La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 16/04/21
Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse). Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages... Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm. Nouvelles pages, nouveaux chapitres. Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur. Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour. Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite... Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais. Monsieur V. Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Par : le 16/08/22
-Colonel Valeri, j'ai encore une mission spéciale pour vous. -S'il s'agit d'aller botter le cul des $$££#!! américains, des anglais et autres qui se battent en Ukraine, je suis toujours partant. Vous le savez bien. -Oui, c'est de cela dont il s'agit. Les Américains et les anglais bombardent la centrale de Zaporijia pour essayer de provoquer une catastrophe nucléaire. Ils pensent qu'ils ne risquent rien sur leur ile ou de l'autre coté de l'Atlantique. Les nuages radioactifs seront pour l'Europe. -on pourrait raser toutes les villes américaines et anglaises et couler tous leurs portes avions. Ils ne peuvent pas arrêter nos missiles hypersoniques. Le général Makarov rit de la boutade et sort une bouteille de Vodka. -Pour l'instant les ordres c'est de les laminer sous des déluges d'obus et de missiles et d'avancer doucement pour protéger nos hommes. Rien ne presse. Votre nouvelle mission c'est d'aller repérer des batteries étrangères à 50 km de Zaporijia et de les signaler. Nos missiles feront le reste. Ce qui va vous intéresser c'est qu'un ensemble de lance missiles est tenu par une générale US, Jennifer, gradée de Wespoint, une lesbienne pure, une folle qui oblige ses marines à pisser accroupis comme des gonzesses. C'est pour leur sécurité il parait. Pisser debout c'est faire de vous des cibles, qu'elle leur raconte. Voici ses photos. Elles vont vous plaire. -Pas mal du tout cette bouffeuse d'hamburgers et de chattes humides. Pas mal du tout. Elle doit avoir un cul bien serré. -Vous aller avoir l'occasion de vous la taper. Nous avons réussi à l'alpaguer avec la sublime Lena, notre agent spécial parmi les forces ukrainienne. Jennifer est devenue complètement folle de sa chatte blonde. Elle se la tape tous les soirs. Nous la tenons. -Da, entre des cuisses bien humides. Le général remet une enveloppe avec toutes les instructions au Colonel Valeri. Ils trinquent encore, avec une excellente Vodka. -A la Russie éternelle. -Au joli cul de cette $$$###! de jennifer. Avant il faut que je passe aux transmissions voir mon officier de liaison. Ils rient de bon cœur et trinquent encore. Le Colonel Valeri s'eclipse et file vers le bunker des transmissions retrouver la sublime Assya, une bombe sexuelle, blonde et bien galbée de partout avec des yeux de félin gris bleu avec des pointes d'émeraude. Il la trouve devant son ordi et des écrans. Il se glisse comme une ombre, l'empoigne par la crinière, la couche sur son bureau, la trousse et la sodomise d'un coup violent. Assaya hurle de douleur. Valeri n'en a que faire. il la pistonne comme un sauvage. A présent elle hurle de plaisir. On doit l'entendre dans tout le bunker. Valeri explose sa jouissance en elle. Il n'en a rien à foutre du plaisir d'Assya. De toute façon, les femmes russes sont comme des poêles en céramiques. Longues à chauffer et inarrétables ensuite. Quelle belle salope cette Assya. Elle en redemande encore et encore. Il faut être le colonel Valeri pour tenir la cadence avec cette championne nympho de l'armée russe. Assya ne le laisse qu'après l'avoir complètement vidé de tout son sperme et plus. Elle rajuste sa jupe et reprend son travail comme si rien n'était, redevenue plus froide qu'un glaçon de l'Arctique. -On fait comme d'hab. Allez file. Je vais prendre soin de toi. Veleri s'éclipse, sa grosse enveloppe à la main. Il va l'étudier dans sa cabine. Il est entrainé à tout mémoriser. aucune note. Il est heureux d'avoir Assya comme officier de liaison. C'est presque une partie de lui même. Elle ne fait jamais défaut dans cette guerre impitoyable du renseignement militaire. Ce que le Colonel Valeri adore c'est traverser les lignes ennemies comme une ombre. Le loup de l'Oural, c'est son surnom, est vraiment incroyable. Personne ne le voit, ne l'entend, pourtant lui observe tout et transmet tout à Assya qui fait le reste pour l'artillerie. Plus de 50 km parcourus, il se rapproche des lances missiles commandés par Jennifer. Cela l'amuse. Il adore prendre des risques et cela lui donne toujours une furieuse envie de baiser. Il contourne des postes de sentinelles, toutes américaines. Cela le fait sourire quand il pense à la propagande occidentale et à ses conneries sur le rôle défensif de l'otan, la non belligérance et j'en passe. Ils sont bien là et tirent bien sur l'armée russe avec le meilleur de leur technologie. Il repère le logement de Lena à l'intérieur du périmètre de défense des américains. Encore une sentinelle, une femme black superbe avec son fusil d'assaut sur la poitrine. La garde du corps de Jennifer probablement. Il en renifle la présence. Il neutralise cette sentinelle au couteau, sans le moindre état d'âme. De toute façon elle n'a rien senti avec sa lame noire plus coupante que le meilleur des rasoirs. Valeri arrive dans la chambre. Il trouve Jennifer en train défoncer la chatte de Lena qui couine au feeldoe. Un bon atemi derrière la nuque et Jennifer s'effondre ko. -Nous n'avons pas beaucoup de temps. Allons à la cave. Il soulève jennifer, qui pourtant fait bien son poids comme beaucoup d'américaines, comme si de rien n'était. A la cave il trouve de quoi l'attacher et la bâillonner. Quelques baffes suffisent pour la réveiller. Elle est tétanisée de peur. Elle se pisse dessus. C'est vrai que Valeri pue la mort. Elle sait qu'elle vit ses derniers instants. Valéri la retourne et la sodomise d'un coup. Le pire outrage pour une lesbienne. il lui remplit les fesses et la chatte de son sperme puis la neutralise pour toujours. Il remonte avec Lena dans la chambre. Là il ne fait pas semblant. il la bâillonne, la tabasse hard et l'attache. Puis il prend une latte en bois et lui marque bien son joli cul bombé. Il lui enfonce dans les fesses le feeldoe de Jennifer. Il essaie de bien maquiller pour faire croire à une agression par un détraqué sexuel. La survie de Lena en dépend. Il pose un baiser d'adieu sur son front et repart comme une ombre. Dans quelques heures l'alerte sera donnée et les ricains voudront couper les couilles du détraqué qui a liquidé leur générale. Il est temps de refranchir les lignes ennemies comme une ombre. Il transmet toutes les positions à Assya. les missiles russes ne tardent pas à faire un bon nettoyage. Cela lui donne du temps. Quelques jours plus tard il retrouve Assya dans son bunker. -Cela te dit quelques jours de permission avec moi en Crimée? La bombe sexuelle ne s'est pas faite prier. De toute façon elle dit toujours oui au Colonel Valeri. Elle aussi adore son job. La morale de cette histoire c'est que les hommes ne doivent pas pisser assis comme des gonzesses.
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Par : le 09/02/20
(Réédition du 09/02/2020 -> 31/03/2024 - 838 Vues) . Bref, Rien ne vaut un homme, pour exposer les penchants de La Masturbation Féminine. Si il y a bien une réalité lorsqu'une femme arrive sur un site BDSM, ce n'est pas tant le plaisir à regarder les photos ou lire des écrits BDSM, que de trouver un défouloir de l'esprit, à pouvoir être encore effrayée et stimulée par l'inconnu. De se questionner si l'on pourrait supporter maintes pratiques sexuelles et BDSM, en se mettant à la place d'une autre. Si la masturbation masculine est essentiellement portée sur la possession des femmes, il en est tout autre pour la masturbation féminine, portée sur l'utilisation et l'exploitation de leurs corps face à la pluralité. Le plus excitant dans le plaisir d'une femme, est de se représenter comme la catin que personne n'effleure du doigt (ou du poing :b), et de se sentir capable de l'avouer et de le dévoiler à son prétendant.. Tandis que pour l'homme, c'est dans sa puissance de mâle à prendre ouvertement le corps de la femme. Un plaisir venant simplement de sa propre valeur ajoutée, et de par toute son énergie innée primitive, à vouloir porter la femme vers la jouissance. En somme, une attirance, une excitation et un plaisir venant des projections sur que l'on peut faire de l'autre, ou ce que l'on peut faire de soi. L'accumulation du désir sexuel de la femme vient dans sa frustration et de son manque à dévoiler qui elle est véritablement, voulant faire fi de sa notion de sociabilité et de jugement en rapport aux autres. De plus, elles sont accompagnés dans toutes les étapes de leurs vies, par des hommes enfants et des chevaliers servants, bercés par leurs ignorances et leurs désirs utopique, que les femmes ont comme centres d'intérêt des êtres profondément protecteurs et rassurants à leurs yeux. Mais aussi, par des hommes entreprenants contant leurs récits épiques et héroïques, ayant pour vocation unique de les éblouir d'une fugace convoitise. Entre Coqs et Chapons, la femme n'a d'inspiration que dans le pouvoir de l'homme à s'exprimer librement et sans complexe, Ce que bien entendu la femme n'est pas par nature ! :b La femme n'aura de cesse de se torturer à ce qu'y est, ou aurait pu être la passion primitive de celle ou celui qui l'aura provoquée, rejetée, ignorée ou possédée ardemment. Remettant en cause sa "normalité", son expérience, son physique...dans une danse endiablée de l'esprit, et finir par se branler copieusement de sa fébrilité à vouloir succomber, s'abandonner ou se donner, par unique rédemption de ne pas savoir ce qu'elle veut ! Pour faire court, et si vous deviez vous arrêter qu'à une seule vérité ; La femme est une boisson gazeuse qui s'ignore. Jusqu'à tant qu'un mâle l'a secoue. Je ne peux que recommander le film "6 jours, 7 nuits" ( https://www.youtube.com/watch?v=uvBETmcVhjs ) représentant bien l'aspect routinier, tribal et fusionnel des relations hommes / femmes dans leurs approches respectives l'un envers l'autre. La complaisance des "touristes" qui se pignolent dans leurs feeling et leurs éloquences, et qui repartent littéralement la queue entre les jambes :b Dans la vie comme sur ce site, il y aura toujours un ratio de "pilotes" et de "touristes", ne vivant qu'à s'envoyer en l'air. Et quand certains y voient du haut de leurs "coucous", des opportunités d'acrobaties pour le plaisir, d'autres y voient un simple "charter" à se rediriger vers leurs désirs et espérances perdues. Pour le reste, c'est autre chose.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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Par : le 20/04/23
Vacances épuisantes en gîte fétichiste Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps. Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?  Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon.... Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».  Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité. Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple ! - Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire. Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.    Trois moins plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses. Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! ! - Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM. Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir. - Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ? - Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ? - Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libèrera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça. - Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte. A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant... Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie. Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir. En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit.. « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions. Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle. Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia. - Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia. - Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental ! - Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !         - Il vous l’a fait aussi ? - Oh, il m’a fait bien pire ! La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes... N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer. TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !  - Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée. - Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.  Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme. - Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit. - Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL. - J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia. - Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie. - Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM. - Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée. - Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.   - Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ? Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique. - Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ? Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure. - Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ? - J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ? TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé. - Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ? - Comment ça me libérer ? - Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher ! - Est-ce obligé ? - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement ! Prise dans la tourmente des évènements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir. Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges. Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les première parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret. C’est ce pipi couche qui déclancha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce. - Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé ! - Je ne suis pas un bébé !  Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM. Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat vint lui faire un câlin. Il y en a quatre, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie. Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia. Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses. - Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine. Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher. - Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé. - Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice. - Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager. - Dans cette tenue ? - Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez ! A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol. - C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?      - Heu.... - Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations. Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus. «  Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi. Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon ! Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou cadenas des chaînes. - J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous ! - Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie. La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi. - J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver. - Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie. - J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes. - Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ? - Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ? - Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois. - OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider. - Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir ! Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug. Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon. Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas. Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.   - Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ». - Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie. - Et, ça va pas la tête ! - Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir ! - Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne ! - Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez ! - Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !     Cinquante mètre plus loin, Très Sympathique Mec lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue. - La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ? - Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir. - Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée ! - Heu.... je n’ai pas dit oui ! ....................... Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.   - Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia. - Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie. - Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ? - Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée. - Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise. Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard. - Aie, qu’est-ce que vous faites ? - Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ? - Absolument ! Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car sa seule expérience de spanking avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise. Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité. - Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie. - La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ? - J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ? - Avec une couche ? - Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur. - Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers. - Ouiii ! Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.  Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.   Le Très Sadique Mec abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne. Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet. « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ». Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport. - Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ? - Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante ! - Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit. Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres. - Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison ! EPILOGUE Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?   FIN Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes Espagne en juin 2023.      
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Par : le 08/08/22
Valeri a toujours aimé l'armée et la guerre. Depuis tout petit il ne rêve que d'aller se battre sur tous les fronts, entendre les obus éclater, les chars rugir comme des fauves d'acier. La chute de l'Union Soviétique a été un traumatisme pour lui. Quel con ce Gorbatchev a croire les balivernes de l'occident. Quel ivrogne cet Eltsine à laisser dépecer l'héritage de Staline. Il s'est engagé tôt et a demandé à rejoindre les forces spéciales, les redoutables spetnaz. Il a combattu partout, Tchétchénie, Ossétie, Syrie. A présent il est toujours en première ligne en Ukraine. Il est bardé de décorations et ses hommes l'appellent le loup de l'Oural. Il adore se glisser seul et de nuit dans les lignes ennemies, repérer les positions adverses et les signaler à l'artillerie qui écrase tout ensuite dans un déluge d'obus. Il aime joindre l'utile à sa passion pour la guerre. Il drague les ukrainiennes pro russes de l'autre coté de la ligne de front et part les retrouver de nuit. Il apporte toujours du caviar et de la bonne vodka. Le danger lui donne toujours envie de baiser. Il fait nuit noire. il se glisse entre les arbres tel une ombre. c'est un as du camouflage. Il adore le no man land, cette zone étrange et si paisible parfois. Il est déjà sur la ligne des ukrainiens. il repère les sentinelles, observe et se glisse. il est bien le loup de l'Oural, il voit mais lui reste invisible. Il signale les coordonnées précises de toutes les positions qu'il observe, là un nid de mitrailleuses, là un obusier, là une batterie anti char. Dans quelques heures, ses potes de l'artillerie feront le travail de nettoyage à l'obus de 122 mm. Il est temps pour lui de rejoindre la belle Elena. Ce doit être là, dans cette maison. Il se méfie. Une fois les commandos adverses lui ont tendu un piège avec une fausse annonce sur Tinder. Visiblement ils voulaient le choper et lui couper les couilles. Mais bon, on ne coince pas comme cela le loup de l'Oural. Il les a tous envoyé dans l'Hadès avec son noir couteau plus coupant qu'un rasoir. Personne, il se glisse dans la maison, Elena est là, nue sur son lit. Il pose sa main sur sa bouche. Elle ne se débat pas. Elle offre sa croupe généreuse. Valéri deteste les péliminaires. Il ouvre son pantalon, sort son gros sexe tendu et il la sodomise d'un coup. Elena voudrait hurler tant la douleur est forte mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle sent ...et c'est chose étrange, comme une ombre de mort sur elle et au plus profond d'elle. La douleur se dissipe. Elle s'offre et s'ouvre. Les coups de pilon lui arrachent des ondes de plaisir. elle se pisse dessus. Cde n'est pas une femme fontaine, c'est une femme piscine. Valéri explose de plaisir dans ses reins. Pas un mot. ils boivent la vodka et dégustent l'excellent caviar. Puis Valéri la prend debout, toujours par derrière. Il adore sodomiser une nana au joli cul bien bombé. Il explose encore. Il l'a reprend a quatre patte sur le parquet, toujours dans les fesses. un vrai marteau piqueur. Il jouit encore lorsque les premiers obus russes tombent sur les positions qu'il a signalées. Une douce musique pour lui. - tu peux brailler maintenant. Elena ne se prive pas et hurle ses orgasmes. Les bombes qui pleuvent, la mort qui rode, cela l'excite beaucoup. Valéri a prévu de rester toute la journée avec elle. A présent il fait jour. l'artillerie s'est tue. On entend les cris et les ambulances. Elena se love contre son amant. -fouette moi fort, j'aime cela. Valeri ne s'est pas fait prier. Il attache Elena avec des câbles électriques et prend le temps de bien la rougir. C'est vraiment une jeune femme superbe. Le danger omniprésent les excitent au plus au point. Là nuit est de nouveau là. Il est temps pour le loup invisible de l'Oural de repartir. Il laisse un paquet de roubles sur la table de nuit d'Elena. Ce n'est pas une prostituée, mais Valeri est généreux, surtout avec les fonds spéciaux. -A bientôt Elena, et reste prudente. Dans quelques jours nous viendrons te libérer de ces $£"# urkrainiens shootés à la propagande occidentale. Patience, nous sommes en train de réparer les conneries de Gorbatchev et de l'ivrogne. La morale de cette histoire c'est qu'un ivrogne sur le dos d'un faible, c'est pleurs, larmes amères et pluie de 122mm.
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Par : le 25/08/23
 J'adore la lutte. D'accord,  je suis une nana piégée dans un corps de mec. Depuis toute petite j'ai du essayer de le féminiser. Je pense que les mecs piéges dans des corps de filles font l'inverse.  Et ce combat pour l'identité, c'est des le début, bien avant les jupes ou les hormones. Un refus de genre qu'ils disent. Bref un truc chiant à vivre. Alors j'aime la lutte au sol avec les femmes. Je ne sais pas d'où me vient cela? Mais avec mes 65 kg toute mouillée il me faut trouver des filles de poids supérieur et bien musclées, sinon c'est pas du jeu. La testostérone naturelle m'a donné du muscle. J'ai un avantage. A force, j'ai trouvé une vraie copine, même passion. Une superbe africaine. Dans son peuple, la lutte est un rite obligatoire pour les garçons. C'est une ftm exactement à l'inverse de moi. Et question combat, c'est kif kif.  Alors pour mettre du piment, celle qui gagne bouffe le clito de l'autre à la fin. Et comme nous adorons faire cela, les luttes au sol sont vraiment sans cadeaux aucun.  Ma copine noire a les cheveux courts, porte toujours des pantalons et se comporte en vrai mec. On en dirait vraiment un d'ailleurs dans la rue avec ses épaules larges. Je suis la seule à savoir qu'elle a une chatte et un superbe clito, à cause des hormones mâles qu'elle prend.  Alors on se bagarre bien à fond chez elle. Pas de pitié.  C'est à celle qui obligera l'autre à abandonner. Après on prend la douche et il ya une gagnante et une perdante. Celle qui suce et celle qui se fait sucer. On inverse après.  Au final, c'est bière pour mon ami. J'enlève le e du féminin. Cela va lui faire plaisir. Et un thé pour moi, minceur oblige.  Cette fois, j'ai gagné.  J'ai dévore le beau clito de mon ami et je l'ai faite jouir comme une nana. Après, elle a du faire pareil avec moi. Que du sport, du plaisir, du lâcher prise. J'adore.  
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Par : le 18/11/16
Tournée générale! Les Françaises savent qu'elles n'ont pas le choix : il faut obéir. Elles se mettent toutes les trois dans la même position, mains sur la nuque et cambrées... "Tournez", dit Souad. On voit trois fois la lune : une pleine lune et deux lunes... minces, aux hanches étroites... "À genoux!" Elles obéissent immédiatement... Souad appelle le Noir costaud — son nom est Thioro — pour lui annoncer : "Tu vas t'occuper d'elles. S’il faut les punir, que ça ne laisse pas de marques sur le corps." Elle réfléchit... "Frappe sur la plante des pieds... ou utilise des piments de Cayenne!" Grand sourire du Noir. Elle s'adresse aux trois Françaises, "Ce nègre est à présent votre maître. C'est comme aux Antilles, sauf que c'est exactement l'inverse. Vous avez compris?" Elles répondent un petit "Oui." On dit "Oui, Maîtresse, "Oui, Maîtresse." Les servantes et Thioro, le nouveau seigneur et maître des Françaises, nous préparent en fin d'après-midi. D'abord, on se lave soigneusement avec de l'eau du puit. Les servantes prennent un air dégoûté devant notre pilosité. "On dirait des chèvres" dit l'une d'elles. Il faut reconnaître que la mère et même les deux jumelles ont des toisons abondantes! Le pubis de la mère est couvert de poils qui débordent sur les cuisses et même vers le nombril. Bon, ce sont des aristocrates, pas des catins! Une des servantes fait chauffer de la cire. Quand c'est prêt, elles commencent par moi. Je dois me coucher sur le dos, les jambes écartées, et elles versent la cire chaude sur mon sexe. Je pousse un petit cri et puis un cri strident quand la cire a refroidi et qu'elles l'arrachent d'un coup sec! Ensuite, elle verse un peu de cire entre mes fesses, là ça fait moins mal. Elles terminent avec une sorte de mousse et un rasoir. Ce n'est pas le fouet, bien sûr, mais ça fait mal... et en même temps, me faire tripoter de cette façon, ça m'excite involontairement. Elles s'en aperçoivent, bien sûr, et s'amusent de me voir aussi émue. Une des filles me pince le clitoris. Ouch! Je me tortille en gémissant... Thioro dit "Elle a le feu au cul, la Princesse!!" Ensuite on passe aux aisselles, heureusement! Je veux dire, c'est gênant d'être aussi excitée! Elles m'épilent les jambes et les bras. Deux fins poils blonds sur l'aréole du sein gauche ne leur échappent pas! Elles les enlèvent avec une pince à épiler. On passe à la mère. Elle a une chatte vraiment touffue!! Les filles lui mettent beaucoup de cire et quand elle est refroidie, elles tirent à deux d'un coup sec!! La "patiente" pousse un tel cri qu'une de ses filles s'enfuit! C'est vraiment stupide de faire ça. Sans se presser, Thioro va chercher un chien dans un grand enclos. Il lui dit "Attrape, Perro!" Je connais cette race. C'est un lévrier irlandais, comme moi. Je veux dire, Irlandais comme moi. On en avait au château. Ce sont des grands animaux très costauds. La fille a eu une crise de panique. Elle ne pouvait espérer s'enfuir. Pour aller où d'ailleurs? En quelques bonds, le chien l'a rejointe. Il se met devant ses jambes, elle trébuche et tombe sur un genou. Le chien aboie juste une fois, ça suffit. Elle revient, le chien derrière elle. Je fais bêtement remarquer: "Elle a paniqué." Une des servantes me répond "De quoi tu te mêles?" "Pardon, Maîtresse." C'est vrai de quoi je me mêle??? La fille revient terrorisée. Elle se trouve entre un chien de 50 kg et des filles qui arrachent les toisons. "On enlève ses poils et puis on lui fait goûter au piment !" dit Thioro à une des filles. "Bien, Maître." Elle verse de la cire et arrache les poils. Elle crie, mais bon, ça n’a rien d’insupportable. C'est maintenant qu'elle va regretter sa fuite! La fille va chercher une sauce épaisse et rouge à base de piment. Sa mère et sa sœur regardent la scène, impuissantes. Thioro prend la fille et la couche sur le dos, sur la table. Elle pousse des cris, supplie... Il lui relève les jambes, exposant complètement son sexe nu. La servante met de la sauce rouge sur son doigt, puis l'enfonce complètement dans l'anus de la fille. Ensuite, elle enfonce son doigt dans son vagin, puis le fait aller et venir en tournant. Un peu comme ferait le sexe d'un homme, sauf que ça ne va pas être les mêmes sensations! D'abord, il ne se passe rien, à part que la fille gémit... Et puis ça commence à chauffer et à brûler, de plus en plus fort! La fille crie "Oh mon Dieu, ça brûle!!" On la remet sur ses pieds, Thioro lui annonce: "La prochaine fois, c'est le fouet!!" La fille se tortille en criant de plus en plus fort! Thioro lui montre le plat de sauce en la menaçant: "Tu te tais ou je te fais manger ce qui reste." Ça marche! Elle se contente de tortiller son cul en silence! Quelle idée de s'enfuir... et quelle idée de m'en mêler! Une des servantes dit à Thioro: "La Princesse a fait une réflexion qui ne m'a pas plu, tout à l'heure." "C'est vrai?" me demande-t-il. "Pardon Maître, j'ai parlé sans réfléchir." Après m’être mise à genoux devant lui, j’enlace ses jambes, la joue sur la bosse que fait son sexe dans ses chausses. Mais soumission ne suffit même pas! Il enfonce son doigt dans la sauce rouge et me le tend. Je le suce. Bien fais Mina, t'as qu'à pas être si conne!! Il n'a heureusement trempé que le bout de son index dans la sauce, je n'ai qu'un petit brasier dans la bouche. Je souffre en silence, essayant de saliver le plus possible et d'avaler cette horrible mixture. Mes grimaces les font rire. "Tu as compris la leçon?" me demande Thioro. "Oh Oui, Maître!" Maintenant, on ressemble à des gamines prépubères. Enfin, à cet endroit-là. Le piment, le fouet, le chien... tout cela est suffisamment dissuasif pour qu’il n'y ait plus d'incidents! Ensuite on est lavées, coiffées... On a même droit à un peu de parfum. On s'habille, enfin, on ne met pas de vêtements, mais des sous-vêtements, des chemises toutes fines et transparentes... C'est joli mais très indécent. Les filles qui s'occupent de nous se préparent aussi. Elles portent des tenues plus longues, quoique tout aussi transparentes. En début de soirée, on va allumer les torches pour éclairer l'extérieur de la taverne. Les clients arrivent. Ils sont accueillis par Souad. Un groupe d'hommes arrive. Elle leur fait presque une révérence et les installe à la meilleure table. Ils sont le centre d'attention... Il y a homme grand et barbu. Il a le teint mat, mais des yeux bleu clair. Il a aussi une large cicatrice, qui part de la tempe et se termine sur le cou. Malgré ça, il a l'air charmant... Non, je plaisante, il fait peur!! J'entends qu'on l'appelle capitaine Espada, sans doute à cause de sa cicatrice (un coup d'épée?). Il est avec des membres de son équipage, presque aussi impressionnants que lui. Ils ont une dizaine de captives avec eux. Ça ne passe pas inaperçu! Manifestement dans ses petits souliers, Souad s'adresse au Capitaine: "Puis-je vous présenter les nouvelles filles?" "D'abord, il faut du vin... du bon... et pour tout le monde. J'offre une tournée générale." Son équipage et les autres clients font "Hourra! Pour le capitaine..." Souad fait signe aux servantes. Elles vont chercher de grands pichets de vin et des gobelets. Le capitaine se lève et désigne les captives tremblantes: "Ces filles font aussi partie de la tournée générale." Les clients remettent ça: "Merci! Hourra! Vive le Capitaine!" Il sait se rendre populaire, le capitaine: du vin, des filles, tout cela gratuit!! "Panem et circenses", du pain et des jeux, comme disaient les Romains. Sauf qu'ici, c'est "vino et puellae", du vin et des filles, ce qui est encore mieux. Il se tourne vers Souad: "Alors, tu as de nouvelles putains intéressantes? Il paraît que tu ne te sens plus pisser!" Pas plus à l'aise qu’avant, elle vante sa marchandise "Une authentique Princesse Irlandaise..." Le capitaine la coupe "Il n'y a pas de Princes en Irlande." Tête de Souad!! Elle se tourne vers moi avec l'air gentil de la mangouste qui s'apprête à sauter sur un cobra replet, son menu préféré... Elle me jette "Explique." Je vais me mettre à genoux (ils tremblent) devant lui pour raconter mon histoire: "Mon père est le seigneur de T, Maître. Les pirates ont attaqué le château et..." Il me coupe: "J'ai entendu parler de ça. Avaient-ils une complice dans le château?" "Oui, Maître." Il se tourne vers Souad "Quoi d'autre?" Elle fait signe aux trois Françaises qui viennent vite se mettre à genoux. Elle comence son baratin: "La mère et ses deux filles, sœurs jumelles, sont des aristocrates Françaises, qui revenaient des Antilles où leur famille a..." Il s'adresse à la mère "Ton nom?" "Comtesse de Y, Maître." Ça a l'air de lui convenir. Comme si on allait essayer de le truander!! Ensuite il s'adresse à une des filles, celle qui a eu du piment dans le cul. Elle a les yeux rouges d'avoir pleuré et le... trou du cul sûrement tout aussi rougeoyant. "C'est toi qui as essayé de t'enfuir?" demande-t-il. "Oui, Maître." Ah putain! Il est au courant de tout!! Il interroge Souad "Combien pour tes filles?" "Les filles de la maison sont à cinq sols, les aristocrates françaises à 10 sols. La princesse est encore pucelle, mais on peut disposer de sa bouche pour 15 sols." Il lui répond "Je veux le lot complet, toi y compris." Là, elle a l'air... mal prise en répondant: "C'est un très grand honneur... mais je... je ne fais plus ça. Je suis presque associée et..." "Ta taverne, c'est pas un bordel?" "Si, mais...." "T'es pas une esclave qui a été vendue et qui est devenue putain?" "Si, mais..." "Et tu vas me dire que tu n'es pas à vendre?" Silence dans l'établissement, alors qu'il y a une trentaine de pirates, des filles, du vin, du tabac et des filles pour les pipes!!! Le capitaine reprend: "Je pourrais t'acheter à ton maître... mais je pense que ce serait inutile, car tu es restée une putain. On va voir ça tout de suite! Alors, je veux toutes les filles, y compris le pucelage de la Princesse et ça pour trois jours." Il sort une bourse et l'ouvre. À l'intérieur, on voit briller des doublons d'or. Là, les yeux de Souad se mettent à briller autant que ces pièces! Ah là, là! La cupidité mène le monde! Surtout dans mon nouvel univers de pirates et de putains. Souad ne vaut pas mieux que nous... "Alors?" redemande le Capitaine, "Tu es toujours une putain?" Elle lui fait un grand sourire "Oui, Maître." Sur ce, elle fait disparaître la bourse avec la rapidité d'un caméléon gobant un gros coléoptère qui fait la sieste! Le capitaine lui dit: "Je veux d'abord voir les Françaises se faire des câlins." Les hommes approuvent! À suivre. Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres, qui ne coûtent que 3,50 e. Envoyez un mail mia.michael@hotmail.fr et je vous enverrai les adresses et une photo habillée... non, je rigole, pas habillée !
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Par : le 14/10/20
Se donner à l'autel des perversions. Nourrir l'espoir; cette bête difforme, tentaculaire, arrangeante... Apte à se faufiler dans les moindres recoins de notre être. Sortir de cette obscurité qu'est la perdition, et aspirer à se livrer à un dessein plus grand. Etre happé(e), forcé(e), vidé(e) de sa conscience, sous totale emprise de l'inconnu. A la fois effrayant et fascinant... Se livrer à cette entité, ne sachant où son regard et ses membres vont se porter. Implorer sa clémence de se repaître de ce qui nous rend abject(e), névrosé(e), frustré(e), incapable de reprendre le contrôle de nos vies. Se réapproprier ce corps translucide, et se donner matière dans un enchevêtrement de chairs et de sensations extrêmes. Emprunt de souillure, de volupté, faire partie d'un tout, et se définir en rien. Prier à que cela soit au bon endroit, assez profond et suffisamment fort, à se reconnecter dans des spasmes grotesques. Pour se redonner naissance et respirer pour la première fois.
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Par : le 16/12/23
-Sergent No, j'ai une mission pour toi. Deux chasseuses de primes yankees, sont arrivées à Odessa, dans le but de me couper les couilles. Elles ont prévu de débarquer ici près de Sotchi après un périple discret en Mer Noire. Je te charge de les accueillir comme il se doit. Ne les massacre pas. Conduit les sans les amocher à  la base. On va s'occuper d'elles comme il se doit. Fais gaffe, elles manient très bien les fusils à longue distance.  -à vos ordres Général Valeri ! Et le colosse de zemble s'est mis en chasse.  Il étudie soigneusement la côte. Cherche tous les coins ou un accostage discret peut avoir lieu de nuit. No a un instinct redoutable. Il a l'habitude de chasser les ours polaires sur les banquises glacées de Zemble. Ce n'est pas ces deux tueuses pros qui vont l'intimiter.  Le sergent No se leche les babines.  Traquer et capturer des femelles. Comme d'habitude le général Valeri laisse toute latitude pour mener à bien une mission. Ne pas les tuer ou les tabasser, ce sont les seuls ordres. Ne pas les amocher non plus. De penser à ces femelles....lui donne l'intuition exacte du lieu où elles vont débarquer. Comment il sait cela? Il n'en sait rien sauf qu'il est certain de cela. C'est comme s'il voyait presque le futur proche. C'est un chasseur.  Il met donc en place ses pieges. Des seringues hypodermiques feront le reste.  Il fait le guet dans un abri invisible végétal. Pas besoin de lunettes à vision nocturne. L'ours de zemble est comme un prédateur, il sait, il sent, il devine. Et les deux tueuses se sont fait prendre à  peine débarquées.  Elles n'ont rien vu venir. C'est pas dans les manuels d'instructions militaires que l'on apprend à se battre contre le monstre de zemble.  Il décide de les amener dans sa cabane dans les bois pour s'amuser un peu avant de les livrer à Valeri. Pour l'instant elles roupillent dur à causes des piqûres dues aux seringues tirées au fusil. Des doses légères mais suffisantes pour endormir un ours.  Il les fout à poil toutes les deux et les attache par les mains à une poutre de sa cabane. Leurs pieds ne touchent pas le sol. On dirait deux belles dindes. Il les réveille à coup de baffes.   -Alors mes cocottes. Il paraît que vous voulez toucher la cagnotte pour les couilles de notre général ?  Les deux chasseuses de primes ne répondent pas.  Elles sont juste impressionnees par la taille du colosse de zemble. C'est peut etre pas un humain ce géant fruste et très poilu. Elles devinent vite qu'il est monté comme aucun homme ne peut l'être. Peut être les conséquences des essais nucléaires à zemble à l'époque de L'URSS ? Et ce monstre qui leur doigte la chatte et respire leurs odeurs intimes. -Mais vous êtes deux lesbiennes, je vois, dit le sergent No. C'est pour cela que vous êtes au courant pour la cagnotte. Combien déjà? 20 millions de $. Cela fait cher pour des burnes.  -Nous voulons être livrées à  la police. Pouvoir contacter notre ambassadeur ! -Vous allez pas bien les filles. Vous n'existez plus. Je peux vous découper en rondelles et vous manger crues si je veux. Alors fermez la et arrêtez de dire des conneries.  No passe par derrière et commence par leur donner une bonne fessée.  Il commence doucement. Il caresse ces deux très jolis culs bien bombes de sportives. Il tapotte au début. Pour faire peur. Puis il claque et les deux filles hurlent. Des frappes pareilles,  c'est inconcevable. Leurs culs deviennent rouge vif. Elles hurlent encore. Le sergent No s'amuse.  Il caresse  doigte les culs et les chattes, masse les seins et frappe. Un coup suffit pour déclencher une douleur insoutenable.  -arrete ! T'es trop con. Tu fais trop mal.  Baises nous si tu veux mais arrête de nous tabasser le cul. C'est intenable.   - Ben je peux pas mes mignones. Regardez. Mon sexe est trop gros. J'ai jamais pu pénétrer une femme. C'est impossible à rentrer. Les deux chasseuses de primes regardent avec horreur le tronc d'arbre qui lui tient de sexe avec pour gland comme un champignon atomique difforme et monstrueux. -mais tu te laves jamais? Tu pue le macaque et encore c'est une insulte pour les macaques. Allez libére nous on pourra te sucer.  -écoutez les femelles. Il faut arrêter votre cinéma d'allumeuses, sans quoi je vais frapper vos chattes de gouines.   No prend sa hache et part dans la forêt couper de bonnes branches. Il les taille et en fait des carcans pour la tête et les mains, pour les chevilles aussi. Satisfait de son travail il rentre avec le sourire. -Écoutez bien les filles. J'ai dressé des ours et des loups sur mon île du grand Nord, c'est pas vous qui allez me les briser longtemps.  Il les place toutes les deux  sous carcans, solidement liés et un nœud fait par No, seul No peut le défaire.  -Voilà vous êtes mes esclaves et vous devez obéir pour tout. Allez ouste,  à la niche. Et il les mène nues dehors, dans le froid, et les attache devant sa porte comme deux chiennes de garde. Il les laisse ainsi toutes la nuit. Lorsqu'elles gémissement trop fort, il sort et leur tire des baffes bien sonores. Le matin les deux tueuses sont brisées, elles ont peur des que No approche et tremblent. Une semaine passe sans jamais ôter les carcans. C'est ainsi que les mongols dressaient les esclaves. Les filles gardent désormais et les yeux baisses et ne disent plus rien.  No les nourrit bien  les lave à l'eau glacée, les frotte rudement avec de la paille et des orties.  Elles sont magnifiques même si elles ont en permanence un cul bien rouge sous les claques. Elles obéissent en tout avec diligence. Elles ont peur en permanence de No. Il est imprévisible et il a la baffe facile. Encore une semaine et il les détache des chevilles. Le carcan du haut leur fait horriblement mal.   La troisième semaine il peut commencer à les détacher, une à la fois seulement, toujours nues et elles doivent faire les corvées.  Puis de nouveau carcan et garde dehors devant la porte. Il ne les considère plus comme des femmes mais à peine comme des chiennes.   Au bout d'un mois, ce sont devenues de vraies esclaves, bien dressées et obeissantes en tout. Il est temps de les présenter à Valeri.  Ce dernier leur jette à peine un regard.  -Tu as fait du bon travail sergent No. A présent on va les rendre contre paiement. Mais je doute fort que cela puisse se faire. En attendant, mets les à dispositions de tous ceux qui dans la base voudront les utiliser sexuellement.  Effectivement, les américaines furent abandonnées. Personne ne voulu payer pour des chasseuses de primes en free lance.  Chose étrange, ces deux filles commencèrent à accepter leur sort et même à prendre du plaisir. De temps en temps, No passait les recycler. Gardes nues dehors, carcans, fessées, baffes, humiliations. Cela commençait à les faire jouir. Deux chiennes devenues fidèles à leur maître dans une obéissance totale.  Elles prenaient aussi plaisir à se faire prendre, à être sodomisees sans le moindre préliminaire, à devoir sucer des bites ou des chattes. cela devenait jouissif d'être traitées de la sorte.   Les chasseuses de prime ne furent plus que deux très jolies chiennes.  Elles furent marquées au fer rouge et déclarées comme appartenant totalement au sergent No. Elles trouvèrent la paix et le bonheur à être ses deux femelles. 
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Par : le 31/01/24
Attention, ceci n'est pas pour les personnes qui sont émotionnellement fragiles, ceci parle d'une relation que j'ai eu avec un dominant en fin 2022, avec des choses pouvant parler de suicide ou meme des descriptions de crises d'angoisse. A vos risques et périls. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 30/10/22 Je ne sais pas trop ce que se passe, enfin si mais peut être que je ne veux pas me l'avouer, je me lance sur la fin de ma relation avec Maître K. Beaucoup trop de choses ne vont pas, le manque de communication est très présent, j'ai vraiment l'impression d'avoir créé plus de liens avec L qu'avec Maître, et du coup la voir dans cet état a cause de lui me fait beaucoup de mal... Le manque de soumission est assez présent, il n'y a pas vraiment de contraintes, il n'en donne que quand il est triste ou en colère. A vrai dire j'ai pas spécialement l'impression de compter pour lui, et pourtant j'ai fait ma demande, peut être ai-je trop écouté mes manques ? J'ai été bien quand même parfois, mais finallement ces moments sont très rares et ils sont tout de suite mangé par une sorte de remords. On est 4 soumises, L et A sont là depuis longtemps et avec F nous on est arrivées il y a pas longtemps, et j'ai l'impression que c'est un peu du remplacement, mettre les anciennes de côté pour laisser la place aux nouvelles, j'ai pas l'impression d'être mise au même niveau que L, loin de la même et cela me dérange beaucoup. Les soumises appartenant au même Maître, peu importe le nombre, doivent avoir le même temps qui leur est offert par leur Maître, le même taux affectif ect... Enfin bref, elles doivent être au même niveau. C'est sur que nous avons des pensées, des corps, des pratiques, des manieres de faire différentes mais cela ne justifie en rien ces différences dans notre soumission, même si nous avons toutes les quatres le même problème, la communication avec Maître.  Peut être lui faudra-t-il un déclic, car a ce qui parrait, il n'était pas comme cela avant, je ne le connais que depuis un mois a vrai dire. C'est peut être court pour se faire une idée de la relation mais je me sent mal, très mal. Peut être suis-je trop empathique, mais avoir vu L fondre en larme car elle ne se sent plus considérée par Maître ma choquée et ma attristée énormément. Elle a vécu beaucoup de choses, beaucoup de choses très lourde, elle est restée pendant tout ce temps et c'est ainsi que ça finirai ?... Elle s'est retrouvée a boire pour essayer de faire passer la pilule, j'ai préféré prendre ma progestérone plus tôt et me shooter plutôt que de rester ainsi... Ça m'a rendue assez shootée pour me mettre à rire de n'importe quoi au bout d'une heure, j'étais a moitié la, je me sentais vaciller quand j'étais debout, j'arrivais à peine a penser. Mais ça a fait passer un certain type de soirée, avec L bourrée, A éméchée et moi shootée. On est restés à discuter dans la chambre avec F pendant que Maître était concentré sur la télé comme a son habitude, L riais pour rien, a peine elle lit un prout qu'elle est morte de rire pendant bien dix minutes, et je ris avec elle. La soirée se termine autour de minuit, lorsque Maître fini sa série, tout le monde part se coucher mais on oublie de se faire le bisou, on était trop a l'ouest sur le moment, je le dit a Maître et il me réponds :"On ne réclame pas". Du coup pas de bisou pour moi... C'est un coup de poignard en plein cœur, avec tout ce qu'il s'est passé, je n'ai même pas eu le droit au bisou... Tout autour de moi s'effondre, ma sécurité, ma carapace d'émotions que j'avais mise en place et que j'avais retiré grâce à la progestérone, n'a pas pu me protéger de cela. Tout ce que j'encaisse depuis des semaines, tout les doutes, les questions que je me posais sur ce que je fais la remontent, me rongent, mais je ne peux pas encore me permettre de craquer, je suis juste à côté de lui dans le lit. Les pensées fusent dans ma tête et le temps passe lentement, j'attends une dizaine de minutes sans trop bouger puis je me lève, je prends le plaid, puis je pars dans le salon. Je m'asseois j'essaie de me calmer de remettre ma carapace en place mais je craque, encore plus que d'habitude. Quelqu'un part dans les toilettes donc je reste silencieuse et j'attends qu'elle ai terminé pour fermer la porte. C'est a ce moment là où je m'effondre par terre, je me retrouve comme paralysées sur le sol du salon, a pleurer silencieusement pour ne réveiller personne. Mais il y en a deux qui viennent, elles ont entendu quelqu'un aller dans le salon et sont venus voir, L et A me voient dans cette position, cette position que je n'ai pas eu depuis mes 18 ans. J'essaie de leur faire croire que tout vas bien, qu'elles peuvent aller se coucher mais ça ne marche pas, elles se mettent au deux extrémités puis je fonds a nouveau en larmes d'une manière plus puissante qu'habituellement. On discute, de ce qu'il s'est passé, de ce qui passera. Cela dure une bonne vingtaine de minutes plus ou moins car je ne voulais pas retourner dans le lit, mais elles voulaient que j'y aille, je ne sais pourquoi... J'y ai passé une très mauvaise nuit, a m'endormir entre deux larmes qui coulent. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 08/11/2022 Le BDSM a toujours été tout pour moi, je n'ai d'yeux que pour mon Maître ou ma Maîtresse, tout ce que je fais tourne autour de lui ou elle, c'est pour lui faire plaisir, le/la rendre heureuse ou fière. Avec cela, mon côté hypersensible et hyperempathique qui ressort, ce n'est pas top, car je passe d'un extrême à l'autre, d'un côté des chocs forts de dopamine des le moindre geste ou le moindre mots, de l'autre des états dépressifs forts et des questions sur le fait de rester en vie, les larmes montent facilement autant dans la joie que dans la tristesse... Pendant un long, long moment j'ai caché cela, mais depuis que j'appartiens a Maître K, tout est différent. Je n'arrive plus à me cacher,  a me renfermer sur moi même, ou lorsque j'y arrive ne serais-ce qu'un peu, c'est déjà trop tard. J'avais réussi à contrôler mes émotions depuis quatre ans maintenant mais du coup tout ressurgit... Quelque part, je sais que je ne serais jamais heureuse, c'est ainsi, c'est comme ça, je suis née ainsi. Je suis trop dans les extrêmes, je suis trop fragile, trop dépendante pour. Mais du coup je fais tout pour rendre les personnes que j'aime heureuses mais ça ne fonctionne pas non plus, donc parfois je me demande a quoi bon. Je sais que je ne ferais rien d'important dans ma vie, et si en plus je n'arrive pas a remplir mon objectif de vie, a quoi bon vivre finalement ? Mais si je ne me suis jamais suicidé, depuis que j'ai commencé à avoir ce genre de pensées il y a quatre ans, c'est car j'ai peur, j'ai peur que ça me fasse mal, et j'ai peur que ca fasse aussi mal aux autres. Donc je ne le fais pas... Je suis restée une enfant au fond de moi, voire même un bébé... Cela m'a choquée moi même mes comportement avec Maître, L et A, je m'attendais pas du tout a cela. C'est un peu instinctif a vrai dire, et je m'y sent bien, même si j'ai énormément peur de demander certaines choses telles que des câlins ou des bisous... J'ai toujours peur de les déranger, peur de toujours demander trop, peur de trop vouloir, peur de moi même également, je ne veux pas devenir celle qui veux tout, tout le temps. Je suis une soumise, je souhaite, je laisse Maître vouloir et décider. Je n'aurais jamais pensé en arriver là finallement, j'appartiens a quelqu'un qui fume, et j'ai deux soeurs de soumission, deux choses que je considérais comme rédhibitoires chez la personne que je convoitait, mais finalement avoir des soeurs de soumission, enfin celles que j'ai, c'est vraiment génial, elles sont extrêmement bienveillantes, toujours là quand il faut, et même la quand il faut pas... Mais grâce à elle, je peux me libérer de certaines choses, des choses que j'aurais énormément de mal a dire a Maître, comme mes envies suicidaires... Mais il faut que je les laisses elles aussi gérer leurs soucis a présent, et que j'aille voir Maître, car c'est a lui que je suis soumise, et c'est a lui que je dois dire ce genre de choses. Finallement, je ne sais pas vraiment si j'ai plus peur de moi même, car je ne sais pas jusque ou je peux aller dans ma soumission, dans l'abnegation, ou si j'ai peur que la personne a qui j'offre tout cela, l'utilise pour me détruire encore plus que maintenant. Je ne sais pas...  --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 12/11/22 Finallement, les choses ne se passent toujours pas bien, je me suis remise à pleurer cette nuit car en quelque sorte, je détruit la relation entre L et Maître et A et Maître. Ce n'est pas ce que je voulais, je pensais que ça se passait bien que la relation était a quatre, mais Maître n'arrive a s'occuper que d'une soumise a la fois et a chaque fois, c'est la nouvelle. Pour le moment c'est moi car c'est moi la dernière arrivée, mais je sais que dans quelque mois cela changera et je ne serais soumise qu'à un fantôme, comme ça se passe avec L et A, qui sont là pour leur faire les courses, la cuisine et le ménage et c'est tout. Cela ne me donne pas envie, pour apprendre deux trois choses au début c'est cool, mais par la suite cela deviens très rapidement ennuyant et frustrant dans le mauvais sens, les manques remontent rapidement et certains sont déjà présents, j'ai besoin d'être soumise, j'ai besoin d'être une petite chienne pour mon Maître ou ma Maîtresse... Cette situation ne pourras pas durer des mois... --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Peu apres, j'ai pris mon courage a deux mains et j'ai récupéré les quelques affaires et j'ai posé les clés. Je suis repartie de mon coté et j'ai préféré couper court avec eux, meme si c'était tres tres difficile. J'ai découvert des choses assez bizarres a propos de K. C'était vraiment tres difficile, je me sentais inutile, la pire soumise qui existe, qui abandonnais son Dominant, les pulsions suicidaires etaient revenues mais c'est a ce moment la que j'ai commencé ma relation avec Maman, ce qui m'a beaucoup aidé.
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Par : le 07/04/24
. Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle : À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question : Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ? Je suis jeune. Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts. M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien. J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger. Je suis des études. Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape". Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion. À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi. J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser.. Ce mec / cette meuf est trop beau / belle ! J'ai juste envie de m'éclater et de voyager. Je suis jeune. D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française (Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE). Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes.. Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ? La réponse est non. Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême. L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses. Cependant.. Il existe un petit pourcentage..   Je suis moins jeune que j'en ai l'air. - Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là. - J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale. - J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique. - J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents. - J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer ! - J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans. Je suis moins jeune que j'en ai l'air. À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains. Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement. Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité. Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins. Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter. Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM". Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau. Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail. Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte. Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose.. Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" : - Être Dominant. - Ne pas être Dominant. Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle". Plusieurs états d'esprits en résultent : Je ne suis pas dominant. - Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin. - Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là ! - Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante. - "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller. - "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ??? - "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda) - "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?" Je ne suis pas dominant.   Je suis Dominant. - Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance. - Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres. - "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter." - "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?" - "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?" - "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM." - "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner." Je suis Dominant.   Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge. Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez. Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences. Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM. Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence". Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas). En conclusion : La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..) Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent. Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux. Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ? La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ? Allez savoir.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître ! https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.  
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Par : le 04/02/16
(Réédition du 04/02/2016 -> 23/03/2024 - 683 Vues) . Naître, respirer et en pleurer.. Découvrir, marcher et tituber.. Grandir, se connaitre, et se la jouer.. Aimer, disparaitre, se torturer.. Assumer, se noyer, en plaisanter.. Partager, posséder, ou s'isoler.. Vieillir, se débattre, et ignorer.. Evoluer, oublier, se résigner.. Fusionner, pourrir, fertiliser.. Imprégner, modifier, s'aventurer.. Brûler, geler, s'atomiser.. Stagner, sillonner, être aspiré.. Rejeter, s'agglutiner, et tourner.. Créer, détruire, coloniser.. Dévorer, souffrir, se réveiller.. Ressentir, servir, s'illuminer.. et enfin Vivre...   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 31/07/23
C'est bien bdsm.fr, c'est là que je viens piocher des idées pour renouveller mes jeux avec Maso. C'est mon homme, celui avec lequel je vis. Nous nous connaissons depuis si longtemps. C'est lui qui m'a aidé, épaulé, pour ma transition. C'est lui qui a fait de moi sa femme. Au début c'était très vanille, et puis nous avons doucement glissé vers les jeux pour pigmenter notre relation. C'est ainsi que j'ai découvert que j'étais une domina impitoyable et lui un pur maso. Je l'appele ainsi désormais.  Je suis toujours en recherche de nouvelles pratiques pour lui donner ce qu'il recherche, du plaisir dans la souffrance. C'est très sain, je trouve, d'aller à la découverte de ce que l'on est vraiment, et de le vivre. C'est bien le couple, car c'est appaisé. Depuis que j'ai basculé dans le hard, je n'ai plus du tout envie de faire l'amour avec lui, d'etre prise par lui, je veux dire, car faire l'amour c'est bien plus complexe que cela. Pour qu'il ne soit pas en manque, je le libère après chaque séance, et même la nuit. Je contrôle totalement sa jouissance et sans moi, il n'a droit à rien et surtout pas se toucher pour se donner du plaisir. Je ne le domine pas en dehors des séances, à par ce contrôle total de sa sexualité. Et pas besoin d'une cage de chasteté, il obéit parfaitement. Pour mes désirs à moi j'ai eu des aventures au début et à present je me comporte en bourgeoise sage avec un amant unique. Une petite vie en apparence tranquille de femme à la maison avec son homme. Ceci c'est pour le coté Jekill. Reste le coté Hyde. C'est mon amant, avec qui je n'ai qu'une relation vanille, et qui est aussi sur bdsm.fr, qui m'a suggéré ce nouveau jeu à faire avec mon maso. Il est dominant, mais il n'assiste jamais et ne pratique jamais dans mes séances avec Maso. c'est bien pour tout le monde lorsque les choses sont claires. Mon amant a beaucoup d'imagination. Hier, après avoir fait l'amour, en fumant son cigare, il m'a expliqué "Spirit of Ecstasy". Vous savez, l'emblème des Roll Royce, ces superbes voitures de grand luxe. Cela m'a donné envie d'essayer. Maso ne sait jamais ce que je vais faire lors d'une seance. Je parle le moins  possible. J'adopte des gestes très lents et je porte toujours des gants blancs comme une japonaise. je commande par gestes le plus souvent. Et Maso comprend de suite.  Ce rituel, c'est un rituel pour faire peur. et il marche très bien. Maso est nu. Je lui attache les mains dans le dos. Il se met à genoux. J'attache ses chevilles au sol.  Nous avons bricolé notre pièce de torture dans la maison, avec tout ce qu'il faut, anneaux acier, poulies, barres, croix,, et autres. C'est très bien pour s'amuser en sécurité. J'attache ses mains dans le dos à une corde qui passe par une poulie au plafond, puis je l'oblige à se baisser en avant. Il se retrouve dans la position "Spirit of Ecstasy". Superbe! je lui donne un mors à macher que j'attache aussi à ses mains dans le dos. Il est complètement à ma merci. je lui caresse doucement les fesses. il bande dur. Je ne le sodomise jamais. Pas même un doigt pour lui masser la prostate. Non, son plaisir c'est la souffrance.  Je lui montre une latte en bois, une belle latte de sommier. Les coups commencent. Je le sens se cabrer mais il ne peut fuir. Il oscille dans cette position. Cela donne la mesure. Les coups sont de plus en plus forts. Précision. Ne pas le marquer, juste le rougir. Il bande encore plus fort. Son gland est bien rouge et gonflé.  Je passe par devant, lui enlève le mors. C'est la séance des giffles. C'est redoutable une giffle bien faite. Il faut bien relacher le bras, laisser la main prendre beaucoup de vitesse et presque s'arreter à l'impact. Cela claque comme un fouet. L'onde lui monte au cerveau. Rien n'est pire qu'une seance de gifles. Rien n'est plus humiliant. Il bande encore plus, prêt à éjaculer. Du geste je lui dit : NON ! Et cela marche, son désir est coupé net.  Je sors les florentines. il faut faire des huit pour eviter les mains, comme dans le symbole de l'infini. Très vite la douleur devient insuportable. Il hurle. J'arrête. Quelques bonnes baffes. Et du geste je lui indique qu'il doit hurler en silence, garder ses cris à l'intérieur. Et de nouveau les florentines. Il se tétanise, il tremble. J'ai plaisir à le voir se tordre de douleur.  Il est au bord de l'évanouissement, ce moment ou le cerveau disjoncte, seule façon pour lui de supporter la douleur. je le laisse récupérer. De toute façon c'est assez pour ce soir.  Je le laisse seul dans le noir.  Lorsque je reviens, il est bien, détendu, incroyablement paisible. Je glisse ma main vers son entrejambe. Son pénis redevenu mou se met aussitot à gonfler et devenir très dur. Je le caresse très doucement. Lorsque je sens qu'il va exploser, je pince le gland. cela coupe tout. Et je recommence. Un veritable supplice que ces orgasmes qui montent et ne peuvent se libérer. Il me supplie des yeux. Je ne suis pas préssée. Enfin, je le laisse aller au bout. Je recupère sa semence dans mes gants blancs et il doit tout lecher; Je le laisse encore récuiperer dans le noir. Je vais prendre un verre en attendant.  Lorsque je le libère enfin, il est tout tremblant mais je sens qu'il baigne dans une immense paix intérieure. Je le laisse venir se lover à mes pieds pendant que je finis mon verre. Il les embrasse pour me remercier.  Finalement "Spirit of Ecstasy" est une position qui me plait beaucoup. Je cherche déjà des idées pour la prochaine séance. Bon je file, j'ai un rendez vous avec mon amant. Puis retour à la maison où Maso m'aura surement préparé un bon repas qu'il me servira nu, debout derrière moi. Pas de baffes ou de fouet en dehors des seances, il est parfaitement dressé et très heureux de son sort. Il aime me servir et m'obéir.   
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Par : le 14/06/23
Après tout ses succés, le colonel Valeri du GRU a été promu. Mais bon, vous connaissez Valeri depuis que je décris ses aventures pendant l'opération militaire spéciale. Alors il a tout refusé et il a fait comme les autres, il a crée sa milice privée. C'est totalement illégal, contraire à la constitution de la Fédération de Russie, mais la légalité et les milices privées. Bien sûr, le GRU lui a immédiatement apporté son soutien et Vladimir en personne l'a reçu, ....pour lui ouvrir l'accès aux fonds spéciaux.  -Tu as fait un boulot incroyable camarade Valeri, je te donne les moyens de créer la plus redoutrable milice privée de la planète. Fais à ton idée et va terroriser les mercenaires de l'OTAN en Ukraine. -Avec Plaisir, camarade Président, surtout que comme ils ne sont pas là, d'après leur propagande, nous ferons en sorte que leurs balivernes deviennent realité pour eux.  Valéri a appris les arts martiaux en Corée du Nord, les vrais arts martiaux, pas les trucs des chochotes nipones ou les trucages des films made in Hong Kong. Il est donc allé recruter là bas et rendre visite à son vieux Maitre. Il n'a eu aucun mal a s'entourer d'une equipe de tueurs et tueuses professionnels.  Il a baptisé sa milice сталин  c'est à dire Stalin. Il a recruté aussi en Sibérie, en Iran.  Il a patiement attendu que les forces de l'Otan sous drapeau bleu et jaune se lancent dans leur suicidaire "contre offensive". Sa milice est partie de nuit, par petits groupes de deux, sur toute la ligne du front, là où il était possible de traverser toutes les lignes de façon invisible. Valéri, avec sa soif d'action, n'est pas resté dans un quelconque bunker à attendre. Il est accompagné de la sublime capitaine Kim, une des pires tueuses d'Asie. Une femme dont la seule presence fout la trouille. C'est comme cela. Une sorte d'emanation propre aux tueurs. C'est à se demander s'ils ont une âme. Kim est d'autant plus effrayante qu'elle est belle. C'est peut être un démon incarné. Et comme toujours, c'est cela qui excite Valéri et donc il l'a sautée dès qu'il l'a vue. Un truc electrique qui ne s'explique pas. Et c'est reciproque chez kim. En presence de Valeri sa chatte souvre, elle mouille et son clito se dresse. Dès que Valéri la penètre, elle jouit et ne peut retenir les vagues d'orgasmes. Un plaisir de traverser les lignes adverses comme si elles n'existaient pas, de dormir le jour, de baiser et de jouir de chaque instant comme si c'etait le dernier. Plus le risque est fort et plus l'envie de baiser devient furieuse. Kim est remplie de sperme par tous les trous. elle est resplendissante. C'est vrai que le sperme est bon pour les femmes.  Valéri est heureux de bosser pour son compte. Désormais il facture ses services le plus cher possible directement au Président Vladimir. Il pense bientôt aller offrir ses services en Afrique ou chez quelque richissime potentat oriental. Il est toujours marié avec Roxana mais il est totalement libre. Roxana est une bonne épouse perse, merveilleusement intelligente. Sa place est d'obéir en tout et pour tout à son homme. Valeri peut tout lui demander. Il claque des doigts et elle s'execute. Kim aussi a vite compris les règles avec Valéri. Obéir et écarter les cuisses. ne pas se poser de questions. Executer les ordres et ne parler que sur autorisation. Il n'est pas bon de laisser parler les femelles. Elles sont intelligentes et donc elles gambergent trop.  Valeri et Kim accomplissent la mission quils se sont fixée. Liquider un poste de commandement loin derrière le front. Récuperer toutes les informations sensibles. Une vraie ballade avec ce beau mois de juin. Kim est heureuse. Elle adore obéir. Valéri est devenu son Maitre. Rien de tel qu'un peu d'action et d'adrénaline pour bien bander ou mouiller. La morale de cette histoire c'est:  ne laisse pas ta soumise gamberger, c'est pas bon pour elle.
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Par : le 25/11/19
(Réédition du 25/11/2019 -> 31/03/2024 - 690 Vues) . (Lettre ouverte à une Masochiste Brat) Bonjour très chère, Je profite de ce court laps de temps que tu sois en dehors de ce site pour t'écrire ces mots "doux". En ces temps où les sites BDSM se découvrent moins actifs, et les membres / Animateurs/trices se voulant respectueux de la gente féminine, je comprends infiniment que tu passes, toi et tes congénères, de sites en sites à la recherche de matière. Loin d'être improductif, il est vrai que d'autres sites ont la chance d'avoir un tchat un peu plus actif de par leur ergonomie, et moi-même je suis conscient de perdre "des bonnes affaires" à ne pas migrer là où les "o" paraissent plus chaudes. Seulement voilà, la bonne santé de ce genre de site se révèle dans le professionnalisme de Ses Dominants et non dans des attroupements de femmes excitées ou en berne. Je sais que c'est dur de gérer l'ennui et le manque de stimulation dans ces moments là, et tu pourrais me poser la question : "Mais où sont les Sadiques Bordel ?!!". Et bien la réponse est : Ils migrent pour la plus part sur des adopteunequeuepointcom ou jelibertinemonculpointnet. La raison en est simple, la femme s'est battue dans son émancipation à également devenir plus casse-couilles et indécise qu'auparavant, et il est très difficile de faire la différence entre une Masochiste Brat dans son besoin d'être torturée, d'une femme frustrée se voulant insolente pour se faire simplement pilonner la chatte. Ce qui en revient à réécrire ce que je t'ai mentionné dernièrement ; Soit tu décides de t'investir dans une relation "relativement" conventionnelle, et ton compagnon est compatissant envers ta "cause". Et là tu t'arranges pour avoir des Dominants/Sadiques réguliers pour avoir ta dose. Tu survivras mieux aux hivers à rallonge. Soit je m'occupe de ton cas. Tu te veux ou t'improvise être la loi de la provocation et de l'emmerdement maximum, mais entre une Masochiste Brat et un Dominant, c'est une cohabitation qui s'impose... Ne serait ce que pour conserver nos plaisirs respectifs. Clairement, donne moi ce que je veux, et tu auras droit à tes récréations à vouloir m'emmerder. Lorsque tu me reviendras, et que tu verras cet article, j'attends de toi que tu postes sur le mur de mon profil une photo de toi dans Ta Soumission et de ton besoin le plus incessant (Je me contenterais d'une photo de toi via ma messagerie, si tu n'as pas avancé d'un pouce d'un point de vue exhibition). Pour t'aider, tu n'auras qu'à penser que pendant que mes mains te serreront fermement le cou, je te laisserais pénétrer mon regard, à te faire ressentir tout ce que je peux faire d'une femme si je m'abaisse à ne plus réfléchir moi-aussi. Au delà de ton rictus qui ne manquera pas de subvenir sur ton visage lorsque tu liras ces lignes, Ton sourire m'est acquis. Alors passe de bonnes fêtes de fin d'année si nous ne nous voyons pas d'ici là :b Et ne te fais pas BAN pour des conneries. ChatMOnYou.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 27/12/22
I) une rencontre d’âmes : la prise de contact fin du début des années 2000, 2007 pour être précis ; je naviguais dans les sphères du BDSM depuis quelques années, je me remettais d'une rupture sentimentale et de la fin d'une relation que certains nommeront D/s mais qui, a mes yeux, était bien plus. Une situation financière catastrophique se terminait, je touchais a la fin de ma première carrière professionnelle ; j’étais en quelque sorte dans des limbes sociales et personnelles fortes, brumeuses et accablantes. En ce mois de janvier, je parcourais les sites afin de pouvoir revenir vers le BDSM, je ne pouvais pas envisager une autre forme de relation, comme si je voulais éprouvé ma volonté de me soumettre, de vivre ma sexualité ou émettre un cri des émotions. En naviguant de site en site, et ce depuis la fin 2006, je finissais immanquablement par revenir sur celui d'une Dominatrice reconnue dans le milieu, Sa façon de présenter les relations, Son physique, Ses tenues et l univers que peignait chacun de ses mots, chacune de ses photos me troublait de façon certaine et forte. J'avais déjà écris un mail de présentation a cette Dame, Elle m'avait répondu et dans une forme de lâcheté je n'avais donné suite, incapable de pouvoir réunir l'offrande et pris de la peur de m'attacher, en un mot me croyant indigne. Mais en ce début d'année, mon esprit semblait ne pouvoir se détacher de l envie, du souhait de rencontrer cette Dame, Lady Morrigàn, de me confronter une fois encore a ce que je nommais mes démons, de poursuivre un cheminement, que je savais incontournable. Je me décidais a ré écrire a Lady Morrigàn afin de pouvoir obtenir la possibilité d'un appel téléphonique pour fixer une possibilité de rendez vous, lui exposer si possible l’émoi qu'elle suscitait en moi, quitte a passer pour un fou. Sa réponse ne tarda pas, elle m'expliquait qu elle ne serait pas disponible avant février, et que je pourrais réfléchir et que si cette envie de la La rencontrer était toujours présente, alors je devrais la rappeler a une date et une heure précises. Bien sûr je répondais par retour de mail, que j'acceptais les conditions et je m'engageais même a respecter Sa volonté quant a la date de l'appel. Durant la période entre cet échange et la date, mon esprit fut comme quasi dédie a l’élaboration d'une présentation, je commençais même a faire des calculs pour pouvoir prévoir l offrande (dont je me doutais du montant). Le mois et demi passa, sans doute bien trop lentement pour l'impatient que j’étais encore a l’époque, malgré une relation précédente m'ayant déjà apporté les bases d'une éducation D/s. Le jour et l'heure de l'appel arriva, je composais le numéro avec une grande nervosité, sans masquer mon numéro comme demandé ; les sonneries s’enchaînèrent jusqu'à déclencher le répondeur et j'entendis pour la première fois cette Voix qui allait me pénétrer, envelopper mon esprit ; a la voix douce et autoritaire, une diction troublante, les mots semblaient prendre une autre dimension et mon esprit commença a se délecter et se perdre dans ces chants hypnotiques. Je laissais un message, tentant de rendre ma voix la moins chevrotante possible malgré l’émotion. A peine avais je poser de le téléphone sur mon bureau, avec une touche de déception qui me poussa a allumer une cigarette, que celui ci sonna, numéro masqué ; alors que d'habitude je ne réponds pas a ces appels, là je décrochais et immédiatement je reconnu Sa voix envoûtante qui prononçait mon pseudo, j’éteignais la cigarette et lorsque un « merci d'avoir laisser un message, nous allons pouvoir échanger » parvint a mon esprit et aussi impulsif que cela puisse paraître, je me mis a genoux naturellement, comme si la présence de Lady Morrigàn venait a moi par Sa voix, comme si le soumis en moi reconnaissait d'instinct un règne l'appelant. La conversation était axée, entre autre, sur les conditions de rencontre et au fur et mesure, elle prit une tournure plus « intime », sur ce que Lady Morrigàn appréciait chez des soumis, sur les blogs et sites internet et sur l’expérience. Je découvrais alors que Lady Morrigàn possédait un cheptel de soumis « proches » qui lui rendait des services, elle me parlait alors d'un blog que je tenais et où j'exposais mes écrits et dessins, un compliment me fit vaciller. Il fut alors convenu que avant d'envisager quoique ce soit, je devais répondre a un questionnaire qui me serait envoyé via mail, rédiger une lettre exposant comment je voyais mon parcours et les motivations les plus exactes quant au fait de vouloir venir aux pieds de Lady Morrigàn. au cours de ce dialogue,je me rendais compte que certains aspects étaient en commun, certaines affections, visions. Je mettais cinq bonnes minutes a redescendre après cet échange, et dans la foulée je ne pus m’empêcher d’écrire un texte relatif a ses mots, sa voix et ce que je ressentais. Dans le jours qui suivirent, je recevais le questionnaire et m'appliquais a rédiger une lettre de motivation, la plus complète possible où je ne cachais rien de mes expériences, ressentis et situations. Il s'en suivi un échange de quelques mails, et l'envoi du texte écrit lors de notre dialogue téléphonique, puis quelques semaines plus tard , il me fut demander d’appeler Lady Morrigàn. cet appel était en vue de poser un rdv. La date fut convenue, l'offrande également, un geste me fut accordé égard a ma situation financière a la seule condition que j apporte le texte envoyé par mail , ainsi qu'un autre posant mon imaginaire sur le rdv a venir, sur papier a l'encre bleue. Le jour de la première rencontre : la date tant attendue était là, j'avais repéré le temps de trajet, je m’étais apprêté de manière a être le plus courtois et respectueux pour ce rendez vous, pour cette venue dans le lieu de règne de Lady Morrigàn. une grande nervosité me tiraillait la gorge et le ventre ; durant le trajet en transport, je me répétais les gestes, les mots et les attitudes que je Lui devais de respecter. Une fois sorti du métro avec de l'avance sur le rdv, une envie de fumer me prenait, je la réprimais difficilement, j'allais a l'adresse fournie, passais l'appel convenu a l heure convenue. Alors que mes doigts saisissaient le code d'entrée, je voyais mon tremblement augmenter,tout en moi me faisait penser que ce rdv allait devenir une référence, que je m’apprêtais a franchir un cap important, que cette rencontre allait compter. Je pris l'ascenseur, un ancien modèle des immeubles parisien, dans cette cage mouvante je me sentais comme en élévation vers un lieu unique, mystique. La voix de Lady M, son image étaient en moi et plus je montais, plus c’était le cas. La porte se trouvait juste en face de l'ascenseur, il ne semblait pas y avoir d'autres appartement sur le palier. Comme demandé, je ne sonnais pas mais me servait du butoir de porte, pas de réponse, devais je re frapper ? Alors que ma main était devant le butoir, j'entendais un bruit distinct, celui de talons sur le sol ; la porte s'ouvrait sur un couloir dans la pénombre, et se faisant une odeur, un parfum vint me saisir comme une main a la fois ferme et chaleureuse ; la voix de Lady Morrigàn m'invitait a entrer, elle se tenait derrière la porte ; alors je faisais trois pas dans le couloir , la porte se referma avec un bruit quasi de loquet, une sensation me prenait alors, celle de me dire que désormais un chemin pouvait s'ouvrir. Je sentais alors Lady Morrigàn passer sur mon coté, mon regard se baissa d'instinct. Elle se tenait face a moi, je restais bloqué comme idiot a regarder ce que je devinais être des bottes a talons aiguilles, noires et a lacets, je ne montais pas mon regard plus haut. Une main vint alors se placer a mi hauteur, je mettais la mienne a ma poche de revers afin de sortir l enveloppe de l offrande. Un « pas maintenant, suivez moi » un brin agacé me fit remettre l enveloppe dans ma poche. Je suivais Lady Morrigàn dans le couloir, en ne quittant pas ses talons des yeux, nous arrivâmes dans le boudoir, une belle pièce plongée dans une pénombre, je distinguais une console sur ma gauche, devant moi un petit tapis circulaire posé devant une cheminée, au dessus de laquelle un miroir entouré de bougeoirs triple étaient placés. Sur le mur face a moi, un bouclier et deux épées prêts d'une porte menant a une autre sale, sur le même mur après cette porte, en allant sur la gauche, un tableau sous le lequel étaient situés deux anneaux métalliques, en dessous se trouvait un guéridon au dessus de cuir. En continuant un regard circulaire sur la gauche, devant une fenêtre aux épais rideaux noirs tirés, se trouvait une méridienne Joséphine empire aux couleurs pourpres, un guéridon a gauche et entourée de plantes, puis mon regard revint sur la console a coté de laquelle je remarquais un valet. La musique que je remarquais enfin était de type underground fantasy. Lady Morrigàn me demanda de poser l'enveloppe sur la console, d’ôter ma veste sur le valet et de prendre place sur le tapis circulaire, je m’exécutais sans oser la regarder, d'autant que le ton employé a mon arrivée indiquait sans équivoque , que j'avais commis un impair. Une fois que je m’étais placé sur le tapis, regard baissé et mains derrière le dos, Lady Morrigàn me lançait : « allez vous, vous décidez a oser me regarder ou n'aurais je droit qu'a un regard fuyant d'animal coupable ? -Maîtresse, c'est que je sens avoir commis une faute -oh oui vous en avez commis une et venez d'en refaire une autre, je vous indiquerais lesquelles en temps voulu -bien Maîtresse » j'osais enfin lever les yeux, et là je la vis superbe, en position de reine sur la méridienne. Elle portait de superbes bottes montantes au dessus du mollet, lacées et noires, une jupe en vynil dont l'ouverture sur la cuisse laissait deviner des bas soyeux, un chemisier en dentelles blanches laissant deviner un bustier noir ; son visage exprimait de la vie, un teint pâle, des lèvres cerises, un regard perçant vous scrutant au plus profond, des cheveux blonds platine quasi blancs aux boucles travaillées sur les tempes, ses mains gantées d’élégance noire en cuir. Telle une aphrodite guerrière et rayonnante, elle était posée sur sa méridienne, une jambe légèrement pliée sur l'autre, une de ses mains en poing sur sa joue ; cette vision me conquit d'emblée, sa voix allait si bien avec son corps. Tout en Elle dégageait, grâce et force, une présence comme on en croise peu dans une vie,son être vibrait ses ondes jusqu' a mes souffles, s'en emparant en un battement de cils. Je me sentais si chanceux d’être en la présence d'une telle Femme et dans le même, je savais déjà que je signais là l'acte qui pourrait me mener a ma perte, tant je pressentais que cette Femme pourrait me menait a la damnation que je la suivrais alors avec un sourire reconnaissant et dévotion. Déjà je rêvais de l'honneur de pouvoir embrasser ses bottes, de lui livrer mon corps et mon cœur ; certaines rencontres sont ainsi faites que vous sentez jusqu'à votre moelle, qu'elles vous marqueront a jamais. Lady Morrigàn me demanda alors de me dénuder a l'exception de mes sous vêtements et de poser mes affaires correctement pliées aux cotés de la cheminée ; alors que je reprenais ma position initiale, debout et mains dans le dos, je me rendais compte que Lady Morrigàn s’était levée, alors que je me retrouvais face a elle, elle commençait a avancer vers moi. Une démarche a la fois féline et aristocrate, puissante et raffinée ; chaque pas qu'elle faisait en ma direction soulevait en moi des tornades d’émotions, je sentais une envie de reculer comme pris de panique et dans le même temps, une envie irrésistible de me jeter a ses pieds ; plus elle avançait, plus j’étais captivé, non seulement par son physique mais aussi et surtout par son aura, je sentais alors distinctement une fissure se dessiner en moi. Alors que son souffle se résonnait sur ma peau, elle m indiquait que l'inspection pouvait commencer, ainsi que le questionnaire. Ses mains commençaient a sinuer sur ma peau, de la base de la gorge a l abdomen en passant par les flancs, mes yeux se fermaient a son contact a la fois doux et inquisiteur. Entre des questions sur mes goûts musicaux,mentalité, des remarques sur ma condition physique venaient piquer mon orgueil, un peu trop mou, manque de fermeté (oh comme elle se servait bien de mes confidences sur mon manque d'assurance en mon physique).
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 29/03/19
Jacobé avance nue sous sa longue robe de toile rustique. Son confesseur l'attend, le regard sévère, une badine d'une main, un livre saint de l'autre. -tu devras avouer toutes tes fautes! - oui, Monseigneur, toutes, je ne suis que coupable. La soumise s'agenouille et la confession commence. Ah combien sont nombreuses ses fautes. Il ne sera pas de pénitence, de punitions et de corrections suffisantes pour les expier en une fois. La badine siffle dans l'air. La soumise tremble.... cela ne fait que commencer. "Vous irez vers vos femmes comme un laboureur va vers un champ fertile". -Approche, tu n'es qu'un trou béant de stupre et fornication. Approche, gouffre de débauches. -Oui, Monseigneur, me voilà, votre entièrement. -A genoux, femme, adoratrice du serpent, par toi sont venues toutes les malédictions sur la terre. -Oui, Monseigneur, voilà et je tend ma croupe offerte à vos ardeurs. -Je vais te labourer les reins et de grâce garde tes gémissements pour toi -Je n'en puis plus Monseigneur, prenez moi, prenez moi.... «Et je trouve la femme plus amère que la mort, parce qu’elle est un traquenard, que son cœur est un piège et que ses bras sont des liens.» Ecclésiaste, 7, 26. -Approche donc traquenard, Tu n'est qu'un trou poisseux, l'antre de Lucifer . Le démon t'a fait belle pour piéger les hommes. -Non, non, Monseigneur, je suis douce, aimable et si gentille. -Tais toi, Tu n'es qu'un sentier de perdition. -Non, non, je fais tout pour vous servir, vous être agréable. -100 coups de fouet ne pourront te délivrer du démon. « C’est de la femme que vient tout le mal. C’est par la femme qu’a commencé le péché. C’est à cause d’elle que nous mourrons tous.» Ecclésiastique (XXV, 24). -Femme tu es impure tu dois expier -Non, Monseigneur, je sors du bain -Alors ton bain aussi est impur. Voici une cage de fer. Tu y resteras en prières jusqu'au soir! «Les femmes peuvent détruire les purs préceptes. Elles s’écartent de l’accomplir des mérites et des honneurs. En empêchant les autres de renaître au paradis. Elles sont la source de l’enfer» (T. 11, p.543) «Il faut se méfier des femmes. Pour une qui est sage, il en est plus de mille qui sont folles et méchantes. La femme est plus secrète que le chemin où, dans l’eau, passe le poisson. Elle est féroce comme le brigand et rusée comme lui. Il est rare qu’elle dise la vérité : pour elle, la vérité est pareille au mensonge, le mensonge pareil à la vérité. Souvent j’ai conseillé aux disciples d’éviter les femmes.» -Ah te voilà, femme. -Oui, Monseigneur -Prosterne toi et demande pardon. -Mais je n'ai pas commis de faute. - Oui, déjà deux fois. La première pour me contester, et la seconde pour nier.. Ta peine sera doublée. -Ah combien les Dieux se sont moqués des hommes avec ce boulet que sont les femmes. -Non, Monseigneur, vous ne pouvez dire cela, je suis votre douce, votre obéissante. -Hélàs, hélas, oui plus qu'hélas, la compagnie des femmes est pire que bagnes lointains ou galères amères. -Non, Monseigneur, ne vous lamentez pas, je suis toute à vous et au plaisir que vous prenez entre mes cuisses. - C'est turpitude et malheur que d'aimer une femme, c'est un chemin où rodent tous les démons -Non Monseigneur, c'est bonheur pour vous lorsque vous vous abandonnez dans mes bras si doux. - Ah j'enrage de ce sort voulu par les démons qui rendent l'homme esclave du désir. -Non, Monseigneur, aimez moi, aimez moi. -C'est le diable qui parle par l'enclos de tes dents. ------------------------ J'aime écrire, cela me permet de "voir". Ce paradigme ci dessus ne concerne que très très peu de personnes, peut être une sur dix millions et encore; Cela ne concerne que les fous de Dieu, ceux qui se rendent eunuques pour le Royaume des Cieux. Ce paradigme appliqué au plus grand nombre est néfaste, mais il montre que ce sont très souvent les extrêmes et les extrémistes qui réussissent à imposer leur loi, hélas. Ceci montre que le célibat des prêtes dans l’Église catholique est une absurdité. Ils n'ont pas vocation à être eunuques pour le Royaume des Cieux. etc...etc... Ce qui est amusant et cela se sent bien, c'est qu'un nouveau paradigme se met progressivement en place.
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Par : le 15/09/22
*** Avertissement Il s’agit d’un texte que j’avais initialement écrit pour le plaisir de mon Maître et qu’il m’a finalement ordonné de rendre public, après l’avoir édulcoré et débarrassé de passages trop hards ou trop personnels (néanmoins il reste quelques passages susceptibles de heurter les esprits hypersensibles, psychorigides, ou formatés par une idéologie, auquel cas il est sans doute préférable de passer votre chemin). Je vous souhaite une bonne lecture et j’espère que ce petit texte vous plaira comme il a plu à mon Maître. Dans tous les cas, rappelez-vous qu’une fiction n’est rien d’autre qu’une fiction, un récit sans prétention dans lequel l’auteur(e) laisse libre cours à son imagination.   *** Episode 1 : Le procès Je revivais en rêve la première rencontre avec mon Maître lorsque l’allumage automatique de la télévision me sortit de ma torpeur. Des images aériennes de grande qualité montraient d’immenses poteaux, bien plus hauts que nos éoliennes, juchant un sommet himalayen. Je fus saisie par la beauté de ces images qui tranchaient avec les murs grisâtres de ma cellule. L’allumage intempestif de la télévision, à des heures aléatoires, fait partie du programme de rééducation citoyenne auquel je n’ai eu d’autre choix que de me soumettre. Mon procès avait été expéditif. J’ignore qui m’a dénoncée, mais ensuite les choses sont allées très vite. Des preuves accablantes montraient que j’avais entretenu pendant de nombreuses années une relation Maître/esclave illégale, jusqu’à la malheureuse disparition de mon Maître l’année passée. Non pas qu’une relation Maître/esclave fût illégale en soi – nous sommes en démocratie – mais depuis la loi du 5 mai 2025, aucune relation de couple, aucune relation sexuelle, de quelque nature que ce soit, n’est autorisée sans l’obtention préalable du pass délivré par la Bill&Alvértos Fucking Corporation. Cette société tentaculaire, ainsi nommée en hommage à deux milliardaires bienfaiteurs de l’humanité qui sauvèrent le monde d’une redoutable pandémie au début de la décennie, dispose du monopole de la validation des couples et des relations sexuelles. Chaque mois, Eurytion, la puissante Intelligence Artificielle de la BAFC, prend en compte des milliards de caractéristiques génétiques, morphologiques et psychologiques pour réaliser le meilleur appariement possible entre les prétendants à une union, et leur délivrer le précieux « fucking pass », qui donne le droit de baiser en toute légalité avec le partenaire désigné par l’IA. Toutes les orientations sexuelles sont possibles – il n’y a pas de discrimination en démocratie. Même les couples déjà formés ont dû se soumettre à cette formalité depuis la promulgation de la loi, ceci pour le bien de l’humanité. L’intelligence artificielle est très bienveillante : lorsque le couple est préexistant et dispose d’un bon solde de crédit social, le pass est généralement attribué sans obligation pour les deux partenaires de se soumettre à un réappariement. Les démarches pour prétendre à l’obtention du fucking pass coûtent 6 mois de salaire moyen – il faut bien rémunérer la haute technologie – mais cela en vaut vraiment la peine car, comme l’a expliqué le Docteur Tedros, nouveau directeur exécutif de la BAFC, c’est ensuite la certitude d’un avenir radieux, en harmonie au sein du couple et de la société, et c’est surtout la satisfaction de respecter de la loi. Bonus ultime, 120 points de crédit social sont attribués le jour même de la délivrance du fucking pass. C’est un cadeau très apprécié. Je fus déclarée « ennemie de la démocratie, raciste et fasciste ». Bien que je ne compris pas le rapport avec ma faute, le procureur semblait très sûr de lui, et tous les journalistes qui couvraient l’évènement ont vanté l’excellence de sa plaidoirie, alors c’est sûrement vrai. Dès l’annonce ma sentence, je dus me dévêtir entièrement car les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements, et je fus conduite nue à mon lieu d’incarcération sous l’œil des caméras. La retransmission de ce type de procès était devenue monnaie courante depuis la formation de la suprême alliance démocratique. L’humiliation publique sert d’exemple pour faire réfléchir ceux qui seraient tentés par des comportements anti-démocratiques, et, cerise sur le gâteau, fait une audience monstre qui rapporte un pactole en contrats publicitaires à la filiale « Information& Entertainment » de la BAFC. Alors que le drone de la télévision s’approchait de l’un des pylônes, on commençait à distinguer la petite plateforme convexe qui le surplombait, associée à une structure qui ressemblait à un perchoir. Plusieurs anneaux et crochets y étaient judicieusement disposés. Puis la caméra pivota rapidement et l’on put apercevoir au loin le vol majestueux du grand chrysaor cendré, un oiseau à l’envergure impressionnante qui vivait dans les cimes himalayennes, espèce nouvelle apparue lors de l’accident nucléaire de 2022. Résultat de mutations accélérées, l’oiseau puissant et véloce migra rapidement vers les montagnes Tibétaines, dont le climat correspondait mieux à sa nouvelle physiologie. La retransmission fut interrompue pour relater, images à l’appui, le succès d’une opération militaire éclair en Asie centrale. Les meutes de drones de la suprême alliance, les « Freedom Spikes », puissamment armés, constituent le fer de lance de l’avancée de la démocratie dans le monde. « Peints aux couleurs de la liberté, ils représentent pour les populations encore sous le joug de la tyrannie, le formidable espoir d’un avenir meilleur » commentait, avec enthousiasme, le journaliste. Puis un petit intermède rappela comment l’humanité avait pris le chemin du meilleur des mondes lorsque les dirigeants Occidentaux et Chinois, devant l’évidence sans cesse croissante de la convergence de leurs modèles sociaux, décidèrent de mettre fin à un antagonisme qui n’avait plus lieu d’être et d’œuvrer de concert pour former la suprême alliance démocratique, une puissante fédération aux objectifs progressistes. Le siège du pouvoir central a été localisé à Pékin, berceau de la démocratie moderne. *** Episode 2 : La préparation C’est alors que la porte de ma cellule s’ouvrit et qu’un gardien, sourire aux lèvres, vint m’en extraire. Les gardiens faisaient des pieds et des mains pour être affectés au bâtiment Est, dans lequel les ennemies de la démocratie sont incarcérées, nues en permanence. Je fus conduite de salle en salle, pour des examens médicaux approfondis. Bien qu’interminables, les examens n’avaient rien de pénible, et pourtant, de temps à autre, j’entendais les hurlements de prisonnières qui m’avaient précédée, ce qui n’était guère rassurant. Arrivée dans la dernière salle, je fus solidement attachée en position gynéco, pour la mise en conformité de ma chatte. Ce fut à mon tour de hurler. Pourtant je savais que cette opération était indispensable et qu’il en allait de mon intérêt et peut-être même de ma survie. Bien que pratiquée sans anesthésie, la mise en conformité réglementaire des chattes est réalisée avec le plus grand soin par du personnel expérimenté. Après l’élimination de tout le superflu et une épilation définitive accélérée – telle que permise par les progrès de la technologie – les grandes lèvres sont soigneusement cousues après avoir été scarifiées au point de contact. Elles fusionneront solidement, laissant juste une minuscule ouverture pour les besoins naturels, et les fils seront retirés lorsque l’assemblage sera jugé suffisamment solide. L’opération terminée, je n’avais plus de larmes ni de salive tellement j’ai hurlé, pleuré et bavé. Je pensais être reconduite dans ma cellule à l’issue de ma mise en conformité, mais c’est dans une grande pièce commune que je fus conduite. Cinq cages y étaient disposées et après m’avoir introduit un plug anal, le gardien me fit entrer dans l’une des deux encore libres. C’est là que je passai les jours suivants, le temps que ma chatte cicatrise. L’espace restreint permettait peu de mouvements et l’inconfort était pesant. Les sorties de cage étaient rares, mais à chaque fois vécues comme un moment de bref bonheur. Le temps est long quand on n’a rien à faire et interdiction de communiquer avec ses voisines sous peine de punition. Bien que je ne pus les interroger, je vis que leurs chattes également avaient été mises en conformité, ne laissant plus guère de doute sur le fait que nos destins étaient à présent liés. Le protocole était toujours le même : introduction d’un plug anal à l’entrée en cage, retrait à la sortie. A mesure que le temps passait les diamètres augmentaient. C’était franchement désagréable mais je savais que cette dilatation contribuerait à ma sécurité dans un proche avenir, alors je mettais toujours la meilleure bonne volonté pour faciliter mon introduction. Depuis le début de la décennie, l’état de santé d’une grande partie de la population s’est peu à peu dégradé. Certains scientifiques ont mis cela sur le compte de l’accident nucléaire, d’autres sur le compte de la pandémie du début de décennie. Quelques uns, minoritaires, ont évoqué une autre cause, mais ils ont été rapidement internés en hôpital psychiatrique et on n’en entend plus parler. Fort heureusement, le chrysaor cendré nous apporte de grands espoirs pour répondre efficacement à ce fléau. Les jours, peut être les semaines, ont passé, lentement, très lentement. Je sus que le grand jour était arrivé lorsque j’entendis le brouhaha des journalistes, qui allaient à présent nous suivre pas à pas. Extraites de nos cages, sous l’œil des caméras qui ne se gênaient pas pour faire des gros plans sur nos chattes lisses et définitivement fermées, et les commentaires des journalistes qui expliquaient pourquoi nous avions été préparées ainsi, nous fûmes conduites par hélicoptère jusqu’à un bâtiment situé au pied des pylônes. Depuis trois jours nous n’étions plus nourries – cela faisait partie du protocole de sécurité. Arrivées dans le bâtiment, nous dûmes néanmoins, par mesure de précaution, subir plusieurs lavements profonds pour garantir que nous étions totalement vides à l’intérieur. Suite à quoi nos anus furent copieusement lubrifiés. Le médecin chef, en charge du programme scientifique, ne tenait à prendre aucun risque. Il en allait de sa responsabilité. Les pylônes ont été érigés l’année dernière. Ils ont d’abord servi de lieu de supplice pour les condamnés. Attachés nus en haut des pylônes, ils devenaient la proie facile du grand chrysaor cendré, qui les déchiquetait et se nourrissait de leurs chairs. Retransmis en direct par les caméras de la filiale Information&Entertainment de la BAFC, ces évènements firent des records d’audience. Ce spectacle, qui aurait pu paraître choquant il y a seulement une dizaine d’années, était à présent très apprécié et regardé en famille et entre amis. Les mentalités ont beaucoup évolué en peu d’années. Les journalistes ont efficacement sensibilisé les citoyens aux dangers que représentent ceux qui s’écartent du droit chemin en mettant en doute la réalité du progrès social apporté par la suprême alliance et attisé la haine envers ceux qui ne respectent pas scrupuleusement les lois relatives aux multiples pass qui cadrent à présent la vie sociale, pour le bien commun. La très grande majorité de la population considère que les suppliciés méritent amplement leur sort. Le mois dernier, le monde entier a été témoin en direct d’un évènement inattendu. Pour la première fois, une femme, Ysideulte, faisait partie des suppliciés. Auparavant les femmes étaient dispensées de ce supplice cruel, mais la police du net ayant découvert qu’Ysideulte diffusait sur un réseau crypté clandestin des informations tombant sous le coup de la loi anti fake news, sa dangerosité pour la démocratie a été jugée suffisamment grave pour qu’elle subisse, elle aussi, le supplice. Contrairement à toute attente, le grand chrysaor l’a enveloppée de ses ailes dans un mouvement protecteur, et l’a ainsi choyée et réchauffée pendant de longue minutes, avant de lui pénétrer la chatte avec sa bite phénoménale. Chaque spectateur a pu percevoir à quel point la vigueur avec laquelle il l’a baisée traduisait l’excitation qu’elle lui procurait, et beaucoup en ont été émus jusqu’aux larmes. Par chance, malgré d’importantes blessures, Ysideulte a survécu à cet accouplement brutal. Une fois redescendue du pylône, les scientifiques ont pu faire sur elle de multiples prélèvements et découvrir les propriétés exceptionnelles des spermatozoïdes radioactifs du grand chrysaor cendré. Depuis cette découverte, les pylônes ne servent plus au supplice de condamnés, mais à des expériences scientifiques. Ysideulte a été réhabilitée, pour services rendus à la démocratie, bien malgré elle, et en son honneur le lieu a été rebaptisé « le perchoir d’Ysideulte ». De par leurs analyses, les scientifiques ont estimé que lors de l’éjaculation, le sperme du grand chrysaor cendré est éjecté avec la pression phénoménale de 50 à 200 Newtons au cm carré. C’est ce qui a causé des blessures à la pauvre Ysideulte, comme si elle s’était mise un karcher dans la chatte. L’ironie de l’histoire est que le grand chrysaor ne voulait certainement pas lui faire de mal mais au contraire lui témoigner son affection en l’ensemençant comme il se doit. D’après l’examen des vidéos haute résolution, l’éjaculation est précédée d’une sortie continue de sperme, à faible pression, pendant toute la durée de l’accouplement. Il a été estimé qu’au total la quantité de sperme pouvait atteindre le demi-litre, mais ce n’est qu’une estimation car Ysideulte n’en avait retenu qu’une très faible partie en elle. Les modèles informatiques ont montré qu’une injection anale et non vaginale réduirait considérablement les risques de blessures. Sous réserve, évidemment, que la femelle ait été bien préparée, lubrifiée, et son colon parfaitement vidé, afin qu’il puisse servir de vase d’expansion et ainsi atténuer la violence de l’éjaculation. C’est la raison pour laquelle ma chatte a été fermée : s’assurer que je serai sodomisée et ainsi réduire les risques de séquelles graves. Car, oui, en tant que condamnée pour la cause la plus infâmante qui soit, j’ai été intégrée de force à ce programme scientifique, qui permettra peut être à l’humanité d’éviter l’extinction. Les spermatozoïdes radioactifs du grand chrysaor cendré traversent sans difficulté les tissus humains et se répandent dans tout le corps. Par un mécanisme non encore élucidé, ils ont un effet réparateur sur les organismes humains affaiblis. La filiale pharmaceutique de la BAFC espère reproduire artificiellement ce mécanisme et ouvrir ainsi un formidable marché dans lequel la population humaine à la santé déclinante s’engouffrera sans hésiter. *** Episode 3 : Sur le perchoir Un système entièrement automatisé me hisse en haut du pylône et, arrivée à destination, des bras robotisés m’attachent solidement. Aucune intervention humaine n’est nécessaire: ce serait bien trop dangereux, mes gardiens risquant d’être déchiquetés par l’oiseau. Malgré sa puissance bestiale, le grand chrysaor cendré est un oiseau méfiant et extrêmement intelligent. Personne n’a jamais réussi à le capturer ni à le suivre jusqu’à sa tanière. Il sait brouiller les pistes et semer les drones envoyés à sa poursuite. On a bien tenté de mettre un piège sur la plateforme, mais son instinct l’en a éloigné. Cela fait des dizaines de minutes que je suis attachée et toujours aucun oiseau à l’horizon. Le vent est glacial sur ces sommets et je suis totalement nue, en bas pour les besoins de la sodomie, mais aussi en haut parce que les spectateurs aiment que les mamelles soient visibles et bien pendantes. Pour celles qui ont une modeste poitrine comme moi, de lourdes charges oscillantes sont suspendues aux mamelles, pour les étirer et en amplifier le mouvement. Nous devons respecter les désirs de nos téléspectateurs a déclaré le directeur de la filiale Information&Entertainement de la BAFC. Je ne suis pas la seule. Au total 5 pylônes ont été érigés et une femelle a été attachée au sommet de chacun d’eux. C’est meilleur pour l’audience, et en général le grand chrysaor cendré a assez de ressources pour ensemencer 2 ou 3 femelles à la suite. Cela permet de multiplier les prélèvements et les analyses. Celles qui n’auront pas eu la chance d’avoir ses faveurs n’échapperont pas pour autant à leur sort car elles feront automatiquement partie du groupe suivant. Autant dire que chacune d’entre nous nourrit le secret espoir d’être plus attirante que ses voisines. Les minutes passent, interminables, et malgré l’angoisse, je sens que je m’assoupis. L’effet du froid, probablement. Le bruit d’un puissant battement d’ailes me sort de ma torpeur, juste à temps pour voir l’oiseau fondre sur ma voisine de droite et lui témoigner son affection avant de la sodomiser sans ménagement. C’était sans conteste la plus jolie de nous cinq. L’oiseau a bon goût. Les hurlements de terreur de la pauvre fille me glacent le sang, et pourtant, désirant ardemment être la prochaine, pour que l’on en finisse, je remue les fesses du peu que mes liens me le permettent, espérant attirer le volatile. Le voilà sur moi. Malgré le stress, la douceur de ses plumes et la chaleur de son corps me procurent une sensation de réconfort. Je crois avoir un avantage sur mes voisines : ayant vécu une relation Maître/esclave pendant plusieurs années, j’ai l’habitude d’être sodomisée sans ménagement et j’ai été dressée à la dure. J’espère, sans trop y croire, que cela rendra mon supplice plus supportable. La grosse bite du volatile me pénètre d’un coup et me ramone copieusement avec une vigueur qu’aucune fucking machine ne pourrait atteindre, m’arrachant des hurlements de terreur, qui se poursuivent par des cris d’agonie alors que l’éjaculation me déchire les entrailles. Je n’ai plus qu’une vision floue de ce qui m’entoure et je lutte pour rester consciente, me rendant néanmoins compte que le grand chrysaor cendré est toujours là et s’affaire autour de mes liens. Son puissant bec finit par en venir à bout et il m’emporte dans un mouvement si violent que je perds connaissance. *** Epilogue Je me suis réveillée dans un lieu qui ressemblait à une grotte, et j’ai eu un mouvement de recul lorsque j’aperçus l’oiseau près de moi, me regardant fixement. Je n’eus pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre ce qui m’était arrivé. Aujourd’hui, je ne sais plus exactement depuis combien de semaines ou de mois je suis là. J’aurais dû noter les jours. Le grand chrysaor cendré est très attentionné, voire affectueux, mais si je ne lui présente pas correctement mon cul dès qu’il bande, il me rappelle à l’ordre d’un coup de griffes qui me laisse marquée pendant plusieurs jours. Maintenant ça va mieux. J’ai appris à surveiller sa bite en permanence et à me mettre en position sans traîner dès les premiers signes. S’il m’apporte quotidiennement quelques fruits collectés dans la plaine, c’est principalement par le cul qu’il me nourrit, de son sperme bienfaisant. Chaque jour j’en ressens un peu plus les effets : plus forte, l’esprit plus clair, en meilleure santé. Mon corps et mon esprit s’habituent peu à peu à ces sodomies brutales, mais je n’arrive toujours pas à réprimer mes hurlements pendant qu’il m’encule. La douleur est trop intense et la brutalité de l’accouplement trop terrifiante. J’ai appris à bien garder le sperme en moi pour profiter au maximum de ses bienfaits et j’avoue prendre du plaisir à me sentir ainsi remplie. De plus, cela a un effet réparateur sur les blessures causées par chaque sodomie et procure un lubrifiant naturel en prévision de la prochaine pénétration. L’oiseau s’est pris d’une grande affection pour moi, il me réchauffe quand il fait froid et me sodomise plusieurs fois par jour. Depuis peu, j’ai entrepris de danser pour lui chaque soir, peu avant la tombée de la nuit, et il semble apprécier, me regardant calmement et attentivement. Parfois j’ai l’impression qu’il me parle, mais peut-être est-ce mon imagination qui me joue des tours. Je crois qu’il ne visite plus les pylônes depuis qu’il a une esclave sexuelle à sa disposition 24h/24. Dommage pour le programme scientifique. Lorsqu’il part à la chasse, je m’approche du bord de sa tanière à flanc de falaise – pas trop car j’ai peur de tomber - où je peux admirer un magnifique paysage propice à la méditation. Parfois j’aurais aimé que ma chatte soit encore ouverte et fonctionnelle mais je sais que cela me ferait courir de grands dangers. Finalement je me suis faite à ma nouvelle esthétique – parfaitement lisse entre les cuisses, la fente n’étant plus qu’un lointain souvenir - et plus je me regarde, plus je me trouve jolie ainsi. La compagnie des humains me manque, même si, malgré le programme de rééducation citoyenne que j’ai subi, je suis encore un peu dubitative quant au meilleur des mondes promu par la suprême alliance démocratique. Mais je me console en me disant que mon Maître aurait aimé cette issue. Sperme, sodomie et discipline, c’est tout ce dont une femelle a besoin, se plaisait-il à dire. [Edit] Ce n'était pas prévu initialement, mais les encouragements des lecteurs m'ont ultérieurement incitée à écrire d'autres articles - pas directement une suite de celui-ci, mais une histoire parallèle, connectée à celle-ci, une vision du même monde à travers d'autres yeux. Si cet article vous a intéressé et que vous souhaitez découvrir les autres, la liste est ici (à lire de préference dans l'ordre chronologique de publication): https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog
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Par : le 04/10/12
... ou quand il convient de se méfier des partenaires à arrières pensées pécunières ... Il est suisse, banquier, a de gros moyens, époux et papa, mais son couple ne lui apporte pas tout ce qu'il esperait. Ce qui lui manque, il va le chercher ailleurs, auprès de professionnels : des moments BDSM. Il a confié sa "destiné" à un couple de dominateurs qui ont vite vu l'opportunité qu'il pouvait y avoir a faire chanter le richissime homme d'affaire. Pourtant doté d'une petite renommée à l'échelle européenne, le couple BDSM comparaissait mercredi 3 octobre 2012 par devant les instances judiciaires suisses, sous l'accusation de tentative d'extortion de fonds, en l'espère 250000 francs suisses (soit environ 200 000 euros) à notre malheur banquier. Les premières menaces avait été porter début 2012 : ils menacaient d'envoyer des photos de séances BDSM aux proches du "malheureux". Ils avaient également créer un compte Facebook au nom de leur victime afin de poster une photo des organes genitaux de celui ci à son employeur en guise d'avertissement, mais c'était l'homme du couple qui voulaint assumer la pleine responsabilité des méfaits. Pour autant, les élements de l'enquête semblait démontrer que la dominatrice, des plus manipulatrices (même si dans un cadre sain, sur et consensuel, c'est une qualité !) étaient impliqué dans l'arnaque. Les avocats des accusés ont choisi d'opter pour ce système de défense. Le conjoint de la dominatrice était jalou du client banquier tant qu'en a ses revenus qu'à l'égard des relations BDSM qu'il entretenait avec sa femme. L'opportunité de récupérer des espèces sonnantes et trébuchantes auraient pourtant scéllé un pacte d'escroquerie. 12 mois de prison avec sursis ont été réclamés par le procureur, le verdict sera rendu ce vendredi. Réquisition qui peut paraître clémente mais qui se justifie par la grande tolérance des lois suisses à l'égard de la sexualité tarifée.
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Par : le 04/12/21
LE PETPLAY Le BDSM comporte une myriade de pratique, allant du plus soft jusqu'à l'extrême, de l'ordinaire en passant par l'exotique. Parmi les pratiques les plus anciennes de l'homme, il y en a une qui a su se démocratiser au cours des années 90 / 2000 : Le Pet Play, le fait d'incarner plus ou moins un animal que l'on a au fond de nous. Le Pet Play généralement se découpe en plusieurs archétypes d'animaux récurrent, mais rien empêche la personne d'en choisir un qui n'est pas dans la liste (mais qui sera en contrepartie forcément moins documentée, voir inexistant en termes de communauté). Les Canidés [Chiot / Chien / Loup] Félins [Chat / Chaton / Lion] Équidés [Poney / Cheval] ========================================================= DIVERSES ORIGINES Le PetPlay à beau paraitre neuf au regard de beaucoup de personne, elle est pourtant une des pratiques les plus vieilles du monde au sein de l'humanité. Les premières tribus humaines possédaient toujours un shaman qui incarné le croisement de la vie sur terre, faisant le lien entre le terrestre (la faune et la flore) et le Divin (aspect céleste / spirituel immatériel), ne faisant qu'un avec l'ensemble et formant ainsi un tout réunie en son sein. Si la figure du Shaman c'est quelque peu perdu au fil des siècles en Occident, elle perdura du côté de l'Afrique et de l'Amérique Amérindienne (Animisme). Le PetPlay peut se retrouver aussi dans une commune mesure dans l'antiquité, que cela sois à travers la figure des Amazones, femme farouche comme des "lionnes", ou encore et surtout, de par la figure du Minotaure revêtant à la perfection la notion de (demi) Dieu Homme - Animal. L'histoire de sa conception fait elle-même écho à sa propre nature. Puisque la légende raconte que Minos pour obtenir le trône, fit intervenir Poséidon en personne qui lui envoya un taureau ayant son nul autre pareille au monde. Plutôt que d'honoré sa promesse, Minos se moqua de Poséidon en sacrifiant non pas le taureau envoyer par ses soins, mais un vieil animal malade. Le Dieu rentra par la suite dans une colère noire lorsqu'il se rendit compte du vulgaire subterfuge. Il decida d'échafauder un stratagème pour punir Minos de son inconduite : Envouter sa femme Pasiphaé pour la faire tomber amoureuse du taureau. Avec l'aide de l'architecte Dédale, elle conçut un costume sous forme d'habitacle afin qu'elle puisse être en phase totale avec son nouveau rôle et enfin assouvir sa passion dévorante... 9 mois plus tard je vous laisse devinez la surprise. En dehors de l'aspect historique, c'est bien entendu dans l'art que l'on peut retrouver une certaine représentation de Petplay et ce, jusque dans la pop culture. On pourrait parler des Fury, sans l'aspect sexuel voir comportemental mais avec une simple projection d'eux même en animal virtuel, tout autant que l'aspect filmique, à l'instar de long métrage comme Cat People. Dans le film en question une femme a le pouvoir de se changer en Panthère, entrainant tout un tas de situation allant du plus burlesque au plus dramatique. Je vous épargnerai bien entendu la figure du Loup Garou, la synthèse parfaite entre un homme et un loup. Mais, cela serait oublié que dés notre enfance nous sommes aussi exposé à ce genre de représentation : Les Comics en simple exemple. Et la ce n'est pas ce qui manque niveau diversité, entre Spiderman, Le Fauve, Wolverine, Catwoman, Stargod (l'homme loup), Black Cat, Batman... Difficile de faire la fine bouche ou, de ne pas trouver chaussure à son pied lorsqu'on est un tant sois peu sensible au sujet. ========================================================= LES DIFFÉRENTS PROFILS Le PetPlay dans le BDSM compte comme adepte les PetGirl (femme) et, PetBoy (Homme), il se découpe généralement en 3 catégories : Chien, Chat, Cheval généralement. En termes de proportion, difficile d'établir une base de donné en l'absence de chiffre, mais de mon expérience personnelle, je découperai cela ainsi: 60% de Chien / 30 % de Chat / 9 % de cheval / 1% de autre. Ressentir le fait d'être un animal n'est pas anodin, et il est rare que quelqu'un décide d'en incarner plusieurs à la fois. Le PetPlay permet de se rapprocher d'une animalité que l'homme a perdu avec le temps, à chaque animal son tempérament et sa nature qui correspond à un adepte en qui cela résonnera. Dog Play: Il est ici question de comportements canins ou, plus communément appeler "chien" ou "chienne". On lui associe souvent le cuir mais ce n'est pas un impératif, loin de là. Le PetPlay est loin d'être uniforme, on pourrait associer cela à des paliers d'animalité. Certaines personnes se contenteront d'être promener en laisse, tandis que d'autre iront un cran au dessus en mangeant en gamelle, voir en faisant ses besoins en litière ou dehors. On peut encore aller plus loin pour les plus investies, en faisant en sorte que la personne adopte totalement et entièrement le rôle d'un chien. Celui-ci fonctionne en attachement avec son Maitre certes, mais il doit aussi pouvoir s'inclure dans un groupe de Petplay, avec une attitude à avoir selon le profil du ou, de la soumise (Alpha / Bêta / Omega) au sein de la meute. Quelque sois le niveau du pratiquant : Le dressage est de mise pour pouvoir parfaire ou, évoluer dans sa pratique. Un os peut être fourni, une niche de construit, seule vos limites et votre imagination mettront un frein à tout cela (et peut être aussi votre portefeuille ;) Cat Play: Nos amis les chats sont à l'honneur ici, et même si une large partie des personnes joue le rôle d'une chienne, certain préfère celui d'une petite chatte... Avec ses différences de comportements à noter. Un chat par nature est bien plus indépendant qu'un chien qui restera la plupart du temps aux pieds de son Maitre. Le PetPlay en incarnant / dirigeant un chat, est bien plus observateur qu'acteur. On intervient mais peu en tant que Maitre, le chat fait sa vie, viendra se blottir à vous ou non. Vous pouvez bien entendu tenter de dresser votre chat comme un chien, mais rappeler vous avant tout de son caractère et surtout, de la nature de son rôle choisie. Pour les plus rigoureux, les gamelle d'eau et de nourriture sont à prévoir, ainsi qu'une litière et, peut être, si vous avez de la chance : une chatière afin de bien faire les choses jusqu'au bout (ainsi que quelque bout de carton, les chats adorent s'amuser avec). Pony Play: Cas plus rare mais on ne peut plus intéressant : Le Pony Play. Assez différent du Dog et du Cat Play, le Pony Play s'accentue davantage comme un faire-valoir d'usage pour son Maitre (on peut en tout logique chevaucher son cheval ou sa jument). L'adepte au niveau de sa pratique peut rester soft (léger accoutrement, quelque tour dans la nature en galopant), voir aller plus loin en recevant des coups de cravache ou,en ayant une grange aménager voir, un charriot tiré pour son Maitre pour les plus engagés. ========================================================= VIE QUOTIDIENNE : Comme pour toute pratique lier au BDSM, cela rentre dans le contrat qui lie le ou, la soumise à son Maitre / Maitresse. En d'autre terme : il n'y a pas d'obligation à respecter pour dire que votre pratique est valable ou non (c'est plus votre engagement lorsque vous décidez de l'incarner qui fera la différence). Vous pouvez très bien définir avec votre Maitre / Maitresse que vous ne ferez cela uniquement que le week-end, quand d'autre demanderons quelque chose de plus soutenu et donc, déborderont sur la semaine... Sans oublier ceux pour qui tout cela est une évidence, désirant vivre cela H24 en dehors de leur obligation (pro, ami, famille etc...). Le plus important, est votre bien être, prenez le temps de réfléchir si cela vous parle et, si c'est le cas : jusqu'à quels degrés ? En faisant cela vous éviterez les déconvenues avec votre Dominant, tout en profitant de ce que vous aimez vraiment sans retenu. Giovanni Scaletta *Le dessin fut réalisé par mes soins pour illustré l'article, afin qu'aucune ressource artistique ne soit volé.
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Par : le 07/11/16
DANS LA PEAU D'UNE ESCLAVE. Chapitre 1 – Léantos est déprimé. En cette fin du 25ème siècle, on est revenu à une vision simplifiée de la Société. Le but est de prévenir les guerres, les famines, les inégalités dans la mesure du possible. Pour y arriver, il a fallu refaire des classes sociales sur un modèle antique. C’est ce que le philosophe Tien Long, appelle « Une société en forme de pyramide. » Tout au sommet, il y le Consortium Suprême, qui nomme les Gérants des Régions. En dessous, mais toujours au sommet, il y les riches ou citoyens Alpha. Ils sont environ 1/20ème de la population mondiale. Ile sont riches et disposent de la technologie moderne. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, sous réserve de ne pas déplaire à un membre du Consortium et de payer l’impôt. Au milieu, il y a les citoyens Lambda. Ils n’ont aucuns rapports avec le sommet de la pyramide. Ils ignorent même l’existence des citoyens Alpha. Ils vivent comme au Moyen Age, sans aucune technologie, ce qui est un gage de paix ou de conflits limités. Les villes Alpha leur sont dissimulées. En dessous et jusqu’à la base, il y les esclaves. Il y en a a aussi bien chez les Alpha que chez les Lambdas. Ce sont les condamnés de droit commun pour des faits bénins : dettes, vol, avoir déplu à un citoyen Alpha… Les condamnés pour des faits graves sont envoyés sur les planètes bagnes. Dépendant du Consortium et des citoyens Alpha, il y a les gens d’armes : soldats, policiers, gardes privés, informaticiens. Seuls le Consortium et les citoyens Alpha ont accès à la technologie. Depuis, très longtemps, il n’y a plus de carte d’identité, de passeport, de permis de conduire, de cartes de crédit. Tous les citoyens et tous les esclaves ont une minuscule puce dans leur organisme, où tous les renseignements les concernant sont consignés. Il est impossible d’extraire cette puce. Léantos. En ce début de juin, je suis plus déprimé que jamais. J’envisage même de léguer tous mes biens et mon titre de Gérant de La Région 3 de l’Europe du Sud Est. Je voudrais repartir à zéro sur un des mondes que nous avons colonisés. Enfin, je me suis quand même organisé pour envoyer une importante somme d’argent, d’or et de diamants dans une banque discrète sur une planète qui l’est tout autant. Je suis déprimé, mais pas au point de risquer de me retrouver citoyen Lambda. Une des causes de cette situation est mon récent et catastrophique mariage. La passion vous prive de toutes formes de lucidité ! J’ai eu un coup de foudre pour Fenza, une fille de 22 ans, le tiers de mon âge. C’est une très jolie brune aux yeux noirs. Elle est petite et mince avec un tour de poitrine atteignant à peine les 85 cm et des fesses de garçon. Jusqu’à ma rencontre avec elle, je ne m’intéressais qu’aux femmes aux formes opulentes. Je suis tombé follement amoureux de Fenza et je l’ai épousée un mois après notre première rencontre : une pure folie ! Pourtant, j’avais déjà fait l’expérience d’un mariage raté. Ma première épouse avait un caractère difficile et était une véritable nymphomane. J’ai réussi à faire annuler notre mariage. C’est une chose terriblement difficile à faire de nos jours et ça m’a coûté… un bras. Les lois du Consortium sont devenues strictes, concernant la protection des conjoints. Je n’avais d’ailleurs pas de griefs recevables, juridiquement parlant, pour obtenir le divorce. Comment, après mon premier mariage ne me suis-je pas mieux renseigné sur la personnalité de Fenza? La passion ! Son caractère dominant montrait déjà le bout de son nez, certes, mais avec moi, elle était adorable et au lit elle se révélait perverse et inventive. Toujours prête à ajouter quelques esclaves pour pimenter nos ébats. La grande révolution de l’année 10 du Consortium, a heureusement remis de l’ordre dans notre société en créant la Grande Pyramide. Elle a aussi donné la possibilité aux citoyens Alpha et Lambda d’acheter des esclaves. Le monde Lambda étant une source inépuisable d’esclaves, que nos hommes d’armes vont « razziés ». J’ai une trentaine d’esclaves dont une vingtaine de femmes. Fenza, ma nouvelle femme, a une qualité, c’est une très bonne maîtresse de maison… Avant de la rencontrer, c’est mon intendant qui s’occupait de faire régner l’ordre parmi mes esclaves. Il le faisait assez mollement, toujours prêt à accepter de ne pas punir une esclave si elle était assez docile, ce qui est pourtant la définition même d’une esclave. Il s’en suivait une légère nonchalance chez certaines esclaves… Fenza a changé tout ça, avec une main de fer dans un gant d’acier. Elle est très sévère, d’autant plus que c’est une maniaque de l’ordre et de la propreté. Elle ne supporte pas le plus petit manque de soin. Les punitions sont donc devenues extrêmement fréquentes. Les esclaves la craignent et une esclave qui a peur est d’autant plus obéissante et soumise, cherchant à tout prix à plaire à ses maîtres et a leurs invités. Et puis, c’est amusant de voir une esclave présenter ses fesses pour se faire fouetter, surtout quand elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle a aussi établi toute une série de règles et de punitions. On ne voit nulle part des esclaves aussi bien dressées que chez nous. A tel point, que nos amis s’inspirent à la lettre de son règlement pour l’appliquer chez eux… En ce qui concerne la tenue de la maison et la discipline des esclaves, Fenza est parfaite… Par contre… sexuellement, elle a cessé de faire des efforts comme au début de notre mariage et m’envoie régulièrement me satisfaire avec une esclave. Nos enfants sont en pension, mais la nièce de ma femme qui a 18 ans, vit avec nous. Elle s’appelle Calypso. Je l’ai accueillie dans ma famille et je suis devenu son beau-père, légal, jusqu’à ses 21 ans. Elle est belle, très belle et a un QI de 167, ce qui fait d’elle un membre de la prestigieuse société du Temple d’Athéna, qui réunit les cerveaux les plus brillants. Athéna étant la déesse de l’intelligence. Hélas, comme beaucoup de jeunes gens, elle fait des bêtises. Fenza la punit souvent et la fait même fouetter par une esclave noire, ce qui est l’humiliation suprême pour une citoyenne Alpha. Je dois avouer que je prends un grand plaisir à voir Calypso se faire fouetter. C’est une beauté callipyge, pour rester dans la terminologie de la Grèce antique, c'est-à-dire qu’elle a les plus belles fesses du monde ! Oui, je deviens exalté quand je parle des fesses de ma belle-fille. Les relations entre elle et Fenza sont devenues explosives. Bien sûr, elle mérite souvent une punition et ce n’est pas sans raison que Fenza la punit, contrairement aux esclaves qu’elle fait fouetter pour se distraire ou amuser nos invités. Ma belle-fille s’appelle donc Calypso, ce qui veut dire « la très désirable » en référence à la reine de l'île d'Ogygie, amante d’Ulysse et elle porte bien son nom. Les prénoms de la mythologie grecque sont devenus une mode ces dernières années en Europe du Sud. Calypso déteste celle qui est devenue sa belle-mère légale et qui n’a que 3 ans de plus qu’elle. D’autant plus, qu’elle a le droit de la punir à sa guise. Fenza s’est mise à régenter ma vie personnelle, aussi… Si je n’y mets pas bon ordre, elle va me faire un règlement, comme aux esclaves et à notre belle-fille ! Mon moral étant au plus bas, je ne souhaite plus qu’une chose, me séparer de cette épouse qui devient de plus en plus tyrannique. Je sais qu’il y a eu une enquête quand je me suis séparé de ma première épouse. Les lois sont ainsi faites que si un des époux le refuse, le divorce est impossible. Il m’a donc fallut obtenir le consentement de ma première épouse par des moyens un peu… spéciaux. Je ne puis recommencer avec celle-ci. Ce matin, n’en pouvant plus, je suis allé chercher un peu de réconfort auprès de ma belle-fille. Si une personne peut trouver une solution à ce problème, c’est elle Je sais qu’elle ne supportera plus longtemps, les brimades et les humiliations que lui inflige sa belle-mère. Elle a d’ailleurs, certainement, du élaborer un plan. Concernant, ma belle-fille, j’ai un aveu à faire : je suis terriblement attirée par elle. Je veux dire, sexuellement. Plus mes rapports avec ma femme se détériorent plus mon désir pour Calypso devient brûlant. La voir fouettée par une négresse met le feu à mes sens. Il est 10 h du matin. Elle vient à peine de rentrer. Sa belle-mère va de nouveau piquer une crise, étant donné qu’elle exige qu’elle soit rentrée à minuit au plus tard. Elle va sûrement la faire fouetter et l’enfermer dans sa chambre tous les soirs à 7 h, pendant une semaine. Calypso est légèrement ivre, ses vêtements sont froissés, elle a même une tache de sang sur une manche de sa tunique de soie transparente. Elle m’embrasse et me dit : — Beau-papa, quelle bonne surprise. — Je n’en peux plus ma chérie, je ne supporte plus cette femme. C’est certainement quelque chose qu’elle attend avec impatience. A bout de nerfs, je me mets à pleurer. Calypso vient contre moi et met ses bras autour de mon cou… Elle a eu chaud, très chaud… Elle sent… la nymphe qui a beaucoup couru dans les bois. A travers, mes larmes, je lui dis : — J’adore ton parfum — Je n’en ai pas mis. C’est mon odeur naturelle. Elle lève un bras et met le creux de son aisselle humide contre mon nez ! Aussitôt, je m’arrête de pleurer et… je me mets à bander… Elle me dit : — Tu es décidé ? Enivrée par son odeur, je bredouille : — Oui, ma chérie… et pardon… de l’avoir laissé… Je veux dire, pardon d’avoir laissé ta belle-mère te punir, mais les mots restent dans ma gorge, car elle enlève sa légère tunique. Ses seins nus pointent agressivement vers moi. Elle me la donne en disant : — Allez, essuie tes larmes et mouche-toi. Il est temps que tu te décides. Cette sorcière causera ta perte, si on ne l’élimine pas. Je mets mon nez dans son vêtement humide de sueur comme un enfant peureux met le sien dans son « doudou » ! Elle enlève son léger pantalon. Elle n’est plus vêtue que d’une minuscule culotte à motifs léopard d’un parfait mauvais goût, mais extraordinairement érotique sur elle. Je me mets à geindre : — Elle ne voudra jamais accepter de divorcer et tu sais que son consentement va me coûter une fortune. Elle me tourne le dos et enlève sa culotte en se tortillant… Les fesses de Calypso sont les plus belles du monde. Elles luisent, laiteuses, dans la lumière du petit matin. Elle me tend sa culotte... J’ai deux « doudous » ! Puis, elle vient s’asseoir à califourchon sur mes cuisses les deux bras autour de mon goût en disant : — Je sais comment nous en débarrasser sans dépenser un sou. — Sérieux ? — Oui. Et en plus, je te fais une proposition : je te débarrasse de ta mégère et tu peux me baiser. Mon rêve… Non, mes rêves ! L’odeur musquée et entêtante de sa sueur me brouille l’esprit… Et puis, je me sens incapable de continuer à vivre avec cette garce de Fenza et… je rêve de baiser ma belle-fille ! J’embrasse son épaule me rapprochant encore de l’odeur de son aisselle Elle dit : — Je veux que tu me lègues tes biens et tes titres. Tu avais quand même l’intention de la faire un jour. Avec un chat dans la gorge, je réponds : — Et on baise… — Oui… Je vais enfin la baiser. Elle sort un petit ordinateur d’un tiroir et l’allume. Je vois le document concernant la cession de mes biens et titres à ma belle-fille. Sans réfléchir, je mets mon pouce sur le premier emplacement, puis mon iris sur l’autre. Elle fait la même chose et envoie le message. Avant que je réalise bien ce que je viens de faire, elle écarte les cuisses en disant : — A genoux et montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue. Je mets le nez dans sa chatte en jachère, ses poils me chatouillent les narines. Je passe de l’odeur musquée de ses aisselles à celle fortement marine de son sexe… Je suis au 7ème ciel. Je reste là, à la… humer, elle me donne une claque sur la tête en grognant : — Qu’est-ce que tu attends ? Je vais lécher la chatte en broussaille de ma Calypso, enfin ! Bien sûr, c’était une chose que je ne fais jamais avec mes esclaves. Qui irait lécher le cul ou la chatte d’une esclave ? Il m’est cependant arriver de le faire à mes épouses et je lèche ma belle-fille, comme une esclave lèche sa maîtresse. Rapidement, elle me repousse, en disant : — Baise-moi beau-papa et fais-moi un enfant. Je suis saoulé par ses odeurs et enivré par ses paroles. Elle veut que je me couche sur elle dans la position du missionnaire. Elle croise ses pieds sur mes reins, pour m’enfoncer au plus profond d’elle. De toutes mes forces, j’essaye de freiner le tsunami de sperme qui se prépare… Impossible, je jouis trop rapidement en elle… Calypso, met rapidement sa main en conque sur son sexe en disant : — Je garde ton sperme en moi… Tu peux rester, mais moi, je dors. Je viens de réaliser mon fantasme : lécher et baiser Calypso. Et puis, elle saura me débarrasser de Fenza, cette garce qui me pourrit la vie. Évidemment, je lui ai légué ma fonction, ainsi que tous mes biens… Enfin, une petite partie de mes biens. Elle a beau avoir un QI énorme, elle ne saura jamais que j’ai dissimulé la plus grosse partie. Je la laisse dormir, mon sperme bien au chaud dans le fond de sa vulve. Mes spermatozoïdes se battant comme des barbares à qui sera le premier à violer son ovule ! Chapitre 2 - Calypso fouettée pour la dernière fois. Calypso. Pour le moment, je fais profil bas, ce qui n’est pas dans mon caractère. Je suis dorénavant, la seule propriétaire des biens et des titres de mon beau-père. Je n’aurais jamais imaginé que ce serait aussi facile. Il a suffi que ce vieux cochon renifle mes aisselles et que je lui montre mon cul, pour que j’en fasse ce que je veux. Quelle moule !! Je sais qu’il a mis une très grosse partie de sa fortune dans une banque qu’il croit sûre, mais les biens de mon beau-père sont désormais à moi et j’ai des amis qui vont très vite me renseigner. Pauvre type, je vais l’enculer à sec ! Pour tout dire, ça m’a plu qu’il me baise et qu’il jouisse en moi. J’aime les sports extrêmes et ceci en est un, non ?? Il lèche pas mal d’ailleurs, je le garderai peut-être pour ça. Mais, je n’ai pas envie qu’il passe son temps à baiser « mes esclaves », aussi je l’équiperai d’un petit gadget, l’équivalent pour les hommes d’une ceinture de chasteté. Il va être mignon avec ça… Pas très content, mais mignon ! Maintenant, c’est le tour de ma chère belle-mère de se faire enculer, mais elle ce sera à sec et au moyen d’un énorme gode trempé dans du piment ! Ah, elle va griffer les mains de sa mère… la salope ! Elle ne doit surtout pas savoir ce qui va se passer… J’adore l’idée de lui faire la surprise Il est impossible de faire confiance à une esclave, elles sont éduquées à être veules et obéissantes. Celle qui me plait le plus c’est Aicha ! C’est une blanche, bien sûr, mais elle a la peau mate, ce qui fait qu’on lui a donné ce nom Africain. Le nom d’une esclave est souvent insultant ou ridicule. Un jour je lui ai demandé si je pouvais lui faire confiance, elle m’a répondu : — Non, Maîtresse, si on m’interroge énergiquement, je vous trahirai. C’est une bonne réponse. Ce soir, je suis dans ma chambre. Punie ! Je suis rentrée à 9 du matin au lieu de minuit. Résultat ma belle-mère va me faire fouetter et je devrai être au lit tous les jours à 19 h 30’ Mon Dieu que j’ai hâte de lui faire la petite farce que j’ai mise au point ! Elle ignore que je suis à présent la maîtresse des lieux, des biens et des titres de son époux… Elle vient se distraire à mes dépends. Et, elle est à l’heure, 19 h. Oui, c’est une maniaque de l’heure. Elle arrive dans ma chambre avec une esclave en disant joyeusement — C’est l’heure Calypso, on va te chauffer les fesses. L’esclave dépose près de mon lit, 2 tranches de pain sec et un verre d’eau, mon repas du soir ! Ma belle-mère me dit, — Tu sais ce que tu as à faire. — Oui, belle-maman, mais, si je suis rentrée… — Je m’en fous, minuit c’est minuit — Oui, belle-maman… Je remonte ma chemise de nuit blanche jusqu’aux reins. La chemise de nuit, c’est son idée, bien sûr. Je mets l’oreiller au milieu du lit et je me couche dessus de façon à ce que mes fesses soient surélevées. L’esclave a en main un court fouet à plusieurs lanières, ça fait mal, même très mal, mais ça n’entame pas la peau. « swwwitch », les lanières s’abattent sur mes fesses. — Aaîîîîeee ! 1, merci belle-maman. C’est une fétichiste de la fessée, si je ne compte pas et ne remercie pas, c’est un de plus… ma vengeance ne sera que plus jouissive… « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 2, merci belle-maman. Elle dit à son esclave : — Ne va pas trop vite, il faut qu’elle apprécie, chaque coup ! — Oui, Maîtresse. « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 3, merci belle-maman. Je ferai attention. — Je crois que tu aimes te faire fouetter. — Non, je vous ju… « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 4, merci belle-maman. « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 5, merci belle-maman. Elle pose la main sur mes fesses, en disant : — Elles ne sont pas encore à point ! — Oui, mais… « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 6, merci belle-maman. « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 7, merci belle-maman. Elle s’adresse à son esclave : — On avait dit combien ? — Vous ne m’aviez pas dit, Maîtresse. — Bon, je te dirai quand arrêter ! « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 8, merci belle-maman. Je serai sage ! « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 9, merci belle-maman. Je vous le jure. — Bien… C’est bien, j’aime te voir t’humilier Calypso. Plus qu’un, alors. (grrrrrr !) « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 10, merci belle-maman. Elle vient de nouveau tâter mes fesses en disant : — On pourrait faire cuire un œuf au plat sur tes grosses fesses, Calypso. — Oui, belle-maman. Tu vas voir les tiennes de grosses fesses, poufiasse, et dans pas longtemps ! L’esclave m’attache par la cheville à une barre du lit. Ma belle-mère, très femme du monde, me dit : — Bonne nuit sur le ventre, Calypso. — Merci, bonne nuit à vous aussi, belle-maman. En pensée, j’ajoute « ce sera ta dernière bonne nuit avant un bon moment. » Mais, elle me réserve une dernière petite gâterie, — Ah, j’oubliais, embrasse la main de l’esclave qui t’a fouettée et remercie-la. Elle s’appelle, Mouche Bleue. L’esclave me tend sa main et je l’embrasse en disant : — Merci Mouche Bleu de m’avoir bien fouettée. Petit gloussement satisfait de la sorcière. Une fois seule, j’essaye de manger un peu de pain, mais il est tellement dur qu’il faudrait le faire tremper pour le manger et comme je n’ai qu’un verre d’eau, je préfère boire. La chaîne qui m’attache au lit, ne me permet pas d’aller à la salle de bains. La première fois qu’elle m’a fait fouetter et attacher pour la nuit, je lui ai dit : — Et si je dois faire pipi, belle-maman ? — Tu serres les fesses ! Elle est jouette ! Enfin, plus pour longtemps ! Chapitre 3 - Le plan machiavélique de Calypso. A 2 h du matin, Aicha entre dans ma chambre, elle scie la chaîne au ras de l’anneau avec une scie a métaux. Ensuite, on va chercher une esclave qu’on a déposée devant la porte de la propriété. Elle ressemblait à Fenza avant que je l’envoie dans la clinique du Professeur Di Martino, et maintenant, c’est Fenza. Bien sûr, vous vous dites, impossible de faire ce genre de substitution, à cause de la puce identitaire dissimulée en nous. Exact… Mais, je fais partie du « Temple d’Athéna » qui regroupe les QI les plus élevés du monde. Le grand Maître est aussi un membre de la Triade du Dragon de Feu qui règne sur toute l’Asie pour le compte du Consortium. Il a trouvé très amusant mon idée d’échange et m’a mise en contact avec leurs spécialistes en bio-informatique. Là, on m’a fabriqué une copie exacte de la puce de ma belle-mère. Elle est dissimilée, inactive, dans la nouvelle esclave. A trois, nous remontons dans la chambre de Fenza Elle dort profondément, Aicha lui a donné un soporifique puissant. Son esclave dort par terre, à côté de son lit. Elle dort ou elle fait semblant. Les esclaves ont souvent un 7ème sens leur permettant de survivre. Je fais une piqûre à Fenza pour l’endormir pendant 24 h. Ensuite, je prends un petit appareil pour désactivé sa puce et immédiatement après, j’active celle de l’esclave qui va prendre sa place. La nouvelle esclave est devenue Fenza. Voilà ! Le Contrôle Central ne peut pas se rendre compte que la puce a cessé d’émettre pendant une fraction de seconde. On met Fenza dans une grande valise et on descend dans le garage. On l’installe dans le coffre et on est part. A suivre : https://www.amazon.fr/Dans-peau-esclave-Collection-Pleine-ebook/dp/B01MFEGCW9/ref=pd_ecc_rvi_1 mais à seulement 3,50 e. Et que je me réveille avec des fesses plates, si vous n'aimez pas le livre !
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Par : le 21/08/23
Toujours à la recherche de nouvelle idées pour pigmenter mes jeux avec Maso. C'est un balèze et un guerrier. Je ne pèse que 65 kg mouillée. Cette statue de l'Égypte ancienne me donne des idées. Bien sur Maso a les yeux bandes. Interdit pour lui de me voir nue. Je me déshabille entièrement et monte m'assoir sur sa tête.  Bon, ça va il est costaud. Au debut je tiens des appuis. Il est bien stable.  C'est agréable de l'avoir entièrement sous moi. Il  tient mes chevilles. C'est amusant. Bon j'insiste pas. Je pense à ménager ses vertèbres. C'est juste un essai Maso est soulagé....pas pour longtemps. Avec cette canicule j'ai envie d'un bon bain à l'eau froide. J'empoigne son sexe et le mène de la sorte à  la salle d'eau. Mener un homme par sa queue. Cela aussi c'est amusant.  Maso me lave à l'eau froide.  J'adore sentir ses grosses mains sur moi. Il me masse fermement. C'est si bon.  Comme Maso est un excellent bricoleur, je vais me détendre dans le frigirarium. Une pièce bien fraîche à côté du Caldarium. J'ai pompe les idées sur des revues d'archéologie.  Maso adore que je sois toujours pleine d'idées amusantes. Il a voulu que je devienne sa domina, et bien il l'a ! Belle soirée.  💋💋💋
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