La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 18/08/22
mélodie en sous-sol : Un soir, je reçois un coup de fil d'un voisin me demandant de venir dépanner l'éclairage de sa cave de l'immeuble ! Au garage, je prends donc ma caisse à outils et attend mon voisin. Dans les couloirs et méandres des caves, je suis tranquillement, lorsque tout à coup la minuterie coupe l'éclairage et j'entends une voix inconnu me dire de ne pas bouger qu'il va rallumer! Je pose donc ma caisse au sol et sans m'y attendre, je suis invité par le poignet à entrer dans une cave toujours dans le noir Le tout dans un silence assez inquiétant! Pour avoir déjà un peu pratiqué des relations dominatrices autrefois, je comprends bien vite la pose de bracelets sur mes poignets. Un bras est tiré légèrement écarté vers le haut, puis l'autre: je me retrouve prisonnier mais je ne reconnais pas la voix de mon voisin et de plus il me semble qu'il y a au moins deux personnes ! Je sens une main descendre mon bonnet sur le visage tandis qu'une autre main puissante desserre ma ceinture et enlève mon pantalon, mes chaussures et chaussettes, heureusement il me reste mon tee-shirt! L'éclairage semble être revenu puisque j'entrevoie une raie de lumière à travers mon bonnet de laine! je n'y vois plus rien et ne peut plus bouger les bras, ensuite pose de bracelets aux chevilles et les pieds sont justes écartés de manière à me retrouver sur la pointe des orteils! J'entends un bruit d'échelle et le bruit lourd de fermeture d'une porte ! Désormais à part onduler du nombril, je ne peux plus bouger et assez bizarrement je sens mon sexe durcir sous mon slip! La situation m'excite beaucoup et mes protagonistes ont bien du s'en rendre compte ! Tandis qu'une main caresse mon slip tendu, une autre me titille vigoureusement les seins. Je sens un liquide chaud couler sur mon bonnet et dégouliner sur mon tee-shirt et le reste de mon corps: l'odeur est assez forte et l'urine tiède est bien généreuse ! On est entrain de déchirer mon tee-shirt et d'arracher mon slip! Nu comme un vers offert, je sens poser un lien autour de mes testicules et de mon sexe en érection! Cette fois ci c'est de l'eau tiède qui me rince de l'urine en m'enlève cette odeur assez désagréable et une traction de plus en plus forte sur mon sexe, tandis qu'un petit gode bien lubrifié vient pénétrer délicatement mon anus, sans que je ne puisse m'y opposer! L'au coule lentement, surement et sensuellement sur mon corps prisonnier ! Des mains baladeuses parcourent l'ensemble de mon corps en insistant plus particulièrement sur mes seins, mes fesses et mon sexe en feu! Soudainement, une ou deux mains me fessent sous l'eau toujours ruisselante et cela fait un drôle de bruit ! La cave semble bien chauffée et mes dominateurs pratiquent en silence cette séance totalement inattendue sans être désagréable, bien au contraire au vu de mon excitation sexuelle bien évidente ! Les fessées s'arrêtent et font un transfert sur mes seins qui commencent à être douloureux! J'ai l'impression d'avoir le sexe en feu lorsque je sens un liquide chaud me pénétrer l'arrière train! La question est pour moi de savoir combien de temps je vais pouvoir résister à ce lavement interne avant de devoir me vider violemment ? L'eau dégoulinante semble s'être arrêtée, et de ce fait je ne sais plus trop où j'en suis de cette merveilleuse surprise! Probablement pour détourner mon attention de ce "remplissage forcé" je sens des mains lubrifier généreusement mes seins et je subis bien ensuite une très forte traction de pompes à seins! Les liens autour de mon sexe semble à la limite du supportable lorsque jambes bien écartées je me vide bruyamment de mon lavement interne! Depuis combien de temps suis-je ainsi suspendu, trituré et lavé extérieur et intérieur ! Sous la pression, l'insert de lavement a été éjecté et assez rapidement remis en place ainsi que le ruissèlement qui part de ma tête cagoulé sous mon bonnet! Mes seins deviennent douloureux sous l'effet des pompes, comme si mes "dominateurs" connaissaient mes limites, les pompes sont enlevées, les seins virilement essuyés et pincés trop fortement à mon goût! A nouveau j'éjecte la poire de lavement et cette fois-ci je sens un liquide couler sur mes jambes écartées ! La traction sur mes seins semblent insupportable lorsque en plus je sens un doigt et ou une bouche titiller mon anus! Les mains me semblent de plus en plus baladeuses sur l'ensemble de mon corps toujours ruisselant!, tandis que mon sexe en feu ne demande qu'à jouir! A cause de mon érection, je sens une certaine difficulté à la pose d'une cage de chasteté. Depuis combien de temps a duré dans cette soumission bien imprévue! Le ruissèlement tiède s'est arrêté ! Les pinces des seins sont violemment enlevées et je sens uns sorte de momification à partir de bras qui descend jusqu'au chevilles. C'était en été et la température de la cave était fraiche, mais je commençais à transpirer sous la momification! Mes seins et mon sexe en cage sont dégagés de la momification et je sens alors l'introduction d'un sceptre princier dans mon sexe par le petit orifice de la cage de chasteté et malgré mon opposition, je ne peux m'y refuser : je n'en ai pas la capacité! Il me tarde de pouvoir enfin jouir, mais mon ou mes " dominateurs " semblent ne pas être de mon avis et je commence à sentir mon corps douloureusement prisonnier! Combien de temps suis-je resté ainsi immobilisé, je n'en sais rien, mais il commencer à me tarder de retrouver ma liberté ! J'ai bien envie d'uriner avec beaucoup de difficulté, un petit jet d'urine arrive à passer par le sceptre princier probablement creux. Tandis que je suis libéré de la cage de chasteté avec sa sonde, non sans difficulté, mes seins sont alors triturés à la limite du supportable et ma respiration de vient de plus en plus forte, à ce moment une main "branle" mon sexe qui ne tarde guère à éjecter ma semence! Je soupire de ce soulagement et suis enfin débarrassé de la momification trop serré! La lumière revient dans la cave et je me retrouve bien seul avec ma pauvre caisse à outils. Je prends mes vêtements et cherche la sortie dans ce labyrinthe . Revenu dans mon logement, je prends une douche et vais me coucher en me disant que la prochaine fois, je serais plus attentif à un éventuel dépannage électrique, même si je n'ai aucun regret de cette rencontre bien au contraire! Bonne nuit à mes lecteurs !
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Par : le 18/08/22
Aie ! mes deux seins : Vous pouvez l'écrire aussi autrement " mes deux seins" Mon ancien MAÎTRE m'avait bien prévenu de réserver soigneusement mes seins avant la prochaine rencontre et du coup je les ai laissé se reposer plus de quinze jours, dans l'attente d'une convocation ! C'est vrai que suite à une formidable initiation d'un Dominateur TRES sensuel, je suis devenu TRES sensible et TRES excité par le travail de mes deux seins ! J'apprécie beaucoup l'utilisation ( bien lubrifiée au préalable) des pompes de différents diamètres qui font gonfler outrageusement les seins jusqu'à remplir généreusement l'espace aspiré! J'aime bien aussi l'utilisation de différents modèles de pinces, de la pince à linge, à la pince de bricolage et surtout les pinces à serrage réglable! J'ai découvert, il a pas très longtemps les pinces "japonaises" qui consiste en deux baguettes réglables à serrer de plus en plus les mamelons! Je suis donc venu librement & volontairement au rendez-vous fixé un samedi après-midi, sans trop savoir ce qui cette fois encore aller m'arriver, car ce MAÎTRE a toujours su varier les différentes manières de contrôler mon modeste corps, tout en respectant mes limites! Dans le salon, j'attends donc patiemment debout les bras sur la tête! C'est l'été, je porte un short et en dessous mon string fétiche cuir ainsi qu'un débardeur résille rouge : j'avais déjà bien l'intention d'exciter dés le départ Mon MAÎTRE! J'attends et j'entends des bruits de préparation de cette séance inoubliable : chaines et je vois passer divers instruments qui vont servir à nos plaisirs respectifs et bien partagés ! Je connais ce Dominateur et je sais en toute confiance que je peux tranquillement lui offrir mon modeste corps ! Mon short est desserré et tombe sur mes chevilles, tandis que ses mains titillent mes seins à travers mon débardeur résille rouge. Mes poignets ne sont pas restés bien longtemps libres et juste après m'avoir mis un bandeau bien serré sur les yeux, une corde relie mes mains dans le dos. Je connais et reconnais la compétence de ce MAÎTRE à pratiquer l'art du bondage ou "shibari" qui consiste à immobiliser le plus possible un corps! Je sens petit à petit le cordage enserrer mon corps de plus en plus fort, si bien que je commence à bander sérieusement et la corde vient plaquer mon sexe sur mon ventre : désormais bien difficile de bouger un tant soi peu ( c'était bien sur le but recherché par les deux complices !) Et bien sur ce qui devait arriva, je me doutais bien un peu de la suite, surtout quand j'ai senti un lubrifiant parcourir mes aréoles, c'était le prélude à la pose des pompes à seins! Je ne pouvais voir leur diamètre mais je sentais bien leur effet de succion et d'aspiration de plus en plus forte ! Mes deux seins commençaient à être douloureux et je pense qu'ils avaient bien rempli le vide en triplant au moins de volume! Combien de temps suis-je resté ainsi : debout les seins outrageusement gonflés, je ne saurais le dire, dans ces cas là le temps ne compte plus! Le plaisir de pouvoir offrir tranquillement son corps, se sentir bien attaché et sentir progressivement la douleur monter m'a provoquer une belle érection! En voyant cela sans aucun doute, Mon Dominateur a commencé à me titiller le sexe en rut, lui aussi douloureux de l'excitation provoquée! Silence, puis petit morceau de musique pour couvrir le bruit de mes miaulements du à l'enlèvement des pompes : soulagement mais aussi douleur bien différentes lorsque mes seins reprennent un peu de leur volume normal ! Temps de repos bien agréable, vite suivi d'une aspiration buccale avec un bon tripatouillage de la langue = excitant mais un peu douloureux ! Mon sexe toujours excité tandis que mes deux seins étaient lavés et énergiquement essuyés! Le rèpi ne dura pas très longtemps car j'ai bien vite senti la pose de ces fameuses baguettes chinoises, au début leur serrage était plutôt excitant, mais au fur et à mesure, le pincement de mes mamelons devenait de plus en plus fort, je savais que cela pouvait alors aller jusqu'à l'arrêt de la circulation sanguine ! Ce n'était pas la douleur bien progressive du serrage mais je m'inquiétais de ce qui aller m'arriver ensuite : par expérience je savais que le retour du sang allait provoquer une douleur encore beaucoup plus intense ! Un lien autour des baguettes augmenta encore un peu plus mais bien progressivement l'écrasement de mes deux seins ! La bouche de mon MAÎTRE engloutit mon sexe tandis que ses deux mains manipulaient délicatement et bien douloureusement mes deux seins emprisonnés ! Ce qui devait bien sur arriva une merveilleuse et formidable éjaculation anticipée par Mon MAÎTRE qui avait retiré sa bouche: je jouis sur le tapis du salon! Comme bien attendu, l'enlèvement des baguettes fut longue et douloureuse: j'étais aussi venu pour cela ! Enfin détaché, essuyé, mon MAÎTRE bien reconnaissant m'offre un Whisky coca. Petite discussion sur la séance que j'ai particulièrement apprécié et j'en remercie volontiers mon dominateur ! Je me rhabille et après un au-revoir je quitte la séance ( les seins un peu en compote et agréablement douloureux en souvenir!) La nuit suivante j'ai du dormir sur le dos : mes deux seins endoloris !
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Par : le 16/08/22
O soLE mio Rendez-vous dans un parking sous-terrain d'une grande surface, je venais de recevoir par SMS le numéro de l'emplacement, j'étais juste à l'heure! Dans la voiture de mon dominateur, j'étais vêtu d'un short blanc, d'un tee-shirt et de baskets noires. Je m'assieds sur le siège arrière, a coté je trouve et je me mets les menottes aux poignets ainsi qu'une paire de lunettes, genre lunette de soudeur, carrément aveuglantes. La voiture sort du parkings et me semble parcourir une bonne distance ( probablement 20 bonnes minutes environ ?) d'une route sinueuse pour finir probablement par un chemin, déduction à cause du ralentissement et de secousses ! Une fois arrêté, j'attends toujours assis à l'arrière du véhicule lorsque j'entends ouvrir la portière et suis tiré dehors par les menottes! Au milieu d'une clairière, on m'enlève les menottes puis mes lunettes pour les remplacer par une cagoule cuir très enveloppante, puis vient la pose de bracelets serrés autour de mes poignets et de mes chevilles ! Mon tee-shirt et mon short sont déchirés et je me retrouve nu comme un vers en pleine nature, sans savoir où je suis! Je suis prié de me mettre à genoux dans l'herbe, puis invité à m'allonger sur le dos, tandis qu'une main vigoureuse me pose un cokring! La tension sur les bracelets m'impose une mise en croix et je crois que j'ai commencé à bander ! Le soleil tapait fort et je me suis mis à transpirer, principalement à cause de la cagoule bien serrée, mais aussi avec le cokring! Combien de temps suis resté ainsi nu, écartelé en pleine nature sous le soleil ? Je crois même que j'ai du m'endormir un court instant, inquiet tout de même de la suite que pouvait prendre les événements : bien j'étais venu volontairement et librement ! Un bruit de voiture me surprend et j'entends dire " il est là". Une main parcoure sensuellement tout mon corps de la plante des pieds à la tête en s'attardant bien sur mes seins et plus particulièrement sur mon sexe. La suite au prochain épisode : Vous ne serez pas déçu ! ! !
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Par : le 16/08/22
Incroyable mais vrai : J'arrive tranquillement en voiture devant le portail ouvert : je me gare devant l'entrée du garage : je suis juste à l'heure demandée ! Comme convenu au préalable, je porte une salopette et juste un string cuir dessous. Avec moi, un sac de petit matériel et une tenue de rechange comme demandée! Je monte les escaliers du perron et me met dos à la porte d'entrée avec mon sac à coté. J'entends une musique à l'intérieur! La musique devient plus forte et je comprends que la porte d'entrée est alors ouverte : Mon nouveau MAÎTRE me pose un bandeau sur les yeux, un collier et me menottes les mains dans le dos ! Cela commence vraiment à m'exciter et je suis curieux de la suite des événements! Aveuglé, Mon MAÎTRE me prend par les hanches et me fait parcourir quelques pas, ensuite mes menottes sont remplacées par des bracelets et je sens que mes poignets sont tirés vers le haut ! La musique devient plus forte et j'ai du rester plusieurs minutes dans cette position. Un moment de silence et j'entends à nouveau des pas qui s'approche de moi en légère extension verticale. Je sens la pose de bracelets à mes chevilles qui sont forcées à s'écarter, à la limite d'être sur la pointe des pieds ! Une nouvelle musique et je comprends bien que désormais, je ne pourrais plus bouger ni me refuser aux envies de mon nouveau MAÎTRE ! Il me semble qu'il y a au moins deux personnes autour de moi ? En effet des mains parcourent mon modeste corps ainsi exposé et arrachent mes vêtements, désormais je suis entièrement nu et palpé généreusement un peu partout de manière très sensuelle ! Une insistance toute particulière sur mes seins bien sensibles accompagnés par une longue fessée à mains nues! Mon sexe est en pleine érection, ce qui ne semble guère inquiéter les dominants que j'entends discuter à voix basse ! Ce qui devait arriver arriva et j'ai senti mon corps asperger d'un liquide chaud et dégoulinant généreusement. J'ai vite compris que j'étais préparé pour un rasage intégral de la tête aux pieds. La mousse à raser était appliqué généreusement sur tout mon modeste corps ainsi exposé, pour sentir ensuite le passage du rasoir y compris dans mes parties les plus intimes de mon anatomie! Léger changement de position pour les bras qui n'étaient plus suspendus mais vigoureusement écartelés. Je sentais mon sexe en folie, surtout lorsque le rasoir parcourait mes bourses bien tendues par une ou des mains vigoureuses ! Toujours dans cette position, j'ai senti un jet d'eau froide dans le but de rincer mon corps : résultat immédiat je ne bandais plus ! Je m'inquiétais alors de la possible déception de Mon MAÎTRE ! Mon sexe bien mou, fut vite tripoter et je sentais la pose d'une cage de chasteté bien contraignante, vite suivi de pompes sur mes seins! Mon sexe s'est mis à remplir la cage et mes seins gonfler douloureusement sous la très forte aspiration ! Combien de temps suis-je ainsi resté, mes seins devenant de plus douloureux, tandis qu'une fois encore plusieurs mains me semble-t-il parcouraient vigoureusement mon corps exposé sans défense ! Enfin mes seins sont libérés de l'aspiration et essuyés sans trop d'attention à leurs nouvelle sensibilité ! Hélas, ce repos tant attendu fut vite remplacé par la pose de pinces sur mes deux seins, joyeusement accompagné par une fessée bien bruyante! Probablement de nouvelles pinces car je ne reconnaissais pas cette tension. Les pinces étaient manipulés par un expert qui devait maitriser cette pratique! J'avais demandé et prévenu mon futur MAÎTRE que je ne pratiquais ni la sodomie et encore moins le Fist ! Quelle fut ma surprise tandis qu'une main manipulait la cage de chasteté, un doigt titillait mon anus pour le pénétrer délicatement ! A nouveau une douche cette fois tiède qui coulait lentement de ma tête sur le reste de mon corps! Je ne saurais dire combien de temps je suis resté ainsi exposé en croix, offert aux regards et aux diverses manipulations bien excitantes ! Avec plaisirs, j'ai senti enfin mon sexe libéré de la cage et mes seins reprendre leur liberté! Je ne m'attendais guère à la suite qui fut extraordinaire probablement pour tout le monde de la rencontre ( avec le bandeau serré, je ne pouvais rien voir, mais j'entendais bien ) Une bouche goulue s'empara de mon sexe tandis que des mains tripotaient de plus en plus violemment mes seins ! La douche ou plutôt le filet d'eau s'était arrêté, pas complètement toutefois ! je sentais toujours un ruissellement sur mes jambes L'alternance de repos, de sensualité, de douceur et de vigueur sans équivoque ont fait que j'ai joui bien trop tôt à mon goût : j'aurais bien aimé que la séance dure encore et encore! Libéré de mes entraves, je me suis retrouvé seul dans une pièce et j'ai pu m'habiller pour pouvoir rentrer heureux et épanoui de la séance! La prochaine rencontre, j'essayerai d'être un peu moins excité !
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Par : le 08/08/22
Bonjour, je suis nouveau sur ce site, et ayant vu qu'il est possible d'échanger des textes... voici un conte que j'avais publié dans mon seul roman BDSM "La soumission" (je suis éditeur-artisanal, certes, mais aussi écrivain)... alors voilà : Tout le bien —Denis— ps : la photo me représente... elle date cependant de 1995 (sourire) LA CARESSE DE L’ESPRIT Conte érotico-homosexuel SM C’était l’autre jour, en pleine réflexion pour savoir quel prochain livre j’allais éditer. Un verre de jus de citron à portée de main, ma tétine aux lèvres... Il faut vous dire que j’ai arrêté de fumer depuis près de deux mois, et que pour avoir quelque chose en main ou que je puisse porter à la bouche, j’utilise une ancienne pipe, évidemment vide ; et évidemment je l’appelle “ma tétine”. Bref, dans ce grand moment de réflexion intense, dans un silence total... J’ai senti une main se glisser sous mes fesses. Quand je dis “une main”, c’était une caresse, donc forcément d’une main, mais une sensation de caresse. Ma pensée c’est immédiatement tournée vers... Didier. Mon ancien amour, mon ancien Maître, du temps où j’ai vécu quelques envies. Quinze ans ensemble. Le crabe. La mort. La douleur. L’espoir. La vie. Et là de nouveau, lui. Ce n’était pas la première fois que je sentais sa présence contre moi. À chaque fois c’est un frisson de joie et de plaisir, comme une lumière invisible, un vent qui ne souffle pas, une respiration silencieuse. Il est présent, ici, et pas là, il est en moi, contre moi, à côté de moi, au-dessus de moi. Et là dans mon fauteuil je sens l’un de ses doigts s’infiltrer dans l’interstice de mes fesses. Je me cale au fond du fauteuil pour mieux le sentir. Et soudainement une main contre ma poitrine, des doigts qui prennent mon téton et le tourne, le retourne. Je suis complètement lové. Extase. Il me fait ce que j’ai toujours adoré chez lui avant de me retrouver à genoux entre ses cuisses, sa queue dans la gorge et ses mains prenant mes cheveux pour me forcer, ou me donner l’impression d’être forcé. Mais là, juste cette sensation de doigt qui n’existe pas. Cette sensation d’appartenir et de se laisser porter par la tendre jouissance. Mes tétons, tout durs, sont la proie de quatre mains, de huit mains, de centaines de doigts. Je me laisse totalement faire. Sans m’en apercevoir vraiment, je sais que je dois me mettre à genoux. Délaisser mon fauteuil pour lui en laisser la place. Ma tête reposée sur le bord du fauteuil, et des caresses dans mes cheveux, la sensation d’une cravache glissant sur mes fesses. Comme il y a dix ans. Je n’ai pas besoin de baisser mon pantalon aujourd’hui, comme je le faisais autrefois pour m’offrir à son plaisir. Puisqu’il est partout, devant moi assis et tendre, derrière moi debout et sadique. Je sais que je dois m’offrir, je retrouve cette sensation d’abandon consenti, de don entier et de confiance totale. Je lui appartiens. Je sens la cravache fouetter mon cul. J’écarte les cuisses pour mieux m’offrir... c’est si bon de retrouver ce bonheur. Au même moment une queue pénètre mes lèvres et s’enfonce dans ma gorge, je sens mes cheveux pris par une main forte et puissante. Je me laisse faire. Ce sexe est énorme et me sonde au plus profond. Mais j’adore ça. Je me laisse simplement porter. Mes fesses, la proie de son sadisme et ma gorge la proie de son envie. Je ne sais combien de temps cela a duré, mais un long jet chaud et humide s’est enfoncé en moi. Un frisson de joie m’a pénétré... la lumière invisible s’est éteinte. Je suis resté comme ça durant de longues minutes. À genoux, la tête posée sur le bord du fauteuil, les jambes écartées, les bras ballants, comme une poupée désarticulée. J’avais retrouvé mon homme, mon Maître, mon amour, pour un moment de joie et de partage. J’étais heureux de son passage, que son esprit me visite et qu’il me donne ce que je n’ai plus : Lui. C’est avec un grand sourire satisfait que je me suis remis au travail... et si je publiais “Histoires grotesques et sérieuses” d’Allan-Poe ? FIN
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Par : le 04/07/22
Je sort, je part travailler, je me dirige vers le bus, ma démarche me semble très différente avec le plug J’ai l’impression que c’est visible, que tout le monde peut le voir. Je m’assis dans le bus., surprise, le plug vibre en fonction du déplacement du bus. Au bout d’un moment, je n’en puis plus, je descend du bus…, message: tu aimes? Je répond à Madame que je suis à elle, Je me met à marcher, mais il se met à vibrer, en fonction de mes déplacements…, au bout d’un moment il s’arrête. J’arrive au travail, réunion ce matin. En plein milieu il se met à vibrer à un rythme que je découvre. J’ai peur que l’on entende le bruit qu’il fait, je me déplace pour m’éloigner un peu des autres. Ouf, la réunion se termine. Mon cul m’obsède, et mon sexe est gonflé, je me sent indescent. Je sort du bureau, me dirige vers le restaurant. Un message: tu sait ce que tu vas manger? C’est donc vrais, Madame sait où je me trouve. Une petite vibration ponctue son message. Je mange, et je ressort, message: tu vas au 22, tu entre, et tu attend. J’entre, je passe la porte cochère, et un jeune homme m’y attend: Ouvre ton pantalon! J’hésite, vite, je ne vais pas le répéter, sinon, je le dit à M. J’ouvre mon pantalon, descend le, le le descend, il saisit son portable. Photographie mon entre jambe, sans sous vêtement, avec les bas, me dit de me retourner, vérifie le plug, et s’en va:petite vibration: message. Tu vois, à tout moment, je saurais si tu obéi.
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Par : le 30/06/22
Je suis nu, Madame m’ordonne: va chercher ton portable, interloqué, je le lui tend. Débloque le, ce que je m’en presse de faire…, tête baissée, je voit ce qu’elle fait. Voila, c’est fait, mets toi à 4 pattes, je m’exécute, elle se met derrière moi, écarte mes cuisses, je voit juste l’enveloppe d’un préservatif tomber. Elle me pénètre avec ce que je saurait plus tard, un gros plug, qu’elle bouge, afin qu’il soit bien en moi. Lèves toi! Elle prend son téléphone, et commence à jouer avec. Tout d’un coup, le plug se met à vibrer très fort, puis s’arrête, puis recommence. Je me tortille, surpris… Tu va le garder, tu ne l’enlèvera que quand je te le dirais, et ce sera pour le recharger. Et il faudra le remette en place en suite. J’ai téléchargé une application qui me permet à tout moment de commander ton cul, et en plus, je saurait où tu est à tout moment. Maintenant, habille toi, et je contrôlerais ton obéissance.. Je prends congé respectueusement. Je rentre et je me couche, je m’habitue au plug qui est d’un bon diamètre, et j’oublie qu’il est vibrant. Le lendemain matin, c’est ses vibrations qui me réveille, avec un message: port de bas ce jour sous le pantalon, sans slip, pour aller travailler. Je choisit un pantalon un peu ample, met le PJ et les bas avant que de passer le pantalon. J’ai peur que cela se voit de l’extérieur…, j’ai toujours ressenti aussi que ma démarche est différente quand j’ai un plug en moi.
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Par : le 01/05/22
Nous voici donc seuls dans la chambre d’hôtel, moi assise dans ce fauteuil, Sextoy couché à mes pieds. J’ai besoin de récupérer un peu, et de mettre mes idées au clair pour la suite du programme. Je connais vos consignes, Monsieur, j’espère simplement avoir le temps nécessaire. Après quelques instants, je me relève puis vais chercher dans un sac quelques objets que je pose sur le lit : une cravache, un collier, une laisse et un jouet en plastique pour chien, ainsi qu’un sachet de biscuits. Puis, tout en claquant des doigts et en pointant l’index vers le sol, j’intime « au pied ! ». Sextoy comprend assez rapidement. Il se relève et vient me rejoindre, à quatre pattes. Une caresse sur la tête pour le féliciter. - bien, à partir de maintenant, et jusqu’à ce que les invités de Monsieur soient repartis, tu seras un bon petit chien, et devras te comporter en tant que tel, compris ? - oui Duchesse Vlan, un petit coup de cravache sur les fesses : « a-t-on jamais entendu un chien parler ? » Il baisse la tête, légèrement penaud. « Je sais que tu as des chiennes chez toi, tâche de t’inspirer de leur comportement. Pour commencer, la posture. Lorsque tu es à quatre pattes, en position d’attente, ou que tu marches, tu dois être cambré, ton petit cul bien offert à qui voudra. Allez, avance un peu, que je te voie ». La posture n’étant pas habituelle, il a du mal à la conserver longtemps… du moins au début. Chaque erreur est sanctionnée d’un coup de cravache. Les coups, fréquents les premiers temps, se sont espacés jusqu’à disparaître. Il faut dire qu’ils étaient de plus en plus appuyés… En même temps, je l’appelais régulièrement « au pied ! », avec claquement de doigts et index pointé vers le bas, jusqu’à ne plus prononcer et un mot et qu’il obéisse au claquement de doigts. Cette première phase terminée, je suis allée m’asseoir sur le lit pour commencer la seconde. Après lui avoir retiré la laisse : « assis ! », le tout accompagné d’un claquement de doigt suivi du poing fermé ; puis « couché ! », claquement de doigt et main à plat. Chaque séquence correctement exécutée est suivie soit d’une caresse sur la tête, soit récompensée d’un biscuit, que je lui fais manger dans le creux de la main. Ces exercices sont répétés plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il les ait acquis uniquement par le claquement des doigts et le geste, comme pour la première phase. Comme il fait chaud, je bois un peu d’eau, avant de lui en verser dans une gamelle prévue dans le sac à cet effet. Il n’a pas encore l’habitude de laper, mais, la soif aidant, il s’y met rapidement. Comme il a été bien attentif à ses leçons, il a le droit de jouer un peu. Je vais donc prendre le jouet et le lui lance. Premier réflexe de sa part, tendre la main pour l’attraper… mauvaise option. Un coup de cravache sur la main pour le ramener à la réalité. Il comprend vite, mon petit chien. Il va donc s’amuser avec son jouet, me l’apportant de temps en temps pour que je le lui lance. Pendant ce temps, je me repose un peu dans le fauteuil, car je me doute que je n’en n’aurais plus l’occasion avant un bon moment. J’allais oublier une dernière chose… Claquement de doigts et index pointé vers le sol, il accourt aussitôt. - c’est bien… Tu as bien appris toutes tes leçons ; il manque cependant un petit quelque chose… Il te manque un élément pour pouvoir montrer que tu es content, puisque tu n’as pas droit à la parole… Et tu vas pouvoir le faire comme un bon petit chien, avec ta queue. Je vais donc te retirer ta cage, on va voir si tu aimes ça, d’être un bon toutou. Et, tout en parlant, je lui retirai sa cage en plastique, pour me rendre compte très rapidement qu’il était heureux de sa condition. Il était temps. Un sms venait d’arriver sur mon portable, par lequel vous m’annonciez que vous seriez là avec vos invités dans quelques instants. Je me dépêche de faire place nette sur le lit et de mettre un peu d’ordre dans la chambre. Il nous fallait nous mettre en position. Je me plaçais face au mur libre, jambes écartées. Puis, après avoir ordonné à Sextoy de se tenir tranquille à mes pieds, lui aussi face à ce mur, je croisais les mains dans le dos, bien droite, poitrine en avant, mais regard baissé. Bruits de voix dans le couloir. Je vous sais proche, Monsieur, mon cœur bat un peu plus vite. Après quelques instants, les deux panneaux coulissant qui formaient le mur s’ouvrent sur une suite, dont nous n’avions occupé jusque là qu’une petite partie. C’est une surprise pour Sextoy, mais non pour moi. Il y a un coin salon, avec un canapé convertible, en mode lit, un petit coin cuisine, une grande salle de bain et, plus loin, le coin chambre, pour l’instant isolé du reste grâce à des panneaux coulissants Vous êtes accompagné de trois personnes. Une grande femme blonde, aux formes légèrement pulpeuses, qui porte un corset noir et une longue jupe aérienne en voile noir, chaussée d’escarpins ouverts noir vernis dont les talons sont rouges. Vous me la présentez comme étant Lady Venus. A ses côtés, regard baissé comme le mien, Bijou, sa soumise, petite brunette qui me semble assez jeune ; elle est vêtue d’une courte robe moulante en latex blanc, chaussée d’escarpins noirs. La troisième personne est un homme, très grand, bien proportionné, cheveux noirs coiffés en brosse. Maître Sévère. Il porte son nom sur son visage mais, curieusement, je n’en n’ai pas peur. Puis vous nous présentez : Duchesse, et notre chien Sextoy…. J’espère que ce dernier va réagir, et aller saluer son Maître. Mais je le sens un peu interdit. Comme je baisse la tête, je le vois qui me regarde, m’adressant un regard interrogatif. Je lui fais signe discrètement de bouger un peu. Mais, ce qui le motive le plus, est de vous entendre dire à vos amis, d’un ton légèrement menaçant : « nous allons voir si Duchesse a bien dressé ce chien ». S’il ne réagit pas, c’est moi qui serais punie. Mais il m’évite cela, en rejoindre vous rejoindre et lécher la main que vous lui tendez. Une caresse sur la tête est sa récompense. - « brave chien. Va saluer mes invités, maintenant » Je ne lui ai pas donné de consignes à ce sujet, et ne sais pas comment il va réagir. Il se dirige vers chacun d’eux… et leur lèche les chaussures. Je suis rassurée… Puis un claquement de doigts se fait entendre. Aussitôt il regarde vers moi, pour voir de quel ordre il s’agit, mais j’ai toujours les mains croisées dans le dos. Nouveau claquement de doigts. Il tourne alors la tête et s’aperçoit que c’est vous qui l’appelez ainsi, à venir à vos pieds. Il s’exécute aussitôt, ce qui me fait obtenir vos félicitations. J’en suis heureuse. Après cette brève démonstration, vous invitez Lady Venus et Maître Sévère à s’asseoir autour d’une petite table basse. C’est le signal pour que j’aille servir des rafraîchissements, bienvenus par cette chaude journée. Tandis que je me dirige vers le coin cuisine, Bijou, pour obéir à sa Maîtresse, retire sa robe et s’agenouille à sa droite. J’apporte un plateau avec boissons et verres. Du thé glacé pour Lady Venus, un pastis bien frais pour vous et Maître Sévère. Bijou et moi prendrons un verre d’eau. Pendant ce temps, Sextoy, qui commence à prendre son rôle au sérieux, est allé chercher son jouet et commence à tourner autour de la table, le déposant au pied des uns ou des autres pour qu’on le lui lance. Amusant au début, ce petit jeu finit par vous lasser. Claquement de doigts et main à plat, Sextoy vient se coucher derrière votre siège, tandis que je m’agenouille à votre droite après avoir fait le service. Vous discutez entre Maîtres, nous attendons sagement. Sextoy, qui a soif lui aussi après avoir joué, finit par se lever pour aller boire à sa gamelle, dans la petite chambre, puis revient se coucher à côté de moi, la tête sur mes genoux. Je le caresse, il l’a bien mérité. Puis vous m’informez que Bijou n’a jamais connu de contact masculin ; c’est pourquoi Lady Venus vous a demandé de l’initier. Je connais votre douceur et ne me fais pas de soucis pour Bijou, je sais qu’avec vous elle est entre de bonnes mains. Mais, continuez-vous, elle aura peut-être besoin de moi pour la rassurer. Je hoche la tête. « Oui Monsieur ». Je redresse la tête pour adresser à Bijou un sourire rassurant, et je sens alors qu’elle va en avoir besoin, elle a l’air terrorisée. Vous vous levez et donnez ainsi le signal pour commencer les « festivités ». Tandis que Maître Sévère se dirige vers la chambre, Lady Venus va s’asseoir dans un fauteuil à côté du canapé-lit et demande à Bijou de rester debout face à celui-ci, tandis que vous vous déshabillez. C’est toujours un plaisir de vous voir nu, Monsieur, j’aime votre corps, que vous êtes beau…. Je reste en retrait, jambes écartées, mains dans le dos. Vous vous asseyez sur le lit et attirez doucement Bijou à vous. Vous commencez par prendre ses seins dans vos mains, à les caresser, avant de les prendre en bouche. Je la regarde, avec envie. Je ressens presque la sensation de votre bouche sur ma poitrine tandis que vous vous occupez d’elle. Puis vous vous relevez et vous écartez du canapé-lit, avant de la faire s’agenouiller devant vous. Vous invitez Bijou à regarder, puis toucher votre sexe déjà en érection. Elle vous regarde, mais n’ose pas vous toucher. Vous vous tournez alors vers moi et, sur un signe de vous, je vais m’agenouiller à côté d’elle. Je lui prends alors la main et, délicatement, la pose sur vous. Nos deux mains, devenues siamoises, vous caressent le sexe, doucement, lentement. Sa Maîtresse l’encourage de la voix, lui caressant parfois la tête, le visage. Lorsque je la sens un peu plus assurée, je la lâche, l’invitant d’un sourire à avancer seule à votre découverte. Elle regarde, compare les différentes textures du gland, de la verge, et ose même descendre jusqu’à vos testicules. Vient le moment où vous l’invitez à vous goûter. Léger mouvement de recul ; de nouveau je viens à son aide. D’abord je l’embrasse, doucement puis plus intensément. Ses lèvres sont douces. Tout en l’embrassant, j’attire sa tête vers votre sexe, jusqu’à ce que nos lèvres se posent sur votre gland. C’est alors une bouche à quatre lèvres qui vous prend le sexe. C’est ce moment que choisit Maître Sévère pour faire son apparition à vos côtés. Lui aussi est nu, et son sexe dressé ne demande qu’à être honoré. Je vous regarde, et, sur un signe de confirmation de votre part, je vais m’occuper de Maître Sévère. Je commence par le lécher sur toute sa longueur, faisant ainsi doucement connaissance de ce sexe. Mes lèvres s’emparent ensuite du gland, que j’aime particulièrement téter, aspirer, tandis que d’une main je lui caresse les testicules. Vous en profitez pour inviter doucement Bijou à regarder pour apprendre. Je m’applique : non seulement je dois montrer l’exemple, mais je souhaite également vous faire honneur vis-à-vis de Maître Sévère. Et, de plus, j’ai enfin une queue pour moi seule, même si ce n’est pas la vôtre. Je m’en délecte donc, la suce, l’aspire, la lèche. Tout ceci ne m’empêche pas d’entendre Lady Venus vous demander de lui prêter Sextoy. Etant quelque peu inoccupée, elle demande alors à ce dernier de s’occuper d’elle, en lui faisant subir un face-sitting. Je jette un coup d’œil rapide : Lady Venus assise sur le visage de Sextoy, Bijou qui s’est décidée à franchir le pas pour vous sucer. La scène m’excite au plus haut point, et je passe discrètement une main entre mes cuisses ; je dégouline. Mon geste ne vous a pas échappé, ce qui me rend confuse. Mais vous aimez cela, me savoir ainsi dégoulinante d’excitation, n’est-ce pas, Mon Seigneur ? Je n’ai cependant pas le plaisir d’honorer Maître Sévère jusqu’au bout car, après quelques instants, il m’invite à me relever et m’entraîne à sa suite, vers le grand lit. Avant d’ouvrir les panneaux coulissants, il me met un bandeau sur les yeux. Je frisonne légèrement. D’habitude, lorsque vous me prêtez à un autre dominant, c’est avec les yeux que je communique avec vous pour vous faire savoir si tout va bien ou si j’ai besoin de vous. Mais là je ne vais pas pouvoir. Vous devez le sentir, car vous tentez de me rassurer en me disant que vous restez là, attentif. Je n’ai pas le choix. Le fait de n’être pas bâillonnée est également un gage pour moi, signe que je ne serais pas totalement à la merci des angoisses qui pourraient surgir… Ce que vous ne m’aviez pas dit, c’est que Maître Sévère excelle dans l’art du bondage, et, sachant que j’aime cela, vous avez souhaité m’offrir à ses cordes expertes. C’est pour ne pas que je voie ses cordes, et autres matériels, qu’il a sortis et posés sur le lit, que j’ai les yeux bandés. Il commence par prendre une longue corde noire, pliée en deux, d’une quinzaine de mètres, à laquelle il a déjà fait deux nœuds, avec une petite boucle et une plus grande. Il me passe la plus grande autour du cou, en laissant pendre la petite dans le dos. J’ai ainsi les deux brins de la corde qui pendent devant moi. Nouveau nœud, sous les seins, puis un autre, au niveau du pubis, avant de passer les deux brins entre mes lèvres. Nœud au niveau du périnée, cordes entre les fesses puis deux nœuds dans le dos avant de passer les brins dans la petite boucle et d’y faire un nœud. Chaque brin est ensuite passé sur le devant, entre les nœuds, puis repassé en arrière. Il réalise ainsi ce qu’on appelle un diamant Kikkou. Chaque nouvelle tension par les brins horizontaux sur les brins verticaux fait se tendre de plus en plus ces derniers. Le nœud sur le pubis appuie désormais sur le clitoris, et le suivant sur l’anus, ce qui est très excitant. C’est une version quelque peu améliorée qu’il exécute sur moi : après avoir terminé ses allers-retours horizontaux, il descend sur chaque jambe, y exécutant des motifs du plus bel effet visuel. Il prend ensuite une corde, plus petite et rouge, et entreprend de m’attacher les mains dans le dos, bras le long du corps, avant-bras à l’horizontale, mains relevées à la verticale. Puis, avec de fines cordelettes noires, il entreprend de bien resserrer à la base les cordes qui entourent mes seins, afin de bien faire ressortir ces derniers. Il prend enfin deux fines cordelettes blanches pour entourer serré mes tétons, sous les piercings. Tirant sur les extrémités de ces dernières, il me mena à vous pour que vous puissiez admirer son ouvrage. Marcher ainsi attachée, les yeux bandés, avec des nœuds excitant entre les cuisses, n’est pas la plus aisée des choses… C’est vous qui me retirez mon bandeau, avant de tendre un peu, de votre main, les cordes, pour m’exciter encore plus. Je vous murmure un merci pour ce joli cadeau que vous me faites. Puis Maître Sévère me ramène vers le lit, et prend quelques photos, avant d’attacher une barre d’écartement entre mes chevilles. L’équilibre devient précaire. Quelques coups de badine là sur les cuisses, entre les cordes, sur les fesses, sur les seins biens tendus. Je dois veiller à ne pas tomber, et pour cela ne rien chercher à esquiver, mais ce n’est pas trop dans ma nature. Le temps ensuite pour Maître Sévère de prendre quelques photos, à votre demande, et il faut déjà dénouer tous ces liens pour éviter des blessures qui pourraient être graves. Mais je n’en n’ai pas terminé pour autant, car ma peau conserve la marque de ces cordes. Je secoue un peu mes bras pour les dégourdir, le sang afflue de nouveau un peu partout, cela picote légèrement. Bien qu’étant resté concentré sur son travail, Maître Sévère n’en n’est pas pour autant moins excité que tout à l’heure. J’entreprends donc de le remercier comme il se doit, à genoux devant lui, cette fois jusqu’au bout. Durant tout ce temps, non seulement du fait du bandeau, mais aussi de l’examen de mes propres impressions, je n’ai prêté attention à ce qui pouvait se passer ailleurs. Je n’ai pas vu Sextoy faire jouir Lady Venus après qu’elle a longtemps joué avec son visage. Je n’ai pas vu Bijou se lancer à vous sucer, mais n’osant pas encore aller jusqu’à vous avaler, et vous ne l’avez pas forcée. Mais sa Maîtresse voulait qu’elle goûte tout de même à votre nectar. Je ne vous ai donc pas vu jouir dans la bouche de Sextoy, et lui avez demandé de partager un peu avec Bijou. Je n’ai pas vu non plus Bijou être autorisée à jouir par Lady Venus, de la bouche de Sextoy. Non, de tout cela je n’ai pas eu conscience. C’est Sextoy qui me racontera plus tard ce qui s’est passé tandis que j’étais dans mon monde de cordes... (Texte écrit il y a très longtemps, dans une autre vie.)
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Par : le 21/03/22
Et si vous tentiez le Edging ? Encore un mot anglais à ajouter a votre vocabulaire sexuel. Prenons la définition de Monsieur Wiki : (anglicisme) (sexualité) Technique sexuelle consistant à s’approcher de l’orgasme puis à ralentir pour maintenir cet état de plaisir intense un certain temps avant d’accélérer et de procurer un orgasme plus fort Je pense que cette définition est assez compréhensible non ? Le but est simple, vous excitez votre partenaire jusqu’au point ou l’orgasme se pointe, mais vous stoppez ou ralentissez afin que l’excitation redescende, mais pas trop !Le/la maintenant ainsi dans un état de plaisir pour qu’il/elle en profite. Un état d’excitation extrême. Puis vous ré-attaquez pour qu’au moment de l’orgasme, la sensation de plaisir soit multiplié. Tout un programme, n’est-ce pas ? Le edging peut avoir différents noms : Peaking, surfing, orgasm training ou orgasm denial. Malgré ses nombreuses appellations, la pratique est la même et est valable pour homme et femme. Ne pas confondre avec le Milking dont je parlerai prochainement. En théorie, ça à l’air super, mais ce n’est pas si facile de se retenir quand on est dans cet état de transition entre plaisir et l’envie de se laisser aller. D’autant plus quand on y joue à deux. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeu-pour-couple-le-edging/
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Par : le 16/03/22
(Photo du Net) Je m’asseyais en face d’Elle, après avoir pris l’air en cette fin de repas… Profitant de la douceur du soir, d’un café/clope que j’aime à prendre en ces instants… La journée nous avez été fort agréable, comme d’habitude, quand on se retrouvait. Profitant ainsi, de ces moments volés de notre quotidien qui nous séparait de plusieurs centaines de kilomètres Le soleil avait été présent et nous avions profité de cette belle journée pour nous promener en bord de mer. Elle me regardait de son regard si Bleu et si délicieux tout en me toisant, provocant, assise sur la méridienne qui me faisait face. Elle avait profité de ma pause pour se changer. Et m’avait fait l’honneur envoutant de se vêtir de sa belle robe bleue aux motifs noir qui dessinait si bien ces courbes. J’aimais la voir ainsi parée pour moi, pour Elle aussi bien sûr, mais je savais qu’Elle le faisait, en cet instant, pour mon plaisir de la voir ainsi Femme..Femme. Son quotidien ne lui permettait guère d’être ainsi vêtue et Elle n’avait, jusqu’avant de me connaître, réel intérêt en ce genre de tenue si ce n’est pour des événements plus familiaux qu’autres choses. J’adorais la voir ainsi vêtue de cette robe longue… Cela lui donnait une démarche des plus appréciable…Et j’en profitais souvent pour regarder sa démarche de petit pas qui mettait alors en valeur, toute sa féminité, son séant agréable que marquait ses hanches…. - Arf…ces hanches…que j’aimais les prendre en certaines positions…un délice que de pouvoir les prendre en main pour la guider, la posséder dans des envoûtants va et viens…- J’aimais aussi la voir s’asseoir, prenant délicatement sa robe pour relever cette dernière dans une grâce remarquable. J’aimais aussi pouvoir mirer ces monts si bien mis en valeur par cette étoffe qui étroitement enrobait ces derniers laissant juste apparaître cette fente qui attire et attise le regard… Je la regardais, le sourire contemplatif de cette Belle taquine…au regard si…si… "Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux"..Me dit-elle d’un sourire coquin… Je souris…Penchant cependant légèrement la tête, fronçant les sourcils… Je vis un instant d’hésitation dans son regard… Elle répéta sa phrase… Je souris de plus bel… "Tstssss, peux mieux faire...", dis-je d’un air un peu plus ferme… Je vis à nouveau une certaine hésitation s’emparer d’Elle…puis souris, d’un sourire signifiant qu’Elle avait compris… "Vous pouvez faire de moi, ce que Vous désirez…Je Vous appartiens… " Je me mis à rire… "Bon allez, je Vous l’accorde…Mais…faudra faire mieux la prochaine fois…. " Elle se mit à rire, ayant cette fois compris mon désir en ces mots… "Oui, Maître…" Je fronçais à nouveau les sourcils… "Oui, Mon... Maître…" Nous nous mîmes à rire en cœur…. Je restais un moment encore à la regarder… Les images, dans mon cerveau, fusaient à un rythme effréné... ...La plaquer sur la table, soulever sa robe pour découvrir son séant et l’en faire rougir pour ce petit ‘affront’…- Plaisant...- ...Ou bien, regardant la porte de mon cagibi…Mettre la croix de Saint-André… - Non trop long – ...Ou encore la faire venir à moi, en rampant comme une Délicieuse Chienne… - Non trop…Embêtant avec sa robe…- ...Et bien d’autres images encore… "Ohoh….c’est quoi cette lueur dans Votre regard, Mon Maître ? "… Je lui souris… « Levez-vous ma chère », lui demandais-je en me rapprochant d’Elle… Je lui pris la Main pour l’aider à se relever de la méridienne... En profita pour lui déposer un baiser sur ses lèvres adorable…une fois dressée devant moi Puis, je posais mes mains sur ses épaules dénudées…en la tournant légèrement pour qu’Elle ne puisse me voir quand je reviendrai avec les objets qui m’étaient apparu … "Ne Bougez pas, et surtout ne vous retournez pas…cela ne serait pas du Jeu…hein !! …C’est Qui-qui hein ?... " "C’est Bibi.. " Me rétorqua-elle dans un rire taquin… " Mouaip, on verra qui est vraiment.. Bibi…Tout à l’heure…Ma chère… " Je déposais un doux baiser sur l’une de ses épaules dénudée…Et parti dans la chambre prendre ces objets de ma convoitise…
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Par : le 09/03/22
Seven Days ou Sept jours de supplices ou de plaisir ? Dans ce nouveau jeu ou défi, il va vous falloir être rigoureux et assidu(e). J’avoue qu’il y a toujours une partie SM dans mes jeux. Le principe en est très simple. À la suite d’un défi ou de cartes tirées ou que sais-je ? Le ou la perdante, recevra durant sept jours ? Matin et soir une action à réaliser ou à subir. Notez que c’est deux fois par jour. C’est un supplice ou un plaisir ? Allez donc savoir. Cela peut paraître simple, mais la personne qui devra faire plaisir sera t’elle la plus à plaindre finalement ? Car la personne qui reçoit pourra t’elle recevoir du plaisir tous les jours, deux fois par jour ? Finalement, qui sera le plus perdant ? Dans un premier temps, il va vous falloir définir comment lancer le « Seven Days ». Est-ce un pari entre vous et votre partenaire ? Un défi ? Où encore le faire avec de petites cartes ou morceaux de papier à tirer à l’aveugle dans un petit sac ? Étant donné que j’aime les petits jeux avec des cartes, je vais partir sur cette dernière option. Vous décidez donc de noter sur des bouts de papiers, un acte à réaliser et deux autres bouts de papiers avec vos prénoms ou surnoms ou, comme vous voulez tant que cela définît chacun de vous deux. Là, c’est dans le cas où vous décideriez de vous défier et le résultat sera aléatoire. Sinon, inutile de définir le perdant. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeux-pour-couple-seven-days/
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Par : le 06/03/22
Pour ceux et celles qui n’ont jamais entendu cette expression tirée de l’anglais, le Camel Toe signifie littéralement « Orteil de chameau ». Il est vrai que dit comme cela, on ne voit pas le côté érotique de la chose. Il s’agit d’un mot anglais en argot qui est utilisé pour parler du sexe de la femme quand son vêtement est trop moulant et laisse apparaître la forme de sa vulve. On l’entend souvent dans les magazines people quand une star se fait paparazzier avec une tenue trop moulante. Il suffit de rechercher sur le web pour voir que ce genre d’article est fréquent. Le camel toe est décrié comme un non-respect de la féminité jugé choquant par certain(e)s alors que d’autres y voient une libération de la féminité. Vous l’aurez compris, comme à chaque fois sur le web et ailleurs, les gens ne vocifèrent que sur ce qui ne leur plaît pas et croyant qu’ils ont la parole absolue ! Et si ce genre de soucis qui peut être gênant pour les stars, devenaient une arme de séduction massive pour nos petits jeux érotiques ? Moi, je ne vais pas vous « l’imposer » mais vous le « proposer » comme une alternative érotique à nos petits jeux. Dans un premier temps, il va falloir définir dans quel type de soirée ou événement, Madame pourrait jouer de ses charmes. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-camel-toe/
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Par : le 20/02/22
Je pensais que ça allait me détruire... Après tout, selon ses mots que j’eus repris, je ne pouvais pas faire machine arrière. Pas après être entrée en lien avec lui. Pas après avoir été en couple avec lui. Je pensais que ça allait me détruire... Et pourtant, ce fut comme une grande bouffée d'air frais. Enfin, je réussissais de nouveau à vivre ma vie, à être vraiment présente dans ma vie. À ne plus être constamment hantée par le prochain devoir, la prochaine échéance, le prochain appel, le prochain visio... Tant de moyens de communication, et tant d'incompréhension. J'ai eu mon rôle à jouer dans cela, et je ne m'en cache pas. Mon incapacité à déterminer et à exprimer mes envies, mes besoins, a été source de nombre de nos problèmes. N'étant ainsi pas force de proposition, j'ai suivi son rythme, acquiescé à ses propositions, fais les choses pour lui. Et telle a été ma plus grande erreur, celle de m’être lancée, d'avoir accepté des devoirs, des rituels, dans réellement penser aux implications, sans me demander si ce serait quelque chose qu'il me ferait plaisir d'accomplir pour lui, pour le servir. Nous nous étions pourtant trouvés. Éperdument amoureux, partageant les mêmes intérêts pour le BDSM, et plutôt compatibles de ce regard-ci. Ainsi, jamais je n'aurais pensé qu'après aussi peu de temps... Trois semaines depuis notre rupture. Deux semaines depuis qu'il s'est présenté chez moi sans me prévenir et en se faisant passé pour le facteur. Une semaine depuis que j'ai finalement accepté de décroché alors qu'il avait accepté de nous accorder du temps sans contacts. Ainsi, je n'aurais jamais imaginé que j'allais être soulagée d'être partie, de m'être échappée de cette relation qui n'était pas saine pour moi. Après tout, il m'avait bien dit, après que je l’eus quitté,qu'il espérait que jamais je ne réalise ce que je perdais en le quittant. Lui, l'Homme de ma vie. Comme j'étais la Femme de sa vie, sa licorne. Une femme et une soumise, deux facettes d'une même personne, toutes deux attirées par lui. Enfin, ça c'était avant... Avant qu'il ne fasse un étalage publique de la réalisation de nos rituels, de nos projets, avec une autre. Nous guérissons tous à notre manière, mais dans ces actes, il ne m'a provoqué que déception. Je savais bien que nous n’avions pas du tout le même rapport au monde. Je sais que je suis bien plus spectatrice, tandis qu'il est bien plus acteur, dans beaucoup d'aspects. Ainsi, je ne fus pas surprise par cet étalage publique de notre vie intime. Un récit, comme sur tous les réseaux, romancé, biaisé par la douleur du moment. J'en fus seulement heurtée, indignée... Dans un tel moment, alors que nous venions de nous dire adieu, ne pouvait-il pas faire preuve de respect pour ce que nous avions été, au lieu de faire un post sur Instagram dans le train. Mais comme bien trop souvent, je me suis tue. Je n'ai rien dit et j'ai laissé coulé. Nous avions enfin convenu de ne pas échanger pendant quelques temps, et j'avais accepté de prendre le temps de revenir sur les raisons qui m'avaient poussée à partir puisqu'il ne semblait pas comprendre pourquoi. Je n'épiloguerai pas trop longtemps. Après tout, quel intérêt y a-t-il à lire la débâcle de ma vie. Toujours est-il que je me suis trouvée à un point où, poussée dans mes derniers retranchements, j'avais besoin de faire entendre ma vois. Un démarche sincèrement puérile. J'aurais ailé être au dessus de cela, j'aurais aimé pouvoir simplement regardé ailleurs et ne pas voir toute la cruauté de ses actes, bien qu'il ne semble pas s'en apercevoir. Ainsi s'achève notre histoire. Un adieu peut-être, il y en a déjà eu tant. Ou bien un dernier caprice, celui d'avoir le dernier mot, celui de mettre un point final. Car il est temps pour moi de me détacher de cette emprise que je lui ai donné sur moi. À présent, il est temps que j'apprenne à vivre pour moi.
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Par : le 20/02/22
Je suis debout face à Lui et il me bande les yeux. Je me retrouve dans le noir, apeurée, excitée et mon cerveau allant à mille à l'heure. Il me caresse puis s'éloigne, j'entends du bruit mais ne devine pas de quoi il s'agit. Puis je sens un premier bracelet de cuir à mon poignet, le deuxième... Je l'imagine sourire content de son effet, ma respiration est saccadée, Il m'embrasse et m'apaise d'une caresse. Sa main descend doucement, il me déshabille. Je rougis, de me savoir nue, offerte à son regard, à ses mains, à Lui. Puis sans que je m'en rende vraiment compte, mes mains sont liés dans mon dos... Encore plus offerte, perdue dans l'espace et le temps, suspendue entre deux. Soudain, ses mains disparaissent, un vide me saisit, je le cherche. Il finit par me donner un baiser, réconfortant l'esprit et le corps, me susurrant qu'il sera là, à chaque instant. Si je dois vaciller, il me soutiendra... Mon cerveau imagine, anticipe, enfin essaye mais rien ne vient. Juste son souffle sur ma peau et soudain, le contact de sa main sur ma fesse gauche, puis la droite, il alterne à un rythme dont lui seul est maître, ma respiration s’accélère suit le rythme… Son autre main s’approche dangereusement de mon entrejambe, et trouve immédiatement sa cible… Mon souffle est erratique, mon esprit est submergé, mes sens sont en éveil maximal, mes jambes tremblent et ne me portent plus, il me soutient, me serre d’une main et continue de me masturber de l’autre. Sa langue vient agacer mon lobe d’oreille, mes gémissements deviennent cris … un liquide chaud coule entre mes jambes, je m’excuse mais lui me dit « Surtout pas, c’est génial ! ». Mon cerveau n’a pas le temps d’analyser que mes jambes lâchent et mon esprit est loin déjà … Quand j’émerge enfin, il me félicite pour ma première fontaine… Et moi qui croyait que c’était un mythe…
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Par : le 04/12/21
Suite de l'article suivant : De pervers narcissique à soumis IV Ma reine au plus profond de moi Plusieurs jours après avoir joué avec mon anus ma reine me donna sa carte d'identité. Tu dois récupérer un colis après le travail me dit-elle sans rentrer dans les détails. Elle a pour habitude étant tous les deux au travail en journée de faire livrer ses colis en points relais donc rien d'inhabituel. Une fois ma journée de travail terminé je m'exécute récupère le colis et rentre immédiatement retrouver ma reine. Une fois rentrée, ma reine était plongée sur son ordinateur pour répondre à ses mails, je dépose le colis à l'entrée me rend à ses pieds pour les embrasser tendrement tout en attendant qu'elle m'autorise de disposer à mes tâches domestiques. Quelques minutes plus tard en se redressant sur la chaine elle me demande de lui apporter le colis et de préparer le diner du soir. je m'attelle à la tâche, pendant ce temps ma reine déballa le colis et m'ordonna de venir. Je vis un énorme gode, une vingtaine de centimètres et d'une largeur incroyable mes yeux sont immédiatement remontés vers le visage tout sourire de ma reine. -Il était temps d'inverser les rôles dit-elle Je reste sans voix, il était accompagné d'un harnais qui avait l'air extrêmement solide. Ma reine me tenda cette réplique d'un sex que je n'avais vu que dans des films porno, il était lourd, pas très élastique mais maniable à souhait. Ma reine n'avait qu'une idée en tête le tester, après le diner elle alla s'installer dans le lit il ne fallut que 5 minutes pour l'entendre m'appeler. Je rentre dans la pièce en me faisant tout petit tout était prêt le harnais était solidement attaché à sa taille, le gode pointait comme un sex en erection prêt à transpercer mes orifices. Elle me fit monter sur le lit, allongé sur le ventre, elle s'allonger sur moi et je sentis la lourdeur de son sex posé sur mon derrière. Elle me demanda si j'allais être sage, je ne veux pas avoir à t'attacher et te punir me dit-elle. Je n'avais qu'une seule solution dire oui ma reine remonter mes fesses et lui offrir ma virginité anale. Une fois mon anus enduit de gel je l'ai senti s'enfoncer légèrement tentant de casser ma virginité . J'avais à présent une forte douleur de pincement, par reflexe ma main a bloqué son bassin pour qu'elle ne s'enfonce pas un millimètre de plus. Elle m'attrapa par les cheveux immédiatement pour m'ordonner de laisser mes deux mains dans le dos, elle reprena son mouvement de bassin ses deux mains bloquant mes bras dans le bas de mon dos. J'étais totalement à sa merci, je me faisais baiser de plus en plus fort on entendait ses cuisses claquer contre mes fesses cela a duré une bonne quinzaine de minutes avant que ma reine ne s'effondre sur mon dos. Elle releva légèrement son bassin pour m'embrasser le cou me mordre l'oreille je l'ai senti terriblement excitée, elle s'amusait à me pénétrer totalement d'un coup sec de façon cruelle parfois même restant totalement au plus profond de moi pour remuer de gauche à droite et de bas en haut pour me montrer que les rôles étaient désormais changé. Une fois retiré mon érection était si puissante qu'elle m'en faisait mal, il était hors de question pour ma reine de me voir me vider ce soir. Une fois le harnais retiré je pris place entre ses cuisses laissant apparaitre son sex trempé et bouillant. L'excitation me fit plonger ma bouche sur son sex pour me délecter immédiatement de ma reine, ma seule obsession l'entendre jouir je plongeais ma langue, je l'embrassais, sa main sur ma nuque me maintenait si fort et si fermement que je me sentais emprisonné entre ses cuisses. Après plusieurs orgames ma reine était s'est totalement relâchée je sentais ses caresses sur le haut de ma tête, elle se redressa et me fit comprendre de prendre cette habitude de me donner corps et âme. V Recadrage strict et humiliant En dehors de notre intimité ma reine est discrète sur nos rapports de soumis à maitresse. Que ça soit entre amis en famille en public il lui arrive de me recadrer discrètement, avec une remarque un regard, je comprends assez vite que je dois me remettre à ma place. Un soir d'anniversaire d'un ami en commun, je fis l'erreur de lui répondre sèchement à une remarque désobligeante à mon encontre. Son regard changea immédiatement et tout le long de la soirée, je sentis la correction arriver de loin. En rantrant tout était calme, il était tard nous nous sommes mis au lit et endormi immédiatement mais je savais qu'elle n'allait pas en rester là, elle aime me faire réfléchir à mes erreurs me faire maronner et préparer sa punition sur la durée. Au petit matin comme tous les dimanches je prépare le petit déjeuner pour servire ma reine au lit, mais aujourd'hui elle préféra se mettre à table. Les deux plateaux étaient servis, au moment de nous mettre à table elle me fit un geste de l'index me demandant de venir à elle puis saisi mes poignets et m'attache les mains dans le dos la seule consigne était de me mettre à quatre pattes de ne pas bouger et de me taire. Elle prit son petit déjeuner tout en mignorant, de longues minutes s'écoulent puis elle se leva sans rien dire pour revenir 30 secondes plus tard je ne comprenais pas tout se passa dans mon dos. J'entendis ma reine se saisir de mon assiette et y mettre son contenu en petits morceaux dans un récipient métallique. Elle se leva et saisit mon oreille et me releva fermement, je me retrouve à genoux droit devant elle j'aperçois de suite la badine dans l'autre main tenue fermement. Droit dans les yeux elle m'annonça ma punition qui durera jusqu'au dimanche suivant : -puisque tu m'as parlé comme à un chien, je vais te considérer comme tel. -Retournes-toi et rampe. Je sens la badine s'écraser contre mes fesses à chaque pas, je ne savais pas ou aller la douleur était puissante. Cette ronde était menée au rythme de ses talons qui claquaient sur le carrelage et au son que faisait la badine avant la rencontre avec mes fesses. Il ne me faut pas longtemps pour tomber de coté et supplier ma reine de stopper cette douleur brûlante. La punition n'était pas terminée elle m'ordonna de me redresser et placer mes mains derrière la tête, il était temps pour elle de s'occuper de mes cuisses de mon dos la douleur était à la hauteur de sa colère. Après un énième coup je vis la badine tomber au sol, nul besoin de dire que je devais m'en emparer pour la ranger à sa place comme un bon soumis. Je n'ai que quelques secondes pour ranger cet instrument de torture et reprendre mes esprits, je rentre dans la salle à manger à quatre pattes les yeux baissés pour y retrouver ma divine reine. À peine entré dans la pièce j'entendis "au pied" d'un ton sec, je m'exécute lèche le bout de sa chaussure et la remercie de la correction reçut quelques minutes auparavant. Elle déposa devant moi une gamelle, les restes de son petit déjeuner, je reste bloqué quelques secondes devant ce geste humiliant mais je m'exécute. Je penche ma tête pour prendre ma première bouchée, elle m'annonça comme à son habitude les tâches du jour, je relève la tête la gamelle est vide. Fais le beau dit-elle avec un petit sourire, assis debout va chercher, elle joua avec moi de longues minutes puis me laissa reprendre ma journée de domestique. Après le diner mangé dans les mêmes conditions que le petit déjeuner et le déjeuner, ma reine m'emmena dans le couloir de notre entrée elle m'attacha au radiateur et s'en alla chercher une couverture et un oreiller. Elle installa ma place pour les nuits de la semaine à venir. Avant de repartir à ses occupations elle ria en me disant de bien monter la garde et d'aboyer en cas de danger. Ce fut la première longue journée d'une semaine d'humiliation que j'avais bien cherchée. Merci ma reine.
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Par : le 01/12/21
Les bruits de l'avion me bercent, l'esprit s'évade, en quête d'un plaisir incertain, inavouables, ici et maintenant, jouir en silence... Juste par les fantasmes, les souvenirs... Dans mon siège j'imagine mes doigts, cachés sous mon manteau... Ils s'aventurent ... Mon sexe déjà humide, gonflé... Impatiente de parvenir à mon but... Doucement un doigt s'attarde sur mon bouton qui s'érige... Mon masque cache le pincement de mes lèvres ... Les yeux clos, je me concentre sur mon corps, il se crispe ... Et je ne résiste pas à me pénétrer de 2 doigts, la chaleur humide de mon sexe, ses crispations... Ici je sens mon plaisir monter... Mon corps se crispe... En quête de plaisir, d'évasion...mes cuisses s'ouvrent, ma mains se cale... Ne pas trop bouger... Juste mes doigts caressant, intrusifs... Un pincement et une vague de plaisir... Je suis trempée... Je poursuis... Mon corps se crispe un peu plus, ma respiration s'accélère ... Je sens que j'atteins mon but... Mes cuisses se referment, sur ma main... un contact plus appuyé sur mon sexe gonflé.... les vagues de plaisir de succèdent... Je reviens doucement à moi, j'observe les nuages en dessous...
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Par : le 23/11/21
Bonjour, voici le récit de mon expérience. Il faut savoir qu'il s'agit d'un condensé de plusieurs années de vie dans quelques paragraphes. La première année a été plutôt soft et tout est monté crescendo. Ce premier article résume 2 ans de vie commune avec ma reine. La suite arrivera assez vite, j'espère que cela vous plaira. Bonne lecture. I Rencontre Nous étions dans les mêmes classes tout le lycée, on se connaissait, elle était très discrète on se voyait tous les jours mais nous ne faisions pas partie du même groupe d'amis, elle me plaisait et sans même se parler j'avais l'impression d'être tombé amoureux au premier regard. Elle c'est Anais et moi Florian, nous avons le même âge. Au fil des années j'ai continué mes études de commerce et nous nous sommes perdus de vu sans jamais avoir eu l'occasion de réellement se connaitre. je me rendais régulièrement sur les comptes de ses réseaux sociaux par curiosité. Un beau jour alors âgé de 24 ans j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de lui envoyer un message des plus banals - Salut tu te souviens de moi ? tu deviens quoi? Je n'ai jamais été à l'aise pour aborder une femme. Plusieurs jours sans réponse à regarder si elle avait daigné lire mon message je me suis dit tant-pis en voyant que non. Puis un beau jour je reçois une notification il s'était écoulé plus d'un mois, j'ai à peine eu le temps d'ouvrir mon téléphone que j'ai compris qu'elle avait enfin vu et répondu à mon message. Mon coeur s'est mis à battre très vite, que pense-t-elle de mon message ? Est-ce qu'elle répond uniquement par politesse ? Puis je me suis vite rendu compte qu'elle avait l'air agréablement surprise. S'en est suivi des échanges de messages à n'en plus finir des jours durant. J'avais l'impression de revivre mes flirts d'adolescents, nous n'avions pas pu nous revoir les premières semaines de discussions car nos agendas ne nous le permettaient pas mais c'était un mal pour un bien, il est toujours plus facile de se livrer virtuellement puis ce n'était que partie remise et nous vivions pas très loin l'un de l'autre. Notre première rencontre a eu lieu au marché de Noël de notre ville. Dès que je l'ai aperçue j'étais sous le charme rien n'avait changé si ce n'est qu'elle était devenue une femme, nous avions longuement marché et discuté puis nous avions décidé de diner dans un restaurant non loin du marché. À la fin du diner nous nous sommes quittés, le lendemain elle se réveillait tôt et je ne voulais pas paraître trop entreprenant. À peine installé dans la voiture je reçois un SMS d'Anaïs me remerciant de l'avoir invité à diner et de lui avoir changé les idées. Cela m'a provoqué un déclic il fallait que je lui dise que je lui avoue j'ai donc décidé de lui dire que j'avais eu un coup de foudre pour elle depuis le lycée et que cette soirée m'a permis de me rendre compte que ça n'avait jamais changé. Dans les minutes qui ont suivi je me suis dit mais qu'est-ce que tu as fait pourquoi avoir tout déballé par SMS c'est ringard bref la panique. Une panique qui s'est vite transformée en soulagement puis qu'elle m'a proposé de la revoir cette fois-ci chez moi. Nous nous sommes revu deux jours plus tard pour ne plus jamais nous quitter, le coup de foudre absolu, plus les jours les semaines et les mois passés plus nous étions fou amoureux. II Disputes réconciliations et vie sexuelle Comme dans le cas de beaucoup de couples, nous avions nos défauts, nos désaccords, qui se sont vite transformés en disputes parfois même au bord de la séparation mais notre amour reprenait le dessus toujours, se séparer était hors de question.Mais malgré ça les disputes étaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus fortes et au fil du temps je me suis renfermé et je n'extériorisais plus rien, ni mes sentiments ni mes envies. je l'a faisait culpabiliser de nos disputes,je n'étais jamais la base du problème de nos désaccords et je me rendais pas compte de ce comportement destructeur. J'étais dans une sorte de revanche sur le fait d'avoir du attendre toutes ces années pour que cette femme s'intéresse à moi. Malgré ça elle restait toujours très directive, l'un comme l'autre essayait de prendre le dessus dans nos prises de décisions dans nos discutions etc.. et parallèlement à tout ça, nous avions une vie sexuelle très épanouie. Nous étions ouverts à essayer des choses à pimenter notre couple et très vite la domination a pris le pas dans nos jeux au lit. On aimait se rendre jaloux, parler de nos anciennes relations se provoquer s'attacher mais nous restions toujours soft. Nous avons également envisagé l'échangisme les plans à trois mais nous n'avions jamais franchi le pas. Elle aimait prendre le dessus, elle me faisait plus ou moins comprendre que le rôle de maitresse c'est quelque chose qui lui fait envie, qu'elle a sa en elle. A ce moment la je ne comprenais pas trop ce que cela signifiait, qu'elles sont ses intentions ses envies, ses limites, puis elle s'est mise à m'envoyer des articles sur l'art de la domination le BDSM. J'ai assez vite compris que j'avais fait des erreurs qu'elle voulait me les faire payer et me façonner à sa façon, tout contrôler, décider être le seul centre de ma vie et me rendre parfait à ses yeux. III Premiers ordres premières restrictions premières punitions Les jours qui ont suivi ont été assez soft, je devais l'appeler ma reine, la prévenir de chaque faits et gestes lorsque nous n'étions pas ensemble (travail, rdv etc.) je me voyais assez tranquille sans me soucier de ce qui allait arriver, elle continuait secrètement de se documenter sans cesse sur comment dominer, comment faire de moi l'homme idéal. La suite a été plus restrictive pour moi, elle s'est mise à vouloir gérer entièrement l'administratif, mes rendez-vous, à chaque ligne ajouté à celui-ci je devais passer par ma reine. S'en sont également suivi des restrictions et des ordres plutôt softs facilement gérables individuellement mais l'accumulation me donnait des journées bien remplies. A ce moment la elle a voulu également gérer mon temps libre, les tâches étaient écrites sur un post-it ou une feuille sur le frigo, je devais lui dire combien de temps me prenait chaque étape de cette liste. Au bout de quelques semaines, je gérais la maison, les repas, le ménage, le linge son service, j'étais en assez peu de temps devenu son domestique. Toutes ses premières bribes d'ordre et de restrictions ont également amené les premières punitions. Des mises au coin pouvant durer plusieurs heures, un nettoyage de sol à la brosse à dents, des punitions physiques comme des séries de gifles, de fouet de ceinture etc. Mon dressage prenait forme au fil du temps et j'aimais ça tout autant que ma reine. Nous faisions toujours autant l'amour, cette fois je ne prenais plus le dessus elle aimait m'utiliser comme esclave sexuel elle pouvait m'attacher me mordre me griffer. Un soir elle m'avait attaché les mains et les chevilles choses qu'elle n'avait jamais faite j'ai senti qu'elle préparait quelque chose. Elle m'a d'abord demandé de me mettre sur le ventre j'ai senti des caresses dans le bas de mon dos et ses doigts se sont vite retrouvé entre mes fesses, il n'a pas fallu longtemps pour les sentir s'insérer l'humiliation était à son maximum moi l'ancien macho égoïste me retrouvant pénétré. C'était ma hantise la pénétration anale je ne voyais pas comment cela était possible d'accepter et pire d'aimer ça, elle savait et dans un ton très pervers elle m'a averti que les rôles allaient bientôt être inversé et que je n'étais pas au bout de mes surprises… A suivre très vite.
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Par : le 31/10/21
1- je viens d'une famille catholique croyante. 2- très jeune ma maman au fort caractère avait un malin plaisir à me rabaisser et m'humilier aussi bien devant la famille que des inconnus elle fait une différence entre moi et mon frère, je l'ai très mal vécu j'ai une jeunesse compliqué. 3- quand j'étais enfant j'étais hyperactif agité , je ne pouvais pas tenir en place toujours à faire des bêtises 😂😂. 4- j'étais un enfant timide caché dans l'ombre discret j'observai ce qui se passait autour de moi sans un mot. 5- j'avais également un pépé qui avait un comportement inapproprié dans ces mots dans ces gestes c'était un homme qui me faisait très peur ,alcoolique infidèle et je pense même pédophile, mais je n'ai jamais pu le prouver verbalement. 6- après avoir passé mon CAP/ BEP dans la restauration je me suis engagé à 18 ans dans l'armée de terre où j'ai servi mon pays pendant 11 ans, j'ai également participer au conflit au Kosovo principalement dans l'est lugoslavie pendant un an avec les casques bleus. 7- je n'ai jamais été dans les relations dit vanille pour ma part j'ai toujours eu une forte attirance pour le BDSM et les relations DS , ma première partenaire je l'ai rencontré au sein de l'armée de terre elle était sergent-chef et moi un simple caporal , c'est elle qui m'a fait découvrir ce milieu si particulier et si envoûtant une fois qu'on y rentre ,elle était ma soumise pendant 2 ans nous avons vécu un moment appréciable où je l'ai apprivoisé de jour en jour, c'est elle qui me commandait au travail et pas dans l'intimité sourire ... 8- pour moi les relations DS ont toujours été des moments de partage de complicité de respect pour avancer main dans la main ensemble dans la même direction, j'ai toujours été très respectueux de la gent féminine. 9- je suis un homme plein de qualités drôle attentionné fidèle sincère d'une grande franchise et une grande sincérité je suis également une personne avec qui on peut discuter de tout et de rien ouvert à beaucoup de choses mais également serviable gentil avec un très grand cœur . 10- j'aime la nature, les animaux les balades, mais galement les repas entre amis le bowling le billard ou simplement aller boire un verre dans un bar ou bien au restaurant . 11 - je m'intègre facilement dans les discussions et les dialogues qui peuvent être intéressante sur tout sujet, je reste ouvert au dialogue même si j'ai ce petit côté timide par moment je me livre pas facilement mais une fois que la confiance d'installer les choses sont plus simple et plus fluide. 12- je suis un homme têtu, j'ai également du caractère je dis ce que je pense mais toujours avec raffinement, j'ai un sale caractère que j'assume pleinement mais je sais me remettre en question quand c'est nécessaire et reconnaître mes torts quand je me trompe, mets dame si vous savez me prendreme je serai doux comme un agneau ou alors une tornade 😂😂😂. 13- j'aime l'autodérision la simplicité dès mots avec raffinement et élégance. 14 - par la suite j'ai rencontré ma compagne ma partenaire mon tous dans une relation DS , nous étions ensemble 6 ans, mais malheureusement la vie a fait que je lui ai repris mon collier tout simplement, parce que elle était tombée enceinte et que elle a avorter derrière mon dos et m'a trompé à plusieurs reprises avec d'autres dominants , cela je l'ai appris bien plus tard par la suite j'ai été brisé mon cœur détruit il m'a fallu du temps pour me remettre et passer à autre chose. 15- à 40 ans j'ai perdu ma chienne suite à un accident de voiture là aussi j'ai été meurtri accabler de la perte de ma chienne fana que j'aimais énormément là aussi je m'en suis voulu pendant longtemps aujourd'hui ça va mieux mais je pense toujours beaucoup à elle. 16- j'ai beau être un dominant je reste avant toute chose un homme avec des valeurs qui sont importante à mes yeux je suis connu par ma prestance et mon respect de la gente féminine mais également de ma droiture. 17- je déteste l'injustice le manque de respect qu'on peut apporter à toute personne ,les jugements et la méchanceté gratuite. 18 - je suis très sensible aux mots et aux échanges que je peux avoir avec des personnes sur le site... 19 - les demoiselles et les dames qui sont sur le site reste avant toute chose à mes yeux des personnes avant d'avoir un certain statut ,il est important de bien comprendre que le BDSM n'est pas juste un milieu particulier mais bien des relations humaine avant toute chose, ce n'est pas juste une histoire de fesses c'est bien plus fort que ça ,les liens qui se tissent dans la relation entre un homme et une femme se rejoigne comme deux âmes perdues et qui ne font qu'un dans la relation l'amour le partage est essentiel pour pouvoir avancer main dans la main dans la même direction... 20- j'aime sentir ma partenaire entre mes mains nos regards plongeant dans le désir la complicité et le partage, si vous avez l'occasion de regarder mon profil avec attention vous verrez que j'aime la sensualité l'élégance et le raffinement dans ce type de relation . 23 - le dominant a un rôle primordial pour la sécurité et le bien-être de sa partenaire, avoir la capacité de réaliser avec elle tous ses envies et ses fantasmes les plus fous, qu'elle puisse se sentir en sécurité avec un homme bienveillant qui pourra lui donner l'envie de se livrer entièrement et offrir sa dévotion, parce que il ne faut pas oublier une femme qui offre sa dévotion c'est un cadeau qu'elle nous font et sans elle nous sommes rien il faut pas oublier aussi que c'est la soumise qui choisit son dominant et non le contraire. 24 - la soumise exécute les ordres de son homme pour lui faire plaisir en tout lieu et à n'importe quel moment mais reste libre d'accepter ou refuser, elles ne sont pas comme les esclaves elles ont leur libre arbitre c'est pour ça que le dialogue et l'échange est très important. 25 - le dominant ne doit pas être égoïste il doit apporter beaucoup de choses à sa partenaire et son plaisir et aussi importante que celui de son homme . 26 - on pourrait penser par ce portrait que je ne suis pas un vrai dominant ne vous fiez pas aux apparences ce n'est pas parce que nous sommes bienveillant à l'écoute avec nos soumise que je ne peux pas être ferme et directive une main de fer dans un gant de velours tout simplement.. 27 j'aime sentir le désir et l'envie de pouvoir se livrer entièrement entre mes mains avec un regard malicieux coquin qui nous donneront tous les deux envie d'approfondir les choses... 28 après cette séparation qui a duré 6 ans j'ai fait des rencontres fort sympathique aussi bien des soumises que des switch et même une fois une dominatrice quand j'étais beaucoup plus jeune, j'ai également lier d'amitié avec des personnes des couples très intéressantes aussi bien.dans la vie de tous les jours que sur le site avec des affinités appréciable et très agréable je pense qu'il se reconnaîtront sourire . 29 - voilà esclave x défi relevé j'espère que tu prendras plaisir à me lire en vous souhaitant à toutes et à tous une belle soirée....
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Par : le 07/10/21
Aux premiers jours de l’automne de l’an 1717, Une nuée épaisse et sombre coulait lentement depuis le bourg de Saint-Lambert jusqu’à venir lécher les prés salés bordant l’estuaire, presque à l’étouffer et la priver des dernières bribes de la timide lumière du soir. L’astre incandescent qui dominait le domaine ces derniers mois avait définitivement perdu de sa force, il s’était terni, trainant désormais péniblement son teint pâle au-dessus d’un horizon harassé. Assise à l’abris d’une haie touffue, depuis longtemps dépouillée de ses dernières mûres par les enfants du domaine, Élisabeth s’emplissait à pleines bronches de cette fraicheur humide, comme défiant la nature. A quelques pas les bêtes paissaient encore, dans la pénombre qui les grisait petit à petit, enfin libérées des pesants tombereaux qu’elles avaient charriés des semaines durant. L’effervescence des semaines de vendanges était désormais achevée, rangée au rang d’émouvants souvenirs que bien peu garderaient en mémoire, pressés de se remplir à nouveau de la vacuité de leurs existences. Derrière les épais murs des chais, le jus noir épuisé par ses incessants bouillonnements avait enfin acquis un peu de quiétude. Coulant doucement depuis les rondes cuves de bois ou au travers des grilles des pressoirs, il était enfin venu se blottir contre la tendre paroi des barriques qui le bercerait durant les longs mois d’hiver. De tout cela, ni elle ni aucune femme ne savait rien, ou si peu. Ce que les hommes voulaient bien en raconter, tout au plus, des récits de phrases simples et bercées d’une ignorance crasse. Elle soupira. Derrière un petit bosquet, à quelques centaines de pas, la frêle silhouette d’un carrelet se détachait de plus en plus péniblement de la noirceur grandissante de l’estuaire silencieuse. Le fragile bâtiment de bois, posé sur ses jambes graciles, avait depuis quelques semaines gagné un rang prestigieux. Jadis simple cabane de pêcheur aux mœurs rugueuses, il était devenu temple, cathédrale sacrée que la simplicité de son architecture protégeait d’un paganisme furieux, un refuge à la brillance de ce qui ne saurait être vu par des yeux aveugles. C’est là que chaque soir depuis une orageuse nuit d’août, Nicolas, venait se repentir des vicissitudes de sa condition, là que sous l’obscurité naissante, Élisabeth confessait un à un chaque pêcher, lavait méticuleusement l’âme de son jeune nobliau, lui imposant autant d’épreuves qu’elle lui dispensait d’enseignements. Un soir la cabane suspendue au-dessus des flots battants, comme une aorte au cœur de la campagne, ne servait que de point de départ à une excursion aux teintes initiatiques. Un autre c’est derrière le secret de ses planches vermoulues qu’Élisabeth guidait le jeune comte au plus profond de lui-même. La belle vigneronne ignorait encore le temps dont elle disposait pour mener à bien sa mission, mais elle savait ce qu’elle lui imposait. Un jour Nicolas devrait porter haut la renommée du domaine et il serait seul, de leur aventure dépendait tant de choses. Une lumière hésitante apparu derrière les planches du petit carrelet. Élisabeth se releva, et se mit en marche, le pas décidé et le cœur battant. Derrière la vieille porte ajourée de la petite cabane suspendue, l’unique pièce baignait dans la lueur vacillante d’une chandelle reposant sur son bougeoir, posé à même le sol. Au centre de la pièce, le jeune Comte était agenouillé, tournant le dos à l’entrée, simplement vêtu d’une chemise blanche. Il semblait attendre, paisible. Pourtant, depuis le chambranle, Élisabeth pouvait sentir battre chacune de ses artères, le sang cognait comme des tambours, résonnant contre les parois de la cabane. A mesure que ce rituel s’était institué entre eux, la jeune femme avait appris à lire cette discrète symphonie. Elle en comprenait maintenant chaque accord, des douces harmonies de la joie, aux intenses envolées de l’exaltation, du tumulte de l’excitation au son rauque de la crainte. Elle pouvait en sentir la moindre nuance, parfois même leurs dissonances ou leurs contradictions. Plus étrange encore elle mesurait à quel point certains de ses mots ou de ses gestes pouvaient résonner des jours durant dans le vacarme des veines de son obligé. La poitrine d’Élisabeth se gonflait chaque soir à cet instant précis, elle adorait cet avant, cet instant si particulier où elle se nourrissait de lui, comme un succube aspirant la vie de ce corps à sa merci, pouvant décider si elle comblerait ou non les aspirations dont elle se pourléchait, ou au contraire si elle l’emmènerait loin de ces suppositions ou bien de ses peurs les plus profondes. Ce soir c’est son excitation qu’elle ressentait par-dessus tout, et cela faisait déjà plusieurs jours que malgré son silence, les tambours frappaient de plus en plus fort. Jamais son jeune protégé ne le lui aurait dit, il se gardait bien de ce genre de confessions, encore trop contrit par son éducation puritaine. Un jour, elle en rêvait, il lui hurlerait ses vices, ignorant qu’elle en savait déjà tout. Mais ce n’était pas encore l’heure, et elle ne lui donnerait pas ce qu’il espérait, pas ce soir. Élisabeth pénétra dans le carrelet, couvrant le Comte de son ombre qui s’étirait jusque sur la paroi de planches, finement ajourées. — Bonsoir mon Comte. — Bonsoir Madame, répondit-il simplement, tentant de faire taire les émois qui l’électrisaient depuis qu’il avait perçu la présence de la jeune femme sur le pas de la porte. — De quoi avez-vous rempli votre journée, mon bon Monsieur ? — De comptes et de chiffres, hélas, Madame. J’ai du supporter les bavardages de Monsieur l’Intendant tout le jour. Élisabeth soupira, puis s’approchant du jeune homme, apposa une caresse rassurante sur son échine. — Allons, allons, ces heures là sont derrière-nous. Comment les choses se passent-elles dans nos chais ? — J’ai goûté les vins ce matin-même, et il semble bien que vos conseils pour retenir les ardeurs de Monsieur l’Intendant aient porté leurs fruits. J’ai trouvé les vins plus puissants que jamais auparavant, et leur toucher très fin. — J’aimerais tellement que vous m’y introduisiez. — Mais comment, vais-je faire cela ? s’offusqua le jeune Comte. — Allons, allons, je suis sûr que vous saurez accomplir ce prodige. Et puis n’êtes-vous pas le maître des lieux ? Il resta silencieux un instant. Faisant comme à son habitude taire l’empressement qu’il avait à son endroit et qu’il jugeait par trop indécent. Élisabeth le savait, elle aussi s’efforçait de ne rien montrer de tout ce que cela lui inspirait. Jamais elle ne s’était sentie, ainsi, belle et désirable jusqu’au fond de ses pupilles. Se lasserait-il un jour de la regarder ainsi ? Pourvu que ces temps n’adviennent jamais. — Viendrez-vous aux fêtes de la Saint-Martin, Madame ? — Mais je n’avais pas encore prévu de me passer de vos services très cher ! Il me semble donc inutile de revoir les termes de votre servage, fit-elle mine de s’offusquer. Le Comte ne put retenir un rire espiègle, elle lui rendit un sourire qu’il ne put que deviner. — Abaissez donc cette chemise, s’il vous plait. Elle me semble bien inutile, lui intima-t-elle d’une voix douce. Il s’exécuta, désormais à demi nu, seule son intimité se trouvant simplement couverte du voile pudique de la fine étole de lin blanc. Doucement elle initia quelques courbes du bout de ses ongles, pourtant assez courts, sur la peau blanche et douce de son amant. On eut dit qu’elle dessinait dessus, suivant avec délicatesse les courbes de son corps, dessinant collines et vallons formés par ses muscles qui s’étaient tendus à son moindre contact. En agronome avertie, elle découvrait le terrain, en détectant les moindres mouvements, préparant son labeur avec application. Vint alors le temps des labours, elle appuya plus fermement, plus profondément, le griffant en stries parallèles comme on tire des sillons avant de semer. Un travail précis, méticuleux, juste assez fort pour permettre aux graines de la luxure de s’y épanouir, un ouvrage bien plus sûr qu’un négligé semis à la volée, pas trop profond non plus, qu’aucun de ces germes ne s’y voit étouffé. Par endroit le corps du Comte semblait tressaillir, se crisper sous la griffure, quelques gémissements qu’il retenait entre ses dents, refusant encore de les lui offrir, s’y dissimulaient de plus en plus mal. Plus Élisabeth imprimait ses marques dans la peau de Nicolas, plus elle ressentait les vibrations et les résistances que sa peau tendue lui répercutait. Elle se remémorait les paroles de son père qui lui avait conté dans sa jeunesse la manière dont on doit ressentir la terre qu’on laboure, la façon dont on doit selon le besoin accepter que sa force vous repousse ou au contraire s’employer à la contraindre encore plus fort pour l’attendrir, la discipliner. Un parfum de terre fraichement remuée, mélange d’odeurs salines et de senteurs acidulées d’humus, lui revenait en mémoire, comme le doux effluve d’une petite pâtisserie blonde, elle aussi parcourue de stries, qu’un autre dirait mieux que quiconque quelques siècles plus tard. A mesure que son labeur avançait, les doigts d’Élisabeth s’enfonçait plus fermement dans la peau de Nicolas, elle le sentait l’accepter peu à peu, se laisser aller. Sa chair devenait plus douce plus accueillante, il s’accommodait de ce travail profond, et ses gémissements toujours aussi contenus portaient désormais bien plus les atours de râles de plaisir, bercés d’un laisser aller vaporeux. Enfin, il était prêt, désormais réceptif et libéré de ses carcans. Élisabeth se saisit alors du bougeoir non loin d’elle. Sa main guidait la flamme presque contre la peau de l’objet de son désir, éclairant d’une chaude lumière les stries rouges qui lardaient son dos. Au passage de la flamme, elle sentait le jeune homme lutter contre ses tressaillements, elle se délectait autant de ses réactions intempestives, qu’il tentait pourtant de dompter, que de l’abandon à ses désirs et qu’il lui offrait. Elle le trouvait beau, si frais. Sa candeur l’émerveillait. Après avoir longuement admiré son œuvre, comme si elle voulait le faire redescendre, lui imposer de dévaler la montagne avant de l’obliger à la gravir à nouveau, elle souleva le bougeoir, plongeant à nouveau le corps de Nicolas dans une semi-pénombre. Elle inclina la bougie, laissant tomber une minuscule goutte de cire sur la base de sa nuque. Il sursauta, laissant échapper une sorte de jappement. Elle se retint de rire, parcourue d’un plaisir indicible remontant depuis son intimité même. — Allons, mon beau, tout doux, tout doux, lui murmura-t-elle, en lui caressant délicatement le sommet des épaules. Elle laissa tomber une deuxième goutte, entre ses omoplates cette fois. Il retint son gémissement. — Ainsi, vous aimeriez donc que je sois de la fête ? Attendant qu’il commençât à formuler sa réponse, elle choisit cet instant précis pour incliner à nouveau la bougie et troubler sa réplique. — J’en serais si heureux, grogna-t-il, électrisé par la si fugace brulure. Une petite goutte, moins visqueuse et plus salée celle-là, venait de perler au coin de son œil. Élisabeth souriait, s’enivrant de son propre plaisir. — Vous oseriez donc vous promener mon bras ? interrogea-t-elle, mutine, en laissant s’affaler une autre goutte de cire, plus grosse celle-là. — Je ne saurais en choisir une autre que vous, confessa-t-il après avoir réprimé le cri que le fluide surchauffé cherchait à lui extirper. — Je ne sais pas, je ne suis pas convaincue, dit-elle, en versant cette fois une importante quantité de cire au centre du dos de son amant. Il ne sut retenir un hurlement cette fois, alors que le liquide blanchâtre aux reflets incertains dévalait en coulée avant de se figer en atteignant le creux de son dos. De nouveau elle passa une main tendre sur sa nuque, le rassurant de sa voix la plus suave, tout en la serrant puissamment. — Tout doux, mon beau. Il s’ébroua imperceptiblement, comme pour se donner la contenance nécessaire pour affronter d’autres assauts cuisants. Pas question pour lui de céder aussi facilement, si le faire souffrir devait être son plaisir, alors qu’il en soit ainsi, il ne s’y soustrairait pas. Une autre coulée de cire s’affala contre son épaule, se partageant comme deux rivières autour d’un delta, l’une dévalant contre son pectoral et l’autre se jetant comme une cascade vers son flanc déjà lardé de traces rouges. Le blanc opalescent venait désormais ça et là croiser les lignes vermillon sur le fond orangé et vacillant de sa peau éclairée par la flamme. Qui sait si en d’autres temps, on n’eût pas pris cela pour une œuvre artistique ? — Aurais-je votre entier dévouement donc ? insista-t-elle plus durement, en laissant à nouveau un long filet brulant s’écouler jusque sur les fesses de Nicolas. Il acquiesça dans un cri nourri de larmes. Elle saisit ses cheveux et le tira violemment en arrière puis l’embrassa goulument, forçant le passage de ses lèvres avec sa langue puissante et conquérante. Ayant conquis son objet elle se retira et murmura à son oreille. — Vous viendrez donc me chercher à deux heures de relevée, devant ma demeure. Puis elle relâcha sa chevelure, déposa le bougeoir à ses pieds, saisit sa serpette à sa taille et s’appliqua méticuleusement à retirer chaque trainée blanchâtre pétrifiée. La lame glissait lentement le long de sa peau, risquant à chaque instant de la fendre dans un irradiant flot incarnat, Nicolas tremblait. — Ne bougez-pas ! intima-t-elle. Elle prit tout le temps nécessaire à son œuvre, se nourrissant encore de la peur de son objet vivant. Comme il était docile désormais. Son ouvrage achevé, Élisabeth s’assit à la gauche du jeune Comte et l’enlaça tendrement. Sans fard et dépouillé de sa nature, il posa négligemment sa tête sur l’épaule de sa vigneronne, reine parmi les reines, et ferma les yeux. Ce soir encore il n’avait rien dit du désir charnel que la vigneronne lui inspirait, il lui devenait pourtant si lourd de porter ce fardeau. Ce chancre de désir le rongeait au plus profond de ses entrailles. Dût-il en supporter encore d’avantage, il était résolu à l’affronter, attendre qu’elle soit prête et qu’elle le désire également. Naïveté touchante, car Il ignorait le feu qui brulait à moins d’une coudée de son cœur, sous les jupons de sa chère Élisabeth. Ainsi se poursuivit une soirée tendre et lascive entre les deux amants. Une soirée suspendue au-dessus du long cours noir de la Garonne, bercée de ses clapotis langoureux contre ses berges accueillantes. Dans deux jours, tout le village résonnerait d’un vacarme bien moins apaisant, l’une des fêtes les plus importantes de l’année se préparait.
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Par : le 06/10/21
Les frondaisons noires et pommelées bordaient l’estuaire s’étirant jusqu’à se tendre vers un horizon confus. Les ombres flottaient à la manière d’un long drap brun porté par la brise, sous l’éclat blanchâtre d’une lune protectrice. Une lune d’or révélait par instant entre les nuages un peu plus nettement les formes qui se dessinaient avec hésitation. Un voile plus sombre, plus loin, aux limites de sa propre vue, où l’esprit du Comte, à sa fenêtre, tentait de se perdre lui aussi. Un refuge improbable où il espérait qu’un espace de quiétude dissimulé puisse exister, aux confins du monde. Il se prenait à rêver de rivages lointains, aux colonies loin des barrières des hommes et de leurs lois stupides. Le Comte n’avait presque pas quitté sa chambre ces deux derniers jours. Dès le matin qui avait suivi leur cavalcade au-delà des limites de l’enclos, les premiers bruissements s’étaient fait entendre. De simples murmures, presque inaudibles, à peine formulés qui cessait dés lors qu’il s’en approchait trop près. La cohorte des serviteurs vacant à leurs occupations ménagère glissaient comme des vagues de murmure, puis se taisaient comme de petites bêtes effrayées pelotonnées dans leurs caches. Alors un étrange sentiment était venu ronger le jeune homme, une angoisse déchirante dont il se persuadait qu’elle se lisait même sur les traits de son visage : la honte. Elle se mêlait de peur, celle du déshonneur, son statut, cette place qu’il n’avait finalement jamais demandée lui éclatait devant les yeux. Il se prenait à envier tous ces autres, ces gens qui n’étaient rien, et n’avaient pas à supporter le poids d’une charge, d’un statut. Un long soupir de désespoir s’échappa de sa gorge. Un souffle embué sous la fraicheur du soir qui tombe, chargé de la buée de ses larmes. Élisabeth lui manquait, mais c’était impossible, il devait bien se rendre à l’évidence, il devait l’oublier assumer son rôle et faire taire ses pulsions déviantes. Il aurait pourtant dû se dire qu’il n’était pas le premier noble à se laisser gagner par des sentiments que l’étiquette interdisait, que rien de ce qui faisait leur si particulière intimité n’était réellement perceptible aux esprits profanes qui les observaient de loin. Seul le poids de la rumeur et du jugement l’envahissait. Quelques brumes plus épaisses dans la pénombre vinrent couvrir la lueur de la lune. Enfin le noir, enfin le silence. L’image d’Élisabeth l’obsédait, apparaissant en filigrane sur cette toile obscure aux délicats reflets nacrés. Il n’en pouvait plus, si cela continuait, il allait exploser sous le poids de sa propre culpabilité, il lui fallait de l’air, beaucoup d’air et sortir de cette prison dorée. S’étant subrepticement glissé dehors, dans l’ignorance de la maison endormie, il déambulait dans les allées sablonneuse, glissant entre les règes alignées et paisible, à peine bercée par les faibles bourrasques de fraicheur apaisante. Seul le grincement de ses pas sur les galets épars venait troubler le néant bleu sombre. Comme aspiré par l’estuaire étendue au bout de la terre, il se laissa descendre le log de la pièce des socs, se rapprochant des dangereusement des demeures des ouvriers, éteintes, et crachant une timide fumée blanchâtre au-dessus de leur tête. A cette heure tardive, il ne se trouvait aucune ombre pour venir troubler les tortures de son âme. Combien de temps déambula-t-il ainsi, d’allées en allées, de pièces en pièces, de buisson en buisson. Au loin l’église de St Lambert vin troubler le silence de deux tintements timides. Le Comte se décida, à rentrer, au comble de son désespoir et de sa solitude. Il s’engouffra entre deux buis, puis se glissa dans le parc de la grande maison. A peine eut-il franchi ce rideau végétal, qu’une lueur tremblante attira son regard, au pied d’un grand chêne. Il s’approcha à pas feutrés, distinguant une silhouette assise sur le banc de pierre, à l’abris de la frondaison agitée de rares soubresauts. Une silhouette qu’il aurait pu reconnaitre dans les ténèbres les plus épaisses. En proie aux tourments de ses contradiction et d’une indignité gonflante au cœur de sa poitrine, il se risqua à une salutation étouffée au cœur de la nuit. — Bonsoir Élisabeth. La jeune femme ne releva pas le nez de sa lecture, impassible et sans la moindre réaction devant l’intrusion de ce perturbateur nocturne. Sans doute dissimulait-elle la colère que la pleutrerie du Comte avait générée en elle. En fait, elle enrageait intérieurement, elle se sentait trahie par cette fuite, elle le méprisait, il n’était donc pas différent des autres. Comment avait-elle pu commettre une si terrible méprise ? Elle avait pourtant cru déceler en lui un je ne sais quoi de différent, une sensibilité inédite, rien, il n’en était rien, juste un de ces être immonde guidé par son membre qui dés lors qu’il se gonflait le vidait de la moindre parcelle d’intelligence et de courtoisie. Un mufle, ni plus ni moins. Et ces bottes, ce cadeau, pourquoi les lui avait-il offertes ? Un gage pour une faveur ? Elle le vomissait de tout son être. Penaud le Comte restait là, planté comme un arbuste face à la belle liseuse, contrit par sa culpabilité. Il n’osait pas le moindre mot, conscient que rien ne pouvait vraiment pardonner sa lâcheté. — Vous devriez rentrer Monsieur le Comte, vos dorures se languissent de vous. — Je vous demande pardon Élisabeth, lâcha-t-il dans un murmure étouffé par les larmes qui semblaient vouloir noyer sa gorge. — Vous pardonner ? De quoi ? D’être un homme ? Vous ne pouvez malheureusement pas échapper à ce que vous êtes. J’ai eu tort d’imaginer le contraire. — Pardonnez-moi, je ne voulais pas, bredouilla le Comte. — Vous ne vouliez pas quoi, au juste ? Être un couard ? Le Comte se tut, perclus de dépit. Au fond de lui il commençait à réaliser que loin d’avoir protégé ses titres et son rang, il commençait à réaliser qu’il avait s’était renié lui-même, qu’il s’était trahi et qu’au-delà il avait manqué à ses devoirs envers celle qu’il aimait pourtant du plus profond de son cœur. Une inexplicable colère le gagnait, à se haïr. Il aimait Élisabeth, chaque partie de son corps le lui hurlait, et le risque de la perdre lui paraissait désormais incommensurable devant les quolibets auxquels il s’exposait. La honte avait changé de cible. — Obtiendrais-je un jour votre pardon ? annona-t-il d’une voix étranglée. Élisabeth déposa enfin son livre à son côté, pages ouvertes à même la pierre froide et humide de la nuit. Elle se leva lentement pour se dresser face au jeune homme et planter son regard sombre dans les yeux de son obligé. La faible lueur de la bougie vacillante sous sa cloche ne parvenait pas à atténuer la puissance qui traversait le jeune Comte. Les traits de la vigneronne étaient durs, réprobateurs et fier, insoutenables au pauvre nobliau. Il baissa les yeux légèrement. L’expression de la jeune femme se fit plus sévère encore, et elle pointa son index vers le sol. Le Comte sentit immédiatement un invisible poids s’abattre sur ses épaules, une charge insupportable, harassante, il pliait sous le poids des reproches de sa dulcinée, son corps lui échappait et semblait s’affaisser, presque à se fissurer. — A genoux ! Il s’exécuta, comme s’il s’effondrait lentement. Le sol était froid et légèrement graissé des pluies de la veille, les herbes badigeonnaient ses bas, les imprégnant de leur humidité, poisseuse et mêlée de terre noire. Il n’osait plus affronter son regard, pas même regarder le bas de ses jupes, comme devant un interdit quasi religieux. D’un pas ferme elle posa fermement son chausson sur l’entrejambe du Comte le faisant presque sursauter. Elle pouvait presque sentir le frisson d’effroi qui parcourait l’échine du jeune homme alors qu’un tourbillon de puissance envahissait ses entrailles. Elle en vibrait d’un plaisir ruisselant entre ses cuisses. Sa colère se laissait presque attendrir par la beauté de sa chose à ses pieds. Avait-il jamais été aussi beau que dans cette repentance expiatrice. Mais il devait entendre la leçon, elle ne pouvait laver l’affront à si peu de frais. Elle pressa plus fort sur le sexe de son esclave. Il grimaça, de douleur, presque à laisser poindre une larme salée au coin de ses yeux fermement serrés, comme les poings d’un enfant orgueilleux que l’on punit. Combien de temps affirma-t-elle son pouvoir sur lui ? Elle-même ne saurait le dire, tant elle se repaissait de ce spectacle aussi excitant qu’enivrant. Tout avait disparu autour d’eux, le doux parfum des feuilles de chênes au sol et la saveur acide de l’humus humide s’étaient évaporés pour laisser parler sa puissance. Force brute qui se déchainait et brulait dans son ventre faisant fondre son sexe désormais huileux d’excitation. Relâchant légèrement sa pression, elle s’avança au-dessus de lui, le contraignant à se retenir de ses mains pour ne pas tomber à la renverse, puis elle releva son jupon, lentement se délectant des yeux humides du jeune homme désormais aimanté à son intimité encore dissimulée sous l’étoffe. Elle dévoila enfin son mont de vénus, paré de son épaisse fourrure brune, brillante de mouille qui étincelait sous la lueur de la bougie. Le regard du Comte traduisait un émerveillement coupable devant ce spectacle à l’inédite beauté. Il était comme hypnotisé par ce bijou sacré dévoilant à peine ses courbes charnues et gonflées sous leur couverture de pelage humide et luisant, aux gourmandes effluves acres. Il aurait sans doute voulu le laper et se délecter de l’exquise liqueur, mais elle l’en priva, apposant avec autorité sa main sur le front l’homme, le plaçant ainsi juste sous son entrejambe à peine assez éloigné pour se voir envahit de ses senteurs de salées. Dévorée par sa soif de transgression, elle s’abandonna à ses démons, contracta son périnée et libéra un flot doré sur le visage de son jouet. Le jet d’urine frappait avec violence contre son nez et ses joues rosies, puis dévalait sa poitrine imprégnant sa chemise de ses marques animales. Elle aurait voulu gémir de plaisir, mais elle refusait de lui accorder cette joie, elle voulait l’humilier, le marquer jusque dans sa chair. Il fallait qu’il comprenne la force avec laquelle elle le dépossédait des dernières bribes de sa liberté, s’en emparant férocement et sans ménagement, ni remord. Il lui appartenait. L’interminable miction prenait fin, encore quelques gouttes par poussées spasmiques, Élisabeth frôlait une jouissance qu’elle se refusait à lui offrir. Elle se libérait, enfin. Par cet acte elle lavait son honneur en le souillant, grisée des émotions qui la débordait complétement. D’un geste violent elle rabattit le visage du Comte vers le sol, et le lâcha net. Puis elle s’accroupit face à lui. — Avez-vous bien compris votre leçon ? questionna-t-elle pleine de morgue. — Oui, murmura-t-il. — Oui qui ? Insista-t-elle comme habitée par une incroyable rage de sévérité. — Oui Maitresse, concéda-t-il, au sommet de sa honte. Élisabeth saisi une poignée de terre et lui badigeonna le visage de cette ultime souillure, lui maintenant fermement le regard vers le sol de l’autre main. Puis elle se releva lentement. — Vous saurez maintenant ce qu’est la honte, cher ami, ajouta-t-elle méprisante avant de se rassoir, ramasser son livre, et reprendre tranquillement sa lecture. Le Comte éberlué n’émettait plus le moindre mouvement, osant à peine respirer envahit de l’odeur acre de l’urine dans laquelle il baignait jusque sous ses vêtements. — Vous pouvez disposer, ajouta-t-elle enfin, sans avoir même levé le nez de son ouvrage. Elle ne le fit que pour le regarder s’éloigner et s’en retourner vers la grande maison, contrit par son humiliation. Elle eut un léger sourire attendri. Elle l’aimait.
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Par : le 28/09/21
C'est la première fois que je propose un texte ici, j'espère qu'il ne vous paraitra pas trop mièvre. Un Noël bien spécial Comme chaque année, Sabrina et Gabriel avaient organisé le réveillon familial chez eux. La fête se terminait, quelques uns de leurs invités étaient déjà partis, mais le plus grand nombre s’était retardé et se préparait maintenant à prendre la route. Les enfants de Sab allaient passer quelques jours de vacances chez leur grand-Mère maternelle et partaient avec elle. Le couple avait accompagné tous ces gens jusqu’aux voitures et après les dernières embrassades, les véhicules prenaient la route. Sur le parking, Sabrina un peu émue saluait de la main les véhicules jusqu’à leur disparition, quand soudain, elle réalisa que Gabriel n’était plus près d’elle. Surprise elle regardait autour d’elle mais ne voyait rien. Elle l’appela, sans recevoir de réponse. Un peu inquiète, elle rejoignit l’appartement pensant que peut-être il avait été saisi d’un besoin pressant et avait regagné leurs pénates sans la prévenir. Rentrant dans l’appartement, elle l’appela sans recevoir de réponses. Elle ouvrit les portes des toilettes puis de la salle de bain… Personne. Très inquiète, elle tournait comme un lion en cage, fit le tour de toutes les pièces, appelant, suppliant, rien ne lui répondait et Gabriel était introuvable. Soudain sur la table du séjour, une grande enveloppe rouge attira son attention. Rouge ?... ça n’était donc, à coup sur, pas une lettre de rupture, la couleur laissait même à penser qu’il s’agissait d’une surprise agréable. Il n’avait tout de même pas changé de voiture sans rien lui dire… Non, il lui en aurait parlé… et d’ailleurs leurs finances du moment ne permettaient pas cet achat. Fébrile, elle ouvrit l’enveloppe et en tira un petit carton, rouge également et lut le petit texte qui y était écrit : « Veux tu jouer ?, si ta réponse est positive, allume les lumières de la chambre et celle de la salle de bain ». Immédiatement, son sexe s’humidifia et ses petits seins se tendirent. Chaque fois qu’il lui disait ou lui écrivait une phrase qui ressemble à ça, il lui proposait ensuite des jeux sexuels et il faut reconnaître que jusqu’ici, il avait tapé juste, lui proposant des choses inhabituelles, mais qui toujours avaient déclenché en elle des plaisirs phénoménaux. Par contre, il était très tard… ou plutôt très tôt. Un peu lasse après la soirée, mais très tentée de suivre Gabriel dans sa folie, elle glissa sans y réfléchir vers la chambre et alluma la lumière. Elle fit ensuite la même chose dans la salle de bains. Tout de suite, la tonalité des notifications de son téléphone retentit. Elle vit qu’elle avait un nouveau message de Gabriel et lut le SMS, « Tu as as accepté le jeu, tu es maintenant en mon pouvoir et tu m’appartiens. C’est le dernier message écrit de moi, mon téléphone va être coupé. Tu recevras des instructions au fur et à mesure, par écrit, Pour le moment, regarde dans le dernier  tiroir de la commode, celui ou tu met ta lingerie.» Bon dieu, qu’est ce qu’elle avait accepté. Elle était à présent très inquiète. Elle tenta d’appeler Gabriel, mais tomba immédiatement sur son répondeur. Elle refit plusieurs tentatives sans plus de succès. Elle était à présent coupée de Gabriel. Elle n’avait aucun moyen de le contacter. Les seuls liens qu’elle allait avoir étaient les messages qu’il lui laisserait, dieu sait ou. Quelle folie avait il inventé cette fois. Jamais elle n’avait été aussi inquiète… et tout ça, la nuit de Noël en plus. - Bon, focalisons sur ce qui est concret se dit elle, le dernier tiroir de la commode. Elle ouvrit et resta bouche bée devant son contenu, dans une jolie boite, était exposé un ravissant mini boléro de dentelle rouge, pouvant être fermé par un petit lien en bas. Enfin si on peut qualifier ça de fermé… en tout cas, très sexy.Le soulevant pour mieux le regarder, elle découvrit un string de la même couleur. L’ensemble, elle devait se l’avouer avait été bien choisi, sexy à souhait, le petit haut était tout à fait ce qu’il fallait pour sa poitrine menue, ce que n’aurait pas fait correctement un soutiens-gorge. Pour ce qui est du string, certes elle n’aimait pas ce genre de sous-vêtement, mais si c’était pour passer une soirée voluptueuse, ma fois pourquoi pas. Mais quel était son but ? que lui préparait il ? pourquoi tous ces mystères ? Décidément Gabriel était tombé sur la tête. A côté de la boite, une autre enveloppe rouge. Elle l’ouvrit pleine d’appréhension. Le texte la laissa interloquée, - je veux que tu mettes cette tenue, par dessus, tu pourras enfiler les vêtements de ton choix, je te fais confiance et que tu te rendes au bar de nuit « L’alouette ». tu t’adressera au barman nommé Maurice et tu lui donnera ton prénom et tu lui dira que tu viens chercher quelque chose qui t’est destiné, il saura ce qu’il doit faire. Un bar de nuit à cette heure? ... Cette idée la laissait perplexe. Quelle mouche avait donc piquée Gabriel pour qu'il lui fasse prendre de tels risques? Fallait il qu'elle obéisse? Elle était dans une totale panique. Certes, elle avait confiance en lui, mais cette manière d'agir lui ressemblait si peux. Elle avait compris, au vu de la lingerie, le caractère sexuel de son souhait, mais était elle prête pour réaliser ce qu’il allait lui demander. En même temps, c’était la tempête dans sa culotte, son excitation était à son comble. Elle mouillait abondamment et l’attrait de l’inconnu, doublé du stress la mettait dans un état de fébrilité qu’elle n’avait jamais connu. et ce Maurice, qu’est ce qu’il venait faire la dedans ?, il Elle ne savait plus... elle était perdue… Elle savait, il le lui avait dit, qu’il n’était pas prêt à la prêter à d’autres hommes. Elle se rappelait parfaitement de ce jour, avec une certaine émotion d’ailleurs. Les enfants n’étaient pas la, elle préparait leur repas, dans la cuisine, habillée seulement d’une nuisette. Il était passé derrière elle, avait embrassé sa nuque, puis il avait glissé ses mains sous sa nuisette et avait empoigné ses seins. Elle avait penché sa tête en arrière, l’avait appuyée contre son épaule abandonnée à ses caresses. Ses mains avaient glissées sur son corps l’amenant progressivement à une lascivité délicieuse. Puis il avait soulevé la légère lingerie, avait embrassé ses seins, sucé doucement ses tétons, sa bouche était descendue doucement vers son ventre, son pubis, suscitant en elle l’envie qu’il descende encore. Mais la traîtresse bouche était remontée la laissant quelque peux déçue. Il reprit ses doux baisers en direction de son aine restaurant ses espoirs et finit par insinuer sa langue entre ses tendres nymphes lui arrachant des soupirs d’extase. Son plaisir était monté en intensité, au fur et à mesure de la progression du cunni avant l’explosion finale. C’est à ce moment, elle s’en rappelait parfaitement qu’elle lui avait dit , - j’accepterais tout de toi, de te sucer dans un lieu public, que tu me baise dans un endroit insolite, que tu m’offre à d’autres hommes. Plus tard, quand elle eut recouvré ses esprits, il lui avait demandé, - tu pensais sérieusement ce que tu m’as dit, tu as réellement envie que je te prête à d’autres hommes ? Et elle avait répondu oui. A ce moment il lui avait dit qu’il n’était pas encore prêt à ça. Ça n’était donc pas un autre homme… mais quoi ? Que vient faire cet inconnu, ce Maurice, dans son plan ? Gabriel savait aussi, ils en avaient parlé qu’elle ne souhaitait pas de relations sexuelles avec d’autres femmes. Donc quoi ? Certes il lui avait toujours dit que s’il lui demandait quelque chose qui dépasse ce qu’elle pouvait accepter, elle n’avait qu’un mot à dire pour mettre fin au jeu, mais tout de même. Un peu rassurée sur les limites du jeu, elle se dit qu’il s’agissait de quelque chose avec lui seul… de l’exhibitionnisme peut être… ou un scénario fantaisiste pour la promener un peu. elle ne savait pas, mais elle avait cerné les possibles. - Bon… on joue, se dit elle. Elle enfila la jolie lingerie, se regardant - Pas mal… le choix est judicieux, se dit elle en souriant. Elle enfila une robe courte et des jolis escarpins et quitta leur appartement. Devant l’alouette, elle hésitait. Entrer seule, la nuit, dans un pareil lieu la perturbait. Pourquoi avait il choisi ce lieux ? Cette solution ? Avait il voulu la guérir de son désir d’être offerte à d’autres hommes ? Après maintes tergiversations, elle se décida à entrer. Elle s’approcha du bar et demanda Maurice. On la dirigeas vers lui et elle l’aborda pour lui demander ce dont Gabriel lui avait parlé. Elle avait les jambes qui flageolaient, la tête qui tournait, elle avait besoin de s’asseoir. Elle demanda à Maurice s’il pouvait lui amener un café et rapidement, elle s’assit à une table. Les pensées tournaient dans sa tête, c’était la première fois qu’elle se trouvait devant une telle situation. C’était fou, complètement fou… Un homme s’approcha, lui demanda l’autorisation de s’asseoir à sa table. Elle éluda. Il se permit d’insister et elle refusa avec plus d’autorité. Voyant sa pâleur, il lui demanda si elle allait bien, si elle n’était pas malade. Elle lui répondit que non, qu’elle allait parfaitement bien, qu’elle voulait juste qu’on la laisse en paix. Maurice revint avec son café et déposa à coté une enveloppe rouge. Encore une enveloppe rouge… Elle hésitait à l’ouvrir. Même si elle s’était rassurée en faisant tourner dans sa tête les scénarios possibles, réfuté les plus inquiétants, même si certains faisaient partie de ses fantasmes, voire de ses désirs.Elle était toujours tiraillée entre l’appréhension et l’excitation. Elle se demandait même si cette dernière n’était pas aiguillonnée par la peur. Elle se reprochait à présent d’avoir accepté le jeu. Elle ouvrit en tremblant l’enveloppe et découvrit un nouveau message, lui demandant de se rendre à une adresse ou de nouvelles instructions lui seraient données. Elle avait l’ordre de rentrer sans frapper. Wahouou ! Certainement la dernière étape de son périple. La diffusion d’adrénaline était à son comble. Elle fit signe à Maurice pour payer et par la même occasion lui demanda ou elle pouvait joindre Gabriel. Il lui répondit qu’il ne connaissait pas de Gabriel. Elle lui demanda qui avait déposé la lettre. C’était un homme que Maurice ne connaissait pas. Elle lui demanda une description physique, même sommaire. Le portrait qu’il fit ne correspondait pas du tout à Gabriel. Ce fut un véritable choc… Elle était dans la confusion la plus totale. Au minimum, Gabriel avait utilisé une organisation très complexe, dans quelle mesure en avait il la maîtrise ? Elle était à la fois admirative et inquiète. Elle ressentait un vide intense en elle, elle était dépassée par les évènements. Ses jambes ne la portaient pas d’une manière plus efficace qu’à son arrivée, peut être moins même. Légèrement titubante, elle sortit du bar. Elle s’installa au volant et dut attendre un moment avant de démarrer, le temps de reprendre ses esprits. La tête dans les mains, elle essaya de remettre de l’ordre dans ses pensées. - Gabriel, Gabriel, pourquoi me fais tu ça ? Un peu remise, elle démarra et se rendit à l’adresse. Ça faisait un bon quart d’heure qu’elle était devant la porte et ne se décidait pas à entrer. Elle cherchait mentalement à se donner du courage mais n’y parvenait pas. Cette soirée, décidément riche en émotions la perturbait au plus haut point. Puisant dans ses dernières ressources de courage, elle poussa la porte. Aucun bruit, il ne semblait y avoir personne. Il faisait noir, elle chercha l’interrupteur en s’aidant de l’éclairage de son téléphone, elle le trouva et alluma. Elle était dans une entrée, très accueillante, ensuite s’ouvrait un séjour. Beaucoup de livres, des couleurs qu’elle aimait, elle fit le tour, regarda partout. En évidence sur la table, une autre enveloppe rouge. Elle se mit à rire, complètement rassurée maintenant. Tout simplement Gabriel avait loué un appartement pour la soirée, juste pour la dépayser. D’ailleurs si elle y regardait bien, la logistique déployée, et qui l’avait initialement impressionnée n’était pas si extraordinaire. Il lui avait suffi de soudoyer un barman, en lui demandant de faire l’ignorant sur son identité. Elle avait fantasmé sur finalement pas grand-chose. Elle se détendait, ses nerfs mis à vif depuis la disparition de Gabriel se relâchaient dans un fou rire. Quelle sotte ! Négligeant l’enveloppe, elle fit le tour de l’appartement. Deux chambres meublées avec goût, une salle de bains agréable, avec une grande baignoire. Elle était tentée, faisant fi des instructions de Gabriel, de se mettre dans un bon bain chaud. Oh ! Elle allait tout de même jouer le jeu, elle allait prendre connaissance du contenu de l’enveloppe. De retour dans le séjour et maintenant complètement détendue, elle prit la lettre et se jeta dans le canapé.Il lui était demandé de quitter ses vêtements, gardant juste la lingerie, de se mettre à genoux sur la carpette du salon, un bandeau sur ses yeux, (cette pièce de tissus se trouvait, dans le deuxième tiroir de la bibliothèque) et d’attendre. Elle fouilla dans le meuble et trouva un bandeau de soie rouge, en riant, elle suivit les instructions de la lettre. Elle sourit. Beaucoup de mise en scène pour pas grand-chose. Un petit scénario de domination/soumission. Elle attendait depuis quelques minutes, lorsqu’elle entendit le bruit de la porte. Gabriel avait, sans aucun doute, mis une caméra et surveillait le moment ou elle serait prête. Elle sentit des mains tirer les siennes derrière son dos et les attacher. Elle était maintenant à la merci de Gabriel, elle sourit - C’est bien, tu as parfaitement suivi les instructions qui t’étaient données, dit une voix d’homme qu’elle ne connaissait pas. D’un coup, son affolement reprit… pas possible… Gabriel n’était pas prêt à l’offrir !... - Qui êtes vous ? - Aucun intérêt, tu as décidé d’accepter un jeu. - Je croyais que c’était juste avec Gabriel . - J’ai pourtant entendu dire que tu souhaitais plus. - J’ai dit ça dans un moment d’excitation. - Il me semble qu’ensuite la question t’a été posée dans un moment ou tu avais retrouvé tes esprits. Décidément, ce personnage était au courant de tout… Elle était affolée et en même temps, sa fébrilité avait repris. Son string était mouillé. Elle avait un nœud au ventre, mais ses sens étaient en ébullition. - Pourtant, reprit la voix, tu sais que tu as juste un mot à dire, pour si tu le souhaite, mettre fin au jeu. Ah ! Gabriel lui laissait donc une porte de sortie, mais elle n’avait pas envie de l’utiliser . - Gabriel m’a chargé de vérifier pour commencer si tu mouillait déjà, dit il en lui massant une fesse. La caresse fit glisser un frisson le long de sa colonne vertébrale. Un nouveau jet de mouille humecta son string. La main se glissa entre ses jambes sans ménagement excessif. L’homme ne cherchait pas à convaincre, mais prenait possession d’un territoire qui lui revenait de droit. C’était déstabilisant au possible. Il glissa son doigt sous le string et massa sa chatte, provoquant un gémissement. - Hummm ! Tu aimes ça hein ! lui dit il… tu vas en avoir pour tes désirs. Je suis sur que tu vas apprécier. Le ton était calme, la diction plutôt lente ne permettait pas de dénoter d’émotion. Il avait fait glisser le string sur le coté et massait ses lèvres intimes avec une douceur qui contrastait avec le ton de sa voix. Sabrina oubliait de plus en plus ses appréhensions et sa sensualité affleurait crescendo. La montée en gamme de son désir était palpable. Euh ! Palpable, ben on est en plein dedans… Sab coulait littéralement, sa mouille débordant largement à l’intérieur de ses cuisses pourtant très ouvertes par la main. Il passa devant elle et titilla doucement son petit bouton tout en lui pinçant les tétons. En même temps il proférait des mots grivois, voire insultants : « tu aimes ça hein ! Petite salope », « tu aimes faire la pute », « tu as envie que je te baise », « tu es un garage à bites ». Ces mots avaient sur son esprit une influence terrible, son excitation était à son comble, à chacune de ses allusions elle répondait oui tout en poussant des feulements de femelle en chaleur. Il lui donnait ensuite l’ordre de répondre« Dis moi que tu aimes ça », « oh oui ! J’aime ça », « dis moi que tu es ma pute préférée », « Je suis ta pute préférée », « qui t’as dit de me tutoyer… je suis votre pute préférée, s’il te plaît », « je suis votre pute préférée », « dis moi que tu es mon garage à bites », « je suis votre garage à bites ». Jamais elle n’avait été traitée de cette manière. Cette terminologie, qu’elle n’aurait jamais acceptée dans la vie courante, la mettait dans un état de sensualité indescriptible. Mentalement, elle avait fait sienne chacune de ces allusions et elle y souscrivait complètement. Jamais, même dans ses moments les plus intenses, elle n’avait été excitée de façon aussi complète.elle n’avait plus aucune appréhension, aucune inhibition. Devant cet étranger, elle était bien la chienne en chaleur qu’il décrivait. Soudain, elle sentit deux mains lui masser les fesses, tandis que l’homme qui s’occupait de son coté pile continuait sa litanie de récits obscènes. Sa griserie fit un bond en avant. Deux hommes pour s ‘occuper d’elle. Elle n’était plus en état de réfléchir, elle se laissait bercer par les rogations qu’on lui récitait et qu’elle répétait inlassablement comme un catéchumène récite son credo tandis que quatre mains s’occupaient de ses intimes attraits. Les mains de derrière se glissèrent dans son sillon inter fessier, ce qui lui fit immédiatement reconnaître Gabriel. Elle eut une hésitation, un peu honte de ce qu’elle faisait, un peu peur de son jugement, mais elle n’était plus en état de réfléchir et elle se laissait aller à la volupté de ce moment si intense qu’elle n’en avait jamais connu de tel. Gabriel connaissait ce qu’elle aimait et savait parfaitement mettre son plaisir en évidence. Il caressait ses deux globes postérieurs, glissait ses mains entre ses fesses, remontait le long de sa colonne vertébrale jusqu’à sa nuque qu’il caressait longuement. Enroulait ses cheveux autour de sa main, grattait son cuir chevelu, puis redescendait, elle était bercée par les psalmodies de l’homme qui était devant elle. « dis que tu es la pute de deux hommes », « je suis la pute de deux hommes », « dis que tu es leur garage à bite », « je suis leur garage à bites », « dis que tu aimes baiser avec deux hommes », « j’aime baiser avec deux hommes », dis que tu as envie de prendre une bite dans ta bouche », « j’ai envie de prendre une bite dans ma bouche » elle sentit une main vigoureuse la retourner et en la saisissant par les cheveux la courber en avant. Elle sentit au contact de ses lèvres une bite. La bite de Gabriel. Elle se mit à en sucer doucement le bout, se laissant envahir par le plaisir que lui procurait toujours cette entrée en matière. Elle se mit à lui titiller le gland du bout de la langue. Elle poussait en même temps de petits gémissements qui se mêlaient à ceux de Gabriel. Brusquement, elle empala littéralement le pénis dans une gorge profonde arrachant à son compagnon un cri de plaisir surpris par la rapidité de son mouvement. Elle conserva la bite quelques secondes au fond de sa bouche avant de remonter doucement. Elle sentit un doigt s’infiltrer entre ses lèvres intimes et pénétrer dans son vagin, appuyer sur les parois, les masser doucement. Puis le doigt sortit et fut remplacé par une bite emmaillotée de latex. La matière était parfaitement perceptible, le gars avait bien un préservatif. D’ailleurs, elle ne doutait pas que Gabriel ait défini ses exigences et pris soin de sa sécurité, elle avait en cela complètement confiance. Elle était emplie dans la bouche et dans le vagin, tandis que le chapelet de motivations grivoises continuait, « Dis que tu aimes bouffer une bite », « j’aime bouffer une bite » tenta t’elle de dire d’une manière complètement inaudible. - C’est bon, dit Gabriel à son comparse, je crois que ça n’est pas le bon moment. L’homme cessa, mais finalement, elle n’était pas sure que ça ne soit pas le bon moment, malgré tout, la situation la motivait. Il poursuivit sans la faire répéter « tu aimes ça salope », « tu es notre pute », « tu aimes être remplie par deux bites ». Elle avait envie de la répétition, ça l’excitait encore plus malgré l’inconfort généré par la fellation. « J’aime être remplie par deux bites » répétât elle. « Tu es une grosse salope », « je suis une grosse salope », inaudible, mais peu importe, ça l’excitait. Gabriel l’avait saisie par les cheveux et forçait sur sa queue, elle poussait des « han ! » de plaisir à chaque va et viens. Lui même avait besoin maintenant de la conclusion, son plaisir était croissant, il n’était pas loin de perdre pied. Elle le sentait et accompagnait de sa tête les contraintes sur les cheveux. La tension de la verge qu’elle sentait de plus en plus importante, ainsi que celle de l’homme qui limait sa chatte faisaient monter son plaisir qui arrivait à son paroxysme. L’orgasme de Gabriel se déclencha d’un coup, provoquant le sien. Des cris qui auraient été des hurlements si elle n’avait pas la bouche emplie s’échappaient. Presque de suite, l’homme éjacula à son tour, régalant sa chatte de spasmes voluptueux. Tous trois roulèrent sur le dos, Sab dans les bras de Gabriel.
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Par : le 28/09/21
Mon premier dominant a rapidement prononcé une phrase au début de nos échanges qui ne m'a jamais quittée. Et qui constitue le socle de la réflexion que j'ai envie de vous proposer aujourd'hui. De cette fenêtre que j'ai envie de vous inviter à observer sur votre rapport à la domination et/ou la soumission. Qu'il s'agisse aujourd'hui pour vous d'une meurtrière, d'une lucarne, d'une fenêtre standardisée, d'une baie vitrée ou de l’hôtel des courants d'airs. Cette phrase c'est : "La soumission se vit en conscience". Et j'ai envie de vous proposer de faire le parallèle avec la domination : "La domination se fait en conscience". Cette phrase a résonné en moi, un peu la à manière des 4 Accords Toltèques de Miguel Ruiz. Pas au sens d'un accord en tant que tel, quoi que... Mais plutôt dans le sens où, comme ce livre, selon que notre expérience de vie évolue, lorsqu'on relit cet ouvrage (ou cette phrase), notre niveau de compréhension s'approfondit et s'élargit un peu plus à chaque fois. Aussi, j'ai eu l'occasion de décliner ma compréhension de cette phrase issue d'un début d'éducation à plusieurs reprises, à différents niveaux, en les expérimentant ou en les observants au cours de discussions. Le premier niveau de conscience que j'ai à la fois expérimenté et observé est un niveau plutôt instinctif, primal, et assez réducteur car basé uniquement sur l'hédonisme. Bien qu'en soit, savoir que l'on aime ou pas se soumettre ou dominer, c'est déjà un premier pas important et difficile pour certains. Et cela est sans jugement, chacun met le temps qui lui est propre et juste à poser ses compréhensions sur lui même, compréhensions qui évoluent avec le temps. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime dominer/me soumettre mais je ne sais pas pourquoi. J'apprécie les sensations physiques et cérébrales que ça me procure, mais je n'identifie pas clairement les stimuli en cause, ni pourquoi." Nous sommes dans la dimension du corps, peut-être commençons nous à entrer dans celle du mentale. A ce stade, nos désirs sont encore assez inconscients. Les limites peuvent être assez floues et difficiles à définir, ce qui peut impliquer une éventuelle mise en danger involontaire de soi ou son partenaire à différents niveaux. J'observe ensuite un second niveau de conscience, là encore basé sur l'hédonisme, mais qui permet de valider ou d'écarter les pratiques qui nous attirent ou non, et une première approche des limites qui s'y réfèrent. L'esprit critique s'allume, notre système de valeur commence à venir s'intégrer dans notre rapport à la domination/soumission et dans le choix de nos partenaires. La pratique et les expérimentations permettent d'ajuster les lignes et les contours de ce qui nous plait ou non, ainsi que de ce que l'on est prêt à accepter ou non. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime donner/recevoir la fessée, attacher/être attaché, etc." On est plus uniquement dans le corps, la dimension mentale s'intègre, et l'on peut même commencer à conscientiser un "pourquoi de surface" de ce qui nous plait ou non dans telle ou telle pratique. Par exemple : "J'aime être promené en laisse en extérieur car cela renforce mon sentiment d'humiliation/d'appartenance, etc." Il est intéressant de noter à ce stade que tout le monde ne met pas le même ressenti derrière une pratique commune. Là ou certains se sentent humiliés, d'autres peuvent ressentir une forme de fierté, voire de l'indifférence. Ce qui nous emmène au prochain stade de prise de conscience que j'ai pu observer. Celui où l'émotionnel commence à entrer en ligne de compte. Je ne parle pas ici de l'émotionnel au sens "du lien" entre partie dominante et soumise, même si cela en fait partie ; mais plutôt de l'émotionnel au sens strict des émotions ressenties. Ici la personne mesure l'impacte de sa psyché dans l'expérience qu'elle vit et partage avec son partenaire. A ce niveau, il est possible d'établir des "liens logiques" entre les émotions ressenties et des souvenirs d'expériences passées. Ou de faire le lien avec des besoins que la pratique vient combler ou équilibrer en nous. Par exemple : "J'aime dominer car j'aime la sensation de contrôle que cela me procure, et que je ne peux peut-être pas exprimer dans certains autres domaines de ma vie." "La soumission m'apporte un moment de décompression, une soupape, un lâcher prise, dans mon quotidien ou je dois sans cesse prendre des décisions". On commence à toucher aux motivations plus profondes que l'on porte en nous. Il y a une forme plus ou moins poussée de lucidité sur ce que la pratique nous apporte, en quoi elle peut venir équilibrer un autre domaine de notre vie, ou sur ce que l'on y recherche. Je discute régulièrement avec des personnes qui me disent que le bdsm, la domination, la soumission, ne sont qu'un aspect récréatif de leur vie. J'avoue avoir un peu de mal à le concevoir strictement, car pour moi, nous avons toujours d'excellentes raisons de choisir telle ou telle activité/loisir/compensation. Simplement nous n'avons pas toujours conscience de ces raisons car nous nous portons un jugement négatif (consciemment ou non) qui n'a pas lieu d'être. Mais ça, ce n'est que mon opinion très personnelle, subjective, et fort heureusement discutable ;) C'est aussi à ce niveau qu'une relation profonde peut commencer à s'établir entre les deux partenaires, et qui sera fonction de la vision que ces partenaire en ont, de la direction et du contenu affectif qu'ils choisissent d'y impliquer. Enfin un autre niveau de lecture, peut-être plus "spirituel", porte à la conscience le sens de ce que nous expérimentons à travers l'exploration du bdsm, de la domination et de la soumission. Qu'il s'agisse de revisiter nos archétypes blessés pour mettre en lumière les parties de nous qui ont besoin d'être apaisées (effet "thérapeutique" de la pratique, permettant une reprise de confiance en soi par exemple que certaines personnes relatent), de se connecter/libérer les mémoires du collectif qui s'y rattachent, ou encore de prendre conscience de schémas répétitifs de notre existence un peu à la manière d'une pièce de théâtre dans le grand jeu de l'incarnation. Ces dernières propositions parleront à certains, sembleront perchées pour d'autre, c'est bien normal, nous parlons ici de nos systèmes de croyance. Ceci étant, selon le caractère et l'expérience de vie de chacun, je remarque que ces différents niveaux de conscience peuvent s'acquérir ou se croiser dans un autre ordre, s'imbriquer les uns dans les autres, voire se contre-dire. Dans la description de ces différents niveaux de conscience, j'ai fait le choix de ne pas parler de la dualité qui peut-être ressentie vis à vis des pratiques bdsm. Qu'elle se matérialise sous la forme d'une culpabilité plus ou moins appuyée, témoin bruyant ou silencieux des conflits intérieurs que nous portons ; ou qu'elle ne se matérialise pas du tout, car on se sent dans son alignement. Ce point est propre à chacun, encore plus propice à la fluctuation que les prises de conscience évoquées précédemment et fait l'objet de nombreux écrits déjà en ces murs ;) Voilà là réflexion que je souhaitais ouvrir ici. Merci à tous d'être ce que vous êtes
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Par : le 21/09/21
Deux semaines se passèrent sans que nous nous voyions. Nous avions chacun nos activités et vies professionnelles qui ne nous permettaient pas de caler nos agendas. C’était ainsi et nous ne faisions pas de plan sur notre prochaine entrevue. Quelques questions me trottaient en tête. Avait-elle été trop loin et la gêne l’aurait-elle emporté ? Si c’était le cas, cela ne changerait rien de toute façon. Je réfléchissais à la suite sans m’encombrer l’esprit du pourquoi et du comment. Toutefois, afin de tester son envie de continuer, je pris le temps d’aller jusque sa boîte aux lettres ou j’y déposais un petit colis. Une fois de retour chez moi, je lui envoyais un texto pour lui dire qu’elle avait un colis en attente dans sa boîte, mais qu’elle ne devait pas l’ouvrir jusqu’à notre prochaine entrevue. Je passe sur la série longue comme le bras de textos pour essayer de savoir ce que contenait ce colis. J’ai d’ailleurs coupé cours en lui disant que trop de questions finiraient par faire que je le reprendrai. Silence radio depuis ! J’avais pris soin de mettre une petite pastille avec un tampon spécifique pour être sûre que lors de notre prochaine séance, elle ne puisse tricher. Je ne fus pas étonné qu’elle me recontacte le lendemain. Le rendez-vous était pris pour dans deux jours. La connaissant, je l’imaginais aisément tourné en rond à se demander ce que pouvait contenir cette boîte. Deux jours étaient passés. Je regarde ma montre et me mets à la fenêtre. Elle est pile à l’heure. Pressée de savoir ce que contient la boîte sans aucun doute. Elle porte encore l’une de ces robes moulantes outrancières avec des talons hauts. J’entends ces pas dans l’escalier de ma maison. Je la devance et me place en haut des marches. Elle est surprise. – Bonjour ! Me lance-t-elle. – Bonjour ! Ne monte pas encore ! Je veux que tu montes ces marches à 4 pattes. Lui dis-je. https://comtedenoirceuil.com/defis-en-cascade-part-iii/
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Par : le 21/09/21
Nue, allonge dans l herbe, je regardai la lune dans le ciel etoile. J avai froid, mais partir n etait pas envisageable. Il avait referme le cadnat autour de l anneau de mon collier de metal et je m etait resigne a rester ici au moment ou j avai entendu le petit "clic". Il y avait un vent leger qui faisait bouger le sommet des arbres, j ecoutai les bruits de la nuit. J avai sommeil mais je ne pouvais pas dormir. Je roulais sur moi meme et sentai l herbe humide et gratante carresser ma peau denude. "Maitre..." pensais je simplement. Rien d autre ne me venais a l esprit. Il m avais deshabille dans sa voiture puis mis une laisse et entraine dans la foret. Je l avai regarde avec un air inquiet et il avait simplement tire sur la laisse sans dire un mot. Je l avai suivi en silence, marchant pied nue sur ce sol sauvage. Est ce que j etai puni? Allait il me foueter suspendu a une branche comme la derniere fois? M aimait il encore? J attendai son retour, je me plierai a son caprice comme a chaque fois. J avai hatte de voir son regard se poser a nouveau sur moi. Je me mettrai a genou lors de son retour et leverai timidement les yeux vers lui comme a mon habitude, et le regarderai reflechir. Je le regarderai reflechir a ce qu il va me faire subir. Parfois il souri et je frissone. Le soleil commencait a se lever. Des vagues de couleur roses et violette coloraient les nuages dans le ciel. Alors que je me laissai envouter par ce spectacle grandiose, je tendi l oreille car j entendai des pas. Je pousais molement sur mes bras pour me redresser. Ce que je me sentai faible et fatigue. J avai froid mais j etai exite! Maitre? Je jubillai d impatience. Je reconnaissais cette demarche, c etait surement lui! Je me mettai a genoux et attendai en souriant. Il apparu entre les arbres et s arreta. Je levai timidement les yeux pour le regarder. Il souriait. Je vis un objet dans sa main. C etait un plug. Un frisson me parcouru des pied a la tete, je me senti vulnerable. Il s avanca vers moi puis me carressa la tete, je ne le quittai pas des yeux. Il glissa sa main dans mes cheveux et la referma autour. Puis tirant, il me forcea doucement a m incliner vers l avant. Une fois ma tete appuye contre le sol, je fermai les yeux et levai spontanement mes fesses. J allai etre plugue par mon maitre. J aurai aime utiliser mes mains pour ecarter mes fesses, mais elles etaient a plats sur le sol de part et d autre de ma tete et je n osai plus bouger. Il me carressa d abord avec un doig m etalant une sorte de graisse. Elle etait chaude, je ronronai de plaisir aussi discretement que possible. Je me senti a nouveau faible, je savai que j allai souffrir un peu. Il commenca a appuyer. Je serrai spontanement les genoux et ecartai les pied. Il commencait a rentrer. Cela me tirait. J avalai ma salive et acceptai ce qu il m infligeait en silence. J essayai de ne pas bouger mais la douleur etait de plus en plus forte et mon corp fatigue avait du mal a tenir la position alors que je me sentai pousse vers l avant. J avai peur de ne pas tenir et de le decevoir puis d un seul coup je senti le plug entrer et se caller a sa place entre mes fesses. Je tremblai. Je vis son ombre englobante se redresser autour de moi, il se relevait. Alors que je restai a quattre patte regardant l herbe sur le sol, je senti sa grosse chaussure de randonnee se poser sur ma hanche. Je sentai ses crampons et les residu de feuille mortes mouille appuyer sur ma peau. J avai froid et je me sentai faible avec mon plug. Il me poussa avec son pied et je tombai sur le cote. Je laissai echapper un sanglot et me recrocuevillai sur moi meme. J allai rester enchaine ici. Il me regarda intensement. "Merci... Maitre" lui dis je. Et il tourna les talons alors que je restai la, nue et faible, frigorifie et le cul pluge, dans l herbe humide. Je m endormis en esperant que personne ne me trouverai ainsi par hasard.
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Par : le 15/09/21
Avec application, le voile de l’illusion, le tenir. Fermement, pas que des mains, retenir. Augmenter la pression, chercher le point de rupture, Infléchir, faire céder ta fierté de cette cambrure. Imaginer la chute, celle dans laquelle je te précipite, Ma porte de sortie, ma fuite, mon exit. M’assurer de quitter la scène, sinon moins en héros, Te laisser croire que tu le décides, que nous sommes égaux. Dans l’agitation de l’action ton bandeau se soulève, je me précipite. Te garder aveugle, à tout prix, te laisser croire que tu m’excites. Il sera bien assez tôt là, le temps ou je ne serais plus, Pour cette hypocrisie du soir, me détesteras-tu ? Dès le départ, tu me les as confiées, les clés de ta soumission. Ces détonateurs, ces alertes, ces voyants qui te pousseraient à mettre fin à cette relation. Ces boutons sur lesquels je sais donc désormais appuyer, Les leviers, les manœuvres, pour te pousser à me repousser. Progressivement, communication, confiance, les déliter. Ces incohérences que tu exècres, les arborer, les exulter. Écarts insupportables entre paroles et gestes, Quant à l’expression de ma domination sur toi, peu à peu, lâcher du lest. Ce soir c’est mon bouquet final, mon ultime jeu théâtral, En bon chef d’orchestre, je sublime et magnifie mes fausses notes, Il est temps que la grenouille se brûle, sorte de mon bocal, Dépasser les bornes, juste ce qu’il faut, cette fois il faut que ça dénote. Tu avais été prévenue, tu venais pour mon plaisir, pas pour le tien, Promptement faire mon affaire, m’assurer du minimum te faire endurer, Chancelante, comme toujours, mais cette fois l’issue qu’importe, Tu n’es que le sujet d’expérience de mes doutes inavoués. Ruisselante de mon foutre, aussitôt te congédier. Sans un regard, tu reprends ton sac, de chez moi referme la porte. Comme un clap de fin l’écho irrégulier de tes talons désorientés dans l’escalier. Ton attitude sans équivoque m’en rassure, le message est passé.
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Par : le 12/09/21
Bonnes vibrations Elle est là, muette, offerte, immobile, lascive, provocante et narquoise, outrageusement cambrée sous une feinte innocence. Parée comme j'aime. Elle regarde même ailleurs, comme pour m'ignorer, sachant pertinemment que je suis là, augmentant encore mon désir. Perverse! Elle va devoir assumer et elle le sait. Comment ne pas se pâmer devant de telles courbes qui feraient bander un eunuque ? Je sais sa posture savamment travaillée pourtant je tombe à chaque fois dans le piège. Sachant mon fétichisme la sublime garce s'est parée de cuir. Hors de question de passer pour un type facile, pourtant... Je bave, je bande. Je m'approche, elle a gagné la salope, elle le savoure, probablement. Défaite en rase campagne pour votre serviteur. Mon regard parle pour moi, mon vit encore plus (il ne ment jamais, lui ...). Je l'imagine jubiler, piétinant un homme à terre. Mais ma reddition aussi rapide que consciente en sera récompensée, je le sais, et elle le sait. Ma main impérieuse et soudainement fiévreuse se pose sur son arrière train diaboliquement tentant. Puis remonte vers son encolure, épousant au plus près ses divines courbures. Toucher si doux, je sens ses odeurs mêlées et entêtantes. Elle frémit. Je tremble. Je m'arrête avant l'inéluctable, pour jouir du moment présent et plus encore de celui à venir. Elle s'apprête à s'exprimer mais semble s'abstenir au dernier moment : c'est moi qui en déciderai et elle le sait. Et sans la moindre forfanterie je sais trop bien comment la faire ronronner, miauler, ou crier à pleins poumons. Encore heureux après tant de chevauchées ensemble, toujours elle dessous. Alors que je fais mine de chercher son bouton d'amour dont je connais pourtant l'emplacement et le mode d'emploi par coeur, elle vibre déjà. Pâle vengeance. Comme une promesse d'un proche et endiablé moment. Ma pression se fait plus incisive, enlevant son baillon : potato, potato, potato. C'est quand même beau le son d'une Harley...
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Par : le 12/09/21
Et oui on ne se refait pas... Je ne puis résister au plaisir de vous faire partager un de mes textes favoris de notre si riche littérature. Tant de finesse et d'esprit partagé me laisse toujours coi. Georges Sand (Madame est-il besoin de préciser) commet une douce missive à son amant Alfred de Musset. Cher ami, je suis toute émue de vous dire que j'ai bien compris l'autre jour que vous aviez toujours une folle envie de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et si vous voulez me voir ainsi vous dévoiler, sans artifice, mon âme toute nue, daignez me faire visite, nous causerons en mais franchement je vous prouverai que je suis la femme sincère, capable de vous offrir l'affection la plus profonde comme la plus étroite amitié, en un mot : la meilleure épouse dont vous puissiez rêver. Puisque votre âme est libre, pensez que l'abandon où je vis est bien long, bien dur, et souvent bien insupportable. Mon chagrin est trop gros. Accourez bien vite, venez me le faire oublier. A vous je veux me sou- mettre entièrement. Votre poupée Bon certes la fin est légèrement BDSM. :smirk: Maintenant si on lit une phrase sur deux (« je suis toute émue... »), le romantisme laisse place à des arrières pensées délicieusement moins pures. La réponse de notre tout aussi brillantissime poête n'est évidemment pas en reste. Quand je mets à vos pieds un éternel hommage, voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d'un cœur que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire couche sur le papier ce que je n'ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, vous saurez quel remède apporter à mes maux. Sublime comme toujours chez l'auteur, plus encore quand on devine qu'il s'agit d'un acrostiche (ne prendre que le premier mot de chaque phrase). La réponse de la belle ne se fit point attendre, avec le même esprit : Cette indigne faveur que votre esprit réclame nuit à mes sentiments et répugne à mon âme. Quelle soudaine pudeur. Apparente :innocent:
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Par : le 10/09/21
J'attends La Pluie, j'en ai besoin. Comme d'autres ont besoin de la caresse sécurisante des rayons du soleil sur leur visage, Moi j'ai besoin de la sensation enveloppante de La Pluie, sur tout mon corps. Et après plusieurs semaines d'attente, aujourd'hui enfin son appel, La Pluie. Nous nous sommes données rendez-vous dans le parc. Impossible d'exiger l'exclusivité, cette partenaire est bien trop généreuse, Et il faut savoir se faire à l'idée qu'elle embrassera tous ceux qui seront à sa portée, Passionnante amante capricieuse et passionnée qui n'a que faire du consentement de ses proies. Avec elle, c'est quand elle veut, qui elle veut, ou elle veut, comme elle veut. Après les longues semaines de frustration, c'est l'insoutenable suspense. Honorera-t-elle le rendez vous ? Oui ? Non ? C'est cinquante-cinquante d'après les ragots météo. Les nuages sont bien là. Lourds, chargés, l'alléchante menace. Je lève les yeux vers ce ciel et je patiente, en dévotion. Toute la nature autour de moi semble trembler de la même impatience que moi. Ce sol assoiffé et cette végétation turgescente gourmande de tout aspirer jusqu'à la dernière goutte. Les minutes s'écoulent, les effluves aqueuses perverties par la ville embrument mon esprit, Font grandir encore mon désir de voir tous mes sens s'abandonner à son offrande. Sur le banc je me surprends à serrer imperceptiblement les cuisses, Tandis que le la brise s'en vient, délicieux prémices, encourageante promesse. La prétentieuse n'a de cesse de me faire languir. Je peux sentir son regard scrutateur sur mon être et l'imaginer jouir de se faire ainsi désirer. Sourire carnassier. Et moi de commencer à m'imaginer séquestrée dans ma frustration, entamer le deuil de cette session. L'heure est largement passée, alors j'accepte, je me résigne. Je me lève pour quitter l'ilot de verdure, bouffée étouffée d'oxygène au milieu de la ville polluée. C'est cet instant que choisit l'infidèle, pour me surprendre. Chuchoter, sur ma peau, quelques gouttes. D'abord éparse, j'ai le temps d'appréhender avec précision ce contact. Chaque point d'impact du liquide frais sur ma peau brulante, A la fois aussi laiteuse que fiévreuse, enivrée du désir de lui appartenir. Je savoure, les tant attendues pichenettes. Ma tête, mes bras, mes jambes, mon visage. Chaque partie de mon corps qui est dénudée est savoureusement frappée comme il se doit. Chaque lourde goutte éclate au contact de ma peau, Myriade de cellules avides de s'écouler sur mon corps pour mieux l'en recouvrir. Puis, enfin, comme la délivrance tant suppliée, le rythme s'accélère. Les impacts claquent et se font de plus en plus pressants. Omniprésents. Pénétrants. Mes vêtements commencent à s'alourdir. Gorgés d'eau, ils collent à ma peau qui devient de plus en plus froide, Contraste abyssal avec ce feu qui me ronge de l'intérieur, Désir incandescent rugissant du fond de mes entrailles. Mes cheveux plaqués contre mon visage et mon dos ruissellent, Je me liquéfie toujours plus à son contact. Je deviens son vecteur. Elle cours sur tout mon corps. Glisse, caresse, tout ce qui lui est accessible. Et tout de moi lui est accessible. Je ne peux lui refuser aucun accès. Par sa seule nature, elle transforme le tissu en cage impudique, Révélant chacune des formes de ce corps à qui y pose son regard. Habillée mais nue. Exhibitionnisme légal de mes tétons saillant, naturelle indécence. Rien de l'arrête, inquisitrice, s'abreuvant de tous les interstices. Dans l'intimité de son lourd manteau impermanent, Elle et moi seules savons l'émoi que cette étreinte me procure. Petite chose humaine grisée, tous les sens dédiés à l'accueil et l'acceptation de ce qui est. Les passants ont dégainé bien rapidement leurs parapluie. Ont couru s'abriter. Les impertinents, encore capables de se plaindre d'avoir les pieds mouillés. Moi, je rentre chez moi emplie de gratitude pour cette intense attention qui m'est accordée. Puis lorsque dans le secret de mon foyer je pourrais enfin me dévêtir, Ma chaire de poule et ma peau glacée me rappelleront encore quelques heures à cet heureux souvenir. Merci La Pluie.
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Par : le 06/09/21
Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis. Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée. Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones. Découvrir l’objet Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres… Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Par : le 20/08/21
Chapitre 4 Ma cage et mon masque retiré, Dame Anna m’attache à la croix de St André et fixe un petit micro à mon collier : « Tout le monde va t’entendre, soumis. Tes gémissements de douleur ou de plaisir seront pour nous tous. Et je pense qu’à travers tes feulements, chacun saura distinguer la douleur et le plaisir. Mon but est de montrer que pour nous, les adeptes du SM, les 2 sont indissociables. « Je suis face à la piscine, bras et jambes écartés sur la croix, le corps entièrement offerts, les tétons déjà excités à la perspective de mes jeux favoris, sexe en érection à la pensée de ce qui m’attend. Et cela commence par de douces caresses que je sais annonciatrice d’autres moins douces ; je ronronne de plaisir mais laisse échapper de petits cris lorsque sans me prévenir, Dame Anna enfoui un pincement net au milieu de ses caresses. Puis quand je suis « à point », elle prend mes mamelles à plein mains et les tord violement pour ensuite s’occuper de mes têtons pincés et tordus entre ses doigts experts. J’ignore d’où lui vient cet art, mais pour moi, c’est de l’art . A la différence d’autres Maitresses, Dame Anna exige que je la regarde dans les yeux et ses yeux plantés dans les miens, elle voit mon plaisir monter et le dirige à son gré. Je ne m’appartiens plus, je suis à elle et ne peux que le dire à voix haute. En pinçant mes têtons, Elle joue avec mon corps comme d’autres jouent du violon en caressant et en pinçant les cordes. Je lis son plaisir dans ses yeux comme elle doit lire le miens dans les miens. Mes tétons sont tirés et pincés à l’extrême et la douleur monte crescendo au rythme du plaisir que je hurle maintenant. C’est cette symbiose qui est génératrice de jouissance pour moi et apparemment aussi pour Elle.. Elle s’arrête, me laissant exsangue et frustré car j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Un groupe s’est formé autour de nous . Elle me bande maintenant les yeux et je sais qu’elle va me confier à d’autres mains mais qu’Elle ne veut pas que je les reconnaisse. Des mains néophytes qu’elle va diriger mais qui seront sans doute moins expertes que les sienne. Me voici maintenant un objet d’exercice pour les libertins qui nous entourent et qui vont pouvoir s’entrainer sur moi. Mais cela commence là aussi par des caresses et cette sensation de huit, dix mains sur moi est délicieuse. Toutes les parties de mon corps, sexe inclus ont droit à leurs caresses et je ronronne à nouveau de plaisir. Continuez comme cela, n’arrêtez pas ! Mais voici que des doigts s’intéressent à mes têtons, bien mis à mal par Dame Anna et qui n’ont pas encore récupérés. On les tire, on les tord avec une brutalité qui n’a rien à voir avec ce que j’ai connu quelques minutes plus tot. Puis plus rien et j’entends la voix de Dame Anna qui détaille la façon de faire en joignant bien dur le geste à la parole. Je l’entends recommander plus de doigté et je sens qu’elle montre l’exemple. Le bandeau est retiré mais l’apprentissage continue et le cobaye encaisse, le bon comme le mauvais. Je reconnais des voix entendue quand j’étais attaché au comptoir , j’entends les conseils de Dame Anna et je subis les assauts répétés des participants qui font de leur mieux . Et puis Dame Anna fait signifie que c’est assez et demande à 2 participants de me détacher.et d’aller me laver un peu plus loin au jet d’eau. Comme quoi le SM , ce n’est pas faire mal , c’est donner du plaisir sous la forme que l’autre peut le recevoir .
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Par : le 14/08/21
Un WE très spécial Chapitre 3 Le téléphone sonne : « Oui Madame, il est toujours là . - -Non , il n’a rien dit , et oui , il ‘est laissé faire même quand on lui a pissé dessus. . - -Mais rassurez vous , je l’ai lavé à grande eau pour que l’odeur ne vous incommode pas . -…… - A 4 Pattes ? Ce n’est pas un peu loin ? -…….. - Comme vous voulez Madame je vous l’amène tout de suite comme un gros toutou . Un employé me détache, me fait mettre à 4 pattes et m’emmène, les yeux toujours bandés, en tirant sur la laisse. Les couloirs s’enchainent,. Je sens que nous croisons des gens. Comment me regardent-ils et que pensent ils ? En grand exhibitionniste que je suis , je n’ai pas vraiment honte d’être ainsi baladé …tant que personne ne me reconnaît Après la moquette, nous arrivons sur du carrelage et aux bruits, je pense être proche de la piscine. « Voici votre chien, Madame » -a t’ Il a été très sage, -oui madame , il n’a pas dit un mot et a tout supporté ; même de se faire pisser dessus. - Encore heureux, sinon il aurait été puni. Vous voulez bien lui apporter une écuelle d’eau ? Il doit avoir soif, ce chien » Je reconnais la voix de Dame Anna et je suis tout heureux d’être maintenant à coté d’elle. Elle attrape ma laisse et me tire vers elle. Je me heurte à un bord et devine qu’elle doit être allongée sur une chaise longue. Elle me caresse la nuque et la croupe : « C’est bien mon noname , tu es un bon chien, je suis contente de toi ;-Fais le beau maintenant« Je m’agenouille et met les mains en offrande au niveau de ma poitrine. Elle enlève mon bandeau et mon museau et me fait laper l’eau que l’employé vient d’apporter. C’est moins bien que de boire au verre, mais cela fait beaucoup de bien quand même. Un chien doit se contenter de ce qu’il a . Je suis maintenant à genoux, assis sur les talons à coté de son fauteuil. les mains en position de soumission. Elle m’explique que nous sommes dans un gite libertin et que le SM est le thème du Week-end. Notre mission est de faire quelques démonstrations et d’apprendre à ceux qui le désirent ce que le SM peut leur apporter. Je devrais donc me plier à toutes leurs exigences et aux siennes aussi bien sur. Maintenant que je n’ai plus mon bandeau, et même si je dois garder les yeux baissés, j’ai remarqué qu’une croix de St André avait été dressée à un bout de la piscine, non loin de là où nous sommes. Mais avant de commencer à jouer tu vas danser pour ta Maitresse, soumis. - allez ! Debout !, Danse en te caressant devant mon fauteuil au rythme de cette musique. Mais pas touche à ton sexe ou à ta cage ! J’ai toujours ma cage qui ballote entre mes jambes et je me caresse le corps le plus langoureusement possible au rythme de la musique diffusée au bord de la piscine. Quelques morceaux plus tard elle me fait signe de m’agenouiller à coté d’elle et m’ordonne de boire, toujours dans l’écuelle bien sur. Couché sur le sol, j’ai apparemment droit à un peu de repos avant ????
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Par : le 07/08/21
Chapitre 2 : Présenté J’entends des voix, sans doute d’autres clients qui viennent au comptoir non loin de moi pour s’enregistrer et prendre leur clef. Ils s’étonnent de ce type nu qui est attaché au comptoir. Le réceptionniste leur dit que ce weekend, ils ont droit à un extra : un soumis à la disposition des clients pour tous les usages qu’il leur plaira. Ce chien qui est là devra se plier à toutes leurs demandes même les plus osées. Son corps tout entier est à leur disposition. Sur demande, sa propriétaire leur prêtera même la clef du cadenas qui tient la cage fermée entravant un sexe qu’on lui a dit être gros. « Intéressant » , dit madame , tandis que d’une main elle tire sur la cage et que d l’autre elle pince violemment mon têton . « Il est grassouillet mais cela lui permet d’avoir une solide poitrine » « Qu’en penses tu , mon chéri ? » elle me tient fermement par les couilles en agitante de plus en plus mon sexe enfermé dans sa cage de métal. « humm il faudra voir, peut être un petit massage pour s’échauffer ou une fellation » et il mets ses doigts dans ma bouche pour l’examiner. « On peut aussi l’enculer ? « « Mais bien sur Monsieur, quand et comme vous voulez, mais avec un préservatif bien sur »r « Bon, nous verrons cela plus tard, allons y maintenant » rajoute madame en tapotant ma cage Et je me retrouve seul, toujours enchainé au comptoir, entendant le bruit d’un employé qui semble taper sur un clavier. Puis de nouveaux arrivants dont l’homme apostrophe le réceptionniste - c’est quoi, ce gros chien tout nu , » - Un soumis à votre disposition et à celle de Madame , Monsieur » - Un tas de graisse vous voulez dire et il me palpe méchamment les seins après m’avoir frappé sur le ventre - un truc à me faire gerber, cela me donne envie de lui pisser dessus à ce tas de Merde - Cela doit pouvoir se faire , Monsieur » lui répond froidement le réceptionniste - tu es sur de vouloir faire cela mon chéri , lui dit sa femme » -Mais Oui , après la route , j’ai très envie de pisser , vous pouvez me l’emmener dehors pour ne pas salir le tapis ? Et je suis aussitôt emmené à la laisse dehors où je dois m’agenouiller pour que cet homme que je ne vois pas me pisse à la gueule : « enlevez lui cette fausse gueule pour qu’il prenne tout sur le visage -Ah , cela soulage !!! le jet violent balaye mon visage et l’urine chaude se répand sur mon ventre -Ça va peut être le faire maigrir et finalement, c’est marrant de pouvoir faire ce que l‘on veut avec un chien de ce type , même trop gros . Je sens que je vais m’amuser. -En attendant allons boire un cocktail dans notre chambre mon Amour et laissons ce souillon à ses délires » Je pue la pisse mais un seau d’eau froide versé sans ménagement diminue l’odeur et me voici ramené à ma position initiale dos au comptoir en rêvant aux cocktails que ce couple doit siroter. Et peut être aussi Dame Anna dont je n’ai aucune nouvelle Cela me fait furieusement envie, mais je suis soumis et je dois rester à ma place, obéir à Dame Anna qui m’a voulu ici offert à tous pour faire honneur à ma Maitresse. Je reste donc stoïque et ravale des rêves de cocktail bien frais. Avec la chaleur ambiante, je sèche rapidement même si le masque et le bandeau restent mouillés. J’entends à nouveau des pas qui se rapprochent et quelqu’un qui s’enregistre. « Et ça, c’est pourquoi faire ? » Je sens un doigt qui s’enfonce dans mon ventre ,, -Mais ce que vous voulez Messieurs . Ce chien est à votre disposition et à celle des autres clients pour le WE. Sa Maitresse vous le confirmera et vous prêtera même les clefs de sa cage si vous le lui demandez » Il a dit « Messieurs » , Un couple d’homos ? « Il suce, il encule et peut être enculé ? , dit l’un deux -Mais bien sur messieurs, tout ce que vous voudrez , comme vous voudrez -Sous la cage, elle est grosse ? Et son fond ? - Vous aurez le temps d’apprécier tout cela vous-mêmes Messieurs. N’oubliez pas de le réserver auprès de sa Maitresse Dame Anna, qui doit être au bar ou à la piscine » je n’ai jamais eu une expérience à 3 hommes, mais pourquoi pas ? Toujours cette référence au bar, alors que je suis exposé ici …à boire ma soumission
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Par : le 05/08/21
Un Week-end très spécial Chapitre 1 l’arrivée Ma Maitresse m’a envoyé chez une amie qui va « prendre soin de moi ». J’arrive donc chez Dame Anna qui me fait me déshabiller, mettre une cage de chasteté et 2 bracelets Elle me met ensuite mon collier que je lui présente à genoux et m’enfile un gode queue dans le cul. Vêtu d’un simple imperméable, nous descendons au parking où je monte dans sa voiture. Après un temps certain, Elle s’arrête sur un parking apparemment peu fréquenté, me demande de mettre un masque de chien, de sortir nu de la voiture et de me diriger pieds nus vers son coffre où je me retrouve prestement enfermé pour les derniers kilomètres qui nous séparent du but . Effectivement après quelques minutes , je sens que la voiture s’est engagé sur un chemin de terre et pui s s’arrête . Sans doute le parking et la libération de ce coffre où je commence à faire de la claustrophobie. Mais j’entends sa portière se refermer et ses pas s’éloigner. Le silence. Me voici seul, livré à moi-même et j’ai du mal à réprimer mon angoisse. Le noir et le manque d’air m’oppressent. De longues minutes s’écoulent. J’entends une voiture qui s’arrête à coté de nous, des voix, apparemment un couple , mais je me retiens de me manifester . A nouveau le silence. Puis le coffre s’ouvre : « sors de là , chien » Devant moi un homme qui est visiblement un employé de la maison ayant reçu des instructions très nettes quant au « bagage » à prendre dans le coffre . Dès que je suis debout, il m’attache les 2 mains dans le dos et fixe une laisse sur mon collier. Je dois le suivre, pieds nus sur un sol caillouteux avant de rejoindre une allée bétonnée et de rentrer dans un genre d’hotel. Là il m’attache par les mais dans le dos à un comptoir de sorte que je me présente face à l’entrée, dos au comptoir. Après m’avoir ordonné de ne pas bouger, il me met un bandeau sur les yeux. Je me laisse faire bien sur comme Dame Anna me l’a ordonné mais je me dis que nous ne devons pas être dans un endroit ordinaire. Un hotel ou ne maison d’hôte BDSM , peut être simplement libertine , ou peut-être les deux ?
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Par : le 02/08/21
J'ai raconté ici ma première expérience avec Stéphanie, ma première domina. Une grande femme d'1m85, blonde, cheveux aux carré, dotée d'un corps magnifique. Depuis, nous avons joué de temps en temps et nous restons en contact. Mais depuis 2 mois, je vis une relation extrêmement troublande avec Claudia (Claude de son vrai nom). C'est un trans opéré en haut et en bas. Notre rencontre fût assez glauque, une plage échangiste de la région où elle m'a abordé au millieu des pins "pour me sucer". Claudia, ma trans domina, est un homme à la base de 38 ans. Il y a 10 ans elle s'est fait opérée et est devenue la femme d'aujourd'hui, sublime transsexuelle. C'est un petit bout de femme d'1m65, la poitrine "généreuse", un corps de Betty Boop, de belles fesses féminines, mais les hanches ne sont pas dessinées, ça reste un corps d'homme. L'ensemble reste trés féminin, c'est à s'y méprendre. Une jolie petite femme cheveux mi longs chatain clair aux yeux bleux et un visage d'ange, hyper féminin. Depuis 2 mois, nous nous voyons régullièrement, passons des semaines ensemble . Sexuellement, le seul problème, c'est sa chatte. Visuellement on est trés proche d'une chatte réelle, sauf qu'il n'y a aucune lubrification. Comme je suis un grand amateur du cunnilingus, il me manque ce goût unique qui fait mon bonheur, celui de la cyprine. Nectar ultime de la femme qui m'emporte telle une drogue quand mon visage s'innonde de ce met délicieux. Je suis bouleversé par Claudia, car nous avons des sentiments mutuels et partagés. Je ne me sens pas homo quand je lui fais l'amour ou quand je lui dit "je t'aime". A mes yeux , c'est une femme. Elle est pleine de tendresse, d'affection, d'intensité sexuelle ...bref, c'est pour moi la femme parfaite, mais c'est un homme. Et c'est ce qui la bouleverse à elle aussi. Elle me confiait que j'étais le premier homme à ne voir que la femme en elle. Le fait de la tenir par la main ou par la taille en public, elle se sent femme. Je l'ai présenté à mes amis, à ma famille, personne ne se doute de sa véritable identité. Je l'ai présenté à des collègues de travail (milieu trés masculin, brutal, plein de testostérone), et ça m'a fait sourire les commentaires aprés la première rencontre "elle est super bonne, tu dois bien t'amuser"..si ils savaient..LOL !. Sexuellement, avec Claudia, ma domina trans, c'est du "VANILLE, PLUS PLUS". Comme elle connaît parfaitement le corps de l'homme, autant dire que ce ne sont pas des fellations mais bel et bien l'hymne à l'amour d'une bouche sur le sexe d'un homme. Jamais rien connu de comparable. Des orgasmes de folies qu'elle m'offre à chaque fois. "je te suce comme je t'aime" voilà ses mots, et c'est grandiose. Parfois elle vient titiller ma prostate avec ses doigts de fée . Et comme elle est dotée d'une prostate aussi, elle sait me carresser comme aucune domina ne l'a jamais fait, un paradis. Je ne compte pas les orgasmes que j'ai connu rien qu'avec ses doigts, sans me toucher le sexe...pure folie. Mais Claudia n'a jamais voulu utiliser un gode ceinture avec moi . "je suis devenue une femme, c'est pour me comporter comme une femme, pas pour sodomiser un homme". Ce sont ses mots, et je les ai compris et acceptés. Il y a peu, Stephanie m'a recontacté, ma première Domina. J'en avais parlé à Claudia, je lui avais dit que je pratiquai le SM. Claudia a voulue rencontrer Stéphanie. Ce fût fait, elles se sont trés bien entendue, et elles connaissent toutes deux la réalité sur l'autre. Le jour de mon anniversaire, Claudia m'a organisé une soirée, avec Stéphanie, sans me prévenir. Nous étions en train de prendre l'apéritif, le soir avec Claudia, et la sonnerie a retentie. "Voilà ma surprise", et elle a ouvert la porte. Stéphanie est entrée, toujours aussi phénoménale physiquement, et elle portait la jolie robe moulante qu'elle avait lors de notre premier rendez vous. J'ai compris que j'allais être mangé tout cru par ces deux femmes. On a pris un apéritif, et elles m'ont annoncé la couleur. Comme je ne pratique plus la soumissions depuis que j'ai rencontré Claudia, elles m'ont annoncé que je serais " l'homme objet" de la soirée, qu'elles allaient s'occuper de moi . Pas de fouets, pas de violences, mais au programme, pince à tétons, pinces sur le corps, et beaucoup, beaucoup de tendresse. J'ai eu du mal à comprendre comment elles allaient procéder, mais je me suis laissé porté. Sur le canapé, je fût envahi de caresses, des gestes tendres, mais sans équivoque. l'une passait parfois derrière le canapé, me serrant doucement par le coup pour m'embrasser, pendant que l'autre me caressait le sexe à travers le pantalon. Plus d'une heure de ce petit jeu, puis Claudia bascula le canapé en lit. Là ce fût le début de l'aphotéose. Elles me déshabillèrent avec douceur, me prodiguant carresses et baisers pendant que l'autre me mettait les pinces à tétons. Elles échangèrent leurs places plusieurs fois, l'une dans la douceur pendant que l'autre me mettait des pinces sur tout le corps, chacune leur tour. J'étais à leur merci, l'homme objet parfait, complètement passif, je me laissais porter par le désir de ces deux femmes. Puis elle m'attachèrent les mains au canapé, j'étais sur le dos, je devenais le jouet . Là, Stéphanie s'assis sur mon visage. Claudia me dit "je t'offre ce breuvage, lêche la jusqu'à ce quelle jouisse, nourrit toi mon amour". Ce fût un vrai bonheur, Stéphanie frottait son hymen sur mon visage pendant que ma langue cherchait à s'abreuver de chaque goutte de sa cyprine délicieuse. En même temps, elle tirait sur les pinces un peu partout sur mon corps. Brûlures délicieuses qui faisaient tendre mon sexe avec une intensité peu commune. Puis j'ai senti les doigts de ma petite fée s'offrir la voie de mon anus. J'étais complètement déboussolé. Je me délectais de la chatte et de l'anus de Stéphanie, pendant que Claudia me pénétrait avec ses doigts pour me carresser ma prostate. Je n'ai pas tenu plus d'une minute, ce fût l'explosion, l'orgasme de folie. J'en avais mal à la tête tellement c'était puissant. Elle me détachèrent, et se sont collées contre moi, nue toutes les deux. Un vrai bonheur. Elles m'enlevaient les pinces en tirant un peu dessus... histoire de bien me faire monter en pression, mais m'innondaient de carresses et de baisers en même temps... A ma grande surprise, une deuxième érection arriva au bout de 15 mn de ce doux suplice. Elle se sont redressée toutes deux , se sont regardées d'un air malicieux et Claudia a dit " on recommence", elles ont éclatées de rires, se sont embrassées, se sont caressées leur poitrines et m'ont rattaché. Claudia a demandé à Stéphanie de se mettre sur moi, de se faire pénétrer pour qu'elle mouille sur mon sexe, elle voulait se faire pénetrer elle aussi aprés, connaître cette sensation de la cyprine sur ma bite dans sa chatte. Alors Stéphanie s'assis sur mon sexe, elle bougeait dans tout les sens. Sensation que j'avais oublié d'une chatte chaude et humide, un vrai délice. Pendant ce temps, Claudia me titillait la prostate avec douceur et fermeté. Puis Stéphanie se coucha complètement sur moi, cambrant ses fesses et demanda à Claudia de s'occuper aussi de son anus. Elle s'éxécuta avec plaisir. Je sentais Stéphanie apprécier la carresse anale. Sensation folle de prendre une femme et de sentir nos anus se faire carresser par une autre. Instant doux et délicieux. Je sentais la cyprine couler sur ma verge, j'avais oublié cette sensation merveilleuse. Stéphanie se releva doucement, elle se retourna vers Claudia et dit "à toi maintenant". Là, Claudia s'empalla sur mon sexe, et j'avoue que ce fût une sensation unique et trés agréable. Ce sexe qui d'habitude doit être lubrifié artificiellement, c'est empallé avec une naturelle douceur. Magnifique. Stépanie, pendant ce temps, s'est équipée d'un straponme. la fête allait commencer. Elle est revenue avec du lubrifiant. J'étais allongé, attaché par les mains, elle me releva les jambes, me mis du lubrifiant dans l'anus, et commença à me pénétrer. Ce ne fut pas trés facile car mon anus s'est un peu refermé depuis 2 mois de non pénétration, mais elle y arriva rapidement. Là mon souffle commençait à accélérer. J'avais un peu mal, mais j'ai connu bien pire (LOL). Stéphanie carressa l'anus de Claudia, lui mis du lubrifiant à elle aussi, et elle la pris par l'anus à elle aussi. La scène m'exitait tellement, voir la complicité entre les deux, que j'allais exploser. Mais j'ai réussi à contrôler à ma grande surprise. Claudia ne tardit pas à jouir (oui, elle ne jouit que par l'anus, ça ne surprendra personne). Elle s'écroula sur moi, en sueur, les yeux pleins d'extase, me serra contre elle , m'embrassa. Je sentais ses mains glisser entre ses cuisses. Elle repoussa le gode ceinture pour introduire mon sexe dans son anus; Elle demanda à Stéphanie de venir en moi avec le gode ceinture; Là ce fût terrible pour moi. Première fois que je sodomisais une femme (enfin disons ça comme ça) tout en me faisant sodomiser par une autre femme. ça n'a pas duré trés longtemps, tout au plus quelques minutes. l'orgasme fût tel que j'ai crié. Malgré ma réaction, elles ont continué à me pénétrer doucement, Claudia faisant de grand mouvement avec son bassin de manière à ce que mon gland soit complètement écrasé dans son anus, je n'en pouvais plus . A ce petit jeu qui n'a pas dû durer plus de trente secondes, j'ai eu un deuxième orgasme sans pour autant avoir éjaculé. Mon corps était raidit comme une planche, mes jambes tremblaient , comme tétanisées. Elles se sont retirées toutes les deux, m'ont détaché, essuyé mon corps plein de sueur. Elles m'ont essuyé le sexe avec des lingettes, j'étais complètement KO. je ne pouvais plus bouger, je voulais juste me mettre sur le coté et dormir tellement j'étais épuisé, tétanisé. Elles sont allé se doucher toutes les deux. J'entendais leur fou rires, et elles se carresaient sous la douche, mais je ne pouvais plus bouger. Au bout de 20 Mn elles sont revenues, toutes fraîches, m'ont pris par la main et m'ont mis sous la douche. j'ai eu droit à une douche à 4 mains, des caresses toutes douces, des baisers, beaucoup de tendresse. Nous avons repris un apéritif ensemble , avons mangé et discuté. Nous avons passé la nuit ensemble, à 3 dans le même lit. Ce fût magique. Depuis, je sais une chose. Au delà du fait que Claudia soit un trans, c'est une femme extraordinaire. Nous savons que notre relation ne durera pas. mais les sentiments sont vrais, réels, et nous nous apportons chacun quelque chose qui nous sera utile dans notre vie future. J'ai adoré être un homme objet, et je sais aujourd'hui que je ne serais plus jamais un soumis. C'est terminé pour moi les domina, par contre j'offrirai encore mon anus, ça c'est certain. Mais à une femme, pas une domina; Par contre, je dominerai encore, mais d'une manière plus douce, plus intense dans les carresses, ça je continuerai...Merci la vie , merci pour les rencontres que j'ai faites, merci pour cette rencontre bouleversante d'une femme-homme qui a plus de féminité en elle que la majorité des femmes que j'ai rencontré dans le passé.                
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Par : le 31/07/21
De prime abord l’on pourrait croire que le Dominant possède tous les droits et pouvoirs sur sa soumise. Il n’en est rien. En vérité chacun possède des pouvoirs en fonction de sa position. Je dirais même plus que le Dominant en possède moins que sa soumise. Ceci peut être sujet à discussion. Surtout avec les personnes qui s’inventent dans des rôles du jour au lendemain avec des Fantasmes en tête et qui ne regardent pas avant tout l’autre. Le Dominant pour moi a un rôle primordial sur sa soumise et se doit non seulement de la protéger mais de prendre soins de ses désirs avant toutes choses. Et s’il y a relation d’appartenance 24/24, il a le devoir de pourvoir à ses besoins vitaux pour qu’elle donne le meilleur d’elle-même. Le Dominant ne marchera pas sur la tête de sa soumise et ne la jettera pas dans les toilettes sans d'abord avoir entendu un grand "oui, s'il vous plait". J’entends par là : Il est absolument nécessaire d’avoir une discussion et briefing après chaque séance permettant au Dominant d’analyser et tirer des conclusions sur les désirs cachés ou mis au grand jour de sa soumise. Un Dominant n'est pas guidé par le sexe, c'est lui qui le guide. Un Dominant n'étale pas sa domination, elle se découvre à force de le connaitre. Le but ultime du dominant n’est pas de satisfaire son égo en premier lieu mais plutôt de pousser sa future soumise vanille ou non à se révéler à elle-même, en dépassant ses tabous et limites. Il est certainement plus compliqué et plus difficile d’être un bon dominant qu’une bonne soumise. Reste quand même à en discuter avec les intéressés. La soumise dans son rôle primaire doit exécuter les ordres de son Dominant qui s’attache lui à atteindre les limites des limites de sa soumise. La soumise fait tout pour faire plaisir à son dominant, mais reste son égal en tant qu’être humain et possède le droit de donner son avis à un moment donné. Certain couple décide de fonctionner par séances, d’autres l’intègre dans la vie de tous les jours, peu importe le fonctionnement les règles de bases ne changent pas. La soumise tire son plaisir dans l’apprentissage et le désir de satisfaire son Dominant Les règles : Je ne suis pas spécialiste des règles du monde BDSM, mais les lignes suivantes sont les fruits de mes expériences et mon ressenti personnel : Les limites : On sait très bien que les limites évoluent dans le temps et suivant le profil de chaque personne. Il est primordial d’avoir discuté en amont sincèrement, librement et sans contrainte des pratiques. Ces frontières évoluent au fur et à mesure de l'évolution de la relation. La communication verbale et non verbale: Tout Dominant doit s’attacher à détecter tous les signes de sa soumise. Il se doit de poser les questions appropriées, même pendant la séance et de pousser sa soumise à s’exprimer sincèrement. Il doit aussi la rassurer et montrer une seconde d’affection pendant la pratique. La séance : Pendant son déroulement, le Dominant va s’employer corps et âmes à satisfaire sa soumise. Il doit faire passer le plaisir de sa soumise avant son propre plaisir, mais oublier le sien n’est pas la bonne solution non plus. Le Dominant s’emploiera pendant la séance d’atteindre les limites de sa soumise sans les dépasser. Il n’est pas obligatoirement nécessaire de fonctionner par séance. Les mots clés : Le dominant doit installer avec sa soumise des mots clés. Pour ma part de façon à mieux appréhender et ressentir ma soumise, je procède de la façon suivante : Rouge : Arrêt total des pratiques et de la séance. Ceci doit être un échec pour le dominant. Le dominant doit préférer la séance qui se termine après jouissance de sa soumise ou naturellement lorsque l’un ou l’autre en ressent le besoin. Orange: Arrêt total de l’action en cours. Le dominant doit ressentir le besoin d’en parler avec sa soumise et de comprendre le pourquoi. Le mot Orange ne doit pas être un échec il est là pour aider le dominant et la soumise à discuter de la pratique. Pour ma part : je pousse souvent l’action à l’extrême limite jusqu’à ce que ma soumise éprouve le besoin de dire Orange alors que je l’avais prévu en amont. Vert: La soumise prononce ce mot lorsque elle en veut plus. Ceci est rare c’est au dominant à ressentir sans que la soumise prononce ce mot. Les blessures et marques : Aucunes blessures ou marques ne doit être infligées à la soumise sans son consentement total et sans équivoque. Chaque action doit être calculée de façon à ne pas infliger de blessures, physiques ou mentales, durable à la soumise.
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Par : le 12/07/21
La messe, par SoeurClo et Monseigneur Softail Voilà t-y pas que Sainte (on peut toujours y croire) Kate et Jésus (il doit être d'origine latine) Phoenix nous demandent à Soeur Clo et moi-même une messe spéciale. Rien que ça. Bon j'en veux aussi un peu à Loic33 qui a force de m'appeler Monseigneur (titre certes usurpé mais que je déteste point au demeurant), a du contribuer à faire germer cette idée saugrenue dans leur esprit déjà fécond. Ceci dit il s'est largement rattrapé depuis en commettant notre notre photo du jour, il donc -presque- absous. Merci donc frère Loic, Un sermon spécial passe encore. Eddy Mitchel en a bien trouvé un remarquable. Mais m'imposer l'assistance de SoeurClo ! Bah comme tout serviteur de notre seigneur qui se respecte, c'est que je les aime bien moi mes jeunes enfants de cœur... En plus c'est une vraie chaudasse la Clo sous ses airs de sainte qui touche, spécialiste des tenues outrancières sous sa chasuble de nonne ; son corset de cuir et bas résilles n'avaient pas laissé Moral indifférent la dernière fois qu'elle s'était changée dans la sacristie. Difficile de ne pas éclater de rire non plus quand elle m'expliqua que son ordre religieux intimait les voeux de pauvreté (passe encore), chasteté (et la marmotte...), ainsi que d'obéissance (Jésus Phoenix lui même a des doutes sur le sujet, c'est dire). Elle m'avait parlé de son ordre pendant que fidèle à son habitude, après s'être copieusement plugé le cul, elle enfilait ses boules de geisha avant la messe, sans cela elle n'était pas concentrée et ne disait et faisait que des conneries parait-il. Bon perso, je n'ai pas vu de grandes différences sur ce sujet avant, pendant et après, bref. Donc notre moniale avait rejoint l'ordre des cisterciens. Chemin faisant elle s'étaient arrêtée voir la veille, les frères, les purs, de l'abbaye fondatrice à Citeaux justement (pardon pour cette parenthèse aussi véridique qu'historique pour ceux qui n'espéraient que du BDSM), à côté de notre sainte paroisse dijonnaise. Ses yeux cernés, ses traits tirés (eux aussi), témoignaient certainement d'une soirée contemplative, signe de leur ordre. Quand je lui fit subtilement remarquer (« j'taurais bien dis que ta la tête dans le cul poulette ce matin, mais même mon cul à l'air plus frais que toi »), elle argua que c'était le planning quotidien de l'ordre, dimanche compris évidemment, de se lever à 4h30 pour la première prière. Je venais de comprendre d'où venait le non de l'ordre de Citeaux (oubliez l'autre explication donnée par Wilkipédia). Bon comment passionner mes ouailles passablement perverties du forum ? En leur disant la vérité pardi, et en faisant appel à leurs plus bas instincts (heureusement pas besoin d'aller chercher très loin). _ SoeurClo ... _ Oui Monseigneur ? _ Raccourcissez votre chasuble, mi cuisses disons . Voilà à la limite de votre jarretière. _ Mais... _ Oui bah on voit vos crocs, c'est pas grave. Pareil pour le haut. _ A mi cuisses aussi ? … Soupir... Saint Phoenix ouais. _ Allez, aérez moi un peu cette par ailleurs jolie paire de nichons. Voilà que ça déborde un peu du corset. Ah oui une dernière directive : pendant l'office, ne dites rien, ne faites rien, je suis déjà assez dans la merde comme ça. Pour vous occuper vous tiendrez le cierge, il paraît que vous faites ça très bien. Et puis arrêtez de vous trémousser! _ C'est que... Ce sont mes boules Monseigneur qui font effet... _ Oui bah moi aussi j'en ai et je reste sobre non ? Ah si une dernière chose : la musique. Quand vous enverrez les cantiques, ne confondez pas cette fois. Je vous rappelle vos choix discutables lors de nos dernières visites de charité : « allumez le feu » au crématorium , « alors on danse » au centre pour handicapés, « Papaoutai » à l'orphelinat, « où sont les femmes » au bar gay de la gare, « et tu tapes, tapes, tapes c'est ta façon d'aimer » au centre pour femmes battues... C'est pas le tout mais que vais-je leur dire moi à cette bande de mécréants dépravés ? L'évangile selon Sainte Kate sûrement. Verset 69.  Mes bien chères soeurs, mes bien chers frères (tu parles d'une famille...), Ce matin comme chaque dimanche en vous levant après avoir dignement honoré votre évidemment légitime épouse, n'est-ce pas (note pour moi-même : je me demande bien pourquoi on les appelle les fidèles), les moins croyants de notre petite communauté de la Chapelle Fistine ont du se dire : mais à quoi bon aller entendre toujours le même genre de sermon ? Et bien je vais vous le dire : le Christ est sexe, et même adepte du BDSM ! Je vois à votre mine dubitative que le doute vous habite. Je vous invite à ouvrir votre esprit autant que Soeur Clo ses cuisses. L'évangile est truffé de clin d'oeil pour qui sait les voir. Déjà le mot pieux revêt bien des sens n'est-il pas ? De même le Seigneur de prônait-il pas l'amour ? Qui a dit qu'il devait être uniquement spirituel ? Aimez-vous les uns les autres est bien évidemment une divine incitation à la partouze ! La mer rouge qui s'ouvre est bien entendu une allégorie aux cuisses de votre bien aimée. Et passons sur l'exhibitionnisme du Christ qui se promenait en pagne. Soeur Clo, cessez de vous trémousser s'il vous plait. Pour en venir au sujet préféré des pervers que vous êtes, oui, évidemment le Christ est BDSM. D'ailleurs pour certains d'entre vous le BDSM EST une religion à part entière. Son chemin de croix, la flagellation et le reste nous montrait évidemment non seulement la voix mais aussi ses penchants pour les sensations fortes que nous affectionnons tant. Saviez-vous qu'avant d'être crucifié, il fut attaché à la croix ? Hymne au bondage évidemment. Certes la couronne d'épines est couramment remplacée de nos jours par les orties, mais là encore ne s'agissait-il pas d'utiliser les ressources de dame nature pour satisfaire à notre passion, En parlant de cela, la passion du Christ, ne viendrait-elle pas de là ??? D'ailleurs l'église catholique a su lire entre les lignes et suivre ce chemin : l'inquisition et ses pratiques délicieuses n'en sont que la suite logique. Certes de nos jours on a remplacé le bûcher par la cire, un peu moins définitif... Mais revenons à notre Seigneur, connaissiez-vous son prénom secret, André ? La croix, vous faites enfin le lien ? Vous allez me dire , celle chrétienne est droite ! N'avez-vous jamais vu d'icônes représentant la chute du Christ, Croix toujours sur l'épaule ? Et oui elle était bien inclinée. Quand on vous attache à la croix de Saint André, ce n'est dans d'autre but que d'atteindre la rédemption via la douleur. Que vous faut-il le plus devant cette évidence bande de mécréants ? Soeur Clo, allez-vous cessez oui, vous me déconcentrez ! Et la vierge Marie dans tout cela ? Sa Domina voyons ! Inaccessible, ce qui explique sa virginité ? Elle toujours debout alors que lui était souvent à genoux. Une évidence vous dis-je ! Qu'ajouter ? La grande partouze finale, immortalisée dans la Céne par léonard de Vinci est l'ancêtre du bukkake : prenez et mangez-en tous ! La multiplication des pains (dans la gueule ou ailleurs), bref n'en jetez plus la cour est pleine. Alors mes chères ouailles, je vous attends fervents pratiquants de notre belle religion, et pas seulement le dimanche s'il vous plaît. Allez en pets (et oui même cet déviance ci vous avait échappé malgré son évidence), Jésus Phoenix et Sainte Kate vous bénissent. Vous pouvez jouir Soeur Clo. Amen.
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