La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 4 heure(s)
En préambule, j’aimerais d’abord expliquer brièvement ce qui m’a mené à la rédaction de cet article.    Tout cela fait suite à un week-end que ma soumise bien aimée a passée chez l’une de ses amies (cette amie étant elle-même membre de la communauté, je tairais son nom afin de ne pas donner un écho disproportionné à l’affaire). En rentrant, elle m’a confié avec sincérité et gène (et suite à un très long silence), avoir découvert une nouvelle forme de désir, pour le moins singulier, “l’aéroplastophilie”. Si ce mot m’était jusqu’alors inconnu, l’authenticité de ce difficile aveu m’a profondément  touchée. Alors, plutôt que de réagir avec perplexité ou jugement, j’ai choisi de m’informer sur le sujet. Non pas pour disséquer le comportement de ma soumise, mais pour accueillir dans les meilleures conditions, une part intime de son être dans cet ensemble qui compose notre lien D/s. Cet article est donc né de cette démarche : comprendre sans réduire, explorer sans condamner, et surtout, créer un espace de dialogue dans notre relation. En effet, il me semble essentiel de donner à ses désirs, même insolites, un cadre où ils peuvent s’exprimer sans crainte. Après tout, n’est-il pas dans mes prérogatives de Mentor/Dominant, de l'accompagner au mieux sur le chemin qui lui est le sien !? J’en viens donc concrètement au sujet principal, en vous proposant de manière structurée, un condensé des différentes informations que j’ai recueilli, dans l’espoir notamment, de pouvoir lever quelques tabous…     1- INTRODUCTION (Étymologie, définition et positionnement dans le champ des paraphilies contemporaines) Aéro : du grec aēr (ἀήρ), signifiant air, évoquant le souffle, la légèreté ou les objets gonflés d’air. Plasto : du grec plastos (πλαστός), qui signifie modelé, façonné, lié ici aux matériaux plastiques moulés comme le vinyle ou le PVC. Philie : du grec philia (φιλία), exprimant l’affection, l’amour, ou une attirance particulière. Trouble paraphilique caractérisé par une attraction sexuelle marquée et persistante envers les objets gonflables constitués majoritairement de matériaux plastiques (vinyle, PVC, latex), tels que bouées, piscines, matelas ou costumes gonflables. Cette attirance peut se manifester par le besoin d’interagir physiquement, visuellement ou symboliquement avec ces objets dans des contextes érotiques ou affectifs. En somme, l'aéroplastophilie désigne littéralement une "affection envers le plastique façonné gonflé d’air", elle constitue une forme de paraphilie encore marginalement explorée dans les sphères médicales et sociologiques. Bien qu’elle soit souvent reléguée au rang d’excentricité ludique ou “fétichisme de niche”. Elle soulève des enjeux profonds liés à l’enfance, au corps, aux mécanismes de compensation affective et à notre rapport contemporain à la matière plastique.     2 - ORIGINES ET ÉTIOLOGIE PSYCHOLOGIQUE (Expériences enfantines et objets gonflables comme référents affectifs) L’émergence de ce fétichisme est fréquemment associée à des stimulis sensoriels précoces : Expériences enfantines liées aux objets gonflables : bouées, matelas, animaux flottants, costumes de carnaval… Ces objets incarnent la sécurité, le jeu et l’enveloppement. Troubles de l’attachement : une carence affective ou la difficulté à établir un lien de confiance durable peut pousser l’individu à créer un lien émotionnel et symbolique avec une matière familière et "contrôlable". Traumatismes précoces : certains cas font état de souvenirs corporels et émotionnels liés à des scènes d’enfance où le plastique gonflable était présent dans un contexte chargé (isolement, réconfort, fantasme inconscient). Ces éléments concourent à renforcer un schéma de fixation où le vinyle ou le PVC devient un substitut d’intimité et un catalyseur de plaisir.     3 - DIMENSION SCIENTIFIQUE ET CORPORELLE (Réactions thermo-tactiles et stimulation sensorielle) Thermo-tactile : la douceur, la fraîcheur ou la résistance du plastique génèrent des sensations distinctes. Auditif : le crissement du matériau ou le bruit du gonflement crée une ambiance sensorielle particulière. Visuel : les couleurs vives, formes arrondies et proportions exagérées stimulent les zones associées au jeu, à l’excitation et parfois au fantasme de domination ou d’absorption. Certaines études comparatives sur les fétichismes tactiles (latexophilie, vinylophilie) indiquent des corrélations neurologiques entre l’activation du cortex somatosensoriel et le plaisir sexuel, rendant crédible l’idée d’un conditionnement érotique.     4 - INFLUENCE HISTORIQUE ET INDUSTRIELLE (Quand la pétrochimie fabrique le fantasme) L’aéroplastophilie ne peut être dissociée de l’évolution des matériaux synthétiques : Années 60-90 : explosion des objets gonflables pour enfants avec le boom du pétrole. La pétrochimie libère des formes ludiques inédites à bas coût. Icônes culturelles : les canards gonflables, les structures de piscine, les costumes en latex des super-héros… autant de figures introduites dans l’imaginaire dès l’enfance. Conditionnement inconscient : le plastique devient un médium de familiarité, associant confort, plaisir et sensualité dans l’imaginaire collectif. Comme Werber l’évoque dans son encyclopédie du savoir relatif et absolu, "L’objet n’est pas simplement ce qu’il semble, mais ce que nous projetons sur lui. Parfois, ce que nous rejetons devient l’objet de notre désir."     5 - SOCIOLOGIE DU DÉSIR MARGINALISÉ (Stigmatisation sociale et rejet culturel) Les personnes ayant développé ce fétichisme font face à plusieurs obstacles : Stigmatisation : dans une société où le fétichisme est déjà tabou, celui envers les objets gonflables est souvent moqué ou ignoré. Exclusion intra-communautaire : même dans les cercles paraphiles (BDSM, fursuits, latexophilie, DDLG…), l’aéroplastophilie peut être vue comme immature, non crédible, ou même simplement "kitsch". Isolement affectif : la peur du rejet pousse certains individus à dissimuler leur attirance, ce qui peut engendrer souffrance psychique, double vie ou conflits identitaires.     6 - LE LIEN D/s FACE À L’AÉROPLASTOPHILIE (Choc du dévoilement dans l’intimité et construction d’un espace partagé de désir et compréhension) Lorsque ce désir émerge dans une relation D/s, les défis sont nombreux : Incompréhension du partenaire : l’assimilation à un “jouet d’enfant” ou à un trouble peut provoquer du rejet. Culpabilité du pratiquant : entre honte et confusion, l’individu peut renoncer à son plaisir ou se dévaloriser. Négociation d’un espace érotique partagé : comme dans tout fétichisme, l’intégration du fantasme dans la relation demande dialogue, pédagogie et ouverture émotionnelle.     7 - CONCLUSION (Réhabilitation symbolique du désir plastique) L’aéroplastophilie, loin d’être un simple caprice sexuel, est une fenêtre fascinante sur les mécanismes de compensation affective, la puissance du conditionnement sensoriel et la manière dont la matière façonne nos désirs. En convoquant l’enfance, les traumatismes et les artefacts culturels, elle rappelle que notre érotisme est souvent plus plastique que nous l’imaginons. P.S. : Si vous avez pris le temps de lire cet article jusqu'ici et que vous vous reconnaissez dans ces lignes, que vous soyez vous-même aéroplastophile, partenaire d’une personne concernée, ou simplement curieux du sujet, je vous invite à apporter votre témoignage dans les commentaires. Comment vivez-vous ce fétichisme au quotidien ? Quel impact sur votre relation/votre lien D/s, votre intimité… Ou encore votre perception de vous-même ? Rappelons que dans cette communauté, ici encore plus qu'ailleurs, les désirs inhabituels méritent d’être racontés, non pour être jugés, mais pour être compris. N’hésitez pas à partager vos expériences, vos réflexions, vos émotions. Et essayons, tant que possible, de faire de ce sujet marginalisé un territoire de parole et d’écoute. “Ce n’est pas ce qui gonfle qui est étrange, c’est ce que nous taisons autour.” B.W.     ____________________________________________________________________________ Source : Bernard Werber - Encyclopédie du savoir relatif et absolu.    
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Par : le Il y a 9 heure(s)
J'arrive à reculons, j'ai vraiment pas envie 🤣 Etaler à l'écrit tout ce que je ressens et qui emplit mon cerveau en ébullition. J'ai l'habitude d'enfouir pas mal de choses, une manière de garder un peu le contrôle et de paraître forte. Et bordel, vider tout le chaos présent dans ma tête c'est loin d'être simple. Mais je vais le faire, parce qu'il me l'a demandé, parce que je sais pourquoi, parce que je sais qu'il sera là après. Jusqu'à il y a quelques semaines tout allait plutôt bien, j'avais arrêté de fumer depuis trois mois, j'avais une vie tranquille, le bdsm était une envie passagère dont je pouvais me passer. Fin mai, j'ai du faire face à deux deuils, à une semaine d'intervalle, le deuxième le jour de mon anniversaire. Tout deux injuste, les deux devraient encore être parmi nous.  j'ai repris la clope, j'ai tout enfouie pour faire face et pouvoir gérer, jusqu'à ce que ce soit trop. Pendant deux semaines j'ai essayé de nager pour rester à la surface, en évitant de trop boire la tasse. J'avais besoin de lâcher prise mais je n'avais personne qui sache gérer l'après. Je savais où et comment je pouvais y arriver. Au côté de quelqu'un qui pourrait m'y contraindre. J'ai donc renoué avec le BDSM et avec ce site. J'ai fait la connaissance de Mike. Il est celui dont j'avais besoin. Il me fait avancer avec bienveillance et fermeté.  Souvent il me fait rire, on aime bien se taquiner  Parfois il m'énerve (avec le sourire), il a la fâcheuse manie d'un peu trop bien me connaître  J'ai toujours eu tendance à manipuler volontairement ou non mes relations D/s, en mode je trouve que tu devrais plutôt faire plus comme ceci, moins comme cela. Je n'ai donc jamais vraiment lâché prise.  Avec Lui, ça ne passe pas, je peux parfois donner mon avis mais cela n'influence jamais ses décisions. Il me l'a déjà prouvé. En ce moment il m'aide à arrêter la clope en réduisant par étape. Pas de punition si je ne respecte pas le deal, il sera juste "déçu". À cette annonce, j'ai trouvé les risques trop nul les dix premières minutes pensant que ce n'était pas avec ça qu'il allait être dissuasif. Et étrangement c'est en faite plus facile. Une punition je l'assume sans problème mais sa déception n'est pas envisageable pour moi. Je sais qu'IRL, il va aussi aussi me faire pleurer et le haïr pour forcer cette carapace et m'obliger à m'abandonner à lui pour aboutir à ce lâcher prise totale où je me sentirais bien, mais je sais aussi qu'il sera là pour l'après. Ça me fait peur, mais j'ai hâte d'y être. Voila, j'ai versé quelques larmes libératrices au début de ces lignes mais arrivée au bout je me sens bien. Merci à toi d'être Toi, ne change pas 😘  
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Par : le Il y a 14 heure(s)
Béate et fondante, je ne ménageais pas les exercices de style, je me voulais partout à la fois. Sans le quitter des yeux, je m'apprêtais à l'embrasser lentement avec application, sans émotion. Je le sentirai alors grossir lentement dans ma bouche, ses yeux devenant troubles. Qui domine l'autre dans ce cas-là ? Il dut convenir que le caractère dont je faisais preuve ne lui déplaisait pas. À la fois sensuelle et totalement soumise, je gagnais ainsi son amour. Dormir dans son lit me semblait, pour des raisons inexplicables, un engagement profond. Je me glissai le plus discrètement possible sous la couette, en scrutant le visage de Xavier, bien résolue à ne pas le réveiller. Il ne bougeait pas. J'éteignis la lampe de chevet, me retournant sur le flanc. Il ne bougeait toujours pas. Mais juste au moment où mon esprit commençait à s'apaiser, où mes membres se détendaient entre les draps frais, je sentis ses jambes se coller aux miennes. Son corps bien vivant. Xavier m'enlaça et écrasa son pelvis contre mes reins. Je demeurai sans réagir, en priant pour qu'il se rendorme, en me détestant de le souhaiter. Mais hélas, il se rapprocha et m'embrassa dans le cou. Je fus parcourue d'un frisson, que Xavier interpréta comme un signe de plaisir. Il effleura ma peau hérissée par la chair de poule, ce qu'il prit pour un symptôme prometteur et une invitation. Au tout début de notre relation, je pensais qu'il était l'homme qui embrassait le mieux de la terre. Je me souvenais encore de notre premier baiser, un instant de pure transcendance. Au terme d'une soirée agréable passée au restaurant et après un dernier verre dans un bar de nuit, il m'avait attirée contre lui pour le plus incroyablement doux baiser que je n'avais jamais reçu, une caresse subtile des lèvres et de la langue, avec une juste combinaison de passion et de sensualité. De toute évidence, Xavier avait eu tout le loisir de peaufiner sa technique, puisqu'il était un des hommes les plus connus et les plus sollicités que j'avais jamais rencontrés. Pourtant, depuis quelques mois, j'avais l'impression d'embrasser un inconnu, et cela n'avait rien d'un fantasme excitant. Cette bouche que je trouvais autrefois douce et sensuelle me semblait de plus en plus froide, humide et d'un contact déplaisant. C'est avec trop de voracité que sa langue cherchait la mienne désormais, que ses lèvres étaient engourdies ou trop charnues. Chaque caresse me faisait l'effet d'un viol. Autrefois, pourtant, le sexe avec lui avait été fantastique. Aujourd'hui, sans me l'admettre, j'avais un grand besoin de nouveauté.    On garde toujours dans la bouche un souvenir, amer-sucré, ça ressemble à des larmes, le goût change tout le temps, ça pique un peu, c'est la magie du sperme. J'étais occupée par des questionnements qui indirectement, me persuadaient qu'il y avait lieu de me demander si j'étais éprise de lui, ou non. À force d'examiner cette hypothèse, l'éventualité de ma passion pour cet homme devenait pour moi une réalité, mieux, une évidence ! Quand Xavier était moins disponible, plus assidu aux jeux de la séduction, moins collant, moins impatient de se caser avec une fille plus sérieuse que toutes celles, frivoles et inconstantes, qu'il avait fréquentées entre vingt et trente ans. Une époque qui semblait se perdre dans la nuit des temps. L'offensive me prit au dépourvu. Soudain, avant que j'ai pu comprendre ce qui se passait, il avait baissé mon shorty jusqu'aux genoux et s'était collé contre moi. Je voyais ses bras puissamment musclés saillir sous son menton et les appuyer sur ma gorge. Je lui demandé avec véhémence de desserrer son étreinte, par chance l'obscurité m'empêchait de voir son visage. Je finis par m'endormir peu avant six heures. Mais ce n'est que plusieurs heures plus tard, en pleine réunion, tandis que la fatigue m'embrumait l'esprit et rendait mon élocution laborieuse, que je me souvins de ma dernière pensée avant que le sommeil ne me happe. Je repensais à cette soirée au cours de laquelle mes amies s'étaient mises au défi de réformer leur vie. Florence allait élargir son champ d'expériences en collectionnant les aventures. Anne était résolue à s'essayer aux joies de la monogamie. Dix jours avaient passé, et je n'avais toujours pas trouvé comment m'associer à ce projet. Jusqu'à cet instant. Ne serait-ce pas opportun d'annoncer que j'allais mettre un terme à cette relation sentimentale insatisfaisante. Même si j'étais terrifiée à l'idée de me retrouver seule. Je m'efforçai de penser à autre chose, à mon prochain voyage. J'assistai à un cocktail pour un prix littéraire organisé par une prestigieuse maison d'édition parisienne. Si mes collègues ne se décidaient pas à remballer leur insupportable verbiage dans les dix minutes, je serai en retard pour un dîner. J'allais discrètement m'éclipser quand le visage radieux de Claire apparut. Elle était réellement lumineuse ce soir dans sa robe noire courte et moulante, glamour et sexy, avec une pointe d'élégance empruntée à Jackie Kennedy, un collier de perles ras du cou. Sa présence qui ne passait pas inaperçue dans l'assemblée me sauvait avec bonheur d'un ennui profond.   - Bonjour, Claire, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc.   Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas.   - J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras. Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Trois jours plus tard, au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Claire réapparut dans mes pensées vagabondes. Avec le recul, elle m'apparut encore plus resplendissante que jamais. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de l'appeler.   J'aurais dû en rester là. J'aurais pu. Cernée, je me voyais à présent traquée par d'inévitables sentiments, fatals et mordants, qui me conduisaient à rechercher d'opportunes occasions d'avoir sans cesse de nouvelles aventures amoureuses. Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement, mourant d'envie de connaître son truc.   - Écoute, mon secret, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clés et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait découvrir un plaisir incroyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas. Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que je jouisse. Un homme que pour l'orgasme.   - Tu te laisses baiser par un homme que tu ne connais même pas, mais tu es complètement folle.   - Au début, j'étais comme toi. Plutôt prudente et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas. J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour de la semaine tu veux baiser avec lui.   Je suis restée des heures à regarder les ombres courir sur la moquette amande, anéantie de bonheur, épouvantée aussi, je n'ai jamais eu de patience. Déconcertée, je demeurai un long instant interdite, incapable de réfléchir et de peser le pour et le contre. Je reposai le combiné, troublée. Ouvrir ses cuisses, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais: incroyable. Moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies. Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage aux toilettes me fit découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de ma vulve, déjà en éveil à l'idée d'une telle rencontre. Je ne pus m'empêcher de me caresser pour apaiser d'un plaisir au singulier son attente. Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamais; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant, je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont centrés sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai hurlé comme sous ses coups, j'ai joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie. Le lendemain, l'envie était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en vain de chasser ses fantasmes. Mais tous mes sens s'opposaient vivement.   Je flottais un peu,en guettant le signe qui me libérerait. J'aurais pu. J'aurais dû. J'étouffais de rage d'être coincée dans un naturel aussi peu enclin à la satisfaction, de me voir soumise à un tempérament de forcenée qui me portait toujours en avant plutôt que de jouir des féeries de l'instant. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi et se défendait vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restai dans une dualité qui ne m'apportait aucun répit. Un désir de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver une dynamique dans notre couple. Xavier me demanda alors une explication, je lui répondis que je venais de remporter un très important contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé. Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable. Le premier jeudi arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans les couleurs pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends. Dès que je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon intimité d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé le duvet de mon pubis pour qu'il soit encore plus doux. Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus douce musique, prélude à notre étreinte, alors cette mélodie des sens excite ma convoitise.   Je me suis glissée contre lui, féline et silencieuse, j'ai trouvé son sexe et je l'ai serré fort, le pauvre, tout endormi. C'était de l'amour avec un grand A. L'amour, je croyais savoir déjà ce que c'était, j'y avais même cru l'avoir déjà ressenti auparavant, et même plus d'une fois. Et pourtant, je ne lui avouais pas. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non. Il ne vient jamais directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon corps. Il ne me touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attend-il pour me prendre, je suis en manque de lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se lève, rejoint le lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu. Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue reprend sa promenade, découvre mollets, cuisses. Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, force mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le bijou anal lui interdisant l'accès à ma voie la plus étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif, un deuxième, puis un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à partir, mes mains emprisonnées ne peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts. Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suppliques: il fouille, prend, envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique. Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue. Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supplie de me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses. Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce, les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend. La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact brusque et viril. Je suis transpercée par mon orgasme.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le Il y a 15 heure(s)
Grosse truie a souiller cherche vieux pervers ou rebeux tres sadique pour m'écraser les mamelles et prendre tout votre champagne . J'adore servir en toilettes publiques et lecher les chiottes pour les nettoyer.
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Par : le Hier, 18:36:34
Elle aime ça: être soumise sexuellement. Elle aime ça, se faire baiser la bouche, se faire gifler et insulter pendant qu'elle est maltraitée. Ca fait trop longtemps que #la# bonne personne s'est occupé de son cul et de sa chatte!  Car ça aussi elle l'aime : se faire défoncer tous les trous qu'elle offre. Elle aime ça: servir ... servir de table ou repose - pieds . Il y'a des jours ça lui manque . Et puis il y'a ces jours où elle aime juste flotter dans sa bulle , sans désirs sexuels... l'envie de pisser dans la bouche d'un homme soumis est toujours présente ... car elle sait qu'elle  aimera ça aussi . Elle aime être attachée et sentir sa peau chauffer mais pas que : sur ordre au bon moment choisi elle restera immobile pour se laisser maltraiter.   Oui, en effet elle aime tout ça . En gros elle sait qu'elle aime ça: se retrouver entre les bonnes mains de celui qui saura s'occuper d'elle ! Elle ... la chienne dévouée à celui qui le mérite ...   
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Par : le Hier, 09:57:43
Depuis longtemps elle avait oublié les notions de valeur et d'amour-propre et elle avait pris l'habitude de s'abandonner à la concupiscence des hommes sitôt la nuit tombée. Mais elle séparait l'amour du plaisir, elle appelait cela le syndrome de la collectionneuse. Elle demeurait toujours silencieuse et hautaine, quand la lumière devenait tamisée et le silence feutré. Alors elle s'offrait sans dire un mot, parfois aux tourments qui la laissaient pantelante, honteuse et prête à implorer mais veillant toujours à ne trahir aucune faiblesse, même sous le fouet. Ce soir-là, elle pénétra dans le hall de l'hôtel et le miroir de l'entrée lui renvoya le spectacle de sa silhouette gracieuse. La jeune femme frissonna de se trouver jolie pour la première fois de sa courte vie; non qu'elle ne le fût pas, au contraire, l'effet de souffle de sa frêle beauté était inévitable, mais elle était de ces ex-petites filles blessées dans leur image qui, toujours, ignoreront les triomphes de leur éclat, convaincues qu'elles sont indignes d'être contemplées avec des yeux éblouis. Bien sûr, depuis son adolescence, les hommes s'étaient relayés pour soigner cette inquiétude mais, toujours, alors qu'ils lui bricolaient des adjectifs persuasifs, elle n'y avait vu que de la flagornerie destinée à la culbuter, ou la marque de ce dérèglement du jugement qui va avec la passion. Elle aimait sa persévérance. Elle signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais, en même temps, les innombrables attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Elle ne put s'empêcher d'être émue par ses pensées. Charlotte pénétra dans le hall d'entrée et salua d'un signe de tête la réceptionniste. Elle prit l'ascenseur, les mains moites, le cœur battant à tout rompre. Sous sa robe, pour accompagner son string, elle avait choisi un soutien-gorge pigeonnant, dont le voile léger couvrait à peine ses seins. La caresse de la soie sur leurs pointes dressées ajoutait encore à sa suave excitation. Elle portait un parfum léger, sensuel. Et sa façon de le saluer, toute simple, était éblouissante. Il ne se souvenait pas qu'une femme l'ait jamais intrigué à ce point. Peut-être était-ce dû au masque qu'elle portait ou à la réputation qui la précédait. Quoi qu'il en soit, elle était ravissante, et de celles qui accrochent le regard et fascinent. Et ce n'était pas une question de robe ni de bijoux. C'était toute sa personnalité qui transparaissait: sexy, impertinente, séductrice. S'amuser à provoquer un homme aussi désirable, était plus facile qu'elle ne l'aurait cru. Le déguisement n'était qu'un artifice. C'étaient ses yeux verts derrière son masque et sa bouche sensuelle qui le troublait. La soie fluide moulait somptueusement les courbes de sa silhouette. Le précieux collier plongeait de manière suggestive entre ses seins, le métal froid lui rappelant que si elle jouait correctement son rôle, très bientôt les doigts de l'inconnu effleureraient sa peau. Elle laissa ses doigts glisser le long du collier, jusqu'au cabochon niché au creux de sa poitrine. Il ne fallait jamais remettre au lendemain ce qu'on pouvait faire la veille.    Une émotion incomparable la submergea alors: elle était confrontée à son fantasme quotidien, sa lutte éternelle, elle ne pouvait vaincre le besoin de montrer ce que tout le monde attendait de voir et la culpabilité perfide pourfendit son âme. L'inconnu allait succomber à son charme vénéneux. Par sa simple conduite, l'homme venait de lui certifier sa beauté. Sa gêne même l'attestait, tandis que son regard se fixait obstinément à côté d'elle, s'accrochant au murs de marbre blanc pour ne pas glisser vers le danger qu'elle était alors subitement devenue pour lui. Elle avait réussi à le surprendre, à l'intriguer. Elle ne disposait que d'une nuit. - Monsieur, dit-elle. Je veux que nous fassions l'amour. L'homme leva un sourcil étonné et un sourire amusé effleura ses lèvres. Charlotte ne voulait surtout pas qu'il réfléchisse. Elle voulait qu'il se contente de ressentir et de réagir. D'un geste téméraire, elle glissa la main vers sa nuque, noua les doigts dans ses cheveux sombres et attira son visage vers le sien. C'était elle qui avait pris l'initiative du baiser. Ce fut l'homme qui en prit le contrôle. Il n'y eut pas de phase d'approche. Ses lèvres pressèrent les siennes, sa langue pénétra sa bouche, trouva la sienne, s'y mêla en un baiser sauvage, exigeant, prenant d'elle tout ce qu'elle avait à donner. Elle s'abandonna à son étreinte, s'enivrant de l'odeur de sa peau, une odeur virile, troublante. - Allons dans un endroit plus intime, voulez-vous ? Il eut un bref mouvement de sourcils, comme s'il soupçonnait un piège, mais il était trop poli pour répondre. - Nous venons d'arriver. - N'avez-vous pas envie d'être seul avec moi ? Car je n'ai aucune envie de différer mon plaisir. Ni le vôtre. - Comment savez-vous que nous aurons du plaisir ? - Une femme sait ces choses-là. - Même si mes exigences sortent du commun ? L'ascenseur s'immobilisa à son étage. Elle prit l'homme par la main et ils franchirent la double porte aux vitres gravées, traversèrent le hall de marbre et gagnèrent la luxueuse suite préparée. Elle était toute entière éclairée de bougies et ils traversèrent le salon en direction de la vaste chambre élégante, raffinée, décorée dans un subtil dégradé de tons chauds. D'autres bougies étaient disposées de part et d'autre de l'immense lit. Sur la commode, on avait disposé deux flûtes de cristal et une bouteille de champagne dans un seau à glace en argent. Le lit était entrouvert et les draps soyeux, comme une invitation aux ébats. Charlotte avait ouvert toutes grandes les portes de la terrasse qui surplombait l'océan pour laisser la brise parfumée baigner la chambre. L'homme ne prêta pas la moindre attention au décor. - Baissez la fermeture de ma robe, susurra-t-elle d'une voix enjôleuse. - Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je prenne mon temps, j'espère, murmura-t-il à son oreille. - Bien au contraire, répondit-elle.   Le regard de l'inconnu l'encouragea à poursuivre sans la moindre hésitation sa tentative de séduction. Elle n'avait jamais pu feindre l'indifférence. Elle haïssait la méthode mais elle succombait à sa nature. Il y a des beautés flagrantes, comme ça, contre lesquelles il faut se prémunir pour conserver ses moyens et il est plus facile de conserver son sang froid devant une femme qui fascine en évitant de la regarder. Naturellement, tout en parlant, il mit un soin maniaque à ne pas la fixer, à laisser ses yeux là où elle n'était pas, et cela ne fit qu'enfler la gêne et le trouble déjà énorme de Charlotte.Elle se sentit soudain la bouche sèche. Elle avait envie d'être nue, de sentir ses mains sur elle tout de suite, mais aussi follement envie qu'il prenne tout son temps. Il descendit la fermeture Eclair de quelques centimètres. Le corsage de la robe s'ouvrit dans son dos, s'écarta de sa poitrine et elle sentit un souffle d'air frais balayer ses seins. Du bout des doigts, il caressa son son cou, ses épaules, décrivant de petits cercles sur sa peau nue tandis qu'elle écartait doucement les pans de son corsage. Elle n'avait pas bougé, tenant toujours ses cheveux relevés pour lui, dans une position cambrée qui projetait en avant ses seins avides de la caresse de ses mains expertes. Elle ne s'inquiéta pas quand il plaça autour de son cou, un collier en acier comportant une charnière, située au centre. Il le verrouilla brusquement grâce à un système de vis et d'écrou. - Vous avez un dos superbe, dit l'homme sans se troubler. Il fallait qu'elle s'écarte, qu'elle reprenne le contrôle du jeu. Mais c'était si bon de sentir ses mains sur ses seins qu'elle n'en eut pas la volonté. Et il s'y attendait. Il savait qu'elle ne pourrait pas. Il l'avait lu dans son regard, senti dans la façon dont elle cédait à la tentation, s'abandonnant à ses mains expertes. Ses paumes effleuraient sa chair, ses doigts la frôlaient à peine. La sensation était telle qu'elle dut se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Elle referma les doigts sur ses épaules. Sa peau était chaude et douce. Du velours sur de l'acier. Chaque caresse de ses mains sur ses seins, chaque pression de ses doigts faisait croître le désir niché au creux de son ventre. Jamais elle ne s'était sentie à ce point prête pour un homme, excitée, humide. Elle l'était déjà au moment où elle avait ôté sa robe. Il pressa de nouveau la pointe de ses seins. Mais l'homme avait décidé d'imposer son rythme, de l'exciter, de la pousser à bout, puis de faire machine arrière au moment où il la sentirait prête à chavirer. Quand elle glissa les pouces sous l'élastique de son string et le fit glisser sur ses fesses, des fesses musclées, elle se retourna et il découvrit son pubis finement rasé, il la fixa, le regard brûlant de désir, une expression si intense sur le visage qu'elle fut saisie de peur. Elle allait subir l'épreuve du fouet.    Elle était exposée, incapable de rester immobile, sentant les yeux de l'homme tendus vers son ventre, hérissant sa peau, la contraignant tôt ou tard à desserrer ses genoux puis à écarter plus franchement ses jambes. La caresse de son regard en coup de fusil, qui cependant évitait toujours ses yeux, étonna la jeune femme, heurtée par la douceur soudaine de cet inconnu dont la note dominante était la virilité la plus sauvage, sous une fine pellicule d'éducation. Derrière ses pupilles volontaires se formaient déjà les réflexions qu'il avancerait ensuite en stratège. L'homme bondit alors, tel un animal sauvage, et tandis qu'elle se redressait, il la souleva dans ses bras. Lorsqu'il l'eut posée sur la terrasse, il saisit la rambarde, emprisonnant Charlotte entre ses bras. Elle était piégée. Son petit numéro de strip-tease avait définitivement chassé l'homme réservé et distant et libéré l'être viril et impétueux. Comme attirés par un aimant, ses doigts se refermèrent sur son sexe. Il était long et dur. Il sursauta lorsqu'elle allongea les doigts, les referma sur ses testicules qu'elle pressa doucement. Du pouce, elle effleura son gland gonflé et fut heureuse de l'entendre gémir de plaisir. - Je vais explorer toutes les zones sensibles de votre corps avec ma langue, murmura-t-elle. Comme hypnotisée par le bruit des vagues qui se brisaient sur les rochers de la côte, en contrebas, elle s'agenouilla et prit le sexe de l'homme dans sa bouche. Il avait le goût du vent et de la pluie, le goût viril d'un homme. Et comme elle le lui avait promis, elle l'amena au bord de l'orgasme. Brusquement, il glissa les mains entre ses reins. Perchée sur ses talons hauts, elle se trouvait cambrée, les fesses en arrière, dans la position idéale pour qu'il glisse un doigt en elle. Un doigt qu'il plongea dans sa voie la plus étroite, l'élargissant avec volupté jusqu'à ce qu'elle fut détendue. - Je veux que vous veniez en moi par cet endroit. - Je le sais. Mais il s'arrêta. Il se redressa, plaqua son corps contre le dos de Charlotte. Son membre dur plongea entre ses fesses. Elle se cambra pour le prendre en elle, mais il s'écarta, referma les mains sur ses seins et en pressa la pointe durcie. Ce fut comme si une décharge électrique traversait le corps de la jeune femme. Elle se cambra de nouveau, collant son rectum contre lui. Lorsque enfin, il la pénétra, elle était si brûlante, si excitée qu'elle jouit aussitôt dans une explosion de tous les sens. Elle se serait écroulée si les bras puissants de l'homme ne l'avaient retenue. Il glissa une main entre ses cuisses et, ouvrant délicatement sa chair, il se mit à caresser son clitoris. Elle le sentait partout, avec son sexe planté profondément dans ses entrailles. Quand elle atteignit l'orgasme, il se décolla d'elle brutalement. Bientôt, tandis qu'elle retrouvait ses esprits, l'homme la tenait serrée contre lui, blottie dans ses bras. - Avez-vous déjà été attachée et fouettée ? - Non jamais. Sans attendre, l'inconnu dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une corde de chanvre qu'il attacha au plafonnier de la chambre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis qu'il l'ôtait de son pantalon. - Que faites-vous ? - Je répare seulement un oubli. Souvenez-vous de mes exigences spéciales. La douleur laissera alors place au plaisir. L'homme commença par apprécier la souplesse du ceinturon en cuir en fouettant l'air. Le premier coup claqua sèchement contre ses fesses. Le second atteignit bientôt brutalement ses épaules. Il souhaitait rapidement l'amener à merci.    Un voile rouge devant les yeux, elle contemplait dans un ralenti superbe le ballet de la ceinture qui se balançait dans l'espace comme un métronome sentencieux. Elle se cambrait, ouvrant un peu la bouche sans crier. Le troisième coup écrasa ses seins la laissant comme morte. C'était à elle de parler maintenant. Consentait-elle ? Mais elle ne pouvait parler. Cette volonté qu'on lui demandait tout à coup d'exprimer, c'était la volonté de faire abandon d'elle-même, de dire oui d'avance à tout ce à quoi elle voulait assurément dire oui, mais à quoi son corps disait non, au moins pour ce qui était du fouet. Car pour le reste, s'il fallait être honnête avec elle-même, elle se sentait trop troublée par le désir qu'elle lisait dans les yeux de l'homme. Il n'était pas du style à y aller progressivement. Il avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses. L'homme la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Vingt, trente, quarante coups. Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées, s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle était exposée à un âtre crépitant. - Vous voudrez bien vous retourner. - Non, pas devant, haleta-t-elle, Pas devant. - Vous devez aller jusqu'au bout de vos fantasmes de soumission. Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva la jambe pour essayer de se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue. Il ne refrappa pas immédiatement. Il attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet. Il continua à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. L'homme cessa presque aussitôt de la frapper. Il s'approcha de la jeune femme et ce fut lui qui remarqua le premier que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer bientôt. Elle n'avait aucune envie de bouger. Comblée, elle ne rêvait que de rester là, blottie dans les bras de l'inconnu. Mais pour lui, il était hors de question de passer la nuit avec elle. Le risque était trop grand qu'elle découvre alors son identité. On ne vit qu'une fois et il n'est jamais trop tard pour mal faire.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir. 
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Par : le Hier, 08:16:03
Salope, ah tu voulais me jeter aux lions. Tu fais moins la maline maintenant avec ma bite dans ton cul. Prend ça et encore ça.  Salaud, tu me fais jouir.  Ferme la et jouis en mordant les coussins. Je veux pas t'entendre quand je prend mon pied. Quel beau cul tu as.  Aie tu fais mal avec tes claques  Ferme la ou je te bâillonne. Masse ton clito avec ta main pendant que je te defonce. Putain que c'est bon. Tu es un vrai salaud. Enculer ton imperatrice,  ta reine, ta Maîtresse.   J'ai encore le dos qui me brûle à cause de ton fouet amer. Alors ferme la et prend ça et encore ça. Putain ça vient je vais jouir. Trop bon. Putain que c'est bon.  Salaud j'ai joui aussi
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Par : le Hier, 05:46:11
-A genoux, petit impertinent. Je commande et tu obéis.   Auguste, l'empereur qui règne sur les mondes n'est plus que l'esclave de sa femme, la très belle Livie. Il a besoin de cela pour son bien, pour oublier sa lourde charge, ses soucis et se vider la tête.   Livie prend une  dure et souple  baguette en olivier, une qui fait bien mal. Une qui siffle bien quand elle frappe.  -Tu n'es plus mon empereur, juste mon esclave et je dois te punir.  Elle lui demande de se mettre nu et de s'allonger sur le ventre sur le carrelage froid. Auguste s'exécute. Il reçoit une sévère correction. Ses fesses sont rouges. Livie frappe très fort et fait très mal. Il gemit  il lâche prise.  Livie prend un fouet de lanières de cuir tressées. Elle passe un collier d'esclave au tour de cou de son époux et l'attache contre une colonne de marbre.  - La baguette c'était juste pour te chauffer le cul. Maintenant tu vas recevoir ta punition et tu devrais supplier longtemps pour que je cesse. Le fouet vole et claque. Auguste subi la dure loi de sa femme. Son dos est en feu. Une douleur terrible. Il supplié. Livie ne l'écoute pas et le claque encore plus fort. C'est leur pacte d'amour. Elle brise toute résistance, toute fierté chez son Auguste qui souffre et qui l'aime pour cela.  Puis elle le détache, s'assoie sur son fauteuil d'imperatrice. C'est elle le César maintenant. Elle remonte sa longue tunique sur ses jambes superbes. Écarte les cuisses et dévoile son intimité devant Auguste à genoux.  -Viens honorer de ta langue ta Maîtresse petit vermisseau.  Et fais cela bien car sinon je brûlera ton dos avec une bougie.  Auguste s'exécute encore.  Il dévore le sexe de son épouse. Dégage son délicat clitoris et le suce. Livie tremble et jouit plusieurs fois dans sa bouche. Son intimité moite sent si bon. Auguste bande fort. Livie s'en aperçoit.  - Comment oses tu  ! Le fouet ne suffit pas. Je vais te jetter aux lions. Auguste tremble. Il sait combien Livie peut être impitoyable et s'affranchir de toutes les règles des jeux. Il sait combien parfois elle semble n'avoir plus de limites. Il a peur tout à coup. Il voit son regard humide, ses yeux brillants et si durs.  -Non, pas les lions. Qui dirigerait Rome ?  -Moi bien sûr. Et je commencerai par faire fouetter tous les sénateurs.  Le peuple m'aimera pour cela. Les lions vont faire un bon repas ce soir. Ce n'est pas tous les jours qu'ils ont un empereur au menu.  - Non pas les lions, tu sais combien je t'aime.  - bander sans permission ne saurait rester sans punition. Que proposes tu en échange de ta vie ?   
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Par : le 26/07/25
Difficile de savoir exactement à quel moment tout a basculé. nous discutions tout les deux, c'était amical, et sans m'en rendre compte je me suis de nouveau retrouvé à ses pieds, de manière naturelle.  Nous avons décidé de prendre notre temps. Depuis ce fameux soir, nous discutons énormément, de tout et de rien, nous apprenons à nous connaître. Avec le temps, nous nous comprenons sans mots Tres régulièrement il me surprend dans ses réactions, il me rend fière de l'avoir choisi, il est celui qui me correspond.  Comment le décrire ?  Il est à l'écoute de mes besoins, gentil quand il faut l'être, il m'impose sa Domination avec finesse et fermeté, il est sadique autant que je suis maso. Il est patient mais intransigeant, il n'est jamais très loin. Je le respecte, je le taquine sans aller trop loin. Inutile de le "tester", je le sais réactif  A ses côtés je me sens belle et forte face au monde tout en étant toute petite face à Lui. Il m'attire, il m'intimide, il me manque quand je ne le sens pas et il me rend dingue quand il est là. L'IRL est prévu, programmé, la date, le lieu. Son collier sera alors posé, symbole de ce lien que nous construisons jour après jour. Je suis fière d'être à Lui, à Ses Pieds, soumise à Mon Maître 😍
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Par : le 26/07/25
J'ai demandé à IA un topic sur ce sujet.  Les pratiques que l’on regroupe aujourd’hui sous le terme de BDSM existaient bel et bien, sous d'autres formes et avec d'autres justifications, dans l’Empire romain. Elles s’inscrivaient dans des contextes de hiérarchie sociale, d’esclavage, de sexualité codifiée, et parfois de spectacle ou de rituel. Voici un panorama de ces pratiques à la romaine. L’asymétrie de pouvoir, tout d’abord, était un fondement du monde romain. Les citoyens libres, en particulier les hommes, jouissaient d’un droit absolu sur les esclaves, y compris sexuellement. L’usage du corps d’autrui, y compris pour des plaisirs extrêmes ou violents, était autorisé, pourvu que le statut social de la personne utilisée soit inférieur. L’inverse – un citoyen libre se laissant dominer – était considéré comme honteux et déshonorant. L’esclave sexuel ou l’esclave de maison pouvait être fouetté, humilié, attaché, exhibé, ou forcé à jouer des rôles, dans un cadre privé ou lors de banquets orgiaques. La fouet et la flagellation étaient très courants. On utilisait des verges, des cordes, des ceintures ou des instruments en cuir. Ces pratiques pouvaient être punitives, rituelles ou simplement érotiques. Les sources iconographiques de Pompéi, les objets sculptés et les lampes à huile révèlent que certaines scènes de contrainte physique et d’excitation par la douleur étaient connues, voire appréciées. Il existait aussi des cas de domination féminine. Dans les textes satiriques, comme ceux de Juvénal ou Martial, on trouve des portraits de dominae puissantes qui inversaient l’ordre sexuel en dominant leurs amants masculins. Cela incluait parfois des pratiques proches du pegging, de la castration symbolique, ou des humiliations orales et physiques. Ces récits choquaient l’ordre moral romain car ils remettaient en cause la virilité et l’autorité du citoyen mâle. Les spectacles publics et les banquets offraient parfois un théâtre à ces pratiques. Certains esclaves ou condamnés étaient mis en scène dans des jeux humiliants, parfois à connotation sexuelle. Lors des bacchanales ou orgies, on assistait à des inversions des rôles, des travestissements, des scènes de servitude feinte ou réelle. Ces pratiques étaient ritualisées, mais aussi ludiques et parfois extrêmes. Sur le plan moral et juridique, la notion de consentement telle que nous la connaissons n’existait pas. Ce qui comptait, c’était le statut social. Un homme libre pouvait tout exiger de ses inférieurs, mais il devait garder sa dignité en refusant d’être pénétré, soumis, ou ridiculisé. Ce n’était pas tant la violence ou la douleur qui choquait, que l’idée de soumission volontaire d’un homme romain à autrui. Les sources de ces pratiques sont nombreuses. Les graffitis de Pompéi révèlent un langage cru et des scènes sexuelles très explicites, sans filtre. Les auteurs satiriques se moquent des excès sexuels des élites. Certains traités médicaux ou érotiques, comme ceux inspirés de Philainis, ou les poèmes d’Ovide, mentionnent des jeux de pouvoir et des techniques précises. Enfin, les objets d’art – fresques, mosaïques, lampes – donnent une vision directe et souvent très suggestive de la sexualité romaine. Pour résumer, les Romains pratiquaient bien des formes de domination, de contrainte, d’humiliation ou de mise en scène sexuelle que l’on pourrait aujourd’hui classer dans le BDSM. La flagellation, le ligotage, l’exhibition, l’humiliation verbale ou physique, la domination féminine et les jeux de rôle étaient connus et parfois célébrés dans certains cercles. La notion de plaisir mêlé à la douleur, au pouvoir et à la transgression était bien présente – mais inscrite dans une culture où l’ordre social était la clé de toute légitimité.  
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Par : le 26/07/25
  Chapitre 28 : L'écho des sensations   Après le retour à l'appartement et le glissement dans notre dynamique "vanille", une autre facette de son éducation s'imposait naturellement. Le calme qui suivait la séance n'était pas un simple vide, mais un espace propice à l'analyse, à la consolidation des leçons apprises. Il était temps de faire un débriefing. Ce moment, aussi essentiel que l'action elle-même, permettait de sonder les profondeurs de son expérience, de graver les sensations et les apprentissages dans sa conscience. Nous étions installés dans le salon, la lumière douce du jour s'attardant sur les murs. Elle portait un peignoir de soie que je lui avais offert, le tissu fluide épousant ses courbes avec une grâce pudique. Elle était assise sur le canapé, non plus accroupie à mes pieds, mais à ma droite, à une distance respectueuse, mais invitante. Son visage était détendu, apaisé, mais une légère anticipation brillait dans ses yeux. Elle savait que cette discussion était un rite, une part intégrante de notre processus. Je la regardai, mes yeux posés sur elle avec une intensité calme. Il n'y avait pas d'urgence, seulement le désir de comprendre, de l'aider à articuler ce qu'elle avait vécu. C'était un dialogue où sa voix, si souvent silencieuse pendant la séance, était maintenant encouragée à s'exprimer, à donner corps à l'indicible. "Comment te sens-tu ?" demandai-je, ma voix douce, mais empreinte de l'autorité que je ne relâchais jamais entièrement. Elle prit une légère inspiration, ses doigts effleurant le tissu de son peignoir. "Apaisée, Monsieur. Et… pleine." Le mot "pleine" résonna entre nous, porteur de multiples sens. Pleine d'expériences, pleine de sensations, pleine de ma présence. Je la laissai un instant savourer cette plénitude, puis je poursuivis. "Peux-tu me décrire ce que tu as ressenti pendant la séance ? Pas seulement les moments de plaisir, mais tout. Les attentes, les tensions, les doutes, les abandons." Elle hocha la tête, ses yeux baissés un instant en signe de réflexion, puis elle les leva à nouveau vers moi, cherchant sans doute mon approbation pour se lancer. "Au début, sur le tapis… il y avait l'anticipation, Monsieur. Une peur étrange, mêlée d'un désir si fort que j'en tremblais. Quand vous avez approché la plume… chaque effleurement était une torture exquise. Mon corps criait, mais je savais que je devais rester silencieuse. C'était difficile." Sa franchise était appréciable. "Et la difficulté, qu'est-ce qu'elle t'a appris ?" "La maîtrise," répondit-elle aussitôt, son regard plus ferme. "La maîtrise de mes propres réactions. Comprendre que mon plaisir est lié à mon obéissance." "Très bien," dis-je, un léger sourire effleurant mes lèvres. "Continue." Elle raconta ensuite la montée en puissance, la façon dont ma main avait exploré son corps, comment chaque geste, même le plus infime, avait été amplifié par son attente. Elle parla de la sensation de la robe légère sans sous-vêtements, ce secret partagé qui rendait la promenade en ville si audacieuse et si excitante. "Quand nous étions sur la place du marché, Monsieur, je sentais les regards. Je savais que personne ne savait, mais cette pensée… elle me rendait à la fois incroyablement vulnérable et étrangement puissante. C'était comme si mon corps était un message que seul vous pouviez lire." "Et cette vulnérabilité, cette exposition silencieuse, comment l'as-tu vécue ?" "Comme une offrande," dit-elle, sa voix plus posée, plus confiante. "Une offrande de ma pudeur, de ma liberté, au monde, mais surtout à vous." Elle évoqua ensuite le moment où je l'avais prise, la lenteur calculée, le choc de la fusion. "C'était une délivrance, Monsieur. Pas seulement physique. Mon esprit… il s'est vidé. Il n'y avait plus que vous, et la sensation d'être enfin… entièrement à ma place." "Y a-t-il eu des moments où tu as ressenti un malaise ? Une hésitation ? Une partie que tu as moins bien vécue ?" demandai-je, car le débriefing n'était pas seulement une célébration, mais aussi une occasion d'ajuster, de perfectionner. Elle réfléchit un instant, ses yeux se perdant dans le lointain. "Peut-être… au début de la promenade, Monsieur. Avant d'arriver au marché. Le fait de devoir garder les yeux baissés. C'est… inhabituel. Le monde est si riche en détails." "Et tu as réussi à surmonter cela ?" "Oui," affirma-t-elle. Une fois sur le marché, l'attention s'est portée sur mon rôle. J'ai compris que mes yeux n'étaient pas là pour regarder le monde, mais pour ressentir ma position par rapport à vous. Et le silence. C'est ce silence qui a rendu chaque chose si intense." Je hochai la tête, satisfait. Sa capacité d'analyse, sa volonté de comprendre et d'intégrer chaque facette de son éducation, était remarquable. Elle ne se contentait pas de subir ; elle apprenait, elle grandissait dans son rôle. "Très bien," dis-je, me penchant légèrement vers elle. "Cette séance a été un succès. Tu as dépassé mes attentes. Chaque sensation, chaque émotion que tu as décrite, est une étape vers la soumission totale que nous cherchons." Un sourire épanoui éclaira son visage. Le débriefing n'était pas seulement une évaluation, mais aussi une validation, une reconnaissance de ses efforts et de ses progrès. Elle avait besoin de ces mots, de cette confirmation que son abandon avait été juste, qu'elle était sur la bonne voie. "Maintenant," continuai-je, "tu sais ce que ton corps et ton esprit sont capables de donner. Les limites sont celles que nous fixons, et pour l'instant, elles sont loin d'être atteintes." Son regard s'assombrit d'une promesse silencieuse, une anticipation brûlante des prochaines leçons. La "vanille" n'était qu'une pause, un interlude. Le cœur de son éducation battait toujours, prêt à se manifester à ma volonté. Et je savais, avec une certitude absolue, qu'elle était prête. Plus que prête.     Ben voilà, prochaine page blanche mais qui devra pas tarder          
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Par : le 26/07/25
Elle était plus belle encore que dans son souvenir. Elle avait changé, quoique de façon assez subtile. Elle se tenait plus droite, et il émanait de sa personne une confiance en soi qui ne peut venir que de l'expérience de la vie. Pour elle, le sexe était presque une forme d'amitié. L'acte apaissait sa faim physique, mais sans parvenir toujours à combler ses désirs. Elle l'embrassa et se plaça au-dessus de lui et le bloqua avec une jambe. Sa position était inconfortable mais elle semblait correspondre à son désir. Elle bougea de façon à pouvoir le caresser, et gémit en sentant son sexe gonflé au travers l'étoffe du pantalon. Ses doigts s'activèrent sur la fermeture Éclair et ses lèvres se refermèrent sur son sexe. Puis elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Vincent s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula alors paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre son ventre mais sans cesser de grandir. Charlotte observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Charlotte s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Charlotte glissa vers la base du gland, Vincent étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Charlotte changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Vincent sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Charlotte jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Vincent s'engouffre dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Vincent relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et alors, il éjacula.    Elle pensa qu'il avait bon goût tout en lui suçant le sexe avec ses lèvres. Son chemisier était ouvert. Elle saisit les mains de Vincent et les plaça sur sa poitrine. Ses seins étaient toujours parfaits, les mamelons durs sous ses doigts. Elle gémit. Dans la pièce, il n'y eut plus que ce corps de femme et son désir pour elle. Un sourire se forma sur le visage de de la jeune femme. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Charlotte pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Charlotte, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Charlotte ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Charlotte est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Elle est alors nue et totalement à ma merci.    L'espace d'un instant, il demeura sidéré. C'était son désir pour elle qui l'excitait, qui lui frayait la voie vers ce monde secret où elle s'abandonnait. Il se sentait toujours seuls dans ces moments-là, il avait le sentiment qu'elle se servait de lui. Elle est toujours prête à me recevoir. Pour faire durer le plaisir, je dois brider ses fantasmes. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Charlotte ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Un long silence s'installera entre nous et je serai alors exaucé.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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