La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 30/06/22
Je suis nu, Madame m’ordonne: va chercher ton portable, interloqué, je le lui tend. Débloque le, ce que je m’en presse de faire…, tête baissée, je voit ce qu’elle fait. Voila, c’est fait, mets toi à 4 pattes, je m’exécute, elle se met derrière moi, écarte mes cuisses, je voit juste l’enveloppe d’un préservatif tomber. Elle me pénètre avec ce que je saurait plus tard, un gros plug, qu’elle bouge, afin qu’il soit bien en moi. Lèves toi! Elle prend son téléphone, et commence à jouer avec. Tout d’un coup, le plug se met à vibrer très fort, puis s’arrête, puis recommence. Je me tortille, surpris… Tu va le garder, tu ne l’enlèvera que quand je te le dirais, et ce sera pour le recharger. Et il faudra le remette en place en suite. J’ai téléchargé une application qui me permet à tout moment de commander ton cul, et en plus, je saurait où tu est à tout moment. Maintenant, habille toi, et je contrôlerais ton obéissance.. Je prends congé respectueusement. Je rentre et je me couche, je m’habitue au plug qui est d’un bon diamètre, et j’oublie qu’il est vibrant. Le lendemain matin, c’est ses vibrations qui me réveille, avec un message: port de bas ce jour sous le pantalon, sans slip, pour aller travailler. Je choisit un pantalon un peu ample, met le PJ et les bas avant que de passer le pantalon. J’ai peur que cela se voit de l’extérieur…, j’ai toujours ressenti aussi que ma démarche est différente quand j’ai un plug en moi.
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Par : le 20/06/22
Maitresse Julia lâche 2 paires de bracelets en cuir devant moi. Je comprend tout de suite ce qu'elle souhaite et j'enfile rapidement les bracelets aux poignets et aux chevilles. Maitresse accroche les bracelets des poignets dans le dos et les chevilles ensemble grâce à des petites chaînes qui m'empêchent de me déplacer aisément. Elle me met debout, attache une laisse au collier que je portais depuis le début, me bloque la vue avec un bandeau et m'entraîne à sa suite dans les couloirs. Pieds nus, je la suis sur le sol froid du donjon. Nous atteignons une nouvelle porte. Maitresse Julia frappe à la porte. - " Entrez" répond une voix d'homme. Je vais être offert à un dominateur ? Je commence à avoir peur. Je ne souhaite pas être utilisé par un homme, c'est une limite que j'avais fixé depuis le début. Maitresse Julia me fait entrer dans la pièce, me fait avancer, m'oriente sur la gauche puis m'arrête. J'entend à nouveau la voix de l'homme en même temps qu'un coup de fouet mais pas pour moi  : - "Suce le" Je sens alors une bouche me lécher la bite délicatement. -" Bon, ils ont quand même respecté mes limites et choisie une soumise" pensais-je intérieurement. Cette pensée me rassure et je me laisse faire. Jusqu'au moment où j'entend Maitresse Julia ajouter : -" Toi aussi !" Je reste immobile, pensant qu'une deuxième soumise va nous rejoindre. Soudain, je reçois un coup de cravache sur mon cul. - "c'est à toi que je parle, petite lopette." En même temps, je sens que Maitresse  me pousse la tête en avant. Sans comprendre, je sens alors quelque chose dans ma bouche. Mais ça ne ressemblait pas à du caoutchouc ni à du silicone. Il me faut plusieurs secondes pour comprendre la situation : je suis en train de sucer un homme qui me suce en même temps ! Maitresse Julia me maintient la tête de façon à ce qu'il me soit impossible de reculer la tête suffisamment pour sortir cette bite de ma bouche. Elle me forçe à le sucer de longues minutes. Elle me retire le bandeau des yeux et je peux constater ce que je pensais. Un homme était attaché par les pieds, la tête en bas, les mains attachées dans le dos également. Et on se suçe mutuellement. Troublé, je ne sais pas comment réagir face à cette situation et me laisse faire par Maitresse. A suivre...
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Par : le 10/06/22
Après une rapide sodomie, Maitresse Julia se retire de moi et va chercher quelque chose dans mon dos. Soudain, une violente douleur se répand à travers mon corps. Et le premier endroit qui souffre est mon pénis. Je comprend alors que les deux sangles qu'elle avait passé autour de mon pénis permettent d'envoyer des décharges électriques ! Et ces décharges me font un mal de chien. Maitresse Julia gère les décharges comme elle le veux. Puis elle actionne le mode automatique et part chercher une cravache. Les décharges sont très douloureuses. Leur fréquence sont comparable à un code morse : une décharge longue, une décharge courte, une décharge longue, deux décharges courtes, une décharge longue. Puis ce schéma en boucle. Et chaque décharge est à chaque fois plus douloureuse que la précédente. Je ne peux pas me retenir de crier. Maitresse Julia dit entre 2 cris : - "Mais c'est qu'elle a de la voix, cette grosse salope ! Tu me fais mal aux oreilles et je n'aime pas ça". Elle se dirige alors  vers une armoire, l'ouvre, en sors un baillon boule avant de revenir vers moi et me l'enfonce dans la bouche. - "Voila, comme ça, je ne t'entendrais plus". Maitresse Julia se saisit alors d'une cravache et retourne s'occuper de mon cul. Entre les décharges sur le pénis et les coups sur les fesses, mon corps entier est en souffrance. De plus, je commence à baver à cause du baillon que j'avais en bouche. Une fois satisfaite de sa punition, Maitresse Julia interromp les décharges et arrête les coups de fouets. Elle me détache de la table et ne peux me retenir de glisser au sol, victime de l'immense douleur que je ressent. - "Debout !" Ordonne t elle. "Si tu crois que c'est fini, tu te trompes. Je t'ai encore préparé quelques surprises". Encore au sol, je répond à voix basse : -" Merci Maitresse. Je sais que je mérite ce qui m'arrive et je vous en remercie". -" Parfait. Comme ça te plaît, on continue. Ne bouge pas, je reviens". Je ne bouge pas d'un poil tandis que Maitresse Julia se dirige de nouveau vers l'armoire. Que va t elle rapporter cette fois-çi ? A suivre...
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Par : le 02/06/22
Je n'imaginais pas que se faire sucer par une femme était aussi agréable ! Cette séance de fellation a duré environ 15 minutes. Une fois la séance de plaisir terminée, Maitresse Julia me fait descendre de la table et m'emmène vers un autre bout de la pièce. Toujours aveuglé par mon bandeau sur mes yeux, je butte contre une barre de fer. - "Monte dessus" m'ordonna Maitresse Julia. A tâtons, en tendant les mains devant moi à l'aveugle, je monte sur une sorte de structure en fer. Maitresse Julia  positionne mes jambes et mes bras de la meilleure façon. Elle me plaçe à 4 pattes et m'immobilise avec des lanières aux genoux, aux chevilles, aux bras et aux poignets. Maitresse Julia me laisse seul un moment. Puis, je l'entend revenir et s'approcher de moi. Je sens qu'elle manipule mon sexe et y accroche deux bracelets en cuir : l'un à la base du scrotum et l'autre autour du pénis. Je me dis qu'elle les utilisera pour tirer un peu dessus pour m'exiter... Ah, si seulement j'avais eu raison ! Maitresse Julia tourne autour de moi et me caresse les fesses. - "C'est qu'il a un joli petit cul en plus ! Mais je le trouve un peu pâle, je vais devoir corriger ça". Incapable de bouger, je ne sais pas ce qu'elle prépare. Je sens seulement un coup de fouet sur mes fesses. En quelques coups, la douleur est déjà forte. Je me retiens pour ne pas crier car je ne veux pas montrer que je souffre. Sans doute, parce que je veux que ça continue. Lorsque les coups s'arrêtent, je suis soulagé intérieurement. J'avais très mal mais je ne voulais paraître faible à supplier ma Maitresse. Cela lui aurait fait trop plaisir. Je n'ai malheureusement pas le temps d'y réfléchir plus longtemps car je sens que Maitresse Julia s'est mise à me sodomiser avec un gode-ceinture. Rapidement, j'ai autant mal sur le cul que dedans. Mais qu'est ce que c'est bon ! A suivre...
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Par : le 30/10/21
Je me décidai à avancer. Je n'étais pas venu jusqu'ici pour me dégonfler. Je suis entré dans le château par la porte centrale. Je suis arrivé à l'accueil derrière lequel se tenait une femme d'environ 40 ans, grande, brune. - Bonjour, ais-je dis timidement. -Bonjour monsieur, entrez ! M'a t elle  répondue avec un grand sourire. Votre nom, s'il vous plaît ? - Xavier -Ah oui, c'est votre première fois chez nous je crois. Je vois que vous n'avez pas de bagages comme demandé. C'est parfait. Suivez moi, nous allons commencer. Au fait, moi, c'est Sylvie. Je l'ai suivie jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant une porte. - Je vais vous demander d'entrer ici, de vous déshabiller et de mettre votre cage. Je reviens dans quelques minutes. J'ai été un peu surpris de cet ordre assez inattendu et sans préparation. Sans un mot, je suis entré dans cette pièce dont elle a refermé la porte derrière moi. La pièce ne devait pas faire plus de 3 ou 4 m². Pour tout meuble, un banc longeait le mur de droite. Un panneau accroché au mur a attiré mon attention : "Laissez ici tout effets personnels, dignité, humanité ou libre arbitre". Le ton était donné. Encore sonné par cette entrée en matière étonnante, j'ai retiré mes vêtements, ma montre, vérifié la cage de chasteté et me suis assis sur le banc. Quelques secondes plus tard, Sylvie est revenue. - C'est bien, vous êtes efficace à ce que je  vois. Maintenant, à genoux sur le banc, les mains derrière la tête. Je voulu l'interroger sur la suite des événements mais elle a ajouté : - Allez ! Plus vite que ça ! Je me suis exécuté. Sylvie m'a attaché un collier terminé par une laisse autour du cou ainsi que des menottes aux chevilles. - Les mains dans le dos ! m'a t-elle ordonné. Elle m'a menotté également les poignets et a attaché les deux paires de menottes entre elles avec une longue chaine. Je l'ai vu mettre mes affaires dans un casier ouvert puis elle s'est saisie de la laisse. D'une pression, elle m'a entraînée dans un couloir. Je suis passé devant une porte : "animaux domestiques". - Excusez moi, Sylvie mais je croyais que les animaux étaient interdis. - Maintenant, c'est Maitresse Sylvie et tu ne parle plus tant que quelqu'un ne t'en a pas donné l'autorisation, c'est clair ? C'etait clair. Je me suis tus. C'était vraiment incroyable. J'étais là bas depuis 20 minutes environ et j'etais déjà nu, en cage de chasteté et menotté, à suivre une femme que je ne connaissais pas vers un destin sans doute pas des plus joyeux. Et pourtant, j'avais hâte... A suivre...
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Par : le 16/04/21
Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse). Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages... Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm. Nouvelles pages, nouveaux chapitres. Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur. Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour. Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite... Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais. Monsieur V. Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Par : le 07/07/20
(Réédition du 07/07/2020 -> 20/04/2024 - 1103 Vues) . Quelles peuvent être les véritables raisons, qui poussent les femmes mariées à s'ouvrir au BDSM ? Quelles sont les limites de ces femmes censées être sociétalement établie ? Ironiquement, deux questions qui n'ont que finalement que très peu d'importance, lorsque l'homme entreprends une relation BDSM avec une femme mariée. L'auto-satisfaction de la conquête ou de répondre à l'envie d'adultère paralysant toutes exigences, à savoir si la relation que l'on débutera sera aussi éphémère que futile. Et c'est lorsque le plaisir de consommation retombe, qu'un vide abyssal se dévoile en terme de compréhension et de communication envers l'autre. Comprendre que le domaine du BDSM est affilié à un public de "niche", c'est accepter que pour beaucoup, c'est la facilité de palier à une frustration en utilisant l'autre qui attire.. Aucunement de se donner dans ses pulsions viscérales, pouvant se révéler invivables en solitaire, et s'ouvrir à une perspective d'avenir moins sombre avec un partenaire adéquat. Pour en appréhender la portée, la Domination / Soumission appelle à l'état de conscience suivant : Est-ce que le plaisir BDSM des femmes les amènent t'elles à s'accepter, ou à s'éloigner de leurs chemins à s'épanouir dans leurs existences ?   07 - Les femmes dites "switch" au service de la compréhension des femmes mariées ? "Soit "Switch" ou mariée !" : Pourrait-on dire à l'étalage flagrant de profils les plus répandus sur internet, ou du chouinement perpétuel des femmes envers la gente masculine, dans leurs propos de la vie quotidienne. Pour en découvrir la raison, et ainsi permettre de faire la part des choses entre une volonté de s'émanciper dans leurs vies sexuelles, tout en s’affranchissant de l'homme.. Intéressons-nous à certains traits* de l'attitude "switch" : La frustration et les tensions étant légion dans le domaine du BDSM, l'aspect "switch" est une attitude basée sur l'incertitude et l’opportunité. Les "switchs" sont de véritables couteaux suisses, où leurs polyvalences leurs offrent un argument de choix à ne pouvoir se placer et s'investir dans une relation, par jeux ou nécessité. Un mécanisme propice à combler ou renouveler une partie de leurs libidos, non dans une aspiration à s'épanouir. Entre amertume, désappointement, et famine... 3 raisons majeures poussent les femmes à devenir "Switch" pour continuer à côtoyer l'homme :   - Entre amertume et désir, d'accéder aux plaisirs "simple" de l'homme (Penser que l'hypothétique "pouvoir" d'imposer, ou répondre à une demande, soient liés à la notion d'aller plus facilement vers son plaisir). - Le désappointement de ne pas avoir atteint son paroxysme de plaisir et d'épanouissement en tant que femme (Vouloir témoigner leurs hautes frustrations à leurs partenaires, sous le couvert de pratiques Dominantes). - L'état de "famine sexuelle" de ne pouvoir sustenter leurs besoins nutritionnels personnels (Espérer dans la dévotion au plaisir de l'autre, un retour sur investissement en terme de plaisir charnel ou au moins dans l'égo d'avoir été utile). En résulte une dualité à vouloir se différencier de l'homme et non de le compléter, et pourtant s'évertuer à mimer sa vénalité et son adaptabilité pour arriver à ses fins. Les femmes dites "switch" et les femmes mariées se rejoignant sous la même bannière : "Ce que tu ne peux atteindre, tu le deviens."   08 - L'Union ou le Célibat ; Quelle est la source ou l'origine d'un meilleur épanouissement BDSM ? Le BDSM amène à un état de conscience développé. Il réponds à un besoin perpétuel à se réguler, et à l'hypothétique désir "d'être", ce que l'on était destiné à "être". Pour la métaphore, c'est comme faire face au cahier vierge de sa vie, que tous le monde possède à sa naissance, et se torturer à écrire dessus de ses doigts ensanglantés.. Tout cela parce qu'un "vil" environnement, nous a piqué notre crayon ou notre stylo. La Domination étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, cela ne nous empêcherait pas de faire et d'écrire de la "merde". La Soumission étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, nous ne l'utiliserions pas pour autant, de peur de raconter des "conneries". Un désir fort d'exister et de compenser en révélant une authenticité qui nous est propre, et par la même occasion approcher de notre ferveur à l'ouvrage, une des vérités absolues de la vie. Il sera toujours possible de copier ou d'écrire sur le cahier de son voisin, mais il est assurément plus difficile d'écrire à deux avec le même stylo, pour raconter sa propre histoire ! Clairement, pour n'évoquer que ces autres exemples métaphoriques, un couple ouvert d'esprit écrivant son expérience au crayon, aura toujours la possibilité de réécrire sa propre histoire individuellement.. Tandis qu'un couple l'ayant écrit au stylo, témoignera à jamais de sa frustration à vouloir effacer ou se ré-accaparer ce qu'il ne leur appartient plus, car tombé sciemment dans le "tronc commun". Vouloir se donner plus de force à se convaincre que son ou ses partenaires soient nécessaires à son propre épanouissement, est du domaine de la puérilité ou de la paresse, aucunement du BDSM. La femme mariée par définition, a autant de possibilité de s'investir dans une relation BDSM que la femme célibataire. Encore faut-il qu'elles s'avouent toutes les deux, que ce n'est pas une question de chance ni de disponibilités, mais bien d'un travail préalable d'introspection personnel, réel et immodéré.   09 - Y a t'il un âge révélateur de l'éveil des pulsions BDSM d'une femme mariée ? Si l'on se devait de faire des conjonctures et statistiques sur des tranches d'âges des activités pulsionnelles des femmes mariées, 4 périodes seraient mise à l'honneur :   De 18 à 25 ans : Age révélant l'idéalisme, ou au contraire l'aspect militant d'une femme mariée. Une volonté et plaisir à se trouver des preuves à s'aimer, et s'appartenir par un esprit de mise en valeur, de sécurité, ou de fuite en avant. De 26 à 39 ans : Age révélant sa maturité ou sa puérilité à faire face à la vision de son corps se transformant irrémédiablement. Dans l'enfantement, dans l'assèchement et l'épuisement professionnelle, ou dans la boulimie à vouloir profiter de la vie. De 40 à 50 ans : Période d'âge où la notion des contraintes d'horloge interne prends tous son sens. Et qui en découle l'anxiété d'un sursis d'une ménopause à venir, l'évolution d'un corps et de son humeur qui désormais ne nous appartient plus, ainsi qu'une perception différente du plaisir et de son bien être. Plus de 50 ans : l'âge de la résolution, de la résignation, ou de la détresse palpable du corps et de l'esprit. Où la principale activité d'une femme n'est plus de cumuler du plaisir, mais au minima de le retrouver. Majoritairement, les femmes mariées ou célibataires s'évertuent à prendre élan sur le BDSM pour ne pas penser à la réalité de la vie qui leurs échappent. Les femmes ayant besoin de Soumission quand à elles, n'aspirent qu'à la commencer. Les femmes et mères à l'apogée de leurs maturités, ou à contrario à bout de souffle, ont plus un besoin BDSM pour faire un bilan de leurs vies, plutôt qu'à envisager de s'épanouir dans ce substitue. Un désir de troquer ne serait-ce qu'un instant, "leurs chronomètres" accrochés à leurs cous (Représentation de leurs horloges internes qui défilent), par le collier tout neuf d'un Dominant (Représentation de l'emprise et d'un plaisir éternel). La stimulation qu'engendre ce "médoc" qu'est le BDSM, étant propice à être de nouveau en accord avec elles-mêmes. (Le BDSM pouvant être affilié à la "pilule bleu" de l'homme à se redécouvrir une nouvelle jeunesse, dans un bon coup de fouet !)   En conclusion : Plus excitée par la transgression, que pour se livrer à un dépassement de soi dans le BDSM, la femme mariée souhaite être plus fidèle à elle-même, que Soumise à l'autre à proprement dit. Sujette à l'obsession à se prouver "qu'elle vit sa vie au lieu de passer à coté", l'homme sert de "défouloir" pour ces femmes se plaignant de ne jamais joindre le "service après-vente" de la vie. Celle-ci leur ayant vendu d'office la certitude de ne jamais oublier ce pourquoi leurs corps sont programmés à réaliser, reléguant leurs épanouissements en second plan. (*Oui parce que bon, je vais pas écrire systématiquement 5 articles pour traiter une thématique !)   A suivre : Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 4 sur 5)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2) https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis. https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins -> Les trois chemins.
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Par : le 09/05/20
(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues) . Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.   04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ? En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :   Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".   - "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit. Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va. Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.   - "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre. Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services. Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.   - "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission. Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée". Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins. Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs. Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême. Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise. L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie. La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.   05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ? Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres. Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions. Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité. "Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir." Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite. Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes. Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité.. Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées. Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité. Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles. Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.   06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ? Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants. Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles. Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation. Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido. Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches. Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances. Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions. Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds. Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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Par : le 28/04/20
(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues) . Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ? Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ? Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine. "Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci. A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements.. Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités. Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.   01 - A qui s'adresse cet article ? Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir.. Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir). Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes. Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures. Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.   02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?   - La femme dite "Vanille". - La femme dite "Débauchée". - La femme dite "Masochiste". - La femme dite "En relation BDSM".   - La femme dite "Vanille". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple. Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer. Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples. Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées). Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert. Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).   - La femme dite "Débauchée". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale. A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes. Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder. Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires. Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple. Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.   - La femme dite "Masochiste". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale. Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir. Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments. Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles. Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.   - La femme dite "En relation BDSM". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix. Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable. Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions. Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples. Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.   03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ? Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue. Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps. En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues. Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations. Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes. (La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.) Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui. Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper. Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis. https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 06/02/20
Gylippe a un point commun avec Jeanne (d'Arc), il sait pratiquer la guerre psychologique. Ce général spartiate arrive en Sicile avec son seul manteau et son bâton. Plutarque se moquera en disant que les syracusains assiégés se lamentèrent, croyant que Sparte les avait abandonnés et se moquait d'eux, faute de renforts conséquents. Gylippe leur répliqua qu'ils n'avaient pas besoin de plus qu'un général pour les commander vraiment et les conduire à la victoire. Et comme Jeanne qui écrivait aux anglais pour leur dire de foutre le camp de France, Gylippos envoya un héraut dans le camp des athéniens, avec un message simple et clair: "je vous laisse cinq jours pour évacuer la Sicile, sans quoi vous allez être anéantis". Les Athéniens éclatèrent de rire: -c'est pas une gonzesse de Sparte qui va nous dire ce que nous devons faire. Nous avons plus d'une centaine de spartiates qui croupissent dans nos prisons (défaite de Sphactérie). Ils auraient du écouter Gylippos. La première bataille pour le contrôle des Epipoles, le plateau au dessus de Syracuse fût un échec. Ses troupes n'étaient pas assez disciplinées. Alors Gylippos sortit son bâton et il botta bien des culs, y compris d'officiers Syracusains incapables. -Vous allez avoir plus peur de mon bâton que des glaives athéniens. C'est vrai que c'était particulièrement humiliant de se faire rougir le cul devant la troupe et lorsque Gylippos cognait, il ne faisait pas semblant. Les hurlements du supplicié glaçaient les soldats alignés qui étaient dans l'obligation d'assister. Et Gylippe hurlait: -On ne se dérobe pas devant l'ennemi, on reste bouclier contre bouclier, on garde sa ligne. Et chaque fois que vous pouvez frapper, vous frappez, vous tuez! La bataille suivante sur les Epipoles fut une victoire éclatante. Plus aucun Syracusain ne voulait subir l'humiliation de se faire bastonner cul nul devant la troupe. Je ne vais pas raconter ici, toute cette bataille de Syracuse, mais les athéniens au final furent bel et bien exterminés. Sparte n'aime pas les généraux trop glorieux. Gylippe fut accusé d'un vol et du s'enfuir après le siège d'Athènes. Il retourna s'installer en Sicile où il s'était fait beaucoup d'amis et vécu heureux et caché. Ses meilleurs amis étaient ceux qu'il avait bastonnés lors de la première bataille des Epipoles, ceux qui avaient pu ou su surmonter l'humiliation publique. Gylippe leur expliqua que la bastonnade était chose courante à Sparte, histoire de ne plus avoir peur de rien et d'avoir de jolies fesses, bien musclées. Gylippe leur expliqua les techniques d'ondes de chocs. En frappant d'une certaine façon, on crée une onde qui se propage dans tout l'organisme. C'est très vite insupportable pour la personne qui subit cela.
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