Catégories
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
La mer n'avait pas changé. Sa rumeur et son odeur étaient les mêmes, les vagues allaient et venaient comme celles de jadis. Vingt ans plus tôt, Juliette avait contemplé l'océan depuis cette même plage en songeant à la vie qu'elle avait devant elle, et à présent, elle sentait le sable râpeux sous ses pieds et la brise iodée emmêler ses cheveux. Elle inspira profondément et ferma les yeux. Le noir derrière ses paupières l'aidait mieux que celui de la nuit à se perdre dans le passé pour éviter de penser à l'avenir. En ces derniers jours du mois de mai, le fond de l'air était encore frais, et son chemisier et sa jupe de coton ne lui tenaient pas très chaud. Elle croisa les bras sur sa poitrine pour se réchauffer, en pensant, cependant, que ses frissons étaient une réaction appropriée aux souvenirs de cet été désormais si lointain qui revenaient en trombe. Les souvenirs qu'elle avait de lui, jeune écrivain d'une force et d'une précocité monstrueuses. Vingt ans durant, elle avait essayé de l'effacer de sa mémoire, pour se retrouver, de retour sur la plage de Donnant, tout aussi incapable de l'oublier qu'elle l'avait toujours été. Elle leva le visage, et la brise repoussa ses cheveux en arrière. Elle ouvrit la bouche pour l'avaler et s'en régaler. L'odeur iodée emplit ses narines et enveloppa sa langue, saisissant son esprit comme s'il s'agissait d'une friandise. Elle était stupide et trop âgée pour croire aux contes de fée. Et les voyages dans le temps n'existaient pas, il n'y avait aucun moyen de retourner en arrière, aucun moyen, même de rester simplement au même endroit. Son seul choix, le seul choix que quiconque avait, c'était d'aller de l'avant. Cette pensée en tête, elle avança. Un pas, puis un autre. Ses pieds s'enfoncèrent dans le sable et elle se tourna pour regarder la terrasse de sa maison et la bougie solitaire qui y luisait. Un coup de vent agita la flamme et la fit vaciller, et Juliette s'attendait à ce que cette frêle lumière s'éteigne, mais celle-ci résista vaillamment derrière sa cloche de verre. La maison se trouvait pratiquement isolée à l'époque, se rappela-t-elle, tandis qu'à présent, il fallait supporter la joie bruyante des enfants et celle des surfeurs en herbe osant affronter les rouleaux de Donnant. Elle avait découvert à son arrivée la villa tapageuse de trois étages construite juste derrière la maison centenaire, aussi nouvelle pour elle que les dunes tachetées d'algues, inexistantes vingt ans plus tôt. Cependant, au mois de mai, les vacanciers n'avaient pas encore pris leurs quartiers d'été, et, à l'exception d'un bungalow au loin dont elle voyait les fenêtres éclairées, les autres habitations acadiennes semblaient vides. Elle fit encore un pas. La mer était trop froide pour nager, sans compter que le reflux risquait d'être puissant. Pourtant, poussée par les souvenirs et le désir, elle ne résista pas à son envie d'avancer vers les flots. Juliette s'anime de mouvements amples et se tend à la rencontre de l'autre, à leur accords et à leurs noces.
L'océan lui avait toujours donné une conscience aiguë de son corps et de ses cycles. Les marées soumises à la force d'attraction de la lune, lui avaient toujours paru un phénomène très féminin. Elle n'avait jamais été une grande nageuse, mais lorsqu'elle se trouvait au bord de la mer, Juliette se sentait plus vivante et plus sensuelle. Elle avait connu les eaux chaudes des Bahamas et les vagues froides de la côte bretonne, la douce houle du golfe du Morbihan, mais aucun de ces lieux ne l'avaient autant ensorcelé que ce bout de terre isolé et les eaux qui le baignaient. Belle île en mer était unique dans la cartographie de sa mémoire. Et vingt-ans après, de façon heureuse, le charme était plus fort que jamais Elle sentit sous ses pieds le sable compact et humide que la dernière vague venait de lécher. L'écume blanchissait ici et là le rivage, mais l'eau ne touchait pas encore sa peau. Elle avança avec précaution en tâtonnant avec ses orteils pour ne pas trébucher sur un rocher ou se couper avec un coquillage. Un pas de plus, et elle sentit le sable plus mouillé, doux et fuyant. Elle rouvrit la bouche pour aspirer les gouttelettes invisibles que l'air charriait, et les savoura comme elle l'avait fait avec la brise. Avant qu'elle ait fait un autre pas, une nouvelle vague échoua sur ses chevilles et la tiédeur enveloppa ses mollets en éclaboussant ses jambes nues. Juliette s'accroupit lentement et les flots embrassèrent son corps tel un millier de baisers, l'écume trempant son short. Elle frissonna de plaisir, et se laissa aller en arrière pour que l'eau couvre son visage de sa volupté iodée. Elle contint sa respiration jusqu'à ce que la vague se retire. Elle ouvrit les bras, mais l'océan ne se laissait pas étreindre, et elle referma les paupières, ses yeux la brûlaient à cause du sel de la mer et du soleil. Ils avaient fait l'amour sur cette plage, leurs cris couverts par la clameur de l'océan. Il l'avait caressé et embrassé jusqu'à la faire trembler. Elle avait guidé son sexe en elle, croyant lier leurs corps pour toujours. Elle s'était fourvoyée. Peu importait qu'ils aient vécu un été de passion, leur histoire n'avait pas tenu. Le plaisir était éphémère, elle le savait, et tout avait une fin. Elle commença par se caresser.
C'est le soleil qui la tira d'un sommeil bienheureux, un soleil ardent, né de tout. Le sable érafla sa peau lorsqu'elle pressa ses seins. Juliette écarta ses cuisses pour que la mer lèche son sexe et elle souleva ses hanches, nostalgiques du poids qui répondait à son mouvement, autrefois. Les eaux se retirèrent, laissant son corps exposé à l'air froid de la nuit. D'autres vagues bercèrent son corps. Cela faisait très longtemps qu'elle ne s'était pas donné du plaisir, si longtemps que ses mains semblaient appartenir à une autre femme. Il n'avait pas été son premier amant, ni le premier homme à la conduire à l'orgasme. Il n'avait même pas été son premier amour. Mais il avait été le seul à la renverser rien qu'avec un sourire, et le seul à la faire douter d'elle-même. Son immense talent littéraire et sa grande modestie. Pour lui, la vie était un roman. C'était un personnage de roman. C'était avec lui qu'elle avait plongé au plus profond de la passion, pourtant elle ne s'y était pas noyée. Pourquoi cet amour d'une saison continuait-il à l'habiter ? Ce n'avait été qu'un chapitre dans le livre de sa vie, à peine quelques pages. Elle avait passé plus d'années sans lui qu'avec lui, beaucoup plus. Mais plus rien de cela ne comptait. Lorsqu'elle se caressait, c'était à son sourire qu'elle pensait, à sa voix murmurant son prénom, à ses doigts enlacés aux siens. La main qui saisit sa cheville était aussi tiède que l'eau, et le temps d'une seconde, elle pensa qu'il s'agissait d'une algue. Le poids d'un corps, un poids solide, la recouvrit. Elle ouvrit la bouche et ses lèvres rencontrèrent un vrai baiser. Elle aurait dû crier et se défendre de cet inconnu qui arrivait de nulle part, sur la plage de Donnant dans le noir. Mais ses mains ne lui étaient pas inconnues. Ce n'était qu'un fantasme, une simple chimère, mais peu lui importait. Elle s'ouvrit à lui comme elle s'était ouverte à la mer. Demain, lorsque le soleil se lèverait sur sa peau écorchée et rougie par le sable, elle aurait le temps de se traiter de folle, mais, cette nuit, l'appel du désir était trop fort pour s'y soustraire, son corps la poussait à céder. Elle sentit ses mains puissantes s'enfoncer dans ses cheveux, il l'attira contre lui pour s'emparer de sa bouche. Sous elles, elles pouvait sentir le relief de ses vertèbres. Les vagues allaient et venaient, mais la marée baissait et les flots ne les couvraient plus. La mer le lui avait ramené, et elle accepta ce don sans se poser de questions. Tout ce qui venait de se passer lui sembla irréel à la lumière du jour, et tant mieux. Alors elle se relèverait pour quitter la plage de Donnant et regagner son lit. Mais ce moment qui n'avait pas existé, lui sembla aussi réel que le ciel et le sable, elle ne voulut plus penser à rien d'autre de peur que tout disparaisse. Elle souhaita alors fermer les yeux. Sur sa bouche, la bouche de l'autre se posa.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
734 vues
13 aime
Bonjour
je suis un soumis éduqué par plusieurs personnes à distance.
Ma première éducatrice est restée ma conseillère.
Elle pense que je dois suivre l'éducation d'une nouvelle personne pour étayer mon expérience.
je viens donc poser ma candidature à une nouvelle expérience de soumission. Je suis disponible pour écouter les propositions que cet article pourrait susciter.
region var ou savoie .. début en distanciel
marie 64 ans
696 vues
1 like
Son récit — RETOUR DE VACANCES ECRIT PAR MA PETITE S……
Nous nous retrouvons après plusieurs semaines de vacances. Le maître trouve un lieu très joli, un champ de pommiers avec une très jolie vue, ainsi que des haies de mûre que nous dégusterons après des folies de nos corps.
Nous nous embrassons délicieusement mais mon désir est trop présent. Très rapidement je fais glisser son pantalon sort son sexe déjà prêt à être accueillir par ma bouche. Je le suce puis il enfonce ses doigts en moi, hmm. Très vite je me retrouve allongée dans sa voiture. Il me pénètre… wouah, c'est si bon de le sentir me remplir. Chaque coup de rein est un délice et à chaque fois qu'il s'enfonce tout au fond, qu'il me remplit, je jouis, je me sens à lui. À certains moments il agrippe mon sein droit, le griffe, pince mon téton. Il sait que de cette façon il me fait très mal mais aussi que ça m'excite encore plus. Toujours en moi , il me dit qu'il a très envie de s'enfoncer dans mon cul ou bien de s'enfoncer dans le fond de ma gorge. Dans ma tête je me dis que mon cul, oh oui, avec plaisir. Par contre dans ma gorge, non j'ai envie de le supplier de ne pas le faire. Il le sait et comme s’il lisait dans mes pensées, il me dit que je sais qu'un jour il me le fera puis il continue de me faire jouir.
Le maître se retire puis il sort d'un panier une huile de massage. Je sais ce qui va m'arriver, ce n'est pas pour un doux massage du dos. Non, il trempe sa main de cette huile. Il me demande d'écarter mes cuisses et mes petites lèvres. Ses doigts puis sa main entre dans mon vagin. La sensation qu'il me procure est indescriptible, une douleur mais aussi une telle jouissance, mon corps n'est plus rien et n'appartient qu'au maître.
Il me pénètre de nouveau, me fait jouir encore et encore en continuant d’agripper mon sein et de le torturer. Il se retire puis je le prends en bouche pour y récupérer son nectar. Je fais des vas et viens, il baise ma bouche en me tenant par la tête puis je le sens frémir, son nectar chaud se dépose sur ma langue. Hmmm je me retire pour avaler ce que le maître vient de m'offrir. Je le remets en bouche pour récupérer la dernière goûte.
Nous nous allongeons dans les bras l'un de l'autre.
Merci maître pour ce moment délicieux
494 vues
7 aime
Son fantasme (mercredi 18 juillet 2018 12:55) : Fantasme d'après coupe du monde de ma S......
J'adorerai me retrouver en voiture avec mon maître. La coupe du monde bat son pelin à l’audimat, et la radio commente le match, mais cela, je m’en fou complètement.
Nous roulons, puis une envie soudaine me vient à l'esprit. D'un regard coquin, je pose ma main sur sa cuisse, remontant vers son entre jambe. Très rapidement pendant que je continue mes caresses, le maître change de direction et se gare dans un endroit tranquille. À peine la voiture arrêtée, je descends et le rejoins côté conducteur, il est toujours assis face à moi. Je déboutonne son pantalon, sors son sexe déjà dur. Je lèche son gland de la pointe de ma langue, passe ma langue tout autour de son gland plusieurs fois puis je remonte le long du frein. Ma bouche enveloppe son gland puis descend le long de sa verge pour faire des vas et viens pendant qu'il pince mes tétons
Le maître m’ordonne de me mettre face au capot de la voiture et de m'y pencher. Il s'approche de moi, admire mes fesses. Sa main claque contre mes fesses, puis il me pénètre et me fait jouir.
Je le suce pour qu'il puisse jouir à son tour et déguster son nectar.
388 vues
4 aime
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.
Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées.
Se questionne.
Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection.
Minutieuse elle espère le rendre fière,
Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.
Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,
Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.
Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux.
N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.
Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention.
Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.
- Ouvre les yeux salope.
La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,
Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce,
En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.
Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.
- Debout, danse.
Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.
Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.
Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes
Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.
Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue.
Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.
Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie.
Le maitre accepte.
Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.
Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.
Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre.
Le rêve devient réalité.
708 vues
7 aime
J ai été contactée hier début de soirée sur mon site préférée, ici donc, en me demandant si je pouvais venir tout de suite à la grande motte. J ai pas demandé pourquoi et j ai accepté. A 21h30 devant lidl.
Je suis à l heure, je suis encore en talon haut rose, un body résille bien rentré dans le cul,des bas marrons et une démarche de cochonne. J ai du rose à lèvres et je sors comme ça
De la voiture à côté sort un couple, la trentaine, genre BCBG.
Ils s approchent de moi et me disent: parfait!
Et me font monter dans leur véhicule. Ils me disent de mettre une cagoule noir avec juste une ouverture pour la bouche.
Et m explique que je sers à motiver une salope, qui veut dépasser ses limites.
Arrivés dans un hangar, avec une odeur de renfermé mélangé à de l essence . Il y a un treuil à chaîne qui descend au milieu et une jeune femme brune en bas et talons noir avec une belle poitrine apparente, tête baissée, bras dans le dos.
Ils me poussent vers le treuil, et passe un manche à balai dans mon dos, pour ensuite m attacher les poignets, puis les avant-bras à ce bâton. Ils m ont ensuite fait plier les cuisses, bien écartées, et on attaché mes chevilles aux extrémités du bâton. Une position cul cambré, ouvert, efficace.
Puis, ils m ont attaché les cuisses qu ils ont accroché au treuil et m ont levé comme ça
Ils ont dit à la soumise qui était là : regarde ce qu on attend de toi!
Ils ont mi un tabouret sous moi, et dessus, un énorme plug rouge.
Ils m ont empalé dessus, après m avoir bien graissé, direct.
Dans cette position, je pouvais pas faire grand choses. J ai commencé à gémir, et ils m ont rempli la bouche avec du tissu.
Et ça forçait. Ils me claquaient les fesses régulièrement, appuyaient pour faire rentrer, et me stimulaient en disant: tu y es presque ! Allez, lâche prise!
J ai relâché tout les muscles, et tel une marionnette, je me suis lâchée, j ai senti que ça allait passer, mais ça allait m éclater.
Et, juste après une claque bien placées sur chaque fesses en même temps, c est rentré.
Un soulagement. Il était bien en place, jusqu'au bout.
Ils m ont ensuite détaché du treuil, et fait marcher, en tortillant des fesses avec le plug toujours planté, et ils s amusaient à me mettre des fessées.
Ensuite, ils m ont mi à quatre pattes et ont dit a la soumise de me l enlever. Elle a galéré bien dix bonne minutes avant d y parvenir. C était chaud.
Elle a dû ensuite me fister à deux mains. J en pouvais plus, j étais sans résistance, mais c était délicieux.
Ils m ont ensuite ramené au parking, et j ai dû souffler une heure avant de pouvoir repartir, la tête et le corps détendu et en apesanteur.
A votre service.
677 vues
5 aime
Un Monsieur m a contacté sur ce site, et m a fait venir chez lui, dans son salon.
J étais maquiller comme une petite pute, en talon haut rose et bas résille. Il avait préparé tout un tas de jouets. Notemment des jouets pour chiens, gros os en plastique, haltère. Il m a mi un gros os en plastique dans la bouche, m a mi à quatre pattes, et fait cambrer mon cul.
Il a commencé direct à me lubrifier en y mettant les doigts avec force.
Il rentrait plusieurs doigts une main, puis pareil avec l autre.
Il me demande si j aime quand ça force, je lui fais oui de la tête.
Il a alors enlevé l os de ma bouche, et introduit à la place un gros gode cours, qu il a attaché derrière ma tête, a l aide d une facette qui passait a la base du gode.Remplie.
Ensuite il a commencé à forcer. D abord avec les plus petits jouets, qui déjà étaient énormes.
De tant en tant, il me disait: bonne petite chienne ça !
Et il a enchaîné sur du gros, du très gros.
Tous n ont pas pû rentrer, malgré son insistance et mon envie
Il a même forcé une fois avec le pied.
Mais qu en c est rentré, j ai été fendu en deux, et impossible de crier avec ce gros gode dans la gorge qui s enfonçait quand je bougeais ma tête.
De tant en tant, des claques sur les fesses, pour attendrir, et c était reparti avec des canettes Perrier, coca, ses poings.
Il m a dit ensuite que ça l a bien existé, si je voulais sucer et avaler.
Je me suis retrouvé, tjrs dans la même position, avec sa grosse queue au fond de la gorge, et j aspirais.
Il m a ensuite lancé : tire-toi salope!
Je l ai remercié en lui disant que j étais à sa disposition, comme toujours.
364 vues
6 aime
Je vais à la cuisine. Heureusement, Lucinda sait ce qu'ils veulent et elle a tout préparé. J'apporte le café, le thé, puis tout le reste... Ils ont tout le temps besoin d'autres choses. Dolorès et son père arrivent aussi.
Quand tout le monde a terminé, je suis rouge et en sueur. Je dois débarrasser et tout ramener à la cuisine, toute seule, alors qu'il y a des esclaves... Telle est la volonté de Dolorès. En partant, elle me dit :
— À partir de 3 h, sois dans la cuisine.
— Oui, Maîtresse.
— Ah, oui, tu sais masser les pieds ?
— Je ne l'ai jamais fait, Maîtresse.
— Demande à Lucinda et tâche d'apprendre vite. Sinon, tu seras punie.
Elle fait un petit geste qui signifie "maintenant, dégage". Je fais une révérence et je vais à la cuisine. Masser des pieds... Pourquoi moi, alors qu'il y a des esclaves partout ? Oui, bon, je sais pourquoi : pour frimer et pour avoir des photos. Les pieds des gens, ça me dégoûte. Sauf ceux de Summer.
A la cuisine, j'explique à Lucinda :
— Mademoiselle Dolorès m'a dit de vous demander comment masser des pieds.
— Demande ça mieux.
Je me mets à genoux et je répète :
— Je vous en prie, Madame, dites-moi comment il faut faire...
Elle pousse un gros soupir avant de répondre :
— Assieds-toi par terre.
Elle bouge sa chaise et pose son pied droit sur ma cuisse. La première chose qu'elle me dit de faire, c'est enlever sa sandale, ensuite... mais j'expliquerai tout quand je devrai masser les pieds de Dolorès. Lorsque, j'ai fini de masser les pieds de Lucinda, elle me dit :
— C'est à peu près bien... Tu peux manger, mais sans te laver les mains, ça me vexerait.
Ça fait rire les deux gardes qui sont là. Quand j'ai fini de manger, Lucinda me dit :
— Tu peux aller où tu veux mais sois à l'heure à ton rendez-vous.
— Je peux aller sur la plage, Madame ?
— Oui.
Je pourrais m'enfuir... mais aller où, sans papier et surtout sans Summer ? Et puis, on est sur une île, il faudrait trouver un bateau... Je sais aussi qu'avec Summer, je me sens bien, apaisée. Cette partie de l'île est privée, alors, arrivée sur la plage, j'enlève mon uniforme et la culotte blanche que j'ai dû mettre. Je cours sur le bord de sable dur, léché par la mer. Il y a un drone qui me suit, rince-toi l'œil petit robot ! J'entre un peu dans l'eau, mais je me méfie de tout ce qui vit ici. On dit que la mer de Cortez est une des plus riches du monde...
Peu après, je vois des dauphins bondir hors de l'eau. On en voit souvent et même des baleines, m'a dit Mateo, mon amant du premier soir... Je m'allonge sur la bande de sable dur... Je me relaxe, enfin... Le drone ne me quitte pas de l'œil. Je n'ai plus de bijoux, ni de montre. Alors, quand j'ai l'impression qu'on approche de midi, je retourne à la cuisine pour manger avec les gardes. Les esclaves prennent leur repas assises par terre.
Quand j'ai fini de manger, j'irais bien m'allonger à l'ombre d'un arbre dans la propriété, mais j'ai peur de m'endormir et de ne pas être ici à 3 h, comme Dolorès me l'a dit. Je demande Lucinda :
— Je peux attendre ici que Mademoiselle Dolorès me fasse appeler, Madame ?
— Bien sûr et tu vas même te rendre utile.
Elle va prendre une grande boîte, pleine de couverts oxydés, et la met devant moi, avec une bouteille de nettoyant et un chiffon, en ajoutant :
— Fais briller ces couverts, comme ça tu ne t'ennuieras pas.
Garce ! Mais, prudente, je ne discute pas. Ah, le drone revient me survoler. Il doit y avoir un homme dans la salle de contrôle qui est amoureux de moi ou alors, Dolorès veut me filmer dès que j’ai une autre activité. Nettoyer de l'argenterie, c'est un sale boulot, le produit pue et il faut frotter fort... Je fais ça pendant 2 h... Les gardes qui viennent manger me parlent un peu.
Enfin, une esclave arrive et se met à genoux devant Lucinda, en disant :
— Mademoiselle Dolorès demande qu’Ashley les rejoigne, Madame.
— D'accord. Ashley, lave-toi les mains et vas-y.
— Oui Madame.
Lorsque j’ai les mains propres, l'esclave m'amène sur la terrasse. Dolorès est là avec trois autres filles, deux brunes et une blonde. Elles sont en short et tee-shirt. Je regarde Dolorès qui me montre le sol devant elle. Je m’approche, mais elle fait un geste de haut en bas avec son index. Je m'agenouille... Summer sera bientôt là. Le sol est dur sur la terrasse... Les filles parlent "garçons" et "vêtements", jusqu'à ce que Dolorès leur dise :
— Regardez bien cette esclave.
Tous les regards se tournent vers moi, une fille lui demande :
— Qu'est-ce qu'elle a de spécial ?
Dolorès répond :
— C'est Ashley Stirland, la vedette de Cléopâtre, qui est ensuite devenue Première Dame.
Exclamations des filles... Une brune avec des bottes (par cette chaleur) lui dit :
— Fais-la se déshabiller, Lola (diminutif de Dolorès).
Un regard de Lola et je me relève. J'ai mal aux genoux. J'enlève la jupe noire, le corsage et la culotte blanche qui compose mon uniforme. Elle me dit :
— Tourne-toi.
Une de ses amies y va de son commentaire :
— Elle a une de ces paires de fesses... Tu devrais la mettre au régime et l'obliger à faire de la gymnastique. C'est ce que je fais avec mes esclaves.
Dolorès répond :
— C'est vrai qu'elle a des grosses fesses. Saute sur place, Ashley.
Je me mets à sauter... Les filles rigolent parce que mes fesses vont et viennent. Dolorès ajoute :
— De face, maintenant, et saute plus haut !
Nouveaux rires idiots en voyant mes seins se balancer. Je saute bêtement pendant quelques minutes, jusqu'à ce que Dolorès me dise :
— Tu as été bien ridicule, maintenant, présente-toi à chacune de mes amies comme tu le fais le matin.
Summer va venir me chercher, le reste, je m'en fous... Je vais devant la blonde en short, bustier et baskets noirs. Je me mets à genoux et j'embrasse sa cheville.
Ensuite, je me redresse et lui demande :
— Je m'appelle Ashley, que puis-je faire pour vous Mademoiselle ?
— Fais la chienne !
Quoi ?! Je me mets à quatre pattes et j'aboie... un peu. Les gens qui sont sur la terrasse rigolent. La fille me dit :
— Va chercher un bâton.
Je me relève, mais Dolorès crie :
— À quatre pattes, stupide animal !
Oh putain ! Je vais dans la pelouse, près des arbres, et je reviens avec un bâton dans... la gueule. Je le donne à la blonde. Les filles se marrent et continuent pendant un moment à me lancer le bâton.
Dolorès arrête le jeu en disant :
— Continue à te présenter.
Je vais me mettre à genoux devant sa voisine, qui est brune. J'embrasse également sa cheville et lui répète la même phrase. Elle me dit :
— Tu es une chienne en chaleur ! Couche-toi sur le dos, les pattes en l'air.
Quand je suis dans cette position ridicule, elle pose sa basket sur ma chatte et frotte. Ouch ! D'abord c'est dégoûtant pour ma pauvre chatte et au bout de quelques minutes... ça m'excite. Oui, c'est dingue. Elle me frotte juste assez fort pour que je me tortille sous son pied. Là, les gens qui sont sur la terrasse viennent voir le spectacle. La semelle de sa basket, c'est pire qu'un sex toy... Je finis par jouir sous son pied, comme... oui, une chienne en chaleur. La fille me dit :
— Lèche la semelle maintenant.
Elle pose le talon par terre, le pied relevé. Je dois ramper pour arriver à lécher la semelle pendant quelques minutes. Dolorès me dit :
— Va nous chercher à boire. Dépêche-toi !
— Oui Maîtresse.
Je vais à la cuisine en pleurant, nue comme une esclave. Lucinda me demande :
— Qu'est-ce que tu as ?
— Elles me font des choses horribles, Madame.
Elle me prend contre elle et me dit à l'oreille :
— Summer sera là bientôt et vous partirez.
Elle lève les yeux vers le drone. Je fais juste une pression de la main sur sa taille, un geste qui signifie : 1000 mercis... Comme pour le petit déjeuner, Lucinda sait ce que les filles veulent. Je prends un plateau couvert de boissons et de trucs à manger. Ouch ! C'est lourd. Pourvu que je ne tombe pas ! J'arrive tant bien que mal à mettre le plateau sur une table basse devant ces sales petites putes ! Maintenant, mon problème, c'est que je ne sais plus qui a commandé quoi. Dolorès me demande :
— Tu attends quoi ?
— J’ai oublié qui...
Une de brunes me coupe la parole :
— Tu serais pas stupide ?
— Si, Mademoiselle.
Moins que toi, sale... Dolorès me rappelle quelle boisson je dois servir. Ensuite, elle ajoute :
— Si on se faisait masser les pieds, les filles ?
— Oui, bonne idée !
Dolorès me dit :
— Commence par la demoiselle blonde.
— Oui Maîtresse.
— Tu vas aller te mettre à genoux devant elle, lui ôter ses chaussures et lui masser les pieds. C'est à la portée de ta faible intelligence ?
— Oui, Maîtresse.
Je vais m'agenouiller devant elle, les fesses posées sur les talons. Je défais les lacets et enlève les baskets. Ouch ! La brune qui a des bottes courtes s'exclame :
— Mae, tes pieds puent ! Il y a longtemps que tu ne les as plus lavés ?
En riant, la fille répond :
— Quelques jours.
Les filles se mettent toutes à rire.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.
Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer.
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
474 vues
9 aime
Bonjour à toutes et à tous, je vous souhaite un agréable weekend et de belles rencontres attachantes.
Elle m'a contacté par e-mail pour me faire part de son fantasme qui la poursuit jour et nuit depuis qu'elle a découvert le Shibari, le Bondage sur le net.
Voir ces Femmes contraintes, encordées, attachées, offertes, dans un lâcher prise qui l'avait impressionné.
Voir ces Hommes qui habillent les corps, les esprits de ces Femmes en toutes complicités, sans sexe, sans attouchements, sans violence, dans un esprit de partage, d'offrande de part et d'autre.
Le besoin d'apporter des plaisirs partagés, d'offrir la découverte de son corps avec de nouvelles sensations, de nouveau ressenties et de nouveaux plaisirs.
Nous avons échangé par mail pendant plus de trois mois.
Un rendez-vous autour d'un verre dans un lieu public et cette fois, échanger yeux dans les yeux et s'immerger dans l'esprit de l'autre.
Ensuite partager un déjeuner, puis un autre mais cette fois, une fois ce repas terminé, elle me regarde dans les yeux, les baissant et me dit, je suis prête à m'offrir à vos cordes, maintenant, j'ai confiance en vous.
Heureux et honorés de sa confiance qu'elle m'offre ainsi, avant de m'offrir son corps et son esprit, nous prenons mon véhicule et nous nous rendons ensemble chez elle.
Elle ouvre la porte, m'invite à entrer.
Après avoir récupéré ma valise magique où, mes cordes de déplacements sont bien rangées et prête à venir en toute délicatesse sur un corps féminin et ainsi lui offrir l'évasion qu'il recherche dans la contrainte.
Elle me demande de me tourner et de ne pas regarder.
Je respecte sa demande et me tourne.
Après quelques minutes, elle me demande de me retourner et de la regarder dans les yeux.
Je me retourne et la vois, sans sa jupe, sans son chemisier, en sous-vêtements trois-pièces, bas et talons hauts. Elle est magnifique ainsi élégante, féminine Femme avec un grand F.
Elle me demande de toucher les cordes.
Je lui en donne un fagot et la laisse s'imprégner de mes cordes, les passants sur son corps où, la peau est 'nue et lis sur son visage mais également sur son corps, l'émoi qui l'envahit.
Je la regarde et lui demande si elle est prête pour vivre enfin ce fantasme qui la ronge.
Elle ne sort pas un son mais me dit oui par mouvement de la tête.
Ses joues rouges, sa peau frissonnante, une petite chair de poule, elle est prête.
Je prends ses bras et les dirige à l'arrière de son dos.
Lie ses poignets et commence à passer mes cordes en dessus, en dessous de sa poitrine, passe ma corde entre ses seins, remontent celle-ci pour verrouiller l'ensemble et passent sur le dessus de ses épaules, sa nuque, rendent ce Shibari du buste artistique et contraignant à souhait.
Je viens devant elle, l'observe, lui demande si elle va bien, si cela lui plaît, si elle aime les sensations, les ressenties qui commencent à envahir son corps de Femme mais également son esprit de Femme, doux mélange d'indépendance et de soumission.
Elle me répond avec un sourire aux lèvres et des yeux qui brillent qu'elle aime beaucoup ce qu'elle ressent.
Je lui demande si elle veut que je continue et ainsi la contraindre encore plus sur la totalité de son corps, de son âme
Elle me répond d'un oui qui sort du cœur sans aucun doute. Je prends donc des cordes dans ma valise à malice et commence la contrainte des hanches, des jambes.
Je prends ma corde et commence par prendre ses hanches dans ma corde pour un appui de départ.
Commence par lier ses cuisses sur trois niveaux pour lui permettre de bien ressentir l'emprise de ma corde sur elle.
Verrouillent mes tours par des passages complexes pour ne pas faire de nœud.
Je continue mon encodage par ses mollets, également trois passages pour une contrainte, un encodage des plus esthétiques, artistique mais également bien contraignant pour elle et ainsi prendre conscience qu'elle s'est offerte à ses fantasmes, ces envies de soumissions, appartenir à un Homme, à ses cordes sans pour cela lui appartenir physiquement.
J'arrive sur ce qui est ma zone préférée chez une Femme, ses chevilles car, c'est la partie du corps d'une Femme que j'aime lier.
La fragilité, la finesse, la beauté d'une cheville de Femme, mise en valeur par des cordes, je ne connais rien de plus beau.
La voilà bien encordée, prisonnière de ses envies de soumission.
Elle est magnifique dans cette tenue légère où, la beauté de la Femme est mise en lumière par mes cordes et les contraintes provoquées par celles-ci.
Je viens à côté d'elle et lui demande si elle est bien ainsi encordée ?
Un sourire sur son visage avec un zeste de joues rouges qui montre qu'elle est un peu gênée de montrer, de me montrer par diverses manifestations comportementales et de son corps qui s'exprime, les plaisirs qu'elle ressent.
Je lui conseille pour accentuer ces plaisirs, de bouger comme si elle voulait se libérer et ainsi constater, comprendre que cela est impossible et qu'elle est à moi, offerte.
Elle réalise que de tenter de se libérer lui provoquent des plaisirs plus forts car son subconscient prend conscience de la fragilité de cet instant, de la détresse fantasmée qu'elle ressent à cet instant.
Je la laisse un instant profiter de ces nouvelles sensations, ressenties, plaisirs et reviens vers elle pour lui proposer l'extrême plaisir, un bandeau sur les yeux, un bâillon.
De ces contraintes supplémentaires accentuent déjà les plaisirs qu'elle a à cet instant.
Elle hésite, réfléchie, je reconnais que le bâillon peut être impressionnant mais, il offre-t'en de ressentis forts et puissants combinés avec les cordes et le bandeau qu'il serait bête de passer à côté de cette expérience.
Elle accepte mais si je peux lui bâillonner la bouche pour commencer et ensuite, lui poser le bandeau.
Bien sûr toujours prêt à rendre service et d'offrir à ces dames plaisirs intenses et découverte de leurs véritables personnalités, j'accepte. Je prends le bâillon avec cette sangle en cuir noir et cette boule rouge qui va se marier à merveille avec ces lèvres rouges.
Je lui demande d'ouvrir la bouche, elle l'ouvre doucement avec timidité et une légère angoisse.
J'insère la boule entre ses lèvres, passe derrière elle, verrouillé la sangle.
La voilà encordée, contrainte, offerte, bâillonnée, elle est superbement féminine ainsi, le bâillon et magnifique entre ses lèvres et artistiquement la rend si belle, si Femme. Il est temps de couvrir ces magnifiques yeux verts, j'avance mais elle a un léger geste de recul. Je la rassure, lui parle doucement à l'oreille et la met en confiance.
La voilà entièrement à moi, entièrement à ses fantasmes, ses envies d'être soumise à un Homme, à ce Dominateur, ce Maître qui l'a rendue esclave de ses désirs d'être ainsi entièrement contrainte et dans l'obligation d'attendre le bon plaisir de celle-ci pour être libérée même, si dans sa main, un vieux jeu de clés que j'utilise spécialement pour cela.
Il lui suffit de le faire tomber sur le sol et je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas, la sécurité est essentiel tout comme la confiance, le partage, la complicité.
Je la laisse avec elle et se ressentit, ses sensations, ses plaisirs et l'admire ainsi Femme offerte, quoi de plus beau ?
Avec la pulpe de mes doigts, je vérifie les cordes, sa peau, si elle va bien. Je constat que la pointe de ses seins qui pointent, sa peau qui frissonne, ses cuisses qui cherchent à se resserrer comme quand une Femme ressent des envies inavouables devant un Homme qui lui plaît.
Bien sûr elle ne peut bouger ses cuisses et à ce moment, je sais que l'inquiétude l'envahit et qu'elle s'inquiète que je constate le plaisir qui envahit la totalité de son corps et qui se manifeste par une légère humidité sur le tissu de sa petite culotte.
Je la libère et vois, lit, sur son visage les plaisirs intenses qu'elle a découvert.
Lui enlève le bâillon, lui offre un verre d'eau, retire la goutte qui ruisselle le long de son cou et qui conduit mon pousse à la 'naissance de ses seins ce qui, provoque chez elle un gémissement qui en dit long sur son état d'excitation.
Je lis sur son visage une légère gêne d'avoir réagi ainsi, trahissant sont états d'excitation forte, je suis heureux de lui avoir offert autant de plaisirs.
Une fois libre de mes cordes, de mes contraintes, nous nous retrouvons tous deux sur le canapé et échangions sur ses ressenties, ses plaisirs, ses étonnements.
Au bout d'un moment d'échange très intéressent et agréable, elle me demande de la contraindre à 'nouveau mais cette fois, sur le ventre, les jambes relevées et très fortement contraintes vers la nuque pour ne pouvoir bouger et à 'nouveau ressentir cette overdose de plaisirs intenses et pour la premier fois de sa vie intime de Femme, découvrir le lâcher prise.
Je suis fière et heureux d'avoir eu l'honneur de sa confiance, de lui avoir permis de découvrir les plaisirs intenses et profonds, qui envahissent tout son corps , son esprit et son âme de Femme soumise, révélée aujourd'hui.
J'espère que ce récit vous à plus et que sous une forme ou une autre, vous vous êtes identifié dans ces plaisirs attachant que sont le Shibari, le Bondage, ma Passion qui est plus forte que le sexe car, il marie l'art et l'offrande, la complicité et la confiance, la beauté de la Femme et la révélation de sa soumission. Bien à vous Passions
932 vues
7 aime
Sans parler de ce site, ici je ne fait que passer ou trépasser
mais en discutant avec des amis je constate qu'un soumis doit etre de préférence milliardaire et surtout trés con
première chose qu'il lui est demandé c'est une offrande
et bien sur en ticket PCs Transcach Neosurf ou autre moyen de paiement permettant de surtout lui baiser la gueule
car non seulement il paye mais bizarement la pseudo domina disparait une fois la preuve d'achat envoyé par photo
Alors je dirais a tous mes amis soumis si vous trouver une bonne dominatrice normalemnt elle vous ne demandera jamais d'argent
Mais cela ne vous empeche pas de lui offrir des fleurs, voir du champagne que vous dégusterez avec elle le moment venu
Désolé pour mon coup de gueule mais je déteste voir les gens se faire arnaquer pour prendre du plaisir quel qu'il soit
bon courage a vous tous
soyez vigilant
PS : si une soumise milliardaire traine dans les parage je suis prenneur
Qui ne tente rien n'a rien :)
455 vues
2 aime
Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de son emprise sur moi.
Son petit sourire narquois a le don de me faire chavirer.
À flots dans les limbes du désir, je rassemble les quelques pans de bois restant de mon ego pour me construire un radeau. Je n'ai que peu d'espace afin de me maintenir hors de ces eaux troubles. Seul sur cette Méduse, face à moi-même, je dérive et m'enfonce dans les ténèbres. L'obscurité a quelque chose de rassurant. La quiétude qui y règne me permet de m'abandonner et de dépasser mes peurs. Perdre certains sens en décuple d'autres. Plus ma vue se trouble, plus mon toucher s'étend.
J'ai l'impression que mon corps est aussi sensible qu'une digitale.
Je m'ouvre par défaut et me referme dès que l'on m'effleure. Dans ce mouvement incessant entre tension et relâchement, j'y laisse un pétale. Ce n'est que dans sa chute qu'il raconte l'histoire de mon tourment. Lorsqu'il tombe, je me sens dans le plus simple apparat. Maintenant, que je suis dénué de tout artifice, que la beauté n'est plus sublimé par l'emballage, je me sens bien. Je ressens toute cette sève accumulée dans la tige tendue. Elle ne demande qu'à jaillir. Pourtant, c'est elle qui me maintient : moi, la fleur.
Ce n'est qu'au moment où le pétale touche les eaux que l'onde se multiplie. Les forces qui s'exercent me dépassent. Est-ce bien un simple pétale qui entraîne la création de ces arcs infinis ? Comment d'une simple moue, peut-elle m'atteindre si profondément ? Je ne souhaite pas le savoir par peur d'en briser la mystique. Qu'adviendrait-il si je trouvais la réponse ? J'y perdrai sans doute mes racines, celles qui me permettent de m'abreuver de Son essence.
Elle est ma terre, mon socle, mon terreau,
Je serai la chair, Patrocle, un héros,
Lumière surgit, m'ôtant le bandeau,
Pour elle, je vis, jusqu'à mon tombeau.
434 vues
1 like
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.
Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées.
Se questionne.
Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées est réalisées à la perfection.
Minutieuse elle espère le rendre fière,
Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.
Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,
Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraiter, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.
Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyants, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux.
N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.
Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention.
Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.
- Ouvre les yeux salope.
La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,
Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce,
En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.
Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.
- Debout, danse.
Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait qu'agrandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées sadiques.
Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, l'a fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.
Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncer d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abattent sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes
Il glisse sa mains le long de ses fesses, examine l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevés, allongée sur le canapé, ses trous offerts, prête à être utilisée.
Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chuchote à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n'est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue.
Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souiller.
Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role de femme, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisé, elle supplie.
Le maitre accepte.
Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.
Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.
Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur des ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre.
Le rêve devient réalité.
535 vues
3 aime
Top rédacteurs
Sujets tendances









