamer un peu de temps même avec de la pratique donc calme et patience , écoutez votre corps ... Une fois les 70cm avalé , le passage est fait ensuite je peut me ramoner comme il faut ... J'ai essayé des godes plus gros 80x6.5cm , 80x7.5cm , je bloque toujours au deuxième coude , je pense que les godes ne sont plus assez flexible à ces diamètres . Rassurez-vous cela ne compromet en rien , un fist jusqu'à l'épaule , le bras du fisteur saura mieux s'adapter à votre morphologie . Avec la pratique , comme je l'ai dit en préambule , je pense que votre colon se redresse comme à la figure 2 . Je pense ne pas pour l'instant pouvoir atteindre le colon ascendant (troisième coude) peut être faudrait-il un godes de 1m et assez fin mais je n'en ai pas encore ressenti le besoin (ça viendra peut être) . Maintenant , vous accepté les longs godes sans trop de problème , vous allez pouvoir passer au chose sérieuse avec votre partenaire Donc là encore soignez la préparation , les lieux , le lubrifiant , les gants , le poppers (pour moi ça aide) . Bien lubrifier l'anus extérieur , intérieur en profondeur avec la seringue . Ne négligez pas de préparer le terrain avec votre long gode préféré ... Pour le fist profond , après s'être introduit dans le rectum de son partenaire , le fisteur doit progresser main en canard doucement et cherche l'orientation du colon pour certain le 2ième sphincter (1ère boucle) est très proche du rectum pour d'autre plus loin (pour moi je l'estime à 20cm) . Pour passer le deuxième sphincter , avec les doigts il faut chercher l'issue , appliquer doucement une pression et travailler avec un ou deux doigts jusqu'à ce qu'à sentir le passage se détendre et s'ouvrir (cette étape sera d'autant plus facile si vous avez déjà bien travaillé avec le long gode) . À ce stade, votre partenaire peut commencer à vous étirer davantage avec plus de doigts , n'oubliez pas d'utiliser beaucoup de lubrifiant! Pour arriver au point où le fisteur est capable de détendre le sigmoïde et de l'étirer de plus en plus, cela peut vous prendre confortablement des heures, voir des jours. Vous aurez peut-être besoin de quelques séances pour vous habituer au franchissement du deuxième coude avec facilité, tant pour le fisteur que pour le fisté . N'oubliez pas que la patience est la clé, forcer ou précipiter cela gâchera l'expérience et pourra blesser le fisté . Si vous n'y arrivez cette fois-ci , ça ira mieux la fois suivante , profitez déjà de l'instant présent , vous êtes avec votre partenaire qui vous travaille copieusement l'arrière train , même si vous n'avez pas franchi le sigmoïde vous avez déjà une bonne longueur dans les entrailles , la main , le poignet et même un peu plus loin , c'est top non ... Tout va bien le sigmoïde est passé , c'est donc maintenant la prochaine étape et le bon fisting profond commencent. Entrer dans le côlon sigmoïde avec votre main est une étape importante, vous serez bel et bien en route pour pénétrer votre partenaire jusqu'au coude mais pas de précipitation continuer à échanger avec votre partenaire , échangez vos ressentis , ralentissez au besoin ou stoppez si besoin , le passage du sigmoïde est très important . Au fur et à mesure de cette pratique le passage sera de plus en plus facile . La communication est essentielle à ce stade, tout comme le lubrifiant, assurez-vous d'en utiliser beaucoup. Une fois que vous êtes dans le côlon descendant, vous pouvez pousser votre main / bras de plus en plus profondément tout en le gardant relativement droit. Rappelez-vous les photos, le côlon descendant est sur le côté gauche du corps du fisté , vous devez donc avancer votre main pour suivre dans cette direction. Jusqu'au point où vous êtes juste avant le coude au fond du cul de votre partenaire . Aussi bien pour le fisteur que pour le fisté la sensation est intense , en général vous aurez atteint les limites du côlon descendant , en bougeant votre main vous pouvez voir le ventre de votre partenaire bouger , vous pouvez suivre le déplacement (toujours en douceur) de votre main à l'intérieur de votre fisté . Comme je l'ai déjà dit pour moi la vision de mon ventre qui bouge et terriblement excitante , je demande d'ailleurs à mon fisteur de pointer ses doigts vers l'extérieur pour mieux voir où il se situe . J'adore aussi les miroirs ou la projection du fist sur la télévision , pour moi la vue est essentielle pour me stimuler . Vous avez donc le bras de votre fisteur en vous juste avant le coude et c'est génial , profitez bien tous les deux , va et vient , rotation mouvement léger de la main . Alternez les bras , n'oubliez pas de lubrifier l'intérieur et les bras . Comme avec les godes vous allez peut être ressentir de la gêne , c'est peut être le moment de faire une pause ... Soufflez , détendez-vous , la séance a été intense en émotion , vous avez encore à l'esprit la vue du bras de votre partenaire en vous , whaou ... Vous êtes détendu , vous voulez aller plus loin et passer le coude , ça n'ai pas évident vous avez deux problèmes la taille du bras de votre partenaire juste avant le coude et le passage du deuxième coude . L'entrée dans le côlon transverse est délicate et vous oblige à trouver l'ouverture du côlon transverse (comme le passage du premier coude) . Pour aller plus loin, la main des fisteurs doit faire un angle à un moment donné pour suivre la forme naturelle du côlon. Comme un poignet ne peut que se plier que vers l'intérieur, il est logique que le fisteur utilise la main gauche lorsque le fiste est à quatre pattes et la main droite lorsqu'il est sur le dos. Il convient de mentionner qu'en général la position à quatre pattes est la meilleure position pour jouer en profondeur. Les organes ne pèsent pas sur le côlon , avec le cul haut et le torse incliné vers le bas ce qui laisse plus de place au bras pour glisser .Cependant la position sur le dos permet plus d'échange entre les partenaires , elle permet d'observer la montée de la jouissance chez votre partenaire au fur et à mesure de la progression de votre main , le sentiment de possession et de reconnaissance est incroyable ... A vous de trouver la position qui vous ira le mieux . Le sling si vous êtes équipé permet au fisté d'être assez détendu et à la bonne hauteur pour le fisteur assis devant le cul du fisté , n'oubliez pas que la situation peut durer assez longtemps donc soyez confortablement installé . L'inconvénient du sling , c'est qu'il bouge , ça me gêne parfois . Pour passer le coude , le fisteur peut fermer son poing , il pourra donc passer son coude sans franchir le passage dans le colon transversal . Cherchez la position la meilleur pour facilité la progression , j'ai un partenaire qui a des bras vraiment épais , nous avons trouvez la position qui lui convenez , je suis à quatre pattes , il s'assoit sur moi , se penche légèrement vers mes fesses et pousse en forçant un peu , l'angle doit être idéal . A ce stade , c'est le rectum qui se manifeste car son bras juste avant le coude est vraiment très gros ... Comme à vos début dans le fist quand vous avez pris votre première main , le bras va être aspiré et là c'est l'extase , vous y êtes vous avez accepté le coude de votre fisteur !!! Pour les gourmands comme moi qui n'en ont jamais assez , il va falloir franchir ce deuxième coude , Comme pour le premier coude , il va falloir trouver l'issue mais là la capacité de mouvement et moindre , le fisteur a déjà son bras bien engagé ... Remuer la main , faites de lent mouvement de va et vient , tournez la main , essayez de trouver l'ouverture avec un doigt ... Vous l'avez ? tourner votre doigt lentement en poussant , essayez un deuxième doigt , là tout repose sur le fisteur et son habileté à utiliser ses doigts , le fisté lui peut commenter la progression , donner son ressenti et encourager son partenaire , le féliciter quand il progresse ou demander d'arrêter si la gêne est trop forte . ça m'est arrivé plusieurs fois de renoncer pourtant le fisteur n'était pas en cause simplement je pense que les conditions n'étaient pas réunies . Finalement après plusieurs essais et tâtonnements , les tentatives sont couronnées de succès , bravo à tous les deux maintenant vous avez le bras engagé jusqu'au biceps , ça n'est pas douloureux , pour moi le seul ressenti vraiment est au niveau de l'anus , le reste est surtout dans la tête "vous avez gober le bras de votre partenaire presque jusqu'à l'épaule et en remuant les fesses vous pouvez encore gagner quelques centimètres" le fisteur peut aussi amorcer quelques lents mouvements de va et vient et accélérer ou ralentir à votre convenance jusqu'à procéder à un ramonage plus vigoureux . Au bout d'un quart d'heure ou avant suivant votre endurance , vous demanderez une pause bien normale , vous arrêterez ou vous recommencerez aussitôt ou une autre fois ce n'est pas important :"vous l'avez fait , vous avez pris un bras ..." . Vous l'avez fait donc vous pourrez le refaire . Pour moi , la première fois , j'étais au 7ième ciel enfin j'avais atteint mon objectif prendre un bras entier , mon fisteur était très doué , il m'avait bien mis en condition , caresses des tétons , branlage couilles et bites , bouffage de cul , j'étais prêt . De plus il avait des mains et des bras fins , tout était réuni . Nous avons projeté sur la télévision toute la séance ça me stimule toujours . Nous avons essayé en premier à quatre pattes , après un démarrage en douceur et une progression lente pour passer toutes les étapes , il m'a piloné vigoureusement tellement que j'ai demandé grâce au bout d'un quart d'heure . Le temps de reprendre nos esprits , nous avons essayé sur le dos , là encore il m'a enfoncé son bras au delà du coude . La position était peut être un peu plus inconfortable car il faut avoir les jambes relevées et donc être en tension mais waouh quand même . Nouvelle pause et on a remis ça , cette fois , mon partenaire était allongé sur le lit au bord , le bras tendu et j'étais debout au dessus de lui (c'est de loin la position que je préfère) . je me suis lentement empalé sur lui , je contrôlais la progression , je me tenais au mur pour ne pas perdre l'équilibre , son bras n'en finissait pas d'avancer en moi ... Génial !!! A un moment j'ai ressenti le besoin d'être plus à la verticale de son bras , j'ai donc posé un pied à coté de sa tête et j'ai continué à descendre sur son bras . Arrivé presqu'à l'épaule , il avait mes couilles sur le visage , il les a gobées re waouh , quand je vous disais qu'il était doué ... Depuis j'ai eu de nombreuses expériences plus ou moins réussi , certaines formidables , certaines moins . j'aimerai beaucoup dans le futur me faire fister par une femme étant hétéro à la base mais les femmes fisteuses ou fistées sont trop rares amis avis aux amatrices ... Je suis donc devenu bi par nécessité ce qui ne m'empêche pas d'y trouver mon plaisir mais toujours associé au fist . j'ai participé à des plans fist à trois , à quatre voir beaucoup plus ou on fiste à tout va et on se fait fister pareil , quelles nuits !!! Je prends uniquement du poppers , je pense que j'ai beaucoup progresser dès l'instant ou j'en ai pris . N'oubliez pas que quelque soit la situation ou vous êtes , gardez toujours le contrôle , dites stop si vous en ressentez le besoin , arrêtez si votre fisté le demande ... L'objet est toujours de se faire plaisir et faire plaisir à l'autre ou aux autres , la contrainte n'est pas acceptable . Protégez-vous , faites-vous dépister et prenez la PREP , respectez les règles d'hygiène , lavez-vous les mains régulièrement , désinfectez vos jouets après usage et profitez de la vie et tous ces plaisirs Je suis disponible pour faire partager mon expérience avec vous messieurs et surtout mesdames si une de vous souhaite m'essayer je serais ravi , je suis disponible pour toute proposition simple discussion ou travaux pratiques soft ou hard voir travail au godes, strapon ou fist profond . . Depuis la première édition de ce guide , je l'ai plusieurs fois remodelé en fonction de mes expériences , je m'aperçois qu'il devient un peu long . J'ai pratiqué de nombreuses fois le fist profond suivant la taille de la main ou du bras qui me pénètre , je prends jusqu'au coude et si le bras est assez fin jusqu'à l'épaule une main de femme serait l'idéal . Si vous voulez apporter des modifications ou des précisions , je vous y encourage , Chacun a vécu des expériences et des situations différentes donc tout nouvel avis est bon à prendre . J'espère que ce guide vous a donné les informations que vous recherchiez . Si vous étiez indécis sur le fist , qu'il vous aura rassuré , je vous souhaite plein de chose et éclatez-vous (sans mauvais jeu de mot)
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Par : le 07/04/15
Pour savoir ce que vous en pensez, je l'ai écrite pour moi. Les remarques, critiques, conseils et suggestions sont les bienvenus, et plus particulièrement s'ils sont argumentés. LETTRE D'ENGAGEMENT MUTUEL A LA DOMINATION ET A L'ESCLAVAGE Cette lettre lie dans un engagement mutuel : ….............................., qui sera désigné par la suite comme l'esclave. Et : ….............................., qui sera désigné par la suite comme le Maître. Par cette présente lettre, l'esclave s'engage sur l'honneur à se soumettre à la volonté du Maître, à se laisser asservir, exploiter, violer, séquestrer et torturer par lui de toutes les manières qu'il lui plaira, ainsi que par toutes les personnes à qui il donnera son autorisation. La suite de cette lettre présente un exemple de vie que souhaiterait vivre l'esclave, même s'il n'impose pas cet exemple précis au Maître. L'esclave s'engage sur l'honneur à ne jamais tenter de s'émanciper lui-même. Par cette présente lettre, le Maître s'engage sur l'honneur à exploiter à volonté l'esclave, mais aussi à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à chercher à le rendre globalement heureux dans l'esclavage et la torture qu'il lui infligera. S'il donne à une tierce personne l'autorisation d'utiliser l'esclave, il s'engage sur l'honneur à veiller que cette tierce personne l'utilisera de manière responsable, en respectant lui-même l'engagement précédent du Maître sur la santé et le bonheur de l'esclave. Le Maître s'engage sur l'honneur à ne jamais donner ou vendre à titre définitif l'esclave à une tierce personne, en gardant toutefois le droit de le prêter ou de le louer. Signature de l'esclave : Signature du Maître : EXEMPLE DE VIE DESIREE PAR L'ESCLAVE Dès la signature de ce contrat d'esclavage, toutes les possessions de l'esclave sont remises au Maître, et l'esclave devient une possession du Maître. Toutes possessions que l'esclave obtiendrait à titre définitif et d'une manière ou d'une autre par la suite doivent être au plus vite données en offrande au Maître, de manière à ce que l'esclave ne possède plus jamais rien. Les possessions qu'il obtiendrait dans le but de les donner, de les transmettre ou de les rendre par la suite à une tierce personne doivent leur être remises à la première occasion, et ne seront donc pas offertes au Maître. Par amour pour le Maître, l'esclave accepte de se faire asservir par lui. A partir de ce moment, l'esclave garde en permanence une attitude docile et servile, et garde les yeux baissés quand il est face à son Maître. L'esclave appelle alors son Maître «Maître» et le vouvoie, tandis que le Maître le tutoie en retour et l'appelle comme bon lui semble. Chaque fois que le Maître et l'esclave se retrouvent dans la même pièce, l'esclave salue le Maître en s'inclinant respectueusement. Quand le Maître s'absente et revient chez lui, l'esclave l'accueille en s'agenouillant devant lui. L'esclave est dressé à être efficace au travail, heureux et plaisant à côtoyer dans sa servitude, et à la fois humble et fier de sa condition d'esclave, ayant appris à se sentir honoré par son asservissement. Il est dressé à servir aussi bien son Maître que toute autre personne à qui le Maître le prête ou le loue. Il a appris un minimum sur la cuisine, le jardinage, le bricolage et la mécanique automobile pour mieux servir son Maître. Il est aussi entraîné à être violé sans ménagement par son Maître et par les amis de son Maître, et à être torturé de manière de plus en plus extrême et de plus en plus fréquente pour pouvoir supporter toujours plus de douleur. Les séances de tortures seront toutefois sécurisées avec, au minimum, un safeword que doit respecter le Maître. L'esclave est entraîné à accepter sans broncher toutes les humiliations, et à les recevoir comme des preuves d'amour de son Maître. Les journées de l'esclave sont généralement divisées en trois périodes, que le Maître peut déplacer, raccourcir et allonger à loisir. Durant la période de travail, l'esclave est relativement libre. Le Maître lui met ses fers au cou, aux poignets et aux chevilles, et l'esclave vaque à ses tâches domestiques. C'est principalement durant cette période que le Maître utilise son esclave, pour des relations sexuelles, pour des séances de tortures, ou pour des choses plus simples comme discuter avec lui ou regarder un film avec lui si le Maître le désire. De temps en temps, l'esclave peut aussi accompagner le Maître à l'extérieur (sans ses fers s'ils sortent en public, mais en portant toujours au moins un collier de chien pour indiquer clairement sa condition servile), pour que l'esclave porte les courses du Maître ou conduise sa voiture par exemple. L'esclave n'a jamais le droit de sortir seul de la demeure du Maître, et si celui-ci s'absente pendant cette période, l'esclave est au moins enchaîné dans une pièce de la maison pour éviter toute tentative de s'enfuir. Durant la période d'écriture, l'esclave est enchaîné à son bureau pour écrire. Un ordinateur est mis à sa disposition pour cela, avec une connection internet. L'esclave a le droit de lire des livres, de faire des recherches, de regarder des images, d'écouter de la musique et d'entretenir des interactions avec d'autres internautes, car cela peut aider à faire germer des idées pour l'écriture et à enrichir ses discussions avec le Maître, mais le Maître surveille son historique de navigation et ses discussions, et n'hésite pas à lui bloquer l'accès des sites où il va perdre mon temps. Le but premier de cette période reste en effet que l'esclave écrive pour le Maître, qui apprécie son écriture. Si l'esclave parvient à vendre des livres, les bénéfices sont donnés en offrande au Maître. Durant la période de repos, l'esclave est enfermé et enchaîné dans un cachot ou une cage, de manière plus ou moins contraignante selon les envies du Maître, qui le laisse alors ainsi se reposer et dormir. Bien entendu, rien n'empêche le Maître de venir voir l'esclave et de le réveiller de la manière qui lui plait le plus et pour n'importe quelle raison qu'il puisse avoir, même aucune en particulier, car l'esclave est à son service de manière permanente et il a le droit de faire tout ce qu'il désire de lui. L'esclave porte en permanence une cage de chasteté, et il n'est autorisé à jouir qu'en de très rares occasions. Le reste du temps, il est trait pour ne pas avoir d'éjaculation nocturne. De son côté, le Maître peut le violer à volonté, et accumuler autant de partenaires qu'il le désire, à qui il peut prêter l'esclave sexuellement ou pour être torturé ou pour n'importe quel autre service. Il est interdit à l'esclave de manger quoi que ce soit sans permission, tout autant qu'il lui est interdit de boire autre chose que de l'eau sans permission. L'eau quant à elle lui est la plupart du temps laissée à disposition dans une écuelle pour chien. La nourriture lui est généralement donnée dans une gamelle pour chien, ou à même le sol, ou alors l'esclave la mange directement dans la main de celui qui la lui donne, de manière docile et soumise. L'esclave ne porte pas sa nourriture à sa bouche avec ses mains, c'est sa bouche qui va à la nourriture là où elle se trouve. A moins qu'on donne temporairement à l'esclave le droit de participer à une discussion, ou que l'on lui adresse directement la parole et qu'il doive répondre, l'esclave doit systématiquement demander l'autorisation de parler avant de pouvoir le faire. Des demandes trop fréquentes ou une demande de prise de parole inutile ou impertinente peuvent l'exposer à une punition. Dans certains cas d'urgence, il peut lui être pardonné de prendre la parole sans permission. Le Maître a appris à l'esclave à hurler, à aboyer, à grogner, à gémir et à japper comme un loup ou un chien, ainsi qu'à marcher et à courir à quatre pattes. Il lui a appris à se considérer non pas comme un homme, mais comme un canidé, et chaque fois qu'il le lui ordonne, il se conduit comme un véritable chien, obéissant et bien dressé. L'esclave est ainsi l'esclave de son Maître, 24 heures par jour, 365 jours par an, et ce pour le reste de sa vie. Il peut ainsi à loisir le faire tatouer, scarifier ou marquer au fer rouge pour représenter le caractère permanent et définitif de son asservissement. En échange de ce dévouement, et par amour pour l'esclave, le Maître s'engage à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à le rendre globalement heureux dans la servitude et la souffrance. Ce sont, au final, les seules limites fixées à la façon dont il peut traiter l'esclave, ce qui laisse de grandes marges de manœuvre au Maître étant donné le goût prononcé de l'esclave pour la servitude et la souffrance.
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Par : le 22/04/13
Dans toutes les soirées passées, j’ai fait connaissance de beaucoup de monde et mon carnet d’adresses était bien rempli. Un jour que j’étais invitée chez des amis, la conversation est tombée sur ce sujet. Chacun notre tour nous avons évoqué des fantasmes que nous avions en tête. Comme beaucoup de femmes et je suppose d’hommes, nous avons tous des fantasmes. Pour avoir lu des études sur ces fantasmes, il en ressort qu’en fin de compte ils sont sains, et permettent d’entretenir une certaine libido. J’évoquais le fantasme d’un viol collectif ou de se transformer pour un soir en prostituée, une amie aurait souhaitée être baisée par un inconnu dans la rue, devant son mari. Une autre voulait connaître ce que procurait la douleur physique pour ensuite arrivée à la jouissance. Un homme évoqua le fait d’être violé par plusieurs femmes devant sa femme, un autre par des hommes également devant sa femme, une autre femme raconta que depuis son adolescence au pensionnat, elle rêvait de faire l’amour avec une femme déguisée en bonne sœur etc. Tout un programme. Le tour de table terminé, nos esprits étaient assez échauffés, mais la soirée s’est terminée sans que personne ne prennent l’initiative d’une soirée plus érotiques (pour une fois). Avant de partir un de mes amis évoqua l’idée que nous pourrions organisés chacun de notre côté le fantasmes d’un autre, tout cela dans le plus grand secret. Après un court instant de réflexion, l’idée fut adoptée à l’unanimité. Donc chacun d’entre nous fera tout pour réaliser les fantasmes d’un autre ou d’une autre. Je rentrais chez moi, en me demandant quels fantasmes allait-on réaliser pour moi et lequel j’allais réaliser pour mes amis. Je décidais d’organiser le viol de cet ami par des hommes, je trouvais l’idée intéressante, n’ayant jamais vue d’hommes entre eux. Trois semaines plus tard, sous prétexte d’un service à demander, j’organisais chez moi un diner en tête à tête avec le couple dont l’homme avait émis le souhait de se faire violer par des hommes. Le diner se passa sans visiblement qu’il ne se doute de quoi que se soit. Passé au salon, je m’absentais un moment, pour aller ouvrir la porte d’une chambre ou étaient depuis le début de la soirée 4 copains, prêt à tout pour satisfaire mon ami, bien qu’ils ne soient en rien homosexuels. Ils firent irruption dans le salon, saisirent le « condamné », le déshabillèrent complètement, et commencèrent le travail pour lequel je les avais conviés. Le pauvre ne s’attendait pas à un tel assaut, il dut faire une fellation à un, se faire sodomiser par un autre. Sa femme regardait la scène médusée, visiblement le fait de voir son mari abusé par d’autres hommes, le mettait dans un état d’excitation extrême, Je m’en aperçu, je m’approchais d’elle, commençais à lui caresser les seins, puis ma main est descendue vers son sexe, elle ouvrit immédiatement les cuisses, se laissa pénétrée, les yeux rivés sur les fesses de son mari entrain de se faire sodomiser pour la troisième fois. Ne pouvant pas la laissée dans cet état, je demandais à un des 4 « invités » de s’occuper d’elle, Il l’a fit mettre à quatre pattes sa tête en face de celle de son mari et lui pénétra les reins. Ils se faisaient sodomiser en même temps. D’un fantasme, j’avais réussi, sans le vouloir, à en réaliser d’eux. Elle n’avait pas avouée qu’elle souhaitait être enculée en même temps que son mari, de peur que celui-ci refuse. Il faut toujours dire ce que l’on souhaite faire ou se faire faire, dire la vérité sur soit, dire ses fantasmes, dire que les autres sont des hypocrites, qui trompent leurs femmes ou leurs maris au lieu de faire ça ensemble, la jouissance est alors multipliée à l’infini. Et puis le temps passa, sans que je repense trop cette organisation. Un soir après un diner avec un de mes meilleurs amis, je l’appellerais Michel, qui était présent à cette fameuse soirée, dans la voiture qui nous conduisait à son domicile, à un arrêt au feu rouge, il me tendis un bandeau noir et me demanda de le mettre sur les yeux. Je m’exécutais, un peu inquiète tout de même. Nous avons roulé encore quelques temps, et nous nous sommes arrêtes. Cette mise en scène me rappela le roman « Histoire d’O » lorsque « O » est emmené par son amant René dans le château de Roissy. Je l’entendis couper le moteur, descendre de la voiture, m’ouvrir la portière et m’aida à descendre. J’ai entendu des voix autour de moi, puis une porte s’ouvrir, mes pas résonnaient sur ce qui devait être un sol en carrelage. Nous avons monté un étage et j’ai senti qu’on me faisait rentrée dans une pièce qui résonnait aussi à mes pas. Toujours les yeux bandés, une main vint me faire descendre la fermeture éclaire de ma robe, ensuite retirer mes chaussures. On m’allongea sur ce j’ai cru être une table, mais légèrement rembourrée, on me leva les jambes, j’ai senti qu’on les reposait en hauteur et qu’on les attachait avec des sangles. Je compris instantanément que j’étais allongée sur une table de gynécologue. On m’a prise par la taille et tirée vers le bas, je me suis retrouvée dans la même position que chez mon toubib, les fesses justes au bord de la table. Michel qui était toujours là, me dit alors que je devais garder mon bandeau. On m’attacha également les mains aux sangles de la table. A ma droite, j’entendais des bruits, des gémissements, des râles. Et puis ça a commencé, j’ai senti un homme me pénétrer brutalement, mon sexe pas encore humide reçu ce sexe assez gros avec une forte douleur. Puis au bout d’un temps assez court, je l’entendis jouir et se retirer aussitôt, par contre je ne sentis pas son sperme dans mon vagin, il devait porter un préservatif. Puis un autre aussitôt arriva et tout recommença. J’étais où ? La question me taraudait l’esprit malgré la douleur persistance du premier assaut. Et une suite sans fin de pénétrations se succédèrent à une rythme soutenu, je n’arrivais pas à jouir et à me libérer complètement pour pouvoir apprécier cette séance. C’est quand mon ami me dit, « ça fait vingts mecs qui te baisent » qu’est venu mon premier orgasme. Était-ce le fait du nombre, l’idée que trente hommes m’avaient pénétré et joui en moi qui m’a fait cet effet, en tout cas je jouissais. La séance continua, je devenais folle, mon sexe commençait à me faire très mal, je sentais que de temps en temps on me mettait dans le vagin un gel lubrifiant. J’appelais mon ami, et quelqu’un me dit alors qu’il était parti. Prise de panique je hurlais, mais une main ferme me cloua la bouche et un bâillon termina d’étouffer mes cris. Combien de temps je suis restée sur cette table à recevoir sans dis continué des dizaines d’hommes en moi, je n’en avais pas la moindre idée. Puis brusquement tout s’arrêta, je reconnus la voix de mon ami, on me détacha les mains, et me retira le bâillon et le bandeau. Un spectacle d’horreur s’offrit à moi, sur une table à droite, était attachée une femme, et une longue fille d’hommes attendaient le sexe à la main, de se soulager en elle. Elle était visiblement très jeune tout au plus 18 ans. Elles subissaient les assauts des hommes, certains la baisait, d'autres l'enculait, mais, à l’inverse de moi sans préservatif, alors je vis une vieille femme arrivée un tuyau d’arrosage à la main l’introduire dans le sexe de la fille et ouvrir le robinet. L’eau gicla avec violence, le sperme mélangé à l’eau s’évacua, puis elle retira le tuyau et l'introduit dans l'anus et recommença puis elle la sécha rapidement avec une serviette et sans autre soin, le supplice recommença aussitôt. Elle semblait dans un état second, certainement droguée. On me détacha complètement et on m’emmena dans une autre pièce où j’ai pu prendre une douche. Je demandais à Michel ou je me trouvais, Il me répondit dans une maison close du 18eme arrondissement de Paris, fréquentée uniquement par des maghrébins et des africains, il ajouta une maison d’abattage, ou les femmes récalcitrantes étaient amenées pour être punies. Je lui demandais, « combien d’hommes m’ont baisée », « tu veux vraiment le savoir » me dit’ il. Il hésitait un moment et me répondit « Bien plus de 70 hommes t’ont baisée, tu es restée 7 heures sur la table, mais tu sais ils sont tellement excités qu’ils jouissent au bout de 3 ou 4 minutes surtout dans une femme blonde ». Comment j’avais pu supporter cela. Il me dit : «ce n’est rien, les femmes qui sont amenées ici subissent plus de 300 passes par jour. Elles restent en moyenne entre 8 et 30 jours, elles dorment 2 à 3 heures par jour. Le bordel étant ouvert 24h sur 24. Ils y a celles qui sont amenés également sur les grands chantiers. Elle sont enfermées 24h/24 dans un bungalow et subissent aussi autant de pénétrations sans compter les coups qu'elles prennent si elles se rebellent. Et puis il y celles qui sont envoyées dans des soirées privées, et là tout est permis sur elles". Puis il ajouta, " j'ai eu connaissance de trois filles qui ont été torturées à mort, les seins coupés, le clitoris coupé ainsi que les petites et les grandes lèvres intimes. Quand elles ont été retrouvées dans un décharge, elles avaient dans le vagin et l'anus des bouteilles de biere qui avaient été cassées à l'intérieur, sans doute à coups de marteau. Elles avaient les doigts coupés pour ne pas pouvoir les identifiées. L'autopsie à prouvée que la mort avait été provoquée non pas par les tortures, mais une balle dans la nuque. Ces "soirées" sont généralement filmées et les cassettes sont vendues à prix d'or par des réseaux spécialisés. Le pire ça été dans une grande propriété abandonnée, près de Chantilly, il a été trouvé une fille suspendue par les mains dans une cuve d'acide, son corps ou plutôt ce qui en restait était plongé dans le liquide jusqu'à la taille. Ses seins avaient été perforés de long en large par une longue tige métallique type fer à béton qui avait été affuté et qui entrait dans le sein gauche et ressortait par le sein droit a laquelle était attaché aux extrémités deux parpaings ce qui faisait pendre ses seins jusqu'au milieu du ventre. Son visage intact mais avec la langue coupée, montrait des traits déformés par la souffrance. L'horreur à l'état pur". Il continua " Aux USA, on a trouvé une femme qui avait été découpée vivante suivant le supplice chinois des sept couteaux. Un couteau servait à découper les seins au raz de la cage thoracique. Un petit couteau servait pour retirer chez les hommes les testicules de leurs enveloppes et ouvrir le sexe dans sa longueur et pour la femme la totalité du clitoris et des lèvres, un autre à couper les muscles des bras et des cuisses, un plus grand, les articulations des coudes et des genoux. Le bourreau terminait son œuvre par l'ouverture de l'abdomen, laissant ainsi échapper tous les organes. Le bourreau s'appliquait à laisser la femme ou l'homme ainsi torturé vivant le plus longtemps possible". J'atais blême au bord d'être malade. Nous sommes ressortis de ce bordel, il faisait grand jour, des hommes faisaient la queue devant la porte. Je remarquais la façade de l’immeuble, ça ressemblait à un ancien cinéma. Je demandais alors à Michel, « mais les flics n’interviennent pas, les maisons closes sont interdites en France» Il me répondit, « c’est vrai que les maisons closes sont interdites, mais la police ferme les yeux, ça permet de diminuer l’agressivité dans ce quartier ». Il me semblait bien au courant, et il avait de drôles de fréquentations, comme je ne lui avais jamais demandée le métier qu’il exerçait, je profitais de l’occasion : « Moi je suis flic, Inspecteur Principal si tu veux savoir ». Et comme pour se dédouaner, il ajouta : « Tu sais on fait des descentes de temps en temps,… pour la forme , et pour ce qui est des trois filles torturées, c'est moi qui avait été chargé de l'enquête ». Le jour où j’avais parlé de se transformer pour un soir en prostituée, j’avais imaginé plutôt en call girl ou sur le trottoir, faire une fellation et me faire sauter dans une voiture, j’étais loin de m’imaginer qu’on me mettrait dans une maison d’abattage. J’aurais mieux fait de me taire, mais j’avoue qu’avec le recul, l’expérience que j’ai subie m’a fait comprendre le calvaire de ses femmes soumises à ces tortures physiques et aussi morales, car pour tenir le choc pendant un mois voir plus, si la fille est très jeune et jolie, à ce rythme là, beaucoup reçoivent des doses importantes de drogue. Elles ressortent de cet enfer complètement détruites moralement et physiquement. J’avais pour ami un flic ripoux. Bon ripoux j’oublie, mais flic, ça pouvais toujours servir. Mon fantasme avait été exhaussé à la puissance 100. Mais juré promis, craché, je ne recommencerais jamais. Quelques temps plus tard ou je prenais le métro à Stalingrad pour allez vers la place Clichy, du métro aérien à la station Barbès, je me remémorais ce qui c’était passé dans ce bordel devant lequel s’allongeait une file d’hommes prêts a assouvir leurs besoins sexuels sur des femmes esclaves du sexe. Je repense souvent à elles. Si cet ami ne m’avait pas fait connaître cette partie cachée de l’univers de la prostitution, je n’aurais certainement pas cru qu’une telle dégradation de la femme puisse exister. Ces maisons ont été fermées quelques temps plus tard. Ce qui n’a rien changé au problème de la prostitution. A suivre
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Par : le 27/01/18
Alors qu’elle est à genoux, devant lui debout, accroupie à ses pieds… A moitié nue : c’est-à-dire troussée, dépoitraillée (ses seins pendent) : – Je vais te dresser, dit-il. Il y a confrontation des regards. Elle va morfler. Elle le sait. Elle l’a compris. Il n’est pas de ces Maîtres qui ordonnent de baisser les yeux. Pourquoi se priver ?... Pourquoi se priver de sa beauté… Pourquoi se priver de la beauté, de l’éclat de ses yeux clairs. Et lire la crainte dans son regard. Ça le fait bander. Il le lui dit : – Ma queue est dure … J’aime te voir comme ça… Cette envie de sortir sa queue ! Et de la lui foutre dans la bouche ! Au fond d’la gorge !... Les deux mains sur la crâne de la fille, sa soumise, la maintenir, la contraindre… L’empêcher de déglutir, de respirer… Qu’elle morfle ! Qu’elle morve ! Qu’elle bave ! Qu’elle chiale ! Qu’elle en pleure ! Qu’elle morfle et qu’elle en coule ! Qu’elle n’en puisse plus ! Mais non. Il n’est pas encore temps. Pour l’heure, c’est la cravache qu’il agite… Dans l’air… Qu’il fait siffler… – Creuse les reins… Tends la croupe… Il aime la voir ainsi : vulnérable… en attente… en attente de ses coups. Elle aime ça. Etre ainsi… Corrigée, battue… Et pourtant elle a mal, elle souffre. Il ne fait pas semblant. Ne retient pas sa main. Il frappe. Fort. Elle déguste. Elle déguste. Glapit. Crie. Encaisse. Chaque coup la saisit. L’envahit. L’habite. La brûle. Lui coupe la respiration. C’est trop fort… trop fort… insupportablement trop fort… Et pourtant, à chaque fois, après chaque coup, elle reprend la position. Elle sait qu’elle le doit. Les mains bien à plat sur le sol, les reins creusés, la croupe haute et offerte… Et cela dure… Selon son bon plaisir… Son excitation, son désir… La cravache tombe, cingle, frappe… Les coups pleuvent, rapides ou espacés… Il la frappe plusieurs fois, lui coupe le souffle… Ou au contraire lui laisse le temps de se reprendre, lui faisant croire, espérer : que c’est fini… Mais non !... Il reprend, il continue. Ses fesses brûlent… Son cul n’est plus que souffrance et douleur… Elle se tord… bascule… hurle… revient… Elle reprend la position. La cravache sur les reins, qui l’accompagne, la redresse , l’encourage… Elle revient offrir son cul. Doucement il frôle sa croupe de la cravache avant de frapper… Il se déplace, bouge, la contourne… Pour que la claquette tombe : de chaque côté… Vicieux, il glisse la cravache entre ses fesses… ouvre son con… lui dit dans quel état elle est… Il constate : – Ton cul est bien rouge… Tu es bien marquée… On pourra compter les coups… Il constate : – Mais tu en mouilles ?!... Tu aimes ça ?!... – Oui, Monsieur… Elle sait qu’elle doit répondre : dans ses larmes, sa morve… Il l’enfonce dans sa honte… Caresse ses seins avec la cravache… Qu’il glisse soudain en travers de sa bouche, entre ses dents. Elle sait qu’elle doit la tenir. Est-ce pour se saisir de son verre ? Allumer une cigarette ?... Aller chercher quelqu’autre instrument ? La badine ? Le martinet ? La canne ? Le fouet ?... Ou venir s’agenouiller derrière elle pour la foutre… la baiser rudement… se réjouir de sa chatte trempée… l’utiliser pour son plaisir à lui… peut-être même l’enculer ?... Ou promener la lame du cutter sur ses reins… (...)
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Par : le 02/09/17
La douleur est un thème qui me tient à coeur . La douleur et le marquage au fer rouge. Je suis une personne travaillant dans le milieu médical. Je suis également une Dominatrice d'où le paradoxe entre l'idée de calmer la douleur professionnellement et de l'infliger pour le plaisir. (le mien et celui de la personne que je domine). Dans tous les cas, je ressent un immense plaisir. Comme soignante, j'éprouve une grande satisfaction de voir les patients qui me sont confiés, éprouver du soulagement à la suite des soins que je leur prodigue. Il en est de même quand je domine mon soumis, quand je lui administre « les douleurs qu'il aime ». Douleur : sensation pénible, désagréable ressentie dans une partie du corps : sens premier. Pour moi soignante , une seule et unique définition : Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage. J'exerce ainsi ma profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. Je respecte la dignité et l'intimité du patient et de sa famille. Ce qui implique que je dois reconnaître la personne et sa souffrance dans le respect de la vie. Il y a aussi bien d'autres définitions de la douleur , moi j'en rajouterai une : sensation agréable et transcendante ressentie par certains êtres humains dans différentes parties du corps. Cette sensibilité que l'on ressent permet d'éprouver du plaisir. C'est la douleur en tant qu'objet de plaisir. Celui ou celle qui subit la douleur a besoin de l'exprimer par des cris, des pleurs, des gémissements ou mêmes des rires. Cela constitue une décharge émotionnelle qui soulage le corps humain. C'est une nécessité d'exprimer l'émotion créée par la douleur . Le fait de pleurer crier ou autre , calme et apaise. Cela permet l'intégration de la douleur par le corps et la rend supportable . Dans le cas des masochistes comme le sont la plupart des soumis, y compris le mien , la douleur est souhaitée admise, intégrée à leur mental, recherchée. Elle leur est indispensable. ATTENTION dans la limite de leur douleur et de leur préférence en cette matière. Mais toutes les Dominatrices de qualité savent cela. Cependant, nous les Dominantes savons toutes que les limites de nos soumis sont faites pour être dépassées; et nous les dépassons allègrement avec le consentement de nos soumis. Il suffit pour obtenir ce consentement de leur laisser le choix « FRANCHIR CETTE FRONTIERE OU PAS ? ». Dans la majorité des cas , ce consentement nous est acquis, sinon au moment même ,du moins quelques temps plus tard. Car les soumis ont à coeur d'offrir ce « DON DE SOI » à leur Dominatrice . Ils ne subissent pas uniquement de manière égoïste. Le Marquage au fer rouge de mon soumis berny nous a demandé des mois de préparation psychologique. A l'origine , je voulais qu'il porte un tatouage mais cela ne nous convenait pas vraiment . Berny souhaitait quelque chose de plus définitif . Il pensait déjà au fer rouge tout en le redoutant. L'idée m'a séduite et franchement , MESDAMES, quel cadeau de la part de l'homme qui vous aime . J'ai rapidement accepté. Il a fallut faire fabriquer le fer et organiser la cérémonie. Cela a demandé du temps et de la persévérance. Le jour du marquage arriva , néanmoins lors de cette fête, berny a bougé au moment du contact du fer et gémit. Je n'avais pas appuyé ni gardé le contact avec la chair de berny suffisamment longtemps. Ma marque s'est estompé en quelques mois. Lors de la cérémonie du renouvellement de son serment d'allégeance, le 12 JUIN 2010, chez Maître FARELL, je ne voulais pas qu'il bouge, ni qu'il crie ou gémisse. Je voulais qu'il soit fort , de cette force intérieure que les hommes savent éprouver et offrir quand ils sont amoureux. Je voulais que cette douleur que je lui infligeais soit sienne, soit nôtre, qu'elle soit son amie , de par l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre. Je voulais que MA marque soit indélébile. J'ai donc appuyé et prolongé le contact du fer rouge sur la peau de berny. Il a fallut 4 semaines de soins avant de laisser la brûlure à l'air libre. A chaque changement de pansement , berny me demandait de lui appliquer de l'alcool. (son côté maso) .Sa manière à lui de prolonger cet instant. Durant le jours qui ont suivi, nous avons beaucoup parlé. Berny a analysé ce qui l'avait fait, pour me donner satisfaction . Il a fait appel à sa force mentale , d'auto persuasion, d'auto hypnose. Il s'est aidé de son stress qui a accéléré les battements cardiaques et de sa respiration, en profitant pour forcer le rythme de celle ci. Chacun sait que la respiration joue un rôle primordial dans le contrôle des émotions et des réactions physiques. La présence du public, était influant aussi. Il ne voulait pas faillir . Je terminerai en remerciant mon soumis pour l'offrande de son corps et de son âme. White Lady . Je viens apporter mon témoignage sur le marquage au fer qui ne vaut que par ma vérité et ma réalité . En aucun cas je ne prétends que cela est LA vérité universelle . Ce n'est qu'une histoire vécue entre Maîtresse Gabrielle et moi . Mais quelle HISTOIRE . . . Il est certain que chaque couple D/s vivra cette aventure différemment . Tout d'abord nous sommes , Maîtresse et moi des êtres humains , ce qui régit notre union (libre en l'occurrence pour l'instant) c'est l'amour . Ensuite nous sommes Dominatrice et soumis . Nous vivons comme tous les couples amoureux , des moments extraordinaires , d'autres qui le sont moins .Comme tout le monde . Quand je dis (union libre ) Ce n'est pas exact , je me sens lié à Maîtresse , par l'amour mais aussi par quelque chose de plus , qui n'appartient qu'à nous autres , les gens du BDSM . Quelque chose que les profanes ne comprennent pas . Les Dominatrices exigent plus de l'homme qu'ELLES aiment , les soumis donnent plus à CELLE qu'ils aiment . Cocteau disait "" Il n'y a pas d'amour ,il n'y a que des preuves d'amour """ . Je ne suis pas d'accord avec ça : il y a les deux . Quand on aime quelqu'un on veut le lui prouver . C'est ce que j'ai voulu faire en même temps que faire mentir la désillusion contenue dans cette citation . Un jour Lady m'a posé la question : < Que serais tu prêt à faire pour me prouver ta soumission > Je n'ai pas répondu , je ne savais pas . Nous étions au début de notre relation . ELLE m'a laissé du temps pour Lui apporter ma réponse . ELLE souhaitait me faire tatouer , cela ne nous semblait pas assez fort . Bientôt , l'idée du marquage au fer s'imposa dans mon esprit . En effet , quelle preuve d'amour est plus forte ? plus symbolique ? plus significative ? Quand j'ai proposé cela à Maîtresse , ELLE fut horrifiée , puis séduite . Mais cela ne s'est pas fait en un jour . Il a fallut des mois de préparation psychologique .Moi aussi j'étais horrifié par le marquage au fer . La première fois où j'ai vu cette pratique remonte à mon enfance . C'était dans une bande dessinée "" Barbe rousse "" ( souvenez vous Pilote , Astérix ,) Eric son fils était marqué au fer avant de partir aux galères . Puis Jean Gabin alias Jean Valjean dans ""Les Misérables"" qui se brule lui même . Il y eut d'autres scènes de films ou de passages de livres qui m'ont marqué .J'étais fasciné . Voilà l'origine de ma proposition à ma Maîtresse . Le cheminement mental a été long pour y arriver . Ma motivation première était "" le don de soi "" à une Personne bien précise . S'est ajouté à cela d'autres sentiments et évènements : amour , envie de vivre ce que je suis , séparation , ne plus perdre de temps , être vrai , accorder mes prétentions avec mes actes , aller au bout de mes choix . . . La douleur n'a pas été si terrible que ce que l'on peut penser . Entre le moment où Ma Lady avait décidé de me marquer et le jour de la cérémonie , il s'est écoulé environ une année . Nous avons beaucoup parlé de cet acte . J'étais donc particulièrement bien préparé psychologiquement . Cela n'empêche pas ,cependant , l'appréhension , notamment durant les dernières heures avant l'instant crucial . J'ai été marqué deux fois , la première fois j'avais bougé , en raison de la peur , du stress , du manque d'assurance de Maîtresse peut être ( ça ne doit pas être évident de tenir le fer rouge et de l'appliquer sur un être vivant ). La deuxième fois ,chez Maître Farrell nous étions mieux préparés . Maîtresse m'avait demandé de ne pas bouger ni crier ni gémir . Inutile de dire que j'ai dû faire appel à toute ma volonté pour lui donner satisfaction . Grâce à la volonté et à la détermination on peut TOUT . La douleur que l'on ressent alors n'est pas la même que celle ressenti lors d'une brûlure involontaire . Et je sais de quoi il est question : je me suis brûlé très souvent au cours de ma carrière professionnelle ( chef de cuisine ) Là , elle est admise , souhaitée , offerte !!! La différence est fondamentale . Pour moi, la douleur : "La douleur est pour moi, un moteur. J'en recherche certaines comme j'en redoute d'autres. celles ressenties en périodes BDSM sont évidemment mes préférées. Cependant toutes les parties de mon corps ne réagissent pas de la même manière face à la douleur qu'on leur inflige. Mon sexe et mes côtés supportent difficilement les coups cinglants, alors que les pincements et broyages leurs conviennent parfaitement. Je pense que chaque être humain est différent face à la douleur ainsi que le seuil de douleur est différent pour chacun. certains ont une résistance physique considérable alors que d'autres sont très douillets. Entre ces deux extrêmes , il y a certainement toute une échelle de valeur. Les masochistes ont des préférences dans les pratiques SM dont ils ne sont pas responsables. Certains préfèrent les coups d'objets frappants, d'autres les pincements, d'autres les piqûres etc... Outre les douleurs volontaires en BDSM, il y a celles qui sont provoquées par le hasard des accidents de la vie. Il est évident que les traumatismes imortants ne sont pas ma recherche, tels que fractures, entorses, plaies. Cependant après un tel évènement quand les soins appropriés ont été prodigués, mon esprit se libère de tout stress et la douleur devient exquise. Quand les calmants commencent à agir, le bien être envahit mon corps , alors je le regrette presque. Il m'arrive souvent de pratiquer un exercice mental afin de canaliser la douleur dans l'attente de soins et de médicaments. J'essaie de l'apprivoiser par la manière de respirer, je me décontracte et j'isole la partie en souffrance du reste de mon corps, de séparer mon esprit de mon enveloppe corporelle. L'auto suggestion est très efficace. Je me demande toujours ce que ferait une autre personne dans une telle situation. La réponse est invariablement positive, elle résisterait. Donc , moi, je ne peux faire moins, et je me pose une question fondamentale : suis je ou non Masochiste ? Alors, j'essaie de tranformer la douleur incapacitante en douleur plaisir. A partir de là, je rejoints mon état de masochiste et mon cerveau se met à fabriquer les endorphines qui vont aider mon corps à supporter la douleur. Il y a un autre aspect de la relation à la douleur. Dans une période de souffrance, mon esprit me dicte l'attitude à avoir. Les connections de mon cerveau se mettent en action pour me dire que j'ai mal. C'est que j'existe, que je suis vivant , que j'ai un combat à mener. C'est dans l'adversité, la douleur , les échecs que je me sens le plus vivant, car mon nstinct m'oblige à réagir, à faire en sorte d'améliorer la situation. Je crois que cela s'appelle "l'instinct de survie". Nous avons tous des méthodes personnelles pour apprivoiser la douleur. Pour ma part, j'en ai une qui consiste à penser à quelqu'un ou à quelque chose d'agréable. Là encore, le plaisir créé par les souvenirs va m'aider à atténuer les effets insupportables de la douleur. Les pensées érotiques ainsi que les fantasmes qui provoquent chez moi le désir sexuel et qui m'invitent à me masturber, et au final l'orgasme sont des moyens très éfficaces contre la douleur. Je crois que tout être humain voire même tout animal a ses propres auto défenses. Car vivre pour MOI signifie obligatoirement souffrir et chaque être vivant se prémunie comme il le peut contre la souffrance. La présence du public m'a également beaucoup aidé , je ne voulais pas faillir devant l'assistance . Je m'en étais refusé le droit . Je terminerai en remerciant Ma Lady , cette marque est la sienne , la mienne . c'est pour ELLE que j'ai subi cette douleur , par ELLE je suis fier de cet acte . berny
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Par : le 22/12/17
Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux. J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée. Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher. Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête. Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner. Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent. Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs. A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris. Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé. A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ? Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée. Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées… On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer. La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement, Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial. A lire également : Quand Madame domine Soumettre un homme  
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Par : le 17/09/12
  Voici une histoire de domination soumission où je serais soumis à une femme. A chaque fois j'en écrirai un petit morceau. J’imagine ma maîtresse toute de cuir vêtue, portant des bottes avec de hauts talons, des bas, une mini jupe, un corset et des gants. Elle a une cravache en main afin d’asseoir son autorité. Elle me demande de venir chez elle un vendredi en début de soirée, et une fois arrivé, d’ôter tous mes vêtements qu'elle s'empresse d'aller cacher. Elle m’impose ensuite ma tenue. Elle veut que je sois travesti en cuir. Elle choisit tout ce qu’il y a de plus difficile à porter, me justifiant à chaque fois pourquoi elle a fait ce choix. Elle commence par une catsuit en latex. Avec cet habit, elle veut que je transpire et me sente mal à l’aise. Elle me fait porter des bottines ballet boot. La raison première est évidente : avec ce genre de chaussure il m’est impossible de me tenir debout et marcher. Comme pour tous les accessoires qui vont suivre, elle va les verrouiller avec un système de lanière et de cadenas. Au niveau de la taille elle me passe un corset qu’elle serre au maximum, n’hésitant pas à me planter son talon dans le dos pour resserrer mes liens. Ainsi elle me force à garder le dos droit à cause de l’armature métallique du corset, et me donne du mal à respirer. Ensuite elle me pare d’un collier minerve pour me bloquer le cou en position. Ce collier est verrouillé par deux cadenas et possède quatre anneaux : à droite, à gauche, devant et derrière mon cou. Elle poursuit en m’attachant les bras dans le dos au moyen d’un armbinder. Là aussi elle ne me fait aucun cadeau et le serre comme il faut. Puis elle attache mes chevilles à une barre d’écartement. La raison, je la découvre après lorsqu’elle ouvre ma catsuit au niveau de l’entre jambe, prend mes testicules entre ses mains pour y passer un ball stretcher. Lorsqu’elle a fini, elle attache l’anneau situé en bout de l’armbinder au ball stretcher, me bloquant totalement les bras. Si je les bouge, je tire sur mes testicules. Elle termine de me préparer en me coiffant d’un cagoule de privation sensorielle. Cette cagoule ne possède qu’un petit œillet au niveau de la bouche. Elle est rembourrée au niveau des yeux, me forçant à garder les paupières fermées, ainsi qu’au niveau des joues pour que j’ouvre la bouche. Comme toute les cagoules elle se lace par derrière, mais en plus elle a trois lanières verrouillables afin de totalement me museler totalement. Ainsi soumis, son premier jeu consiste à me branler quelques secondes, puis à me mettre un petit coup de cravache sur mes testicules. Évidemment, je ne sais pas quand elle va me cravacher. Quelque fois elle me caresse avec la cravache au lieu de me frapper. Le but est de tenir un quart d’heure ainsi. Même si la situation est très contraignante, je suis très excité et jouis au bout de quelques minutes. Elle essuie ma queue et referme en partie ma catsuit. Elle prend une corde et l’attache d’un coté à la barre d’écartement, et de l’autre à l’anneau situé en haut de ma cagoule, me forçant à me cambrer et à rester ainsi. Elle tend la corde comme il faut. Elle me laisse ainsi et prend plaisir à me voir me tortiller et gémir à la fois de plaisir et de douleur. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais cela devient très vite insupportable. Je suis forcé d’endurer car elle me laisse longtemps ainsi. Pour moi cela a duré une heure, mais ayant perdu toute notion d’espace et de temps, ils se peut que je sois resté ainsi seulement un quart d'heure, ce qui semble plus réaliste. Elle m’enlève ensuite la corde, la barre d’écartement et détache l’armbinder des testicules. Elle me laisse me reposer ainsi un moment avant de passer à la suite. Elle me repasse la barre d'écartement et attache mes poignets à mes chevilles. Elle m'enlève ensuite la cagoule et me demande de lécher ses bottes. Ne la voyant pas devant moi, je la cherche et la trouve assise sur le canapé à l'autre bout de la pièce. Elle veut que je rampe ainsi jusqu'à elle. Je fais ce que je peux, mais n'avance pas beaucoup. Elle menace de me rattacher comme avant si je n'y mets pas plus du mien. Lorsque je suis à ses pieds, elle ouvre ma catsuit pour dégager mes testicules qu'elle caresse avec sa cravache. Elle m'ordonne de lécher ses bottes. Cela me rebute et j'y vais lentement. Du coup elle me cravache les fesses pour me donner le rythme. Si je n’obéis pas à ses coups, j'ai droit à la même chose sur les testicules. C'est cruel et dur mais il faut ça pour dresser un chien. Aucune tolérance. Elle arrête ses coups et me laisse continuer à la lécher. A la moindre hésitation ou ralentissement de ma part, la punition tombe à nouveau. Lorsqu'elle estime que c'est suffisant, elle me coiffe d'une cagoule et me laisse ainsi. Ma maîtresse étant cruelle et exigeante, elle me fait lécher une autre de ses paires de bottes avec une cagoule ayant une ouverture au niveau de la bouche.
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Par : le 23/04/13
La fessée aux orties fait peur autant qu'elle fascine. Elle renvoie à des gravures anciennes de fillettes fouettées, à toute une littérature qui faisait la part belle à la flagellation aux orties. Je vous parlerai ici de la flagellation (mot terrifiant) aux orties appliquée sur les fesses dans le cadre de jeux de fessées ou BDSM appliquée à une "punie" qui bien évidemment joue son rôle de "punie" volontaire en quelque sorte. N'y voyons surtout pas l'apologie d'une violence faire aux femmes mais de jeux en adultes consentants et complices. Certes, il faut reconnaître que la vue d'un derrière bien fouetté aux orties, couvert de cloques blanchâtres, rougi, impressionne toujours. Les cloques rappellent aux spectateurs de douloureux souvenirs quand enfants, les mollets accidentellement piqués par quelques orties, ils rentraient à la maison en pleurnichant. On plaint alors de tout cœur la pauvrette au derrière couvert de terribles cloques parcouru de crispations et de frissons nerveux, qu'on suppose livrée aux affres d'une torture sans nom. En fait, passés les premiers effets des orties, la fessée n'est pas si désagréable qu'on l'imagine: loin de là ! Voici pourquoi. Le dessous des feuilles et des tiges des orties est garni d'une multitude de poils urticants qui secrètent un liquide contenant de l'acide formique et des enzymes analogues à ceux de certains venins de serpent. Lors de la fessée aux orties, le contact des poils urticants avec la peau diffuse dans celle-ci ce "venin" et on ressent alors comme des centaines de piqûres sur le coup parfaitement insupportables. Aïe... ça pique !!!!!!!!!! épouvantablement, si bien qu'à la première application des orties sur la peau de la "punie", celle-ci fait immédiatement des bonds et pousse de hauts cris et généralement s'écrie: (surprenant non ?). C'est pourquoi il est recommandé de ficeler auparavant solidement "la punie", ce qui donne davantage de piquant, si j'ose dire, à la mise ne scène et décuple l'angoisse de la "patiente' tout en s'assurant que le film ne s'interrompra pas avant la fin. Aux premiers coups, la peau fouettée s'empourpre et la douleur immédiate est extrêmement intense au point que retenir ses larmes et ses supplications est difficile. Les fesses se mettent à danser, tentent d' échapper aux piqures, sont parcourues de crispations. Je n'ai jamais vu un derrière rester stoïque ni une "punie" rester muette sous les premiers caresses! Les témoins d'une telle fessée sont horrifiés par le spectacle de la pauvrette qui tord désespérément ses fesses en tous sens et supplie qu'on arrête. Non seulement l'agitation et les supplications de "la punie" sont impressionnants mais la vue des fesses rapidement couvertes d'innombrables petits points rouges qui se transforment aussitôt en petits monticules blanchâtres qui ne cessent de grossir, incite à penser que la souffrance est insoutenable. On n'a pas tord, d'autant qu'il n'est pas rare qu'une "punie" peu aguerrie à ce genre de caresse laisse échapper ses larmes . On la plaint beaucoup. Mais...mais... mais... s'il est vrai que dans les premières minutes la souffrance réellement intense, dans les suivantes un phénomène curieux va convertir la douleur en plaisir. Si, si ... Celle-ci se dissipe assez rapidement car toute la zone fouettée est lentement anesthésiée. La sensation de "piqûres" s'estompe et la punie finit par ne plus ressentir qu'une énorme chaleur qui embrase ses rotondités et va petit à petit insensibiliser la peau aux effets "piquants". Cette chaleur intense et anesthésiante diffuse dans les alentours de la zone fouettée et précisément dans les zones érogènes voisines si bien que les supplications de la punie font bientôt faire place à de douces plaintes. Il est toujours extrêmement étonnant pour le néophyte ou le "Maître" débutant de constater que "la punie" qui aux premiers coups suppliait et se tordait dans ses liens, semble très vite supporter la poursuite de la fessée jusqu'à désirer celle-ci une fois la douleur apaisée, apprivoisée et la peur surmontée. Il ne faut jamais se fier aux paroles d'une femme fouettée mais uniquement à lecture de ses fesses. Dès lors que celles-ci cessent de se crisper et de se tordre c'est que le plaisir d'être "punie" est là. Quand on voit des fesses qui ondulent délicieusement et s'offrent complaisamment, on peut continuer la fessée. Les vertus aphrodisiaques des piqures d'ortie connues depuis l'antiquité pour stimuler le désir, lutter contre la frigidité, l'impuissance...etc, s'expriment pleinement et la punition devient plaisir. Alléluia ! Objectif atteint. Car dans les jeux BDSM, et vous l'avez compris, il ne s'agit nullement de "punir" et encore moins de "torturer" mais de donner à chacun du plaisir. C.Q.F.D Il m'est arrivé de retourner cueillir de nouvelles orties à la demande d'une de mes partenaires pas suffisamment fouettée à son goût et qui appréciait particulièrement la caresse des orties au plus secret de son intimité. J'ouvre ici une parenthèse pour dire que la fessée aux orties peu de se transformer en fouettée aux orties sur les seins ou sur le triangle de jambes bien écartées et pour l'avoir expérimenté, la flagellation aux orties de ces zones oh combien sensibles produit des effets secondaires surprenants.
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Par : le 05/01/20
Suite de l'histoire: c'est beau d'avoir une soumise qui les mérite. Nous étions donc restés au moment où la petite demoiselle aux yeux expressifs et au sourire félin était soumise à l'examen médical pour son entrée à l'Académie. Les bras et les jambes attachés en croix sur une table, entourée de deux éducateurs, pendant qu'un troisième la regardait en se faisant sucer par une élève plus avancée. Avant l'examen, on plaça un masque sur ses yeux. Elle ne pouvait plus qu'entendre les voix dures, les petits rires secs de ses examinateurs pendant qu'ils manipulaient et jouaient avec son corps Et sentir leurs mains qui palpaient et trituraient sa chair, explorant ses recoins les plus intimes Elle sentit son corps tiré, caressé, tapoté par endroits. Puis un cri involontaire, aigu comme celui d'une petite fille, sortit de sa gorge quand elle sentit les ongles s'enfoncer dans la chair de sa hanche Les gestes se répétèrent sur ses aisselles, ses pieds, ses côtes. D'abord des caresses, comme pour chauffer la peau, puis des coups ou des griffures, et chaque fois ses cris ou ses halètements étaient accueillis par un petit rire ou un soupir d'aise. Les maîtres s'amusaient de ses réactions, jaugeaient et se plaisaient à prolonger ses tourments Son souffle lui resta dans sa gorge. Une main s'était posée sur chacun de ses seins Son ventre se contracta et les larmes montèrent à ses yeux sous le masque alors que le même rituel recommençait. La main pétrissait la chair tendre, fragile et intime, et semblait comme tenir une partie de son esprit entre ses doigts. Elle était si vulnérable, si offerte, incapable de cacher quoi que ce soit. Ses réactions lui échappaient complètement. Quand les doigts se refermèrent sur ses tétons, et commencèrent à tourner, elle se retint de hurler. Un simple sanglot étouffé secoua son diaphragme Puis la douleur la fit crier, et la voix de son tortionnaire monta à ses oreilles: "Ah! On a une petite crieuse. Continue comme ça, chante pour moi!" Une fois, deux fois, cinq, dix, quinze fois, les doigts tordirent la chair de ses tétons, et tout son corps se cabra sous la douleur. Elle ne se retenait plus, ses cris partaient comme sortis tout droit de sa poitrine Quand la main se reposa à plat sur ses seins et que les voix se mirent à parler entre elles, elle n'arrivait même plus à comprendre ce qu'elles se disaient Une minute de calme s'ensuivit. On notait sa sensibilité, la fermeté, on parlait d'hormones et de compléments alimentaires à lui administrer Puis la main monta, caressante, et retomba lourdement sur sa gorge. La voix s'approcha de son oreille et murmura "maintenant, les examens des orifices" Tout son corps se cabra, mais les liens étaient bien trop serrés, et la seule chose qui en résulta fut un nouveau rire sec de la part du maître, qui resserra son étreinte et continua: "Oui, tu peux te débattre, vas-y. J'aime te sentir te tortiller comme ça, et ça rendra les choses encore plus douloureuses. Continue." Et sans prêter plus attention à ses réactions, il continua à serrer doucement jusqu'à ce qu'elle se sente étouffer. Puis, alors que sa bouche grande ouverte cherchait à tout prix un peu d'air, il enfourna un gros appareil en métal froid entre ses mâchoires Sa langue fut repoussée jusqu'au fond de sa bouche, et ses lèvres douloureusement écartées par cette boule. Mais ce fut après, doucement, que la douleur monta vraiment D'abord dans la mâchoire, puis dans les joues, et enfin au fond de la bouche alors qu'elle luttait face à cet envahissement et que la panique prenait le dessus Quand elle entendit un petit crissement, et qu'elle sentit la boule s'ouvrir encore, la douleur et la peur firent trembler tout son corps. Son esprit semblait paralysé, elle ne pouvait pas penser, pas se détacher de la terreur de sentir sa bouche écartelée ainsi La voix revint près de son oreille, murmurant doucement avec une pointe d'ironie: "Encore beaucoup de travail de ce côté. J'espère que tu aimes mon amie la poire, parce qu'elle va revenir souvent entre tes mâchoires" Elle se rapprocha encore, tout près et reprit "Voyons voir si tu es aussi serrée en bas" Et aussitôt, elle sentit une autre main se poser sur son pubis, et se refermer inexorablement sur ses parties les plus intimes La douleur dans sa bouche rendait son esprit confus, mais chaque mouvement de cette main lui parvenait si distinctement qu'elle aurait pu croire qu'elle la voyait d'abord le long de ses lèvres, doucement, pour les écarter Puis en bas des lèvres, un moment, pour tirer sur la peau, tester sa flexibilité, pincer encore Puis de nouveau plus haut, jusqu'à l'ouverture de ses lèvres internes, et quand le doigt se posa sur son clitoris, elle eut l'impression de ressentir chaque pore appuyer sur sa peau au ralenti Puis de nouveau une sensation froide. Un instrument en métal venait s'insérer autour de son clitoris. Le froid la fit sursauter malgré les liens L'instrument resta un instant puis elle ne le sentit plus, on avait sans doute mesuré sa taille. La main redescendit en caressant et s'arrêta sur la fente. En la sentant à cette endroit, elle avait l'impression qu'un simple mouvement pouvait l'ouvrir et exposer toutes ses entrailles. Son corps entier ne lui appartenait plus, exposé comme il était à ce doigt tout puissant Un nouveau rire se répandit autour d'elle, et une voix s'exclama: "Mouillée! Une vraie petite esclave!". La honte qui la prit au ventre à ce moment lui fit presque oublier l'horrible instrument dans sa bouche, tant elle était mortifiée Un autre instrument en métal s'inséra entre ses lèvres, mais il ne fit que les ouvrir, et la main s'arrêta vite à l'intérieur. La voix reprit près de son oreille: "Parfait. Je crois que je sais déjà quel client voudra profiter de ta virginité. Tu vas être une parfaite attraction pour un soir de fête, quand tu seras prête" "Maintenant respire un coup, et détends-toi. Ou souffre" Rien ne l'avait préparée, aucun signe avant-coureur. D'un coup, un doigt s'enfonça droit dans son anus. Ses jambes se tendirent, tous ses muscles se raidirent comme un grand cri d'alarme. Elle n'avait plus la force de hurler, mais une lamentation suraiguë et longue fila entre ses lèvres trop écartées Un deuxième doigt entra, avec plus de difficulté, et la douleur devint insoutenable. Elle eut l'impression de s'évanouir. Une minute passa dans cette agonie. Il lui fallut un long moment pour se rendre compte que l'instrument était sorti de sa bouche endolorie, et qu'une de ses jambes était déjà détachée. Elle n'avait pas même la force de se débattre. Dans une sorte de brouillard, les mains la prirent et la soulevèrent comme un sac. Le masque glissa. Ses larmes coulèrent le long de son visage et tombèrent sur le sol de la salle d'examen pendant qu'on la sortait sans délicatesse par une autre porte La dernière chose qu'elle ressentit avant de s'évanouir fut le sol dur où on la laissait tomber, les murs de la cellule étroite qui disparurent dans le noir, et le froid qui s'était saisi de tout son corps, vulnérable et transi, perclus de douleur et terrassé par l'humiliation. Pour la suite, il ne reste qu'à espérer que ma soumise continuera ses bonnes actions...
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Par : le 15/11/13
à une éternelle "petite fille" au regard si bleu et qui se reconnaitra Cela ne pouvait plus durer ainsi…. Partout dans les villes et les cités la violence masculine s’exerçait en toute impunité… Un viol toutes les cinq minutes, les rackets, les agressions, …Dans les entreprises les patrons abusaient de leur situation pour exiger des services sexuels…. La police corrompue laissait filer les violeurs et les agresseurs quand elle ne leur prêtait pas « main forte » pour accomplir leurs méfaits… La justice était complètement débordée, les coupables à peine arrêtés et jugés à de courtes peine de prison, aussitôt relâchés….La société était au bord du chaos… Aucune Femme n’osait plus sortir seule… Les femmes étaient les victimes des appétits des hommes… Bien que majoritaires elles ne parvenaient pas à faire entendre leurs voies, étant cataloguées comme des féministes ringardes et sexistes…un comble. Mais chacun savait au fond où se situait la clé du problème..et de la solution. C’est ainsi que quelques groupes de femmes, refusant la fatalité de la dictature des mâles, décidées à passer à l’action se constituèrent…officiellement pour réclamer des mesures de réelle protection et des lois…clandestinement sous forme d’un appel à la résistance féminine…et à l’action. C’est ainsi que se constitua la Milice des Amazones du Var. Ces femmes étaient en guerre, contre les mâles et le patriarcat… Elles décriaient l’imposture masculine, proclamaient la supériorité de la Femme, et appelaient toutes les Femmes à les rejoindre autour d’un projet de société Gynarchiste. Elles étaient décidées à rendre coup pour coup : « une paire de couilles arrachée pour chaque femme violée, un pénis tranché pour chaque femme battue ». La terreur allait changer de camp. Une révolution était en marche. Des troupes féminines de choc furent constituées et entrainées… Elles défrayèrent bien vite la chronique par leurs actions spectaculaires… Leurs premières cibles furent les violeurs et les maris violents… Des violeurs disparurent mystérieusement kidnappés à leur sortie de prison. On retrouva leurs corps torturés et mutilés, jetés dans des buissons… Tous avaient le sexe horriblement mutilé, tranché, crucifié ou ébouillanté…Un panneau portant l’inscription : « Cette fois je ne violerai plus !!! », écrit de leur sang, le sang de leur queue était accroché à leur cou. A la place du sexe un clé informatique sur laquelle le film de leur interrogatoire, de leur jugement, de leur condamnation et de leur exécution avait été enregistré… Tous étaient passés aux aveux. Il faut dire que les amazones avaient des méthodes d’interrogation particulièrement persuasives et humiliantes… Celui qui acceptait de passer aux aveux « spontanément » pouvait prétendre à une émasculation rapide…la bite et les couilles passées à la guillotine… Il lisait alors une déclaration (filmée) où il reconnaissait ses torts, implorait le pardon de ses victimes et demandait à subir le châtiment féminin….il était alors traîné plus que conduit à la guillotine à pines…on introduisait de force ses attributs dans l’orifice….chacune des femmes venait lui cracher au visage, puis le couperet s’abattait et ses attributs chutaient dans le sable….l’homme était ensuite pendu…. les autres étaient exposés à la vindicte féminine…pendant des heurs voire des jours et des nuits entières…Il était mis au pilori, nu et subissait à son tour le viol anal…sodomisé à sec en public par des Femmes vengeresses… Après trois jours de ce traitement il était crucifié par les quatre membres et les couilles, sur une croix, la tête en bas… les femmes venaient lui pisser dessus….ou lui cracher à la figure…sa queue et ses couilles étaient enduits d’essence et les femmes y mettaient le feu…. L’Organisation Secrète des Amazones aimait faire parler d’elle et faisait parler d’elle. C’était au départ un groupe de Femmes radicales et bien décidées dont le but était bien évidement d’établir une société Gynarchiste. Aussi irréaliste qu’aurait pu paraître leur entreprise quelques décennies en arrière, le principe d’une société dirigée par les Femmes avait fait son chemin dans les esprits. Plusieurs constats étaient venu alimenter cette évolution des mentalités : - Le pouvoir des hommes, avides de conquêtes, de guerres et de destructions avait conduit la planète au bord de l’asphyxie. Les femmes étaient naturellement beaucoup plus proches de nature et de la préservation de l’environnement. - Les sacro saintes valeurs « viriles » , basées sur la force physique , apparaissaient depuis longtemps non seulement ringardes mais dangereuses. Elles n’avaient engendré que la violence dans les villes et les banlieues, et des guerres sanguinaires qui n’en finissaient jamais. - Les hommes apparaissaient de plus en plus comme des êtres primaires ayant pour principale préoccupation de satisfaire et soulager leurs instincts bestiaux. Ils ne considéraient les femmes que comme des objets sexuels ou des servantes qu’ils jetaient aussi vite qu’ils les avaient possédées ou violées….Tous les prétextes étaient bons pour eux, les hommes au cours de l’histoire avaient toujours gardé le pouvoir pour en abuser aux dépens des femmes. L’image de l’homme sage ne faisait plus illusion : la sagesse avait changé de camp ou de sexe. - Les Femmes ayant accédé, grâce au travail et aux sacrifices des féministes, à la culture et à l’instruction, et à des postes de responsabilité, y avaient démontré leur supériorité sur les hommes Bref ! La Métaphysique de l’homme fort, du soldat vainqueur, de la femme au foyer, et de l’ordre patriarcal. ..était morte. L’ordre masculin s’écroulait, le pouvoir du phallus état en miettes… Ce pouvoir était mur voire blette…prêt à être ramassé par les Femmes, pour peu qu’elles s’en donnent les moyens… L’idée d’un pouvoir féminin faisait ainsi son chemin. Il n’était qu’à accélérer les choses pour précipiter quelque peu un mouvement qui paraissait inéluctable. Les mouvements féministes prirent une orientation plus radicale. On entendit des appels à la castration des violeurs (plus chimique cette fois) , des appels vibrants et argumentés … réclamant que la justice et l’administration pénitentiaire soient confiées aux femmes, et que les châtiments corporels soient rétablis pour garçons violents dans les écoles, pour les hommes dans les prisons. . Les témoignages de Femmes battues ou violées étaient publiés dans des journaux féministes dont la diffusion s’étendait chaque jour. Des journées de grève des femmes furent lancées, elles connurent des succès grandissants. Les femmes avaient été les grandes dupes de la Révolution de 1789 censée leur apporter l’égalité. Elles étaient déterminées à réussir la leur. Mais les plus avisées d’entre elles savaient que cette action publique forcément raisonnable ne mènerait à rien de concret. Les hommes s’accrocheraient à leur pouvoir auquel ils tenaient autant qu’à leur dard. C’est ainsi que se constituèrent des organisations secrètes, des milices féministes inspirées de l’action de la résistance que les hommes qualifiaient de mouvement terroristes… (dont se réclamaient volontiers les plus déterminées d’entre Elles). Ces Femmes entraient dans la guerre clandestine contre le pouvoir mâle. Elles usaient de la terreur comme arme psychologique de conquête du pouvoir. Le recrutement était simple : des femmes qui avaient été battues ou violées, quittaient spontanément leurs casseroles et leurs foyers pour venir grossir les rangs des miliciennes. Les associations de femmes battues fournissaient d’excellentes recrues qui ne demandaient qu’à assouvir leur besoin de justice. Elles participaient à des manifestations et des distributions de tracts.. Les violeurs et les violents étaient dénoncés. Les usines des patrons harceleurs étaient placardées d’affiches portant ce genre de slogan : « Tremble Violeur, ta bite et tes couilles répondront de tes actes!!!! » Mais ces menaces n’auraient eu qu’un coté folklorique et aucun réel impact psychologique si elles ne s’étaient accompagnées de quelques actions d’éclat. Le but était double : terroriser les machos et montrer aux femmes qu’elles ne devaient plus se cantonner dans le rôle confortable de victimes. La violence masculine n’était pas une fatalité mais un fléau qu’il fallait combattre et terrasser..à la racine. Tel chauffeur routier, appelons le Pablo, en fit la cruelle expérience. Il se frottait déjà les mains quand au petit matin il eut la surprise de « ramasser » une ravissante auto stoppeuse sur le bord du chemin. La route était déserte et la fille seule. C’était la bonne aubaine pour lui, il aimait les filles peu farouches et s’imaginaient que toutes celles qui montaient dans son camion devaient s’acquitter d’un « impôt sexuel »… Il leur rendait service, c’était bien normal qu’elles écartent les cuisses pour qu’il puisse les fourrer comme un lapin. Tout à son désir il n’avait pas pris garde aux deux motos qui lui avaient emboité le pas, à peine sa future victime grimpée dans sa cabine. Il était assez direct et rougeaud, râblé et costaud. La fille portait une mini jupe…et semblait peu farouche. Tout s’annonçait pour le mieux. Pablo ne tarda pas à faire des allusions…graveleuses, évoquant ces soi disant amazones qui n’étaient à ses yeux que des mal -baisées qu’il se proposait de calmer à coups de dard entre les fesses… C’est de ça dont les filles avaient le plus besoin selon lui. La fille l’excitait comme un taureau, il fonçait tête baissée la queue en avant dans le panneau qu’elle lui tendait. Il voulut la culbuter dans la cabine, elle lui dit préférer les fourrés… C’est ainsi qu’il arrêta son bahut au bord d’un chemin de terre en lisière de la forêt… Son plan était clair : il allait la baiser , et la laisserait ensuite se débrouiller…l’abandonnant au bord du chemin. Tout en se dirigeant vers une clairière, il lui pelotait les fesses outrageusement… Déjà il la poussait contre un arbre et de sa main cherchait à baisser la culotte… La fille, appelons la Maria, lui demanda de baisser son pantalon.. ;elle voulait voir sa queue … il ne se le fit pas répéter. Et aussitôt se retrouva pantalon et slip baissé, la queue à l’air au milieu de la clairière. Il s’approcha d’elle, il bandait… Il ne vit pas arriver le coup de pied qui lui percuta les couilles et l’envoya par terre… « salope ! » cria t il dans un juron…..tout en se tenant les couilles à deux mains. « Tu veux qu’on la joue comme ça ! Tu vas voir ce que c’est qu’un mec !!! » Maria lui souriait, l’air moqueur : « j’ai invité deux copines, Pablo ! ça te dérange pas ? « » Interdit Pablo se retourna. Les deux motardes étaient là… chacune un fouet à la main. Elles avaient poussé leurs motos jusqu’à la clairière. Et contemplaient la scène. Pablo sentit que quelque chose ne tournait pas rond. Il voulut remettre son pantalon et prendre ses jambes à son cou…. Mais les filles l’encerclèrent, le défiant du regard. Il allait devoir se battre…Il cranait encore : « allons les filles, je ne vais pas me battre contre des gonzesses…ce ne serait pas du jeu !!! » Pour toute réponse il reçut un crachat en plaine figure et un nouveau coup de pied dans les couilles de Maria, par derrière… La lutte fut brève, les filles étaient entrainées au combat et Pablo ne faisait pas le poids. Roué de coups il se retrouva menotté, puis attaché les jambes écartées entre deux arbres. Son visage n’était plus qu’une bouffissure tant il avait pris des coups de bottes en pleine figure. Ses deux arcades saignaient abondamment, il était maculé de sang. Les filles s’offrirent une séance de punching ball… prenant les couilles pour cible, elles se déchainaient pour faire valser ses malheureuses valseuses…qui sursautaient à chaque coup. Pablo avec ses jambes attachées, écartées ne pouvait esquiver les coups. Maria exultait : « tu as toujours envie de me baiser, connard ???? ». Elle exhibait ses seins dressés devant lui, malgré sa trouille et la douleur dans les couilles, il regardait avec envie cette poitrine arrogante. « C’est vrai que tu m’excites, Pablo. Quand tes couilles vont éclater, je crois que je vais jouir ! » Déjà le gland avait éclaté et saignait abondamment... Les deux amazones commencèrent par le fouetter , de tous les cotés… Maria avait ramassé une badine et s’acharnait à lui cingler la pine. Il gueulait mais ces beuglements ne faisaient que renforcer l’acharnement des filles… Quand il s’effondra dans ses liens, les filles le trainèrent jusqu’à une fourmilière…là elles le firent basculer et lui recouvrirent la queue et les couilles de fourmis rouges, qui attirées par le sang aussitôt s’attaquèrent aux bas morceaux de Pablo. Il se débattait comme un diable mais les filles le tenaient fermement. Chacun à son tour elles l’enculèrent à sec. Tandis que les autres le giflaient et lui crachaient à la gueule…Pour gueuler , il gueulait. Ce qui excitait encore plus ses tortionnaires. Les filles retirèrent leur culotte et lui pissèrent dessus…elles lui firent lécher par terre… Il suppliait qu’on le laissa partir… Mais les intentions des filles étaient tout autres… Avec un sadisme raffiné elles lui firent croire que s’il leur obéissait, elles le laisseraient partir… C’est ainsi qu’il avala leur urine, et se branla à genoux devant elles sous les gifles et les crachats… Elles lui avaient détaché une main, et l’encourageaient de la voix et du geste simulant les mouvements ridicules d’un type qui se masturbe. « branle toi connard ! bientôt tu ne pourra plus, car tu n’en auras plus »… Elles pouffaient de rire des sarcasmes et des « bons mots » méprisants dont elles l’inondaient entre deux paires de gifles ou deux crachats. Quand elles jugeaient qu’il ne mettait pas suffisamment d’ardeur à la tâche, elles lui cinglaient la pine d’un coup de badine , ou lui mettaient un solide coup de pied dans les couilles. Maria extirpa de son sac une fiole de piment dans lequel elle lui trempa le gland, et dont elle lui enduit les mains…. « ça va te réchauffer, coco… !!! » « Oh ! mais ça te brûle ….pauvre chéri ! Tu fais moins le malin , crétin ! » C’est vrai qu’il ne faisait plus du tout le malin. Il reprit sa masturbation forcée et finit par éjaculer, sous les applaudissements , aux pieds des trois filles qui se marraient comme des folles. Il s’affala face à terre en sanglotant. Les filles l’attachèrent solidement à un arbre suspendu à une branche par les poignets. « C’est ta dernière épreuve Pablo » lui dirent elles en riant. Elles le fouettèrent à nouveau… son dos était en sang, son sexe n’était plus qu’un amas de chairs sanguinolent. Le gland était éclaté les couilles lacérées… Il était au bord de l’évanouissement… Maria trempa sa culotte dans le bidon d’essence et la noua autour de ce qu’il restait du sexe de l’homme… Elle alluma une cigarette qu’elle fuma tranquillement en toisant sa victime… qui sentant qu’il n’en réchapperait pas chialait et suppliait… Maria jeta le mégot sur la culotte nouée autour des couilles. Le feu prit instantanément… Maria se masturbait en regardant le supplicié…qui hurlait dans les flammes. Elle ressentit plusieurs orgasmes à voir ainsi se consumer devant elle les attributs du malheureux…quand le corps sans vie ; les attributs calcinés (il n’en restait plus rien) s’affala dans ses liens elle posa le pied dessus et dit : « Tu m’as fait jouir Pablo !!!» Les deux autres filles filmaient la scène….la vidéo ne tarderait pas à circuler sur le net. Les amazones savaient que dès le lendemain de nouvelles dénonciations de violeurs arriveraient en masse sur leur site clandestin.
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Par : le 04/03/18
Cet article est destiné aux soumis et, plus particulièrement, à ceux qui aiment la femme. Massage du clitoris : Techniques de Base Le massage du clitoris est une excellente technique à avoir à votre disposition quand vous faites l'amour à une femme. Tandis que la plupart des couples commencent probablement par une petite caresse de la vulve et du clitoris avant les rapports sexuels, peu penseraient à le faire principalement. Si vous voulez vraiment impressionner votre partenaire, envisagez d'en faire le centre d'attention en lui massant le clitoris. Le massage du clitoris peut être employé par les couples ayant des incapacités physiques temporaires ou permanentes. Les femmes enceintes peuvent éprouver un désir accru pour le sexe et l'orgasme mais se trouver dans l'impossibilité d'engager un rapport sexuel vaginal. Les partenaires ayant des paralysies peuvent ne pas être capables d'accomplir les gestes nécessaires lors d'un rapport sexuel. Les hommes qui sont impuissants peuvent encore vouloir donner à leur partenaire un plaisir sexuel et l'orgasme. Il est important de réaliser que les relations sexuelles peuvent avoir lieu en l'absence d'érection et de pénétration. La première exigence du massage du clitoris est de savoir où se trouve le clitoris de votre partenaire, à quoi il ressemble et la sensation ressentie lorsqu'il est flasque et en érection. La seule façon d'apprendre ces choses est d'explorer. Avec les lumières allumées, faites dévêtir votre partenaire (il se peut qu'elle veuille garder une chemisette confortable). Elle devrait alors se coucher sur un lit, s'asseoir sur une chaise, ou s'asseoir sur le lit, redressée par quelques coussins. Soyez sûr d'avoir un accès facile à sa vulve, mais aussi qu'elle soit dans une position confortable. Assoyez-vous ou agenouillez-vous en lui faisant face. Si elle est assise sur une chaise ou au bord du lit, il se peut que vous aimiez vous asseoir dans une chaise ou vous agenouiller sur le sol. Elle peut aussi être assise sur vos genoux, vous faisant face. Vous devez êtes assez proche pour avoir le clitoris à portée de main. Vous pouvez très bien avoir l'envie qu'il y ait une proche source de lumière, comme une lampe de poche, pour éclairer sa vulve afin de pouvoir tout voir clairement. Il en va de même pour un petit miroir de façon à ce que votre partenaire puisse voir sa vulve et son clitoris, et ce que vous faites. Commencez par observer sa vulve tandis qu'elle est au repos ainsi que les lèvres externes. Doucement, examinez tout avec vos doigts. Préférez la douceur des caresses. Notez la douceur de la peau et des poils pubiens. Si votre partenaire a beaucoup de poils pubiens, il se peut que vous vouliez les couper correctement avec des ciseaux. Il n'y a pas besoin de raser la partie pubienne. Puis, écartez doucement les lèvres externes avec vos doigts, et examinez ce qui s'y trouve. Identifiez les petites lèvres, le clitoris, et ses orifices vaginal et urinaire. Elle peut aussi vous aider en retenant ses lèvres externes ouvertes avec une ou deux mains. Si vous ne pouvez pas identifier son clitoris, demandez lui si elle sait où il se trouve, et de vous le montrer. A cause des immenses variations de la structure génitale, certaines structures individuelles peuvent ne pas être immédiatement identifiables. Certaines femmes n'ont pas de petites lèvres, ou seulement une. Un clitoris bien développé sera facile à voir, mais certains clitoris sont si petits et cachés qu'une femme peut le savoir seulement en sachant où c'est le plus sensible au toucher, où elle se frotte en se masturbant. Si vous avez tous les deux du mal à situer le clitoris, allez voir les illustrations dans les pages Anatomie. Une fois que vous avez situé son clitoris, essayez d'identifier toutes les différentes parties : le corps du clitoris/tige, la glande, et le capuchon/prépuce. Etant donné que cela dépend de la taille et de l'étroitesse de son capuchon, il se peut que vous ne puissiez pas l'écarter assez pour exposer sa glande clitoridienne. Si c'est le cas, vous pouvez le sentir sous le capuchon. Si sa glande est petite, il se peut que vous détectiez le corps de son clitoris quand elle est en érection mais non la glande elle-même. Certains sont très minces et difficiles à détecter. Dans ce cas, vous ne pourrez peut-être que l'identifier quand vous la sentez en érection à l'extrémité de vos doigts. Elle peut peut-être vous dire quand vous avez atteint sa glande clitoridienne si vous ne pouvez la sentir. Soyez très délicat lorsque vous examinez son clitoris. Beaucoup sont très sensibles. Le pas suivant pour les débutants, ou en tant qu'échauffement pour ceux qui ont de l'expérience, est pour votre partenaire de se masturber jusqu'à l'orgasme. Elle doit aller lentement d'abord, décrivant ses différentes caresses, et la répartition de ses caresses. Cela, afin que vous puissiez comprendre ce qu'elle aime et ce à quoi elle est le plus sensible. Cela demandera beaucoup de pratique et de séances répétées de masturbation avant que vous ne deveniez aussi bon qu'elle à la masturber et il se peut même que vous ne deveniez jamais aussi bon qu'elle. Sa masturbation jusqu'à l'orgasme avant que vous ne commenciez les massages contribue à la mettre d'humeur et la rendre plus sensible à la stimulation sexuelle supplémentaire. Certaines femmes trouvent leurs organes génitaux très sensibles juste après l'orgasme, c'est pour cette raison qu'il pourrait être nécessaire de masser doucement les autres parties de son corps, poitrine et cuisses, pendant plusieurs minutes avant que vous ne commenciez le massage du clitoris. Il y a des femmes qui ne peuvent avoir qu'un orgasme au début, alors allez-y doucement et essayez seulement de lui faire se sentir bien si vous découvrez que cela est vrai pour votre partenaire. Si votre partenaire est réticente à la masturbation en votre présence, c'est parfaitement normal, ce n'est pas une nécessité. Suggérez-le mais ne mettez aucune pression sur elle à le faire. Aux femmes qui lisent cela, soyez assurées que se masturber face à votre partenaire est parfaitement normal, beaucoup de femmes le font. La masturbation n'est pas seulement un acte solitaire. Les femmes sont très belles quand elles se masturbent et partagent leurs orgasmes avec leur partenaire. Vous ne pouvez pas le faire mal ni vous couvrir de ridicule. Vous ne perdrez rien de l'intimité que vous éprouvez lorsque vous vous masturbez seule. Je pense que la plupart des gens savent que leur partenaire se masturbent, alors vous n'allez pas le choquer en l'admettant, il est plus probable qu'il se masturbe aussi. Si vous maintenez le contact visuel avec votre partenaire pendant la masturbation je pense que vous serez emportée par l'expérience. Vous savez où se trouve son clitoris, alors maintenant que demander ? Eh bien, premièrement, je dois souligner la sensibilité du clitoris et il peut être nécessaire d'ajouter un lubrifiant. La sensibilité du clitoris d'une femme varie grandement d'une femme à une autre. Certaines femmes éprouvent de la douleur si leur clitoris est touché directement, d'autres ne trouvent leur clitoris pas sensible du tout. Certaines réclament un très léger toucher au début, mais ont besoin d'un toucher plus ferme plus elles sont près de l'orgasme. Donc il est mieux de commencer avec un très léger toucher, puis doucement d'augmenter la pression tandis que vous la voyez devenir de plus en plus excitée. Regardez les mouvements de son corps et écoutez les bruits qu'elle fait pour voir si vous appliquez une pression trop grande ou au contraire, pas assez forte. Soyez prudent, vous ne presserez pas le clitoris fortement, peut-être fermement, mais presque jamais agressivement. Peu de femmes apprécient une pression ferme au point de l'orgasme, mais parlez lui en avant d'essayer réellement. Soit elle verra des étoiles, soit elle vous décochera une gifle. Etant donné que cela dépend de la sensibilité du clitoris de votre partenaire et de la quantité de la lubrification naturelle, il se peut que vous ayez besoin d'appliquer une lubrification supplémentaire avant de commencer le massage. Essayez sans d'abord, mais si elle vous repousse ou rapporte qu'elle est trop sensible, ou ne sent rien, appliquez une couche généreuse de lubrification sur toute la surface de sa vulve. N'utilisez que des lubrifiants à base d'eau comme le K-Y Jelly. (L'utilisation de lubrifiants à base de pétrole peut entraîner une infection). Quand vous essayez au début le massage du clitoris, ayez un lubrifiant à proximité, juste au cas où. Faites attention à ne pas toucher la glande clitoridienne directement sans avoir lubrifié votre main, (mais ceci ne doit en aucun cas faire partie du massage). Il se peut aussi que vous envisagiez de porter des gants en latex ou en caoutchouc. Cela rendra vos doigts très lisses, ce qui sera utile si le clitoris de votre partenaire est très sensible, ou si vous avez une peau rugueuse sur les doigts. Ils seront également utiles si vous insérez votre/vos doigt(s) dans le vagin durant le massage, les ongles peuvent érafler les parois vaginales. La plupart des pharmacies vendent des gants en latex ou en caoutchouc. Observation à propos du massage du clitoris. Gardez toujours un contact physique avec la personne qui reçoit le massage, une fois que vous avez commencé. Il est très perturbateur, de par le lien physique qui se développe, que vous enleviez vos deux mains du corps en même temps, et les remettiez. Ce peut être une sorte de choc. Avec de la pratique, il se peut que vous preniez conscience de l'énergie sexuelle qui circule entre vous et votre partenaire. Cela paraît étrange, mais c'est vrai. Ayez tout ce dont vous avez besoin à la portée de votre main libre. C'est aussi une bonne idée de toucher son genou, puis glisser votre main à l'intérieur de la cuisse, et finalement jusqu'à la vulve, de façon à ne pas pénétrer ses parties intimes trop vite. Placer votre main froide directement sur sa vulve peut être un choc et gâcher l'humeur. Chauffez tout lubrifiant que vous utilisez avant de l'appliquer sur sa vulve. Vous masserez son clitoris en utilisant 1, 2 ou 3 doigts. La taille et la proéminence de son clitoris détermineront combien de doigts vous utiliserez. Si vous pouvez situer et sentir le corps du clitoris avec vos doigts, vous utiliserez le pouce et l'index. Si elle a un clitoris très développé, vous pouvez utiliser votre pouce et votre index. Si vous ne pouvez attraper le corps et la glande de son clitoris du fait qu'elle soit trop petite ou cachée, vous utiliserez juste le bout de votre index. Si vous pouvez attraper son clitoris avec deux ou trois doigts, vous voudrez sûrement faire ce qui suit. Très doucement, attrapez le corps de son clitoris avec le pouce et l'index. Doucement, faites glisser la peau lâche couvrant son clitoris autour, principalement par aller-retour, afin de percevoir la forme et la fermeté de son clitoris. Déterminez de combien la peau s'étend le long du corps. N'attrapez pas la glande en premier si possible, si son clitoris est petit vous ne pourrez pas l'éviter. Tandis que vos doigts vont et viennent, le capuchon doit aussi aller et venir, stimulant sa glande. Allez doucement, observez votre partenaire pour savoir si elle aime ce que vous faites. Si possible, essayez de maintenir le contact visuel avec elle, ou du moins, le plus possible. Si vous ne pouvez pas le dire avec le langage du corps, alors demandez-lui si elle aime ce que vous faites. Demandez-lui si vous devriez aller plus vite ou plus lentement, ou appliquer un toucher plus ferme ou plus léger. Si elle ne sait pas, expérimentez. Si vous ne pouvez attraper son clitoris, placez le bout de votre index au dessus de son corps clitoridien ou "tige". L'essai indiquera ce qui est le plus sensible. Bougez doucement la peau sous votre doigt en de petits cercles, ou en faisant des allers-retours pour stimuler son clitoris. Si tout va bien, vous sentirez les structures fermes de son clitoris sous le bout de votre doigt, quand il est excité et en érection, même si son clitoris est vraiment petit et caché. Continuez à caresser son clitoris. Si elle aime ce que vous faites, continuez à le faire. Tandis qu'elle est de plus en plus excitée, vous pouvez lentement et doucement augmenter la pression que vous appliquez, mais toujours être doux. La rapidité de vos caresses peut varier ; très lent au début, puis peut-être plus rapide lorsqu'elle se trouve près de l'orgasme. Vos doigts doivent toujours tenir la peau lâche couvrant le corps du clitoris, de façon à la glisser d'avant en arrière du corps du clitoris. Continuez jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme. Dès qu'elle a un orgasme, revenez à des caresses très très légères, car il est fort probable que le clitoris soit très sensible. Après quelques minutes, vous pouvez recommencer ou arrêter. N'arrêtez jamais le massage brusquement, à moins qu'elle ne vous dise que son clitoris est trop sensible au toucher, dans ce cas, caressez sa vulve ou les lèvres internes pendant quelques minutes. L'idée étant de maintenir le contact physique après qu'elle ait atteint l'orgasme. Elle peut l'avoir rapidement et facilement, mais ce ne sera pas toujours le cas. Cela demande de la pratique et du temps pour tous les deux avant que vous soyez à l'aise avec cette technique. Vous limiterez sûrement les périodes de massage à 15-20 minutes si elle n'a pas d'orgasme au début. Faites-la se sentir bien, mais n'irritez pas son clitoris et ne vous en fatiguez pas. Vous avez besoin d'être tous les deux relaxés. Si votre partenaire apprécie vraiment mais n'atteint pas l'orgasme en 15-20 minutes, vous pouvez continuez le massage pendant encore 10 à 25 minutes, tant que vous vous sentez tous les deux à l'aise. Faites attention à ne pas en faire un acte fastidieux, si l'un de vous se sentait mal à l'aise ou frustré, cela gâcherait le moment et lien sexuel nécessaire pour que cela soit une expérience agréable pour chacun de vous. Si elle n'a pas d'orgasme tout en étant très excitée, passez à une activité sexuelle que vous savez aboutissant à un orgasme. Si elle est seulement capable d'avoir un orgasme en se masturbant, permettez-le-lui de le faire, même si vous devez quitter la pièce. Si elle est heureuse juste par un échange de caresse, c'est bien aussi. Durant le massage il peut être nécessaire pour la femme de fantasmer sur quelque chose de sexuel. Il se peut que cela soit meilleur si elle ne pense pas au massage en lui-même. Si elle trouve vraiment qu'elle a besoin de fantasmer, elle devrait essayer de penser au même fantasme pendant qu'elle se masturbe seule. Elle aura probablement besoin de fermer les yeux pour cela car la présence de son partenaire pourrait la distraire. Ce sera plus facile à faire si le massage est très agréable, sinon il faudra qu'elle guide son partenaire jusqu'à ce qu'il découvre une technique qui fonctionne pour elle. Etant donné que cela dépend de la sensibilité de son clitoris, vous pourrez le stimuler directement, ou indirectement à travers le capuchon. Si son capuchon couvre la glande du clitoris, vous pouvez doucement attraper la glande au travers du capuchon avec votre pouce et l'index. Certaines femmes ont la glande clitoridienne toujours pleinement ou partiellement découverte. Comme cela dépend de sa sensibilité, vous pourrez peut-être appliquer le bout de votre doigt directement sur la glande, le faisant glisser de part et d'autre de sa surface, en ayant un toucher très léger et en utilisant beaucoup de lubrification. Si le capuchon ne couvre pas sa glande, masser le corps de son clitoris en attrapant la peau lâche peut ne pas apporter une stimulation suffisante à la glande. Dans ce cas, essayez une stimulation directe. Certaines femmes ne peuvent pas retirer le capuchon qui expose la glande, mais si vous placez votre doigt à l'ouverture de son capuchon et massez la glande, elle peut avoir une bien plus grande stimulation. Vous pouvez faire un massage vaginal en même temps qu'un massage clitoridien. Pendant qu'une main stimule son clitoris, l'autre peut être utilisée pour stimuler son vagin. En insérant votre doigt dans le vagin, et en stimulant le fond de ses parois vaginales, dirigeant votre doigt vers l'os pubien, vous pouvez stimuler son point G, éponge urétrale. Le mouvement du doigt pour la stimulation du point G est le même que lorsque vous voulez demander à une personne qui est dans la pièce de venir vers vous, la paume de la main vers le haut, créant ainsi un crochet avec votre index. Cela peut produire de très forts orgasmes et des éjaculations prononcées de fluide provenant de l'urètre. Vous pouvez explorer et situer les endroits qui sont sensibles par une stimulation digitale, ou elle peut simplement apprécier la sensation de quelque chose se trouvant dans le vagin, sans bouger du tout, ou lentement. Vous pouvez insérer plus d'un doigt selon sa flexibilité et son désir d'être emplie. Vous pouvez aussi insérer votre main entière dans le vagin, en un poing (le "fisting"), ce qui peut avoir pour résultat une réponse sexuelle très forte de sa part. Cela est beaucoup plus facile pour les couples de femmes du fait qu'elles aient en général de petites mains. Le fisting demande beaucoup de savoir-faire, de pratique et de sensibilité. Vous pouvez aussi inclure un massage anal. Cela nécessiterait tout d'abord un massage extérieur de l'anus, sans pénétration. Certaines femmes acceptent plus volontiers un massage anal que vaginal, d'autres trouvent que la combinaison des deux est très intense et agréable. Après avoir massé son anus pendant plusieurs minutes, vous pouvez insérer le bout d'un doigt, le faisant lentement aller et venir. Une fois que son anus est détendu, vous pouvez insérer votre doigt en entier, puis plusieurs doigts si elle le désire. Le doigt utilisé pour stimuler son anus ne devrait jamais être utilisé par la suite pour la vulve et le vagin à cause des bactéries présentes dans le rectum. L'utilisation d'un préservatif ou de gants en latex vous permettront de permuter les massages devant et derrière pour peu que vous changiez les gants lorsque vous passez de l'anus à la vulve. Une bonne façon de commencer un massage du clitoris est de donner un massage complet du corps. Cela aidera à stimuler et réveiller les nerfs et contribuera à relaxer les deux partenaires. N'utilisez qu'un léger toucher coulant pour ce type de massage. Appuyez doucement avec le plat de votre main, vos doigts façonnant la forme de son corps. Ne jamais compresser (ce que fait la plupart des gens en faisant un massage). Si vous trouvez une zone de raideur, appliquez une légère pression en bougeant vos mains en un geste circulaire de va-et-vient. Même si vous voulez doucement et lentement dissiper la pression, ne passez pas trop de temps à essayer de la relâcher durant un massage érotique. Commencez par la face arrière du corps, puis par la tête et longez jusqu'aux pieds. Faites-la se retourner de façon à lui faire face, et continuez le massage des pieds à la tête, sans jamais briser le contact physique. Attendez la fin pour masser sa poitrine ou ses parties génitales. Après avoir massé son visage et les muscles faciaux, longez son corps jusqu'à la vulve, en s'arrêtant au niveau de la poitrine et des tétons. Puis, commencez le massage du clitoris. Pour le massage, augmentez le chauffage et mettez de la musique relaxante. Si elle s'endormait, cela indiquerait qu'elle est fatiguée et qu'elle a besoin de repos. Laissez-la faire une sieste ou dormir une nuit. Si cela survient un vendredi ou samedi soir, continuez le massage le matin suivant. Ce que j'ai présenté ici sont des conseils basiques pour aidez un couple à entreprendre le massage du clitoris. Le but du massage du clitoris est de faire de son clitoris le centre d'attention. Etant donné que son clitoris est plus probablement son premier organe sexuel, excepté le cerveau, il est plus probable qu'elle trouve ce massage très favorable au plaisir sexuel et à l'orgasme. Etant donné que la constitution du corps et du mental varie grandement, il est impossible pour moi d'expliquer le "comment-faire" pour chaque couple. La seule façon sûre pour les couples de comprendre comment donner et recevoir le massage du clitoris est l'ouverture d'esprit et la pratique. J'ai eu des réponses de femmes très favorables à cette technique de massage en quelques minutes, mais cela peut ne pas être le cas pour toutes. La pratique amène à la perfection. From the book "Masters and Johnson on Sex and Human loving" Copyright 1982, 1985, 1986 By William H. Masters, M.D., Virginia E Johnson, and Robert C. Kolodny, M.D.
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Par : le 04/03/20
Lors de notre première rencontre, une des premières choses que j’ai remarquées c’était le fouet dans la pièce qui te servait de donjon. Je t’ai demandé si tu aimais fouetter tes esclaves. Tu m’as répondu que tu t’en étais servi quelques fois, que tu t'étais entraîné pour cela, mais que tu avais arrêté, après t’être fait fouetter une fois, pour voir, parce que la douleur était trop forte. J’ai longtemps repensé à cette conversation. Jusqu'alors, durant mes plans sm, j'avais souvent été cravachée mais jamais fouettée. L’idée d'être non pas seulement battue, mais vraiment fouettée m’attirait de plus en plus, surtout à cause de la symbolique de l’instrument, de l’usage qui en était fait pour punir les esclaves jadis et du fait que ce soit toi qui me fouetterait pour la première fois. J’ai commencé à me documenter, à me renseigner sur le sujet. Cela n'a fait que renforcer ma détermination, l'envie de te faire ce cadeau, celui de mon corps nu subissant le fouet, infligé par toi, pour toi, pour ton plaisir, pour te prouver que j'étais réellement, complètement à toi. J’ai cherché sur internet, pour trouver l’instrument que je voulais t’offrir, pas du matos de sex shop, mais un véritable fouet. Je ne voulais pas que tu utilises celui dont tu t’étais déjà servi sur d’autres. Je voulais que ce fût le nôtre, celui que je t’offrirai pour que tu t’en serves sur moi. J’ai regardé sur de nombreux sites, américains, australiens, pour finir par trouver l’instrument que je voulais, un snake whip australien fait main (qui coûtait une blinde). Je l’ai commandé. Quand il est enfin arrivé, je l’ai déballé, je l’ai caressé longuement, en fantasmant sur ce que je ressentirai lorsque je le subirai, à ta réaction quand je te l’offrirai. J’ai attendu le bon moment, un week end ensemble, dans ta maison près de Deauville. C'était un vendredi soir. Pendant que la voiture filait dans la nuit, je t'ai dit que j’étais prête. Interloqué, tu m’as demandé à quoi. Quand je t’ai répondu « à subir le fouet », il y a eu un moment de silence puis tu m’as demandé si j’étais sûre, si je me souvenais des raisons pour lesquelles tu ne t’en servais plus. Je t’ai répondu que oui. Tu m'as redit ce que tu m'avais déjà dit " Tu sais, Laure, le fouet c'est ce qu'il y a de plus dur. Ca n'est pas un jeu. Tu vas vraiment souffrir » "Je sais Maître. Je me suis documentée. Mais c’est pour ça que je le veux. Pour vous, pour moi. » A nouveau tu t'es tu. Puis, en me prenant la main, tu m'as demandé de te promettre d'utiliser le safe code que tu m’avais imposé de choisir si je sentais que c'était trop dur, parce qu'une fois lancé tu risquais de ne plus pouvoir te contrôler et que tu irais jusqu'au bout. Je te l'ai promis. Il était tard lorsque nous arrivés. Je me suis déshabillée, je me suis mise à genoux pour t’offrir le fouet que j’avais choisi pour nous. Tu l’as déballé, contemplé, caressé. Tu m’as dit qu’il était superbe, mais que ce que tu trouvais le plus beau ce n'était pas l’objet lui-même mais le fait que ce soit moi qui te l’offre. Il était trop tard pour que tu t’en serves tout de suite. Tu m’as entraînée dans la chambre, allongée sur le lit et tu m’as fait l’amour. Le lendemain, je me suis réveillée la première, comme souvent. Tu dormais encore, pendant que j’admirai ton corps nu, étendu sur le lit, ta bite au repos. Je t'ai contemplé un moment, encore remplie de toi. J'ai été me doucher, j'ai préparé le petit déjeuner. Puis, je suis revenue te réveiller, caressant, embrassant, léchant ton corps et ton sexe, te prenant en bouche pour te vider de ta pisse. Nous avons pris le café, puis tu m'as dit vouloir t'entraîner, t'assurer que tu n'avais pas perdu la main. Tu as enfilé un jean, tu as été chercher le fouet et tu as commencé à le faire claquer, pendant que je songeais que ce fouet que tu maniais bientôt s'abattrait sur mon corps, avec ma chatte qui mouillait rien que d'y penser. Tu t'es entraîné pendant une bonne demi heure. Visiblement, le maniement du fouet, ce doit être douloureux pour celle qui le subit mais c'est aussi sportif pour celui qui le manie. J'ai toujours été excitée par ton corps en sueur. Quand tu as eu fini, je suis venue te lécher. Puis, nous sommes passés sous la douche. Tu n'as pas voulu que je te suce ni me prendre, pour conserver ton foutre pour "après » avant de me prendre par la main. Tu bandais un max quand je t’ai déshabillé. Tu m'as suspendue par les poignets, attachée chevilles écartées, bras et jambes en croix, avant de m’embrasser longuement, tendrement, en frottant ton sexe dur contre mon corps, mon bas ventre. Tu m’as rappelé ma promesse : jaune : moins fort, rouge : stop. Je t’ai répondu que je n’avais pas oublié mais qu’en échange je te demandais de ne pas tenir compte de mes cris, de mes pleurs. Mais uniquement des codes, si je prononçais les mots convenus. Tu t'es éloigné de quelques pas. Tu as écarté tes jambes, en appuyant bien tes pieds au sol. Ta queue était dressée, raide, dure. J'appréhendais ce qui allait suivre, mais en même temps je le désirais. Le fouet à sifflé, avant de me cingler. Je n'ai pu m'empêcher de hurler, les larmes ont coulé. Jamais je n'avais ressenti une telle douleur. Je t’ai supplié de continuer malgré tout, sans tenir compte de mes pleurs, de mes cris chaque fois que le fouet s’abattrait sur moi. Non seulement je n'ai pas prononcé les mots convenus, mais après une dizaine de coups, je suis partie dans un autre univers, entraînée dans un état second où la douleur se mêlait à la jouissance Quand tu t’es interrompu, que tu es venu vers moi pour m’embrasser, je t’ai demandé de continuer, de me fouetter aussi les seins et le sexe. Quand il s’est abattu sur ce dernier, la douleur a été fulgurante et j’ai failli hurler « rouge ». Mais j’ai serré les dents. Et j’ai joui. Quand finalement tu as arrêté tu étais en nage et ma chatte était trempée. Tu m'as détachée. Je me suis effondrée à tes pieds, avec une seule envie, sucer ton sexe raide. Tu m’as laissé te caresser, avant de me prendre dans tes bras pour me porter sur le lit. Et tu m’as fait l’amour. Il a fallu 15 jours pour que mes plaies cicatrisent, que les marques sur mon corps s’estompent. ____________________ Ce week-end à Deauville a été un moment très fort dans notre relation. Même si je n’avais jamais éprouvé pour ceux qui m’avaient baisée avant Maxime le désir que j’avais pour lui, nos rapports intimes étaient jusque là restés dans le cadre de ce que pratiquais avant. Recevoir le fouet était un tabou que je n’avais jamais osé briser. Ce jour là, j’ai eu mal, j’ai pleuré, crié, supplié pendant que mon corps, mon sexe, mes seins subissaient sa morsure. Mais en même temps, je n’avais jamais joui autant, de cette souffrance que je lui offrais, de ce sentiment que j’éprouvais pour la première fois de me dépasser en acceptant de lui ce qu’aucun autre ne m’avait fait subir jusqu’alors. Pour lui aussi ça a été un moment très fort, qu’il a traduit avec ses mots, sa pudeur d’homme, en me disant sa fierté de me posséder. Et de me le prouver depuis par sa manière de me regarder, son comportement, son désir.
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Par : le 14/10/19
La chambre de lulu n'avait pas de fenêtre. C'était une petite pièce au sous-sol aux murs nus et au sol froid et dur. Maintenant, lulu était réveillé depuis un moment, bien qu'il ne puisse jamais être certain depuis combien de temps cela avait été vraiment. La seule lumière émanait du petit espace sous la porte. Aux yeux de lulu, elle était brillante, presque aveuglante. Cela le rendait presque certain qu'il faisait déjà jour. Il déplaça un peu son poids, essayant de soulager la raideur de ses muscles, et sa chaîne trembla. Elle était lourde et faite d'acier. Elle était attachée au collier de lulu ainsi qu'au mur de la pièce. Alors qu'il se déplaçait, un de ses pieds glissa du petit tas de paille, et un frisson parcourut son corps quand il toucha la pierre froide. Rapidement, il rétracta son pied nu. ??Comme d'habitude, lulu était presque entièrement nu dans ses petits quartiers. Sa queue, bien sûr, était dans sa cage. Il l'avait porté pendant au moins un bon mois et lulu ne pouvait pas oublier qu’elle était là. Elle était minuscule et métallique, et de l'avis de lulu, un peu trop serrée. Les quelques espaces vides de la petite cage qui enserrait sa virilité permettait à la peau de respirer et ils rendaient un nettoyage rudimentaire possible. À ce moment, cependant, lulu était totalement incapable de le faire lui-même, car les bracelets de ses deux poignets étaient cadenassés ensemble dans son dos. Sa Dame avait eu la bonté le soir d’avant de ne pas les relier à l’anneau entourant ses couilles. Ce n’était pas dans son habitude car Elle préférait que ses bras soit fermement maintenus en place derrière son dos. Aussi agile que lulu l'était, il était alors seulement capable de les soulever de quelques centimètres. Quant à ses doigts, ils étaient engourdis. Il ne pouvait pas en trémousser un seul. Il ne pouvait que admirer sa Dame. A quel point elle était douée pour trouver cet endroit où la circulation n'était pas coupée mais où ses bras étaient plus ou moins parfaitement maintenu immobiles. ??lulu avait regardé fixement la brèche sous la porte depuis si longtemps que même quand il fermait les yeux, il pouvait encore voir cette ligne et une urgence commençait à monter en lui. C'est donc avec une certaine agitation qu'il commença à s'asseoir laborieusement dès qu'il entendit des pas se rapprocher indubitablement de sa cellule. ??La clé a été tournée, et la porte s'est ouverte. lulu cligna des yeux, essayant de s'adapter à la brusque luminosité. Au moment même où ses yeux avaient réussi à se concentrer sur la vue de sa Dame, lulu pouvait sentir une vive douleur venant de la cage de son pénis et il tressaillit. Peu importait qu'elle paraisse s'être juste réveillée. Elle ne portait pas de maquillage et ses cheveux étaient en bataille. Elle était en culotte et portait une chemise plusieurs tailles trop grandes pour Elle. Ses pieds étaient protégés du froid par une paire de pantoufles de lapin rose moelleux. ??«Oh, esclave », dit-elle, étouffant un bâillement. « Bien dormi ? » ??lulu grimaça. ??«oui Madame », dit-il. ??Sa Dame se pencha et lulu aperçut le galbe d’un sein par le décolleté baillant de la chemise. ??« Tu vois » dit-elle. « Je te l'avais dit, tu n'as pas besoin du matelas ».??lulu gémit encore à cause de la douleur venant de son pénis passionné et de sa lutte désespérée contre l’acier inflexible de sa cage. ??« Oups, » Sa Dame sourit d'un air d'excuse. « Serais-tu excité ? » ??Elle tapota d’un doigt sur la cage de métal et gloussa, voyant lulu essayant de lutter contre la douleur. ??« Oui, Madame, » dit lulu quand il eu retrouvé un peu de contrôle. La frustration sexuelle était à son paroxysme et le consumait.??Sa Dame essaya de couvrir sa bouche avec sa main, un faible effort pour cacher son amusement. ??«Désolé, » dit-elle, l'air légèrement plus sérieux. « Prêt pour la journée ? » ??« Oui Madame, » dit lulu, et il sentit sa Dame libérer son collier de la lourde chaîne. ??«Va te soulager», dit-elle, en le regardant se relever. ??La cage du pénis et le cadenas de ses poignets resteraient donc en place ! Lulu s'étira aussi bien qu'il le put. ??«Vas-y,» dit sa Dame avec impatience, et lui gifla fortement les fesses, le faisant sursauter avec surprise. Il marcha jusqu’aux petites toilettes qui lui servaient de salle de bain. Son urine prit du temps à passer la compression de sa cage. Il sentait l’impatience de sa Dame grandir derrière lui. Dès qu’il eu fini, il sentit qu’Elle ajoutait une chaine à l’arrière de son collier. « Remonte tes poignets dans ton dos » dit-elle. lulu fit du mieux qu’il put. Il entendit le clic d’un cadenas et il sentit que ses bracelets étaient cadenassés à la chaine de son collier, laissant ses bras hauts dans son dos. Distrait par cette constatation, il ne vit pas qu’Elle avait profité d’ajouter une courte chaine entre les bracelets de ses chevilles.??« Allez, Hop » Ajouta-t-elle. Il trottina à travers un petit couloir, puis remonta lentement, gainé par sa chaine, un long escalier tournant qui menait de la cave au rez de la maison. L'odeur dominante de café frais flottait venant de la cuisine où il se dirigeait. Elle fut bientôt rejointe par l'agréable arôme de gaufres ou de crêpes. lulu continua sa marche avec impatience. ??Il fut accueilli dans la cuisine par une table, qui a semblé avoir été amoureusement réglée pour deux avec beaucoup de soin. lulu se retourna à demi et ne fut nullement surpris de voir un regard de cruauté sur le visage de sa Dame. Elle le rattrapa, sourit de travers, puis fit un geste significatif vers l'une des chaises. ??lulu s'approcha et commença à utiliser tant bien que mal son pied enchaîné pour ramener la chaise pour sa Dame. Quand elle fut satisfaite de la position de la chaise, Elle s'assit lentement et soupira de contentement. Deux tasses se tenaient sur le table chargée, mais une seule fumait. Elle la prit et bu une petite gorgée. ? Partie 2 «Vous allez me faire faire quelque chose de terriblement humiliant avant de pouvoir vous rejoindre à table, n'est-ce pas Madame. » dit-il résigné. Sa Dame mit une main sur son cœur comme blessée par la simple suggestion. «Qu'est-ce qui te fait dire une chose pareille? », a-t-Elle demandé dramatiquement, mais Elle a dû rire à mi-chemin. «Hmm», dit-Elle, apparemment profondément plongée dans ses pensées. «Que dirais-tu d'abord de te remettre à genoux? »??lulu le fit. Ce n'était pas une entreprise sans aucun défi, pas avec ses bras attachés haut dans le dos et les chevilles enchainées. lulu pouvait sentir les muscles de ses cuisses protester, et il s'attendait presque à une crampe. ??"Bien joué," dit sa Dame quand il eut terminé sa tâche. «Tu devrais me remercier de m’occuper si bien de toi, tu sais. »??lulu rougit. ??« Oui ma Dame. Merci, ma Dame. » ??Sa Dame sourit brillamment. Puis Elle posa une main sur son ventre comme si elle était en transe. lulu vit son regard errer. ??«Ceci est ton objectif», dit-Elle. « Mais ce n'est pas par là que tu vas commencer. » lulu ne comprit pas. Mais de quoi parle-t-Elle ? C’est pas bon, pas bon du tout. ??Délibérément, doucement, sa Dame croisa les jambes, puis se tortilla les orteils. ??«Vas-y, esclave», dit-elle avec un ton de voix amusé. ??À genoux, lulu se rapprocha. La propre odeur de sa Dame remplaça rapidement celle du petit-déjeuner alléchant. lulu pouvait dire qu’Elle ne s'était pas douchée, mais heureusement Elle n'avait pas fait d'exercice non plus. Bien qu’elles puissent être brutales sur ses sens non préparés, lulu était devenu capable de profiter des différentes odeurs de sa Dame au cours de leur relation et il respirait maintenant l'arôme de son pied non lavé volontairement et avec empressement avant d'y appuyer ses lèvres. ??Heureusement, il sentit sa Dame se tortiller sous son touché, tandis que ses doux baisers chatouillaient son pied sensible. Il passa le bout de sa langue le long des orteils salés, et sa Dame ne put réprimer un rire. ??«Sympa», dit-Elle d'un air approbateur. «On y va, tu peux en sucer un, c'est tout ». ??Elle plaça son gros orteil entre les lèvres de lulu, et il commença à le caresser docilement. ??lulu ouvrit le bouche toute grande, quand il sentit la pression augmenter et que sa Dame insérait dans sa bouche autant de son pied que possible. lulu dut utiliser les muscles de son cou pour tenir en place et permettre à sa Dame d’entrer jusque dans sa gorge. Ce n'est que quand il eu un réflexe de vomissement et qu’il ne pouvait plus respirer que sa Dame se laissa aller, lui permettant de cracher et de chercher de l'air. ??«Excellent travail», dit-Elle en essayant doucement son pied sur la joue de lulu. « Je pense que tu peux monter un peu maintenant. » ??lulu retint son souffle et se rapprocha encore. Sa Dame gardait ses longues jambes rasées la plupart du temps, mais ce n’était pas le cas aujourd'hui. Il sentit un léger soupçon de gingembre sur ses lèvres plissées. Etrange. Il avait toujours admiré les jambes de sa Dame, toniques et blanches, et incroyablement lisses. Il aimait se blottir contre elles en les embrassant et en les léchant centimètre par centimètre en remontant lentement vers les genoux. ??Le sang de lulu se précipitait impitoyablement vers son pénis. Mais pourquoi n’arrivait-il à la conclusion décevante qu'il n'y avait nulle part où aller ! Son membre pulsait et se battait de toutes ses forces ! Sa frustration atteint son maximum, mais la cage était rigide et encore rigide. Une sensation de brûlure commença à éclipser tous les autres stimuli. Elle avait encore gagner, implacable et infatigable à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il revint à la réalité. Elle n’avait pas remarqué son temps d’absence. Sa main était maintenant sur sa tête, ébouriffant ses cheveux presque tendrement mais en 1ère position pour le réprimander pour n'importe quel comportement indécent qu’il pourrait avoir. Conscient de tout cela, lulu savait que ses yeux continuaient de fixer le beau sexe couvert de sa Dame. Mais il restait caché par une belle paire de cuisses. ??lulu s'était maintenant frayé un chemin jusqu'aux genoux. Il se perdit un instant dans ce qui l'attendait et posa son menton sur eux. ??« Hey! » dit-Elle en lui tirant les cheveux. «Serais-tu paresseux ? » ??« Désolé, Madame. » ??Il était assez difficile d'aller plus loin maintenant, et lulu traînait le long de ses jambes, essayant de se rapprocher. Il vit l'amusement dans les yeux de sa Dame alors qu'elle le regardait, souffrant et tendant son cou, sans bras pour le soutenir et toujours sur ses genoux pour essayer de s'approcher du sexe tant convoité. lulu essaya de sautiller pour se rapprocher encore et s'appuyer sur les jambes magnifiques de sa Dame, mais il savait bien sûr que seule sa Dame pouvait mettre fin à ses efforts désespérés. ??Il commençait à s’essouffler quand Elle passa de nouveau ses doigts dans ses cheveux. ??« Mais c’est bon esclave ça !», dit-Elle en frottant le lobe de l’oreille de lulu entre l'index et le pouce, provoquant une agréable sensation de picotement. ??Elle attrapa l'arrière de sa tête et alors qu'elle décroisait ses jambes, elle le rapprocha de force, s'arrêtant juste avant la destination finale. lulu pouvait maintenant confortablement reposer sa tête sur le siège mais était maintenu en place par ses cuisses. ??Il était complètement hypnotisé par la vue. Son corps tremblait de façon incontrôlable. La douleur de son excitation et sa frustration se combattaient sans merci dans sa tête. lulu se tortillait sous le tourbillon de sensations qui menaçaient de surcharger son esprit affaibli par plus d’un mois de chasteté. L’excitation de sa Dame avait commencé à s'infiltrer au travers de la petite culotte bleu clair. ??« Aww, cher esclave », rigola sa Dame en regardant ce mâle en plein conflic. « Continues, essayes de l'atteindre ! » ??Rassemblant toute sa volonté, lulu sortit sa langue et la poussa de toutes ses forces. Une nouvelle odeur commença à l'envelopper. lulu gémit de frustration, sentant sa virilité impuissante palpiter de douleur. Il raidit tous les muscles de ses bras contre ses fers. Le bout de sa langue se posa sur le tissu pendant une seconde seulement. Le goût amer qu’il y trouva fit descendre un frisson dans toute sa colonne vertébrale. ??Il ne fallut qu'une seconde à sa Dame pour le saisir à nouveau par les cheveux. Elle le fit glisser en avant sur son siège et appuya son nez contre sa culotte mouillée. ??«Si tu veux aller y arriver, tu vas devoir l’enlever, » dit-elle, sa main l’agrippant toujours douloureusement. ??lulu hocha la tête contre le tissu mince, qui le séparait du sexe juteux. Il saisit la culotte avec ses dents et commença doucement à tirer. ??Généreusement, sa Dame souleva juste assez son derrière pour que l'effort de lulu ne soit pas entièrement vain, et peu à peu il put voir les fruits de ses efforts. Après un certain temps et après avoir été aidé par sa Dame sadique, Il grogna triomphalement quand le vêtement tomba. ??Sa Dame le repoussa fortement avec ses pieds mais lulu n'avait d'yeux que pour le trésor qu'il venait de déterrer. Le regard admiratif et ardent qu'il accordait au sexe de sa Dame lui révélait des lèvres déjà dégoulinantes. ??Les gémissements de lulu s'intensifièrent, et comme une larme, une minuscule perle d’excitation coula du bout de cage sur le sol. ? « s’il vous plaît, Madame ». ??lulu supplia encore en regardant les yeux de sa Dame, mais ses espoirs furent démolis par une subtile remarque. ??«Pauvre mâle», dit sa Dame joyeusement. « Je t’ai dit et redis de ne pas me demander ce genre de choses avant que tu n’aies fini tes devoirs, pauvre idiot. Maintenant tu ferais mieux d'aller de l'avant pendant que je pense à une nouvelle punition et que je l’ajoute à la liste déjà bien longue. »? - Partie 3 ? Se secouant, lulu se pencha encore une fois et poussa près du pubis de sa Dame avec son nez. Son odeur était encore plus voluptueuse. Il s'y enfonça, cherchant la chaleur et le réconfort. Il passa sa langue sur la longueur du sexe, goûta les fluides précieux et fut heureux d'entendre un gémissement doux et gracieux venant d'en haut. Il écarta les lèvres sans effort. Le flot de sa Dame devenait de plus en plus fort alors qu'il avalait son offrande, explorant chaque crevasse avec des compétences qui avaient été bien rodées, un muscle qui avait été bien entraîné. ??La douleur se propageait à partir de son pénis et de ses testicules maintenant. Ses jambes ne furent plus que spasmes à cause des crampes. Le soulagement ne lui venait que des brefs et doux gémissements que lui procurait le plaisir de sa Dame. Chaque contraction et halètement étaient une pommade pour le corps battu et enchaîné de lulu. C'était la seule chose qui comptait, la seule chose qui pouvait avoir de l'importance. Il pouvait continuer, il devait continuer à cause d’Elle parce que tout ce qu'il faisait apportait le bonheur dans la glorieuse existence de la Beauté Angélique qu'il avait juré de servir. ??«Ne t'arrête pas», dit-Elle d’un ton apaisant. ??« Mmpf! » ??Les doigts de sa Dame, lulu pouvait les sentir de chaque côté du clitoris divin, et il passait sa langue entre eux. Sa Dame était haletante maintenant, son bassin allait et venait de façon rythmée, ses gémissements devenaient de plus en plus forts. Avec la perspective du succès, la concentration de lulu sur sa tâche était totale et bloquait toute sa douleur. ??« Oui, là ! Fais le ! Fais le maintenant ! Fais-moi jouir ! » ??Il accéléra, son visage enfoui dans ce sexe parfait, sa langue presque au bord de la crampe. ??« J’ai dit maintenant ! » ??« Mmpf ! » ??La joie et l'épuisement saturaient les sens de lulu, repoussant tout le reste, les gémissements de sa Dame, le liquide clair jaillissant violemment du sexe frémissant, et même la douleur qui revenait au galop. ??Sa Dame reprenait son souffle maintenant. Elle tapota la tête de lulu d'un air approbateur. ??«Très bien, esclave, dit-elle en lui pinçant sa joue ». ??Pendant une seconde, elle sembla réfléchir, puis, comme si elle avait commis un acte de générosité sans limites, elle fit signe à lulu. ??« Prends ton siège derrière toi, » dit-elle. « Assieds-toi devant moi. » ??Les jambes de lulu tremblaient. Il se leva lentement et prudemment. ??Sa Dame leva un doigt. ??« Que dis-tu ? » demanda-t-elle. ??« Merci, Madame » ??lulu se tourna et vit son siège. Un gros gode y était fixé. Nous y voilà, pensa-t-il. « Tu peux le lubrifier avant avec ta bouche », dit-Elle. « Ce sera ta récompense ». ?lulu le fit et s'assit grimaçant en face de sa Dame. Elle lui versa une tasse de café, puis la posa par terre juste devant lui. ??«Je pense que tu t’en es vraiment bien tiré, » dit Elle. « J’aurais pu être un peu plus indulgente avec toi la semaine qui vient et te récompenser aujourd’hui, mais ta demande a tout gâché. ? ?« oui, Madame » répondit lulu alors qu'il luttait pour ne pas se pencher et essayer de prendre une gorgée de café. ??Sa Dame se leva et pris un bâillon-pénis sur la commode. Elle plaça une main sur son épaule et de l’autre, Elle tapota le bout du bâillon sur son pénis recouvert d’acier.??« Peut-être, » dit-elle en souriant chaleureusement « le week-end prochain ». ??lulu répondit « Peut-être, oui Madame ». Elle approcha le bâillon de sa bouche. Résigné, il ouvrit la bouche. Elle l’attacha bien serré et le cadenassa. Elle plaça une main sur son épaule. La douleur contenue et la frustration le submergèrent. Son esprit chavira et il se mit à sangloter tentant de se raccrocher au seul fait qu’il avait pu donner du plaisir à sa Dame.? Elle le lâcha et continua vers la porte de la cuisine. « As-tu pu tout filmer, ma chérie ? ». L’amie de sa Dame se tenait dans l’encadrement, portable en main. lulu ne l’avait pas vu ni entendu arriver. ??Le couple se tenait par la taille, le regardant pendant quelques secondes, puis elles s'embrassèrent. Ce fut long. lulu comprit qu’il était tombé dans un piège. Il se sentit trahi, rejeté.? « Veux-tu des crêpes, ma chérie ? » demanda sa Dame et avec cela disparu à la cuisine sans un regard pour l’esclave. L’amie de sa Dame se tourna et s’approcha de lui. Elle se pencha et le fixa d’un air mauvais. Elle souffla entre ses dents. « Un jour, elle se lassera et je mettrais la main sur toi…».?     https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/5790/Histoire-uro-scat-v%C3%A9cus/
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Par : le 31/08/12
Avec l'accord de l'Administration, je vais essayer de vous raconter mes débuts. Pardonnez à l'avance les fautes ou la mauvaise syntaxe s'il vous plaît, ce n'est pas facile pour moi, car l'émotion est toujours aussi vive et douloureuse que ce jour où tout aurait pu basculer....   Novices, ce texte ne cherche pas à vous effrayer, seulement à vous prévenir pour VOTRE sécurité; Maîtres, par ce texte Vous saurez jusqu'où peut aller un soi-disant "maître";   Jusqu'en 1998, je n'étais toujours pas décidée à aller voir si l'herbe était plus verte dans le champ du voisin que dans le mien. Pourtant, depuis quelques années déja, mon conjoint ne s'intéressait plus à moi. Plein de questions étaient dans ma tête (du "suis-je si nulle au lit?" jusqu'au "c'est ma grosseur!" en passant par le classique "il doit en voir une autre!!!") J'ai tenté plusieurs fois de parler de "ça" avec lui, mais il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre! Bref, un jour où......................... je m'inscris sur un site de rencontre très classique, mais réservé aux infidèles. Le mot est lâché: j'ai cherché un amant. Très vite, les contacts affluent, et si certains me font fuir leur fiche, d'autres m'attirent... Rendez-vous, prise de contact avec ceux là, mais devant un café, dans un lieu public! Rien ne va plus loin que ça... sauf avec un. Il m'attire irrésistiblement! Grand, mince, élégant, poli, courtois... un rêve... Nous nous sommes vus une bonne dizaine de fois avant qu'il ne me parle de soumission. Je n'y connaissais rien, je le lui ai dit. "Ce n'est pas grave, je t'apprendrais, tu verras ce n'est pas dur. Il te suffit d'accepter ce que je te proposerais" Et j'ai dit oui, par curiosité, pour découvrir... avec son assurance que jamais il ne me ferait quoi que ce soit si je ne voulais pas. "Dis moi ce que tu refuse absolument?" Ma réponse a fusé: la sodomie!... "OK, pas de souci, je ne te sodomiserais jamais!"............... Si j'avais su!!! Tout ce passe très bien pendant huit mois. Une nuit mon mari décide de faire l'amour avec sa femme. (ça faisait plus de trois ans que je n'avais plus de rapports avec lui, vous pensez bien que je n'ai pas refusé!). Tout se passe vite, très vite, et je n'en tire aucun plaisir, mais au moins il revient vers moi... Je revois mon "maitre" quelques jours après et lui annonce que mon mari semble vouloir revenir, qu'il m'a fait l'amour... Mal m'en a pris! Il est entré dans une fureur noire, une rage indescriptible! Je lui appartenais à LUI, je n'avais pas le droit de LUI faire ça, je ne suis qu'une putain..... Je tente de lui faire remarquer que c'est quand même MON MARI, qu'il pèse quand même presque 125 kg (à l'époque, je n'en fais "que" 80), qu'il est beaucoup plus fort que moi, etc...etc..., et que de toute façon ça a été ultra-rapide et que je n'ai pas joui... Peine perdue, il est hors de lui et les insultes pleuvent. D'un seul coup, il se met à me rouer de coups... je reçois des gifles, des coups de pieds, et arrivé au point culminant de sa rage folle, deux coups de poings en pleine bouche, si rapides que je n'ai pas le temps d'esquiver...je suis presque estourbie. Puis le calme après la tempête... ou plutôt "l'oeil du cyclone"... pendant cinq secondes pas plus... et le déchaînement reprend, mais sans les coups. Cette fois c'est pire! Il m'attrape les poignets qu'il attache, me tire jusqu'au sol par les cheveux que j'avais assez longs. Je me retrouve à genoux, lui derrière moi, mes vêtements sont arrachés (nous allions commencer une séance quand je lui ai avoué ma "faute")... Je me trouve dans une posture où je ne peux rien faire, en plus je suis complètement sonnée, quasiment KO! Il se masturbe sur mon dos, sur mes fesses, ça j'ai l'habitude... et d'un seul coup il me sodomise... sans préparation, sans avertissement... Je suis sèche, les coups m'ont laissées vide. Il est entré d'un seul coup, de toute sa grosseur. Son sexe est très épais pour moi, presque 6,5 de diametre, et je suis toujours vierge par l'anus! Je me souviens que j'ai hurlé de douleur!!!! j'ai crié pitié, laissez moi partir!..... et plus rien....le trou noir.......... je me suis évanouie, terrassée par la douleur! Je me suis réveillée aux urgences de l'hôpital Tenon, à Paris. Mon mari était près de moi. Je ne pouvais presque pas parler, j'avais les lèvres tuméfiées, les yeux au beurre noir... des cheveux en moins.... et plus une seule dent! Ah! j'oubliais un détail: la police aussi était là!! Et contrairement aux films, ils m'ont demandé si je pouvais leur parler... C'est le médecin qui leur a demandé de revenir plus tard, dans mon état je ne leur servirais pas à grand-chose... Le soir est tombé, tout le monde est reparti sauf mon mari. Il veut que je vois un psy..... je lui fais comprendre que c'est non, qu'il peut rentrer, ça va mieux... "Oui me dit-il, les enfants sont inquiets, je vais leur dire que tu t'es fait agresser dans la rue et que l'hosto te garde en observation...mais que ça va mieux" Je suis fatiguée, j'ai très soif, j'ai mal partout. On me donne je ne sais quoi, et je m'endors... Le lendemain, ces messieurs de la police m'ont laissé un message: "dites lui de venir nous voir quand elle sort"... Je suis sortie dans la matinée........ et j'ai TRES envie de me venger! Mon mari m'emmène au commissariat où je dépose plainte pour une agression sexuelle. Je leur ai tout expliqué, tout. J'ai vu un album de photos... et là, j'ai sursauté! il était fiché! et pour agression sexuelle! Il leur fallait encore un témoignage pour le faire tomber... J'ai dit oui, et j'ai parlé!   Pour finir, nous avons été trois au tribunal (dont deux soumises). Ce joli monsieur a été condamné. Mes dents n'ont pas repoussé,. Mes cheveux ne sont plus du tout longs. Et mon mari est toujours là! Quant à moi, je suis toujours soumise, mais cette fois mon Dom est connu et  "reconnu" comme tel par d'autres Doms...   Petites soeurs, petits frères de soumission, Maîtres et Maîtresses reconnus (es), maîtres et maîtresses en devenir, lisez cette histoire et rappelez-vous que la soumission et la Domination sont avant tout des JEUX, et qu'ils peuvent mener loin... Ca peut être dangereux, entourez-vous de précautions s'il vous plaît!   Merci de m'avoir lue jusqu'au bout... Vous m'avez servi de psychanalystes... malgré vous.   Avec mes Hommages à tous,   Miss Tère
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Par : le 30/11/19
[Aux lecteurs de passage, je souhaite partager avec vous, et sur les conseil de mon Maître adoré, quelques brides de textes que je lui ai expédié. Une façon pour moi de lui rendre hommage ici] I - LE COLIS " Bonjour à vous Monsieur, Votre soumise swann, en mode agent secret ce midi, a pu enfin récupérer son coquin colis, sous le regard pantois des nombreux clients de ce bistrot de campagne, occupés à prendre l’apéritif à cet heure propice… S’ils savaient… Est-ce qu'un seul d'entre eux peut imaginer ce qui ce cache sous mes airs de mère de famille très sage ? Vous me connaissez assez pour savoir que je n’ai évidemment pas pu résister à l’envie d’ouvrir discrètement le petit carton sans plus attendre : un plug, une combinaison en vinyle et une cagoule de la même matière. Je suis donc repassée chez moi, sachant qu’il n’y avait personne… ce qui m’a permis de faire mes essayages très tranquillement. Quelle belle salope je suis ! Je suis fière et heureuse de porter la tenue que vous avez spécialement choisi pour moi. Je m'y sens à l'aise, prête à vous servir de la sorte. Le retour au travail fut assez étrange. La swann n’était pas très concentrée…totalement déconnectée même ! Je n’ai donc pas eu le temps de déjeuner ce midi, mais si mon estomac est vide, c’est mon cul que j’ai bien envie de remplir de mon nouveau jouet : le robebud noir. Il me fait terriblement envie… j’aimerais beaucoup l’essayer. Sa texture est juste démentielle, semblable a de la peau très douce. Sa forme et ses dimensions sont parfaites, telles que je les imaginais. Quand on l’agite, on peut sentir une lourde bille se mouvoir à l’intérieur…Je suis curieuse de savoir quelles sensations cela pourrait me procurer au plus profond de moi… Voilà un outil idéal que je ne vous remercierais jamais assez d’avoir choisi avec moi. Je rêve du jour où vous me baiserez avec ce plug en place entre mes fesses…" II - EXHIBITION INVOLONTAIRE "Savez-vous qu'hier, après ma journée de travail, et avant de me rendre à la salle de sport, je suis allée dans mon institut/spa habituel pour mes épilations ? J'aime mes douces séances de "torture" comme je les appelle... C'est la jeune Aurore qui s'occupe de ma petite toison... C'est une brune aux cheveux longs, douce, pulpeuse avec une belle poitrine opulente et des lèvres bien dessinées. Elle me fait écarter grand les jambes en toute indécence,  passe du talque sur mes petites lèvres puis l'étale doucement avec ses mains, frôlant mon clitoris au passage, avant d'appliquer la cire chaude. Quand elle se penche au dessus de moi, je peux parfois sentir ses seins lourds me frôler...c'est une sensation très agréable, qui me fait oublier la douleur quand elle tire sur chaque bande de cire. Le meilleure moment est à la fin, quand elle a terminé, elle applique une huile apaisante en me massant...c'est très sensuel. Après ma séance, je me suis rendue comme d'habitude au vestiaire pour prendre une douche...et là, au moment de déverrouiller et d'ouvrir la porte, j'entends un drôle de bruit au niveau de la poignée et le verrou qui tourne dans le vide. Bon, pas de panique, je me dis que j'ai du faire une fausse manipulation, je garde mon calme et tente d'ouvrir à nouveau...sans succès. J'appelle pour voir si quelqu'un peut m'aider, mais il est près de 19h et il n'y a plus personne dans les parages. Par chance, j'avais emporté mon téléphone avec moi dans l'idée de faire un petit selfie. J'ai donc téléphoné à l'accueil de l'institut. Je suis tombée sur le patron, H.. C'est un homme de 45/50 ans, de ma taille (1m75), un brun ténébreux, chemise blanche toujours impeccable. C'est une personne souriante, avenante et aussi un homme attirant, ce qui ne gâche rien. Il été désolé, voire gêné, de la situation et m'a dit qu'il restait en ligne avec moi pour ne pas que je me sente délaissée, ce que j'ai apprécié. J'ai plaisanté en lui disant que je n'étais pas claustrophobe. Il a été se munir de tourne-visses et je l'ai entendu bricoler au barillet pour le démonter. Cela a pris un certain temps quand même...en tous cas ça m'a semblé long. J'ai eu peur un instant qu'il ne réussisse pas à résoudre la situation ! Durant tout ce temps, il n'a cessé de me parler (il a un casque pour répondre au téléphone à l'accueil, ce qui lui laisse les mains libres) pour me rassurer et me dire où il en était et en faisant de l'humour pour détendre l'atmosphère. Quand il a enfin réussi à ouvrir la porte, il m'a trouvé planté devant lui, une serviette blanche enroulée autour de mon buste, jusqu'à mi-cuisses et j'ai vu un éclair de malice passer dans son regard, qui m'a scanné de haut en bas. Il s'attendait peut-être à me trouver habillée, mais je ne prends pas mes vêtements avec moi dans la cabine de douche pour ne pas les mouiller. Il a vu que son regard insistant ne me gênait pas du tout, que cela ne me déstabilisait pas et que je le regardais droit dans les yeux. J'avoue qu'à ce moment là, de lubriques envies de salope me sont soudainement passées par la tête. La situation aurait peut-être pu déraper... j'aime à le penser en tous cas ! Je l'ai remercié évidemment en l'appelant "mon sauveur" en plaisantant, avant d'aller me rhabiller. Au moment de régler en caisse, il m'a glissé un compliment sympa, ce qui m'a flatté. J'ai beaucoup pensé à mon Maître qui aurait été, je l'espère, fière de moi et de mon exhibition involontaire. Le patron m'a offert la prestation pour se faire pardonner de ce petit désagrément. Sympathique moment, non ?"  III - AU BUREAU "Ce matin au bureau, j'ai vécu un petit moment plutôt émoustillant que je souhaite partager avec vous Monsieur...  Cela concerne une de mes collègues, une jeune femme que je trouve très séduisante, toujours très féminine et apprêtée. Elle a un beau visage expressif, les traits fins, ce qui lui donne beaucoup d'élégance. Je me suis retrouvé avec elle dans le local de reprographie. Elle était en train de s'agacer avec la machine. Je l'ai évidemment aidé à faire ce qu'elle voulait en bonne collègue sympa que je suis ! Puis tout à coup, sans que je m'y attende, elle à relevé sa robe jusqu'en haut de sa cuisse droite, en soulevant son pied du sol et tendant la jambe, m'interpellant avec un grand sourire :  -"As-tu vu mes nouveaux collants, ils sont beaux hein ?". Elle m'avait littéralement scotché et bien évidemment mes yeux se sont posés là où elle le souhaitait. Elle m'a donné a observer des collants opaques noirs jusqu'à mi-cuisse et plus haut la matière est différente, en voile fin, ce qui fait un effet de bas en trompe l’œil tout à fait réussi !  Je lui ai dit, en répondant à son sourire, que c'était très sexy et vraiment très joli, qu'elle le portait très bien. D'un petit air coquin elle me lance - "oui, tu as vu ça comme c'est sexy, j'adore !"...et ensuite elle m'a expliqué où elle les avaient eu et à quel prix. Voilà qui égayé ma journée ! Pour autant je pense qu'il ne faut pas y voir là autre chose qu'une femme naïve aux gestes innocents. Elle devait être vraiment fière de son acquisition voilà tout. C'est mon esprit mal placé qui a tendance à voir la malice là où il n'y en a pas... quoique... sourires…" J'embrasse mon convoité Maître comme il se doit Votre dévouée swann [photos perso]
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Par : le 06/04/22
Maîtresse m’avait demandé de venir pour midi. La pression était montée la veille quand elle m’informa qu’elle recevrait son amant après notre séance.
Elle me précisait « innocemment » qu’elle envisageait de lui faire passer quelques photos de notre première séance : lors de celle-ci Maîtresse avait commencé mon éducation de soumis pour m’entraîner notamment à être pris par des hommes. Étant hétérosexuel cette hypothèse me mettait particulièrement mal à l’aise. Je restais toutefois persuadé qu’il s’agissait avant tout de bluff de sa part pour jouer avec mes nerfs. Comment imaginer qu’après seulement une séance elle puisse oser m’offrir sans réel travail anal d’élargissement au préalable. Pour cette raison, je restais convaincu qu’il s’agissait d’un jeu pervers de sa part. Mon appréhension augmenta le matin quand elle m'imforma que son amant serait présent. Elle me demandait donc de veiller à être bien à l’heure pour la séance. A midi je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir. Rapidement je me retrouvais nu. Je compris rapidement que j’avais sous-estimé sa perversité. «Suis-moi dans le salon », « Installe-toi sur ton coussin ! ». Je me retrouvais aux pieds de ma Maîtresse. Contrairement à notre précédente séance, celle-ci n’avait pas revêtu ses habits de Dominatrice. Elle avait enfilé des bas coutures sous une jupe longue et mis un chemisier fermé jusqu’au cou. Naturellement elle avait chaussée des talons impressionnants. Elle me faisait penser à une Gouvernante anglaise chic mais stricte. Il m’est apparu évident que le choix de ses vêtements ne m’était en aucun cas destiné. Je fus donc réduit à honorer ses pieds que je pris soin de lécher et masser pour m’éviter toute remontrance.
Elle ne fit aucun commentaire sur ma prestation. La qualité de celle-ci devant être une évidence. Un manquement de ma part n’aurait par contre pas manqué de déclencher une punition. 13h approchait. Maîtresse me fit mettre à 4 pattes afin de me plugger. « Il faut que tu sois prête si mon amant décidait de profiter de toi. » Elle m’entrava également les poignets, me mis une perruque blonde avant de m’enfiler un masque et de m’intimer l’ordre d’aller attendre au coin. L’interphone sonna et je me retrouvais fébrile, dans l’entrée, aux pieds de ma Maîtresse à attendre son invité. « Je te présente mon soumis » furent ses premiers mots quand il pénétra dans l’appartement. « Mignonne » dit-il sans plus de commentaires. J’essayais de faire de mon mieux, mais entre ma honte d’être mis en présence d’un tiers, nu coiffé de cette perruque et les cliquetis générés par mes entraves aux poignets j’étais particulièrement gauche. L’ordre claqua : « Si tu n’as rien à faire, occupes-toi de mes pieds ! ».
Aussitôt je m’empressais d’honorer les pieds de ma Maîtresse. Ce fut ma seule occupation, pendant que Maîtresse discutait avec son amant.
Elle lui expliqua combien j’étais docile même s’il y avait encore du travail de dressage à effectuer, notamment pour pallier à ma virginité anale avec de vraies bites même si elle me godait, tandis que ma langue passait et repassait sur les pieds de Maîtresse. Maîtresse s’était dévêtu et mis à l’aise dans le canapé. Maîtresse me positionna à genoux entre ses jambes, m’entrava les poignets et relia le tout à mon collier. Je me retrouvais ainsi dans une sorte de position de prière particulièrement humiliante. En m’enfilant mon bandeau elle me chuchota à l’oreille : « Occupe-toi de mon amant, tu commenceras par le caresser. Je ne veux pas t’entendre ». Je tâtonnais pour saisir son membre. Malgré mes mains entravées je parvins à le masser. Il gémit de satisfaction. « Remonte lui les couilles quand tu le caresse » m’intima ma Maîtresse. « Elle ne sait pas, il faut lui apprendre » dit-elle à l’intention de son amant. Je fis de mon mieux et pu sentir le membre durcir sensiblement. « Prends le dans ta bouche, mais garde tes mains sur ses couilles ! Continu à les caresser ! ». Maîtresse était clairement en train d’essayer de parfaire mon éducation. Je m’appliquais à le sucer au mieux afin d’éviter de m’attirer une punition de Maîtresse. Celle-ci n’aurait pas manquée d’être particulièrement sévère si j’avais déçu son amant. « Une bonne petite pute que tu as trouvée. » dit-il. « Oui, elle est particulièrement appliquée ». « Bon ça suffit, personne ne s’occupe de moi ». Maîtresse me remit ma laisse et me traina dans un coin où je fus laissé entravé. Elle ne prit même pas la peine de me préciser de ne pas bouger. Consciente de m’avoir parfaitement conditionnée et mise dans une bulle de soumission, je n’étais plus qu’un objet pour elle. Je demeurais parfaitement immobile, à quelques mètres de moi je pouvais entendre leurs gémissements tandis qu’ils se donnaient mutuellement du plaisir. Entravé, aveugle et frustré je n’avais qu’à attendre. La seule source de plaisir éventuelle aurait pu venir du plug toujours en place. Mais celui-ci était avant tout source d’inconfort. Je fus particulièrement soulagé quand enfin je senti des mains libérer mon anus. Leurs plaisir pris, je pensais que Maîtresse était comblé, mais celle-ci avait visiblement décidée de me faire subir un stage de vrai soumis. À peine le plug retiré je sentis son amant se positionner derrière moi. La panique me gagna. Elle allait me faire enculer par un homme et cela l'exciterait de me soumettre à ce point, de faire de moi une vraie lopette.
Nul doute que le conditionnement dans lequel m’avait mis Maîtresse joua. Je parvins à me maîtriser tandis que, ses jambes de chaque côté de mes fesses, je sentais le sexe de son homme se positionner contre mon anus.
Par réflexe je cherchais à résister mais entravé comme j’étais naturellement offerte. Son sexe pénétra en moi. Il s’introduisait et je me senti littéralement défoncé.
Il commença par des mouvements de va et vient lents et peu appuyés. Soucieux sans doute de travailler à m’élargir avant de commencer le vrai travail de pilonnage. La sensation était extrêmement désagréable, j'avais très mal au cul d’autant plus qu’il avait négligé de mettre du lubrifiant. Je pense que c'était ce que Maîtresse voulait, me faire sodomiser violemment pour augmenter mon masochisme afin que j'apprécie de me faire prendre dans la douleur pour les prochaines fois.
Chaque mouvement en arrière me laissait la sensation de me faire défoncer l’anus. Tandis que ses mouvements avant m’arrachaient des gémissements incontrôlables. Sentant que son travail marchait il modifia sa position. M’écartant les cuisses il se positionna entre mes jambes, raffermi sa prise sur mes hanches et s’enfonça au maximum en moi. Je creusais les reins et tentais de m’élargir au maximum pour limiter la douleur.
Il accéléra son mouvement tout en me traitant de petite pute. Il me possédait complètement et je ne parvenais pas à contrôler mes gémissements à chaque fois qu’il atteignait le fond. Maîtresse glissa un gode dans ma bouche et je me mis à le sucer. Elle le retira et pris ma tête entre ses mains pour me guider. Elle appuya mon visage contre son sexe. Son amant m’assaillait désormais avec des petits coups très vifs, s’enfonçant à chaque fois au maximum. Je me concentrais sur ma Maîtresse et me mis à la lécher frénétiquement dans le seul but de lui procurer un maximum de plaisir. Tout à cet objectif je ne saurais dire quand son amant cessa ses assauts : je ne faisais plus qu’un avec le sexe de ma Maîtresse et mon anus écartelé me faisait souffrir mais en même temps jouir. Maîtresse avait réussi à faire de moi un enculé bisexuel et elle ne se priverait pas à l'avenir de me faire enculer par des hommes.
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Par : le 09/06/20
Ma vie de soumise Chapitre 13 : Samedi 6 Samedi après-midi. J’arrive chez mon Maître, il est habillé. Je me déshabille et vais lui baiser les paumes. Dans le salon une jeune femme nue est allongée sur le ventre, de tout son long. Ses bras et ses jambes sont écartés. Je ne vois pas sa figure, elle est blonde et a un magnifique fessier. Mon Maître s’adresse à moi : - C’est Laurence. Nous nous sommes contactés sur internet, c’est notre première rencontre. Elle vient juste d’avoir dix-huit ans et, ce qui est incroyable, elle m’a assuré être vierge devant et derrière et elle n’a jamais sucé. Je ne comprends pas pourquoi mon Maître me donne toutes ces explications. Il continue : - Nous venons de signer un contrat d’appartenance, elle n’a émis aucune restriction, elle est donc ma propriété exclusive. Je ne comprends toujours pas. Mon Maître poursuit : - J’ai donc maintenant deux soumises. Je dois donc établir une hiérarchie. J’ai décidé que tu seras soumise numéro 1, je t’appellerai s1 et Laurence sera soumise numéro 2, on l’appellera s2. Tu auras donc autorité sur s2, elle devra t’obéir. Je lui ai déjà expliqué le processus. - Elle est d’accord ? - Elle n’a aucun avis à formuler. Je vais donc te la confier. Je veux que tu la dépucèle devant et derrière et, quand je te le dirai, elle me sucera. Je veux aussi que tu lui fasses faire connaissance avec le fouet, la cravache ou ma ceinture. Pour le reste, tu fais comme tu le sens. - Mais, Maître, je ne pourrai pas ! - Tu le feras, je te l’ordonne ! - Bien, Maître. - Pour commencer tu vas quitter ton collier et lui passer autour du cou. Tu porteras le boléro qui est sur la chaise. Une soumise numéro 1 doit porter un vêtement léger. - Bien, Maître. Aura-t-elle le droit de jouir ? - Bien entendu, elle doit apprendre le plaisir. Par la suite, elle saura ce qu’elle perd en en étant privé. - Bien, Maître. Je quitte mon collier, je me baisse vers s2 et lui passe le collier autour du cou. Elle me dit : - Merci, madame. Je vois que mon Maître a bien commencé l’éducation de sa nouvelle soumise.et je suis étonnée de m’entendre appelée madame. Je revêts le boléro, symbole de ma promotion. Ce boléro me couvre les épaules et le dos, il s’arrête à la taille, il ne ferme pas laissant à découvert mes seins, mon ventre, mon pubis et mes fesses. Je vais essayer de faire pour le mieux, je suis maintenant à la fois soumise et dominante mais je suis avant tout la soumise de mon Maître qui me fait confiance. Je m’approche de s2 : - Debout ! Je découvre une belle jeune fille. Des seins assez volumineux et un pubis agrémenté de poils. Je regarde mon Maître qui me dit : - Elle a désobéi. - Maître, si vous avez ce qu’il faut, je la rase. Mon Maître part et revient avec de la mousse à raser et un rasoir. J’entraîne s2 sur la table. - Couches-toi sur le dos et écarte les cuisses. Je commence le rasage en faisant bien attention à ne pas couper la chair. J’ai réussi. Je peux admirer son pubis lisse. Mon Maître a filmé le rasage. - Et derrière, Maître ? - Oui. Je fais mettre s2 à plat ventre sur la table et je m’attaque aux poils de sa raie. Je fais attention, je réussis sans aucune entaille. Je lui fais lever les bras, les aisselles sont rasées. Je vérifie les cuisses et les jambes. Aucun poil. Mon Maître apprécie. Je fais remettre Laurence debout. - Tu te mets à quatre pattes ! - Oui, madame. En prenant la laisse je la fais déambuler. Je la fais se cambrer pour mettre en valeur son fessier. Ses seins ballotent de gauche à droite. J’ai une impression bizarre, je suis soumise et dominatrice. J’ai toujours été plus ou moins dominée, je ne pensai pas être un jour dominante. Je me sens à l’aise entre mon Maître et s2. Nous parcourons l’appartement puis nous arrivons dans la chambre. Le gode-ceinture repose sur le lit, il a été lubrifié ce sera mieux pour un double dépucelage. J’ai placé le gode sur mon ventre. Mon Maître nous a suivies et a commencé à filmer. - Mets-toi à genoux dans le lit ! - Oui, madame. Je me place devant s2 et lui présente le gode devant sa bouche. - Suce ! Elle n’a pas le temps de me remercier. Je lui enfonce le gode dans la bouche. Je procède progressivement et j’enfonce le gode de plus en plus. Elle se met à tousser. Je la laisse faire. - On recommence, tu dois t’habituer à avoir la bouche pleine. - Oui, madame. J’enfonce à nouveau le gode et, cette fois, elle résiste. - C’est bien, tu fais des progrès. - Merci, madame. Je la contourne et vérifie l’état de son vagin, il est sec. Avec mes mains, je la maintiens aux hanches, je place le gode devant son sexe et le gode entre dans son vagin. Je vais y aller progressivement. Je commence des va-et-vient puis le gode progresse. J’accélère le mouvement. Cette action me fait mouiller. Je jour un rôle de mâle et je réagis en femelle. Le gode entre maintenant complètement. S2 gémit puis jouit. Je continue de plus belle. Puis je me retire pour attaquer le second dépucelage. Le gode est à l’entrée de son cul. S2 se contracte, elle sait ce qui va lui arriver. - Détends-toi, laisses-toi faire. Je vais y aller doucement. - Oui, madame. Mes mains attrapent ses fesses et les écarte pour laisser la place au gode. Je le fais entrer très lentement, une première sodomie doit être réussie et c’est difficile de la subir. Le gode se fraie un chemin. La sodomisée se détend un peu. Le gode pénètre de plus en plus. Maintenant, s2 s’est relâchée et se laisse faire. Je poursuis encore un moment cette sodomie puis je retire le gode. Je contourne s2 et viens présenter le gode devant sa bouche. - Lèche et suce ! Elle a un mouvement de recul. Je sais que je lui impose un exercice difficile mais ça fait partie de l’éducation d’une soumise. J’attrape s2 derrière la tête et lui approche la bouche du gode. Doucement mais fermement ! Elle ouvre la bouche et sa langue commence à sucer le gode. - Nettoie-le bien ! Quand je vois qu’elle a bien léché le gode, je le lui enfonce à nouveau dans la bouche. - Tu ne devras plus avoir de réticence les prochaines fois. - Non, madame, je vous le promets. - Maintenant, couches-toi et attends. - Oui, madame. Mon Maître m’adresse la parole : - De quoi avais-tu peur ? Tu te débrouilles pas mal. - Merci, Maître. Voulez-vous qu’elle vous suce maintenant ? - Pas tout de suite. - S’il vous plaît, prêtez-moi votre ceinture. Mon Maître se défait de sa ceinture et me la tend. J’appelle s2. - Je croyais t’avoir dit de te déplacer à quatre pattes ! - Pardon, madame. - Tu seras punie. - Oui, madame. Aussitôt elle se met à quatre pattes. - Viens me lécher les pieds ! - Oui, madame. S2 commence à me lécher les pieds. - Mieux que ça et n’oublie pas de passer ta langue entre les orteils ! - Oui, madame. Elle s’applique, je suis satisfaite de ta prestation. - Mets-toi debout. Je vais te donner des coups de ceinture. Chaque coup devra être compté à haute voix et tu devras me remercier. Je commence les coups et me souvenant de ce qu’aime mon Maître, j’en donne vingt-cinq, cinq sur les fesses pour commencer, puis cinq sur le dos, cinq sur les seins, cinq sur le sexe et cinq sur les cuisses. Dès les premiers coups, mon Maître m’a dit de frapper plus fort. Quand j’ai terminé, je lui ordonne de se remettre à quatre pattes. Je vois mon Maître se déshabiller, son sexe est bien dressé. Je sais ce qu’il veut. J’attrape s2 par les cheveux et la traîne dans la chambre où elle a été doublement dépucelée. Mon Maître est couché sur le dos. Je m’adresse à s2 : - Je vais t’apprendre à sucer un homme. - Oui, madame. - Je serai à côté de toi pour te guider. Ton Maître voudra jouir dans ta bouche. Tu recueilleras son sperme. Tu n’arrêteras pas de sucer, c’est le Maître que se retirera. Tu montreras au Maître sa semence sur ta langue. Tu feras tourner le sperme dans ta bouche puis tu avaleras. Enfin, tu remercieras ton Maître. - Oui, madame. S2 se place la bouche vers le sexe de son Maître. - Tu commences par sucer les couilles puis tu les gobes. Attention à ne pas faire mal à ton Maître. S2 approche sa langue des couilles et commence à lécher. Puis elle les gobe l’une après l’autre. - Bien, maintenant, tu prends la queue en main et tu lèches le gland, tu lui donnes des petits baisers. Elle s’applique. Le sexe du Maître grossit. - Maintenant, tu mets le sexe dans ta bouche. Tu dois penser que c’est un sucre d’orge. Tu lèches et tu essaies de faire avancer le sexe dans ta bouche. Tu effectues des va-et-vient. Et tu lui caresse les couilles en même temps. Je vois sa bouche monter et descendre le long du sexe. Quand elle est au plus bas, ses lèvres touchent le pubis du Maître. - Quand le Maître éjaculera, il ne faudra pas reculer, il faut lui montrer que tu es heureuse de recevoir son sperme. Je sais que mon Maître est résistant. S2 continue ses mouvements de bouche. Pour le moment, elle réussit sa première pipe. Enfin, le Maître jouit dans la bouche de s2. S2 ne se retire pas, elle continue de sucer. Le Maître se retire, s2 ouvre sa bouche et tire la langue pleine de sperme, elle ferme la bouche, se délecte du sperme et finit par avaler. - Merci, Maître. J’encourage s2 : - C’est bien, tu as fait une belle pipe. - Merci, madame. Mon Maître se rajuste. Je m’adresse à s2 : - Maintenant, c’est à mon tour, tu vas me sucer. - Oui, madame. Je me couche sur le dos, les cuisses écartées. S2 se met en position, sa bouche effleure mon pubis, je place mes mains sur sa tête pour l’encourager. Je vois mon Maître en train de filmer. S2 s’enhardit. Sa langue est au contact de mon clitoris. Je suis comme électrisée. S2 continue, c’est délicieux ! J’ai rapidement un orgasme. Mais j’invite s2 à poursuivre, sa langue devient de plus en plus insidieuse. J’ai un second orgasme. Je demande à s2 d’arrêter. Je suis comblée. Mon Maître a dégotté une excellente recrue. Pendant un instant, je pense que je pourrais être évincée, mais non, mon Maître peut très bien avoir deux soumises. La présence de s2 me plaît et mon Maître fait ce qu’il veut. Mon Maître me demande si je veux rester avec lui pour la soirée et pour la nuit. J’accepte avec plaisir. - Et s2 ? - C’était prévu qu’elle reste. Il me propose de préparer le dîner avec lui. J’accepte. Je prends s2 avec la laisse, elle marche toujours à quatre pattes. Je lui dis de s’allonger au pied de la table. Mon Maître et moi nous nous activons. Mon Maître prend deux chopes dans lesquelles il urine. Il m’en tend une et appelle s2 pour lui donner l’autre. S2 s’assoit par terre et commence à déguster le contenu de sa chope. Je bois également la mienne. Mon Maître dresse la table avec seulement deux couverts, je vais donc manger en face de lui. Il remplit les assiettes en même temps qu’une écuelle remplie d’aliments pour chien qu’il dépose sur le sol. Il s’adresse à s2 : - Mange sans te servir de tes mains. - Oui, Maître. Nous commençons notre repas. La hiérarchie est établie. En tant que s1 je suis à la table du Maître et s2 mange sur le sol. Quand nous avons fini les repas, le Maître me demande de regarder si s2 a bien mangé. De petits résidus jonchent le sol. Je m’adresse à s2 : - Avale tous les morceaux que tu as laissés. - Oui, madame. Le repas terminé, le Maître s’adresse à s2 : - Va te nettoyer la bouche, débarrasse la table et rejoins-nous dans la chambre. Mon Maître me fait allonger sur le ventre, écarte mes jambes. Je le sens derrière moi, je sais ce qu’il veut. Son sexe me frôle la raie des fesses. Il m’a soulevée et il emprisonne mes seins qu’il pétrit et pince. Il me fait mal mais j’aime ça. Il me souffle à l’oreille : - Je te permets de jouir. Et, soudain, son sexe pénètre mon cul. Petite douleur qui précède le bonheur de sentir mon Maître en moi. S2 arrive à quatre pattes dans la chambre. Elle s’assoit à côté du lit où son Maître est dans s1. Mon Maître continue de me labourer. Il m’arrache un orgasme. Puis il jouit dans mon cul. - Merci, Maître. Mon Maître s’adresse à s2 : - Va lécher le cul de s1 pour récupérer mon foutre ! - Oui, Maître. S2 se place derrière moi et sa langue pénètre mon cul, elle le lèche pour récupérer le sperme de son Maître puis elle avale. - Merci, Maître. Merci, madame. Le Maître lui fait signe de venir nettoyer son sexe ce que s2 s’empresse de faire. - Merci, Maître. Il commence à se faire tard. Je me demande ce qu’a prévu mon Maître pour la nuit. Il me tend la laisse, ordonne à s2 de se mettre debout et nous partons tous les trois vers un escalier que je connais bien. Nous arrivons à la cave. Le Maître s’adresse à s2 : - Tu vas dormir là. S1viendra te chercher demain matin. Et nous laissons s2 dans la cave inconfortable où j’ai passé trente-six heures angoissantes. Nous remontons. Mon Maître m’ordonne d’aller me doucher. Puis il en fait autant. Je l’attends debout au salon. Il m’emmène dans la chambre. Il s’adresse à moi : - Viens ! Couches-toi. Il se place à mes côtés sur le dos. - Prend mon sexe dans ta bouche. Je veux que tu dormes comme ça. Tu ne me suces pas. - Bien, Maître. Je place son sexe dans ma bouche, la tête appuyée sur son ventre, il a une main protectrice sur ma tête, je suis heureuse. Je m’endors.
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Par : le 30/08/21
L'URTICATION, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les, pratiques sexuelles, l'urtication est probablement l’une des plus méconnues mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. Urtication : bdsm & orties Utiliser l'ortie pour la fessée et le plaisir L'urtication (urtica : ortie) fait référence à ceux qui utilisent des orties pour stimuler la peau pour les jeux sexuels, tels que la fessée et les pratiques BDSM. Les ingrédients actifs de l'ortie ne se propagent pas à d'autres zones mais sont limités où la plante entre en contact. Les orties peuvent être appliquées de diverses manières. Certains allongent les tiges et enfoncent les poils dans la peau, d'autres les tiennent en grappe et les tapotent contre la zone choisie, ou les mettent dans un sous-vêtement. Les hommes qui portent des préservatifs ont découvert qu'appliquer brièvement des orties sur le pénis avant de mettre le préservatif peut compenser la sensation perdue par la barrière de latex.Le pourtour des vésicules rougit, s’enflamme et devient le siège d’une chaleur mordicante, puis, au bout d’un certain temps l’irritation se dissipe et la peau revient peu à peu à son état naturel. Si l’urtication fut, de tout temps, employée pour favoriser certaines éruptions cutanées, elle fut encore plus généralement dirigée contre l’impuissance pour cause d’atonie des organes génitaux. Elle s’applique directement sur les parties sexuelles ce qui ne pourrait se faire de la flagellation, à cause de la délicatesse et de la grande sensibilité de ces parties. A peine l’organe a-t-il été urtiqué, que le sang y afflue en abondance, il s’échauffe, entre en turgescence et devient propre à consommer l’acte auquel la nature l’a destiné. L’urtication se fait avec des orties vertes fortes et vigoureuses, on choisit, de préférence, l’ortie grièche ou petite ortie, parce qu’elle offre des poils plus nombreux, plus acérés et des glandes contenant un liquide plus âcre. On frappe vivement et en tous sens sur la partie, jusqu’à ce qu’une cuisson brûlante s’y développe, on cesse alors et on attend le résultat. Il est rare que cette opération bien faite ne produise point une érection passagère, et si l’on a soin de la renouveler de temps à autre, elle dilate les corps caverneux par le sang qu’elle y amène et finit par restituer la fonction érectile qui était perdue. Histoire et effet des orties L'article Organic S&M fournit de nombreuses informations utiles sur les orties et pour cause : Derrière la pratique : Les Romains battaient les hommes « sous le nombril », selon l'Encyclopédie des herbes de Rodale, pour améliorer la virilité. Chez les druides, c'était une herbe sacrée, tandis que les soldats romains portaient des morceaux de la plante avec eux au combat pour leur donner du courage. L'ortie était utilisée par les Amérindiens du nord-ouest pour rester éveillés lors de longs voyages en canoë. Par les herbivores anglais pour « encourager » les taureaux de prix pendant la saison des amours, et par les maîtresses anglaises dans le même but. Et les orties étaient aussi courantes dans l'érotisme de l'ère victorienne que les figuages, les bouleaux et la bastonnade. Et voici ce qu'ils font : Les orties provoquent des sensations de brûlure intenses dans la peau lorsqu'elles sont appliquées, très similaires à la douleur aiguë d'un fouet. En fait, la classification familiale Urtica vient du latin uro, signifiant « brûler ». Mais alors qu'un coup de fouet s'estompe relativement rapidement (en une heure au moins, avec quelques douleurs de plus), la brûlure chaude et intense d'une ortie peut durer jusqu'à 24 heures ! La sensation met beaucoup de temps à se refroidir et vous en êtes conscient tout le temps en raison du picotement presque électrique à travers la zone affectée. C'est merveilleux pour les scènes D/s à long terme ou les jeux verbaux et légers en public. En plus de cette brûlure intense à long terme, l'urtication peut également transformer même les fonds de ferles plus blasés en chatons miaulant. La sensibilité à toutes les sensations augmente considérablement, et selon les mots de Maître Conrad Hodson "une plume peut ressembler à un pinceau, une légère fessée ressemble à une sangle, une sangle légère ou un fouet leur épate". Historique L'ortie était bien connue des Grecs et des Romains. Les premiers, qui l'appelaient Alkalyphe, s'en servaient pour soigner la toux, la tuberculose, l'arthrite ainsi que pour stimuler la pousse des cheveux. La pratique de la flagellation thérapeutique avec des tiges d'orties remonte également à l'Antiquité. On la dit salutaire contre les rhumatismes. Nicholas Culpeper, célèbre médecin anglais de la première moitié du XVIIe siècle, la recommandait pour soigner les maladies des vaisseaux sanguins et des voies respiratoires. En Europe, on la consomme volontiers en potage ou en salade, et il fut même une époque où son infusion était fort appréciée dans les salons mondains. Avec les feuilles de pissenlit et d'autres verdures printanières, les jeunes pousses d'ortie faisaient partie des « cures du printemps » qui ont été jadis si populaires. Notez que le pouvoir urticant des poils d'ortie est inactivé par la cuisson et le séchage ainsi que par le procédé d'extraction qui permet la fabrication de suppléments. En médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l’Inde), on emploie l’ortie en association avec d’autres plantes pour traiter les hémorragies utérines, les saignements de nez, les éruptions cutanées et l’eczéma. Les Amérindiens s’en servent pour soulager les douleurs rhumatismales, ainsi que pour soutenir les femmes durant l’accouchement. Au Maroc, on utilise l’ortie pour traiter l’hypertension. En raison de sa haute teneur en chlorophylle, on a utilisé l'ortie comme colorant vert naturel dans les conserves de légumes. Tout comme celle du lin, la fibre d'ortie a servi à la fabrication de tissus et de papier. Les bons jardiniers connaissent, pour leur part, les vertus du purin d'ortie comme engrais naturel. Traditionnellement, ce sont les parties aériennes qu'on a utilisées comme agent médicinal; l'emploi de la racine pour traiter l'hyperplasie bénigne de la prostate n'est apparu qu'au début des années 1980. Précautions Contre-indications Par ce que l'ortie pourrait avoir un effet abortif, elle est contre-indiquée en cas de grossesse, bien qu'aucun cas n'ait été signalé chez l'être humain et qu'elle était traditionnellement donnée comme tonique aux femmes enceintes ou qui allaitaient. Effets indésirables Les feuilles fraîches causent sur la peau une vive sensation de piqûre, généralement passagère et sans conséquences sérieuses. On rapporte un cas d’oedème grave de la langue chez une patiente de 32 ans ayant sucé une feuille fraîche d’ortie (Urtica urens). Il est possible que l’oedème ait été aggravé par l’acide acétylsalicylique (aspirine) que la patiente avait prise pour calmer la douleur. Les parties aériennes sont virtuellement sans effets indésirables. Quant aux racines, une étude ayant porté sur plus de 4 000 sujets qu'on a suivis durant six mois a permis d'établir que des troubles intestinaux bénins pouvaient se manifester dans tout au plus 1 % des cas. On voit, d’après cela, qu’entre la flagellation et l’urtication il existe cette différence, que la première agit extérieurement et que l’afflux du sang à la peau est déterminer par la percussion, qui va souvent jusqu’à la meurtrissure, et quelquefois jusqu’à l’attrition de la partie, tandis que l’urtication agit intérieurement par l’irritation que produit dans le tissu cutané la liqueur âcre des poils de l’ortie cette irritation est d’autant plus vive qu’il y a eu plus de poils d ‘orties brisés et de liqueur versée dans l’épaisseur de la peau.
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Par : le 21/05/15
Ce qui suit est le récit du vécu de ma soumise sur cinq jours de l'hiver dernier. Chaque mois elle vient passer quelques jours chez moi. Cette fois, exceptionnellement, je lui avais demandé de mettre par écrit les faits marquants de son séjour. Tout ce qu'elle y relate s'est déroulé comme elle le raconte. JOUR 1 A peine me suis-je assise dans le bus, je mouille déjà. “Bon courage", m'a dit mon ami, "Et amuse-toi bien“ avait-il ensuite ajouté. Je regarde défiler les rues mornes sous la lumière éteinte de ce petit jour pluvieux, en pensant au récit que j'allais te faire de mon séjour chez toi, et à ce qu'il allait falloir que je garde comme lucidité pour y parvenir. Je pensais à ce que j'avais pu oublier d'important, et sentais monter les premières effluves de mon excitation, cette petite odeur pourtant si puissante, si rassurante, qui m'enveloppe et m'entête. Le temps de l'attente est délicieux et atroce. Mon regard ressemble à ce brouillard où l'on se perd, dans le flou des silhouettes qui s'estompent. Mais ma pupille perce et brille par delà son égarement. Même si les fantômes de mes peurs que je fusille m'attendent au tournant. Le bus fait sa routine parmi les flaques et les maisons. La radio du conducteur grésille quelques nouvelles du monde, macabres, que je ne reçois que par bribes inaudibles. Je ne cherche pas à écouter, ma conscience se perd dans un univers sonore lointain, à l'image de cette brume opaque dans laquelle je me réfugie. Le bus arrive, se range, j'entre dans la gare ferroviaire, et j'arrive sur le quai en même tant que mon train, comme si c'était moi que ce train venait chercher. Comme si mon voyage glissait sur des roulettes. Pas d'accrocs, pas d'histoires. C'est un nuage qui me déposera devant chez toi. Et c'est seulement là, quand je passerai derrière la vitrine, que soudain les tumultes me réveilleront à ces quelques heures volées à mon sommeil, à cette nuit passée comme tombe un éclair. Gorgé d'attente, mon sexe remue en moi, se tourne, se retourne, gronde et soupire. Montpellier. J'arpente les rues pavées sous une bruine glacée, devantures fermées, regards de quelques errants enfermés dans leur triste dimanche matin. Je trouve un bar ouvert, m'assoie en terrasse abritée, froide et déserte, et commande un café. Je lis, j'écris, je grelotte mais brûle à l'intérieur. Mes yeux se dirigent régulièrement vers l'heure qui tourne, lentement quand on l'attend, impitoyable quand on la redoute. Tu m'as dit de venir saoûle cette fois, et la vessie pleine. Alors ce sera un pastis s'il vous plaît. Et une grande carafe d'eau. J'aime regarder les gens qui passent, les réalités qui se croisent, furtives, fugitives, qui s'ignorent. Une cigarette. Un pastis. Encore un autre. Peut-être tu dors encore. Peut-être tu fonds dans ton bain, tu savoures aussi la consistance que prend le temps, dans ces moments-là, où la circonstance ne peut être qu'elle. Je ris soudain de sentir ma conscience s'émousser, mon écriture commencer à se tordre. Des bébés sous plastique, des talons qui claquent, des secondes qui s'étirent et disparaissent les unes après les autres, des baguettes de pain à la main, des téléphones à l'oreille, des pas qui savent où ils vont, des gouttes qui mouillent mon carnet. Un autre pastis. Une voiture qui démarre, un parapluie qui s'ouvre. Quoi de plus normal tout autour de moi, mais tant de pensées sulfureuses qui courent vers toi, titubent, éprises, en proie, trépidantes. Allez, une dernière cigarette. L'heure se fait pressante, mes frissons m'envahissent. L'aiguille s'emballe sur le cadran. “Je peux vous régler ?” Je dois encore passer aux chiottes pour enfiler une jupe, m'insérer un objet dans le cul, comme tu me l'as demandé. Et la culotte en boule au fond du sac. Il est midi, tu m'attends, je me presse, même si ce n'est pas facile quand l'alcool s’ajoute à mes fébrilités. J'arrive, ne t'en fais pas. En vrai, je n'en finis pas d'arriver. *** Je sonne. Tu m'ouvres immédiatement. Comme la première fois où je suis venue chez toi. Pour moi le message est clair, cela trahit quelques impatiences bouillonnantes contenues derrière cette porte. Tu refermes, tournes la clé et me regardes, et puis le temps s'arrête un instant. “Tu es en retard”. Tu t'approches et m'attires contre toi. Je sens ton corps qui me presse, le mien qui fond déjà. J'aime. Je jubile de ce moment-là où le contact s'établit soudain, électrique. Je suis là, debout, et tes mains me parcourent, galopantes, avides, elles lisent toute mon appréhension, elles surfent sur mes frissons, provoquent mes seins, et soudain passent sous ma jupe d'un geste franc pour venir se coller à mon sexe. Je sens ton souffle qui s'intensifie, tandis que je retiens le mien, dans une écoute tétanisée de ce qui se passe, là, en bas. Mon ventre est explosif. Tes doigts glissent sur ma mouille, ton excitation s'emballe et ta main me pénètre d'un coup, sans préavis. Un petit cri s'échappe de ma gorge, de surprise et d'exaltation. Tes gestes sont sans détour, ils savent ce qu'ils cherchent, et ne s'en cachent pas, c'est un plaisir pour moi de ressentir ça. Tu saisis ce qui dépasse de mon anus. 'Qu'est ce que c'est ?” “Un genre de maracas” “Ça me plaît. Tu as envie de pisser ?” Moi, honnête : “C'est pas encore irrésistible.” “Alors on va boire un thé. Et après on sortira. Des questions fusent dans ma tête. On sortira ? Où ? Que va-t-il me demander de faire cette fois ? Je n'ai pas trop le temps de m'attarder à y chercher des réponses que je me retrouve face à un grand bol de thé fumant. J'ai presque regretté d'avoir dit ça, car mon envie de pisser gonfle en moi plus rapidement que je ne l'aurai imaginé. Tu t'assoies et me dis de venir plus près. Je lève les yeux vers toi, tout en sentant mon palpitant s'emballer, et je fouille ton regard pour y lire quelque intention machiavélique. Je m'approche de toi, prudente. Tu me saisis brusquement et je me retrouve cul nu sur tes genoux, livrée à des mains qui ne pardonnent aucun retard, aucun manquement aux exigences. Je sens qu'elles savent laisser présager de leur virulence à venir, en s'appliquant d'abord d'une force mesurée, vive, mais supportable. Une force qui contient en latence toute l'intensité rageuse, imprévisible de ton rapport à moi, catalysée par la vue soudaine de mes fesses, envieuses et terrorisées à l'idée d'absorber les secousses de ta punition, de tes humeurs. Tu me fesses, me frappes de plus en plus fort, je me tords, mon esprit s'affole, la douleur qui se transmet dans ma chair me pousse dans un état où la peur et la confiance que j'ai en toi s'affrontent férocement. Jusqu'où pourrai-je ? Jusqu'où ira-t-il ? Mais tu t'arrêtes en disant : “Ça ira” Et moi je suis là, à peine arrivée que déjà toute secouée, mes sensations mises à vif. Je me redresse le corps traversé de milliers de tremblements, le cerveau s'évertuant à reprendre le contrôle de la petite bicoque que je suis devenue dès ta première tempête. *** “Buvons le thé”. Tu me demandes quelques nouvelles, tu me fais part de ta satisfaction quant à la photo de moi que je t'ai faite parvenir pour ton défi, on discute, ça nous détend et nous attendrit un peu. Mais mon ventre gonfle et se tend, et arrive le moment où je t'exprime que là, j'ai VRAIMENT envie d'aller pisser. Que c'est du sérieux. “Ok, alors allons-y.” On se lève. Moi je me dandine, les mains sur mon ventre, légèrement pliée vers l'avant, ça presse, ça presse. On met les vestes, écharpes et parapluie pour sortir et traverser ce temps dégoulinant qu'il fait dehors. Sous le parapluie et contre toi tu m'emmènes parmi les rues, entre les gouttes. Je m'en remets à tes pas, à tes intentions, je ne sais pas où nous allons, mais pour l'heure, je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose que sur la contraction que je dois faire pour retenir ma vessie de son besoin plus qu'urgent de se relâcher. Ça devient insupportable. Je m'arrête et je souffle, pliée, mes mains retenant mon ventre comme si j'allais accoucher. On arrive dans des rues plus passantes, on rejoint la place de la Comédie, et là tu me demandes si je suis déjà allée manger chez McDo. Un peu interloquée, je réponds qu'une fois a suffi pour ne plus me donner l'envie d'y retourner. “Eh bien allons-y”. On entre. Il y a pas mal de gens, à table, debout, mais moi je ne les regarde pas, je n'ose lever les yeux du sol, de ce carrelage mouillé et un peu sale de ces jours de pluie et je me presse contre toi comme pour m'y cacher, dans l'attente craintive de ce que tu projettes de faire ici. Tu m'invites à monter les escaliers. Des gens qu'on croise, des voix, du brouhaha, ta main dans mon dos. Arrivés en haut, tu marques une pause, et tu me dis : “Maintenant, tu vas pisser ici, tout en redescendant l'escalier, et en te dirigeant tranquillement vers la sortie. T'inquiète pour la jupe on fera une machine. Vas-y, lâche tout”. Je ne me suis pas dandinée plus longtemps, mon corps ne m'aurait de toute façon pas laissé le choix. Alors ok, j'ouvre les vannes. Je sens que ça me coule le long des cuisses, que ça imbibe ma jupe, je ne regarde pas les gens mais je les entends tout autour, et toi à côté qui me regarde, amusé, et qui dis: “Ça y est ?” La honte et la détente se sont unies en un seul flot que je vois jaillir de sous ma jupe et qui s'abat à mes pieds. Je n'y crois pas, c'est un Canadair que j'ai entre les jambes. On redescend l'escalier. Ça continue de couler, j'en fous partout jusqu'en bas, ma jupe me colle aux cuisses, je presse le pas, et ça y est je crois que c'est fini. Je pousse la porte, et nous voilà dehors. Tu caches une certaine hilarité, et moi... je ne sais pas trop ce que je cache. Les regards ne m'ont pas humilié, je les ai scrupuleusement évité, mais c'est la première chose dont je me suis inquiétée. “Oui, il y a des gens qui t’ont vu, ça c'est sûr”. Nous rentrons chez toi, d'un pas plus léger qu'à l'aller. Juste avant d'arriver, tu me passes la main sous la jupe, malgré les passants qui arrivent à notre hauteur et tu te mets à agiter mon maracas, qui est toujours là, lui, et qui attend qu'on en joue. Ça va très vite. Tu le remues à l'intérieur de moi, en tirant un peu, et tu me dis: “Pousses!” J'obtempère, et tu tires d'un coup sec. Là, une vive douleur me fais vaciller et m'épauler au mur, à ma droite, salutaire. Peut-être pendant ce temps tu considères l'objet, et je t'entends me dire : “Oh, excuse-moi, j'avais sous-estimé sa taille...” Tes bras m'encouragent à te suivre. Nous y sommes. Tu tournes la clé, et nous passons nous réfugier derrière les quatrièmes de couverture. *** Mon regard tombe sur mes chaussures. De la merde. “Je crois bien que c'est la tienne.” Morte de honte, je m'empresse d'aller nettoyer ça, puis me débarrasse de mes vêtements mouillés de ma pisse et les fourre dans la machine à laver. Tu fais couler un bain. Je m'assieds dans le salon, me roule une clope, et je m'évade dans les volutes de fumée qui dansent au ralenti dans la pénombre. Un calme revient en moi. Tu m'invites à venir dans le bain, mais avant tout... “Tu vas avoir droit à un lavement. Assieds toi sur le bord de la baignoire.” Tu me penches, m'insères le tuyau dans l'anus, et envoies de l'eau. Je sens mon rectum se gonfler. Se gonfler. SE GONFLER. “Tu le sens quand c'est assez” Tu enlèves le tuyau, me dis d'aller aux chiottes, puis tu recommences l'opération une deuxième fois. Voilà, j'ai passé mon baptême du lavement, ça va, c'est pas si méchant. Enfin, je me glisse dans l'eau fumante qui m'attend, avec l'impression que je vais m'y dissoudre entièrement. Je me prélasse. Le son de mon cœur s'amplifie dans l'eau, mon souffle en ondule la surface, mes pensées se dilatent, s'évaporent, j'ai tant besoin de ces moments-là, où je me retrouve, moi et mon corps dans une communication de l'indicible. Je regarde mes mains sortir de l'eau, aller et venir sur ma peau, caresser mes genoux, glisser sur mon ventre. Je me réconforte, je m'apaise. Et petit à petit, se rassemblent les fragments de moi-même éparpillés, apeurés, tremblants, voraces, honteux, délirants et raisonnés. Je me frictionne avec tout ça en me rendant à l'évidence : c’est bien moi, dans ce corps, fendue de ces multitudes, et c'est avec tous ces visages que je m'apprête à te rejoindre. Tu as préparé une salade, c'est là que je me rends compte de ma faim. Un sushi. Un autre. On parle, ça fait du bien, tu m'interroges sur les instabilités de mon domicile, je te réponds par ma détermination à ne rien lâcher, malgré les pressions, malgré les coups de blues. Nos échanges sont simples, doux, attentifs. Une touche d'hydromel en fin de repas. Et bien sûr, une grande théière. Ces réjouissances culinaires en cours de digestion, tu m'invites alors à te suivre à l'étage: « On va dans mon lit? » Ce n'est pas un ordre, mais je n'y résiste pas mieux. Mon cœur fait des bons, et je t'emboîte le pas, ravie. Et je sens monter en moi le colimaçon de mon désir, à mesure que je grimpe ces marches, qui s'effondrent une à une après mon passage. Derrière moi, plus rien n'existe. J'avance, je ne peux rien faire d'autre. C'est si bon. Le moelleux nous accueille, nous enveloppe, nous attendrit. Je sens tes mains qui se promènent, qui cherchent en moi là où c'est doux, là d'où mon souffle prend sa source, j'ose à peine te caresser tant tes gestes sonnent juste et m'éveillent, partout, ou presque. Tu me fais languir. Je me tends, me tortille, mes effleurements t'agrippent à présent, mes caresses te grifferaient presque le dos. Et puis tu me regardes. « Dis-moi des mots » Je m'inquiète, et répète, comme si je n'avais pas bien entendu : « Des mots? » « Oui, parles-moi comme tu sais si bien m'écrire ». Prise au piège. « Des mots, quels mots, des mots pour décrire l'impossible, des mots pour...» Tu me pénètres. « ...dire tout ce qui me traverse... » Je parle entrecoupée de mes cris « ... des mots qui ne savent plus rien... qui s'exaltent et meurent... » Je m'emballe. Je ne sais plus ce que je dis, emportée par tes élans, mais quelque chose en moi ne cède pas. C'est si fort, mais c'est trop fort. On cesse. Tendresses. Mon corps est toujours sous tension. « J'ai mes résistances... peut-être elles t'embarrassent...? » Tu ne réponds pas, il se peut que ma voix n'aie été qu'un murmure inaudible, comme un frisson qui se cache, une peur qui somnole. *** (à suivre)
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Par : le 10/10/22
Juliette ramena Charlotte à Paris une semaine avant la fin de septembre. Les anneaux qui trouaient le lobe droit de ses grandes lèvres ne la faisaient plus souffrir. Les marques imprimées par le cuir du fouet lors de la dernière séance étaient creusées dans sa chair comme par une gouge, hautes de plusieurs centimètres. Quand elle se présenta à la porte, Charlotte se sentait nerveuse. Sa Maîtresse lui avait ordonné de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle, tout s'écroulait. Elle ne savait plus. Aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête. Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit. Elle serait alors rendue plus profondément esclave. L'idée de voir son corps si fragile labouré par le fouet, son ventre étroit écartelé, la bouche pure hurlante, et des larmes collées à ses joues, avait été un mois plus tôt soulevée d'horreur, Charlotte en fut alors heureuse. Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour, mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait, mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Charlotte se sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Juliette ne manquait pas de critiquer cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué. En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se dirigea vers Charlotte en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment. La jeune fille surprise et épouvantée recula en un éclair, protégeant son visage rougi de ses deux mains. - Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait. - Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ? - Oui. - As-tu retiré ton plug anal ? - Oui - Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation. - Mais, c'est impossible. Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau. - Oui, oui ne vous énervez pas. Charlotte se rappela que Juliette, le premier soir de leur rencontre, avait fait de même. Après tout, elle n'était plus à elle. Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros. Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle. - OK viens t'asseoir près de moi. - Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir. Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite. - Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé. Ce qui d'elle était le moins à elle, était toujours son étroit pertuis qui pouvait si bien servir pour ainsi dire en dehors d'elle. Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Charlotte avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta, ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté. "– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal". Elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle lui ordonna de ne pas bouger en lui saisissant ses lèvres. L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche. Elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte songeait que le mot s'ouvrir à quelqu'un, qui veut dire se confier, n'avait pour elle qu'un seul sens, littéral, physique, et d'ailleurs toujours absolu. Car elle s'ouvrait en effet de toutes les parts de son corps qui pouvaient l'être, il lui semblait que c'était sa raison d'être. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, l'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui l'encouragerait. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus. La chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Il allait de soi qu'elle serait ainsi à sa disposition, et se mettre nue devant cette femme qui ne lui parlait pas et la regardait à peine, lui semblait aussi redoutable que d'être mise à nue constamment devant les amies de Juliette. L'inconnue admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Encore un nouveau gage d'abandon. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux femmes. Il était étrange que Charlotte en fut comblée. Pourtant, elle l'était. Elle se prêtait ainsi à ce que l'inconnue lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore, lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage. Le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant. La décharge fut intense et l'orgasme violent. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance envahir Charlotte par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se fendirent en obéissant. Charlotte desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois. Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Charlotte était suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant. - Je suis donc anale ... soupira-t-elle. - En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue. - Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette. - Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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Par : le 19/10/22
-Colonel Valeri, votre dernier exploit a fait bouillir de rage jusqu'à Joe l'endormi. Vos couilles ont été mises à prix. Tuer une générale US passe encore, mais la violer avant, surtout que c'était une lesbienne notoire, vous avez mis le feu à Langley et au Pentagone. -C'est faux mon général, vous savez bien qu'il n'y a pas de soldats de l'OTAN en Ukraine. -Vous avez raison, plusieurs dizaines de milliers de "sympathisants ukrainiens" veulent casser du russe, que des soldats d'élite venus de partout et qui portent des uniformes avec du bleu et du jaune comme insignes, mais ....ils ne sont ni nazis ni de l'OTAN. Alors j'ai une nouvelle mission pour vous, aider nos amis iraniens à en neutraliser le plus possible. -Toujours partant vous savez bien. -Sauf que cette fois ci, c'est la guerre avec des drones kamikazes. Et comme nos amis de l'OTAN ne sont pas en Ukraine, ni les drones iraniens, ni leurs ingénieurs ne sont là aussi. Vous allez les assister pour désigner les cibles à partir d'un bunker secret en Crimée. -J'aime pas trop mon général. Je préfère l'action sur le terrain. -Ne dites pas cela, vous verrez, ce nouveau job va vous plaire. Le Colonel Valeri est parti pour la Crimée dans sa vielle moskva noire, une voiture de collection avec un Z bien visible sur le toit, un message pour les satellites US. Il est vite repéré et les...."ukrainiens" ont immédiatement lancé des missiles haute précision....qui ont tous manqué leur cible. Quant aux drones, le colonel Valeri s'est fait un plaisir d'en descendre avec son canon portatif de 30mm. Histoire d'avoir un peu d'action avant de rejoindre le bunker où il doit assister les ingénieurs et militaires iraniens. Le premier contact est tout juste amical, ce sont des pros qui bossent et qui n'ont qu'une idée en tête: casser de l'américain. Valéri est là pour chercher les cibles à partir des photos satellites et du renseignement militaire. Il connaît toutes les combines du camp adverse pour se dissimuler: écoles, hôpitaux, filets de camouflage, ...Il devine l'ennemi, ses ruses. Les iraniens apprécient vite ses compétences pour choisir les cibles. Valeri rencontre la sublime Roxana aux yeux de braise. Elle porte le voile mais elle n'est pas de confession islamique, c'est une adoratrice du feu sacré ou Atar, l'ancienne religion de la Perse. C'est une ingénieure spécialiste des guidages et brouillages sur des milliers de kilomètres. Elle est redoutable. Ses drones frappent avec précision. -Colonel Valeri, nous avons un problème. Je lis dans vos yeux que vous me désirez sexuellement et ce n'est pas autorisé en dehors du mariage. -Je ne comprend pas ce qui m'arrive. En votre présence je suis aussitôt en érection et c'est presque douloureux. -Ma chatte s'est ouverte d'un coup et j'ai la culotte trempée. Ce sont des signes qui ne trompent pas. C'est Ahura Mazda qui a jeté son feu divin sur nous et qui embrase notre désir. -C'est de la sorcellerie ? -Non, juste l'amour pur, l'Ameretât, l'amour qui ouvre les portes de l'immortalité. Il faut consommer. Les lois en Iran permettent le mariage de circonstance pour une durée déterminée lorsque l'homme est loin de chez lui, ce qui est ton cas. Laisse moi faire je m'occupe de tout. Moins de Quinze minute plus tard, Valeri et Roxana sont devant le général Razeneh qui commande cette base iranienne secrète. Un héros de la guerre contre l'Irak, un vieux routard de l'art de la guerre. -J'ai juste besoin de recueillir vos consentements sans contraintes et vos signatures au bas de cet acte. Roxana sort deux alliances en vieil or patiné. Celles ci proviennent de sa très vieille famille de Perse et ont traversé les siècles et peut être les millénaires. Ils signent le document. -Vous voilà Mari et femme pour la durée qui vous conviendra. Mais attention, pas de gestes trop ....enfin vous savez quoi sur cette base fermée. De la retenue, la plus grande discrétion lorsque vous n'êtes pas seuls. -A ce sujet mon général, mon épouse et moi nous souhaitons habiter dans le petit village Tatar, juste en bas de la falaise, c'est là que je réside. Je ne supporte pas les bunkers. -C'est parfait et je vous accorde 6 heures de permission. Après il faut revenir pour la nouvelle série de frappes, j'ai besoin de vous. Valéri et Roxana se sont éclipsés avec leurs alliances aux doigts. Mari et femme en quelques minutes. Qui a dit que la République Islamique d'Iran était archaïque? Lorsque Valeri a plongé son pieux dans la chatte ruisselante de Roxana, ils ne se sont plus posé de questions. -Mais tu es vierge !!! -Bien sûr, pas d'acte d'amour en dehors du mariage. Tu es le premier et je suis ta propriété entière et totale. Valeri retourne sa compagne et il la sodomise d'un coup. Diable qu'elle est subliment belle avec cette croupe ferme et bien bombée ! Un cul d'enfer ! Il explose sa jouissance en elle. Il allume un cigare de havane, se sert un excellent "cognac" de Crimée et caresse les longs cheveux noir de sa femme, tendrement lovée dans ses bras. -c'est hauvathât, la pleine santé lui dit Roxana. Nous sommes bien dans ce lit, détendus, notre esprit flotte à la recherche du Khashtra, le royaume de Dieu. je ne savais pas que la jouissance sexuelle c'était si fort et si bon. -Nous avons tout notre temps, dit Valeri. Avant de retourner au boulot, allons manger des poissons grillés sur le port, ils sont excellents. Le mariage me donne très faim. -Fouette moi avant ! Marque ta propriété dans ma chair et reprends moi par les fesses, j'ai adoré. Valeri a un regard torve. Le loup de l'Oural se lèche les babines. Il sort sa cravache cosaque. Le dos de Roxana est vite en sang. Puis il s'enfonce en elle, par derrière, d'un violent coup de rein. Il plaque sa main sur sa bouche pour contenir ses hurlements de douleur qui deviennent vite de violents spasmes de plaisir. -Voilà notre pacte de sang et d'amour est scellé. Tu es bien mon épouse et....c'est un mystère...peut être depuis toujours. Roxana ne dit rien et le regarde de ses yeux de braise. -Allons manger ces délicieux poissons grillés sur le port et remontons vite nous mettre au boulot. Le général Razeneh nous attend pour casser de l'américain et de l'anglais.
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Par : le 28/07/15
Depuis combien de temps l’avait-il mise dans cette position ? Pouvait-elle être plus à sa merci qu’ainsi, attachée, les yeux bandés, nue, écartelée ? Pourquoi ne revenait-il pas ? Et quelle avait été cette allusion à des inconnus qui aimaient se repaître de femmes dépravées ? Mais quelle était donc cette chaleur qui envahissait son ventre ? Sentait-elle vraiment des gouttes lentement couler le long de ses cuisses ? Etait-elle vraiment, avec lui, à cause de lui, ou à cause d’elle-même ?, à ce stade de débauche ? Voulait-elle vraiment que des inconnus, des hommes au sexe dressé, entrent dans cette pièce et la voient ainsi, totalement indécente, à leur merci, mais aussi qu’ils la voient pantelante, le sexe trempé ? Voulait-elle vraiment que ces images qui tournaient dans sa tête, de plus en plus vite, de plus en plus fort, images brouillonnes de mains sur son corps, de cheveux tirés, de doigts dans sa bouche, de gifles sur son corps, sur son visage, de fouet sur son dos, ses fesses, son ventre, ses seins, de pénétrations multiples, d’orifices investis, de corps secoué par l’assaut de membres turgescents, deviennent réalité ? - - - - - - - - - - - - - Et son Maître entra, et il fit entrer des hommes. Certains semblaient à leur aise et souriaient, d’autres étaient intimidés par la situation. Le Maître s’approcha de la femme, la saisit par un sein avec une certaine brusquerie, il fit quelques remarques sur son corps, sur certaines parties qu’il aimait particulièrement, sur d’autres qui étaient aptes à donner du plaisir aux hommes. Tout en parlant, il la tenait toujours par ce sein, un peu comme il l’aurait tenu par une laisse, et il secouait et faisait lentement balancer son corps en un mouvement qui suivait le rythme de sa voix. Et cela fit sourire certains, et en choqua d’autres, on pouvait le voir à leurs yeux agrandis. Puis il gifla ce sein. Il la saisit ensuite par les cheveux pour empêcher son corps de tourbillonner pendant qu’il se mettait à gifler ses fesses, puis il lâcha les cheveux pour la laisser tourner d’un côté ou de l’autre au gré de ses claques qui résonnaient dans la salle. Il demanda alors aux hommes de s’approcher et de profiter de ce corps qu’il leur offrait pour son plaisir à lui, pour le leur, pour celui de la femme aussi, affirmait-il. Des mains s’emparèrent de son corps, de plus en plus de mains, investissant chaque centimètre carré de peau. Et l’on pouvait dire que, littéralement, son corps ne lui appartenait plus. Puis elle fut fouettée, surtout sur le dos et les fesses qui se couvrirent de marques rouges de plus en plus nombreuses, alors qu’elle poussait de délicieux gémissements mêlés d’un soupir, presque à chaque coup. La tête se rejetait alors en arrière pour permettre au corps de se tendre, afin qu’il aide à la diffusion de la douleur. Cela lui donnait une pose magnifique, absolument émouvante, expression de la détresse d’un corps maltraité, expression aussi d’une sensualité animale à l’état le plus pur. Et les mains reprirent possession de ce corps maintenant rougi, elles investirent les chairs et s’invitèrent d’elles-mêmes dans les places les plus intimes. Puis on joua sur les poulies et on descendit un peu le mécanisme afin d’ajuster la position de la femme et les hommes se succédèrent en elle et sur elle, et son corps fut secoué, de coups de butoir, mais aussi de spasmes provenant d’une source encore plus profonde en elle, d’un endroit qu’elle ne connaissait pas jusqu’alors mais qui irradiait de lames indéfinissables, d’ondes de plaisir, puisqu’il fallait bien les appeler comme cela. A la fin, les hommes se retirèrent un à un, seul le Maître resta avec un ami fidèle qui délia les poignets et les chevilles de la femme alors que son Maître l’avait arrimée à lui en la serrant contre son corps avec fermeté mais aussi avec une infinie tendresse. Il lui glissait tout doucement des mots et des phrases dans ses oreilles, et il l’arrimait à son cœur aussi fermement qu’il le faisait à son corps. Et elle se sentit flotter dans l’espace, esprit à peine accroché à son corps rassasié, serpentant comme un dragon merveilleux et translucide dans d’étranges limbes au-delà du réel, au-delà du paradis ou de l’enfer...
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Par : le 28/11/15
Parole de Feu "Expression extrême le branding n’est pas simplement une marque apposée, un produit de décoration, il est l’aboutissement d’une longue et profonde réflexion. C’est une implication totale physique et psychique où la douleur et la prise de risque inhérent à cette pratique ne doivent pas être pris à la légère. Il existe autour du marquage une sphère émotionnelle très particulière réservée aux initiés. Et en témoignage de cette émotion je ne peux résister à vous confier (avec son accord) le texte envoyé par F (aujourd'hui, Lady Spencer) et qui résume à lui seul ce que je vous souhaite dans votre expérience de feu." Marc Sainteul (Corpus Delicti)(2009) "Nous avons vécu ce marquage tous les deux , sans autre cérémonie que notre émotion partagée , immense , intense , profonde . Que ce moment fut extraordinaire et émouvant... La préparation tant matérielle que physique et surtout psychologique d' A fut assez longue pour obtenir une tension idéale maximum accompagnée de ce stress bienfaiteur et obligatoire dans le don de soi lors de cette épreuve. Ma préparation psychologique fut, pour moi, une source d'étonnement quant à mon pouvoir et ma puissance. Ne jamais oublier qu’un marquage, pratiqué par la ou le Dom, demande une force mentale et émotionnelle sans faille car l épreuve ne peut pas laisser indemne... Le marquage fut bref, ma main légère, précise, aucunement hésitante, et d’une assurance "amoureuse" ...brûler la peau de l homme que j'aime, lui arracher ce cri si important mais ne pas le faire souffrir... inutilement. Photos, soins immédiats post acte, surveillance de l état émotionnel d A... Et effondrement de la super Domina... larmes, larmes, larmes... Que cette charge émotionnelle fut douce à partager... La cicatrisation se passe parfaitement bien , la plaie ne nécessite plus de soins particuliers 15 jours après, la marque est belle, la couleur nacrée désirée ornera sa fesse dans quelques semaines." J'ai écrit ce récit en 2009 et si je le publie ici aujourd'hui, c'est pour connaitre vos avis, vos désirs, vos craintes sur ce type de marquage. L'avez-vous vécu et si oui, dans quelles conditions ? Ressentez-vous le désir ou le besoin de vivre cela ? Pourquoi ? Entre fantasme et réalité : quelles craintes vous empêchent de passer à l'acte ? Merci pour votre approche libre et sans jugement .
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Par : le 20/03/14
Bonjour à vous Merci pour votre très beau site et très instructif. Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée. La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d'une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir. Ce qui est étonnant, c'est que le risque d'impuissance liée au port prolongée d'un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n'est que rarement évoqué. Médecin et chercheur scientifique de mon état vanille, je me suis penché un peu sur ce problème. Divers problèmes de confort sont susceptibles d'apparaître quand la cage de chasteté est trop grande parce que les corps caverneux peuvent rapidement s'emplir mais moins bien se vider du sang érectif, notamment lors des érections réflexes nocturnes. Ces douleurs peuvent facilement être réduites ou même ne pas apparaître si le dispositif de chasteté épouse parfaitement la taille d'un pénis au repos, soit entre 3,6 et 6cm en moyenne. Plus la cage sera étroite et moins le risque de dysfonctionnement sera grand, évitant le problème récurrent des douleurs nocturnes. Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles. Au contraire, en empêchant le début d'érection, une cage très courte reste confortable, évite les douleurs et peut être portée sur de très longues périodes, pour peu qu'elle soit une cage en métal chirurgical ajourée, comme la "jailbird" ou même les cages "chinoises" par exemple, facilitant un nettoyage minutieux du gland. La cage de chasteté n'entraînera alors qu'une forte frustration, longue et pénible, mais en aucun cas douloureuse et plus le port du dispositif durera, plus la frustration augmentera. C'est le privilège de la chasteté d'être efficace avec le temps. Il faut un minimum de trois jours pour en sentir les effets, qui s'estomperont un peu avec le temps, mais qui, si ils sont attisés sexuellement, peuvent s'avérer très puissants avec les mois et les années. L'effet est quasi maximal au bout de six mois sans interruption, mais peut encore être augmenté sur plusieurs années. Néanmoins, le port prolongé d'un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l'inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l'exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s'avérer plus capricieuse si la chasteté s'est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n'aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s'en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n'engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l'impuissance pourrait s'avérer définitive. Au bout d'un an, l'inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d'érections normales. Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n'a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s'agit seulement d'un état de fait lié à l'âge. Chez la majorité des hommes, la "vidange" de la prostate n'a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d'où vient ce mythe réitérée de la nécéssaire "traite" de cet organe. En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l'éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s'écouler tout seul lors de "pollutions nocturnes". Il n'y a lieu à "dégorger" la glande que dans de rares cas pathologique de d'épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. Quand au cancer de la prostate, bien qu'on ne sache encore pas tout sur sa genèse, il y a tout lieu de penser qu'il n'a rien à voir avec la quantité d'éjaculations. Il s'agit d'abord d'un problème de prolifération cellulaire. La (très mince) corrélation qui existerait avec le cancer de la prostate concerne le nombre déclaré d'actes sexuels par semaine inférieur à 10 ou supérieur à 10 sur un échantillon non représentatif et dont on ne sait même pas l'hygiène de vie réelle. Bien d'autres substances, alcool, drogues et surtout polluants perturbateurs endocriniens peuvent être aussi en cause. Aucune étude ne concerne un lien entre cancer et nombre d'éjaculats. Au demeurant, il n'existe aucune surmortalité due au cancer de la prostate chez les personnes chastes volontaires (prêtres et sectes religieuses étudiées). En revanche, presque tous les hommes finissent par montrer des signes de dérégulation prostatique et de cancer lié à l'âge, et cela, qu'ils soient baiseurs impénitents, chastes, impuissants, prêtres ou éjaculateurs précoces. La recherche porte bien davantage sur les mécanismes enzymatiques de régulation cellulaire. De même, le nombre de cancer de la vessie n'a rien à voir avec le nombre de miction ou le cancer de l'intestin avec le nombre de repas.... En l'absence d'études cliniques réelles, je ne comprends pas d'où vient ce 'mythe urbain" tellement décrit que nombre de participants s'imposent des éjaculats par pression de la prostate dont rien ne prouve ni l'efficience ni l'absence de plaisir. Au contraire, ces éjaculats par pression sont régulièrement l'objet des orgasmes lors de relations sodomiques. La jouissance trouvée par ce biais peut être faible ou importante selon les personnes, mais la "traite" de la prostate ne fonctionne qu'à cette condition de provoquer un orgasme, qui, chez l'homme, est directement lié à l'éjaculation (effet sur les sphincters de la prostate). Aussi, est-il étonnant que des personnes refusant l'orgasme coïtal puisse croire que l'orgasme anal serait inexistant.   Peut-être apparait-il plus contraignant et plus humiliant pour des hétérosexuel peu au fait des pratiques amoureuses, mais en aucun cas, cette libération du sperme ne me semble sujette à éliminer des problèmes prostatiques ou à réduire une jouissance. Malmener votre prostate peut limiter peut-être le plaisir masculin, mais c'est pourtant à cause de la pression du pénis dans le rectum sur cette glande par leur partenaire "actifs" que les homosexuels "passifs" obtiennent leur plaisir. Ma conclusion est donc que une chasteté imposée sur le long terme reste tout à fait possible et d'autant plus frustrante que le dispositif est étroit et que la personne n'obtient aucune éjaculation. Il reste inutile d'exercer toutes ces pressions sur cette "pauvre" glande masculine alors qu'on devrait davantage prévenir les porteurs de dispositif de chasteté du risque vrai, mais faible, d'impuissance à long terme. La culpabilisation des femmes dominantes maltraitant le pauvre soumis ne devrait en tous les cas pas être légitimée par cette pseudo "raison scientifique" et rien ne me semble justifier l'apprentissage de ces techniques de "traite" si ce n'est un jeu d'humiliation par exemple. Il serait sage d'en finir avec ce mythe bizarre, une chasteté sur plusieurs années n'entrainera surement pas de cancer de la prostate, mais en revanche une très longue frustration. Si une dominante souhaite faire perdurer la chasteté de son soumis sur de très longues périodes, il n'existe aucun motif réel de se soumettre à des exercices de pression de la prostate, le soumis, porteur d'une cage de chasteté étroite, de la taille du pénis au repos, pourra être gardé chaste aussi longtemps que les deux protagonistes consentants le souhaitent. Et le moindre paradoxe c'est que la chasteté est à la fois peu douloureuse et encore davantage frustrante avec une cage très étroite qui interdira toute érection normale ! La solution de frustration confortable implique donc une cage aussi courte que votre pénis au repos et portée sur une période aussi longue que votre maitresse le souhaite, et cela sans aucune rémission... Amusez vous bien. Votre Alfred .
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Par : le 20/09/17
prenant des poses obscènes et dégradantes pour un homme,tripotant mes parties génitales pour me rendre compte de leur nouvelle état. -” Tu es bien excité dit moi belle bite. Allez met toi à genoux jambes ouvertes devant moi et branle toi. Je veux te voir jouir..” Je sors un peu de mon état et suis un peu gêné à cette idée, mais la je me rend conte que sophie ah une main dans son maillot de bain et se caresse aussi. Je me laisse aller en arrière m'apuyant sur une main offrand ainsi mon sex tendu dans la direction de sofie. De l'autre main, je saisi mon membre et commence à me masturber. -” Allez belle bite regarde moi dans les yeux quand tu fais ça.” me dit 'elle. Me voilà en train de me masturber devant sofie, nu, à genou au pied de cette jeune fille autoritaire et magnifique... Quand je la regarde sur son translate une main dans son bas de maillot à me contempler me rabaisser devant elle, quand mes yeux croisent les siens, je n'aie plus qu'une envie contenter le moindre de ses désirs. “C'est bien belle bite demande moi l'autorisation pour jouir.” Quand je sent le plaisir monter en moi je lui dit:” sophie je vais venir est que je peut jouir!” -“oui belle bite” me dit 'elle, un sourire au lèvre.” Jouis ma salope!” Je ne tien plus je joui et perd toutes notions de réalités et d'espace pendant un court instant. Je reviens à moi, au moment ou sofie , toujours installée sur son transate m'asperge d'eau . -”'T’endors pas belle bite. Tu dois me servir maintenant.” Un peu confus je me ressaisi et déclare - oui sofie. ”aujourd'hui c'est Maîtresse sophie me lance t elle.” je me corrige - “Oui maitresse Sophie.” Le reste de la matinée nous voit , elle toujours dans son transate, moi la servant en esclave nu comme un verre. temps tôt lui amenant un verre d'eau, temps tôt lui servant de repose pied. Elle me gratifiant par moment d'une vulgarité,par d'autre instant d'une bonne claque sur les fesses, le tout dans la complicité et les rires... Vient ensuite l'heure du repa,elle m'habille d'un tablier blanc de cuisine et me demande d'aller lui faire à manger. je commence à lui cuisiner des spaghettis bolognaise, son repas préféré. Pendant ce temps là, elle s'installe sur la table de jardin et commence à faire ses contes. Je peux la voir depuis la fenêtre de la cuisine, ne prêtant aucune attention à moi. Cela rajoute à mon humiliation d'être là, à cuisiner pour elle, excité par la situation tandis qu'elle vaque à ses occupations sans tenir compte de moi. Quand le repas est prêt je lui signale. Elle me dit depuis le jardin. -”Enlève ton tablier et sert moi à manger. je m'exécute. Me revoilà nu comme un verre mettant la table.Une foi qu'elle a fini ses contes je lui sert son repas et un verre de vin, attendant nu à côté d'elle la bouteille à la main et la queue de nouveau raide... ” Ca à l'aire bon belle bite.” Déclare t elle. Elle porte la fourchette à sa bouche en me regardant dans les yeux. Je peux voir de la satisfaction sur son visage.- ” C'est délicieux ma pute, bravo.” Elle porte ensuite le verre de vin à ses lèvres mais dès qu'elle y goûte je comprend que quelques choses ne va pas... ” c'est le vin d'hier ça esclave. Non? ” ” Oui maîtresse ” “Tu l'as gouté avant de me l'amener? “ Je perçois mon erreur “ non sofie “ “ Il est éventé.” dit elle . Elle pose le verre sur la table,claque des doigts en montrant la cuisine et me dit d'aller chercher un autr verre, et une autre bouteille de vin. “Oui maîtresse.” Dis je, en courant lui chercher. Je reviens bien vite lui sert un verre et me prosterne à ses pieds, lui demandant pardon. Elle goûte le nouveau verre et semble satisfaite. Ensuite sofie d'une main me caresse les cheveux, d'une voix ferme et douce à la fois. - “ allez viens t'asseoir on va manger maintenant”. Nous commençons à manger tout les deux, je me détend un peu. On rigole, discute de tout et de ce que l'on est en train de faire. “ Tu es vraiment givré! ” me dit t'elle en souriant. “Tu te serrai vu courir cul tout nu me chercher une autre bouteille de vin.” Tu étais ridicule. Un peu honteux je rougi. -” Oui je sais, c'est un peu bizarre. Je dois être pervers d'aimer cela.” -” Ne t'inquiète pas. C'est bizarre mais ce n'est pas grave.Puis j'aime bien avoir mon petit esclave à la maison.Puis pour tout te dire, j'aime bien qu'on m'obéisse et soumettre un hommes et 'l'humilier Ca commence à me plaire.J'y prend goût. ” Sur ces dernières paroles sont sourires s'élargit. Le repas touche à sa fin quand sophie me dit : - “ bon maintenant belle bite tu vas débarrasser et faire la vaisselle, mais avant il faut te punir pour ce mauvais vin servi lève toi! “ Je m'exécute, le coeur battant à la chamade de peur et d'excitation. Je me demande ce qu'elle va bien pouvoir inventer. Je sais qu'elle est pleine d'imagination... Elle recule un peu la chaise sur laquelle elle est installée. Toujours assise elle me regarde dans les yeux et en claquant des doigts me montre ses genoux. Je comprend directement ce qu'elle veut et ne me fait pas prier... Silencieusement je m'installe sur le ventre en travers de ses jambes, mon nombril sur ses cuisses. Elle me demande de passer les mains dans le dos. Elles me saisis les poignets et les emprisonnes. Le contactes de nos peaux qui se touchent et la situation commence à me faire bander. Sophie doit sentir ma queue grossir contre sa cuisse. Elle pose alors son autre main sur mes fesses et les caresse doucement en me susurrant. “Ca t'excite belle bite hein? c'est ton grand fantasme de recevoir la fessée? “ “oui Maîtresse sophie ca m'excite beaucoup.” Dit je d'une petite voix un peu honteuse. “Allez belle bite, écarte un peu tes jambes.” En silence je le fais. Je suis sur la pointe des pieds les fesse tendues vers le haut. Elle en profite pour passer sa main entre mes cuisses à fin de me caresser doucement les testicules et la verge. Tu sais belle bite, j'ai lu qu'il y a deux type de fessée, la petite fessée gentille pour faire plaisir... et celle pour punir. Tout le long de son discours elle me mettait des petites fessées de plus en plus fort . Je sentais mes fesses devenir chaude et picoter cela m'excitait doucement, mais sur le dernier mot la claque fut beaucoup plus forte m'arrachant un cri de surprise et de douleur. Ensuite les coups se sont mit à pleuvoir sur mes fesses de plus en plus fort et douloureux, devenant rapide pour finir en rafale. Mes fesses me brûle me font mal.Je la supplie d'arrêter. -”pitié sophie j'ai mal,arrête”. Mais rien y fait. -”J'arrêterai quand j’en aurai envie! ” Me crie t elle en repartant de plus belle. Je suis vaincu je couine à chaque coup je supplie, j'implore. Elle finit par arréter me repoussant en bas de ses genoux. Je tombe à ses pieds vaincus et épuisé. Elle se lève me temps un pied et me dit: - “ allez face contre terre, implore mon pardon. “ Je pose ma tête sur son pied et lui gémit pardon sophie,pitié je t'implore. J'implore ton pardon. “A genoux les mains sur la tête. “ Me dit 'elle. Je m'exécute,les fesses brulantes. Je la voit aller chercher mon téléphone portable sur la table. Elle comprend que je suis inquiet. “Ne t'en fait pas belle bite. je vais juste te faire une vidéo souvenir… “ Elle passe passe derrière moi. Je comprend qu'elle a dut commencer la vidéo... j'entend ses commentaires. -” Voilà belle bite, et oui c'est ton nouveau nom . Voila je te fait une petite vidéo souvenir pour que tu puisses te branler quand je serais pas là pour t'humilier.. regarde l'état de tes fesses.Tu as le cul tout rouge.” Elle passe ensuite devant moi le téléphone à la main, braque la caméra sur moi, à genoux les mains derrière la tête ”Alors belle bite,regarde la caméra et dit combien tu es content d'avoir reçu une fessée.” Je lève la tête toujours dans la même position. Je vois son visage radieu et moqueur regarder le mien au travers de l'écran du téléphone. ”Merci sophie de m'avoir donné la fessée. ” Dis je un peu honteux. “Mais de rien ma petite pute. hein oui que tu es ma pute? “ “Oui maîtresse sophie. Je suis votre pute , votre salope male, votre esclave et votre chien. “ Elle se met à rire et me dit : - “ C'est bien ma salope, allez ouvre ta bouche que je la fourre.” Je m'exécute et aussitôt elle m'enfonce plusieur doigts dans la bouche, et s’amuse à faire des va et vient dedans. Elle rigole toujours et me dit que bientôt c'est son gode ceinture que je vais sucer.Le vas et vient de ses doigts fini par me faire beaucoup saliver et baver. Elle décide alors d'enlever ses doigts de ma bouche, de me mettre deux gifle et de s'essuyer la mains sur mon visage - “Que voilà une belle vidéo souvenir....” En coupant le téléphone elle me dit de mettre ma tête en arrière et de garder ma bouche ouverte. Ensuite elle pose le portable sur la table et prend le verre rempli de mauvais vin. Elle me dit de fermer les yeux et je sent le vin couler dans ma bouche et sur mon visage. Il ruisselle sur mon corp . “Allez avale ce mauvais vin que tu voulais donner à ta reine, voilà c'est bien salope. Maintenant tu va rester un peu nu comme cela pour méditer sur ton erreur.” Et c'est ainsi que je suis resté complètement nu à genou, les mains derrière la tête, du vin collant sur mon corps. Exposé pendant un temps indéterminé sur le sol de la terrasse. Pendant ce moment j'ai eu le temps de penser à la situation. Au fait que j'étais en train de vivre mon fantasme après tout ce temps. Au fait que; oh mon dieu. J'avais montré cette face cachée de ma personnalité à une amie proche. Que je n'étais plus en train de fantasmer derrière mon écran, à parler à des inconnus, mais que maintenant quelqu'un connaissait vraiment cette facette de ma personnalité.
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Par : le 13/01/21
Certaines pratiques BDSM sont parfois jugées trop douces ou esthétisantes par certains adeptes en ce qu'elles s'éloignent trop du sadisme ou du rapport de domination. Pour quelques puristes, elles relèveraient davantage de performances que de jeux. Le consentement dans les pratiques SM implique que les personnes concernées choisissent activement les limites des activités qu'elles effectuent. Il permet ainsi de tracer la limite la plus certaine entre jeu BDSM et acte de torture. Si le sadisme est dominé par la figure de la vénus offerte, il ne peut être le complément ou le symétrique du masochisme. Parce que le phénomène masochiste a ressaisi des éléments qui appartiennent à l’histoire plus ancienne du sadisme. Au XVII ème siècle, un nouveau type d’érotisation de la cruauté a triomphé dans la littérature. À la simple cruauté physique s'est adjointe la cruauté morale. Nonnes violentées dans les couvents et servantes dominées par leurs maîtres ont rejoint la vénus offerte, jusqu’au triomphe de la "cruauté des petits maîtres." Dans "Les liaisons dangereuses, la cruauté pouvait désormais se passer de l’effraction violente des frontières du corps. Ce qui est érotique, c’est la cruauté affective et morale qui témoigne des relations de pouvoir entre des hommes qui dominent et des femmes dupes et donc victimes, sauf une, Madame de Merteuil, mais dont on sait la fin tragique. On peut lire l’œuvre de Sade comme un moment charnière dans l’histoire de la violence érotisée, un lieu où se combinent le fantasme ancien de la vénus offerte et la jouissance nouvelle de la cruauté affective infligée à une femme innocente. Voilà Justine, vertueuse infortunée qui meurt traversée par la foudre "de la bouche au con." Mais l’érotique proprement masochiste émergea au XIX ème siècle. Son expression est l’œuvre de Sacher-Masoch, dans sa célèbre "Vénus à la fourrure". Cette Vénus n’est ni la fille ni la sœur de la vénus offerte. Ce qu’elle représente, c’est l’érotisation d’un rapport de domination, c’est-à-dire d’une relation de pouvoir entre un dominant et un dominé, élément essentiel de la scène masochiste, l’acronyme contemporain BDSM étant à ce titre bien plus pertinent que le sadomasochisme. Or, à l’inverse du sadique qui désire réduire le sujet à ce qui est en lui de moins subjectif, toute relation de pouvoir suppose le maintien de la subjectivité des deux membres du rapport. Que le sadisme exige la cruauté et l’effraction violente des frontières du corps et de l’esprit, soit. Mais le masochisme n’a que faire de l’impossible plaisir dans la douleur qui obséda les psychiatres de la fin du XIX ème siècle, chimère conceptuelle à laquelle Freud se laissa prendre lorsqu’il en fit l’orientation passive d’une pulsion de cruauté et d’agression sexuelle dont la forme active serait le sadisme. Pourtant, n’y a-t-il pas des cas de masochisme, extrêmes mais révélateurs, qui nous propulsent dans la recherche de la douleur pour elle-même ? Ainsi des femmes et des hommes soumis exigent de leurs Maîtresses ou Maîtres d'avoir le corps entier portant des traces de torture. Ici, l’extrême des actes ne doit pas fasciner le regard. En découle toute la symbolique des traces corporelles, des scarifications, ou plus encore du sang. Dans les relations BDSM, la recherche de la douleur fait partie des moyens utilisés pour mettre en œuvre le lien de domination/soumission. Les pratiques de contrainte (attaches, bondage, carcans), l’usage de la souffrance, l’effraction du corps (plugs vaginaux et anaux, dont certains aux dimensions étonnantes), les aiguilles, les suspensions par crochets "hameçons" passant au travers de la peau et reliés à des cordes tendues, même extrêmes, ne sont pas cruelles. Elles ont pour fonction d’être les signes et les effets de ce pouvoir sur soi au travers de ce lien. Chaque marque corporelle possède un sens symbolique défini dans un contexte culturel précis. Dans beaucoup de propos de pierceurs et sur un certain nombre de leurs sites Internet, on peut lire que le piercing de la langue était déjà pratiqué par les mayas ou les aztèques. S’il est vrai que chez ces peuples existait un rituel au cours duquel était pratiqué un percement de la langue mais aussi du nez, de l’oreille et parfois de la verge, l’étude de ce rite démontre que l’objectif réel affiché consistait en une offrande de sang aux dieux, que la personne concernée était une personne de haut rang. Cette obligation sacrificielle à laquelle devaient se soumettre certains personnages importants ne peut pas et ne doit pas être comparée au piercing de la langue, résultant de la volonté de disposer de manière plus ou moins durable d’un bijou à vocation érotique ou sexuelle. Les contextes sont différents, les objectifs également. Comme lors d’un stade rituel de l’initiation, dans certaines ethnies étrangères, une épreuve plus douloureuse consiste en des incisions profondes sur toute la surface du dos, non pas avec un couteau de bambou bien affilé mais avec une pierre dont le tranchant est volontairement grossier afin, non de couper mais réellement de déchirer les chairs. Ces exemples montrent que le fait de supporter la douleur et surtout de montrer aux autres qu’on peut la supporter entre dans le processus de construction identitaire et que plus la douleur est forte, plus l'initié s’approche du stade d’homme vrai, accompli, reconnu comme tel par l’ensemble de la communauté. S’il y a expression de la douleur, elle devient inaudible au sein de ces manifestations rituelles, bruyantes de joie, comme si elle n’existait pas. Elle est totalement niée, on ne veut pas l’entendre. Si, après l’initiation et ces épreuves douloureuses, la douleur n’est plus qu’un mauvais souvenir, il en reste des traces sur le corps, traces imprimées par la société. Un des buts de l’initiation est de marquer le corps qui devient un support de mémoire rappelant que l’initié est désormais un membre à part entière d’une communauté, qu’il possède de nouveaux droits en contrepartie de nouvelles règles qu’il doit suivre. Il en va ainsi dans l'univers BDSM, à la différence qu'il ne s'agit plus de rites tribaux mais de pratiques SM recherchées et consenties. Dans les sociétés pré-modernes, la douleur subie fait partie intégrante d’un processus de construction identitaire, processus voulu et reconnu par l’ensemble du groupe, ce qui donne à la douleur imposée une valence positive, car c’est à travers elle que l’individu évolue, progresse et accomplit son destin. La blessure est alors signifiante et contient une valeur fondamentale, indépendamment d’un éventuel graphisme qui pourrait être interprété. Certaines scarifications ou tatouages sont des signes de reconnaissance identitaire d’appartenance à un groupe mais, outre cette carte d'identité, le fait même de vivre le processus de marquage est signifiant. Les transformations du corps ont un sens qui va au-delà de leur visibilité. À l’opposé de la violence, le dispositif masochiste cherche au contraire à assurer que le rapport des corps soit une relation intersubjective, protégée et idéalement garantie par un contrat. Équilibre complexe, en raison des pratiques BDSM elles-mêmes, un dérapage reste toujours possible. D’où l’exigence martelée de la confiance entre partenaires qui pallie l’absence d’institution et joue le rôle de garantie affective du respect du contrat. Dans notre société, la lutte contre toute douleur, même mineure, est devenue une obligation. La personne qui a mal va, dans un premier temps, lutter contre cette douleur par les antalgiques, puis, si elle persiste, va entamer une démarche de parcours de soin. La douleur est vécue comme quelque chose de négatif par essence, liée à un mal qu’il faut combattre. Son statut est bien différent de celui des sociétés traditionnelles. Elle n’apporte rien de bon et ne permet pas d’évoluer, au contraire. Dans l'univers du BDSM, c'est le contraire, la douleur offre la possibilité d’une extase dans un monde mystique. Symboliquement, le sang possède un statut ambigu, il peut être bon ou mauvais selon les cas. Bon, il est alors porteur de force, il permet de fertiliser, de faire croître, et de guérir, mais mauvais, il apporte la malédiction, la maladie et la mort. Le sang qui coule est en lien direct avec le danger et la mort et doit donc être sous contrôle, comme lors des sacrifices comportant des mises à mort d’hommes ou d’animaux lors d’offrandes de sang. Cela s’applique aussi au sang menstruel. L’écoulement sanguin possède une valeur symbolique fondamentale, puisqu’il contribue à structurer la différence des sexes à travers la stricte séparation entre l’écoulement volontaire qui se produit lors des activités cynégétiques, guerrières ou rituelles et l’écoulement involontaire des règles. Le style de vie BDSM est rempli de traditions et de cérémonies dont le monde extérieur est rarement témoin. L'une des plus significative est sans doute le rituel de liaison ou "cérémonie des roses". La soumise tient une rose blanche, pas tout à fait en pleine floraison, le Maître, une rose rouge symbolique qui est ouverte presque entièrement. Tandis qu'il l'attache solidement, le Maître lui fait la déclaration qu'il la protégera et la guidera pour toute l'éternité. Avec des épines de la tige de sa rose rouge, il pique le majeur de la jeune initiée soumise laissant deux gouttes de sang tomber sur les pétales blancs de sa rose à elle. Elle lui offre alors les épines de sa rose et elle lui pique son propre doigt. Il laisse tomber alors deux gouttes de son propre sang sur la rose blanche. Une goutte tombe sur un pétale et l'autre sur son sang à elle. La piqûre du doigt de la docile est symbolique de virginité. La femme se donne complètement à son Maître. Ils sont maintenant tout deux de la même chair et du même sang. Lors de flagellations pratiquées dans certaines séances BDSM ou lors de cérémonies d'initiations, les traces corporelles symbolisent la souffrance de l'apprentissage, ou d'une épreuve. Certaines soumises ou certains soumis sont alors fiers de conserver et d'exhiber leurs traces corporelles. Il en va de même lors de la pose d'aiguilles sur le corps. Le sang qui coule du corps est en lien direct avec le danger et la mort et doit donc être sous contôle. Il est symboliquement associé à la construction de la virilité masochiste à travers des activités typiquement SM, un moyen actif de transformer des personnes soumises en personnes masochistes. Les blessures, les traces, et les cicatrices sont les emblèmes du courage et de la dévotion. Les marques corporelles volontaires avec écoulement sanguin comme le tatouage ont été, elles, considérées très négativement depuis la seconde moitié du XIX ème siècle. La vision portée sur le tatouage a heureusement évolué pour devenir plus positive, sans doute grâce à deux facteurs successifs, l’amélioration et l’évolution du graphisme, puis l’engouement féminin pour cette ornementation cutanée. Peu d’activités font appel à autant d’éléments porteurs de symbolisme que le feu, le métal et le sang. Dans certaines tribus africaines, le forgeron est considéré comme un magicien et les opérations de fonte du fer sont chargées symboliquement et impliquent des prescriptions dans la sphère sexuelle. Il peut s’agir d’abstinence ou d’interdits concernant les femmes. Le marquage volontaire appelé branding, la scarification, ainsi que les aiguilles, dans l'univers BDSM sont des pratiques jugées extrêmes. Il convient donc de ne pas les pratiquer sans expérience et sans avoir parlé au préalable des limites à ne pas dépasser. Il en va de même pour la pose de piercing génital féminin ou masculin car les risques infectieux sont bien connus. La douleur fait partie de l'expérience du piercing et en est parfois le but principal pour pouvoir atteindre un état de conscience élevé. L'attitude ne concerne pas uniquement les couples sado-masochistes, mais aussi ceux qui considèrent le piercing comme un rite de passage ou un événement initiatique. Parfois, des anneaux perçant les lèvres ou d'autres types de bijoux spécialement conçus à cette intention, peuvent être portés pour interdire provisoirement l'acte sexuel, et donc tout plaisir sexuel, ce qui correspond à une forme d'infibulation non chirurgicale à court ou à long terme. Le branding ainsi que les scarifications sont synonymes de déviance sexuelle aux États-Unis. En France, le "baiser de feu" est en général, pratiqué marginalement dans des cercles très fermés. L’usage direct ou indirect du feu, du métal qui coupe ou transperce, la douleur présente et nécessaire ainsi que les risques médicaux sont autant d’éléments à forte charge symbolique. Ces composantes sont cependant aussi présentes dans les pratiques plus soft, plus courantes telles que le tatouage ou le piercing, de plus en plus prisés par les femmes, hors même de toute relation BDSM. Le corps intervient dans toutes les sociétés comme support de rites et comme symbole privilégié particulièrement dans l'univers SM. Les percements réalisés sur le corps sont localisés à proximité des orifices réels ou allégoriques de celui-ci et on peut considérer que les plaies occasionnées par la flagellation et les scarifications créent de nouveaux orifices et peuvent être vues comme des seuils, lieux d'écoulement du sang, substance corporelle, source de vie. Il est logique que les orifices corporels symbolisent les points les plus vulnérables. La matière issue de ces orifices est de toute évidence emblématique. Sang, Crachats, urine, excréments, dépassent les limites du corps, du fait même de leur sécrétion. Dans notre société contemporaine, la fonction d'dentification est délicate à mettre en évidence et les tatouages et piercings actuels à proximité des orifices corporels ont plus à voir avec la sexualité et l’érotisme. Le tatouage et le piercing, pour les non-impliqués, ont acquis peu à peu, avec leur expansion, le statut de bijou en vogue, mettant en avant une recherche esthétique. Mais la différence par rapport au bijou classique réside dans le fait que la pose de piercing intime nécessite de pénétrer la peau, créant de nouveaux points de contact entre l'intérieur et l'extérieur du corps. Pour les adeptes, c’est souvent le processus même de la trace corporelle qui est important, beaucoup relatent le plaisir de la décharge d’adrénaline lors de l’acte et la prise de conscience de leur corps. Le lien entre les notions d’excès, de prestige et même de pouvoir est bien connu des sexologues. Plus généralement, Il est intéressant de relever parfois à un certain degré, un parallèle anthropologique entre les rites de certaines cultures africaines et les pratiques du monde BDSM. Ainsi, chez les Mossi du Burkina Faso, les scarifications du ventre des femmes se situent chronologiquement entre deux autres événements, l’excision et l’accouchement dans lesquels le rapport à la douleur est totalement différent. Il en est de même pour les femmes dans de nombreuses ethnies, comme celles qui pratiquent l'ablation partielle ou totale du clitoris sur des jeunes filles presque pubères. De même, il n’est pas rare actuellement que des jeunes filles du Sénégal décident à l’insu de leurs parents de subir une opération particulièrement douloureuse, le tatouage des lèvres. Si, après l’initiation et ces épreuves douloureuses, la douleur n’est plus qu’un mauvais souvenir, il en reste des traces sur le corps, traces imprimées par la société, où le corps devient un support de mémoire rappelant que l’initiée est désormais un membre à part entière d’une nouvelle communauté, qu’elle possède de nouveaux droits en contrepartie de nouvelles règles qu’elle doit suivre. La comparaison entre ces rites ethniques africains et nos usages s'arrête là car la grande majorité des états condamnent ces pratiques. Dans les sociétés où elles sont exécutées, les mutilations sexuelles féminines (MSF) sont le reflet d’une inégalité entre les sexes et traduisent le contrôle exercé par la société sur les femmes. Leur maintien est sous-tendu par un ensemble de croyances culturelles, religieuses et sociales. En France, dans un cadre juridique étoffé, le code pénal est explicite. L'article 222-9 précise que les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d'emprisonnement et de cent cinquante mille euros d'amende. Malheureusement près de soixante mille femmes excisées vivent actuellement en France, principalement originaires du Mali, du Sénégal, du Burkina Faso, ou de la Guinée. La recherche de la performance permet avec radicalité aux adeptes du BDSM, de poser sans entrave le rapport qu’ils établissent avec leur propre corps en le dissociant d’une histoire de la représentation qui les assujetissent au rôle d’objet. Il s’agit en fait d’un double mouvement de déconstruction et de réappropriation de leurs corps qui passe, non pas par une utopie, mais par une érotisation et un réinvestissement des contraintes. C'est la volonté de s’inscrire dans un cadre culturel et symbolique pour en subvertir les termes. En ce sens, la répétition du corps voulu par le phantasme du masculin est ainsi plus une présentation qu’une répétition ou une reproduction iconographique d’un modèle d’oppression. Ce n’est pas une copie mais une reformalisation. C’est à ce niveau que ces performances peuvent être qualifiées de sadomasochistes. La douleur et les traces corporelles ne sont plus le résultat d’une position subie redondante avec sa position symbolique. L’expérience masochiste signifie cette déstabilisation du moi. La souffrance, le bondage, les yeux bandés et l’humiliation affranchissent le soumis de l’initiative et du choix, et lui permettent de se retirer momentanément de son identité pour se réfugier dans le corps et créer une nouvelle identité fantasmatique souvent diamétralement opposée au moi qu’il présente au monde. Dans une relation BDSM, cela ne signifie cependant pas une perte totale et sans retour, autodestructrice. Le surgissement orgasmique s’inscrit en réalité au cœur de l’ordre et des cadres symboliques qu’il ne s’agit pas de quitter de manière psychotique en provoquant une destruction du corps mais de le mettre en mal. Il s’agit toujours malgré tout de théâtre et ce qui s’y donne ne saurait être confondu avec la réalité. Le corps performé ne saurait être mis en danger. Il s'agit d'éviter à tout prix le lieu commun qui consiste à dire qu'un novice impliqué dans les conduites à risque ou des atteintes corporelles répétées qu'il vit une forme de rite de passage ou à l'inverse que son comportement est seulement provoqué par leur absence dans nos sociétés. Le corps est le lieu rayonnant où est questionné le monde. L'intention n'est plus l'affirmation du beau mais la provocation de la chair, source de jubilation sensorielle, parade narquoise à la réalité. Bibliographie et références: - Theodor Adorno, "La psychanalyse révisée" - J. de Berg, Catherine Robbe-Grillet, "Cérémonies de femmes" - A. Binet, "Le fétichisme dans l’amour" - R. von Krafft-Ebing, "Psychopathia Sexualis" - S. Freud, "Trois essais sur la théorie sexuelle" - M. de M’Uzan, "Un cas de masochisme pervers" - G. Deleuze, "Présentation de Sacher-Masoch. Le froid et le cruel" - J. Streff, "Les extravagances du désir" - Cesare Lombroso, "L’Homme criminel" - Lucien Sfez, "L’utopie de la santé parfaite" - Éric-Emmanuel Schmitt, "Le Visiteur" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 25/07/18
"Lèves toi je veux te sucer". je me levais et elle se mit à genou devant moi, avalant ma bite et commençant une pipe tout en passant ses mains sur mes fesses, ce qui m'excitait encore plus. elle me suçait tout en douceur. Ses caresses se rapprochaient de mon anus et je la soupçonnais de vouloir y glisser quelques doigts. Elle joua ainsi un peu et bien sur je sentis qu'elle commençait à tourner ses doigts tout autour de mon cul. Elle profitait du moment où ma bite était entièrement dans sa bouche pour passer ses doigts sur mon petit trou. Je les sentais appuyer doucement, n'osant pas encore se glisser en moi. Ses caresses se faisaient plus pressentes, elle avait ralenti sa pipe pour observer mes réactions. C'est moi qui capitula en disant dans un souffle, " Mets tes doigts dans mon cul". Elle sortit ma bite de sa bouche et me regarda "Redis-moi ça petite salope! " " j'ai envie de tes doigts dans mon cul". Elle savait qu'elle avait gagné et son sourire moqueur près de ma bite le montrait bien. "Tournes toi et mets toi à genoux, tu mouilles pas du cul, je vais devoir te lubrifier avec ma langue." Bien que trouvant très humiliant de me placer ainsi devant elle, je me positionnais, bras croisés , serrant même un peu les fesses, honteux de lui montrer mon cul. Elle colla son bassin contre mes fesses et je sentis ses seins dans mon dos, chose qui m'excitait.. "Écartes tes fesses avec tes mains, je veux voir ton trou du cul bien exposé, petite salope". J'hésitais encore à le faire mais je plaçais mes mains sur mes fesses. "Tu a l'air d'aimer ça. Allez écartes tes fesses que je te bouffe le cul avant d'y fourrer mes doigts." Aussi gêné qu'excité, la queue bien dure, j'écartais lentement mes fesses, courbant le dos pour mieux les montrer. "C'est bien petite salope, je vais m'occuper de toi". je sentis quelques instants plus tard sa bouche se poser entre mes fesses et sa langue commencer à parcourir mon sillon anal. N'ayant connu qu'une fois ce plaisir, je dois dire que ma honte fit rapidement place à un plaisir incroyable. La sensation de cette langue tournant sur mon trou et s'y glissant de temps en temps était électrisante. Elle s'occupa ainsi de moi pendant un petit moment, enfonçant toujours plus loin sa langue qui fut rejointe par quelques doigts qui pénétrèrent sans mal dans mon cul. Son autre main saisit ma bite et commença un mouvement de va et vient. Elle voulait me faire jouir et ça n'allait pas être long. Elle recula sa tête et glissa 3 doigts dans mes fesses. Elle me baisait littéralement le cul, ses mouvements synchronisés avec ceux de sa main tenant ma queue. Je ne pouvais m'empêcher de gémir maintenant et elle me le fit remarquer "Tu couines comme une trainée avide de sexe...Tu aimes que je te défonce le cul avec mes doigts n'est ce pas". Entre 2 gémissements je ne pu que dire "oui j'aime trop ça que tu m'encules avec tes doigts". Elle accéléra ses mouvements et ne pouvant plus me retenir je laissais le plaisir couler de ma bite dans sa main. Sans retirer ses doigts de mon cul, elle plaqua sa main pleine de sperme sur ma bouche en disant "Lèches ton jus petite salope, je veux que tu avales tout. Et dépêches toi, j'en ai pas finis avec toi..." Dans un instant, je vais me faire enculer par une femme et vivre un fantasme que je rêve d'assouvir depuis longtemps. Je cambre et remue mon cul devant ma Maitresse. Je sens alors le gode forcer l'entrée de mon cul. Elle le pousse doucement entre mes fesses qui s'élargissent un temps pour le laisser rentrer. Mais le gode est très gros, 25cm sur 6.5cm me dira-t'elle plus tard, et mon cul résiste à cette pénétration. J'ai mal, mon visage se crispe. Je dois être un peu maso, car j'aime cette douleur quand je suis pénétré, c'est à ce moment qu'elle pose ses mains sur mes hanches. Ses ongles se plantent sur mes hanches et elle commence à pousser le gode en moi, sans s'arrêter. Je sens l'action du lubrifiant en moi et j'ai l'impression que le gode déchire quand même mon conduit anal. Lorsqu'elle marque un arrêt, j'ai l'impression de devenir une vraie salope. Pourtant je ne sens rien contre mes fesses, donc elle n'a pas tout entré. Elle passe alors ses mains sur mon dos et mes fesses, me caressant doucement. "On fait une petite pause pour que ton cul de salope s'habitue à la taille du gode". La gêne et la douleur du gode se mêlent avec le plaisir et l'excitation que je ressens, et c'est presque inconsciemment que je me met à reculer mes fesses. Elle sent le mouvement et replace ses mains sur mes hanches. "Regarde moi cette petite pute qui en veux plus. Elle replante alors ses ongles et je sens le gode reculer presque entièrement puis replonger encore plus en moi, m'arrachant un râle de douleur/plaisir. Elle me pilonne le cul pendant plusieurs minutes, par des mouvements amples mais peu rapides, faisant toujours un peu plus rentrer le gode. La douleur se mêle a plaisir , sachant manier le gode et ne manquant pas de temps en temps à bien le frotter contre ma prostate. Je me sens vraiment salope et je veux qu'elle me défonce encore plus. Entre deux gémissements je lui réclame "Maitresse, s'il vous plait enculez moi plus fort, je veux sentir tout le gode en moi". Elle n'attendait que ça et accélère ses va et vient, alternant profondeur et vitesse. Je commence à gémir comme une truie, ma bite laisse couler son jus, je perds pied et je réclame d'autres bites "Oh Maitresse c'est trop bon, baisez moi jusqu'au fond", "Maitresse je veux d'autres bites dans mon cul et dans ma bouche", "Maitresse je suis votre putain". Le gode rentre alors entièrement en moi, je sens ses cuisses contre moi. "maintenant je vais te finir petite pute" me dis-t-elle en me relevant vers elle. Et là elle se déchaine, sortant et rentrant presque tout le gode ou me pilonnant les entrailles. Elle me traite de salope, de trainée, de lopette. Chaque coup de gode me fais couiner, puis gémir et enfin râler. Je sens un plaisir inconnu monter en moi, je ferme les yeux et j'arrive à prononcer "je jouis...". Elle me donne l'estocade en me plantant le gode au plus profond de mon cul, lâchant ma tête et me laissant ainsi m'écrouler de plaisir sur le lit, l'entrainant avec moi. Je crois que pendant quelques minutes je suis resté presque inconscient sur le lit. Je ne me souviens pas d'elle retirant le gode ou du fait de me mettre sur le dos.
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