La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 22/04/23
Résumé : Max était un libertin, sa femme aimant jouer la chienne, il est devenu maître mais ses envie de libertinage reviennent à la charge.    Le pets-play est un jeu que Lucie adore. Elle n’y voit aucune humiliation, aucune soumission. Elle s’est achetée quelques petits accessoires, type diadème de little avec des oreilles puis des moufles avec des poils. Quand elle a envie de son chéri, elle débarque au salon à quatre pattes et vient se frotter comme une chienne qui a envie de câlin. Cela l’amuse de faire la folle, une vraie little dans son genre et elle l’assume pleinement. Pour elle la vie est un terrain de jeu permanent, il faut profiter des rares plaisirs qu’elle nous donne. Le jour de son anniversaire, son chéri lui a offert une cagoule de chien et une queue de chienne de chez ABCplaisir. Tel un volcan recouvrant tout lors de son éruption, elle s’est abattue sur lui pour le dévorer de bisous. Le pauvre gâteau innocent ne s’en est pas remis, sous l’impact de sa little Max s’est effondré dans le canapé, son pied a malencontreusement croisé la table basse, tout a volé dans le salon. Il a donc fallu faire une petite pause nettoyage dès le début de la soirée.    Située au fond d’un fin pertuis, la petite voie ne servant initialement que dans un sens s’est soudainement ouverte d’esprit. Comme quoi, tout est une question de motivation... Pour la première fois, Lucie a donc laissé Max jouer avec son anus, pour le laisser lui insérer le plug de la queue de chienne. Elle s’est aussitôt enfuie du salon en riant comme une folle et en bougeant ses fesses dans tous les sens pour aller chercher ses genouillères avant de revenir à quatre pattes avec son collier et sa laisse entre les dents. Le si beau sourire de Lucie dévoilant ses canines blanches version OralB n’a pas tardé à disparaître derrière sa cagoule de chien. La « chienne » était très en forme ce soir là, Max a eu l’impression de faire un marathon dans leur petite maison isolée située à l’orée d’un petit bois, leur terrain de jeu lorsque la météo le permet.       Après une bonne heure de jeu, Lucie ne pouvait qu’avoir envie d’être prise en levrette, ce qui n’étonnera pas le lecteur. Etre prise avec un truc dans les fesses fut aussi une grande première pour la petite chienne, elle découvrit de nouvelles sensations qu’elle apprécia tellement que les lapins du bois très inquiets se sont demandés, si un loup s’était installé dans la région.   En clair, une femme malheureuse.... ************* Par une belle journée de printemps, Max équipa Lucie de tous ses accessoires de chienne pour la sortir au bois. Prudent, dans son sac, il avait toutefois glissé une robe d’été. La petite chienne s’amusa à renifler, à faire semblant de partir en courant puis à lever la patte. Max lui rappela que ce n’est pas ainsi que les chiennes se soulagent. Elle dut donc adapter sa position et, au dernier moment, il eut la présence d’esprit de soulever la queue pour l’épargner d’un jet d’urine, la little n’y pensant pas. Si les pinsons et rouge gorges pouvaient parler, ils vous diraient qu’ils ont trouvé mignons ses tourtereaux jouant à chien chienne en chaleur aux pieds de leurs arbres. Arrivés à la maison, Lucie décida de rester dans ce rôle qui lui colle à la peau et frise parfois un réel besoin. Elle alla s’allonger dans son panier où elle se mit en boule pour une petite sieste sous les yeux attendris de son mari. Au départ, Max était un libertin. Tombé fou amoureux de Lucie dès le premier regard, il a tout arrêté, sa chérie étant un peu bloquée sur ces pratiques. L’idée de revenir à la charge lui vint à l’esprit en la regardant dormir. Si bien que le soir après le repas, il ouvre la discussion sur ce sujet entre deux mamours.    - Tu sais, il faudra bien un jour que je te fasse couvrir par un chien ! -  Heu.... Je rêve ou tu me parles de zoo là ? - Mais non banane, d’un chien humain ! Imagine-toi en tenue, à quatre pattes attachée en train d’attendre d’être saillie par un beau mâle. Nous pourrions délirer, te faire prendre et lui promettre de lui donner un des chiens de la portée. Bien entendu, je serai là et te tiendrai pour pas que tu t’échappes ou le morde. A moins que je t’attache et me contente de te regarder couiner pendant qu’il te saute. Qu’en penses-tu ? - Du libertinage quoi ? - Oui et non ! Une chienne ne choisit pas, son maître sélectionne le reproducteur. La chienne n’a qu’à se laisser couvrir. D’ailleurs, pour t’habituer à ton statut de vraie chienne, je vais t’offrir une niche que nous mettrons dans la chambre. Qu’en penses-tu ? - Tu as toujours refusé qu’on mette une niche dans la chambre ! Mais tu ne serais pas jaloux ? - Jaloux de voir ma femme prendre du plaisir et jouir ? Non pas du tout, et puis n’oublie pas que je suis libertin. *********** Revenant régulièrement sur le sujet lors de leurs jeux, Max décida un jour d’attacher la chienne puis de la laisser méditer après avoir inventé une histoire de reproducteur. Entravée à quatre pattes au bord de la table basse, lorsqu’il a éteint la lumière pour venir la sauter comme un chien, Lucie a découvert cette nuit là, le plaisir de l’abandon sexuel sous bondage. Cette idée nouvelle et lubie de son Maître de la faire sauter par un inconnu commença à faire son chemin chez Lucie. Un jour, dans son délire, après avoir attaché sa chienne, Max lui déclara qu’il y avait deux chiens. Il joua le jeu de la prendre une première fois comme dans leurs câlins habituels mais il se retira avant de jouir pour la laisser mariner et fantasmer. Il enfila des gants, un pantalon et, toujours dans le noir vint la prendre en essayant d’être différent de d’habitude. Au départ, Lucie y cru, cela ne dura pas mais elle garda en mémoire cette sensation d’être réellement plus qu’une chienne. Si l’idée de l’inconnu lui avait déplu, sa queue très active ne l’avait pas laissée de marbre, même si il ne lui avait pas fallu  beaucoup de temps pour reconnaître son mari. Les femmes sont parfois surprenantes quand elles se lâchent. Lucie finit donc par dévoiler à son mari que finalement ses idées de reproducteurs commençaient à lui plaire. Elle ajouta même que trois ou quatre seraient bien, une réponse surprenant énormément Max. - Le libertinage pour le libertinage ne m’attire pas du tout. En fait, j’aimerai bien vivre une fois l’expérience de soumise sexuelle comme sur certaines vidéos de Fessestivites. Tu sais, quand les filles attachées passent à la casserole..... Mais si j’accepte, je ne veux pas voir la tête des mecs et encore moins les sucer, ça cela t’es réservé ! Oh mon dieu, qu’est-ce que je te raconte.... - Un de tes fantasmes tout simplement ma chérie. Tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir que tu te confies comme ça. *********** Le temps passa et, entre les jeux de pets-play et câlins débridés Max ne lui reparla pas de cette idée de reproducteurs. Plutôt que de la gêner avec ce sujet, il se lança dans le bricolage. Pendant tout un week-end, Lucie n’eut pas le droit de rentrer dans leur garage pour cause de préparation d’une surprise. Le soir de son anniversaire, la petite chienne se retrouva attachée comme de la charcuterie. Il lui fit un bondage de façon à lui imposer la position à quatre pattes avec les membres maintenus pliés avec du cellophane. Une fois entravée, il passa la laisse du collier sous l’un des pieds de leur lit et quitta la chambre en lui souhaitant une bonne sieste. Autant dire que Lucie tenta de s’échapper mais en vain, les mains cellophanées et les bras pliés, elle dut se résoudre à être sage. Pendant la sieste de Lucie, il installa une niche très BDSM dans leur salon. Si elle ressemblait à celle que l’on peut voir dans les jardins, cette niche avait comme particularité d’avoir une sorte de porte d’entrée ajustable avec un trou en son centre permettant d’en faire un pilori. Décorée avec goût avec son nom écrit au dessus de la porte, cette niche molletonnée fut une sacrée surprise pour Lucie lorsqu’il la délivra. Toute émue, la petite chienne libéra quelques larmes de bonheur à défaut de pouvoir sauter sur son Maître. Le cadeau surprise ne s’arrêta pas là. Après que la petite chienne se soit amusée à entrer, sortir de sa niche, il lui fit découvrir la fonction pilori dans les deux sens. Il la bloqua à l’intérieur avec juste la tête dépassant par la porte. Ni une ni deux, il ouvrit la braguette de son pantalon, se mit à genoux devant la porte pour se faire lécher par sa pets-girl devant s’appliquer dans cette fellation, sous peine de passer la nuit comme ça. La pipe étant « satisfaisante », il la fit sortir pour la bloquer dans le pilori en ne laissant dépasser que son corps. La tête bloquée à l’intérieur de la niche, la chienne se fit « couvrir » sans pouvoir voir l’extérieur de la niche. Rusé et très joueur, il utilisa le téléphone de sa femme pour faire sonner le sien. Bloqué la tête dans sa niche, Lucie l’entendit discuter avec quelqu’un sans rien voir. Elle bondit de peur quand elle entendit la porte d’entrée claquer. Il caressa la belle croupe de sa femme, après avoir trempé ses mains dans l’eau froide et les avoir séchées. Elle crut que comme cadeau d’anniversaire, il avait invité un reproducteur ! Lucie était un peu furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue. La suite fut bien pire !!!!! Amoureux fou de sa soumise, Max s’était acheté dans une boutique de déguisements d’animaux un costume intégral de furry dog à poils longs. Si il n’enfila pas la cagoule de chien poilu, lorsqu’il se plaça contre les adorables petites fesses de sa chérie, les poils la traumatisèrent. « Non, il ne va pas me faire sauter par un vrai chien » se dit Lucie pour se persuader que cela ne pouvait pas lui arriver, que son mari n’était pas zoo ! ! ! Max s’amusa un instant à jouer le chien avec ses « pattes » avant et sa verge cherchant la faille du temple de la fécondité. La tête bloquée dans sa niche pilori, Lucie tétanisée finit par se rendre compte que ce n’était pas un vrai chien derrière elle mais un homme, un pets-boy. La surprise passée et rassurée, elle finit par se détendre et apprécier de se faire couvrir sans ménagement. A l’intérieur de la niche, des plaintes mélodieuses ne tardèrent pas à se faire entendre et pour cause : elle réalisait le fantasme d’être couverte par un inconnu en position de soumise sexuelle et qui plus est en chienne. Le pied ! Des « pieds » elle en eut plusieurs, traduction, la belle jouit plusieurs fois. N’étant qu’un homme, tout seul, Max ne put « copuler » ad vitam æternam. Après avoir copieusement ensemencé la chienne, il installa leur machine à baiser qui elle, est infatigable.  La machine oeuvrant ardemment dans le chaton naturellement lubrifié et agrémenté de semence bio, il put à loisir claquer le beau fessier offert à sa guise ou jouer du magic wand massager sur le clitoris de la belle hurlant son plaisir à pleins poumons dans sa niche. Jugeant que même jeune, le coeur de sa femme avait ses limites, il décida de la libérer. Lucie fondit en larmes entre les bras de son mari. Ces larmes n’étaient pas de tristesse comme vous vous en doutez mais de trop de bonheur, trop d’émotions, trop de jouissances.  Depuis cette soirée spéciale, il leur arrive de faire venir un ou deux hommes pour faire couvrir la chienne qui se fait prendre la tête enfermée dans  « sa niche ». En échange de tant de bonheur et de générosité d’âme, Lucie a décidé de faire un cadeau spécial à son Maître. Il faut que je vous raconte ! Pendant qu’il faisait sa sieste, la belle a dessiné deux flèches sur ses fesses en désignant son délicat petit orifice. Elle a également préparé un petit mot avec des coeurs dessinés sur un papier avec comme indication « dépucelle-moi en me v i o l a n t par derrière ». Elle a attaché ses jambes pliées avec du cellophane avant de bloquer sa tête dans la porte pilori de sa niche. Une fois « pilorisée » elle s’est menottée de façon à ne plus pouvoir s’échapper. Lorsque Max se leva, il dut se pincer pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Lucie lui offrait son petit cul jusqu’à présent refusé. Autant dire qu’il ne prit pas le temps de se servir un café. Fin TSM          
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Par : le 21/04/23
Voyez comme les amants s'éloignent du monde justifiable. Rien ne peut leur donner raison, rien ne peut leur donner tort, car ni le tort ni la raison n'existent quand on aime. On passe dans une dimension où l'on ne reconnaît que sa fantaisie. Et si vous trouvez celle-ci indécente, c'est que vous ne supportez pas l'innocence. Car ces deux-là, en s'aimant, ouvrent un monde intact. Et si, comme cette nuit-là, ils s'enroulent avec leurs gémissements dans une trouée d'étoiles, c'est parce que le plaisir les protège. Dîner avec son mari au restaurant n'avait rien d'exceptionnel. Pourtant en cet instant, ils étaient assis, main dans la main, silencieux, enveloppés dans un même bonheur. Juliette avait découvert qu'elle aimait ces moments de complicité silencieuse, de joie simple et d'intimitié. "- Chéri, jai besoin d'aller aux toilettes, me rafraîchir", ai-je dit en me levant. Je l'embrasse sur la joue et je me dirige vers le fond de la salle. À gauche, celles des femmes; à droite celles des hommes. Je ne choisis ni l'un ni l'autre. Mais je poursuis mon chemin vers une porte au-dessus de laquelle le mot "Sortie" est en rouge illuminé. Je me retrouve dehors. La ruelle est sombre; le seul lampadaire qui doit servir à prodiguer un peu d'éclairage est cassé. Sans doute l'action d'un gamin. Un peu moins de trois mètres séparent les deux hauts murs de brique. De la rue proviennent des bruits de sirène, puis des éclats de rire. Je reconnais tous ces bruits de la ville tandis que je m'enfonce dans la ruelle. Dans le creux de ma main droite est plié le bout de papier qu'il m'a discrètement remis au bar, où je prenais l'apéritif avec mon mari en attendant notre hôte. Sur ce papier, quelques mots griffonnés à la hâte: "Dans la ruelle, dans dix minutes." Je ne connais pas son auteur, nous nous sommes seulement lancé des regards appuyés par-dessus l'épaule de mon mari. Une sorte d'attraction subite, un échange puissant, inexplicable. Les ténèbres m'aspirent, un faible éclairage provient finalement des fenêtres qui percent les murs de brique quelques étages plus haut. Il surgit du renfoncement d'une porte en me prenant le bras. Je porte une robe légère en coton et ses doigts sur mes bras me font frémir. Je lui retourne son sourire, ses yeux brillent dans la pénombre, d'un mélange de concupiscence et d'impatience. Je suis bouleversée par son regard, par ses lèvres sensuelles, les traits anguleux de son visage. Il me repousse violemment dans l'alcôve de la porte, un mouvement qui ressemble à un pas de danse, un tango. Il pose ses mains sur mes épaules, il presse son torse contre ma poitrine.   Je sens que j'étouffe, comme si l'air s'était soudainement et mystérieusement raréfié. Les mots me manquent, mon souffle s'alourdit, comme si un poids oppressant me pesait sur la poitrine. - Mon mari m'attend à l'intérieur, ai-je prétexté en laissant mes bras raides le long de mon corps. - Je sais, je ne serai pas long. Sa voix, basse et autoritaire, me fait frissonner. Il approche ses lèvres des miennes, tout juste pour les effleurer. Je ferme les yeux, je lève la tête, j'accueille son baiser. Une caresse soyeuse et prometteuse. Mes doigts raclent la brique et le bois de la porte. Ses lèvres glissent sur mon cou, puis sur mon épaule tout près de la bretelle. Je me sens à l'étroite dans ma robe, comme si mes seins étaient comprimés et qu'ils avaient brusquement pris de l'expansion, gonflés de désir. Sa main droite descend sur mon bras, elle saute sur ma hanche. Elle descend encore, jusqu'à ce qu'elle rejoigne le bas de ma robe et la retroussse brutalement, provoquant un bref et frais courant d'air sur mes cuisses brûlantes. Je sens ses doigts sur la peau de mon genou. Je retiens un gémissement quand elle fait l'ascension de ma jambe. À travers la soie de mon tanga, je sens son contact léger, une caresse insoutenable. Il tâtonne mon sexe, comme pour en définir les limites. Il est blotti contre moi, sa chaleur m'enveloppe tel un linceul lascif, sa passion contenue dans ses gestes m'essouffle. Je garde les yeux fermés alors que ses doigts touchent mon ventre lisse, puis s'immiscent sous l'élastique de ma culotte. Sa main chaude survole les lèvres humides de mon sexe. Je souris lorsque je sens son index fouiller mes replis mouillés. Il maîtrise la situation. Le glissement habile de ses doigts sur mon clitoris chasse vite le sourire sur mon visage. J'entrouve la bouche, je souffle ma tension dans son cou. Une bretelle de ma robe a glissé sur mon bras, découvrant la lisière de dentelle de mon soutien-gorge, blanc dans la pénombre. Je me sens complètement nue, exposée, et pourtant, ma robe est collante, comme une seconde peau.    Rien d'autre n'existe à côté d'un désir qui vous sépare du monde qui dort et s'étreindre dans la nuit, sous un ciel qui rugit, appelle un bonheur fou. Moi chevauchant l'inconnu, la pointe de mes seins enfoncée dans sa bouche, et mes ongles plantés dans sa peau. Lui léchant mon sexe, et mêlant sa salive à l'humidité de mes reins. Son index et son annulaire frôlent mes lèvres, tandis que son majeur s'introduit en moi avec aisance. J'ouvre les yeux, mes mains s'agrippent plus fermement au mur, cherchant en vain désespérément à s'accrocher à l'alcôve de la porte. Lui me fixe droit dans les yeux, tandis qu'il me fouille les reins. Il en agite au moins deux dans mon vagin, il frotte son pouce sur mon clitoris, tandis que de l'autre main, il force mon anus.Des voix fusent des fenêtres au-dessus de nos têtes; la seconde bretelle de ma robe tombe sur mon bras. Les deux bonnets blancs de mon soutien-gorge jaillissent désormais dans le noir et mes seins semblent prêts à en bondir de désir. Mon tanga est étiré au maximum, sa main l'envahit, ses doigts me remplissent. Je me sens couler, comme si tout mon être se répandait dans sa main. Je prends finalement ses épaules, je les agrippe et j'y plante mes ongles. Puis mes mains suivent ses bras, ses avant-bras, se posant enfin sur ses doigts en mouvement. C'est comme si je venais d'enfoncer mes doigts dans une épaisse éponge gorgée d'eau. Je mouille en abondance, jusqu'à mes cuisses et sur les poignets de mon partenaire. Bien involontairement, sous l'emprise d'un plaisir déboussolant, je flèchis légèrment les genoux, ce qui m'empale plus à fond sur ses doigts. J'échappe de longs gémissements. Ils rebondissent sur les murs de brique, se mêlant aux bruits nocturnes de la ville en sommeil, ne devenant que de banals sons urbains. Je jouis en serrant son poignet, et lui continue de bouger ses doigts jusqu'à ce que je me taise, la voix brisée, les larmes aux jeux, les jambes tremblantes. Puis, il retire sa main, l'élastique de mon tanga se relâche, la soie adhère à ma vulve mouillée. Il s'écarte, juste un peu, et porte ses doigts à ma bouche. Subitement, il me plaque le ventre face à la porte. Je sens son sexe en érection glisser entre mes reins, comme une épée dans son fourreau, je goûte la sensation de cette chair palpitante et mafflue, me prenant un sein d'une main, l'autre fouillant mes fesses, préparant le chemin vers l'étroit pertuis, puis d'un seul coup il me pénètre. Oubliant la douleur de la sodomie, je laisse échapper un cri, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués. Je me sens défaillir. Il retourne le premier dans le restaurant et j'attends deux ou trois minutes avant de le suivre. Au bar, mon mari consulte sa montre d'un air impatient. Il me prend par le bras quand je reviens. - Bon sang, il y avait foule aux toilettes ou quoi ? - C'est ça, dis-je, la tête ailleurs. - Notre table est prête. Il m'entraîne à travers la salle. - Mon nouveau patron est arrivé, me glisse-t-il à l'oreille. Il paraît qu'il est très ennuyeux. Sois gentille avec lui, d'accord ? L'homme se lève à notre arrivée. Je tente d'effacer sur mon visage ce sourire béat que je pressens. Je lui sers la main, ses doigts encore humides s'enroulent autour des miens. Je combats mon envie de rire. - Bonsoir, dis-je d'une voix secouée et anxieuse. - J'ai l'impression de vous connaître déjà." Est-il possible que la vie entière prenne une couleur passionnée ? Les amants vivent à l'intérieur de la joie qu'ils se donnent. Tous ceux qui aiment la poésie savent qu'elle prend sa source ici: la féerie sexuelle est le secret de ces phases.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/04/23
Vacances épuisantes en gîte fétichiste Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps. Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?  Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon.... Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».  Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité. Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple ! - Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire. Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.    Trois moins plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses. Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! ! - Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM. Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir. - Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ? - Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ? - Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libèrera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça. - Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte. A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant... Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie. Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir. En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit.. « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions. Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle. Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia. - Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia. - Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental ! - Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !         - Il vous l’a fait aussi ? - Oh, il m’a fait bien pire ! La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes... N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer. TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !  - Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée. - Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.  Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme. - Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit. - Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL. - J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia. - Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie. - Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM. - Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée. - Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.   - Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ? Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique. - Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ? Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure. - Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ? - J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ? TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé. - Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ? - Comment ça me libérer ? - Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher ! - Est-ce obligé ? - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement ! Prise dans la tourmente des évènements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir. Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges. Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les première parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret. C’est ce pipi couche qui déclancha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce. - Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé ! - Je ne suis pas un bébé !  Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM. Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat vint lui faire un câlin. Il y en a quatre, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie. Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia. Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses. - Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine. Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher. - Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé. - Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice. - Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager. - Dans cette tenue ? - Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez ! A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol. - C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?      - Heu.... - Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations. Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus. «  Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi. Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon ! Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou cadenas des chaînes. - J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous ! - Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie. La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi. - J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver. - Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie. - J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes. - Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ? - Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ? - Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois. - OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider. - Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir ! Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug. Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon. Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas. Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.   - Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ». - Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie. - Et, ça va pas la tête ! - Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir ! - Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne ! - Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez ! - Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !     Cinquante mètre plus loin, Très Sympathique Mec lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue. - La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ? - Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir. - Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée ! - Heu.... je n’ai pas dit oui ! ....................... Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.   - Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia. - Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie. - Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ? - Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée. - Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise. Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard. - Aie, qu’est-ce que vous faites ? - Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ? - Absolument ! Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car sa seule expérience de spanking avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise. Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité. - Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie. - La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ? - J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ? - Avec une couche ? - Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur. - Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers. - Ouiii ! Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.  Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.   Le Très Sadique Mec abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne. Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet. « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ». Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport. - Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ? - Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante ! - Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit. Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres. - Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison ! EPILOGUE Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?   FIN Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes Espagne en juin 2023.      
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Par : le 20/04/23
Le plus intrigant n'était pas que sous des dehors aussi routiniers, elle fût une séductrice, après tout, on a vu des Casanova plus incongrus, mais que sa solitude devînt chaque jour plus obscure. Il y avait un abîme en elle qui repoussait l'empathie, et ce point d'étrangeté qui éloignait les femmes aussi vite qu'elle les avait attirées pouvait en effet paraître dangereux. Derrière certains horizons calmes, on aperçoit des choses terribles. Dès que je sortis dans la rue, je l'aperçus. Charlotte m'attendait dans une mini robe très courte rouge. J'allai vers elle. Je l'embrassai. Et soudain, quelque chose se brisa. Cette jeune fille que j'avais devant moi, c'était une autre, pas celle que j'avais rêvée. Certes, elle était éclatante, jeune, blonde, aimante, tendre comme l'autre, mais il lui manquait une qualité qui n'appartenait qu'à l'autre. Elle me demanda: "- préférez-vous que je vous laisse seule ?" Elle me sourit. Je la regardai avec une expression d'incrédulité mais je vibrais encore de la ferveur de ses mains. Le lendemain soir, elle vint chez moi. Tout alla très vite. Il n'y a que les femmes légères qui hésitent à se donner. Je l'aimais pour la gravité qu'elle mettait dans l'amour. Sa beauté, mais plus encore l'air de bonté qui émanait d'elle. Il était moins de minuit quand nous entrâmes rue Saint-Honoré à La Marquise et nous allâmes nous asseoir tous les trois dans un angle où un guéridon était encore libre. Vincent commanda du champagne et Charlotte s'installa à côté de Juliette. Le contraste entre les deux jeunes femmes avait de quoi bluffer un homme. Charlotte était blonde, avec la fragilité apparente de la porcelaine de Saxe et de grands yeux bleus pleins d'innocence. Juliette, brune aux cheveux courts, un fauve racé, très sportive, dévorant les jolies filles et la vie à pleines dents.   L'émotion qui naissait alors en elles ne se consumait pas dans la jouissance, elles attendaient. Le corps de sa prochaine conquête lui apparaissait miroitant d'or et d'argent, comme si la lune et le soleil l'avaient enduite d'une rosée dont elle allait goûter le nectar. Les prières glissent ainsi vers un temple invisible. Juliette méditait son érotisme. Peu à peu, nos pupilles bientôt s'habituèrent à la pénombre qui régnait. L'endroit était frais, agréable, une musique anglo-saxonne en fond sonore, tout au fond de la salle, il y avait un grand rideau derrière lequel nous entendions par instants des éclats de rire et des exclamations. Autour de nuit, des couples flirtaient sans trop de retenue, Vincent leva son verre en direction de Juliette qui lui répondit avec un sourire. Ils étaient beaux tous les deux et très amoureux l'un de l'autre. Ils ne s'adonnaient désormais plus aux jeux échangistes qu'ils pratiquaient autrefois. Le champagne était délicieusement frais et pétillant. Bientôt, une jeune femme passa devant eux, attirant tout de suite l'attention de Juliette. Elle était ravissante, cheveux blonds coiffés en queue de cheval, longiligne, le visage souriant, bronzée. Sa silhouette élancée était mise en valeur par une jupe noire très courte montrant des bas qui luisaient langoureusement. Un charme fou, une distinction naturelle. La Marquise était un établissement dont l'organisation était sans défaut. On pouvait très bien rester dans la première salle et y boire un verre tranquillement dans une atmosphère ne dépassant pas le flirt un peu poussé. La jeune femme qui venait d'arriver s'était assise non loin d'eux et ils auraient juré qu'elle venait là pour la première fois. À la table voisine, un couple, lèvres soudées, s'étreignait passionnément et la main de l'homme était invisible sous la robe de sa compagne dont les jambes frémissaient par instants, s'ouvraient insensiblement, puis se refermaient comme sous l'effet d'un retour de pudeur. Soudain, ils se levèrent et disparurent derrière le rideau rouge, sans doute pour rejoindre alors une alcôve. Juliette avait imperceptiblement changé d'attitude, Vincent la connaissait suffisamment pour deviner qu'elle avait envie de lui, mais plus encore, d'aller jeter un coup d'œil dans l'autre salle, de profiter ainsi de l'opportunité pour faire connaissance de la ravissante blonde. Une conquête facile et surtout agréable, d'autant que l'attirance paraissait mutuelle.   Elle était mince, d'une élégance très parisienne et son visage pétillait de joie. L'obscurité et le rire des jeunes femmes des tables voisines composaient un instant radieux. Il y a toujours un mur glacé qui à l'intérieur de chaque instant vous renvoie au néant. La plupart du temps, ce mur se franchit aisément, on n'y pense même pas. L'amour de vivre suffit à l'effacer. Son maquillage était discret. Assurément sous son chemisier transparent, elle ne portait pas de soutien-gorge car on devinait ses seins libres et fermes. Sous des airs de jeune fille BCBG, elle devait avoir un tempérament de feu. Elle avait vingt ans. Même pas, dix-huit ans et demi. Un âge diabolique pour Juliette qui en a quinze de plus. Elle est distinguée, blonde, avec des yeux magnifiques, le visage encadré par une sage chevelure. Piquante, peu farouche, elle avait cette liberté des jeunes filles de bonne famille émancipées. Elle devait traîner tous les cœurs derrière elle. Elles décidèrent toutes les deux après avoir échangé quelques paroles anodines de rejoindre Charlotte et Vincent dans l'autre salle, derrière le rideau. Sur les banquettes garnies de coussins qui faisaient le tour de la pièce surchauffée, des couples faisaient l'amour sans retenue. Quelque part, s'éleva un long gémissement de plaisir. Juliette avait retrouvé ses ardeurs saphiques, dont Vincent avait l'habitude. Un inconnu contempla Charlotte, surpris de sa retenue, puis jeta un bref regard à Vincent, comme pour solliciter une autorisation. À La Marquise, tout le monde était bien élevé. Voyant qu'il n'y avait aucun refus, il se baissa alors vers Charlotte qui gardait obstinément les paupières closes et, la prenant par la taille, la redressa doucement jusqu'à ce qu'elle fût agenouillée devant lui. Puis il releva sa robe le plus haut possible dans son dos, défit lentement le tanga en soie jaune qui voilait ses hanches. Elle frémit quand il commença à caresser ses fesses nues qui s'offraient vers lui. Sans se l'avouer, elle adorait se faire prendre par un inconnu dont elle se refusait à voir les traits, ce qui devait combler son fantasme favori. Juliette avait conquis la ravissante blonde. Elle s'appelait Florence. Le désir n'a jamais l'épaisseur qu'il a dans le silence. Elles s'embrassaient amoureusement, les langues entremêlées. À genoux, la main de Juliette allait à la découverte des merveilles entrevues dans le décolleté de Florence. Ses seins tenaient juste dans la paume de sa main et avaient une fermeté remarquable. Le bout des doigts caressait, tour à tour, chaque auréole et elle sentait les pointes commencer à s'ériger.   Il y eut alors un long silence. La jeune femme savoura cet instant qui la vengeait. Désormais, elle aurait totalement accès à elle, sans rien exiger. Son cœur battait fort, elle riait. Elle se sentait à la fois ridicule et glorieuse, comme si un événement considérable avait lieu. Elle la fit basculer pour l'allonger sur la banquette. Elle fermait les yeux mais sa respiration avait changé de rythme. Elle couvrit son visage de baisers par de multiples touches délicates, sur les lèvres, passant sa langue derrière son oreille, ce qui la fit frémir. Florence mordillait les pointes des seins de Juliette. Après lui avoir ôté ses talons hauts, Juliette commença à faire glisser sa main le long de la jambe dont le galbe du mollet était parfait, sa main crissait sur les bas. Bientôt la main continua sa reptation au dessus du genou, vers l'entrecuisse de Florence. Juliette s'aperçut qu'elle ne portait que des bas. Florence riva son regard sur les doigts de Juliette qui parcouraient sa fente, tandis que son clitoris, décalotté, pointait tel un dard. Florence ne tarda pas à jouir. À peine risquait-elle une fiévreuse caresse, un élan passionné, que Florence entrait aussitôt dans des ardeurs trop vite maximales. Juliette freinait donc là où une femme devait pouvoir se lâcher. Elle se réservait toujours au lieu d'offrir sa confiance en même temps que son corps, ce qui on en conviendra rationne le plaisir. Elle avisa que le comportement de Florence, sans être insolent, allait à l'encontre des préceptes qu'il lui faudrait bientôt assimiler, pour la rendre docile, bien entendu, mais surtout, résignée à se priver d'orgasme, avec un respect infini et la langueur qu'elle attendrait d'elle. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller. Sa jupe flottait au gré de ses mouvements. Par moment, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine. Elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance.   Elle se donna très doucement, et tout de suite ce fut parfait. Les baisers, les caresses prenaient avec elle la forme d'une évidence. Ce qui se consumait dans leurs ébats effaçait entièrement la logique. Elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta. Le soutien-gorge descendu fit apparaître l'aréoles de ses seins. Elle s’exhibait sans retenue. Deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà fièrement dressés. Le premier les malaxa sans douceur. Le second attoucha ses fesses. Elle était maintenant nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée. les doigts fouillèrent son vagin et son anus. Elle implora d'être prise. Un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient. Un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge. Juliette et Florence avaient choisi de profiter d'un recoin sombre de la salle pour s'abandonner de façon plus discrète. Elles étaient totalement nues maintenant. Étendue sur le dos, les bras rejetés en arrière, Florence se livrait sans pudeur. Juliette avait décidé de la dompter, de la soumettre durement, de la rabaisser, de l'anéantir presque. Mais le lieu ne s'y prêtait pas. Elle se jura en elle-même de parvenir à ses fins. Comme dans un rêve, sous ses caresses, elle entendit le feulement de Florence qui se cambrait de tous ses muscles. Un instant ses cuisses se resserrèrent convulsivement autour de la tête de Juliette puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon. Juliette plongea ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant fièrement, que Florence avait de nouveau joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longuement entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine. Elle ne s'était pas trompé dans le jugement qu'elle avait porté sur la personnalité de Florence. Après un dressage strict et sans répit, elle deviendrait certainement une parfaite soumise.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/04/23
Je lui ôte ses menottes afin de finir de la dévêtir. D’un pas, elle enjambe sa jupe au sol, son chemisier tombe à son tour. Elle cherche machinalement à deviner ce lieu que ses lentilles opaques l’empêchent de voir. Je verrouille sur ses poignets de larges bracelets d’acier, puis à ses chevilles. Ses bas noirs font ressortir le brillant de l’acier, je suis aux anges. La prenant fermement par la nuque, je la pousse vers le salon. J’en profite pour observer son corps nu que je possède pour la première fois. Elle est belle. Elle n’a rien d’extraordinaire mais son corps dégage une douceur, une sensualité incroyable. Les talons très hauts de ses escarpins imposent à ce corps une délicieuse cambrure qui exacerbe sa féminité incroyable. Nous y sommes, je la retourne et la fais s’assoir sur la table basse du salon que j’avais préparée. Je la fais s’allonger et passe ses jambes de part et d’autre de la table. Avec la chaine que j’avais disposée, je relie les bracelets de ses chevilles. Je fais de même avec ses poignets les fixant au-dessus de sa tête aux pieds de la table. Une dernière chaine vient s’arrimer à son collier pour lui interdire de se redresser. Enfin, un beau bâillon gag en cuir noir vient la réduire au silence. La position de ses jambes, maintenues écartées par la table basse offre son sexe au regard. Sa fine toison est ornée de perles de rosée, son excitation est manifeste. Lors de notre repas, la semaine dernière, elle m’avait indiqué qu’il fallait en prévision de ce soir qu’elle se rase le sexe, chose qu’elle avait négligé depuis un certain temps, ce que je lui ai formellement interdit sans plus d’explication. Quelle plus belle façon de s’approprier ce corps que de le faire moi-même. J’attrape une petite tondeuse que j’utilise pour ma barbe et entame délicatement le travail. Très vite, la voilà à nue. Un peu de gel et un rasoir permettent d’obtenir enfin la douceur attendue. Nous y sommes, elle est prête. Elle est restée parfaitement immobile tout ce temps. J’ai pourtant envie de la voir se contorsionner dans ses entraves, se débattre, tenter en vain de se soustraire. J’attrape un vibro énergique et commence à caresser ses lèvres puis à approfondir les choses. Des gémissements se font vite entendre, elle gigotte et tend ses chaines. Ses poings se ferment, des vagues la font onduler. Enfin, une grande contraction de tout son corps et un hurlement de bonheur, étouffé par son bâillon, marquent la délivrance. Mes mains caressent son corps et finissent par vérifier avec attention le travail que je viens d’achever. L’excitation est totale. Ses chaines otées, je me pose sur le canapé et la tire vers moi. A tâtons, elle cherche mon corps et s’agenouille spontanément devant moi. Maladroitement à cause de sa cécité elle défait mon pantalon. Il y a des initiatives agréables qu’il faut savoir encourager. Je la caresse avec tendresse alors qu’elle me met à nu. Il devient urgent de lui oter ce bâillon qu’elle frotte tendrement sur mon sexe. Ses lèvres sont douces, tendres et fermes à la fois. Puis elle m’honore de sa langue et la douce chaleur de sa bouche. Le plaisir est total. Elle arbore maintenant un sourire incroyable, la fierté du travail accompli, du plaisir donné.  Je la hisse sur le canapé. Machinalement, elle vient se blottir dans mes bras, elle semble tellement paisible, heureuse, je suis bouleversé. Comme nous n’étions pas là pour passer du temps à table et faire un repas gastronomique, nous avions convenu de nous commander un repas par livreur. Je passe un coup de fil et nous attendons le livreur enlacés sur le canapé à papoter et prendre soin l’un de l’autre. Le livreur sonne. J’enfile rapidement mon pantalon et reviens avec notre repas. La logique voudrait que je lui enlève ses lentilles opaques mais je n’arrive pas à m’y résoudre. J’aime trop cette dépendance et la douceur que l’hésitation donne à ses mouvements. Nous mangeons l’un contre l’autre. Entre deux bouchées, je la nourrie, telle la personne dépendante qu’elle est.  Notre repas fini, nous allons dans la chambre. Notre soirée ne fût que jeux et tendresse. Elle n’avait que peu d’expérience, nous avons donc testé plein de choses… Menottes, armbinder, baillons et harnais en tout genre, camisole de cuir,… J’affectionne particulièrement ma camisole de cuir. Elle offre une contrainte absolue et le contact de cuir est d’une sensualité incroyable. Par chance, elle a adoré également. Je pense que la camisole n’aura pas l’occasion de prendre la poussière. La nuit avançant, nous arrêtons nos jeux pour ce soir. Je lui laisse ses lentilles et les bracelets d’acier qui ornent ses chevilles et poignets. Elle blottie dans mes bras, nous nous endormons. Le réveil fut bien agréable. Je fus étonné que ses lentilles résistent à une nuit de sommeil mais elle était toujours aveugle. Comme il fallait qu’elle parte tôt pour un repas de famille, je lui propose de commencer par une douche. Je la conduis sous la douche avec ses bracelets et la nettoie avec de grandes caresses savonneuses. Elle me demande le savon me tendant la main et s’occupe à son tour de moi.  Sa cécité donne une infinie douceur à ses gestes, parcourant mon corps à tâtons. Ses caresses sont divines.   Une fois propre et sèche elle me demanda si elle pouvait revenir ce soir, après son déjeuner en famille. Comment refuser un tel plaisir ? Du coup, une vilaine idée me traversa l’esprit. « Oui, il n’y a aucun problème mais je vais mettre un peu de piment à ton repas de famille ». Je la ramena sur le lit et attacha ses poignets et chevilles aux chaines des quatre coins du lit. Un bâillon la priva ensuite de toute possibilité de protestation. Je pris un sac dans le placard et alla chercher quelques outils. Ensuite, je pris un moment à régler à sa taille une ceinture de chasteté. Une fois suffisamment ajustée, je la verrouilla. Même loin de moi, elle restera mienne. Une fois ainsi « vêtue », je la détache, lui enlève bracelets et enfin ses lentilles. Elle découvre enfin les lieux. Voyant le grand miroir de la chambre, elle se lève et va observer ce que je viens de fixer sur son corps. Elle n’ose rien dire mais je sens bien ce mélange de plaisir et de crainte que cela se voit. Il est certain que si elle passe la journée avec la jupe courte et légère qu’elle avait hier, il faudra pas qu’elle se penche ou qu’il y ait du vent. Nous descendons prendre le petit déjeuner, nus. Elle passe machinalement ses mains de façon régulière sur sa ceinture. Une fois terminé, nous nous habillons puis, après une tendre dernière embrassade, elle me quitte pour renter chez elle. Que les heures vont être longues en attendant son retour
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Par : le 19/04/23
J'ai mangé un croissant de Lune Et un éclair au café Bu la voie lactée Un voile de brume Pour m'habiller De filaments funambules Je lisse ma chevelure Telle Berenice Je sors mon mètre  Pour faire des plans sur la comète Sous un soleil de plomb Je m'éclipse au Zénith J'enfourche Pégase Qui fait des bruits de Casserole Pour compter les étoiles Nombre astronomique J'ai l'Arithmétique nébuleuse  Je change d'axe Me place en orbite Loin des turbulences telluriques Séléné m'attire magnétique Comme un pôle aimant  Au crépuscule mes questions culminent   Dis tu l'as vu toi l'encre indélébile de douleur fracasser le ciel et l'air de ses ailes, météorite assoiffée aspirant le parfum des marées? Entre deux Persée de trous noirs, est il normal d'avoir des aspirations astrales ? Si je deviens solaire, dois-je compter mon âge en années lumières?   
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Par : le 18/04/23
« Tu as passé une bonne nuit, salope ? » Ces mots me sont déjà presque familiers et me réchauffent le cœur. « Ouvre la bouche ! » Qu’il est agréable de goûter au sperme du Maître dès le réveil ! Oui, j’ai bien dormi dans cette cage pourtant inconfortable. Dehors il pleut à verse ce qui renforce ma sensation d’être dans un cocon, sous la protection de mon Maître. Esclave, mais heureuse. C’est au tour de Sonia d’entrer dans le salon. « Hello Ysideulte ! Nice day, isn’t it ? » Elle me fait sourire cette fois. Qu’il pleuve ou qu’il vente, c’est toujours un « Nice day » pour Sonia. Ah ces British… Je n’ai que de vagues souvenirs de la veille. Je me suis masturbée jusqu’à épuisement… et puis j’ai appelé mon Maître pour lui annoncer le résultat de ma réflexion. Il n’a pas eu l’air surpris. Comment aurait-il pu l’être d’ailleurs. Notre relation démarre à peine et elle est déjà si puissante. Je lis dans ses pensées, il lit dans les miennes. Pas vraiment bien sûr, mais c’est tout comme. J’ai été sortie de ma cage et fessée sur le champ. C’est seulement lorsque mes fesses furent jugées suffisamment écarlates qu’il m’a accordé un plaisir qu’il sait que j’adore. Chevaucher la bite. « Dans la chatte ! », m’a-t-il ordonné alors que je m’apprêtais maladroitement à m’empaler le cul, les fesses en feu. « Profites-en bien, tu ne l’auras pas souvent dans la chatte ». J’ai joui comme une malade…  Après ça, mes souvenirs sont vagues. Nouveau jour, nouvelles aventures, me dis-je pour me donner du courage. Mon Maître me libère de ma cage et je peux profiter d’une certaine liberté, me refaire une beauté.   Il allume la télévision. Comme dans chaque foyer, le décodeur est équipé d’une micro-caméra destinée à contrôler le respect des nouvelles obligations. Trente minutes quotidiennes d’écoute d’une chaîne d’information, c’est le minimum légal sous peine d’amende. Chacun peut choisir librement sa chaîne d’information préférée – nous sommes en démocratie. L’inauguration du ministère de la vérité, en charge de combattre la désinformation et les fake news, est le sujet du jour. Le nouveau ministre fait la tournée des plateaux. « C’est pour nous un grand honneur de vous recevoir, Monsieur V.   Les français ont été impressionnés par l’intégrité et le courage dont vous avez fait preuve pendant la pandémie. C’est donc sans grande surprise qu’ils plébiscitent votre nomination. Qui d’autre que vous avait l’étoffe pour prendre en charge ce ministère vital pour l’avenir de notre démocratie ». « Quel lèche-cul ce journaliste ! » me dis-je tout haut, provoquant le sourire amusé de mon Maître.  « Allez, va t’installer au lieu de râler ! » Je monte à l’étage et m’installe sur le fauteuil d’examen gynéco. J’attends. Je me perds dans mes pensées. Je suis contente que mon Maître ait finalement décidé de se charger de l’affaire. Cela donne du sens à l’opération, un peu comme un marquage au fer. La symbolique c’est important. In fine, tout se passe dans la tête. Toujours. J’en arrive presque à espérer que ce sera douloureux, pour lui montrer que je peux souffrir pour lui, que je suis une esclave courageuse. Mais en réalité je n’ai aucune idée de ce que je vais ressentir. Je ne saisis que quelques bribes de l’interview en cours. Le son est lointain, étouffé. « Comment osez-vous ! » crois-je comprendre à un moment. Réaction d’agacement à une question pas tout-à-fait « dans les clous » posée par un membre du public, pourtant soigneusement sélectionné ? Malgré le filtrage, quelques dérapages arrivent encore. Rarement. Mon Maître me rejoint, accompagné de Sonia. Je ressens à nouveau de la honte à me retrouver dans cette position en présence d’une autre femme. Elle me demande si elle peut rester. Je commence à répondre quand mon Maître m’interrompt sèchement d’une bonne gifle. « Ce n’est pas à toi de décider ! » Oui, c’est sûr. Il me faudra encore du temps pour acquérir les bons réflexes. Pendant qu’il  m’attache solidement, je sens l’excitation monter. Je ne peux pas voir mon clitoris mais je me doute qu’il est gonflé à bloc. Tant mieux, cela facilitera les choses. Le liquide est versé très lentement sur ma chatte, chaque goutte provoquant un petit frisson qui me parcourt le bas-ventre. Puis les minutes passent et je ne ressens rien de spécial. Je crois que c’est un échec, malheureusement. Je m’apprête à interroger Sonia quand une violente douleur me fait sursauter et hurler. J’ai l’impression que l’on m’a transpercé le clitoris avec une aiguille électrifiée. C’est atroce ! Ce fut bref mais ça m’a fait un mal de chien. Heureusement que je suis solidement attachée ! Puis plus rien, aucune sensation. Mon Maître me détache et m’aide à me redresser un peu pour que je puisse examiner ma chatte. J’ai une érection carabinée, comme je le pressentais. J’observe deux minuscules gouttes de sang qui perlent à l’extrémité de mon clitoris, là où le zébralyvox gémellaire s’est introduit. Avec la permission de mon Maître, je me touche délicatement, mais je n’ai aucune sensation. C’est très étrange d’être en érection et de ne rien ressentir au toucher. Mon Maître me laisse seule avec Sonia, qui me fournit quelques informations techniques. Cela me rassure. Pour un esprit cartésien comme le mien, il n’y a rien de plus angoissant que l’ignorance. Puis nous rejoignons mon Maître au salon. Je m’attendais à être remise en cage, mais mon Maître, fin gastronome, m’annonce qu’il nous invite au restaurant pour célébrer ce moment « historique ». Nous y allons à pied. La pluie s’est arrêtée et les nuages ont disparu. L’air est cristallin. « Respire, tu es en Auvergne ! » me dit mon Maître, comme pour commenter le magnifique paysage qui s’étend sous nos yeux. La légère brise sur mon visage et mes jambes nues me procure une sensation de bien être. L’air frais qui s’engouffre sous ma robe ultra-courte me rappelle si besoin était que je ne porte pas de culotte, ainsi que l’exige mon Maître. « Il va falloir marcher ! » dit mon Maître, comme pour s’excuser de ne pouvoir sortir l’Aston Martin. Trop risqué, avec ces caméras de surveillance partout. Mieux vaut être prudents depuis notre mésaventure avec les Brigades de Défense de la Démocratie. Et puis, l’autobus non plus n’est pas une option envisageable : Sonia ne peut pas prendre le risque de présenter son pass carbone, désormais obligatoire pour l’accès aux transports en commun. Ce serait l’assurance de voir débarquer les BDD illico-presto. On dirait que Sonia s’est coiffée avec un pétard. J'ai du mal à retenir un fou rire à chaque fois que je la regarde. Ses cheveux ébouriffés masquent son visage. Bonne stratégie pour minimiser le risque d’être reconnue, mais il faut oser sortir comme ça. Femme étonnante, vraiment… Nous descendons à pied jusqu'à l’entrée du village, où se situe l’un des derniers restaurants gastronomiques encore en activité. Le chef s’est installé dans cette région il y a une trentaine d’années, pris d’un coup de foudre pour la beauté du site. Comme bien d’autres avant lui, il va bientôt fermer, sous la pression des nouvelles normes environnementales. L’établissement va être repris par la chaîne Mac Cricket. Partout dans le village, des affiches vantent déjà la réputation rapidement acquise de la chaîne, et son désormais célèbre slogan « Je mange chez Mac Cricket et la température de la planète descend ». La chaîne soigne son image haut de gamme destinée à attirer la jeunesse branchée et soucieuse du climat : farandole d’insectes du terroir, hâchis parmentier de criquets et son coulis d’asticots, sabayon régal nappé d’ailes de drosophiles, … Tous ces délices sont à la carte et sont très appréciés. Nous devons faire de nombreux détours pour éviter les caméras de surveillance – on n’est jamais trop prudents. Quelques chemins ne sont pas encore équipés – pour combien de temps ? La pente est raide. Il va falloir remonter tout cela au retour, me dis-je, et avec les hauts talons obligatoires pour l’esclave sexuelle que je suis à présent c’est dur. Plaisir des yeux annonçant le plaisir des papilles, me dis-je en découvrant l’entrée que le serveur nous apporte, tout en zieutant sur mes cuisses nues que je n’ai d’autre choix que de maintenir ouvertes – ordre du Maître. C’est beau ! Tant de savoir faire qui va disparaître. Quel gâchis. La conversation est agréable et détendue. Mais j’ai du mal à être dans l’instant présent, car la même pensée me revient en permanence à l’esprit. Le zébralyvox est-il toujours là ? Il faut que j’en aie le cœur net. Je prends mon courage à deux mains et demande à mon Maître la permission de me rendre aux toilettes, en lui expliquant la raison. « Pas question! Masturbe-toi ici». J'ai perdu une occasion de me taire!  J'essaie de le faire discrètement, mais difficile d'échapper aux yeux des serveurs. Je suis encore en érection, comme je le pressentais – mon Maître a bien raison de me traiter de salope - mais je ne ressens absolument rien au toucher. Je me masturbe un peu plus vigoureusement, mais rien. Le zebralyvox gémellaire est discret, mais redoutable d’efficacité ! En ce qui le concerne le slogan « Sûr et efficace »  ne serait pas usurpé ! De retour dans la conversation, je tente à nouveau d’interroger Sonia. Quel est le plan ? Que suis-je supposée faire à l’avenir ? Comment pourrais-je l’aider efficacement ? Elle reste bien évasive, me faisant gentiment comprendre qu’elle ne peut pas m’en dire plus. Tout cela ne me rassure guère. Et s’il n’y avait pas de plan ? Et si Sonia naviguait à vue ? Mais finalement quelle importance ? Que puis-je faire d’autre que de garder espoir, même s’il est bien maigre. Ne suis-je pas lâche de toujours compter sur elle ? Et si c'était à moi, l'esclave, de prendre la relève à présent ? Peut-être que c'est ce qu'elle veut me faire comprendre sans oser me le dire. Sonia me tend un objet qui ressemble vaguement à une carte de crédit. Sur sa surface est imprimée en miniature la photographie d’un document visiblement très ancien, qu’il ne m’a pas été difficile de reconnaître tant il est caractéristique. Magna Carta, la grande charte des libertés. L’un des nombreux textes anciens désormais censurés, car jugé subversif et dangereux pour la démocratie. « Think about it when you feel there is no hope left. It’s yours, now » me dit-elle, comme en écho aux doutes qui m’assaillaient.   A suivre.   Post-scriptum : Si ce texte a éveillé votre curiosité et que vous souhaitez en découvrir le contexte social et humain, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication) Origine de l’illustration (libre de droits) : Dr John Campbell   https://drjohncampbell.co.uk/  
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Par : le 17/04/23
Dans l’attente, tu ne sais quels vices tu subiras. Avec calme, je te donne mon premier ordre : « Ecarte les cuisses ! » Sans tarder, tu t’y applique avec pudeur. Mon deuxième : « Ouvre cette chatte et caresses toi comme une chienne ! » Ton obéissance amène tes gémissements. Ton excitation est de plus belle lorsque mes mains se baladent entre tes cuisses. Mon troisième ordre : « Arrête et prends tes seins à pleine main ! Tes mains devront rester ici quoi qu’il arrive ! » Ton regard ne s’est plus où aller : mes mains, ma queue… ma bouche. Que vais-je t’infliger ? J’embrasse l’intérieur de tes cuisses, tu sens mes morsures se rapprocher de ta chatte. Ma langue glisse entre tes lèvres suintantes d’ivresse. Elle les écarte, elle fouille ton antre, elle s’approche dangereusement de ton clitoris. Mes mains prennent ton cul en étau. Je prends ton clitoris en bouche, l’aspire, le lèche jusqu’à l’user de ma langue. Il durcit. Je t’emmène aux portes de l’orgasme et t’y retiens sans te laisser les franchir. Ma réponse à ta supplication pour jouir : « Ne t’avise pas de jouir sans que je te l’autorise ! » Ta pudeur s’évapore au fur et à mesure que mes ordres tombent. Tu chantes tes gémissements dès que ma langue frôle ta perle rouge. Ton excitation monte, redescend. Ces aller-retours te rendent folle. Mon ordre que tu désires tant : « Jouit ! » Ton corps se raidit violement, tu cries, je bloque ton bassin avec mes bras et continue de te lécher. Tu pensais que j’en avais fini avec toi. Ta chatte trempée, je me délecte de ton jus. J’y plonge mes doigts tout en dévorant ton clito comme une bête sombre dévore sa proie. Tu m’appartiens! Quelques secondes plus tard, tu cries une seconde fois lorsque ton vagin se resserre sur mes doigts. Je te regarde, je vois une belle chienne indécente. Mes envies de sourcier sont là. Je veux ton jus! Mes doigts viennent chatouiller l’intérieur de ta fleur. Les recoins que je connais bien. En cherchant ton souffle, tu perds pied. Une rivière chaude jaillie sur mes mains, un vrai délice ! Un délice que je te partage en venant embrasser ta bouche après t’avoir lécher. Ton cul baigne dans son jus. Je plante mes crocs à l’intérieur de tes cuisses et y appose mon empreinte.
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Par : le 16/04/23
Cela fait des semaines que nous clavardons sur le site. Il y a clairement une affinité et des envies communes qui se dessinent. La semaine dernière, nous avons mangé ensemble histoire de voir si le réel n’était pas trop différent du virtuel. Ce fut une délicieuse soirée, pleine d’humour et de complicité. Aujourd’hui, c’est le grand jour, nous nous rencontrons de nouveau mais pour passer au concret. Comme moi, elle aime jouer avec les sensations et les surprises. Je lui ai donné rendez-vous dans un café et pas chez moi. Comme à mon habitude, je suis là en avance. Je me suis posté en retrait et surveille l’entrée. Elle arrive à l’heure et m’attend devant la terrasse. Elle fait les cent pas nerveusement. Ses jambes sont belles, sur des escarpins à talons magnifiquement hauts et fins. Sa jupe légère très distinguée lui va à merveille. J’arrive et de suite elle m’embrasse avec un sourire complice et plein de désir. Nous nous installons en terrasse pour profiter de ces premiers beaux jours. Très vite, elle m’indique qu’il lui tarde d’être chez moi, au moins, c’est clair. Nous commandons un verre. Nous attendons d’être servis mais ma première injonction tombe. « - Tends ta jambe sous la table et pose ton pied sur ma cuisse. » Je la sens étonnée mais elle s’exécute sans discuter de suite. Ma main caresse sa cheville et remonte sur son mollet. Que ces bas lui font de jambes douces et sensuelles....  Discrètement, je plonge mon autre main dans la poche de ma veste et en sors un bracelet que je verrouille sur sa cheville.  Elle devient instantanément toute rouge ne sachant pas à quoi s’attendre. «- Tu es maintenant à moi » lui dis-je. J’aime ces bracelets. Ce mince ruban d’acier inoxydable passe pour un bijou de cheville presquee ordinaire mais la bélière sur l’extérieur laisse peu de place au doute pour un œil averti. Elle retire sa jambe et regarde avec curiosité à la fois heureuse et inquiète sa cheville sous la table. Un large sourire montre son bonheur. Nous buvons rapidement nos consommations. Dès qu’elle a fini son verre, je lui ordonne d’aller aux toilettes et de se laver les mains méticuleusement avant de revenir. Elle me regarde avec stupéfaction ne comprenant rien mais s’exécute. Dès qu’elle a quitté la table, elle marque un arrêt pour regarder sa cheville et se retourne vers moi avec un large sourire et repart. A son retour, je sens un peu d’anxiété en elle. Une fois assise, je lui tends une paire de boite : « c’est une paire de lentilles de contact, mets les ».  Une fois la stupéfaction passée, elle ouvre la première boite et installe avec difficulté la première lentille, puis la deuxième. Se sont des lentilles opaques. « - Alors, que vois  tu ? Euh… rien, juste un peu de lumière  Bien, lève toi, nous y allons » Je prends sa main puis la passe autour de mon bras pour la guider et nous partons lentement. J’avais pris le soin choisir un café à quelques mètres du parking souterrain où j’ai mes habitudes. Dans l’ascenseur, elle cherche de la main où je suis et vient avec un grand sourire se coller à moi. Je la prends dans mes bras et l’embrasse. Nous arrivons au dernier sous-sol. Je la guide hors de l’ascenseur puis jusqu’au recoin ou j’ai garé mon véhicule. Avec tendresse, je la plaque sur la voiture et lui pose les mains sur le toit. Je passe une jambe entre les siennes et, d’un geste du pied lui fais écarter les jambes.  «  Je vais vérifier si tu as bien respecté mes consignes. »  Une fouille à corps permet de vérifier qu’elle ne porte rien sous son chemisier dont je profite de l’occasion pour défaire un bouton supplémentaire. Mes mains descendent le long de ses hanches puis ses jambes et remontent sous sa jupe caressant une cuisse de part et d’autre. Pas de culotte, c’est parfait.  Je ramène une de ses mains dans le dos et attrape dans ma poche la paire de menottes que j’avais préparée. Au tour du deuxième poignet. Je la place dans la voiture et boucle sa ceinture. Je prends place et nous partons. Le bonheur des voitures automatiques fait que nous avons une main de libre. J’en profite pour poser ma main droite sur sa cuisse. Ses bas sont d’une douceur exquise. Au fil de la route, ma main devient plus inquisitrice. Après avoir joué avec la dentelle de ses bas, je remonte doucement. « Tiens, il n’y pas que moi que la situation excite » lui dis-je. Elle me fait un large sourire. Nous arrivons, le portail s’ouvre puis se referme après notre passage. Je descends et l’aide à sortir du véhicule. Debout, elle vient immédiatement se coller contre moi. Je place ma main dans le creux de son dos. Son visage cherche le mien à tâtons et m’embrasse avec une grande tendresse. Je la guide vers la porte. Une fois rentrés, je la plaque le dos à la porte et déboutonne d’une main pleine de douceur son chemiser puis fait tomber sa jupe sur ses chevilles. J’attrape sur le guéridon un large collier en acier que je verrouille sur son cou. Passant mon doigt dans l'anneau de son collier, je tire pour amener son visage contre le mien, joue contre joue, peau contre peau, et lui murmure à l'oreille : «  Ce soir et cette nuit tu seras mienne »
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Par : le 15/04/23
À 3 h, ils s'en vont, je débarrasse et je vais mettre la vaisselle à la cuisine. J'ai l'impression que mes fesses pèsent une tonne. Je n'aurais jamais imaginé que sa saloperie de sandale puisse faire aussi mal ! Elle me dit : — Tu en fais du cinéma pour une petite fessée. — Pardon, Madame. — Je n'aime pas qu'on me fasse des remarques, sourire c'est la moindre des choses quand on sert ses maîtres. — Oui Madame, je ne l'oublierai plus. — Tu vas prendre toute l'argenterie qui est dans ces armoires et tu vas la nettoyer jusqu'à ce qu'elle brille de mille feux. Je vais chercher des dizaines de couverts, des plats et objets divers en argent et je mets tout ça sur la table, c'est énorme. Madame Stone me dit : — Pour que tu retiennes bien la leçon, tu vas enlever ta culotte, relever ta jupe et t'asseoir sur le petit tabouret qui est là.... Je déplace l'argenterie et m'assois les fesses nues sur le tabouret. Aïe !! C'est le tabouret spécial "après fessée". Il est tout rugueux et mes fesses meurtries me font encore plus mal. J'essaie de bouger un peu, mais Madame Stone le voit et me dit : — Arrête de gigoter ou je demande à une fille de s'asseoir sur tes genoux. Je n'ose plus remuer... J'ai maaaal... Je frotte l'argenterie avec une pâte qui sent fort. Je pleure, complètement désespérée... Madame Stone quitte la pièce et je me déplace légèrement sur cet horrible tabouret. Je frotte !! À un moment, une des servantes se met derrière moi et elle me dit tout bas : — Si des clients te choisissent, essaie d'avoir un peu d'argent et donne-le à Madame Stone, c'est le seul moyen de l'amadouer. Je réponds également tout bas : — Merci beaucoup... Je frotte l'argenterie pendant des heures. J'attends l'heure du repas avec impatience... Quand c'est l'heure, Madame Stone me dit : — Les punies ne mangent pas, continue de frotter ! Je voudrais m'évanouir ! Pendant que les filles mangent, je frotte ! Un peu avant 7 h du soir, une servante vient parler à Madame Stone. Ce qu'elle lui dit n'a pas l'air de lui plaire et elle me dit râlant : — Lave-toi les mains, va à la réception et fais ce qu'on te dit. Je me lève et je vais vite me laver les mains. Ensuite, je fais une révérence et je file à la réception. J'ai mal et je suis épuisée. Je vais me présenter à un employé. Il me reconnaît et me dit : — Va dehors, la voiture arrive, c'est une Tesla rouge. J'attends quelques minutes et je vois effectivement arriver une voiture neuve. Elle se gare devant l'entrée. J'ouvre la portière du côté passager. Une jolie femme d'une trentaine d'années en sort. Vêtements de couturiers, beaux bijoux, comme moi "avant". Je fais une révérence et je vais à l'arrière de la voiture. Je fais une révérence au compagnon de la belle brune. C'est un homme grand, costaud, assez beau et soigné... Il me regarde et sourit, ce qui est rare. D'habitude, les esclaves, on ne les calcule pas. Pourtant, son sourire a quelque chose de... d'inquiétant. J'ouvre le coffre et je prends une énorme valise à roulettes. Ensuite, je les suis jusqu'à la réception. Il dit à l'employé : — Monsieur Valdès. J'ai retenu une chambre au dernier étage et cette fille. — Certainement Monsieur Valdès, tout est en ordre. L'employé lui donne le badge qui ouvre la chambre. Je ne peux pas prendre le grand ascenseur, alors je mets la valise et les sacs dans l'ascenseur de service et je monte avec les bagages... Arrivée au dernier étage, je les rejoins en tirant la valise. L'homme ouvre la porte et on entre dans la chambre. Aussitôt, il coupe l'air conditionné et ouvre les portes-fenêtres qui donnent sur la terrasse. La femme lui dit : — J'ai très chaud, sois gentil de laisser la clim'. Il lui fait un grand sourire et répond : — Non. Si tu as trop chaud, va sur la terrasse. La femme y va et elle me dit : — Viens me déshabiller.... Je vais enlever ses vêtements de couturier, ses dessous de soie... Je suis surprise qu'elle sente la transpiration et qu'elle ne soit pas épilée... C'est son choix ou celui de son compagnon, après tout. Je lui dis : — Vous êtes très belle Madame. Elle me répond : — Déshabille-toi aussi. J'enlève mon uniforme et ma culotte... Elle se lève et m'examine... soigneusement, comme si... elle voulait m'acheter. On toque, c'est le repas que l'homme a commandé. Le garçon d'étage n'est pas surpris de me voir nue, un peu plus de voir la cliente nue également. Mais après tout, ce qui se passe à Vegas reste à Vegas. Je cache mes seins, ce qui n'est pas dans mes habitudes, mais c'est un geste pour me rassurer. Le garçon d'étage dépose son plateau sur la table qui se trouve sur la terrasse. C'est un menu de riche : saumon, caviar et moelleux au chocolat pour terminer... et puis du champagne. Le garçon demande : — Je le débouche, Madame ? — Oui et vous pouvez nous servir. Quand c'est fait, Monsieur Valdès donne un billet au garçon d'étage qui se retire en faisant des courbettes... Tous le deux boivent, puis la femme me donne son verre encore à moitié rempli. Je la remercie et bois tout. Elle me prend contre elle et examine mon collier. Elle a une odeur qui me rappelle celle de Summer. Oui, je dois arrêter de penser à elle et à avant. Elle me demande : — C'est quoi ce collier ? — Il permet de nous attacher et de nous localiser. J'ajoute : — Vous sentez bon Madame. L'homme rit et me dit : — T'as des drôles de goûts, petite, elle sent toujours la transpiration ! La fille ne répond rien. Il faut dire que Monsieur Valdés n'a pas l'air commode, même son sourire est inquiétant. Ils mangent un peu, puis me laissent terminer des toasts au saumon et au caviar. Comme on est sur la terrasse et que la caméra vidéo est dans la chambre, je leur dis : — Si vous avez besoin d'une esclave... C'est lui qui me répond : — Tu veux quitter tes maîtres ? Je me retourne et montre mes fesses en disant : — C'est trop dur, ici. — C'est normal, tu es une esclave. D'accord, ils sont bien comme les autres !! Je réponds : — Oui, Maître. Ils discutent un peu de leur voyage, puis Monsieur Valdès demande à sa compagne : — Tu veux l'utiliser ? — Demain matin. Ils vont se coucher... Elle me dit : — Tu peux venir dans le lit, mais de mon côté. C'est un grand lit, mais je la colle un peu comme je faisais avec Summer. Oui, impossible de l'oublier... Je m'endors rapidement... Enfin, une bonne nuit.... *** Je suis réveillée par un souffle dans mon oreille, l'homme me murmure : — Surtout, ne dis rien. Il fixe un tout petit appareil sur le côté de mon collier. Peut-être veulent-ils m'enlever ? Il y a des gens qui payeraient beaucoup pour avoir l'ex Première Dame comme esclave. Il glisse des choses sous mon collier. Quand c'est fait, il me dit, tout bas : — Je vais te mettre dans la valise. Il y a des trous pour respirer. On se lève... il fait noir. Il me manipule pour que je me couche en boule dans la valise. Je ferais n'importe quoi... pour partir d'ici, même me laisser enfermer dans une valise. Je suis dans le noir, les genoux sur le nez... Le téléphone sonne. Il décroche, écoute, puis répond : — On arrive. Il raccroche et dit à la femme : — Les garages de l'usine de Pittsburgh sont en feu. On doit y aller immédiatement. Ils s'habillent. Enfin, je suppose. Ensuite, on me redresse et on me roule. Au rez-de-chaussée, je l'entends dire à l'employé de nuit : — Une urgence, on doit y aller. Il règle la chambre et moi, puis l'employé prend son téléphone et dit : — Veuillez amener la voiture de Monsieur Valdès. Je roule... dans ma valise et on me charge dans le coffre, je suppose. Je m'attends à ce que mon collier explose ou qu'une sirène se mette en marche. Je prie aussi pour ne pas étouffer dans cette valise. On roule un petit moment puis la voiture s'arrête... On ouvre le coffre et l'homme me libère de ma valise et m'aide à me relever. On se trouve dans une petite rue déserte de la périphérie de Vegas. Il fait très sombre. Il me dit : — Mets les vêtements qui sont sur le siège arrière. J’enfile un short en jean, un tee-shirt, une veste en cuir et des bottes courtes. Le couple se change aussi. Il prend un foulard et le noue soigneusement autour de mon cou, pour dissimuler le collier. Et si le foulard glisse ? Devant la voiture, il y a deux motos. La femme monte sur l'une d'elles, sans dire un mot. Monsieur Valdès me prend par le bras et m'amène près de l'autre moto. Il ouvre le top-cap et en sort deux casques. Un pour lui, un pour moi. Je ne peux pas m'empêcher de lui demander : — C'est Summer qui vous envoie, Monsieur ? Il sourit et répond : — Tu es toujours une esclave. Ne pose plus de questions si tu ne veux pas être punie. — Pardon Monsieur. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Nos 8 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Le nouveau s’appelle « Lizy, soumise autour du monde » et vous allez l’adorer  
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Par : le 15/04/23
𝕺𝖇𝖘𝖊𝖘𝖘𝖎𝖔𝖓 𝖈𝖍𝖆𝖗𝖓𝖊𝖑𝖑𝖊 𝕯𝖊́𝖘𝖎𝖗 𝖕𝖆𝖘𝖘𝖎𝖔𝖓𝖓𝖊𝖑𝖑𝖊 𝕱𝖗𝖊́𝖓𝖊́𝖘𝖎𝖊 𝖙𝖊𝖓𝖉𝖆𝖓𝖈𝖎𝖊𝖚𝖘𝖊   Touchez moi... Bon dieu caressez moi... Possèdez moi...   Ma peau s'embrase, mes rêves s'enflamment. Vous habitez mes songes. Comme un mirage, chaque nuit je vous rejoins. Nos corps se rencontrent, se découvrent. Ma culotte m'est arrachée, mon souffle m'est volé. Mon corps se cambre, encaisse la frénésie de nos retrouvailles, de son désir ardent d'ancrer sa présence, son essence jusqu'à marquer à vif mon âme. Je soupire son nom dans une douce litanie, plus rien ne résonne que la mélodie de nos peaux qui s'apprivoisent, qui valsent l'une contre l'autre et sa voix qui me murmure milles et une pécheresse. - Soit une bonne petite chienne, rends moi fier. Ne t'avais-je pas promis que je te ferais pleurer ? Sur ma joue, deux perles argentées. Elles glissent jusqu'à mes lèvres et il les receuille sur son pouce comme un parfait petit sadique, pour les goûter. Une offrande. Et la valse reprends.. Elle s'accélère. Il me gifle et je souris. Il me dépossède de mon nom et je me dévoue. Il m'imprègne de ses marques, de son essence. Et je m'offre et m'émerveille d'être devenu sa plus belle peinture, son plus beau tableau.   Douce désillusion. Le soleil a repris ses droits, dans mes draps de soie, je me réveille seule. Ma lingerie trempée. Encore une nuit, il a passionné Morphée et m'a fait chavirer.
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Par : le 14/04/23
Chapitre Un   Personnages   Alex (moi) : Jeune homme de 20 ans, fraîchement diplômé avec une envie de prendre mon temps avant de choisir mon avenir. Je suis brun avec des yeux vert émeraude. Bien qu’appréciant les bonnes choses de la vie, j'ai su garder un physique musclé du haut de mon mètre quatre vingt.   Victoria : Amie de ma mère m'ayant recueilli à la mort de mes parents. Elle est venu s'installer avec sa fille Louise ma cousine, dans la maison de mes parents. Maison « offerte » par la compagnie des chemins de fer Bellusbourg après le tragique attentat de 1887. Veuve de guerre percevant une pension suite à la mort de son mari sur le champ de bataille. C'est une très belle femme brune de 45 ans avec de magnifique yeux vert émeraude, une silhouette élancé et apprécie particulièrement les romans écrit par des femmes de sa génération. J'ai pris l'habitude de l'appeler ma tante, même si aucun lien de parenté nous lie.   Louise : la fille de Victoria, elle est âgée de 20 ans, bien que nous ayons le même age, elle adore me rappeler qu'elle est plus âgée que moi, en effet elle est née trois mois avant moi. C'est une jeune femme magnifique, brune comme sa mère mais avec de magnifique yeux bleue lui offrant un charme naturelle et sa silhouette fine lui permet de mettre en valeur ce que dame nature lui à offert et elle adore en jouer. Elle à un caractère de « princesse » aimant souffler le froid et le chaud en fonction de ses envies et de ses caprices.   Jean : 50 ans vieux garçon ayant réussi dans son domaine d'activité. Son entreprise de charpentier est l'une des plus florissante du secteur, il emploi 20 ouvriers et vient dîner à la maison pour me proposer de rejoindre ses gars.   Pour commencer ce chapitre je vais contextualiser la maison et l'environnement de celle ci. Dans l'introduction j'ai évoqué les maisons du peuple et celle dans laquelle j'habite en fait partie.   Mon père a été embauché comme machiniste par la compagnie des chemins de fer. Afin d'améliorer l'organisation du travail, la compagnie a construit différents quartier résidentielles à proximité immédiate de l'usine. En fonction de votre grade dans la compagnie la maison fourni était plus ou moins cossu. Pour donner une idée, la compagnie a créé une place en demi soleil autour de l'entrée de l'usine. Face à cette place vous avez sept rues répartie sur toute la rotondité de la place, et dans chacune des rues la compagnies a créé des îlots résidentielles avec des maisons et des îlots plus petits dans lesquelles elle a fait installer des commerces afin de satisfaire sa main d’œuvre. Bien entendu, les commerces reversaient une part importante de leur gains à la compagnie.   Toutes les maisons de notre quartier ont été fabriqué de la même façon. Maison mitoyenne avec un étage, la façade extérieur simple fait en brique rouge et à l’arrière de chaque maison, un petit jardin. L'intérieur de celle ci se composait d'un salon avec une cheminée, une cuisine équipée d'un poêle a bois avec une pièce servant de garde manger. A l'étage trois chambres.   Après l'épidémie de 1831 le Roi créa la « compagnie de l’hygiène » et entreprit la modernisation de la capitale en créant un système d'égout permettant ainsi aux classes les plus aisées d'avoir une salle de bain et toilette personnelle, le peuple lui avait accès aux bains et toilettes publiques.   De son coté, la compagnie prit la décision, en 1836, de moderniser ses maisons en intégrant salle de bain, salle d'eau et toilette dans les différents logements et en raccordant tous ses points d'eau au réseau d'égout créé par le Roi. Notre maison eu droit à sa transformation, en effet le garde mangé fut transformé en toilette et la troisième chambre en salle d'eau. Avant de partir faire un remplacement dans une famille, tante Victoria nous demanda de préparer le salon pour recevoir son ami Jean. J'étais toujours surpris des replacements ponctuelle d'une ou deux heures effectués par ma tante et ma cousine soupçonnait que Victoria de faire autre choses la bas, maintenant ni elle ni moi n'avions eu l'audace de poser la question, nous étions courageux mais pas au point d'attirer les lanières du martinet sur nos fessiers respectif. Tante Victoria nous mise en garde sur ce qui nous arriverait si le salon n'était pas prêt à son retour.   Je reconnais bien volontiers que j'avais horreur de participer aux taches de la maison, pour moi c'est une corvée incombant aux sexe féminin et l'idée de faire une sieste eu plus d’intérêt à mes yeux.   Alex : très chère Louise, je vais allé faire une sieste, pendant ce temps la, fait ce que tante Victoria a exigé. Il faut que le salon soit prêt à recevoir Jean.   Louise : oh c'est qu'il est mignon quand il se prend pour un dieu, ma chère mère à parler de NOUS dans ses exigences, donc tu va ramener ton petit cul ici et tu va faire ce qu'on NOUS a demandé.   Alex : arf tu sais très bien que ce genre de tache incombe aux femmes, nous les hommes sommes pas fait pour ce type de besogne.   Louise : je vais finir par croire que tu aimes recevoir la fessée déculottée surtout quand je suis présente pour y assister.   Alex (rougissant) : je ne sais pas d'où te vient cette idée, car je n'aime pas cela et encore moins quand tu est la pour regarder.   Louise : alors vient m'aider à préparer le salon, je te rappel que c'est en ton « honneur » que ce dîner est organisé.   Alex : mon honneur tu parles, j'ai aucune envie de devenir charpentier, je suis bien plus intéressé par les trains.   Louise : arrête de parler et vient.   A contre cœur, j’aidai Louise dans la préparation du salon et il est vrai que même à deux ce fut bien long. Entre déplacer le mobilier du salon dans la chambre de ma tante, apporter la table, la nettoyer pour qu'elle brille, faire la même chose avec les chaises. Préparer le bois pour la cheminée, mettre la table et faire en sorte qu'elle soit accueillante nous pris un temps faramineux.   Louise : maintenant on attaque la cuisine   Alex : pas Victoria qui doit s'en occuper ?   Louise : elle doit, maintenant elle sera sûrement contente de voir que nous l'avons aidé en préparant la dinde.   Alex : ah je ne savais pas que ton amie Eugénie était au menu se soir.   Furieuse que je traite sa meilleure amie Eugénie de dinde, elle s'approcha de moi et voulu me gifler, manque de chance pour elle, la seule chose que sa main toucha fut un vase, évidemment ce vase se brisa au contact du sol, créant un sentiment de panique chez Louise. En effet dans son esprit elle allait déguster quand Victoria allait découvrir l'état de l'objet, pour moi je voyais cela comme un accident, après tout, personne n'est obligé de savoir que c'est en voulant me baffer que ce satané vase se brisa. En voulant avancer sur la préparation de la dinde, Louise a glissé sur des épluchures de légumes tombés aux sol et en voulant d’accrocher a quelque chose pour ne pas tomber, elle bouscula le meuble sur lequel se trouvait le vase. Rassuré par ma présentation et surprise que je ne la nargue pas sur ce qui aurait pu ce passer elle accepta sans aucune réticence ma proposition. La chose que je ne dis pas, c'est qu'en apprenant la vérité, la probabilité que je me retrouve aussi soumis a la fessée était importante et l'idée que potentiellement je me retrouve allongé sur les genoux de Louise avec mon pantalon baissé et ma queue en érection sur sa cuisse offrirait à cette dernière des arguments lui donnant raison sur mon appréciation de celle ci, et j'ai aucune envie de voir sa mine victorieuse à se sujet.   Après s’être occupé du vase Louise se chargea de la dinde, me demandant de préparer les légumes qui accompagnerait celle ci. Je dois reconnaître que je suis un très mauvais cuisinier et la seule fois où j'ai mis en application mes compétences en la manière j'ai failli mettre le feu à la maison, autant vous dire qu’après cela Victoria m'a interdit de retenter quoi que se soit en cuisine, en y réfléchissant j'aurais du faire la même chose avec chacune des taches ménagères de la maison, histoire d'en être interdit également.   Avoir une dinde au dîner était très rares, habituellement la soupe de légumes et le pain était au menu midi et soir. Idéal pour supporter un dîner dont le sujet ne m’intéressait pas, mais pas du tout.   Avec Louise nous avons terminés toutes les taches demandés par Victoria dans les temps, comprendre ici que Victoria n'était pas encore rentré quand nous avons fini. Ce fut très juste en terme de temps, en effet Victoria fit son apparition et je pouvais sentir sa fatigue et son irritation sans entendre le moindre mot de sa part. Évidemment, elle inspecta notre travail et avec Louise nous restions calme et légèrement craintif quant à l’approbation du travail effectué. Le temps nous parut bien long, et finalement elle était satisfaite de notre travail et commença à s'apaiser et fut agréablement surprise de voir la dinde préparé. Je profitais de ce moment pour évoquer le vase, Louise me regarda furieusement pensant que j'allais rompre notre « pacte » et la dénoncer. Je n'en fis rien et exposa la version retenu plus tôt, et comme je le pensais Victoria ne fit rien de plus que réprimander Louise sur son étourderie l'invitant à faire attention la prochaine fois. Par la suite chacun retourna à ses occupations, Louise se mit à lire un roman sentant l'eau de rose à plein nez, Victoria en cuisine préparait le repas du soir quant à moi je parcourais la rubrique des sports du journal.   Vers 20h Jean fit son apparition, après un échange de politesses trop long à mon goût, nous fumes invité à prendre place à table. En face de moi j'avais Louise, à ma gauche Victoria et à droite Jean. Sans trop m'occuper des discussions longue et d'un ennui mortel je dévorais cette délicieuse dinde puis Jean lança LE sujet :   Jean : alors fiston a tu réfléchis à ma proposition ?   Alex : pas tellement, je viens de finir le lycée et pour le moment j'ai d'autres projets en tête   Jean : (un peu irrité) : il va falloir que tu te décides rapidement et arrêter de rêver, le travail y a que ça de vrai et d'utile.   Alex : utile peut être mais l'idée de rejoindre la compagnie des trains est bien présente dans mon esprit   Jean : les trains....les trains, il n'y a pas que cela dans la vie et puis tu te vois passer ta vie dans une locomotive ?   Victoria (reprenant le fil de la discussion): Avant de décider quoi que se soit je souhaite qu'il rencontre Eléonore...   Jean (coupant la parole à ma tante) : Quoi ? C'est une blague tu ne vas pas envoyer Alex chez Eléonore, la place d'Alex est avec moi sur les chantiers, pas dans les salons avec cette bonne femme !   Louise : qui c'est Eléonore ?   Jean : Une bonne femme qui c'est marié avec un fils de grande famille et qui vie des rentes de son mari   Victoria : sa suffit ! Eléonore était ma meilleure amie d'enfance. Nos parents étaient voisins et nous avons fait notre scolarité ensemble avant de nous perdre de vue après le lycée.   Louise : pourquoi vous vous êtes perdu de vue et a quoi ressemble t elle ?   Victoria : Eléonore est une magnifique femme blonde, avec un corps d’athlète, au lycée elle faisait partie de l'équipe féminine de pelote basque, tous les hommes lui courraient après, et en dernière année de lycée elle est tombée amoureuse d'Antoines De Bourrasse et sa famille a sponsorisé son entrée a « l'élite » et est devenue Madame Eléonore De Bourrasse et après la mort de son mari lors de la bataille de machin chouette elle hérita de la fortune familiale.   Jean : c'est bien ce que je dis, une bécasse qui passe sa journée a se branler dans des draps de soie entourée de bonniches sans cervelle   Victoria : (s'adressant a mon oncle) : sa suffit à moins que tu veuilles que je change la couleur de tes fesses devant tous le monde !   Un frisson parcouru ma personne, combien de fois ai je entendu cette phrase prononcé à mon encontre, de son coté Jean rouge comme une tomate et piqua du nez vers son assiette.   Victoria : Bien, je disais donc Alex avant que tu décides de ton avenir, Eléonore souhaite te rencontrer.   Alex : Me rencontrer ?   Victoria : Oui je lui est parlée de toi et elle souhaite faire ta connaissance   Alex : ok je vais y réfléchir   Victoria : Non tu va pas y réfléchir, tu est attendu à 10h demain matin chez elle, tu va me faire le plaisir d'y aller et de bien te comporter.   Jean : tu parles d'un plaisir, comment perdre son temps avec une bécasse sans cervelle   Victoria : toi je t'avais prévenu, tu va avoir droit à une belle fessée déculotté devant tous le monde.   Jean : Ma chère amie, c'était une simple plaisanterie.   Ma tante : ma patience à des limites a ne pas franchir et la tu est la franchi en manquant de respect à une personne qui m'est très chère, donc dépêche toi de te lever de cette chaise, de baisser ton pantalon et de t'allonger sur mes genoux pour recevoir la juste récompense de ton comportement, si je dois me répéter c'est Louise qui se chargera de ta fessée.   Nous fumes tous surpris de cette annonce, pas que Louise donne la fessée, plus d'une fois Victoria m'a menacer de me retrouver sur ses genoux, mais jamais vue ce genre de proposition faite envers une personne autre que moi.   Tout penaud et rouge de honte, Jean se leva et s'approcha de Victoria, arrivé à sa hauteur il baissa son pantalon au niveau des genoux, de ma place j'avais une vue sur ses fesses de son coté Louise avait une vue sur le pénis de Jean   Louise : il doit aimer la fessée (en pointant du doigt l'érection de Jean en rigolant, de son coté Jean se sentit très honteux et humilié)   Victoria : Louise, je vois qu'humilier une personne te fait rire, lève toi et vient te tenir debout devant Jean avec ta jupe relevé au dessus de ton sexe. Je suis sur qu'Alex va aussi profité du spectacle que tu vas nous offrir.   Louise surprise et honteuse, n'osa pas contredire sa mère, la dernière fois qu'elle a osé le faire elle eu droit au fouet sur ses fesses nues, et elle a aucune envie d'avoir un nouveau rendez vous avec le fouet. Pendant que sa mère lui donnait cet ordre, Jean c'était installé sur ses genoux. Résigné sur son sort, à son tour elle se leva et s'approcha de sa mère tout soulevant sa robe laissant apparaître son sexe aux yeux de tous.   Quel tableau magnifique pour un jeune homme qui n'a jamais vue le sexe d'une femme de toute sa vie. D'un coté Jean recevait une longue et douloureuse fessée et de l'autre coté, la plus belle chose qui me fut donné de voir, le sexe d'une jeune fille. Je dois reconnaître que j'étais un peu jaloux de la position de Jean, en effet son visage était très proche du sexe nue de Louise.   Victoria : Jean est ce la fessée qui te plaît au point que je sente la dureté de ton érection contre ma cuisse, ou c'est la vue du sexe d'une jeune femme de 20 ans ? (Jean ne répondit pas, et je pense que cette question ne fut que rhétorique et qu'une réponse aurait attiré le courroux de Victoria) En attendant tu n'a pas intérêt à jouir dessus  me suis je bien fait comprendre.   Jean : oui madame   dès lors seule les bruits de la fessée résonnent dans la pièce.   De son coté Louise semblait apprécier le spectacle qui se déroulait sous ses yeux et ceux malgré sa situation. Sous ses yeux elle avait les fesses nue d'un homme recevant la fessée, ah un moment elle croisa mon regard et celui ci avait quelque chose de différent, un mélange d'excitation, de plaisir et un « profite mon grand, profite, tu va voir quand je vais t'attraper »   Après un long, très long moment la fessée fin. Victoria invita Louise et Jean se réajustèrent et le dîner repris son cours comme si rien ne c'était passé. A la fin du repas, Louise et moi avons été chargé de débarrasser la table, de faire la vaisselle et de filer dans notre chambre. Une fois nos corvées réalisé nous nous dirigea-me vers la chambre commune, à peine la porte de chambre fermé...   Louise : Le spectacle auquel tu a assisté t'a plus n'est ce pas ? ( dit elle en passant sa main sur mon pantalon, cette même main caressa ma queue lentement)   Moi : Oui il m'a beaucoup plus   Louise (chuchotant à mon oreille) : avoue que tu aurais aimé être à la place de Jean, te retrouver cul nue sur les genoux de Victoria, sentir sa main laisser une empreinte claquante sur tes fesses tout en admirant ma chatte.   Alex (dans un état second) : Oui j'aurai adoré cela   Louise (lâchant ma queue) : quel vilain garçon tu est, je devrais te dénoncer, je suis sur qu'en récompense tu aurais droit au fouet sur ton cul. Mais je vais être gentille avec toi, étant donné que tu ne m'a pas balancer tout a l'heure pour le vase, je vais t'offrir moi même quelque chose. Déshabille toi et allonge toi sur ton lit. Sans me faire prier je fis ce qu'elle exigea, sans trop comprendre pourquoi elle le souhaita.   Louise : je vais m’asseoir sur ton visage et je veux que ta langue s'offre à moi, je veux la sentir effleurer mes lèvres et se désaltérer de mon nectar. Je veux que tes mains prennent possession de mon corps, sentir leurs caresse à m'en faire frissonner.   Sur ses douces et agréable parole elle se mise a nue, pour la première fois de ma vie j'avais ce magnifique corps féminin offert à mes yeux, en s'asseyant sur mon visage jeu l'honneur et le plaisir de sentir le doux parfum intime d'une jeune femme.   Pendant que ma langue la masturbait, l'une de mes mains alla sur son dos et je la fis redescendre avec le bout de mes ongles le long de ses reins, un frisson parcourra son corps m'indiquant qu'elle appréciait mes caresses.   Le temps avait l'air de s’être arrêter, comme figé par cet agréable moment d'échange intense entre nous. Ce partage intime gourmand, pris fin quand elle eu joui. Sans un mot ni regard, elle pris dans sa main ma queue et, à mon tour, je profitais du plaisir que me procurait les caresses offerte à mon pénis. Il ne fallut pas longtemps pour que ma bite jouisse à son tour, se fut l'orgasme le plus intense que j'ai connu. Sans un bruit, elle se leva et se dirigea vers son lit, offrant à mes yeux un dernier regard sur ses fesses.   Rapidement l'appel du repos se présenta et je m’endormis, fier et heureux de cette fin de journée.        
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Par : le 14/04/23
Bonjour à tous et à toute. Avant de vous narrer mon histoire je vais commencer par contextualiser celle ci.   Dans mon pays le système scolaire est un peu différent du votre. Je m'explique après le lycée deux options s'offre à nous, la première intégrer une école vous formant à votre futur métier ou intégrer L'institution Elistique qui forme les prochaines générations de décideurs. Autant vous dire que cette seconde option est réservé à l'élite du pays et que le quidam lambda a peu de chance d'y entrer. Soit vous êtes fils ou fille de cette caste soit vous avez la chance d'être sponsorisé par une famille. Dans le cas contraire aucune chance de faire partie d'intégrer L'institution.   Ce système a été instauré après la révolte des grandes familles de 1827. Les grandes familles reprochait au roi de concentrer le pouvoir en son seul sein et prenait son aristocratie pour des pions corvéable a souhait. Afin d'apaiser son aristocratie, le Roi décida de créer un sénat dans lequel 201 sénateurs seront chargé de représenter le peuple en fonction de chaque castes, avec une grosse majorité de sièges réservés aux puissantes familles et les miettes aux représentant des classes populaires. En complément du sénat il ordonna de créer l'institution qui a pour charge de former les futurs représentant du pays (au sénat, ainsi que dans les différentes institutions du pays sans oublier les entreprises privées). La seconde différence, l’hygiène elle devint une des plus grande préoccupation du Roi après l'épidémie de 1831. Celle ci ayant fait de gros ravage au sein du peuple, prés d'un tiers des classes populaires disparut, créant une grande crise au sein des différentes manufactures du pays.. Le manque d’hygiène fut à l'origine de cette catastrophe. Il exigea donc de ses sujets de développer et créer un système qui permettrait de répondre à cette préoccupation. Ainsi dans les résidences aristocratique les premières salle de bain firent leur apparitions et pour le peuple les bains publiques et latrines firent leur apparitions, réduisant la mortalité du peuple.   Ah et pour répondre à la question, non je ne fais pas partie de cette élite, après la mort de mes parents lors de l'attentat de L'express en 1887 reliant la capitale Aleris à Belleris. Les extrémistes firent sauter l'aqueduc Beltéore, cet attentat fit 80 morts. La raison de cet attentat fait suite a la capture par l'armée royale d'un des chefs de cette organisation terroriste.   Je fus recueilli par une amie de ma mère et celle vint s'installer avec sa fille dans la maison qu'occupait mes parents. Cette maison était en réalité le logement de fonction de mon père, la compagnie des chemins de fer avaient créé autour de son usine des quartiers entier. Suite à l'attentat, la compagnie m'a offert en « compensation » cette maison, j'en ferai une description plus détaillé dans le chapitre UN.   Je vais me présenter, je suis né en 1877 et mes parents me donnère le nom d'Alex. A l'age de 10 ans mes parents disparurent dans l'attentat du train Express et ma tante fut chargé de mon éducation. Mes parents étaient plutôt permissif tout l'inverse de ma tante qui ne supportait pas le moindre écart et son martinet nous le rappelait très régulièrement.   Ma tante, une charmante femme de 45 ans, vivant de la pension de guerre de son défunt mari, mort au combat lors de la bataille de Wicrick en 1886 laissant derrière lui une fille, ma cousine, Morgane (changer de nom avec un truc d'époque). Bien que vivant avec cette pension, ma tante occupe de manière ponctuelle certains emploi de bonne de remplacement dans différentes familles. Avec ma cousine nous avons le même age (seule 3 mois nous sépare, elle adore me le rappeler) elle a elle aussi suivi une scolarité normale, le roi ayant imposé la mixités des classes, officiellement pour favoriser les échanges et la socialisation entre les deux sexes, officieusement réduire les coûts éducatifs. Ma cousine a un tempérament excentrique et adore vivre dans l’excès, ce qui lui vaut de longues et douloureuse discussion avec ma tante.   Maintenant que j'ai posé les premières base de mon récit, je vais vous parler du soir où ma vie a réellement changé. Nous sommes en 1897 et je viens d'obtenir mon certificat de fin d'étude et je pensais que ma destiné était toute tracé. En effet un ami de ma mère lui a proposé de me former au métier de charpentier et pour en parler elle l'a invité à dîner à la maison. Cela devait être un simple dîner et celui ci fut tous sauf simple. Je vous laisse découvrir ce qu'il c'est passé.
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Par : le 14/04/23
Bonjour à toutes et tous, comme je suis nouveau ici, je vais vous raconter ma première fois avec couple (Monsieur et Madame Dominant). je les ai rencontré via un site d'annonce, bien qu'un peu timide, grâce à leur accueil chaleureux je me suis très vite senti à l'aise ..la cinquantaine, sportifs, et bien équipés.. Une fois installé, ils m'ont demandé de me mettre nu, eux étant habillé de manière légère .. me voilà donc debout, le sexe pendant, les mains dans le dos et eux assis à me regarder.. puis Madame se lève, passe autour de moi, me touche le sexe .. le branle délicatement en m'interdisant de bander (elle me le chuchote à l'oreille de sa douce voix) pas de chance, je bande !! S'ensuit des claques sur la verge, sur le gland précisément... ça fonctionne.. je débande ..ça fait sourire son mari . puis elle enlève son string qu'elle me fait passer sous mon nez ..une douce odeur de son sexe qui me fait immédiatement avoir une nouvelle erection ..cette fois ci j'ai droit à un coup de pied dans les testicules...évidemment ça retombe..  ensuite c'est au tour de Monsieur à se lever, il me regarde avec dédain et m'ordonne de me mettre à genou, de renifler le cul de sa femme, puis de le Lécher,  comme il me dit, de me branler frénétiquement mais interdiction de jouir ou bien celui me sodomisera ... ( je ne suis pas bi ). J'avais très envie de lâcher ma semence tellement j'étais excité.. pendant que je léchait, celui me fouettait les fesses avec un martinet..très humiliant.. ils me firent arrêter à temps, avant que je n'ejacule . toujours à genou, ils se mirent face à moi, debout en me disant qu'ils voulaient se soulager sur moi .. je voyais le sexe dressé de monsieur et la toison de madame.. d'un il me dit d'ouvrir la bouche et lui le premier se mit à m'uriner dessus.. une fois tout bien avalé, madame me fît m'allonger et ce fut à son tour de m'uriner dans la bouche .. puis elle m'ordonna de lui nettoyer le sexe .. ce que je fis avec plaisir.. je du m'arrêter avant qu elle ne jouisse .. Madame se mit a 4 pattes sur le sofa, Monsieur vint alors pour lui prendre les fesses ..je voyais de gros sexe dur aller et venir dans le magnifique cul de Madame et moi je bandais comme un âne mais toujours interdiction de me toucher .. à un moment Monsieur se retira et m'ordonna à nouveau de lécher madame,  et en m'autorisant cette fois ça a m branler mais pas à jouir ..nouvelle fois prêt à éjaculer, je fus obliger de m'arrêter.. quelle frustration !!!! puis à nouveau Monsieur prit possession de sa femme ...celui-ci à fini par ejaculer en elle, en se retirant il m'ordonna à nouveau de lécher madame, mais sans me branler.. je léchais avec avidité cette jolie chatte et le sperme de monsieur qui en ressortait ... une fois ma besogne faite, je suis revenu à ma position initiale (debout), eux assis me regardant fixement puis Madame se leva .. vint vers moi ... j'étais fébrile d'excitation.. le sexe dressé.. elle le prit dans sa main et commença doucement à me branler .. je ne tenai plus .. je voulais ejaculer tellement j'étais excité.. a l'oreille elle me dit de sa douce voix que je pourrais ejaculer suivant on décompte et pas avant ..la fin était proche... puis elle branla de plus en plus vite .. sur le point d'ejaculer elle arrêta, se mit face à moi ... je ne tenais plus, je m'implorait ..c'était terrible !!!!  puis enfin elle le repris dans sa main, annonça le décompte et m'autorisa a ejaculer !!!!!! Quel bonheur !!!! J'ai failli défaillir tellement ce fut bon !!!
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Par : le 11/04/23
Monsieur me saisi la tête et me l’enfonça à nouveau entre les jambes de Madame. Ma langue recommençait à s’occuper de l’entrejambe. Je n’osai enlever mes bras croisés dans le dos et m’appliquais au mieux. La pression sur ma tête se relâcha, cependant je continuais à m’occuper de ce succulent entrejambe. Il me délia les bras, je compris que j’en avais à nouveau l’usage, je me saisi des hanches et me plaqua encore plus contre. Monsieur fit le tour, à la réaction de Madame elle ne l’avait pas encore vu. Passé le moment de surprise elle semblait sourire à nouveau, semblant tenter de le charmer. La laisse fut libérée et Monsieur s’installa face à elle, ses jambes de part et d’autre. Vu qu’elle se redressait, je devais modifier mon angle d’attaque, inconfortable pendant un moment. Au bruit Monsieur devait jouer avec la chaîne entre ses seins et embrasser je ne sais quoi en même temps. Un temps calme et je devinais Monsieur enlever son pantalon et à voir la scène devait lui faire de l’effet. Madame repartie en avant et englouti ce membre, elle était bien obligée, la bouche tenue ouverte. Leurs gémissements s’unirent, me redonnant une nouvelle ardeur dans mon exploration, à la langue et aux doigts. Mon autre main partie vers mon entrejambe, mais ne tomba que sur l’anneau métallique et la ceinture de cuir. Cela dura un moment, Madame fut redressée, à ma plus grande surprise. Je fus obligée de m’interrompre, il y avait juste mes mains l’enlaçant et m’occupant du haut de ses grandes lèvres. Monsieur se leva, se saisi de la laisse et partit en direction de la porte avec Madame, qui marchait difficilement avec la barre d’écartement. Je restais à genoux à côté du lit et me remis les bras dans le dos en attendant d’autre instructions. Reste là je reviens. Oui Monsieur La porte se referma et les bruits de pas s’éloignèrent. Je redescendais de mon nuage de Domination, me surprenant de ma manière d’agir, je ne me reconnaissais pas. Mais qu’est-ce que j’avais aimé ça et cela devait être encore mieux avec la pleine jouissance de son corps. Devant moi restai la tache de bave laissé par Madame sur ma couette, je la devinais encore là à genou. Je ne sais combien de temps j’étais là à l’attendre, quand la porte s’ouvrit à nouveau il y avait juste Monsieur. Il me saisi par l’anneau du collier, et me faisant me relever m’emmena en direction d’une pièce déjà visitée, j’en frémi. Lorsque la porte s’ouvrit je reconnu cette planche où il avait voulu m’attacher pour ma première nuit, cette planche où j’utilisai mon Safeword de panique. Mais cette planche n’était pas vide. Dessus se trouvait Madame, attachée, sans défense, toujours bâillonnée un bandeau sur les yeux en plus. Monsieur en fit le tour, jusqu’à se trouver derrière sa tête, laissant glisser sa main sur son corps, elle frémit d’abord puis soupira ou gémit de plaisir. Apparemment cette planche n’avait pas le même effet sur elle que sur moi. Il me fit signe d’approcher, me pointant l’espace entre ses jambes écartées. J’approchais, il se tourna pris un objet et se rapprocha de moi. Mes yeux s’écarquillèrent quand je reconnu un gode d’une belle taille. Sans trop de difficulté il me l’installa à l’anneau métallique, comme s’il faisait ça souvent. Les préliminaires sont déjà bien entamés, passons à l’étape suivante. Et d’après ce qu’elle m’a dit, tu te débrouilles très bien dans ce rôle. Euh.. Merci Monsieur, comme vous le voudrez. Je voyais cet appendice, rouge translucide suivait mes mouvements, balançant si je bougeais trop rapidement. Alors que j’étais obnubilé par ce jouet je reçu un coup de cravache sur les fesses. Monsieur me regardait sévèrement. Je ne devais pas faire attendre ses ordres. M’approchant de Madame je vis son sexe dégoulinant. Fais comme si je n’étais pas là.
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Par : le 10/04/23
De sa position je ne l’entendais que gémir, gémissement étouffé par la couette. Bien entendu je faisais attention si elle essayait de dire « Sunstone » ou la réaction de son corps. Plus ça allait, plus je me rendais compte que de Dominer n’était pas juste jouer avec l’autre, c’était prêter attention à lui, prendre soin de sa personne, être à l’écoute de ses réactions involontaire et volontaire. Bref ce n’est pas de tout repos. Comprenant que tout allait bien pour elle, je pris le martinet et commençais à le faire glisser le long de ses fesses ainsi misent en valeur. Elle comprit rapidement de quoi il s’agissait, son petit rire me fit comprendre qu’elle ne craignait pas sa morsure. Je commençais par des frappes légère et de plus en plus forte sur une fesse. Voir la peau se chauffer et virer au rouge était magnifique et impressionnant. Je fis de même avec l’autre, voilà 2 belles demi-lune bien rouge et chaude pour moi. Mes mains les caressèrent et effectivement elles chauffaient bien. Je les embrassaient lentement, les serrant l’une contre l’autre, les écartant. Je faisais bien attention de ne pas partir dans le sillon, c’était trop tôt. Quand je vis que mes doigts laissaient des marques blanches à leurs passages je souris de plus belle. Le bout de mes doigts laissa la place aux ongles et griffèrent légèrement cette peau à vif. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle commença à se dandiner sous mes doigts, gémir de plus belle. Je l’avais en mon pouvoir, ne pouvant me retenir je vins lui mordre une fesse, assez pour y laisser la marque de mes dents, sans lui arracher de peau bien sûr. Elle cria de plus belle, entre la surprise et la douleur. Mes dents la lâchèrent et laissèrent la place à un baiser au même endroit. Reprenant le martinet, je donnais un nouveau coup de chauffe à ce fessier qui s’était légèrement refroidit. Elle se dandina encore plus fort, gémissant de plus belle. A la fin de ces jeux de frappes, je me couchais à ses côtés la regardant. Malgré le bâillon, je devinais un sourire, malgré les yeux humides de larmes. Découvrant son visage des cheveux venu s’y collé, je lui embrassais la tempe et plongeant mon regard dans le sien je fis un petit oui de la tête, qu’elle me rendit. Elle était prête à continuer. Je m’arrangeai pour lui tirer le bassin en arrière, afin d’avoir un bel accès à ses fesses, sans que le lit ou la barre ne me gêne. Je laissai glisse mon indexe le long de son sillon, elle gémit de plaisir. Je jouais à passer d’un trou à l’autre, juste en surface, en caresse, en douceur. Elle ondulait son bassin, gémissant de plus en plus fort, commençant à haleter. Je continuais à l’exciter et la frustrer, ne la pénétrant jamais. Plus ça allait, plus je sentais qu’elle en demandait plus, cherchant à donner des coups de fesses sur mon doigt au moment opportun. Au bout d’un bon quart d’heure, je m’arrêtai sans prévenir et donna une belle claque sur chacune de ses fesses, ce qui calma ses ardeurs. Je l’aidais à se déplacer sur le lit, pour me permettre de m’asseoir sur ses jambes. Ainsi en place, je faisais dos à la porte, ne m’occupant que de ma soumise du jour. Lui écartant les fesses, je plongeai mon visage dedans, me servant de ma langue pour l’exciter à nouveau. Mes mains laissèrent son postérieur et partirent le long de son corps, la caresser, découvrir sa douce peau. Et finalement elles arrivèrent aux seins, toujours tenu par les pinces. Je récupérai la chaine et commençait à jouer avec, mêlant plaisir et douleur. Cela semblait décupler ses gémissements. Pendant qu’une main jouait avec la chaîne, l’autre était retournée à son entrejambe et jouait avec son clitoris. La zone était humide, entre ma bave et sa cyprine. Je me délectais de ce moment, de cette position de donner du plaisir par mon choix de la manière dont je voulais. J’arrive au bon moment j’ai l’impression. Monsieur S. je ne l’avais pas entendu rentrer, mais depuis quand était-il là ? Ne sachant que faire, je décidais de rester sur le lit et me mettre en position, abandonnant toute stimulation sur Madame. Ne l’ayant peut-être pas entendu, elle gémit de plainte, prenant cet arrêt juste pour une de mes facéties.
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Par : le 09/04/23
Mes doigts parcoururent l’ensemble de son corps, passant d’une partie recouverte de latex à de la peau nue. Je soupesais ses seins, volumineux, lourds, ses aréoles finirent rapidement entres mes doigts. Je m’excitais toute seule à découvrir et jouer avec, comme une gamine, c’était ma poupée à moi. Elle ne disait rien, gémissait au pire des cas, mais ne bougeait pas. Je me saisi de sa tête, la redressa et vint l’embrasser sur la bouche. Le baiser continuât, de plus en plus intense et profond. Mes mains exploraient son dos, ses fesses, les malaxaient, la collant à moi, écrasant sa poitrine contre la mienne, situation des plus excitante. Puis je la lâchais, la repoussa dans son coin, jubilant de ce pouvoir. Me tournant je partis vers la commode, les talons me faisaient déjà onduler des fesses, mais je prenais un réel plaisir à amplifier la chose. Je me sentais belle, supérieur, désirable. Dans les tiroirs, laisses, menottes, mousquetons, martinets, bâillons, une belle collection de jouets mais rien pour pénétrer ou faire jouir. J’allais devoir m’occuper de cet aspect de façon artisanal. De retour vers ma soumise, je lui accrochai la laisse et la tira d’un coup sec en direction de la table, j’avais faim moi. Ses poignets furent attachés ensemble tout comme les bracelets qu’elle portait aux biceps, tendant sa poitrine vers l’avant. Avant d’aller m’asseoir de l’autre coté de la table, une tension sur la laisse la mit à genoux. En m’asseyant je senti les godes, à l’intérieur de ma ceinture, bouger et venir encor plus profondément. C’était surprenant et bon, je jouais à onduler du bassin sur ma chaise, pour amplifier le mouvement. Je voyais juste ses yeux me fixant, se demandant ce que j’allais faire d’elle. Je fini par récupérer la laisse sous la table et la tirai vers moi, l’obligeant à avancer à genou de manière maladroite. Quand elle fut à mon niveau je lui attachai des pinces à seins, reliée par une chaine, à ses grimaces cela lui faisait de l’effet. Lui relevant la tête, je fis quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire, une chose que j’avais vu sur le net, je lui crachais à la figure. A sa réaction cela la surprit, mais sans savoir pourquoi je jubilais encore plus. Cette secrétaire, hyper sexy, sure d’elle, sans doute Dominatrice à ses heures aussi, était là à ma merci. Faisant passer la laisse sous mon pied je l’obligeais à se pencher près de celui-ci. Embrasse et lèche, chaussure et pied. C’est tout ce que tu auras comme repas. Oui Madame. Je l’avoue c’était une pure revanche par rapport à son arrivée. Mais le « Oui Madame », me prit par surprise et me fit bien plus d’effet que tout le reste. Ne pouvant me toucher, j’ondulais encore plus fort sur ma chaise. C’était bon, je mangeai plus lentement qu’à l’accoutumée, tellement j’étais prise par des sensation nouvelles et étranges. Ses coups de langues et baiser occupaient tout mon esprit au début, mais plus le temps passait, moins j’y prêtais attention. Une fois fini de manger, je me relevais, elle ne bougeait pas à genoux sous la table, pliée en deux. J’en fis le tour, son postérieur était magnifique ainsi présenté. Debout et va te mettre dans la même position sur le lit, jambes encore plus écartées. Bien Madame Pendant qu’elle se déplaçait, j’observait à nouveau le contenu des tiroirs, pire qu’une gamine à Noël. Je fis mon choix dans les jouets et vins les poser à ses côtés. La barre d’écartement, fut rapidement installée entre ses chevilles, l’obligeant à les maintenir bien ouverte. Tirant sur le collier elle fut obligée de se redresser, je pu facilement lui installer le bâillon-O, l’obligeant à garder la bouche grande ouverte et disponible. Je l’embrassais sur le coins et lèvres et la repoussais sans ménagement elle s’écrasa sur le lit, dans un cri gémissement le temps de sa chute. Faisans le tour du lit, j’attachais la laisse à une des attaches qui m’avait maintenue cette nuit, impossible pour elle de se relever. Elle était tout à moi, offerte sans défense, j’allais pouvoir commencer à m’amuser. Chose étrange dans cette situation, c’était la soumise qui pouvait jouir, tandis que moi j’étais toujours interdite d’accès à mon entrejambe.
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Par : le 08/04/23
  Elle s'adresse à Madame Stone : — Je vais la prendre à mon service, elle servira le petit déjeuner demain matin, mais il faut la laver ! — Bien Madame. Madame Stone me fait un signe, je fais une révérence et je la suis. Cette femme, je l'appelais Madame Cochon, c'est Madame Crasston maintenant et elle est devenue ma propriétaire. Ils ne seront peut-être pas pires qu'un autre propriétaire. Quoique... Ils ont fait fortune en tuant des animaux ! On va dans la cuisine et Madame Stone dit à Meadow : — Lave-la soigneusement et fais lui mettre un uniforme propre. — Un uniforme de servante, Madame ? — Bien sûr, idiote ! On fait une révérence et on quitte la pièce. Meadow n'a pas l'air très à l'aise. Elle me dit : — Je t'ai traitée durement, mais c'est ce qu'ils voulaient. — Je sais... j'aurais fait la même chose. Je n'ai pas besoin d'ennemis supplémentaires. Je me lave, enfin... Oh ! Ça fait du bien. Je mets un bel uniforme propre. Je suis heureuse d'être une servante et plus ce que j'étais. On retourne dans la cuisine et je vais me montrer à Madame Stone. Celle-ci ne fait pas de commentaires à mon sujet, elle dit juste : — C'est bien Meadow. Demain, tu seras une servante. — Merci beaucoup Madame. Je travaille avec les autres filles à des tâches moins dégradantes. Plus tard, Lisa me dit elle aussi : — On avait des ordres. — Oui, je sais Mademoiselle. Elle devient première fille, c'est-à-dire que les servantes devront lui obéir. Le soir, je ne mange plus les restes et je dors dans un lit, quel confort. Je rêve de Summer. *** Le lendemain matin, une vie un peu moins pénible commence. Je dois préparer le petit déjeuner de mes nouveaux propriétaires. Dès le début, il y a eu une antipathie réciproque entre eux et moi. Je trouvais qu'ils avaient tous les défauts des nouveaux très riches ! Ils sont plus riches et plus puissants que jamais. Ils ont fait le bon choix en soutenant Dany Prince et en trahissant mon mari. Madame Wolf aussi. Je m'en fous. Je ne pense même pas à me venger un jour, je veux juste partir d'ici. J'attends debout dans la cuisine qu'ils me sonnent. Ça y est, la sonnette de la salle à manger retentit. Ça veut dire qu'ils quittent leurs chambres pour aller dans leur salle à manger privée. J'y cours... et j'attends. Je me suis conditionnée à ne plus les appeler Monsieur et Madame Cochon en pensée. Pourtant... elle arrive vêtue d'une chemise de nuit transparente et pas propre. Vue imparable sur ses grosses mamelles, son ventre qui cache presque son pubis et son cul de jument obèse ! Lui, il est juste vêtu d'une veste de pyjama trop courte, sa longue bite molle fait le pendule à chaque pas. Un remède pour guérir du hoquet ou pour ne plus baiser. Mesdames et Messieurs, je vous présente mes Maîtres ! Je fais une profonde révérence en disant : — Bienvenue Madame, Monsieur. Ashley, à votre service. Madame Stone m'a dit que c'est ce qu'il fallait dire... Ils ne répondent pas et ne me regardent même pas... Elle dit juste : — Déjeuner. Je quitte la pièce. Derrière la porte, deux servantes m'attendent avec un très grand plateau qu'elles tiennent à deux.... Il y a des crêpes, des oeufs au lard, des patates. Je le prends et ouch ! Il pèse une tonne. J'entre, pourvu que je ne tombe pas, je serais fouettée sans l'ombre d'un doute. J'arrive devant la table et m'apprête à le déposer quand Madame me dit sans me regarder  : — Attends qu'on te le dise. Ça commence ! Elle dit à Monsieur : — Pas bien éduquée, cette fille. Mais pourquoi je ne peux pas déposer ce plateau qui pèse si lourd... Ils parlent d'une commande d'alcool jusqu'à ce que mes bras tremblent... Juste avant que je m'évanouisse, elle montre la table du doigt. Je dépose le plateau... Mes bras continuent de trembler. Elle dit : — Crêpe, sirop, café. Et Monsieur, oeufs au bacon, thé. Je sers Madame puis Monsieur, puis je reste là, tête baissée. Elle montre un coin de la pièce en disant : — Là. Pourquoi parler, quand on peut grogner juste un mot ? Je vais me mettre contre le mur. Madame a une clochette en bonze. Quand elle la fait tinter, je  dois les servir. Je vais près de la table, fais une révérence et elle me montre du doigt ce qu'elle veut. Elle est devenue muette, maintenant. Il faut surtout que je comprenne ce qu'elle veut. Après bien avoir bien interprété son geste, je retourne dans mon coin. Je baisse la tête, mais je vois quand même qu'ils mangent comme des porcs. Oui, je dois le dire. Elle engloutit ses crêpes au sirop d'étable... qui dégouline sur sa chemise de nuit... Lui laisse même tomber un morceau de lard par terre. Il me le montre du doigt. Qu'est-ce que je dois faire ? Pas le lui remettre dans la bouche. Je le ramasse, puis je retourne dans mon coin. Ils finissent leur repas et elle fait un rot sonore. Quelle... non, rien. Madame Stone arrive. Elle leur demande : — Vous êtes satisfait de la petite, Madame ? — Pour une première fois, ça peut aller. — Vous ne voulez pas qu'elle aille sous la table ? NON !! Madame répond : — Elle me dégoûte, elle ne sent pas très frais... et on ne sait pas dans quel trou du cul sale elle a fourré sa langue. Cette image les fait rire tous les trois ! Grrr ! Madame ajoute : — Tu peux l'essayer, ici. — Merci, Madame. Elle s'assied et du doigt elle me désigne le sol sous la table. En clair, ça veut dire : « Va me lécher la chatte et soigneusement, si tu ne veux pas être fouettée ». Je file sous la table, tandis qu'elle se soulève de son siège pour retirer sa culotte. Je nage dans la mare de graisse de ses cuisses, pour arriver dans le noir, au poulpe mort qui lui sert de chatte. Elles parlent de punitions, Madame Stone explique : — J'essaye de punir les filles par où elles ont péché... Tout en léchant le poulpe pas frais, je me dis : c'est quoi ce charabia ? Madame Stone poursuit : — Les maladroites reçoivent des coups sur les doigts, les paresseuses sur les mollets... Alors, si cette petite pute que j'ai entre les cuisses ne me lèche pas bien, je la fouetterai sur la chatte. Les Crasston trouvent l'idée super, tandis que je m'active tout à coup soigneusement à la lécher. Je ne veux pas de fouet sur la chatte, ni ailleurs. Je lèche, suce, mordille tout ce que j'ai sous la langue et le nez, hélas. Ils continuent à discuter de politique.       Enfin, Madame Stone geint un peu et jouit en me serrant la tête entre ses énormes tentacules, je veux dire ses énormes cuisses. Je reste là sans oser bouger, jusqu'à ce que Monsieur Crasston me dise : — Viens chez moi. Ppppfff, dure la vie d'esclave ! Je suis bientôt le nez sur ses abats. Il est plus propre que Madame Stone. Je prends son sexe en bouche et je le suce. Au bout de très peu de temps, il me dit  : — C'est bon, remets-toi debout. Je me redresse et reste là, rouge, décoiffée, vraiment pas fraîche maintenant. Il voulait juste me forcer à prendre son sexe en bouche. Madame Stone me dit : — Débarrasse et va demander à Lucia de te donner ton travail. Je le fais en faisant très attention... Une dernière révérence et je file à la cuisine. Là, Lucia me dit : — Épluche ce tas de patates. C'est fastidieux, mais toujours mieux que récurer le sol à genoux ou lécher Madame Stone.. *** À midi, je dois servir le repas. Il y a Madame Crasston, madame Wolf, sa nièce Sarah et deux couples que je connais de vue, des gens riches et influents qui ont eux aussi trahi mon mari. Une belle brochette de traîtres ! Madame veut montrer à tous qu'elle est servie par... moi. Je fais très, très attention et heureusement, je n'oublie pas une seule révérence et je bondis au moindre signe. À la fin du repas, madame Stone vient saluer tout le monde. Elle demande : — Tout s'est bien passé, Madame ? — Pas trop mal, Madame Stone, mais ce qui n'est pas agréable, c'est que cette fille a toujours l'air tellement... renfrognée. J'aimerais être servie par une servante souriante. — Je vais régler ça. Le fouet lui rendra le sourire ! — Une fessée suffira. Elle se tourne vers ses invités en demandant : — Elle mérite une fessée ? Ils sont tous d'accord : une fessée, rien de tel pour rendre une esclave souriante. Oh, je sais que cette fessée me pendait au nez, quoi que je fasse ! Madame Stone s'assied sur une chaise et elle me dit : — Viens te coucher sur mes cuisses, on va donner de bonnes couleurs à tes grosses fesses. Je fais ce qu'elle dit et elle relève ma jupe d'uniforme, puis descend ma culotte jusqu'à la pliure des genoux. Une fessée, c'est pas trop grave. , sauf que Madame lui dit : — Ne vous abîmez la main Madame Stone, prenez votre sandale. Oh non ! Deux minutes plus tard, ça commence, sa main claque sur mes fesses. PAF !         Là, Madame lui dit : — Ne vous abîmez la main Madame Stone, prenez votre sandale. Elle enlève sa sandale et la lève au dessus de son épaule. PAF !   —  Aiiiiieeee!!! La semelle de sa sandale s'abat sur mes fesses et puis : PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF !  PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! Je n'arrive même plus à crier entre chaque coup, j'ai l'impression que mes fesses sont en feu ! Quand Madame Stone s'arrête enfin... Madame me dit : — Alors ? — Je serai souriante Madame, je le jure. Je fais un grand sourire, les joues mouillées de larmes. — C'est bon, continue ton service. À suivre.   Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 08/04/23
Bonjour à tous, Cet article et ma vision propre de ce qui est pour moi le DDLG je dirais même le DLG Daddy little girl. - DLG pourquoi tout simplement parce que je me considère plus comme Daddy que Dom le mot Dom se rapporte plus pour une soumise et Maître pour une esclave mon avis à vous de définir ces thermes. - Donc dans mon « DLG » therme qui n’existe peu être pas mais c’est comme cela que je me définis. Je n’ai pas cherché si ce therme existait mais c’est le therme que j’emploierai pour définir ma relation avec ma little. Mon but comme le disent beaucoup d’articles qui rejoint ma pensée, c’est de rentrer dans ce que j’appellerai, là aussi therme que je n’ai jamais entendu mon « Daddy/little space ». . J’entends par là notre bulle qui nous sort du monde et nous font rentrer dans le monde où je deviens le Daddy à part entière et où ma little devient la little câline pour son Daddy. C’est dans ce mode là que je prends mon plaisir et que je me sens bien, bien sûr un plaisir psychologique et non physique quoi que les gâtés de ma little son un grand plaisir psychologique et physique (je ne parle pas de sexe ou attouchement seulement de relation Daddy/little pure et simplement). Dans cette bulle mon rôle « celui que j’estime être celui du Daddy » et de m’occuper à part entière de mon être de lumière ma little. Quand je dis m’en occuper c’est de la lever le matin, lui faire son petit déjeuner qui peu être un biberon, un déjeuner dans une tasse des tartines, cela sera bien sûr à définir suivant l’âge play de celle-ci, l’aider à s’habiller, surveiller qu’elle parte dans une tenue adaptée au lieu où elle va, où nous allons, lui préparer son repas de midi son goûter, son souper et bien sûr lui donner son bain ou lui demander de le faire toujours suivant son âge play. - La mettre au lit a une heure raisonnable suivant la journée prévue le lendemain, lui donner son doudou, lui faire un bisou, lui lire une histoire et si elle le désire dormir dans mes bras. - Je demande à ma little de faire son lit, de ranger sa chambre, de m’aider à débarrasser la table ect… - En échange la little fais des gâtées à son Daddy, elle est respectueuse, remercie son Daddy, lui demande des bonbons ou autres friandises qui seront bien évidements donnés par le Daddy dans la mesure du raisonnable. - La little aura obligation d’obéir à son Daddy, là je parle pour le moment de relation pur Daddy/Little. - Bien évidemment la Little étant une enfant, il y aura forcément punition car une little testera toujours les limites et c’est là que je ferais référence au base du BDSM DDLG mon DLG et surtout a toutes relations en fait. Le Daddy choisira la punition pour sa little bien évidement mais cette punition doit impérativement rentrer dans le consentement mutuel le respect et surtout ne jamais dépasser les limites définies préalablement par les deux parties, et quand je dis les deux c’est les limites de la little et les limites du Daddy. - Maintenant que nous abordons les limites nous allons pouvoir sortir de la bulle Daddy/little space et rentrer dans des pratiques plus orientées BDSM, pratiques qui je vous le rappelle ne sont pas forcement obligatoires dans une relation DDLG et dans mon DLG. - Après discussion avec la little et si celle-ci le souhaite ou demande certaines pratiques BDSM, alors elles peuvent être mises en œuvre mais toujours en prenant en compte le consentement et les limites après il n’y a plus de loi. Chacun est libre de ses envies tant que le consentement mutuel et les limites sont respectés, dans ce cas là je dirais que pour le temps de la séance ma little devient là une soumise et du coup je prends le rôle de Dom, nous rentrons donc dans une bulle BDSM. - Bien évidement dans chaque bulle il peu y avoir sexe ou pas au bon vouloir de chacun suivant toujours les limites et consentement mutuel définis toujours à l’avance. - Un petit résumé de ma vision des choses et ma phrase qui résume le consentement mutuel et les limites : Ne fait jamais ce que je ne veux pas et je ne ferais jamais ce que tu ne veux pas. J’espère bien évidement ne choquer personne et je ne suis pas donneur de leçons, je n’en ai aucun droit ni l’ intention, je suis un simple Daddy. Je vous souhaite à tous Maître, Dom, Daddy ,Esclave, Soumise, Little un bon week-end et que chacun trouve sa place et son BDSM, DDLG propre à leur « couple ». Amicalement Halvor        
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Par : le 07/04/23
Il y a quelques mois j ai été contacté par une jeune soumise de 19 ans .. elle souhaitait connaître les sévices de la fessee, se faire strier les fesses, le sexe et les seins .. J'ai hésité avant de donner suite, du fait surtout de son jeune âge, je voulais être sûr de ce qu'elle voulait .. après avoir longuement discuté avec elle, rdv fut pris à l'hôtel .. une jolie jeune femme brune se présenta à moi, petits seins fermes, sexe épilé, portant de beaux dessous (string, porte jarretelles) à ma demande... intimidée au début, je l'a mis rapidement a l'aise et me suis assuré qu'elle était bien consentante.. nous avons convenu d'un safe word au cas où elle voudrait arrêter avant ..je la fis se déshabiller, en dessous .. et non nue, soutient gorge retiré, assise sur une chaise, son fessier face à moi, et je pût commencer mon œuvre.. après lui avoir strié son magnifique fessier et entendu ses sanglots, je la fis se relever, cette fois ci son buste face à moi .. je fis se promener là canne de bambou le long des petites lèvres de sa délicieuse chatte, puis le long de ses seins en m'attardant sur ses tétons .. ils pointaient sous l'effet de l'excitation.. je me suis attaché à les canner, juste sur le bout, je la voyais se dandiner sous la douleur que cela lui procurait, et cela me plaisait.. puis ce fut au tour de sa petite chatte a recevoir les coups de canne, j ai donc écarté d'une main son petit string, y ai enfoncé un doigt pour vérifier son etat d'excitation (elle était trempée de mouille) juste quelques coup de cannes.. j'ai terminé par ses jolis petits seins qui s'en sont trouvés eux aussi tout striés.. elle a terminé la session les larmes aux yeux mais heureuse de cette expérience... et moi aussi ..(sans les larmes ..)
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Par : le 07/04/23
Je ne sais combien de temps s’est écoulé, surtout que la lumière fût éteinte lors de leur sortie de la cave. Entre la fatigue des émotions et de la positions j’avais beaucoup de mal à tenir cette position d’étoile contre le mur. Je somnolais, sentant mon poids qui tirait sur mes épaules, ma tête pendait en avant sans énergie. Lorsque j’ouvris les yeux j’était dans les bras de Monsieur, étais-ce un rêve ou la réalité, je n’avais rien sentis. Lorsque nos 2 regards se croisèrent il me sourit et m’embrassa sur le front. Chhhhh, rendors toi, tu as tenu bien plus longtemps que je ne le pensais tu mérite de te reposer dans ton lit un moment. Et tu es si belle quand tu dors. Je souris à mon tour, c’était la réalité, je devais dormir tellement profondément que je n’avais rien senti. Mais dans ce bref instant de lucidité je sentais quelque chose d’étrange entre mes jambes, m’aurait-il remis la ceinture de chasteté ? Au moins je pourrais me reposer convenablement, c’était déjà ça. Je percevais la douceur et le moelleux du lit, la chaleur de la couette qui était installée sur moi, sans plus réfléchir je repartais dans les bras de Morphée. A mon réveil, la lumière du jour commençait à se faire de plus en plus faible et je semblais ne pas me reconnaître. La cagoule était toujours présente, me transformant en quelque sorte, les bracelets aux poignets et chevilles aussi, me rappelant ma condition. Ces chaussures solidement attachée et … mais qu’est-ce que j’avais à l’entrejambe ? Je me levais et découvrais une autre ceinture, plus large sur le devant munie d’un anneau métallique, bien serrée et également cadenassée. Et d’après ce que je ressentais elle était munie de 2 godes, depuis tout ce temps j’était pleine sans m’en rendre compte la fatigue sûrement. Alors que j’explorais cette ceinture la porte s’ouvrit. Je me mis rapidement en position, Madame rentra avec un plateau. Son attitude était différente, moins sur d’elle, regard fuyant, tête basse, étrange. Elle posa le plateau sur une table et recula, regardant ses pieds, s’arrêta dans un coin et se mit dans la même position que moi. J’aime jouer avec les rôles et rappeler que chez moi, il n’y a qu’un seul Maître. Monsieur rentrait en prononçant ces paroles, en ignorant Madame. Je ne comprenais plus rien, je n’osai bouger, attendant un ordre, une autorisation. Monsieur s’approcha du plateau, pris un morceau de gâteau, qui semblait être une sorte de goûter. Dès à présent et jusqu’à ce que je le décide tu peux disposer de ta soumise comme il te souhaite. Elle est à toi. Cependant vous devrez rester dans cette pièce, examine les tiroirs tu as de quoi t’amuser rassure toi. J’étais encore plus perdue, je passai du rang de soumise à Dominatrice. Je pouvais diriger une autre femme, une grande première pour moi, même Dominer était une nouveauté, je sentais comme une pointe de stress monter. Je pris une grande inspiration, ferma les yeux. Merci Monsieur Tu n’as pas perdu les bons reflexe, sache que son SafeWord est Sunstone et que je ne suis pas loin non plus. Je vous laisse vous amuser entre fille. Partant il fermât la porte et d’après le bruit ce fût à clef. Je regardais Madame, qui n’avait pas bougé. D’un pas lent je m’approchait d’elle et profitais pour l’examiner encore mieux, son habillement n’avait pas changé et c’était vraiment une magnifique femme, de longues jambes, poitrine volumineuse. Je pense que je vais m’amuser.
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Par : le 06/04/23
Pendant que je suspendais les manteaux sur des cintres, les invités de mon Maître prenaient place dans le salon. La femme s'assit dans un fauteuil, mon Maître dans l'autre et les deux hommes dans le canapé de l'autre côté d la table de salon. La jeune fille elle s'assit par terre, à côté de la cinquantenaire. Je remarquais alors qu'elle portait un large collier d'acier muni q'un gros anneaux et que ses poignets en portaient d'identiques. très jolie, elle avait les cheveux presque raz. Quand sur ordre de sa Maîtresse elle se déshabilla, on découvrit un corps très mince, des seins menus dont les tétons étaient percés de beaux bijoux bien travaillés. Son corps juvénile portait de nombreuses traces, certaines à peine rosées, d'autres bien plus marquées, violacées, qui expliquaient les larges cernes de ses yeux. Cambrée pour s'offrir aux regards, elle rayonnait. Son pubis parfaitement lisse était tatoué d'un complexe entrelassement d'initiales KR signifiant qu'elle était la propriété de la femme. Mon Maître claqua des doigts et d'un index tournoyant me fit comprendre que je devais servir. j'effectuais le service en me positionnant à droite de la personne que je servais. Leurs mains me palpaient, me griffaient ou m'éffleuraient. La Dominatrice elle me prit un téton entre ses doigts et me le tordit jusqu'à ce que je gémisse de douleur et que les larmes me remplissent les yeux. Maitre m'avait bien recommandé de ne jamais parler ou emettre un cir. Les coupes remplies, je vint prendre ma place aux pieds de mon Maître. Leur attention se concentrait sur la jeune fille exposée. Sa Maitresse se faisait un plaisir de raconter leur rencontre, comment d'une simple relation homosexuelle c'était devenue une relation ou la Dominatrice prit peu à peu le contrôle totalde son amante jusqu'à en faire une véritable esclave sexuelle. Que ce soit pour son plaisir mais également le plaisir d'autres personnes, hommes ou femmes selon son humeur. La jeune fille prenait les poses que sa Maitresse lui ordonnait. Elle exhibait chatte ou cul, s'écartant à deux mains, ouvrant une bouche capable d'accueillir des membres de taille très respectable tout comme son cul qui visiblement servait souvent. Prendre des positions dignes d'une pute semblait lui plaire vu la mouille qui coulait de sa vulve. l'un des hommes, Didier, était déjà bien excité et mon Maitre donnant son accord, me donna sa queue à sucer. Je m'appliquais comme Maître l'aimait. Malgré la taille, je l'avalais entièrement . j'avais quelques hauts le coeur quand elle passait la luette mais j'arrivais maintenant à parfaitement me retenir. L'homme poussait des soupirs de satisfaction et m'appuyait sur la tête, me la bloquant quand il voulait que mes lèvres soient collées à son pubis. Je ne voyais pas ce qu'il se passait derrière moi mais les commentaires m'indiquaient que la Soumise était explorée dans tous ses trous, poussant de petits gémissements de plaisir. Le spectacle devait être excitant car Didier éjacula rapidement tout au fond de ma gorge. J'avalais la totalité avec gourmandise puis je nettoyais sa queue très doucement. Maitre m'ordonna de me coucher sur le dos, la tête sous le ventre de la jeune fille. En me retournant pour me positionner, je vis que celle ci, à genoux avait les mains dans le dos et qu'elle sucait mon Maître. Sa Maitresse elle, avait la main enfoncée dans son anus la faisant gicler copieusement à chaque fois que la main s'enfoncait profondément. Je m'allongais sur le sol complètement trempé de cyprine. les orgasmes de la Soumise s'enchainaient. Rapidement j'eu le visage et le torse trempé, ça giclait sans interruption, même quand la main de la Dominatrice fut remplacée par une bite conséquente de l'autre homme et la pilonnait de toute ses forces. Maître savait s'entourer uniquement de Mâles ayant de grosses queues. Affalée dans le fauteuil, la brune fit venir son esclave entre ses cuisses. Celle ci fut immédiatement en place et se mit à déguster puis dévorer la vulve de sa Maitresse qui me demanda de nettoyer sa soumise de tout le sperme et la mouille qui coulait de son ventre et de ses fesses. J'aspirais le foutre de son anus boursouflé et béant y enfoncait la langue aussi loin que possible, elle était délicieuse, jusqu'o ce que la femme assouvie ne l'attache par le collier à l'un des radiateurs, me laissant seul faire le service.....
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Par : le 06/04/23
Pour mes 17 ans, Maître profita d'un week-end prolongé de Pâques pour les fêter à sa manière. Mes parents comme souvent participaient à une concentration de vieilles voitures en région parisienne, j'étais donc seul durant 4 jours. dès le vendredi soir je me rendis chez Maître. Il n'était pas encore rentré mais j'avais la clé. Ma première action fut de me mettre nue et d'entasser mes vêtements dans un débarras et en claquait la porte. Il n'y avait que lui qui puisse la réouvrir. Je me rendis ensuite dans le salon où je trouvais sur la table basse ma tenue que j'enfilais et une feuille de consignes. Nuisette violette, bas assortis et une large ceinture de cuir qui comportaient 6 attaches pour les bas ainsi que mes escarpins à talons. Bizarrement, je ne vis pas mon collier ni mes bracelets de cuir que je portais habituellement chez lui. Parée, je me regardais dans la glace, je ressemblait à une vraie petite femelle bonne à baiser. Les talons me cambraient le cul et le corset bien serré faisait ressortir ma croupe, j'étais obsène. Cette vision provoquait en moi de l'excitation et je ne doutais pas que cela mettrait Maître en rut. Suivant les instructions, je préparais 6 coupes et mis une bouteille de champagne au frais. Nous ne serions pas seuls pour la soirée. Les amuses bouches prêtes sur la table, j'allais me mettre à genoux à 3 pas de la porte d'entrée, genoux  écartés, bras croisés dans le dos, les mains tenant mes coudes tête baissée et j'attendis. Avant que la porte ne s'ouvrit, j'entendais plusieurs voix. Maître n'était donc pas seul. Instinctivement, je me cambrais, adoptant une posture la plus soumise possible, je baissais la tête presque à touche mon cou du menton et regardais le sol. Maitre entra à la suite de deux femmes et deux hommes. Débarasse mes invités salope ! Je me redressais rapidement et entrepris de prendre manteaux et veste des invités ce qui me permit de les voir. L'une des femmes était grande et sèche d'une cinquantaine d'années, vétue d'une jupe en cuir longue et fendue, un chemisier et des escarpins. L'autre, bien plus jeune, un short en jean's très court, un débardeur trop court et des baskets blanches.
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Par : le 06/04/23
Voici le lien vers ces règles ! https://www.bdsm.fr/blog/4753/Exemples-de-R%C3%A8gles/Contraintes-DDlg-/-ABDL/
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Par : le 06/04/23
Après les événements décrits dans la dernière chronique, le temps passe, sans que des rencontres, temps musical que sexuel, ne se produise.  dans la dernière chronique, le temps passe, sans que des rencontres, temps musical que sexuel, ne se produise. Souhaitons toujours monter un groupe. Je décide de retourner sur le site de mise en relation entre musiciens sur lequel je vais rencontrer les deux frères, et je commence à écumer les annonces. Sans que je sache pourquoi l'une d'entre elle attire mon attention et je contacte l'auteur. Il s'appelle Raphaël, à peine entré dans la vingtaine et semble ultra motivé.  l'une d'entre elle attire mon attention et je contacte l'auteur. Il s'appelle Raphaël, à peine entré dans la vingtaine et semble ultra motivé. Après quelques échanges de mails, nous nous échangeons nos numéros de téléphone et continuons à discuter de ce que nous avons envie. Le projet est assez simple , si nous arrivons à bien nous entendre, nous souhaitons monter un groupe pour faire quelques concerts dans la région de Rouen. Au bout , si nous arrivons à bien nous entendre, nous souhaitons monter un groupe pour faire quelques concerts dans la région de Rouen. Au bout d'une semaine, le message pour le moi agréable et amicaux, nous décidons de nous rencontrer chez lui un mercredi. Comme à mon habitude, j'arrive en avance , et j'attends devant chez lui pour ne pas paraître impoli. Au bout de quelques minutes alors que l'heure du rendez-vous approche, je vois le rideau de la fenêtre du rez-de-chaussée se décaler et je vois mon Hôte tout sourire. Il ouvre la porte et me serre la main chaleureusement tout en me souhaitant la bienvenue. Il me propose de me mettre Alezes en déposant mes affaires dans un coin de la pièce et m'offres un café. Nous nous asseyons autour de la table et j'observe légèrement la pièce dans laquelle nous sommes. Rien de bien exceptionnel, c'est une pièce ouverte sur la cuisine avec au fond, une porte menant, sans doute vers un couloir, celui des chambres et des sanitaires. Rien de bien exceptionnel, c'est une pièce ouverte sur la cuisine avec au fond, une porte menant, sans doute vers un couloir, celui des chambres et des sanitaires. Au fil de nos discussions en physique, l'ambiance devient bien plus amicale, et nous passons quelques heures à jouer.   Alors que nous nous apprêtons à ranger notre matériel je lui demande comment est-ce qu'ils arrivent à faire des harmoniques artificielle (les guitaristes comprendront). Il me passe sa guitare commence à m'expliquer mais comme je ne comprends pas le principe il se place derrière moi, Prends ma main droite et fait en sorte qu'au moment où je joue la corde je l'effleur avec mon pouce afin de créer ce son si particulier. Cependant, sur le moment.  Je ne retiens absolument pas l'explication, Je ne retiens absolument pas l'explication, Bien plus attiré par ce contact avec lui que par le jeu. Je crois même sentir à un moment, une bosse dans son pantalon quand il touche mes fesses. Latouche mes fesses. La journée s'arrête. Là. Je repars chez moi et nous reprenons nos discussions strictement musicale. Un nouveau rendez-vous donné la semaine prochaine. Je retourne chez lui et à mon arrivée il me propose encore un café. Alors qu'il se tourne vers la cuisine pour aller me préparer ma boisson chaude, je remarque qu'il est vêtu d'un pantalon bien plus cintré que la dernière fois, mettant en valeur ses fesses. Je ne peux pas décoller mon regard de ce magnifique spectacle, et quand il se retourne il voit Que je l'observe. Pour le moment il ne dit rien, et s'assoit à côté de moi à table. Il est bien plus proche que la dernière fois et bien plus entreprenant au niveau des discussions. Très rapidement cela tourne autour de nos expériences sexuelles et musicales. Je lui Raconte alors ce qu'il s'est passé avec Alex, avec les deux frères… Et à la fin de mon récit, il m'annonce de but en blanc qu'il est gay et commence à me dire qu'avec un peu de chance, nos expériences musicales se terminerons de la même façon que mes précédentes. Au fond de moi, je l'espère sincèrement mais j'attends de voir la suite des événements avant de trop espérer. Alors que nos cafés sont finies depuis bien longtemps, nous décidons de jouer et de composer. Cette session est plutôt fructueuse. Et nous commençons l'enregistrement du morceau. Après une heure ou deux nous décidons de faire une nouvelle pause. L'atmosphère s'est réchauffée et j'ai l'impression de suffoquer tellement elle est lourde. Lui aussi semble avoir très chaud et il me demande d'attendre quelques instants qu'il aille se passer une tenue plus légère afin d' être plus à l'aise. Quand il revient, il est vêtu d'un short et d'un débardeur. Soit le short est trop court, soit son excitation est trop importante car son paquet est magnifiquement bien moulé. Son débardeur laisse quand lui laisse apparaître un torse légèrement poilu et bien dessiné. laisse apparaître un torse légèrement poilu et bien dessiné. J'avoue qu'à ce moment je suis très excité et ses regards appuyés vers mon entrejambe confirme que lui aussi. À ce moment, il n'y a plus de faux-semblants. il joue clairement avec moi. Passe très près de moi me frôle et me touche légèrement qui n'est pas sans me déplaire. Nous essayons de reprendre une discussion à peu près normal, sauf que nos corps sont très proche l'un de l'autre et un moment il se lève, me demande de le suivre car il a quelque chose à me montrer dans sa chambre. Les volets de celle-ci sont fermés et alors qui me précédé. Je le vois se décaler pour me laisser rentrer. Je n'ai pas le temps de m'habituer à la absence de lumière que la porte claque et que je le sent se coller à moi. Il frotte son sexe entre mes fesses. Ils sont torse contre mon dos. Seulement son baladeuse se diriger assez rapidement vers ma ceinture. En quelques mouvements, elle s'ouvre mon pantalon tombe, il se baisse en prenant bien soin de retirer mon caleçon et commence à m'embrasser les fesses et me caresser les cuisses pour descendre jusqu'à mes pieds et m'oter mes vêtements. Et la situation me paraît des plus excitante, ne voyant que peu de choses et le laissant complètement gérer la situation pour le moment. Alors que mon pantalon quitte mes chevilles, et je le sent remonter vers mes fesses qui se met à lécher sensuellement. Ses mains agrippe mon sexe bouillonnant et commence. Quelques mouvements de va-et-vient, tendit que sa langue se rapproche de plus en plus de Mon trou...
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Par : le 03/04/23
A 50 ans, sexuellement, j'étais inculte. Ma vie était organisée comme du papier à musique, une femme que j'estimais, des enfants source de joie et de bonheur, une famille solidaire, un emploi accaparant ... bref le genre de mari confort et bien être. La crise de la quarantaine a tout de même fini par me gagner. Après quelques échecs de manœuvres de séduction, j'ai tenté ma chance sur un site de rencontre gratuit. C'est là que je l'ai trouvée. L'annonce était sommaire, "femme mariée cherche homme pour plan sexe". En quelques lignes, je me suis présenté en lui disant que je pouvais facilement me libérer pendant la pause déjeuner. Je lui ai demandé ce qu'elle attendait de moi, à quoi elle a répondu qu'il fallait simplement que je trouve un lieu pour copuler. Pas très causante, elle ne voulait pas m'en dire plus sur elle sauf qu'elle avait une trentaine d'années et qu'elle avait un grand besoin de sexe et de lâché prise. Nous avons pris rdv quelques jours plus tard à 12h sur un parking d'une zone commerciale. Elle était prête à me consacrer 1h30 de son temps. Le matin en question nous nous sommes échangés des SMS. Au début les messages étaient sages, ils avaient vocation à s'assurer que ni l'un ni l'autre ne feraient pas faux bond, mais rapidement je me suis enquis de l'état de ses seins, de ses cuisses, de son minou. A la lecture de ses réponses je l'ai senti bouillonnant. De mon côté, j'avais une érection à chaque tintement de SMS. Nous n'avions échangé aucune photo, le fantasme de rencontrer une inconnue était préservé. Les mots suffisaient pour nous exciter. J'avais de plus en plus envie de la prendre, tandis qu'elle me disait qu'elle commençait à avoir mal à la tête tant son corps était en effervescence. A présent il fallait aller vite pour éteindre le feu. Je suis en route pour notre lieu de rdv, il est 11h50, je reçois un SMS "- où es tu ? je suis en route, j'arrive dans 5mn vite stp" me répond t'elle. Je l'imagine se caressant et se pinçant les tétons afin de maîtriser ses pulsions. J'arrive sur les lieux, reconnais la voiture qu'elle m'avait décrite. Là, surprise, je me trouve en face à une charmante maman, souriante, se pinçant les lèvres. J'ai pris ma respiration, intimidé, espérant qu'en découvrant que je suis un homme ordinaire elle ne soit pas déçue. 1er hôtel complet, 2ieme accès uniquement par cb, heureusement la 3ieme tentative est la bonne. Nous pénétrons dans la chambre, les préliminaires sont brefs, quasi inexistants. Sa culotte est trempée. Nos vêtements volent dans tous les sens, je la plaque sur le lit. Elle saisit ma queue, la serre fort, la prend en bouche. A peine ai-je effleuré sa chatte en chaleur, qu'elle se redresse, dirige mon membre raide vers son entre-jambe pour s'empaler dessus. La chaleur de ses entrailles est intense, Dieu que c'est bon ! La pénétration est brutale, virile, je la prends sauvagement, la retourne dans tous les sens, pour finir en levrette. Plus je la secoue et plus elle prend du plaisir. "Qu'est ce qu'elle est BONNE TA QUEUEEEEEE " rugit elle. Nous avons fini en sueur avec le lit décalé du mur de 80 cm. Les draps et les oreillers sont à présent dispersés parmi les sous-vêtement et habits aux 4 coins de la pièce. Nous avons fini par nous calmer, épuisés. Elle ne voulait pas que je sorte d'elle, alors je l'ai reprise en levrette et j'ai poursuivi avec des mouvements lents, de droite à gauche, de haut en bas, d'avant en arrière. Hummm que c'était bon. Je l'ai caressé longuement, et tout en continuant ainsi, nous nous sommes racontés. Je lui ai avoué que c'est la première fois que je trompais mon épouse. M'a t'elle cru ?
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Par : le 01/04/23
Elle élève la voix et dit : — Meadow ! Une gamine bondit presque. Elle a des cheveux blond roux et un physique, disons, campagnard, des taches de rousseur, un nez un peu large et un espace entre les incisives supérieures. Elle n'a pas un bel uniforme comme les autres servantes mais une robe tablier pas très propre. Madame Stone me désigne du doigt en disant : — Cette fille va te remplacer et tu devras lui expliquer le travail. Tu lui donneras le vêtement que tu as sur le dos et tu pourras mettre un uniforme. Si tu la dresses bien, tu seras une servante. Grand sourire de la fille ! Oui, à l'idée d'être une servante... — Tu pourras la punir comme on a fait avec toi : des claques et le strap sur les fesses, autant que tu veux... sans la blesser. Si elle n'accepte pas sa punition, tu viens me trouver et elle aura le double. Maintenant, c'est ton esclave, tu comprends ? — Oui Madame. — Va chercher un uniforme et donne lui le tien Ah, avant ça... Lizza ! Aussitôt, une jolie rousse qui était occupée à nettoyer de l'argenterie se lève et vient lui faire une révérence. Madame Stone lui demande : — Tu étais une star des réseaux sociaux ? — Oui Madame. — Tu sais te servir d'une caméra ? — Oui Madame. — Tu vas la filmer chaque fois qu'elle fera un travail différent. Tu filmes ce qui est intéressant. Il faut que Meadow la punisse de façon variée, comme on a fait avec elle au début. Grand sourire de cette garce de paysanne de Meadow. Madame Stone poursuit : — Mettez-vous d'accord et si le film est bon, Meadow deviendra une servante et toi, Lizza, première fille. Prends cette caméra et allez-y... Les filles font une révérence et Meadow me prend par le bras. On va dans une petite pièce qui doit servir de vestiaire. Lizza commence à filmer tandis que Meadow enlève sa robe tablier. Elle me la tend en disant : — Mets ça Je la prends, mais elle me donne une gifle en disant : — Là, tu dis merci en faisant une révérence. Je le fais en disant : — Merci Mademoiselle. Elle a de la force, cette garce, elle a dû travailler dans les champs depuis ses 6 ans. Je frotte ma joue qui doit être bien rouge. La robe tablier qu'elle me donne se boutonne devant. Sur le dos, il est écrit « NETTOYAGE » en lettre rouge. Elle pue la transpiration. On finit toujours par payer... Enfin, pas tout le monde, mais moi, oui. Je me suis amusée à punir des esclaves, le Seigneur me le fait payer... cher. Peut-on imaginer plus grande dégringolade sociale que passer de Première Dame des États-Unis à esclave de Meadow ? Meadow enfile l'uniforme noir des servantes avec le tablier blanc. Lizza lui dit : — On commence par quoi ? Qu'est-ce qui est le pire ? — Les toilettes du personnel. — OK. Je les suis dans mon uniforme puant... On va dans un petit local et Meadow me donne une raclette, une brosse dure, un seau, une serpillière, du liquide de nettoyage et de l'eau de javel. Pas de gants en caoutchouc, bien sûr : une esclave doit nettoyer les chiottes à mains nues. Quand j'ai tout le matériel dans les mains, Lizza me filme tandis que je suis péniblement Meadow... On doit s'approcher des toilettes du personnel parce que ça commence à puer. Lizza lui dit : — Ça fait au moins une semaine que tu ne les as pas nettoyées. — Madame Stone m'a dit... — Parle pas devant la fille, Meadow. — Oui, pardon. Avant de commencer ma punition – non, mon chemin de croix – je suis bien consciente que tout ça n'arrive pas par hasard. Le fait qu'on a dit à Meadow de laisser les toilettes dans cet état renforce l'idée que mon acheteur savait très bien qu'il allait faire mon acquisition, même avant la fuite de mon couard de mari. Je suppose que tous ici, ils savent très bien qui je suis. Le film en est la preuve, je suis certaine qu'on ne filme pas les autres filles lors de leurs débuts. J'espère juste qu'après m'avoir bien punie et humiliée, ils me feront rencontrer des gens qui ont envie de s'envoyer la femme de l'ex-Président des États-Unis. Je vais serrer les dents, en attendant Summer. Les toilettes sont comme prévu : dégueulasses. Il y a deux urinoirs et deux w.c. Meadow me dit : — Remplis ton seau, mets du liquide de nettoyage, ensuite récure le sol avec la brosse. Quand c'est fait, je mets à genoux dans la vieille pisse et je récure le sol. Lizza me filme pendant un moment. Quand elle s'arrête, les filles discutent des autres servantes et de moi. Elle parle de ce qu'elles vont me faire... comme si je n'étais pas là. Hélas, je suis là et je frotte le sol dégoûtant. Puis je rince bien à l'eau et, avec la raclette, je fais tout partir vers une petite grille dans le sol. Lizza dit : — Vérifie si c'est propre, Meadow, je filme. Les mains derrière le dos, Meadow inspecte. Oh ! qu'elle se sent importante tout à coup, la sale petite péquenaude ! Du bout du pied, elle montre une trace sur le sol, en disant : — Et ça, cochonne ? Lèche. Je vais lécher entre ses pieds, mais je n'ai qu'un goût de produit de nettoyage dans la bouche. Ensuite, toujours du bout du pied, elle me fait lécher ici ou là, au gré de sa fantaisie.... Au pied d'un urinoir, il y a une saloperie de croûte qui n'est pas partie. Là, elle prend son pied en me faisant lécher et même gratter avec les dents une croûte qui a un horrible goût de pisse.  Lizza me demande : — Tu veux te rincer la bouche ? — Oui Mademoiselle... — Il y a de l'eau dans la cuvette des w.c., vas-y. Un jour, je paierai un tueur pour leur coller une balle dans les genoux. En attendant, elle rigole de me voir laper l'eau dans la cuvette des w.c. Lizza arrête de filmer et je continue mon nettoyage d'autant plus soigneusement que je sais que je devrai lécher ce qui est encore sale. Une heure plus tard, je suis rouge et en nage. Je n'ai jamais aussi bien nettoyé. Les deux filles n'ont pas arrêté de parler et de rire... Maintenant, Lizza reprend la caméra, tandis que Meadow me dit : — Inspection de ton travail, souillon !! Elle repère une ignoble virgule brune sur un mur et je dois la lécher : quelle horreur, je vais tomber malade !! Ensuite elle m'engueule, mais bien : — Tu appelles ça nettoyer ? — Mais... euh... — Tu es sale naturellement ou tu fais ça pour te foutre de nous ? On t'a dit que ces chiottes devaient être impeccables et ce n'est pas le cas. Tu vas être punie. Mets-toi à quatre pattes. Elle prend une bande de cuir assez rigide, longue de 50 cm, puis elle relève l'uniforme sale que je porte et, quand mes fesses sont nues, elle dit : — Tu vas avoir dix coups de strap. Écarte un peu les jambes. Ensuite, tu comptes et tu remercies. Compris ? — Ouiii. J’entends le bruit caractéristique de la bande de cuir qui fend l’air "Ffwwwiiiiii" et : — Aaaïïïeee ! Un, mer... merci. Une bande de feu me traverse les fesses d’une hanche à l’autre. elle dit : — Celui-là ne comptait pas, c’était pour m’exercer. Ensuite elle se met à taper très rapidement, depuis le haut des cuisses jusqu’au haut des fesses. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeee ! Un, merci. Ffwwwiiiiii ! — Ouch ! Deux, merci. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeeeeeee ! Trois, merci. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeee ! Quatre, merciii... Ffwwwiiiiii ! — Aïïïeeeiiii ! Cinq, merci. Ffwwwiiiiii ! — Aïïïïïïïïïeee ! Six, merci. Ffwwwiiiiii ! — Ouch ! Sept, merci.... Elle s’arrête, puis se tourne vers Lizza pour lui expliquer pourquoi : — J’attends un peu pour qu’elle sente encore mieux les derniers coups. Maintenant, ce n’est plus une bande de feu, c’est mon derrière tout entier qui est un brasier. Je pleure en gémissant, tandis que mes fesses continuent à se contracter et à se relâcher spasmodiquement. Elle me demande : — Dorénavant, tu m’obéiras ? — OUI ! Oui, Mademoiselle... — Je te crois. Hélas pour toi, c’est trop amusant de voir ton gros derrière rougir. Attention !  Fffwwwiiiiii... Je crie... Je compte encore trois fois avant qu’elle ne s’arrête. Qui peut se réjouir autant de faire souffrir une esclave ? Une voix me dit « toi ». Mais c’était avant et je ne savais pas que ça faisait si mal ! Si, je le jure... enfin pas "si" mal. *** Je passe une semaine avec ces deux tortionnaires. Elles me font travailler et me filment depuis 7 h du matin jusqu'à 10 h du soir. Elles filment tout, surtout les punitions : les gifles, le fouet sur les fesses, les cuisses, les mollets. Il y a pire : les coups de baguette sur les mains et les doigts. Je ne comprends pas comment je tiens le coup. Enfin si, je n'ai pas le choix. Après 7 jours de cet enfer, exactement au matin du 8e jour, Madame Stone me regarde et claque les doigts, je suppose que c'est pour que je la suive. On prend l'ascenseur de service jusqu'au dernier étage. Madame Stone toque à une porte et une servante vient ouvrir. Elle fait une révérence et dit : — Je vous prie de me suivre, Madame. On va dans une grande pièce et là, je vois... le diable et des démons ! C'est-à-dire les Crasston, les rois du boudin, Madame Wolf et sa nièce Sarah. C'étaient les alliés de mon mari, les sales traîtres, je souhaite que... Rien, j'attends Summer, c'est tout. Madame Cochon me dit : — Quelle bonne surprise : la petite Ashley. Tu fais toujours la tête ? — Non, Madame. — Tu me trouves sympathique, maintenant ? — Oui, Madame. Elle rit puis elle me dit : — Je vais peut-être te prendre à mon service, tu aimerais devenir une de mes servantes ? — Oh oui, Madame ! Je suis comme Meadow : je veux être une servante.  À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 31/03/23
Monsieur fit glisser ses mains le long des hanches de Madame. Elle ne se fit pas prier et se cambra encore plus pour venir frotter ses fesses contre l’entrejambe de Monsieur. Je les voyais entamer cette sorte de danse langoureuse, lascive étant une sorte de spectatrice malheureuse et fortement frustrée. Monsieur tira sur l’anneau au collier de Madame, pour l’embrasser amoureusement et profondément. Elle a mérité sa récompense ? Je pense, elle ne s’est pas plainte, gémi débattue. Je savais qu’elle allait apprécier ce moment avec toi. A ces mots il sortit de petites clefs de sa poche et s’approcha de moi. Fit glisser ses mains le long de mon ventre et me plaqua contre lui, me fixa d’un regard profond et supérieur, rapidement je baissais les yeux, me délectant de son odeur. Pendant ce temps ses mains s’affairaient autour de ma taille et ouvraient ces petits cadenas et finalement laissait tomber cette ceinture au sol. Le frais de la pièce semblait ne se concentrer que sur mon entrejambe, humide, tenue chaude. Ma récompense ? Allait-il me prendre là comme ça, je sentais à nouveau mon bas ventre s’enflammer. Sans que je ne l’aie vu il avait sorti un bandeau et venait de m’aveugler, cela eu le même effet que de jeter de l’huile sur le feu. Et finalement il recula, me laissant totalement offerte, sans défense. Madame était restée de côté, observant, souriant. Dans le silence de la pièce, j’entendais des bruits de tissus, ceinture et je sursautai quand Madame revint me caresser de ses mains latexée. Je ne souhaitai qu’une chose, qu’elle les descende et vienne s’occuper de mon bassin. Mais non, à nouveau elle s’occupait de tout mon corps sauf cette zone. Rapidement je sentais que ses gestes étaient plus saccadés, ondulant. Lorsque je l’entendis soupirer de plaisir je compris, Monsieur la prenait là devant moi, pendant qu’elle me caressait. Les anneaux de ses bracelets et collier tintaient sous les va et viens de Monsieur. Je coulai littéralement, ne souhaitant que quelqu’un vienne me faire jouir. Et finalement, je senti une main glisser sur mes grandes lèvres, elles s’y glissèrent sans souci. Je ne pouvais gémir, ma bouche étant bâillonnée par celle de Madame. Enfin mon sexe était stimulé, et mon corps prenait le même rythme que celui de Madame. Je me retins de gémir quand elle se détacha de moi, tant de sa bouche que de sa main. Mais rapidement je senti sa bouche se poser sur ma chatte et elle semblait s’abreuver de ma mouille et finalement venir me fouiller de sa langue. Je ne pouvais m’empêcher de me cambrer, tirer sur mes chaînes sous le plaisir. Le spectacle devait plaire à Monsieur, car je sentais son rythme s’accélérer. Les coups de langue de Madame, devinrent moins précis et moins soutenu. Et finalement elle s’arrêta, là le nez planté dans mon entrejambe, je sentais son souffle chaud, profond, ses gémissements étouffés en moi. Le bruit de leur corps s’entrechoquant emplissait la pièce, les gémissements de l’un et de l’autre devenaient de plus en plus fort. Et finalement ils jouirent ensemble, là devant moi, me laissant encore plus affamée qu’avant. La bouche de Madame, revint sur ma bouche, son goût avait changé. Je compris rapidement que je goûtai ma mouille, la sensation était très bizarre. Vient, on va la laisser se remettre de ses émotions. Je lui réserve encore une surprise. Aucuns autres mots ne furent échangés, un simple dernier smack sur mes lèvres et une main glissant le long d’un de mes seins en s’éloignant. Les bruits de pas s’éloignaient, me voilà à nouveau seule, dans le noir, nue. Je voulais jouir moi aussi, être prise, m’abandonner à ce plaisir. Mais à nouveau je me retrouvai privée de ce plaisir, quand j’ai accepté d’être soumise, je ne pensais pas que le plus dur serait cette privation.
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Par : le 30/03/23
Une trainée d'étoiles.. De pourpre et de mauve Il dessine sur sa peau, le chemin jusqu'au ciel. De son pinceau, il recréait le monde et ses couleurs, de nuances et de chaleurs.. Sous ses doigts, la belle se dévoue. Et s'oublie. Son corps se cambre, lutte contre les chaînes invisible qui le retienne, fuyant ce qu'il ne peux fuir. Et retombe sur les draps. Frissonnant. Brûlant d'envie d'appartenir à ce peintre Qui fait de sa peau, sa plus belle esquisse.
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Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
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Par : le 29/03/23
Il nous est à tous arrivé de faire des rencontres plus ou moins intéressantes ou insignifiantes.   Malgré un bon feeling, on se rend compte qu’autour d’un verre que le virtuel était trop souvent exagéré, et que lorsqu’il faut passer à la partie réelle, très ou trop peu de répondant. Un fantasme à assouvir, sûrement…   Bref, je vais vous parler d’une rencontre que j’ai faite il y a quelques temps, mais qui m’a marquée…   Nous avons échangé longuement sur un autre site Bdsm, avant de faire l’échange classique de téléphone et d’échanger sur une autre plateforme plus conviviale. Elle était relativement débutante, n’avait eu que deux dominants jusqu'à présent, le premier n’y connaissant visiblement rien à notre art, et souhaitant assouvir un grand nombre de ses fantasmes, le second un peu plus expérimenté, mais qui s’est rapidement lassé, il voulait se faire deux – trois séances sans prendre en compte les besoins de la soumise et ses envies. C’est ainsi. Tant mieux pour moi, sinon nous ne nous serions jamais rencontrés.   Donc, nous avons échangé longuement avant de nous rencontrer. Nous avions chacun des occupations et des plannings respectifs chargés, mais savions que nous allions nous rencontrer et que cette rencontre serait terrible. Nous savions exactement ce que nous voulions tous les deux. Nous étions prêts. C’était écrit, ça se « sent » ces choses-là.   Puis ce jour est arrivé. Pas comme nous l’imaginions. Nous avons parlé d’hôtel, de journée tous les deux, de fantasmes que nous allions réaliser…. La date était même fixée et se rapprochait à grands pas. Et lors de nos échanges quotidiens, en milieu d’après-midi je lui dis que je serai dans sa commune vers 17h et elle me dit qu’elle souhaite me voir, n’ayant personne à son domicile. J’ai malheureusement très peu de temps disponible, 1/2h à 40 minutes max, et lui ai dit que ce serait dommage de ne se voir que ce temps, et que nous serions frustrés. Elle a insisté. J’ai cédé.   Vers 17h j’étais devant son immeuble. Elle est descendue dès que je lui ai écrit « je suis là ». Ce fut très rapide. La porte s’est ouverte, elle était sublime. En mini-jupe, bas noirs, talons et haut décollette, en retenant bien mes envies que nous avions évoquées lors de nos échanges. Je l’ai suivi jusqu’à son appartement, au premier. Au milieu de l’escalier, je lui ai demandé de s’arrêter, écarter ses jambes et de soulever sa jupe. J’ai souris quand j’ai vu qu’elle portait un plug.   Nous sommes rentrés dans son appartement, et nous sommes embrassés comme des adolescents. Nos langues se sont fouillées, ont goûté, mes mains également, elle était chaude, humide, prête.   Elle savait que j’allais la fesser. Elle s’est cambrée sur le canapé, prête à recevoir. Je n’avais que mes mains et ma ceinture. Rapidement ses fesses ont marquées. Les premiers doigts apparaissaient sur ces fesses, ce fut sublime. Lui laisser la trace de mes mains, quel honneur, quel plaisir. J’ai enlevé ma ceinture, l’ai pliée en deux, et ai continué à la caresser. Son cul fut magnifique, le haut de ses cuisses le devinrent. Heureusement qu’elle colorait rapidement, le temps fut court…. Je n’ai eu le temps de m’occuper de ses seins. Je les ai pincé, malaxé, serré, mais le plaisir s’arrêta rapidement. Elle mouillait, énormément. Excitée par cette rencontre non prévue, nous étions tous les deux excités comme de la braise.   Sa langue délicieuse se promena sur mon corps, sur mon sexe, dans mon cul, sur mes pieds. Elle était à sa place, avait compris que la soumission était son plaisir et que c’est ainsi qu’elle voulait et aimait vivre sa sexualité.   Nous avons baisé. Il n’y a pas d’autre terme. Rapidement. Comme des animaux. Nous avons joui, tous les deux. C’était intense, rapide, fort, formidable. Nous avions sans cesse le regard sur cette montre qui avançait, rapidement, trop rapidement. Nous avons dû nous quitter. Mais que c’était bien, cette première rencontre, complètement improvisée.   Quel pied. Nous nous sommes vu de nombreuses fois par la suite, des journées entières, des soirées, pour une vraie relation D/s, comme nous l’entendons tous. Mais cette première rencontre, nous en avons parlé souvent. C’est important une première rencontre. Celle-ci n’était pas insignifiante. Et aujourd’hui encore, même si nous ne sommes plus en relation D/s, lorsque nous échangeons, nous avons toujours tous les deux une pensée pour cette première rencontre.      
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Par : le 28/03/23
Cela fait maintenant plus d'un an que nous sommes en relation D/s.  Notre relation se passe super bien. Nous naviguons de plus en plus dans nos envies BDSM.  Et justement, il y a quelques temps je t'avais fait pars d'un fantasme. Après une discussion. Tu m'as dit que tu allais y réfléchir.  Plusieurs semaines passe. J'en n'oublies cette discussion.   Nous sommes vendredi. J'arrive après toi du travail. Comme à ton habitude, tu es devant ton ordinateur  Je viens t'embrasser. Puis je vais rejoindre la chambre pour m'habiller plus confortablement.  En y arrivant je trouve sur le lit un harnais et un plug avec une queue. Ils sont accompagnés d'un mot qui dit " lave toi, habille toi simplement de ça et viens me rejoindre à 4 patte dans la salon" Je vais alors sous la douche me préparer. Je commence doucement à imaginer ce qu'il a préparé. Je sens l'excitation monter. Mais aussi une petite inquiétude. Une fois harnachée, je rejoins Monsieur à 4 patte.  Je me place devant lui et lui dit " qu'à tu en tête". Pour toute réponse, il me dit,  -Normalement, les chiennes ne parlent pas" Pour lui répondre alors j'abois. Alors il me félicite: - Ah voilà une bonne chienne." En disant ses mots, il accroche la laisse à mon collier. Il se lève et se dirige vers la porte. Il l'ouvre, alors je m'arrête net et je refuse de bouger.  Donc mon Monsieur se met à genoux et me rassure, - ne t'inquiètes pas j'ai regardé il n'y à personne et j'ai dans la voiture une couverture personne ne te verra" je le suis tout en étant sur mes gardes.  Je monte en voiture met la couverture sur moi et c'est parti.  Nous roulons pendant une vingtaine de minutes je ne reconnais pas la route et évidemment Monsieur ne m'a pas dit où on va. Il s'arrête devant une grande maison, l'extérieur est tout en pierre.  Nous sommes en pleine campagne, il n'y a pas de maison autour.  J'attend que Monsieur m'ouvre la porte et m'autorise à sortir. Je sort alors sans trop de craintes de la voiture. Je marche à 4 patte derrière Monsieur qui me tient par la laisse, nous arrivons devant la porte.  Il se baisse et me dit " soit une gentille fille et tu seras récompensé".  Je ne comprends pas trop ce qui se passe mais pour toute réponse j'abois. Content, il se lève et toc à la porte. Une dame nous ouvre, je ne l'a connais pas. Elle est grande, elle a des jolies formes mise en valeur dans sa robe moulante. "Bonjour, Monsieur. Je suis heureuse de vous voir" - Merci à vous de nous accueillir. Puis elle baisse les yeux et me regarde. - C'est donc elle votre petit chienne - Oui, Lady dit bonjour à Madame. Alors, j'abois tout en bougeant la queue.  - Elle a l'air bien gentille. Je vous en pris entrés.  L'intérieur est très propre et luxueux. La seule chose qui dénote se sont les jouets pour chien qui traine. Mais aucun signe de chien.  Ils s'installent sur le canapé et discute. Moi je reste à côté de Monsieur sur le sol en position assise du chien.  Au bous d'un moment, madame dit " il serait peut être temps de les faire rencontrer, vous êtes là un peu pour ça" - Effectivement, c'est quand tu veux - on peut l'enmener les voir. Tu vas voir, ils sont très exciter.  Il avait interdiction de faire quoi que se soit pendant 2 semaines,j e peux te dire qu'ils ont très très faim - Je suis sur que Lady va en être très contente. Monsieur prend alors ma laisse. Je les suis vers une porte au fond du salon. Madame rentre en première. On entend qu'elle donne l'ordre de s'assoir et de pas bouger. Nous rentrons dans la pièce, il y a deux hommes assient de la même manière que des chiens qui nous regarde. Ils portent tous deux un collier et un plug. Dans la pièce il y a des jouets pour chien et deux fauteuils. Monsieur m'ordonne de m'asseoir. Je ne bronche pas et j'obéis. Puis il détache ma laisse. Il s'éloigne de moi, par réflexe moi je le suis. Mais il se retourne et m'ordonne : -assis pas bouger!! J'obéis instantanément. Il va s'assoir sur le fauteuil au côté de Madame. Ils discutent tous les deux sans que je puisse entendre. Je me retrouve fasse à deux homme qui bandent déjà comme des taureaux, leurs sexes m'impressionnent. Je sens qu'ils attendent juste l'ordre de me sauter dessus.  Je me sens vulnérables face à eux.  Je le fais sortir de les pensées par les mot de Madame: - allez y. A ces mot, ils foncent sur moi. Je me met direct en mode défensive prête à répondre.  Soudain mon Monsieur voit que je suis tendu.  D'un voix résultante et ferme il dit " Lady gentille" C'est mot me font un électrochoc, je me calme tout de suite et je les laisse venir à moi. Ils viennent tous deux derrière moi. Il me renifle les fesses et la chatte. L'un d'eux en profite pour mettre un coup de langue.  Il me fait avoir un soupir de bien être. Alors il continue. Je me cambre pour qu'il est un bon accès. Il lèche avec soin les petits lèvres, les lèvres et le clitoris. Je gémi alors de bonheur. L'autre me mord de jalousie. Je pigne de douleur comme le ferait une chienne.  Il profite que ma bouche soit ouverte pour y glisser son pénis. Il gémi de plaisir sous ma langue et mes lèvres. Il fait des vas et viens plus ou moin rapide. Il se préoccupe que de son plaisir.  Moi je pense à rien d'autre à pars à la langue qui me faire gémir. Ses coups de langue s'arrêtent. Puis son pénis se présenta à l'entrée de mon sexe. M'étant fin aux préliminaires. Il rentra en moi sans aucune difficulté tout en gémissant tel un animal. Il me besogne sans se préoccuper de mon plaisir.  Son ami lui continue à me baisser la bouche. Pour celui qui est dans ma chatte, il lui faut peu de temps pour jouir.  Le deuxième, en profite alors pour venir en moi. La plaisir prodiguer par ma bouche aura bien fait son travail car en 5 coups de bassin il finit par venir. Moi je reste frustrer et sur ma fin, je n'ai pas pu jouir.   J'entends au loin madame dire à mon Monsieur. -Voilà avec un peu de chance on va pouvoir avoir des petit chiot. Je vais aller rentrer mes chiens. Et je reviens." Mon Monsieur vient vers moi. Il me carresse en me disant "Tu as été une bonne chienne, Lady je suis fière de toi en rentrant t'aura le droit à une récompense" Il me met la laisse.  Madame revient vers nous - Voilà mes chiens coucher. Voulez vous prendre un verre?" - Je vous remercie mais nous allons rentrer. Je vous remercie pour tous cela Elle lui répond - c'est moi qui vous remercie d'être venu. Mes deux puppy ont pu bien se défouler sur ta jolie chienne. Elle me fait une petite carresse sur la tête   Nous voilà de retour à la maison. Mon Monsieur m'enlève alors ma laisse et je retrouve mon statut d'être humain.  Je vais prendre ma douche, je viens dans la chambre. Je lui demande l'autorisation pour monter dans le lit. Une fois donner, je viens me blottir contre lui. Il me carresse la tête tout en regardant notre séries. Je m'endorme alors dans ses bras.      
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Par : le 28/03/23
Après mes premières expériences avec Alex (voir chroniques précédentes), tant sexuelles que musicales, j'ai pas mal bourlingué à droite et à gauche, fait de nouvelles rencontres qui n'ont malheureusement que peu d'intérêt, tant musicalement que sexuellement.  Mais avant de parler de l'expérience la plus profonde (😏) que j'ai pu avoir avec l'un de mes complices musiciens, il y en a quand même une qui vaut la peine d'être couchée sur le papier.  Après avoir quitté mon groupe que j'avais avec Alex, alors même que nous avions fait pas mal de concerts dans la région rouennaise, me voilà à la recherche de partenaires musicaux. Je traine sur différents sites jusqu'à voir une annonce qui m'interpelle. Deux frères et leur père ont monté un groupe et cherchent un bassiste pour reprendre du rock des années 60-70. Je discute avec l'un d'eux et nous nous donnons rendez-vous dans l'une salle de répétition. L'un, Romain, est guitariste. L'autre, Hugo, est pianiste. Jean-Pierre, leur père, est à la batterie. Le feeling passe assez bien avec les 3 et la répétition se passe pour le mieux. A l'issue de nos 2h de jeu, nous allons boire un verre histoire de debriefer et voir si nous continuons. Le moment est agréable. Après 2 ou 3 verres, le père s'en va, il doit rentrer chez lui pour une réunion de travail. Les deux frères et moi décidons de rentrer également. Sur le chemin du retour, nous habitons dans a quelques centaines de mètres de la salle et les unes des autres, je sens comme une tension monter. Hugo se laisse aller de plus en plus à des allusions sexuelles, Romain lui s'en donne à cœur joie de raconter certains exploits avec sa copine.  Au bout de 15 minutes, nous voilà arrivés devant chez Hugo, Il nous propose de monter continuer la discussion. Étant fatigués, Romain et moi déclinons l'invitation et rentrons.  Quelques jours passèrent pendant lesquelles nous discutons avec Hugo et Romain. A ce moment je logeais dans une chambre étudiante chez des personnes âgées. Je n'avais donc pas le loisir de jouer de la musique autant que je voulais. J'en avais parlé à Hugo qui m'avait alors proposé plusieurs fois de passer chez lui pour qu'on joue ensemble. Un soir, alors que je m'ennuyais sévèrement, je décide de lui envoyer un message.  *Ah, enfin! Viens !* me dit-il.  Arrivé devant chez lui, il est aux alentours de 20h30, je sonne et le vois descendre en débardeur et short. A ce moment, il me sourit et m'embrasse. Cela me trouble car nous nous étions toujours serrés la main. Là, l'accolade et franchement amicale mais le baiser est très proche de la bouche.  Bref je ne dis rien, lui rend son embrassade et le suis. Son short épouse parfaitement ses fesses et cela me donne très envie. Mais je réfrène ma pulsion, le pensant hétérosexuel.  Il m'offre une bière, me dit de me mettre à l'aise et nous discutons un peu avant de jouer à bas volume pour ne pas déranger les voisins. Au bout d'un moment, nous nous mettons sur son canapé et nous discutons principalement de nos expériences musicales. Inévitablement, quand je parle d'Alex, il comprends ce qui a pu se passer entre nous et me raconte une histoire avec une de ses amies musicienne, devenue l'un de ses plans cul. J'apprends qu'elle l'a initié aux plaisir de la pénétration et qu'il adore ça.  De fil en aiguille, me voilà très proche de lui. Soudain, il me saute dessus et l'embrasse fougueusement. Son corps est parcouru de frissons, je le sens se tendre à mesure que mes mains descendent vers ses fesses.  Après quelques minutes, il me retire mon t-shirt et se met à lécher mes tétons. J'adore cette sensation d'autant qu'il les mordille de temps en temps. Je commence à gémir et le voilà qu'il débouche ma ceinture et ouvre ma braguette pour accéder à mon sexe.  N'ayant rien envisagé de tel, j'ai mis un caleçon. Peu importe, le voila qu'il se met à m'embrasser et lécher le sexe à travers le caleçon. A genoux devant moi, il me soulève les fesses pour me retirer mes vêtements et commencer à me sucer avec talent. Ses mouvements sont lents et sensuels. Je replie les jambes pour lui offrir une vue sur mes testicules et mon cul. Il comprends le message de se met à me lécher furieusement l'anus. J'adore tellement cette sensation ! Je suis aux anges tandis qu'il remonte vers mon sexe bouillonnant.  ne voulant pas le laisser ainsi, je le fais revenir sur le canapé pour pouvoir m'occuper de son sexe. Celui-ci est assez massif, courbé au niveau du gland a peine décalotté malgré une belle érection. Il passe sa jambe par dessus ma tête pour que nous nous fassions plaisir mutuellement.  Imaginez la scène, je suis affalé, à peine assis sur le canapé, je le suce pendant qu'il me suce, la tête vers sa table basse. Au bout d'un moment, alors que je lui caresse les fesses avec vigueur, je le sens descendre son bassin pour que je m'occupe de son anus. Avec un plaisir non dissimulé, je le lèche aussi profondément que possible. Il gémit fortement alors que je commence à enfoncer un doigt puis deux. Alors que j'atteins sa prostate, il gémit davantage et je sens un liquide chaud couler sur mon torse. Je continue mon travail car il semble en vouloir plus. Après un 3e doigt, le voilà qu'il ejacule à nouveau, mais cette fois dans ma bouche car j'avais prévu le coup et avais remonté son bassin au bon moment. Juste après, il se remet à genoux pour me terminer. Il descend vers mon anus et se met à me lécher et enfoncer ses doigts de plus en plus loin. Alors que le plaisir est à son comble, je perds le compte des doigts en moi, 3 ou 4? Peu importe car il continue à me titiller la prostate jusqu'à la jouissance. Elle fut fabuleuse et il n'en gâcha pas une goute.  Alors que sa besogne est achevée, il remonte vers mon visage, en léchant au passage son propre sperme étalé sur mon torse.  Après une dernière embrassade, je file à la douche. Quand je reviens, il a ouvert s'endort peu à peu sur le canapé . Je place un plaid sur lui, j'entends un "merci, merci pour tout. Rentres bien!" Me voilà donc de retour dans ma chambre de bonne, fatigué mais comblé.  La fin de l'histoire est moins excitante. Après une répétition supplémentaire, les deux frères se disputent et décident d'arrêter le groupe. Hugo déménageât peu après pour s'installer avec son plan cul.  Je ne les ai jamais revu, malheureusement mais c'est ainsi.   
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Par : le 27/03/23
L’ordre venait de Madame, son doigt pointait ses bottes, plus précisément l’extrémité de cette-ci. Me voilà à quatre pattes, devant lécher et embrasser les bottes d’une inconnue, à nouveau mon entrejambe s’enflammait. Oui, Madame. Je n’entendis qu’un rire comme réponse, puis ils semblaient m’ignorer et parler d’autre sujet. Je m’évertuais à couvrir ses bottes de mes baisers, du dessus du pied, jusqu’au haut de la botte au mollet. C’était de magnifiques bottes, en véritable cuir, l’odeur de celui-ci chauffé par Madame commençait à me remplir les narines, je découvrais et aimais de plus en plus cette odeur, prenant un plaisir à inspirer fortement. Je dû me glisser sous la table pour atteindre les 2 facilement, ne laissant que mon cul offert à l’air libre. Je sentais et voyais cette chaîne pendre et devais trouver un moyen de ne pas m’y emmêler. D’un coup un piqûre et griffure de mes fesses jusqu’à mon dos, heureusement que je ne suis pas relever d’un coup sec, mais ce n’était pas loin. Bien, tu te débrouille très bien avec ta langue. Va t’occuper de celle de ton Maître. Je rougissais d’une telle remarque et me tournais pour me retrouver aux pieds de Monsieur. Ses chaussures étaient plus petites bien évidemment, mais moins pratique avec ses lacets. La chaîne passait sous mon torse et venait par moment frapper contre mes seins, elle était froide et ce contact me surprenait à chaque fois. Je m’associait de plus en plus à une chienne, aux pieds de ses Maître, juste là pour obéir et cette pensée m’excitait encore plus. Apparemment leur repas était fini, car ils jouaient plus de la fourchette sur moi que dans leurs assiettes, tout en éclatant de rire en me voyant me trémousser. La chaîne fût tirée en arrière et décrochée de mon collier, Monsieur prit la parole. Débarrasse et mange ton repas. Quand tout sera propre tu m’attendras en position en bas des escaliers. Quant à nous, nous avons quelque chose à faire. Et ils partirent à l’intérieur, m’ignorant totalement. Rapidement je ramassais les assiettes, il faudra encore que je vienne nettoyer la table. Je rentrais, mangeais et m’occupais de la vaisselle. Impossible de savoir quand Monsieur allait redescendre, mais je pense que si je ne suis pas en bas de l’escalier cela ne lui conviendra pas. La cuisine est propre, la terrasse et sa table aussi. Direction le bas de l’escalier et me mettre en position. Et l’attente, une attente qui me semble interminable, n’ayant aucun moyen de voir le temps passer. Par moment j’entends des rires et son de discussion, puis enfin des pas dans le couloir et Monsieur apparaissant en haut. Dans sa main une laisse, où allait-il m’amener ? Accrochée à mon collier il tira dessus, je me mis debout, toujours bras croisé dans le dos et nous descendons à la cave. Endroit que je n’avais visité qu’aveuglée. Nous descendons les escaliers et arrivons vers cette cellule, elle me semblait plus grande quand j’étais aveuglée. La porte s’ouvre et plutôt que de me pousser dedans, il rentre avec moi et accroche chacun de mes bracelets à un anneau dédié. Me voilà totalement vulnérable, offerte à lui. Il me prend la tête entre ses mains, m’embrasse le front et me regarde dans les yeux. Tout va bien ? Sache que tu es impressionnante. Oui Monsieur, un peu surprise de l’arrivée de Madame. Merci pour le compliment. Il sourit, m’embrasse à nouveau et sa main descend vers mon entrejambe. Je n’avais même pas cherché à me toucher depuis qu’il me l’avait installée. Il semblait satisfait et je n’avais rien sentit, si ce n’est une pression. La porte se referma, seule une lumière sur moi restait allumée et lui remontait tranquillement les marches.
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Par : le 26/03/23
Monsieur S. ouvre la porte et laisse passer son invité, quoi son invitée ! Je me sens honteuse, presque mal à l’aise de me retrouver ainsi face à une femme. Etrangement je ne saurais dire pourquoi, face à 6 hommes cela ne me dérangeait pas, mais là face à cette femme ce n’était pas la même chose. Elle rentrait, de magnifique botte en cuir mat, lui tenaient ses mollets, une jupe crayon ne laissait que ses genoux visible et manifestement des collant ou bas couleur chair les recouvrait. Je tentais de regarder plus haut, une chemise blanche, un veston, veston visible quand elle enleva son trench, le profil d’une magnifique secrétaire, surtout avec ses lunettes encadrées par sa chevelure couleur châtain. Oh je vois que tu en as trouvé une nouvelle. Elle te plaît ? Ecoute jusqu’à présent je n’ai rien eu à redire. Reste à voir si elle sait obéir en mon absence. Ils discutaient, comme si je n’était pas là, même si elle me regardait d’une étrange façon, avec son petit sourire. Un sourire entre le soulagement de me voir et l’envie de me rencontrer. Je ne savais comment le prendre. Leur sac et veste furent posé au sol, sans qu’ils s’en soucient. Ils passèrent à mes côtés, sans un regard, me toucher, je n’étais apparemment qu’un meuble pour eux. Quand ils eurent atteint l’autre côté de la pièce Monsieur S. s’adressa de loin à moi. Tu sais ce qu’il te reste à faire. Et nous mangerons dehors. Bien Monsieur. Je me surpris à répondre aussi rapidement et fort, malgré une matinée seule, cette réponse était devenue une habitude. J’entendais la femme rire et parler avec Monsieur. Ce que j’avais à faire ? Surement ranger leurs affaires abandonnées dans le vestiaire. Les vestes suspendues, le magnifique sac à main de luxe de la femme, posé soigneusement sur une commode, tout comme ce dossier qu’elle portait. Rapidement, je me dirigeais vers la cuisine, les plats n’était pas froid et pas brûlant parfait. Cela me faisait étrange d’entendre mes talons claquer ainsi, ça ne me ressemblait pas, mais m’excitait toujours autant. Je sors avec les assiettes, les déposes devant eux. Reste ! A genoux ! Oui Monsieur. Impressionnant, elle est obéissante comme ça depuis le début ? Oui, même si elle oublie de répondre intelligiblement parfois, cela va en diminuant. J’espère que c’est la bonne et qu’elle voudra rester. Je peux ? Oui bien sûr. Plusieurs information se bousculaient dans ma tête, c’était la 2ème fois qu’on disait de moi que j’était peut-être la bonne, mais rester, où, quand, comment ? J’avais ma vie à côté moi. Et elle peut ? Manger, même elle serait soumise ? Pendant que je me questionnais, je ne l’avais pas vu prendre une chaîne accrochée à la cage. Mon collier fût tiré en avant et accroché, mais pas par la main de Monsieur, par celle de la femme. Elle n’était pas soumise apparemment. Jusqu’à nouvel ordre, tu obéiras à Madame également, tout comme si c’était moi qui te parle. Bi.. bien Monsieur J’étais hésitante, me voilà soumise à une femme, sensation nouvelle, étrange, excitante. Je sentais le regard de Madame sur moi, comme un feu de désire m’observer. La chaîne fut tirée, me projetant en avant. Occupe-t-en !
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Par : le 26/03/23
Être un peu objet sexuel à la merci des dominants hommes ou femmes est un fantasme qui est devenu réalité ce jour. Je suis entièrement nu dans cette pièce, le dos au mur à coté de trois personnes dans la même tenue. Une maitresse arrive pour nous poser un collier et une laisse et nous emmener vers le public devant lesquels nous devons nous agenouiller. Essentiellement des hommes venus pour se vider les couilles. Certains en habits de ville, d’autres déjà à moitié nus. La règle est simple : esclaves sexuels nous pouvons être enculé à souhait et devons servir de bouche sans aucune retenue. Le port du collier marque notre soumission totale. Toute plainte de l’un des « clients » sera immédiatement punie par le fouet Et pour bien montrer qu’elle ne rigole pas , la Maitresse qui orchestre le tout m’attrape brutalement par le collier , me fait m’incliner sur un dossier de chaise et m’applique quelques coups de fouet bien cinglants.   « Au  travail » Nous voici cote à cote, à 4 pattes le cul et la bouche offerts. Je suis immédiatement pris sans ménagement au gode ceinture et prié de creuser davantage les reins pour faciliter la pénétration. Je n’aime pas trop ce genre d’exercice mais puisque j’ai accepté d’être un « objet sexuel » , je dois me laisser faire . Je n’ai strictement rien à dire. Assez rapidement on me tire par les cheveux pour me faire lever la tète et absorber la  bite du mec qui s’est agenouillé devant moi pour être à la bonne hauteur. Malgré les coups de boutoir que je reçois dans le cul, je m’efforce de lécher consciencieusement cette bite qui grossit rapidement dans ma bouche. En alternant gorge profonde et titillement du gland avec la langue, je sens que je l’emmène doucement mais surement au plaisir. J’adore cette sensation.  Mais il ne veut pas , pas encore sans doute et se retire en me repoussant pour garder sa sève pour plus tard.  Ma tête retombe mais mon cul reste pris par l’impitoyable gode qui me tamponne de plus en plus. Et ma cavalière ou mon cavalier me faite remonter le thorax en arrière en tirant sur une chaine subrepticement attachée à mes tétons.  C’est très sadique mais je dois me laisser faire en espérant qu’un autre viendra prendre ma bouche, ce qui heureusement ne tarde pas à arriver . Ma tète est reprise et ma bouche trouve le contact d’une petite queue à travailler qui malgré sa petite taille grossit cependant rapidement, se décalotte et que je peux engloutir, lécher, titiller jusqu’à ce qu’elle explose dans ma bouche et sur mon visage. Le gode qui me tamponnait le cul s’arrête, l’homme qui occupait mon visage se retire et on me relève pour mieux me nettoyer la face. Je reste là, les bras ballants, quelques minutes quand on me prend par le collier « viens là, toi » et me voici installé, jambes écartées, ventre sur une table, une bite qui me remplit le cul .. Une vraie cette fois et je sens la différence avec ce membre fougueux qui me pénètre et me fouille avant de se contracter convulsivement et d’exploser. Un temps de repos pendant lequel d’autres soumis se font joyeusement enculer et me voici reparti dans un autre « jeu ». En 69 avec un autre soumis, nous devons nous sucer jusqu’à provoquer la jouissance de l’autre. Le « gagnant » est celui qui arrive à ne pas jouir, une maitresse s’occupera de lui pour l’amener à satisfaction tandis que l’autre recommencer à sucer des bites avant d’être fouetté d’importance pour n’avoir pas su résister.  Merci Maitresse de cette expérience qui me fait progresser
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