La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 01/04/24
Bonjour Maîtresse reine, je vous écris cette lettre pour vous dire a quel point je vous suis dévoué et fidèle. Par la suite, je publierai cette lettre avec votre accord pour que les gens qui la liront sachent que ma soumission est totale en ver vous. Voilà quelques années, maintenant, que je suis votre soumis et cela me conviens très bien vous m'avez aidé pour trouver ma place au sein de notre couple, la place de l'homme est aux pieds de la femme, c'est ma conviction, j'aime vous voir et vous savoir supérieur à moi, moi l'esclave qui a mi ma vie entre vos mains le jour ou nous avons signé ce contrat qui nous lie. J'aime la manière que vous avez à me traiter à jouer avec moi, le ton autoritaire que vous prenez pour me dresser, votre sévérité pour corriger mes fautes. Je me plie à vos moindres désirs, je suis prêt à tout pour vous, je suis votre petite chienne en chaleur, j'aime quand vous me promenez en laisse dans le jardin ou dans des lieux insolites. J'aime quand je dois faire la pute pour vous quand vous m'exhibez en cam face à des gens que vous me dominez sauvagement devant eux. Vous me répétez sans cesse que j'ai un petit sexe et que ce n'est pas avec cette ridicule bite que je vous ferai jouir et que je ne suis pas digne d'avoir une érection en vous regardant sous peine de me faire torturer la chose qui me sert de sexe. Vous prenez votre pied chaque fois que vous me sodomisez avec votre god ceinture, je dois dire que moi aussi, j'aime quand vous me pénétrez sauvagement, je gémis je cris mes jambes trembles mon cul sert plus que mon sexe. J'adore sucer votre god ceinture après qui soit passé dans mon cul vous me le faite nettoyer et je le fais volontiers, tout comme je dois nettoyer avec ma langue vos pieds votre chatte et votre anus après une grosse journée de travail. J'apprécie également le fait que vous lâchez des pets dans ma bouche pendant que je vous leche l'anus. J'adore l'odeur que vous dégagez, j'aime vous renifler, c'est un parfum divin, je ne m'en lasse pas, c'est un réel plaisir de sentir vos odeurs. Cela fait un moment que je suis votre urinoir vous vous amusez à m'uriner dessus ou dans la bouche ou simplement que j'essuie votre chatte après pipi avec ma langue et j'apprécie aussi et depuis peu nous nous essayons a la scatologie, c'est moi qui vous ai demandé de me réduire un WC humain avec vos excréments. Bien que vous m'avez déjà réduit à esclave sexuel, je ne me sentais pas encore à ma place, je voulais être encore bien plus dégradé. Je vous ai alors soumis l'idée de faire vos besoins totalement sur moi, je vous ai même supplié de m'accorder cette faveur. Vous m'avez accordé seulement le droit de vous léchez le cul juste après que vous aillez fait vos besoins dans un WC sans vous essuyer, cela m'a bien plus oui, je l'avoue.Mais aujourd'hui, je vous le répète, je vous en supplie encore une fois, dégradez moi au plus haut point, souillez moi de vos excréments, je suis prêt a vous lécher même les pieds plein de votre caviar. Je me suis exercé seul dans la douche, j'en ai fait une vidéo, les photos sont publiées. Sur la vidéo, vous me verrez jouer avec mes excréments et tout étalé sur mon corps cela m'a beaucoup excité. merci Maîtresse Reine votre souis et esclave.       
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Par : le 28/03/24
Un week-end où je m'ennuyais, j'ai décidé de sortir boire un coup et faire de nouvelle rencontre. Je suis allé dans un bar à bière, il y avait pas mal de monde de la musique une très bonne ambiance, je me cale dans un coin, je passe ma commande, on me sert et je commence à boire. Derrière moi, il y a une table avec deux très jolies filles de 25 28 ans. Elles sont de natures plutôt joyeuses, je dirais de les entendre rire. Ça doit faire une demi-heure que je suis arrivé quand soudain une des deux filles vient m'aborder à ma table. Elle me demande si j'attends quelqu'un ou bien si je suis seul, je lui réponds que je suis seul que je suis venu boire un coup pour me détendre de la semaine. Elle me proposa de les rejoindre à leur table s'il n'y avait pas d'inconvénient. Je les ai donc rejoints, je paye ma tournée et on commence à discuter pour faire connaissance. Au bout de quelques bières, la glace se brise, on rigole bien tous les trois ensemble, il y a un bon feeling. Puis peu à peu l'alcool monte et les langues ce délies et les discutions tourne vite au tour du sexe elles m'avoue quelles sont lesbienne, je leur réponds que je n'ai aucun préjugé car moi-même, je suis bisexuel et le courant passe encore bien mieux entre nous trois, je me sens tellement bien, que je ne sais pas si c'est l'alcool ou bien la bonne ambiance qu'il y a entre nous que ma langue parle plus vite que mes pensées, je leur avoue que je suis également soumis. Soumis le mot est lâché je me mort les lèvres, je réalise ce que je viens de dire, je me dis elles n'ont peut-être pas entendu et là le drame elles me regarde et me font quoi tu es soumis, j'ai honte, je bégaye, je cherche une excuse, mais rien y fait elle le très bien entendu.  Je regrette d'avoir trop parlé les deux me passe a la questionnette et me demande plus de détails. Je bois un bon coup avoué pour avoué, je leur dis tout.  Je leur raconte toutes les pratiques que je fais dans le BDSM que ce soit avec des hommes ou bien des femmes le plaisir que j'y prends le fait de me faire diriger de me laisser aller aux désirs de mon ou ma partenaire tout en racontent mes ébats, je vois une des deux filles qui se mort les lèvres au moment même ou je leur raconte la fois où l'on m'a pissé dessus. Les filles se regardent, ce font un signe de la tête et me propose d'aller boire un dernier verre chez elles. Une fois arrivé chez elles on reprend la discussion sur l'uro avec des detailles plus précis qui ma deja pissé dessus ou on ma pussé dessus savoir si j'en ai deja avaler je leur reponds que oui j'aime la pratique uro et que je n'ai pas de limite avec. Je leur demande pourquoi toutes ces questions ? Elles me répondent. Aimes-tu les odeurs fortes ? Je leur dis que jusqu'à maintenant un seul partenaire homme aimait se faire renifler la bite odorante et que ça ne m'avais pas déplus. Elle s'échangea encore un regard encore un signe de tête avant une autre question. Et me demanda et la pratique scato tu as déjà fait ? Je leur répondis que non que j'en avais déjà entendu parlé, mais que je n'i jamais osé sauté le pas. Ça te dirait d'avoir ta première expérience scato avec deux lesbiennes en tant que soumis ? Et là, avec une voix tremblotante, j'ai répondu oui le oui d'un soumis qui ne peux qu'accepter la demande de ses maîtresses. Elles se sont mises debout face à moi, une s'est mise derrière moi elles mont attrapé sauvagement et ont commencé a me d'habiller en me brutalisant tout en m'insultant et me disent que j'allais regretter d'avoir dit oui. Une fois au sol et nu, elles m'ont attaché les mains derrière le dos avec des menottes elles portais toute les deux des bottes hautes noire, j'étais à genoux face à elles, je devais lécher leurs bottes pendant qu'elles s'embrasser langoureusement. Puis elles m'ont fait mettre la tête au sol le cul cambré les jambes écartées, j'avais peur, je ne savais pas ce qu'elles aller me faire ce n'était pas comme les séances auxquelles j'avais l'habitude elles étaient imprévisible et j'avais raison. Une fois dans cette position tête au sol jambes écartées, j'ai reçu un grand coup de pied dans les couilles, j'ai hurlé de douleur, je me suis couché sur le côté en position fœtale, je me tordais de douleur elle m'ont obligé à me remettre dans la même position pour recommencer, je les supplier, mais pas le choix, je me remis en position, je tremblais de peur, car je ne savais pas quand elles aller frappé.Comme j'ai dit, je tremblais littéralement de peur que je n'ai pas pu me retenir, la pisse a commencer à sortir toute seule. Je les ai entendu se moquer de moi, mais ce n'est pas pour autant qu'elles ont arrêté leur torture.  Puis une s'est mis à quatre pattes les fesses écartées et l'autre s'en est donné à cœur joie avec son plus gos god ceinture pour me sodomiser. Quant à celle qui s'est mise à quatre pattes, je devais lui renifler le cul. Elle avait le cul qui sentait très fort, elle me le collait sur mon nez, je devais renifler fort. Sa chatte pareille une très forte odeur et toute poilue aussi. Puis j'ai dû me mettre sur le dos et toute les deux m'ont pisser dessus et j'ai dû boire leur champagne doré. Puis une s'est assise sur mon visage plein de pisse elle a collé son trou du cul sur ma bouche grande ouverte et a commencer a pousser au départ des pets en son sorti puis très vite de la merde a commencer peu à peu à remplir ma bouche, j'avais des haut-le-cœur. Elle frotta son cul merdeux sur ma figure pour en étaler le plus possible quant à l'autre, elle m'a chié sur le torse qu'elle commença à étaler avec ses pieds. Ses pieds remplis de sa merde, elle me les fit lécher elle enfonça tous ses doigts de pied dans ma bouche comme une gorge profonde. Elles m'ont recouvert le corps de merde des pieds à la tête, plein de merde plein de pisse les mains attachées dans le dos souiller et dépravé les couilles éclatées par les coups de pied. En réalité, j'ai adoré cette séance scatologie.  Elles m'ont laissé attaché dans cet état pendant qu'elles sont allées prendre leur douche puis j'ai eu le droit à prendre la mienne. (Ce récit n'est pas du vécu, c'est un fantasme)     
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Par : le 06/03/24
Cette histoire se passe dans un club libertin, avec pour thème le BDSM. Mais cette soirée est particulière, chaque Dominants ou Dominatrices doivent présenter leurs soumis ou soumises à tout les autres invités, avec une liste de choses à subir qui est adapté pour chaque soumis soumise. Puis les soumis soumise sont mis à disposition à tous les membres Dominants Dominatrices. Le ou la soumise se retrouve au centre de la pièce et doit se laisser faire sans parler, sans crier, la seule chose qui lui ait autorisé, c'est de gémir. Puis viens mon tour, ma maîtresse me mène en laisse au centre, je suis nu les yeux bandés les mains liées de devant, j'ai peur, je marche d'un pas hésitent ma Maîtresse tire des coups secs sur ma laisse pour me faire avancer, j'arrive au centre, je sens des mains commencer à me toucher ce ne sont pas les mains de ma maîtresse, celles-là sont plus masculines, on tire très fort sur ma laisse pour me faire mettre a quatre pattes, je me retrouve dans cette position comme un chien apeuré on e fait écarter les jambes en me donnent des coups de pieds sur chaque chevilles je sens leurs mains sur moi jai les yeux encore bandé leurs doigts frole mon anus et mon sex, quand soudain on me leve le bando sur mes yeux la je vois au tour de moi une dixene hommes viril tres bien vetu classe ma maitresse avait choisie pour moi de beaux mals et au tour encore les autres Dominant Dominatrcies qui asite au spectacle assis pour d'autres debout flute de champagne a la main qui rigole ce regoussent de me voir dans cette situation. J'ai honte, c'est la première fois que je suis humilié devant d'autres personne, je suis là, a quatre pattes, nu, je ne bande pas mon sexe est mou, j'ai les couilles qui pendent on tir fort dessus les spectateurs ce moque de la taille de mon sexe. Puis je sens un doigt s'introduire dans mon anus un autre devant moi sort son gros sex de son pantalon et me le met dans ma bouche, il appuya sur l'arrière de ma tête pour me la mettre au fond de ma gorge quant à celui qui me doigtait le cul, il m'enfonça sa grosse bite. Il était dix à passer à tour de rôle dans mon cul et dans ma bouche un coup celui qui me sodomisait me la faisait sucer et celui que je suçais me sodomisait. On me fit allonger sur le dos les jambes en l'air un qui me sodomisait et un autre qui vient au-dessus de moi pour me cracher à la figure et un autre qui m'enjambe écarta ses fesses et vient poser son anus sur mon visage. Il frotta son cul pour étaler le crachat de l'autre et me dit de lui renifler le cul comme si j'étais un chien. Ils sont passés un tour chacun à me faire sentir leur parfum anal chaque mal avait une odeur différente. Je devais renifler et lécher. Quand soudain un me demanda d'ouvrir la bouche, il colla son anus sur ma bouche grande ouverte et lâcha un pet, je ne devais pas bouger et me laisser faire j'ai juste crispé les yeux, il se leva me mis des petites tape sur la joue en me disant brave chien. Puis ils se sont mis les dix autour de moi, et on commençait à m'uriner dessus à tour de rôle puis ma Maîtresse est intervenue, elle a apporté deux entonnoirs, un dans ma bouche et l'autre dans mon cul. Je vous rappelle que je suis toujours allongé sur le dos. C'étaient des entonnoirs avec un long tuyau. Ils ont continué à pisser, mais cette fois-ci dans les entonnoirs. J'avalais leur pisse au fur et à mesure, je sentais l'urine remplir mon cul, c'était comme un lavement anal, mais a la pisse. Une fois fini des jets de pisse qui sortait de mon cul, mon cul qui était bien dilaté. Pour certains, ils m'ont giclé sur le visage d'autre dans la bouche et d'autre dans mon cul. J'ai fini accroupi le visage au sol dans leur pisse plein de sperme et le cul dilaté avec du foutre qui en dégoulinait.  ( Ce si est un récit non vécu, c'est juste un fantasme)                                    
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.   L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.   Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité. J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.   Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.    confession: j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas. lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes. depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶  
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Par : le 10/02/24
Bonjour à tous, je vais vous raconter l'expérience où j'ai pris le plus mon pied avec ma femme. Il y a quelque été de ça m'a femme qui aussi ma dominatrice et moi, nous avons décidé de partir faire une balade en quad en forêt. Après une bonne heure de balade nous nous sommes arrêté dans un coin calme sans personne pour nous reposer, enfin ce que je croyais. Ma femme a décidé de faire une séance de domination soumission en plein air en pleine nature, elle m'ordonna de me mettre nu à genoux devant elle, chose que j'ai faits immédiatement. Elle était assise sur le quad face à moi, elle me regardait avec mépris, et me dit d'un air autoritaire: "retire mes chaussures délicatement et renifle mes pieds larbin". J'ai donc fait ce qu'elle m’a dit, j'ai reniflé ses pieds qui étaient nus dans ses baskets avec la chaleur elle sentait des pieds et elle souriait en me regardent faire. Je lui reniflais ainsi que léché les pieds avec passion, elle me l'ait frotté sur mon visage pour que l'odeur reste sur moi puis elle se rapprocher de moi pour me crachera la figure et m'envoyer un bâton à travers les bois pour que je cours comme un chien pour le lui rapporter. Elle a continué ma séance de dressage en me faisant renifler sa chatte humide et son anus transpirent tout en asseyent sur ma figure elle les frottait toujours pour que les odeurs restent sur moi elle crachait en même temps et tout en se frottent elle étalait sa bave sur toute le surface de ma figure jusqu'au moment où elle s'est arrête et a collé sa chatte poilue et humide de mouille et se salive au niveau da ma bouche et s'est soulagé de son liquide doré et chaud dans ma bouche tout en me disent:"n'en perd pas une gouté larbin". J'étais recouvert de pisse de bave et de ses odeurs intimes. Elle m'a ensuite obligé à me faire moi-même pipi dessus, puis elle m’a fait mettre à 4 pattes sur le quad lui offre mon cul et à commencer à me pénétrer avec ses doigts pour finir avec 4 de ses doigts dans mon anus, elle faisait des vas et viens de plus en plus vite je gémissais comme une chienne j'avais les jambes qui en tremblaient, elle me demandait de crier que j'aimais ça et que j'étais et que je suis toujours je tiens à le préciser une grosse salope. Et pour finir après m'avoir bien défoncé le cul elle m'a sucé en me titille le bout des seins chose qui m'excite énormément pour me faire gicler dans sa bouche et me le recracher dans la mienne et sur la figure. Voilà une de mes expériences le plus où on a pris notre pied.   PS: jhomme soumis.
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Par : le 07/10/23
Le lendemain, Summer, Thomas et Jo vont détecter. Moi, je dois aller faire des courses avec Martha. Ah ! Si je pouvais y aller plutôt avec Summer... Le matin, pendant que je sers le petit déjeuner, Martha fait un geste un peu vif et je me recule précipitamment. Elle rit et me dit : — Je ne te frapperai pas si tu ne fais pas de bêtises. Mouais... Le bateau nous dépose dans le petit port d'Orange Creek, Dean reste à bord. C'est une petite ville, mais aujourd'hui, il y a marché. Martha vient d'une autre île, mais elle connaît bien cette localité. Je suis en uniforme, y compris le tablier. Il y a de très grosses propriétés ici et c'est vrai qu'on voit des bonnes en uniformes. Je me suis un peu renseignée sur le Net au sujet des Bahamas. Il y a des riches propriétaires blancs, arrivés ici il y a deux siècles avec leurs esclaves... Par la suite, d'autres esclaves sont arrivés avec des Blancs sudistes, après la guerre de Sécession. Actuellement, 80 % de la population est noire ou métisse. Martha commence par acheter un grand caddy que je traîne en me tenant derrière elle, puisque les bonnes marchent cinq pas derrière leurs maîtres, comme au temps de la reine Victoria.   On parle anglais, mais il y aussi un patois que je ne comprends pas, c'est ce que parle Martha avec les commerçants. Elle a l'air ravie d'avoir une servante blanche et elle parle de moi avec les commerçants. On achète de tout : des quantités de boîtes de conserves, du poisson fumé, des fruits et des légumes. Quand le caddy est plein à ras bord, je place un gros sac au-dessus. Martha me dit : — Ne mets pas le sac sur le caddy, porte-le. Tu es vraiment une fainéante ! Rires des commerçants ! Un peu plus tard, tandis qu'elle raconte sa vie à une commerçante, je dépose le gros sac par terre. Ouch ! Martha me crie dessus : — C'est sale par terre, souillon, porte ce sac... À moins que tu aies envie de te faire fesser ici ? — Non, pardon, Madame. Je porte le gros sac à deux mains. Les gens sont ravis du spectacle. Un jeune Black uniquement vêtu d'un short s'approche de moi pour me demander : — Tu vis sur un bateau ? — Oui... Il me donne une photo en disant : — Donne ça à ta maîtresse dans le bateau, c'est important. Il s'en va... Martha n'a rien vu. Je regarde discrètement ce qu'il m'a donné. C'est une photo de plusieurs monnaies en or et au verso, il y a un numéro de téléphone. Je glisse la photo dans ma poche. Je crois que ça va intéresser Summer. Martha continue ses achats et ses parlottes. Je finis par être tellement chargée qu'elle est obligée de porter un sac... La pauvre !!! Je pense à cette photo... J'ai hâte de la montrer à Summer, je pourrai peut-être négocier pour ne plus être la servante. Mais d'un autre côté, je n'ai pas envie de me retrouver face à des araignées et des alligators... Quand Martha a enfin fini, on retourne au bateau, moi chargée comme un mulet. On rejoint notre petite crique et on range toutes les provisions. Ou plus exactement, Martha s'assied et ouvre une bière. Ensuite, elle me dit où ces provisions doivent aller. Dès que j'ai tout rangé, je lui dis : — J'ai une lessive à faire, Madame. Petit geste désinvolte de la main. Je vais laver leurs vêtements sales et plein de sueur. Les trois autres arrivent tandis que je pends la lessive. Ils ne sont pas plus frais qu'hier. Je dis tout de suite à Summer : — Je dois te parler... — Tu as fait des corvées ? — Oui. C'est très important. Elle pousse un soupir... et se dirige vers notre cabine. Dès qu'on y est, elle me dit : — Si c'est pour te plaindre de Martha.... Je lui montre la photo. Elle la regarde attentivement, le retourne et voit le numéro de téléphone. Elle me dit : — Putaaaiiin ! C'est ce qu'on cherche ! Qui t'a donné ça ? — Un jeune garçon, au marché... Elle me prend par le cou et m'embrasse. Elle a eu chaud, elle sent bon. Elle prend son téléphone pour appeler le numéro qui est au dos de la photo. Quand elle a quelqu'un en ligne, elle dit : — Bonjour Monsieur, j'ai une photo... — ... — D'accord. — ... — À demain. Elle me dit : — On y va demain, toi et moi. Je vois qu'elle réfléchit... puis elle me dit : — Allons l'annoncer aux autres. On va à l'arrière du bateau. Ils boivent des bières. Thomas lui en tend une. Elle boit un coup... puis leur dit : — Ashley a eu un renseignement très important. Elle donne la photo à Dean, qui est à côté d'elle, en ajoutant : — Il y a des gens sur l'île qui ont trouvé ce que nous cherchons. La photo passe de mains en mains. Martha me dit : — Tu ne me l'as pas dit... — Le jeune homme m'a dit de la donner à ma patronne qui est sur le bateau. C'est ce que j'ai fait. Moue de la grosse ! Jo dit à Summer : — Pourquoi ils nous mettent au courant ? — Tu sais... Cette île qui est quand même proche du trou du cul du monde. C'est difficile pour des villageois  de le vendre. Si le gouvernement est averti, il le leur confisque. Les grands sites de ventes aux enchères demandent la provenance des objets. Ils ont dû se dire que nous avions la possibilité de le faire. Demain, pas de fouilles, on va à Orange Creek. On viendra nous chercher au marché, Ashley et moi. *** Le lendemain, je sers le petit déjeuner, ensuite on s'apprête à aller de l'autre côté de l'île. Summer me dit : — Mets la robe et le tablier. J'espérais... pouvoir y aller autrement qu'en bonne. Je lui demande : — Je ne peux pas y aller... en civil ? — Non, tu es ma servante. — Oui, mais... — Mauvaise réponse, recommence. — Oui, Madame, je suis votre servante. Je ne sais pas ce qu'elle a ce matin... peut-être le stress. On part tous sur le bateau. Summer dit : — Faites un tour en ville. Je vous donne des nouvelles rapidement. Ils aimeraient bien nous accompagner, mais c'est Summer et moi... Enfin, Summer et sa bonne. On arrive dans le petit port et on va au marché. On attend un peu et puis le jeune Black de la veille arrive. Il a dû faire des courses et il a un gros sac... Il dit à Summer : — Suivez-moi. Il peut avoir 18 ans et il est toujours vêtu uniquement d'un short pas très propre. Après une centaine de mètres, il dit à Summer : — Ce n'est pas ta bonne qui devrait porter les courses ? Mais non, pas du tout ! Il est deux ou trois fois plus fort que je ne le suis... Summer répond : — Si, bien sûr... Ashley ! — Oui Madame. Je prends le sac... Oh putain, il pèse une tonne ! Je me traîne derrière eux. Le Black lui demande : — Elle serait pas un peu paresseuse, ta bonne ? Summer va remettre à sa place ce petit insolent. Elle répond : — Il faut la punir de temps en temps, c'est ce que je vais devoir faire. Aussitôt, je les suis ! Pfffff.... On quitte la ville, la route asphaltée devient une route de terre... Je transpire dans ma robe et je prends de nouveau le sac à deux bras. On passe devant une grande décharge... ça pue ! On continue la petite route et on arrive devant un terrain sur lequel se trouve un invraisemblable bric-à-brac de voitures accidentées, d'appareils ménagers... de tout. Summer demande au gamin : — Ton père récupère les métaux ? — Oui. Les pièces de voitures aussi. On marche entre deux murs de... déchets ! On arrive devant une masure en bois. Trois personnes nous attendent, toutes noires. Il y a un couple d'une quarantaine d'années et une fille qui doit être la sœur de notre guide. L'homme est torse nu, les deux femmes en jeans et tee-shirt.   L'homme dit à Summer : — Viens avec moi. Et moi ? Avant que le couple n'entre dans la maison, la jeune femme crie : — Dis, Pa, elle pourrait pas nous aider pour le ménage, la bonne ? Il regarde Summer qui répond : — Bien sûr Mademoiselle. Oh non !!! Ça, c'est à cause de cette saloperie d'uniforme. Summer entre dans la maison. La fille s'approche de moi pour dire : — Je rêve d'avoir une servante blanche qui laverait mes culottes. La femme, qui doit être sa mère, rit et lui dit : — On n'en met pas. — C'est une image, M'man. Qu'est-ce qu'on lui fait faire ? — Il faudrait lui faire repasser nos robes du dimanche... Putain, je déteste repasser ! Au secours ! Elle ajoute : — On fera ça, si elles restent. Ouf, j'échappe au repassage. Elles n'ont pas l'occasion de trouver autre chose à me faire faire, car Summer et le Black sortent de la maison. L'homme leur dit : — Elles restent, son patron vient demain. Grand sourire de la femme et des enfants. L'homme ajoute : — On va arroser ça. Il se tourne vers moi et me dit : — Va chercher des bières dans le frigo. Une servante blanche, ça leur plaît ! Je vais dans la grande pièce où il y a des meubles récupérés dans des poubelles. Seule chose de bien, une grande télé et dans la cuisine, qui est juste à côté, un grand frigo. Je prends quatre bières et je leur apporte. Pas pour moi, évidemment. Ils boivent à la boîte... Quand elle en a assez, Summer me donne sa boîte à moitié pleine. Je lui dis : — Merci Madame. Je bois goulûment. Dès qu'ils ont vidé leurs canettes, la fille me dit : — Va en chercher d'autres ! — Oui Mademoiselle. Je rapporte quatre bières. La fille me dit : — J'ai vu un vieux feuilleton anglais où les servantes font des révérences. Vas-y. On est dans un casse de voiture à côté d'une décharge et je dois leur faire des courbettes ! Je lui fais une profonde révérence, en disant : — Voici votre boisson, Mademoiselle. Elle est ravie ! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 01/09/23
  **Ceci s'est passé à l'Antre des Vices. C’était l’été, encore ! Il a fait chaud. Le soir allait tomber, nu, assis avec quelques autres invités : la fort sympathique Mi et son Maître Soundgen69, Maître Vince et sa délicieuse Liza, je demandais si la fréquentation du cachot était possible. Ayant reçu un avis positif, je fixais alors moi-même des menottes et des fers aux pieds. Me dirigeant vers le cachot, je me couchais sur le sol. Le Maître ferma la grille puis la porte en s’assurant toutefois qu’en cas de détresse, ne sait-on jamais, je puisse sortir. J’avais envie d’être enfermé dans ce cachot d’une surface d’environ 6 mètres carrés pour y passer la nuit. A peine installé, je m’assis, appuyé contre le mur proche des barreaux de la porte. Je constatais que j’allais avoir probablement soif. Je demandais de l’eau. Le Maître Vince m’apporta alors une bouteille d’eau… Je voulais vivre dans une ambiance dur. Je roulai le bout de moquettes qui recouvrait la moitié de la cellule pour n’avoir que la surface de béton. Avec le rouleau de moquette, j’en fis mon appui pour la tête.** Non non ! En fait, je m’étais présenté à la porte de la prison. Dès son ouverture, je fus saisi vigoureusement par les bras, tirés sans ménagement vers l’intérieur d’une salle. Deux gardiens m’attachèrent les poignets. Un troisième me banda les yeux. Mes poignets furent tirés vers le haut. Je me retrouvais presque suspendu. Après avoir reçu quelques bourrades, ils arrachèrent mes vêtements, coupés au couteau je crois. Nu, mes chevilles furent enserrées dans des fers reliés par une chaîne. Non moins brutalement, je fus soulevé et emmené vers un cachot. On m’ordonna de me coucher sur le sol brut. Etendu dans la poussière et la saleté du lieu, je savais que j’allais y passer un long moment. Mon bandeau sur les yeux fut retiré. Les gardiens lardèrent encore le corps de coups de pieds. Ils attachèrent la chaîne qui reliait mes chevilles à un anneau placé au raz du sol. Ils passèrent une autre chaîne autour du cou et relièrent celle-ci à un autre anneau fixé de l’autre côté de la pièce. J’avais assez de mou pour pouvoir me tourner dans la poussière et la saleté. Je demandais de l’eau pour boire. J’étais bien, au-début couché au centre de la cellule, je sentais le sol assez chaud mais un petit vent de fraîcheur modérait le plaisir. Je me déplaçais donc vers le fond complètement étendu, emportant de la poussière et de fins débris de gravats. Ainsi appuyé contre le mur chaud, ma tête reposant sur la moquette roulée, je fermais les yeux de plaisir. La grille se referma dans un bruit de métal et de chaînes que l’on cadenasse. Je fermais les yeux de plaisir. Il est vrai que le local jouxte une route fort fréquentée et cela me gardais éveillé. Mais quelle importance, j’étais dans l’ambiance que j’adore, être enfermé, au bon vouloir, il est vrai virtuel du Maître ou de la Maîtresse. Cérébralement cela a un effet très fort. Goûtant avec plaisir mon corps déjà bien souillé, je me roulais plusieurs fois dans toute la longueur de la pièce. Une véritable et délicieuse sensation de soumission. Je rêvais. Dans un bruit de chaînes et de métal, soudain la grille est ouverte. Entrent alors plusieurs personnes. Trois d’entre-elles portaient de gros seaux. Une dominatrice m’ordonna d’ouvrir en grand la bouche, placée au-dessus de moi, jambes écartées, j’allais pouvoir boire. En fait elle pissa plusieurs longs jets d’urine sur la tête et ma bouche (Je l'ai déjà vécu pour de vrai d'ailleurs). Puis elle me dit « et tu vas pouvoir manger si tu veux ». A ce moment-là, les trois personnes me vidèrent sur le corps et la tête les seaux contenant des déchets de cuisine et des détritus. Ces personnes quittèrent la cellule en refermant la grille. Je frottais mes jambes l’une contre l’autre pour sentir la douceur de ma peau affinée par les hormones. Roulant sur moi-même pour explorer les chaleurs emmagasinées dans la pierre, je trouvais un bout de chaîne avec deux petits mousquetons. Je me mis cette chaîne autour du cou et la reliais à mes menottes de telle façon que je ne puisse plus toucher mon sexe. Je fermais les yeux et continuais à rêver… Je sentais ces détritus sur la peau, collés par l’urine que je venais de recevoir. Je sentais une sorte de pâte fluide couler sur le côté, j’imaginais que cela devait être un reste de crème ou de purée de pommes de terre. Je sentais les liquides plus ou moins visqueux couler le long de mon corps étendu. Frottant mes fesses sur le sol, je sentais qu’elles glissaient comme si c’était de l’huile ou du beurre. Secouant ma tête, je tentais d’enlever des sortes d’écheveaux de fils ou de poils mélangés avec une matière visqueuse que l’urine faisait adhérer sur mes cheveux et le haut de ma tête sans toutefois obturer mes yeux. Frottant mes jambes, je mesurais la quantité d’immondices que l’on m’avait jeté dessus. Je rêvais d’être réveillé en pleine nuit pour une sévère session au fouet, ces fouets qui vous enserrent comme le Maître Vince sait si bien manier. D’être couché dans la terre devant le cachot pour adoucir les morsures du fouet et d’être souillé par ce sol souvent humidifié par l’urine des convives préférant arroser les environs plutôt que de s’asseoir sur la cuvette d’un WC. D’être ramené en cellule pour le reste de la nuit. J’ai adoré ces moments de rêve… tout en continuant à caresser mes jambes, en me retournant pour prendre encore de la poussière sur mon ventre, mes seins et mes bras, je flottais dans un véritable petit nuage de bonheur. Pour finir, ces sensations délicieuses mêlées à des odeurs et senteurs variées, je finis par m’endormir. J’ignore le temps qui avait passé, ni quelle heure il devait être mais je me réveillai pris d’un besoin irrépressible d’uriner. Plusieurs jets atteignirent jusqu’à mes seins. Je fus encore une fois inondé, l’urine inondant jusqu’à ma tête et souillant encore une fois mes cheveux. Je me remémorais aussi ces jours passés dans la prison de Grossenhain, dans les oubliettes, moins confortables que cette cellule finalement assez spacieuse. Une expérience si riche en introspection, de courage aussi car la dépendance est forte, tellement les portes et les serrures sont inviolables. Un mélange de contraintes et de réalités. Soudain la grille s’ouvre de nouveau. Je comprends que je vais avoir d’autres compagnons ou compagnes d’infortune, ô combien ! Les attaches de mes pieds et de mon cou, furent enlevées, mes poignets libérés. Un gardien me fis m’agenouiller. Avec une autre aide, ils m’enfermèrent la tête et les mains libérées dans un lourd carcan. Je me retrouvais donc empêché de manger ou de boire. Le gardien ordonna à l’autre, plus libre de ses mouvements quoiqu’aussi enchaîné, de m’injecter dans la bouche l’urine mélangée à du sperme et les croûtons de pain qui flottaient dans l’écuelle remplie d’urine. Je demandai à mes compagnons de s’exécuter. Pris de pitié, l’un d’entre eux me glissa, son sexe turgescent dans la bouche. Je pus le sucer avec plaisir, recevant au fond de ma gorge plusieurs jets de sperme. C’est le matin, au travers des interstices de la porte je voyais que le soleil brillait. La grille s’ouvrit, une délicieuse elfe, du nom tout aussi délicieux de Liza, entra et me réveilla. Je sortis du cachot pour me doucher et me laver à l’eau froide. Oh ! quelle merveilleuse nuit j’ai passé dans cet endroit fabuleux. Bien que les fermetures pour des raisons de sécurité aient été libres, ce séjour d’une nuit entière, fut absolument fabuleux et restera inoubliable dans ma vie de soumission. Merci Vince, merci Liza ! Kaji, portant le numéro d'esclave 386-312-138
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Par : le 06/08/23
Le compte rendu d'une aventure récente faite à une Dame ayant déclenché bien des choses depuis quelques temps. Merci à elle. Alors hier et alors que je n'y croyais pas trop... Le plan dont je vous avais fait copie du début d'échange a bien eu lieu... Ne finissant pas trop tard ma journée de travail et ayant encore le courage de conduire jusqu'au domicile de ce monsieur. Le monsieur prévenu de mon état crasseux de ma journée et n'ayant rien fait pour une hygiène intime irréprochable. J'arrive donc chez ce monsieur au format imposant... Et direct il me dirige vers son sous sol, dont une partie est aménagée avec tapis fauteuil canapé et matelas... Un véritable lupanar... 😉 Hormis un salut à mon arrivée et quelques formules de politesse, notre échange fut très bref. Là il me dit de me mettre à poil et d'aller me mettre à 4 pattes sur le matelas. Je commence à enlever mes vêtements et lui disparaît. Je m'exécute et repense à un plan foireux d'un mytho voulant juste me voir a 4 pattes pour m'enculer... Ben là c'est presque ça... Je reste comme ça plusieurs minutes attendant le retour du gars. L'imaginaire travaille forcément. La lumière s'éteint et devient tamisée, très sombre... J'entends le mec arriver derrière moi me demandant s'il allait directement m'enculer sans préparation aucune... J'avoue que je frétille un peu d'excitation. Mon humeur salope est bien là et me savoir la tête basse et le cul en l'air attendant je ne sais quoi... Inutile de vous dire que je pensais très fort à vous et ce que vous avez déclenché en moi... Bref je suis là... Entendant le gars derrière moi restant la tête dans le matelas et commençant à remuer mon cul... "Tu m'as l'air d'une bonne petite salope toi" "Un bon cul qui va avec"... Pourquoi est ce que j'aime autant me faire traiter de salope? Et là je sens un liquide chaud qui tombe sur mon cul, le bas du dos, remontant jusqu'à mes épaules pour redescendre de nouveau du mon cul... Le gars sans prévenir me pisse dessus de partout. Mon corps réagi en sursautant, mais la sensation est juste incroyable surtout quand je s'en l'urine entre mes fesses pour couler sur mes couilles... J'essaie de vouloir dire "direct comme ça" mais je n'ai pas pu aller au bout de la phase entendant un "t'as gueule ferme là grosse pute" ou un truc du genre. Je suis surexcité... Le gars commence à bouger pour venir face a moi... Moi toujours la tête basse dans le matelas. Il me dit de me mettre sur les bras et de relever la tête... Et là il relance la machine et me pisse dur le visage... Et moi de fermer les yeux et de tourner un peu la.rete dans un sens et dans l'autre pour en avoir partout. Je me mets à genoux pour mieux recevoir sur le torse et là il s'avance et colle sa bite, d'un très beau format, sur ma bouche en continuant de pisser... Forcément j'ouvre et me voilà une bite en bouche faisant des va et vient tout en pissant... Ça coule de partout et j'adore ça. Mais même si le gars s'est préparé il ne peut uriner des heures. Une fois fini le jet d'urine, il pose ses mains sur ma tête et commence à me baiser la bouche... Avec les mots qui vont avec. Honnêtement je ne sais plus où je suis... L'urine encore chaude sur mon corps et un sexe qui commence à grossir sérieusement dans la bouche. Plus il grossit plus il va chercher loin et plus il y va fort...le moment n'est finalement pas très agréable. Mais la sensation d'être une grosse pute ayant perdu le contrôle de tout. Diantre que cela provoque de la jouissance et ne m'incite pas a stopper ou réfréner les ardeurs de ce mec. Heureusement le mouvement devient plus acceptable et il prend plaisir à me gifler le visage avec sa queue bien dur. J'adooore ! Bien sûr toujours les mots doux... Je ne sais au bout de combien de temps il finit par lâcher ma tête et me remet en position initiale...la tête basse et le cul relevé... Une nouvelle fois j'attends quelques minutes... Il revient "tu dis que tu aimes être a 4 pattes en prendre comme il faut espèce de pute... On va voir ça" Il jette à côté de moi quelques godes... Sur le coup je suis un peu déçu... Je veux une vraie bite bordel! Quelques bonnes claques sur mon cul, mes couilles tirées et triturées... Mais juste ce qu'il faut et je sens ses doigts pénétrer mon cul. De ces doigts il passe a un gode... La sensation est tout de suite plus agréable. Ne pouvant me voir je m'imagine en position avec ce mec jouant de ses jouets avec mon cul... Je commence à gémir... Comme une bonne petite salope... Je sens un gode plus gros... Plus long... Mon cul semble pas trop merdeux...et c'est tant mieux... Alors que je suis a onduler mon cul et de couiner un peu... Le jeu s'arrête et le gars s'en va de nouveau. La pour le coup je me sens terriblement frustré... Et limite a vouloir me barrer. Mais bon j'attends un peu et le gars revient pour directement me renfouner sa bite dans la bouche... Encore des mots crus... Je suis sa plus belle salope etc... Je me dis qu'il va me cracher son jus en bouche ou au visage... Ce que j'adore... Mais non. Il arrête. Je crois qu'il va encore me laisser quelques minutes... Et bien non... Il vient se positionner derrière moi, et vient frotter et taper sa bite contre mon cul et ma rondelle... Je commence à m'exciter tout seul à l'idée de me faire démonter... Enfin! Pas le temps de finir ma pensée... Je sens sa bite me pénétrer sans hésitation jusqu'à son pubis. Me voilà embroché sur sa queue et le plaisir est infini. Je voulais me faire démonter... C'est ce que je lui avais écrit... Et bien il me démonte... Les mains sur mes hanches a me ramener vers lui quand il vient vers moi... Il me défonce le cul et j'adooore ça... Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment a chaque mouvement, ma tête s'enfonçant toujours plus dans le matelas au drap humide. Il y va... Sa bite sortant par moment pour mieux me pénétrer de nouveau. Combien de temps je ne sais pas mais c'est jouissif. Je crois être au comble de mon plaisir quand il décide de me prendre les bras pour me les tenir en arrière me relevant du haut mais mon cul bien cambré... Alors là c'est le summum... Je m'entends crier de plaisir et lui m'insulter de chienne a bite. Je le sens se retirer volontairement et rapidement je sens la percussion de son éjaculation chaude sur mon anus brûlant... J'en serre mon cul de plaisir rien que de repenser a cette sensation. C'est exquis ! Je suis toujours à 4 pattes sur mes coudes, tremblant de plaisir... Il vient se mettre a genoux devant moi, me relève la tête et place sa bite devant mon nez pour commencer a essuyer le sperme encore sur sa queue. Je le prends en bouche pour tout nettoyer... "Bonne, très bonne salope..." Je déguste cette bite demi molle encore un instant... La sensation de mon cul encore plein. Ce moment est délicieux je l'avoue. Le gars retire sa bite, se relève et me dit que j'ai une douche au fond si je le veux et que je peux partir par la porte du sous sol... Lui remonte. Le retour fut hallucinant... Aujourd'hui et encore ce soir je suis tout excité de ce moment ...j'avais besoin de le partager avec vous. Mais j'ai encore plus envie de me faire démonter comme une salope. De votre faute tout ça...
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Par : le 31/07/23
A la fois brillant, entrepreneur, sportif mais prêt à tout pour fuir un quotidien insupportable, avec cette fragilité et ce refus de s’adapter aux normes sociales établies. Louis a longuement trouvé un refuge dans une épaisse carapace d’indifférence et d’adaptation. Il nomme si bien cette période « l’hibernation ».  Il voyait son paradoxe, cultivant l’excellence, recherchant l’intensité dans tous les sports extrêmes pour se sentir vivre tout en contrôlant admirablement ses émotions. C’est assez touchant la manière dont il évoque ce processus de questionnement existentiel, sa quête réelle de sens, lui qui vous parlera si bien de Yung.    Navigant sans protection, Emilie aime tant se réfugier dans son imaginaire, créative, passionnée. Elle a cette splendeur, cette sensibilité sans égard et la puissance de ses émotions. Elle vous observe lentement, scrutant le moindre détail. J’ai toujours apprécié sa douceur et son exigence.    Ils ont en commun ce désir absolu d’arrêter de penser et de détester l’ennui. Je dirai que je n’avais jamais vu une aussi faible tolérance à l’ennui avec ce besoin permanent de nouveauté, de stimulation et d’intensité.    Ils s’étaient rencontrés depuis quelques années sur un site d’adultère et avaient progressivement laissé leurs cerveaux fonctionner pour s’auto-entraîner dans un nouveau monde sans limites. L’alternance était leur jeux, perdre le contrôle, le reprendre, apprendre, s’abandonner, découvrir… soumis ou dominant à la recherche de l’extase sensorielle.    J’ai toujours trouvé formidable leur liberté. Cette harmonie face à la complexité, leur analyse pour personnaliser l’instant et ressentir nos émotions.    Ils semblaient totalement complices et fusionnels à la fois. Nous étions dans leur danse sans jamais pouvoir pénétrer dans leur espace. Ils parlaient peu, toutes leurs attitudes, mouvements, décisions, se jouaient dans une forme d’intuition, de connivence pour stimuler nos esprits et maximiser nos plaisirs. On voyait qu’ils prenaient aussi du plaisir à nous voir transcendé.    Nous avions fait leur connaissance alors que notre couple battait de l’aile. Ils offraient leur talent à dominer des couples. C’était une expérience spirituelle pour eux. Ils n’étaient pas un couple comme les autres, ni des dominants stéréotypés. Ils avaient leurs règles du jeux, celles de la spontanéité et de l’absence de scénarios établis. Louis nous avait expliqué qu’il me transporterait vers un chemin qu’il ne connaît pas encore et qu’il essayerait de faire participer ma femme.   Je recherchais à être dominé mais je ne me sentais pas assez en confiance pour y aller seul. J’avais réussi à convaincre ma femme de m’accompagner. Nous avions répondu a quelques questions sur nos pratiques et tabous.    Nous nous retrouvions la première fois dans une cabane améliorée, poutre en bois, atmosphère de chalet. Cet espace était au milieu de la nature. Ils aimaient nous emmener dans ce lieu en forêt que nous réservions pour une journée.    Ma femme était réticente et j’étais gêné de voir son attitude. Elle était pourtant prête à jouer un peu. Émile allait la guider pour d’abord me dominer légèrement puis s’abandonner.    Nous nous sommes retrouvés nus et ils nous ont mouillé et huilé le corps. L’idée était qu’on se regarde avec nos corps brillants.  Nos mains furent attachées en l’air, nous étions tous les 2 proches pour se toucher par nos corps, légèrement suspendus. Je découvris alors les coups d’un martinet léger, puis d’un martinet plus lourd. C’est Louis qui donnait les coups. Je me retrouvais à crier et à mettre ma tête entre les seins de ma femme. Ce moment était d’extase, les coups étaient de plus en plus fermes et je découvrais de nouvelles sensations.    Émilie détacha ma femme et me banda les yeux. Elle accompagna ma femme à parcourir mon corps avec ses mains puis l’invita à nouer fermement mon sexe avec une cordelette. Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce. Nous ne devions pas parler. J’entendais des chaînes, des bruits métalliques … d’un coup, une goutte brûlante de cire me tomba sur le corps. Émilie montrait à ma femme comment utiliser la bougie et dessiner sur mon corps.  Cette sensation me coupait le souffle, entre plaisir et supplice.  Ma femme respirait intensément. Je sentais son plaisir et j’étais excité à cette idée.  Voyant mon sexe en érection, Emilie lui demanda de verser des gouttes de la bougie sur mon pubis. C’est Louis qui la stoppa voyant que nous allions très loin et que j’étais presque en apnée depuis 30 s. Je crois que c’est le plus grand souvenir de la soirée, un souvenir d’une première fois que j’ai encore à l’esprit.    Ils m’enlevèrent le masque et mon corps était marqué de ces gouttes noires et rouges. Je fus détaché et ils m’ont demandé de m’allonger sur le dos. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits.    Louis pris un couteau aiguisé et m’enleva la bougie sur mon corps. Mon sexe lui, a été frappé par un petit martinet léger. J’avais vraiment l’impression de m’abandonner et de ne plus savoir où je suis.    Ma femme était trempée et voyant son excitation Émilie lui demanda de venir s’assoir sur mon visage pour que je la déguste longuement.   Pendant ce temps, Louis m’attachait avec les cordes de shibari l’intégralité de mes membres. Je n’avais que ma langue pour s’occuper de ma femme.    Je revois encore Camille et Emilie se regarder lorsque ma femme eu un orgasme sur mon visage.    Emilie demande alors à ma femme de se mettre accroupi et de m’uriner dessous. Nous avions dit que nous ne voulions pas de jeux uro. Cette idée était totalement tabou dans nos esprits. Ma femme semblait avoir perdu totalement le contrôle. Je vois sa résistance et une forme de complexe à cette idée et j’adore. Émilie agit plus fermement sur ma femme en lui mettant des pinces sur les seins et en lui exigeant d’uriner. Ma femme subit des coups de badine sur les fesses. Émilie n’arrêtera pas sans cette urine chaude sur mon corps.  De petites gouttes puis un jet chaud me parcourent le visage. Je dois ouvrir la bouche et remplir ma bouche. Je ne sais plus quelle quantité j’ai avalé mais j’ai senti cette humiliation et ce plaisir si intense d’être entravé et trempé.    Mon sexe fut détaché par ma femme et les principaux noeuds sur mon corps par Camille. Ils nous laissèrent enlacés et allongés tous les 2 dans cette humidité en quittant la pièce. Nous avions perdu la notion du temps. Je découvris que nous avions été dans cet espace sans limites pendant plus 2 h.                 
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Par : le 18/10/22
Madame Wolf lui dit : — Si je peux vous donner un conseil, cher ami, c'est de garder Summer. Sans elle, cette fille fait n'importe quoi. Non mais, de quoi elle se mêle ? Je lui dis : — Dites, Madame... — Oui ? Tout le monde me regarde, je rougis. Et Sara, sa petite chérie, me dit : — Si tu laissais parler les grandes personnes ? Comme sur le toit du building ! Oh, celle-là, je vais la... et puis non, je m'en fous. Je murmure : — Sale garce ! Je me lève et je me dirige vers la porte. J'en ai marre ! Monsieur Sam dit : — Summer, intervient ! Aussitôt, elle vient vers moi, pour me prendre fermement par l'aisselle et l'épaule, comme elle a l'habitude de le faire. Elle me pousse contre un mur, puis elle approche son visage à deux centimètres du mien en disant : — Arrête de faire la gamine, sinon je te corrige devant tout le monde ! Elle a parlé assez bas heureusement. Je réponds : — Mais, je... je suis perdue... Je ne comprends même pas ce qu'on me veut. Est-ce que tout ça est vrai ? Je ne sais pas si je dois accepter. Qu'est-ce que je dois faire ? — Tu acceptes et tu demandes deux choses, d'abord moi, et ensuite de continuer à habiter dans la maison de Malibu. — Mais... Elle me serre méchamment le bras en disant : — Non, Ashley, pas de mais. La seule chose que tu as le droit de dire c'est "Oui Summer". Vas-y. — Oui... Summer... Un "mais" me brûle la langue, mais... je me tais et je me frotte le bras. Summer ajoute : — Va t'excuser. Elle m'amène devant le groupe qui discute. On nous regarde et je dis : — Excusez-moi, mais... tout ça est tellement inattendu et... Summer me dit : — Excuse-toi poliment auprès de Sara. C'est la deuxième fois que je m'excuserai ! Je lui dis : — Excusez-moi, Mademoiselle, je suis un peu perdue et... Elle a un petit geste désinvolte comme pour chasser un insecte. Monsieur Sam s'adresse au Président : — Vous voyez, Summer est indispensable. — D'accord, on l'engage. Et là, je surprends un échange de regard entre Monsieur Sam et Summer... Je crois qu'ils savent très bien ce qu'ils font : Summer, Monsieur Sam, Madame Wolf, Sara... Ils veulent que le Président engage Summer... pour quelle raison ? Je ne sais pas, mais, moi, ça m'arrange. Je dois avouer que même quand Summer m'oblige à faire quelque chose, ça me plaît. Je ne parle pas du saut à l'élastique ! Ils parlent encore de choses et d'autres, moi je colle Summer, comme à mon habitude. Le Président me dit à nouveau : — Alors Ashley, on se marie ? — Oui, avec plaisir... mais il y a deux choses que je voudrais : Summer et pouvoir continuer à aller dans la maison de Malibu. — Summer, je viens de l'engager, quant à la maison... Il se tourne vers Sam qui lui dit : — C'est la maison de Leyssens, on y a été ensemble. Il est en Thaïlande. — Ah oui, je m'arrangerai avec lui. C'est d'accord pour que tu habites là quand tu n'es pas à la Maison-Blanche. Je me lève pour aller l'embrasser. Monsieur Sam me dit : — Il y a quelques documents que tu devrais signer. C'est l'homme grisonnant qui me les apporte. Je les signe sans les lire. Je fais confiance à Monsieur Sam. Depuis que j'ai assisté à la punition des filles, j'ai un peu le feu au cul,  comme on dit, dans ma campagne. Je voudrais Summer ou un mec costaud et hétéro (non, pas le Président). Justement, il me dit : — On va aller dans la chambre, il y a une petite surprise pour toi. Quoi ? Un yacht, un brillant ? On monte et dans la chambre, il y a Tex, mon beau Texan. On s'embrasse et je dis au Président : — Juste ce qu'il me fallait après avoir vu les filles fouettées. John rit et nous dit : — Je vous laisse, j'ai du travail. Je viendrai vous chercher pour le petit déjeuner, demain matin. Là, je veux quand même une explication. Je lui demande : — John, voulez-vous bien venir trois minutes sur la terrasse? — Oui, bien sûr. On sort et je lui dis : — S'il vous plaît, expliquez-moi. — J'aime les femmes volages, surtout s'il s'agit de ma future femme. Je suis excité à l'idée que ma femme se fait trousser dans la chambre à côté de la mienne. Tu comprends ? — Oui. Non, mais ça ne fait rien, tant que je peux m'envoyer en l'air avec Tex. Il m'embrasse... sur la joue et il sort de la chambre en disant : — Bonne nuit, les amoureux J'enlève ma robe... Tex me dit : — C'est dingue, tu vas devenir la première dame. — Il paraît, mais je n'ai pas envie que tu me baises comme si j'étais la future femme du Président. Il comprend ce que je veux dire. Il me donne une bonne claque sur les fesses en disant : — À poil, petite salope ! Ouiii, c'est ça... J'enlève ma robe... On s'enlace, on s'embrasse, on se renifle, on se lèche. Il me dit : — Mets-toi à 4 pattes, je vais te monter. — Oh ouiii !  Après avoir baisé et joui, on s'endort dans les bras l'un de l'autre... *** Le lendemain, je me réveille et dans la pénombre, je vois le Président assis dans un fauteuil. Il me sourit et dit : — Bonjour Ashley. Ton Texan t'a bien baisée ? — Comme une reine ou plutôt comme une pute. Il rit. Je fais rire le Président des États-Unis... Tex se réveille et se lève. Il salue le Président, la bite à l'air, puis il va ouvrir les volets. Je me lève, on est tous les deux nus. J'embrasse Tex en disant : — Bonjour mon chéri. Oui, j'ai compris que c'était ce qu'il voulait, le Président ! On s'enlace... mais sans s'embrasser, ce sera après le lavage des dents. Le Président semble fasciné par le spectacle de sa future femme nue dans les bras d'un autre homme. Summer lui dirait "ferme la bouche, on va déjeuner". Je vais lui faire comprendre : j'enfile ma robe et je lui dis : — J'ai faim... — Oui, moi aussi, on descend... Tex me prend par la taille, tandis que le Président marche derrière nous. Franchement, cette situation est tellement bizarre que j'ai encore un doute. Qu'il soit le vrai, c'est sûr. Personne ne ferait une blague aussi énorme... C'est plutôt que je doute qu'il m'épouse... Bah, j'aurai pris du bon temps ! Dès qu'on arrive dans la salle du petit déjeuner, des hommes viennent à notre rencontre. Certainement des gardes du corps. Ils sont suivis par une jolie femme dans la trentaine. Elle nous dit : — Bonjour Monsieur le Président, bonjour Mademoiselle. Le Président me dit : — Voici Madame Conway, elle sera... ta secrétaire. On se serre la main. Qu'est-ce que je vais faire avec une secrétaire, moi ? Elle est jolie, c'est une brune aux yeux clairs, mais bon, j'ai ce qu'il faut à la maison. On va s'asseoir à une table. Des serveuses apportent du café, des crêpes et pour moi, des oeufs aux lards avec des patates. Ils sont vachement bien renseignés sur mes goûts. Monsieur Sam a dû leur en parler. Le Président me dit : — Madame Conway te mettra au courant. Puis à elle : — Comme je vous l'ai dit, je vais épouser Mademoiselle Stirland. — Toutes mes félicitations, Monsieur le Président. Elle est très belle. Peut-être vêtue d'une façon un peu révélatrice pour une première dame... On rit... C'est vrai, je suis nue sous ma robe transparente de sex shop.  Il répond : — Oui, c'est exceptionnel. Je dois y aller. Termine ton petit déjeuner, Ashley. Madame Conway te déposera où tu veux. Il m'embrasse sur la joue et s'en va, suivi de ses gardes du corps. Je mange mes oeufs et, entre deux bouchées, je dis à la femme : — Vous savez, je continue à me demander pourquoi le Président m'a choisie. — Oui, je comprends que vous soyez un peu perdue. Il a besoin d'une très jolie épouse pour faire taire les rumeurs sur ses... moeurs. Et aussi pour ses voyages à l'étranger. Paris, Tokyo... Je vous expliquerai tout ça. Fin de la troisième partie. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Bruce Morgan et Mia vous proposent «Ashley et les esclaves » 319 pages, 81 dessins + « Les vacances de Mia » 35 pages, 14 dessins de Bruce. Vous allez passer de super moments pour 10 € via paypal à : leslivresdemia@gmail.com Vous les recevrez directement sur votre mail.
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Par : le 02/09/22
Abus des sens. Envie d’abuser … Tumulte de mes pulsions… plus envie de gérer… Mettre en place cette envie de dominer… Attendre… Vivre l’instant présent… Jouir du mal absolu… Peut-être un peu trop bu… ----------------------------------------------------------------------------------------- Un vent d'amour s'est levé ... L'orage s'éclate! La tempête vit. La nuit est belle... ----------------------------------------------------------------------------------------- Petite nuit une fois l’heureux orage passé. La tête dans un bien être, Je vaque à mes occupations, c’est la rentrée… Peu d’occasions de me poser aujourd'hui, mais qu’importe, les lendemains de mes tumultueuses pulsions sont , pour Moi, source de légèreté d’esprit. Je repense à là où la foudre est tombée avec intensité… Instant violent et ardent… En tout point jouissif… Aboutissement d’une belle journée… C’est la rentrée… Heureuse d’être et d’avoir, Je veux jouir avec fracas… Jouir à travers l’un des Miens… Prendre ce qui m’appartient et l’emmener sans mégarde au cœur d’un somptueux orage… Là où mon amour fait rage. Oui ça gronde, il fait sombre et rude … Les impacts foudroyants déchaînent mes sens… Juste le temps d’enfiler ma tenue de pluie et d'accrocher mes bas… Ô fabuleux orage! Que J’aime tout emporter sur mon passage. Bien amarrer Mon tendre soumis et l’introduire sous ce temps qui claque. Le faire hurler en ordonnant le silence. Lui faire goûter à ma rage d’aimer et prendre tout ce qu’il a à me donner. Perdu au milieu d’un monde nouveau , là, à sa place, dans Mon Antre, découvrant la force d’une tempête d'amour aux milles éclats… Oui, ce n’est que de l’amour. Un tumultueux et ô combien diabolique amour… Marquant à souhait, corps et âme. Aux frontières d'insupportables douleurs , Je prends mon dû de jouissance... Je puise à outrance... J'abuse en toute conscience à grands Coups de tonnerre et éclairs... Jusqu'à ce que le vent s'apaise... Que l'amour tournoyant retrouve sa sérénité... Une pluie dorée calme les dernières bourrasques... Les griffes se rétractent... Je desserre les liens de ma pute et laisse éclater ses sanglots en pluie fine...
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Par : le 17/01/22
200 C'est le nombre de pinces à linge que j' ai accrochées sur Mon soumis . Rangées serrées tout autour du dos, des fesses et l' entre cuisses... Retirées plus ou moins lentement, brutalement, délicatement parfois par poignée. D'autres judicieusement laissées... Virées à la cravache, à la main ou au pied. Il faut bien les enlever... Un long moment fun et intense et des traces... Humm! Ces traces... Une multitude de petites morsures qui sillonnent son corps... C'est aussi le plaisir de les mettre. Une à une les placer soigneusement... Chercher ce filon de peau qui accueillera mes pinces pour dessiner sur son dos... C'est le croquer à petit feu à travers mes belles qui se fixent à ma volonté... Je veux qu'elles tiennent, qu'elles tendent, qu'elles soient le prolongement de mes phalanges... Des centaines de doigts pressent sa chaire pour moi. Pour me procurer ce plaisir que je sens monter en moi... Déjà une centaine solidement ancrées en rangs serrés... Une autre tourbillonne à pleine dents sur son cul et glisse sur ses cuisses... Les rebelles refusant de prendre part à ma perversité voleront loin de moi. Je refuse que l' on vienne troubler mon plaisir. Je veux les 200 sur lui... 150 Mon plaisir se précise... Mes envies se précipitent... 180 Mon excitation m' enivre... Mon corps s'agite... 190 Je vibre... Mon pouls s'accélère... J'y suis presque... CLIC... CLAC.. 2 se détachent... Non! Reviens par là! Plus que 5. Plus de place... Sa peau est si tendue, Il commence à gémir... Hum! Attends un peu que je les retire... Oh oui tu vas gémir.... Plus que deux. Vache! Je suis en train de jouir. Non! Pas encore! Vite une place... Là, sur la peau du cou, une... La dernière sur l' aisselle. Humm! Oui 200! Les voilà mes belles carnivores qui te sucent lentement... Humm! que tu es beau ma bête à pinces... Que tu m' excites ainsi.... Tant d'attente pour arriver à tout placer , tant de plaisir à venir à tout enlever. Tant de jouissance déjà présente qu'une pulsion me vient: Comme on sabrerait de champagne une victoire bien méritée, J' arrose Ma chose de son champagne préféré avant d'ouvrir les festivités... CLAC!
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Par : le 03/09/21
Les premiers maniaques du fouet arrivent. L’un deux est très différent, d’abord parce qu’il est beau, ensuite parce que ses vêtements sont classes : pantalon noir, chemise blanche à manches courtes, lunette de soleil Ray Ban. Il est le seul à avoir deux gardes du corps, des Asiatiques costauds qui ont un revolver dans un holster sous le bras. Nos gardes se précipitent en faisant de profonds saluts. L’homme élégant leur dit : — Je voudrais voir les filles sur un rang. Il parle bas, comme les gens qu’on écoute tellement ils sont importants ou parce qu’ils disent des choses essentielles. Un garde gueule : — Sur un rang, immédiatement ! Il manque "Schnell, police allemande ! " Après nous avoir examinées l’une après l’autre, l’homme dit à une blonde : — Toi, viens à côté de moi. Il dit la même chose à une brune, puis à Julien et moi. Nous allons nous mettre près de lui. Qu’est-ce qui va nous arriver ?? Il parle un peu avec "nos gardes", puis s’en va en nous faisant signe de le suivre. Un peu plus loin, il y a son moyen de transport et ce n’est pas une charrette tirée par une fille, mais une 4X4. Un garde conduit, l'autre s'assied à côté de lui. On est quatre à l’arrière, ça fait beaucoup, même pour une grande voiture. Je rassemble tout mon courage pour lui demander : — Je peux venir sur vos genoux, Maître ? Je l’ai cueilli, là. Ou je prends une gifle ou... Il rigole et répond : — Tu es gonflée toi ! Ça me plaît, mais tu es un peu trop sale... attends. Il déplie le supplément du Financial Times sur ses genoux. YES !! Je grimpe dessus... Je sens qu’il va tomber amoureux, on va se marier et Julien sera notre témoin. Il pose la main sur ma cuisse et là, j’ose à nouveau : je lui dis : — Pardon, Maître, mais je voudrais vous prévenir... — De quoi, petite ? — C’est Monsieur de Préville qui nous a punis et... — Je sais, mais ne t’en fais pas pour lui, il a des problèmes. Oh, comme ça fait plaisir ! D’accord, ce n’est pas très chrétien, mais il nous a fait payer très cher une simple tentative de larcin. Nous croisons des charrettes tirées par des filles. Quand ce n’est plus moi qui suis attelée, je trouve ça assez excitant à regarder... On arrive en bordure d’une prairie rase. La voiture s’arrête et on descend tous. L’homme nous montre un tas de vêtements en disant : — Habillez-vous. On sort des jeans, des tee-shirts et des baskets du tas. Tout est en taille 38, ça va aussi bien à Julien qu’aux filles et à moi. L’homme nous dit : — Je m’appelle Monsieur King... Ce nom me plaît, je voudrais être sa Queen ! Il poursuit : — Nous allons sur une petite île privée au large de l’Île de Henan. Le travail que vous aurez sera beaucoup plus facile, mais vous devrez obéir. D’accord ? On répond : — Oui Monsieur King. Il me regarde en ajoutant : — Ça vaut surtout pour toi, Samia. Celle qui essaie de s’évader retournera tirer des charrettes... Si vous faites bien ce qu’on vous demande, vous pourrez avoir un travail de plus en plus intéressant. Super !! On entend un léger vrombissement... C’est un hélicoptère qui vient se poser dans le champ. On monte tous... Ce sera mon premier voyage en hélicoptère. Les gardes ne montent pas avec nous. Je touche la main de Monsieur King. Il rit en secouant la tête, puis change d’avis et dit : — Oui, viens. Je me changerai. Je sais que je ne suis pas très propre et que je sens la respiration, mais j’ai trop envie d’être à nouveau sur ses genoux. Julien et les deux filles se mettent sur le deuxième siège... Vous voyez bien qu’il n’y a pas assez de place. Monsieur King me dit : — Tu sens la transpiration, mais... ce n’est pas désagréable. Je mets mes bras autour de son cou et je l’embrasse sur la bouche. C’est un vrai baiser. Quand nos lèvres se séparent, il dit pensivement : — Si on m’avait dit ce matin que je trouverais agréable d’embrasser une fille qui ne se lave pas les dents... Je réponds : — Je les ai nettoyées avec de la cendre... C’est vrai en plus, je suis maniaque des dents propres. Je me pelotonne contre lui, comme un bébé perdu qui retrouve sa mère. Le voyage ne dure pas longtemps, hélas. On se pose sur une petite piste d’atterrissage, proche de la mer. Autour de nous, la végétation est tropicale. Au bord de la plage, il y a des palmiers et la mer est d’un bleu profond, une vraie carte postale. Monsieur King nous demande si on a faim, nous répondons en cœur : — Oh oui, Monsieur King ! On marche le long d’un petit sentier bordé de fleurs, ça sent bon... On arrive devant une série d’établissements, disséminés le long d’une plage. Il y a un hôtel, des restaurants, des terrasses... Le style devrait être chinois, mais ça ressemble plus à l’architecture japonaise. Il y a beaucoup de gens – hommes et femmes – habillés, en maillots et nus.     Tout le monde salue Monsieur King. Un gros homme lui demande : — De la chair fraîche ? — Oui et de première qualité, comme tu peux voir. Cool... Enfin, à part qu’on dirait ça pour de la vraie viande. Je remarque des jolies filles vêtues d’une robe comme en ont les prostituées à Hong Kong. Enfin, c’est comme ça que je les imagine. Une robe une pièce en soie, décorée de fleurs et de dragons. Elles descendent jusqu’à la cheville, mais le côté est fendu jusqu’à la hanche. Il y a un petit décolleté rond et pas de manches. Je remarque ces filles parce qu’elles ont toutes un collier comme nous. On va s’asseoir à une terrasse. Monsieur King nous dit : — Prenez un sandwich. Je lui demande : — Et un dessert, on peut, Monsieur King ? Il rit, puis répond : — D’accord... Ensuite, il ajoute : — Tiens, tu n’es plus sur mes genoux ? Ça, il ne doit pas me le dire deux fois : je vais aussitôt m’asseoir sur lui et je mets mes bras autour de son cou, en disant : — J’adore être sur vos genoux, même si j’aimerais être plus fraîche.   Après avoir réfléchi, il répond : — C’est très curieux, mais j’aime ton odeur. Ça, c’est comme un coulis de framboise qui coule dans mes oreilles... non, c’est comme du chocolat liquide et de la crème fraîche qui coulerait dans ma gorge. Une fille avec un collier, habillée en serveuse, vient prendre notre commande tout en faisant de nombreuses courbettes à Monsieur King. Il lui demande : — Tu te plais ici, Éva ? — Oui, beaucoup, Monsieur King. Je commande un club sandwich (petit pain, poulet, salade, tomates) et une glace vanille avec de la sauce caramel et de la crème fraîche. Il commande une bouteille de vin... Monsieur King mange un sandwich, lui aussi. Nous, on dévore ce qu’on a demandé. Il nous dit : — Je vais y aller... Vous pouvez rester ici, on viendra vous chercher. Si quelqu’un vient vous demander quelque chose, dites qu’il doit s’adresser au bureau des filles. Quand il se lève, je lui dis : — On vous est infiniment reconnaissantes de nous avoir sortis de cet enfer, Monsieur King. Je suis prête à m’asseoir sur vos genoux quand vous voulez... Il me sourit, puis répond : — Viens, j’ai quelque chose à te dire. Il va me demander ma main ! La réponse est OUI ! On fait quelques pas et il me dit : — Mailla travaille pour moi, elle va s’occuper de vous. N’oublie pas une chose, c’est grâce à elle que tu es ici. Oh, putain ! Mailla, une traîtresse ? Voyant ma tête changer, il ajoute : — C’est elle qui m’a dit de venir vous voir. Tu dois lui obéir, OK ? — Oui Monsieur King... Je vous reverrai ? — Dans deux jours, on passera un moment ensemble... — Je serai toute à vous. Il m’embrasse sur la bouche et s’en va. Je retourne tristement près des autres. Ils me demandent tous les trois ce qui s’est passé. Je leur explique : — C’est grâce à Mailla qu’on est ici. La blonde dit : — Elle nous fait un vrai cadeau. Oui, sauf que j’espérais qu’elle contacte le Russe et qu’on soit libérés pour de vrai. Quand je pense à tout ce que je lui ai dit, je n’ai jamais imaginé qu’elle soit une taupe. Et quand on parle du loup, on voit sa queue – ou sa chatte, dans ce cas-ci. Je la vois apparaître. Elle n’a pas une robe en soie, mais un pantalon de cuir et un tee-shirt "Led Zeppelin" ! Julien se lève quand elle s’approche de nous, les filles et moi aussi. Julien va prendre une chaise vide et la met à notre table en disant : — Si vous voulez vous asseoir, Maîtresse. Quel lèche-cul, celui-là ! Au propre et au figuré. Elle répond : — Merci, vous pouvez aussi vous asseoir... Alors contente d’être ici, les filles ? Les filles, y compris Julien, répondent : — Oui, merci Maîtresse. Elle se tourne vers moi pour me demander : — Et toi, tu ne dis rien, les charrettes te manquent ? — Non, Maîtresse, c’est la Mailla d’avant qui me manque... Je n’ai pas arrêté de penser à elle. Ça la fait rire. Garce ! La serveuse vient lui demander ce qu’elle veut boire, elle répond : — Une margarita. Oh, j’adore ça ! C’est de la tequila, du curaçao et du jus de citron sur de la glace pilée. Mailla nous dit : — Vous en voulez également ? — Oui merci Maîtresse — Et toi, tu acceptes mes cadeaux, Samia ? — Oui Maîtresse. — Bon, je t’explique : on savait que tu préparais quelque chose, genre t’évader avec l’aide d’un maffieux russe. Je dirige la sécurité et j’ai choisi la méthode douce, tu n’aurais pas aimé l’autre. — Si vous pouviez me laisser un tout petit peu oublier "ma" Mailla Elle lève les yeux au ciel... Les margaritas arrivent. Ne voulant pas me mettre à dos le chef de la sécurité, j’ajoute : — C’est que je suis tellement... déçue de mon manque de "feeling". Pour éviter de me mettre à pleurer, je bois une gorgée de margarita. Quand on a fini, Mailla nous dit : — Venez, on va vous habiller et vous dire les règles... Il va de soi que celle qui ne les suit pas retournera aux charrettes. On quitte le bord de mer pour aller dans une maison japonaise typique. Beaucoup de gens la saluent et les filles en robe de soie s’inclinent à 45°. On va dans une grande pièce où il y a plusieurs robes suspendues à des cintres. Mailla nous permet de choisir. Je prends une robe bleue avec un dragon rouge. Julien, une robe rouge avec des chrysanthèmes jaunes. Il sera donc en femme. Mailla continue ses explications : — Voilà comme ça se passe. De 10 h à 23 h, vous devez être dans le village, à la plage, à une terrasse, au restaurant... partout où les clients peuvent vous voir. Une des deux filles lève la main comme à l’école, Mailla lui dit : — Oui ? — On ne doit pas payer ? — Non, tout est gratuit. Et vous pouvez choisir où dormir. Bon, je dois y aller. Si vous avez un problème revenez ici. Soyez sages, les filles. On sort de là, assez désorientées... Les filles proposent d’aller à la plage. Je leur réponds : — On vous rejoint... Je voudrais d’abord visiter. Julien me demande : — Je peux venir avec toi, Samia ? — Évidemment... Et c’est là que la prédiction des lignes de ma main se réalise. Mailla vient vers nous. Elle a l’air de râler un peu, pourtant j’ai rien fait ! Elle me dit : — Tu vois cet hôtel ? Va sur la terrasse, quelqu’un t’attend. Elle repart... Bon, ce sera mon premier client, ici. On y va tous les deux, j’aime bien avoir Julien sous la main... On arrive à l’hôtel et... Oh ! Monsieur King est installé à une table avec trois hommes et une femme. Il fait les présentations : — Voilà Samia et son mari. Puis, à moi : — Nous sommes intéressés par ce projet d’hôtel et de parc d’attractions dans l’Atlas, ça te dirait qu’on fasse ça ensemble ? Je rêve ?? Est-ce que c'est pour de vrai ou alors est ce que le Prince charmant va se transformer en citrouille et moi me réveiller attachée à une charette ? Non ! Je réponds : — Cette région, a un énorme potentiel. Les gens viendront voir la cascade, les villages Berbères et si en plus, il y a un parc d'attractions, ça va être la folie. Monsieur King me dit : — Nous avons vu un film avec les singes. Est ce que tu pourrais refaire ça, disons, une ou deux fois par semaine ? Et là, j'ai une idée. Je réponds : — Bien sûr, je me suis super bien entendu avec les singes... Et je pense à une chose, il faudra que Julien aussi se fasse prendre par les singes. Ils sont surpris par ma proposition et se regardent, puis Monsieur King me dit : — Super idée Samia ! Tu vas être responsable des singes et de pas mal d'autres choses. Je me lève, je vais m'asseoir sur ses genoux et je l'embrasse sur la bouche pour le remercier. C’était écrit dans les lignes de ma main. Alors, en route vers de nouvelles aventures... Fin ? Peut être pas, je continuerai à écrire de là bas... Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …  
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Par : le 13/08/21
Le vin et le chocolat, ça m’a fait du bien, un rayon de soleil dans une nuit noire. Il n’y a qu’une chose de positive dans cette affreuse punition que nous inflige mon beau père... c’est Ailla. Elle est belle et intelligente et elle sent bon. Je sais bien qu'elle ne doit pas être facile à vivre, mais c’est elle, le vrai rayon de soleil. Et puis, j’ai un plan. Pas un plan foireux comme le casse, un plan qui va nous sauver. Sainte Sara veille sur nous, pauvres Roms rejetés de partout et... — Samia ! — Oui, la Voix, mais j’ai pas le moral... Bon, j’ai Ailla, le vin, le chocolat... Un peu avant 22 h, les gens quittent le bar. On se rhabille et on s’en va aussi. Ailla sait où sont nos chambres... enfin, nos chambres, c’est une façon de parler. On dort dans le dortoir n° 8. Dans cette très grande pièce, il y a des rangées de minces matelas posés directement sur le sol et dans un coin, un tas de couvertures crasseuses. La salle de bains et les toilettes consistent en quelques seaux. Bonjour l’hygiène et les odeurs. Il y a heureusement une grande fenêtre ouverte, je vois même la lune... Ailla sait aussi qui est le chef de cette chambre. Madame Lóng dirige tout le groupe, mais chaque chambre a une dure à cuire qui fait la loi. Ailla est un génie, je crois l’avoir déjà dit. Elle va s’incliner devant une grosse Chinoise. Elle lui parle et la fait rire ! Cette fille est... — SAMIA ! — Oui, d’accord la Voix. Je disais qu’elle la fait rire et la Chinoise lui caresse même la hanche et les fesses. Elle ne va quand même pas passer la nuit là ? Non, heureusement, elle revient vers nous. Intriguée, je lui demande : — Et alors ? — Je te dirai ça demain, je suis crevée. Elle se couche sur un des matelas en ajoutant : — Va chercher des couvertures. — Il n’en reste que deux, les filles ne vont pas me laisser les prendre. — VAS-Y ! — Oui... On me donne quand même les deux dernières couvertures, mais c’est peu pour trois personnes. En me couchant, je demande à Ailla : — Je peux me mettre contre toi ? — Oouiii.... Maintenant, tais-toi. Julien se couche lui aussi derrière moi et il me colle. Je le laisse faire, pour une fois. *** Au milieu de la nuit, on est réveillés par la lumière du plafonnier et une voix qui crie un truc en chinois. En fait, ce n’est pas le milieu de la nuit, mais l’aube. Il doit être horriblement tôt. Je vais vite faire la file pour pouvoir m’asseoir sur un des seaux. C’est pressé. Ailla me dit : — Laisse tomber, on peut aller ailleurs. Comment elle sait ça ? Cette fille est... non, j’ai rien dit ! On sort dans une cour qui donne sur un champ, il y a plusieurs tranchées et des filles qui se soulagent, pantalons baissés. Et le papier pour s’essuyer ? Et la douche ? De là, on va manger du riz collant avec un peu de légumes et des bananes mi-jaunes, mi-noires. Ensuite, on doit toutes se mettre en rang dans une autre cour. Là, tous ceux qui ne sont pas en orange viennent faire leur marché. D’abord, les gens en civil. Un homme fait signe à Julien et il part avec lui.     Puis un couple vient nous observer. L’homme dit : — Elles sont spectaculaires ! La femme répond : — Oui, mais elles puent, il faudrait les laver et leur donner un uniforme propre. La faute à qui si on pue ? Le même homme dit à un des gardes qui nous surveille : — On prend ces deux-là. Le garde s’incline en disant : — Très bon choix, Monsieur. On suit le couple jusqu’à une salle de douche. La femme nous dit : — Lavez-vous soigneusement et vite ! Ailla et moi, on se savonne mutuellement. J’aimerais me frotter à elle, mais c’est impossible avec cette femme qui nous surveille. Quand on est lavées et rincées, elle nous donne une serviette propre pour nous essuyer. Ensuite, l’homme revient avec deux uniformes propres. On suit ce couple jusqu’à l’entrée de l’usine, la vraie, la grande. Derrière un comptoir, il y a deux filles en tailleur noir, sûrement des Thaïs, à nouveau. L’homme leur dit : — C’est elles qui vont rester à l’entrée pour accueillir les gens et prendre les bagages. Elles doivent vous obéir, sinon, il faut les punir. Charmant ! Moi qui pensais qu’on allait devoir coudre dans un atelier... Les filles parlent entre elles, puis l’une d’elles nous annonce : — Je vais montrer à ma collègue comment vous punir. Penchez-vous en avant. Je m’exclame : — Mais on n’a rien fait ! — Obéissez ! Bon, on se penche, la fille prend une canne en bambou et elle me donne cinq coups sur les fesses, heureusement sans me faire baisser mon pantalon. Ça fait quand même vraiment mal, ce bambou, je crie à chaque coup. L’autre fille s’exerce sur les fesses de Ailla qui reste stoïque et ne crie pas, évidemment... La fille qui m’a frappée me dit : — Quand des visiteurs arrivent en voiture, vous devez vite leur ouvrir la portière, les saluer et prendre leurs bagages. Chaque fois que vous ne le ferez pas bien, ce sera cinq coups sur les fesses. Compris ? Ailla et moi on répond : — Oui Mademoiselle. On passe l’heure suivante à courir quand il y a une voiture et à s’incliner devant ceux qui en sortent. On se prend chacune encore 5 coups de canne sur les fesses. Pourquoi ? La fille qui ne savait pas comment frapper nous le dit : — Ça, c’est sans raison. À part que c’est amusant. N’est-ce pas ? — Oui Mademoiselle Grrrrr ! Et puis... une grosse voiture arrive, je cours ouvrir la portière côté passager et il en sort... Satan ! Non, pire que ça, mon beau père ! Il est accompagné d’une jolie brune sexy. Il me demande : — Qu’est-ce que tu fais là, toi ? Tu devrais être dans un atelier aux ordres des ouvrières. Je vais m’en occuper. Ma Voix intérieure a beau me hurler "Ta gueule !", je réplique : — Je suis ici parce qu’un psychopathe m’y a envoyée. Il sourit... Aïe, aïe, aïe... Cette expression me rappelle de très mauvais souvenirs, qu’est-ce que j’ai fait ! Il me répond : — Tu n’as pas envie d’une semaine de vacances avec ton mari ? À la campagne, par exemple. Ça te plairait ? Cette fois-ci, je me tais. Sa copine lui demande : — C’est quoi cette folle, darling ? Darling (!!) répond : — Son mari et elle travaillent pour moi. Ils ont essayé de voler la paye des ouvriers, alors je les ai envoyés ici, plutôt qu’en prison. — Tu as trop bon cœur, darling. Bon cœur ! Oui, autant qu’un tigre affamé ! Quand il parle aux hôtesses, je l’entends dire : — On va venir chercher la brune, la rousse peut continuer à travailler. — Certainement, Monsieur. Profondes courbettes des deux hôtesses. On ne vient pas me chercher tout de suite. J’ai le temps d’expliquer mon plan à Ailla. Les hôtesses ont beau crier et me donner des coups sur les fesses, je ne sens rien ou presque. Je lui répète plusieurs fois de suite, en finissant par lui demander : — Tu as tout retenu ? — Tout, Samia. Un garde arrive. Il me passe un collier autour du cou. Plus exactement un épais cercle en fer avec une chaîne comme laisse. Ailla me dit : — Tiens bon ! — Ouiiii... Le garde tire sur ma chaîne. On sort de l’usine pour nous diriger vers une camionnette. Il me tire à l’intérieur du véhicule et attache ma chaîne à un anneau au plafond. Je suis obligée de rester debout. Julien est là, il me fait un signe de tête "Ça va ?", je réponds de la même façon "Impec !" Il y a deux Occidentales attachées de la même façon. On roule pendant une petite heure, debout, se cognant les unes aux autres dans les tournants. Par le pare-brise, je vois qu’on arrive devant une forêt de bambous géants. Lorsqu’on y pénètre, je m’aperçois que cette forêt n’est qu’une ceinture de bambous cachant une haute palissade, surmontée de fils de fer barbelés. C’est une prison ! Deux gardes ouvrent une grande porte et on se dirige vers de vieux bâtiments... Autour de nous, des champs s’étendent à perte de vue. Un peu partout, il y a des gens qui travaillent. Les femmes et les hommes sont nus, à part un collier en fer, des sandales et un très grand chapeau conique, sans doute en paille. Ce serait une scène... bucolique, s’il n’y avait des gardes qui encouragent les prisonniers en leur donnant des coups de cannes en bambous sur le dos, les fesses et les jambes ! Je remarque que les gardes ne sont pas Chinois, mais Occidentaux. C’est le cas du garde blond qui vient détacher nos chaînes et nous fait descendre de la camionnette. Julien vient près de moi. Le garde appelle une jeune Chinoise – nue, évidemment – pour lui dire : — Donne-leur de l’eau. La fille s’incline en répondant : — Oui, Maître. Ah, carrément ! La fille se plie encore en deux, puis va nous chercher deux bouteilles d’eau qu’elle dépose à nos pieds. Le garde nous jette : — Buvez. Beaucoup ! On lui obéit, ça fait du bien, surtout qu’il fait vraiment chaud. Quand tout le monde s’est désaltéré, le garde nous annonce : — Vous allez rencontrer vos Maîtres. Quand ils seront à dix pas, vous vous mettrez à genoux, puis vous poserez vos fronts sur le sol, mains croisées sur les reins. Faites-le ! On se met tous en position, le garde passe derrière nous et... — Aïe !! Il vient de me donner un coup de canne en bambou sur les fesses en disant : — Cambre-toi plus ! — Aïe !! Nouveau coup sur mes fesses ! — Mieux que ça, je veux voir ton trou du cul ! Les deux filles et Julien se prennent aussi deux ou trois coups de canne. Il nous dit : — Debout et vous avez bien compris, à dix pas. On attend au soleil... Je passe mes mains sur mes fesses et je sens les deux boursouflures laissées par la canne. Enfin, nos maîtres arrivent... Un gros Chinois d’une cinquantaine d’années et une adolescente fluette, également chinoise et... habillée. Ils sont suivis par deux filles nues qui tiennent chacune un parasol pour protéger les Maîtres du soleil. Deux autres filles portent un lourd fauteuil. Dès qu’ils sont à ce que j’estime être dix pas, je me mets à genoux, puis je pose le front sur le sol. Julien et les filles font la même chose. Je suis incapable de voir ce qui se passe, je dirais que l’homme s’est écroulé dans le fauteuil et la jeune fille fait le tour de notre petit groupe prosterné. Elle s’arrête derrière moi et elle me donne un petit coup de pied dans les fesses en disant : — Samia ? — Oui Maîtresse. Pas facile de parler avec la bouche presque contre le sol. Elle tâte mes fesses du bout du pied en disant : — Tu as un beau cul... À côté de toi, c’est ton mari ? — Oui Maîtresse. — Vous êtes aussi bien assortis qu’une grenouille et un lapin. Pourquoi l’as-tu épousé ? Je lui réponds la vérité : — Par intérêt, Maîtresse, son père est riche et il faisait tout ce que je voulais. A suivre. Un tout grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 23/05/21
Dans la vie, on dirait qu'il y a des périodes positives et puis d'autres qui le sont nettement moins. Dans le jet, qui nous amène en Chine, je me doute que tout ne va pas être rose, loin de là, mais je suis tenace et j'ai un plan. — Encore ! Oui la Voix, encore un plan... Pas pour tout de suite, mais dans quelques semaines, on s'évadera. Je regarde les lignes de ma main et je vois un grand changement pour bientôt. Vous n'y croyez pas ? Vous avez tort : la chiromancie est une science, pour nous, les Roms. On voyage avec mon beau-père et des cadres de la société. J'ai essayé de lui parler, mais il m'a coupé la parole : — Ton complice et toi, vous êtes punis, tu pourras me parler dans 3 mois. Ce genre de phrase n'incite pas à poursuivre la discussion... On reçoit à boire et à manger et c'est déjà ça. Julien me confie tout bas : — J'ai peur, Samia. Je lui montre la paume de ma paume pour lui expliquer notre avenir. Il me croit, lui. On somnole, puis je m'endors carrément. *** On atterrit dans un aéroport régional. Certainement pas celui de Pékin ou d'une grande ville. En descendant du jet, je me dis qu'on doit être dans le sud de la Chine, étant donné la chaleur. Les formalités douanières sont rapidement expédiées, on dirait que mon beau-père est "personna grata" ici. Il montre nos passeports, c’est curieux parce que je n'en avais pas ! Des Chinois nous attendent : il y a des poignées de mains et des courbettes, sauf pour nous. Ils parlent tous anglais, coup de chance. Mon beau-père nous désigne en disant : — Ce sont les petits voleurs dont je vous ai parlé. Sourires entendus des Chinois, ils voient très bien. Un gros homme ricane en me regardant et dit : — Non allons les rééduquer. Oh que ça ne sent pas bon ! Je me demande à quelle sauce soja nous allons être mangés. Des voitures nous attendent. Julien et moi on est seuls dans une voiture avec deux hommes qui sont nettement moins souriants que ceux qui ont accueilli mon beau-père. Julien doit monter à côté du conducteur, tandis que je suis à l'arrière avec un autre homme. On quitte la ville. Il y a des champs mais aussi une végétation tropicale et puis il fait chaud... L'homme avec qui je suis se tourne vers moi, plonge la main dans mon décolleté et caresse mes seins moites en disant dans un anglais approximatif : — Vous, les femmes occidentales, vous avez une seule qualité : des beaux seins ! C'est un peu restrictif, non ? Je réponds : — Merci, monsieur. Qu'est-ce qu'on va nous faire ? — Ouvrières de 3e classe. — C'est dur Monsieur ? — Vous êtes punies ! Ouais... On pénètre dans une vraie forêt de bambous, j'apprécierais si je n'avais pas une boule au ventre. Je regarde vite la paume de ma main, le changement positif est toujours là, écrit dans ma paume, ouf ! On roule un moment entre les bambous géants et on arrive devant l'usine. C'est un immense bâtiment à un étage. Il y a une entrée, entourée de parterres de jolies fleurs. J'aperçois mon beau-père qui monte les quelques marches avec ses collaborateurs. Je voudrais aussi prendre la grande entrée, mais au lieu de ça, on doit entrer par une petite porte. On arrive dans un grand bureau, une dizaine d'hommes et de femmes y travaillent. Il y a parfois un homme ou une femme devant leurs bureaux. Une Occidentale est nue et elle a l'air aussi mal à l'aise que moi. Le garde nous dit : — Attendez derrière la fille. Derrière le bureau, il y a un Chinois qui pourrait jouer les méchants dans un James Bond. Il interroge la fille en anglais... Je n'écoute pas, trop occupée à rêver de mon évasion. Enfin, à notre évasion... L'interrogatoire de la fille se termine, le méchant la fait venir près de lui et il écrit une série de chiffres et de lettres sur sa cuisse, sans doute son numéro d'identification. C'est à nous, il dit : — Donnez-moi vos papiers. On lui donne nos passeports. Il regarde nos noms, vérifie dans une liste puis il a un petit rire grinçant et il dit quelque chose en chinois. Aussitôt, tout le monde nous regarde. On va les intéresser de plus en plus, car l'homme nous dit : — Déshabillez-vous et déposez vos vêtements et bijoux ici. Il nous montre une boîte en carton. J'enlève mes vêtements, mes bagues et mes chaînes, j'ai le cœur gros, car j'aime mes bijoux. Nus, on est de nouveau le centre d'intérêt, surtout Giulia redevenue Julien. L'homme se lève et du doigt, il fait bouger rapidement le sexe de Julien en disant "ding, ding, ding". Ça fait rire tout le monde. Quelques-uns doivent dire un truc comique, tout le monde rit à nouveau, sauf nous ! L'homme écrit aussi une suite de chiffres et de lettres sur nos cuisses, puis il nous dit aussi : — Allez dans le local 4. On entre dans une autre grande pièce. La fille qui était devant nous est là. Elle attend, appuyée contre un mur. Il y a une Chinoise assise derrière un bureau et un homme occupé à assembler des pièces de métal. On attend longtemps, sans oser se plaindre ni même parler. Je touche la main de la fille qui fait une légère pression sur ma main. Un tout petit peu de réconfort. C'est une jolie blonde mince, peut être une Danoise ou une Suédoise. Enfin, l'homme dit quelque chose à la femme. Celle-ci se tourne vers nous en disant : — Inge, Samia, Giulia, venez ici, devant moi. On obéit et elle dit à la blonde : — Inge, tu es condamnée à 6 mois de travaux d'utilité publique, pour prostitution. L'homme va derrière elle et il referme un collier autour de son cou. Ensuite, c'est à moi : — Samia, tu es condamnée à 3 mois pour vol. Puis, c'est le tour de Giulia. Le collier est froid, mais léger. Je regarde ce qui est marqué sur celui de la fille : Inge, puis son matricule. La femme nous dit : — Vous garderez ce collier durant toute la durée de votre peine. Essayer de l'enlever est fortement déconseillé. Elle me regarde et ajoute : — Il permet de vous localiser où que vous soyez, tu comprends ce que ça veut dire ? — Oui, Madame. M'en fous, mon évasion est écrite dans la paume de ma main. La femme ouvre une porte et nous dit : — Allez vous faire photographier. On entre dans une petite pièce. Il y a un gros homme qui lit un magazine assis dans un fauteuil. Il se lève et prend une longue baguette de bambou. Mais on n'a rien fait ! Il nous dit : — Il faudra être très obéissants, sinon... Il fait siffler le bambou dans l'air. On a bien compris, là. Il nous examine et il a l'air très intéressé par Julien. Il lui dit : — Mets-toi devant ce mur blanc. Quand Julien est en place, il l'examine soigneusement, caresse ses fesses puis son ventre. Il s'arrête sur son sexe et il fait le même geste que la femme tout à l'heure "ding, ding, ding", en le tripotant. Mon mari se tortille un peu, ah, elle sait y faire, la petite salope. L'homme lui dit : — Faut qu'on le voie un peu sur les photos. Je vais arranger ça. Il se met à genoux et embrasse le minuscule service trois-pièces de Julien. J'espère que tous les Chinois ne sont pas devenus gay, car je compte sur mon physique pour m'échapper d'ici. Le Chinois lui caresse les fesses en même temps... Cette petite salope gémit et se fait aller et venir dans la bouche de l'homme. Je le connais bien et je vois quand il est prêt de jouir. Voilà, ça y est, il pousse des petits cris tandis que le Chinois déglutit. Soi-disant qu'il voulait qu'on voit le sexe sur les photos, maintenant qu'il a joui, il va avoir une bite de musaraigne pygmée !! Pardon, frère musaraigne, si ça se trouve vous en avez une énorme. Julien caresse la main du Chinois en disant : — Merci, Monsieur. C'est ça, lèche-lui le cul pendant que tu y es. Bon, réfléchis Samia. Si Julien plaît à ce point, c'est très intéressant pour ton plan. L'homme fait des photos de lui, de face de profil, à quatre pattes et même des gros plans de son sexe de musaraigne et de son anus. Ça sent la collection personnelle. Quand il a fini, c'est notre tour. Il nous dit : — Vous, vous poserez à deux. On se met devant le mur blanc. Il fait des photos de visages en passant de l'une à l'autre. Manifestement, il n'a pas de temps à perdre avec les filles. Il dit : — Tournez la tête à gauche. C'est le stress ou je ne sais pas quoi, mais je me trompe et Inge et moi, on se retrouve face à face, à la grande rage du Chinois qui prend son bambou et frappe mes mollets et mes cuisses. Sale brute ! Je pousse des cris en sautant sur place. Il me dit : — C'est pour te foutre de moi ? — Mais non, je vous jure, j'ai peur et... — À quatre pattes ! On se met aussitôt en position, l'une contre l'autre, ce qui vaut à chacune un coup de bambou sur les fesses, tandis qu'il crie : — Pas serrées, putains ! On se déplace et il fait des photos. — Écartez vos fesses. On le fait avec nos mains. Il hurle à nouveau : — C'est pas assez, vous vous foutez de moi ! Toi, écarte les fesses de ces putes. Julien vient se mettre à cheval sur mes reins et écarte bien mes fesses. Ensuite, il écarte les fesses de Inge. Le Chinois lui explique : — Tous les anus sont différents, c'est comme les empreintes digitales. Les vulves aussi, mais je ne les photographie pas : c'est trop dégoûtant. Seigneur, faites que ce soit le seul gay, ici. Il a fini et embrasse Julien sur la bouche. Il ouvre une porte et nous passons dans la pièce suivante. Sur un comptoir, il y a une série d'uniformes. Le magasinier est un mec pas mal du tout. Son œil s'allume quand il nous regarde. Ouf ! Un homme ! Je veux dire un vrai. Ayant vu les marques sur nos jambes, il dit en souriant : — Monsieur Li n'aime pas beaucoup les femmes. Je lui fais mon regard « Toi, tout ce que tu veux, quand tu veux » et j'ose lui dire : — Mais vous, vous les aimez, Monsieur ? — Moi, oui... — Mon amie et moi, on peut vous sucer à deux, ça va vous plaire... Il rit... hésite, puis répond : — Pourquoi pas. J'ai entendu que Inge est une pute. Une pute, ça sait sucer, non ? Je lui dis : — On le suce à deux ? — ... Euh... oui... On va se mettre à genoux devant le magasinier. Il écarte les cuisses pour nous faire une petite place. J'ouvre son pantalon et en sors des attributs d'homme, une belle bite, des couilles bien rebondies. Je tire sur la peau du sexe... et le lèche un moment, puis, je le passe à Inge qui a l'air tout intimidée. Elle lèche timidement, j'appuie sur sa tête pour enfoncer complètement le gland dans sa bouche, puis je le reprends dans la mienne, car elle est nulle. Si elle c'est une pute, moi je suis bonne sœur ! Je m'apprête à lui montrer ma technique pour sucer une bite, mais il me dit : — Tu fais ça bien, mais on continuera plus tard. On va être dérangés. Je retire ce que j'ai en bouche pour répondre : — Oui Monsieur, quand vous voulez. Je suis déçue... mais je pense que je lui plais quand même, surtout que deux filles nues arrivent dans la pièce. Il savait qu'elles allaient arriver. Il reprend son rôle de magasinier et nous donne des vêtements. Il s'agit d'uniforme en toile de couleur orange, comme dans les prisons américaines. Un pantalon qui s'arrête aux genoux, un tee-shirt et une petite veste. Dans le dos du tee-shirt et de la veste de Julien et moi, il est écrit « thief », « voleur » en anglais, plus des idéogrammes chinois. Pour Inge c'est « whore », pute. Et aux pieds ? Rien. Quand on est habillées, il nous indique une porte pour aller dans le local suivant. Il me sourit... Ouf ! Je plais toujours. À suivre Mes livres avec des centaines de dessins de Bruce Morgan, sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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Par : le 16/04/21
Je vais te raconter une histoire. Installe toi bien car ça va être un peu long.... IMAGINE: Il est impatient de la rencontrer et la voir pour la première fois. Enfin croiser son regard. Il a tant envie de plonger ses yeux dans les siens. Il suit pour cela toutes les consignes données par écrit, sans exception... Il ne connaît pas non plus le timbre de sa voix ... Il entre pieds nus dans la pièce légèrement feutrée . Prend place à genoux sur le coussin posé au sol...Il est en pantalon chemise cravate. Tout se passe comme demandé... Il ne La voit pas... Elle a envie de le découvrir, le toucher, le ressentir. Des semaines qu'elle attend, se languit, s'impatiente. Maintenant il est là, dans son salon.Elle s'approche de lui, un bandeau de dentelle noué sur ses yeux. Elle aime casser les codes et adore frustrer. Le priver de son regard lui plaît et surtout, elle place ses envies bien avant les siennes... Elle veut sentir si ce nouveau jouet est aussi vibrant qu'elle le pense... Elle est en talons, bas, jupe et dessous de dentelle... Ses doigts s'agitent, signes de son envie qui grandit.D'abord Elle le frôle, le respire, le tente. Ses lèvres l' aguichent tandis que sa bouche le rappelle à l' ordre... Les boutons de chemise glissent à travers leur fente respective laissant entrevoir sa chair tant convoitée. Elle voudrait tout arracher d'un coup et le consommer sans plus attendre mais elle aime aussi sentir son propre corps se gonfler d'envie. Cette cravate l' excite.. Hum! Tirer dessus pour le mettre à terre, le retourner sur le dos et planter son talon sur son torse... Non pas maintenant. Elle contient ses pulsions. Rien ne presse... C'est lentement qu'elle choisit de dénouer sa cravate, libérant ainsi son cou pour y placer un collier... Elle le trouve davantage à son goût ainsi . La chemise ne restera pas longtemps... Elle caresse ce corps qui est là pour elle... Il ferme les yeux quand elle s'approche si près de lui. Il respire son parfum... Il se laisse guider. Lui obéit quand toujours sans parler, elle le fait se relever. Il frissonne au passage de ses mains sur sa peau...Il remarque ses doigts qui se crispent d'envie, content , il en sourit, il sait ce que ça veut dire... Elle fait glisser ses bras derrière son dos et attache ses mains avec la cravate. S'approprie ses tétons, les apprécie. Trépigne d'impatience... Puis ses doigts s'affairent sur la boucle de son ceinturon. Elle tire dessus pour la faire glisser le long des passants. Humm! Elle s'imagine frapper son cul avec. Clac! Lui à 4 pattes à ses pieds attendant non sans appréhension le coup suivant qui claquera au même endroit. Puis d'autres suivront... Elle inspire fort. S'il savait...Elle le fera plus tard. Pour l' instant elle savoure le moment. Puis elle ouvre son pantalon pour voir la cage dont elle possède désormais la clé... Lui, ne reste pas indifférent quand elle le tâte, le tire, le soupèse et le presse. Il connaît ses penchants. Il est resté chaste pour elle... Il sourit quand elle remet la ceinture de son pantalon autour de sa taille en lui disant qu'elle aime avoir une prise pour s'accrocher . C'est avec plaisir qu'il se soumet quand elle le fait se mettre à genoux face contre ses souliers. Il y dépose un baiser, puis deux, puis prend la liberté de continuer d'explorer ses droits. Son cul reçoit alors sa première réprimande. ....C'est une petite histoire tranquille, tout en douceur et en sensualité avec de la musique en arrière fond. Je continue.... IMAGINE: Il est à genoux devant elle , un bâillon boule percé accroché autour de sa tête. La laisse est fixée au collier ainsi que ses bracelets de restriction... Elle est assise à bout de fesses sur le canapé , laisse en main, jambes écartées. La jupe a volé de l' autre côté de la pièce. Seul son large porte jarretelle recouvre ses hanches qu'elle ondule pour faire glisser son intimité contre cette boule... Lui se contentera de baver en la regardant se branler ainsi sur sa bouche... Elle en prend plaisir, le sens prêt à bien se tenir alors lui retire le bâillon pour mieux en jouir... Lui aura appris qu'elle aime, dans ce cas précis, une langue passive et lui sert ainsi jusqu'à ce qu'elle atteigne l' orgasme... IMAGINE: Il est là, à ses pieds, nu comme un ver, à 4 pattes le cul offert... Elle est derrière lui et finit d'ajuster son gode ceinture. Déroule une capote sur son membre et l'insère dans son intimité... Lui ,retient son souffle, c'est sa première fois; se détend en constatant que ça passe... Elle le sent bien, le prend bien, s'enfonce avec délice en lui. Il se cambre pour mieux la sentir prendre son plaisir. Il s'offre et tend son cul bien ouvert pour qu'elle y glisse de plus belle ce qui ne manque pas de l' exciter et la faire jouir... IMAGINE: Elle lui tend une cordelette et lui demande de l'enrouler autour de ses couilles. Elle aime que cette partie de son anatomie soit bien tendue. Il fait de son mieux pour lui plaire mais ne réussit pas assez rapidement à bloquer le lien. Elle intervient, effectue un premier serrage puis le laisse terminer. Elle a envie de voir ses deux boules distinctement séparées donc va chercher un ruban à glisser entre. Le passage est difficile et ça lui plaît de forcer pour y glisser ses doigts. Elle Force aussi sur la cage pour la faire tomber... Elle la remettra plus tard... Lui la laisse faire, confiant et sûrement content, jusqu'à ce qu'elle y mette quelques douloureuses pichenettes . Elle savoure ... IMAGINE: Elle lui attache les chevilles et les poignets puis elle fixe sur sa tête un harnais double gode. Il est immobilisé tout en long quand elle vient s'empaler sur sa bouche mais il trouve néanmoins le moyen de bouger son cou comme pour la goder. Elle le calme direct regrettant de ne pas lui avoir bloqué également la tête. Il obéit , s'applique juste à maintenir l'angle parfait pour une pénétration plus savoureuse. Elle apprécie et prendra son pied ainsi... IMAGINE: Elle a eu envie de lui faire mal. Il se retrouve maintenant sous elle, à plat ventre, les fesses rougies par le martinet, le dos bien griffé. Elle est sur lui, vibrante d'un orgasme plus sauvage, ses griffes plantées dans sa chair. Il a mal mais s'en fiche, être là pour Elle l' importe plus. Il ressent son emprise jusqu'au fond de ses tripes et c'est bon. Elle serre son corps avec force, le ressens. Elle le possède et le lui dit... Il l'écoute et sait qu'il est à Elle... Il n'a pas le droit de bouger dans ces moments- là, il l'accompagne juste là-haut , tout là-haut... Elle l'entend respirer et se cale sur sa respiration. Elle détend ses doigts, relâche son emprise. Il la sent redescendre doucement et savoure ce moment d'une grande intensité. Elle se remet d'un orgasme fulgurant. Lui faire mal la transcende... IMAGINE: Elle saisit sa queue d'une main ferme et le mène jusqu'à la salle de bain. Il se retrouve à poils, sans bracelets ni collier, le cul dans la baignoire. Sûrement avec une vague idée de ce qu'il va se passer. Elle grimpe sur les rebords, approche son sexe au plus prés de sa bouche pour y déverser délicatement son urine. Lui s'efforce d'avaler de petites gorgées comme ordonné. C'est sa première fois. Elle s'amuse de ses hauts le cœur. En joue. Gicle plus fort, l'éclabousse puis dirige un jet abondant sur son ventre. Lui appréciera davantage recevoir ses fluides chauds sur son pénis, mais ce choix ne lui appartient pas. Elle termine, satisfaite et soulagée. Elle se redresse, attrape un gant qu'elle lui tend et approche son sexe mouiller prés de lui. Lui, gros bêta, utilise le gant pour éponger son visage. Elle le stoppe net! Lui retourne une mini gifle et lui gronde: Moi d'abord! Toujours moi d'abord...Il s'exécute, penaud , pendant qu' elle se moque de lui. Il grelotte. Elle ouvre le robinet d'eau chaude, dirige le pommeau de douche sur lui, le rince à grande eau. Il apprécie, la remercie, se réchauffe un peu. Si peu... Elle lui sourit, tourne le mitigeur du coté bleu et se régale de le voir se débattre sous l' eau froide... ....Des petites scénettes toutes aussi délicieuses à écrire les unes que les autres.Mais je me tais et te laisse continuer d'imaginer tranquillement.... IMAGINE: Elle le fait se mettre à quatre pattes devant elle, son cul à porté de main ou plutôt à portée de pied. Tranquillement assise, elle pose ses talons sur son fessier. Elle s'approche d'abord de ses testicules du bout de ses escarpins, puis glisse le long de la raie. Lui , tient bien sa position jusqu'à ce qu'il grogne après l'ongle qui vient de lui griffer le cul. Elle est confuse: Oups! Ce n' est pas mon ongle... Elle attrape vite une capote, la glisse sur son talon, consciente de son erreur. Préservatif obligatoire en toute circonstance. Il comprend ce qu'elle lui fait , ça le surprend puis vient à apprécier ce talon qui le gode. Elle, elle trouve ça tellement pervers... IMAGINE: Il est allongé à même le sol , les chevilles ligotées au pied de la table basse. Les mains, à l' opposé, encodées à la rambarde de l' escalier. Elle est debout au-dessus de lui, cramponnée à cette même rambarde. Elle n'a plus d'escarpin, plus de bas, les attaches de son porte jarretelle pendent sur ses cuisses, elle s'en fout, elle est bien. Lui a dans sa bouche son pied qu'il suçote avec gourmandise.Il s'arrange pour que l' un après l' autre chaque orteil entre en lui. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ce qu'elle ressent. Son plaisir est grand, elle aime glisser dans cette cavité humide et chaude. Il bave sur ce pied qui s'enfonce de plus en plus en lui. Il l' entend et la voit jouir, ça l' encourage à tenir. Elle se laisse complètement aller au fond de cette gorge jusqu'à atteindre l' orgasme . Il ne sait jamais fait forcer la bouche de la sorte, mais il aime tant la voir comme ça... Elle adore jouir de ses pieds... IMAGINE: Elle farfouille dans ses affaires à la recherche d'un objet mystère. Il la regarde faire sans grande inquiétude jusqu'à ce qu'il voit la taille de l' engin. Elle est contente de l' expression qu'elle lit sur le visage de son soumis. Le plug est de bonne taille, bien plus large que son gode. Elle sourit en lui tendant. Il blêmit en le prenant. Son poids laisse penser qu'il va être dur à garder. Il se positionne pour le présenter devant son anus qui a déjà été bien sollicité. Elle le presse un peu, lui met la pression , ajoute du gel. Encore du gel , puis au final elle s'en mêle. Il se sent forcé. Avec ses mains, il tente d'élargir le passage en tendant ses fesses.Son anus résiste, ce truc est tellement gros... Elle est tenace et trouve le moyen d'arriver à ses fins.Elle aime jouer avec son cul. Quelques crachats, quelques doigts plus quelques mots d'encouragement et hop! Le tour est joué... Il se sent plein. Il l' entend s'en réjouir, du coup il est content d'y être arrivé. Elle joue avec son Plug, le fait tourner dans un sens puis dans un autre. Le tire pour évoquer une sortie, le repousse à peine pour le voir se faire aspirer. Elle aime aussi jouer avec son cul... IMAGINE: Elle a très envie de le baiser. Oh oui! Elle le veut encore.Elle lui dit où prendre place . Il fait suivre son petit coussin sous ses genoux. Il tiendra mieux sa position ainsi. Il pose sa tête sur le canapé et tend son cul au mieux. Elle s'assoit à ses côtés, son strap-on dans les mains.Elle lui fait retirer sa jupe , qu'elle enlève et remet. Il se retrouve la tête bien proche de son intimité, assez proche pour bien la voir insérer la boule du stap dans son vagin. Elle lui dit ô combien elle a envie de le baiser en lui tendant une capote. Il sent son excitation et a envie de l'exciter encore davantage. C'est avec sa bouche qu'il déroule le préservatif sur cet étroit manche rigide. Elle apprécie de le voir faire , l' aide un peu car elle a vraiment , vraiment envie de le prendre là. Il se retourne face au canapé, la sent se glisser derrière lui et sans ménagement elle le pénètre jusqu'à la garde. Ses fesses deviennent aussitôt mouillées.Il s'inquiète de son hygiène, ce sont des choses qui arrivent. Mais très vite il comprend. Elle a tellement envie de le baiser, elle le lime avec vigueur et son plaisir monte à une allure qui la surprend. Elle sent son foutre lui couler entre les jambes. Elle coule encore et encore et en jouit si fort. Elle le baise avec un plaisir dégoulinant. Elle atteint l' orgasme en un temps record. Il se retrouve sous elle et la sens couler sur ses fesses et sur sa cage... IMAGINE ENCORE: Elle le chope au milieu du salon. Prend soin de glisser un large coussin sous ses reins, un plus petit sous sa tête. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire et se retrouve bien vite les 4 fers en l' air. Elle accroche tous les bracelets entre eux et le contemple ainsi offert . Elle aime le voir comme ça mais elle préfère clairement l' abuser ainsi. Elle sollicite la souplesse de son sphincter avec ses doigts. Son gode ceinture est déjà en place, juste devant son anus. Elle lui saisit les cuisses à bras le corps et le sodomise langoureusement. De profonds va et vient qui l' enivre de plaisir. Il se fait prendre sans pouvoir bouger, son corps est à Elle. Il est à Elle et Elle en profite grandement. Elle aime le limer ainsi, tenir son corps recroquevillé sur lui-même . Elle s'emballe au fur et à mesure que son plaisir monte. Ses coups de reins se font plus rapides, plus puissants. Ses mains s' empoignent avec force sur les bracelets. Elle aime avoir une prise pour se tenir. Il la sent bien s'emballer, mais surtout il l'entend gémir, il la sens vibrer.Il aime sentir tout cela. IMAGINE: Elle a les yeux mi-clos, le visage serein, le corps secoué de spams.Elle vient de jouir... Elle délivre son jouet de toutes ses entraves. Il retrouve la liberté de ses mouvements mais n'ose bouger. Il savoure ce moment rempli de tendresse. Elle lui attrape doucement les mains pour les poser sur elle. Sa respiration s'apaise. Il comprend qu'il a la permission de la caresser, ce qu'il fait avec respect. Il savoure, voudrait que le temps s'arrête. Elle laisse le temps tranquille et en profite aussi. Son plaisir, elle le prend blotti dans les bras de son soumis.Oui, elle casse les codes et elle ne se prive de rien.Elle relève la tête doucement, le regarde en lui souriant. Il lui sourit à son tour sans comprendre immédiatement que ce petit sourire est loin d'être innocent. Elle prend appui sur ses bras et se décolle juste de son corps afin de laisser toute l' accumulation de ses jouissances s'écouler sur lui. Il ressent alors ce fluide qui se répand sur son sexe, son ventre, ses cuisses.Il savoure autant qu'elle ce partage. Tout est si spontané , sensuel. Il est à Elle, dans Son monde, au cœur de ses multiples envies. Elle est contente, se sent bien... Savoure pleinement... ....Alors, elle te plaît mon histoire? Imagine une dernière chose... IMAGINE JUSTE: C'est un jour de semaine ordinaire. J'attend en retrait derrière le rideau qu'il entre dans mon salon... J'aime cassé les codes, j'aime être là où il ne m' attend pas. J'ai adoré sa cravate, le frapper de sa ceinture, le baiser en long en large et en travers... IMAGINE SIMPLEMENT: C'est mon sex-toy.
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Par : le 23/03/21
Le journal de Julien. « Ma vie dans les toilettes » par Julien ******************************* Ma vie est beaucoup plus simple depuis que je connais Samia. Parfois, c’est dur, mais à d’autres moments, je suis au paradis. Je ne bois plus que lorsqu’elle me le permet, je ne prends plus de coke et je n’ai plus d’idées suicidaires. J’accomplis soigneusement le travail qu’elle m’a dit de faire. Je dois avouer que je n’ai pas été brillant dans les différents postes que mon père m’a confiés. Donc mon travail actuel est mérité. Samia a donné tous pouvoirs à Lisa pour m’obliger à m’appliquer. Aïe ! Samia est venue lire au-dessus de mon épaule. Elle me recadre : — Pas d’états d’âme, des faits. — Oui Samia... — Explique à quel point ça te fait plaisir de te sacrifier pour moi, et ce qui se passe d’intéressant dans les toilettes. — Oui S... — Écris !! Qui est Lisa ? Et puis ta journée d’hier. Lisa est ma chef. C’est une petite femme d’une quarantaine d’années assez forte. Elle est énergique et sévère. Elle m’apprend à m’appliquer. Les toilettes dont j’ai la charge doivent être impeccables. Le matin, je me lève à 5 h 30. Je dors sur un matelas près de la porte de la chambre pour ne pas réveiller Samia. Je vais dans la cuisine, je prépare tout pour son petit déjeuner, sauf le café. Je déjeune, je prends une douche et je m’habille. Pour me rendre à l’usine, Samia m’a acheté un vélo. Elle a besoin de la voiture, donc je ne peux plus l'utiliser. L’après-midi, mon travail se termine à 15 h. Je vais faire les courses... à vélo, puis je rentre faire les corvées que Samia a décidées. Il n’y a donc plus personne pour s’occuper des toilettes à partir de 15 h. C’est impossible d’interdire aux ouvriers d’y aller. Le délégué syndical, Monsieur Desallié, nous menacerait d’une grève illimitée, comme dit Samia. Le matin, vers 7 h, je commence à m’occuper des toilettes qui en ont bien besoin. Les hommes qui pissent à côté, ça peut paraître normal, mais les femmes comment elles font pour pisser à côté ? Il y a même parfois des gens qui vomissent dans la cuvette. Quand ça tombe à côté, c’est pénible à nettoyer. À 8 h du matin, les toilettes sont impeccables, mais c’est l’heure où les ouvriers arrivent. On pourrait croire que certains n’ont pas de toilettes chez eux, tellement ils sont nombreux à faire leurs besoins à l’usine. Lisa arrive à 9 h et vient vérifier. Je suis passé avec ma serpillière derrière tous les hommes et toutes les femmes qui sont entrés ce matin. S’il y a la moindre trace ou la moindre tache, ça se passe comme ça. Elle crie : — Julien ! — Oui Madame Lisa. — Viens ici... Qu’est-ce que c’est, ça ? Ça, c’est une petite flaque d’un homme qui a mal dirigé son jet. Si elle est de bonne humeur, je dois me mettre à genoux et elle frotte mon nez dedans. Elle me dit presque chaque fois : — C’est ce qu’on fait avec un petit animal malpropre. C’est ce que tu es, puisque tu n’as pas nettoyé. — Pardon Madame Lisa, mais il y en a beaucoup qui viennent déjà à 8 heures. — M’en fous, faut que ce soit impeccable, tu n’as qu’à te dépêcher. Si elle est mal lunée, ça se passe de la même façon, sauf qu’elle m’oblige à lécher la flaque au lieu de mettre mon nez dedans ! Et... ce n’est pas très hygiénique. En plus d’être humiliant, puisqu’elle fait ça devant les personnes qui sont dans les toilettes. Les ouvriers sont ravis de voir le fils du patron être traité de cette façon. Je crois qu’ils s’amusent à pisser à côté exprès ! À 9 h 30, c’est le meilleur moment de la journée, car Samia me rend visite. Je vais avec elle dans les toilettes pour handicapés. Elle s’assied sur un des w.c. et elle... fait. Lorsque c’est fini, elle utilise une seule feuille de papier. Pas plus, parce qu’elle ne veut pas qu’on déboise des forêts pour se torcher. Ensuite, elle se penche et je dois la lécher pour que ce soit impeccable.     Hélas, elle ne reste pas longtemps... Il lui arrive pourtant de revenir. Par exemple, il y a quelques jours, elle est venue avec un homme. Bien sûr, ce n’est pas facile pour moi de voir ma femme chérie avec un autre homme, mais je suis lucide. Je sais bien qu’avec mon sexe, je ne peux pas la satisfaire, or elle a droit au plaisir. Elle m’a bien expliqué que si je l’aime, inutile d’essayer de lui proposer un sexe qui ferait honte à un enfant de 8 ans... Je n’ai qu’à m’en servir de ma langue. Il y a une dizaine de jours, je nettoyais, quand Samia est arrivée avec un homme que je connais : c’est un des chauffeurs de camion. Il a une quarantaine d’années et il est plutôt séduisant, dans le genre viril et tatoué. Je connais même son surnom : « Diesel » ! Un jour, mon père m’a chargé de lui dire de mieux garer son camion. Il m’a envoyé me faire voir ! Depuis lors... je ne l’aime pas beaucoup. Il me regarde avec un grand sourire qui fait étinceler deux prémolaires en or. Samia me dit  : — Fais-nous les honneurs de la chiotte VIP. — Oui Samia. C’est comme ça qu’elle appelle la toilette pour handicapés. On entre, Diesel s’assied sur un w.c. et prend Samia sur ses genoux. Elle me dit : — Figure-toi qu’une méchante envie de baiser m’est tombée dessus à l’improviste. Alors je me suis promenée dans l’usine et dans la cour. Et là, Diesel m’appelle pour me dit : « J’ai rêvé de vot' cul cette nuit, Madame de Préville, et je lui faisais sa fête. » Tu me connais, ce genre de phrase dite par un bel homme viril, je ne peux pas résister. Normal, non ? — Oui Samia. À ce moment-là, Diesel a déjà déboutonné son chemisier pour lui caresser les seins... Elle continue en gémissant un peu : — Mais je suis une femme fidèle. Enfin, presque. Donc je ne sais pas avec qui je vais assouvir cette envie de baiser, lui ou toi ? Disons à celui qui a la plus grosse bite. Allez, baisse ton froc. Samia aime bien jouer... et comme elle n’a pas beaucoup de patience, j’ouvre mon pantalon pour le descendre jusqu’à mes genoux. En dessous, j’ai une culotte « Petit Bateau »... Une vraie, qui monte jusqu’à la taille et qui a une ouverture pour sortir le sexe. Diesel commence par rigoler, puis il me dit : — T’es à la mode de 1935 ? Samia répond à ma place : — Tu vas voir pourquoi je lui fais porter ça. Puis à moi : — Baisse-le ! Je le descends et là Diesel éclate de rire. Après s’être calmé, il dit : — On va mesurer. Il baisse aussi son jean, son slip et exhibe un énorme sexe qui bande à moitié. Il vient le mettre contre le mien. Samia me demande : — Qu’est-ce que tu en penses ? — Il... il a gagné. — Tu es sûr ? Regarde bien. Mets-toi à genoux. J’obéis et je me trouve nez à nez la grosse bite. Samia ajoute : — Monsieur Diesel voulait faire un brin de toilette avant de me baiser et je lui ai dit que tu avais tout ce qu’il faut dans ta bouche pour le laver. Je tire quand même sur la peau pour dégager le gland. Ouch ! Il sent fort ! Il me dit : — Commence par me lécher les couilles. Je fais ce qu'il demande.   Rapidement, il me met son gland contre la bouche. Je le lèche avec difficulté tellement l’extrémité est grosse. Au début, le goût est écœurant.... Je lèche soigneusement pour qu’il soit impeccable quand il va pénétrer Samia. Diesel me caresse la tête en disant : — Tu fais ça super bien, petit... Tu devrais ouvrir une station de lavage de bites. Ils rigolent tous les deux. Samia enlève sa robe. En dessous, elle est nue. Diesel me dit : — Je crois que ta femme a envie que je mette ma bite bien au chaud dans sa chatte. Elle est parfaitement propre ? — Oui Monsieur. — Alors c’est toi qui vas avoir l’honneur de l’enfoncer dans le sexe de ton épouse. Dès qu’il s’agit de Samia, je passe du dégoût de lécher la bite de Diesel au plaisir de l’introduire dans la délicieuse chatte de Samia... Elle m’a appris comment faire... Je frotte le gros gland le long des lèvres mouillées... Il me dit : — Pousse-toi ! Il la prend par les hanches et s’enfonce en elle d’un grand coup de reins. Elle pousse un cri de plaisir. Tandis qu’il va et vient en elle, quelqu'un frappe à la porte et j’entends Lisa dire : — Tu es là Samia ? Je dois te parler. Samia me dit d’une voix un peu hachée : — Ouvre la porte. Je lui obéis, Lisa s’exclame en entrant : — Oh ! Pardon, je ne savais pas que tu étais occupée. Bonjour Diesel. — Bonjour Lisa. Samia, toujours occupée à se faire limer, lui demande : — Qu’est-ce que tu veux ? — Il y a ton beau-père qui te cherche partout. Il veut nous parler à toutes les deux. — Il n’a qu’à attendre un peu... Reste, on a presque fini. Hein mon chéri ? C’est à Diesel qu’elle s’adresse... Il lui donne une claque sur les fesses en disant : — Arrête de parler, ça me fait débander. — Pose un pied sur le bidet, Julien va te ranimer. Oh non...! Enfin, je veux dire, si c’est pour le plaisir de Samia... Elle me dit : — Lèche-lui le cul. S’il ne bande pas dans cinq minutes, tu seras puni. Aussitôt, je me mets à genoux face au gros derrière musclé de Diesel. Je pose une main sur chacune de ses fesses et enfonce ma langue dans un anus entouré d’une forêt de poils noirs. Puisque c’est pour Samia... je lèche énergiquement. Lisa commence par rigoler en voyant ça, puis elle dit : — Quel lèche-cul, ce Julien ! Heureusement, Diesel rebande vite. Il donne un coup de reins pour que j’arrête, puis va s’enfoncer de nouveau dans la chatte de ma femme. Il se remet à la baiser énergiquement. Samia lui dit : — Oh putain, c’est bon... Il accélère encore un peu et elle jouit bruyamment. Quelques instants plus tard, il éjacule en elle. Je connais la suite sur le bout des doigts ou plutôt de la langue. Je me couche sur le sol et elle s’accroupit au-dessus de ma bouche, mais pas tout contre. Elle leur explique : — Julien, son truc, c’est le nettoyage. Elle pousse et une grosse bulle d’un mélange de sperme et de ses sécrétions sort de son vagin comme un petit globe de verre sortirait de la canne d’un verrier de Murano ! Diesel et Lisa sont très intéressés par le spectacle. Après deux autres bulles, Samia pose sa chatte sur mon visage pour achever le travail en se frottant à moi... Diesel lui dit en riant : — Putain, j’adore te voir t’essuyer la chatte sur son visage ! Samia se relève, moi aussi. Diesel me dit en rigolant : — Merci de m'avoir prêté ta femme, petit. — Avec... plaisir, Monsieur Diesel. Comme Samia me jette un regard, j’ajoute : — Et merci d’avoir aussi bien baisé ma femme, Monsieur Diesel. — Ce fut un plaisir, petit, je recommence quand elle veut. Hé oui, je fais des mondanités dans les toilettes, avec un homme qui vient de baiser ma femme adorée... Il prend Samia contre lui et l’embrasse sur la bouche. Elle répond à son baiser, puis le repousse en disant : — Diesel, attention, mon mari pourrait nous voir ! Ils rient tous les trois... Moi aussi. Un peu... Ils s’en vont. Entendons-nous, j’ai détesté lécher ce type, mais grâce à ça, j’ai pu avoir... un peu d’intimité et de complicité avec Samia. Je prends ma raclette, ma serpillière et je sors... *** Depuis lors, Samia vient deux fois le matin. D’abord pour... se soulager. Ce qui me permet de lécher son adorable anus, ensuite elle revient avec Diesel. Aïe ! Samia est revenue lire ce que j’écris ! — Raconte ce qui s’est passé hier midi, allez ! Oui, euh... Hier midi, Lisa est arrivée avec un ouvrier que je connais de vue et de mauvaise réputation. Il a déjà eu des problèmes de bagarre. Mon père le garde parce qu’on fait appel à lui en cas de coup dur. Il me dit en se marrant : — Il paraît que ta femme se couche et écarte les cuisses quand on lui dit de s’asseoir. — Mais... — Cette salope est déjà partie et j’ai une méchante envie de me faire sucer la bite... Lisa m’a dit que tu la remplaçais. Quant à elle, je l’enfilerai demain. Il ouvre son jean et exhibe un très gros sexe à moitié dressé. Lisa ouvre la porte d’une des toilettes en disant : — Vous serez mieux ici. À suivre. Mes livres illustrés par Bruce Morgan sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 10/01/21
Irrésistible envie de frustrer...  De longues semaines se sont écoulées depuis notre dernière rencontre. Il se languit d'être à nouveau à mes pieds. Il à tant envie de me revoir. J'ai tellement envie de le frustrer...  Quand enfin il arrive à ma porte et entre comme je lui ai demandé, je ne suis pas là, il ne me vois pas et il  ne me verra jamais... Mais ça , il ne le sait pas encore... Sur le meuble d' entrée, j'ai disposé les  bracelets et sa laisse à coté d'un masque pour les yeux. Il m' entend lui donner ses consignes à travers le rideau tiré qui nous sépare. Je termine mes préparatifs  en attendant qu'il m' informe d'être près. Levé de rideau... Envie de le frustrer...  Je m' approche de lui en douceur, le frôle en sensualité... Une proximité qui laisse envisager la promesse d'un baiser qu'il n' aura jamais...  Je suis contente qu'il soit là, chez moi. Son corps transpire l' excitation, heureux d'être ici, désireux d'être mon soumis. Privé du plaisir de me voir... Attentif à son environnement... Je le guide  dans mon salon. Le pose au milieu comme je poserai mon sac et reprend là où j' en étais... Un peu de musique... Quelques mots pour le détendre... Un peu d'humour... Quelques griffes pour le surprendre et je  le mets en place pour quelques coups de martinets...Les poignets accrochés, bras levés, pas moyen de se débiner et très vite je dois arrêter: petit soumis supplie... Oh! Je me doutais bien que ça serait rapide, tout comme pour les pratiques suivantes. Il a la volonté de faire au mieux pour moi et sa dévotion me fait plaisir...  A  4 pattes à mes pieds, son dos m' a bien subit...  Ce qui me semble bien peu pour moi et presque trop pour lui... Envie d'humilier...  Je propose une petite pause bien mérité et un peu à boire. Il m' entend quitter la pièce, couler  l' eau du robinet, revenir et verser l 'eau dans l' écuelle. Il à déjà mangé pour moi dans sa gamelle, il sait, sans voir ce que je prépare... Je le tire par son collier et l' emmène à 4 pattes  à la niche . Je pousse du pied sa gamelle sous sa gueule et le laisse boire  son eau  tranquille... L' après midi avance doucement et calmement... c'est dans ce calme qu'il entends à nouveau sa gamelle se remplir sans que je ne quitte la pièce... Ses oreilles voient pour lui et il devine sans mal que je pisse dedans... Il boit... Plus tard me lèche les pieds plus ou moins bien... Pas assez pour m' en faire jouir... Il boit  encore...  Envie de frustrer... A 4 pattes  à mes pieds, je suis  assise sur mon canapé, sa tête posée sur mes genoux , je le fais patienter... Je m' occupe de longues minutes sur mon téléphone sans  lui parler. Je réponds à mes appels, m' amuse de la situation, jusqu'à la manifestation des premiers signes d'impatience sous forme d'interrogation auquel je ne donnerais point de réponses... Sa place est à mes pieds, de ça, il n' est pas frustré... Allez encore un peu!  L'histoire que si, ça le frustre quand même un petit peu... Et puis... Envie d'humilier encore.  Je lui  ordonne de retourner à la niche seul mais lui gène le passage... Le contraignant contre un meuble, la tête juste au-dessus de son auge, je lui somme l' ordre de ne plus bouger!  Son dos tout contre mes jambes, je laisse couler un filet de pisse qui ruisselle entre ses omoplates, coule le long de sa nuque, passe derrière l' oreille et vient remplir la gamelle mouillant quelques cheveux en passant... Mon soumis se raidit au fur et à mesure que j' accélère le flot . S'il bouge il modifie la trajectoire de l' urine, au risque d'en faire couler à coté...  Delà j'aurais plaisir à le traiter de pisseux et de lui rappeler qu'il pue la pisse à plein nez... Mes paroles le convaincront et il s'en sentira davantage souiller pour tout le reste de sa longue journée... Me voilà fort satisfaite de mon désir d'humiliation, me reste à rajouter un peu de frustration... Ruiner une éjaculation me parait  une délicieuse idée... Ayant gardé sa queue chaste un certain nombre de semaines , ses bourses bien pleines sont un amusement de choix pour ma cravache... L'obliger à se branler mais pas plus... Le caresser mais pas trop... Le serrer, tapoter, taquiner, juste ce qu'il faut... Et le faire s'en aller les couilles  excitées , le  rideau tiré, sans avoir eu le plaisir de me revoir...  Envie de frustrer, d'humilier .  Sur le chemin du retour, dans une aire d'autoroute, il recevra l' ordre de se faire  gicler ... 
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Par : le 23/04/20
Justement, à propos de boire… J’en ai peu dormi, cette nuit…, ma Maîtresse m’a demandé d’écrire sur la boisson. Pourquoi donc ce nom m’a-t-il empêché de m’endormir? Oh, tout simplement parce que venant d’elle, toute une série d’idées sont venues se bousculer dans ma tête. Sa présence, ses possibles idées… Tout d’abord, la boisson fait penser à l’eau et évidemment à son histoire. Je veux parler d’histoire d’O, ce roman écrit et surtout réalisé sous la forme d’un film qui a illuminé mes fantasmes et m’a préparé, il y a longtemps, à vivre ce que je suis devenu maintenant. Un soumis sensible à la théâtralisation, à l’adoration d’une Maîtresse, à l’accomplissement d’un être inférieur par rapport à la femme qui plus est, est soumis à une Maîtresse. Le parcours de Corinne Cléry, je l’avais pris pour moi et encore plus en y repensant justement cette dernière nuit. Histoire d’O met en lumière le parcours d’une soumise (évidemment la soumise peut aussi être un soumis) qui suit un parcours initiatique pimenté de flagellations, d’emprisonnement, de prêt, de bisexualité, d’épreuves couronnées par le débarquement de cette esclave fière d’appartenir. Cette esclave qui, à la fin, montre le chemin à une soumise suivante. Peut être que mon présent écrit a cette vertu, je l’espère, de guider les lecteurs qu’ils soient dominants ou soumis, sur ces parcours merveilleux de sensualité, de sensibilité, d’émotion aussi. De cette histoire découle évidemment la présence des liquides dans les pratiques, us et coutumes qui prévalent dans le monde BDSM. Etant donné que l’eau est la première boisson à laquelle on pense, évoquons ici, quelques chemins et expériences. L’eau que l’on boit dans un verre et qui souvent se révèle nécessaire au cours d’une épreuve un peu « hot ». L’eau que l’on donne dans un verre mais qu’une Maîtresse peut aussi cracher sur le visage du soumis ou gicler depuis sa bouche dans celle, ouverte de celui qui subit ses envies sadiques. L’eau qui peut passer d’une bouche à l’autre quand, dans le cadre d’un enfermement dans une cellule ou un cachot, l’un des deux soumis est incapable, à cause de son carcan, par exemple, de se désaltérer: une belle situation d’entraide. L’eau que l’on peut placer en dehors de la cage et dans laquelle se tient un soumis qui justement est en cours d’assoiffement, que l’on titille en lui montrant une écuelle d’eau qu’il ne peut atteindre. Petit moment de sadisme que je vais encore évoquer plus bas. Les jeux avec l’eau sont multiples et variés car si, à l’évidence, on peut faire couler la boisson dans la bouche, il est aussi possible de la faire couler au travers d’une canule fixée dans l’anus. Un lavement qui, en règle générale, selon la constitution des personne, peut ingurgiter 1 à 2 litres d’eau (notons ici que certains font des lavements avec des produits savonneux, voire même avec du vin ou du champagne, c’est dangereux et à proscrire!). L’eau donc que l’on peut garder malgré des contractions et des crampes qu’un bon bouchon peut retenir durablement. Ce lavement qui peut s’éjecter sur une cuvette des toilettes ou, par exemple, si le sujet est suspendu par les pieds, sortir par saccades… (Pour ceux qui n’aiment pas, et j’en suis, un petit prélavage est requis de telle façon que l’eau circule facilement dans les entrailles et que rien de trop sale vienne troubler une session). Après l’eau, les boissons peuvent être évidemment multiples et variées. J’ai souvent fait de mauvaises expériences quand, dans le donjon coulait le champagne ou d’autres boissons alcoolisées. Les sessions dérapent en général car l’alcool ne fait pas du tout bon ménage avec les bonnes pratiques BDSM. On parle champagne? venons-en alors, maintenant, à la boisson qui établit entre la dominatrice et le soumis une relations particulière et étroite, je veux parler de l’urolagnie, ou autrement dit celle de boire l’urine. Bien sûr que l’eau mentionnée ci-dessus et les descriptions de pratiques, peut avantageusement être remplacée par l’urine. Importée des USA, la technique fort sadique qui consiste à ficeler le soumis bien serré et de lui recouvrir le visage avec un linge sur lequel la dominatrice fait gicler sa petite fontaine dorée. L’effet de suffocation ne tarde pas à faire son effet que le soulèvement de ce bout de tissus permet de stopper. Pour le soumis c’est une délicieuse façon d’être entre les mains de sa domina, l’effet physique est doublé par une excitation cérébrale intense. La boisson « naturelle », chaude, est agréable et a un goût parfois assez sympa. Je me souviens de ce stage, écourté, à cause justement de l’alcool et la drogue (!!!). Je fus reçu, juste après le déjeuner. « On va te laver » me dit la dame. Nu, complètement ligoté, elle me fit subir le supplice de la baignoire. Je bus quelques mémorables tasses… entre deux étouffements, puis, en fin d’après-midi, alors que je commençais à avoir envie de boire quelque chose d’agréable, la dame me dit « hein, t’as soif? » elle baissa son leggings noir et pissa dans un verre qu’elle me tendit, la boisson avait un très bon goût de whisky! Je me souviens aussi de cette soirée en donjon où la dominatrice me tendant l’écuelle avec le repas du soir, la repris, écarta son slip pour pisser dans l’écuelle. « Comme ça tu aura ta boisson en même temps que ta pitance » me dit-elle, en riant. Il m’est aussi arrivé de boire l’urine froide du matin qui a elle un goût plus prononcé et parfois âcre. Mais quand on aime on ne chipote pas. Lors d’une préparation à une session uro, je me souviens de cet ami, propriétaire et gardien de prison, tatoué de partout d’ailleurs (avec une queue « insuçable » tellement elle était percée et gonflée par des implants sous la peau) qui avait pissé dans un verre avec l’intention de me le faire boire. En voyant, dans le verre, des « épaisseurs » comme de l’albumine, pas très catholiques; je lui dis que son urine devait contenir des éléments plutôt pathologiques et nous avions donc renoncé à la boisson. (Par contre l’arrosage, sans ingestion, ne me posa pas de soucis autre que celui de trembler de froid avant que l’urine n’ait séché alors que j’étais enfermé dans une cravate dans un sous-sol poussiéreux et assez frais). Il va sans dire donc que cette pratique suppose que les participants soient en bonne santé (pas de diabète, de cystite, d’infection). Il m’est aussi arrivé de boire des liquides (du lait en l’espèce) qui avaient été préalablement injectés dans le vagin d’une soumise, petit exercice souvent drôle, car il était toujours difficile de garder l’étanchéité de la « bouteille » improvisée… chose qui arrive notamment avec des pseudo-boissons du genre crème vanille, à la fraise ou au chocolat… (je ne parle pas ici, mais j’y pense quand même, des possibles petits « mélanges périodiques »…) on s’en met partout, souvent sous les rires et commentaires des spectateurs et des opérateurs avec pour finir le léchage de la soumise pour bien finir le « travail ». Les beaux moments sont aussi ceux de recevoir la boisson en étant enfermé dans un cachot, la « fontaine » coulant au travers de la grille du dessus. Ces nuits passées dans des cages superposées où celles, occupées au dessus, « alimentent » le ou les soumis placé en-dessous. Après une telle nuit dans ces conditions, il règne une petite odeur bien sui-generis qu’en bon soumis maso on apprécie toujours un peu, surtout quand les opérateurs viennent laver ça à grande eau bien froide. Evoqué et réalisé aussi, la boisson en circuit fermé. Oui, je l’avoue, ce fut une session un peu spéciale (mais bon ça peut se faire…). Insertion d’une sonde urinaire avec un tuyau qui va de la sortie de cette sonde à une sonde gastrique insérée dans le nez pour descendre jusqu’à l’estomac… le soumis s’hydrate tout seul sans rien faire notamment quand il est complètement momifié avec un tuyau dans la bouche pour respirer. Il va sans dire que venir se désaltérer à la source reste un privilège précédant ou suivant un délicieux cuni ou une belle pipe. En fonction de la situation, après, sous forme d’une délicieuse liqueur que l’on sert après un repas, les humeurs féminines ou le sperme viennent vous remplir la bouche que probablement, une dominatrice un peu perverse, viendra boucher avec un bâillon. Ce goût de liqueur et d’urine embaumera les papilles gustatives pendant une longue période pour le plus grand bonheur du soumis ou de la soumise d’ailleurs. Une façon possible de précéder la mise en sevrage qui pourrait durer, par exemple 24 heures, d’un soumis portant une bride-bavarde, enfermé dans une cage, exposé, titillé par des invités se promenant le verre à la main, crachant sur l’envieux en commentant et riant de sa soif. L’antithèse de l’action de boire en quelque sorte. A ma Maîtresse Gabrielle! Maîtresse, je suis la bouche ouverte pour recevoir votre divin liquide! Kaji (esclave SLNR: n° 386-312-138)        
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Par : le 16/02/20
Je précise que le terme "urologie" est plutôt en rapport avec l'étude (médicale) des fonctions urinaires, et donc est impropre aux activités évoquées ici.  Urophilie et golden shower : Définitions, pratiques et hygiène  « Soumission », « humiliation », « intimité », « don », « partage », « marquer son territoire », « fantasme », « bienfaits thérapeutiques », voilà autant de termes qui reviennent dans la bouche des personnes pratiquant l’urophilie comme de celles qui l’observent avec un regard extérieur. Egalement appelé ondinisme ou urolagnie, cet ensemble de pratiques sexuelles, souvent associées au BDSM et consistant entre autres à uriner sur son partenaire, sur son corps ou dans sa bouche, demeure aussi mystérieux que tabouisé par la société. P lacée par les spécialistes de la sexualité, les urologues et les psychiatres, dans la liste des paraphilies, c’est-à-dire des pratiques sexuelles hors normes et "déviantes" voire considérées comme des délits ou des crimes sexuels pour certaines d’entre elles, l’urophilie provoque chez certaines personnes une très puissante excitation érotique. La « golden shower », comme les anglophones l’appellent et que l’on peut traduire littéralement par « douche dorée », fait ainsi partie de ces choses qui inspirent autant la fascination que le dégoût. Elle n’est cependant pas interdite par la loi, pourvu qu’elle soit effectuée dans une relation de consentement entre les différents participants et participantes d’âge adulte. Entre jeu érotique sadomasochiste, fétichisme, mode d’alimentation et médecine naturelle pour les uns, tabou, perversion et trouble clinique pour les autres, difficile d’y voir clair et de se faire un avis objectif sur la question. Au travers de cet article sur l’urophilie, ses différentes variantes, les motivations de ses adeptes, les observations cliniques et les critiques de ses détracteurs, je vais donc essayer de faire tomber cette chape de plomb qui entoure ce terme flou et les pratiques qui se cachent derrière. L’ondinisme est en effet un ensemble de pratiques et de jeux sexuels qui font fantasmer plus d’un et d’une, que certains et certaines pratiquent dans le cadre de jeux sexuels BDSM (jeu de pisse), mais qui peuvent aussi susciter de violentes critiques. Des critiques portant aussi bien sur l’aspect dégoûtant que sur les risques sanitaires et de transmission de maladies sexuellement transmissibles (MST) et d’infections sexuellement transmissibles (IST). Des critiques que l’on peut bien entendu adresser à d’autres pratiques sexuelles bien moins marginales…  Définition de l’urophilie : « Ensemble complexe de pratiques où l’urine joue un rôle d’excitant sexuel »  Sur le plan purement théorique, l’urophilie est sommairement définie comme une « attirance sexuelle d’un urophile pour l’urine ou l’urination ou la miction ». Cette définition simplifiée n’explique cependant que très superficiellement ce qu’est l’urophilie. L’ondinisme constitue en réalité un ensemble complexe de pratiques où l’urine joue un rôle d’excitant sexuel, une sorte d’aphrodisiaque pour ainsi dire. Il serait donc plus juste de parler de définitions (au pluriel) de l’urophilie, car, en plus de la diversité des pratiques liées à la pisse ou à l’action d’uriner, les urophiles n’ont pas forcément les mêmes motivations, les mêmes fantasmes, les mêmes sensations, ni les mêmes façons de pratiquer l’urophilie. De plus, il y a ceux et celles qui reçoivent et les autres qui aspergent – l’un n’empêchant d’ailleurs pas l’autre. Il est en effet nécessaire de préciser que certains urophiles sont à la fois receveurs et donneurs. Dans ce cas-là, ils alternent en fonction de leurs envies, de celles de leur partenaire ou bien au gré des opportunités. Il parait donc nécessaire d’aborder maintenant les différentes pratiques urophiles, tout en précisant d’emblée qu’un ou une urophile ne les pratique pas nécessairement toutes à la fois. En outre, il serait également bon de rappeler que l’urophilie peut être pratiquée aussi bien par les hétérosexuels que par les homosexuels, les lesbiennes urophiles, les pansexuels, etc.  Les pratiques urophiles : De la douche dorée à l’urophagie (boire l’urine de son partenaire) Comme vu ci-dessus, l’urophilie englobe tout un tas de pratiques érotiques liées à l’urine et à l’acte d’uriner. En voici les principales pratiques.  Douche dorée ou golden shower :  Comme l’indique cette expression, la douche dorée consiste à se faire uriner dessus ou à uriner sur son partenaire. Il s’agit d’une des pratiques de base de l’ondinisme. Certaines personnes lui donnent parfois le nom de « pluie dorée » ou de « fontaine dorée ». Ce jeu de pisse peut aussi bien avoir lieu dans un lieu privé que dans un donjon SM ou un club libertin lors d’une soirée exclusivement dédiée à l’ondinisme (plan pisse).  Urophagie : Ce terme désigne le fait de boire l’urine de son partenaire. Si cette pratique peut être réalisée dans le cadre de jeux sexuels, certaines personnes décident de boire de l’urine à des fins thérapeutiques (urinothérapie). Les adeptes de cette thérapie hors du commun parlent de l’urine comme d’un « élixir de vie », d’un « breuvage divin » ou d’un « remède ancestral ».  Omorashi : Plus qu’une pratique, l’omorashi est un terme japonais signifiant « fuite de liquide » et/ou « se mouiller » et désignant plus particulièrement un fétichisme sexuel dans lequel une personne éprouve de l’excitation et du plaisir à voir une vessie pleine. Le summum de l’excitation intervient la plupart du temps au moment où la personne ne peut plus se retenir et se fait pipi dessus. C’est pourquoi certaines personnes la surnomment « désespoir de vessie » ou « slip trempé ».  Urophilie visuelle (vidéo ondinisme) : Davantage individuelle que collective, cette pratique consiste à prendre du plaisir, souvent accompagnée d’une masturbation, devant un film urophile. Ce genre pornographique peut d’ailleurs attirer et être apprécié par des personnes, hommes ou femmes, qui n’ont jamais uriné sur quelqu’un ou qui ne se sont jamais fait uriner dessus. « Vidéo ondinisme », « femme qui urine en vidéo » ou encore « golden shower » sont les principaux mots clés utiliser pour trouver des vidéos d’urophilie sur internet.  Uriner à l’intérieur du vagin : Cette pratique consiste, comme son nom l’indique, à uriner à l’intérieur du vagin, le plus souvent après l’éjaculation. Certaines personnes le font lors d’une sodomie. Pour la personne qui reçoit la pisse, une vague de chaleur l’envahit. Celle-ci peut néanmoins s’accompagner d’une sensation de brûlure. Pour l’homme, lâcher les vannes après une éjaculation s’avère être une sensation très agréable. Mais ne le plaisir ne s’arrête pas là : la vue du mélange de sperme et d’urine s’écoulant des orifices est une source d’excitation supplémentaire ou complémentaire.  Soupeur et soupeuse : Ces deux termes désignent avant tout les adeptes d’une pratique dangereuse sur le plan sanitaire, car elle consiste à manger du pain imbibé d’urine. Le pain ayant trempé plusieurs heures dans un urinoir public (vespasienne), le mélange de plusieurs urines ainsi que toutes les bactéries qui ont pu s’y développer en font un « met » potentiellement dangereux, avec un risque très élevé de MST et d’autres infections (Hépatite A et B, notamment) Une dernière définition qui nous permet de faire la transition avec la question de l’hygiène dans l’ondinisme.  Urophilie et hygiène : Les choses à savoir  Urophilie et hygiène vont de pair. Difficile en effet de parler d’ondinisme sans évoquer l’hygiène et les éventuels risques qui peuvent découler d’une ingestion de pisse, et plus particulièrement quand le donneur a une infection urinaire. Et les risques ne sont pas uniquement liés à la seule action de boire du pipi. Uriner sur son partenaire, et notamment sur le visage, les yeux ou sur le sexe, peut parfois engendrer des complications médicales, du moins des sensations de brûlures. Néanmoins les risques ne sont pas très élevés chez les personnes en bonne santé n’ayant ni infection ni MST. Cependant j’ai entendu dire par des médecins que les yeux, comme le sang, seraient de possibles voies de transmission, à vérifier. Recevoir de l’urine sur le corps : Sensations, plaisirs et risques sanitaires  Selon les différents témoignages que l’on peut retrouver facilement sur internet et notamment sur les forums, recevoir de l’urine sur le corps offre de nombreuses sensations et émotions qui peuvent s’avérer très excitantes pour la personne qui reçoit — comme pour celle qui donne d’ailleurs. Le fluide chaud, les odeurs qui en émanent, la vue du sexe laissant couler la pisse, tout cela représente des sources de stimulation, de désir et de plaisir. L’aspect psychologique n’est non plus pas à oublier ni à négliger dans la pratique de l’uro. Recevoir la pisse de quelqu’un sur soi peut aussi produire une impression de soumission et un sentiment d’humiliation qui sont deux ressorts du plaisir dans les pratiques BDSM. De la même façon, un pisseur ou une pisseuse pourra ressentir un fort sentiment de domination. C’est entre autres ce type de sensations et de plaisirs que recherchent les adeptes de jeux BDSM impliquant l’urine. Mais ce n’est pas tout. L’urine peut aussi être considérée comme un « présent », un « cadeau », un « don ». Dans ce cas-là, la reconnaissance prend le dessus sur les autres sentiments et sensations. Certes beaucoup moins grands que dans l’urophagie, les risques sanitaires ne sont pas inexistants. Même si l’urine est composée à 95% d’eau (avec certaines variations constatées en fonction du niveau d’hydratation), elle contient des déchets rejetés par l’organisme. Ceux-ci ne sont pas forcément très dangereux si les deux personnes sont en bonne santé et ont un bon système immunitaire. Mais si le donneur a une maladie ou une infection, il vaut mieux qu’il évite de pisser sur son ou sa partenaire, et cela même si la peau est une barrière naturelle contre les bactéries. Une petite coupure peut suffire à la transmission de la maladie ou de l’infection. En outre, l’urine peut être un désinfectant pour des plaies et des brûlures superficielles (brûlure d’ortie ou de méduse, par exemple). On recommande cependant de bien désinfecter la plaie et de consulter un médecin en cas de complications.  Boire de l’urine : Goût, sensations, élixir de vie et risques d’infection  Boire de l’urine, notamment l’urine d’autrui, est beaucoup plus risqué que de se faire asperger le corps de pipi. Néanmoins cela n’arrête pas certaines personnes de consommer leur propre urine ou celle de leur partenaire — et dans le cas des soupeurs, celle d’inconnus. Question goût, il s’avère beaucoup plus difficile qu’on ne le croit de trouver un dénominateur commun, même si l’acidité et la sapidité légèrement salée sont les deux saveurs plus évoquées. En effet, le goût de l’urine est propre à l’alimentation de la personne, mais également à son hydratation. Une pisse claire, c’est-à-dire une urine composée en grande partie d’eau, n’aura pas le même goût qu’une pisse foncée et très acide, ou qu’une urine imbibée d’alcool. De la même manière, manger des asperges ou des pâtes au beurre influera grandement sur le goût de la pisse. Les sensations et l’excitation sexuelle pour celui ou celle qui avale de l’urine sont proches de celles procurées par un jet de pisse coulant sur la peau. Néanmoins la saveur et l’odeur sont beaucoup plus présentes, ce qui est logique puisque ce sont surtout le goût et l’odorat qui sont mis à l’épreuve. Comme pour la douche dorée, les questions « domination/soumission » « don/réception » font partie intégrante de l’urophagie. Boire de l’urine est aussi un mode de vie, ou plutôt un mode d’alimentation. Certaines personnes boivent quotidiennement leur urine pour se purger. « Breuvage divin », « élixir de vie », « remède ancestral », le régime urinothérapeutique aurait des bienfaits sur la santé. C’est du moins ce que certaines personnes avancent, arguant notamment que l’urine est utilisée comme un engrais ou du compost (preuve en est, la Mairie de Paris a installé les premiers pissoirs écolos dans la rue). Il est cependant recommandé d’en parler à son médecin quand cette pratique devient quotidienne. Sur le plan sanitaire, il faut être conscient des risques de transmission du VIH, d’IST et de MST. Le risque zéro n’existe pas. Au moindre doute, il vaut mieux s’abstenir et/ou en parler à son médecin. Cela nous mène à notre prochaine partie, à savoir l’urophilie et le VIH/Sida.  Urophilie et VIH/Sida : Faites un dépistage avant un plan pisse !  Comme pour n’importe quelle pratique sexuelle impliquant un contact entre des muqueuses et/ou des sécrétions génitales, le risque de transmission du VIH (Sida) subsiste aussi pour l’ondinisme. Néanmoins il faut que le pisseur ou la pisseuse soit porteur du virus. Donc si vous souhaitez faire un plan pisse avec quelqu’un ou plusieurs personnes, assurez-vous que tout le monde ait fait un test de dépistage du VIH. Vous pouvez également vérifier que vous ne portez pas en vous l’hépatite A ou B et que vous n’avez pas de problème urinaire et/ou rénal — cela ne gâchera pas le plaisir, au contraire !  Histoire de l’ondinisme :  Encore tabou, l’ondinisme n’est pas un thème ayant fait l’objet de recherches historiques très poussées. On ne trouve en effet que très peu de sources sur l’histoire de l’ondinisme — pour ne pas dire aucune. Pour l’instant, l’ondinisme a surtout fait l’objet de recherches cliniques réalisées notamment par l’association française d’urologie secondée par des sociologues, des psychiatres, des spécialistes des paraphilies et troubles sexuels. Ces derniers cherchent avant tout à déceler les origines de ces pulsions sexuelles et à les traiter — des pulsions sexuelles qu’ils considèrent comme une « perversion », une « déviance sexuelle » ou une « fantaisie ». Certains chercheurs ont par ailleurs trouvé des traces de pratiques urophiles ou de cultes de l’urine dans d’autres civilisations. Mais encore une fois, on ne dispose pas encore d’études suffisamment approfondies et de recherches historiques vérifiées pour ériger une histoire de l’urophilie. Néanmoins, l’urophilie apparait dans la culture littéraire et cinématographique.  L’urophilie dans la culture littéraire et cinématographique (Friends, Céline, film porno, etc.)  La littérature du XXème siècle a osé aborder l’urophilie à plusieurs reprises, comme dans les œuvres de Louis-Ferdinand Céline et d’Auguste Le Breton. Ces derniers ont surtout évoqué les soupeurs et leurs habitudes « répugnantes ». Dans l’épisode 1 de la saison 4 de la série américaine Friends, l’urophilie est mise en scène indirectement puisqu’on ne voit pas la scène où Chandler urine sur Monica qui vient d’être piquée par une méduse. Ce qui est intéressant dans cet exemple, c’est que le thème est abordé de façon détournée sans même être cité explicitement. Les notions de remède désinfectant et antidouleur, de répugnance et de tabou sont mises en avant par les personnages qui ne prononcent d’ailleurs jamais le mot. Mais encore une fois, l’urophilie demeure marginale dans les arts comme dans les médias.  Pourquoi la pratique de l’urophilie ?  Si on se place d’un point de vue clinique, l’urolagnie est une paraphilie. Les notions d’anormalité et de perversion sont ainsi très présentes dans le discours des praticiens spécialistes de l’urologie. Ceux qui se basent sur la psychologie et/ou la psychanalyse y voient surtout un retour à la petite enfance (vers 2 ans), période à laquelle les enfants n’éprouvent pas de dégoût pour les excréments et l’urine, mais plutôt une fascination. Du point de vue de ceux et celles qui fantasment ou qui pratiquent l’urophilie, le discours est évidemment tout autre. Les notions de partage, de plaisirs corporels et sensoriels dus à la chaleur et à l’odeur, de confiance en l’autre, mais aussi de domination et de soumission, sont des remarques souvent faites par les adeptes, qu’ils soient pisseurs ou receveurs. Précisons par ailleurs que certains adeptes admettent ne pas aimer le goût ni l’odeur de la pisse, mais être très excités par le fait de voir le fluide sortir de l’orifice de leur partenaire.  Quelques conseils pratiques pour pratiquer l’urophilie  En plus des tests de dépistage de MST et IST, il est conseillé de bien s’hydrater avant de pratiquer l’urophilie, quelle que soit sa forme. Comme vu plus haut, il vaut mieux veiller à son alimentation. Certains aliments colorent, donnent du goût et de l’odeur de l’urine plus que d’autres (les asperges, par exemple). Pour plus d’informations concernant l’ondinisme, vous trouverez ci-dessous plusieurs liens.  Sources et références  Cet article sur l’ondinisme base sur plusieurs sources d’origines scientifiques, journalistiques et sociologiques et sur des témoignages d’adeptes, dont voici les principales sources :  www.urofrance.org  www.planpisse.com  www.objetsdeplaisir.fr/urophilie-1/  www.objetsdeplaisir.fr/urophilie-2/  www.afrosantelgbt.org/chapitre/urophilie/ indepedants.over-blog.com/  www.heteroclite.org/2016/12/urophilie-pratique-risque-37573  www.sexshop-ilxelle.com/blog/bdsm-bondage-sm/urophilie-et-ondinisme/  www.69desirs.fr/experience-urophilie
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