Sur le Mur G
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Mur Général - Pour se rencontrer sur BDSM.FR
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24/08/22
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Le Tribunal
– Le fait qu’elle ne portât point de culotte est-il si important ?
– Absolument !
– Certains ont pourtant vu une culotte blanche…
– Une adorable innocente et pudique culotte blanche immaculée…
– Qui moulait sa vulve !
– Qui dessinait ses lèvres !
– Elle était souillée !
– Une large tache d’humidité est bien la preuve de sa lubricité…
– Alors ? Portait-elle, oui ou non, une culotte ?
– Selon les témoignages qui divergent…
– Ah ! J’aime ce mot…
– Diverge ?
– Oui !... Diverge… Dix verges… Dis : verge…
– Ah ! Vous fantasmez !
– Vous délirez !
– Vous aimez les mots…
– Lui faire subir les dix verges… Dix verges pour la fouetter !
– Dix verges pour la foutre, oui ! Dix verges pour l’enfiler !
– Lui faire demander, quémander, supplier… de recevoir les verges… D’être flagellée… Fustigée… avant d’être foutue, bien sûr !
– Messieurs ! Messieurs ! Revenons à sa vulve… Avec ou sans culotte…
– Ah ! Sa vulve ! Sa vulve ! Messieurs, sa vulve !
– Sa vulve dodue bien fendue…
– Deux bourrelets de chair…
– Une idée certaine de la perfection !
– Et les petites lèvres comme deux rideaux discrets d’un théâtre encadrant l’entrée des artistes…
– Messieurs ! Sa vulve est nue !
– Voulez-vous dire glabre ?
– Epilée ? Rasée ?... De très près…
– Mais où est passée sa toison ?
– Quelle impudeur !
– Quelle obscénité !
– Ne dirait-on pas un abricot ? Une jolie fleur ?
– Très romantique, très émouvant, oui…
– Mais vous y rêvez ?
– C’est un … émerveillement…
– Vieux satyre !
– Pervers !
– Lubrique !
– Calmez-vous ! Je vous en prie ! Et jugeons les faits… Pouvons-nous tolérer que cette jeune fille…
– Jeune femme !
– Quel âge a-t-elle ?
– Presque vingt ans.
– Pouvons-nous tolérer que cette jeune femme, perchée, accroupie sur une borne, jupe troussée, cuisses largement écartées, offre à la vue des camionneurs et autres conducteurs, son intimité, fût-elle voilée ?
– Et pas seulement…
– Qu’insinuez-vous ?
– Que voulez-vous dire ?
– Que cette jeune femme ne se contentait de montrer sa petite culotte !
– Dites-nous !
– Racontez-nous ?
– Eh bien… Il paraîtrait… On m’a dit… Que certains camionneurs ou conducteurs… parfois s’arrêtaient… descendaient de leur cabine ou sortaient de leur voiture… et rejoignaient la donzelle… pour s’ébattre dans les fourrés…
– Mais c’est un nouveau chef d’accusation !
– Instruisons un nouveau procès !
– Ecoutons les témoins à charge !
– Et à décharge…
– Ainsi donc elle offrait ses faveurs… ses charmes… et quels charmes !
– Sa bouche, sa chatte et son cul, oui !
– Oh !
– La vilaine fille !
– La dévergondée !
– Oh ! La salope !
– Arrêtez ! Vous m’excitez !
– Mais ! Mais ! Mais !
– Cachez ce vit que je ne saurais voir !
– Belle bête !
– Oh ! Le bel animal !
– Il est fièrement dressé !
– Quelle encolure !
– Messieurs ! Messieurs ! Rangez vos bites dans vos pantalons ! Ne branlez que du chef ! Ne pinez… n’opinez que du bonnet !
– Sa bouche est pourtant bonne !
– Et son cul délicieux !
– Sa chatte onctueuse !
– Pardon ? Pardon ?
– Mais que racontez-vous donc ?
– Ainsi… Ainsi…
– Vous vous l’êtes donc tapée ?
– Et pas qu’un peu !
– Et pas qu’une fois !
– Allons ! Allons ! Soyons sérieux ! Nous l’avons tous enfilée !
– Soyons juges et parties… prenantes… Nous l’avons tous prise !
– Messieurs, il faut juger !
– Et soyons impitoyables !
– Impitoyablement durs !
– Sévères !
– Condamnons-la aux verges…
– Au pilori !
– Fouettée, attachée sur une croix de Saint-André !
– Vous m’excitez !
– Livrons-la aux mâles…
– Que le foutre gicle !
– Il faut qu’elle soit souillée !
– Avilie !
– Dégradée !
– Messieurs ! Messieurs !
– Allons examiner le corps du délit…
– Avec ou sans culotte…
– Peu importe !
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Parce que les corps sont noués, accrochés l'un à l'autre. Soudés. Dans cette invraisemblable impossible unité. Lui, tentant de s'y fondre. Elle, de l'absorber.
Force du désespoir, espoir forcené.
Il la ravage et elle en crie.
La beauté de son visage, dans la jouissance, n'est plus qu'une gueule qui râle son agonie.
Elle cherche l'air. Elle cherche l'air au fond de sa gorge.
Ainsi s'épuisent les derniers spasmes dans une litanie de "encore encore encore".
Supplication.
En corps, oui.
Qu'il épuise la source de son jouir.
Et la laisse dévastée, tremblante, recueillie, toutes amarres larguées.
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14/08/22
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La boulangère
Elle est appétissante la boulangère !
Fantasmes et désirs… boulangère, crémière, bouchère… Ces femmes m’ont toujours fait… bander ! J’ose le dire : quand je fais mes courses : je trique !
Trônant derrière leur comptoir, s’activant pour servir le client : le sourire est obligatoire.
La bouchère ne fait qu’encaisser… rendre la monnaie. Elle se tient toujours très droite, sur son haut tabouret.
La crémière s’active. Au milieu de sa boutique.
On papote parfois. On échange quelques mots en faisant la queue. Cette expression, aussi, me fait bander ! Faire la queue… J’imagine parfois un gang-bang ! Tous les clients faisant la queue… pour enfiler la commerçante…
Mais la boulangère : c’est autre chose…
Elle est appétissante la boulangère !
Des formes pleines. Des fesses. Des seins. Des joues ! Et cette bouche charnue, pulpeuse… La boulangère est une gourmande !
Je lui achète mon pain tous les jours.
– Bonjour, une baguette à l’ancienne, s’il vous plaît.
– 1 euro 10. Vous désirez autre chose ?
Elle m’énerve la boulangère !
Appétissante, mais énervante !
Tous les soirs, comme à tous les clients, elle me pose la même éternelle question : vous désirez autre chose ?
C’est l’heure de la fermeture. Je l’ai interrompue dans son activité de balayage. Il n’y a pas de client derrière moi.
Je lui souris. Ne lui réponds pas.
Je ne prends ni la baguette à l’ancienne qui m’attend sur le comptoir. Ni la monnaie de mon billet : 3 euros 90.
– Vous désirez autre chose ?
Elle insiste !
Mais le sourire coquin qui s’esquisse aux coins des lèvres ne me trompe pas.
– Oui, vous !
– Oh ! Vous alors !
Les dés sont jetés.
Les mots, les désirs, les regards, les sourires.
Les sous-entendus.
Qu’a-t-elle dessous sa robe et son tablier blanc, la boulangère ?
Alors je lui jette :
– Vous êtes appétissante… mais énervante…
Son visage change. Elle ne comprend pas.
J’étais là à plaisanter, poussant la gaudriole, et soudain cette remarque. Qui la saisit de plein fouet.
Elle s’est raidie, crispée. Reste la bouche ouverte. Sans plus savoir que dire.
– Vous m’énervez et méritez une bonne fessée !
Ai-je rêvé ?
La boulangère a-t-elle rougi ?
Aucun doute : ses joues s’empourprent. Et elle me regarde avec un autre œil maintenant.
– Oui, une bonne fessée !
– Mais monsieur…
– C’est ça… appelez-moi monsieur… c’est l’heure de la fermeture… une correction s’impose…
Elle file doux.
Les yeux baissés, elle trottine jusqu’au mur pour appuyer sur le bouton : et le rideau métallique s’abaisse.
Elle a confiance, la boulangère ! Elle me connaît : depuis trois ans que je lui achète gâteaux et pain. On se voit presque tous les jours…
Elle tortille ses mains. Ses mains croisées sur son tablier. Qui n’est plus vraiment blanc. En fin de journée…
Appétissante et excitante…
Les yeux baissés, elle n’a même pas demandé pourquoi elle mérite d’être fessée.
Docile.
Soumise.
Attendrissante.
Elle donne envie de la battre… et de la consoler…
Mais il n’est pas l’heure de s’attendrir. Mon œil est sévère, et ma main est chaude.
Je l’attrape par la nuque.
Pauvre boulangère ! Pauvre petite chose !
Elle a un si joli cou… Les cheveux mi-longs, réunis en queue de cheval par un élastique.
Je la tiens par la nuque.
Elle ne proteste pas. Ne tente aucun geste pour se dégager…
Allons, la prise est bonne.
Tenue, muette, contrite : elle sera fessée !
Derrière le comptoir. Là où elle opère. Toute la journée.
Penchée. Troussée. Je remonte sa robe. Je dénude son cul.
Oh ! L’admirable culotte de coton blanc ! Si émouvante ! Cette culotte, vite la baisser !
Et ce cul ! Son cul ! Ample et large et rebondi ! La boulangère a les fesses pleines…
– Je vais te fesser… Tu l’as méritée… Sais-tu au moins pourquoi ?...
– Non, monsieur.
La voix est au bord des larmes.
Elle se sent coupable… Rien de plus excitant, que de voir et d’entendre cette belle fille tendre ses fesses pour être punie…
Accepter, comme il se doit : la punition.
Je la tutoie avant de la rudoyer.
Et lui explique pourquoi elle doit être fessée.
– Oui, monsieur.
Trop, elle est trop !
Penchée sur le comptoir, la robe remontée sur le dos, m’offrant son postérieur… dans cette pose indécente… elle attend ma main…
– Je vais te corriger.
– Oui, monsieur.
Et la première claque tombe.
Franche, forte et sonore.
La première claque qui la saisit.
Le premier cri.
Les autres suivent.
Elle glapit.
Elle tressaute.
Sous chaque claque, tout son corps tressaille.
J’ai la main leste !
Elle le mérite, la boulangère ! Trois ans qu’elle me bassine avec son sempiternel « vous désirez autre chose ? » Trois ans ! Trois fois 365 jours ! Approximativement… cela fait bien… un millier de fois…
Un millier de claques que je lui dois !
La punition va durer…
Peut-être faudra-t-il m’y reprendre à plusieurs fois ?
C’est qu’elle y prend goût, la boulangère… ses cris sont devenus des gémissements…
– Mais tu aimes ça ?!
– Oh ! Non, monsieur ! Vous frappez si fort… !
Mais mon doigt inquisiteur entre ses cuisses se glisse.
Et il ressort de ce voyage, de cette exploration : trempé !
– Tu mouilles !
– Pardon, monsieur ! Pardon ! Je n’y peux rien… mais vous fessez si fort !...
Qu’elle est émouvante !
Elle halète sous les coups. Elle peut à peine parler. Elle agite sa tête et sa queue de cheval. Ses doigts croisés sur le comptoir se crispent…
Elle tend la croupe, se cambre…
– Mais tu vas jouir ?
– Oh ! Non, monsieur… j’aurais trop honte…
Mais ses cris, son agitation, ne me trompent pas…
Je la fesse plus sauvagement plus fort : et elle jouit, la boulangère ! Elle jouit en criant, en hurlant, en giclant !
Un jet chaud inonde ma main qui enveloppe sa vulve…
La boulangère est une fontaine !
Ecroulée sur le comptoir, les fesses rougies : la boulangère a joui.
Elle en tressaille encore.
Tout son corps secoué de spasmes.
A l’abandon.
– Maintenant, il va te falloir vraiment nettoyer.
– Oui, monsieur.
Je la regarde faire.
Le visage brouillé par les cheveux : la queue de cheval s’est détachée… l’élastique s’est envolé…
Je ramasse mon pain, ma monnaie. Et m’éclipse par l’arrière-boutique.
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Fessée
Cela peut être très doux, dit-il, alors qu'il caresse ses fesses. C'est la première fois.
Il l'a couchée en travers de ses cuisses, a remonté la longue robe de tissu léger, découvert sa croupe. C'est la première fois.
Elle a de très belles fesses. Pleines. La peau si douce. C'est un pur bonheur de la contempler.
Elle a niché sa tête entre ses bras. Immédiatement, elle s’est abandonnée. C’est la première fois qu’elle va être fessée.
Il prend son temps. En la caressant.
Cela peut être très doux, dit-il. Et pourtant il va frapper.
D’une frappe sèche, précise, nette. Suffisamment fort pour parfois l’en faire gémir.
Il frappe en rythme, en mesure. Varie les temps.
Il frappe longtemps. En cadence.
Valse et salves.
C’est tactile, auditif, visuel.
Il y a le bruit. Des claques. Et les couleurs. De son cul rougi.
Il frappe longtemps. Il la sent si bien.
Plus tard, quand il la baise, et qu'il la frappe encore, elle en gémit plus fort.
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