La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 22/08/23
Avec cette canicule, c'est agréable de rester chez soi, au frais.  Maso fait le ménage, tout nu. Il me prend l'envie d'aller le branler. Je m'approche par derrière, me colle dans son dos puissant et empoigne son sexe de ma main droite. Son penis de toute façon est ma totale propriété.  Je fait coulisser la peau et il gonfle et durcit de suite. Un bon gros 22 cm par 6 de large, oui, j'ai mesuré.  Et j'aime que ce penis soit bien entretenu,. Maso se laisse faire. Ses fesses durcissent, il se contracte. Je le branle très souvent. Je refuse une cage de chasteté pour lui. Quelle horreur ! De toute façon c'est ma propriété et c'est moi qui fait l'entretien. Il bande et durcit de plus en plus. Il va gicler. Je lui mord le dos et il ejacule. De beaux jets de sperme que je recueille dans ma main.  J'aime lui faire avaler son sperme. C'est bon pour sa santé.  Je m'en sert aussi comme crème pour mes jambes.  Je griffe la poitrine de Maso. Lui pince les tetons. Lui masse les burnes. On ne fait plus l'amour depuis qu'il a voulu que je devienne sa domina. Mais comme je le veux très fort  je  l'astique souvent. Il n'est pas en manque. Par contre il n'a plus droit aux fellations non plus. Toute penetration de sa Maitresse par voie orale ou anale lui est absolument interdite. Et il n'a pas le droit de se masturber lui même.  S'il veut du plaisir c'est uniquement par moi et par ma main qu'il peut l'obtenir. Un excellent moyen pour le tenir sous contrôle. Il devient totalement psycho dépendant et comme c'est son choix, il respecte parfaitement ces règles.  Et puis j'adore branler sa belle bite et la faire gicler. Avant, lorsque j'étais sa femme, il voulait très souvent me faire l'amour. Et j'adorais cela. Devenir sa domina a coupé complètement le désir d'être pénétrée par lui. Cela s'est fait tout seul. Je l'ai alors branle et branle pour qu'il soit bien, après chaque séance de plus en plus hard. C'est moi qui me suis retrouvée en manque. Pas simple les relations SM . Avant, mais ça c'était avant  à peine il rentrait du boulot qu'il voulait me sauter. Peut être à cause du stress, de la pression. ? Il me culbutait partout où il avait envie. A présent c'est moi qui le masturbe partout où il me plaît de le faire.  Peut être regardait il du porno et se branlait il au bureau ? En regardant des domina exercer leur art ?  Quand il m'a demandé de faire cela, j'ai hésité. Cela avait déjà été si dur de réussir ma transition. Repartir dans autre chose. J'étais pas chaude.  Mais Maso est hyper intelligent.  Il avait du remarquer que j'avais cela en moi. A présent il prend son pied dans la douleur. Et non seulement je respecte, mais j'aime aussi beaucoup qu'il aie eu le courage déjà de vivre avec une trans, et ensuite de faire de cette trans sa domina quasi exclusive.  Le branler c'est pour associer aussi douleur et récompense. Je le finis très très souvent ainsi.   Voilà, c'est tout un art de bien masturber son homme. Faire monter et gicler sa sève de vie.  Décidément nous n'irons pas au paradis.  Déjà des amours transexuelles, c'est un interdit. La branlette aussi. Alors heureusement que l'inquisition n'est plus là.  J'aurais été brûlée depuis longtemps.   Le paradis, c'est ici et maintenant.   
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Par : le 27/04/24
Je ne comprends pas pourquoi, je ne comprends pas comment. Une rencontre Tinder, quelques échanges et c'est arrivé. Je l'invite à venir chez moi. Sans même le connaître, sans même l'avoir vu ailleurs qu'en photo. Je ne connais pas son prénom, je ne sais pas si j'en ai envie. J'ai peur que son pseudo se rapproche de son prénom, auquel cas je ne pourrai que fuir. S'il avait le même prénom que toi ! Je ne veux pas savoir. Peur et excitation se mêlent, s'infusent dans mon esprit, dans mon corps. Cette nuit là, mon sommeil est agité. Il doit venir cet après midi. Le réveil est empreint d'une grosse montée de stress. Je veux tout arrêter ! Avant qu'il ne soit trop tard. J'ai l'intuition qu'il va se passer quelque chose d'irremediable. Suis-je en danger? Suis-je complètement folle pour oser faire une chose pareille? Jouer le rôle d'une soumise pendant 1h. Et s'il me viole? Me fait mal, me frappe? Si je ne revoyais jamais mes enfants ? Je dois tout annuler. Je m'apprête à le faire, mais cette part intuitive m'en dissuade, me dit d'avoir confiance, que tout est bien. Habituée à l'écouter je me recentre dans le coeur, demande protection et je prie ainsi dans la chaleur de ma douche pour me redonner du courage. Show Time! Il arrive. Je lui ouvre. Je suis pétrifiée. Pourtant, tout de suite, son regard me rassure, sa voix aussi, mais je suis figée sur place, je ne peux plus parler, plus bouger. Il m'embrasse. Il sent bon, une odeur que je connais, qui me plonge dans ma mémoire sans que j'arrive à en toucher le souvenir. Il me caresse, vérifie que je ne porte pas de sous vêtements comme il l'avait demandé. Nous nous dirigeons vers ma chambre, je passe devant lui mais il attrape mes cheveux, me tire vers lui et m'embrasse à nouveau. Il passe sa main sous ma robe, vérifie que je sois "libre et accessible" comme il me l'a demandé. Il fouille mon intimité avec ses doigts. Le plaisir est instantané. Pour autant je ne suis toujours pas moi-même. Moi qui contrôle, moi l'égale des hommes, indépendante et autonome. Qui suis-je à cet instant ? Dans ma chambre il m'intime de m'agenouiller, continue de m'embrasser. Il sait que j'ai peur, il est doux, précautionneux, attentif à mes ressentis. Il ôte ma robe et place mes mains derrière ma tête. C'est à ce moment là je pense que le point de non retour s'est amorcé. Il l'a fait. Il m'a installée dans une position de soumission. Doucement il continue de m'embrasser, masse mes seins puis pince les tetons. Et cela continue ainsi, lui me caressant avec ses doigts, les introduisant dans mon corps qui réagit à chaque mouvement. Je veux garder la position mais je sens tout mon corps qui s'effondre sur lui même. Je lutte, je résiste, mais le plaisir est intense. Le plaisir et autre chose, je ne sais pas exactement quoi. Cette séance est longue, agréable, il m'autorise à m'asseoir sur les talons. Je ne sais plus, j'ai perdu le fil du temps et des évènements. Je me souviens être allongée sur le dos, lui assis sur moi, enserrant ma gorge avec ses mains, posant mon bras sur le sien pour que je gère la pression. Il réagit à la moindre contraction de mes doigts sur son bras. J'ai l'impression qu'il lit dans mon regard, sait sans que j'ai besoin de parler. Cette fluidité est incroyable. Je n'ai rien à faire ou à dire pour être comprise. C'est tellement bon. Puis il me retourne sur le ventre, glisse ses doigts dans mon sexe, puis en introduit un dans mon cul. 1ere claque sur ma fesse. Il recommence, s'assure que j'aime ça et continue. Doux et violent, mélange de plaisir et douleur. Quand il a fini, il me remet sur le dos, allongée contre lui et me prend dans ses bras. J'ai alors l'impression que cet homme ne me fera jamais de mal. Que je peux avoir une totale confiance en lui. Nous finissons moi à genoux, lui dans ma bouche. Il prend son plaisir ainsi, bien profondément dans ma gorge. Puis à nouveau il m'intime de m'allonger et me prend dans ses bras. Ainsi en sécurité dans les bras de cet homme que je ne connais pas et qui vient de faire de moi sa soumise, je glisse dans un état second.
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Par : le 18/09/16
Fictionnelle genèse - Titre dissuasif mensonger homophonique - Récit non érotique ______________________________________________ Enfances (Récit pathétique) Nous nous faisons face, yeux dans les yeux, sans ciller, d'acier de chaque côté. Une fois de plus. – Tu bois trop, me dit-elle, titubante, en me giflant à toute volée, et je serre mes poings au bout de mes bras menus, pour éviter de lui rendre la pareille, sans percevoir que j’inhibe pour longtemps toute capacité à me défendre. – Tu t'habilles comme une traînée. Mouais. Je porte une tunique mauve sur de vieux jeans élimés ; des fringues baba qu'on me donne ou que je récupère aux fripes. Que je chipe parfois dans les magasins mal surveillés ; il faut bien se vêtir. – Regarde tes seins. Je suis sûre que tu as mis du coton dans ton soutif. Tu es laide, tu es vulgaire. Mes seins en fleur, ma féminité naissante, ça l'a immédiatement dérangée. Une esquisse de sourire redessine mes lèvres à la pensée de la chair qui gonfle et s'éveille. Voilà un flot de vie que rien ne pourra endiguer. – Tu es méchante, m'assène-t-elle hors d'elle, une fois de plus. Elle me gifle à nouveau. Je fugue ou je ne fugue pas. Cette nuit ou demain. Ou je me flingue. J'hésite. J'avais cessé de l'écouter. Elle hurlait devant moi, gesticulant avec de grands mouvements de bras qui m'affolaient, son visage dans le mien. Elle va me dévorer avec ses yeux si elle le peut. – Ne me regarde pas avec cette haine, me dit-elle en me poussant en arrière. Derrière moi, la cage de l'escalier s’ouvre : un long colimaçon en bois de chêne imprégné d’huile de lin par mes soins – je tente éternellement de lui plaire, oh avec quelle maladresse, en me chargeant de toutes les tâches. Je ne cherche pas à me rattraper. Je ne sais pas si je veux la culpabiliser, qu'elle me blesse et soit obligée de regarder en face sa propre haine. Ou bien si, déjà masochiste, je me satisfais étrangement de cet échange et de son apogée. Je dévale les marches sur le dos, tête la première sans me protéger. J'arrive presque en bas, déçue de n'avoir que des ecchymoses. Je me redresse quand j'entends la porte de sa chambre claquer. Je me roule un pét' en écoutant Thiéfaine à fond au casque dans la salle commune de la Communauté. Avec son shit mais je sais que j'aurai l'occasion de remplir sa boîte avant qu'elle ne s'en rende compte. Il n'y a que nous deux à la Com' aujourd'hui. Je leste mes poches de munitions et je pars dans la neige. Je remonte un sentier pour aller passer la nuit dans la chaleur de l'appart' de mon voisin : faire l'amour sur sa banquette, fumer, regarder le feu et les étoiles. Il a quinze ans de plus et du haut de sa trentaine me paraît très expérimenté. On baise dans les bois, sous le clair de lune, adossés aux contreforts des cathédrales, ou le long des sentiers cathares, dans des châteaux en ruine où l'on s'introduit les nuits trop étouffantes d'été. Je rêve secrètement qu'au cours d’une de nos escapades, soudain colère, il casse un rameau et m’en fustige le corps, mais je n'ai jamais osé le lui avouer. Avec lui ou avec d’autres, l’amour est plein de douceur et de légèreté ; le sexe joyeusement subversif ; la baise sans tabou et sans entrave. Nous voyons dans nos chairs magnétiques qui s’apprivoisent et s'agrippent, nos corps hagards aux bouches naïves et avides, aux sexes inépuisablement en quête, et qui trop hâtivement s’enchâssent, une expression de la vie, de l’amitié, ou d’autres choses, innocentes et généreuses. Nous en parlons des heures. Nous l’affichons agressivement en riant des mines consternées et de la réprobation que nous faisons tout pour susciter. En jubilant sous l’opprobre comme sous les caresses. C’est l’Amour libertaire, insoumis, entre égaux. L’Amour anarchiste. Idéaliste et politisé. Pourtant, quand je somnole, lorsque mon esprit, devenu libre, tapine à la frontière du sommeil et des créations de l’inconscient, lutinant mes fantasmes secrets, je me métamorphose du tout au tout, devenant l'anti-héroïne recevant en rétribution de ses mineurs méfaits maltraitance, humiliation, abus, et copieusement. L’amant trahi que je moquais, décompte sa vengeance fouet à la main, coup après coup. Le professeur redouté me corrige jusqu’à ce que je pleure d’humiliation devant lui, le regard enfin respectueux. Un homme inconnu qui me séquestre invente de créatifs sévices sexuels, pour bien punir mes désirs et mon comportement follet. Un époux machiste m’inflige la fessée lorsque je lui tiens tête et la sodomie lorsque je lui désobéis. Une mère m’oblige à baisser moi-même ma culotte et à me courber soumise sur ses genoux. Invariablement, l’autre est hostile. Invariablement, l’autre est puissant. Invariablement... ...dans ce jeu confus d’illusions, je me projette en enfant pure à l’âme diaphane, dénuée de malice… Pourtant, au plus profond de moi, je suis dévorée par un besoin absolu d’expier, comme s’il me fallait monnayer d’un lourd écot de douleur le droit de vivre. Je veux être violentée, rejetée, encore et encore, sans fin, sans frein. En m’offrant l’ultime fierté : être une victime qui jubile, une victime qui jouit. Les flocons tourbillonnants piquent mes yeux, qui clignent et s’embuent. Je cueille en marchant quelques branches de bouleau argenté, fines, griffantes. Puis une longue badine souple et sans nœud de coudrier. Mon offrande du soir. Saurai-je lui expliquer quelle indigne jeune fille je me sens être ? Et l’étendue de mon besoin de sanction et d’autorité ? Acceptera-t-il, saura-t-il, aimera-t-il, sévir et me diriger ? Ô amant, corrige-moi, que je devienne moins mauvaise… Plus tard dans la nuit, je m’endors bien à l’abri dans son étreinte fauve de mâle, son sexe encore en moi. Sa paume rugueuse pèse sur mon sein dur de nymphette. Mon fagot de bois vert a brûlé dans la cheminée. Ça sent bon la fumée et le sperme frais. Les bouquets d’herbe qui sèchent un peu partout. Je me sens désirée. Voulue. Voulue en vie. Ou presque. Je glisse dans un songe heureux, les yeux clos, la peau à vif. ________
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Par : le 26/01/24
  Aujourd’hui je suis toute excitée. Car ce soir c'est notre sortie au club. Après une semaine de travail intense pour moi et pour Monsieur, ça va nous faire du bien. Je choisis dans mon dressing une robe plutôt sexy. Elle est noir avec des lanières au niveau de la poitrine. Elle est fendue sur le côté.Le haut et la jupe sont séparés. Je file à la douche rapidement avant que Monsieur arrive. Pendant que je suis dans ma douche. J’entend mon chien s'exciter. Je comprends alors qu’il arrive. Je sors rapidement de la douche. Je n’ai pas le temps de m’habiller, je cours vite pour me mettre à genoux devant la porte. A peine installé que Monsieur ouvre la porte.    Il ne s’attendait pas à me trouver nue. Il me sourit et me tend sa main que j’attrape. Il m’aide à me relever. - Bha alors c’est dans cette tenue que tu m'attends?  Alors tu es prête pour la soirée. Me dit-il avec un clin d'œil. - Dit pas n’importe quoi j’ai pas eu le temps de mettre ma robe. -Mais tu pourrais aller nue, non?  avec juste ton blouson. - Je sais que je vais vite finir nue mais tout de même. Sur ces mots je ne lui laisse pas beaucoup le choix et je monte m’habiller. Une fois changer, coiffer et collier mis, je descend retrouver Monsieur. Lui est déjà prêt, dans le canapé à m’attendre.Je viens me mettre à genoux devant lui en lui tendant la laisse. Il me met la laisse et nous nous mettons en route en direction du club. Nous prenons la voiture. Nous discutons de nos journées respectives. Et bien sûr nous exprimons notre hâte d'arriver au club. - Ma Sluty je t’ai préparé une petite surprise au club. - Ah oui !  Moi qui a hâte, j’ai encore plus hâte. J’ai du mal à tenir sur mon siège. Je vois enfin le club au loin. Le grand manoir nous attend pour bien nous amuser. De l’extérieur nous n’entendons rien. Personne ne peut se douter de ce qui se passe à l’intérieur.   Une fois rentrée, je dépose mon blouson dans le vestiaire.   Je marche derrière mon Monsieur, lui tenant ma laisse pour ne pas me perdre. Nous allons saluer les membres du club qu’on connaît. A quelques-uns de nos amis leur chuchotent de nous rejoindre à l’étage tout à l’heure.   Je m’inquiète légèrement de ce qui pourrait bien se passer à l’étage. - Monsieur, pourrions nous aller boire quelque verre ? -Bha alors Sluty, tu serais inquiète? C’est la première fois que tu me proposes ça. D'habitude tu cours à l’étage. Je baisse les yeux et dit d’une petite voix. - Vi, mais je ne sais pas ce qui m’attend. - Ho bha alors Dit t’il en me tapant la tête. -Bon aller viens tu vas prendre un petit coca.   Dit il en se moquant. Je vais rester dans mon stress pour l’instant. Je le suis en baissant la tête. Je prends mon coca en baissant la tête pendant que mon Monsieur lui discute avec ses amis en buvant son verre. Une fois qu’il a fini son verre, il tire sur ma laisse et me conduit à l’étage.  L’étage est fait de nombreuses chambres. Il y a de quoi attacher  au mur. Mais c’est pas là bas que Monsieur m’y conduit à mon grand étonnement. Monsieur m'emmène juste entre les chambre et les salle de torture. Il s’y arrête. Évidement c’est par là que tout le monde passe. L’étage est rempli de monde. D’une voix autoritaire il m’ordonne,  A genoux ! Je regarde mon Monsieur dans les yeux, le regard noir de Monsieur me fait instantanément obéir. Je me met alors à genoux. Je n’avais pas vu mais un de ses amis nous a suivi. Je sens alors de l’acier froid dans mon dos. - Sluty fait attention à ne pas trop bouger. Tu te rappelles avant de venir je t’ai dit de venir nue. Tu as refusé. Alors voici ta punition. Monsieur vient à peine de finir sa phrase que je sens le couteau passer sous mon haut. J’entend le haut de déchirer. Une bretelle tombe. Je le sens passer de l’autre côté. la deuxième bretelle tombe. Je lève les yeux vers mon Monsieur pour le regarder de manière implorante. Mais son regard à lui n’a pas changé. Je baisse alors à nouveau la tête. Je subis la sentence sans dire mot.   Son ami au couteau s'amuse à passer la lame sur ma peau dénudée. Je ne peux m'empêcher de frissonner. Je sens la lame passer dans mon dos. D’un coup franc il coupe mon haut qui tombe au sol. Je me retrouve alors poitrine nue. Ma poitrine est exposée devant des inconnues qui sont venues  voir ce qui se passait. Ils ne sont pas déçus du spectacle. Nous voila entouré par de nombreuses personnes. J'entends leur chuchotement. Je ne peux m'empêcher de me sentir excitée par cette scène. Monsieur me connaissant se doute de mon état. La lame passe maintenant le long de mon dos. La lame froide refroidit mon corps. Elle passe maintenant le long de ma jupe. Il n’a pas grande difficulté à la coupé. N’ayant aucun sous-vêtement, je me retrouve entièrement nue devant ses inconnues. Je lève la tête, et dans le regroupement de personne. Je reconnais certains visages qui sont des amis de Monsieur qu’il a invité à venir nous rejoindre.   Il y a un moment de flottement. Il ne se passe rien mais j’entend les chuchotements. et les regards des gens.  J’ai l’impression que ces quelques secondes sont des heures. Monsieur me demande de tendre la main. J’obéis et il y dépose des capotes. Il se retourne et s'adresse à l'assemblée.   Ce soir, chers amis, je vous prête mon jouet. Je vous offre sa bouche. La seule obligation, c’est de mettre une capote. Mais bien sûr vous pouvez éjaculer sur elle mais seulement pas dans sa bouche. En entendant les mots de mon Monsieur je sens l’excitation en moi. Sur ces mots, il s’écarte laissant le champ libre à ses nouveaux invités. Le premier à en profiter est l’homme au couteau. Il range son couteau et passe devant moi. Je le regarde dans les yeux. Je vois ses yeux plein d’excitation. Il a clairement envie de me baisé la bouche. Il met alors la capote sur son sexe, il prend ma tête et besogne ma bouche. J’essaye de suivre ses mouvements avec ma langue mais ce n’est pas simple avec la vitesse . Il met son sexe dans ma gorge. Je peine alors à respirer. Entre deux aller retour j’arrive à prendre de grand bouffer. J’ai de la bave qui coule au coin de la bouche.   Je sens que le Monsieur à lame commence à se tendre. Il se retire. Il retire la capote et éjacule sur mes seins. En partant il vient me chuchoter à l’oreil  Merci ma jolie sluty.     Après que le Maître des lames est fini. Les hommes font la queue pour venir me baiser la bouche. Me sentir utiliser ainsi m’excite énormément. De la mouille coule le long de ma cuisse. Une petite flaque se forme en dessous moi. Pendant que je suce des hommes, d'autres viennent juste éjaculer sur moi. Quelque mains baladeuse viennent toucher mon sexe. Ici je me sens pleinement à ma place. Je suis seulement leur jouet Je ne pense qu’au plaisir que je donne mais aussi au plaisir que je reçois par certains hommes généreux. Quand je sens la jouissance monter. Je regarde mon Monsieur d’un regard suppliant. Par chance il acquiesce. Alors j’ai un orgasme sous leurs mains. Par chance, mon Monsieur me l’a autorisé de nombreuses fois. Ce soir Monsieur est généreux. Une fois tous les hommes passés. je me sens totalement vidé. Je tombe au sol. Je suis recouverte entièrement de sperme. Mon Monsieur m’aide à me lever et m'emmène à la douche. Il me lave doucement. - Bravos ma belle sluty. Tu as été très bien. Je suis très fière de toi. Après la douche, Monsieur me ramène à la voiture. Je suis totalement épuisé. Dans la voiture je m'endors. Une fois rentré Monsieur m'emmène au lit et je m’endore instantanément   
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Par : le 24/11/23
Première publication pour vous faire un retour sur notre première séance. (attention, pavé!)   Ca y est, nous avons enfin fait le grand saut. Le besoin de réaliser ce que nous avions en tête se faisait de plus en plus pressant. Une journée de libre se profilait et nous décidâmes que c’était le bon moment. Pas de contrat entre nous pour l’instant, mais un questionnaire sur les pratiques acceptées et surtout celles interdites. Remplis et validé par les 2 protagonistes bien entendu. J’avais acheter plusieurs accessoires pour l’occasion ( cravache, martinet, bandeau pour les yeux, roulette à pics, crochet anal, pince tétons, barre de contrainte, collier et laisse ainsi que du matériel photo pour les souvenirs) Miss Lily s’était, de son coté, acheter un harnais en cuir. Avec les accessoires que nous avions déjà (plug, godes, vibro) nous étions prêts et équipé. Je laisse Miss Lily se préparer pour sa première rencontre avec son Maître. Pendant que je prépare le matériel, une certaine appréhension commence à se manifester, les choses on fait que je n’ai pas eu le temps de planifier cette première rencontre comme je l’aurai souhaité, je vais donc improviser en grande partie. Miss Lily arrive dans le salon, la chatte parfaitement rasée, vêtue de son harnais et de son string noir. Elle me tend son plug, quelques coups de langues plus tard, je lui insère délicatement dans son joli petit cul. Je lui présente son collier d’appartenance, elle sourit, je lui passe autour du cou, et je lui met la laisse aussi tôt. Ca y est, le Maître rencontre enfin sa soumise et vice versa. Les pinces tétons en place et le bandeau sur les yeux, je prend le temps de l’admirer, de la prendre en photo, elle est magnifique, c’est la plus belle. La cravache sera son premier ustensile de « torture », je lui frotte l’extrémité en cuir sur le corps, puis tombent les premier coups, Miss Lily sursaute mais ne dis mot. Je la fait se mettre à genoux sur le canapé, de façon à ce que son petit cul soit tendu vers moi. Je continu de travailler ses fesses à coups de cravache, les premières rougeurs commencent à apparaître, elle ne bouge pas et reste dans la position que son Maître lui à ordonné de prendre. Elle rempli son rôle à la perfection, je bande comme un taureau, il est temps d’ôter ce plug. Aussitôt fait je ne peut m’empêcher de la sodomiser, avec délicatesse tout d’abord. Pénétration comme dans du beurre, comme si son cul était fait pour ma queue, un pur délice. Rapidement, les coups de cravache recommencent à pleuvoir, les coups de queue se sont plus intenses. - Ma petite chienne, est-ce que ça te plaît de te faire enculer par ton Maître ?  - Oui - Oui qui ? - Oui Maître - Qu’est ce qui te plaît ? - De me faire enculer par mon Maître Je veux lui faire dire ces mots, je veux l’entendre de sa bouche qu’elle aime se faire enculer par son Maître. Je lui fais dire que c’est une grosse salope, et c’est ce qu’elle est, le temps de cette séance… Comme une bonne petite soumise, elle s’exécute. Je me retire de temps à autre pour admirer ce trou qui commence à se dilater. J’essaye la roulette à pics, pour voir sa réaction. Un petit sursaut, quelques contorsions et la chair de poule sur ses cuisses, ses fesses…. Encore quelques allés retours dans son cul et je décide qu’il est temps de changer de pièce. Mais avant je lui met son chapelet anal, une seule boule, je veux la voir marcher avec le reste du chapelet qui balance telle une queue. Elle marche jusqu’à la chambre (je lui ai fait enlever son bandeau des yeux) je la suis, regardant ce chapelet balancer à chaque pas… C’est beau. Je la met sur le lit, le cul en l’air, la tête contre le matelas, ses mains passant entre ses cuisses attachées au niveaux de ses chevilles, elle ne pourra plus bouger ainsi. Je lui ôtes son chapelet , lui mets quelques coups de bites, parce que j’aime ça, puis je décide de lui enfiler le crochet anal… avec la laisse, attachée au crochet et passant par l’anneau de son collier, je peux ainsi faire remonter le crochet en tirant sur la laisse, elle est contrainte de la tête aux pieds, en passant par le cul. Je la prend ainsi pendant un moment par la chatte, prenant soins de garder la laisse tendue. Mais l’envie de retourner dans son cul est trop forte. Je vois son anus bien dilaté avec ce crochet à l’intérieur… Tu en as toujours rêvé, alors vas y, me dis-je… Ma queue rejoins donc le crochet dans son anus… Chaque seconde qui passe je repousse un peu plus les limites de ma soumise, je vis un rêve, c’est un bonheur indescriptible. Je fini par enlever le crochet, s’en suis un festival godes et de bite, en vaginal, anal, double etc. Le tout sous une pluie torrentiel de coups de martinet et de cravache. Puis une pause s’impose, Miss Lily à déjà bien encaissé. On débrief un peu et on se pose devant un film, histoire de redescendre en douceur de notre nuage. « Killer » sur Netflix est sorti il n’y a pas longtemps, le film commence, mais nous n’en verrons pas la fin… Ma soumise est blotti contre moi, je ne peu m’empêcher de lui malaxer sa belle grosse paire de seins, le désir commence à monter, Lily commencer à me sucer langoureusement pendant que je m’occupe de ses tétons, je sais qu’elle adore. Elle finit par venir se poser sur ma queue. Elle commence ses allers-retours, je lui demande si elle se l’est mise dans cul, elle me répond par l’affirmative, bien évidemment. Une sensation de bonheur explose alors en moi, elle vois son Maître pour la première fois et le connaît déjà si bien, salope jusqu’au bout des ongles. On repasse rapidement dans la chambre, je saisi la cravache au passage, je veux lui exploser le cul, mettre ses fesses a sang. Même position que tout à l’heure, mais sans contraintes, elle aime trop ça, je sais qu’elle ne partira pas. Je lui met son vibro dans la main, elle pourra s’occuper un peu de son clitoris pendant que je m’occupe de son cul. Je la pilonne avec toute la passion qui est en moi, un gode dans la chatte pour la combler au maximum. Les coups de martinets tombent, comme la grêle sur un vélux. Je me lâche, vraiment, je ne me contrôle plus, je sens cette chaleur monter en moi, puis c’est l’explosion, je déverse tout mon sperme sur son anus, qui dégouline le long des belles lèvres de sa petite chatte… Je suis vidé. Lily, n’a pas jouis, elle me fait comprendre qu’il lui en faut encore, je ne bande plus, je lui glisse un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts dans les fesses en faisant de petits allers retours, de l’autre main je manie la cravache, de plus en plus rapidement, ses fesses rougissent de plus en plus le plaisir arrive à son summum. Et puis tout d’un coup, un cri, ou plutôt un gémissement, Lily est en train de jouir en se tordant de plaisir, plaisir que je partage, quelle sensation que de faire jouir sa soumise en lui faisant « mal », c’est exquis. Un petit tour à la salle de bain et je lui propose un massage, elle en a besoin, moi aussi, besoin d’un peu de douceur après ce moment des plus intense. On termine en buvant une petite verveine pour débriefer. Ainsi s’achève cette comptine pour adulte, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…. Mouhaha !   Donc voici notre première expérience dans ce vaste monde. De mon point de vue tout était parfait, j’ai abusé de Lily et de son petit cul comme jamais je n’aurais osé le faire dans un autre contexte, je l’ai pénétré et « fouetté » plus que je ne l’aurai jamais imaginé. Lily s’est abandonné comme jamais, totalement dévouée à son Maître. Très fière d’avoir été « la chienne de mes fantasmes ». Elle me fait juste remarque que j’aurais pu y allé un peu plus crescendo, m’occuper d’avantage de ses tétons et de sa petite chatte. Et jouer un peu plus avec elle, plus d’espièglerie me dit elle. J’ai pris un pied immense à la prendre directement par le cul sans lui demander son avis, de manière totalement égoïste. Néanmoins, je prend note des ses remarques pour la prochaine séance. Je dois m’affiner, trouver on style, apprendre à lui donner aussi ce qu’elle veux tout en lui donnant le sentiment que je la « méprise », bref que je la Domine avec un grand D. Le chemin est encore long. Nous savions que ce ne serait pas parfait, mais honnêtement, pour une première, ce fût au-delà de mes (nos?) espérances. Des photos vont arriver, malheureusement pas de très bonne qualité, il faut que je prenne en main l’appareil photo récemment acquis. Miss Lily les postera, elle a ordre de les commenter. Et vous, c’était comment votre première séance ?   Maître J.
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Par : le 06/02/24
C’etait une belle après midi d’automne, l’été indien comme on aime l’appeler dans notre région. Nous étions invités dans un domaine, une propriété au milieu des vignes. Une fois le lourd portail franchi, je garais la voiture devant le perron d’une demeure de Maître, au milieu d’un parc peuplé d’arbres centenaires. Un large escalier menait à l’imposante porte d’entrée. Galamment j’ouvris la portière à Lilly.   Après avoir gravi les marches, je sonnais à la porte et quelques instants plus tard, un homme souriant d’environ 50 ans, grand et sportif m’ouvrit. Il devait guetter notre arrivée. bonjour Marc Bonjour Phil tu as trouvé facilement? Oui pas de problèmes Entre Je le suivis en faisant quelques pas à l'intérieur dans un imposant hall d’entrée. Je lui tendis la laisse que je tenais à la main et me mis sur le côté. Il tira dessus d’un coup sec et Lilly se retrouva à sa hauteur. Elle gardait prudemment les yeux baissés et les mains dans le dos. Il prit le temps de la dévisager du haut en bas, d’un air connaisseur mais il ne fit aucun commentaire. Je savais Lilly anxieuse, elle redoutait cette soirée, mais cela ne la rendait que plus désirable. Avec son collier de chienne et sa petite robe noire sexy qui s’ouvrait sur le devant elle était belle à faire se damner un saint. Mais l’homme qui nous recevait ce soir était très loin d’être un saint! D’une voix douce mais ferme il lui demanda. quel est ton nom? Elle répondit d’une voix mal assurée mon nom est Lilly, monsieur Pourquoi es tu en laisse? Je suis en laisse parce que je suis soumise à mon Maître, monsieur Lilly gardait la tête baissée et répondait à chaque question avec politesse d’une voix douce. Et quelle sorte d’animal es tu? Je suis une chienne, monsieur Et comment ton Maître s’y est il pris pour te rendre obéissante? Mon Maître m’a éduquée, monsieur Marc fit la grimace et sa réponse fut cinglante. On éduque des enfants pas les chiennes ! quel est le bon verbe? Lilly sembla réfléchir et elle prit son temps pour répondre. Le verbe est dresser, mon Maître m’a dressée, monsieur La réponse était bonne et sa voix se radoucit, mais elle restait légèrement menaçante, et Lilly se sentait jugée et observée. Ton Maître m’a fait part des règles que tu dois suivre et m’a demandé de te punir sévèrement à la moindre faute, mets en toi en position d’attente. Lilly mit ses mains derrière la nuque et écarta les bras, elle entrouvrit légèrement les jambes, sa robe empêchant un trop grand écart. Elle garda la tête baissée et desserra les lèvres. Elle avait des cheveux bruns mi longs qui encadraient un joli visage fin. Très légèrement maquillée, de grands yeux bleus et une bouche bien dessinée. Des lèvres soulignées par un gloss rouge vif qui tranchait avec la pâleur de sa figure. Un vrai collier de chien en cuir, noir et large enserrait son cou mince et la laisse en acier attirait le regard. Sous la robe noire on devinait ses seins libres pointant contre l’étoffe. Sa tenue mettait sa taille fine en valeur. Des escarpins aux talons de 10cm lui donnait une jolie silhouette et faisait ressortir la courbure de ses fesses, à l’étroit dans cette robe moulante. Elle était sexy et attirante. La robe avait sur le devant une large tirette chromée qui descendait jusqu’en bas. Elle rendait Lilly très vulnérable car on sentait d’instinct qu’elle était nue sous sa tenue. Visiblement Marc appréciait le spectacle et il s’adressa à moi. depuis combien de temps est elle soumise? Environ 5 ans mais elle n’a pas été présentée souvent. Ses doigts se posèrent sur la tirette et il la fit descendre lentement dévoilant la poitrine de Lilly. Il caressa les seins, doucement d’abord puis il les saisit à pleine main. Les soupesant et les pétrissant. Il en agaça les pointes en les pinçant entre deux doigts. L’effet fut immédiat, les tétons durcirent et il eut l’air satisfait du résultat. Gardant une main sur son sein droit il questionna Lilly. qu'ai je entre les mains? Vous tenez mon sein dans votre main, monsieur. répondit Lilly d’une petite voix qui cachait mal le trouble provoqué par ces attouchements. erreur chienne, réfléchis bien avant de répondre. Le ton de la voix avait changé et il agrippa les deux seins, les serrant fortement entre ses mains, et Lilly ne pût cacher un tremblement involontaire. Elle reprit hésitante.   ce sont mes mamelles que vous tenez, monsieur Cela te vaudra 10 coups de cravache sur les mamelles pour te rafraîchir la mémoire.   Lilly ne répondit pas, “manquerait plus que je doive le remercier de bien vouloir me punir. Pensa t elle. Faut quand même que je fasse gaffe à mes réponses si je ne veux pas être punie. Cela lui ferait trop plaisir. Va y rince toi l’oeil vieux pervers…”   Marc descendit la tirette jusqu'en bas et la robe libérée s’entrouvrit dévoilant un sexe épilé. Il écarta les pans de la robe et effleura son sexe de sa main ouverte. La réaction de Lilly fut immédiate, elle tira la langue et écarta les jambes afin de faciliter l’accès à son intimité. La fente de son sexe laissa apparaître les petites lèvres. Il les saisit entre les doigts en les étirant afin de juger de leur élasticité. Puis il les écarta largement tout en accentuant la pression cherchant à évaluer sa résistance à la douleur. Malgré la souffrance Lilly ne bougea pas mais cet instant lui sembla durer une éternité. Il s’interessa à son clitoris, fit glisser le capuchon afin de mieux atteindre le bouton, le pinça, le titilla. Son autre main s’approcha de ses orifices. Il fouilla sa chatte d’un doigt inquisiteur puis glissa un autre puis deux entre ses fesses. Il lui arracha de petits cris et quelques gémissements mais son corps resta immobile.   Cet examen terminé il ordonna à Lilly d’ôter sa robe. Elle obéit promptement. Lorsqu’elle fut nue, il donna un coup bref sur la laisse et en bonne chienne elle le suivit dans le salon.     Il la mena jusqu’au milieu de la pièce et m’invita à prendre place en face d’elle, dans un accueillant canapé en cuir. Lilly se mit aussitôt en position d’attente et ne bougea plus. Il s’adressa à moi. Elle connaît d’autres positions ? Oui bien sûr il te suffit de lui indiquer un nombre de 1 à 6 et elle prendra la pose. Celle ci est la première elle la prend en absence d’ordre, c’est la position d’attente. Elle a aussi appris à se présenter en une phrase explicite. Il tendit l’oreille intéressé. Il s’approcha d’elle et elle sentit son parfum ambré et il lui dit d’un ton doucereux. je t'écoute Lilly Lilly jeta un œil dans ma direction cherchant un appui. Je pris la parole d’une voix forte. Présente toi. Elle parla d’une voix basse et tremblante. je m’appelle Lilly. Je suis soumise. Marc l’interrompit. Recommence en parlant plus fort. Tu dois être fière d’annoncer ta condition de soumise et pas larmoyante. Lilly reprit d’une voix plus ferme. Je m’appelle Lilly, je suis soumise. Mes 3 orifices sont disponibles. Usez en, et abusez en à votre guise. Si vous n’êtes pas satisfait de mes services ou pour votre plaisir vous pouvez me punir sévèrement. Je vous servirai et vous obéirai comme la bonne chienne que je suis. Marc avait écouté avec attention. Voilà une jolie invitation, on aurait tort de s’en priver. Prends la pose numéro 2. Lilly descendit ses bras et ses mains écartèrent les grandes lèvres ouvrant largement son sexe. Marc s’approcha se pencha pour bien voir la chatte, provoquant sa gêne. Il glissa un doigt dans le trou béant et Lilly tira la langue. Il recommença l'opération à plusieurs reprises l’obligeant à chaque fois à sortir sa petite langue
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Par : le 02/04/24
Ton souffle s’accélère, ton corps se tend, tu es y presque. Tu me demandes “Est-ce que je peux jouir?”. “Pas tout de suite” je réponds, tout en continuant les va-et-vients qui sont en train de te faire décoller. Après quelques dizaines de secondes, je plonge mon regard dans le tien et je te lâches “Tu veux un orgasme?”. Evidemment que tu veux… Je m’interromps brutalement, j’attrape tes cheveux et tourne ta tête vers le coin de la pièce. “Si tu en as autant envie, alors montre le moi. Va te mettre dans ce coin, face au mur, et fais toi jouir toute seule”. Tu me regardes incrédule, alors je t’encourage “allez!”. Tu m’as longuement dit ce besoin de te faire humilier, alors aujourd’hui j’en joue. Cela fait déjà plusieurs fois que je te pousse au dernier moment à te donner toi même la libération, telle une droguée qui a besoin de son shoot, celui que tu as tant de mal à obtenir avec la personne qui partage ta vie “civile”. Alors toujours à quatre pattes, tu descends du lit, tu rejoins le coin de la pièce, et tu t’accroupis. J’ai du mal à distinguer maintenant, mais je vois que tu t’actives, et puis très vite, je l’entends. Ton souffle s’accélère de nouveau, ta main remue furieusement. Tu manques de perdre ton équilibre. Alors je décide de porter l’estocade qui va, je le sais, t’emporter: “Allez dépêche toi, montre moi comme tu es une bonne chienne en chaleur”. Ta main accélère, ta tête bascule en arrière, et le long râle qui accompagne toujours ton plaisir commence à monter dans la pièce. Le râle retombe, puis haletante, au bout de plusieurs minutes, tu reviens sur terre. Tu réalises ce que j’ai fait de toi un court instant: un animal conditionné à son propre plaisir. Des larmes montent à tes yeux, des larmes de honte, d’en être réduite à cet état de dépendance, auquel tu ne cède pas d'habitude, mais aussi des larmes de joie, d’avoir su t’abandonner, quitter le rôle de la mère de famille propre sur elle. Celle qui ne doit pas craquer. Sous aucun prétexte. Ici ce n’est pas toi qui t’occupe des autres, c’est moi qui m’occupe de toi. Alors je ne te laisse pas longtemps dans cet état, je te prends dans mes bras, tu t’accroches à mon cou, et nous restons là longtemps, savourant le moment que nous venons de nous offrir hors du monde... (image du net)
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Par : le 18/12/22
[Les nombres entre crochets renvoient aux références citées en fin de texte, qui peuvent éclairer le lecteur sur certains aspects évoqués] Mon Maître sort un mètre ruban de sa poche et mesure mon tour de taille, sous l’œil intrigué, voire amusé, de certains passants. Instinctivement je bande mes abdominaux et je baisse la tête de honte, n’osant plus regarder autour de moi, et cherchant dans quelques cheveux la protection d’un bien dérisoire voile. Car même si la scène n’a rien de provocant ni d’ostentatoire, même si mon Maître est discret et que nous ne sommes pas en plein milieu du passage, je suis consciente que cela ne manque pas de susciter questionnement et amusement chez les témoins occasionnels. Puis c’est au tour de mes hanches et de ma poitrine d’être mesurées. "On reverra cela plus précisément quand tu seras nue". Il semble satisfait et me dit que l’on va y aller, que je peux descendre du pèse-personne [1]. Alors que je m’apprête à le ramasser pour le remettre dans le sac à dos, une voix peu sympathique me fait sursauter. "Police Nationale. Contrôle du fucking pass [2]." Je ne l'avais pas vu venir. "Je ne la baise pas..." répond mon Maître. "Nous sommes seulement de bons amis". "Vous me prenez pour un demeuré?" répond le policier. "Pourquoi est-ce que la demoiselle porte ce genre de collier?" Je me sens paralysée par le stress. Cette affaire va mal finir... "C'est bon, c'est bon, je m'en occupe" dit son collègue, que je n'avais pas vu tout de suite. Pendant que l'autre s'éloigne, il s’adresse à nous à voix basse  "Désolé, on a des ordres. Soyez plus discrets si vous ne voulez pas vous attirer d'ennuis". Alors que mon Maître le remercie, il nous dit sur un ton pessimiste "Ce n'est qu'un début. Soyez prudents à l’avenir." Est-ce à ce moment-là que j'ai pris la décision qui fera de moi une hors-la-loi [2] ? Difficile à dire. Parmi une multitude de gouttes d'eau, laquelle est celle qui a fait déborder le vase ? Mais je ne dois pas penser à cela maintenant. J'y penserai quand je serai de retour à la maison. Pour l'heure, je dois me concentrer. Donner satisfaction à mon Maître. Ne pas me laisser dépasser par mon esprit bouillonnant. Je suis mon Maître jusqu’au parking. Sa voiture est garée tout au fond, dans une zone peu passante. Il ouvre la portière et me demande de me pencher en avant. Je m’exécute, les coudes posés sur le siège. Après avoir mis mon sac dans le coffre, il revient vers moi. Je sens un doigt qui appuie fermement dans le bas de mon dos. « Cambre-toi correctement ! ». J’essaie de corriger ma position, faisant reposer ma poitrine sur le siège au lieu des coudes, creusant mes reins. Cela tire à l’arrière de mes cuisses. Je manque visiblement de souplesse : c’est décidément un point qu’il faudra travailler. J’écarte davantage les jambes pour réduire la tension. Ma robe est si courte que je me retrouve les fesses à l’air. Instinctivement, je la retrousse un peu plus, dégageant ma croupe, et j’écarte mes fesses avec les mains. « Belle initiative, Salope ! Je suis fier de toi. Tu as bien retenu la leçon » La voiture file sur l'autoroute. Impossible de me rappeler comment je me suis retrouvée là. Il y a deux secondes j'étais encore sur le parking, les fesses à l'air. Le trou. Trop d'émotions, trop de stress, mon esprit a dû déconnecter. C'est angoissant d'avoir un trou de mémoire, comme si des minutes de ma vie avaient été effacées. Pourtant, je me sens presque soulagée d'être là: le trac dans les jours précédents a été terrible, j'ai mal dormi, je ne suis pas au mieux de ma forme. Mais je dois tenir bon. Peut-être que finalement le plus dur a été fait: prendre la décision et m'y tenir. Ne pas renoncer au dernier moment, avant de monter dans l'avion. Ne pas me laisser submerger par la peur. Mon Maître a été très clair: cette relation sera non consensuelle. J'ai goûté à mes derniers moments de liberté. Maintenant je vais obéir. Je suis une esclave. Je suis sa propriété. "Non consensuelle"... Ces mots auraient dû me faire peur et pourtant je me sens presque sereine. Je lui fais confiance. Je sais qu'il n'abusera pas du pouvoir immense qu'il possède à présent. Je sais qu'au fond de lui c'est un homme bon. Je l'ai senti. J'en suis persuadée. Je me répète cela dans ma tête. Pourquoi? Ais-je encore un petit doute, encore besoin de me rassurer? Est-ce parce que je sais que je vais être fessée, giflée, fouettée, baisée comme une chienne ? Pourtant j'avais aimé quand il me l'avait annoncé, j'avais aimé cette franchise. Il faut que j'arrête de cogiter. Alors je regarde le paysage défiler, j'essaie de faire le vide dans mon esprit. Je sens que mon clitoris est gonflé à bloc. La tension sexuelle est à son paroxysme. J'ai l'impression d'être à deux doigts d'avoir un orgasme spontané. Mon esprit cogite encore, mais visiblement mon corps n'a pas d'états d'âme. Cela me rassure. J'ose jeter un rapide coup d’œil sur Mon Maître. Il semble heureux. L'expression de son visage est rassurante. Zut, il s'en est rendu compte. Je détourne le regard et baisse les yeux immédiatement. J'espère que je ne vais pas être punie pour avoir osé lever les yeux sur mon Maître. Il faudra que je sois plus prudente à l'avenir. Il faut vraiment que je me mette bien en tête que ma vie de femme libre fait partie du passé, que je suis une esclave à présent et que je dois me comporter comme telle. Il me parle, avec gentillesse. Se pourrait-il qui ait senti cet immense besoin d'être rassurée? Il m'incite à m'exprimer. Mais je ne suis pas une grande bavarde. Pourtant, quand on me branche sur certains sujets, je peux devenir intarissable. C’est bizarre la psychologie. Je préfère éviter de lui parler de mes sentiments, de notre relation, de peur d'être submergée par mes émotions. Je lui raconte le décès soudain du jeune homme dans l'avion, qui m'a perturbée [1]. "Probablement qu'il ignorait les risques qu'il courait en prenant l'avion", lui dis-je. "S'il avait su, il aurait évité... C'est triste". Puis, consciente que je n'ai pas choisi le sujet de discussion le plus réjouissant, je me permets de le taquiner en lui demandant si c'est pour m'impressionner qu'il a loué cette magnifique Aston Martin de collection pour venir me chercher. Ca le fait rire. Il sait que je ne suis pas attachée au paraître. Pourtant j'adore conduire et j'aurais bien aimé pouvoir prendre le volant de ce bijou, mais malheureusement mon permis de conduire m'a été retiré. Une étude de 2022, financée par le gouvernement Canadien, démontre que ceux qui ont refusé les injections salvatrices ont 72% de risques en plus d'être impliqués dans un accident de la route [3]. Cette étude a été ressortie par l'OMS et a fait tache d'huile dans les nations fondatrices de la suprême alliance démocratique [2]. Partout, le monde politico-médiatique s'est emballé et les appels ont fusé pour prendre d'urgence des mesures radicales afin d'écarter ces dangereux chauffards de nos routes. Les experts ont défilé sur les plateaux télé pour expliquer qu'il faut suivre le consensus scientifique et mettre les anti-science hors d'état de nuire. Pendant que je parle, je sens soudain un objet dur qui me fait très mal au cul. Quand me l'a-t-il mis? Sur le parking, sans doute. Comment se fait-il que je ne l'ai pas ressenti avant? Je ne suis vraiment pas dans mon état normal. Mon cerveau filtre mes sensations. Est-ce un mécanisme de défense face au trop plein d'émotions? Dans mon enfance j'ai eu une méchante blessure au bras. Je n'ai rien senti tant que je n'ai pas regardé et quand je l'ai vue la douleur a surgi d'un coup et j'ai hurlé. Est-ce le même type de mécanisme? On s'arrête sur une aire d'autoroute, très peu fréquentée. La journée touche à sa fin et il fait déjà un peu sombre. La voix de mon Maître est soudainement devenue plus dure. Il m'ordonne de retirer ma robe sur un ton qui me fait comprendre que je n'ai pas intérêt à l'obliger à répéter. "Tu peux profiter des toilettes, mais ne traîne pas". En temps normal j'aurais demandé à remettre ma robe, mais je sais qu'une telle insolence ne serait pas tolérée de la part de l'esclave que je suis à présent. Alors, c'est la boule au ventre que je sors de la voiture, nue, sous les yeux de mon Maître, mon propriétaire, celui qui à présent a tous les droits sur moi. à suivre... Références [1] "Un prénom qui n'existe pas", article publié sur bdsm.fr le 16/11/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8242/Un-pr%C3%A9nom-qui-n'existe-pas/ [2] "Le perchoir d'Ysideulte", article publié sur bdsm.fr le 15/09/2022, https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d%E2%80%99Ysideulte/ [3] D. A. Redelmeier, J. Wang, D. Thiruchelvam, "COVID Vaccine Hesitancy and Risk of a Traffic Crash", The American Journal of Medicine, 2022,  https://doi.org/10.1016/j.amjmed.2022.11.002    
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Par : le 18/08/23
Chapitre 2 : Emma    Nous sommes ce fameux vendredi soir .. je me rends alors chez elle. J’appréhende un peu l’ambiance au moment ou je sonne à la porte , elle m’ouvre avec son sourire habituelle et me prends alors dans ces bras , je savoure son câlin puis j’entre. On se met dans la petite cuisine de son appartement et elle me sert à boire alors que nous parlons de tout et de rien. Durant cette conversation .. j’apprends à la découvrir un peu plus physiquement , je me rends compte que je n’ai jamais vraiment regarder le corps de cette fille .. Elle a un visage très doux et beau avec un joli sourire et des lèvres pulpeuses. Des cheveux bruns assez jolis . Des yeux très jolis et bruns . Elle porte un haut blanc très féminin et très «  sage » ainsi qu’un jeans bleu clair assez large sur le bas , je n’aime pas ce genre de jeans mais c’est la mode dans le coin .. après une conversation vanille de presque une heure je lui souri et lui demande «  tu te sens prête ? » elle souri légèrement , elle a l’air déjà très intimidée et fais oui de la tête .. «  parfait , j’aimerai que tu te prépare pour moi .. simplement en sous vêtements , une fois prête je te rejoindrais .. » Intimidée elle me réponds «  oui Monsieur » et pars alors se préparer .. j’attends et je vérifie les affaires que j’ai amener .. mon téléphone vibre , elle me dit par message qu’elle est prête ..  Je me rends dans sa chambre , dès mon entrée je l’a vois , assise au bord de son lit , avec des sous vêtements noir en dentelle , à la fois sexy et classe , tout à son image .. Je lui demande de se lever et de venir face à moi. Elle exécute et je lui souri , je l’a contourne doucement et lui demande de se détendre , de rester stoïque et de me laisser faire .. Elle fait un leger signe de la tête , elle semble intimidée et j’aime ça .. elle semble aussi stressée un peu tremblante. Je prends dans mon sac , un première objet à lui faire découvrir , un bandeau pour ces yeux ..  D’un pas lent je viens derrière elle et lui glisse le bandeau sur les yeux , sagement elle se laisse faire .. je lui demande en chuchottant «  tu es sure de vouloir continuer ? » elle approuve d’un mouvement de tête ..  «  si tu n’es plus à l’aise et que tu veux arrêter , il suffit de me le dire .. »  Elle me réponds «  merci »  Je décide de faire monter un peu la pression .. je la contourne très doucement , sans la toucher , je lui dis de rester stoïque ..  Elle ne sait pas ce que je vais faire .. mais je prends mon temps , je la regarde , la math ouvertement .. elle est mince , ces hanches sont creusée , elle a des fesses légèrement grosse , et une poitrine plutôt petite .. mais elle me plait beaucoup .. tout en prenant le prochain objet dans mon sac. Doucement je lui demande «  quel est ta taille de soutient gorge ? »  «90B » Je l’a reprend « quand tu t’adresse à moi c’est avec le mots «  monsieur » recommence . » dis je severement mais tout en chuchottant  « 90B Monsieur »  « Bien .. »  Je m’arrête alors derrière elle je glisse mes mains doucement sur ces épaules , et je descends le long de ces bras , lui offrant une douce caresse .. j’amène ces mains dans son dos et avec la corde prise plutôt dans mon sac , je lui lie les mains pour lui faire perdre encore un peu plus le contrôle ..  Elle se laisse faire docilement , mais elle tremble un peu .. je m’approche , je suis derrière elle et glisse un baiser dans son cou .. «  détends toi .. » dis je doucement a son oreille  «  j’essaye » me dit elle  «  parfait »  Je prends une seconde corde .. cette fois je l’entour au niveau du bassin , et je lie la première corde à la seconde , pour que c’est main soit lie l’une à l’autre mais aussi à son corps juste au dessus de ces fesses .. je m’approche un peu plus d’elle .. mon jeans contre ces mains .. pour lui montrer que je suis excité .. «  tu vois l’effet que tu me fais ?» Elle ne réponds pas , mais elle caresse mon jeans avec sa main dans son dos , me montrant la volonté qu’elle a de faire plaisir. Je profites quelques instant avant de me retirer , j’enlève mon jeans qui est trop serrant à mon goût ..  Je prends le temps de la regarder , elle tremble encore par moment , mais elle est docile et reste bien en place ..  Je glisse ma main dans ces cheveux et tire légèrement en arrière .. «  soigne ta cambrure je te prie . » Puis je viens face à elle .. je descend un peu son soutient sans le détacher pour que c’est seins sorte par dessus celui ci ..  Ces petits seins sont à l’air libre face à moi .. je glisse mes deux index sous chacun de ces tétons .. et je viens poser mes pouces par dessus pour les pincées sans mettre trop de pression .. je tire légèrement vers le haut et par réflexe elle se met sur la pointe des pieds et serre un peu les dents ..  J’adore .. et lui dis «  tu pointes bien .. tu es excitée ? »  Elle avale sa salive avant de me répondre «  oui Monsieur » Je relâche ces seins et prends les pinces tetons .. «  ce sont les pinces .. » dis je en les glissant contre sa peau .. elle les approuves de la tête ..  J’attache la première , sur son seins gauche .. elle gemi et fais un bref mouvement de recule, je m’apprête à lui en faire la remarque alors qu’elle me dit «  pardon monsieur »  « bien .. je vais attacher la deuxième , je ne veux pas que tu bouge es ce clair ? » « oui monsieur » J’attache alors la deuxième sans qu’elle ne bouge .. elle apprends vite , j’admire ces seins avec les pinces .. un délice .. Satisfait .. je lui précise de rester comme cela .. et de ne pas bouger , que je puisse la mater ouvertement ..  Mon regard est posé sur elle , j’analyse chacune de ces formes , alors qu’elle me dit « Monsieur , les pinces me font mal .. » L’information est claire , mais moi je veux une demande de sa part .. je m’approche «  j’aimerai que tu me fasse une demande poliment si tu en as une .. je ferai en sorte de l’accepter si elle est dites avec de bonne formes .. » Elle réfléchis un bref instant puis me demande «  monsieur , pourriez-vous enlever les pinces si il vous plaît ? »  Je souri «  très bien .. » je retire alors délicatement les 2 pinces en même temps ..  A ce moment même , elle gémit de plaisir à haute voix .. ce qui me fait sourire d’avantage .. Je glisse ma main dans ces cheveux et décide d’augmenter un peu ma poigne , je ferme la main et la fais se tourné .. «  penche toi .. » elle s’incline sur son lit , le buste sur le matelas , et les genoux à terre .. le cul bien exposé .. les yeux encore bandés et les mains attachées ..  «  cambre moi ce cul .. »  Elle le cambre d’avantage pour moi ..  «  je vais te faire goûter au martinet d’accord ? »  Elle ne me contredis pas , je prends donc mon martinet .. je le fais doucement glisser dans son dos .. celui ci est plutôt doux .. j’abaisse alors sa culotte , jusqu’au sol à hauteur de ces genoux .. je découvre son sexe .. sa culotte est humide .. je glisse ma main dans ces cheveux et m’approche d’elle «  je vois que tu mouille comme une petite salope .. » lui dis je .. Je me redresse .. et joue avec le martinet .. je le fais glisser sur ces fesses .. puis le retire .. je la laisse croire que je vais le faire claquer .. mais non .. je le reglisse sur son magnifique fessiers .. je recommence cela a plusieurs reprise , jusqu’au moment où je le fais claquer une première fois ..  Elle l’accepte silencieusement .. je recommence .. le 3 eme coups est un peu plus fort .. je veux l’entendre gémir .. et ça marche elle gémit , je remarque même qu’elle sert les cuisses pour se faire du bien ..elle est bien plus salope que je ne l’imaginais .. je la fouette encore et je vois son fessier bouger à chaque coup .. ça m’excite alors que son cul rougi ..  «  tu as un sacré cul .. tu sais ça ? »  «  merci monsieur , il est là pour vous faire plaisir » Je m’approche d’elle et lui donne une fessée .. bien ferme , ça claque , elle gemi et contracte son corps, et la trace de ma main apparaît presque instantanément , ça pique même sur la paume de ma main .. je glisse mes doigts sur son sexe .. trempée !  «  tu mouilles bien .. je t’excite ? » «  oui ! »  Dit elle de manière très franche Mes doigts écarte un peu ces petites lèvres .. j’y glisse mes doigts dans les enfoncés vraiment , par reflexe , elle bouge un peu le bassin comme pour se frotter ..  J’ai envie de la prendre .. mais elle m’avait demander par message de ne pas allez jusque là .. obligé de respecter , mais je compte bien me faire sucer , je l’attrape donc par les cheveux pour qu’elle se redresse et qu’elle soit a genou ..  Je baisse mon boxer et me met face à elle , assis sur le bord du lit .. Ces yeux sont encore bander , mais je viens coller mon gland humide à ces lèvres ..  Elle ne bouge pas .. je ne sais pas si elle attends mes ordres ou si elle est intimidée .. je lui chuchotte «  suce moi la queue salope ! »  Il ne faut même pas une seconde pour qu’elle me prenne en bouche .. ma queue toute dur disparaît dans sa bouche et elle commence un vas et viens des plus profonds , elle me fait même entrer dans sa gorge ..  BORDEL ! Je l’a côtoie depuis 10 ans et depuis tout ce temps elle attendait qu’une choses ? Me servir ? Je lui dis «  hum tu veux me sucer mon âme enfaite ? »  Elle ne réponds pas et continue de me sucer .. je la tiens par les cheveux et je lui fait accélérer le mouvement , et je la pousse à enfoncer ma queue dans sa gorge de plus en plus .. ces bruits de gorge me font d’avantage devenir fou .. elle commence a avoir des mouvements de recul quand ma queue lui baise la gorge .. il faut dire qu’elle n’a même pas les mains libres pour me contrôler ..  «  quand je baise ta bouche tu ne recule pas , tu me laisse faire .. » Dis je alors que je profites encore de sa bouche ..  Je lui retire le bandeau des yeux .. elle ferme un peu les yeux à cause du surplu de lumière .. «  tu aimes mon sexe ? » elle fais oui de la tête comme si elle l’adorait ..  Je glisse ma main sous son menton pour qu’elle me regarde «  moi je veux goûter à ta petite chatte .. » dis je alors que j’enlève ces liens ..  Je m’allonge et je lui demande de s’installer au dessus de moi , en 69 .. J’ai a peine le temps de me rendre compte que nous sommes bien installer , qu’elle me pompe déjà ..  Je tire bien la langue .. et je la glisse dans sa petite chatte , bien entre ces lèvres .. hum elle mouille très fort et sa mouille est délicieuse .. j’entre donc ma langue pour faire quelque penetration , puis je glisse ma langue sur son clitoris .. elle kiff  Alors que je donne des mouvements de hanches pour lui baiser la bouche , elle referme les cuisses autour de ma tête et s’assoie presque sur moi ..  On se fait tellement de bien .. je lui donne une fessée .. et elle jouit sur moi , bruyamment , longuement .. ce qui me fait jouir aussi .. je lui en met pleins le cou .. et je gemi fortement moi aussi ..  
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Par : le 02/03/24
Dans deux jours, ma Douce Soumise débutera une période de frustration de 15 jours, pendant laquelle elle sera privée de toute jouissance. Avant d'expliquer l'importance cruciale de cette étape, laissez-moi évoquer les raisons qui me poussent à lui imposer cette forme de chasteté. Tout juste âgée de 41 ans, ma Douce Soumise est en proie au doute. Depuis qu'elle a commencé à explorer sa soumission à l'âge de 40 ans, elle ne se sent plus désirable et se considère comme "périmée". Mon objectif a toujours été de la guider en douceur dans l'exploration de ses fantasmes, de la pousser à repousser ses limites et de l'aider à devenir la soumise qu'elle aspire à être. Jusqu'à présent, nous avons déjà franchi certaines de ces limites bien au-delà de ce que nous avions imaginé. Il y a moins d'un an, ma Douce Soumise pratiquait très rarement la sodomie ; aujourd'hui, elle est capable d'endurer un fist anal et d'y prendre plaisir. Elle n'avait également jamais avalé de sperme de sa vie, et maintenant, elle le réclame et ouvre grand la bouche pour recevoir mon nectar. Sans parler de l'uro, qu'elle ne connaissait même pas auparavant. En résumé, en l'espace de 8 mois, j'ai réussi à transformer ma femme "vanille" en une véritable soumise épanouie, obéissante et prête à se soumettre totalement à mes désirs. Un matin, dès son réveil, je lui ai demandé de s'inscrire sur Tinder et de créer un profil. Calmement, je lui ai annoncé que pour les 15 prochains jours, je souhaitais qu'elle rencontre un homme tous les deux jours. Parmi ces hommes, il devait y en avoir un dont elle n'aimait pas du tout le physique, ainsi qu'un homme de plus de 65 ans. Elle devait également coucher avec deux hommes lors d'une même journée. Ses consignes étaient claires : se rendre dans leur hôtel et les baiser comme une vraie pute, sans compromis. Pas de préliminaires, pas de rendez-vous avant ou après, juste du sexe brut. Dans la chambre d'hôtel, elle devait laisser son téléphone allumé pour que je puisse écouter. Après ces 15 jours de rencontres coquines, elle devrait subir 15 jours de frustration, plus deux jours supplémentaires pour chaque homme qu'elle n'aurait pas couché. Cette demande l'a choquée. Ma Douce Soumise n'imaginait pas que je serais capable de lui demander une telle chose. Au début, elle a protesté, affirmant qu'il lui était impossible de coucher avec d'autres hommes puisque nous étions mariés, et que cela n'était pas envisageable. Il faut dire que ma Douce Soumise est jalouse, tandis que moi, je ne le suis pas du tout. Pour moi, il y a une différence entre faire l'amour et simplement baiser. De plus, depuis toujours, l'un de ses fantasmes était de se faire prendre par un inconnu dans une chambre d'hôtel. J'étais en train de lui offrir son fantasme sur un plateau d'argent. Elle a fini par accepter, et son défi a commencé le jour même. En quelques heures, elle avait son premier rendez-vous avec un Canadien de 33 ans. Il faut dire que pour une femme, c'est extrêmement facile de rencontrer des hommes juste pour coucher. Elle s'est préparée à ce rendez-vous, s'est maquillée, coiffée, et a enfilé sa belle robe noire moulante. Elle était nerveuse ; en 14 ans de mariage, ma Douce Soumise n'avait jamais posé les mains sur un autre homme que moi. Je l'ai encouragée, ai trouvé les mots pour qu'elle ait le courage de franchir la porte. Je l'ai déposée à la réception de l'hôtel, puis je l'ai appelée pour pouvoir écouter tout ce qui se passait. C'était parti. Je l'ai entendue frapper à la porte, un hello nerveux. Ça y est, elle était dans la chambre d'hôtel, avec ce Canadien de 33 ans, musclé et vraiment bien foutu. Il faut dire que là où nous vivons, les touristes sont vraiment canons et musclés, pour la plupart ils viennent pour s’entraîner au Muay Thai de manière professionnelle. Je les ai entendus discuter un moment, lui prenant une bière, et  après quelques minutes, les voix ont été remplacées par des bruits de bouche. Ils s'embrassaient, j'étais terriblement excité, excité de voir ma Soumise rester dans cette chambre, excité de savoir qu'elle réalisait un fantasme tout en dépassant ses limites grâce à moi. Les respirations ont augmenté en intensité et déjà j'entendais les premiers gémissements de ma Douce Soumise. J'arrivais à deviner ce qu'il lui faisait juste par les bruits. Il est en train de la doigter, je reconnais le bruit très distinct de ma Soumise quand elle mouille et qu'elle est excitée. Ça y est, il la pénètre, ses gémissements ne trompent pas, elle prend son pied. Malheureusement pour elle, le jeune homme a succombé trop rapidement à son charme. Il part prendre sa douche, je reçois un message. "Maître, c'était trop rapide, puis-je rester un peu pour un deuxième round ?" Ma Douce Soumise avait succombé au charme de l'adultère consentant. Je lui accorde et le deuxième round fut bien plus intense... Pendant ces 15 jours, ma Douce Soumise n'a pas failli une seule fois. Parmi les hommes qu'elle a baisés, il y en avait quatre qui avaient du mal à la satisfaire : un Maître dominant expérimenté, dont je vous raconterai la soirée dans un autre récit, un homme de 64 ans, et un homme expert en libertinage qui a décidé de m'appeler en visio pour que je les regarde baiser. Ces 15 jours ont été vraiment très intenses. Ma Douce Soumise a vraiment repoussé ses limites. De plus, chaque fois qu'elle revenait d'un rendez-vous, je la baisais sans qu'elle ait le droit de se laver. Elle est passée par tout un tas d'émotions. Elle s'est sentie pute, désirable, sale, excitée, fatiguée, enjouée. Toutes ces émotions décuplées à 100% par l'adrénaline. Sa soumission n'a jamais été aussi parfaite. Je suis tellement fier de ma Douce Soumise...
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Par : le 22/09/23
préambule: Ce texte est la traduction / réécriture partielle d'un texte que j'ai écrit en anglais (sur fetlife).   Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Premier texte / premier élément : un canapé confortable A genoux et sur tes mains, esclave ! Je sais que tu n'as pas été dressée, mais est-ce que c'est si compliqué pour toi de comprendre que ta place est à genoux ? À partir d'aujourd'hui et, pour chaque nouvelle session de dressage, tu entreras dans notre pièce spéciale, à genoux. Impatiente de poursuivre ta formation d'esclave, dans le but utime de mieux servir ton Maître. Est-ce que c'est compris ? Oui, Maître Good girl (flemme de traduire :D (mais pas de commenter, ce qui est sans doute plus chronophage, bonne remarque)) Je suis assis sur le canapé et je trouve que, pour l'instant, la pièce est vide. Mais nous allons en faire notre endroit. Mon esclave est complètement nue à l'exception d'un collier et d'une laisse qui traîne derrière elle. Viens ici, salope ! Commençons ton entraînement en te faisant comprendre que tu es une chienne faite pour obéir à tous les ordres que je voudrai bien lui donner, ni plus ni moins. La réflexion, c'est pas pour toi. Tu te contentes d'obéir et de répondre oui Maître. Compris, salope ? oui Maître Tourne-toi ! oui Maître Laisse-moi vérifier quelque chose. Oh wow tu es une vraie salope. Complètement mouillée alors que rien n'a commencé. oui Maître. Je suis impatiente de vous servir du mieux que je peux. Ok, c'est vrai. Tu as probablement ce qu'il faut pour être dressée et faire une esclave acceptable. Viens ici comme le putain d'animal que tu es. En marchant à 4 pattes et en regardant le sol. Je veux te voir te frotter à ma jambe jusqu'à ce que tu exploses comme la chienne que tu es. Oui, Maître. Merci beaucoup, Maître de m'autoriser à exploser. Ne me regarde pas. Baisse les yeux, sale pute ! Je peux déjà t'entendre gémir après quoi ? Quelques dizaines de secondes. Sérieusement, tu vas vraiment exploser dans la minute ? Arrête ! Je sais que tu es un putain d'animal, mais quand même, respecte-toi un peu. Oui, Maître. Mais c'est toi qui me transforme en une énorme salope, tu le sais. Je ne le reconnaîtrais jamais à voix haute. mais c'est vraiment très agréable de voir ce regard suppliant dans tes yeux. C'est aussi très agréable de cracher dans cette bouche ouverte, prête à avaler tout ce qui se présentera à elle. Je vais te laisser exploser mais, d'abord, regarde-moi dans les yeux et ouvre ta bouche. Supplie-moi et je te laisserai le faire. Dans la seconde qui suit ... s'il vous plaît, Maître. Ayez la gentillesse de me laisser exploser en frottant mon sexe contre votre jambe, contre votre pied. Je n'ai même pas réalisé que tu avais pris mes doigts dans ta bouche et que tu te remets à les lécher après avoir supplié. ok, tu as 30 secondes. Si tu peux exploser, c'est parfait. Sinon, tu auras perdu ta chance pour aujourd'hui et sûrement les jours à venir. Je retire mes doigts, j'attrape tes cheveux et je les tire pour que ton visage regarde vers le bas. Je sens ton sexe trempé se déplacer contre ma jambe. Tu ouvres encore plus les genoux pour que je puisse placer mon pied droit entre eux. Il te faut 10 secondes pour commencer à gémir très fort. Encore 10 secondes et tout ton corps commence à se contracter et tu commences à exploser bruyamment. Tu as effectivement tout pour devenir mon esclave. Il y a du travail. On va travailler sur la frustration. Pas question que tu deviennes un animal. On va travailler sur la frustration, la retenue pour que tu deviennes une vraie esclave mais je n'ai aucun doute que l'aménagement de cette pièce spéciale et le dressage en parallèle va être une source de plaisirs multiples.
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Par : le 06/01/24
Dans un accès de libido, Masato me colle contre lui et m’embrasse goulûment tout en me caressant les fesses. Je le repousse brutalement et lui flanque une bonne gifle. Juste à temps ! Les rires gras des défenseurs de la démocratie déchirent le silence. Masato est bon pour subir un déferlement de quolibets. Se faire gifler publiquement par une fille est humiliant ici plus qu’ailleurs. « Désolé, je n’avais pas vu la patrouille » me dit-il à voix basse pendant que les miliciens s’éloignent. Le gifler est la seule réaction qui m’est venue sur le moment, pour lui sauver la mise. La loi dit que les relations sexuelles sont interdites en l’absence de Fucking Pass et que toute infraction sera sévèrement punie [1]. Mais elle ne définit pas précisément ce que l’on doit entendre par relation sexuelle, laissant libre cours à l’interprétation et à l’excès de zèle des miliciens. Mettre les esprits en état d’insécurité permanente, de perte de repères, est l’une des ficelles du totalitarisme. Je jette un dernier coup d’œil sur les alignements de bites. Des bites à perte de vue, prêtes à défendre la planète. C’est beau ! A défaut d’être utile, je dois admettre que le projet B.I.T.E.S. a de la gueule. Sur le chemin du retour, Masato tient à me faire essayer les lunettes sociales qu’il vient d’acquérir à prix d’or. Elles affichent en temps réel le solde de crédit social des passants que l’on croise dans la rue. Un code de couleur permet de distinguer instantanément les bons et les mauvais citoyens. On peut même, si on le souhaite, visualiser l'historique de leurs bonnes ou mauvaises actions pour la démocratie et le climat. Vendre à la population, qui en redemande, les outils de son propre asservissement, en voilà une belle idée. Masato est déçu par mon manque d’enthousiasme puis admet à demi-mots qu’il est sans doute, lui aussi, tombé dans le piège infernal. De retour à son minuscule appartement, il m’annonce que nous n’avons que peu de temps car nous devons retrouver mon Maître dans la banlieue de Tokyo. Tiens donc… Je croyais qu’il m’avait oubliée ! Je lui propose de lui sucer la bite, pour me faire pardonner de la gifle. Prétexte, car, en réalité, j’adore sucer et donner du plaisir. Dans une ruelle déserte de la banlieue de Tokyo, au milieu des vieilles maisons, une salle de cinéma à l’aspect délabré, qui semble avoir miraculeusement survécu aux années. L’une des rares ruelles qui n’est pas encore équipée en caméras de surveillance. C’est dans le hall étriqué de cette salle de cinéma démodée que nous retrouvons mon propriétaire, qui est en pleine conversation avec un couple. Masato le remercie pour le cadeau. Mon Maître me fait un sourire de connivence. Le cadeau, c’est moi… « Dépêchons nous, la séance va commencer ! » Dans la pénombre, je distingue une vingtaine de personnes déjà installées. Sur scène, un homme élégant présente le film et le contexte dans lequel il a été réalisé. C’est l’esclave de Sonia. Il a belle allure ! C’est étrange de le voir en costume-cravate, moi qui ne l’ai connu que la bite à l’air. Mais, le choc du contraste passé, je me dis que je préfèrerais le voir la bite à l’air. « Salope ! » me dit mon Maître, comme s’il avait lu dans mes pensées. Sur l'écran, derrière lui, un dessin humoristique donnant un aperçu sur la teneur du film suscite des commentaires amusés. La projection commence. Au bout d’un moment, j’ai la gorge nouée et les yeux embués. Il n’y a pas à dire, Sonia est douée pour entraîner les spectateurs dans l’histoire et déclencher des émotions. Des éléments factuels, des explications rationnelles, sont savamment distillés. Appâter le spectateur par l’émotionnel, pour l’amener ailleurs, là où elle veut l’amener, enclencher la réflexion et le forcer à ouvrir les yeux sur la réalité du monde dans lequel il vit. L’être humain est doué pour voir le totalitarisme quand il se produit à l’autre bout du monde, ou quand il fait partie de l’histoire, mais est aveugle quand il est en plein dedans [2]. Comment lui redonner la vision de près ? Jouer sur l’émotionnel est le seul moyen, probablement, pour contourner l’effet de décennies d’abêtissement. « Des gens bien plus intelligents que vous savent ce qui est bon pour vous ». C’est l’adage que tout bon citoyen doit répéter en boucle dans sa tête. Les journalistes sont là pour le marteler à ceux qui seraient tentés de l'oublier. Je me prends à penser qu’il suffirait d’un seul traitre dans l’assemblée pour que les Brigades de Défense de la Démocratie réalisent une belle rafle. La séquence sur le sabotage du Nord Stream par nos plus fidèles alliés me prend aux tripes parce qu’elle me rappelle mon séjour à Bornholm. « C’est comme si votre femme se faisait violer par votre meilleur ami. Vous le savez, mais vous êtes tellement lobotomisé qu’à la place vous accusez celui que l’on vous a désigné comme votre ennemi » dit ironiquement l’expert qui commente les images et explique le mode opératoire. Je reconnais les images Sonar que Sonia m’avait montrées, mais leur qualité est infiniment supérieure. Mes programmes de traitement ont donc fonctionné. Je suis très fière d’avoir pu l’aider. S’en suivent les images de notre escalade et de ma sodomie à flanc de falaise. Elles sont magnifiques ! Me voilà bien malgré moi actrice vedette ! Mon visage a été modifié pour leurrer les techniques de reconnaissance faciale. Chirurgie esthétique numérique ! Le film laisse planer un grand mystère sur la vraie raison de ma sodomie à flanc de falaise. Le zébralyvox n’est pas mentionné. Est-ce que Sonia souhaite ne pas trop en dire ou bien s’agit-il de donner aux spectateurs l’irrépressible envie d’en savoir plus ? A l’issue de la projection, un débat s’engage. « Comment assurer la diffusion du film ? » est la question qui obnubile les esprits. L’accès à Internet est totalement contrôlé depuis la mise en place de l’identité numérique. Certains vont devoir se sacrifier pour mettre le film sur le réseau. Ils seront rapidement identifiés et arrêtés, mais avec un peu de chance d’autres le rediffuseront à leur tour. Je ne suis pas vraiment convaincue par cette manière de faire, qui semble pourtant recevoir l’adhésion de l’assemblée, faute de meilleure idée. La police du net, aidée par Eurytion, la puissante Intelligence Artificielle de la Bill & Alvértos Fucking Corporation, est redoutablement efficace. Non seulement les initiateurs seront arrêtés et exécutés, mais la diffusion sera probablement stoppée avant d’avoir pu atteindre le point critique qui aurait permis sa survie. « Vas-y », m’ordonne mon Maître, en me faisant signe d’aller exposer mon point de vue à l’assemblée. Je lève timidement la main, comme pour demander la permission. L’esclave de Sonia prononce mon prénom et me fait signe de le rejoindre sur scène. J’entends comme un murmure qui parcourt la salle. Je distingue même du français. « C’est Ysideulte !», dit une femme à son compagnon. Serais-je donc devenue une célébrité au sein de la résistance ? Pour moi, la fille effacée, c’est un comble. Arrivée sur scène, je me rends compte que l’éclairage vient du bas. Robe ultra-courte, pas de culotte… Spectacle assuré ! J’expose néanmoins mon point de vue d’un ton posé, ce qui me surprend. C’est la magie de l’esclavage : obéir à mon Maître, lui donner satisfaction, faire en sorte qu’il soit fier de moi, c’est la seule chose qui compte, au point que j’en oublie ma timidité. Le lien qui nous unit est immatériel et pourtant je le ressens si intensément ! Diffuser le film en utilisant des boules mémoire. En laisser traîner partout. C’est ma suggestion. Les gens s’en saisiront, à l’abri des regards et des caméras. Ils regarderont le film, le recopieront pour leurs amis. Des centaines de millions de boules mémoire qui circuleront de main en main. Mais comment assurer une telle production ? « L’Inde pourrait nous aider », suggère l’esclave de Sonia. Ses capacités de production ont été en grande partie détruites par les bombes démocratiques, mais elle a encore quelques ressources. La Suprême Alliance Démocratique a subi de lourdes pertes lors de l’opération Komsomolets, ce qui a accordé un peu de répit à certaines nations pour tenter de se reconstruire. Il faudra organiser la logistique, en toute clandestinité. Je prends garde à ne pas serrer les jambes et à répondre aux questions avec humilité. Mon propriétaire m'observe et je sais à quel point il apprécie de montrer que je suis bien dressée. Mes cuisses portent encore les marques de ses coups de ceinture, certainement réhaussées par l'éclairage incident et maintenant exposées à la vue de tous. L'assemblée semble convaincue par ma proposition. Je rejoins mon Maître, qui m’adresse un sourire de satisfaction et fixe la lourde laisse à mon collier de chienne. Clic! Pas besoin de paroles. Un frisson de plaisir me parcourt le corps. à suivre   Contexte et Références [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). [2] « Tout l'enjeu du psychisme est de se protéger, quitte à réaménager les discours et la façon de se raconter la réalité. [...]. Il n'y aurait ni délire ni contagion délirante sans un déni de réalité qui lui préexiste. [...] ces mécanismes de défense sont des protections psychiques [...]. Tout cela nous explique la raison pour laquelle beaucoup de personnes ne parviennent pas à voir ce qui se passe lors de la mise en place d'une dérive totalitaire, et même, s'illusionnent sur le fait que leur gouvernement, devenu véritable bourreau, continue de leur vouloir du bien, pourvu qu'aujourd'hui il se nomme "démocratie". [...] Car il faut une force psychique hors du commun pour garder un raisonnement sain dans un monde qui devient fou, où les repères sont inversés, où la vérité est travestie en mensonge, [...], tandis que s'exerce un pouvoir abusif prétendant que c'est pour le "Bien Commun", au nom de jolis principes auxquels chacun peut souscrire » Ariane Bilheran, "Psychopathologie du totalitarisme", septembre 2023   Illustration: montage à partir de dessins de Tesson.   Premières apparitions de certaines notions évoquées dans le texte: - Le Fucking Pass, Eurytion et la Bill & Alvértos Fucking Corporation:     dans "Le perchoir d'Ysideulte", le 15/09/2022 (https://www.bdsm.fr/blog/8145/Le-perchoir-d'Ysideulte/) - Les Brigades de Défense de la Démocratie:     dans "Sonia", le 18/01/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8332/Sonia/) - Le zébralyvox gémellaire et l'opération montée par la Suprême Alliance Démocratique pour l'anéantir (opération Komsomolets):     dans "Zébralyvox gémellaire, l'étonnant passager" le 07/02/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8393/Zebralyvox-gémellaire,-l'étonnant-passager/) - Les prémisses d'une résistance:     dans "La charte du pangolin fou", le 27/04/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8558/La-charte-du-pangolin-fou/) - Les modalités d'obtention du Fucking Pass     dans "Adorable Fucking Pass", le 13/05/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8630/Adorable-Fucking-Pass/) - Bornholm et le Nord Stream     dans "Matin calme à Bornholm", le 02/07/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8709/Matin-calme-à-Bornholm/) - La vertigineuse sodomie d'Ysideulte     dans "Sodomisée à flanc de falaise", le 18/07/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/8745/Sodomisée-à-flanc-de-falaise/) - Le projet B.I.T.E.S.:     dans "B.I.T.E.S. - Complexe de défense planétaire", le 03/12/2023 (https://www.bdsm.fr/blog/9180/BITES-–-Complexe-de-Défense-Planétaire/)  
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