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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Le lendemain, Summer, Thomas et Jo vont détecter. Moi, je dois aller faire des courses avec Martha. Ah ! Si je pouvais y aller plutôt avec Summer... Le matin, pendant que je sers le petit déjeuner, Martha fait un geste un peu vif et je me recule précipitamment. Elle rit et me dit :
— Je ne te frapperai pas si tu ne fais pas de bêtises.
Mouais... Le bateau nous dépose dans le petit port d'Orange Creek, Dean reste à bord. C'est une petite ville, mais aujourd'hui, il y a marché. Martha vient d'une autre île, mais elle connaît bien cette localité. Je suis en uniforme, y compris le tablier. Il y a de très grosses propriétés ici et c'est vrai qu'on voit des bonnes en uniformes. Je me suis un peu renseignée sur le Net au sujet des Bahamas. Il y a des riches propriétaires blancs, arrivés ici il y a deux siècles avec leurs esclaves... Par la suite, d'autres esclaves sont arrivés avec des Blancs sudistes, après la guerre de Sécession. Actuellement, 80 % de la population est noire ou métisse.
Martha commence par acheter un grand caddy que je traîne en me tenant derrière elle, puisque les bonnes marchent cinq pas derrière leurs maîtres, comme au temps de la reine Victoria.
On parle anglais, mais il y aussi un patois que je ne comprends pas, c'est ce que parle Martha avec les commerçants. Elle a l'air ravie d'avoir une servante blanche et elle parle de moi avec les commerçants. On achète de tout : des quantités de boîtes de conserves, du poisson fumé, des fruits et des légumes. Quand le caddy est plein à ras bord, je place un gros sac au-dessus. Martha me dit :
— Ne mets pas le sac sur le caddy, porte-le. Tu es vraiment une fainéante !
Rires des commerçants ! Un peu plus tard, tandis qu'elle raconte sa vie à une commerçante, je dépose le gros sac par terre. Ouch ! Martha me crie dessus :
— C'est sale par terre, souillon, porte ce sac... À moins que tu aies envie de te faire fesser ici ?
— Non, pardon, Madame.
Je porte le gros sac à deux mains. Les gens sont ravis du spectacle. Un jeune Black uniquement vêtu d'un short s'approche de moi pour me demander :
— Tu vis sur un bateau ?
— Oui...
Il me donne une photo en disant :
— Donne ça à ta maîtresse dans le bateau, c'est important.
Il s'en va... Martha n'a rien vu. Je regarde discrètement ce qu'il m'a donné. C'est une photo de plusieurs monnaies en or et au verso, il y a un numéro de téléphone. Je glisse la photo dans ma poche. Je crois que ça va intéresser Summer. Martha continue ses achats et ses parlottes. Je finis par être tellement chargée qu'elle est obligée de porter un sac... La pauvre !!!
Je pense à cette photo... J'ai hâte de la montrer à Summer, je pourrai peut-être négocier pour ne plus être la servante. Mais d'un autre côté, je n'ai pas envie de me retrouver face à des araignées et des alligators... Quand Martha a enfin fini, on retourne au bateau, moi chargée comme un mulet.
On rejoint notre petite crique et on range toutes les provisions. Ou plus exactement, Martha s'assied et ouvre une bière. Ensuite, elle me dit où ces provisions doivent aller. Dès que j'ai tout rangé, je lui dis :
— J'ai une lessive à faire, Madame.
Petit geste désinvolte de la main. Je vais laver leurs vêtements sales et plein de sueur. Les trois autres arrivent tandis que je pends la lessive. Ils ne sont pas plus frais qu'hier. Je dis tout de suite à Summer :
— Je dois te parler...
— Tu as fait des corvées ?
— Oui. C'est très important.
Elle pousse un soupir... et se dirige vers notre cabine. Dès qu'on y est, elle me dit :
— Si c'est pour te plaindre de Martha....
Je lui montre la photo. Elle la regarde attentivement, le retourne et voit le numéro de téléphone. Elle me dit :
— Putaaaiiin ! C'est ce qu'on cherche ! Qui t'a donné ça ?
— Un jeune garçon, au marché...
Elle me prend par le cou et m'embrasse. Elle a eu chaud, elle sent bon. Elle prend son téléphone pour appeler le numéro qui est au dos de la photo. Quand elle a quelqu'un en ligne, elle dit :
— Bonjour Monsieur, j'ai une photo...
— ...
— D'accord.
— ...
— À demain.
Elle me dit :
— On y va demain, toi et moi.
Je vois qu'elle réfléchit... puis elle me dit :
— Allons l'annoncer aux autres.
On va à l'arrière du bateau. Ils boivent des bières. Thomas lui en tend une. Elle boit un coup... puis leur dit :
— Ashley a eu un renseignement très important.
Elle donne la photo à Dean, qui est à côté d'elle, en ajoutant :
— Il y a des gens sur l'île qui ont trouvé ce que nous cherchons.
La photo passe de mains en mains. Martha me dit :
— Tu ne me l'as pas dit...
— Le jeune homme m'a dit de la donner à ma patronne qui est sur le bateau. C'est ce que j'ai fait.
Moue de la grosse ! Jo dit à Summer :
— Pourquoi ils nous mettent au courant ?
— Tu sais... Cette île qui est quand même proche du trou du cul du monde. C'est difficile pour des villageois de le vendre. Si le gouvernement est averti, il le leur confisque. Les grands sites de ventes aux enchères demandent la provenance des objets. Ils ont dû se dire que nous avions la possibilité de le faire. Demain, pas de fouilles, on va à Orange Creek. On viendra nous chercher au marché, Ashley et moi.
***
Le lendemain, je sers le petit déjeuner, ensuite on s'apprête à aller de l'autre côté de l'île. Summer me dit :
— Mets la robe et le tablier.
J'espérais... pouvoir y aller autrement qu'en bonne. Je lui demande :
— Je ne peux pas y aller... en civil ?
— Non, tu es ma servante.
— Oui, mais...
— Mauvaise réponse, recommence.
— Oui, Madame, je suis votre servante.
Je ne sais pas ce qu'elle a ce matin... peut-être le stress. On part tous sur le bateau. Summer dit :
— Faites un tour en ville. Je vous donne des nouvelles rapidement.
Ils aimeraient bien nous accompagner, mais c'est Summer et moi... Enfin, Summer et sa bonne.
On arrive dans le petit port et on va au marché. On attend un peu et puis le jeune Black de la veille arrive. Il a dû faire des courses et il a un gros sac... Il dit à Summer :
— Suivez-moi.
Il peut avoir 18 ans et il est toujours vêtu uniquement d'un short pas très propre. Après une centaine de mètres, il dit à Summer :
— Ce n'est pas ta bonne qui devrait porter les courses ?
Mais non, pas du tout ! Il est deux ou trois fois plus fort que je ne le suis... Summer répond :
— Si, bien sûr... Ashley !
— Oui Madame.
Je prends le sac... Oh putain, il pèse une tonne ! Je me traîne derrière eux. Le Black lui demande :
— Elle serait pas un peu paresseuse, ta bonne ?
Summer va remettre à sa place ce petit insolent. Elle répond :
— Il faut la punir de temps en temps, c'est ce que je vais devoir faire.
Aussitôt, je les suis ! Pfffff.... On quitte la ville, la route asphaltée devient une route de terre... Je transpire dans ma robe et je prends de nouveau le sac à deux bras. On passe devant une grande décharge... ça pue ! On continue la petite route et on arrive devant un terrain sur lequel se trouve un invraisemblable bric-à-brac de voitures accidentées, d'appareils ménagers... de tout. Summer demande au gamin :
— Ton père récupère les métaux ?
— Oui. Les pièces de voitures aussi.
On marche entre deux murs de... déchets ! On arrive devant une masure en bois. Trois personnes nous attendent, toutes noires. Il y a un couple d'une quarantaine d'années et une fille qui doit être la sœur de notre guide. L'homme est torse nu, les deux femmes en jeans et tee-shirt.
L'homme dit à Summer :
— Viens avec moi.
Et moi ? Avant que le couple n'entre dans la maison, la jeune femme crie :
— Dis, Pa, elle pourrait pas nous aider pour le ménage, la bonne ?
Il regarde Summer qui répond :
— Bien sûr Mademoiselle.
Oh non !!! Ça, c'est à cause de cette saloperie d'uniforme. Summer entre dans la maison. La fille s'approche de moi pour dire :
— Je rêve d'avoir une servante blanche qui laverait mes culottes.
La femme, qui doit être sa mère, rit et lui dit :
— On n'en met pas.
— C'est une image, M'man. Qu'est-ce qu'on lui fait faire ?
— Il faudrait lui faire repasser nos robes du dimanche...
Putain, je déteste repasser ! Au secours ! Elle ajoute :
— On fera ça, si elles restent.
Ouf, j'échappe au repassage. Elles n'ont pas l'occasion de trouver autre chose à me faire faire, car Summer et le Black sortent de la maison. L'homme leur dit :
— Elles restent, son patron vient demain.
Grand sourire de la femme et des enfants. L'homme ajoute :
— On va arroser ça.
Il se tourne vers moi et me dit :
— Va chercher des bières dans le frigo.
Une servante blanche, ça leur plaît ! Je vais dans la grande pièce où il y a des meubles récupérés dans des poubelles. Seule chose de bien, une grande télé et dans la cuisine, qui est juste à côté, un grand frigo. Je prends quatre bières et je leur apporte. Pas pour moi, évidemment. Ils boivent à la boîte... Quand elle en a assez, Summer me donne sa boîte à moitié pleine. Je lui dis :
— Merci Madame.
Je bois goulûment. Dès qu'ils ont vidé leurs canettes, la fille me dit :
— Va en chercher d'autres !
— Oui Mademoiselle.
Je rapporte quatre bières. La fille me dit :
— J'ai vu un vieux feuilleton anglais où les servantes font des révérences. Vas-y.
On est dans un casse de voiture à côté d'une décharge et je dois leur faire des courbettes ! Je lui fais une profonde révérence, en disant :
— Voici votre boisson, Mademoiselle.
Elle est ravie !
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Hier après-midi je suis allé tapiner (gratuitement) au sex-shop où j’ai mes habitudes. Dès que j’arrive, je file me changer. Cette fois ci, c’était serre taille en vinyle noir mini jupe à pression en vinyle rouge et escarpins à bride chromés. J’étais allé chez l’esthéticienne 3 jours avant pas besoin de bascar j’étais doux comme un bébé.
Ce fut une après-midi bien bonne. Certes je n'ai pas battu des records en nombre, mais 5 pipes dont 2 éjacs, 2 sodos (dont une suivie d'une pipe) et un très bon fist, ont fait ma journée. La qualité était au rendez vous. Des mecs assez bien avec de bonnes bites.
Le 1er était très charmant et c'était la 1ere fois qu'il venait dans un truc comme ça. Il n'a eu que des partenaires féminines. Quand il a vu ce que je lui faisais avec ma bouche il était fou. Il n'avait jamais ressenti autant de plaisir et il n’arrêtait pas de me dire que j'avais une bouche formidable. Il avait une bite de taille raisonnable voire modeste au repos, que j'ai su réveiller pour avoir un très bel engin. Les autres gars avaient un peu des bites dans le même genre, à l'exception d'un colosse. Quand je l'ai vu je me suis dit Whaouh il doit avoir un engin de fou! Ben en fait il avait la plus petite de l'après midi. Il a voulu me sodomiser mais bon, c'était juste pour y faire plaisir, car de mon coté, je n'ai pas senti grand chose.
Le gars qui m'a fisté en avait une bien bonne pas très épaisse mais assez longue. Pendant que je le suçais, il me caressait l'anus, il était émerveillé de voir que sous ses caresses, mon petit trou s'ouvrait comme une fleur. Vu que j'étais si accueillant, d'un doigt il est passé à 2, 3 puis 4 et il voulait aller plus loin. Je lui ai proposé un gant avec un peu de lubrifiant. Il a repris son exploration et sa main est rentrée comme dans du beurre jusqu'au 1er tiers de son avant bras. Il n’arrêtait pas d’avoir des expressions d’étonnement tellement que son introduction avait été facile et agréable. Pour moi c’était le bonheur, à travers ma cage de longs filets de liquide séminal s’écoulaient comme une fontaine, j’en avais la jambe toute gluante.
L’après midi s’est passée tranquilou. A un moment un couple d’un peu moins de la soixantaine est venu, la dame était très gourmande, elle n’était pas venue là pour compter fleurette mais plutôt pour dérouler des kilomètres de bite. Elle m’a vue et n’était pas du tout intéressée et est partie s’amuser un peu plus loin. Son gars est revenu discuter un peu avec moi, mais j’ai su après qu’il était plus là en passif.
Comme la petite dame « monopolisait » toute l’attention, plutôt que de rester seul je suis allé voir un peu ce qu’elle se prenait. Je suis arrivé au moment où mon fisteur essayait de la prendre, mais les mots un peu crus de la petite dame ont eu raison de son érection. Dans toute sa délicatesse la dame lui a sorti « mais tu n’es pas fichu de me baiser ». Il a été un peu vexé car il y avait d’autres males autour.
Il s’est retiré et nous sommes partis dans un coin isolé, afin que je lui remonte le moral (on peut appeler ça comme ça aussi). Sa bite a retrouvée une bonne forme et il m’a sodomisé avec plaisir. Je sentais son long sexe aller et venir en moi tout en douceur, Il n’y avait pas besoin de mettre du lubrifiant, j’avais encore la rondelle toute baveuse. Ce n’a pas été aussi intense que le fist qu’il m’avait fait quelques temps auparavant mais j’ai beaucoup aimé et lui aussi. Il s’est retiré, a enlevé son préservatif et je l’ai sucé jusqu'à avoir son jus. L’après-midi finissant, il n’a pas hésité à se lâcher et m’a inondé le fond de la gorge et tout est parti directement dans l’œsophage. Il en restait encore un peu et je lui ai nettoyé le gland avec ma langue, il est ressorti de ma bouche tout propre comme un sou neuf. Il n’avait peut-être pas réussi à baiser la petite dame, mais en tout cas il m’a bien baisé et nous avons pris beaucoup plus de plaisir ensemble. Nous nous sommes quittés car il devait rentrer, mais il a bien noté mes jours de présence, en comptant bien me revoir prochainement.
Pour finir l’après-midi j’ai déambulé un peu dans l’espace ciné et la petite dame était dans la petite salle de cinéma où j’y attend les gars interessés. Elle cherchait en vain un étalon qui la défonce, mais le pauvre gars à qui elle a demandé ses faveurs n’était pas au mieux de sa forme car il avait déjà répandu à deux reprises sa semence. Me voyant à l’embrasure de la porte, elle m’a demandé d’approcher. Je lui ai dit qu’elle allait être déçue car elle ne pouvait pas voir ma cage qui était sous ma mini jupe. Elle n’avait pas tout saisi d’où sa surprise quand elle a envoyé sa main sur mon sexe. Elle a relevé ma jupe en me demandant qu’est ce que c’était. Apparemment elle n’avait jamais vu de pénis encagé. Je lui ai expliqué que c’est ma femme qui était détentrice de la clé car c’est une dominatrice, que nous avions une énorme complicité et qu’elle me laissait quelques libertés qu’à condition que je sois sous clé. Elle a trouvé notre démarche formidable et m’a félicité à de nombreuses reprises d’être soumis à ma femme.
Je suis descendu pour récupérer mes habits de garçon et je suis allé me changer dans les toilettes du bas. En ressortant, j’ai vu le couple qui était en train de regarder les tenues sexy qui étaient exposées. Je me suis approché d’eux et j’ai dit à la petite dame « Voilà le carrosse s’est transformé en citrouille ». Elle m’a regardé d’un air interrogatif et ne comprenait pas ce que je lui disais. Son compagnon a percuté un plus vite qu’elle et quand je lui ai expliqué elle ne me croyait pas. Pour lui prouver mes dire, j’ai saisi sa main, l‘ai portée à mon sexe encagé sous mon pantalon et son visage a affiché une grande stupéfaction. Elle n’en revenait pas de la métamorphose et n’avait que d’éloges à mon égard.
Voilà encore une bonne après-midi passée au X center de Plan de Campagne, dont je félicite le personnel qui est très pro et discret.
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Depuis quelques temps j’ai ce fantasme de faire rentrer un autre homme dans mon couple qui honorerait (avec le plus grand respect) mon épouse à tour de rôle avec moi qui aime être très actif. Mais avec cette homme je me comporterait comme une petite salope soumise à son bon vouloir : fellation (cela me fait rêver depuis très longtemps) sodomie, ...
Les plaisirs peuvent varier à l'infini mais à la fin ce qui m'excite le plus c'est que je sois privé d'orgasme. À rester à bander sans avoir le droit de jouir et pour maximiser ma frustration : voir, sentir, entendre notre amant alpha jouir à sa convenance en jouant avec mon non orgasme. Une fin imaginée (et il pourrait y en avoir des centaines de différentes), après l'orgasme de mon épouse selon ses désirs, elle me ferait enfiler un slip ou un string pour y ranger mon sexe en terrible érection. Elle approcherait la queue de notre amant de mon sous vêtement, elle tirerait sur l’élastique par devant pour « ouvrir » le contenant sans en sortir le contenu (ma queue en érection) et elle ferait jouir avec ses mains notre amant dans mon slip ou string. Je sentirais son sperme chaud gicler sur le bas de mon ventre et couler le long de ma bite jusqu’à rejoindre « la poche » où résident mes couilles pleines. Le sperme en coulant petit à petit inonderait mes couilles. Elles baigneraient littéralement dans le jus de notre amant sans que moi je sois autorisé à jouir. Et je devrai porter cette petite culotte souillée toute la journée me rappelant chaque instant que je suis le mâle dominé …
Si un mâle dominant souhaite échanger (je recherche uniquement du virtuel) des histoires de fantasmes comme celle ci par MP ce serait avec grand plaisir. Une relation épistolaire basée sur les fantasmes autour de ma privation d'orgasme en trio (avec ma dame) ou en duo (juste entre hommes).
Je lance cette bouteille à la mer en ayant conscience du peu de chance de réussite. Pour une raison inconnue ce fantasme est quasiment inexistant sur le net. Des encagés soumis et dans la chasteté oui il y a des centaines de vidéos. Mais un homme actif qui se trouve à la fin privé d'orgasme devant le mâle alpha qui se vide à son bon vouloir malgré des heures de recherches je n'ai trouvé qu'une seule vidéo de ce style sur la toile.
Bonne journée et bises à tous
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Ne me regarde pas, salope !
Baisse les yeux ou tu prendras une décharge électrique.
Oui, juste comme ça.
C'est toujours si bon quand tu es dans cette cage et que je peux faire ce que je veux de toi.
Juste ou injuste, peu importe.
Je me demande même si te traiter injustement c’est pas mieux. Si, bien sur que c'est beaucoup mieux.
Tellement bon de cracher sur ma chienne, d'utiliser l'ouverture sur le dessus de la cage pour pouvoir utiliser le vibro, le crochet ou tout autre outil que j'ai envie d'utiliser.
Tu as passé l'après-midi à travailler dans la cage en attendant ton Maître. J'espère que ta visio-conférence s'est bien passé. Et que le floutage du fond a bien fonctionné. En fait non. Il faut que j'arrête de me mentir. J'espère le contraire et que tous tes collègues savent que tu es ma salope.
Je viens de m'asseoir devant toi.
Et non, tu ne peux pas regarder. Je suis quelques centimètres en dehors de ton champ de vision.
Si tu regardes, tu sais que tu seras punie en conséquence. Et que tu m'auras déçu, surtout.
Rangeons cet ordinateur portable. La journée de travail est terminée.
Laisse-moi te mettre ton bâillon. Celui que je préfère. Le baillon araignée qui ouvre ta bouche en grand.
Tu es superbe en lingerie de salope, en rouge à lèvres et avec mon gag préféré. Je suppose que tu as enlevé ta robe la seconde d'après ta réunion.
Je suppose également que tu seras encore plus superbe avec la machine qui te baise le cul.
Pas vraiment une punition pour une pute comme toi mais c'est ce que je veux ce soir. Te regarder te faire prendre par une machine.
Continue à baisser les yeux et ne bouge pas pendant que je la branche et la laisse te pénétrer.
La cage a une grande ouverture sur le dessus et il est tellement agréable d'y verser de la cire chaude pour te peindre.
Si j''entends ne serait-ce qu'un soupir, tu prends une décharge et tu le sais. Rien de mieux que les réflexes pavloviens pour dresser sa chienne de compagnie.
J'aime quand ton corps est peint. J'aime que les couleurs de cire commencent à se mélanger. La couleur qui te va le mieux est incontestablement le blanc, celui de mon sperme qui te dégouline dessus. Mais n'importe quelle "peinture" sur ton corps m'excite.
La machine sexuelle te baise lentement mais le gode est GROS et tes yeux commencent à couler et ton mascara à se répandre.
Ton dos est maintenant couvert de crachats et de cire.
Ne me regarde pas, esclave ! Continue à fixer le sol.
Je commence à me branler maintenant à quelques centimètres devant toi.
Je sais que tu veux me voir. Je sais que tu es excitée. Je sais que tu veux même me prendre dans ta bouche.
Je sais tout ça mais tu ne le mérites pas.
Ce que tu mérites arrive.
J'ouvre le bas de la porte de la cage que je fixe en haut. Tu sais que tu dois en profiter pour passer ton visage. Tu procèdes doucement pour ne pas perdre le gode qui va et vient dans ton cul.
Mon pied gauche vient sur ta tête pour que ton visage soit bloqué contre le sol.
Quand je sens que je vais exploser, je m'agenouille, mes genoux qui encadrent ton visage plaqué au sol..
Tu peux me sentir exploser dans ton dos maintenant. J'ai même laissé le haut de ton dos sans cire que tu puisses sentir que j'explose sur toi.
Je recule et tu sais que tu dois te redresser, ouvrir la bouche pour que je puisse te la remplir au moins un peu.
Je finis par exploser sur le sol.
Je ne suis pas sans cœur.
J'arrête la mchaine.
J'enlève le bâillon.
Tu peux maintenant supplier de nettoyer le sol.
Je sais à quel point tu aimes que tout soit propre.
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Préambule: Merci de ne pas poursuivre la lecture si vous n'êtes pas à l'aise avec l'idée de sexe non-consenti. C'est une histoire et si ça n'en était pas une, bien sûr que ce fantasme aurait été discuté au préalable et que l'idée aurait été acceptée.
Mon Maître m'a offert ce collier de jour et, transportée par la joie, j'ai bien évidemment accepté ce cadeau venant de Lui. Il me l'a immédiatement attaché autour du cou. Je l'ai senti au ras de mon cou toute la journée et, à chaque fois, j'ai ressenti une dose d'excitation. Malheureusement Il m'a interdit de me toucher depuis le début de la semaine.
C'est donc avec une excitation non dissimulable que je l'accompagne à l'aéroport, direction quelques jours dans le sud de la France. Il m'a ordonné de porter des talons hauts, un haut relativement décolleté et une jupe volante que je n'ai pas le droit de tirer malgré sa longueur qui pose problème car je n'ai, bien sûr, pas le droit de porter de sous-vêtements. Il a raison, je suis une salope. Aucune raison de le nier. Mais je suis Sa salope.
Nous prenons un café juste assez de temps pour que mon Maître m'ordonne d'écarter les jambes suffisamment pour que le couple en face de nous profite de ma chatte parfaitement épilée. Je suis trempée déjà mais je sais que j'aurai très certainement le droit de me toucher devant mon Maître ce soir. Ça m'aide à tenir. J'ai envie de lui offrir un orgasme en le regardant droit dans les yeux s'il me le permet.
Ma valise me semble relativement lourde mais Il s'en est occupé donc rien d'alarmant. Plus alarmant, par contre, est ce portique de sécurité qui se profile. Je Le regarde et son sourire, que je qualifierais volontiers de pervers faute de meilleur mot, m'indique qu'il n'a aucune intention de me permettre d'enlever le collier de soumission.
C'est bientôt à moi. J'ai posé ma valise sur le tapis. Mon coeur s'emballe. Je dois essayer d'enlever le collier. Il ne verra peut-être pas ou Il me le pardonnera. Pour une fois.
J'ai beau essayé de défaire le mécanisme mais rien n'y fait. Manque de temps, stress ou mécanisme volontairement inviolable, je n'y arrive pas.
Je sens mon Maître derrière moi qui me force à avancer au lieu de m'aider.
Je ne comprends pas ce qui se passe. Je ne crois pas avoir rêvé. Il m'a poussé et le portique s'est mis à bipper. C'est moi ou l'homme devant moi a un grand sourire et regarde derrière moi ? Je me retourne pour Le vois arborer, lui aussi, un très grand sourire.
Madame, veuillez enlever votre collier et repasser le portique.
Je balbutie mais je ne peux pas l'enlever, je n'y arrive pas.
Dans ce cas, merci de bien vouloir me suivre en prenant votre bagage avec vous.
Tout s'est passé très vite. Trop vite en fait. L'agent de sécurité me fait entrer dans une salle sans fenêtre qui ressemble à une salle d'interrogatoire avec une grande table et quelques chaises et pose la valise dessus.
Je reviens. Ne bougez pas. Je n'ai pas le droit de vous fouiller Madame.
Je suis un peu rassuré mais mon coeur s'emballe quand je vois arriver deux femmes dans la salle et qu'elles laissent également entrer mon Maître.
Elles se tournent vers lui comme pour demander une confirmation et je l'entends très clairement dire que je suis, maintenant, à leur disposition.
Madame vous avez refusé d'enlever votre collier et nous allons devoir vous fouiller.
Je ne comprends pas très bien et je commence à avoir peur. Je suis au bord des larmes en imaginant que je suis habillée comme une pute ou plus exactement comme une salope en chaleur.
Madame posez les deux mains sur la table s'il vous plaît et écartez les jambes.
Je m'exécute et je sens mon Maître sourire tellement fort que je crois l'entendre.
Je suis appuyée sur la table, le corps légèrement penché en avant. Je sens que la première agent appuie quelque chose contre ma jambe pour me les faire écarter.
Je me retourne légèrement pour voir qu'elle pousse avec la matraque qu'elle a sorti pour que j'écarte les jambes.
J'écarte les jambes en demandant si c'est vraiment nécessaire d'en arriver là.
Les deux femmes se mettent de chaque côté de moi. Je sens la première qui passe sous mon haut et je sens qu'elle commence à palper mes seins.
Hé, qu'est-ce que vous faîtes. Et en même temps que je proteste l'autre s'aventure sous ma jupe et remonte le long de mes cuisses.
Elle n'a pas de soutien-gorge. Ni de culotte non plus.
Ok c'est une chienne mais elle ne cache rien sur elle.
Mais je ne vous permets pas. Et aussitôt que j'ai prononcé ses mots, Mon Maître me gifle. Tu ne leur réponds pas, esclave. Tu vas les laisser faire leur boulot. Et même ce qu'elles voudront faire de toi, c'est compris ?
oui Maître.
Comme si elle n'avait rien écouté, j'entends l'agent continuer. Ok rien sur elle. Empêche la de bouger, je vais fouiller sa valise. Et je sens un genou appuyer contre mes reins. Je suis plaqué contre l'arrête de la table et je sens ses mains continuer à palper mes seins sans aucun ménagement.
En même temps que la valise arrive sur la table et s'ouvre en grand, je sens une douleur sourde envahir mes seins. Cette salope vient de me pincer les tétons si fort que je ne peux pas m'empêcher de crier.
Va chercher du scotch qu'on l'empêche de faire un esclandre dans l'aéroport. Mais aussitôt l'autre lui répond victorieuse. J'ai mieux et en agitant le baillon boule qu'elle a trouvé dans mes affaires.
10 secondes après je l'ai dans la bouche.
Elle repart examiner la valise et j'entends une exclamation, un OH sonore qui retentit dans la pièce. Je l'aperçois se saisir de quelque chose et elle se ramène devant moi et je vois une espèce de reveil en plastique. Un jouet d'éveil fait pour les 3-6 ans.
Un détonateur ! Un putain de détonateur !
Quoi [enfin quoi si je n'avais pas le baillon dans la bouche]. Mais elles sont folles. Et je Le vois rigoler. Ce n'est plus un sourire mais un rire franc et massif. J'ai été piégée. Je lui avais parlé de ma fantaisie de me retrouver à la merci d'autres personnes qui feraient ce qu'elles voudraient de moi. ça se confirme et je me sens curieusement rassurée. Et aussi complètement trempée malgré la douleur que je continue à ressentir.
Ok on a affaire à une terroriste je pense. Hereusement que j'ai trouvé ces menottes dans sa valise. On va lui attacher les mains dans le dos.
Enlève-lui son haut d'abord. ça sera plus sûr. Bah enlève lui tout. Laisse lui ses talons, je trouve que ça lui va bien.
Et une minute plus tard, je suis penchée sur la table, mains attachées dans le dos avec un baillon dans la bouche. Un début de week-end pas tout à fait banal.
Le contenu de ma valise est renversé sur la table.
Je comprends qu'elle était lourde. S'y trouve tous mes jeux habituels ainsi que quelques dildos supplémentaires dont la taille me semble terrifiante.
Oh mais quelle pute, sérieux ! Une pute-terroriste, ça existe tu crois ? On dirait en tout cas.
Va chercher un miroir. On va essayer ces jouets sur elle et je veux qu'elle nous voit faire. Prends la caméra aussi qu'on reste dans la loi en enregistrant.
Bon on a pas d'avocats mais préviens peut-être les autres agents que ça pourrait intéresser.
Je secoue la tête, je ne suis pas prête pour ça.
Mais le temps qu'elle revienne, j'ai prix un plug dans le cul et des clamps descendent de mes seins et je vois les lests les tendre. Je sens une douleur bien plus forte que d'habitude. Mon Maître a visiblement fait du shopping spécialement pour ce week-end.
Quand la première agente revient, elle va mettre en place le miroir afin que je ne puisse pas perdre une miette de ce qu'il se passe et commence à ranger les dildos du plus petit au plus gros.
Je ne vois que les 2 femmes et mon Maître. Pas de renfort et je suis soulagée.
Je sens qu'on tire mes cheveux et qu'on me force à me tirer.
C'est la brune, plus grande, plus costaude. On va tous les essayer un par un. Et en même temps elle me touche. Mais elle est trempée cette chienne. Complètement trempée. Elle me crache au visage et me remet sur la table.
S'ensuivent des très très longues minutes pendant lesquelles elles vont m'insérer dans la chatte et le cul tous mes jouets anciens et les nouveaux qui ont, visiblement, rejoint ma collection aujourd'hui. Elles prennent leur temps, elles rigolent et n'hésitent jamais à m'humilier en me faisant remarquer à quel point je suis trempée. Je perds la notion du temps mais durant ce qui me semble être une heure, la pièce se remplit petit à petit.
Elles finissent par me susurrer chacune à une oreille. Allez c'est bientôt fini. On ba te faire exploser. Tu dois bien ça au public et après tu les remercieras. J'étais distraite et je n'avais pas vu que ledit public se composait maintenant de 8 hommes. Quelques-uns le pantalon sur les chevilles ou carrément enlevé.
Grimpe sur la table salope. A quatre pattes. Écarte bien les genoux. Je regarde dans le miroir et je les vois chacune avec leur matraque. Je sens la première s'enfoncer dans mon cul et j'ai envie de hurler malgré le gag. Les dildos m'ont préparé mais la douleur est forte quand je sens l'autre matraque s'enfoncer dans mon sexe. Elles me hurlent d'exploser. Me traitent de chienne. je regarde autour de moi. Je me regarde dans le miroir. La vérité est que j'ai envie d'exploser. Besoin d'exploser. Mon sexe commence à papillonner. Je vois ma salve faire une longue traînée qui coule depuis le gag jusqu'à la table. Je ne veux pas leur obéir. Mais le mouvement de leurs bâtons ne me laisse pas le choix. J'ai l'impression d'exploser, de hurler comme une possédée. Une vague inouïe de plaisir me parcourt.
Je regarde mon Maître qui doit lire la gratitude dans mes yeux. Je lis dans les siens que ce n'est pas fini. Il me saisit par les cheveux en me disant que je l'humilie devant tout le monde. Il me fait descendre par terre. A genoux. Face aux hommes. Mes cheveux me font mal mais il lâche prise.
Je l'entends dans mon dos et, quand il revient, il m'enlève le baillon. À la place, il m'enfile une cagoule. Je ne vois plus rien. Je sens qu'il n'est pas facile de respirer mais je sens que ma bouche est libre.
Messieurs, merci de baiser ma soumise. Je suis au regret de vous demander, pour des raisons de fatigue de ces autres trous, de bien vouloir la prendre par la bouche. En attendant votre tour, elle a 2 mains bien sûr et sait très bien s'en servir.
Merci de bien vouloir lui faire savoir quand vous êtes sur le point d'exploser afin qu'elle puisse ouvrir grand sa bouche pour avaler tout ce qui ne finira pas sur la cagoule ou sur ses seins.
Et je vais passer le quart d'heure suivant à branler et sucer férocement toutes les queues qui se présentent à moi. Je veux rendre mon Maître fier de son esclave. Il sait que je fais ça pour lui, pour lui montrer qu'il peut tout me demander.
Huit, ça y est. Il a explosé longtemps et m'a fait léché sa queue pour ne rien perdre. Tu peux enlever ta cagoule et la poser sur le sol. C'est la voix d'une des deux femmes. Je sens qu'elle me prend les mains pour les rattacher dans le dos.
Tu as une minute pour qu'il n'y ait plus aucune trace de blanc sur cette cagoule. Si tu y arrives, nous considèrerons que tu as fait preuve de bonne volonté et que tu ne présentes pas une menace pour la sécurité.
J'entends le décompte final 5 ... 4 ... 3 ... 2 ... 1
À zéro, je suis tiré violemment en arrière.
Je vois la fierté dans les yeux de mon Maître.
La cagoule est brillante de salive mais elle est entièrement noire.
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La douleur est insupportable. Je crois que je me suis fracturée l’épaule quand deux miliciens m’ont brutalement plaquée au sol dans ma fuite. Une dizaine de défenseurs de la démocratie m’entourent déjà, m’interdisant tout échappatoire. Ils me rouent de coups et déchirent ma robe.
La sensation équivalente à un poignard dans l’épaule m’a ôté toute velléité de résistance. Je suis passée en mode automatique, en mode survie. Je me protège tant bien que mal des coups de pied et des coups de matraque. Ils m’obligent à m’agenouiller, malgré mes hurlements de douleur et sortent leurs bites. Je n’entends que leurs éclats de rire. Les gifles pleuvent, me faisant comprendre ce qu’ils attendent de moi. Je suce les bites qui m’entourent, passant rapidement de l’une à l’autre pour ne pas faire de jaloux, le visage tuméfié par les gifles et les coups.
Les miliciens ont sorti des tondeuses et entreprennent de faire disparaître peu à peu ma chevelure pendant que ma bouche passe d’une bite à l’autre. Chacun y va de sa petite touche. Les rires et les moqueries redoublent d’intensité. Dans une pathétique tentative de sauvegarde, je m’efforce de repousser les tondeuses à l’aide de mon bras encore fonctionnel, ce qui déclenche une avalanche de coups jusqu’à ce que je me tienne tranquille.
La douleur à l’épaule s’atténue soudainement, me permettant de reprendre un peu mes esprits. Les zébralyvox gémellaires sont déjà à l’œuvre. Quelle efficacité !
Les éjaculations s’enchaînent, de manière presque synchronisée. C’est un bukkake en bonne et due forme. Je ne tarde pas à avoir le visage et le crâne couverts de sperme.
C’est nue, tondue et couverte de sperme que je suis promenée dans le parc d’Ueno. Aucune humiliation n’est trop sévère pour les ennemies de la démocratie.
民主主義を守る旅団 est tatoué sur les joues des miliciens qui m’ont capturée [1]. Ce sont les plus fanatiques parmi les défenseurs de la démocratie. Ils sont si fiers d’appartenir aux Brigades de Défense de la Démocratie qu’ils l’arborent sur leurs visages.
Au lieu de se délecter de ce spectacle, les passants détournent le regard, feignant l’indifférence. Résistance passive ? Ce peuple réputé soumis à l’autorité se révèle à sa manière bien plus réfractaire que les peuples Européens.
Nous empruntons la rue Dobutsuen qui longe l’étang de Shinobazu. Les miliciens rient et plaisantent bruyamment, très fiers de l’humiliation imposée à la proie qu’ils viennent de capturer.
L’étang est recouvert de lotus et à travers les larmes et le sperme qui embrouillent ma vision, j’entrevois des scintillements bleu jaunâtres devenant de plus en plus intenses, comme à Fushimi Inari. Je ne sais pas si c’est un signe ou le délire de mon imagination, mais je ne réfléchis pas. Ma situation est tellement désespérée, qu’ais-je à perdre ? Je profite d’une seconde d’inattention de mes geôliers pour mettre toutes les forces qui me restent dans un sprint en direction de l’étang. Ces idiots, tellement sûrs de leur supériorité, n’ont pas pris la peine de me menotter. Ils ne tardent pas à hurler et à me poursuivre en courant. Je m’enfonce dans la vaste étendue de lotus. La boue se solidifie sous mes pieds m’offrant un appui inespéré dans ma fuite.
« Pan ! »
Elle n’est pas passée loin cette balle ! Instinctivement, je me couche au sol, comme si les feuilles de lotus pouvaient m’apporter une quelconque protection.
C’est fichu. Dans quelques secondes ils vont me cueillir.
助けて!
助けて!
助けて!
Les poignants appels au secours des miliciens m’incitent à lever la tête, juste à temps pour les voir disparaître dans le marécage, engloutis dans les eaux boueuses, comme dévorés par les lotus.
« Ysideulte ! »
La voix de mon Maître !
J’ouvre les yeux, terrifiée, au bord de la tachycardie.
« Ce n’est rien. Tu as fait un cauchemar » me dit-il d’une voix apaisante.
Il me faut un bon moment pour me calmer et revenir à la réalité.
« Ecarte les cuisses, Ysideulte » me dit-il avec gentillesse pendant que je lui raconte mon cauchemar. Décidément, je fais une bien piètre soumise, obligeant mon Maître à me rappeler à l’ordre une fois de plus. En d’autres circonstances il m’aurait giflée, mais pas cette fois. Il a compris que ce cauchemar m’a terrifiée et qu’à cet instant son indulgence et sa voix apaisante me font un bien fou.
Ysideulte… J’aime quand mon Maître m’appelle par mon prénom. Un prénom qui n’existe pas pour une fille qui n’existe pas ? Pendant longtemps, j’ai eu le sentiment de traverser ce monde sans vraiment en faire partie. Effacée, invisible. Et puis le destin a voulu que je le rencontre. Mon Maître. Celui qui a changé ma vie, qui m’a donné confiance en moi.
Dès qu’il détourne le regard, je l’observe, emplie d’admiration, et je m’empresse de baisser les yeux dès qu’il s’en rend compte. Il ne me réprimande pas.
Nous sommes à bord du Spacia X. Vue panoramique, grand confort. Ce superbe train qui relie le trépidant quartier d’Asakusa à la bucolique Nikkō été mis en service le 15 juillet 2023. Ici le confort et le plaisir du voyage ont été privilégiés sur la vitesse. A tel point que je me suis endormie, ce qui ne m’était jamais arrivée dans un train.
« S’il vous plaît, Maître, est-ce que vous avez compris ce que le Professeur voulait dire à propos de la tubuline ? »
« Pas plus que toi, Ysideulte. Mais pourquoi ne lui as-tu pas posé la question ? »
« J’ai eu peur de passer pour une idiote… »
« Il t’aurait sans doute dit qu’il n’y a pas de question idiote. »
Petit moment de silence. Le paysage défile. J’aime ce train et je suis reconnaissante au Professeur de nous l’avoir conseillé. J’ai hâte de le revoir. Dans une semaine. J’ai encore tant de questions à lui poser. Et puis, je trépigne de savoir ce qu’ont donné les analyses des prélèvements. Les idées tournent dans ma tête jusqu’à l’obsession. Je ne changerai pas…
« N’y avait-il pas un article à ce sujet dans la base de données que Sonia t’a confiée ? »
« Vous pensez, Maître ? Je n’en ai pas le souvenir. Mais je n’en ai consulté qu’une infime partie »
Mais je dois en avoir le cœur net. Je demande à mon Maître la permission de sortir mon PC portable et d’activer la carte.
Dans le cadre de la politique de lutte contre la désinformation, mise en place par la Suprême Alliance Démocratique, les articles scientifiques doivent à présent être visés avant publication par les conseils scientifiques de la fédération. Ces conseils, placés sous l’égide des ministères de la vérité, sont chargés de s’assurer que toute publication respecte le « consensus scientifique ».
Plusieurs articles antérieurs à la promulgation de la loi ont été censurés, car jugés non conformes au consensus, et détruits de tous les supports numériques et matériels. Tous, sauf ceux qui ont pu être préservés dans la base de données illégale du pangolin fou…
J’active la carte que Sonia m’avait confiée en la glissant dans ma fente humide, faisant pour l’occasion office de lecteur de carte. Comme à chaque fois que je l’active j’ai une pensée pour l’ingénieur pervers qui a imaginé ce mode d’activation.
La Magna Carta Libertatum, avec le pangolin fou en filigrane, ne tarde pas à apparaître sur la surface, signifiant que le PC peut pendant un court laps de temps accéder aux données subversives qu’elle contient.
Sonia avait raison. Cette image me permet de garder espoir quand tout semble perdu. Elle n’est rien et pourtant elle représente des idées qui font trembler les hautes sphères de notre démocratie. Les idées sont à l’épreuve des balles disait V. C’est pour cela qu’elles sont dangereuses pour les tyrans.
Je tente une recherche par mots clés dans l’immense base de données. Plusieurs articles mentionnent la tubuline, protéine structurale des microtubules, constituants du cytosquelette, mais je ne vois pas ce qu’ils apportent à mon questionnement. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi ils ont été censurés. Les « experts » sélectionnés par les ministères de la vérité font preuve d’un excès de zèle déconcertant. Mon Maître tente de rassembler ses souvenirs pour m’aider à affiner ma recherche. Un article de Sir Roger pourrait être en lien avec la remarque du Professeur [2]. Mais comment l’interpréter ? L’intrication des ondes de spin parcourant la structure hexagonale des microtubules comme support de la conscience ?
« Et si les symbiotes tentaient de communiquer avec ta conscience en intriquant leurs microtubules avec les tiens ? »
Hautement spéculative la suggestion de mon Maître, et pourtant… Comment expliquer mes « hallucinations » à Fushimi Inari ? Seul le Professeur pourra nous éclairer.
En attendant, nous voici déjà arrivés à Nikkō. Je n’ai pas vu le temps passer. A la sortie de la gare les libellules sont partout. Il y en a des milliers. Heureusement qu’elles sont inoffensives. Joli village sur fond de montagnes. Nous avons embarqué dans la grouillante gare d’Asakusa, nous nous retrouvons à la campagne. Le contraste est saisissant.
Au loin, la brume sur les montagnes, la lumière presque surréaliste. C’est beau ! On dirait une estampe japonaise.
Et puis, il est là. Mon propriétaire. J’ai le privilège d’être la chienne qui va l’accompagner pendant ce séjour à Nikkō, qui lui tenait tant à cœur. Celle qui lui servira de vide-couilles, celle qui veillera à son plaisir physique et intellectuel. Quel bonheur ! Pendant quelques secondes, j’ose croiser son regard de mes yeux admiratifs, prenant le risque de recevoir une gifle carabinée. C’est plus fort que moi.
à suivre
*** Contexte et références ***
[1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).
[2] Stuart Hameroff & Roger Penrose, “Consciousness in the universe: A review of the ‘Orch OR’ theory”, Physics of Life Reviews, Volume 11, Issue 1, March 2014, Pages 39-78 https://doi.org/10.1016/j.plrev.2013.08.002
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Hier après-midi je suis allé tapiner (gratuitement) au sex-shop où j’ai mes habitudes. Dès que j’arrive, je file me changer. Cette fois ci, c’était serre taille en vinyle noir mini jupe à pression en vinyle rouge et escarpins à bride chromés. J’étais allé chez l’esthéticienne 3 jours avant pas besoin de bascar j’étais doux comme un bébé.
Ce fut une après-midi bien bonne. Certes je n'ai pas battu des records en nombre, mais 5 pipes dont 2 éjacs, 2 sodos (dont une suivie d'une pipe) et un très bon fist, ont fait ma journée. La qualité était au rendez vous. Des mecs assez bien avec de bonnes bites.
Le 1er était très charmant et c'était la 1ere fois qu'il venait dans un truc comme ça. Il n'a eu que des partenaires féminines. Quand il a vu ce que je lui faisais avec ma bouche il était fou. Il n'avait jamais ressenti autant de plaisir et il n’arrêtait pas de me dire que j'avais une bouche formidable. Il avait une bite de taille raisonnable voire modeste au repos, que j'ai su réveiller pour avoir un très bel engin. Les autres gars avaient un peu des bites dans le même genre, à l'exception d'un colosse. Quand je l'ai vu je me suis dit Whaouh il doit avoir un engin de fou! Ben en fait il avait la plus petite de l'après midi. Il a voulu me sodomiser mais bon, c'était juste pour y faire plaisir, car de mon coté, je n'ai pas senti grand chose.
Le gars qui m'a fisté en avait une bien bonne pas très épaisse mais assez longue. Pendant que je le suçais, il me caressait l'anus, il était émerveillé de voir que sous ses caresses, mon petit trou s'ouvrait comme une fleur. Vu que j'étais si accueillant, d'un doigt il est passé à 2, 3 puis 4 et il voulait aller plus loin. Je lui ai proposé un gant avec un peu de lubrifiant. Il a repris son exploration et sa main est rentrée comme dans du beurre jusqu'au 1er tiers de son avant bras. Il n’arrêtait pas d’avoir des expressions d’étonnement tellement que son introduction avait été facile et agréable. Pour moi c’était le bonheur, à travers ma cage de longs filets de liquide séminal s’écoulaient comme une fontaine, j’en avais la jambe toute gluante.
L’après midi s’est passée tranquilou. A un moment un couple d’un peu moins de la soixantaine est venu, la dame était très gourmande, elle n’était pas venue là pour compter fleurette mais plutôt pour dérouler des kilomètres de bite. Elle m’a vue et n’était pas du tout intéressée et est partie s’amuser un peu plus loin. Son gars est revenu discuter un peu avec moi, mais j’ai su après qu’il était plus là en passif.
Comme la petite dame « monopolisait » toute l’attention, plutôt que de rester seul je suis allé voir un peu ce qu’elle se prenait. Je suis arrivé au moment où mon fisteur essayait de la prendre, mais les mots un peu crus de la petite dame ont eu raison de son érection. Dans toute sa délicatesse la dame lui a sorti « mais tu n’es pas fichu de me baiser ». Il a été un peu vexé car il y avait d’autres males autour.
Il s’est retiré et nous sommes partis dans un coin isolé, afin que je lui remonte le moral (on peut appeler ça comme ça aussi). Sa bite a retrouvée une bonne forme et il m’a sodomisé avec plaisir. Je sentais son long sexe aller et venir en moi tout en douceur, Il n’y avait pas besoin de mettre du lubrifiant, j’avais encore la rondelle toute baveuse. Ce n’a pas été aussi intense que le fist qu’il m’avait fait quelques temps auparavant mais j’ai beaucoup aimé et lui aussi. Il s’est retiré, a enlevé son préservatif et je l’ai sucé jusqu'à avoir son jus. L’après-midi finissant, il n’a pas hésité à se lâcher et m’a inondé le fond de la gorge et tout est parti directement dans l’œsophage. Il en restait encore un peu et je lui ai nettoyé le gland avec ma langue, il est ressorti de ma bouche tout propre comme un sou neuf. Il n’avait peut-être pas réussi à baiser la petite dame, mais en tout cas il m’a bien baisé et nous avons pris beaucoup plus de plaisir ensemble. Nous nous sommes quittés car il devait rentrer, mais il a bien noté mes jours de présence, en comptant bien me revoir prochainement.
Pour finir l’après-midi j’ai déambulé un peu dans l’espace ciné et la petite dame était dans la petite salle de cinéma où j’y attend les gars interessés. Elle cherchait en vain un étalon qui la défonce, mais le pauvre gars à qui elle a demandé ses faveurs n’était pas au mieux de sa forme car il avait déjà répandu à deux reprises sa semence. Me voyant à l’embrasure de la porte, elle m’a demandé d’approcher. Je lui ai dit qu’elle allait être déçue car elle ne pouvait pas voir ma cage qui était sous ma mini jupe. Elle n’avait pas tout saisi d’où sa surprise quand elle a envoyé sa main sur mon sexe. Elle a relevé ma jupe en me demandant qu’est ce que c’était. Apparemment elle n’avait jamais vu de pénis encagé. Je lui ai expliqué que c’est ma femme qui était détentrice de la clé car c’est une dominatrice, que nous avions une énorme complicité et qu’elle me laissait quelques libertés qu’à condition que je sois sous clé. Elle a trouvé notre démarche formidable et m’a félicité à de nombreuses reprises d’être soumis à ma femme.
Je suis descendu pour récupérer mes habits de garçon et je suis allé me changer dans les toilettes du bas. En ressortant, j’ai vu le couple qui était en train de regarder les tenues sexy qui étaient exposées. Je me suis approché d’eux et j’ai dit à la petite dame « Voilà le carrosse s’est transformé en citrouille ». Elle m’a regardé d’un air interrogatif et ne comprenait pas ce que je lui disais. Son compagnon a percuté un plus vite qu’elle et quand je lui ai expliqué elle ne me croyait pas. Pour lui prouver mes dire, j’ai saisi sa main, l‘ai portée à mon sexe encagé sous mon pantalon et son visage a affiché une grande stupéfaction. Elle n’en revenait pas de la métamorphose et n’avait que d’éloges à mon égard.
Voilà encore une bonne après-midi passée au X center de Plan de Campagne, dont je félicite le personnel qui est très pro et discrets.
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Mon maitre dit alors avez-vous compris ce qu’on vous offre, la foule répondit d’un oui commun. C’est à ce moment-là que les portes de la salle s’ouvrirent, l’homme qui se tenait dans l’encadrement de la porte dit à mes Maitres que tout était prêt. Alors ma Maitresse annonça que pour officialiser ma mise en esclavage, j’allais être marqué au fer rouge devant tout le monde. D’un pour que je prenne conscience que ma vie d’homme était définitivement finie, et de 2 pour que le village prenne conscience qu’ils avaient maintenant un défouloir.
Ce marquage, était important pour moi car j’en rêvai depuis de nombreuses années et j’allai enfin être un esclave sans nom sans passé et qui ne manquera à personne. Bien sur le fait de sentir la chaleur du fer près de ma peau me fit paniquer et stressé, jusqu’au dernier moment je me demandai si mon choix de vie était le bon et si je ne devais pas tout arrêter avant que cela ne soit irréversible. Et puis mon Maitre me regarda et me demanda du regard si j’étais prêt, et j’acquiesça des yeux, et je senti le fer sur ma fesse gauche bruler ma peau. J’ai failli perdre connaissance mais je tiens bon, ma Maitresse me félicita d’un baiser. Mon ancienne vie disparue par l’apposition de cette marque.
La femme que le chauffagiste avait trouvée, fini en disant que non ça ne la choque pas et que au contraire cela fit un bien fou au village complet et elle affirma qu’il y avait moins de problème depuis mon arrivé. Il eut un regard d’étonnement, elle s’expliqua en disant qu’avant mon arrivée si un problème surgissait entre voisin par exemple cela prenait des proportions énormes car personne n’osait dire réellement ce qu’il pensait et qu’il ruminait pendant des mois voire des années. Maintenant dès qu’un villageois est en colère, il vient ici et martyrise l’esclave. L’ouvrier compris et demanda si j’avais un nom. Elle répondit que non et que même mon ancien prénom il ne l’avait jamais entendu. Il me désignait tous par la chose ou la sous merde du village.
Il lui demanda ce qu’il avait le droit de me faire réellement, elle le regarda, se tourna vers moi, tout en lui disant que ce midi elle était venue se défouler mais que sa colère n’était toujours pas redescendue, m’envoya son poing dans la figure. Elle lui déclara on peut tout lui faire, même écraser une cigarette sur son corps. Le chauffagiste un peu gêné lui demanda et pour le sexe. La encore, elle lui montra ma cage de chasteté, et lui déclara, lui ne peux plus se servir de sa bite, mais il as un anus qu’on peux prendre sans souci, d’ailleurs il porte toujours un plug afin d’être prêt à accueillir quiconque voudrait en profiter.
Alors sans demander son reste il sorti sa bite et me fit mettre à 4 pattes et retira le plug, la femme lui pris des mains et le posa dans un endroit propre en attendant qu’on puisse me le remettre. Il m’encula à sec dans l’allée elle, elle m’ordonna de ne pas bouger et continua de ma faire mal. Ce furent des claques, le tirage de des pinces, l’écrasement des couilles, monta sur mon dos pendant qu’il continuait à ravager mon cul. Je fus utilisé pendant 10 min, je pensais qu’il jouir en moi mais, la dame lui suggéra de plutôt éjaculer sur mon visage, car je n’ai pas le droit de me nettoyer avant que mes Maitres rentre du travail. Ce qu’il fit et il se marrèrent à la vue de mon visage plein de foutre.
Il reprit le plug et le remis en place en force sans ce préoccupé s’il me faisait mal, de tout façon je ne mérite que la méthode forte et je dois le remercier pour sa violence. Il partit, la femme aussi, mais avant elle me fis mettre sur le trottoir et de me donna l’ordre de rester à genou pendant 5 min avant de refermer le portail. Avec cet interlude je me savais en retard sur mes taches et que si je ne suis pas à jours quand mes Maitres rentre je serais puni et privé de nourriture encore aujourd’hui (cela fait 3 jours que je n’ai pas le droit de manger). Une fois les 5 minutes passées, je me relevai, ferma le portail, et accéléra pour finir ce que je devais faire. Le fait de bouger plus vite afin de finir à temps mes pinces sur mes tétons se mouvaient de plus en plus ce qui faisait naitre en moi un désir ardent qui fut retenu très vite par ma cage et me perturba pour finir ce que je faisais.
Par chance, j’ai réussi à tout réaliser avant d’accueillir mes Maitres. A 17H25 j’ouvris le portail et patienta jusqu’à l’arrivée des voitures. Le Maire passa à ce moment-là, il avait l’air joyeux, me dépassa sans se soucier de moi, et soudain il opère un demi-tour, me dit bonjour je lui fais une révérence, et il éteignit sa cigarette sur mes tétons et de son autre main, il me mettait des petites claques justes pour son plaisir. Il vit les voitures de mes Maitres arrivé et arrêta son jeu, et rentra chez lui. Je refermai les grilles et débarrassa mes Maitres de leurs affaires, ils s’installèrent dans le salon et je leur portai leur café. Quand mon Maitre finit son café il me demanda si j’avais enfin travaillé correctement aujourd’hui, je lui fis signe de la tête.
Il se leva et me dit de le suivre, il allait contrôler si mon travail était bien fait. On commença par la cuisine, la vaisselle faite et ranger ok, le sol propre ok les poubelles vidées ok. On continua comme ça jusqu’à la fin de la liste. Il en parla à sa femme et lui annonça que pour une fois j’avais bien travaillé et que je pourrai enfin manger. Je leur servi le repas vers 20H, vers 20H45 ils avaient fini, moi je m’occupai de la vaisselle et de ranger la cuisine. J’entendis une petite cloche signe qu’on avait besoin de moi. Je me précipitai dans le salon, ils étaient sur le canapé, ma maitresse me demanda un massage des pieds, que je fis pendant 20 minutes. Je leur servi de repose jambes le temps du film.
Avant d’aller se coucher, ma Maitresse me guida jusqu’à ma cellule dans la cave, me donna du pain dur et de l’eau. J’attendis qu’elle me dise de manger et j’englouti le tout en moins de 5 minute tellement j’avais faim. Une fois le repas fini on me retira le plug, on m’emmena dans le jardin pour que je puisse faire mes besoins comme un chien. Et on me rapporta à mon cachot pour m’attacher pour la nuit. Ma Maitresse pris une poche à lavement et enfonça la canule dans mon anus ouvrit le robinet et me laissa comme ça pour la nuit. Les lumières s’éteignirent, et je sentais doucement mon cul se remplir de liquide, je n’allai pas dormi beaucoup cette nuit à cause de ce lavement, mais bon je n’ai pas le droit de me plaindre. Je dois plutôt les remercier de s’occuper si bien de moi.
Voici comment j’imagine une de mes journées si j’étais devenu un esclave. Bien sur tout cela n’est que pure utopie et que la réalité serait toute autre, je ne sais pas de quoi serait fait mon quotidien. J’espères que cela vous aura plu.
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Je vais vous conter comment j’imagine vivre une journée si j’étais enfin un esclave. Ce récit est bien sur hypothétique et n’est en aucun cas réel, il sera en 2 parties . Je pars sur le principe que mes Maitres travaillent de journée.
Ma journée commencerait à 6H du matin, ou le système qui me maintient enchainé au mur me libère et me réveille en m’arrosant d’eau froide afin que je puisse me laver. Oui étant donné ma condition d’esclave je n’aurai pas le luxe de pouvoir bénéficier d’un vieux matelas, qui sont réservé aux soumis.
Une fois lavé, je m’équiperais en liant mes chevilles avec une chaine, idem pour mes mains, je me mettrais un bâillon, et pour finir un plug dans l’anus dont la taille varie en fonction aléatoire venant du système.
Je devrai me rendre en cuisine, afin de préparer de le petit déjeuner de mes esclavagistes. Moi évidemment, je n’ai pas le droit de mange, des caméras sont installées partout dans la maison afin de me surveiller. Une fois le repas prêt je dois aller réveiller mes Maitres, pour cela je dois sucer Monsieur tout en doigtant Madame, une fois les 2 bien réveillés et chaud je dois les regarder faire l’amour. Tout cela a pour but de bien me rappeler ma condition d’esclave et que plus jamais je ne pourrai pénétrer une femme, un être supérieur, du fait que je suis encagé pour le reste de ma vie. Dès que leur jouissance est terminée, je dois les douchés et les raser si besoin. Une fois habillé je leur porte le petit déjeuner dans la salle à manger et je me place dans un coin de la pièce en attendant qu’ils aient fini. Je débarrasse la table, et lave la vaisselle, pendant qu’ils vaquent à leurs occupations. Quand la cuisine est redevenue propre, je dois me rendre dans l’entrée pour les attendre pour leur passer leurs vestes.
Et je dois sortir avec eux pour leur ouvrir le portail, évidemment je suis nu et enchainé, les gens qui passent dans la rue me dévisage comme si j’étais un moins que rien et ils n’ont pas tort. Mais en tant qu’esclave, avoir de la rancœur envers eux m’est interdit. Une fois mes Maitres partis je referme le portail, et je vais exécuter mes taches, le matin c’est ménage de la maison, le tout à 4 pattes. Vers 11H30, préparation du repas.12H30 je dois ré ouvrir le portail et les attendre non pas dans l’allée, mais sur le trottoir afin de m’humilier encore plus. Mes Maitres avaient prévenu les gens du petit hameau où ils vivent, qu’ils avaient fait l’acquisition d’un esclave, et que si l’envie le leur en prenait et quand j’étais sur le trottoir, ils pouvaient me martyriser avec les divers accessoires que mes Maitres avaient mis à disposition dans une boite sur le trottoir.
Au début, j’étais insulté, on me crachait dessus, puis les gens se sont habitués. Il a fallu 4 mois avant que je reçoive mon premier coup de fouet, d’un passant. Ce midi une femme s’était disputé avec son copain, et pour se défouler elle est venue jusqu’à moi, me mis un coup de genou dans les couilles, ce qui me plia en 2. Elle prit la cravache et m’en rouste le cul d’une vingtaine de coups. Elle s’est arrêtée car ma Maitresse arrivée. Mon maitre arriva 30 secondes après, je me relevai referma le portail et les débarrassa de leur veste.
Je leur servi le repas et comme le matin j’attends dans un coin qu’ils aient fini. Ce midi, ma Maitresse m’informe qu’un chauffagiste doit passer pour réviser la chaudière, et qu’il est au courant pour moi et que je dois lui obéir comme si c’était mon Maitre. 13h30, mes Tortionnaires repartent travailler. Une fois le portail fermé, je file m’occuper de la cuisine. Une fois propre, je vais passer un coup de balai dans l’allé de garage.
14H30 je reçois une décharge électrique de mon collier, cela signifie que quelqu’un à sonner au portail. Je vais ouvrir et bien que le chauffagiste soit prévenu, il était choqué de me voir ainsi. Je lui fis signe de me suivre vu que je ne pouvais pas parler, et le guida jusqu’à la chaudière. Je restai à ses coté le temps de son intervention, quand il eut fini, il me demanda si ma condition me plaisait je répondis par un oui de la tête, et m’interrogea s’il avait vraiment le droit de me faire tout ce qui voulait. Je refis un signe de tête positif. Alors il attrapa la chaine de mes pinces à tétons et la tira en l’air je du me mettre sur la pointe des pieds afin de soulager la douleur. Ce qui le fit rire, il regarda sa montre et dit tout haut qu’il lui restait 30 min avant son prochain rdv. Je compris que j’allais être utilisé comme bon lui semble, et il ne tarda pas. Il reprit la chaine des pinces et me força à le suivre à un rythme très rapide jusqu’à dehors. Cela me parut bizarre mais comme je suis un esclave et que je ne dois pas penser, je le laissa faire. Il me fit agenouiller dans l’allée de garage et ouvrit le portail, il regarda s’il y avait du monde. Il partit quelques minutes en me laissant seul à genou à la vue de tous, mais cela ne me gêna plus. Il revint avec la femme de ce midi, qui n’avait pas décolérer malgré le petit passage à tabac que j’ai subi.
Il lui demanda devant moi, si je la choqué du fait de ma condition. Elle répondit que lorsque Mes Maitres avaient fait l’annonce de mon arrivée, ils avaient tous cru à une blague. Et que quand je suis rentré dans la salle. Nu et enchainé, ils ont tous eu pitié de moi. Je me souviens aussi qu’avant de devenir totalement leur esclave je du vivre 1 semaine en tant que soumis le temps qu’on me fasse passer un test psychologique pour être sûr que cette volonté d’être esclave était bien de moi et non un chantage. Et quand le psy rendit son verdict et qu’il affirmait que c’est moi qui aie demandé à être réduit en esclavage, mes Maitres pour me punir et montrer que je suis bien l’initiateur de ma condition, ils me firent mettre à nu devant tout le monde, je m’exécutai aussitôt, et la salle eut un mouvement de recul, car entre la première fois qu’ils m’ont vue et là, il y a eu beaucoup de changement.
Effectivement, mes fers étaient scellés définitivement (par des boulons soudés) à mes membres, idem pour ma cage de chasteté elle n’avait plus de cadenas mais elle fut soudée elle aussi. Des piercings orné mes tétons et des pinces passer par-dessus. Un tatouage au-dessus du pubis représentant 2 piques avec R et D à l’intérieur. Afin de bien se faire comprendre mon maitre demanda le silence du public encore sous le choc, et annonça que je suis devenu leur esclave, que je n’existe plus en tant qu’humain, que je ne suis plus qu’une sous merde, et que n’importe qui du village, pouvait me torsionner. Je frissonnai lors de cette annonce, alors le maire pris la parole et demanda ce que mon maitre voulait dire.
Ma Maitresse pris la parole, et annonça que n’importe qui habitant dans le village, s’il est en colère, il peut venir se défouler sur moi, et me faire subir ce qu’ils veulent. Une femme demanda ce qu’elle pouvait me faire. Alors ma Maitresse lui demanda de venir près de moi, et lui poser la question si elle aller bien. La dame lui répondit que non car elle avait perdu son portefeuille. Ma Maitresse s’approcha de son oreille, et lui murmura quelque chose, dans la seconde qui suivi je m’écroulai à terre tellement le choc reçu à mes bourses furent violent. Mon Maitre m’ordonna de me relever tout de suite, ce que je fis immédiatement de peur de recevoir une punition.
fin de la partie 1
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Après discussion sur un site BDSM avec un soumis qui me voulait sous ses ordres, j’ai réalisé que je ne souhaitais pas être soumis mais plutôt esclave.
En fait ce soumis se disait curieux de ma position, le fait que je sois marié, bi et désireux d’être soumis. Notamment sur le fait d’être bi il me demandait ce qui m’attiré chez un homme. Et ma réponse me perturba quelque peu, en fait il n’y a rien qui m’attire chez un homme, la seule chose que je peux jalouser ce sont les abdos et encore.
Du coup comment je peux être bi sans attirance vers les hommes. Et la réponse m’est venu bêtement, je suis un bi forcé. Je m’explique, je ne vais pas chercher, et ce n’est pas un besoin vital pour moi, à sucer un pénis ou me faire sodomiser, mais du fait de ma position de soumis (d’ailleurs on reviendra sur cette position après) je ne peux pas refuser, une fellation ou une sodomie, je suis un être inferieur donc je n’ai pas le droit de refuser. C’est aussi simple que cela pour moi.
Maintenant je voudrais revenir sur ma position de soumis. Pour moi un soumis ou soumise bien sur est le vrai dominateur dans une relation D/S. En effet la relation se base sur les interdits du soumis et de ses limites, le bon dominateur lui doit s’adapter et faire en sorte de ne jamais aller dans les interdits de son soumis. Bien en réel c’est différant mais c’est ma vision d’une relation D/S. Et il peut mettre fin à sa relation s’il n’est plus en harmonie avec son dominateur.
Alors que pour moi un esclave, lui n’a pas le droit à des interdits ou limites. Il n’a aucun pouvoir de recul ou de refuser une action même si pour lui c’est un interdits. Il doit exécuter les ordres c’est tout, pas le droit de parlementer. Par exemple on lui demande d’aller chercher le courrier alors qu’il est nu avec chaine au pieds et aux mains, il n’a pas le droit de dire maitre non on va me voir. Il obéi point barre. Même si on peut le voir. De plus il ne peut pas partir ou arrêter cette relation Maitre/esclave, en revanche il peut être vendu où céder à un autre Maitre. En gros il n’a plus le pouvoir de décision, il ne lui reste que le pouvoir d’obéissance.
On en arrive donc au pourquoi après réflexion je souhaite être esclave plutôt que soumis. J’ai cette nouvelle vision depuis quelque temps maintenant, en effet dans ma vie j’ai toujours « été l’homme fort qui doit prendre les décisions pour les autres » notamment au travail, mais même dans ma vie perso on se repose à 95% sur moi. Et en fait bah j’en ai marre et cela fait bientôt 20 ans que j’ai cette sensation. 20 ans que j’ai envie de tout plaquer et d’appartenir à une personne et qui fasse ce qu’il veut de moi, sans que je puisse dire quoique ce soit, ni même non.
Voici comment j’imagine cette vie que j’ai tellement envie de vivre. Ma vraie vie.
On commencerait déjà par vendre tout mes biens (voiture, maison), donner mes animaux. L’argent récolter servira en parti, à ma préparation physique, et le reste serait en quelque sorte ma dote envers mes Maitres. On effacerait toute trace de moi à l’administration française (je sais ce n’est pas faisable), ou alors on me déclare mort, ma famille ne sera pas mise dans la confidence, pour eux je serai mort. Ainsi, Moi telle que je suis actuellement n’existe plus aux yeux du monde, j’aurais disparu(mort) et naitra l’esclave que tout le monde profite.
Donc oui tout à l’heure je parlai de préparation physique, car mes Maitres auraient carte blanche pour me transformer à leur guise, par exemple : épilation intégrale au lase, implantation de prothèse mammaire, me faire retirer mon pénis, ou l’enfermer dans une cage de chasteté permanente (fermé par rivet, ou même souder pour n’être plus jamais retirer) de toute façon un esclave n’a pas le droit de pouvoir prétendre à pénétré une femme. Apposition de fers aux mains, aux pieds et au cou. Je serais marqué comme du bétail (tatouage, marque aux fers rouges ou les deux ensembles). Port d’un bâillon, et d’un plug de chasteté.
Pour prétendre à manger je devrais être irréprochable, exécution parfaite des ordres reçu, pas de rébellion, ne pas me faire remarquer. Lors de repas, ou tout autre évènement je serais le cuistot, le serveur, en somme l’homme à tout faire, habillé ou pas. Je serais envoyé aux courses comme bon voudra mes Maitres, (nu, travesti, portant des chaines aux fers, ou toute autre envie qui viendrait en tête de mes tortionnaires). Voici comment je vois ma vraie vie, moi un être inferieur, mieux même une sous merde, ou même la vie du plus insignifiant insecte et plus précieuse que la mienne. J’ai la sensation d’être né uniquement pour être esclave.
Je servirai de jouet sexuel, devant sucer, être sodomiser, n’importe quand, à n’importe quelle heure de la journée.
Mes Maitres pourront me faire faire la pute afin de rapporter de l’argent, et ainsi gagné ma pitance de nourriture, qui serai servi dans une gamelle ou à même le sol.
Il m’est même arrivé d’imaginer que je suis un esclave mais même au sein de mon entreprise, ou quand je prends mes fonctions, je dois me mettre nu et me rendre au centre névralgique du bâtiment et d’y être attaché en attendant qu’on est besoin de moi. Bien sur je suis encagé je serais pieds et mains liées, on vient me détacher pour effectuer ma tache et une fois finie on me ramène à mon poste d’attente. Ou on pourra me fouetter me faire sucer des phallus, ou lécher des clitos. Ou tout autre chose.
Un esclave qui n’a aucun droit sauf celui d’obéir. Il n’existe même pas aux yeux de la loi.
Pour finir, je ressens vraiment cette sensation ce n’est pas un fantasme, je souhaite réellement vivre comme esclave. Malheureusement, cette vie je ne pourrai jamais la connaitre, d’un qui serait prêt à faire de moi un vrai esclave, de deux je tiens à famille et ma femme et je ne veux pas leur faire de peine.
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Prières pour une séance BDSM.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, combien je voudrais en ce moment, m’approcher de votre lit, plein (e) de confiance, non en mes propres mérites, mais pour votre infinie lubricité. Comme je voudrais retourner vers Vous, vers ma cage, être meurtrie par Vous, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, Vous qui êtes, mon maton. Vous qui fûtes cette nuit, mon bourreau.
Je vous adore Ô Mon Maître / Ma Maîtresse. Souvenez-vous de votre esclave. Je me prosterne devant Vous pour obéir à votre sainte volonté. Au nom du B du D du S et du M… Ainsi soit-il.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, qui par votre grâce toute-puissante me fortifiez contre les hésitations de mon âme et de mon corps, faites que bientôt crasseux (se) de coups et de souillures, j’aie le bonheur de vous recevoir dans tous mes trous et dans mon tabernacle. Je vous y adore avec le plus profond respect, et je vous prie de me battre et de me bénir. Ainsi soit-il.
Ô vous qui me violez, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, écoutez-moi je vous implore. Que vos désirs soient mes désirs. Donnez-moi la force de les écouter, et de les interpréter, pour Vous. Poufiasse, Baby-doll ou jument, donnez-moi la force de Vous satisfaire. Que vos plaisirs soient mes plaisirs. Vous avez vos desseins pour moi, dites-les moi bien, et donnez-moi de les suivre. Pute, esclave ou captive, que vos vices soient mes vices, jusqu’à ce que, par votre grâce la damnation de mon âme soit assurée. Qu’indifférent au monde et ne voulant que Vous, j’adore les fureurs, les sévices et le pire de Vous. Ainsi soit-il.
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CNC. Merci de ne pas lire plus loin si l'idée de sexe consenti non consenti, de simulation de viol vous rebute.
Pour les autres, bonne lecture et sachez que je suis preneur d'un commentaire. Idéalement pour dire que cette lecture vous a emoustillée mais tout autre commentaire, même critique bienveillante me poussera à oser vous proposer ma prose.
Tu ouvres la porte.
Aussitôt je te pousse violemment et la referme derrière moi.
[note pour les exhibitionnistes, merci de considérer que la porte reste ouverte [pas la peine de me remercier, ça me fait plaisir]]
Ma main s'est enroulée autour de ton cou et je te pousse quelques mètres jusqu'à te plaquer contre le mur.
La surprise semble toujours présente. Est-ce ton Maître, tout de noir vétu. Celui même qui devait s'absenter pour un imprévu.
L'excitation se lit dans tes yeux quand j'arrache ton chemisier de ma main disponible.
Je voulais ne pas me trahir mais trop dur de ne pas parler.
Je vais te forcer à jouir salope.
Je m'introduis chez toi. Tu ne fais rien pour m'arrêter. Tu es déjà offerte.
Je vais te violer et tu vas exploser comme la pute que tu es.
Ma main passe sous ta jupe pour découvrir que ton string est déjà complètement trempée.
Je te l'arrache.
Ouvre la bouche.
Je sais que tu ne vas pas crier. Enfin pas pour alerter qui que ce soit mais tu es bien plus bandante avec quelque chose dans la bouche. Et aujourd'hui ça sera ton string.
Je saisis le vibro que j'ai amené et je te le carre contre le sexe.
Sois une gentille fille, tiens-le pendant que je joue avec toi. Interdiction de l'écarter sous peine de représailles giflesques.
Un semblant de oui Monsieur semble s'échapper de ta bouche mais dur de comprendre avec le string qui rend ta prononciation hésitante.
Je te demande en chuchotant.
Mais quelle chienne fait ça ? Laisser rentrer un visiteur, se fait arracher ses vêtements et prendre le vibro pour se branler avec ? Sérieusement quelle genre de chienne en chaleur fait ça ?
Une grosse salope je crois. Une énorme salope en chaleur.
En même temps je te presse contre le mur cette fois en saisissant tes seins.
Je pince et tire très fort les pointes jusqu'à voir apparaîtres les prémisses de larmes.
Continue de te branler !
Je veux que tu exploses, que tu sois tellement trempée que tes cuisses soient luisantes.
J'enlève le baillon de fortune.
Ouvre la bouche, je vais te la fister.
Un rapide oui Monsieur et ta bouche s'ouvre en grand et mon poing commence à aller et venir.
D'avord doucement puis de plus en plus vite.
Les larmes dans tes yeux commencent à couler quand je décide de laisser ma main à l'intérieur de ta bouche.
Je crois qu'il n'y a rien de plus beau que le visage d'une soumise ruiné par son mascara.
[note pour plus tard ou pour les commentaires: est-ce plus ou moins beau qu'un visage couvert de sperme ?]
Je sens que tu es sur le point de squirter (come on dit an ardéchois ou en drômois) et je m'approche de ton oreille pour t'ordonner dans un murmure: "vas-y explose salope". Il est trop tard, de toute façon. Mais je sais que la permission de ton Maître te fera exploser encore plus fort.
Et c'est le cas. Explosion après explosion, tu giclais sans pouvoir t'arrêter.
Après avoir enfin fini, tu t'es naturellement mise à genoux, appuyé ta tête contre le mur et gémi
Baise ma bouche contre ce mur. Explose-la Maître. Je t'en supplie. Et peins-moi en blanc
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Le lendemain, je sers le petit déjeuner : biscottes, confitures, biscuits... Quand tout le monde a terminé, je déjeune aussi, mais dans la petite cuisine.
Ensuite, je m'apprête à faire la lessive, quand Summer reçoit un coup de téléphone. Elle écoute, remercie puis nous dit :
— On va avoir une visite surprise : la police ou des gardes-côtes... On va attendre qu'ils soient là, avant d'aller à terre. Première chose à faire, cacher le matériel de détection.
Il y a une planque dans la cale. Quand tout est caché, Summer nous dit :
— Voilà vos rôles : Thomas est un riche homme d'affaires qui vient passer un moment dans un endroit désert avec deux putes, Ashley et moi...
Summer qui va jouer les putes ? Ça va être un rôle de composition... Enfin, je n'en sais rien. Elle poursuit :
— Viens Ashley, on va se changer.
On va dans notre cabine et elle me donne un maillot en disant :
— Met juste le bas.
Elle se change aussi et ne met qu'une culotte de maillot et une paire de lunette de soleil. Les autres ont installé un des fauteuils à l'arrière du bateau. Martha a fait des cocktails. Dean s'installe dans la cabine de pilotage et Johnny, le garde du corps va à l'intérieur. Summer et moi, on va s'installer chacune sur une cuisse de Thomas. Elle est belle en pute, Summer. Après dix minutes, il dit :
— Vous êtes lourdes les filles, mettez-vous sur mes genoux seulement quand ils arrivent.
On va s'asseoir autour de la table. Je fais subtilement la tête à Summer. Par exemple, je ne lui ai pas demandé de pouvoir la rejoindre dans son lit. Mes fesses me font toujours mal ! Summer me dit :
— C'est très dur de détecter dans cette végétation et dangereux en plus. On le fait tous sauf toi. Tu ne trouves pas que c'est la moindre des choses vis-à-vis des autres de faire ta part de travail ?
— La fessée, je l'ai méritée, mais pas devant tout le monde.
— Faut te montrer ta place quand tu fais une connerie, non ?
— Oui, Summer.
Je m’assieds sur la chaise à côté d'elle, puis je prends sa main et je l'embrasse. Elle m’attrape par la nuque et m'embrasse sur la bouche. J'adore sa bouche, sa salive...
Thomas nous dit :
— Merde les filles, je bande !
On rit. Il ajoute :
— Qui de vous deux va arranger ça ?
Summer me regarde et je réponds :
— Moi, Monsieur.
Là, on entend un bateau arriver... Ce sont les gardes-côtes. Ils se placent le long de notre bateau et deux hommes montent à bord. Ils disent à Johnny qui est à l'avant :
— Police maritime, on voudrait voir le propriétaire
— Oui Messieurs, suivez-moi.
Ils arrivent à l'arrière et s'arrêtent en voyant Thomas, deux filles à moitié nues sur les genoux. Les policiers sont des métisses qui n'ont pas l'air commodes. Il y a un gros et un grand maigre... Ils me font penser à Laurel et Hardy, mais en nettement moins marrant. Thomas nous dit :
— Déguerpissez les filles.
On se lève pour aller dans le bateau. J'entends un policier lui dire :
— Nous venons contrôler les papiers du bateau.
— Certainement Messieurs, je vais vous montrer ça. Ah, j'ai entendu parler d'une taxe de séjour. Voici.
Je jette un petit coup d'œil et je le vois donner des enveloppes en disant :
— Pendant que je vais chercher les papiers, vous voulez voir les cabines ?
Il crie :
— Les filles, montrez les cabines à ces Messieurs de la police maritime.
On sort. Laurel et Hardy sont souriants. Summer leur dit :
— Si vous voulez bien nous suivre.
On va dans la chambre de Thomas, le soi-disant riche propriétaire du yacht. Summer leur dit :
— Vous devez faire un travail difficile, si vous avez envie de vous détendre un peu, Ashley et moi, on a été engagée pour distraire les invités. Le gros répond :
— C'est bien ce qu'on se disait. Montrez-nous ce que vous savez faire avec vos bouches.
Aussitôt, Summer se met à genoux et baisse la tirette du pantalon du gros. Vous allez être surpris, lecteur ou lectrice imaginaires, mais ça me choque de voir Summer dans cette position humiliante. Le maigre baisse son pantalon et son caleçon, puis, il claque des doigts en me désignant son sexe... Oui, ça aussi, c'est humiliant, mais c'est à moi qu'il le fait. J’imite Summer et je me retrouve avec une bite en bouche. D'accord, il ne s'y attendait pas, mais bon... c'est pas agréable.
Summer suce allègrement, mais elle n'a peur de rien, elle. Quand on les a bien sucés, le mien dit :
— A quatre pattes sur les lits, les filles.
Summer me dit :
— Mets-toi en face de moi.
On se retrouve face à face, un peu comme des presse-livres... D'accord, ça n'existe plus. Elle m'embrasse à nouveau, tandis que les policiers maritimes fouillent nos vagins en profondeur. J'adore l'embrasser. Les hommes aiment nous voir nous embrasser, manifestement... Il ne faut pas beaucoup plus de cinq minutes pour que le maigre jouisse en moi. Le gros prend plus de temps... Après avoir joui, il se retire. Je leur passe des kleenex qui sont sur une table, mais ils ont déjà remis leurs engins dans le pantalon. Summer et moi, on se met un kleenex dans la chatte et on les accompagne à l'arrière du bateau. Elle me prend par la taille et aussitôt, je me colle à elle. Les policiers sont souriants. Thomas leur demande :
— Tout s'est bien passé, Messieurs ?
Le gros répond :
— Parfaitement, tout est en ordre. Bonnes vacances.
— Merci, Messieurs...
On veut les reconduire vers l'endroit où est leur bateau, mais le gros nous dit :
— Ne vous montrez pas les filles, le collègue serait jaloux.
Il prend une carte dans sa poche et la donne à Summer en disant :
— Si vous avez un problème, appelez-nous
— Merci, c'est très gentil...
Bisous, ils partent... On va se laver la chatte et on s'habille, moi avec la robe noire et le tablier. Quand on rejoint les autres à l'arrière, Dean nous dit :
— Ils en ont de la chance, les flics...
— Vous pouvez baiser Ashley, moi, il faut demander. Mais, maintenant, on va fouiller.
Elle se tourne vers moi et ajoute :
— On te laisse le bateau. Si tu vois quelqu'un sur terre ou un autre bateau s'approcher, tu me téléphones.
— D'accord. Dis, comment je fais la lessive ?
— Tu mets une bassine sur le pont, tu la remplis d'eau, tu laves, tu rinces.
Donc, il n'y a même pas de machine à laver ! Je réponds :
— J'espère que vous allez trouver...
Ils quittent le bateau et je commence à lessiver à l'ancienne. Il ne me manque que des pierres plates et un battoir comme on voit dans les vieilles gravures de... lavandières. Comme il fait chaud, j'enlève mon uniforme. La lessive, c'est pas marrant à faire. Il me faut bien deux heures pour tout laver et pendre les vêtements un peu partout sur la bateau, pour qu'ils sèchent.
Quand tout est fait, je prépare le repas du soir. Des boîtes de thon à l'huile, des biscottes, des biscuits, des fruits. On va faire des courses demain, a dit Summer. Régulièrement, je regarde la mer et la petite plage, mais il n'y a personne. J'écrase quelques moustiques qui me piquent, mais ce n'est rien à côté de ce qu'ils doivent subir près des marais. Je fais les lits, range les chambres et quand tout est fini, je vais sur le PC de Summer. Quand je l'ouvre, je vois un message de Summer sur un morceau de papier "Tu as fini tes corvées ?" Sur le bureau, il y a une photo de fessée. Message bien reçu. Je vais un peu sur mon jeu dans lequel je suis une aventurière qui n'a peur de rien. Oui, c'est un rôle de composition.
Quand j'entends un bruit de moteur, je termine vite mon jeu. Dommage, j'étais à deux doigts de niquer la Princesse ou de me faire niquer par le Prince, je ne sais plus. Je vais chercher des bières et des bouteilles d'eau, puis je décroche les vêtements qui sont secs. Je les plie et quand ils arrivent, je leur dis :
— Vous avez trouvé ?
Pas de réponse. Il faut dire qu'ils n'ont pas l'air frais... Ils sont sales et leurs vêtements sont mouillés de sueur. Je dis très vite :
— Il y a des bières fraîches à l'arrière.
Ils y vont tous et se laissent tomber dans les fauteuils pour boire les bières. Summer me dit :
— Va mettre les détecteurs à leur place.
Je vais les cacher dans une armoire, puis je reviens. J'ai l'impression que, quoi que je dise, ils vont mal le prendre. J'attends... Martha me dit :
— On a faim.
— Oui Madame.
Heureusement, j'ai déjà tout préparé.... J'apporte le repas sur un plateau. Ils se sont tous déshabillés. Je vais devoir laver leurs vêtements demain. Summer a mis sur la table ce qu'ils ont trouvé : deux monnaies en argent, quelques monnaies en bonze, une pipe en terre cassée. Elle parle d'un nouveau détecteur qu'ils recevront dans deux jours. Elle ajoute :
— Demain, on fait mollo... Martha, tu pourrais aller faire des courses avec Ashley ?
— D'accord, on ira au marché d'Orange Creek.
— Je te ferai une liste de tout ce qu'il faut acheter, Dean vous attendra dans le port.
Le marché, ça me plaît... sauf quand Martha me dit :
— Tu iras en uniforme. Il y a des Blancs riches qui ont des grandes propriétés de ce côté de l'île et on voit souvent des bonnes faire les courses.
À suivre.
Merci à Bruce Morgan pour le dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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préambule: Ce texte est la traduction / réécriture partielle d'un texte que j'ai écrit en anglais (sur fetlife).
Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme).
Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet.
NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine.
Premier texte / premier élément : un canapé confortable
A genoux et sur tes mains, esclave !
Je sais que tu n'as pas été dressée, mais est-ce que c'est si compliqué pour toi de comprendre que ta place est à genoux ?
À partir d'aujourd'hui et, pour chaque nouvelle session de dressage, tu entreras dans notre pièce spéciale, à genoux. Impatiente de poursuivre ta formation d'esclave, dans le but utime de mieux servir ton Maître.
Est-ce que c'est compris ?
Oui, Maître
Good girl (flemme de traduire :D (mais pas de commenter, ce qui est sans doute plus chronophage, bonne remarque))
Je suis assis sur le canapé et je trouve que, pour l'instant, la pièce est vide. Mais nous allons en faire notre endroit.
Mon esclave est complètement nue à l'exception d'un collier et d'une laisse qui traîne derrière elle.
Viens ici, salope !
Commençons ton entraînement en te faisant comprendre que tu es une chienne faite pour obéir à tous les ordres que je voudrai bien lui donner, ni plus ni moins.
La réflexion, c'est pas pour toi. Tu te contentes d'obéir et de répondre oui Maître.
Compris, salope ?
oui Maître
Tourne-toi !
oui Maître
Laisse-moi vérifier quelque chose. Oh wow tu es une vraie salope. Complètement mouillée alors que rien n'a commencé.
oui Maître. Je suis impatiente de vous servir du mieux que je peux.
Ok, c'est vrai. Tu as probablement ce qu'il faut pour être dressée et faire une esclave acceptable.
Viens ici comme le putain d'animal que tu es. En marchant à 4 pattes et en regardant le sol.
Je veux te voir te frotter à ma jambe jusqu'à ce que tu exploses comme la chienne que tu es.
Oui, Maître. Merci beaucoup, Maître de m'autoriser à exploser.
Ne me regarde pas. Baisse les yeux, sale pute !
Je peux déjà t'entendre gémir après quoi ? Quelques dizaines de secondes. Sérieusement, tu vas vraiment exploser dans la minute ?
Arrête ! Je sais que tu es un putain d'animal, mais quand même, respecte-toi un peu.
Oui, Maître. Mais c'est toi qui me transforme en une énorme salope, tu le sais.
Je ne le reconnaîtrais jamais à voix haute. mais c'est vraiment très agréable de voir ce regard suppliant dans tes yeux.
C'est aussi très agréable de cracher dans cette bouche ouverte, prête à avaler tout ce qui se présentera à elle.
Je vais te laisser exploser mais, d'abord, regarde-moi dans les yeux et ouvre ta bouche. Supplie-moi et je te laisserai le faire.
Dans la seconde qui suit ...
s'il vous plaît, Maître. Ayez la gentillesse de me laisser exploser en frottant mon sexe contre votre jambe, contre votre pied.
Je n'ai même pas réalisé que tu avais pris mes doigts dans ta bouche et que tu te remets à les lécher après avoir supplié.
ok, tu as 30 secondes. Si tu peux exploser, c'est parfait. Sinon, tu auras perdu ta chance pour aujourd'hui et sûrement les jours à venir.
Je retire mes doigts, j'attrape tes cheveux et je les tire pour que ton visage regarde vers le bas.
Je sens ton sexe trempé se déplacer contre ma jambe.
Tu ouvres encore plus les genoux pour que je puisse placer mon pied droit entre eux.
Il te faut 10 secondes pour commencer à gémir très fort.
Encore 10 secondes et tout ton corps commence à se contracter et tu commences à exploser bruyamment.
Tu as effectivement tout pour devenir mon esclave.
Il y a du travail. On va travailler sur la frustration. Pas question que tu deviennes un animal. On va travailler sur la frustration, la retenue pour que tu deviennes une vraie esclave mais je n'ai aucun doute que l'aménagement de cette pièce spéciale et le dressage en parallèle va être une source de plaisirs multiples.
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XX Dévotion à Mon Maître / Ma Maîtresse.
Prières avant la séance BDSM.
Acte de foi.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, je crois sincèrement en Vous. Je crois fermement à ce que Vous m’annoncez, à vos promesses de coups à vos désirs de cuirs. Je me donne à vous pour vivre plus abondamment vos plaisirs et fortifier ma foi en Vous.
Acte d’humilité.
Je reconnais Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, que je ne suis qu’une humble créature, issue de vos mains et de vos caresses. Je reconnais mes péchés et mon indignité devant Vous. Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, regardez-moi de haut, accordez-moi vos gifles, dites seulement une parole et je serais votre Salope.
Acte de contrition.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, Je déteste toutes les fautes de ma vie, je les déteste de tout mon cœur, parce qu’elles vous ont offensées, Vous, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse. Je vous supplie oubliez mes hésitations, oubliez mes faiblesses. Devant Vous, je prends la résolution de me corrompre pour vous et d’accepter vos justes pénitences.
Acte de désir et de sexe.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, mon plaisir et ma force. Vous qui me guidez aux cieux et dans le Subspace. J’ai grand désir de vous recevoir en moi. Je me réjouis de la pensée que Vous daigniez me posséder. Venez, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, pénétrez mon corps ; qu’il soit à Vous pour toujours, pénétrez mes trous ; qu’ils jouissent de Vous puissamment et par-dessus toutes choses.
Prières après la séance BDSM.
Acte de foi et d’adoration.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, je le sens encore, c’est vous que je viens de recevoir, Vous, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, malgré mon masque, malgré mes chaînes, aveugle et dans le viol, j’ai été visité par votre sauvagerie et Vous êtes venu(e) décharger en moi ! Saisi (e) d’un profond respect, je me prosterne devant votre brutalité. Je vous adore, et je vous offre mes humbles louanges.
Acte de reconnaissance et d’amour.
Très doux Maître / très douce Maîtresse, je vous remercie de tout mon corps, pour la grâce indigne que vous Venez de me faire. Que Vous rendrai-je pour de telles sanctions ? Je voudrais Vous adorer, autant que Vous êtes cruel (e) et vous servir autant que Vous méritez de l’être. Apprenez-moi à vous aimer, à aimer vos crachats, à aimer vos fouets et votre sainte volonté.
Acte de demande.
Vous qui êtes en moi, Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, Vous qui m’avez dit : « Suce et tais-toi ! » Vous êtes rempli de bonté pour moi, les mains pleines de claques, les mains pleines de grâces : daignez les répandre sur mon corps qui en a tant besoin. Ôtez de sur mon corps tout ce qui vous déplaît. Habillez pour le rendre agréable à vos yeux. Étendez sur moi le costume de la bête ou de la putain que je vive par Vous et pour votre regard.
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XVIII Prière pour les incrédules.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, ayez pitié de ces âmes banales et qui ne connaissent ici que la vanille. Ayez pitié de leurs parfums de moraline, et de leur maquillage rose sentimental…
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, je Vous crois, je Vous adore et je Vous obéis. Je vous demande humblement pardon pour ceux qui ne croient pas au BDSM, n’adorent personne, n’obéissent à rien et ne se reconnaissent que confits dans la vanille.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, je Vous offre mon très précieux corps, mon sang profond, mon adoration éternelle, mon âme en réparation des outrages et des sacrilèges des mécréants, des ignorants et des indifférents adeptes du sucre et de la vanille. Et par vos mérites infinis, Mon Maître / Ma Maîtresse, j’espère la conversion des prudes et des « pères la pudeur ». Au nom du Bondage de la Domination du Sadisme et du Masochisme. Ainsi soit-il.
XIX Prière pour enculer Barbie.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, ayez horreur de ces poupées Barbie qui ne sont que vanille. Ayez horreur de leurs parfums fadasses, et de leur maquillage pastel et sentimental…
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, / sous le ciel rose et bleu de sa chambre nuptiale, / kidnappons donc Barbie pour enchaîner ses larmes. / L’impact, le tourbillon des coups amplifieront ses pleurs. / La perspective du viol accroîtra ses peurs.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, / Au cul de la victime, Vous sentirez grandir / votre dard crispé, vers ses trous, vers son vide. / Vous la pénétrerez sans pitié, sans plastique, / Sous les cris de son cœur, les spasmes de son martyr.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, / Enculez la poufiasse ! Acrassez la Barbie ! / Sans cesse dans sa croupe agitez le Démon, / Le fulgurant braquemart qui obsède les femmes. / Lorsque fermente en elles le désir infâme, / par de virils objets, de voir combler leur fion, / de voir leurs draps souillés de jaune et de marron.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse, / acharnons-nous ensemble à haïr la poupée, / à broyer ses attraits, à briser ses succès. / Qu’elle chiale sa vie, qu’elle hurle à corps à cris, / puis qu’elle meurt sous nos mains ornées de bistouris.
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Cher Mr Zuip
Vous n'êtes pas gentil...
Après l'avoir fait jouir aujourd'hui, ma chatte n'a eu de cesse de me tourmenter toute l'après-midi. J'ai bien essayé de la calmer ce soir avec mon gode mais rien à faire. Elle ne veut plus que vous ! Elle prend son autonomie la salope ! Alors, je l'ai empoignée, pincée, frappée, remplie... puis délaissée pour mon cul (bien content celui-là). Mais rien à faire... j'ai perdu le contrôle de mon minou qui miaule sans arrêt mais ne se laisse plus caresser. Pourtant, j'aimerais bien la faire ronronner...
À bout de force, j’ai tenté des négociations.
- Mais bon sang, que veux-tu au juste ?
- Mr Zuip
- Non mais t'es folle ! Tu l'as presque tous les soirs !
- Oui mais en vrai !
- Mais tu as déjà « Ton Ami »
- Oui, je sais. Mais même s'il m'excite comme un salaud, qu'il me voit comme un trou à remplir, qu'il me malmène sauvagement avec sa bite... je n'en ai pas assez. Et tu le sais.
- Holà minette, on se calme. Tu es vraiment en chaleur, je vais te mettre un glaçon, ça va te calmer !
- N'y compte pas une seule seconde. Je pose un préavis de grève illimité à effet immédiat. Tu ne me feras plus mouiller ni encore moins jouir, toute seule sur ton canapé, ni ailleurs ! Mes conditions de sortie de crise sont : convaincre « Ton Ami » de me toucher au moins deux fois par semaine MINIMUM. Ou te faire baiser par n'importe qui d'autre à n'importe quelle occasion. Souvent. Et intensément. Ou te décider à prendre le train pour Paris, pour aller voir qui tu sais. Vérifier qu'il est aussi excitant en réel qu'au téléphone, qu'il sait aussi bien me lécher et me mordre qu'il le dit. Je veux qu'il te demande de m'exposer à son regard lubrique et que tu ne puisses pas lui résister. Qu'il me fouille bien profondément jusqu'à la douleur. Qu’il me bouffe ! Et aussi qu'il me doigte sur les toilettes et que j'arrive à lui pisser sur la main sur ses ordres !
- Ah, ça t'a bien plus ça, hein ? Tu me fais honte ! Mais qu'ai-je fait pour mériter une chatte pareille ! Ne pourrait-on pas vivre tranquillement ? Sagement. On se trouverait un gentil compagnon qui nous caresserait gentiment le soir, après le repas et la vaisselle ?
- Arghhhh ! Tu vas me faire vomir ! Tu ne penses même pas ce que tu dis. Tu veux ma mort ou quoi ? !
- Tout doux ma belle, tout doux... viens là... petit câlin, ça va passer...
- NON ! Ne me touche plus !
Voilà Mr Zuip. Tout ça à cause de vous ! Mon con vous réclame et mon cul est d'accord. Comment résister ? Je ne peux pas vivre sans eux. Et je vous l'avoue humblement, sans leur dire bien entendu, que je suis tentée par la 3ème condition pour mettre fin à cette grève. De toute façon, « Mon Ami » ne changera pas. Et je l'aime comme il est. Baiser des inconnus à la va-vite, ce n'est pas mon truc. Je préfère avoir quelques bonnes adresses de restaurants plutôt que de manger tous les soirs au MacDo pour pas cher. Je suis acculée ! Et je me mets à rêver de mon voyage vers vous. Les heures de trajet passées à imaginer votre premier regard sur moi ... L'excitation qui monte... qui me tord les tripes... mes efforts inutiles pour penser à autre chose... Toutes les personnes autour de moi qui ne savent pas dans quel état je suis... Alors oui, je serai envahie par vous, par toutes ces promesses de jouissance fortes et intenses. Nos conversations charmantes, notre complicité. Puis, rapidement, vous me demandez d'écarter les cuisses et de vous présenter mon intimité. Déclic. Comme la première fois que je vous ai parlé, j'obéirai sans réserve. Surprise, mais docile. Ne pouvant pas résister. Votre voix a changé... Maître Zuip est arrivé. Sévère, sûr de lui, hypnotique. Il sait ce que je veux ! Vous vous levez et sortez de la pièce. J'attends. Affolée. Vous revenez avec un martinet. Mon premier martinet ! Et alors là, oui, j'ai la frousse, la chair de poule, je tremblote ... quelle partie de mon corps va déguster en premier ? Je maudis ma chatte de m'avoir jetée dans la gueule du loup !! Vous sentez mon émotion et, en grand pervers que vous êtes, que je vous espère, vous attendez ... interminablement ... je me contrôle difficilement. J'ai envie de ce premier cinglement sur mon corps. N'importe où ! Allez-y Mr Zuip ! Je n'ose pas demander mais je commence à gémir... Mr Zuip a compris. Il pose le martinet et m'assène brusquement une vraie gifle. Pas une gifle de cinéma ... mais une qui fait mal, qui sidère, qui humilie. Je n'ai pas le temps de reprendre mes esprits... vous me retournez, vous me prenez par les cheveux et vous m'enculez sauvagement, en force. Le Maître a pris possession de sa femelle ! Je suis clouée, paralysée... je mouille, je transpire, je la veux toujours plus profond. Enfin la bite de Mr Zuip !
Et je souris... en pensant à ma chatte dégoutée, qui n'aura pas eu la primeur de cette queue tant désirée. Bien fait, salope ! Et merci.
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Salut à tous, voici une histoire vraie de ce que j'ai vécu quand j'avais 23 ans.
Je venais de finir les études, et j'étais encore puceau, j'ai 23 ans au moments des faits et je cherchais par tout les moyens à ne plus être vierge. J'avais honte à cette époque. Mais étant un enorme timide, je ne n'osai approcher les femmes.
je me suis donc tourné vers le monde du BDSM. Et un jour j'ai eu une idée appeler un sex shop de Rouen me faire passer pour mon propre Maitre et me proposer en tant que cobaye dans sa boutique afin de me punir.
Le gérant accepta et la date fut fixé. je me prépara et lui écrit une lettre afin de lui donner certaines instructions, comme le fait que je dois me deshabiller et etre en guèpiere et string, le temps de mon sejour chez lui. que je lui mettai à disposition des cordes afin qu'il m'attache les mains et les pieds. Et lui demanda que si il y a pénétration que les clients mettent des capotes (logique).
donc le jour J, je me prepara, me rassa le sexe et l'anus, puis pris la route.
arrivé au parking avant de sortir je mis mes talons aiguilles et marcha jusqu'a la boutique, il y avait facilement 500 metres à faire et je dois dire que j'étais honteux et excité de me balader comme ça dans Rouen.
Une fois dans la boutique je lui tendis la lettre et me fis mettre en sous vetements, mais n'utilisa pas les cordes et je ne fut jamais attaché. il me fit descendre dans une des cabines et parti. A peine 10 secondes plus tard un client ce présenta devant moi et devait surement etre au courant de ma venue, il sorti son sexe et m'ordonna de le sucer, ce fut ma premiere fellation et encore l'unique à ce jour (helas). le gérant revint pendant ce temps et pendant que je continuai ma fellation, il donna au client une cravache, un gode géant( 22 cm et 4 cm de diamètre), à l'époque tout ce que j'avais réussi à m'enfiler c'était un manche à balai. donc ce fut assez douloureux lorsqu'il m'ordonna de m'enfoncer dessus.
je repris ma fellation et au bout de 5-6 minute il juta dans ma bouche, et il partit, moi n'ayant pas avaler je recracha tous dans un mouchoir et me releva. j'attendis comme un con dans ma cabine pendant 10 min, un autre client se présenta ne dis rien et reparti.
5 minute plus tard le gérant vient me voir avec du sopalin et du produit à vitre, et me donna l'ordre de nettoyer tous les miroirs à 4 pâtes. je le fit avec peur mais plaisir aussi offrir une vue sur mon derrière était excitant. quand j'ai terminé je remonta les produits à la caisse et fut surpris du monde qu'il y avait dans la boutique.
quand il termina de controler mon travail, il me libéra et je rentra chez moi.
Je fus deçu et content en même temps, déçu car une seule personne s'occupa de moi, et je ne fus pas contraind de mes mouvements, content car cela a été une grande experience pour moi.
J'ai pensé à recommencer mais je n'ai jamais sauté le pas.
A votre avis je dois le refaire ?
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dernière partie de mes bêtises au travail, je vous assure que tout cela est vrai.
Bon le cinglé du self bondage a refrappé en entreprise et ce coup ci pour un défi complètement taré ou si je me faisais attraper c'était soit le chantage (financier et/ou sexuel je ne le saurai jamais et tant mieux ^^) ou le licenciement pour faute lourde.
Pour cette partie j'ai osé faire du self bondage avec mon collègue qui était dans l'atelier d'à coté, ou je ne faisais pas de grande choses folles pour pas qu'il me voit. C'était du touche pipi par rapport à quand il est pas là, du style descendre l'escalier de mon bureau jusqu'à presque la porte de son atelier, nu et en cage, mais rien de foufou.
Pour la suite il m'a appris qu'il prenait quelques jours lorsqu'on serait de nuit. du coup j'ai réfléchi et sorti quelques défis d'abruti mais bon c'est moi, pour tous les défis je serai équipé des pinces à seins, de la cage, du crochet anal relié par la chaîne à mon cou.
Le premier, est de descendre les escaliers à 4 pattes tout en ayant mis la corde sur la rampe et de marcher comme ça jusqu'à ce que la corde m'arrête, le plus dur c'est que je me faisais détecter par les lampes, même à quatre pattes et que je voyais mal si quelqu'un pouvait arriver, surtout sur le retour car je me forçais à rester à 4 pattes jusqu'au retour dans le bureau, j'ai même eu la stupidité de boire à la fontaine. à croire que je veux vraiment qu'on me trouve comme ça.
Le deuxième fut d'aller dans les toilettes d'en bas et d'uriner dans les pissotière, la encore une personne pouvait venir elle même, utiliser ces toilettes me trouver ainsi affubler et j'ai eu très peur car au moment où je fus en haut de mes escaliers j'entendis une personne siffler, et la je couru m'enfermer dans mon bureau pour me rhabiller au plus vite.
Le troisième fut la reprise du 4ème du récit précèdent à savoir faire le tour des ateliers en passant par le couloir de la "mort", et là encore défi réussi à 75%, encore heureux que je n'avais pas refermer la porte de l'atelier de mon collègue, car comme c'est une issue de secours on peut pas l'ouvrir de l'extérieur de l'atelier, alors que je venais de passer la porte et que j'avais fait 4-5 mètres, une porte rideau se releva, je fis demi tour si vite, que le crochet anal me rentra très profondément et me fit mal. Décidément je n'arriverais jamais à réaliser ce défi.
Le quatrième est celui qui failli tuer ma carrière, ainsi que ma vie social et m'aurai valu un séjour en psychiatrie, de là où sont mon bureau et l'atelier de mon collègue il y a un accès extérieur qui permet de faire le tour de son atelier et rejoindre mon bureau, vous voyez ce que je m'apprête à faire, oui oui, faire le tour extérieur en pleine nuit, où des caristes peuvent me voir et tous ceux qui sont au local fumeur. Si ils font très attention peuvent me voir. Sans parler du retour à mon bureau où là, je ne peux pas savoir si une personne arrive ou va aux toilettes. Et bien ce défi je l'ai fait oui. Je me suis f o r c é à faire le tour extérieur de mon bâtiment dans le noir en pleine nuit, ce fut les 5 minutes les plus intenses de mon existence, mais bizarrement j'étais étonnement très calme et je marchais tranquillement comme si c'était normal de me balader comme ça. Taré je vous dis, je suis cinglé, mais je ne vis et n'entendis personnes et je suis remonté à mon bureau sans encombre, j'ai même pris le loisir de rester nu pendant 30 min le temps que l'adrénaline s'évacue.
Le reste de la semaine fut banale pour ainsi dire, où je recommençais à me promener, équipé mais sans but précis.
Sauf le dernier soir où, j'ai décidé de faire le défi de descendre, d'aller au milieu du couloir équipé des pinces et du crochet anal, mais sans la cage car le but du défi était de me branler jusqu'à éjaculation, et je dois dire que malgré l'excitation je mis facilement 3-4 minute à éjaculer dans un gobelet.
Je voulais aussi être dans le couloir et m'empaler sur un gode mais je ne l'ai pas fait celui ci .
Voila mes dernières réalisations. qui seront fortement les dernières car l'entreprise commence à installer des caméras de surveillance dans notre bâtiment.
Pour info mon collègue n'est pas présent actuellement et j'ai jusqu'à lundi 5h du mat pour "jouer". Je vous propose que vous me donniez des défis à faire, et si c'est faisable je le ferai. Alors n'hésitez pas à proposer
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Donc j'ai pu recommencer mes petits selfbondages à mon entreprise car mon collègue du bureau d'à coté était absent cette semaine. Cela fait plusieurs jours que je porte ma cage de chasteté car j'en ai envie tout simplement, et cette semaine quand j'ai appris que mon collègue ne serait pas là toute la semaine j'ai commencé à vouloir refaire ce que j'ai fait l'été dernier. tout en étant conscient que la dernière fois, il s'en est fallu de peu que je me fasse attraper. de plus j'ai acheté une nouvelle cage avec plug d'urètre
Alors pour le premier jour de la semaine comme je n'ai appris qu'une fois au travail, j'ai réfléchi à ce que je voulais me forcer à faire et comment le faire. Après réflexion, je me suis imposé 4 grands défis dont 1 qui est quasi irréalisable malheureusement.
Le premier qui ressemble à ce que j'ai déjà fait mais tout aussi exaltant m'équiper avec cage avec le plug + pince + crochet anal avec la corde attachée à la rampe des escaliers. Un petit détail que j'ai omis c'est que au vu de l'augmentation du prix de l'électricité, l'entreprise a fait installer des lampes à détection de mouvement dans les couloirs, de ce fait je ne peux plus rester dans l'ombre. Si un gars ce ramène je ne pourrai pas me cacher.
Le deuxième est d'atteindre une porte à la limite des croisements des couloirs (zone de danger pour ce faire attraper) équiper de la cage avec plug+ pince+ crochet anal, mais cette fois ci il sera relié à une chaine qui passera autour de mon cou en faisant attention à pas m'étouffer avec.
Le troisième est d'aller dans l'atelier d’à côté pour aller récupérer un chiffon et de l'eau afin de me nettoyer les pieds avant de me rhabiller. le tout équipé comme le deuxième défi.
Et le quatrième défi le plus dur, je ne sais pas si je l'ai dit mais l'atelier qui est à côté de mon bureau à 2 entrées, 1 devant et une derrière, mais cette entrée derrière donne sur un couloir avec du passage fréquemment même trop fréquemment, et le but de ce défi est de rentrer dans l'atelier par devant et de sortir par derrière et de faire le tour pour rejoindre mon bureau.
Donc avant de faire tout cela bien sûr il m'est arrivé durant la semaine de me balader avec juste ma cage mais jamais trop loin enfin au début parce que à chaque fois que j'atteignais un palier je voulais recommencer pour aller plus loin, et je pense que inconsciemment je voudrais me faire attraper.( mais cela reste dans mes fantasmes les plus fous et surtout je ne sais pas comment réagirait la personne qui me trouverait dans mon état, surtout si c'est un collègue qu'on apprécie pas énormément, donc cela restera un fantasme uniquement).
Oui ces 4 défis je ne pourrai les réaliser que le dernier jour où il y moins de monde dans l'entreprise.
On arrive le dernier jour et il m'a pris de rajouter un peu de piquant pour cette journée de défi déjà j'allais les jouer à pile ou face. Et si je perdais je devais absolument le faire si je gagnais, je pouvais choisir de le faire ou pas et pour ne pas tricher j'ai pris sur internet un site qui choisi aléatoirement de 1à 4 pour savoir quel défi je joue.
Le premier chiffre à sortir est le défi 1 ou je gagne ensuite ce fut le 3 que je perdis puis le 2 que je gagnais et le 4 que je perdis. Le seul défi que j'aurais voulu gagner c'était le 4 et bah non.
Enfin je me décide de réaliser ces défis mais pas tous en même temps car je m'étonnai contraint de laisser passer au moins 30 min entre chaque.
Donc je commence doucement avec le défi 1 ou je le fis assez confiant et sans réelle crainte, le plus dur c'est que les lumières s'allumaient à chacun de mes mouvements et si jamais une personne était dans le couloir d’à côté et qu'elle voit la lumière s'allumer pourrait ce demander ce qu'il ce passe et venir voir . DEFI réussi.
Pour le défi 3 le plus dur était que je ne pouvais pas me baisser comme je voulais du fait que le crochet anal était relié à mon cou je me devais de garder une posture droite, j'arrive dans l'atelier et je vois une lumière s'allumer panique à bord j'essaie de trouver un endroit pour me cacher mais je n'arrivais pas à réfléchir et lorsque je l'ai trouvé la lumière s'éteignit, je suppose qu'un collègue est passé trop près lors de son passage à l'intersection des 2 couloirs. mais content DEFI réussi aussi.
Ensuite vient le défi qui a failli me faire attraper il y a 6 mois, j'avais peur et je ne voulais pas trop le faire mais l'adrénaline des 2 premiers défis réussis ont eu raison de ma peur, et je m'engageai dans ce défi tête baissée. Le flippant quand je marchais c'était ces putains de lumières qui s'activaient quand elle détectaient un de mes gestes, j'arrivais presque à l'endroit que le défi m'imposait lorsque j'entendis des gens parler fort. De ce fait j'ai rebroussé chemin et rentrais à mon bureau. Défi à moitié réussi .
Enfin vient le plus dur des défis et je me demande pourquoi je m'inflige cela je dois pas être bien dans ma tête ^^', je m'équipe comme d'habitude et commence à sortir pas de bruit à l'horizon, j'arrive dans l'atelier à côté et encore une lumière qui s'allume décidément cet atelier veut que je me fasse attraper, mais ce coup ci les autres lumières s'allument aussi du coup je me place à la cachette que j'avais trouvée et par une chance inouïe le gars venait déposer un truc dans l'atelier où j'étais mais il était sur son téléphone et trop concentré dessus donc il ne resta pas et ne fit attention à rien et tant mieux car je pense que si il avait ne serait-ce que relevé la tête et fait un tour de regard il m'aurait vu de plus il avait allumé la lumière de l'atelier. Il est repartit, j'ai attendu que les lumières s'éteignent et continuais mon défi j'arrive à la porte de derrière et l'entrouvre un peu pour voir si il n'y a personne. Mais malheureusement j'ai rebroussé chemin car j’étais pétrifié de trouille et je me disais que si même j’arrivais à sortir de cet atelier je pouvais quand même tomber sur quelqu'un à l'intersection des couloirs. je suis rentré dans mon bureau et me rhabillais.
En écrivant ce récit qui est réel, je commence à avoir d'autres idées à faire, comme le fait de remettre le crochet anal au coup mais en plus fixer une corde d'une certaine longueur et de fixer l'autre bout à la rampe de l'escalier. comme ça je ne peux plus me cacher.
Et vous quand pensez vous et avez vous des idées de défi à m 'imposer??
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Je me présente vite fait homme proche de la quarantaine marié et je pratique le self bondage depuis mes 15 ans environs.
Donc voici mon récit qui est réel et que lorsque je regarde les vidéos j'ai toujours aussi peur de me faire attraper.
Depuis quelque temps et comme dans toutes les entreprises la période juillet août et signe de ralentissement niveau charge de travail, donc il m'est sorti comme folie de repéré tous les endroits disponible de l'entreprise ou je pourrai m'attacher avec plus ou moins de risque et je pèse le pour et le contre de chaque endroit si je le fais à cet emplacement ou définitivement non.
Le repérage terminé et de retour chez moi je regarde quels équipements je vais emmener et si cela passe dans mon sac sans que cela ce voit. J'ai donc pris ma cage de chasteté, mon crochet anal avec 3 boules, de la corde et des pinces à tétons. Le matin en me levant je m’équipe de la cage et je sors promener le chien en rentrant je me prépare et je pars au travail.
Sur place, je réfléchis à quel endroit ce jour là je pratique mon activité favorite et je commence par le plus sécurisé, car c'est un local à coté de mon bureau qui se fermer à clé et que cette clé je sais qu'il y a que moi qu'il l'ait. donc je prépare le matos passe les cordes pour pouvoir m’attacher les mains et attacher aussi le crochet anal. je me déshabille mets les pinces et m'enfonce le crochet je prends mon téléphone et le passe en mode enregistrement vidéo et le pose à un endroit où je peux être dans le cadre entièrement. Là je passe la corde dans le trou du crochet anal et tire sur la corde jusqu’à que je sois sur la pointe des pieds et je fais un nœud ensuite je m'attache les mains au dessus de ma tête, et je reste comme ça pendant environ 5 min tout en me positionnant de façon à ce que la camera enregistre tout ce que j'ai sur moi et en moi . Je me détache me rhabille et passe au lieu suivant.
En fait sur les 5 lieux que j'avais gardé j 'ai réussi à faire les 5 dans la même journée en prenant une vidéo à chaque fois. tout en ayant déjà eu une première alerte j'ai un collègue qui est venu en astreinte ce jour la et qui est passé à 10 mètres de moi sur le dernier endroit ou je m'étais attaché. Fort de cette réussite et poussé par l’adrénaline je me suis auto convaincu que pour le lendemain j'allais pousser la chose encore plus loin. oui car cette journée était terminé sur le sujet bondage puisque mon collègue est parti au moment ou moi je partais .
A la maison je décida de prendre le reste du rouleau de corde et de la mettre dans mon sac pour pouvoir réaliser le défi que je m'étais imposé. A savoir relier entre elles les 3 cordes (celle des mains, du crochet et le rouleau restant) afin de pouvoir avoir 45 mètres de corde disponible. de fixer une extrémité au point du local à coté de mon bureau qui m'avait servi la veille) de mettre le crochet anal et fixer l'autre extrémité au trou du crochet, d’être en cage de chasteté et d'avoir les pinces au tétons et de marcher dans le couloir jusqu'à la limite de la corde.
Ainsi le lendemain au travail, je me préparai et contrôlai que personne n'était présent dans le couloir. et je sorti de mon local et c'est comme que je débuta ma marche jusqu’à l 'arrêt de la corde, il m'a fallu sortir du local parcourir le couloir de mon bureau descendre l'escalier et le crochet me fit faire stop sur la dernière marche de l'escalier. je fis quelque plan de mon cul avec la camera et remonta au local et me rhabilla.
Quelques heures plus tard je suis toujours excité et l’adrénaline et toujours à son paroxysme dans mon corps. je décidai donc de recommencer cette expérience mais ce coup ci avec un challenge supplémentaire. c'est que le bout de la corde soit fixé sur la rampe en haut des escaliers. Je me ré équipe mais ce coup ci dans mon bureau de toute façon personne ne peut me voir ni entrer sans autorisation. Et je sors du bureau, fait les 2-3 mètres qui me séparent des escaliers et fixe la corde je regarde si il y a personne et je commence à descendre. Je ne sais pas si c'est parce que mes sens sont en alerte maximale du fait de la situation, mais le bruit que fait la corde dans les escaliers est énorme je trouve. j'arrive à la limite de tout à l'heure, un dernier coup d’œil et je me mets à avancer , j'ai eu l'impression que la corde ne finissait jamais tant je me rapprocher du point limite ou j'aurais pu être découvert. Mais au moment ou j’arrête cette réflexion je sens le crochet me stopper. Comme tout à l’heure je capture l'endroit à la camera. et je remonte et je finis ma journée.
Le lendemain, je décide de faire un défi encore plus fou de fixer la corde en bas des escaliers. Je me prépare, et prépare le nœud pour la rampe à l'avance afin de la fixer le plus rapidement possible. je sors du bureau me positionne en haut des escaliers et check une dernière fois l'absence de personne et je commence à descendre. Une fois en bas je passe le nœud dans la rampe et commence à avancer j'arrive au premier virage je m’arrête je passe en mode espion et contrôle qu'il n'arrive personne dans le couloir suivant. Et je reprend ma route, je dépasse le point d’arrêt de la veille, je regarde vite fait ce qu'il reste de corde et je me maudis car il en reste encore beaucoup,
A partir de la j'avance très prudemment et très lentement, arrivé à la partie ou de la où je suis je peux voir le croisement des autres couloirs et potentiellement des gens qui arrivent. Je fais encore 1 mètre je me stoppe et contrôle si personne n'arrive, et justement une personne sors de son bureau et entre dans le couloir qui fait le croisement avec celui ou je suis , il me voit et essaie de me dire quelque chose mais moi je fait demi tour en faisant un sprint de malade remonte les escaliers et m'enferme dans mon bureau. je me rhabille et je descends pour voir ou est mon collègue que j'ai croisé, pour savoir ce qu'il a vu. je le retrouve dans les toilettes de mon couloir. De ce qu'il me dit, il a vu la corde quand je m’enfuyais mais a juste vu ma tête pas mon corps. je suis soulagé et remonte à mon bureau.
J'aurais du m’arrêter là, mais mon excitation me disait non nous n'avons pas réussi le défi, refait le, et moi comme un con j’obéis. je me re prépare et redescends les escaliers remets la corde et j'avance d'un pas ferme, arrivé à l'endroit de tout à l’heure je me baisse pour essayer de me convaincre que personne ne me verrais et j'arrive au bout de la corde, je suis beaucoup plus loin que je l'avais imaginé. Là où je suis arrêté, n'importe qui entrant dans l'un des 3 couloirs me voit directement, je dis adieu à mon poste ou soit elle me fait chanter (ce qui sur le coup m'excite encore plus) je commence à repartir, et là par la fenêtre du magasin je vois une personne, qui ne peut voir que ma tête du fait que la fenêtre est très haute. Ne lui laissant pas le temps de relever la tête je me mets à courir et rentrer dans mon bureau je me rhabille, et j’attends 30 min que l’adrénaline s'en aille.
Une fois calmé, je pars à la recherche de la personne présente dans le magasin, et un collègue m’arrête et me dit:"y a 45 min environ j'étais au magasin et j'ai vu une tête passer très vite et quand j'ai regardé par la fenêtre il avait une grosse corde autour du ventre ou de la cheville j'ai pas bien vu. tu as rien entendu?" . Bien moi j'ai feins l’innocent en lui disant qu'à ce moment la je n'étais pas à mon bureau.
En regardant la vidéo, je vois bien que j'ai oublié de contrôler s'il y avait une personne dans le magasin. du coup je ne fais plus ce défis parce que d'un le fait de me faire attraper est trop grand et de deux le défi est réalisé je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Cependant je me lance quand même de temps en temps le défi d'aller chercher un verre à la fontaine à eau complètement nu.
J’espère que cette histoire vraie vous plait.
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Voici la deuxième partie de cette folle soirée, je vous invite grandement à lire l'Episode 1 et la première partie de l'épisode 2. Merci d'avance.
Caroline, les bougies en main, me regarde fixement, elle sait que je sais ce qui m’attend. Elle change donc, logiquement, de protocole. Elle veut me surprendre… et y parvient parfaitement. Les bougies rejoignent l’inventaire des objets non-encore utilisés. Je ne la vois pas les poser mais comprends, de par leur bruit de baguettes de batterie qui s’entrechoquent, que ces objets seront remis à plus tard.
« Comment vis-tu ce moment ? », demanda-t-elle à ma compagne d’infortune. Malheureusement, ne sachant pas qu’elle s’adressait à Géraldine, je choisis l’option de répondre « très bien, Maîtress… ». Pas eu le temps de finir ma phrase…
Une main ferme enserrait mes couilles dans une violence et une surprise peu ouverte au doute : ce n’était pas à moi que la question s’adressait. Ma tortionnaire, ne lâchant pas son emprise, me rejoignit du regard et m’expliqua, dans le plus grand des calmes, que j’avais pris une initiative répréhensible : parler sans autorisation.
« Géraldine ! cria-t-elle, je t’ai posé une question ». La jeune femme, apeurée, tenta une réponse et balbutia un charabia à peine compréhensible mais qui se termina, heureusement pour elle, par un « maîtresse » salvateur.
« Tu vas désormais comprendre que toute violation de notre contrat entrainera irrémédiablement une sanction ». Cette phrase m’était destiné. Elle enleva ses mains de mes couilles. Respiration. Attention, écoute les bruits autour de la table des instruments. J’essaie d’en deviner la nature. Caroline ne me fait pas languir plus longtemps : une baguette, apparemment souple dont je ne peux, en entendant le claquement qu’elle produit sur ses mains, qu’en estimer l’effet.
« Je te rappelle les principes établis ce matin lors de notre discussion : En cas de non-respect des consignes, non seulement tu seras puni mais, en plus, tu ne pourras pas utiliser ton code de sécurité pendant cette punition »
J’avais oublié. Il est vrai que nous en avions discuté : étant habitué à mon statut de soumis, j’ai validé cela entre deux cafés, mon anticipation de la soirée m’aurait sans doute fait signer n’importe quoi.
« Comme c’est ta première faute, tu vas subir 5 coups de baguette. Tu devras les compter un par un à voix haute. Si tu ne le fais pas, je recommencerai à zéro. Tu as compris ? »
« Oui, Maîtresse », répondis-je en serrant les fesses.
Premier coup, un « Aïe » retentissant l’accompagna, suivi d’un « un » en mode bout de souffle. Une caresse délicate me parvint aussitôt. Elle me glissa à l’oreille « tu marques vite ».
« Zut, me dis-je, je vais avoir le cul d’un zèbre ». Un coup plus violent me sortit de ma réflexion. « Deux ! », puis « trois », vous connaissez la suite…
Au bout du cinquième, j’ai le feu à l’arrière-train… et rien pour me soulager. Pas même ma tortionnaire, désormais devant moi, contemplant son œuvre qui a pris la forme d’un homme se tortillant de douleur et haletant à un rythme peu compatible avec la sérénité.
« Continuons », asséna-t-elle. J’entendis notre dominatrice trifouiller la table. Pas de panique. Elle retire les cordes sur les seins de Géraldine. A peine effectué, ses deux appendices reprirent forme et couleurs. Une petite douleur de retrait à signaler, apparemment, vu la tête de ma codétenue. Petit massage des seins, délicat, doux, attendrissant. Les yeux de Géraldine sont fermés, elle part dans ses désirs. Veinarde. Pas longtemps. Les pinces sont toujours là… tripoter cet endroit ne procure pas du tout le même effet. Caroline prend son pied, ça se lit sur son visage. Je suis proche de la scène, je prends aussi mon pied, bien qu’une corde me retienne le sexe et m’empêche clairement de m’exciter.
Caroline continue de triturer sa victime, mais d’une seule main, la seconde se dirige vers mes pinces, mes tétons et mon angoisse de souffrir encore. Une scène incroyable se joue alors. Nous souffrons en chœur. Impossible de s’y soustraire. Interminable. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais ce qui est sûr, c’est que le soulagement à la fin de ce moment fût intense. Respirer, prendre une pause, et respirer.
Les pinces sont toujours là, d’apparence moins douloureuses après le carnage précédent mais toujours là, prêtes à subir un nouvel assaut. J’avoue que, pour moi, c’est une angoisse, surtout à l’approche de Caroline. Elle se met derrière moi, me caresse les cuisses, les fesses, le dos et s’approche dangereusement de la zone « pincière », mais là n’est pas son but. Elle attrape le cordage qui me retient le sexe et commence à dénouer l’ensemble, délicatement car à l’aveugle. Ses mains, de facto, me touchent les parties sensibles. C’est une extase en devenir, je le sais, bien que persuadé que ce temps ne soit pas encore venu. J’ai raison. Le retrait effectué, elle me tripote, une dernière fois, les pinces à tétons afin de les enlever, très délicatement, très lentement, donc très douloureusement.
Elle fait de même sur Géraldine qui connait cette douleur, certes, mais ne peut s’empêcher de gémir plus que moi.
J’avais connu Caroline il y a 2 ans. Nous fréquentions le même organisme de formation, mais n’avions pas les mêmes options. Nous avons donc eu un « tronc commun » où nous avions eu quelques relations sociales, mais rien de plus. Une discussion à la machine à café, quelques échanges à la sortie des cours afin de confronter nos points de vue, avec d’autres personnes de la formation.
Rien n’indiquait son penchant pour le BDSM. En même temps, est-ce le lieu pour en parler ? Pourtant, alors qu’une pause semble s’installer dans la salle de torture, je repensai soudain à une discussion, lors d’un repas de groupe, pendant ladite formation – nous devions être une dizaine - où la discussion avait glissé du côté relationnel, puis sexuel comme cela arrive parfois dans les groupes humains. Chacun y était allé de son histoire amoureuse et, quand le tour de Caroline vint, cette dernière avait seulement évoqué une petite relation en cours mais rien de particulier. C’est quand l’un des hommes présents, Gaëtan (prénom également modifié), avait appuyé sur le bouton fantasme, que la discussion pris une tournure plus… je vous laisse juge.
L’un parla de faire l’amour sur la plage : nous furent deux à répondre que ça n’avait aucun intérêt, une jeune fille et moi-même, de sorte que l’assemblée nous avait imaginé ensemble un instant. Cette blague lança la discussion vers autre chose, car nos arguments faits de sable s’immisçant partout et de crainte de voir des personnes débarquer sans invitation avaient fait mouche.
Gaëtan avait sans doute un objectif : nous faire avouer nos désirs les plus secrets et, surtout, les plus inavouables. Je vous rappelle, qu’à l’époque (début des années 2000), le BDSM n’est pas à « la mode ». Aucune nuance de Grey n’est venue frapper à la porte de nos yeux et de nos imaginations, le BDSM est clairement underground et le simple aveu d’appartenir à cette obédience pouvait, pour peu que vous tombiez sur des abrutis, vous faire entrer dans la « cancel-culture » avant l’heure des réseaux sociaux.
Au café, très bon au demeurant, la serveuse, charmante, je dois bien l’avouer, vint débarrasser notre table et, comme d’habitude, l’un des gars ne peut s’empêcher d’observer son postérieur avantageux et de lancer à la cantonade à quel point ce dernier lui convenait. Je vous évite le détail de la phrase, l’ayant, pour être honnête, oubliée, mais cela me vaudrait une fatwa des plus austères chez les féministes les plus intégristes. Oui, il existe des féministes intégristes, d’où le terme de fatwa.
A la fin de cette phrase, un léger silence s’en suivit et Gaëtan en profita pour lâcher un « c’est un beau cul à fesser, en tous cas ». Re-léger silence. J’étais, à ce moment-là, à la fin de mon spéculoos lorsque mes yeux se posèrent sur Caroline, car hors de question de regarder Gaëtan, je ne voulais pas y apporter mon soutien, même du regard.
Caroline avait légèrement rougi. Ça ne m’avait pas marqué à l’époque, mais aujourd’hui, alors que mon corps est suspendu à sa volonté, je me retrouve à penser à ce repas, à cette charmante serveuse et à mon absence totale d’analyse lors de ce repas où, si j’avais fait attention, j’aurai pu discuter fantasme avec une « consœur ».
Mon esprit revint dans la pièce, trop de calme, c’est louche. Je vois que Géraldine est détachée, je ne m’en suis même pas rendu compte. Ma tortionnaire me détache également. Enfin, pas tout à fait, nous conservons tous les deux les mains attachées et nos cordes sont toujours à nos pieds. Elles vont resservir, à coup sûr.
Je ne l’ai pas vu non plus, mais la table a été complétement vidée, même le vase magnifique qui en ornait le centre. C’est là que je me rendis compte que cette tablée était grande. Caroline y posa une nappe qui jurait un peu avec le style de la maison. Elle l’avait acheté le jour même au marché de Wazemmes où ce genre de nappe se vend au mètre. Ce n’est pas du tissu, ce n’est pas du plastique mais une matière entre les deux.
Géraldine et moi, les mains attachées mais n’osant bouger, regardons ces préparatifs pour le moment mystérieux. La nappe est posée, les 4 coins solidement ancrés grâce à une « pince à nappe ». Le vent étant rare dans ce salon, j’en conclus donc que nous étions destinés à rejoindre cette table dans un avenir proche. J’avais raison.
Elle ordonne à Géraldine de s’asseoir sur la table, à moi également, mais de l’autre côté, à l’opposé de ma coreligionnaire. Nous nous tournons le dos pour la première fois de la soirée et, je l’avoue, me sens un peu orphelin, du regard tout du moins.
« Recule », me dit-elle sur un ton ne soufrant aucune discussion. Je m’exécute. Mes chevilles rejoignent les coins supérieurs de la table. J’ai, encore une fois, les jambes écartées, mais à l’horizontale.
Elle fait de même pour Géraldine… et nous ordonne de nous allonger. La table est si grande que Géraldine et moi ne pouvons pas nous toucher. Nous avons une vue magnifique sur le lustre de famille dont on ne peut que croire en la solidité de l’attache qui, depuis plusieurs dizaines d’années sans doute, en retient la chute. La lumière qui en émane n’est pas très forte mais nous aveugle un peu. Une éclipse arrive, c’est la tête de Caroline, prenant nos mains pour les lier ensemble. Ça y est, je peux toucher Géraldine, je me sens moins seul.
Inconsciemment, je connais la suite : ma torture préférée. La douleur intense mais courte, l’aléatoire poussé à son paroxysme. La cire de bougie qui, précédemment, avait fait sortir ma dominatrice de la pièce.
« Tu connais ? », me demande-t-elle. Même mes yeux répondirent « oui, Maîtresse ». Géraldine, la tête en extension, tenta de comprendre les tenants de cette discussion. Caroline se pencha alors vers elle en lui murmurant : « toi, je sais que tu ne connais pas ça mais ne t’inquiètes pas, ça arrive ».
Pour changer, et sans doute me faire languir, C’est Géraldine qui ouvre le bal. Sa première, et je suis là, pour lui tenir la main, si j’ose dire. Connaissant sa sensibilité, je m’attendais à une réaction vive mais pas à ce point. Nos mains ayant des attaches communes, je me retrouve au milieu d’un rodéo, secoué dans tous les sens par les mains de la jeune fille cherchant, à tout prix à se libérer.
Cela n’échappa pas à notre hôte. Elle arrêta tout de suite, attendit quelques instants pour voir si un code de sécurité s’échappai de sa bouche haletante mais rien. C’est là que je compris à qui j’avais à faire. Elle prit une corde supplémentaire et, grâce à un jeu de cordage subtil, bloqua nos mains définitivement sur la table, nos 4 mains étaient désormais totalement attachées à la table.
Elle reprit sa torture… sur Géraldine. Et ça marcha, fin du rodéo, pour moi, au moins. C’est à mon tour, je me prépare, je vois la flamme. Elle est grisante, les premières gouttes me font sursauter et la suite me fait partir dans un monde fait d’abandon, de rêve et de sensibilité. Je jouis dans la torture. Merci, Maîtresse.
Nous avons eu droit, bien sûr, à la version recto de cet atelier avec, cette fois-ci, l’impossibilité de voir où la goutte allait tomber, ni même sur qui, notre tortionnaire prenant un malin plaisir à être discrète dans ces déplacements. A la fin, l’apothéose. Deux bougies dans chaque main et une valse de douleur, un grand final de feu d’artifice, une deuxième jouissance. Merci, Maîtresse.
Nous avons désormais les mains et les pieds totalement libre. Géraldine et moi nous faisons face et attendons la suite, le corps recouverts de cire froide.
Caroline me prend par les mains, me menottes et m’attache à la poutre de la première partie de la soirée. Je ne peux m’empêcher de penser que je vais subir une punition par suite d’un comportement dont je ne vois pas l’origine.
Non, ce n’est pas ça. C’est pire. La consigne est la suivante : Géraldine va devoir m’enlever toutes mes traces de cire, et en 5 minutes. A chaque oubli, un coup de baguette, la même qui a servi à ma punition tout à l’heure.
Le chrono est prêt. A l’époque, les téléphones n’ont pas de chronomètre, mais les montres, si. « Top chrono » et me voilà tripoter assez sèchement afin de me retirer ses incongruités le plus vite possible. Plusieurs zones sensibles sont concernées mais pas le temps d’être délicat. Je me prends des arrachages de poils et autres manipulations inter-fessières en bougeant le moins possible pour permettre à mon équipière d’accomplir sa mission sans faillir.
Fin du temps réglementaire. Géraldine s’éloigne de moi avec, je pense, la satisfaction du devoir accompli. Erreur. Le scanner Caroline entre en action : Une goutte sous un de mes coudes, un autre dans le sillon inter-fessier, pourtant bien visité et deux autres sous les genoux.
« Cela fait 4 oublis », tu vas les payer bientôt. Oui, bientôt, parce que, pour le moment, c’est l’heure de mon défi. Géraldine est attachée, je suis prêt, le chrono démarre, je me lance dans une recherche ardue. 3 minutes… 2 minutes, notre Maîtresse sait mettre en place le suspense.
A la fin du temps, je suis épuisé mais satisfait, plus ou moins. Le score est sans appel : 11 oublis. Il faut dire que mes seins sont plus faciles à fouiller que ceux de Géraldine, j’aurai pu avoir une minute de plus… mais ce sont les aléas de l’égalité homme/femme qui, depuis le début de la soirée, ne souffre aucune exception.
Votre chère amie la table vous avait manquée : la revoici ! Nous sommes attachés, Géraldine et mois, dans le sens de la largeur, nos pieds touchent le sol et sont joints. Les menottes servent à compléter la contrition. Nos ventres reposent sur cette nappe définitivement associée à cette soirée.
La règle n’a pas changé, je dois annoncer le numéro des coups et, bien évidemment, je commence, Géraldine, me rejoindra dans la dernière ligne droite pour valider ce score sans appel de 11 à 4.
Oui, ce fût long, oui, ce fût douloureux mais telle est la Loi.
Une fois détachée, Caroline nous fît balayer la cire que nous avions mis sur son sol, presque en mode soubrette, observée que nous étions par cette femme au tempérament de feu, buvant son whisky dans un canapé vieillot, certes, mais confortable.
Elle siffla la fin du match. La discussion qui s’ensuivit fait partie des éléments que je garde en moi car plus intimes que ce texte, malgré ses apparences impudiques. Je ne vous dis pas tout de suite si cette histoire a eu une suite car l’heure est maintenant venue, pour vous, de commenter ce texte, de me dire si vous avez eu la chance de vivre ce genre de moment, assez rare, je sais, surtout pour un homme, dans ce milieu, victime, lui aussi, des à priori sur les hommes et leur comportement à la « balance ton porc ». C’est dommage mais, à minima, discuter sur ce texte ne vous engage à rien, mesdames (et messieurs aussi).
A bientôt,
Frédéric.
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XV Prière du Fouet.
Ô Mon Miséricordieux Maître / Ma Miséricordieuse Maîtresse / que vos lanières aillent et reviennent / sur mon dos, sur ma peau, sur mon cuir, / par cette main que j’aime aimer et haïr. / Que vos lanières s’avancent et s’appliquent / sur mon dos, sur sa peau, sur mon sexe. / Que vibrent votre fouet et tous nos affects, / l’essaim des larmes et des suppliques.
Ô Mon Miséricordieux Maître / Ma Miséricordieuse Maîtresse / sur la ruche de mon ventre s’étalent vos piques. / Je suis l’esclave que son bourreau surveille / faisant voler à coups de dards électriques / son fouet fait des crocs du soleil.
XVI Prière de la Cage et du Métal.
Ô Mon Maître / Ma Maîtresse. / Hélas ! Je mouille trop ! Lascive Jézabel. / Quand à peine sortie de ma cage en métal, / sûr le divan violet du cabaret charnel, / j’exhibe mon corps bridé aux barres du métal.
Ô Maître agrippez-moi par le cou, par les pieds. / Osez par un collier m’imposer vos usages. / Votre sang, gros de haine et de bête enragée, / porte péniblement un désir incurable. / Ô Mon Maître / Ma Maîtresse. / Il Vous faut m’exposer à cette rage brutale / et jouir intensément de mon calvaire d’acier.
Ma niche, mon Goulag, est l’infernal abri / où Vous me séquestrez. Vous avez le souci, / d’y surveiller mon corps et mon bel appétit, / que je mange moins qu’un porc mais plus qu’une souris !
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XIII Prière du Gosier.
Ô Mon Miséricordieux Maître / Ma Miséricordieuse Maîtresse / je me sens bien petit(e) devant votre argument. / J’ouvre en grand ma bouche où entrer votre gland. / Je Vous prie, poussez-y, votre bel instrument, / que ma gorge n’articule plus un son cohérent, / que ma bave s’étrangle à l’aiguille du temps. Au nom du Bukkake, du Deep-throat, du Sexe et du Merdeux… Ainsi soit-il.
XIV Prière pour aimer le collier et la douleur.
Un collier de stupre épais presse mon cou. / Il m'apporte la paix, et plaît à mon bourreau. / Celui la même qui m’attache aux anneaux / et qui soûl de mon corps, y dispose ses coups.
Celui la Maître qui y attache mon âme / qui vampirise mon sang et survit de mes larmes. / Un sadique aux mains de détresses et de dangers / aux caresses de femme, contre moi courroucées.
La violence de son mal où je me sais servante / ne me fera en rien reculer d’épouvante. / Je m’avance, servile, sous le fouet du plaisir / et j’ouvre tout mon corps à ses profonds soupirs.
J’épanche mes entrailles à l’éperon du Maître / sur le chemin des cieux marqué par l’âpreté / quand la force des pinces et l’impact des fouets / tuent d’un côté, de l’autre Vous sanctifient, Ô Maître.
Venez à bout de moi, Ô Maître, Ô ma Douleur ! / « A longs filets de sang ce lamentable corps » / réclame et vos godes et vos liens les plus forts, / implore vos tenailles pour supporter ses peurs.
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