La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 23/05/20
Polo est un extraordinaire chasseur de jolies femmes. Pourtant il est plutôt gringalet. Ce n'est pas un Apollon, loin s'en faut, mais il a de l'humour. il sait faire rire les femmes et bien leur dérider les fesses. Il est inépuisable au lit. Un minou de femme bien odorant le rend fou et si en plus elle a le cul pneumatique, alors il se transforme en marteau niqueur inépuisable. Elisa, avec son gros fessier et ses seins lourds comme des pastèques, est devenue sa première femme. Puis Polo a essayé le ménage à trois avec la jolie Lou, souple et pleine de charme. C'est à ce moment là qu'Elisa s'est imposée comme la dominante du Harem. Polo est trop gringalet pour faire le poids et lou est une soumise. Elle a facilement écarté les cuisses devant sa maitresse de préférence à la pénétration par polo. Cela fonctionne très bien ce ménage à trois. Tous y trouvent leur compte. Elisa a la lubie des recyclages. Elle arrive parfois le matin avec son gros cul à l'air et sa chatte poilue en avant, histoire de faire comprendre à Polo la suprématie du vagin. Elle sort le fouet. Elle attache ses deux soumis, les baiillone, fait bien rougir les fesses et les dos,puis boit son café en écoutant les suppliciés gémir. Elle se sent mieux. Les couinements des soumis lui font dresser le clito et donc ils doivent venir lécher à quatre pattes, sous la table. Elisa estime que lou c'est pas assez. Alors elle a posé une cage de chasteté à Polo, pour le mettre en forme. C'est un très bon chien de chasse pour débusquer une jolie femelle à dresser. Au bout de huit jour elle lui enlève la cage. -allez cours, va chasser, bon chien chien, va chasser! Mais pas touche au gibier, c'est pour ta maitresse d'abord! Et polo a fait son travail de chien. Il est allé renifler les culs des femelles de la ville. Il a posé sa truffe partout. Il a reçu bien des baffes, bien des invitations à aller plus loin. Il a cherché, cherché et finalement il est tombé sur le cul de Rosie. Un cul ébene bien galbé qui sent si bon la canelle et les épices. Polo a japé et marqué l'arret. Maitresse Elisa s'est pointée et à chopé Rosie. Toutes deux sont tombées sous le charme dès les premières caresses. Du ménage à trois on est passé au ménage à quatre. Polo n'arrête pas. Elisa peut commander tant qu'elle veut, lui il a trois chattes à disposition et il baise comme un fou. A chacun son boulot après tout.
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Par : le 22/05/20
*Normalement je ne publie mes textes plus que sur fetlife mais celui la est important pour moi donc je fais une exception* Coucou sam, Je me permet de vous appeler sam, juste sam, car comme ça je peux vous imaginer femme. J'avoue que j'ai une pensée tendre à l'idée qu'on soit encore un duo de sales pédales. Vous savez que ça m'a fait peur toute ma vie mais maintenant j'en viens presque à le regretter. Etre perçue comme hétérosexuelle quand je suis avec mon copain dans la rue par exemple provoque chez moi un agacement immodéré. Je ne veux pas être des leurs, jamais. Enfin je veux dire, j'adore les garçons comme vous le savez mais être hétéro, jouer leur jeu, c'est un degré de masochisme trop fort pour moi. J'aurais pu vous écrire pour de vrai, sans lâcheté, mais encore aujourd'hui je ne me sens pas capable de vous désobéir. Vous avez signé la fin de notre relation et quelque part je dois m'y faire. Alors j'écris dans le vide dans l'espoir d'arriver à donner du sens à mes mots. Et puis parfois c'est plus facile de parler à des fantômes : ils ne peuvent pas vous répondre. C'est tellement étrange de me remettre à vouvoyer comme ça. En le faisant j'ai comme des souvenirs fugaces de choses étranges, comme des souvenirs rouillés qui grincent, qui casse un peu parfois, s'effritent... Comme des éclairs de brume qui forment des images, des images monstrueuses et inquiétantes, des images magnifiques... J'ai tellement de mal à raconter notre histoire, à vous raconter, à nous raconter. Je décris les événements mais tout est vide, je n'arrive pas donner du sens à tout ça. Peut être parce ce que nous étions chaos et que le chaos ne se raconte pas, c'est lui qui nous raconte. J'ai encore du mal à imaginer que tout ait pu se finir aussi vite. Aussi brutalement. Mais quelque part c'est pour ça que je suis venu vous voir, pour du brutal. Dans "la ligne verte" de stephen king il y a un personnage qui s'appelle "brutal", il est trés doux... Je n'ai jamais réussi à me faire dominer par des grands mecs virils. C'est con mais j'ai envie de les casser et de voir éclater leurs fragilités tellement leur numéro me semble ridicule. Non ce sont les gens fragiles qui arrivent à me broyer, il n'y a que les plus fin rouage qui arrivent à broyer les plus petits morceaux. Mais pourquoi écrire cette lettre ? Je pense qu'on écrit des lettres quand nos mots restent bloqué au fond de la gorge et que ça arrive pas à sortir. Quand ce sont des mots trop dur à prononcer. Donc écrire c'est intéressant, ça permet d'évoquer l’imprononçable. En bonne fan de lovecraft ce n'est guère étonnant de ma part. Oui je sais c'étais un gros connard raciste et antisémite mais je me soigne. Un jour j’arrêterais d'être attirée par des saletés. Et puis de toute façon c'est un peu comme ça qu'on s'est rencontré non ? Vous avez été ma saleté ? Ou on a été la saleté l'un.e de l'autre ? Je ne sais plus. Mais y'avais un truc sale dans nos interactions. Comme un vieux truc oublié derrière un meuble et qui n’arrêtais pas de pourrir. J'aimais bien notre pourriture. Elle sentait très fort et n'étais pas vraiment socialement acceptable. Et parfois vous me mettiez la tête dedans "pour abîmer mon si joli visage". "Lacérons le vide dans un borborygme de visages". J'imagine que vous avez une autre personne maintenant. Je me demande parfois à quoi elle ressemble. Comment elle respire. Est-ce qu'elle a un sourire inquiétant ? Est-ce qu'elle rêve de quelque chose de terrible ? Est-ce qu'elle tremble à votre approche ? Qu'est qu'elle vous a poussé à faire ? Qu'est-ce que vous lui avait forcé à hurler ? Est-ce que vous l'avez amené au pied du peuplier ? "Vous pliez mais vous ne pouvez pas me plier. Alors amenez moi au peuplier. Attachez moi comme une bagnarde et abandonnez moi à la nuit et aux monstres." Y'a toujours eu une telle poésie entre nous.Je n'avais pas le droit de parler la plupart du temps alors chaque mot devait être très évocateur. Il devait y avoir une galaxie dans chacun d'eux prête à imploser. J’espère avoir été à la hauteur. A la hauteur de vos bassesses... Mes pensées se bousculent... Ou en étais je ? Oui. Je voulais exprimer ma reconnaissance. J'ai toujours été fan d'épouvante et je me nourris du monde qu'une fois assaillie par une profonde terreur. Alors, vraiment, toute ma reconnaissance pour ce joli voyage. Aujourd’hui j'en suis certaine : je ne suis pas monogame. J'ai besoin de me nourrir de trop choses, de trop de monde pour arriver à l'être. Mais vraiment toute ma gratitude pour ce joli voyage. Votre petite tapette préférée. Lettre à adresser aux vent et à l'oubli.
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Par : le 22/05/20
Le terme BDSM est généralement employé pour décrire les comportements d'échange de pouvoir et l'utilisation de douleur dans un contexte sexuel. Antérieurement appelé simplement SM, le sigle BDSM est plus couramment utilisé aujourd'hui pour une meilleure représentativité de la diversité des pratiques. Ce dernier inclut trois composantes distinctes du jeu de pouvoir: le bondage/discipline (BD), la domination/soumission et le sadomasochisme (SM). Le BD représente une combinaison entre la restriction de mouvement et la punition ou encore le contrôle du partenaire. Le jeu de Ds renvoie à la domination et à la soumission et représente l'échange de pouvoir ou de contrôle érotique d'un partenaire à un autre, sans nécessairement inclure la douleur physique. La composante SM, c'est-à-dire sadomasochiste, fait référence à l'érotisation de la douleur. Même si peu de chercheurs ont étudié la communauté BDSM, ceux qui l'ont fait, sont unanimes: un peu partout dans le monde se trouvent des communautés dynamiques et structurées qui regroupent des centaines de personnes pratiquant le BDSM. La communauté BDSM est un lieu de rassemblement pour les personnes ayant un intérêt pour le BDSM, mais peu d'auteurs s'entendent sur une définition claire de ces pratiques. On identifie généralement cinq composantes qui sont essentielles à tout ce qui réfère au BDSM: l' apparence d'une relation de domination et de soumission; un jeu de rôle; un consentement à participer au jeu; un contexte sexuel; une définition mutuelle que l'activité constitue une pratique BDSM. De très nombreux discours présentent le BDSM comme une simple variation à la sexualité et établissent des normes pour rendre les pratiques saines, sécuritaires et consensuelles, tandis que d'autres écrits tentent d'opposer le BDSM à la sexualité non-BDSM (qualifiée de vanille dans le milieu BDSM) et le présentent comme une identité transgressive. Les auteurs comparent cette vague d'écrits à une étape de transgression essentielle dans l'acquisition d'une citoyenneté sexuelle. Les évènements sociaux seraient une occasion d'afficher son propre style de comportements BDSM devant autrui; les soirées ont également une fonction sociale, c' est-à-dire qu'elles permettent aux personnes ayant des intérêts similaires de se rejoindre pour interagir sur des sujets liés au BDSM. Le statut d'un membre dans la communauté est tributaire de son expérience, son niveau de sécurité. Son implication dans le groupe et sa pratique des jeux nécessitant de l'entraînement, du talent et de la pratique. Il semble que les communautés soient autosuffisantes en termes d'éducation et de prévention. Les membres des communautés BDSM à travers le monde basent leurs pratiques sur le crédo "Sane, safe and consensual", qui signifie que toutes les pratiques se doivent d'êtres saines, d'être sécuritaires, saines et consensuelles. L'accent est mis sur la communication, la négociation et le consentement égalitaires et honnêtes, puisque dans tout jeu, la confiance mutuelle est fondamentale et les limites et préférences des partenaires doivent être respectées. La participation forcée n'est pas acceptée dans la culture BDSM; seule l'illusion que les individus sont victimes de coercition est permise. L'accord sur les différentes normes et valeurs de la communauté serait un moyen de diminuer les risques liés aux pratiques. La notion de sécurité dans la communauté BDSM n'est pas seulement une question de technique, mais aussi de principe. Ce principe est le socle de toute relation BDSM, qui l'utilise pour se dissocier de la criminalité et de la maladie mentale. Dans les relations et mises en scène BDSM, la négociation est à la base du consentement. Les partenaires s'entendent sur les pratiques qui auront lieu pendant une séance et discutent des limites de chacun. Ils utilisent un mot de sécurité en anglais, le safeword, pour aviser le partenaire dominant qu'il approche ou a dépassé une limite. Certaines personnes dominantes testent les limites de la personne soumise et se permettent occasionnellement de repousser la limite qui avait été négociée lorsqu'ils connaissent l'autre personne. Cette transgression n'est pas perçue comme une violation; le fait de repousser les limites ajoute alors un sentiment d'authenticité et de réalisme à la scène et plusieurs soumis apprécient cette incartade. Dans de telles circonstances, la négociation des mots de sécurité, par exemple "jaune" pour ralentir et "rouge" pour arrêter, devient primordiale. Le respect de la sécurité est fondamental. Les pratiques BDSM expriment la volonté de présenter une alternative à la sexualité traditionnelle dans une exploration des différentes dimensions du corps humain en termes de sensualité et d'émotions, l'occasion d'une opportunité pour une forme de spiritualité en utilisant le corps. Lors d'une séance, le but est de débuter le jeu de manière douce pour ensuite augmenter graduellement la fréquence et la force des coups donnés, entrecoupé de massages ou de caresses. Certaines séances revêtent un caractère exclusivement physique tandis que d'autres incluent un aspect psychologique, mais l'orgasme n'en est pas nécessairement la finalité. Selon l'opininon générale, les pratiques BDSM devienent sexuellement excitantes pour les partenaires ou éveillent leur désir de s'engager dans de telles relations. Il y a aussi une motivation exhibitionniste à jouer en public; certains trouvent que le regard des autres augmente leur excitation, tandis que d'autres apprécient la reconnaissance et les compliments qui suivent une séance. Même si la plupart des donjons ne présentent pas de règlements contre l'activité sexuelle, l'activité coïtale ou la recherche d'orgasme exclusivement sexuel est rare. Le coït est trop personnel pour être effectué en public ou parfois, il consiste principalement en la culmination de la soirée. Souvent, le lieu n'est pas approprié ou structuré pour permettre de telles pratiques, mais lorsque ces dernières surviennent, elles se font normalement dans un couple établi et rarement entre deux personnes qui viennent de se rencontrer. Que ce soit en public ou en privé, le coït ou la stimulation sexuelle menant à l'orgasme ne fait pas régulièrement partie de la vie sexuelle des partenaires, en particulier chez le couple Dominante/soumis. Toutefois, la recherche de la jouissance sexuelle reste ultimement présente dans ce type de relation. Sommes-nous fous, pervers, au moins irresponsables ? En fait, pas vraiment: les personnes qui pratiquent le BDSM sont plus extraverties, moins névrosées, plus ouvertes aux expériences nouvelles, plus conscientes, plus épanouies intimement que les autres. Ces désirs ne sont d’ailleurs aujourd’hui plus considérés, médicalement, comme des pathologies. Et si certains adeptes trouvent leur satisfaction dans l’abandon d’une partie de leur contrôle, quitte à se transformer en véritables jouets sexuels, d’autres apprécient l’aspect élitiste de ces fantasmes. Pour d’autres encore, le monde du BDSM permet l’expression d’un amour sans faille et d’une confiance totale. C’est paradoxalement en usant de masques, en ritualisant et en théâtralisant l’échange, que deux partenaires ont la possibilité, dans une relation SM saine, de pimenter leur sexualité, en réalisant une part de leurs désirs inconscients informulés et de s’affirmer comme personnes à part entière, consentantes et responsables. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 22/05/20
Je t'imagine dormir Et mon esprit s'égare Aux limites interdites L'envie de te respirer De mon fondre en toi Me tiraille l'âme Sentir tes sens S'éveiller à la douceur De mes caresses Découvrir ton corps Avec émerveillement Du bout de mes doigts Lentement, timidement Tout en effleurement Ne pas t'effaroucher Goûter ta féminité Avec le recueillement D'un acte sacré T'offrir dans un écrin Des sensations divines Extases indicibles Seulement t'aimer Tout en volupté Face à toi, abdiquer Je t'imagine dormir Et mon esprit s'égare En ce doux fantasme. Le 21 05 2020 Fiction
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Par : le 22/05/20
Voilà, nous y sommes, l'histoire N° 100 sur bdsm.fr. Je ne pensais pas arriver jusque là. Écrire est un plaisir. Il suffit de commencer, une première histoire, un premier personnage, et cela vient seul, c'est magique. Ce qui est intéressant, c'est de poser un thème, une question et de laisser une sorte d'alchimie opérer seule. Pour cette histoire N° 100, la question que je me pose c'est le mystère des affinités. reprenons nos personnages. Pam et Joe. Pourquoi ont ils eu ces affinités depuis le début et ce pour aller jusqu'au mariage. Écrire c'est regarder vivre les personnages générés par le récit. Ils vivent leurs vies, indépendantes de l'auteur qui ne fait que prêter ses doigts pour les retranscrire du mieux qu'il peut. Pam et Joe ont rejoint leur base dans un coin de désert perdu. Ils ont repri leurs recherches pour l'armée sur les implants cérébraux. Pam fait toujours l'amour à califourchon, bien fichée sur la bite tendue de son homme et c'est toujours elle qui conduit l'acte. Elle pisse toujours debout. Ado, elle croyait être une FTM. Une garçonne manquée? L'exploration de ses mémoires akashiques vient de lui donner un nouvel éclairage. Son époux a eu une très bonne idée de lui offrir comme cadeau de mariage ces plongées, avec Akhor comme guide expérimenté, dans ses vies antérieures. Elle comprend mieux pourquoi elle est amoureuse de Joe. il se connaissaient déjà, avant même de naitre. .Dans grand nombre de ses vies antérieures, Pam a été dans l'armée, souvent comme officier, souvent mort(e) très jeune au combat et presque toujours en homme. Elle appartient à la caste des guerriers.Le sacrifice de sa vie ne lui pose jamais de problèmes, elle fonce tête la première. Elle est de ceux ou celles qui, lorsqu'on demande des volontaires, avancent toujours d'un pas. Elle a rencontré Joe depuis longtemps, très longtemps. Il se sont aimés déjà. Joe appartient à la caste des princes, des nobles, ceux qui ne respectent rien et doivent subir les conséquences au niveau du karma. Ce qui explique son handicap de départ dans cette vie actuelle. Joe a souvent été en femme dans ses vies passées. C'est comme cela qu'il se sont aimés. Le jeune officier qui devient l'amant d'une noble sensuelle et passionnée. Le jeune officier qui joute avec panache pour se faire remarquer de sa belle. -Tu sais, Pam, cette étrange impression de déjà vu ressentie par tous les deux , à notre première rencontre., c'est vraiment comme si nous nous sommes toujours connu. C'est si simple et naturel entre nous. -Oui, comme un très vieux couple, répond Pam, un vieux couple sur des millénaires. Sauf que, dans nos vies antérieures, nos retrouvailles, c'était toujours moi l'homme et toi la femme, à l'inverse d'aujourd'hui. J'ai du mal à ne pas avoir un beau pénis entre les jambes. J'en ai beaucoup souffert quand j'étais ado et que ma poitrine poussait. -Être une femme c'est ta récompense, c'est pour que cette vie ci soit plaisir et jouissance pour toi. Tu n'as pas pu t'empêcher d’être de nouveau militaire et tu es vraiment magnifique en femme officier. Moi j'ai du faire le con et je dois payer. Je suis presque né estropié. ' -La belle et la bête, dit Pam en riant. Et avec tes recherches c 'est reparti pour de nouvelles emmerdes avec ton karma. Le dernier Terminator est vraiment effrayant. -Oui, un monstre avec neuf ogives nucléaires tactiques, un 20mm rotatif à munitions conventionnelles explosives, un laser hyper fréquence, le vol dronique longue distance, la furtivité...il peut raser Beijing ou Teheran en quelques secondes. Tu as raison, en coopérant à la réalisation de ce Terminator, j'arrange vraiment pas mon karma. Mais bon, nous sommes des militaires. -Je me suis fait très souvent trouer la peau dans mes vies antérieures, mais cela semble avoir bonifié mon karma, dit Pam. Cela me donne envie, de me faire trouer autre chose de plus ludique. Elle éclate de rire. Joe regarde sa femme et l'empoigne d'un coup sec.Il l'embrasse..lui aussi a une grosse envie. Pam se laisse faire et se retourne.C'est toujours elle qui prend les initiatives en amour. Elle se cambre et frotte ses fesses contre la bosse du pantalon de son homme. Joe la déculotte aussitôt et lui administre une féssée monumentale. Pam en bon soldat ne bronche pas. Elle a le cul bien rouge et visiblement elle adore. -Tu sais, dès que je t'ai vue, j'ai eu envie de te sodomiser. Tu as des fesses incroyablement fermes et bombées. Il se baisse et lui lèche la rondelle. Il la mouille bien avec sa langue. Puis il l'embroche d'un coup. Pam hurle. Joe est au fond et ne bouge plus. Il sait qu'il faut laisser passer la douleur. Puis il commence le va et vient. Pam se cambre. Elle ne tarde pas à jouir. Joe lui empoigne la chatte sans ménagement. Sa femme ruisselle, elle couine, elle se tortille puis s'embroche d'elle même jusqu'à la garde. -Mais tu y prend goût ma chérie. Tu crois pas que tu était un peu gay dans tes vies passées pour baiser aussi bien par derrière. C'est ta première sodomie et tu es déjà experte. Pam ne dit plus rien. Elle explose un superbe orgasme anal dans un long râle. Son corps se tétanise. son anus se contracte. Joe est prit au piège. Ils sont de nouveau soudés.Cela fait rire Joe. Il embrasse sa femme dans le cou. -Cool bébé, relax. Profite de ta vie de femme. D'après Tirésias tu as 9 fois plus de plaisir que moi. Détends toi, j'ai encore envie. Et Pam se détend, elle s'ouvre de nouveau et Joe reprend sa séance de marteau niqueur. C'est beau l'amour conjugal sur des millénaires. Je comprends mieux en écrivant cette histoire pourquoi les Dieux envient nos existences de mortels.
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Par : le 22/05/20
Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina. Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on usera et abusera, juste rien ! Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent son sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte. Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie. Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale. La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants. « Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant « Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traite avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent. Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté. Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché. Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel. Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie. Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina. -
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Par : le 21/05/20
Navrée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue je suis partie mettre mes gants. Pour être dans l'ambiance .. j'ai écrit sur Hooverphonic, mad About you, la version philarmonique *************************************************************************************************** « Monsieur, je vous convie demain soir, une demoiselle qui souhaite s’occuper de vous ». Le message envoyé, je n’attendais plus que sa réponse en espérant qu’il soit disponible. A mon tour de le surprendre." « Avec Grand plaisir Ma Demoiselle ». J’étais toute guillerette. L’orage allait éclater. J’aimais cette sensation quand les nuages s’assombrissent, que le vent commencent à se lever. D’aller me détendre sur le lit à laisser mon esprit s’égarer. La pluie commençait alors à s’abattre. Le bruit sur le velux légèrement entre-ouvert , la brise venait jusqu’à mon visage m’apporter les odeurs humides de la verdure. Cette puissante déferlante. Je pensais alors à notre dernière soirée. Je passais ma main sur mon cou, m’imaginant les siennes. Je dansais de désir, à l’avoir, le ressentir, le respirer. Il me rendait complètement folle. Je saisissais mes seins en imaginant ses mains sur moi. J’avais encore sa chemise qu’il avait laissé la dernière fois imprégnée de son odeur. J’étais folle de lui. Je fermais les yeux pour apercevoir son sourire. Ma main se dirigeait alors vers mon entre-jambe. Mon sexe était alors tout humide. Je passais délicatement la pulpe de mon majeur sur mon clitoris, telle la légèreté d’une plume. L’orage grondait comme mon désir pour lui. Je me caressais, me disant de ne pas céder à cette tentation. Créer cette frustration pour attendre de plus haut sommet, mais là, non je me masturbais. J’introduisais quelques doigts dans ma chatte déjà si humide. La mouille recouvrait mes doigts. J’en avais de partout. Je pinçais mes lèvres en pensant à nos ébats les plus interdits. Quand il me disait des mots crus, quand il m’embrassait, quand il me souriait, quand il me sodomisait, quand il m’attachait. Une symbiose inexplicable. Cette relation ne pouvait exister sans sentiment. Avant je cherchais un homme pour être dans les conventions. Cela ne m’avait pas réussi. Je voulais écouter mes désirs si longtemps refoulés. Rien n’est simple. Le libertinage est pour moi, la liberté de vivre sa vie comme on l’entend, de s’extraire des conventions. Je ne voulais pas de ce carcan qu’on nous impose en tant que femme. Le chemin tracé de vivre à deux, se marier, à acheter une maison avoir des enfants et tout ce qui va avec. J e n’ai jamais ressenti tout cela je me sentais toujours différente. Je ne supportais plus ces questions.. êtes vous mariée ? des enfants ? que faites vous dans la vie ? tous ces stérotypes pour entrer dans des cases comme si cela nous résumait. Dire qu’on ne veut pas d’enfant, qu’on ne recherche pas le mariage mais qu’on veut une relation avec juste sincérité et transparence ? Je vois toujours autours de moi tant que personnes emprisonnées dans une vie qui ne leur convient pas. La dure réalité. J’ai cette chance d’avoir cette liberté. Lui, avait su m’apprivoiser. J’avais tant eu l’habitude de faire fuir les hommes pour voir jusqu’où ils tiennent à vouloir me connaître et non me posséder. L’homme de mes rêves.. l’homme de mes réalités. Il était mon élixir de plaisir. Nous étions heureux avant de nous rencontrer, ensemble nous avons la création de cette alchimie ne peut exister sans les éléments.. Comme l’eau .. hydrogène et oxygène. Mon cœur battait de plus en plus, je sentais le sang affluant au niveau de mon clitoris. Mes doigts se frayaient un chemin de haut en bas sur mes lèvres, caressant ensuite ma douce auréole. Je planais de ma masturbation. La jouissance montait. J’étais sur le dos, les jambes pliées. J’avais un mal terrible à me caresser même devant lui. Mais seule, j’arrivais à me donner du plaisir. J’imaginais ses mots au creux de mon oreille. J’aimais être ce tout à la fois, femme-enfant, femme-fatale, chienne, amante. « Monsieur, le plaisir que je viens de prendre à me caresser en pensant à vous à été si intense, que je vous le rendrai demain. » « Petite coquine, j’espère bien que vous me rendrez ce plaisir.. je vais peut être vous punir d’avoir oser prendre ce plaisir sans m’avoir demandé d’y participer . J’ai hâte de vous voir demain. » Je préparais une soirée sous le signe de la détente, une ambiance sensuelle, érotique. J’avais pris soin d’éclairer la maison avec des bougies de partout. De nombreux photophores disposés un peu partout, dans les escaliers, dans la chambre.. partout. Sur le sol j’avais déposé un chemin de pétales de roses pour lui indiquer le chemin jusqu’à ma chambre, là où il me trouverait. J’étais alors en train de choisir ce que je porterais ce soir. Je décidais de mettre un loup noir en dentelle. Je mis alors une culotte ouverte donnant l’accès à mes parties les plus intimes, toute de dentelle. Je mis un harnais léger encadrant mes seins avec une légère dentelle. J’avais préparé mon lit. J’avais déposé des draps de satin bordeaux d’une douceur incomparable. J’avais préparé tout ce qu’il fallait pour que Monsieur soit au petit soin. Du champagne, des framboises.. tout ce qu’il faut ensuite pour que je m’occupe de lui. J’avais jeté sur le lit des roses blanches. J’adorais les pétales de roses. J’aimais les passer sur mes lèvres. C’était si sensuel si doux. J’avais préparer mon vase avec mes plumes d’autruche. Une était verte olive. Elle s’était cassée de mon éventail géant que j’utilisais pour mes effeuillages. Je préparais alors l’huile de massage. Ce soir je voulais le rendre .. fou… Quand il arriva, j’entendais ses pas. J’étais alors en position à genou sur le lit, les bras en avant, telle une chatte prête à bondir. Masquée de mon loup et gantée. Il était là à l’entrée de ma chambre. - Quelle délicieuse surprise vous me faîtes, ma panthère ». Je mis alors un doigt sur ma bouche pour lui dire de se taire. Et je lui indiquais le fauteuil crapaud bleu de ma chambre. Je descendais du lit très félinement à quatre pattes. M’approchant de lui. Je lui ecartais alors les jambes pour m’introduire entre elle. Je remontais vers sa bouche en frottant mon buste contre lui. - Bonsoir Monsieur, dis je en lui souriant. - Bonsoir.. Mademoiselle. - Comment s’est passée votre journée ? - Elle a été des plus fatiguantes, plein de soucis et de litiges à gérer. - Oh je vois.. Je prie alors possession de ses lèvre. Il se laissait faire tout en ayant ce sourire qui en disait long. - Puis- je vous servir un verre ? - Humm avec grand plaisir j’en ai besoin. J’allais lui chercher une coupe de champagne que je lui tendis. Je m’agenouillais à ses pieds. Puis avec un regard espiègle je saisis alors la coupe de champagne de sa main pour en boire une gorgée. - Laissez moi vous déchausser. Je le regardais alors droit dans les yeux avec ce sourire en coin. Il me dévorait alors du regard. Il caressa alors ma joue. - Petite vilaine ! me souriait il. Une à une je lui enlevais les chaussures. Je le regardais pour enlever avec élégance mes gants. J’avais préparé une bassine d’eau chaude. Je lui enlevais alors son pantalon en lin beige. J’entrepris alors de lui faire un bain de pied. Un moment de détente pour ce qui allait suivre. - Hum, c’est si divin… de voir ma petite chatte s’occupait si bien de moi. - C’est que vous m’avez inspiré, lui répondais-je avec sensualité. J’essuyais méticuleusement en étant à genou ses pieds. Je déposais alors la bassine sur le coté. Avec tendresse, je lui baissais les pieds. Je les léchais ensuite sur les mollets tout en le massant, l’embrassant pour marquer mon territoire. J’arrivais à hauteur de son entrejambe… Avec mes dents je me saisis alors de son caleçon tout en le regardant félinement. - Hum.. non pas maintenant je crois Monsieur.. Je remontais encore, un à un en commençant par le bas, je défis les boutons de ma chemise. Quand soudain, il saisit mes poignets. Il les tenait fermement et embrassa mes mains les portant contre son visage. Puis il me laissa continuer. J’arrivais à hauteur de son cou. Je posais alors mes mains sur son torse. Je le griffais légèrement pour ensuite le débarrasser de sa chemise. Je saisis alors sa bouche avec une de mes mains et je l’embrassais. Je me relevais alors d’un seul cou. Je lui saisis alors la main. - Venez. Mettez vous nu sur le ventre Ici. Je lui indiquai alors le milieu du lit. Une ambiance Hooverphonic de Mad About , la version philarmonique. oui je vous la recommande là maintenant.. Elle allait le bercer, tout comme mes mains et mon corps. Je lui bandais alors les yeux. Je commençais alors par jouer de mes plumes sur le corps. Je voyais sa peau réagir, frissonner. D’abord par les jambes, les cuisses pour remonter sur le dos Je pris alors l’huile que j’avais chauffée pour la faire perler sur son peau. Je commençais alors mon massage par les pieds pour remonter ainsi les jambes et les cuisses. Chaque jambe l’une après l’autre. J’aimais masser au son de la musique, mes mains dansaient sur son corps. J’aimais sentir ses tensions s’apaiser sous mes doigts Entendre ses gémissements. Quand j’arrivais à ses fesses. J’en pris pleine possession. Je restais alors très professionnelle dans mon massage. J’avais appris à masser. Je savais comment faire. - Tu es une déesse ! j’en avais besoin. Je le sentais se détendre, lâcher prise, comme il savait aussi me faire lâcher prise. Je remontais alors jusqu’à la tête passant mes doigts dans mes cheveux et utilisant savamment les points de pressions. Il prenait ce moment de détente. J’aimais le ressentir aussi ainsi, apaisé. Puis, doucement le massage se transforma en quelque chose de plus érotique à aller vers le tantrisme. Je le massais alors avec mes seins, je jouais avec la douceur de ma joue contre son dos. Ma bouche s’emparait de ses épaules partant à la conquête de son coup. Je retournais alors ma chevelure pour la mettre contre lui puis descendre jusqu’à ses fesses. Une danse de sensualité, de désir qu’il m’avait inspiré. Je sentais alors doucement son désir pointé quand il bougeait alors ses fesses. Il ne tenait plus. C’est là qu’il se retourna. Je lui saisit alors les poignets - Non Monsieur, laissez vous faire ! Je le vis sourire. - Soit Mademoiselle, je vous laisse les rennes encore un peu.. Je prie alors une rose. Je m’amusais à la mettre en pétale que je fis tomber telle une pluie sur son torse. A sa réaction il devait se demandait ce que je faisais. Je me plaquais alors contre lui. J’étais à califourchon. - Vous me rendez folle, le savez-vous ? - Non.. dites le moi encore.. et encore… - Vous me rendez folle mon cher.. Hier soir je me caressais en pensant à votre imagination, vos doigts en moi, à votre queue, à mon envie d’être à vos pieds, à être votre essence et que vous soyez mon élixir de plaisir.. Je descendais alors ma langue sur son torse pour aller vers son sexe. Je le pris alors dans ma main. Je le caressais. Il était déjà dur, vigoureux. Doucement je le branlais. -Hum.. petite chatte…. Petite chienne. Je m’apparais alors avec ma bouche de son sexe. Tout doucement je commençais à lécher tout autours pour le rendre fou comme il s’amusait parfois avec moi. Puis je léchais ses couilles.. je passais ma langue entre son anus et elles.. ça le rendait complètement fou, et moi il me faisait perdre pieds. J’adorais tant le sucer ! une telle friandise. Puis le sentant prêt à être cueillis, je pris sa queue en entier dans ma bouche. Avec délectation, j’avais les commandes à le lécher comme si j’avais la meilleure des glaces. Je sortais ma langue pour bien l’apprécier. Puis soudainement je sentis ses mains se poser sur ma tête. - Voilà, garde la bien en bouche… IL retira alors son bandeau et me regarda. Puis il commença doucement à donner des mouvements de vas et vient. Je me relevais alors avec un grand sourire puis je le rejettais sur le lit. - Non.. non Monsieur, dis je avec une pointe de défiance. Je m’empalais alors sur lui comme une amazone qui voulait vaincre le guerrier. Il prit alors possession de mes seins. Très fortement. Il les gifla plusieurs fois alors que je me baisais avec sa queue. Mes mains étaient sur l’arrière. Sa queue était au plus profond je faisais des mouvement d’avant en arrière puis je mis mes mains sur son torse. C’est là qu’il m’agrippa le dos et pris le contrôle. - Petite chienne.. hummm… - Oh oui Monsieur, baisez moi ! On s’embrassait alors fougueusement. Il me prit et me jeta sur le flanc. IL releva ma cuisse et s’engouffra à nouveau dans ma chatte. Il tenait alors mon cou bien serré. Je défaillais. Il me baisait si fortement continuant à me gifler. - Ma petite salope ! - Tiens.. tiens…. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait tellement il me culbutait avec force et passion. Comme une poupée il me mit alors sur le ventre. -Je me cambrais pour l'appeler. Avec sa main, il introduisit alors un doigt dans mon cul. Puis un second. - Ahhhhh… ahhhh… je pinçais mes lèvres. Il mit sa queue pour m’enculer. Pour ne pas m’emtendre il mit sa main sur ma bouche. Je ne pouvais rien dire. Je sentais chaque coup, fort encore et encore.. si fort comme si il voulait me transpercer me montrer que seul lui pouvait me prendre ainsi. Il claquait alors mes fesses - Putain ce cul ! j’aime tant l’éclater. Tu aimes ça ? - Oui.. j’adore quand vous m’enculez ! Il s’était mis alors debout sur le lit. Je mettais alors ma tête contre le lit et je lui exposais mon fion. Je me sentais prise comme une petite putain, sauvagement et j’adorais ça. J’adorais qu’il soit animal. Tout en m’enculant il posa son pied sur mon cou. Il pouvait faire ce qu’il voulait, car aucun jugement, juste envie de se posséder l’un l’autre. Il attrapa les attaches de mon lit et m’attacha les chevilles au lit pour les écarter. Il mis un oreiller ssous le ventre. - Tu sais ce qui va se passer ? - Non.. Monsieur. - Je vais te doigter, t’écarter et puis je verrai tout ce qui rentre ! Je rougis. - Allez dis moi que tu le veux. - Oui.. Monsieur, mes trous sont à votre disposition. Il saisit alors mon huile de massage. Il commença alors à m’enduire le corps . il me massait. Ses gestes laissaient aussi une empreinte je voulais qu’il s’occupe de mon entre-jambe. Il me rendait la pareille ! Il me griffa tout le corps. J’étais ainsi huillée, glissante et bien sur toute trempée. Il massa chacune de mes cuisses puis remonta vers mes feses. Là il commença par bien les claquer. Je me dandinais encore plus les fesses. Il les malaxait pour ensuite mieux m’ouvrir et regarder mon sexe et mon fion. Puis il me fessa encore et encore et s’amusa entre temps à prendre ma température. - Hum.. êtes vous suffisamment chaude pour que j’enfourre un thermomètre ? - Hum.. je crois oui Monsieur.. - Voyons ça. Il mit alors ses doigts dans ma bouche. - Allez mouille les bien ! Puis il commenca par mettre un doigt. Je gémis.. c’était si bon.. Il en introduisa un second… Puis de son autre main il en mit un troisième puis un quatrième. Il écartela ainsi mon petit trou. - Je compte bien te découvrir de partout ! - Oh ce cul ouvert… C’est là qu’il prit ma chatte tout en me doigtant le cul.. - Oh c’est si bon !! Je gémissais encore plus. Cette sensation était si excitante. D’avoir le cul rempli, la chatte toute autant. Il introduisa alors 4 doigts d’une même main en la tenant bien droite. - Cambre toi Je n’y arrivais pas. Tout en prenant l’assaut de mon fion, il me caressait le clitoris. - Voilà tout doux… Je sentais mon fion céder doucement.. - Voilà, montre moi comment tu t’ouvres.. - Cinq doigts ma chienne.. cinq doigt. Il commençait alors à faire des va et vient.. - J’ai hate d’y fourrer tout mon poing pour te baiser comme tu le mérites. Je gémissais entre douleur et plaisir. Il continuait alors à me caressait le clitoris. Ca me rendait complètement folle, j’en pouvais plus ! - Je.. viens… je viens… Je n’arrivais plus à me contenir… Il mit sa main sur ma bouche - Jouis ma petite chatte ! J’étais emportée par cette vague. Que d’étranges ressentis. Il me détacha. Je me retournais. Je le regardais. Il me prit les bras et les attacha au dessus de ma tête. Il revient quelques instant plus tard. Il s’assit alors sur mon torse. Il saisit alors mes seins et les pinça bien fortement. Il les tourna. Ca avait le don de m’exciter. Il prit alors une rose et la passa alors sur mon visage, il jouait avec moi comme j’avais joué avec lui. Il prit alors sa main et me serra la bouche. Il m’embrasse, je lui souriais.. il me gifla.. Puis me gifla de l’autre. Il serra mes seins, sa queue était entre. Il avait ses mains sur mon coup il m’étranglait sensuellement. Il me pénétra la bouche avec sa queue. Il s’était relevé ne me laissant aucune possibilité à me baiser, à me faire une gorge profonde. Je bougeais tellement son assaut était virulant. Puis il s’assit sur moi. - Leche !!! - Leche moi bien. Il jouait avec ses fesses pour que je passe ma langues entre ses couilles et son petit anus. Il s’amusa à me le poser sur la bouche pour que je le lèche comme il se doit. Ce que j’avais pu trouver répugnant dans le passé avec lui, il me rendait folle à faire des choses que je n’aurai imaginer et à prendre un plaisir parce que c’était lui Plus rien n’était vulgaire avec lui car je savais que j’étais sa princesse. - Humm… qu’est ce que j’aime quand tu me lèches ainsi ! Il s’était posé alors sur ma bouche, il me tenait par les cheveux. - Regarde moi ! - Que tu es bandante comme ça ! Il se releva et éjacula alors sur mes seins. Il posa ensuite sa tête sur mon bas ventre, me laissant ainsi attachée. Il était encore comme moi sur mon nuage. Il se leva pour aller se laver . - A mon tour de te nettoyer, mais ne compte pas pour que je te détache. Il avait pris un gant de toilette. Il nettoya mes seins ainsi que mon entrejambe. - Hum prête pour une future utilisation. Je dansais allongée sur la musique pour appeler mon loup. Ma poitrine se soulevait, imprégner par mon désir brulant à son égard. J’en voulais encore et encore. J’aimais être à sa merci ainsi. Il ouvrit mon armoire chinoise où se trouve nos objets de jeux. Il en sortit le gag ball. Il me le fixa. - Hum, te voilà complètement prise aux pièges ! - Tu es sublime avec ce loup, ma louve… ce regard cerclé de noir.. ton regard est des plus intenses. Il m’embrassait alors tout le corps. Il me léchait, me massait, me mordaient. Ma tête se renversait à étouffer mes gémissements dans le bâillon. Quand il malaxait mes seins tout en me doigtant, j’étais aux anges. Quand il m’enserrait le cou, je ne m’appartenais plus. L’abandon.. encore et encore. Se sentir dans une telle confiance pour aller toujours plus loin. Ce soir là il ne cessait de partir à l’assaut de mon désir.. et du sien.
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Par : le 21/05/20
La beauté de l'endroit semblait subjuger Charlotte. C'était une vaste cave voûtée aux murs de pierres apparentes. Des cierges ornaient chacun des angles, pendant que les flammes des longues bougies blanches tremblaient sur l'or des pierres centenaires en faisant surgir des ombres sinueuses et menaçantes; l'endroit paraissait avoir été conçu depuis la nuit des temps pour le plaisir et la souffrance, pour les rites les plus secrets, les messes noires et autres rituels sataniques. La lumière mordorée teintait sa peau, son corps nu se colorant de poudre d'or. Juliette lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes aux murs de pierre. Elle saisit ensuite ses poignets, qu'elle écarta en croix, comme ses cuisses, les emprisonnant dans des bracelets d'argent pendus à des fers fixés exactement à la clé de voûte. Charlotte désirait être fouettée, s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît, sa Maîtresse. Juliette commença par me caresser. Elle savait qu'en faisant cela, elle me donnait une chance de me faire oublier ma faute. Elle s'empara d'un martinet et commença à me travailler le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses des lanières avec des coups cruels et violents. Plus elle frappait fort et plus je m'offrais. Je n'éprouvais qu'un pincement aigu au moment où mes seins furent brutalement saisis par des pinces, puis je sentis les pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant. Chacun des mouvements que je faisais alors amplifait le balancement des pinces, provoquant une sensation effrayante d'arrachement. Je me souviens de ce moment précis où je fus mise à quatre pattes sur le sol au milieu de la cave. Juliette dont j'étais désormais l'esclave d'un soir fixa d'autres pinces sur les lèvres de mon sexe, en dessous de mon clitoris. Tout mon corps se balançait de façon obscène, tenaillé entre deux douleurs, partagée entre le désir de faire cesser mes souffrances et celui d'en augmenter l'intensité par mes balancements, pour satisfaire Juliette et mériter son pardon. J'observais avec orgueil la rotation des poids suspendus aux pinces attachées à mes seins, de droite à gauche et de gauche à droite. La douleur devenait intolérable, mais je devenais la spectatrice de cette douleur. Je souffrais, mais je dominais cette souffrance: le plaisir qui naissait en moi la dépassait, la stigmatisait. Pour marquer sa satisfaction, Juliette me désigna la croix de saint André où je fus attachée dans une position d'extrème écartèlement. Un inconnu s'approcha de moi, comme si je devenais digne de son intérêt. Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent écarquiller les yeux. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusquà ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche. Je me livrai au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré. Juliette me dit soudainement: - J'aimerais te fouetter jusqu'au sang. Je lui répondis que je lui appartenais. Dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient celles d'une tombe, l'inconnu me contemplait silencieusement et je m'aperçus qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles; Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse. Lorsque la pointe fut excitée, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt après, la seconde dans le mamelon du sein qui n'avait pas été caressé. D'autres aiguilles furent plantées tout autour des aréoles, quelques gouttes de sang vinrent ternir le métal que la lueur d'une ampoule faisait jusque-là scintiller. Mon martyre devint délicieux. Ainsi, j'étais devenue l'objet de plaisir de cette femme et de cet homme. Juliette parut subitement échauffée: elle s'approcha de moi et de me libéra de la croix de saint André. Avant même que je puisse savourer ce répit, on me porta sur une table où je fus allongée et solidement attachée. Je fus alors fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée comme une chose muette et offerte. L'inconnu qui violentait mes reins se retira brusquement pour forcer ma bouche. L'homme semblait apprécier et s'enfonçait dans ma gorge pendant que je le couvrais de salive; Juliette se plaça derrière moi et plongea ses doigts dans mon vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement ma vulve, remonta sur mon anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur ma croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Les lèvres forcées par le glaive charnel, je dus me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses. J’introduisis tant bien que mal un doigt dans la moiteur de ma voie la plus étroite pendant que Juliette continuait de me fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus"; je répondis d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant maintenant l'intérieur de mes cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière moi: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Je m’exécutais docilement alors qu’elle forçait mon anus en écartant mes fesses de ses doigts pour faciliter mon intoduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était des plus humiliantes; j'étais partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant. Mais ce ne furent que les préliminaires. Juliette me relèva en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache, j’enjambai maladroitement l'inconnu et m’accroupis dos à lui, tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Juliette maintint le sexe à la verticale et me força à descendre dessus en tirant sur mon collier. Ma croupe s’écrasa sur la pointe saillante; tous les invités se regroupèrent autour de la scène et je pus voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches; alors que je m'efforçai de garder l’équilibre, l'homme força à m’empaler sur son sexe; je tentai de résister, mais en vain; son membre surdimensionné défonça mes reins, distendant lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit, tout mon corps était perlé de sueur. Je luttais pour ne pas jouir; les invités nous regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle que j'offrais, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Juliette se dénuda alors et commença à se caresser tout en me fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de moi, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées; juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans mon ventre et irradia tout mon corps; parcourue de spasmes, je jouis en silence tout en éjaculant au visage de Juliette; mes jambes vacillèrent mais l'inconnu me tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais mon anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse; on entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour me regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir; plus loin un homme qui se masturbait en m'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Juliette, s’essuya le visage du revers de la main et lècha ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un sourire narquois. On m'ordonna de me mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave; une cravache noir me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un véritable rugissement; la rigidité du cuir enflammait mes reins et mon dos; les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir; une fois la fulgurante jouissance dissipée, j'osai implorer leur pitié; je venais de rompre le charme. Ils décidèrent de me faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Je fus à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ce que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Juliette qui m'installa. J'étais en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte, prête à être investie. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, ma bouche servant d'écrin; au même moment, un autre utilisait mon vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement mes reins, qui comme la totalité de mon corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qui se passait autour de moi. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra ma croupe; mon ventre se liquéfia. J'étais prise, on ravageait mes reins meurtris; épuisée, quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur mes épaules, l'homme se décolla de moi comme l'animal après la saillie. Après m'avoir conduite à la salle de bain où l'on me doucha, on me conduisit dans la chambre tapissée de toile de Jouy où je m'endormis. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/05/20
Polo aime les femmes. Il a commencé à les niquer à douze ans et depuis, il arrête pas. Il tringle tout ce qui passe et porte une jupe. Il aime pas les femmes en pantalons. Les jupes c'est mieux. Pas de jupe encore mieux et pas de culotte c'est le top. C'est plus rapide pour baiser n'importe où, n'importe quand. Polo faut qu'il tringle. Ce qu'il préfère ce sont les femmes pneumatiques, celles qui rebondissent un peu sous la pénétration. Ce sont les plus jouissives, surtout avec une chatte bien tonique. il adore tringler des cyclistes aux culs bien bombés. C'est comme cela qu'il a rencontré Elisa, la plus pneumatique de toutes. Et il a fini par épouser Elisa pour l'avoir dans son lit tous les soirs. Sauf que Polo, dès qu'un joli cul de meuf passe, faut qu'il tourne la tête. Si en plus elle est en jupe courte et jambes nues, il faut qu'il piste, comme un chien de chasse. Et les meufs aiment montrer leurs culs aux bons pisteurs, aux fins connaisseurs, qui savent apprécier les jolies choses. Et polo a fait de Lou sa maîtresse. Un petit cul bien pneumatique et bien serré. Et Polo a découché. Elisa a râlé: -tu découches Polo. Tu as une Maîtresse. -Non, non, juste je bosse beaucoup. Elisa n'a eu aucun mal a piéger son Polo. Elle a débarqué dans le petit appart de Lou et foutu des baffes à la pelle. Polo ne savait plus où se mettre. C'est que quand Elisa cogne, il sait qu'il ne fait pas le poids. -Toi tu files à la maison, il y a la vaisselle et la lessive qui t'attendent. Et pense à frotter les sols. Et polo a vite filé de peur de s'en prendre d'autres en pleine poire. Elisa est restée avec lou qui ne la menait pas large. -C'est vrai que tu as un joli petit cul et de beaux seins, toi. Et Elisa s'est déshabillée et a fait l'amour à Lou qui a jouit bien plus fort qu'avec Polo. Elles sont rentrées toutes les deux bras dessus bras dessous, amoureuses. Polo lavait les sols. Elisa lui a foutu un coup de pied dans le cul en visant bien juste. Il a couiné fort. -là, tu as oublié, c'est encore sale! Et Polo s'est vite activité. Il a quand même reçu une torgnole bien liftée pour ne pas se bouger assez vite. Elisa et Lou sont montées dans la chambre et elles ont baisé toute la nuit. Polo lui a du se contenter du canapé.
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Par : le 21/05/20
Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina. Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on use et abuse, juste rien ! Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent sont sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte. Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie. Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale. La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants. « Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant « Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traité avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent. Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté. Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché. Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel. Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie. Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina.
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Par : le 21/05/20
-Paré pour le vol dronique mon Général? -Oui, tout est ok, ceintures bouclées, commandes activées. Go. Destiination, le Poteau Mitan d'Aghor. -Voilà, c'est paramétré. Go Le 4x4 transformers décolle doucement, puis il accélère d'un coup en direction du nord ouest, dans les lueurs fauves du soleil couchant. Le jeune couple part pour sa première nuit de noces vers une destination pour le moins étrange. -c'est mon cadeau de noces Pam, j'espère que cela te fera plaisir. Pam ne répond pas, elle rêve en regardant le soleil disparaitre derrières les montagnes enneigées du Wyoming.. -Aghor c'est le nom de code d'un sorcier aux pouvoirs étranges. Au début on croyait que c'était du bluff, qu'il y avait un truc, mais non, Aghor a des dons spéciaux. La CIA, la Nasa, le NSD, tous ont eu recours à ses services pour résoudre des cas complètement hors normes. Et Aghor a trouvé des solutions. Depuis qu'il a été pris au sérieux, il vit dans une vallée reculée, il est ouvertement polygame et chasse librement. Tout le monde autour a pour consignes de lui foutre la paix, à commencer par le shérif et tous les politiques locaux. Il est au paradis, avec ses 4 épouses et ses 6 bambins. C'est lui que nous allons voir ce soir. Il nous attend. Tiens, regarde, c'est la bas, sur la gauche. le 4x4 transformé en drone se pose facilement sur une esplanade réservée. Ce qui saute de suite aux yeux, c'est le Poteau Mitan, un splendide totem entouré de quelques tentes colorées. Aghor et ses 4 splendides épouses viennent les accueillir. Pam est heureuse de se trouver là, entourée de montagnes enneigées, sur cette colline isolée au milieu d'une vallée verdoyante. Une tente confortable pour leur nuit de noce, un excellent repas et un feu de bois. Tout est parfait, trop parfait? Cela a dérapé après avoir fumé cet infect calumet bien chargé. -Putain vous y avez mis quoi dans ce calumet, des crottes de bison séchées? Pam s'est mise à tousser et à recracher cette horrible fumée. -Ben moi, je le trouve bon ce calumet, a dit Joe. Aghor lui n'a rien dit, pour cause, il est déjà en transe, les yeux révulsés. - C'est une séance de shoot, c'est cela ton cadeau de noce a dit Pam encore en train de tousser. - patience bébé, cela arrive, prépare toi à la plongée dans tes mémoires akashiques. C'est venu d'un coup. Pam s'est allongée, détendue, apaisée. Joe a posé une couverture sur elle. Elle a glissé, glissé, un gouffre sans fin. Je ne vais pas raconter la suite de cette histoire, je préfère vous laisser l'imaginer. Lorsque Pam s'est reveillée le lendemain, le soleil était déjà haut dans le ciel. Une des épouse d'Aghor lui a apporté un grand bol de café en souriant. Joe a prit sa femme dans ses bras. -Alors bébé, on part explorer ses vies antérieures. Pam caresse son front encore brûlant. -C'est complètement fou ce ....comment dire....voyage? Mais où est Aghor? -Il est déjà parti chasser. Il a dit qu'il te fallait une bonne viande rôtie pour te remettre, avec des herbes amères dont il a le secret. -Génial, c'est vrai que j'ai faim. Je n'avais vraiment aucune idée de l'existence de ces anales où tout est conservé. Mais tu sais....le présent c'est bien. Joe et Pam sont resté plus d'une semaine chez Aghor et ses femmes. Pam est devenue une experte en plongée. ce n'est pas du subspace mais bien autre chose de plus mystérieux encore, où il faut un bon guide pour s'aventurer et Aghor est bien le meilleur. Et lorsque Pam "voyage", de retour, elle n'a qu'une envie c'est de coucher joe sur le dos, lui baisser le pantalon et s'embrocher à califourchon sur son sexe tendu. Et de faire venir les vagues de plaisir jusqu'au tsunami final.
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Par : le 20/05/20
Je suis navrée pour les fautes commises non corrigées. Le violoncelle est si difficile comme instrument, il m'a complètement ensorcellée… J'ai trouvé cette photo sur ce site, j'avoue l'avoir piquée mais elle reste une des plus belles que j'ai pu voir. Le violoncelle étant mon instrument de musique favori.. J'ai été très inspirée aujourd'hui. ************************************************************************************************** Me voilà assiste sur mon canapé, j’écoute Nicola Porpula, Salve Regina in fa maggiore. Les musiques sacrées ont toujours eu cette grâce divine dont la voix des anges me transpercent. Je suis en train d’écrire comme la frénésie que ces notes me procurent un peu comme sur un clavier de piano. Je ne m’appartiens plus.. J’écris.. encore et encore. Il y a toujours eu ce compositeur qui pour moi a été touché par la grâce. Un prête un peu défroqué. Un homme capable de vous faire vibrer sur les quatre saisons tout au long de l’année. Vivaldi était un génie. La musique baroque a toujours fait partie de ma vie. Elle m’apaise tant. Voulez-vous me toucher un peu? je m'expose. Là, maintenant. J’en écoute, mon cœur s’envole, mon esprit s’égare, divague un peu comme une mélodie dont le flot traverse mon âme pour me cueillir à son passage. Elle peut me faire pleurer de beauté, de bonheur. J’en frisonne. La musique est comme un vêtement. La choisir en fonction de notre envie, de notre humeur. De la même manière que vous choisissez votre vêtement, le parfum, un éclairage.. tout a son importance. Le sens du détail. Certains n’y voient rien, dépourvue de toute intelligence émotionnelle, sans aucune saveur à vivre dans la simplicité. Parfois je les envies. Parfois, je me dis que mon hypersensibilité est ma bénédiction comme ma croix. Voir, ressentir ce que d’autres ne peuvent ressentir. Cette sensation pour les autres que je passe la barre haute. Il faut apprendre à jouer, à étudier, à comprendre, à vibrer et à respecter. La musique est un art impalpable capable de nous toucher et d’être partager dans tout le monde sans avoir à bouger ou à être dans un musée. Une seule musique et le lieu où vous êtes change. La vie c’est la manière dont on regarde les choses. Je me préparais pour le week end à ses côtés. La musique m’accompagnait. Je courais dans l’escalier de son immeuble. Mon cœur battait, j’étais essoufflée. Je voulais me jeter dans ses bras, me perdre, me retrouver. Quand il ouvrit la porte, j’entrais. Tout de suite, je tombais à ses pieds. Je lui avais demandé pour aujourd’hui s’il était possible d’être dans une ambiance baroque, j’en avais besoin. Il m’avait écouté. Philippe Jarousky.. mon chanteur favori. Un homme que j’ai eu la chance de rencontrer. Sa musique forcement me touche quand on se rend compte que l’artiste dégage tant de choses. Je l’avais rencontre à deux reprises. La première fois où je l’avais écouté. A baden Baden. Il a l’art de rendre la musique accessible, à même provoquer du rire sur scène. Oui la musique classique est aussi de la joie et du rire loin des carcans que certains se donnent. J’étais là à ses genoux. Je posais ma tête contre sa main. - C’est si bon de vous voir. Je n’en pouvais plus. - Il est bon de vous voir ma muse. - Puis-je aller me changer ? - Oui bien sur. J’avais décidé pour notre soirée de porter un sublime déshabillé de soie violette dont les manches longues arrivaient jusqu’à mes genoux. Il y avait de la dentelle noire. Il se fermait à la taille avec une ceinture intégrée. J’aimais le contact de la soie sur ma peau. Je sortais alors de la chambre. L’ambiance était feutrée. Le son du clavecin, du violoncelle donnait une ambiance impalpable, comme si nous étions transportés dans un autre temps. Je me plaçais alors à genoux sur mon cousin au centre de son salon. Je disposais mon déshabillé en corolle. Ma tête était baissée. Mes mais dans le dos. Je l’attendais. Je sentis alors le son de ses bas. Il était derrière moi, il effleura ma chevelure. Il tournait autour de moi. Il posa sa main sous mon menton et ma tête vers lui. On se regardait droit dans les yeux. Il descendait alors son autre mains sur mon sein droit. Il franchissait la douceur de la soie. Je vibrais. Quand il en prenait possession avec cette fermeté. Il m’embrassait en même temps, faisant ensuite de même avec le second. J’étais alors contre lui. Il travaillait mes seins à travers le tissus. Les malaxant, les sous pesant, tirant sur mes tétons avec ce que la soie lui permettait comme mouvement. Puis il rebaissa ma tête. Il partit se servir un verre et s’asseoir face à moi. Il m’observait. - Le violet est une couleur qui vous va à ravir. Vous êtes intemporelle. Vous me surprenez à chaque fois. - Levez vous et venez vers moi. Avec délicatesse je me levais pour aller à lui. J’étais debout face à lui. Il effleura alors mes jambes comme s’il touchait une toile dans la plus grande douceur voulant s’imprégner de mon essence. Il arriva jusqu’à la ceinture de mon déshabillé. Il me regardait dans les yeux tout en tirant dessus. Le nœud cédait. - Voilà qui est mieux… Mettez vos seins dehors. - Asseyez vous à mes pieds, je vous prie. - Tendez vos mains. Il prit une gorgée de son verre et le déposa dans mes mains. - Baissez votre tête et tenez mieux mon verre ! - Quand je vous vois ainsi, j’ai terriblement envie de vous punir. - Je.. - Ne dites rien je vous prie. Je ne vous pas vous entendre aujourd’hui. Vous allez subir, je vais vous donner, vous punir, vous prendre. Il se leva et défit mon déshabillé pour le faire tomber à mes fesses. Il parcourait ainsi ma cicatrice, elle faisait toute la longueur de mon dos. Il commença par me mordre dans le cou puis à m’embrasser avec passion tout en m’étranglant. Je gémissais. Il s’était levé. Je ne bougeais pas. Il me saisit les cheveux. Les peigna de ses mains. Il m’attacha alors les cheveux. Je sentais que notre séance, si je puis dire allait être différente. Quand je sentis alors le bout de la cravache sur mon dos, je sentis qu’il avait été sérieux. J’avais besoin que mes tensions soient apaisées. Il commença a cravacher mon dos. Les coups me faisaient du bien. La sensation n’était pas comme d’habitude. J’en avais envie. Ce besoin d’être punie comme il le disait. Il alternait douceur et fermeté. Je sentais les coups de cravache m’apportait cette douleur. Quand il stoppa, l’apaisement. - Vous voir ainsi tout à moi, à ma disposition. Vous aurez quelques marques. Celle de mon affection. Le bois du plancher craquait sur ses pas. Il était revenu avec un collier. - Il est tant ma chère, de vous sertir d’un collier. Votre cou est si délicat. J’aime votre port de tête. Vous serez sublime avec, quand je vous tiendrez à la laisse, vous faisant la plus belle des chiennes. Je me sentais si réservée quand il me complimentait ainsi. Une fois le collier mis en place, je le touchais. Il saisit alors les poignets. - A moi.. vous êtes à moi.. J’entendis alors le cliquetis du mousquetons de la laisse. Il alla s’asseoir et m’attira alors à lui. - Défaites moi je vous prie dit il en tenant la cravache. Doucement, j’enlevais ses chaussures, ses chaussettes., sa ceinture. Je déboutonnais son pantalon. Il m’aida à le glisser tout comme son caleçon. Il tenait fermement sa queue dans sa main. IL m’approcha alors en tirant sur la laisse à l’orée de son gland. Je le regardais avec dévotion. - Sortez votre langue. J’allais commencer à lécher. - Non.. je ne vous ai pas autoriser à lécher. Il tira alors sur la laisse et me maintenait la tête ainsi. Il mit alors ses deux mains sur ma tête et me pénétra sauvagement la bouche. - Hum.. ma petite chienne. Puis il me rejeta la tête au sol. Mes jambes étaient contre mes cuisses. Il posa alors son pied sur mon cou. - Qu’est ce que vous êtes ? - Je suis.. votre chienne.. Monsieur. - Oui, ma chienne. Il me fit alors marcher pour monter sur sa table. - Redressez vous. J’étais assise à genou face à lui. La chaine de ma laisse tomber entre mes seins. J’étais nue. Il me saisit alors par la bouche me forçant à ouvrir la bouche. IL y mis ses doigts. Il me scrutait l’intérieur de ma bouche. Il faisait des va et vient jusqu’au fond de ma gorge. Je le regardait avec des yeux soumis à ses envies. Dès que je l’ai regardé, il me gifla. Il recaressa ma joue.. je fermais les yeux. En les ouvrant et le regardant il me gifla une seconde fois. Je soupirais. Il me ressaisit par la gorge. - Tenez vous droite petite putain. - Donnez moi un chiffre entre 1 et 5. - 3, monsieur. Je souriais il me regarda à nouveau. Il me gifla sur la joue gauche. - 1. Commença t il à compter - 2 - 3. - Humm.. murmurai je. - Cela vous pose un problème. - Non.. Monsieur. - 4.. pour votre insolence. Avec sa main animale à me tenir le visage il me maintenait droite. Il s’approcha pour prendre possession de ma bouche. Je pinçais mes lèvres. Je le regardais droit dans les yeux comme une bonne petite chienne soumise attendant encore plus d’affection. Il saisit alors mes tétons . Il les pinça et les tourna. Je râlais de plaisir. Il tournait encore plus fort. Je baisais les yeux. - Regardez moi. Je soulevais ma poitrine encore plus fort tout en le regardant. Je supportais ses supplices pour mon éducation. Il les relacha puis recommenca. Tout en me regardant il gifla mon sein gauche.. Je prenais une respiration. Je haletai. Puis il gifla le sein droit. Il recommença. Je pinçais mes lèvres. Il y allais de plus en plus fort. - Taisez vous ! Puis il ressaisit mes tétons pour à nouveau les tourner. - Vous avez un problème dit il en tirant sur mes seins. - Non.. Monsieur murmurai je. Je le regardais apeurée mais demandeuse. - Qu’est ce que vous êtes ? - Je suis votre chienne Monsieur. - Mais encore ! - Je suis bonne à me faire fourrer la chatte, le cul et la bouche Monsieur. J’ai besoin d’être éduquée, dressée pour mon bien être. Je mérite tout ce que vous m’apportez. Il me gifla alors la joue et m’embrassa. Il saisit le gag ball. - Ouvrez votre bouche de putain. - Serrez. Une fois mis en place, Il se remit sur le canapé. il tira sur la laisse pour m’amener à lui. - Aimez vous la queue ? - Oui.. répondais je maladroitement, ma voix étouffée par le gag ball. - Ah oui vous aimez la queue. - Hum hum.. - Celle là ? me montra t il en tenant la sienne entre ses mains. - Hum hum - A quatre pattes ! - Donnez moi la cravache, dépêchez vous ! C’est là qu’il commença a me fesser les fesses. Il se leva et appuya sur ma tête. Je mettais mes avant bras contre la table. La cravache s’abattait encore et encore. Parfois il me caressait pour stopper le feu. Il tenait en même temps la laisse dans sa main. Il l’avait bien enroulé pour me faire comprendre combien il me tenait en laisse. Comment il était le Maître. IL passait la cravache entre mes fesses - Hum des fesses bien rouges ! - Avancez d’un pas - Allez.. Il tapotait alors sur ma petite chatte. Il posa alors devant moi un gode. - Maintenant vous allez sucer comme une bonne pute. Il appuya sur mon dos pour me faire comprendre que je devais bien l’avaler. - Je veux que vous le preniez bien profondément comme vous le faites avec ma queue. - Voilà C’est ça… Il tourna autours de moi et alla s’asseoir. - Regardez moi ! - Appliquez vous ! Il appuya sur ma tête pour me faire comprendre le rythme à avoir - Sucez !! - Voilà.. gardez là au fond de votre gorge de putain. - Humm.. vous bavez … Il releva ma tête et me regarda. Il me caressa la joue. Me gifla. Il tira sur ma queue de cheval et me remit en position. - Sucez ! Il me redressa nouveau en tirant par la queue de cheval et m’embrassa. - Déplacez le gode et mettez le dans votre chatte. Il se leva et me tenait bien fermement. - En haut. - En bas.. - En Haut - En bas Je suivais le rythme qui m’imposait. - Quelle bonne petite putain. Il se rassit en tenant la laisse et la cravache entre ses mains. Il me motivait en cravachant mes seins. - Voilà au fond maintenant. - Hummm… - Baisez vous.. allez.. baisez vous. - Oh… oh… - Baissez vous plus ! bien au fond !! Il me cravachait… - Cambrez vous. Il saisit ma gorge et me parlait. - Humm.. il est bon de vous voir ainsi empalez à vous baisez comme une chienne en chaleur. - Ohhhhhh… ohhhhhh…. Il me dévorait des yeux J’avais mes mains sur mes chevilles, je jouais avec le gode qui était dans ma chatte. Il veillait, m’éduquait. IL observait. Il me laissait alors ainsi en train de me baiser. - Je n’ai pas dit de vous arrêter ! - - Ohhhh… ohhh…. - Bonne chienne ! Il me gifla. - Vous faîtes trop de bruit. Il glissa alors sa queue dans ma bouche.. - Voilà qui est bien mieux. Il aimait posséder ma bouche. A nouveau avec frénésie il empoignait ma tête pour me prendre. Il glissait sa main sous ma gorge comme pour mieux m’utiliser. Quand il se retira, il me fit descendre de la table. Je marchais a ses cotés à quatre pattes. Il corrigeait ma démarche pour que je me cambre plus. Avec la cravache il me montra le cousin. - Ici. - Plus vite allez ! Je me retrouvais là à attendre ses ordres, haletante. Il s’agenouilla face à moi. Il prit ma tête entre ses mains et m’embrassa si tendrement. Il me fit comprendre de baisser ma tête puis il me fit comprendre que je devais me mettre sur le dos. - Relevez vos jambes je vous pris et écartez les biens. Il se mit au dessus de moi. Il saisit alors mes fesses et les releva. J’étais ainsi en chandelle. - Votre cul est une invitation au crime. Vous êtes une sublime chandelle qui apporte la chaleur à cette pièce. Il saisit alors une bougie. Doucement, il faisait couler la cire sur ma chatte mes fesses et mon auréole. Il le faisait en étant debout. Je ne ressentais alors que chaleur et plaisir. Tout était des plus supportable. Avec douceur avec la pulpe de ses doigts, il retirait la cire qui moulaient les lèvres de mon sexe. Il lécha ensuite ma chatte et commença à me doigter. Il allait profondément, à me rendre complètement folle.. -Ahhhhhhh… ahhhhh. Il y a allait frénétiquement, je n’arrivais à me contenir. Il m’achevait en aspirant mon clitoris. Puis il inséra un doigt dans mon cul et l’autre dans ma chatte. Un savant cocktail pour me faire défaillir. - Ohh.. Monsieur.. Encore .. Encore. - Vous aimez en avoir de partout petite catin. - Oui.. Monsieur j’aime quand vous me doigter de partout. - Je veux vous voir jouir, en mettre partout, douce fontaine à laquelle j’ai envie de m’abreuver. - Qu’est ce que vous mouillez. Regardez, j’en ai plein les doigts ! - Vous me rendez folle Monsieur. Vous me rendez si chienne. Il enfonça a nouveau ses doigts pour me faire couler fortement. Je sentis alors le liquide jaillir de ma chatte. - Humm.. voilà… - Tenez ! prenez bien ça…. Petite pute ! allez lâchez vous. Je jouissais au son de cette musique interne qui me faisait voyager dans les chemins pervers. J’entendis alors à nouveau les doux sons de la musique baroque quand il prit possession de mon cul sans aucun ménagement. Il était assis sur moi à me besogner comme la petite catin que j’étais. J’adorais cela. Me sentir prise de cette manière avec tant d’intensité. Mon loup était comme un fauve à lâcher les rennes, à conquérir mon cul. Il écarta alors mes fesses pour entrer tout doucement et ressortir. Je sentais la pression de ses mains sur mon fessiers. IL en profitait pour me claquer les fesses. Il m’enculait comme j’aimais. IL écartelait mon petit anus. Je le sentais serré, tenir sa queue comme pour le garder en moi. Ma jouissance m’avait rendue complètement docile et malléable à tout ce qu’il voulait. Il était le musicien j’étais sa partition. C’était lui qui me lisait, me jouait, me faisait jouer, me faisait chanter. Il jouit en me regardant sur mon anus. - Merci Monsieur de m’honorer autant. - Ne bougez pas, rester ainsi que je vous admire , vous ainsi si chiennement installée. Quand il revint, il me mit un bandeau sur les yeux. - Ecoutez juste la musique, laissez vous transporter me chuchota il . Il avait mis du Bach.. La Dolce Fiamma.. la douce Flamme.. tout un symbole. Je reconnais Philippe Jarrousky. Il savait comment non pas m’emmener au sommet mais vers ce paradis perdu qu’est le notre. Il s’était accroupi pour me murmurer cela au creux de l’oreille en tenant ma tête. Il avait son visage face au mien, tête à l’envers. Il déposa un baiser. Il fit glisser un bandeau en satin sur mes yeux pour m’ôter la vue. - Vous m’inspirez tant de choses m’avoua t il. - J’ai tellement envie de prendre soin de vous, comme ensuite vous faire subir les pires sévices. Votre regard, votre bouche.. vous tout simplement. Vous méritez tout cela. Avec soin, il fit la toilette de mon petit anus qu’il avait souillé. - Voilà ma petite chienne toute propre. Il mis mon déshabillé autours de ma taille afin qu’il tombe de manière négligé autours de moi. - Ma chienne dans la soie. - Ouvrez votre bouche. Il y glissa quelque chose de rond et métallique. Je reconnu ce que c’était. - Voilà, trempez le bien. Gardez le bien en bouche. Puis avec douceur, il me releva en le laissant dans ma bouche. - A genou… voilà… parfait. - De la tenue ! écartez moi vos cuisses. Je corrigeai naturellement ma posture. Je sentis alors qu’il passait des cordes au niveau de mes cuisses. - Relevez votre taille, sil vous plait. Je sentais alors son torse contre mon dos. J’aimais ce contact, cette chaleur. Je devinais durant quelques secondes qu'il me respirait. Il m’encordait alors les cuisses et les jambes ensemble . Sa passion artistique pour le Shibari lui donnait une vision esthétique à faire des tableaux. Ensuite il passait la corde au niveau de ma taille pour me faire comme une culotte en corde. Il serra bien. - Ecartez bien vos fesses pour me présenter votre anus. J’agrippais alors mes fesses et j’écartais au mieux mes fesses. Il prit alors le crochet anal et le mit à l’entrée de mon auréole. Naturelllement, je sentis que je devais alors m’empaler dessus. Je devinais qu’il le regardait disparaître dans mon anus. Il l’attacha alors à mon collier pour tendre la corde. - Votre anus est si délicat. On a envie qu’il reste si serré et j’ai tellement envie de le défoncer, de l’agrandir pour qu’il soit si béant. Ma douce chienne. Je souris en pinçant mes lèvres. J’aimais quand il pouvait faire preuve de douceur et à la fois être aussi cru. Je ne prenais pas cela pour de la vulgarité. Dans ces moments là, pas du tout. Il me respectait. Nous nous étions simplement trouvé. - Donnez moi votre main je vous prie. Il était face à moi. Il la saisit. Il l’encordait. Il avait saisi je devinais un petit escabeau. Il montait dessus et fixa alors ma main à un crochet fixé au plafond. Ma main était tendu au dessus de ma tête, attachée. Il saisit alors les cordes de ma taille. Ils fit partir les bout pour les attacher à ma main.. Je me demandais ce qu’il était en train de faire. Je ne faisais que ressentir. Ma poitrine se soulevait . Toujours aucun mot échangé. Soudain il me parcourait avec quelque chose de si doux dans le dos. J’en avais la cher de poule. Au bout de quelques minutes, cette douceur s’était transformée en quelque chose d’humide. IL dessinait alors sur ma peau au creux de mon dos juste au dessus de mes salières de vénus. Il m’était compliqué de deviner ce qu’il faisait, je me laissais complètement oublier, à vivre ce érotisme si intense. On ne se parlait pas on ressentait. La musique me transportait. La manière dont il m’encordait me berçait. Et là il me dessinait comme un compositeur écrit sa musique sur sa partition. Il m’abandonna ainsi. Je me sentais complètement à nue. Impuissante. Et pourtant je le sentais il était là. Soudain, il prit ma main libre. Il la tendait. Nos doigts s’entrecroisaient. Il était devant moi. Je sentais son souffle dans le creux de mon épaule. Il ôta alors mon bandeau. La pièce était éclairée uniquement à la bougie. Il prit alors sa télécommande de musique et choisi une musique. Je reconnais Brookyn Duo.. la musique de Nothing Else Matter. J’entendis alors les premières notes du son du piano.. des notes graves, simples. Il prit alors la badine dans sa main… Il jouait de mon corps sur les sons de la musique quand le violoncelle jouait.. Puis il mis alors la badine dans ma main. Il la plaça. - J’ai trouvé mon instrument de musique pour jouer ma partition. Je le regardais alors en pleurant. Comment pouvons nous appelez cela ? un état d’esprit fusionnel ? Il commença alors à me photographier Il me servit un verre. - Je veux t’immortaliser. Tu es juste si magnifique. Il reposa ensuite l’appareil à mes pieds pour se blottir contre moi puis posa alors sa tête sur mes jambes, enveloppé à moité dans mon déshabillé de soie. Abandonné.
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Par : le 20/05/20
L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte; il lui semblait sacrilège que sa maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand les lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage; elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent; elle sentit durcir et se dresser le membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu la quitta d'un brusque arrachement et lui aussi cria. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taile. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler; c'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée; elle s'approcha d'elle, la coucha sur un lit, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Charlotte ne sentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne, son corps partait à la dérive. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. Elle fut mise à nue et attachée sur la croix de Saint André. Elle reconnut immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put connaître le visage des autres invités de cette soirée mémorable. Elle découvrit ainsi que Laurence était une superbe jeune femme brune aux yeux clairs, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait; elle fut mise à nouveau dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses orifices ouverts, Xavier exhibait devant elle son sexe congestionné qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais Xavier, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu; ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Laurence dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut annoncé à son grand soulagement. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/05/20
Pam est toujours plantée à califourchon sur le sexe gonflé de désir de Joe qui a croisé ses mains derrière sa tête. Il est bien détendu, allongé sur les très confortables fauteuils couchettes du 4x4 transformers. Il allume un havane et fume paisiblement par les fenêtres grandes ouvertes. Il connait Pam, il sait qu'il faut lui laisser le temps de savourer tranquillement son dépucelage. La Capitaine possède un extraordinaire cerveau algorithmique. Alors Joe sait que cela va être long, très long. Mais il est bien, avec cette femme divinement belle enfoncée sur sa bite tendue. Il respire en tirant sur son gros cigare. Pam est en train d'effectuer une première mondiale. Pratiquer un coït hétérosexuel avec des implants nanocellulaires qui permettent d'explorer les deux sexualités, celle de l'homme et celle de la femme. Elle a un accès direct aux deux. Elle peut être les deux. Et donc elle aussi, prend tout son temps. Elle laisse les orgasmes qui se succèdent passer comme de grosses vagues. Son cerveau tourne à une vitesse stupéfiante. Les implants sont des multiplicateurs vertigineux de ses capacités intellectuelles. Elle explore le protocole de Tirésias. Dans la mythologie grecque Tirésias (en grec ancien ????????? / Teiresías) est un devin aveugle, un des plus célèbres. Une des "versions sur l'origine des dons de Tirésias nous vient d'Ovide. Alors que Tirésias se promenait en forêt, il troubla de son bâton l'accouplement de deux serpents. Aussitôt, il fut transformé en femme. Tirésias resta sous cette apparence pendant sept ans. La huitième année, il revit les mêmes serpents s'accoupler. "Si quand on vous blesse, votre pouvoir est assez grand pour changer la nature de votre ennemi, je vais vous frapper une seconde fois." Et, ainsi, Tirésias redevint un homme.. Quand Zeus prétendit que la femme prenait plus de plaisir que l'homme à l'acte sexuel et que son épouse Héra prétendit le contraire, les dieux demandèrent l'avis de Tirésias qui avait l'expérience des deux sexes. Tirésias se rangea de l'avis de Zeus. Il expliqua que si le plaisir de l'acte sexuel était divisé en dix parts, la femme en prendrait neuf alors que l'homme n'en prendrait qu'une. Et Héra, « plus offensée qu'il ne convenait de l'être pour un sujet aussi léger, condamna les yeux de son juge à des ténèbres éternelles ». Zeus ne pouvait aller à l'encontre de la décision d'Héra, alors, pour compenser sa cécité, il offrit à Tirésias le don de divination et une vie longue de sept générations". Et Pam confirme tout cela, son sexe est bien plus complexe et innervé, bien plus capable de plaisir que celui, plus rustique et primaire de Joe. Oui, les femmes peuvent avoir bien plus de plaisir que les hommes en faisant l'amour. Là pour l'instant elle bloque complètement l'éjaculation de Joe, pour lui garder la bite bien tendue et explorer toutes les formes de plaisirs par la pénétration. Joe fume toujours paisiblement. Il semble comme absent. Pam se sent vraiment libre de faire comme elle veut. Putain que c'est bon tous ces orgasmes qui se suivent. Allez, à présent qu'elle a tout assimilé, elle veut déclencher le big one, le méga tsunami. Joe a arrêté de fumer. Il s'accroche des deux mains aux deux seins en obus de sa femme, cela va exploser sous peu. Les contractions vaginales s'accèlerent. Joe lâche son foutre. Pam se tétanise. La vague est si intense qu'elle ne peut plus bouger. Une onde choc qui fait vibrer le 4x4 transformers qui pèse plus de deux tonnes. Une chose incroyable. Des milliardaires vont être prêts à payer des sommes colossales pour essayer le cyberorgasme. Mais l'armée n'en aura rien à foutre. Pam s'effondre sur Joe et s'endort d'un coup, comme un mec. Et Joe fait de même. Son sexe reste toutefois tendu à l'intérieur du vagin tétanisé de sa femme. Il est "collé". Il va falloir laisser du temps pour que tout se détende et s'appaise, qu'il puisse sortir. C'est le soir, ils sont toujours au milieu du champs de Maïs. Joe a préparé un bon café et ils le dégustent sans un mot. Puis Pam dit: -C'est Ok, tu es le meilleur baiseur de l'Arizona. J’accepte de t'épouser. Tu sais que l'armée nous permet de le faire sans tarder et comme tu es le plus gradé, c'est à toi de présider. Joe sort deux belles alliances en acier. -Tout juste sorties des forges d'Alan, un des bricos de génie de la base. Elles sont pleines de gadgets utiles et invisibles. tu as la notice dans ton cerveau. Allez je commence. Bla Bla, les voeux, bla bla les promesses, je vous déclare unis par les liens du mariage, bla bla bisous bisous. Le droïde du 4x4 vient de tout enregistrer, c'est un témoin officiel. J'envoie le PV de mariage au commandant de la base. C'est fait. Madame la Générale a quelque chose à dire? -Oui, j'ai une putain d'envie de pisser. -Moi aussi. Et ils sortent arroser les maïs. Pam pisse debout, comme les égyptiennes de l'antiquité. C'est très amusant et très érotique. -Tu sais quoi, dit Joe. On va partir en vol dronique et on enverra une photo au canard du coin. Avec la mention: "encore des crops circles dans des champs de maîs."
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Par : le 18/05/20
"Mes porteurs se sont écartés du mur et je me suis trouvée soulevée par deux puissants vérins en même temps. Un fantasme actif, qui alimentait depuis longtemps mes séances de masturbation, à savoir que j’était entraînée par deux inconnus dans un hall d’immeuble obscur et que, me prenant en sandwich, ils m’empalaient ensemble, l’un par le con, l’autre par le cul, trouvait ainsi une consistance dans une ambiance opaque où les images fabriquées dans mon cerveau et la réalité s’interpénétraient mollement." Catherine Millet. "La vie sexuelle." On a amplement décrit le "nouvel ordre sexuel" qui nous gouverne, des ouvrages documentés, font bien le point sur l’invasion inédite du sexe dans notre société de consommation: de l’érotisation soft de l’environnement quotidien aux expressions pornographiques les plus hard en passant par la publicité sexy envahissante et les reality shows télévisés racoleurs. Le caractère banalisé, surexposé du sexe, inséparable de l’escalade de la représentation de la violence est un phénomène inédit qui tient d’abord au système médiatique tout-puissant dans lequel nous vivons. Bien daté, le temps des obscurités fascinantes de l’univers libertin clandestin aux relents de soufre, avec ses mises en scène sophistiquées marquant la proximité du plaisir, du secret dans les orgies où corps souillés et orgasmes mystiques exigeaient pseudonymes et autres masques. L’érotisme de masse, dans sa caractéristique majeure de jouissance à montrer, s’avère désormais un mode d’expression privilégié pour aborder la littérature érotique. Au diable Casanova, Laclos, Mirabeau ou Sade et tous les autres, qu'ils reposent en paix. La pornographie a dépouillé l’érotisme de son contenu artistique en privilégiant l’organique et le spirituel sur le mental et la chair sur l'Éros. L’exploration du domaine du sexuel est revendiquée par des auteurs féminins comme un instrument d’émancipation majeur avec, souvent, une visée sociale, voire même des effets purificateurs d’autothérapie; pour plusieurs de ces femmes écrivains, le thème de la sexualité, constituant la matière des récits, touche l’essence même de la littérature dans son ambition de cerner la vérité d’un réel au-delà des apparences; il s’agit d’écrire un texte destiné à établir une vérité, la vérité d’un être singulier bien sûr. Cette érotique féminine s’exprime évidemment dans des tonalités très singulières: intellectuelle et distancée avec Catherine Millet; cérébrale avec Anne F. Garréta; passionnelle, mais résolument sans lyrisme avec Annie Ernaux; hyperlibérée avec Catherine Cusset; sensuelle avec Alina Reyes; dépressive avec Catherine Breillat ; exaltée avec Christine Angot. Qu’ont en commun, ces textes qui définissent un érotisme nouveau ? Foncièrement d’exposer, sans états d’âme et sans fioritures, ce qui relève du plus intime de l’univers sexuel: un vif antiromantisme, un antisentimentalisme s’imposent comme traits dominants; si, pour Bataille, l’interdit et la transgression sont la condition même de l’érotisme, la recherche du plaisir s’affiche ici dans un univers mental et social où les limites tendent à être abolies. Une sexualité affranchie des tabous, c’est le moins à quoi on puisse s’attendre venant d’une littérature érotique; il n’est pas surprenant que toute la panoplie des pratiques inventées depuis la nuit des temps et soutenues par des fantasmes éternels se trouve convoquée; avec, certes, des configurations dominantes et exposées au grand jour, compte tenu de l’évolution structurale que connaît notre univers plus pervers que névrotique. Mais, encore une fois, ce qui sollicite le questionnement est d’abord le traitement collectif de ces discours; la médiatisation de l’éros, phénomène jusqu’ici jamais rencontré, s’accompagne d’une certaine désaffectivation, comme si le même sillon que creusaient tous ces écrits consistait à faire une littérature démystifiant le sexe, en le banalisant, en le désacralisant, en le naturalisant ou en le simplifiant. D'autant plus que l’érotisme apparaît désormais comme un terme marchand et consumériste; la sexualité se réduit à une simple gymnastique, alors que le cerveau demeure le principal organe érotique et orgasmique; cette évolution le prive de sa force originelle, de son histoire culturelle, de sa capacité à rendre compte de la richesse imaginative de l’être humain, enfin de son inventivité concernant ses désirs, ses plaisirs, son rapport au corps. L’obsession du nombre pour Catherine Millet est en soi un indicateur de la logique propre à la société de consommation: multiplicité des partenaires et enchaînement des étreintes; la rationalité appliquée à l’éros conduit à mettre sur le même plan, plaisir et travail bien fait; tandis qu’A. Garréta, qui s’impose d’écrire ses souvenirs comme un exercice, par ordre alphabétique, se définit elle-même comme un fonctionnaire du désir conceptualisé en douze "nuits." L’intérêt de ces écrits n’est pas tant en effet de montrer comment l’érotisme triomphe de la répression sociale que de suggérer une illustration du fonctionnement de l’être-objet pour chacun des partenaires, ce qui suppose une véritable subversion de la conception de l’objet; Catherine Millet décrit là, l’expérience intérieure de l’érotisme selon Bataille, où la dimension d’abjection de la jouissance est saisie sans récupération romantique, sans la moindre idéalisation. C’est un fond déshumanisé, opaque et angoissant, où s’articulent le non-sens et le sexuel dans certains écrits féminins contemporains dans la filiation de Sade et de Bataille; leur vérité cynique permet de dépasser tout moralisme, y compris un certain préjugé humaniste qui voudrait maintenir une réserve de subjectivité en ce point ultime où le sexe n’est plus qu'une matière aveuglante; c'est là le cœur de la dénonciation de la pornographie. L’érotisme doit se distinguer de la pornographie qui recherche davantage l’excitation immédiate; l’érotisme comporte une dimension poétique, artistique, mais aussi affective et psychologique; l’érotisme littéraire féminin devrait s’attacher à relier le plaisir et les sentiments amoureux avec leur pouvoir aphrodisiaque. La jouissance et l’imaginaire érotique des femmes semblent occultés; l’évocation de la sexualité féminine provoque le scandale. "Le Deuxième sexe" de Simone de Beauvoir ouvrit une brèche, suivie par Pauline Réage; Histoire d’O narre le parcours d’une femme consentant à la soumission et au masochisme avec torture, esclavage; O devint un modèle repoussoir qui incarna la servitude volontaire à travers la soumission amoureuse. L’érotisme féminin s’attaque au mythe de l’amour passionnel, à celui de la femme objet; l’amour doit être délivré de sa pesanteur tragique et de sa valeur sacré; le mythe de Grisélidis symbolise la soumission féminine au sein du mariage. l’épanouissement érotique devient un enjeu central; c’est sous les draps que les femmes doivent s’émanciper, conquérir leur dignité de sujet, acquérir une maîtrise de leurs désirs; un rapport de réciprocité doit s’instaurer dans la sensualité. La littérature érotique présente progressivement des femmes qui assument leurs désirs en dehors de tout attachement amoureux; le langage des auteures se libère contre les précautions chastes et leurs illusions; on est loin de Casanova pour qui "le seul homme est susceptible du vrai plaisir, car doué de la faculté de raisonner, il le prévoit, il le cherche, il le compose, et il raisonne dessus après en avoir joui." L'érotisme se focalise maintenant vers des modalités de satisfaction prévalentes comme la sodomisation ou la fellation. La pure pulsionnalité se trouve absolutisée dans le sens des pratiques qui visent une satisfaction de comblement sur le mode compulsif de la drogue; elles répondraient à un érotisme rudimentaire, marqué par une dégradation de la sensualité. On ne parle même plus de pulsion, mais d’instinct sexuel, négligeant tout ce qu’implique la sexualité de vie représentative, imaginative, fantasmatique, ou relationnelle; Catherine Millet parvient à choquer; sa description semble froide et clinique, sans la moindre sensualité; la réalité prime sur l’obscénité; en revanche, elle valorise la sexualité multiple et ouverte à tous les possibles, avec le plus grand nombre de partenaires; le faire l’emporte sur le dire, le descriptif sur le narratif; le sexe constitue le ressort de l’action, son principe et sa finalité; le récit se rapproche alors de la pornographie. L’appel à la jouissance n’attaque pas toujours l’ordre existant; un hédonisme consumériste incite surtout à acheter de nouvelles marchandises pour satisfaire des désirs qui ne font que renforcer la logique capitaliste; dans les magazines, la jouissance devient même une injonction; pourtant, notre époque se caractérise surtout par une grande misère sexuelle et affective; la pornographie réduit la sexualité à une froide mécanique sans inventivité, répétitive et bestiale. La volupté, les caresses, la sensualité permettent de réinventer le plaisir sexuel en dehors des normes sexistes, pornographiques dominantes, une littérature érotique féminine insiste sur l’imagination et le désir pour créer un climat sensuel, contre le plaisir immédiate; cette conception de la sexualité semble aussi plus réaliste que les scénarios érotiques qui occultent les relations humaines, avec leurs frustrations et leurs contrariétés; dans la pornographie traditionnelle, les individus se livrent au plaisir sexuel sans même se rencontrer et se connaître. Que l’amour soit un chef-d’œuvre, que l’éros soit poésie, nul n’en disconviendra; non pas au prix toutefois du rejet de la négativité, ce noyau de réel au cœur de l’expérience érotique; pourtant, cette part maudite, tous ces auteurs l’affirment diversement est inséparable du travail littéraire dont elle est la source. Ce n’est plus la digue de la pudeur qui est abattue, mais celle de la répulsion, voire de l’insoutenable; il semble bien loin le temps des risques de poursuite pour "outrage aux bonnes mœurs"; daté le temps des obscurités fascinantes de l’univers libertin clandestin aux relents de soufre, avec ses mises en scène sophistiquées marquant la proximité du plaisir, du secret et du danger dans les orgies où corps souillés et orgasmes mystiques exigeaient pseudonymes et autres masques. L’emploi du terme érotisme n’est-il pas inadapté, face à un tel contexte socioculturel à bien des égards inédit ? L’érotisme a une histoire spécifique dans notre culture et dans notre littérature; des choses ont bougé dans le paysage de l’érotisme classique, que ce soit sous l’angle du libertinage du XVIII ème siècle, ou sous celui de la créativité dans ses expressions picturales et littéraires les plus accomplies, par exemple dans le surréalisme, et jusqu’à "Histoire d’O". La pornographie a dépouillé l’érotisme de son contenu littéraire, en privilégiant la chair sur le mental, comme si le désir et le plaisir avaient pour protagonistes des phallus et des vulves et que ces appendices n’étaient que de purs serviteurs des fantasmes qui gouvernaient notre âme, séparant l’amour physique des autres expériences humaines. Un voile de pudeur, sa transgression, une aura de secret, un frisson de beauté, est à la frange du dénudement sentimental, liant amour et sexe pour accéder à l’érotisme. Éros, fils de Mars et Vénus, ou de Poros et Pénia paraît être définitivement castré par son frère, l’obscène Priape. S’agit-il d’éros, s’il ne reste qu’une chair proche du trash ou du gore ? Sans que nous nous en rendions compte, le début du XXI ème siècle coïncide avec de profondes mutations dans les mentalités: peut-on parler de la fin de l'érotisme ? Á force d'être obligatoires dans tous les récits, les écritures érotiques ont perdu leur grâce littéraire, pour n'être plus que des répétitions anatomiques vulgaires; crudité sans complexe, violence militante, c’est la face terrible du dieu Éros. Le texte écrit avec le projet d’exercer une suggestion, un entraînement au désir, tend à disparaître au profit de l’image. L'écriture féminine saura-t-elle relever le défi ? Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/05/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue. Je me suis mise à ressentir ces émotions quand je finis d'écrire qui m'emmènent dans les abymes de mon cœur. Vers la fin de ma nouvelle, Lana Del Rey, dans sa version longue de Ride m'a happé. Le pouvoir de la musique est si intense. Chaque nouvelle est ressentie, vécue dans ma tête. Je me sens si libre de vivre ma sensibilité dans mes écrits. ******************************************************************************************************* « Vous devriez recevoir aujourd’hui un petit cadeau pour notre prochaine entrevue. Je sais combien vous êtes joueuse. Jusqu’où iriez-vous ? » Je souris en lisant son message Whatsapp.. Je me demandais à quoi il faisait allusion. Telle une gamine, j’allais ouvrir ma boite aux lettres à peine le facteur passé. En effet un colis à mon attention. Il était relativement petit.. Vous imaginez bien ma réaction à l’ouvrir sans aucune patience. Je me disais toujours combien ces petits colis étaient emballés à croire qu’il faut utiliser de pleins d’ustensiles pour les ouvrir.. Enfin.. arrivant à mes fins, je découvris dans le colis un string avec des franges et des perles.. Ces perles étant cette ficelle qui passeraient sur mon sexe et entre mes fesses. « Hum cher Monsieur, merci pour ce délicieux cadeaux. Vous savez combien j’adore les perles.. » « Oui, je le sais ma belle demoiselle. RDV avec ce soir. Venez parer de vos plus belles perles et soyez fatale et glamour, comme toujours ». Mes perles.. J’adorais les perles. J’aimais celles qui avaient une histoire une vie. L’année dernière, j’avais acheté des boucles d’oreilles en perles anciennes. Je n'avais pas d'argent sur moi. e. Elles n’étaient pas totalement blanches mais légèrement nacrées or. Malheureusement je n'avais pas d'argent sur moi. Nous échangions toutes les deux pour la première et elle me dit : Prenez les et envoyez moi un chèque". Une telle confiance. Puis elle m'invita à découvrir ses créations unique. En voyant l’exposition de cette artiste lorraine, reconnue pour son talent, je vis un collier, ce collier.Il s’appelait « Le collier d’Emilie du Châtelet aux trois perles en forme de poires ». Rapidement, avec Joëlle Capdevieille, nous nous rendions compte que notre rencontre était une simple évidence, comme ce collier qui était fait pour moi. Elle avait façonnée ce collier à partir de perles anciennes dans le prolongement des brodeuses perleuses de Luneville et d’éléments anciens. J’aimais l’histoire, l’art.. et en m’intéressant à Emilie du Châtelet, l’évidence était là… Un sublime cadeau pour mes 40 ans Ce soir là pour rencontrer Monsieur, j'étais prise d'une certaine nostalgie. Je me parais d’un corset bleu avec des éclats de strass et de la dentelle. Je mettais une jupe que j’utilisais pour mes effeuillages. Il n’y a aucune fermeture éclair. Elle était fixée au dos par un nœud savant où il suffisait juste de le défaire. L’avant arrivait sous le genoux et l’arrière en forme au niveau de mes chevilles donnant un look à la Dita Von Teese. D’ailleurs je souriais souvent car c’est le surnom que l’on me donne souvent. Il paraît que je lui ressemble.. ou plutôt qu’elle me ressemble. Je me sentais belle, il me rendait belle. La beauté pour moi réside dans le fait de se sentir bien. Nous passons notre vie à vouloir paraître alors qu’au fond notre beauté vient de nos actes et dans le fait de se sentir bien, libre et en accord avec soi. Une partie de moi a toujours eu cette ambivalence entre me sentir sure de moi et belle et de l’autre être ma pire ennemie. Cette qui s’affable des pires mots pour mes maux. Le poids sociétal nous obligeant à vivre dans des carcans. Au fond, plus j’avance en âge et plus je me dis que l’on attache de l’importance aux choses sur lesquelles nous n’avons pas forcement de pouvoir. Celle de ce que pensent les autre. Au fond.. quoi que ce que l’on peut faire, on ne plaira jamais à tout le monde. Avec lui, je lâchais prise car il m’amenait cette vibration, cette odeur de printemps, cette douce brise qui me caresse et me rend encore plus heureuse de ces moments parfaits. Lorsqu’il me vit, il se tue. Puis se reprenant il me dit - Vous êtes juste.. renversante ! - Je vous remercie, vous aussi mon cher Il connaissait mon goût pour les années 1900/1920. Il était habillé dans ce style chic des hommes à la peaky Blinder. J’adorais ! J’aurai pu lui sauter dessus et le dévorer… un moment d’égarement me direz vous ? Où était ma place.. simplement avec lui. Il me tendait alors sa main. Je la lui donnais. Il m’amena à lui pour m’étreindre. - Alors prête pour le jeu ma chère ? - Hum.. Oui, d’ailleurs vous m’avez bien rendu curieuse. Quel jeu ? - Allez vous asseoir sur le canapé je vous prie. Il passa dernière le canapé en effleurant mes épaules. Je me tenais droite, le corset me contraignant à un maintien. Il se dirigea vers son bar. Il saisit alors un verre à Martini. Je reconnu alors la bouteille d’un alcool que j’apprécie. Du Vermouth Antica Carpano. Je salivais déjà. - Vous m’honorez lui dis-je ? - Je voulais vous faire plaisir dit-il avec son plus gros sourire. Je veux vous saouler. Vous allez perdre ma chère.. - Vous voulez me saouler ? moi ? alors à quoi allons-nous jouer ? - Au strip poker ! - Ah, je vois, dans tous les cas je suis gagnante. Il me tendit mon verre de Vermouth Antica Carpano, servit frais avec une rondelle d’orange. La perfection ! Les perles de mon string me faisait mouiller terriblement. Parfois elles me pinçaient. C’était terrible ! J’imaginais qu’il savait tout cela. J’avais du mal à tenir en place car c’était presque incommodant En fond sonore, ces musiques que nous affectionnons très jazzy. Cette fois il m’avait laissé les commandes de l’ambiance sonore..Kovacs… La voix de cette chanteuse me faisait penser à ces chanteuses qui font les musiques de James Bond dont je suis fan. Je Buvais mon verre. Je me levais, prenant mes aises. La tension s’installait doucement. Je posais alors mon verre sur la table basse. Je lui tendais ma main. ‘- Dansons. Ma main dans la sienne, mon visage au creux de son cou. - Ce n’est pas l’alcool qui va m’enivrer, c’est Vous Monsieur. - Vous allez me faire perdre toute décence en allant sur les chemins de perditions. Il passait sa main dans mes cheveux et les tira en arrière. Je lui offrais mon cou. Je déposa un baiser à hauteur de mon entre-sein puis avec sa langue remonta, en passant sur ma glotte, mon menton et pour enfin venir me mordre la lèvre. - Je vous interdis de me troubler ainsi ! - Prenez votre verre, allons jouer. Il avait préparé une table avec un chandelier avec au moins une 20aines de chandelles. Il était magnifique de couleur or. Un tapis de jeux.. des jetons de poker et bien sur le jeu. Je suis tout sauf une bonne joueuse. Peut être aurai je la chance de la débutante. Au fond de moi de toute manière, je ne voulais pas gagner pour qu’il s’occupe de moi mais de l’autre, je ne voulais pas le laisser gagner. J’avais ce côté femme enfant que j’aimais ressortir par moment. - Prêt pour votre défaite lui dis-je sous le ton de la plaisanterie. - Je pense ma chère que vous allez bientôt payer votre insolence affichée depuis tout à l’heure. Regardez ce qu’il vous attend. Il m’indiquait du regard la commode sur laquelle je voyais tant de choses déposées… Un silence s’installa. Le jeu débuta. Il m’expliquait à nouveau brièvement les règles. A vrai dire, je n’allais en faire à ma tête. - Perdu ma chère.. comme c’est bien triste. Tout en me regardant… - Enlevez moi corset je vous prie et buvez ! Je me levais. Je lui tournais le dos. Doucement je saisis les lacets de mon corsets pour défaire le nœuds. Habillement, je desserrais les liens. Je m’approchais alors de lui. Un à un j’otais les rivets à l’avant de mon corset. IL n’en ratait pas une miette. Je fis tomber le corset à mes pieds. - Restez ici. - Hum ces marques de votre corset sur votre peau.. - Allez vous rasseoir. A la seconde partie, contre toute attente, je remportais la partie ! J’allais commencer à choisir ce que j’allais lui demander quand il me regarda… - Non non, petite chienne… Il faut rester à votre place ma chère.. Je vous laisse choisir quel vêtement ôter.Je souris. - Quel homme vil vous faîtes. Je décidais alors d’ôter la jupe. Tout doucement. Je voulais qu’il voit combien son cadeau me faisait de l’effet. - Mains sur la table, cambrez vous. Il s’était levé. Il passa ses mains sur mes fesses puis ensuite sur mes seins. Il les prit bien fermement. Je sentis ses doigts passer sur ma chatte. - Hum ces perles… vous les portez divinement. Vous êtes si ruisselante.. Je vois qu’elles vous en font de l’effet. Soudain il baissa le string. Il saisit la badine. - Je ne veux pas vous entendre ! 5 coups. Vous allez les compter. Vous pensiez que j’allais laisser passer vos prises de liberté, aussi agréable soient elles. - Non.. Monsieur, je suis désolée.. - Ne le soyez pas, j’aime quand vous êtes ainsi, mais je dois vous punir quand même. Je tendais alors mes fesses. Il me donna le premier coup. - Wouahh.. criai-je de stupéfaction. Merci… Monsieur.. Il plaça ensuite la badine pour choisir où il allait frapper. - Merci.. Monsieur C’était au même endroit. Chaque coup avec eu son effet. Je sentais mes fesses bien chaudes. Il glissa à nouveau ses doigts. - Je vois que ça ne vous a pas calmé.. vous êtes encore bien trempée. Il me servit un autre verre. - Pour calmer votre douleur. A la partie suivante, je me concentrais alors pour gagner même si les règles c’était lui qui les fixait. A ma grande surprise je gagnais encore. - Vous avez la main chanceuse. Maintenant que vous êtes sans vêtement, vous devez choisir un accessoire. Je lui montrais alors un gode. - Bon choix Mademoiselle Lane. Vous allez vous empalez dessus sur la chaise. Il s’agissait d’un gode avec ventouse. - Vous allez me mettre dans votre petite chatte. Pendant la prochaine partie vous vous baiserez dessus tout en jouant. Je vous veux concentrée. Comment être concentrée dans ce moment là. J’essayai tant bien que mal de me concentrer mais c’était impossible. Je perdis la partie suivante. - Mettez vous les pinces à seins je vous prie. Je les prenais dans les mains. Il avaient mis de nouvelles avec des petites clochettes. - Allez serrez les bien fort ! Je le regardais. Je serrais. Il était pervers. - Encore ! - Allez faîtes de la musique en vous baisant. Il me regardait alors le gode dans ma chatte à regarder tout en entendant les clochettes faire leur petits sons. - Suffit maintenant ! Son sourire charmant melé à son regard pervers, je sentais que les choses allaient s’intensifier. Il stoppa alors la partie. - Mains dans le dos maintenant. Il prit alors une bougie. Il commença doucement à faire couler la cire sur mes seins. Il avait mis une certaine hauteur ce qui rendait la chose pas trop brulante. - Baisez vous maintenant. Je sentais la différence de chaleur de la cire avec les vas et vient. - Hummm… Que de doux sons.. vous aimez ? - Oui.. Monsieur… Il reposa alors la bougie. Il alla se servir un nouveau verre et se rassit. - Venez me sucer maintenant. Il ouvrit sa braguette, puis sortie son sexe. - Non sous la table, comme une bonne chienne. J’allais alors sous la table. Je prenais son sexe dans ma bouche. Je le dégustais comme il dégustait alors son verre. Il tapota alors sur ma tête. - Brave chienne ! c’est bien continue. Je m’appliquais à ma tâche. J’aimais son sexe. J’aimais le manger, l’engoutir. Soudain il appuya ma tête pour prendre les rennes. - Pas bouger.. gardez la bien en bouche quitte à vous étouffer. Je bavais. - Une petite bourgeoise soumise… Dépravée.. j’aime ça ! vous avec vos petits bijoux et votre air de sainte nitouche qui demande qu’à se faire baiser. - Oui.. Monsieur j’ai envie de me faire baiser. - Ah oui vous voulez vous faire baiser ? Il me saisit par les cheveux. Il était face à moi. Il me força à m’empaler sur sa queue. - Avec vos perles de putain, vous êtes une chienne de luxe. Il prit alors mes fesses bien en main et me força a bien m’empaler sur lui, à ce que je sente sa queue au fond de la chatte à bien sentir ses coups de bite. Mes seins valsaient, les pinces sonnaient.. Il me défoncait si fortement. Soudain il mit un doigt de chacun de ses mains dans mon cul.. -Oh…. Oh… Il me gifla et serrra ma gueule avec sa main.. Puis reviens tout en me claquant les fesses. Je n’arrivais plus à penser, je ne pensais qu’à m’empaler sur sa queue. - Hum… Hummm. Vous n’avez que ce que vous méritez. Mes mains étaient dans le dos. Il les tenaient tout en continuant à me prendre ainsi. Quand il arrêta, il me demanda d’aller à ma place. J’allais alors sur mon cousin au milieu du salon. Quand il revint, il m’attacha poignet et cheville ensemble. Je n’avais aucun échappatoire. - Je ne veux pas vous entendre.. Il m’avait mise sur le dos. Je le vis saisir un martinet aux lanières longues. Il le passait sur mon corps, il s’amusait à faire un peu de vent au dessus de moi. Mes yeux étaient apeurés… Il insista alors sur ma chatte. Je criai.. - Vous me voyez obligé de vous réduire au silence. Il allait chercher le gag ball. - Hum, à ma merci.. vous aimez être à ma merci, non ? Il me regardait droit dans les yeux, agenouillé. Martinet en main. Il était doux. Il retira alors mes pinces à seins. Il passait le martinet encore dessus. Je tentais d’échapper son coup. Il me retourna alors sur le ventre. Ma tête était au sol, mes fesses relevées prête à attendre. Ils me fouettait le dos, les fesses et sans trop de force l’entrejambe. Je criais dans mon bâillon. Quand il stoppa, il me retira le bâillon. - Je.. - Non non.. interdiction de parler. Si je vous l’enlève c’est pour combler votre trou à bite. Il me remit alors sur le dos. Il s’assit sur moi. J’étais totalement à sa merci. Il prenait ma tête dans ses mains. Il s’astiquait avec son jouet.. ma bouche. Je l’entendais râler son plaisir. Il Dirigeait au mieux sa queue dans ma bouche, je ne pouvais rien faire. - Bonne petite chienne. Il me faisait manger ses couilles. Je ne voyais que cela. J’étais son petit objet sexuel. Son membre était bien dressé. Il releva mes fesses et me pénétra le fion. - Hum.. j’aime vous enculer ainsi à froid. Sentir votre petite rondelle céder et voir votre regard de stupéfaction me rend complètement fou. J’allais répondre quand il me remis le gag ball. Il me pilonnait encore et encore. Il me retourna et cette fois changea sa position. Il était debout écartant mes fesses, dos à moi. Cette position me rendait folle, complètement putain, chienne et j’adorais cela. Doucement, il entra, puis ressorta. Il écartait deplus belles mes fesses. Et il resta là à regarder. A regarder mon trou ouvert après ses assauts. Il prit alors mon string et s’amusa à introduire les perles dans mon cul.. - Oh je pense qu’il faut plus pour vous fourrer au mieux. Il revena avec un gode qui se gonflait. - Je veux que votre cul soit bien ouvert. On va y travailler. Je me sentais si excitée. Il me mit en place et commença par le gonfler une première fois, puis une seconde. Il s’amusait à me fourrer au mieux avec. Il continuait à le faire grossir au point qu’il n’arrivait plus trop à le rentrer et le sortir. - Votre chatte est si trempée ma chère… Je ne vais pas la laisser délaisser ains. Il me caressa le clitoris tout en y fourrant 3 doigts. - J’aime vous voir ainsi contrainte, fourrée et doigtée. Il s’arrêta d’un seul coup. Il admirait alors son travail. Allongée et gondée, contrainte. - Je vais vous laisser un peu, votre cul ainsi. Il faisait un peu de rangement, en ne prêtant que peu d’attention. Il reçu alors un appel téléphonique. Je me sentais vexée. Il m’observait en étant assis. Je me dandinais de cette position qui commençaient à se faire longue. Mon regard se faisait suppliant. - Hum, oui ce soir, on peut dire que je suis veinard. Depuis peu j’ai un nouvel animal de compagnie. Je suis en plein dressage… Il se releva et sortit de la pièce. Quand il revient, il m’ôta les liens et le gode. Il me tira alors par les cheveux. Et me fît marcher à quatre pattes contre lui. - Allez montez comme une bonne petite chienne. Il me fit mettre à genou sur le canapé, les bras sur le dossier. - Cambrez vous mieux que ça. Il caressait mon dos, mes cheveux. Il les rassembla pour les prendre en main. - Vous êtes si belle, si princesse et chienne à la fois. J’ai tellement envie de vous faire de choses bien vilaines et perverses. Il me relevait en tenant mes cheveux pour mettre son bras contre ma gorge. Son souffle si chaud. Il m’embrassait passionnément le cou jusqu’à le mordre. Il me pénétra alors doucement. A ce moment là c’était si bestial et sensuel. Nous étions alors àl’unission. IL me faisait l’amour avec passion sauvage. Le loup était sorti, il possédait sa louve. Tout mon corps frémissait. Il ne bougeait plus, me laissons prendre le contrôle à aller et venir contre lui, son sexe appelant si chaudement ma chatte. J’aimais longuement, entrer et sortir. M’empaler ensuite pour l’engouffrer au fond de mon sexe. Je bougeais les fesses, me déhanchais. Il m’agrippait les cheveux, les seins. Le temps s’était complètement arrêté. Il me jeta alors la tête contre l’assise du canapé. Il lécha mon anus. Il y introduisit un doigt puis un autre. - Encore, Monsieur, Encore.. J’avais si soif de lui. Il me rendait si chienne. Il me doigtait avec quatre doigts. - Humm .. hum.. je soupirais encore et encore. Je sentais son souffle d’excitation. Je devinais son sexe fièrement dressé attendant de prendre la place de ses doigts. - Prenez moi.. je ne tiens plus.. Il ne fit rien. Il me caressait le clitoris. Cela me rendait complètement folle. Je m’ouvrais encore et encore. Je me sentais à vouloir plus, tout naturellement. IL ne fit rien. Il me prit à nouveau par mon petit trou. Il tenait mes fesses de chaque côté. J’aimais quand il me baisait ainsi. Je sentais doucement aussi son abandon dans le contrôle qu’il a tout le temps dans ces moments là. C’est dans cet abandon où nous existons, il est nu, prêt à jouir. Il ne se retenait plus. Je sentis ses coups se saccader annonçant son plaisir. Il se jeta ensuite sur moi. A ce moment, j’entendis Lana Del Rey, ride dans sa version longue.. Cette musique me plongea alors dans une atmosphère de ce moment parfait. Il me protégeait avec son corps de cette chaleur. Je voulais rester ainsi lovée. Son sexe était encore en moi. Son cœur battait contre mon dos.. Boum Boum.. Boum Boum.. je le sentais fort. je voulais que ce moment ne s’arrête jamais. Doucement je sentis son cœur ralentir.. ralentir. Il me tenait par les poignets me faisant sentir sienne. Il ne disait aucun mot. Nous étions nus sur le canapé, allongés. Lui sur moi m'enveloppant. Jamais je n’avais ressenti une si belle symbiose. Il était mon loup,. Avec lui je pouvais me sentir tout affronter, tout subir, tout ressentir.. Peut être suis-je folle d’éprouver cela cela mais au fond, l’instant présent il faut savoir le savourer. La louve était réveillée, lui était là à se reposer sur elle. Je prendrais soin de lui comme il prend soin de moi.
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Par : le 17/05/20
Joe et Pam ont pris la route dans un 4x4 transformers de l'armée, équipé de 4 rotors intégrés et pouvant se déplacer au besoin comme un drone. Enfin des vacances. Fini pour quelques jours les recherches interminables, les lignes de codes, les heures à corriger des erreurs ou à les débusquer. C'est Pam qui conduit, enfin, qui tient le volant, car cet engin se conduit seul si besoin. il suffit de lui dire où l'on veut aller et il fait le reste. C'est Joe qui a voulu y aller de cette façon, en voiture, sur les interminables autoroutes où il ne faut pas dépasser le 80. Cela pourrait sembler d'un triste mais cela repose les cerveaux de nos deux chercheurs en implants cérébraux -Alors, c'était bien l'enterrement de ta vie de garçon avec Louisa? Joe ne répond pas de suite. Il regarde Pam. -tu as trouvé l'accès. C'est bien. J'ai les mêmes implants que toi dans la tête. C'est d'ailleurs par moi que j'ai commencé pour tester. Donc essayons....nous n'avons plus besoin de parler....tu me reçois? -parfaitement. Nous sommes les deux premiers humains connectés directement par nos implants cerebraux. Nous n'avons plus besoin de mots ni de paroles, je peux suivre tes pensées et toi les miennes. -Je vois que tu as compris et que je blaguais avec ma demande en mariage à Las Végas. Nous sommes déjà unis comme jamais des humains ne l'ont été. C'est pour cela que j'ai voulu que l'on parte de la base, pour explorer les possibilités incroyables qui s'offrent à nous au grand air. - C'est fou, j'arrive à voir à travers tes yeux. Je peux presque être toi.... -juste la partie mécanique....le reste est impossible à connecter pour l'instant. Je n'ai pas encore accès à tes mémoires akashiques par exemple. -Cela me donne envie de baiser ce truc. Viens on s’arrête pour faire l'amour. j'en ai besoin. - Moi aussi Pam, j'ai envie de baiser mais c'est pas d'aujourd'hui, c'est depuis le premier jour que je t'ai vu. -Et tu n'as pas osé te déclarer? Tu as préféré te taper Louisa. Bon, je m'en fou, je ne suis pas jalouse et je crois que je n'étais pas prête. Tu sais, je suis encore vierge. -Pas pour longtemps, sort de cette autoroute et arrêtons nous où tu voudras. Déclenche le vol dronique cela ira plus vite. Le 4X4 transformers s'est élevé doucement dans le ciel porté par ses 4 rotors. Pam s'est dirigé au milieu d'un champ de mais et s'est posée en douceur. Elle a été prise d'une frénésie. Elle a viré sa jupe et sa culotte, dégraffé le pantalon de Joe, sorti son membre au garde à vous et s'est embrochée d'un coup, elle dessus, à califourchon, sans le moindre préliminaire. Puis elle est restée fichée. Du sang coule sur ses cuisses. Elle n'a pas mal. -Viens on échange nos ressentis. Là, j'y suis. Je sens ta bite tendue et gonflée, ton envie de me bourrer et d'éjaculer. Tu es amusant Joe. Oui, je t'aime. Tu es le savant le plus fou de l'Arizona. Je t'aime.
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Par : le 17/05/20
Originaires de Thrace, région considérée par les Grecs comme le pays de la lumière: ce nom avait un sens symbolique signifiant le pays de la pure doctrine et de la poésie sacrée qui en procède. Dès l'origine, elles étaient trois déesses de la montagne sans attributions définies, qui se contentaient d'inspirer les chants, guidées par leur coryphée, Apollon. Ce sont ces Trois Muses qui apprirent au Sphinx installé sur le mont Phicion la devinette qu'il posait à tous les voyageurs. Les Muses, du grec ancien ?????? / Moûsai, devinrent plus tard les filles de Zeus et de Mnémosyne, déesse de la Mémoire, ou d'Ouranos et de Gaïa, magnifiques jeunes femmes dont la beauté enchantait les dieux de l'Olympe. Bienveillantes et compatissantes, elles consolaient ceux qui souffraient: ce sont elles qui recueillirent les membres d'Orphée et les enterrèrent au pied du mont Olympe. Sur la terre, ces déesses du rythme et des nombres présidaient aux arts, procuraient l'inspiration poétique aux poètes qui venaient se rafraîchir dans les fontaines situées près de leurs sanctuaires, sur le mont Hélicon, à Sparte, et à travers la Grèce. Au moment des batailles, les Doriens les invoquaient parce qu'elles présidaient aux mouvements mesurés des troupes de soldats. Vers le IX ème siècle, Hésiode en comptait neuf, présidant chacune à un art spécifique sous la houlette d'Apollon nommé alors "Musagète." Les neufs Muses classiques sont: Calliope, "à la belle voix" ou "celle qui dit bien", la Muse de la Poésie épique, qui célèbre les événements historiques plus ou moins légendaires et magnifie la grandeur et la force des héros, ses attributs sont l’éloquence pour les récits de combats et d’exploits, un stylet et une tablette de cire. Clio, "la célèbre", la Muse de l’Histoire, ses attributs sont une couronne de laurier, la trompette de la renommée et un rouleau de papyrus. Erato, "l’aimable", la Muse de la Poésie lyrique qui traduit les émotions, les sentiments, les amours, la mort et parfois galante, ses attributs sont la lyre et le plectre, petit instrument pour pincer les cordes. Euterpe, "la bien plaisante", la Muse de la Musique a pour attribut la flute et le hautbois. Melpomène, "la chanteuse", la Muse de la Tragédie, son attribut est le masque tragique. Polymnie, "aux chants multiples", la Muse du Chant sacré et de la pantomime, de la Rhétorique, de l’art oratoire, du discours et de l’éloquence. Elle est représentée dans une attitude pensive accoudée sur un appui ou parfois la main droite en action comme pour haranguer et la main gauche tient un sceptre ou un rouleau. Elle inspire les poètes. Terpsichore, dont la danse séduit", la Muse de la Danse, son attribut est la lyre. Thalie, "la florissante", la Muse de la Comédie et de la poésie pastorale, des amours de bergers, ode à la nature, ses attributs sont le masque comique et la houlette, bâton de berger. Uranie, "la céleste", la Muse de l’Astronomie et de l’Astrologie, ses attributs sont un globe terrestre et des instruments mathématiques (compas…). Les premiers textes de la littérature grecque commencent souvent par une invocation aux Muses qui permet de situer un poète dans le contexte de son poème. À ce titre, les deux incipit homériques sont des modèles célèbres que les auteurs ultérieurs n’hésitèrent pas à reprendre et à commenter. Par-delà le caractère conventionnel de l’exercice, c’est une conception spécifique de la création poétique que l’invocation homérique des Muses nous invite à méditer. Le mot "muse" vient du grec mousa, la parole chantée, la parole rythmée. Le sens originel du terme grec est cependant mal défini et son étymologie obscure. Quant aux Muses, déesses de la musique, de la poésie et du savoir, elles sont ainsi présentées dans la Théogonie d’Hésiode, qui est l’un des premiers témoignages littéraires: "Les neuf sœurs issues du grand Zeus se nomment Clio, Euterpe, Thalie et Melpomène, Terpsichore, Érato, Polymnie, Uranie, et Calliope enfin, la première de toutes." Dans leur généalogie la plus couramment admise, celle qu’Hésiode reprend, les divines chanteuses sont issues de l’union de Mnémosyne, déesse de la mémoire, avec Zeus, pendant neuf nuits: "C’est en Piérie qu’unie au Cronide, leur père, les enfanta Mnémosyne, reine des coteaux d’Éleuthère, à elle, neuf nuits durant, s’unissait le prudent Zeus, monté, loin des Immortels, dans sa couche sainte. Et quand vint la fin d’une année et le retour des saisons, elle enfanta neuf filles, aux cœurs pareils, qui n’ont en leur poitrine souci que de chant et gardent leur âme libre de chagrin, près de la plus haute cime de l’Olympe neigeux." Dès leur naissance, elles vont vers l’Olympe et chantent le triomphe de Zeus; leur chant, organisé autour de l’histoire des dieux, éveille la vocation d’Hésiode au pied de l’Hélicon. Ces deux massifs montagneux sont associés aux Muses, ce qui explique la présence fréquente d’un décor rocheux dans les représentations figurées. En permettant cette vocation, les Muses transforment le poète en voyant d’un genre particulier. Voici comment elles s’adressent à lui: "Pâtres gîtés aux champs, tristes opprobres de la terre qui n’êtes rien que ventres ! Nous savons conter des mensonges tout pareils aux réalités; mais nous savons aussi, lorsque nous le voulons, proclamer des vérités." D’après certains commentateurs, Hésiode pourrait reprendre ici un vers de l’Odyssée, qui dépeint la force persuasive d’Ulysse: "Tous ces mensonges, il leur donnait l’apparence de vérités." L’allusion possible à l’épopée homérique lui permettrait de se démarquer des propos mensongers d’Ulysse en affirmant le caractère sacré et véridique de sa propre poésie, qui n’est plus seulement humaine, mais divine, car inspirée. Hésiode ne naît donc pas poète, mais plutôt berger: pour devenir poète, encore faut-il être élu par les Muses et recevoir leur éducation. Par ailleurs, si le nombre de Muses est variable selon les témoignages, chacune semble avoir un rôle relativement bien établi. Quatre Muses veillent à l’évolution de l’épopée et du chant, marquant la primauté de la musique dans l’univers. Calliope, mère du poète Orphée, épouse d’Apollon, préside à la poésie épique ; on la représente souvent entourée de l’Iliade et de l’Odyssée. C’est elle qui est le plus souvent citée par les poètes. Muse de l’histoire, Clio chante la gloire des guerriers et la renommée d’un peuple, à l’aide de la trompette ou de la cithare. La lyre, instrument fréquemment cité chez Homère, accompagne Érato, la Muse de la poésie lyrique. Lyre encore, mais aussi cithare et trompette, autant d’instruments qui entourent Euterpe, déesse de la musique. Plutôt que les noms précis des Muses, c’est le terme générique qui apparaît chez Homère, souvent au singulier. Dans l’incipit de l’Odyssée, "la Muse" est l’inspiratrice du Poète, puis, dans le chant VIII, de l’aède Démodocos. De façon générale, dans les invocations comme dans les représentations figurées, une seule Muse suffit à représenter ses sœurs. Sa présence est cependant nécessaire pour garantir la beauté et la vérité de la parole poétique. En un temps où l’idée d’auteur est moins nettement définie qu’aujourd’hui, la Muse joue un rôle essentiel. Née d’une oralité secrète, l’inspiration est la seule notion qui vaille. Soufflée par la Muse, elle régit un poète qui ignore le désir de création. Une chaîne se déploie, reliant la Muse, l’aède, l’auditoire: "De tous les hommes de la terre, les aèdes méritent les honneurs et le respect, car c’est la Muse, aimant la race des chanteurs, qui les inspire." (Odyssée, VIII, 479-481) La Muse, de son côté, fait connaître les événements passés. Il ne s’agit peut-être pas d’un passé historique, au sens moderne du terme, mais plutôt d’"un temps originel, un temps poétique" : c’est le temps des héros. Pour qu’elle devienne vérité, la parole poétique est indissociable de la Muse et de la mémoire, et l’aède ne peut opposer à la Muse son propre savoir. Il est inspiré par les voix des Muses "à l’unisson", celles qui, échappant à la temporalité humaine, voient "ce qui est, ce qui sera, ce qui fut". La Muse propose une mémoire omnisciente, non sélective, elle permet au Poète d’avoir accès aux événements qu’il raconte et de déchiffrer l’invisible. " "Et maintenant, dites-moi, Muses, habitantes de l’Olympe, car vous êtes, vous, des déesses: partout présentes, vous savez tout, nous n’entendons qu’un bruit, nous, et ne savons rien." (Iliade, II, 485-486.) Dans l’Iliade, les Muses voient de manière directe les événements que l’aède souhaite narrer; cette "autopsie" des Muses, selon le sens étymologique du terme, est opposée au savoir indirect, "par ouï-dire", des poètes qui se contentent de reproduire ce qui leur est indiqué. Le poète entend la voix des Muses et l’inspiration surgit. Ainsi l’Iliade se déploie par le recours à la personne du Poète, instrument aux mains de la Muse. La parole du Poète permet d’échapper au silence et à la mort. Elle lutte contre l'oubli que représentent par exemple les Sirènes, figures antithétiques des Muses mais qui, comme elles, savent "tout ce qui advient sur la terre féconde" (Odyssée, XII, 191). Parfois considérées comme les filles de Melpomène, de Terpsichore ou de Calliope, les Sirènes, remarquables musiciennes, auraient perdu leurs ailes à la suite d’un concours de chant avec les Muses: ces dernières auraient arraché leurs plumes pour s’en faire des couronnes. Honteuses de leur déchéance, elles se seraient alors réfugiées dans les rochers de la côte méridionale de l’Italie, d’où elles attirent les navigateurs. Ainsi chantent-elles, en promettant au marin Ulysse de lui donner le pouvoir de connaître à l’avance tous les événements à venir. Le héros résiste, car il sait par Circé que leur chant est signe de mort. Son désir est pourtant immense. En luttant contre les voix ensorcelantes de ces Muses maléfiques que sont les Sirènes, Ulysse refuse l’oubli de soi; son choix éclaire l’acte de l’aède qui se fait le servant des véritables Muses: la Muse maintient la mémoire des hommes et crée l’épopée. Le chant de l’aède porte une identité et insuffle la vie. Le culte des Muses est originaire de Piérie en Thrace. Il s’est répandu ensuite en Béotie autour de l’Hélicon. Il eut pour centres, les villes d’Ascra et de Thespies. Athènes leur consacra une colline voisine de l’Acropole. Delphes les honora aux côtés d’Apollon. Leur ancien caractère de nymphes des sources explique que de nombreuses fontaines étaient consacrées aux Muses. Les représentations des Muses sont nombreuses, sur les vases peints, les monnaies, les bas-reliefs, les fresques de Pompéi, de nombreuses statues. Un bas-relief au Louvre décorait autrefois les trois faces apparentes d’un sarcophage dit "le sarcophage des muses" du Louvre représente les neuf Muses. En peinture, par le Tintoret, "L’assemblée des Muses sur le Parnasse" présidée par Apollon, par Eustache Le Sueur, les neuf Muses, dans cinq tableaux aujourd’hui au Louvre, par Ingres "la Naissance des Muses" et par Gustave Moreau, "Hésiode et les Muses" (1860). Dans l'inconscient masculin, les Muses incarnent l'image nostalgique de la fée qui console dans les heures douloureuses, panse les plaies psychiques ou qui inspire les grandes œuvres. Cette image souvent magnifiée, idéalisée est celle de la vierge, terrain inexploré, tabou qui hantâ les rêves de maint séducteurs ou de la femme idéale et inaccessible. Bibliographie et références: - Apollodore, "Bibliothèque" - Apollonios de Rhodes, "Argonautiques" - Hérodote, "Histoires" - Hésiode, "Théogonie" - Homère, "Iliade" - Ovide, "Fastes" - Pausanias, "Description de la Grèce" - Pindare, "Pythiques" - Pindare, "Odes et Fragments" - Platon, "Phèdre" - Théophraste, "Histoire Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/05/20
Maitresse Isabelle et son époux et esclave le dévoué Ben, n'ont pas vu le temps passer. Entre le job à l'agence gouvernementale, la synagogue pour femmes et les missions pour le Mossad, les jours se sont écoulés comme dans un rêve tourbillon. Maitresse Isabelle a estimé qu'il était venu le temps pour elle de procréer et donc de se donner à Ben. -il est temps de consommer ce mariage, mon époux chéri, il est temps pour moi de perdre ma virginité et toi ton pucelage. Nous avons passé la trentaine, nous avons su attendre de façon chaste dans la foi. Dieu va bénir notre union. Ben ne comprend pas vraiment. Il émerge du subspace et commence à bander. Il a peur du fouet cinglant. Maitresse Isabelle le regarde et sourit: -Non, je ne vais pas te fouetter jusqu'au sang. Cette fois tu peux bander librement pour m'honorer et me donner le meilleur de ta semence. Maitresse Isabelle se déshabille et enlève son pagne traditionnel en coton. Elle montre son sexe pour la première fois en huit ans de mariage à son époux. Ce dernier l’observe et ne dit rien. Il s'approche et commence par sentir le sexe de sa femme qui est d'une odeur extatique. Il ne peut résister à l'envie de l'embrasser de le déguster. Sa femme écarte les jambes et s'offre complètement. La langue de Ben devient fébrile. Il explore tous les coins et recoins humides, s'enfonce partout où il peut. Ses lèvres aspirent le clitoris qui s'est dressé et Maitresse Isabelle ne peut retenir un orgasme violent. Ben s'allonge sur sa femme. Il veut la pénétrer.Mais c'est impossible. Elle est complètement fermée, comme si son vagin était soudé. Rien à faire. Chaque fois Ben éjacule en surface, sur la douce toison de sa femme. -C'est pas grave mon chéri, dit Maitresse Isabelle. Nous devons insister et réessayer, encore et encore. Mon sexe finira bien par s'ouvrir comme la mer rouge frappée par le bâton de Moïse. Ben imagine cela. Il a le bâton de Moïse entre les jambes. Il frappe à l'entrée du sexe de sa femme. Et cette fois cela s'ouvre d'un coup. Il est au fond, le pénis enserré dans un fourreau d'une volupté incroyable. Il veut y rester, se retenir....faire durer....il ne bouge plus....c'est trop bon. La sève monte, monte. Il essaie de la retenir. Impossible. Il explose tout son foutre. Il hurle. C'est divin. Maitresse Isabelle et Ben ont baisé sans arrêt pendant 21 jours, sauf pendant les jours de Sabbat. La bénédiction attendue est arrivée. Maitresse Isabelle a commencé à attendre son enfant dans la joie. Cela réussi, Ben est retourné dans son chaste subspace. Ses bandaisons ont disparu en quelques jours. Il a eu de nouveau droit à ses traites hebdomadaires pour rester en forme. Maitresse Isabelle s'est arrondie et est devenue d'une beauté incroyable, celle de la femme comblée et épanouie.
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Par : le 17/05/20
Maitresse Isabelle et son esclave dévoué, le beau Ben, vivent heureux et discrets. Mais l'étude des lettres hébraïques et de la Torah par Maitresse Isabelle est très mal vue dans sa communauté, du moins en apparence. il est des agences de renseignements qui observent tout et savent faire pression. Les rabbins qui voient d'un oeil torve les progrès de Maitresse Isabelle dans l'étude des Saintes Écritures, viennent de recevoir la visite d'un agent du Mossad. Ils doivent vite faire des courbettes. il est des menaces et des ordres qu'il est préférable de ne pas ignorer. Ces mêmes rabbins sont vite allé voir Maitresse Isabelle et se sont aplatis en excuses. Ils lui ont décerné le titre spécial de Rabbouna. Ils lui ont en outre remis des fonds pour qu'elle parte habiter dans un beau pavillon de banlieue avec une synagogue intégrée, uniquement réservée aux femmes de la communauté. Ceci fait, l'agent du Mossad est allé trouver Maitresse Isabelle et il n'a eu aucun mal à la recruter ainsi que son esclave Ben. De toute façon, eux aussi n'avaient pas le choix Ben, le toutou docile à sa maitresse a reçu une formation spéciale, pour devenir une bête de guerre. Krav Maga, tirs, usage de toutes sortes d'armes, bref , il est méconnaissable. Pourtant il est toujours puceau et complètement l'esclave de sa Maitresse. Une sorte de moine qui vit dans un subspace, connu de lui seul.. -Tu auras le droit de me faire l'amour, uniquement pour procréer et nous nous devons une fidélité absolue dans le mariage, n'oublie pas! Maitresse Isabelle, plus elle étudie la Torah, et plus elle devient d'une orthodoxie à faire peur. Leurs vacances, ils les passent en Terre Sainte. Ben est placé de force dans un camp des forces spéciales où il n'a guère le temps de bronzer. Maitresse Isabelle a droit à un accès à la meilleure université de Jérusalem et elle passe son temps à se disputer avec les docteurs de la Loi. Une vie bien sage. Il faut se méfier des vies trop sages. L'orage n'est pas loin. Le Mossad va vouloir des missions. Ben vient passer le Sabbat aux pieds de sa Maitresse. Avant que le Sabbat ne commence il a droit à sa traite hebdomadaire. Histoire de maintenir en bon état son appareil reproductif. Il n'a toujours pas vu la chatte de sa femme mais il n'est pas en manque. Dans son subspace il a passé la fosse des Mariannes depuis longtemps. IL vit dans une sorte de béatitude. Obéir à sa Maitresse lui va si bien.
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Par : le 17/05/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue, je déguste de succulents fruits rouges.. Chapitres précédents : Première ( Acte 1) / Ceinture (Acte 2) ****************************************************************************************************** Acte 3 Il était totalement dans mon esprit avec ces deux moments intenses avec lui. Cela faisait deux semaines qu’on ne s’était pas vu mais il gardait ce lien entre nous. Il voulait savoir ce que je faisais, il trouvait toujours un moment pour m’accorder quelques minutes ou un message envoyé via Whatsapp. Ce sentiment de compter est si doux. Celui de se sentir respecter. On devait se voir ce soir. J’avais hâte. « Je ne veux pas que vous vous caresseriez pendant nos absences. Si vous le faîtes, vous m’en avertirez ». Au départ, je me suis prise à jouer le jeu. J’avoue que j’aime me caresser très régulièrement. Là, c’était divinement cruel que de résister. Je lui faisais mes aveux, mes difficultés à résister, à lui faire part de mon excitation. Il voulait avoir ce contrôle à savoir ce que je faisais, non pas par jalousie ou ce côté malveillant. Il avait un tel degré d’empathie. Je pouvais lui parler petits soucis existentiels genre chiffons, shopping, comme des problèmes plus intimes ou des causes que j’affectionne. Je pouvais être moi avec mes états d ‘humeur. Être Zèbre.. une découverte. Durant des années, je m’étais sentie si à part. Cela avait était une révélation à me dire au fond, pourquoi lutter contre qui je suis. L’hypersensibilité de mes sens, ce besoin de respect des valeurs, ce sens de la justice.. Être dans le détail de tout.. Toujours cette recherche de la perfection. Cela m’avait permis de comprendre mes coups de fatigue soudain, mes changements d’humeur quand un de mes sens était mis à rude épreuve..Par exemple, une lumière trop forte ou une musique qui me tape sur le système. J’aime me retrouver dans le calme, être solitaire, méditer tout en ayant ce besoin aussi d’interactions sociales. J’ai envie trouver mon bonheur seule. Alors le choix de mon partenaire se fait non par parce que j’ai besoin de quelqu’un mais parce qu’avec lui je partage un lien que nous seuls pouvant partager. Majorité d’hommes me trouve complexes, à faire peur. Lui avait creusé, il avait compris ce qu’il y avait entre les lignes. Et je le suspectais aussi d’être un zèbre comme moi. Mais au fond, ce n’est pas le plus important. Ce qui l’est c’est cette franchise et cette sincérité que nous avons. Pas de tricheries. Nous étions nous-mêmes. Je sonnais à sa porte. Il ouvrit. Il avait ce charisme où je me retrouvais toute timide, où il me faisait sentir femme et soumise naturellement. Je pénétrais dans son antre. Je déposais mes affaires. Il me prit alors dans ses bras. Il m’enlaçait. Je sentais toute cette chaleur me réconforter. Il m’embrassa avec une telle douceur pour ensuite prendre possession de mes lèvres avec passion. Ses mains passaient dans mes cheveux. - Hum votre parfum… je crains qu’il m’ait capturé.. à moins que ce ne soit vous ma chère Demoiselle. Je le regardais en lui souriant lui rendant son baiser. Quand il posa sa main sur ma joue, je la penchais encore plus pour profiter de cet instant où je m’abandonnais. - Allez prendre votre place, je vous prie. Comme il me l’avait demandé lors de notre dernière entrevue, je me mis au milieu de son séjour. IL avait déposé un grand cousin au sol. J’allais alors m’installer sur cette place si confortable à genou. Je baissais alors la tête. A ce moment là, tous mes sens étaient complètement décuplés. Il me faisait vibrer dans cette pièce où je peux tout libérer. Je voulais qu’il me touche, qu’il me possède, qu’il me pénètre. Ressentir cette appartenance, cette passion dévorante à être à ses pieds pour qu’il me donne atteindre ces sommets de plaisirs qu’on s’apporte. L’un sans l’autre ne pouvons exister. Il avait mis en bruit de fin une musique Massive Attack.. Angel… J'adorais cette musique si possédante. Soudain, je sentis sa main se poser dans le creux de mon dos et remonter doucement vers ma nuque. Il me dit à l’oreille - Je crois Mademoiselle Lane, que vous soyez trop habillée à mon goût Avec sensualité il défaisait mon chemisier. Bouton par bouton… C’était si érotique.. IL prenait son temps. La température montait. Il enlevait doucement mon chemisier. Mes seins étaient nus. Doucement il les effleura pour ensuite s’en emparer. Il m’embrassait le cou, il me léchait. Il était félin. Je sentis alors la douceur d’un tissu partir du creux de mon dos pour ensuite s’égarer sur mes épaules. Je frissonnais. Il plaça alors un bandeau en satin sur mes yeux. Il continua alors encore à me caresser les seins. La douceur de ses mains sur ma peau me rendait complètement folle . IL m’éffleurait. Il déscendit sur ma jupe. Il descendit alors la fermeture éclair. Je la sentis me libérer la taille. Il m’empoigna sensuellement les cheveux pour me jeter en avant, à quatre pattes. D’un geste animale il me l’enleva. Je l’aidais à cette tache. J’étais alors à quatre pattes. Durant quelque instant, je le sentis debout à me regarder. Je n’avais pas mis de culotte comme il me l’avait demandé. Il posa sa main à la naissance de mon anus. Il appuya légèrement pour me faire ressentir dans mon petit cul le rosebud qu’il m’avait demandé d’y placer. Il tenait dans sa main sa cravache. Il me releva le menton. - Redressez- vous je vous prie. Il inspecta ma posture. Il tapa mes mains. - Paume vers le haut ! L’intérieur des cuisses aussi fût corriger. Il les écarta davantage. Il caressa mon dos avec. Il claqua mes fesses. Je fus surprise. Il me sortait de ma torpeur. - Voilà qui est bien dressée maintenant. Mains dans le dos, et ouvrez votre bouche je vous prie. Il y plaça la cravache. - Vos seins ma chère, je vais prendre plaisir eux aussi à les dresser. Il commença par les gifler plusieurs fois. Je trésaillais. Puis il alterna avec des caresses pour ensuite s’en emparer à nouveau. Je le sentis ensuite dans mon dos. Je m’abandonnais contre lui. Il saisit mes tétons et les tira. - Vous me direz stop… quand ou si cela est trop sensible pour vos petits seins. - Je… Oui.. Monsieur, je vous remercie. Il commença par bien les pressés. Je me mordais la cravache. Cette douleur qui laissait place à un soulagement quand il stoppait la pression. Quand il recommençait cette fois il les tira en avant. - Chut…. Je ne veux rien entendre. Je mordais encore cette cravache pour contenir mon plaisir, ma douleur. - Vos tétons dressés sont parfaits ainsi. Soudain, je sentis la douceur d’une corde. Je savais qu’il allait tisser sa toile pour m’emprisonner dedans. La corde passait autours de mes seins, de mon cou, de mon dos, de mes bras. IL m’emprisonna les mains dans le dos. Mes avants bras était attachés, mes mains touchant presque mes coudes de part et d’autres. - Hum, sublime. Vous devriez vous voir ainsi. Emprisonnée, à disposition.. Il saisit alors la cravache. Il la passa sur mes seins qui était quelque peu comprimé, comme gonflés. Il y donna quelques coups. Je pinçais alors mes lèvres. - Levez vous. Je tentais de me lever, ce qui n’était pas chose facile attachée ainsi. J’avais perdue de ma superbe, me sentant malhabile. Je sentais qu’il était tout proche à veiller. Je ne risquais au pire que de tomber sur ce cousin énorme si confortable. Une fois redressée, il me prit alors par les cheveux. - Prête, petite chienne ? Quand il m’appelait ainsi, cela me rendait toute chose.. - Oui.. Monsieur, prête à être votre petite chienne. - Humm… Il me tirait par les cheveux qu’il tenait contre ma nuque. IL me faisait avancer. Je ne savais pas où j’allais. Je tatonais des pieds. - Ne vous inquiétez pas, je suis là, vous n’allez pas vous cogner. Puis d’un seul coup, il m’agenouilla au sol pour m’asseoir sur les fesses. Je sentis alors que j’étais au sol, dos au canapé. - Ecartez bien vos jambes de chienne, que j’admire votre chatte déjà bien trempée. Il me domptait. Je voulais obéir. Pourquoi résister ? Sans aucun ménagement, il mit des doigts dans ma bouche. Je léchais, je suçais.. - Bonne petite bouche suceuse. - Ouvrez la bien. Sortez votre langue. - La voulez-vous ? - Oui.. Monsieur, je la veux. Il me pénétra ainsi avec sauvagerie. Il plaça ses mains derrière ma tête. Il prenait le contrôle . Je n’avais pas le temps de reprendre mon souffle tellement ses va et vient étaient si rapides. Soudain il bloqua sa queue bien au fond. - Humm….. Puis il reprenait.. je reprenais alors mon souffle. Il m’assaillait littéralement. Je pleurais presque. IL me dépravait ou plutôt il révélait ma dépravation. Quand il s’arreta, je sentis sa main sur mon cou pour me faire mettre la tête contre l’assise du canapé. - Sortez votre langue. Il s’assit alors sur mon visage afin de me faire lécher ses couilles. Elles étaient douces, lisses. C’était si agréable à lécher. - Restez ainsi en attente, petite putain. Je me demandais ce qu’il faisait je restais ainsi. Soudain, je sentis quelque chose au bout de ma langue.. Un fruit… Il s’amusait à l’entrer, le sortir… je voulais croquer.. cette cerise. Je sentais la queue de la cerise céder. C’était si bon. Je plaçais alors le noyau sur le bout de ma langue pour qu’il me l’ote.. Il me fit déguster ainsi un de mes fruits préférés… Il me saisit par les cheveux et me redressa. - Buvez… Humm.. un délicieux champagne qui allait probablement me rendre des plus pétillantes. Il me caressait alors la lèvre avec un autre fruit, cette fois je devinais une framboise… Quoi que plus divin que des framboises… - Vous êtes si sensuelle quand vous vous délectez.. Puis il continua sa dégustation alternant les fruits et le champagne. - Hum.. Maras des bois dis-je.. ma fraise préférée. Je souris… - Hum.. Merci Monsieur. J’aime les fruits rouge.. rouge comme vos lèvres.. qui donne envie d’être croquées, malmenées, dévorées… Cette alternance de sensualité et de bestialité sauvage me rendaient complètement addict. L’alcool me montait légèrement à la tête. J’adorais cette sensation. - Encore Monsieur.. encore… - Que voulez-vous. - Encore du champagne s’il vous plait. Il me donnait encore à boire. - Vous savez que cette faveur va vous coûter.. Je souris… Je souris un peu moins que je sentis le métal des pinces sur mes seins. - Pas de bruit. Je vais les serrer un peu plus que la dernière fois. Il prit alors les tétons pour les tirer à lui. Instinctivement je me redressais. Il positionna alors la première pince. Il serra en effet un peu plus que la dernière fois, mais cela était supportable. - Voilà votre champagne, petite chienne de luxe. Je me délectais. J’avalais ce nectar quand il la seconde pince sur mon téton gauche. Je pinçais alors mes lèvres. - Voilà, vous êtes bien ornés maintenant. Cette chaîne est parfaite pour le maintien. Il tira dessus. Je criais alors. J’étais bien droite. Il me redonna du champagne. - Vous voyez, je vous récompense. Je souris. Il me laissa ensuite ainsi au sol. Quand je ne sentais pas sa présence, je me sentais abandonnais. La privation de la vue me rendait encore plus sensible au son et aux odeurs. Quand il se rapprochait, je sentais son parfum me cueillir, quand j’entendais ses pas, je trésaillais à vouloir être contre lui tout en ayant cette peur de l’inconnu. J’adorais cette excitation. Il me releva. Il caressa mes fesses. Il s’était alors assis. Il commença à les claquer… - Penchez vous en avant. Il écarta alors mes fesses… Il vérifia encore le rosebud. - Hum il tient bien en place. Je compte bien vous ouvrir davantage après. Je sentis qu’il s’assit confortablement. - Baissez vous. Je butais alors contre quelque chose de dur au niveau de mon entre-jambe. - Empalez vous. - Voilà, doucement, remplissez votre chatte. C’est là que je sentis qu’il me glissa à nouveau sa ceinture autours de mon cou. Un de ses accessoires fétiches il semblerait.. comme le mien aussi. - Maintenant, baisez vous. Il me contrôlait en tenant la ceinture. En remontant, elle m’enserrait la gorge, augmentant ainsi mon excitation. Je me laissais aller à ce qu’il m’offrait. Je me baisais alors choisissant mon rythme. Il avait placé j’imagine un gode rattaché à sa cuisse. Soudain il appuyait sur mes épaules pour me forcer a avoir le gode bien au fond. - Déhanchez vous.. - Voilà… hum voilà.. Il prit à ce moment là la chaine et tira dessus… Je criais. A ce moment là il me bâillonna avec sa main. Il prenait le contrôle. Il joua avec sa cuisse et commença à me baiser. J’étais contre lui impuissante. Cet abandon. De ne penser à rien, de subir, d’être libérée de ce besoin de contrôler, de réfléchir. De vivre l’instant présent. - Debout et penchez vous. Il se releva et me prit par les cheveux me forçant à me mettre le ventre contre la table basse. Les jambes contre le col. Il m’écarta bien les fesses. Il saisit alors le rosebud.. Il commença à le sortir. Doucement .. puis le remetta à sa place.. Puis il sortait. - Votre fion.. hum.. voir cette petite auréole cédée.. puis se refermer pour l’emprisonner.. - Je pense qu’il va vouloir bien plus gros. Il commença par faire des petits cercles avec son doigt sur mon auréole. Puis il enfourra son pouce.. - Oh oui bien plus gros. - Voulez-vous que votre fion soit comblé, élargi, écartelé.. doigté ? Humm.. il voulait m’entendre le dire… je n’osai pas. Dans une voir murmurante.. je lui avouai : - Oui, Monsieur, j’ai envie que mon petit fion soit comblé. - Elargi et bien écartelé en vous doigtant ? - Oui Monsieur… Il s’approcha. Il claqua mes fesses - Parfait petit chienne. Il passa sa main sur ma chatte bien mouillée. Il humidifiant ses doigts. - Combien de doigts vais-je vous fourrer ? - Je ne sais pas Monsieur, autant que vous pourrez en mettre. - Hum… voyons voir… Il commença tout d’abord par m’en mettre un suivi rapidement d’un second. - Hum… encore Monsieur… J’aimais me sentir fouiller ainsi.. Il enfourna un troisième doigt. - Hum vous vous ouvrez.. c’est si bon. Vous aimez ? - Oui.. j’aime cela. Je sentais alors qu’il rajoutait un quatrième doigt, son petit doigt. Il s’amusait à bien tendre ses doigts pour les aligner. Il entrait et sortait, les resserraient, les retendaient. - Bonne petite chienne dit il en me tenant par les cheveux. Hum… hum… je ne cessais de gémir comme la petite chienne en chaleur que j’étais. Il sortit ses doigts tout en écartant mes fesses. - Quel trou de salope ! Il me redressa en m’agrippant par mes avants bras qui était attachés dans le dos. - Voilà, tout doux. Une fois redressée, il écarta mes fesses tout en plaçant le gode sur mon fion. Il mit sa main sur ma bouche tout en me tirant par les cheveux. D’une fermeté sévère il m’encula avec le gode. - Je vais t’en mettre plein votre petit cul de salope, qui a envie de se faire défoncer. N’est ce pas ? Je ne pouvais répondre. Frénétiquement il me baisait en jouant sa cuisse tout en me maintenant bien pour que je le sente au plus profond de mon fondement. - Allez empalez vous bien petite putain… Voilà… Je devinais qu’il me regardait. Il saisit alors la ceinture. Il serra bien fort et me força à m’encula j’avais vers le gode avec des vas et vient et lui venait avec sa cuisse me l’enfoncer . - Petite salope ! Il me bâillonnait encore, il enfonçait alors son doigt dans ma bouche. Je le mordais , je le léchais, je lui montrais tout le plaisir qu’il me donnait. Jetant sur le sol un cousin assez épais, il me balança dessus. Mes fesses étaient alors surélevées. Frénétiquement il passa alors sa langue sur mon anus plusieurs fois. Il introduit deux doigts dans ma chatte et deux dans mon anus. Il jouait avec mes petits trous si trempés. - Hum … oui…. Oui.. - Vous aimez ? - Oui.. Monsieur j’aime ça… - Voulez vous que je vous défonce bien comme une chienne ? - Oui.. Monsieur défoncez moi je vous en prie. - Ëtes vous ma putain ? - Oui.. Monsieur, je suis votre putain. Il ota alors ses doigts. Il m’encula sans prévenir. Il me tenait par les épaules pour bien me pénétrer. Je sentais sa queue me tenir, me saisir les entrailles. Je hurlais façe a ses coups. - Fermez votre gueule de putain ! Il me tira les cheveux et me chevaucha avec sa queue à me faire galoper le cul. - Regardez mo ce trou béant.. je pourrai y fourrer bien plus que ma bite. Il repris de plus belle. Il me retourna ensuite sur le dos, soulevant bien mes fesses. - Maintenant je vais avoir le choix.. Chatte ou cul.. ou bouche de salope. - Prenez ce que vous voulez, je suis toute à vous. Il se mit sur moi et me saisit la bouche avec sa main. - Oh oui, vous êtes toute à moi et m’embrassa. Il tourna mon visage avec sa main et appuya dessus pour que je ne le bouge plus. Il posséda alors à nouveau mon petit fion. IL ne lui laissait aucun répit. Il agrippa mes cuisses pour accélérer au mieux sa cadence. J’aimais quand il m’enculait ainsi. L’animal qu’il était. Cette fougue. Soudain il saisit ma chaine à téton. Je hurlais. Il me gifla. J’étais surprise. Il se pencha alors sur moi. Son souffle contre moi. - J’aime me sentir en vous… C’est si chaud.. si bon.. Je soupirais de plaisir, de désir.. Il me bâillonna encore… - Chut…. Et là il me donna trois grands coups si intenses que je m’en étais cambrée. Il restait en moi. Il passait sa main sur mes seins. Il retira alors la première pince. Je ne pue retenir un cri. Doucement il les embrassa, les lécha… Il fit de même à l’autre. Libérée de cette contrainte, la sensibilité de mes seins s’en trouvait encore accrue. Doucement il repris avec douceur sa sodomie. Je sentis alors ses doigts s’introduire dans ma chatte en même temps. - HUmmmmmmmmm… hummmm… - Petite gourmande… Je souriais. Comment pouvait il être aussi sensuel, doux et animal à la fois. - J’aime voir ma petite chienne jouir… Il enleva alors mon bandeau. Il plongeait son regard dans le mien.et me sourit. Il était dressé fièrement à me prendre le cul, à posséder de ses doigts ma chatte si dégoulinante.. Il s’attardait aussi à caresser mon clitoris. Mes lèvres étaient gonflées. Je les pinçais. Je commençais à ne plus me tenir… Il avait une telle manière de me toucher, de me doigter, à caresser mon petit clitoris… Doucement je fermais les yeux. - Ouvre tes yeux… je veux voir l’abandon dans votre regard Je le regardais. J’avais presque envie de pleurer. Je contractais mes cuisses.. - Oh oui.. jouis ma belle.. jouis… Je criais ma jouissance tout en le regardant. Je m’abandonnais totalement… - Comme tu es belle… Cette jouissance avait été si forte… Il s’allongea contre moi. Pour me mettre dans ses bras. Il me mit sur le coté, lui derrière moi. Il me caressait les seins tout en m’embrassant dans le cou. - Ce parfum me rend capable de toute les folies.. enfin pas que le parfum… Je souris… J’étais encore sur mon petit nuage. Il le savait. IL me laissait savourer. Au bout de quelques instants il se releva. Il pris le bandeau. Cette fois ci.. il le mit entre mes dents pour me bâillonner.. - Je n’ai pas fini de t’utiliser petite chienne. Il me laissa là.. ligotée au milieu de son salon sur mon cousin de petite chienne…
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Par : le 16/05/20
Le terme anal a traversé les siècles en conservant une connotation toujours péjorative. Au début du XXème siècle, Freud fut le premier à prendre positon en faveur de l’érotisme anal (réflexions limitées au développement de l’enfant cependant: "stade anal") affirmant ouvertement que l’attraction entre deux personnes du même sexe était naturelle et que la bisexualité était innée. Mais nous étions au début du siècle précédent, il ne put explorer plus profondément le sujet, encore moins défendre les homosexuels. Prendre une telle position aurait présenté quelques risques sur le fond car la sodomie était encore considérée comme anormale, voire pathologique. La libération sexuelle a permis de faire évoluer les mœurs. Malgré tout, certains actes sexuels, comme la sodomie, restent controversés. Même si aujourd'hui, le coït anal est en voie de démystification, on est encore loin de lever tous les tabous qui pèsent sur cette pratique. Le sexe anal a donc longtemps été proscrit car historiquement assimilé à l’homosexualité. Double peine pour les homosexuels qui ont le droit de vivre pleinement leur sexualité. En France, la dernière condamnation pour crime de sodomie date de 1750. Finalement l’abolition du crime de sodomie en 1791 a consacré une évolution faisant passer la sodomie d’un acte prohibé à un personnage injustement stigmatisé. Pourtant, est-il complètement pertinent d’établir un amalgame entre ces deux termes ? Ne renvoient-ils pas à des notions divergentes au plan épistémologique ? Ou peut-on observer une évolution du concept de sodomie et sodomite ? De plus, l’abolition du crime de sodomie signifie t-il vraiment une indifférence vis-à-vis des relations homosexuelles masculines ? Ne se situe t-il pas plutôt dans le basculement progressif de la vision d’un acte interdit à un personnage progressivement identifiable par son comportement ? Le terme de sodomie est chargé de symbole, celui de la destruction de la ville de Sodome. Au départ le terme de sodomie englobait toutes les pratiques n’aboutissant pas à la génération. C’est ainsi, que dans les procès intentés à des hommes pour crime de sodomie, on pouvait trouver des hommes accusés de bestialités. Le terme homosexualité est né à la fin du XIXème siècle. Il fut créé par le médecin hongrois Karoly Maria Kertbeny en 1869. Il désignait des sentiments sexuels contraires et doit être replacé dans le cadre de la médicalisation des pratiques sexuelles, dites perverses. Il ne désignait plus un acte, mais une catégorie de personne identifiable. Alors qu'il était jeune apprenti chez un libraire, un de ses amis, homosexuel, se suicida, suite à un chantage exercé sur lui. Kertbeny expliqua plus tard que ce fut à la suite de cet épisode tragique qu'il avait ressenti l'impérieuse nécessité de combattre cette forme d'injustice et qu'il s'intéressa de près dans des études universitaires à l'homosexualité. L’homosexuel du XIXème siècle était devenu un personnage, un passé, une histoire. À partir du XVIIIème siècle, on a assisté à une profonde mutation des discours sur la sodomie. Le plaisir sexuel entre hommes a commencé à être perçu comme un comportement spécifique. Globalement, on a basculé de l’idée d’un acte transgressif à un comportement distinct et identifiable. L’objectif de la répression policière n’était pas d’éradiquer les sodomites ou de condamner les homosexuels mais visait à protéger la jeunesse et la famille. Le but était de limiter la propagation du vice aristocratique comme on le nommait à l'époque, héritage du libertinage du siècle précédent. Dans le domaine pénal, il s'agissait de de limiter ces comportements pour qu’ils ne portent pas atteintes à l’ordre social. Progressive avancée législative. Le sexe anal a donc longtemps été honteux. Injustement, il a stigmatisé la population homosexuelle. À noter que la pénétration anale ne représente pourtant pas l’essentiel de l’activité sexuelle des homosexuels. Selon une enquête ACSF (analyse des comportements sexuels en France), 72 à 80 % des homosexuels ou des bisexuels disent avoir pratiqué la fellation et ou la masturbation durant leur dernier rapport; 42 % disent avoir sodomisé leur partenaire et 28% disent avoir été sodomisés. Les hommes hétérosexuels sont de plus en plus nombreux à recourir à une stimulation anale, la prostate toute proche jouant un rôle dans la capacité à obtenir des orgasmes très souvent ressentis comme étant plus forts, plus puissants. De leur coté, selon la même enquête, 41 % des femmes déclarent accepter et apprécier la sodomie pratiquée par leurs partenaires masculins. Ce n'est pas forcément l’homme qui pénètre, on ne parle pas toujours de sodomie. Cela signifie que la plupart de nos réticences sont fondées sur une mauvaise image. À force de répéter que l’anal est sale et dangereux, on finit par y croire. Bien que la fonction principale de l’anus et du rectum soit de retenir et d’éliminer les déjections, le sexe anal peut procurer d’intenses plaisirs. En effet, cette zone est richement innervée, donc très sensible, se transformant en capteur de volupté. Comme toujours, le consentement mutuel, est le point incontournable pour débuter. Si l’envie n’est pas là, que l’on ait déjà pratiqué ou non, il ne faut pas se forcer pour faire plaisir à son/sa partenaire, cela risque d’être douloureux. Cependant, vous pouvez découvrir seul(e) cette zone de plaisir. La masturbation solitaire peut vous permettre d’appréhender la suite. Pour une première fois, il est utile de commencer par des préliminaires bien choisis. La zone anale reste intime et sensible. Il est donc important de la ménager. Le massage de l'anus peut représenter une bonne entrée en matière, dans la mesure où cette zone du corps très innervée, bien stimulée, peut être à l'origine d'un plaisir sexuel incitateur. Cette étape permet en outre de dilater l'anus pour faciliter la pénétration qui s'en suit. La femme peut aussi stimuler la prostate de son partenaire. En partageant l'expérience de pénétration anale, les amants se retrouvent sur un pied d'égalité qui favorise éventuellement le coït anal qui s'en suit. Les plus audacieux tentent aussi l'anulingus, également source d'extase lorsqu'il est réalisé dans de bonnes conditions d'hygiène. Jeu de langue. On l’appelle aussi l’anilingus, l’anulingus, l’anilinctus ou la feuille de rose, pratique qui consiste à lécher, embrasser l’anus de son/sa partenaire. Quand on ne connaît pas l’état de santé de son/sa partenaire, il est nécessaire d'utiliser une digue dentaire, ou préservatif buccal, c’est un rectangle de latex qui permet de protéger contre les bactéries. Si vous n’avez pas de digue, vous pouvez dans ce cas couper un préservatif dans sa longueur afin d’obtenir un rectangle, un moyen tout aussi efficace. Cette pratique peut-être une bonne entrée en matière ou une pratique à part entière. La plus grande concentration de terminaisons nerveuses de la zone anale se trouve dans l’anus. Pour débuter, une pénétration peu profonde sera bienvenue, avec un doigt par exemple. Appréciez les sensations que cela vous procure. Détendez-vous, respirez profondément, cela peut paraître superflu mais au contraire cela vous aidera à accueillir ce que vous ressentez. Votre partenaire doit vous laissez le temps d’éprouver les effets en restant immobile quelques minutes. Les sphincters anaux vont alors se relâcher. Une fois que vous sentez les parois se relâcher, votre partenaire peut commencer à aller plus profond et atteindre le rectum. Guidez-le, ainsi, il ou elle ira à votre rythme. Plus l’excitation montera, plus les sphincters s’assoupliront. Pour les femmes, la sodomie peut être accompagnée d’une stimulation clitoridienne ou vaginale pour des plaisirs encore plus intenses. Mais pour une première expérience, et la possibilité de la réitérer, les partenaires doivent se préparer en amont. Pour pallier aux obstacles d'ordre hygiénique, il est important de se laver avant, du moins de passer aux toilettes. La zone propre, pas de risque de débordement et donc de honte. Utiliser des préservatifs sur les pénis, doigts et divers outillages peut limiter initialement aussi l’angoisse. Pour que les choses soient faites dans les règles de l’art, un lavement préalable est idéal. Ne jamais passer de l’anus au vagin. Si le danger de la sodomie non protégée ne réside pas dans une grossesse non désirée, il existe néanmoins. Le rectum véhicule des bactéries qui peuvent être sources d'infections. D'autre part, les MST se transmettent par coït anal. Il est utile de porter un préservatif lors de la pénétration anale. Ce qui entre ne ressort pas. Le sphincter anal interne est un muscle travaillant indépendamment de notre volonté. Si vous insérez un objet qui n’est pas destiné à la stimulation anale, cela risque de poser problème pour le ressortir. La zone anale est un terrain propice aux infections. La muqueuse est fragile et poreuse aux virus et aux bactéries. Il est donc indispensable de se protéger quand vous ne connaissez pas encore le statut sérologique de votre partenaire. Aussi, il est très important lorsque vous pratiquez le sexe anal, de ne pas passer de la zone anale au vagin, sans avoir préalablement lavé vos parties intimes ou vos jouets. L’équilibre de la flore vaginale est extrêmement sensible, d'où le risque d'un déséquilibre en y introduisant des bactéries provenant de l’anus et du rectum. Certaines pratiques extrêmes sont risquées: le fist fucking, comme l’introduction d’objets disproportionnés peuvent entraîner des fissures, des abcès, des lésions musculaires, avec une possible évolution vers une incontinence anale. Ensuite place aux plaisir anal. Après avoir pris toutes les précautions hygiéniques nécessaires, on peut s'adonner, entre adultes consentants, au plaisir anal, et inventer de nouveaux jeux sexuels complices, tout en appréciant des sensations délicieuses. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/05/20
Avant de se marier avec Pam, la bombe atomique sexuelle, celle qui si elle va dans le cimetière d'Arlington est capable de faire bander tous les héros morts aux combat, Le général Joe a décidé de rendre sa liberté à Louisa, sa pute attitrée. Dans ce labo si spécial de l'armée américaine en plein désert aride, on a compris que les cerveaux les plus géniaux étaient souvent les plus fantasques. Seule la sécurité compte. Après qui baise qui ou quoi, l'armée s'en fout pourvu que les recherches avancent. Et celles du général Joe et de son équipe sont excellentes car vraiment terrifiantes. Pam dort sagement sur sa banquette après sa série de cyberorgasmes. Parfois elle tremble, encore secouée par des restes de vagues de plaisir. Joe la regarde. Il adore voir la petite lèvre supérieure de Pam frémir légèrement quand elle expire. Bon, la nuit ne fait que commencer et il décide d'enterrer sa vie de garçon. Il file dans son bureau, ouvre une bouteille de Brandy aux plantes suivant une recette Tibétaine, allume un énorme havane, pose les pieds sur son bureau et se détend. L'alcool aidant, il a envie de baiser et appelle sa pute attitrée Louisa, le plus beau cul de la base après celui hors catégories de Pam. -Louisa magne ton cul de pouffiasse et viens me pomper le dard. C'est de cette façon qu'il faut parler à Louisa. Les langages trop polis ou trop policés, ne peuvent pas atteindre ses neurones. Et Quand le général Joe appelle, il faut qu'elle arrive en courant. C'est son job, écarter et se faire sauter. _Bon Louisa, tu sais que j'adore baiser avec toi, mais j'ai fait une demande en mariage au Capitaine Pam, alors ce soir c'est la dernière fois. Après je vais te rendre ta liberté. -J'avais remarqué dès que Madame la Captain est arrivée, comme vous vous matiez pas tous les deux.Pam a intérêt à vous rendre heureux mon général sans quoi je l'excise avec les dents. - Tu en auras pas besoin. Viens plutôt t'embrocher, j'ai besoin de me vider la tête. -et la queue rajoute Louisa en riant. Son job effectué avec une conscience professionnelle sans égale. Louisa est la meilleure pute de tout l'Arizona., elle prend congé en Douce. Le général Joe dort lui aussi, les couilles complètement vidées. Elle décide de rejoindre Black Jack, celui qui a la plus grosse pine de toute la base. Enfin libre de se faire vraiment éclater le cul par qui elle veut et comme elle veut. Elle a envie de se mettre en couple avec Black Jack. Il l'a tellement grosse qu'il fait peur à toutes les femmes, mais pas à Louisa. Rien que d'y penser elle jouit déjà.
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Par : le 16/05/20
Je me plais bien ici... On va rester, mais je ne veux plus rien avoir à faire avec la bande des « Flots bleus »?! Ce soir, on va dans un bon restaurant et demain, on avisera. Depuis mon arrivée, j'ai envie d'un loup grillé au fenouil. Maintenant, je peux me le payer. Pour Julien, ce sera des raviolis ou une pizza, ça lui apprendra à sucer la bite des hommes sans que je lui en donne l'ordre. Moi, injuste?? Bah... oui. Première chose, je ne suis plus fraîche du tout?! On s'arrête le long de la plage, de l'autre côté du village. On va se laver dans la mer... L'eau froide me fait toujours le même effet : je fais pipi?! Toutes les femmes font ça dès qu'elles ont les fesses dans l'eau froide. Je suis fatiguée mais j'ai envie de me changer les idées. On marche le long de la mer sur la bande de sable dur que les vagues viennent lécher. Pour une fois, j'ai envie de donner une explication à Julien : — Ton cul est à moi, je déciderai quand il faudra te dépuceler. — Oui Samia. — Tu as aimé le sucer ce mec?? — Euh... — Réponds?! — J'aurais préféré lécher celui qui t'a pénétrée... Voilà... ça, c'est normal?! Je sens les regards des hommes sur moi. J'aime ça. Quand je suis bien sèche, on laisse les vélos attachés et on part dans le village. Je sais qu'il y a un très bon restaurant un peu plus loin. Je vais lire la carte. Un couple s'apprête à entrer dans le restaurant. Lui a l'air d'un Lord anglais : grand, mince, une cinquantaine, d'années, une belle chevelure poivre et sel et une moustache assortie. Il a un bermuda et un polo. Elle a la quarantaine, plutôt forte, rousse et séduisante. Elle est vêtue de voiles transparents. Le Lord me dit : — Je vous conseille le loup grillé, c'est un délice. Oh putain, j'en veux un?! Je prends la tête de la petite marchande d'allumettes qui attend vainement un client et il neige, en plus. Je réponds : — Je n'en ai jamais mangé et hélas, c'est au-dessus de nos moyens. Je lui montre ma main et j'ajoute : — Regardez, je me suis brûlé la main quand toutes mes allumettes ont pris feu. Il reste un moment interloqué et puis il éclate de rire. Quand il est calmé, il me dit : — J'ai compris : tu es dans le conte d'Andersen « La petite marchande d'allumettes »... Tu t'appelles comment?? — Samia et mon frère, Julien. — Vous êtes en vacances?? — Oui, mais on travaille aussi, je suis serveuse et mon frère vend des glaces. Il regarde mon tatouage et demande : — Tu es danseuse?? — On est des Roms?! Là, je l'intéresse?! Il flashe sur les filles roms?? Il me dit : — Je vous invite tous les deux. Pour nos amis, tu dis comme moi. La femme ressort du restaurant et lui dit : — Tu viens, Jibi?? Jibi?? Alors, soit il s'appelle Jean-Baptiste, soit c'est un amateur de whisky. Sans doute les deux?! Il répond : — Quel hasard, c'est la petite manucure qui s'occupe de moi chez le coiffeur ! Elle est en vacances avec son frère. Je les ai invités à manger avec nous. — Les Dupont-Jourlieu vont être surpris de manger avec ta manucure. Jibi se met à rire, il est cool?! Je m'adresse à la femme : — On ne veut pas s'imposer, d'autant plus qu'on a pas de vêtements. Elle me sourit et répond : — C'est parce que nos amis sont un peu snobs. Pas de problème pour la nudité, on est dans le village naturiste. La nudité te va très bien. C'est gentil... On entre. Jibi me présente à leurs amis : — Samia, artiste ongulaire (!) et Julien, son petit frère. Nos amis Léopold et Marie Catherine. Artiste ongulaire, il est farce, Jibi?! Mais, bon, ça a l'air de convenir aux Dupont-Jourlieu, qui ont l'air d'avoir pas mal picolé. Une jolie serveuse apporte des chaises et ajoute des couverts pour Julien et moi. Elle nous donne aussi des serviettes... pour nous asseoir dessus?! Jibi me dit : — Je te recommande la poutine, ce sont des alevins de poisson – un délice ! – et ensuite le loup. — D'accord. Je salive... On parle un peu, j'explique à quel point c'est valorisant de transformer des ongles en œuvres d'art. Je bois du Sauternes pour la première fois, j'adore ça?! Julien me regarde avec son air suppliant habituel. Je fais un signe de tête, qui signifie "tu peux, exceptionnellement". Oui, je suis trop bonne avec lui... La poutine et le loup, j'adore... Je ne parle pas beaucoup, trop occupée à manger et boire. Comme dessert, il y a un chariot de dessert. Je me goinfre de moelleux au chocolat, avec glace vanille, crème fraîche et coulis de framboise. Sous mes nichons, je vois mon ventre gonfler. Je participe d’autant moins à la conversation que les hommes parlent de l'indice Dow Jones, que je connais très mal, et les femmes d'un nouveau beau professeur de yoga. Le repas se termine. Les Dupont-Machin prennent congé. On sort et je remercie chaleureusement Jibi : j'ai enfin goûté au loup?! Version poisson, bien sûr. Il me demande : — Vous venez jouer avec nous?? Jouer ou plutôt baiser?? Eh oh?! Il est pas marqué "pute" sur mes fesses?! Il ajoute : — Pour 1000 francs (un peu moins de 200 euros). — D'accord. En fait, je crois qu'il est écrit pute sur mes fesses?! On se dirige vers leur hôtel et Cynthia, la femme de Jibi, me prend par la taille en disant : — Vous êtes charmants tous les deux. Ah, c'est gentil. Leur hôtel est tout prêt et il est vraiment classe. Le personnel est habillé, je continue à trouver particulièrement excitant d'être nue au milieu de gens habillés. Ils occupent une belle chambre au dernier étage avec une grande terrasse et "vue mer". Bon, il faut gagner nos 1000 francs... Je dois avouer que suite à l'après-midi au cours de laquelle, je suis passée un court moment du côté obscur, je n'ai plus du tout envie de lécher une chatte?! Jibi nous dit : — Un peu de champagne, les enfants?? — Oui, volontiers. Ce soir, j'ai laissé Julien boire de l'alcool, mais c'est exceptionnel. À partir de demain, régime sec pour lui. Je dis à Jibi : — Je passe à la salle de bain... — Non, attends. Tu vois, ma femme et moi, nous sommes des adeptes de l'urinothérapie, donc j'aimerais que tu nous pisses dans la bouche. Urinothérapie, ça existe, ça?? Je crois plutôt que ce sont des gros vicelards comme tous les gens de la haute société. Jibi et Cynthia qui sont si classe, genre châtelains, polo club, Rotary et autres truc de riches, il faut leur pisser dessus?? Ça me plaît?! Ça compensera mon attitude avec Kriss, je dois oublier ça?! Allez, pfff : oublié?!! Et comment qu’on va leur pisser dessus ! Si on peut faire plaisir tout en se soulageant et en gagnant du fric : c'est le pied. Oui, je suis moins "classe" qu'eux. Cynthia me dit : — Voilà ce qu'on aimerait, tu pisses dans la bouche de Jibi et puis dans la mienne. Ensuite ton frère fait la même chose. — Vous voulez que mon frère participe?? C'est que.... — Combien Jibi t'a-t-il proposé?? — Mille francs. — Mille francs de plus avec ton frère, ça va?? Le prix de la pisse augmente?! On a du fric dans nos vessies?! — D'accord, mais il ne faut pas traîner, ça presse. — Viens sur la terrasse, ma chérie. Voilà que je suis devenue sa chérie, est-ce grâce à ma vessie?? On va sur la terrasse, ils se déshabillent et se couchent l'un à côté de l'autre. Jibi m’explique : — Tu pisses dans ma bouche, mais tu t'arrêtes avant que ce soit fini et tu termines dans la bouche de ma femme. Je vous donne un truc : si vous avez envie de jouer "douche dorée" ou "champagne tiède" en étant allongé sur le sol, votre partenaire doit tourner le dos à vos pieds pour que le jet arrive bien dans votre bouche. Si votre femme a un patron un peu vicieux, elle doit être au courant. Oui, j'adore parler des femmes de mes lecteurs, mais je vous ferais remarquer que je ne parle ni de leurs mères, ni de leurs sœurs, ni de leurs filles, ni de... — SAMIA?! Continue?! Oui, oui... Je me place au-dessus de la belle tête aristocratique de Jibi et je m'accroupis de façon à avoir la chatte au-dessus de sa bouche. De la main droite, j'écarte mes grandes lèvres et je pousse. Putain?! Ça m'excite de faire ça. Je pousse et je fais d'abord quelques gouttes, qu'il avale goulûment. Et puis mon jet jaillit vraiment, dru, jaune, et il avale. Comme il doit fermer la bouche pour déglutir, il a de la pisse plein le visage et les cheveux. Cynthia qui est à genoux, me dit : — Ne m'oublie pas?! Merde, c'est vrai. Je change de pot de chambre?! Je veux dire de bouche et je vais vite l'abreuver. Elle aime?! Je pousse et, bon, ça arrive à toutes les filles, même si elles sont des princesses, je pète un peu. Quand j'ai presque fini, elle me lèche la chatte, elle est assoiffée?! Ça m'a vraiment excitée, leur petit jeu. Deux gadjos qui boivent ma pisse, quel pied?! Je vais faire un article pour «?La voix des Roms?» et «?Tous les chemins mènent aux Roms?». J'imagine le chemin parcouru par le Sauternes et le champagne : ma bouche, mon estomac, mes reins, ma vessie, mon urètre, mon méat et puis leurs bouches. Je me relève, eux se mettent à genoux. Ils sont là, bouche ouverte comme deux gargouilles de Notre Dame. Si, si, il y a des gargouilles qui ont vraiment l'air d'attendre la pisse d'Esmeralda ! Ou peut-être la pluie... Esmeralda est d'ailleurs une gitane, comme moi. À Julien, maintenant. D'accord, il a un tout petit robinet, mais il doit sûrement pisser, lui aussi. Je lui donne une claque sur les fesses en disant : — Allez, pousse ! Il pousse un petit cri et fait un bond en avant, manquant de peu de mettre sa petite bite dans l'œil de Jibi. Quelle moule?! Oui, mais bon, on ne va y passer des heures, alors aux grands maux les grands remèdes, je lui fais : — Psssssiiiiiiiii... Aah?! Un jet de Sauternes devenu urine vient glouglouter dans la bouche de Jibi puis de Cynthia. Ils avalent le plus possible, les goulus?! En résumé, on a bu du Sauternes et du champagne, qui a ensuite été recyclé en pissant dans leurs bouches. La suite est logique, enfin presque, puisque Cynthia nous demande : — Vous voulez qu'on vous fasse jouir, les enfants?? Je pourrais discuter pour essayer d'avoir plus, mais je ne suis pas ce genre de fille. Enfin, surtout quand je suis excitée. Et puis, c'est offert de bon cœur?! Julien et moi, on se couche sur les lits de plage et le couple nous lèche. C'est-à-dire, Cynthia me lèche et Jibi suce le petit sexe de Jibi. Son sperme va faire "plouf" dans l'estomac du Lord. Cynthia lèche très bien ce qui ne m'étonne pas vu ses tendances. Elle me fait jouir et puis elle lèche soigneusement le plan de travail. Julien jouit dans la bouche de Jibi. On dort là.... Fin de la première partie. A suivre
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