La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 23/09/21
- Mademoiselle Lane, j’ai mené mon début d’enquête. Il semblerait que vous soyez mêlée à plusieurs affaires. Les amis de Monsieur Franz se souviennent en effet d’une femme blonde saoule. Je le regardais. Sa fière allure. Il prenait soin à enlever ses gants en cuir. Toujours impeccable sur lui. Malgré moi, je me savais en sécurité avec lui contrairement à cet Herr Lintzer. Il me glaçait. Sa voix à lui était chaude, suave. Son français impeccable. - Asseyez-vous je vous prie. Je le regardais, interdite. Qu’attendait-il de moi ? - J’ai dit asseyez-vous, je ne le répéterais pas. Je l’écoutais faire le point sur ce qu’il avait découvert. Ma chambre où je logeais a été vidée. Les adresses que je lui avais indiquées personne ! Je sentais l’étau se resserrer sur moi. - Comment est-ce possible ? je vous ai dit la vérité ! - Je ne peux malheureusement vérifier vos dires. Un homme est mort. Regardez-vous. Une femme belle, avec de tels atouts faits tourner la tête des hommes. Peut-être feignez vous d’être cette femme innocente. Je levais mes yeux vers lui, complètement perdue. - Oui ce regard là.. mais je ne me laisserai pas prendre. J’ai demandé à Monsieur Lintzer de vous interroger. - Monsieur Lintzer ? je.. non je vous en prie. Il but une dernière gorgée de vin en se levant. Je me levais en allant vers lui, je courus vers lui. Je m’accrochait à son col. - Je vous en prie, vous devez me croire. Ses yeux bleus plongèrent dans les miens. Il me repoussa en me plaquant contre le mur. Je sentais son souffle dans mon cou. Le temps semblait s’arrêter. Il emprisonnait mes mains d’une main ferme. - Monsieur Lintzer vous interrogera ! cessez maintenant. - Je vous en prie ! je vous en conjure, ne me laissez pas avec cet homme. - Monsieur Lintzer a toute ma confiance pour vous interroger. Il me regarda quelques secondes, puis quitta ma cellule me laissant ainsi. Je tremblais à l’idée d’avoir à faire à nouveau à cet homme. J’avais ressenti sa violence, son regard poisseux sur moi. Comment pouvait-il lui faire confiance ?. Je me recroquevillais sur mon lit. Ma tête contre mes genoux. Soudain, j’entendis des pas. - Humm Prinzess… Cette voix allemande me glaçait. La manière dont il avait prononcé ce mot. Deux gardiens me trainaient par les bras. Je refusais de me laisser faire. - Lâchez moi !!! Il se rapprocha de moi. Tout en plongeant son regard dans le mien, - Wir haben vielen frangen… und du antworten muss ! Il emboita le pas, Je me débattais jusqu’à ce qu’on me traine à son bureau. Siège en cuir, tout était à sa place. Si strict tout comme semblait l’être sa personne. On m’installa à un siège face à lui. Il commença à m’interroger. Les deux autres gardiens étaient derrière moi. Il s’adressa en allemand, sans que je comprenne, à ses hommes. Ces derniers sortirent. Comment voulait il faire son interrogatoire alors que je ne maitrise pas la langue allemande. - Je veux voir quelqu’un de France, un avocat. Vous ne pouvez pas me garder ainsi. Je gardais mon calme, je ne voulais pas céder à la panique face à cet individu. Il se leva, et s’installa face à moi. Il posa son fessier sur son bureau en restant légèrement debout. Puis il me dit : - Je parle votre langue. Voyez-vous. Pas besoin d’autres personnes pour vous interroger. Avec moi, vous allez avouer, vous allez me supplier pour que je cesse de vous interroger. - J’ai dit la vérité à votre supérieur. - Ah Ja.. Herr Ludwig. Je vois qu’il s’est laissé charmé. Il n’est pas objectif. Moi je le suis. J’ai mené mon enquête aussi. Vous avez délibérément charmé Monsieur Franz. Un de ses collègues nous a indiqué comment vous vous y êtes prises. Pour eux, vous étiez deux putains. - Comment… osez-vous me traiter de putain ! - Vous êtes une putain, probablement une espionne, et probablement une meurtrière. Je le regardais, cet homme me dégoutait. Il se dégageait quelques choses de malsain dans sa manière de me parler. - Voici l’arme qui a tué Monsieur Franz. Expliquez-moi comment elle s’est retrouvé dans votre sac ? - Je ne le sais pas ! je vous jure, je ne sais pas. J’ai tenté de retrouver mon amie Claudia. - Nous n’avons pas trouvé votre soi-disant amie.. Claudia. A l’adresse indiquée, personne. La maison était vide. Là où vous nous avez dit dormir, rien ! vous êtes qu’une vilaine petite menteuse. Puis il me donna une gifle. J’étais là, interdite. Tenant ma joue rouge. Je me devais de le garder sous contrôle. Je prenais ma respiration. Je ne disais plus rien. Il se leva et tourna autours de moi. Il était derrière moi. Puis il tira sur mes cheveux pour attirer ma tête en arrière. - Je vais te briser ! me dit il en ayant son visage presque collé au mien. Je tenais ses mains avec les miennes, tentant de me défaire. - Arrêtez je vous en prie. Vous me faîtes mal ! - Alors parle moi de cette soit disant Claudia. Pourquoi avoir tué Franz ? Nous rentrions dans un dialogue de sourd. Quoi que je fasse, il n’écoutait rien. Il avait déjà sa position. Il me gifla à plusieurs reprises. J’étais épuisée, je voulais retrouver ma douce cellule. Le temps me paraissait infini. Aucun échappatoire. Personne ne savait que j’étais ici. Et cet homme, Lintzer allait probablement faire de moi son souffre douleur. L'interrogatoire terminé, on me ramena à la celulle. Et cet officier, le reverrai-je ? A quel jeu jouait-il avec moi ? En pleine nuit, je me réveillais en sursaut. - Hallo Prinzess. Herr linzer était dans ma cellule. La lumière froide du corridor me faisait mal au yeux. - Qu’est ce que vous me voulez ? je vous ai dit tout ce que je savais. Par pitié arrêtez. - J’arrêterai quand tu auras avoué ton crime. Je me levais, toujours habillée de ma robe de soirée. Je n’avais rien d’autres. - Faites votre métier ! enquêter ! je vous ai dit la vérité. Sans ménagement il vint vers moi, me prenant par le cou. Il m’orienta vers la table et plaqua ma tête dessus. - Ferme ta petite gueule. C'est moi qui parle et donne les ordres ici! De son autre main, il releva ma robe. - T’es une belle putain, je dois le reconnaitre. Tu as dû en faire des ravages. Sentir des queues. Humm tu es bien chaude. Je sentais sa main s’aventurer dans mon entrejambe. Je me débattais, mais lui me tenait toujours aussi fermement par le cou. Il avait saisi sa matraque qu’il avait attaché à son uniforme. Il commença à me battre avec sur les fesses. - Tu crois que je veux baiser une femme qui a connu tant d’hommes ! Je fermais les yeux, pensant que j’étais dans un mauvais rêve. Mon cerveau se mettant en pause. Je pensais à des choses douces, à mes parents, mes grands parents. Que pouvais-je faire face à ce pervers ? - Voilà comment on corrige une femme et qu’on la remet à sa juste place. Puis il quitta la pièce le laissant sur la table, la robe relevée. Mon fessier était douloureux. Il m’avait tant fessé. - Je reviendrais pour m’occuper de toi plus tard Prinzess. Je me sentais terrifiée. J’allais me coucher comme je le pouvais sur mon lit. Tremblante. Le lendemain matin, on m’emmena à la douche. Je peinais à marcher. Je ne sentais plus la froideur de la douche. J’imaginais où j’étais… repensant à la chaleur de ma chambre, à ce temps où j’étais libre. Les jours filaient, j’étais heureuse de ne pas le voir, cet herr Lintzer. Allais-je moisir ici. J’avais parler trop vite. - Humm Prinzess… Comment allez-vous ? Je relevais la tête, avec ce regard qui en disait long. Il s’approcha de moi dans ma cellule. Il me coinça dans le coin de cette dernière. Je ne voulais pas lui montrer combien il me faisait peur. Il était plus petit que moi. On aurait dit un petit caniche aboyant sur tout. - Votre seule manière de vous montrer supérieur, Herr Lintzer est d’écraser les autres. Vous pensez que vous allez me briser, vous rêvez. Vous êtes bien petit ! Vous pouvez me battre, faire de moi ce que bon vous semble. Jamais je vous céderai ou avouerai un crime que je n’ai pas commis. Allez-vous battez moi ! vous ne savez faire que cela. Je voyais son visage devenir rouge. Il leva la main pour me gifler. - Allez y, vous ne savez faire que cela ! lui répondis je en souriant. Il mit sa main sur mon cou pour m’immobiliser. - Je sais que tu aimes ça ! ton entrejambe est chaud. Sans aucun ménagement il déchira ma robe, dévoilant ainsi ma poitrine. Immédiatement, je me cachais derrière mes mains. - Tu la ramènes moins ! Pour ce soir, j’ai des projets pour toi.. Prinzess ! Je ne voulais pas céder à la peur. On vint me chercher, je ne savais pas quelle heure il était.. J’avais faim, froid. C’était sa manière je pense de me torturer. Il devait jubiler. Je ne lui montrerais rien. ON m’avait apporter une espèce de nuisette rose poudrée, des chaussures élégantes et des sous vêtements. Quand on vint me chercher, j’avais garder ma robe de soirée qu’il m’avait déchiré, en l’attachant comme je le pouvais. Mais au lieu de m’amener à lui voyant que je n’étais pas habillée comme il l’avait désiré, il se présenta en personne. - Je vois, me dit-il. Je vois que je m’occupe de toi, Prinzess, et que tu refuses d’être bien traitée. Tu fais ta difficile. Comme à mon habitude, je le toisais du regard. Il tenait toujours sa matraque. - Tu as 5 min pour te changer. Il s’assis sur la chaise. 5 min. Après je sévirai. Je m’assis alors sur le lit ne voulant céder à son exigence. Je lui souriais. Je savais qu’il allait sortir de ses gonds mais peu importe, je m’étais mis en tête de ne pas lui céder. - Il me montrait sa matraque. Dois-je encore te punir ? - Allez-y ! jamais vous ne me rabaisserez à votre niveau. - A genou ! - Jamais. - J’ai dit à genou ! Il donna un coup de matraque au niveau de mes genoux qui me fit plier et tomber au sol. Je me retrouvais ainsi assise au sol. Je sentais sa rage. Il appuya sur ma tête. - Tu vas ramper à mes pieds. J’en ai maté plus d’une qui était comme toi à me résister. Toi, je vais prendre un plaisir fou à te dresser Prinzess. Il appuya sa chaussure sur ma tête. Je ne voulais pas céder aux pleurs. Jamais, jamais devant cet homme. - tu vois, je voulais te faire prendre du plaisir, te voir te faire sauter par mes gardiens. et tu refuses d'être baisée... quelle putain fais-tu... - Que se passe-t il ici ? J’entendis alors la voix réconfortante de cet officier. - Ah Herr Ludwig. Ils se parlaient en allemand. Puis l’officier s’adressa à moi. - Je vois que vous faîtes tout pour rester ainsi. Herr Lintzer vient de me dire que vous ne coopérez pas. Et que vous tentiez d’utiliser vos charmes pour échapper à vos interrogatoires. J’étais la poitrine presque nue. La situation ne jouait pas en ma faveur. - Je vous en conjure, je vous ai dit la vérité. Cet homme me terrifie. - Cessez cela avec moi ! Soudainement, je décidais de me montrer nue, lui montrant mes bleus. - Et ça, vous appelez cela comment comme interrogatoire ? - Herr Lintzer ? il le regarda de manière interdite. L’officier soudain laissa place à une certaine douceur. Il retira alors son manteau pour me couvrir. - Herr Lintzer, cette affaire est sérieuse. Qu’avez-vous fait ! - Mademoiselle Lane, venez ici. Il me prit par le bras, sous sa protection. - Je la transfère à un autre centre là où est mon bureau. Monsieur Lintzer, nous n’en resterons pas là avec vos méthodes. Je lâchais enfin prise, mes nerfs lâchaient. Je me réfugiais dans ses bras malgré moi. Le réconfort de cet homme me faisait oublier tout ce par quoi j’étais passée. J’avais trouvé mon protecteur, enfin je le pensais à ce moment. - J’emmène la prisonnière avec moi. J’étais dans son véhicule, je n’arrivais plus à parler, je tremblais encore et encore. Etais-ce son contact, étais-je malade ? Je m’endormis sans avoir de crainte. Le lendemain matin, je me réveillais à nouveau dans une cellule. De nouveaux vêtements m’avaient été déposés. - Véronika, réveille toi! Je reconnus alors la voix de Claudia….
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Par : le 21/09/21
Ceci est le premier chapitre d'une série... Il s'agit d'un prélude.. Avis aux amateurs, ils seront peut être deçu mais pour une fois ce n'est pas une nouvelle pornographique mais une partie d'un petit roman que j'écris au fil du temps... Dessin personnel..... *********************************************************************** München 1937 Le fond de la musique était entrainante. La voix de Fats waller jouant Ain’t Misebehavin m’entrainait. Habillée d’une robe longue noire avec mon sautoir, le rouge à lèvres dessinant mes lèvres, mes cheveux savamment crantés, j’avais suivi Claudia à cette soirée. Les hommes habillés d’une grande élégance, le vacarme, le champagne, la bière, la fumée du cigares laissait régner cette période de bar clandestin, où je me sentais moi-même clandestine dans cette période de mouvance. Le temps était à la fête et non à la tristesse. Je devais me trouver une place pour m’intégrer à cet univers. Je sentais le regard des hommes sur mon décolleté, tentant de m’aborder et je feignais l’indifférence. J’avais rencontré Claudia un après-midi au café, d’une blondeur incroyable, elle avait les traits fins. Elle attirait tous les regards. Ses yeux bleus vous transperçaient. Elle avait un style incroyable. - Hallo, Mein Name is Claudia ! Sie sind ein Husche Mädchen. Je la regardais en souriant. - Vielen Danken, aber mein deutsch is schlecht. C’est là qu’elle me dit.. - Oh mais je suis française ! toi aussi ! que c’est bon de voir une compatriote ici !. - En effet, je me sentais un peu seule. Je tente de rejoindre mes grands parents en Pologne. - Je suis arrivée hier et j’ai envie de découvrir cette ville, elle est sublime ! Pardon, je ne me suis pas présentée, Véronika. - Eh bien enchantée Véronika ! Laisse moi te montrer cette sublime ville ! Demain, je dois aller à une fête privée organisée par des hauts placés, viens ! - Je ne sais pas.. Allez viens, tu t’amuseras et qui sait tu feras de belles rencontres, belle comme tu es. - Soit.. d’accord. Claudia portait cette robe blanche, on aurait dit un ange. Et moi le côté sombre dans ma robe noire. Nous contrastions tellement nos physiques étaient opposés. Elle si mince, moi pulpeuse, elle petite, moi grande. Elle avait ce don de faire que vous saviez que vous allait l’aimer, cette facilité de contact. Soudain, je sentis une main m’attraper par le bras et m’emporter vers la piste de danse. Un allemand très grand très charmant, si souriant.. je me laissais embarquer par toute cette folie. Nous étions à la fois dans un lieu luxueux mais où les gens avaient classe mais simplicité. Je ne comprenais pas un traitre mot de ce que me disait cet allemand qui était aussi bien éméché mais je passais une soirée divine. Soudain Claudia me choppa par la bras. - Viens Véronika. Regarde là bas… il y a Franz. Il est si charmant, tu devrais aller faire sa connaissance ! - Mais pourquoi ? - Tu ne devrais pas rester seule Véronika. Profite et trouve toi un protecteur. - Mais je ne veux pas, je veux avoir mon indépendance. - Les hommes voudront toujours ta beauté, te posséder alors à toi de prendre les rennes et de choisir avec qui tu seras. Tu sembles être une jeune femme intelligente. Profite des hommes qui voudront profiter de toi. Je ne voyais pas où elle voulait en venir. Elle me prit alors par la main, et me fît courir à travers cette foule vers cet homme. Arrivé à sa hauteur, elle feint de tomber, d’être saoule. Je voyais son manège. Je me sentais quelques peu gênée. Cet homme ce Franz, portait un uniforme, il avait une telle prestance. J’aurai dit la quarantaine, assez grand, châtain clair. Il était en plein échange avec d’autres militaires. L’intrusion de Claudia les stoppa dans leur élan. - Entschuldidung, Meine freudin hat zu viel alkool getrunken. - Kein Problem me répondit ce Franz. Claudia se redressa et regarda Franz dans les yeux, lui adressant son plus grand sourire avec ses yeux de biche perdue. Je voyais bien son jeu. Franz paraissait gêné. Je ne voyais pas ce qu’elle lui trouvait. Je n’avais jamais aimé dépendre des hommes pour l’aspect financier. Je voulais garder ma liberté mon indépendance. Les temps était si rude, ma situation était si compliqué. Je ne mangeais pas à ma faim, je devais faire attention à tout. Je ne savais même pas comment j’allais encore quitter Munich. J’avais quitté Strasbourg mais mes économies partaient si rapidement. J’étais partie avec les maigres affaires que j’avais. Claudia tentaient d’engager la conversation, mais ce Franz ni les autres ne semblait intéressés par elle ou moi. Leur conversation semblait si sérieuse. Je ne comprenais pas tout. Pourquoi Claudia jouait-elle à ce jeu là ? - Claudia, je vais au toilettes, je reviens je vais me repoudrer le nez. En repartant des toilettes, dans ce long couloir plus ou moins sombres, je croisais Franz. - Fraulein ? - Fraulein, entendis-je plus fort. Je me retournais, il était là face à moi. - Vous êtes franzosich ? - Ya, ich bin Franzosich. Ich kömme Von Strasburg. - Ah ja, je parle un petit peu français… Son visage s’était illuminé à l’idée de parler français. - Möchten Sie Champagne Trinken ? _ Hum ja, gern. Je me laissais embarquer, sa prestance était impressionnante et surtout il n’était pas lourd. Il semblait sincèrement gentil. Au loin je vis Claudia me faire un grand sourire. Elle était restée avec un autre militaire du groupe. Assez séduisant je dois le reconnaitre. Je me laissais emporter par la musique, la danse enivrante, les bulles de champagne me rendant si pétillante. Franz était d’une agréable compagnie même si je ne comprenais pas tout. Franz m’avait embarqué sur la piste. Tout tournoyait autours de moi. Les discussions sérieuses avaient laissé place à la fête. Franz et ses amis abusait de ce champagne coulant à flot. Claudia, elle s’amusait toujours avec cet homme. J’étais ravie pour elle. Elle semblait bien s’amuser. Elle avait cet intelligence à feindre ce côté quelque peu nunuche. Toujours laisser croire aux hommes qu’on est stupide me disait-elle. On valsait, tout tournoyait… ma tête me tournait. - Franz, stop, ma tête tourne… - Venez… Il m’enlaça pour me soutenir mais son étreinte indiquait qu’il voulait davantage. - Franz… ich.. - Chut.. Il tenta de m’embrasser. Je me dégageai farouchement. Je protestais en français en oubliant mon allemand ; - Mais pour qui vous prenez vous ! - Vous, jolie.. J’allais rejoindre Claudia, je voulais rentrer. Je ne voulais pas que cette soirée vire à une situation que je ne pouvais maitriser. Claudia était saoule, et je me méfie des hommes saouls. - Veronika… me chantait-elle. Ah ma chérie, viens on va finir la soirée chez Gutner ! - Je… non… allez viens ! Je ne voulais pas la laisser dans cet état. - Tu es impossible ! d’accord mais je viens pour toi ! Soudain il y eu une soudaine agitation, les lumières s’éteignèrent. Une descente de police. Je vis Claudia se faufiler. Des cris de partout puis des détonations. Les gens courraient dans tous les sens. Je perdis Claudia de vue. Nous nous retrouvions séparés. La foule m’emporta vers le couloir des toilettes. Quand en arrivant je vis Franz, allongé au sol. - Franz ! Wie geh’ts ? Je l’attrapais par le col. - Franz !! réveillez-vous ! Je me relevais, et je vis du sans s’échapper. Je paniquais. Ma seule idée a été d’aller au toilettes pour me réfugier. Je tentais plus bien que mal de me nettoyer les mains. La police faisait une descente dans cette soirée clandestine. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait. Je respirais profondément pour ne pas céder à la panique. Franz était blessé, moi dans les toilettes, et s’ils me trouvaient ? Soudainement, j’entendis la porte des toilettes être défoncée. Un policier était face à moi, me prenant par le bras, fermement. Je me laissais faire, il me conduisit à l’intérieur du bar où ils avaient rassemblés les gens. Le chef de la police, enfin celui que je supposais m’être au vue de son uniforme, de son regard et de ses pas scrutait l’horizon. Le policier me présenta à lui et je compris à son allemand qu’il disait : - Celle là était dans les toilettes. Que fais-je ? Elle était à coté du corps. Sans ménagement, il me prit par le bras et on m’emmena avec les autres femmes. Il resta à mes côtés. Plus tard, on nous emmena dans un camion. Je voyais les lumières s’obscurcirent… je tremblais. Je n’avais plus revu Claudia. Je n’avais aucun papier sur moi. J’avais perdu mon sac dans la cohue. Les larmes commençaient presque à perler. J’étais en compagnie d’autres femmes allemandes. Qu’allait il se passer?. Je trésaillais. - Schnell ! On me poussa vers une sorte de caserne de police assez lugubre. De vieux murs en pierre assez épais. Des lumières froides au plafond. Quand je vis un des policiers venir vers moi, je compris que j’étais dans de sales draps. Il me prit par le bras et me poussa vers une pièce avec une table et quatre chaises. D’une froideur à vous glacer. -Sitzt ! Je m’assis, attendant avec peur. L’homme que j’avais aperçu à la soirée, le supérieur pénétra dans la pièce. Son regard me glaça. Il s’adressa en allemand. Je ne comprenais pas ce qu’il me disait. - Je m’appelle Veronika L. je suis française. Je suis désolée mais je ne comprends pas ce que vous me dites. Je ne cessais de répéter mais il faisait mine de ne pas comprendre. Je sentais son agacement. Il se leva, venant vers moi. Il m’empoigna les cheveux alors que j’étais assise pour me pencher la tête. Je sentais qu’il m’insultait dans sa langue. Mon niveau n’était pas assez élevé pour comprendre. Mes larmes commençait à perler. Soudainement il me gifla. Je tentais de me protéger avec mes mains, ne sachant comment me sortir de cette situation. Quand soudain, un homme pénétra dans la pièce. Un homme grand, blond, des yeux implacables, bleus. D’une élégance qui me fit oublier où j’étais. - Herr Lintzer. Stop! Jetzt! C’est tout ce que je compris. J’avais saisi qu’il faisait un rapport à son supérieur. Puis l’homme qui m’avait giflé, ce Herr Lintzer quitta la pièce. Je me suis sentie soulagée, heureuse que ce dernier quitte cette pièce. - Mademoiselle Lane. C’est bien cela ? - Oh vous parlez français.. oui c’est bien cela. - Mon pfficier m’a indiqué qu’on vous a trouvé non loin du corps d’un officier allemand. Vous vous cachiez dans des toilettes. Où sont vos papiers pour prouver votre identité ? - Eh bien dans la panique ils sont restés dans les toilettes je pense. Je ne me souviens pas. - Cela ne joue pas en votre faveur. Vous êtes suspectée de meurtre. - De meurtre ? mais je n’ai jamais tué qui que ce soit. Parlez vous de Franz ? Je ne me souvenais plus de son nom de famille. La peur m’avait complétement tétanisée. Je n’arrivais plus à retrouver mes moyens. Mes mains tremblaient, tout comme mes jambes. Il semblait à la fois si doux, rassurant et e l’autre si intransigeant. - Ainsi vous connaissez Franz ? - Oui je l’ai connu ce soir. Mon amie Claudia m’accompagnait, c’est lors de la soirée que je l’ai rencontrée. Elle vous racontera. C’est une jeune femme blonde, très jolie, assez petite. - Nous n’avons pas de Claudia. - Elle habite.. euh.. je lui donnais l’adresse où j’étais allée pour la rejoindre. - Nous allons vérifier. Mais en attendant vous êtes suspecte. Je vais devoir vous interroger. Je vous conseille de mieux coopérer car sans cela, la tournure de l’interrogatoire ne vous plaira pas. - Mais je coopère !! - Levez vous je vous prie et mettez vos mains sur la table. - Je… d’accord. Je me levais, me mettant dans la position qu’il avait indiquée. Il se leva et se positionna derrière moi. - Ecartez vos jambes. Je vais vous fouiller. Je me retournais, trouvant cette situation impossible. Je me retrouvais face à son torse. Je sentais son eau de cologne jusqu’à mes narines. Un homme prenant soin de lui. Il en était presque rassurant et à la fois sa froideur me faisait tressaillir. Je levais ma tête pour le regarder droit dans les yeux. - Que voulez vous fouiller, vous voyez bien que je ne porte que ma robe. Rien de plus. Mon sac est, je pense rester dans les toilettes.. - Retournez vous et mains sur la table ! Maintenant! Le son de sa voix.. je ne pouvais qu’obéir. Je plaçais mes mains sur la table, mes jambes légèrement écartées. Je sentis qu’il se pencha contre moi commençant à me palper le corps. Il commença à mettre mes cheveux sur le cotés, à descendre le long de mon dos, passant mon fessier pour descendre jusqu’au mes chevilles. Il remonta alors ma robe. - Je vous en prie arrêter, ne me touchez pas ainsi. - Vous nêtes pas en mesure de donner des ordres ici ! taisez vous. Malgré sa fouille, ses gestes n’étaient aucunement déplacés. - Rasseyez vous. - Je vais être très clair, pour moi vous êtes une espionne qu’on traque depuis quelques temps. Je me devais de voir si vous n’aviez pas une arme sur vous. Vous semblez maline. Vous êtes belle, franz s’est laissé prendre au jeu,, moi pas. Des témoins vous ont vu ensemble ! Alors ne me la faites pas avec votre joli minois. Ca ne marche pas. J’aime mater des femmes comme vous. - Pardon ? mais vous vous trompez. Il est vrai que j’ai danser avec Franz mais rien de plus. Il se leva et ouvrit la porte. - Conduisez là en cellule. Maintenant - Je vous en prie.. arrêtez vous vous méprenez. On me conduisit dans une pièce dont une partie des murs étaient en pierre et l’issue était à travers les barreaux. Un lit picot et une vieille couverture. On me jeta vulgairement dans cette pièce. Je ne comprenais pas ce qu’on me disait. Je me voulais pas me laisser abattre. Je repensais à ce que Claudia me disait. Si seulement elle était là ! Le coup de grâce fut quand on me mit des fers au poignet. Comme si l’on pouvait s’échapper de ce lieu !!! Je tentais de me reposer. J’étais épuisée. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était. Je m’assoupis. Quand je me réveillais, il était là, l’homme qui avait commencé à m’interroger. Depuis combien de temps m’observait-il ?je me sentais en sécurité malgré moi avec lui. - Levez-vous. - Je vous en prie, cessez cela, je n’ai rien à voir avec ce dont on m’accuse. Je commençais à pleurer. Il me saisit avec sa main ma mâchoire et me dit. - Tu es douée petite espionne, mais je te démasquerai. Cela prendra le temps qu’il faut. Ce contact, sa chaleur me décontenançait et je voulais pour autant quitter ce lieu. Comment sortir de ce cauchemar. - Venez vous assoir à la table, je vous prie. Il montrait cette politesse qui faisait que je lui obéissais sans réfléchir. - Je crois que c’est votre sac. - Oh oui ! c’est bien lui. - Nous avons retrouvé un petit pique à l’intérieur, identique à celui qui provoqué les blessures à votre ami Franz. Je commençais à voir rouge. - Ce n’est pas possible ! je ne l’ai pas tué ! retrouvez Claudia. Elle pourra témoigner de tout. - Nous n’avons retrouver aucune Claudia. - Les amis de Franz.. euh.. je ne me souviens pas de leurs noms, vous parleront d’elle, je n’invente rien. - Ahhh vous êtes réellement douée douce Fraulein. Je vais vous faire craquer. Je compris au son de sa voix qu’il ne plaisantait pas. Il prit alors mes menottes, tira dessus. Je me laissais faire, telle une poupée, ne sachant plus quoi faire. Je voulais sortir de tout cela. Qu’on me libère. - Je vais vous laisser la journée pour réfléchir. Ce soir, nous dinerons ensemble. Je le regardais interdite. Je m’attendais tout sauf à cela. Quand il quitta la cellule, je pleurais. Plus tard, des femmes venaient à moi. On me tira de ma cellule et on m’emmena me laver. Je laissais alors mes affaires et sans aucun ménagement on me poussa à la douche, qui était si froide. Je tremblottais. Je regardais mon visage dans le miroir. Je ne me reconnaissais plus. Je ne m’étais jamais sentie aussi seule. On me ramena à ma cellule aussi glacée que cette douche. Je remettais ma robe de soirée, je n’avais rien d’autres à porter. Quand il réapparut, avec ces plateaux repas, cette bouteille de vins et ces verres en cristal… Chapitre 2 à suivre
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Par : le 21/09/21
J’attends patiemment ma pâtée étant sans doute le seul à ne plus sentir la puanteur de ma couche. Après quelques heures Allan m’apporte mon repas qui devient mon réconfort. Pour la boisson, je travaille en autarcie complète ; je pisse, je bois, je pisse, encore et encore. «Je vais te débarrasser de cette couche immonde, allez lève-toi» me dit Allan Il la prends et la jette prestement dehors tant elle pue. «Voilà ce sera mieux, tu seras plus facile à laver demain. Désolé, mais je n’en ai pas d’autre» Je me retrouve donc directement sur la planche. C’est dur mais enroulé dans ma couverture, c’est plus agréable que sur ce matelas immonde. Je m’endors vite. Le réveil sera très matinal. Allan vient me chercher comme d’habitude pour un petit déjeuner toujours exclusivement uro. Après cela, c’est le traditionnel décrassage au jet d’eau bien froide. Il me remplace mon rosebud par un plug avec une grande queue de renard. Il m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes métalliques et m’emmène en laisse jusqu’à un bel appartement. Il me laisse au milieu d’un grand salon plus aménagé pour le SM que pour la détente. C’est avec surprise que je vois entrer Maîtresse Célia. Elle congédie rapidement Allan et s’adresse à moi sur un ton courtois. «Aujourd’hui, j’avais envie de me détendre alors j’ai voulu voir si tu mérites d’être ici. Pour moi, tu n’es rien et tu n’as aucune chance de devenir mon soumis. Tu sera mon objet toute la journée et je te demande respect et soumission» Je suis au milieu de la pièce, tête baissée et je l’écoute sans broncher. Je m’apprête à lui répondre mais je reçois une gifle dans la seconde. «Je ne t’ai pas autorisé à parler alors tu évites de m’interrompre. Je veux que ton seul horizon soient tes pieds. Maintenant tu vas au coin, tête contre le mur» Son ton est posé, ferme et je m’empresse de lui obéir. Elle me fait écarter le jambes pour me fixer un écarteur au chevilles. Penché , la tête contre le mur. Ma position n’est pas des plus confortable. J’entends Maîtresse Célia s’éloigner et me lancer : «Je vais appeler quelques amies, alors SILENCE. Ta punition durera le temps de mes appels et mes amies sont assez bavardes» Je souffre déjà et l’avertissement de Maîtresse Célia ne m’annonce pas une fin prochaine de mon supplice. Elle passe un 1ère appel assez court et mon moral remonte. Elle enchaîne malheureusement un deuxième appel qui dure une éternité. J’ai le front écrasé, les cervicales de plus en plus douloureuses. Le silence qui suit la fin de son appel me rassure et encore plus quand je l’entends dire : «Approche» «Oui Maîtresse» .Avec les menottes et la barre d’écartement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’arrive à me redresser douloureusement et je la rejoins en dandinant. Arrivé à ces pieds, elle me libère les chevilles et les poignets. Son sourire est encourageant et je ressens son envie de prendre du plaisir. «Met-toi ici, écarte les jambes et lève les bras» Ainsi présenté, elle m’attache les chevilles et les poignets à des sangles qu’elle tend très fort pour m’écarteler. Maîtresse Célia a en main une canne anglaise très fine avec laquelle elle me fouette sèchement. Ces coups sont précis et les traces de la canne dessine bientôt un beau motif écossais. Je suis nu mais elle ne tarde pas à m’habiller de cette fresque géométrique qui vire du violet au rouge. Maîtresse Célia jubile et cela transpire sur son visage. Elle m’a gravé un body coloré des pieds aux épaules. Les traces que j’aperçois sont profondes et quelques gouttes de sang en suinte légèrement. Ma peau est chauffée à blanc. Contente de son œuvre, Maîtresse Célia me détache précautionneusement comme pour ne pas casser son objet. D’un geste autoritaire, elle me montre le sol m’intimant de me mettre à genoux, les mains sur la tête, le regard vissé au sol. « tu as bien sali le salon, alors il va falloir faire le ménage Ma Renarde» Elle sort d’un tiroir une jupette et un soutien-gorge de soubrette que j’enfile prestement. Elle me trouve également des escarpins avec talons de bonne hauteur. Maîtresse Célia m’humilie habilement avec ce costume et ma queue de renard. Pour accroître encore ma soumission, elle me demande d’aller chercher une balayette, une pelle, un seau plein d’eau chaude, une brosse et une serpillière. «Aller, à quatre pattes et frotte» C’est avec ces outils dérisoires que je dépoussière et que je lave le salon sous le regard de Maîtresse Célia qui me tangue régulièrement, «plus vite, c’est pas propre, frotte plus fort et puis regarde tout ce qui reste» après avoir donné un petit coup de pied dans ma pelle que je venais juste de remplir… Elle me chevauche, me cravache toujours plus sèchement. Elle rit de bon cœur en précipitant ma maladresse naturelle. Son rire est communicatif mais un coup sec de la canne anglaise me remet vite à ma place. Ouf ! malgré tous les efforts de Maîtresse pour que je n’arrive pas à laisser le sol nickel, je termine tant bien que mal mon épreuve de Sissi. «Bien, tu vas préparer le repas» Après avoir chauffé son déjeuner, je lui sers son repas sur la table de la salle à manger. Maîtresse exige que je me déplace exclusivement à quatre pattes. Entre les plats, je suis à genoux à côté d’elle. Je suis attentif à ce qu’elle ne manque de rien. C’est seulement par mon service impeccable que Maîtresse me fait l’honneur de ses restes dans une gamelle de chien. Je lape avec difficulté cette gamelle qu’elle a posé à ces pieds, la poussant subrepticement pour me rendre la tâche encore un peu plus ardue. A la moindre faute, Maîtresse me retire la gamelle tant que je ne lui ai pas donné satisfaction. Maîtresse est juste. Elle me caresse les cheveux pour me montrer sa satisfaction. «Bon toutou, tu peux débarrasser maintenant et faire la vaisselle» Je ne perds pas de temps pour lui obéir car à quatre pattes, c’est nettement plus lent ce qui exaspère vite Maîtresse Célia. La canne anglaise me le fait bien comprendre et j’accélère autant que possible. «Bien, dès que tu as fini, aux pieds dans le salon, je suis sur le divan» Je ne tarde pas à me prosterner à ces pieds. «Ôte moi mon escarpin et tend ta main» Elle me déverse une noisette de crème de massage au creux de la paume. Je commence à lui masser les pieds puis les mollets avant de prolonger avec l’autre pied de Maîtresse. «Tu es plus doué pour les massages que pour enlever les chaussures» Je baisse la tête à la fois flatté et honteux. Ma journée aux pieds de Maîtresse Célia continue, je vous la raconterais bientôt A suivre ….
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Par : le 21/09/21
Notasulga, Alabama, le 6 juin 2028 Dix-huit ans, enfin ! Ce matin, je quitte la famille chrétienne qui m’accueillait. J’ai un sac avec quelques vêtements, une brosse à dents, deux livres... Je n’ai vécu avec ma mère que sporadiquement, entre ses séjours en cure de désintoxications. Je n’ai jamais connu mon père... À son sujet, ma mère a plusieurs versions. La mienne est qu’il s’agissait d’un client. La dope, ça coûte cher... J’ai un peu d’argent reçu à droite à gauche et parfois "trouvé", si vous voyez ce que je veux dire. Je me devais de parler de mon enfance, c’est fait, donc je n’y reviendrai plus. En ce qui me concerne, je mesure 1 m 65 et pèse 55 kg, mes mensurations sont 92 cm de tour de poitrine, 88 cm de tour de hanche et 62 cm de tour de taille. J’ai des cheveux bruns et des yeux gris-vert. Mon visage est régulier, j’ai un petit nez et une bouche ourlée naturellement. Je plais beaucoup aux garçons et même aux filles... Je sais que mon accent du Sud est prononcé, mais ça, je peux y remédier. Je manque aussi d’instruction, ça peut également s’arranger. Je mise tout sur mon physique. Mon but, c’est la ville, la vraie : d’abord  Atlanta, la capitale du Sud, ensuite Los Angeles. Là, je rencontrerai des hommes riches et j’aurai une vie de luxe. Dans mes rêveries, je m’imagine en robe blanche épousant un vieux bonhomme richissime... Je vais embellir ses dernières années ou, encore mieux, ses dernières semaines. Pour commencer, je dois parler de la situation politique. En 2024, le sénateur du Mississippi, John D. Birch est devenu le nouveau président des États-Unis. C'est un Républicain pur et dur. Les démocrates disent qu’il a eu le soutien du KKK et des partis ultranationalistes. Peut-être, mais ça n’empêche pas que ce sont les Américains qui l’ont élu. Le président Birch a fait campagne en parlant de l'insécurité et des mesures qu'il compte prendre pour y remédier. Comme emprisonner les gens coûte très cher à la société, il a fait voter la loi suivante : un condamné à une peine de moins de dix ans doit payer une somme d'argent qui remplace la peine de prison. S'il refuse, il sera vendu afin de payer sa dette. L'état et les citoyens ne sont plus obligés de dépenser de l'argent pour entretenir des prisonniers, au contraire, l'argent de la vente des délinquants permet d'améliorer la vie de tous. D'autre part, les gens qui sont vendus deviennent une main-d'oeuvre particulièrement bon marché. Tout le monde en profite, aussi bien les entreprises que les particuliers. À tel point que des sociétés étrangères viennent s'installer aux États-Unis, attirés par cette main d'oeuvre. Y compris des usines chinoises. Bien sûr, ces amendes à payer favorisent les riches et la classe moyenne. Les gens revendus sont principalement des "petits Blancs", des Noirs et des Hispaniques. On prétend que les juges fixent des amendes très importantes quand il s'agit de jolies filles. Ça me rend très prudente, mais c'est leur but... On parlait beaucoup de cette situation dans ma dernière famille d'accueil. Ils disaient même "Quand on n'aura plus Ashley, on achètera une fille ou deux." Cette loi est très récente et à Notasulga, il n'y avait que quelques esclaves. Tout le monde les appelle des esclaves. Il y avait surtout des ouvriers agricoles et quelques servantes, noires et blanches. Par exemple, un riche propriétaire terrien avait deux esclaves comme servantes. Il est très facile de les reconnaître car elles ont des colliers de fer ou d'un autre métal autour du cou. J'ai assisté à une scène qui m'a marquée : dans la cour de la grosse ferme, une esclave blonde était couchée sur une grosse souche, la jupe relevée et ses fesses blanches à l'air. Une femme la fouettait tout en l'engueulant pour sa paresse. J'étais fascinée par le claquement du fouet sur les fesses, les plaintes de la fille, les reproches de sa patronne... Je repensais tout le temps à cette scène. J'ai donc décidé de devenir célèbre et d'avoir des esclaves que je punirais... si elles le méritent, bien sûr. Ah oui, je m’appelle Ashley Stirland... et mon but, c'est d'aller à LA pour devenir une vedette. Sur le Net, dans des films ou tout autre support. Ayant quitté Ploucland sans aucun regret, je marche sur le bord de la route avec mon petit sac et je fais de l'auto-stop. Pas besoin d’agiter le pouce longtemps,  mes fesses – vraiment à l’étroit dans mon jean – se chargent du boulot. Il y a 125 miles jusqu’à Atlanta. La première voiture qui s’arrête, c’est... Madame Mosby, qui a été mon institutrice. Elle me demande : — Bonjour Ashley, tu veux que je te dépose ? — Bonjour Madame. Volontiers, mais je vais à Atlanta. — Tu quittes le village ? — Oui, j’ai 18 ans aujourd’hui. — Oh ! bon anniversaire. Tu veux que je te dépose à mi-chemin ? J’ai juste le temps. Elle a toujours été spécialement gentille avec moi, alors, je lui souris en répondant : — Volontiers, merci. Après être montée dans la voiture, elle dit tristement : — C’est peut-être la dernière fois qu’on se voit. — Mais non, je reviendrai au village voir mes copines et vous. On discute un peu du passé, je vous passe les détails. Elle me demande quels sont mes projets... Impossible de lui dire que je veux épouser un millionnaire de 95 ans, alors je réponds : — J’ai rendez-vous dans un restaurant du centre pour un job. Elle me parle des dangers des villes pour une belle fille dans mon genre. Moi, j’entends "bla-bla-bla", comme si on était en cours... Et puis elle pose sa main droite sur ma cuisse en disant : — Tu as toujours été ma préférée et la plus belle élève que j’ai jamais eue. Oh !! Je sais bien que je lui plais, mais je ne l’imaginais pas me caresser les cuisses. Elle est gentille, mais avec sa cinquantaine d'années bien en chair, c’est un peu comme une bonne tante. Vous voyez ? Elle ajoute : — Je serai malheureuse de ne plus te voir. Elle ne va pas pleurer quand même ! Je réponds : — Je vous promets de venir vous voir... Je vous aime bien aussi. J’ai même rêvé que nous nous embrassions... Là elle devient toute rouge et bredouille : — Et, euh... tu... aimais ? — Oh oui ! Surtout que vous embrassiez mon minou. Coup d’œil de madame l’institutrice. N’en croyant pas ses oreilles, elle me redemande : — Tu aimerais ? — Ben oui, toutes les filles aiment qu’on leur embrasse le minou. — Si tu savais le nombre de fois que j’ai rêvé de toi. On partait toutes les deux et... OK, je vois. Je sais que je suis le fantasme de pas mal de mecs, mais de mon institutrice, ça me plaît. J’attends une proposition concrète... Ah, la voilà : elle me dit : — Si tu veux, on roule un peu et puis on s’arrête pour manger dans un resto à côté d’un motel, pour... euh... — M’embrasser le minou ? Elle rit, puis répond : — Oui... — Vous léchez bien ? — Oui... et je te donnerai un peu d’argent. Cool... Je réponds : — Votre programme me plaît... Il me fait même mouiller. Nouveau coup d’œil. Tante Mosby aime les filles ! Dingue ! Se faire lécher la chatte par son institutrice, ça c’est rock 'n roll, non ? Une sorte de revanche sur les familles chrétiennes pures et dures. On roule encore un peu, avant qu’elle ne s’arrête devant un restaurant. On mange, on boit une bière... Elle me regarde en se léchant les babines, pas à cause du hamburger, mais à l’idée de se retrouver entre mes cuisses. Quand on a fini, nous sortons et je mets ma casquette sur la tête. Elle me demande : — Tu crains toujours le soleil ? Oh, elle se souvient de ça ? Je réponds : — Oui, je bronze très vite et je n’ai pas envie qu’on me prenne pour une Métisse ou une Hispanique. — Pas de danger, ma chérie. Je suis sa chérie ! Je m’imagine en classe, elle me dit : "Tu as 10 sur 10, ma chérie." Après avoir fini de manger, elle va au bureau pour payer la réservation d’une chambre. Je l’attends à l’ombre. À sa sortie, je lui dis : — J’ai soif, prenez des bières. — Oui, pardon ma chérie, j’y vais. — Dépêchez-vous, j’ai vraiment soif. Elle court presque et revient avec un pack de 6 bières. Il faudra qu’elles soient fraîches, sinon, elle retourne. On va dans la chambre. Elle me prévient : — Je dois faire pipi. Ou se laver la chatte, mais je n’ai aucune intention de la lécher. Je vais lui faire une surprise : j’enlève mon jean, mon tee-shirt, mes baskets et je m’allonge, nue, sur le lit, un bras sous la tête. Elle sort du cabinet de toilette et stoppe net en me voyant ! Je lui plais, y a pas de doutes. J’écarte mes jambes pour qu’elle puisse enfin voir la chatte d’une de ses élèves. Quoique, je n’en sais rien après tout. Elle me murmure : — Tu es trop belle, Ashley... Je n’imaginais que tu avais d’aussi beaux seins. Normal, je devais mettre les vieux vêtements des femmes chez qui j’étais et c’était généralement beaucoup trop grand. Je lui lance : — Déshabille-toi ! La tutoyer et lui donner des ordres, quel plaisir ! Elle enlève sa robe et ses sous-vêtements. Elle est effectivement dodue, mais ça me plaît quand même. Tout est rond : son cul, son ventre, ses cuisses... Même ses seins qui pendent un peu... Je lui dis : — Sers-moi à boire. — Oui Ashley. Elle va ouvrir la bière, prend un verre... Je la préviens : — Sans trop de mousse. Putain, si les copines pouvaient nous voir ! Elle me donne la bière. Je bois goulûment, tandis qu’elle s’assied au pied du lit. Après avoir bu, je lui demande : — Alors comme ça, je te plais ? — Oh oui... Je lève une jambe et lui caresse la joue avec le pied. Aussitôt, elle tourne la tête pour l’embrasser. Ah oui, là, je sais que je lui plais, parce qu’un pied qui sort d’une basket, quand on a marché le long d’une route par 30 ° à l’ombre, c’est... spécial. Mais mon poussy, faut qu’elle le mérite. Donc je la provoque : — Demande-moi la permission de me lécher. Sans hésitation, elle commence : — Ashley... Mais je la coupe : — À genoux et c’est « Mademoiselle Ashley ». Obéissant immédiatement, elle s'agenouille pour me dire : — Mademoiselle Ashley, permettez-moi de lécher votre minou. Oh, putain ! C’est mon institutrice qui vient de dire ça ! Ça me fait mouiller, la voir s’aplatir de cette façon ! Je lui réponds : — D’accord, mais commence par l’embrasser. Elle couvre ma chatte de baisers. J’adore voir ses cheveux gris entre mes cuisses et sentir ses lèvres m’embrasser avec passion... Bon, on va monter d’un cran : — Maintenant, lèche-moi vraiment, petite chienne. Ouch ! Sa langue est partout depuis mon clito jusqu’à mon trou du cul... Je n’ai pas pris le temps de prendre une douche ce matin, mais là, ma chatte va être nickel. N’importe quelle fille qui se fait lécher par son institutrice vous le dira : c’est super excitant ! Je ne vais pas tenir... J’ai l’impression que mon minou se rétracte et puis tout se relâche et je jouis sur son visage en le plaquant sur mon bas-ventre. Elle continue à lécher doucement tandis que je caresse son dos avec mon pied... Je l’arrête : — J’ai soif ! — Oui Ashley. Elle me sert encore une bière... Jusqu’à présent, tout se passe bien. Bon, je ne me fais pas trop d’illusions, tout le monde ne va pas être à mes ordres comme elle. Elle me demande : — Je peux vous embrasser... euh... le corps, Mademoiselle Ashley ? J’attends un peu avant de répondre négligemment : — Oui... Elle m’embrasse du cou aux chevilles, en passant par les seins, le nombril, le pubis, les genoux... C’est amusant, mais bon, la récré se termine. Je lui dis : — On doit repartir, il faut que je voie quelqu’un dans le centre pour un boulot. Je bois encore une bière, on se rhabille et on s’en va. Je somnole dans la voiture, tandis qu’elle me répète à quel point je lui plais. Oui, j’ai bien compris, là... On arrive à Atlanta, putain, ça c’est une ville ! Surtout pour une fille de Ploucland comme moi... On arrive dans le centre. Elle me donne encore quelques conseils et son numéro de téléphone, puis ajoute : — Tu m’appelles et je viendrai où que tu sois. Cool... Elle me donne aussi 100 $. Encore mieux, je double ma fortune. Je la remercie et je l’embrasse... Oh, elle a l’odeur de ma chatte... C’est mignon. Je sors de la voiture... Elle agite la main, oui, bye, bye... A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 21/09/21
Deux semaines se passèrent sans que nous nous voyions. Nous avions chacun nos activités et vies professionnelles qui ne nous permettaient pas de caler nos agendas. C’était ainsi et nous ne faisions pas de plan sur notre prochaine entrevue. Quelques questions me trottaient en tête. Avait-elle été trop loin et la gêne l’aurait-elle emporté ? Si c’était le cas, cela ne changerait rien de toute façon. Je réfléchissais à la suite sans m’encombrer l’esprit du pourquoi et du comment. Toutefois, afin de tester son envie de continuer, je pris le temps d’aller jusque sa boîte aux lettres ou j’y déposais un petit colis. Une fois de retour chez moi, je lui envoyais un texto pour lui dire qu’elle avait un colis en attente dans sa boîte, mais qu’elle ne devait pas l’ouvrir jusqu’à notre prochaine entrevue. Je passe sur la série longue comme le bras de textos pour essayer de savoir ce que contenait ce colis. J’ai d’ailleurs coupé cours en lui disant que trop de questions finiraient par faire que je le reprendrai. Silence radio depuis ! J’avais pris soin de mettre une petite pastille avec un tampon spécifique pour être sûre que lors de notre prochaine séance, elle ne puisse tricher. Je ne fus pas étonné qu’elle me recontacte le lendemain. Le rendez-vous était pris pour dans deux jours. La connaissant, je l’imaginais aisément tourné en rond à se demander ce que pouvait contenir cette boîte. Deux jours étaient passés. Je regarde ma montre et me mets à la fenêtre. Elle est pile à l’heure. Pressée de savoir ce que contient la boîte sans aucun doute. Elle porte encore l’une de ces robes moulantes outrancières avec des talons hauts. J’entends ces pas dans l’escalier de ma maison. Je la devance et me place en haut des marches. Elle est surprise. – Bonjour ! Me lance-t-elle. – Bonjour ! Ne monte pas encore ! Je veux que tu montes ces marches à 4 pattes. Lui dis-je. https://comtedenoirceuil.com/defis-en-cascade-part-iii/
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Par : le 21/09/21
Quand il sent sa peau frémir sous ses doigts Quand il la voit tressaillir sous ses coups Quand la cire se met à perler sur ses seins Quand il la voit grimacer ou serrer les poings Elle n'est jamais aussi belle que Quand ses cordes se lacent sur son corps Quand les chaînes l'entravent, l'emprisonnent Quand il devine les larmes aux coins des yeux Cette subtile saveur d'eau salée Dont il adore du bout de ses lèvres se délecter Elle n'est jamais aussi belle que Quand elle lui concède son âme et son corps Quand elle se donne, s'abandonne à son sort Quand leurs coeurs vibrent d'un seul accord A chaque fois toujours un peu plus fort Elle n'est jamais aussi belle que Quand elle se déchaîne Quand elle se fait lionne Sauvage, rebelle, friponne Quand elle se fait féline Et déambule l'allure coquine Elle n'est jamais aussi belle que Quant à ses pieds, elle ronronne Quant à ses vices et sévices, elle se donne Quand elle répond à ses ardeurs Avec conviction et sans pudeur Elle n'est jamais aussi belle que Quand elle lui offre son corps, son âme et son coeur Quand elle se donne toute entière à Lui Sans tabou, sans retenue, sans alibi Le 18 09 2021
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Par : le 21/09/21
LA rencontre Comment expliquer ma rencontre avec ma nouvelle esclave (Kate) à nos familles ? La question me taraudait (oui même un Serial Dom peut dans des circonstances certes exceptionnelles être taraudé cher lecteur et surtout... trice) depuis quelques temps. En effet il est nécessaire de se coordonner afin de présenter la même histoire au monde vanille. Franchement vous me voyez lors d'une réception princière (forcément) chez Monsieur et Madame Kate répondre à la question : _ alors comment avez vous rencontré notre fille ? _ Bah c'est simple sur un site BDSM ; je cherchais comme toujours un nouveau cul à déglinguer et comme votre fille est folle de la bite, on avait tout pour s'entendre. J'ai toujours eu du flair pour repérer les chaudasses. Même si c'est évidemment la stricte vérité, une petite voix intérieure me disait que je devais édulcorer l'historique véracité. Kate proposa une version qui me sembla cohérente (pour une fois). _ Et bien par un de ces heureux hasards de l'existence, qui parfois fait bien les choses : un banal mini accrochage sur un parking alors que je reculais pourtant doucement et prudemment, un constat sur la terrasse du café voisin devant un verre, et me voilà follement éprise du plus merveilleux homme que cette terre ait porté. Le constat ne fut jamais signé, mais un infini bail commun si. Bon même si je n'étais pas totalement reconnu à ma juste valeur (notamment concernant mes performances sexuelles tout comme ceux de dom impitoyable), cela me convenait peu ou prou. Et puis tout n'était pas faux dans cette histoire. Surtout la seconde partie. Pour autant, ma haute conception de la déontologie me pousse à révéler à un public averti la stricte vérité. Légèrement différente. Que voici : par une belle journée marseillaise près des calanques, je reprenais le chemin de la ville dans ma super 5 plus âgée que moi mais formidablement conservée (point commun avec votre serviteur soit dit en passant), quand une folle furieuse pressée sortit comme à son habitude de sa place de parking tous pneus fumants. Me percutant par le travers, ma limousine (j'avais acheté mon carrosse près de Limoges) versa dans le ravin attenant : stoppant sa course folle après quelques tonneaux; j'eus la chance inouïe que les pompiers me désincarcèrent relativement rapidement. Il faut dire que quand on a ma tête coincée entre les genoux le temps peut rapidement paraître long. Transformant au passage ma berline en décapotable, ce qui lui conférait un aspect sport indéniable. Comme les nouvelles bosses sur la carrosserie ne se voyaient pas plus que les anciennes, j'étais assez satisfait, pour une fois que mon tuning, toujours de bon goût, était gratuit... Emmené inconscient en réanimation dans un état d'urgence absolue, je ne pus même pas profiter de mon baptême d'hélicoptère dont je me vanterai néanmoins évidemment à la première occasion. Rongée par le remords autant qu'émerveillée par ma beauté, celle qui fut cause de mon initial malheur, infirmière de son état, m'accompagnait pendant ce court vol. Ce fut le premier visage que je vis à mon réveil. Pas trop mal ma foi... Par la suite elle montra une dextérité certaine à s'occuper de moi ce qui lui fit marquer pas mal de points (être d'une beauté exceptionnelle ne suffit évidemment pas avec un serial dominateur). Evidemment comme tant d'autres elle tomba folle amoureuse de moi. Comment faire autrement? Je donnai le change flairant le bon coup... Pas si loin d'une sorte de variante du syndrome de Stockhlom ceci dit . Elle m'expliqua que j'étais amnésique suite au choc, ne me rappelant rien de "l'incident" et bien entendu elle se garda bien de m'avouer l'épouvantable vérité. Sans aucun doute rongée par le remord, elle est depuis une soumise ex-brat (mon dressage d'une efficacité qui contribua largement à ma légende étant passé par là) exemplaire, certainement pour se faire pardonner. Après 14 mois de rééducation intensive (oui même les sportif de très haut niveau peuvent mettre du temps à récupérer l'intégralité de leurs exceptionnels moyens), sa laisse l'attendait: elle devint donc mon esclave éternelle, juste retour des choses pour sa faute originelle. La justice divine était passée. NB: désormais assise à la droite de son Dieu, elle n'est plus jamais en face du volant.
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Par : le 21/09/21
Je n'ai jamais été attirée par les femmes. J'ai essayé pourtant. Mais ce n'est pas mon truc. Longtemps j'ai eu du mal avec mon corps. Avec mes seins, trop petits, quand je les comparais à ceux de certaines, aux formes plus marquées que les miennes. Avec mon sexe de femme, que je jugeais peu esthétique. J’ai fini par en prendre mon parti. D’autant que les mecs n'ont jamais trouvé mon physique rédhibitoire :smile:. Alors, j'ai appris à jouer de mon look androgyne, qui ne déplaît pas à certains et me sied plutôt bien. Mais sans parvenir à aimer mon corps pour autant. Et puis, il y a eu toi. Et ce regard que tu portes sur moi, le désir que j'y lis. Ton désir pour ce corps, le mien, devenu désormais tien. Dont tu as fait ton terrain de jeu sur lequel tu peux laisser libre cours à ta créativité. Un instrument au service de ton plaisir. Et du mien. C'est comme ça, grâce toi que j'ai appris à m'aimer. Parce que ton regard me rend belle.
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Par : le 21/09/21
Nue, allonge dans l herbe, je regardai la lune dans le ciel etoile. J avai froid, mais partir n etait pas envisageable. Il avait referme le cadnat autour de l anneau de mon collier de metal et je m etait resigne a rester ici au moment ou j avai entendu le petit "clic". Il y avait un vent leger qui faisait bouger le sommet des arbres, j ecoutai les bruits de la nuit. J avai sommeil mais je ne pouvais pas dormir. Je roulais sur moi meme et sentai l herbe humide et gratante carresser ma peau denude. "Maitre..." pensais je simplement. Rien d autre ne me venais a l esprit. Il m avais deshabille dans sa voiture puis mis une laisse et entraine dans la foret. Je l avai regarde avec un air inquiet et il avait simplement tire sur la laisse sans dire un mot. Je l avai suivi en silence, marchant pied nue sur ce sol sauvage. Est ce que j etai puni? Allait il me foueter suspendu a une branche comme la derniere fois? M aimait il encore? J attendai son retour, je me plierai a son caprice comme a chaque fois. J avai hatte de voir son regard se poser a nouveau sur moi. Je me mettrai a genou lors de son retour et leverai timidement les yeux vers lui comme a mon habitude, et le regarderai reflechir. Je le regarderai reflechir a ce qu il va me faire subir. Parfois il souri et je frissone. Le soleil commencait a se lever. Des vagues de couleur roses et violette coloraient les nuages dans le ciel. Alors que je me laissai envouter par ce spectacle grandiose, je tendi l oreille car j entendai des pas. Je pousais molement sur mes bras pour me redresser. Ce que je me sentai faible et fatigue. J avai froid mais j etai exite! Maitre? Je jubillai d impatience. Je reconnaissais cette demarche, c etait surement lui! Je me mettai a genoux et attendai en souriant. Il apparu entre les arbres et s arreta. Je levai timidement les yeux pour le regarder. Il souriait. Je vis un objet dans sa main. C etait un plug. Un frisson me parcouru des pied a la tete, je me senti vulnerable. Il s avanca vers moi puis me carressa la tete, je ne le quittai pas des yeux. Il glissa sa main dans mes cheveux et la referma autour. Puis tirant, il me forcea doucement a m incliner vers l avant. Une fois ma tete appuye contre le sol, je fermai les yeux et levai spontanement mes fesses. J allai etre plugue par mon maitre. J aurai aime utiliser mes mains pour ecarter mes fesses, mais elles etaient a plats sur le sol de part et d autre de ma tete et je n osai plus bouger. Il me carressa d abord avec un doig m etalant une sorte de graisse. Elle etait chaude, je ronronai de plaisir aussi discretement que possible. Je me senti a nouveau faible, je savai que j allai souffrir un peu. Il commenca a appuyer. Je serrai spontanement les genoux et ecartai les pied. Il commencait a rentrer. Cela me tirait. J avalai ma salive et acceptai ce qu il m infligeait en silence. J essayai de ne pas bouger mais la douleur etait de plus en plus forte et mon corp fatigue avait du mal a tenir la position alors que je me sentai pousse vers l avant. J avai peur de ne pas tenir et de le decevoir puis d un seul coup je senti le plug entrer et se caller a sa place entre mes fesses. Je tremblai. Je vis son ombre englobante se redresser autour de moi, il se relevait. Alors que je restai a quattre patte regardant l herbe sur le sol, je senti sa grosse chaussure de randonnee se poser sur ma hanche. Je sentai ses crampons et les residu de feuille mortes mouille appuyer sur ma peau. J avai froid et je me sentai faible avec mon plug. Il me poussa avec son pied et je tombai sur le cote. Je laissai echapper un sanglot et me recrocuevillai sur moi meme. J allai rester enchaine ici. Il me regarda intensement. "Merci... Maitre" lui dis je. Et il tourna les talons alors que je restai la, nue et faible, frigorifie et le cul pluge, dans l herbe humide. Je m endormis en esperant que personne ne me trouverai ainsi par hasard.
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Par : le 21/09/21
Fière comme Artaban d’arborer ma laisse, je parade au soleil sur le parking, et Ton œil me regarde hilare que je sois rendue si dingue par la simple sensation d’un bout de cuir. Nous franchissons les portes à tambours et pénétrons dans la galerie commerçante. Une longue, belle et large galerie surmontée d’une verrière et ponctuée d’ilots de détentes comprenant bancs en bois et jardinières hautes et étoffées. Je me régale d’avance, j’en bave. Je trottine à Tes pieds tandis que Tu presses le pas jusqu’à l’entrée du supermarché, et nous franchissons enfin les battants. L’allée principale s’offre à mes yeux, je marque une légère pause mais Tu tires sur ma laisse. Divers stands ponctuent l’allée centrale, Tu me mets debout sans ménagements et exerces de légères pressions sur mes tétons pour commencer à les titiller. Mon regard se trouble d’emblée et le remarquant, Tu attrapes mon menton pour le diriger vers le vendeur d’un stand en lui indiquant : « n’est-ce pas qu’elle est une bonne chienne, cette petite salope ? ». Je supplie du regard mais : « dis-le-lui que t’es une bonne chienne, ma salope… » et malgré la honte je lève les yeux pour les fixer dans ceux du vendeur comme Tu m’as appris à le faire : « je suis une bonne chienne Monsieur », « c’est bien petite pute » et Tu me craches doucement dans la bouche « bonne chienne ». Tu m’emmènes ensuite voir la boulangère en tirant doucement sur ma laisse. Tu lui commande notre pain et plaisantes avec elle tout en caressant toujours mes tétons qui sont maintenant durs et sensibles au point d’être presque douloureux, alternant les mouvements, effleurages, et pressions, voire pincements progressifs. Je ne peux m’empêcher de gémir comme une chienne devant la boulangère. Tu souris ironiquement et abrèges la conversation pour m’emmener voir le poissonnier. Les sensations offertes à mes seins m’ont rendue complétement trempée et je commence à perdre la tête tandis que nous marchons côte à côte, moi avec Tes mains sur mes seins, gémissant et trémoussant mon cul sous les regards des autres clients. J’ai honte… mais j’ai du mal à me contrôler. On arrive devant l’étal du poissonnier, à qui Tu commandes notre poisson de la même manière, en me faisant gémir. Le poissonnier me fait un grand sourire, tandis que Tes mains malaxent mes fesses, rentrent sous ma culotte, et vont jusqu’à mon antre sentir à quel point je suis mouillée : « elle est à point, elle n’en peut presque plus » puis ressortent : « t’en veux hein… » Tu m’embrasses avec fougue, Ta langue caresse longuement la mienne : « pas tout de suite, petite chienne, montre-lui comme t’es sage d’abord ». Tu m’imposes la position, debout jambes écartées, penchée en avant, le cul bien cambré en arrière et m’administres quelques fessées « c’est ça que tu veux hein… » tandis que le poissonnier se charge de caresser et pincer mes tétons. Mon excitation et ma frustration sont telles que j’oublie toute retenue et me frotte à même le sol contre lequel je me suis laissée choir à quatre pattes, oubliant toute gène au milieu des clients. Voyant cela Tu me pinces légèrement les chairs en murmurant « quelle salope tu fais là » puis Tu me redresses violemment pour m'installer à quatre pattes sur le haut comptoir d’un autre stand très ajouré et visible, celui qui prépare des smoothies frais. Tu baisses mon pantalon. De ma mouille coule sur le comptoir et alors que mon cul allait reprendre sa danse frénétique sur son bois Tu le maintiens en position haute et y frotte le bout d’un gode bien dimensionné : « dis à tous ces clients ce que tu veux… ». A nouveau je redresse le menton, fixe l’assemblée et prononce d’une voix qui a l’obligation d’être assez forte : « je veux… que Tu me baises ! ». Tes yeux viennent se plonger dans les miens « c’est bien ma salope, tu vas l’avoir ma queue, mais pas tout de suite… c’est trop tôt ! » (petit sourire narquois de ta part) et enfin je sens le gode pénétrer doucement mon antre. J’ai tant attendu qu’immédiatement je m’active dessus mais Ton autre main m’immobilise le bassin « tsss… tu sais que tu n’as pas le droit de gigoter… tu dois te laisser faire » (et toujours ce sourire…), « sinon j’arrête ». Je tâche de me calmer, de « redescendre » un peu, alors qu’une vendeuse lèche mes tétons et prend plaisir à mon dilemme. Ma respiration ralentit tout de même et Tu m’aplatis le ventre et le bassin contre le comptoir tout en poussant le gode « c’est bien, t’es très sage ma petite pute. On va pouvoir continuer dans ce cas ».
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Par : le 21/09/21
Depuis qu'il a rencontré Elvire, Paul plane dans le bonheur. Au début il a dit: ok une fois pour essayer. Elvire l'a monté comme elle sait faire, en fière amazone. Sa chatte est si tonique, si jouissive que Paul n'a pas pu se retenir. Il a pris des baffes. heureusement il a une grosse et belle bite, toujours prête à se mettre au garde à vous. Elvire l'a baisé plusieurs fois de suite, sans ménagement , en s'empalant sur lui. Elle a pris le contrôle très rapidement. Elle sait aspirer son sexe, faire monter la sève et comme Paul n'arrive pas à se maitriser, elle se retire à temps, presse le gland à lui faire mal, ce qui coupe l'éjaculation, lui file des baffes et reprend sa chevauchée endiablée sur sa bite gonflée de désir. Il est dans la position de la femme, en dessous, jambes levées, écartées. Il subit le rapport et cela lui procure un plaisir extrême, d'être ainsi dominé. Ce n'est qu'une fois bien rassasiée d'orgasmes qu'Elvire le laisse se répandre en elle. Une femme qui sait y faire pour rendre les hommes fous amoureux de sa chatte bien musclée et si jouissive. Paul a du accepter les conditions d'Elvire pour faire partie de son harem de males montés comme des ânes et très endurants. Il a du signer un contrat de gardiennage de sa bite, moyennant contribution et mise sous cage. En échange Elvire le purge plusieurs fois par semaine. C'est elle qui décide quand et toujours chez elle. De toute façon c'est elle qui a les clés de leurs cages en acier avec deux anneaux solides en piercing pour bien les fixer. S'ils veulent jouir, ils doivent obéir et rester disponibles chaque fois qu'Elvire a envie, c'est à dire très souvent. C'est une vraie nymphomane qui adore les belles grosses bites bien dures et qui sait bien se faire jouir en s'empalant dessus. Elle ne pratique que la position de l'amazone. Elle aime sentir les gros glands frotter son point G de quoi la tétaniser dans des orgasmes à répétition. Elvire a suffisamment de mâles dans son harem avec leurs bites en gardiennage pour ne pas avoir besoin de travailler. Comme ces connes de féministe ont interdit aux femmes de travailler avec leur chatte, elle s'est déclarée comme "services à la personne". Des femmes travaillent avec leurs mains dans des usines, d'autres femmes, les avocates par exemple, travaillent avec leurs bouches d'en haut, alors pourquoi ne pas pouvoir travailler avec la bouche d'en bas? Ainsi pense Elvire et elle ne réclame pas l'égalité avec les hommes. Non eux sont en dessous et ils sont dressés pour obéir. Pour Elvire la supériorité de son vagin bien musclé ne fait aucun doute. Ses mâles ont obligation de faire du sport, de manger sainement, si possible bio, pour avoir du bon sperme de qualité. Elle veut des grands crus de la meilleure semence male possible. C'est bon pour sa santé et son teint. Paul est directeur dans une banque. Avec sa cage il ne peut plus draguer. Il est en paix avec cela et comme Elvire le convoque plusieurs fois par semaine, il a juste le repos nécessaire pour recharger sa prostate jusqu'à la purge suivante. Il est comme un puceron bien dressé par une fourmi qui vient pomper son nectar et s'en délecter. Elvire dort seule. Les males elle les déguste en journée. Elle aime le bon et doux sommeil. Tout le monde y trouve son compte. La nymphomane n'a plus à courir après des bites, elles sont bien dressées, sous cages et à disposition. Aucun male ne refuse jamais une purge, c'est dans le contrat d'entretien de sa bite. Il est prévenu à l'avance pour s'organiser. Les hommes qui ont eu la sagesse de mettre leur bite en gardiennage chez une experte sont en paix et très heureux. Ils sont comblés sexuellement, ils ne perdent plus un temps fou à palabrer et s'occuper de femmes casses couilles. Elvire les laisse libres pour bien bosser ou faire ce qu'ils veulent. Ils doivent juste avoir du sperme en abondance et un sexe bien dur, un sexe qui ne fait pas défaut, chaque fois qu'Elvire veut les saillir. C'est bien elle qui les baise et pas l'inverse mais cela leur convient. Paul est comblé, il vient d'être promu directeur général, ....une bite bien dressée par une experte cela donne des avantages. Rires. La morale de cette histoire c'est que si les hommes veulent être heureux en amour, il doivent confier la saine gestion de leurs bites à leurs femmes.
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Par : le 21/09/21
Apres avoir retirer mes vêtements et les avoir déposé pliés sur le bureau, comme demandé, je revins vers Mademoiselle. Je me présentas cul nu, devant elle. « Avec la petite bite que tu as, on dirait que tu as des couilles énormes, alors quelle ne remplirait même pas ma main » me dit-elle sur un ton moqueur. Malgré une taille satisfaisante en érection, ma verge était plutôt ridicule au repos, il est vrai…. « On va prendre le Small, ça suffira » continua-t-elle avec son air moqueur. Elle saisi l’une des cages de chasteté posé sur la table, la retira de son emballage et équipa mon sexe avec. L’anneau emprisonnant mes testicules les serrait juste comme il faut. La sensation était plutôt agréable. « Tu ne la rempli même pas, avec ta petite queue. » Ma verge avait légèrement gonfler lors de mise en place de la cage. La douceur des mains de Mademoiselle sur mon intimité me faisait de l’effet. Mais ce début d’érection fut vite passé lorsque ces même mains commencèrent à tirer sur mes couilles et à leur donner des « pichenettes ». « Dis voir, comme tu es en pleine recherche de nouvelles sensations, est-ce que tu as déjà envisagé de jouer avec ton anus ? » « Oui Mademoiselle » dis-je timidement. Un grand sourire habillât son visage. « Tu l’as simplement envisagé, ou tu l’as déjà fait ? » « Je l’ai déjà fait Mademoiselle... A plusieurs reprise. » « Voyez-vous ça. Dis m’en plus ! » « J’ai déjà introduit dans mon anus des doigts, des sextoys, des bananes, des concombres, et… » « Oui ??? » « Je… J’ai déjà eu des rapports sexuelles avec des hommes . » « Bingo !!! » S’écria-t-elle. « C’est que je suis tombé sur une vrai petite salope. Et tu fais ça souvent ? » « Non Mademoiselle. Cela fait plusieurs mois, que je n’ai rien mis dans mes fesses. » « J’aimerai beaucoup jouer avec ton cul. Qu’en dis-tu ? » « Avec plaisir, Mademoiselle. Vos désirs, sont les miens. » « Mais quelle bonne petite chienne » me dit-elle en me tapotant sur la joue. « Mets toi a quatre pates sur la table basse, le cul par ici ». Je me mis en position. Ma croupe était orienté vers son bureau. La table n’était pas très grande. La position n’était pas d’un grand confort. Elle s’éloignât vers son bureau. J’entendis une porte de placard s’ouvrir. Je tourna la tête pour jeter un coup d’œil, mais me fit reprendre instantanément. « Regarde la table petite chose !!! » lança-t-elle. Elle revint avec une caisse en plastique transparent, qu’elle posa sur le canapé. Je pu apercevoir du coin de l’œil qu’elle était rempli de sextoys. Elle farfouilla, et tira quelques objets de cette caisse. Alors que je m’attendais a recevoir un plug ou tout autre objet phallique dans le cul, je senti une vive douleur me bruler les fesses. « A chaque fois que tu me décevras, tu auras droit a quelques coups de martinet. Pour avoir regardé ce que j’allais cherché sans ma permission, tu n’auras que 5 coups. Je veux t’entendre compter a haute voix pour les quatre restant. » « Oui Mademoiselle. Hmmmm, deux ». « Aie, trois » « Sans se plaindre, s’il te plait ! Tu n’as que ce que tu mérites ! » « Oui Mademoiselle. Quatre. » « Cinq. » A la demande de Mademoiselle, je gardais toutes expressions de douleur pour moi. Apres cette courte séance de fouet, je sentis ses douces mains caresser mes fesses, les écarter, les pétrir, puis de tout son élan, elle abattit ses mêmes mains sur mes fesses. Dans un énorme claquant, je senti une vive douleur parcourir mon corps. Je failli tomber de la table. « Celle-ci, c’était par pur sadisme, petite chose. J’aime beaucoup tes fesses, elles appellent à la fessées. » « Merci pour le compliment Mademoiselle » lui dis-je d’une voix tremblante. « Revenons a nos moutons. Ce que tu vois dans la caisse est ma collection perso de sextoys. » Je pouvais apercevoir, des godes et plugs de toutes tailles, ainsi qu'un un gode ceinture. Cependant l’objet qui retenu le plus mon attention fut la raquette de ping-pong. « Quel rapport avec les godes et autres jouets sexuels ? Est-ce que c’est pour taper avec ? J’espère ne jamais avoir la réponse a ma question. »me dis-je intérieurement. « Tu vas avoir l’honneur d’accueillir dans ton cul, des objets qui sont passé par le mien ! » « Merci Mademoiselle. » Elle prit un petit plug, l’enduit de lubrifiant, et l’enfila dans mon cul. « Ca rentre comme dans du beurre ! Ca confirme ce que je pensais, t’aimes bien ça, te faire enfiler, hein ?! » « Oui Mademoiselle, celui-ci est rentré sans encombre. » « On va passer à la taille au-dessus. » Elle retira le premier plug et enfonça aussitôt un second sans ménagement. Ce dernier était plus gros, mais rentra sans trop d’effort. « Avec ta connerie de tout a l’heure j’ai failli oublié », s’exclama-t-elle. « Bouge pas. » Elle retourna a son bureau. Alors que ma position sur la table basse commençait a devenir inconfortable, je l’entendis décrocher son téléphone. « Chloé, je suis en rendez-vous avec un client, comment dire… qui a besoin de beaucoup d’explications, sur des sujets un peu délicats. Est-ce que je peux te demander de ne pas nous déranger ? » « mmhhh » « oui, enfin, si tu as besoin tu peux m’appeler, pas de problème. » « oui, c’est… je t’expliquerai plus tard. » « On verra, peut-être oui. Je te tiens au jus si jamais. » « Ouai. Ca marche, merci, à toute à l'heure. » Je n’avais pas la moindre idées de ce que sa collègue avait pu lui dire, mais le ton de l’appel semblait léger et taquin. A peine ma réflexion terminée, qu'elle était déjà revenu au canapé. J’eu a peine le temps de voir qu’elle avait caché quelque chose dernière le canapé, mais je ne pu voir ce que c’était. « Debout ». « Enlève ton t-shirt, va le déposer plié avec le reste de tes habits et vient te mettre à genoux devant moi. » Je m’exécuta. Une fois à ses pieds, elle prit un petit sac en tissu dans la caisse. En le secouant devant mon visage, elle me demanda : « Tu sais ce que c’est, petit chose ? » Je n’en étais pas sûr, alors dans le doute, je répondis : « Non Mademoiselle. » « Et bien ce sont des pinces a linges. » me dit-elle en me montrant le contenu. « Debout, bras dans le dos, jambes légèrement écartées. » Une fois en position, je pris conscience, l’espace d’un instant de ce qu'il était en train de se passer. «J’étais là, nu, devant une femme ravissante. Obéissant à ses ordres, sans réfléchir. Quel pied !! » « Allo, allo !! T’es la petite chose ? Si ca t’emmerde tu me le dis !! » « Pardon Mademoiselle. » « T’étais dans la lune. Je ne veux pas que ca se reproduise. C’est compris ? » « Oui Mademoiselle. En fait, j’étais entrain de réaliser la chance que j’avais d’être avec vous en ce moment Mademoiselle. » « Awww Comme c’est touchant. C’est que tu es romantique, petit chose. C’est mignon. » Le répit fut de courte durée, elle se mit debout devant moi. Prit une pince, me fit signe de tirer la langue et y accrocha la pince. Elle saisit une autre pince, qu’elle vint placer sur mon téton droit. Elle s’amusa pendant les minutes qui suivirent a parsemer le haut de mon corps de pinces a linge. La douleur bien que pas agréable, était plus que supportable. Mais j’avais entendu dire quelques fois que la douleur était plus fortes lorsque l’on enlevait les pinces. « On verra bien, pour le moment ça va » me dis-je intérieurement. J’allais vite changer d’avis lorsqu’elle se mit accroupit regardant mon intimité d’un air sadique. Elle posa le sac par terre. Pris une pince dans une main. De l’autre elle tira sur la peau de mes bourses, pour créer du mou sur lequel accrocher la première pince. La douleur passa un cran. Elle s’amusa à accrocher 6 pinces sur mes testicules. « C’est pas mal, ca. » dit-elle en s’asseyant sur le canapé. Son regard balayait mon corps couvert de pinces. Sa bouche esquissait un léger sourire de satisfaction. « Tu sais ce que j’aime dans les jeux de pinces ? » « Non Mademoiselle. » « C’est de les retirer. A ma manière. » Elle passa le bras derrière le canapé, pour y attraper l’objet qu’elle avait caché un peu plus tôt. « Ma manière, c’est la manière pas cool pour toi ! Recul un peu. On va voir si j’ai pas perdu la main. » Suite au prochain épisode.
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