La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/02/23
Avant propos Cet article peut être lu isolément. Cependant, pour en comprendre pleinement le sens, certains éléments de contexte apportés par mes articles précédents sont incontournables. La liste est ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). L'article étant assez long (désolée...), je l'ai découpé en cinq épisodes pour vous permettre, si vous le souhaitez, d'en interrompre la lecture pour la reprendre plus tard. Je vous souhaite une bonne lecture, en espérant qu'elle vous sera plaisante.   ************************************************** --- Episode 1:  Redoutable gravitation   Des barreaux pour seul horizon, des minutes qui semblent des heures, des questions sans réponse, ... J’en ai assez de moisir dans cette cage! Je me suis masturbée jusqu'à épuisement et maintenant je me languis dans le noir. C'est long, très long... J'ai l'impression qu'une bonne partie de la nuit est déjà écoulée. Mais que fait mon Maître?  Il est passé en coup de vent pour me retirer cet objet qu’il m’avait mis dans le cul et relier mon collier à l'un des barreaux par une courte chaîne.  Pourquoi ne m'a-t-il pas baisée?  Pourquoi me laisse-t-il seule, enfermée, au lieu de profiter de mes orifices?  Est-ce que je ne lui plais pas? Est-ce qu'il est en train de baiser Sonia ? Je me console en me disant qu'au moins j'ai eu l’un des plus puissants orgasmes de ma vie dans cette cage. La situation, l'enfermement, l’incertitude, ... C'était trop excitant. Mais maintenant j'en ai marre !!! Mes pensées ne sont pas celles de la soumise dans l'âme que je croyais être. Je me déçois moi-même. J'essaie de me raisonner mais ces pensées de gamine capricieuse me reviennent sans cesse dans la tête. J'ai envie de piquer ma crise et de hurler, d'appeler mon Maître: "Eh, je suis là! J'existe!" Et puis je redeviens rationnelle, avant de sombrer à nouveau dans l'énervement. Un cycle sans fin. Et si j'étais tombée sur un psychopathe ? Est-ce qu'il va me laisser mourir de faim et de soif dans cette cage ? A peine ces pensées m'ont-elles traversé l'esprit que je me sens ridicule, honteuse de les avoir eues. Est-ce qu'il est encore dans la maison? Suis-je totalement seule? Et s'il y avait le feu? Je secoue les barreaux, mais ils ne bougent pas. Ils sont solides et la cage est bien verrouillée. Aucune possibilité d'en sortir, même en y mettant toutes mes forces. J'examine la lourde chaîne reliant mon collier à l'un des barreaux. Il faudrait s'appeler Hercule pour la briser. J'ignore pourquoi mon Maitre a pris autant de précautions. Là c'est sûr que je ne risque pas de m'échapper ! Je me sentais déjà à l'étroit dans cette cage, maintenant la chaîne restreint encore davantage mes possibilités de mouvement. Elle est courte mais extrêmement lourde. Son poids et son inertie rendent chaque mouvement laborieux, pénible, épuisant. Par son intermédiaire, la pesanteur exerce une forte tension sur mon collier, même lorsque je reste tranquille: impossible de me sortir cette sensation désagréable de l'esprit. Impossible d'oublier que je suis esclave à présent. Le mince éclairage lunaire qui filtre à travers les volets me laisse apercevoir une enveloppe. Je la saisis en passant la main à travers les barreaux. "à n'ouvrir qu'en cas d'urgence", est-il écrit. La clé de la cage ? La clé de mon collier ? Les deux ? Je n'en sais rien, mais cette idée me rassure. J'essaie de sentir ce qu'il y a à l'intérieur, mais c'est impossible. Enveloppe à bulles contenant une autre enveloppe à bulles apparemment. Tant pis. Je la remets à sa place. L'ouverture des volets me réveille brutalement. Je m'étais endormie. Comment ais-je pu m'endormir alors que j'étais tellement énervée ? Je n'en ai aucune idée. Dès mon réveil, toutes les sensations désagréables reviennent. Je tente de me redresser un peu et je pousse un cri, surprise par l'énorme masse inertielle de la chaîne, qui se rappelle à mon bon souvenir. Mon Maître s'approche de la cage et m’observe, amusé. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" Il se fiche de moi, visiblement. J'ai bien envie de lui faire part de ma frustration, de mon agacement, de lui dire que je ne supporte plus cette chaîne, mais mon cerveau rationnel me rappelle à l'ordre et je me contente de faire la moue, sans vraiment répondre. Cela le fait rire. "Ouvre la bouche!" Pendant une fraction de seconde je crois comprendre que cela signifie "Répond!", et puis non, il m'ordonne de fermer les yeux et de pencher la tête en arrière. Pas facile de me positionner comme il l'entend avec la chaîne au cou, mais j'y arrive plus ou moins. J'attends ainsi, intriguée, mais rien ne se passe. J'ai l'impression qu'il est parti. La position est difficile à tenir, mais je n'ose pas entrouvrir les yeux pour en avoir le cœur net. Un liquide froid, presque glacé,  me coule sur la langue. Je le bloque avant qu'il s'infiltre dans ma gorge.  C'est inhabituel, mais il ne me faut qu'une fraction de seconde pour reconnaître le goût du sperme.  Sans doute qu'il en a congelé et l'a ressorti pour moi. Quelle idée bizarre. Mais c'est excitant. Le goût est tellement différent quand il est glacé. "Tu peux rouvrir les yeux et refermer la bouche, mais n'avale pas!" J'ai juste le temps d'apercevoir le sourire amusé de mon Maître, avant de m'empresser de baisser les yeux. Baisser les yeux face au Maître. Tellement simple à dire et si compliqué à faire. Il faut y penser tout le temps. Est-ce qu'un jour cela deviendra un réflexe? J’aime quand mon Maître me sourit. Ses dents blanches qui contrastent si joliment avec sa peau noire. Qu’est-ce qu’il est beau ! « Mais bien sûr qu’il est beau, idiote, puisqu’il est ton Maître ! », me dis-je à moi-même.  « La beauté est dans les yeux de celui qui regarde », m’a dit un jour un grand sage. Me voilà seule à nouveau. Vais-je passer toutes mes journées ainsi, seule, en cage? Je dois reprendre le travail mercredi, à l'issue de ce week-end prolongé. Est-ce qu'au moins il me laissera sortir? Moi qui pensais venir ici pour être baisée, fessée, fouettée, ... Je ne m’attendais pas à passer du bon temps, je m'y étais préparée psychologiquement, mais jamais je n'aurais imaginé que mon séjour allait se dérouler ainsi. C'est terriblement frustrant ! J'adore le sperme, mais le garder en bouche pendant une éternité cela finit par devenir vraiment pénible. A mesure qu'il se réchauffe dans ma bouche, le goût change. C'est surprenant. Je me demande quand mon Maître va revenir et m'autoriser à avaler. Il m'en a mis des quantités et j'ai les joues presque gonflées. Initialement excitée par le fait de goûter pour la première fois le sperme de mon Maître, j'ai maintenant de plus en plus de mal à me retenir d'avaler. Voilà Sonia qui entre. "Hello Ysideulte! Nice day, isn't it ?" Elle se fout de ma gueule ou quoi ? C’est de l’humour britannique ? Impossible de lui répondre avec la bouche remplie de sperme, à part "humm, humm". Moi qui rêvais de harceler de questions cette femme que j'admire : entrevoir les coulisses de ses enquêtes, savoir comment elle fait pour se procurer de tels documents compromettants, comprendre d'où elle tire son courage et sa clairvoyance... Mais non, me voilà nue, en cage, la bouche remplie de sperme, sans possibilité de lui parler. Difficile de faire plus frustrant ! Elle ressort presque aussitôt en me faisant un grand sourire. Au moins, elle a l'air d'aller mieux, même si son visage a été salement amoché par les coups de matraque des défenseurs de la démocratie. Elle s’en fiche, on dirait. Quelle femme étrange… --- Episode 2: Une gifle bien méritée   Encore de longues minutes à attendre. Je n'en peux plus. Je crois que je vais finir par avaler, quitte à être punie. Heureusement, voilà enfin mon Maître de retour, et la permission tant attendue d'avaler. Il me demande de lui faire part de mes impressions, ce que je m'empresse de faire. Je lui témoigne l'honneur que j'ai ressenti à pouvoir goûter son sperme. Il s'éloigne. Zut! Il va encore me laisser seule dans ma cage. Tant pis, j'ose demander: "Est-ce que je vais rester longtemps dans la cage, Maître?" Au lieu de me répondre, il déverrouille la chaîne. Oh mon Dieu ! Quelle sensation incroyable d'être soudain débarrassée de cette masse pesante qui était devenue un vrai fardeau, comme si j'avais une tonne suspendue à mon collier. Je me sens légère tout à coup. Mon Maître ouvre la grille et m'ordonne de sortir. Ouf, ça fait du bien, je suis toute ankylosée. Je suis heureuse et soulagée d'être enfin dehors. J'ai le sourire aux lèvres, je m'apprête à dire un grand Merci et... je reçois une gifle magistrale. Je ne l'avais pas vue venir celle-là. Mon Maître me montre la cage du doigt et je m'empresse d'y retourner. C'était sa réponse... Sans doute était-ce nécessaire pour que je prenne conscience de l'insolence de ma question. Il me remet la chaîne, en la raccourcissant. C'est ma punition, certainement, pour avoir été insolente. Mon séjour en cage va être encore plus contraint, plus inconfortable. Je ne vois plus personne de la journée. Au moins, la lumière du jour me permet d'avoir une vague idée de l'écoulement du temps. J'ai une bouteille d'eau à portée de main, atteignable à travers les barreaux, un pot pour mes besoins, mais rien à manger, rien à lire, rien à faire ... C'est long ! C'est humiliant ! L'utilisation du pot est très très compliquée avec si peu de liberté de mouvement. Je fais extrêmement attention car lorsque nous échangions pas mail, mon Maître a de nombreuses fois insisté sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour. Je pensais qu'il voulait parler de mon hygiène intime et j'étais un peu vexée qu'il insiste autant car pour moi c'était une évidence de me présenter propre devant mon Maître. C'est seulement maintenant que je comprends vraiment de quoi il voulait parler. La lumière décroît et je sens que me voilà partie pour passer une nouvelle nuit en cage. Je vais essayer de dormir et de ne pas trop m'énerver cette fois. Je n'avais pas du tout imaginé ma vie de soumise comme ça. Est-ce que cela fait partie de mon dressage? S'agit-il de me faire bien comprendre que ce n'est pas moi qui décide? Mon Maître a dit que je peux mettre fin à cette relation à tout moment. Je n'ai pas de raison de ne pas continuer à lui faire confiance, même si je suis perturbée par l'écart entre ce que j'avais anticipé et ce que je vis. Il suffirait que je l'appelle et que je lui dise que c'est fini, que je veux partir. Mais non, il faut que je tienne bon. Je ne vais pas renoncer maintenant. Ce serait trop bête. Cette enveloppe qui contient très probablement des clés - du moins ais-je envie de le croire - me rassure. Il suffirait que je l'ouvre et... Je me suis endormie tôt cette fois, et facilement, même si je me suis réveillée plusieurs fois dans la nuit à cause de rêves érotiques intenses. Le clitoris en feu à chaque fois. A chaque réveil, les sensations désagréables reviennent, me rappelant brutalement ma condition d'esclave. Et pourtant, cela n'appaise en rien mon excitation sexuelle, bien au contraire. Au moins je peux me masturber pour me soulager. Il ne me l'a pas interdit. Il ne me l'a pas explicitement autorisé non plus. Est-ce que j'aurais dû demander la permission? Le doute m'assaille, mais je ne peux me retenir de crier de plaisir à chaque orgasme. La crainte qu'il m'entende et vienne me mettre une bonne raclée n'y change rien - le plaisir qui m'envahit est trop puissant, irrépressible, animal. Comment se fait-il qu'il ne m'ait pas encore baisée? C'est bizarre quand même. A l'aéroport il m'avait dit que je le faisais bander, et puis maintenant j'ai l'impression de ne lui faire aucun effet. Réveillée par l'ouverture de volets. La présence de mon Maître déclenche des frissons de plaisir qui me parcourent tout le corps, telle la chienne qui retrouve son Maître après une longue absence. C'est étrange, mais je me sens bien, apaisée, comme si l'énervement, la frustration, s'étaient envolés. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" "Oui Maître". Je me rends compte que je souris en lui répondant. Je me sens bien. "Voilà qui est mieux", me dit-il, d'une voix douce. Mieux que quoi? Mieux qu'hier matin sans doute, où mon énervement se lisait certainement sur mon visage. C'est donc comme cela que l'on dresse une chienne? En tout cas, c'est efficace. Je me sens heureuse, à ma place. Il me retire la chaîne. Je crois que c'est une récompense. « Ouvre la bouche ! »  Pas besoin d'explication cette fois. Je ferme les yeux, je penche la tête en arrière, bouche grande ouverte, avide de recevoir la précieuse semence, ... "Quand je reviendrai, je veux te voir en position, prête à accueillir ton Maître dans le cul". Et puis je me retrouve seule, avec le sperme en bouche. Je vois qu'il m'a laissé de quoi me préparer, me lubrifier le cul, me bander les yeux, ...   Je m'empresse de me préparer du mieux possible, n'ayant aucune idée du temps dont je dispose. J'ai tout le matériel à portée de main, mais c'est vraiment difficile de se préparer à la sodomie quand on est en cage. Les possibilités de mouvement sont restreintes. Je fais au mieux. Un semblant de toilette, un semblant de lavement, un rapide passage de rasoir, ... C'est loin d'être parfait, mais difficile de faire mieux dans ces circonstances. J'allais commencer à me lubrifier, et puis, je me ravise. Les multiples mails de mon Maître dans lesquels il insistait lourdement sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour viennent de défiler dans ma tête en accéléré. Je suis terrifiée à l'idée de le décevoir. Je recommence tout en m'appliquant du mieux que je peux: toilette, lavement, rasoir, ... Je me lubrifie copieusement l’anus. Je n’aime pas la sodomie. Je n’ai été enculée qu’une fois dans ma vie et j’ai tellement détesté que je n’ai jamais remis ça. Mais pouvais-je me porter candidate à la soumission et refuser à mon Maître l’accès à l’un de mes orifices ? L’aurait-il accepté ? Peu importe, de toute façon, c’était inenvisageable pour moi : j’ai besoin de cohérence, de logique, sinon je ne comprends plus rien à ma propre démarche. Je me sens un peu agacée à nouveau. "C'est vraiment n'importe quoi", me dis-je. Et dire que je m'étais parfaitement préparée avant de prendre l'avion ! Moi qui pensais être baisée tout de suite à mon arrivée. Je m'étais même examinée à la loupe pour m'assurer qu'aucun poil n'avait échappé au rasoir. La chatte parfaitement lisse, la raie des fesses parfaitement lisse, ... Quel gâchis ! Et pourtant je me sens excitée par la manière dont je suis traitée. Je crois que je perds mes repères. Ou bien suis-je en train de m'en recréer d'autres, plus conformes à mon nouveau statut ? Pas facile de trouver la meilleure position. J'essaie différentes possibilités. Il faut que je m'imagine du point de vue de mon Maître. Quelle position lui faciliterait au mieux l'accès à mon cul, à travers les barreaux? Quelle drôle d'idée quand même de m'enculer ainsi, en cage. Mais ce n'est pas moi qui décide... J'attends encore une éternité, en position, le bandeau sur les yeux... Dommage, si j'avais su j'aurais pris davantage de temps pour me préparer. Tant pis, maintenant il vaut mieux que je reste en position car il peut débarquer d'un moment à l'autre. S'il ne me trouve pas en position, il ne sera vraiment pas content, ça j'en suis sûre. Et Sonia, où est-elle? J'espère qu'elle ne va pas assister à ma sodomie ? Je me suis fermement plaquée le cul contre les barreaux après m’être bien écarté les fesses. Bien centrée, cambrée au maximum. J’ai bloqué mes tibias entre les barreaux du côté, ce qui par la même occasion me maintient bien ouverte. C’est très inconfortable, mais peu importe, la seule chose qui m’occupe l’esprit est que mon Maître y prenne du plaisir. Ma poitrine est plaquée au sol, mes mains tiennent fermement les barreaux. J’espère ainsi pouvoir tenir bon, ne pas trop bouger pendant qu’il s’enfoncera en moi. J’appréhende la sodomie. La seule que j’ai connue m’a laissé un souvenir amer, et je suis saisie d’angoisse quand j’entends mon Maître. Je m’attendais à une pénétration brutale, mais mon Maître y va lentement. Très lentement. « Ouh là ! Il va falloir travailler ce cul » me dit-il. « On est comme dans un étau là dedans. » Puis il accélère la cadence et je mets toutes mes forces en œuvre pour ne pas être projetée en avant sous ses coups de boutoir, tenant les barreaux le plus fermement possible. Mes muscles commençaient à tétaniser quand je l’ai entendu gémir de plaisir. Heureusement car j’aurai difficilement tenu plus longtemps. Je dois avoir les marques des barreaux sur les fesses, tellement j’ai poussé en arrière de toutes mes forces pour rester bien plaquée. Malheureusement, il m’a été impossible de garder tout le sperme en bouche. J’en ai laissé échapper pendant qu’il me sodomisait, j’ai bavé, je crois que j’en ai mis un peu partout mais avec le bandeau je ne peux pas voir… « Tu seras punie », me dit-il. Je remercie mon Maître, après qu’il m’ait autorisée à avaler le peu que j’avais réussi à garder en bouche. Je sais que cela se fait quand on est soumise, mais je n'y ai pas réfléchi :  les remerciements me sont venus spontanément. "La bite, ça se mérite" m'a-t-il écrit à plusieurs reprises lorsque nous échangions par mail. Je crois que je viens de vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.  J'ai tenu bon, je n'ai pas renoncé, malgré l'incertitude, malgré l'inconfort, malgré mes doutes, seule dans ma cage. J'ai mérité la bite. Enfin, je crois que c'est ce qu'il faut comprendre. "Tu es une bonne chienne" me dit-il pendant que je lui nettoie la bite avec ma langue. C'est tout ce qu'il m'a dit. Mais quel compliment !  Qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer par son Maître ! Je n'aime pas être sodomisée, et pourtant, malgré l'inconfort, j'étais au bord de l'extase... Rien de physique, non, tout se passe dans ma tête, et c'est vraiment puissant. Mon cul déteste, mais mon cerveau adore. Je dois être un peu cinglée, me dis-je... --- Episode 3: Visite guidée Après avoir été autorisée à retirer mon bandeau et avoir soigneusement léché le sperme que j'avais laissé échapper, je suis enfin libérée de ma cage. Des douleurs aux articulations et quelques vertiges – j’ai repris trop vite la position debout. Mais rien de grave. C'est bon la liberté ! C'est quand on en a été privée que l'on s'en rend vraiment compte. Mon Maître m'autorise à utiliser les toilettes et la salle de bain. Il me suit et m'observe... Bonjour l’intimité… La douche à l'eau froide n'est pas des plus agréables, mais après presque deux jours en cage, on relativise... De toute façon, les règles sont claires: "pas d'eau chaude pour les chiennes". « J’aime bien tes mamelles », me dit-il, quand je sors de la douche. C’est la première fois qu’il me fait un compliment sur mon anatomie. L’eau était glaciale : j’ai la chair de poule et les tétons hyper saillants. C’est spécial… Mais plutôt joli. Maître accroche une laisse à mon collier et me fait visiter sa maison, puis son jardin. Nue, complètement nue... Heureusement qu'il n'y a pas de vis-à-vis... J’ai une bouffée d’émotions quand il me fait visiter sa chambre. Est-ce que je serai autorisée à partager son lit, une fois dressée ? Ou bien est-ce que je passerai mes nuits en cage ? Je cherche des yeux des affaires appartenant à Sonia, mais je n’en vois pas. Est-ce qu’il l’a baisée ? Je n’en sais toujours rien. Rien de visible. De toute façon, cela ne prouve rien, me dis-je. Elle n’aurait pas forcément laissé traîner sa culotte… Mais je regarde partout à la recherche du moindre détail. Une boucle d’oreille, un mouchoir, une plaquette de pilules, n’importe quoi… « Tu as perdu quelque chose ? » me demande mon Maître, l’air amusé. « Euh, non Maître, j’observe simplement ». La jalousie est un très vilain défaut, surtout quand on est esclave sexuelle… Dans la pièce voisine, un fauteuil d’examen gynéco, avec tout le matériel. Je savais qu’il en avait un, il me l’avait dit. Je m’attendais à être examinée très intimement dès mon arrivée, mais je ne l’ai pas été. Pourquoi ? Mystère. Je pensais qu’examiner le vagin de son esclave était une des premières choses qu’un Maître faisait. "Installe-toi pendant que je vais chercher Sonia. Elle souhaitait voir ton clitoris." Ces paroles me glacent le sang. "Rassure-toi, c'est purement professionnel. Elle ne te touchera pas. Tu comprendras plus tard." Qu'est-ce que c'est que cette histoire? Je n'y comprends rien, mais j'obéis. J'ai à peine le temps de m'installer que mon Maître est de retour, accompagné de Sonia, et je me fais immédiatement engueuler: "Décapuchonne-le correctement! Comment veux-tu qu'elle l'évalue?" "Do you think her clit is well suited for your needs ?" lui demande mon Maître "Perfect! It is far beyond my expectations", dit Sonia en me souriant. "Thank you so much, Ysideulte, and so sorry to have asked you that". Elle ressort aussitôt. J'apprécie la délicatesse qu'elle a eue de ne pas prolonger inutilement mon humiliation. Je m'attendais à ce que mon Maître poursuive mon examen et me mette le spéculum, mais il m'ordonne de redescendre. Je ne sais pas s'il fait exprès de contrarier mes anticipations. C'est très perturbant pour moi qui aime tout planifier. Certaines pièces ne font pas partie de la visite. Peut-être que Sonia a dormi dans l’une d’elles et que je me fais du souci pour rien. « C’est ici que tu seras attachée et fouettée », me dit mon Maître, en me montrant des anneaux au plafond de la cave. « Tu pourras hurler, personne ne t’entendra ». Ces mots me font frémir de crainte et d’excitation à la fois. C’est très désagréable de marcher pieds nus sur les gravillons qui tapissent l’allée, mais je m’efforce de ne pas me plaindre et de marcher à la cadence de mon Maître pour qu'il ne soit pas obligé de tirer sur la laisse. Sur la pelouse ça va mieux. Je me sens fière d’être ainsi promenée en laisse pour une visite guidée. Par chance, il ne me demande pas de marcher à 4 pattes. J’aime cet homme. Malgré mon énervement dans la cage, je sens que j’ai fait le bon choix, que j’ai viscéralement envie d’être sa chienne. Je sens sa bonté intérieure, malgré la manière dont il me traite. "Est-ce que tu étais consciente de ton érection quand Sonia t'a examinée ? J'ai vu ton clitoris gonfler dès que tu l'as décapuchonné.", me demande mon Maître. Non, pas vraiment. J'étais tellement perturbée que j'ai un peu déconnecté de la réalité. C'est que que je tente d'expliquer à mon Maître. "En tout cas, je suis extrêmement fier de toi. Tu lui as montré que tu es une salope, même si c'était involontaire". Alors là ! S'il savait l'effet que ces mots me font ! J’admire une nouvelle fois l’Aston Martin garée au fond du jardin. Je meurs d’envie de la conduire, mais malheureusement mon permis m’a été retiré. --- Episode 4: Plaisir d'un repas partagé Sonia nous rejoint pendant que l’on fait le tour du jardin. J'avais tellement de questions à lui poser et puis je me borne à quelques banalités. J'ignore pourquoi. Suis-je intimidée? Certainement. J'ai honte d'être nue, en laisse, en présence d’une autre femme. Et puis, elle m'impressionne. Un mental d'acier derrière une apparence toute douce. Je le ressens de plus en plus. Elle me fait presque peur parfois. Celui qui la fera plier n’est pas encore né. Elle nous annonce que le déjeuner est servi. Ah bon? Je croyais que c'était moi l'esclave ici. Mais je ne vais pas m'en plaindre. C'est tellement agréable de se faire servir. Je meurs de faim et sans même m'en rendre compte je me jette sur la nourriture, à peine servie. "Tu manges comme une truie ! Où as-tu été éduquée ?" me dit mon Maître, sur un ton proche de l'engueulade. Je me confonds en excuses, ne sachant plus où me mettre. Je viens de me rendre compte du ridicule de mon comportement. Sonia me demande ce que cela me fait de déjeuner nue en présence de deux personnes habillées, ce qui me fait rougir. Elle m'interroge au sujet de mon expérience en cage. Nous échangeons en anglais. Pas facile pour exprimer le fond de ma pensée mais, moi, la grande timide, j'ose m'exprimer. Il faut dire que les félicitations appuyées de mon Maître, pendant que l'on faisait le tour du jardin, m'ont vraiment dopée. Ces deux nuits en cages ont été très dures, mais quelle récompense à la clé! Rien à faire, ma curiosité dépasse ma timidité. Que faisait-elle sur le lieu de cette manifestation? Quel intérêt?  La population est en large majorité favorable aux miliciens et hostile aux manifestants : une bande d’ignorants, anti-vax, anti-science, racistes, fascistes, ... La lie de l’humanité, à en croire les journalistes. Ce n'est pas une vidéo montrant la brutalité des Brigades de Défense de la Démocratie qui y changera quelque chose. Que faisait-elle donc là? Pourquoi prendre le risque de se faire capturer par les défenseurs de la démocratie? Cela n'a aucun sens. Elle était certainement là pour une autre raison, mais laquelle? Et pourquoi s'inquiétait-elle autant de l'état de sa caméra? Il y a des éléments qui m'échappent. Je tente de lui poser quelques questions, mais je comprends vite que je n'en saurai pas plus. Après le dessert, mon Maître pose un petit flacon sur la table et me demande si je sais ce que c'est. Aucune idée... A part une forme un peu originale, je ne vois pas ce que ce flacon représente ni ce qu'il contient. Du verre tout ce qu'il y a de plus classique. A l'intérieur, un liquide transparent, qui a toute l'apparence de l'eau, quoiqu’un peu plus opaque. Sonia place une puissante loupe devant le flacon. Mais je ne vois rien de plus. Ah si! Je viens d'apercevoir deux formes bizarres qui nagent de concert dans le liquide. On dirait qu'ils sont liés l'un à l'autre tellement leurs mouvements sont parfaitement synchrones. Ils ont une tête, on distingue presque un visage très étrange, à la fois doux et inquiétant. Qu'est-ce que c'est que ce truc? C'est Sonia qui me donne l'explication. Un zebralyvox gémellaire, être improbable surgi de la préhistoire. Ils sont toujours par deux mais ne semblent faire qu'un: synchrones alors qu'ils ne sont pas matériellement reliés, incapables de survivre l'un sans l'autre. Intrication quantique? Non, je délire... Je me prends à rêver de ce lien impalpable mais pourtant tellement puissant qui, je l'espère, m'unira un jour à mon Maître. Les premiers spécimens ont été découverts dans la région du Nuvavut, au Canada, lors d'un sondage, dans la calotte glaciaire. Mais l'on a de bonnes raisons de penser que le gisement principal se situait dans le grand glacier de l’île Komsomolets, au Nord de la Sibérie. Comment a-t-elle pu se procurer ce spécimen ? Mystère. J'ose le lui demander mais elle me fait comprendre que cela fait partie des informations qu'elle ne peut pas divulguer. Le zebralyvox gémellaire est le plus remarquable anti-douleur qui soit. Il se fixe sur un faisceau de fibres nerveuses et émet une multitude de filaments pour établir des ponts électriques entre les points d'interruption de la gaine de myéline, prenant par la même occasion le contrôle total de la transmission de l'influx nerveux, qu'il détourne à son profit. L'électricité humaine ou animale lui fournit l'énergie essentielle à son métabolisme. S'il en est privé, il ne peut survivre plus d'une quinzaine de jours, d'où l'importance pour lui de trouver rapidement un hôte. Pendant des millions d’années, il a vécu en parfaite symbiose avec les vertébrés, apaisant leurs souffrances en échange de la précieuse énergie électrique. Puis il a disparu, on ne sait pourquoi. Enfin, pas totalement, puisque quelques spécimens ont traversé les âges, emprisonnés dans les glaces. Comment se fait-il que cette découverte ne soit pas connue du grand public? Ce serait une magnifique alternative pour apaiser les souffrances des malades, sans l'effet assommant, voire toxique, des analgésiques chimiques. Le marché des soins palliatifs est énorme et a explosé en raison de la forte dégradation de la santé de la population que l’on observe depuis quelques années. Ce n'est pas si simple. La Bill&Alvértos Fucking Corporation vise le monopole de la distribution de ce nouvel anti-douleur, m'explique Sonia. Ils sont en train de mettre au point une version génétiquement modifiée, stérile, qu’ils reproduiront dans leurs laboratoires par clonage. Parallèlement, ils cherchent à détruire les spécimens naturels, pour tuer dans l’œuf tout risque de concurrence. Ainsi, la BAFC pourra vendre à prix d'or ce remède miracle contre la douleur. Une magnifique invention de la nature détournée au profit de politiciens et de financiers véreux. Je comprends maintenant les motivations profondes de l'opération militaire massive menée par la Suprême Alliance Démocratique en Sibérie, qui me semblait absurde quand elle a été relatée. Pourquoi un tel déchaînement de violence dans une région qui ne me semblait pas spécialement stratégique ? Pourquoi raser l’île Komsomolets au point de faire fondre une grande partie du glacier sous un déluge ininterrompu de bombes thermobariques ? La Suprême Alliance Démocratique a perdu 53 bombardiers stratégiques dans l’opération, interceptés par les S-500 et les forces aérospatiales ennemies. Pourquoi assumer de telles pertes pour un enjeu qui me semblait dérisoire ? « Mais enfin ! On ne doit reculer devant aucun sacrifice quand il s’agit d’apporter la démocratie aux peuples opprimés. C’est ce qui fait la grandeur de la Suprême Alliance et la noblesse des valeurs que nous défendons », martelaient les journalistes… C’est cela, oui… J’y vois plus clair à présent. Quelle est l’idée de Sonia? Je ne vois pas ce que l'on peut y faire. Révéler l'affaire? Neuf citoyens sur dix n’en croiront pas un mot. Ils se laisseront facilement convaincre que tout cela n'est que « fake news ». Il suffit de lâcher la meute des fact-checkers, avec si besoin le soutien de quelques experts de plateaux, et le tour est joué. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête, mais je comprends qu'elle veut absolument préserver ce spécimen et qu'il lui faut donc un hôte. Visiblement elle pensait à se l’implanter et maintenant elle pense à moi. Mais pourquoi moi? Qu'est-ce que j'ai de spécial? Et si j'accepte, qu'est-ce que je risque? Mon esprit fourmille de questions, mais ma curiosité est brutalement interrompue par mon Maître. "En cage!" Oui, Maître. Je m'empresse d'y aller et de refermer la grille, qui se verrouille automatiquement. Mon Maître a le don de me frustrer comme c'est pas possible. J'avais tellement de questions à poser. C'est bête. C’est énervant. Je suis en train de bouillir intérieurement. Et puis j’explose. Je secoue les barreaux de ma cage, de rage, mais ils ne bougent presque pas. C’est du solide. --- Episode 5: Décision difficile ? ... ou évidence ? Cette fois, je ne reste pas seule bien longtemps. Mon Maître me rejoint et sourit. Je me rends compte que la rage doit se voir sur mon visage et que, bien que je sois totalement nue, je transpire, je dégouline, tellement je me suis acharnée sur les barreaux comme une furie. « Vous, les femelles, vous possédez un organe dont l’unique fonction est de procurer du plaisir. Plus de dix mille terminaisons nerveuses dans un minuscule volume. Imagine l’énergie électrique que le symbiote pourrait récupérer sur ton nerf dorsal. Le paradis pour lui. »  « Et toi en particulier, tu semble exceptionnellement bien dotée, d'après ce que j'ai pu observer », rajoute-t-il en rigolant. Il m'observait donc les nuits passées quand je me masturbais. Comment? Caméra infra-rouge? Entrebâillement de la porte ? La honte... « Tu es intelligente, je suppose que tu as compris. Je te laisse réfléchir, Ysideulte. Appelle-moi quand tu auras décidé. » Tiens, il m’appelle par mon prénom maintenant. Je commençais à penser que je me prénomme « salope ». "S'il vous plait, Maître". Je l'interpelle avant qu'il ne me laisse seule. "Est-ce que Sonia vous a expliqué comment je devrai procéder, si j’accepte ?" "Tu ouvres le flacon et tu verses le contenu très délicatement sur ta chatte. Ne t'inquiète pas, le symbiote trouvera tout seul son chemin. Il a parasité des mammouths, alors ce n’est pas ta peau qui lui fera obstacle. Mais si tu veux lui faciliter la tâche, attends d'être bien excitée et décapuchonne soigneusement ton clitoris en érection". "Et si je perds une goutte et qu’il est dedans?" "C'est un liquide nutritif, légèrement visqueux. Si tu fais attention, tu n’en perdras pas. Et puis je serai à tes côtés pour te surveiller. Je ne tiens pas à rater ça» "Je risque de ne plus avoir d'orgasmes tant qu'il sera en moi ?" "Peut-être. Peut-être pas. Mais est-ce important ? N'es-tu pas esclave sexuelle à présent ?" Je me retrouve seule à nouveau. Cette fois je ne vois pas le temps passer. Les questions, les pensées, me traversent l'esprit dans tous les sens. Peser le pour et le contre. Méditer. C'est ce que voulait mon Maître, certainement. Il aurait pu m'imposer de servir d'hôte. J'aurais obéi. Mais il ne l'a pas fait. Pourquoi? Sans doute parce qu'il estime que ce serait de l'abus de pouvoir. C'est donc à moi de décider... Je sais ce qu’il veut, mais il me laisse le choix. Mes yeux restent fixés sur le flacon, que mon Maître m’a laissé à portée de vue, derrière la loupe. J'observe l'élégant ballet de ce duo impeccablement synchronisé. Il me devient presque familier. Je finis par éprouver une sorte d'affection pour cet être étrange surgi du fond des âges. Si j’accepte, est-ce que je devrai passer les prochains mois, ou peut-être même les prochaines années, avec un passager clandestin dans mon clitoris ? Quel étonnant passager ! Son double visage a presque l'air humain. On a envie de le protéger. Est-ce que je vais souffrir quand il percera ma délicate chair pour se frayer un chemin jusqu’au nerf dorsal de mon clitoris ? Et comment est-ce que l'on me le retirera? Est-ce qu’il ne risque pas de me grignoter peu à peu le clitoris de l’intérieur? L’influx nerveux lui fournit l’énergie, mais il doit bien manger un peu, non ? Il a une bouche – non, deux bouches. Je vais finir par péter les plombs à force de réfléchir. Le temps passe sans que j'arrive à y voir clair. Ma réflexion tourne en rond. Je me fais une liste de questions importantes, que j'essaie de mémoriser. Sonia y répondra. Mon Maître ne peut pas me refuser cela. Et puis je me ravise, je me dis que je ne prends pas le problème par le bon bout. Qu'y-a-t'il de plus important que d'aider Sonia dans sa démarche, quoi qu'elle ait en tête et même si elle ne peut pas me le dire? Qu'y-a-t'il de plus important que de montrer à cet homme - mon Maître - dont je suis en train de tomber éperdument amoureuse que cette relation compte vraiment pour moi, que ses souhaits, même s'ils ne sont pas des ordres, comptent plus que tout pour moi ? Ma liste de questions pratiques semble dérisoire en comparaison. Je suis à nouveau prise d'une folle envie de me masturber. Et si c'était l'un de mes derniers orgasmes? Cette seule pensée me fait hurler de plaisir à peine me suis-je effleurée. Bon sang, il était fort celui-là ! J'éprouve soudain un sentiment de honte en réalisant que Sonia, où qu'elle soit en ce moment dans la maison, m'a certainement entendue hurler de plaisir. Je dois être une sacrée salope à ses yeux... C’est pour cela qu’elle a pensé à moi, sans doute. à suivre...  
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Par : le 05/02/17
Préambule Je déambulais, voici quelques jours dans les sous-terrains de la science. Dans cet environnement de travail, j’étais en quête, sans but précis. Un objectif: Trouver quelque chose qui inspire mon BDSM... Armoires débordantes de reliques scientifiques. L'oeil non averti ne perçoit, ici bas, qu'objets industriels. Mon regard pervers cherche et fouille de mes mains habiles ce vieux laboratoire d’expériences. Docteur hyde cherche par mes yeux, ce qui va attiser mon inspiration lubrique, doper ma perversion, ​de LA voir se plier à mes caprices. Comme cette laisse collier en cuir servant à sangler un deward d'azote liquide ou ce morceau de plexis, qui se transforma en Gode, ou encore.. Ce garde corps transformé en... et puis aussi les pinces.. et encore.. et encore.. Cherche, re-cherche.. les tiroirs s'ouvrent, se referment, mes mains fouillent, se referment, mes yeux observent et mon BDSM trouve!.. Objet, mon bel objet, vintage, mais quel age as tu? tu sembles sortir tout droit du fond des ages, quelle sorte de fonction as tu? Étiquette des années 50 "testeur Haute fréquence" ... Humm... "WARNING! L'alimentation principale de ce testeur doit être branchée sur un fusible à 2 ampères, reliez le rouge à la phase et le noir au neutre. La sonde métallique ne doit pas être touchée par l'opérateur. Indépendamment de la position de la commande du pouce. Comme un léger choc peut être expérimenté" ... Docteur Hyde frissonne. Ce peut il? Il se peut. Un objet subtil et tant mieux. Je ne sais pas, ce que c'est?.. ce que c'est.. J'entends tes cris Linsoumise, J'entends tes cris.. Humm.. Douce perversion.. Mr Hyde ton sang mêlé me donne des visions torturantes, où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de SES aveux coupables arrachés par ses douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires. L'appareil sous tension, se met a grésiller. Nikola Tesla, quel génial inventeur fais tu.. Odeur de poussière brulée... des années de tiroirs.. il est temps d'une seconde vie pour toi, Objet du vice. La recherche t'as mise au placard, je t'ai trouvé, je t'ai sauvé de la destruction.. Le curseur a moitié, j'approche la sonde métallique du bâtit de ta prison. Un immense et magnifique arc électrique se crée... ma chair se hérisse: ... incroyables appréhensions ... le champ des possibles est ouvert [...] (silence) Le curseur au minimum, j'approche à nouveau... de mon bras, je dois savoir ce que cela fait pour pouvoir Infliger... La décharge électrique se veut surprenante de part sa légende urbaine avérée. Le picotement tend les muscles locaux comme la châtaigne électrique connue sauf que l'Intensité est bien moindre même si elle court circuite les récepteurs nerveux. Douleurs vive mais continue, supportable en détendant le muscle. Première expérience: exercice difficile sous contrôle, déjà, l'angoisse est là. Un sourire pervers découvre ma canine..Imposé? impossible... ​Satisfait, rassembler les affaires pour une dimension particulière à ma prochaine séance, Sceller le tout dans une mallette sobre et énigmatique que je stocke dans mon armoire... Coup de foudre Regardons nous ! Jusqu'au fond de l'âme en ce jour de pluie, mon Insoumise, Enlaçons nous! Jusqu'au fond de l'âme et mêlons nos cœurs palpitants en face à face croisés. lions nos jambes jusqu'à nos pieds sous la couette, et chauffons de la moite chaleur irradiée par nos corps, humides entre nos cuisses.. L'âme ouverte, déversoir à envies, je sent ton appel et plonge déja dans ton corps animé. Sourde tension dans ma poitrine, et remontant de mon sexe en mutation je commence à psalmodier dans le creux de ton oreille des sévices par un flot de paroles indociles et amorales. J'arque tes courbes dans mes puissantes mains, et mes dents commencent a vouloir te posséder. ma mâchoire comprimée d'envies, prête à chopper, la bride de ma conscience tient bon.. Envie de te soumettre à la question... te soumettre à la question... ... Maître a la question!.. Inquisition. Hyde, prends sinueusement sa place et fait bouger mes lèvres pour émettre "un caverneux": "C'est dommage... j'aurais bien aimé essayer cet objet improbable dans ma mallette.. Pour cela il faudrait que je t'attache et que je te bande les yeux.. tu n'entendras alors que mon activité et fantasmeras alors ce qu'il t'arrivera.. Assurément, une expérience que tu n'as jamais vécue, tu en auras peur..." [...] (silence) M’écartant, je te laisse seule avec mes mots. J'observe dans l'intrigue. Insidieusement le méandre de mes mots d’abord tortueux prend le plus court chemin; Les questions traversent tes yeux, alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. "c'est quoi?" "tu ne saura pas" [...] (silence) "Attache moi" "bien".. (la satisfaction lèche le coin de mes lèvres) "ça fait mal?" "oui .." (la satisfaction re-lèche le coin de mes lèvres) Insoumise ne reviendra pas sur son engagement. Insoumise n'a qu'une parole. [...] (silence) Hyde jubile…”pas maintenant!” Doucement, ménage l'instant.. savoure ses angoisses son appréhension.. Lis la saveur du doute. Insoumise aussi, l’envie devient palpable, la tension en suspens resserre les atome d’air. Inhaler demande un effort, hypoxie.. Espace trop confortable. La couette vole. Laissant place à ce terrain de jeu. Tu t'es mise en attente ouverte, visuellement prête, indifférente d’un regard, à mes sévices à venir. Prête a subir, te soumettre peut être? t'abandonner c'est sûr. Tu mouilles déjà d'envie, petite salope, j’ai encore rien fait ... Ton corps dénudé appelle les caresses, mes doigts lient et lacent tes membres. Peau fraîche, la douceur de ton grain sur mes lèvres humides détache des gouttes de salives.. Les ancrages aux pieds du lit ne le quittent plus. Tu vas prendre cette croix d'offrande et me la livrer, t'eXposer à moi , je te veux vulnérable La courbure de tes formes ainsi contrainte provoque déjà mes mains indiscrètes, Fouillant ton corps, 2 ou 3 doigts de dignité plus loin, je les enfonce dans ta bouche. J’adore ce geste, comme cracher violemment dans ta bouche ouverte.. déposant la mallettes entre tes cuisses, je la déverrouille, mais ne l’ouvre pas.. J’observe… ton envie de savoir , de voir.. tu regardes puis te résigne.. Hum.. frustration. Allant lentement chercher le foulard , enlevant le contenu de tes yeux. mes yeux seuls maintenant.. voient! La boite s’ouvre et laisse apparaître cet objet du fond des âges. ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille, tes cotes, le galbe de ton sein, ton aisselle, ton bras, ton épaule , tes trapèzes et vient saisir doucement et pleinement ton cou vulnérable… ta bouche formule le plaisir en pincent ta lèvre inférieure, fragile et forte, instant qui s’étire, l’attente .. Je savoure. L'appareil sous tension, se met à grésiller. Ton visage se tourne vers ma main, ton angoisse palpable.. “c’est quoi? j’aime pas ce bruit” [...] (silence) je n’ai pas encore bougé. Je t’observe. Hyde en moi. Tu commences ton bal. “on dirait un epilateur”.. tu sourit effrontément.. Pas de poils à épiler, justes tes cils et sourcils, sous ton bandeau, protégés ... tu te moques de moi.. quelle assurance! Insoumise.. je m’approche doucement. La mise à la masse est essentielle dans cette expérience; je pose mon pied nu par terre et met toute ma cuisse en contact avec ta peau. j’avais choisi de le faire sur tes lèvres, mais les pinces étaient trop douloureuses, et puis peut être que c’est trop intense pour une entrée en matière… je me ravise et tente une approche plus éducative. “Je vais d’abord le faire sur moi...” tu accueilles mes mots.. La portée en est monstrueuse. Hyde tremble dans son sadisme, il reconnait ma perversion.. la décharge s’exprime sans même que je la ressente. mon esprit est ailleur, je t’observe.. “non! c’est électrique! je veux pas!” tu te débats.. [...] (silence) ton angoisse a pris littéralement le dessus, tu as conscience de ta vulnérabilité.. [...] (silence) j’ai conscience du caractère de la situation. Le temps se fige. il n’y a plus que toi et moi. Tout ce passe là. Ton fantasme fait gonfler ton fantasme. ta respiration change. [...] (silence) je n’ai pas bougé. tu cherches a t’écarter de moi dans un geste futile de protection. tu ne sais pas qd cela va arriver, tu ne sais pas ce que cela fait, tu ne sais pas, tu as peur, tu paniques, tu sais que mon envie est perverse.. Sadique! [...] (silence) L’attente, déforme tes traits insoumise.. je t’observe avoir peur sous mes yeux. je ne ferais rien qui te fera mal. Mais tu as deja mal. Tu souffres de ne pas savoir. Ma main caresse ton corps, dans un geste rassurant. Au contact, tes questions fusent.. alors mes paroles sur ce que je fais, pour que ta cessité soit comblée sont accueillies. “je vais m’approcher de toi, ne bouge pas...” l’effort que je te demande est inhumain.. j’en ai conscience.. tu t’exécutes. ton courage est incroyable. mais mon approche pas a pas, rend ta tension nerveuse difficile a supporter. Tu gémis d’appréhension, tu me sent très proche et il ne se passe rien.. tu sent que les secondes s'étirent, et que la distance diminue... Contrôle, essaie un peu? tu dois te contrôler dans ta peur en 4 dimensions.. Un coup de foudre claque sur ton sein.. La pièce s’emplit soudain de ton appréhension intense et cristalline Se figeant en un cri de douleur et de surprise. AÏE ! rugit ta gorge! Ta vague d'émotion prend dimension réelle. Le fantasme bat plein régime. “J’ai peur, j’aime pas ça, j’aime paaaaas…” Recule Hyde! Ce n'est pas ton moment ! Ne vois tu pas qu'elle a peur. Il faut l'accompagner pour aller plus loin, si elle le souhaite, pas la torturer. Je caresse ta peau. Mes mots rassurant, t’expliquant ce que je fais, mes gestes, sont décortiqués, précisément, pour que ton bandeau ne te gêne pas. je te propose de le retirer. Tu refuses. Tu te caches de quoi? derrière ce masque.. Je vais le faire sur moi en continu. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Ton inconscient imprime: mon dom n’en souffre pas je m'exécute sur ta main. Tu me laisses faire. Des impulsions brèves d’abord, puis longues. Je te parles calmement.. Tes gémissement s'étirent comme ton aversion pour l'expérience. tu ne veux pas continuer. “arrêtes” “si tu veux j'arrête” [...] (silence) Je reprends quelques impulsions, sur ton bras. Tu réagis au claquage de l’arc! pas à la douleur. c’est ton angoisse irraisonnée.. non rationnelle. Pas de marques, pas vraiment de douleur, juste cette sensation désagréable d’une impulsion électrique et du claquage de l’arc. Juste?... “je vais dire mon safeword..” je fais une pause. J’aime pas arriver à cette limite sur une première expérience. [...] (silence) “Quel plaisir as tu?” “J’aime te voir dépasser la limite qui est tienne. T’accompagner à le faire. Je maîtrise les paramètres et les curseurs de l’outil et de son application. Toi tu t’ouvres à tes émotions. On est en plein dedans, là!” [...] (silence) je t’observe réfléchir mes mains te caressent j’aime ta peau putain, j’aime ton corps ma chienne.. [...] (silence) je pose l’objet et prends le wand.. Inutile de forcer, ce doit venir de toi. L’air se met à vibrer, et je te vois te détendre. Tu mouilles instantanément.. Chienne de Parloire, tes réflexes aux stimulis sont intenses ! J’aime ça! Basses fréquences, sur ton bouton, j’observe le ressac des vagues de ton bassin. Tu ondules sur courant continu maintenant, l'électricité te dérange moins là. Mais tes pensées sont ailleurs.. “Je ne comprend pas quel envie ça te procure de m'électrocuter?” J’arrête le wand, réfléchis, à ta question. [...] (silence) “C’est un dispositif qui crée un arc électrique à haute fréquence. La différence de potentiel entre l’appareil et toi ne t'électrocutes pas, car nous jouons avec l’arc, cependant le courant se décharge en toi par dissipation. Je te l’accorde, si l’appareil était en contact avec ta peau, tu deviendrait un conducteur, et alors, tu serais électrocutée à la hauteur du curseur. On joue ici sur un fantasme urbain commun, qui est la décharge électrique. Sauf que la chaine de risque est maîtrisée. Je pilote tout l’aspect technique pour que tu n’ai à te concentrer et te consacrer qu’à ce que tu ressens. Pas d’amplifications, on est trop près de la limite. Cette expérience a l’incroyable possibilité de jouer sur une peur, avec une douleur assez faible et pas de traces. Mais je reconnais volontiers, que c’est très impressionnant, de sentir les muscles se raidir.. Maîtrisant ici ton environnement, mon envie est de te voir évoluer entre mes mains en toute confiance. De te laisser aller chercher les nouvelles limites de ton corps et/ou de ton esprit, de ta volonté, de ta résistance. Peut importe le niveau, ce qui m'intéresse c’est que tu le fasses Toi, parce que tu as confiance en moi, parce que tu veux le faire, pour mieux te connaître, pour faire reculer ton inconnu. Je pense qu’une forme de contrôle sur tes émotions va te permettre de t’isoler de ta peur, de la douleur, de l’angoisse, une sorte de bulle. J’ai envie que tu fasses de ce réflexe un stimuli que tu appelleras pour nos expériences de ce type. puis que tu relâcheras ensuite pour te laisser aller à ce que tu ressens. Tu es bien sûr libre d'arrêter. Je respecte tes choix, mon rôle et mon envie ici sont de t’accompagner et de te ramener là où tu iras…” Comment casser le verrou qui me dit: “ne vas pas plus loin elle a mal, accompagne la” pour glisser vers: “elle a mal, mais j'aime ça putain!” Mr Hyde aux portes de mes lèvres cherche à s’exprimer, mais je lui montre la voie: sa torture doit être accueillie, pas contre elle. Nous ne cherchons rien d'elle, d'autre, que le plaisir.. mes envies perverses et sadiques semblent étendues, mais dans quel but? La surenchère ne change rien au mécanisme dans lequel nous sommes. Le principe est là, l’intensité est forte, je ressens son émotion, nous avançons à deux. J’ai envie d’aller plus loin, mais pas sans toi. Mon envie principale réside dans le fait de partager avec toi. faisons un pas, et le suivant nous en ferons deux, la suite on verra..Met toi en marge, Hyde, pour l’instant je veux construire notre terrain de jeu. Ce chemin est plus important que tes expressions sadiques.. [...] (silence) Ma main touche et glisse de ta cheville, ton genoux, ta cuisse, ton haine, ta taille... [...] (silence) ..ta taille, ton haine, ta cuisse, ton genoux, ta cheville, ton pied puis remonte.. [...] (silence) ...alors qu'imposer n'aurait mené a rien. Mon Insoumise est curieuse.. et Insoumise veut savoir.. Insoumise, ne se soumet pas. “je veux le faire. mais j’ai peur.” je pose le wand “tu veux voir?” [...] (silence) “non, je garde le bandeau” “bien..” Je reprends position. Tu es courageuse.. tu m’impressionnes. [...] (silence) Ta respiration s’accélère, je caresse ta joue et remet ton bandeau, Il est temps Mr Hyde, d’exprimer doucement maintenant … Tu gémis et tu cries insoumise, tu dépasses ta limite. Je te regardes avec plaisir, et je fantasmes le champs des possibles.. .. où mes paroles inquisitrice créent le paradoxe de tes aveux coupables arrachés par tes douleurs innocentes, suppliantes.. sombre perversions crépusculaires, attachée, le cœur en croix et la bouche ouverte, ma queue enfoncée, à la merci de tes dents, je te soumettrais à la question.. et tu y répondras.. Soumise.
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Par : le 28/07/15
Depuis quelques jours, je sais que je vais livrer Shalimée à Kris.Elle est coquine Shalimée. On se connait juste virtuellement et la complicité arrosée de confiance s’est immédiatement installée entre nous.Elle cherche le frisson dans l’aventure et rapidement je lui suggère « de traverser le Golfe »… Pour moi, cela veut dire rejoindre l’antre très privée du beau Kris.Depuis quelques temps, il dit de moi que je suis sa meilleure attachée commerciale. Le terme « attachée » est, à mon grand regret, encore pourvu d’actualité…Bien que des mois soient passés où j’ai vu mourir notre relation sans rien pouvoir y changer ; alors que j’ai eu droit à la résurrection de frissons intérimaires et tellement mieux installée dans ma belle relation avec Masterlau, je lui garde toujours une certaine dévotion qui m’agace particulièrement.Pour une fois, je vais tenter de déléguer à Shalimée tout le poids de mon âne mort.Je me fais intermédiaire de leur moment intime, confidente des envies de l’un comme des craintes de l’autre. Je jubile de ce rôle d’entremetteuse qui va les réunir le temps d’un instant.Il me plaît qu’une autre sache, pour l’avoir vécu comme moi, ce dont ce beau dominant est capable de procurer comme sensations et à quel point il peut provoquer par la douceur comme la fermeté une foule de plaisirs partagés…J’ai reçu tôt dans la semaine, les désirs de Monsieur. Je les ai consignés précieusement dans ma mémoire et, le temps d’un instant, il me plaît de penser qu’ils me sont destinés.Rapidement, je me prends au jeu de faire troubler les yeux doux de Shalimée. Elle collecte les informations au compte-gouttes et s’en étonne à peine. Elle réfléchit, suppute, subodore, s’interroge…puis elle me pose des questions, doute, flippe…J’en souris d’un air bienveillant, car je sais que ce n’est que du bonheur qui l’attend.Brutalement, le jour J, je lâche l’information : « ce soir, 21h ». L’espace d’un instant, je crois que je lis une panique gourmande dans ses yeux. Elle bondit du lit où elle flemmardait langoureusement comme un diable sorti de sa boîte pour me montrer ce qu’elle pense porter pour l’occasion.« Tu valideras sa tenue, tu connais mes goûts » avais-je reçu comme consignes. Je jette un œil critique à la jolie guêpière que me soumet Shalimée. Je valide, ce sera parfait.Je la trouve particulièrement silencieuse ce jour-là, pensive et interrogative aussi, je crois. Je ne viens pas perturber ce calme trompeur. J’entretiens, au contraire, la part de mystère qui les entoure, tous les deux, de manière virtuelle, encore pour un temps.Elle sera en retard ! Je suis partagée entre le fait de me sentir coupable et celui de la remuer pour honorer celui qui l’attend.Je suis concentrée et tendue par l’acte que je vais commettre durant lequel j’ai reçu en offrande de Shalimée et Kris la confiance qu’ils m’ont, tous deux, accordée. Je sens tout le poids de cet acte, comme une lourde responsabilité. Je me suis portée respectivement garante de l’un auprès de l’autre et vice versa. C’est lourd comme un point de congestion qui m’oppresse et je me mure dans le silence, les dents serrées.Le babillage de Shalimée qui m’amuse et me distrait en d’autres circonstances m’est particulièrement insupportable dans la voiture qui nous mène à son domicile. Je crois que je lui intime l’ordre de se taire brutalement, une fois le barrage du gardien paranoïaque du domaine de Kris passé.Toutes ses instructions pour arriver, sans encombre à son nouvel appartement, font feu pour nous conduire toutes deux à la porte entrouverte de son logement.Je passe la première, je suis accueillie, sans être étonnée, par une lumière tamisée, une douce musique et l’odeur de nos vieux souvenirs. Mon cœur se serre, il bat vite pourtant. Le temps d’un instant, j’ai envie de jeter Shalimée dans l’escalier pour prendre sa place, et de m’attacher là où c’est prévu. Je souris intérieurement de ce macabre mauvais plan et je m’efface volontiers.Mon temps, notre temps, ce temps-là est révolu… Dehors m’attend ma vraie vie, celle qui me fait vibrer à chaque instant en me jetant aux pieds d’un Maître exigeant.Kris a préparé un cintre pour y déposer la robe de Shalimée. Tout est prévu et calculé. Comme toujours. J’aime ces scénarii millimétrés et carrés. Je fais observer à Shalimée tous ces préparatifs dignes d’un psychopathe de l’ordre établi, symboles du goût de sa maîtrise. C’est rassurant, en fait !J’aide Shalimée à ôter sa robe. Je constate à quel point, elle est maladroite, gauche et stressée. Je lui propose de boire, grâce à ce verre d’eau fraîche prévu à son intention.Je la positionne telle que Kris l’attend. Face à la porte du salon, les mains levées, les jambes écartées et je l’attache à la corde qui pend de la barre de traction. Je la rassure en lui garantissant que la porte du bonheur va bientôt s’ouvrir pour elle. Inconsciemment, je vis cet instant par procuration et je ressens son émotion, ce que je nomme « le doux flip », celui qui inquiète mais qui excite.Avant de la laisser, ainsi livrée pour me délivrer, je dépose un furtif baiser chaste sur sa bouche bâillonnée par le bandeau qu’il posera sur ses yeux…Nos regards se parlent… le mien est rassurant…
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Par : le 14/09/13
La Première fois... C'était un cadeau de mon Maître; on toque à la porte, il me dit va ouvrir... Je traverse la chambre à pas lents, je ne sais ce qui m'attend derrière cette porte. J'ouvre et je découvre une soumise à genoux, les yeux bandés, habillée d'une robe sexy noire. Mon Maître me dit "elle est là pour toi... Elle est à toi..." Il va s'installer sur une chaise dans la chambre et me regarde, m'observe... Je la relève, elle est un peu plus petite que moi je lui tiens les mains. Je repousse la porte, je mets la soumise adossée à la porte; je la détaille, je la soutiens. Elle est habillée comme moi... Je lui dis d'enlever sa robe... Dessous elle porte un joli soutient-gorge noir à balconnet avec un string noir ...et un porte jarretelles qui lui tient ses superbes bas sombres. Je souris de plus belle... Elle a les mêmes dessous que moi, je lui ordonne de se mette nue mais de garder son PJ et ses escarpins (une soumise est toujours belle avec ses escarpins et des bas ). La soumise est surprenante, elle obéit! ^^ Je la vois enfin nue, ses jolis seins, ses tétons érigés qui appellent la main. Je lui pince légèrement les seins, elle gémit; je la pince plus fort, ses lèvres de serrent, sûrement pour s'empêcher de crier. Je lui dis "tu aimes cela" .. Elle le répond "oui Maîtresse". Je lui dis de m'appeler Ma Dame... Je lui prends la main la guide dans la chambre, je m'assieds et l'allonge sur mes genoux.. Je me sens un peu maladroite, je lui parle, je lui dis que je vais la fesser. Je commence par lui caresser les fesses, et je la fesse d'abord doucement, à l'extrémité de ses fesses et au milieu. Au début je me sens gauche puis je prends de l'assurance (j'oublie tout, que mon Maître est là où je me trouve). La soumise se tortille sous moi, elle gémit de plus en plus fort, je la caresse aussi longuement, elle adore cela... Et je reprends de plus belle; je suis moi même ailleurs, en connexion avec elle... Je m arrête, continue de caresser ses fesses si rouges, si brûlantes sous mes doigts; je lui donne du plaisir... Je l'apaise avec de doux mots...Elle est si belle... Puis je lui demande de mette ses mains sur le mur, j'ai envie de la cravacher mais je choisis le martinet; je la frôle d' abord avec les lanières. Je commence par ses fesses, des zébrures apparaissent... Je sais que je dois me maîtriser mais ses cris de plaisir me chauffent le corps. Je remonte et lui fouette le dos, encore plus haut plus fort sur les épaules la nuque le haut du dos (j'adore quand mon Maître me fouette là où je la fouette alors je pense qu'elle aime...). Ses cris se perdent dans la chambre, elle adore ça, elle est vraiment chienne... des marques de zébrures apparaissent , et j'avoue aimer voir cela comme ses fesses si brûlantes... Je la retourne, lui fouette les seins, le ventre; je lâche le martinet... Je la cajole, l'embrasse, la caresse et elle a du plaisir encore et encore... Je l'allonge sur le lit lui enlève son bandeau, nos regards se croisent; je vois tant de plaisir dans ses yeux... Elle glisse un "merci" timide, je la remercie d'avoir accepté de venir, d'avoir été ma soumise d'un moment... Je la câline encore et encore, elle veut me caresser, mais je refuse... J'ai juste envie de profité d'elle. .Mon Maître impassible n'a pas bougé. Il est l heure pour elle de partir... Je l'embrasse et la remercie encore...peut etre un jour nous nous recroiserons... J'ai remercié mon Maître longuement d'avoir vu en moi ce désir d'avoir une soumise à moi... Ce fut comme sa la première fois que je fus Domina, la deuxième fois, c'est une autre histoire... ^^ Hydréane
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Par : le 02/02/21
Je vous attends, à genoux, mains posées, paumes ouvertes, bandeau sur les yeux. Je suis face à la porte que j'ai ouverte peu de temps avant l'heure de notre rendez vous. Mon coeur bas la chamade par l'excitation de vous rencontrer enfin. Par l'envie de vous servir et de vous sentir. Sentir votre puissance sur moi, sur mon corps. Je vous entends vous garer, la portière claquer, et franchir la porte d'entrée. Je me redresse pour mieux vous offrir mes seins. Vous êtes face à moi, j'entends votre souffle, vous m'observez je le sens. Vous vérifiez que tout soit en place et à disposition. Puis enfin vous vous approchez de moi. Vous vous saisissez des pinces tétons que j'ai posées à côté de moi. Vous prenez un premier tétons en main pour le faire davantage durcir. Ils le sont déjà par l'excitation. Vous posez la première pince et serrez jusqu'à ce que je réagisse... vous mettez ensuite la deuxième pince de la même façon. Mes tétons me brûlent, que c'est bon. J'avais perdu le goût de cette sensation. "Ouvres la bouche !" Je m'exécute et vous passez votre sexe sur mes lèvres et me le faite sentir, puis vous me pénétrez violemment la bouche avec. J'en étouffe presque. Puis vous me baisez la bouche ainsi quelques minutes. Vous stoppez au fond de ma gorge que vous forcez petit à petit, jusqu'à mettre tout au fond votre sexe durcit encore par l'excitation. Vous me laissez ainsi, suffocant, sans respiration et vous retirez. Je prends une grande inspiration sonore, puis petit à petit je retrouve mon souffle. Vous saisissez ma laisse et me faites marcher à 4 pattes dans le salon où nous nous trouvons. Vous savez que je déteste ça, peu importe... Vous me ramenez face à la porte, me faites monter sur un pouf à disposition. Vous me posez le baillon boule que j'ai laissé à porté de main. J'adore cet accessoire que j'ai longtemps abhorré. Vous faites le tour de mon corps et vous m'administrez une fessée puissante, claquante, vibrante ! Je manque de tomber du pouf. Vous malmenez ainsi mon fessié pendant quelques minutes, alternant vos mains, la cravache et le martinet. Je gueule de douleur mais ne peut pas prononcer pas le safeword, que je n'aurai de toute façon pas prononcé, tellement le plaisir est intense. Vous me laissez ainsi, le souffle court, et vous installez dans le fauteuil. J'ai mis à disposition votre boisson préférée. "Viens me masser les pieds Chienne" Je descends de mon pouf, me sachant la vue entravée, j'avais mis tous ce dont nous aurions besoin près de moi. Vous me retirez le baillon couvert de ma bave. Je saisi l'huile de massage et avant de commencer, je baise les pieds de Monsieur, mon mâle à vénérer... Je prends mon temps pour faire en sorte d'apporter à Monsieur le bien être qui lui convient. Je masse ses pieds consciencieusement, en appuyant bien sur la plante pour un meilleur effet. J'attends que vous me donniez un nouvel ordre avant d'arrêter. Vous vous levez et vous approchez de mon visage pour me faire sentir votre sexe, le frotter sur mon visage pour me faire sentir votre puissante virilité. Vous saisissez ma laisse pour à nouveau me faire marcher, cette fois jusqu'à la chambre, dont je vous avais indiqué la place dans la maison. Vous vous étiez saisi de l'huile de massage en quittant le salon. "Tu vas me masser le corps maintenant Esclave" "Oui Monsieur" En disant cela, je vous entends vous allonger sur le lit, je sens que vous mettez entre mes mains l'huile. Je m'approche du lit à taton. Je m'aperçois que vous êtes sur le ventre. Je me positionne à vos côtés et commence à vous masser le dos, je dois appuyer fort pour satisfaire ce corps musclé et puissant. Je m'attache à votre dos d'abord, avant de descendre au niveau de vos jolies fesses. Je sens sous mes mains un cul ferme, bombé, musclé, comme je les aime. Je prends le temps de vous caresser plus que vous masser, je profite un peu de cet instant... puis je viens écarter doucement vos fesses et y fourre mon nez à l'intérieur. Je viens humer l'odeur intime de votre sillon. Après m'en être imprégnée, je viens glisser ma langue sur votre rose, doucement. Je vous sens vous contracter et je donne des petits coups de langue afin de vous ouvrir petit à petit. Une fois suffisamment ouvert, je m'insère intimement en vous, et vos gémissements de plaisir me comblent de bonheur. Vous vous retournez sur le dos, et par ce geste votre sexe dur vient taper sur ma joue. Vous répétez ce geste manuellement. Vous posez votre sexe sur mes lèvres afin que je le sente. Que je sente toute votre virilité en cet instant. Je sens que vous vous délectez de cette situation. Je sens l'excitation battre dans votre magnifique queue. Je n'ose bouger. J'attends, à ma place. Vous vous assoupissez un peu. Je sens que vous vous relâchez et un sourire se dessine sur mes lèvres. L'instant n'a duré que quelques secondes, un moment de grâce pour moi. Il me saisit la tête "Ouvres la bouche" Je m'exécute et je sens votre tige envahir ma bouche. Vous vous levez, m'attrapez fermement et me positionnez en levrette au bord du lit, de façon à ce que nous soyons face au miroir qui se trouve dans ma chambre, à cet effet. Vous tapez sur mes fesses avec votre sexe dur. Vous le passez sur la chair tendre de mon sexe, sur ma rose, vous semblez hésiter mais il n'en est rien. Vous testez ma résistance à l'envie d'être remplie de votre chair. Après vous être frotté à moi, vous m'ordonnez de me lever. "Fais moi à manger et sers moi" Vous m'amenez dans la cuisine et m'enlevez mon bandeau. Je lève les yeux pour vous admirer, je vous savais grand mais en ma présence, votre taille et votre corpulence d'athlète sont encore plus impressionnantes. Je me reprends rapidement et prépare rapidement de quoi vous restaurer, selon vos consignes. Je viens vous servir dans le salon, où vous vous êtes installé. Je déjeune à vos pieds. Vous me faites signe de débarrasser et me rejoignez pour me mettre à nouveau le bandeau sur les yeux. Vous en profitez pour arracher les pinces tétons. Je laisse échapper un cri de douleur autant que de surprise. Pour faire durer la douleur, vous frappez à plusieurs reprises mes tétons, après avoir pris chaque sein en main pour en faire ressortir davantage l'objet de torture. La douleur est vive, intense, et tellement jouissive. Vous empoignez fermement ma laisse et m'emmenez, debout cette fois ci, dans la chambre. Là, vous vous allongez sur le dos et m'ordonnez de venir sur le lit avec vous. Je m'exécute avec plaisir, et ayant compris ce que vous attendez de moi, je m'approche doucement de votre corps. Je me place à vos côtés pour venir renifler vos aisselles. Je mets mon nez le long de cet endroit d'odeur masculine et virile par excellence. Je renifle chaque centimètre carré de cette première aisselle jusqu'à ce que vous me demandiez d'en faire de même pour l'autre. À taton, je descends du lit pour en faire le tour, venir me placer à vos côtés et renouveler mon action. Une fois satisfait de moi, vous insérez votre sexe dans ma bouche pour la baiser. Je bave de plus en plus sous les assauts de cette grosse queue dure. Je manque de vomir à plusieurs reprises, mais j'arrive à tout ravaler à chaque fois. A ce moment là, vous m'autorisez à venir m'empaler sur votre sexe en rute. Je me rapproche, passe une jambe de l'autre côté de votre corps et je viens prendre en moi, en entier, cette magnifique tige, tout en expirant un soupir de plaisir. Je porte ma main à mon sexe pour branler mon clitoris, alors que vous passez une main sous mon collier, autour de mon cou, afin de m'étouffer au rythme de mon plaisir qui monte. Les mouvements de mon corps sur votre queue, ma main entre mes lèvres et mon souffle coupé, je monte petit à petit à l'orgasme mais me retiens en attendant votre ordre. Je sais que je ne dois pas jouir tant que je n'en ai pas reçu l'autorisation de votre part. Je commence à perdre toute capacité respiratoire et mon clito est si dur entre mes doigts, vous sentez ma chatte comprimer votre sexe de plus en plus, et tout en relâchant ma gorge, vous m'ordonnez de jouir : "Vas y !" Un torrent électrique parcoure mon corps et dans la reprise de mon souffle, mon clito opère la contraction ultime qui fait que mon corps entier est secoué de spasmes violents de plaisir, au milieu de mes cris de femelles. Cet orgasme va durer quelques minutes, mon corps tressautant à chaque caresse de mon bouton, et mes cris de bêtes devenant peu à peu des soupirs d'apaisement. Avant même la fin de cet explosif orgasme, vous me basculez sur le dos, me relevez les jambes et insérez violemment votre sexe dans ma chatte. Vos coups de reins font taper le lit contre le mur dans un bruit répétitif. Votre puissance de mâle s'exerce pleinement sur mon corps, vous tenez mes jambes écartées et prenez appuie sur elles pour me maintenir dans cette position et me dominer de tout votre corps. Alors que vous sentez votre semence monter, vous accélérez vos coups de boutoir pour vous retirer en vitesse afin de m'arroser de votre semence. Le jet est si puissant qu'il vient jusqu'à mon visage. Je ne bouge pas. Vous savez que cela est tabou pour moi, mais je reçois ce jus sans bouger, je sais votre plaisir à l'instant...
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Par : le 16/04/21
Je vais te raconter une histoire. Installe toi bien car ça va être un peu long.... IMAGINE: Il est impatient de la rencontrer et la voir pour la première fois. Enfin croiser son regard. Il a tant envie de plonger ses yeux dans les siens. Il suit pour cela toutes les consignes données par écrit, sans exception... Il ne connaît pas non plus le timbre de sa voix ... Il entre pieds nus dans la pièce légèrement feutrée . Prend place à genoux sur le coussin posé au sol...Il est en pantalon chemise cravate. Tout se passe comme demandé... Il ne La voit pas... Elle a envie de le découvrir, le toucher, le ressentir. Des semaines qu'elle attend, se languit, s'impatiente. Maintenant il est là, dans son salon.Elle s'approche de lui, un bandeau de dentelle noué sur ses yeux. Elle aime casser les codes et adore frustrer. Le priver de son regard lui plaît et surtout, elle place ses envies bien avant les siennes... Elle veut sentir si ce nouveau jouet est aussi vibrant qu'elle le pense... Elle est en talons, bas, jupe et dessous de dentelle... Ses doigts s'agitent, signes de son envie qui grandit.D'abord Elle le frôle, le respire, le tente. Ses lèvres l' aguichent tandis que sa bouche le rappelle à l' ordre... Les boutons de chemise glissent à travers leur fente respective laissant entrevoir sa chair tant convoitée. Elle voudrait tout arracher d'un coup et le consommer sans plus attendre mais elle aime aussi sentir son propre corps se gonfler d'envie. Cette cravate l' excite.. Hum! Tirer dessus pour le mettre à terre, le retourner sur le dos et planter son talon sur son torse... Non pas maintenant. Elle contient ses pulsions. Rien ne presse... C'est lentement qu'elle choisit de dénouer sa cravate, libérant ainsi son cou pour y placer un collier... Elle le trouve davantage à son goût ainsi . La chemise ne restera pas longtemps... Elle caresse ce corps qui est là pour elle... Il ferme les yeux quand elle s'approche si près de lui. Il respire son parfum... Il se laisse guider. Lui obéit quand toujours sans parler, elle le fait se relever. Il frissonne au passage de ses mains sur sa peau...Il remarque ses doigts qui se crispent d'envie, content , il en sourit, il sait ce que ça veut dire... Elle fait glisser ses bras derrière son dos et attache ses mains avec la cravate. S'approprie ses tétons, les apprécie. Trépigne d'impatience... Puis ses doigts s'affairent sur la boucle de son ceinturon. Elle tire dessus pour la faire glisser le long des passants. Humm! Elle s'imagine frapper son cul avec. Clac! Lui à 4 pattes à ses pieds attendant non sans appréhension le coup suivant qui claquera au même endroit. Puis d'autres suivront... Elle inspire fort. S'il savait...Elle le fera plus tard. Pour l' instant elle savoure le moment. Puis elle ouvre son pantalon pour voir la cage dont elle possède désormais la clé... Lui, ne reste pas indifférent quand elle le tâte, le tire, le soupèse et le presse. Il connaît ses penchants. Il est resté chaste pour elle... Il sourit quand elle remet la ceinture de son pantalon autour de sa taille en lui disant qu'elle aime avoir une prise pour s'accrocher . C'est avec plaisir qu'il se soumet quand elle le fait se mettre à genoux face contre ses souliers. Il y dépose un baiser, puis deux, puis prend la liberté de continuer d'explorer ses droits. Son cul reçoit alors sa première réprimande. ....C'est une petite histoire tranquille, tout en douceur et en sensualité avec de la musique en arrière fond. Je continue.... IMAGINE: Il est à genoux devant elle , un bâillon boule percé accroché autour de sa tête. La laisse est fixée au collier ainsi que ses bracelets de restriction... Elle est assise à bout de fesses sur le canapé , laisse en main, jambes écartées. La jupe a volé de l' autre côté de la pièce. Seul son large porte jarretelle recouvre ses hanches qu'elle ondule pour faire glisser son intimité contre cette boule... Lui se contentera de baver en la regardant se branler ainsi sur sa bouche... Elle en prend plaisir, le sens prêt à bien se tenir alors lui retire le bâillon pour mieux en jouir... Lui aura appris qu'elle aime, dans ce cas précis, une langue passive et lui sert ainsi jusqu'à ce qu'elle atteigne l' orgasme... IMAGINE: Il est là, à ses pieds, nu comme un ver, à 4 pattes le cul offert... Elle est derrière lui et finit d'ajuster son gode ceinture. Déroule une capote sur son membre et l'insère dans son intimité... Lui ,retient son souffle, c'est sa première fois; se détend en constatant que ça passe... Elle le sent bien, le prend bien, s'enfonce avec délice en lui. Il se cambre pour mieux la sentir prendre son plaisir. Il s'offre et tend son cul bien ouvert pour qu'elle y glisse de plus belle ce qui ne manque pas de l' exciter et la faire jouir... IMAGINE: Elle lui tend une cordelette et lui demande de l'enrouler autour de ses couilles. Elle aime que cette partie de son anatomie soit bien tendue. Il fait de son mieux pour lui plaire mais ne réussit pas assez rapidement à bloquer le lien. Elle intervient, effectue un premier serrage puis le laisse terminer. Elle a envie de voir ses deux boules distinctement séparées donc va chercher un ruban à glisser entre. Le passage est difficile et ça lui plaît de forcer pour y glisser ses doigts. Elle Force aussi sur la cage pour la faire tomber... Elle la remettra plus tard... Lui la laisse faire, confiant et sûrement content, jusqu'à ce qu'elle y mette quelques douloureuses pichenettes . Elle savoure ... IMAGINE: Elle lui attache les chevilles et les poignets puis elle fixe sur sa tête un harnais double gode. Il est immobilisé tout en long quand elle vient s'empaler sur sa bouche mais il trouve néanmoins le moyen de bouger son cou comme pour la goder. Elle le calme direct regrettant de ne pas lui avoir bloqué également la tête. Il obéit , s'applique juste à maintenir l'angle parfait pour une pénétration plus savoureuse. Elle apprécie et prendra son pied ainsi... IMAGINE: Elle a eu envie de lui faire mal. Il se retrouve maintenant sous elle, à plat ventre, les fesses rougies par le martinet, le dos bien griffé. Elle est sur lui, vibrante d'un orgasme plus sauvage, ses griffes plantées dans sa chair. Il a mal mais s'en fiche, être là pour Elle l' importe plus. Il ressent son emprise jusqu'au fond de ses tripes et c'est bon. Elle serre son corps avec force, le ressens. Elle le possède et le lui dit... Il l'écoute et sait qu'il est à Elle... Il n'a pas le droit de bouger dans ces moments- là, il l'accompagne juste là-haut , tout là-haut... Elle l'entend respirer et se cale sur sa respiration. Elle détend ses doigts, relâche son emprise. Il la sent redescendre doucement et savoure ce moment d'une grande intensité. Elle se remet d'un orgasme fulgurant. Lui faire mal la transcende... IMAGINE: Elle saisit sa queue d'une main ferme et le mène jusqu'à la salle de bain. Il se retrouve à poils, sans bracelets ni collier, le cul dans la baignoire. Sûrement avec une vague idée de ce qu'il va se passer. Elle grimpe sur les rebords, approche son sexe au plus prés de sa bouche pour y déverser délicatement son urine. Lui s'efforce d'avaler de petites gorgées comme ordonné. C'est sa première fois. Elle s'amuse de ses hauts le cœur. En joue. Gicle plus fort, l'éclabousse puis dirige un jet abondant sur son ventre. Lui appréciera davantage recevoir ses fluides chauds sur son pénis, mais ce choix ne lui appartient pas. Elle termine, satisfaite et soulagée. Elle se redresse, attrape un gant qu'elle lui tend et approche son sexe mouiller prés de lui. Lui, gros bêta, utilise le gant pour éponger son visage. Elle le stoppe net! Lui retourne une mini gifle et lui gronde: Moi d'abord! Toujours moi d'abord...Il s'exécute, penaud , pendant qu' elle se moque de lui. Il grelotte. Elle ouvre le robinet d'eau chaude, dirige le pommeau de douche sur lui, le rince à grande eau. Il apprécie, la remercie, se réchauffe un peu. Si peu... Elle lui sourit, tourne le mitigeur du coté bleu et se régale de le voir se débattre sous l' eau froide... ....Des petites scénettes toutes aussi délicieuses à écrire les unes que les autres.Mais je me tais et te laisse continuer d'imaginer tranquillement.... IMAGINE: Elle le fait se mettre à quatre pattes devant elle, son cul à porté de main ou plutôt à portée de pied. Tranquillement assise, elle pose ses talons sur son fessier. Elle s'approche d'abord de ses testicules du bout de ses escarpins, puis glisse le long de la raie. Lui , tient bien sa position jusqu'à ce qu'il grogne après l'ongle qui vient de lui griffer le cul. Elle est confuse: Oups! Ce n' est pas mon ongle... Elle attrape vite une capote, la glisse sur son talon, consciente de son erreur. Préservatif obligatoire en toute circonstance. Il comprend ce qu'elle lui fait , ça le surprend puis vient à apprécier ce talon qui le gode. Elle, elle trouve ça tellement pervers... IMAGINE: Il est allongé à même le sol , les chevilles ligotées au pied de la table basse. Les mains, à l' opposé, encodées à la rambarde de l' escalier. Elle est debout au-dessus de lui, cramponnée à cette même rambarde. Elle n'a plus d'escarpin, plus de bas, les attaches de son porte jarretelle pendent sur ses cuisses, elle s'en fout, elle est bien. Lui a dans sa bouche son pied qu'il suçote avec gourmandise.Il s'arrange pour que l' un après l' autre chaque orteil entre en lui. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ce qu'elle ressent. Son plaisir est grand, elle aime glisser dans cette cavité humide et chaude. Il bave sur ce pied qui s'enfonce de plus en plus en lui. Il l' entend et la voit jouir, ça l' encourage à tenir. Elle se laisse complètement aller au fond de cette gorge jusqu'à atteindre l' orgasme . Il ne sait jamais fait forcer la bouche de la sorte, mais il aime tant la voir comme ça... Elle adore jouir de ses pieds... IMAGINE: Elle farfouille dans ses affaires à la recherche d'un objet mystère. Il la regarde faire sans grande inquiétude jusqu'à ce qu'il voit la taille de l' engin. Elle est contente de l' expression qu'elle lit sur le visage de son soumis. Le plug est de bonne taille, bien plus large que son gode. Elle sourit en lui tendant. Il blêmit en le prenant. Son poids laisse penser qu'il va être dur à garder. Il se positionne pour le présenter devant son anus qui a déjà été bien sollicité. Elle le presse un peu, lui met la pression , ajoute du gel. Encore du gel , puis au final elle s'en mêle. Il se sent forcé. Avec ses mains, il tente d'élargir le passage en tendant ses fesses.Son anus résiste, ce truc est tellement gros... Elle est tenace et trouve le moyen d'arriver à ses fins.Elle aime jouer avec son cul. Quelques crachats, quelques doigts plus quelques mots d'encouragement et hop! Le tour est joué... Il se sent plein. Il l' entend s'en réjouir, du coup il est content d'y être arrivé. Elle joue avec son Plug, le fait tourner dans un sens puis dans un autre. Le tire pour évoquer une sortie, le repousse à peine pour le voir se faire aspirer. Elle aime aussi jouer avec son cul... IMAGINE: Elle a très envie de le baiser. Oh oui! Elle le veut encore.Elle lui dit où prendre place . Il fait suivre son petit coussin sous ses genoux. Il tiendra mieux sa position ainsi. Il pose sa tête sur le canapé et tend son cul au mieux. Elle s'assoit à ses côtés, son strap-on dans les mains.Elle lui fait retirer sa jupe , qu'elle enlève et remet. Il se retrouve la tête bien proche de son intimité, assez proche pour bien la voir insérer la boule du stap dans son vagin. Elle lui dit ô combien elle a envie de le baiser en lui tendant une capote. Il sent son excitation et a envie de l'exciter encore davantage. C'est avec sa bouche qu'il déroule le préservatif sur cet étroit manche rigide. Elle apprécie de le voir faire , l' aide un peu car elle a vraiment , vraiment envie de le prendre là. Il se retourne face au canapé, la sent se glisser derrière lui et sans ménagement elle le pénètre jusqu'à la garde. Ses fesses deviennent aussitôt mouillées.Il s'inquiète de son hygiène, ce sont des choses qui arrivent. Mais très vite il comprend. Elle a tellement envie de le baiser, elle le lime avec vigueur et son plaisir monte à une allure qui la surprend. Elle sent son foutre lui couler entre les jambes. Elle coule encore et encore et en jouit si fort. Elle le baise avec un plaisir dégoulinant. Elle atteint l' orgasme en un temps record. Il se retrouve sous elle et la sens couler sur ses fesses et sur sa cage... IMAGINE ENCORE: Elle le chope au milieu du salon. Prend soin de glisser un large coussin sous ses reins, un plus petit sous sa tête. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire et se retrouve bien vite les 4 fers en l' air. Elle accroche tous les bracelets entre eux et le contemple ainsi offert . Elle aime le voir comme ça mais elle préfère clairement l' abuser ainsi. Elle sollicite la souplesse de son sphincter avec ses doigts. Son gode ceinture est déjà en place, juste devant son anus. Elle lui saisit les cuisses à bras le corps et le sodomise langoureusement. De profonds va et vient qui l' enivre de plaisir. Il se fait prendre sans pouvoir bouger, son corps est à Elle. Il est à Elle et Elle en profite grandement. Elle aime le limer ainsi, tenir son corps recroquevillé sur lui-même . Elle s'emballe au fur et à mesure que son plaisir monte. Ses coups de reins se font plus rapides, plus puissants. Ses mains s' empoignent avec force sur les bracelets. Elle aime avoir une prise pour se tenir. Il la sent bien s'emballer, mais surtout il l'entend gémir, il la sens vibrer.Il aime sentir tout cela. IMAGINE: Elle a les yeux mi-clos, le visage serein, le corps secoué de spams.Elle vient de jouir... Elle délivre son jouet de toutes ses entraves. Il retrouve la liberté de ses mouvements mais n'ose bouger. Il savoure ce moment rempli de tendresse. Elle lui attrape doucement les mains pour les poser sur elle. Sa respiration s'apaise. Il comprend qu'il a la permission de la caresser, ce qu'il fait avec respect. Il savoure, voudrait que le temps s'arrête. Elle laisse le temps tranquille et en profite aussi. Son plaisir, elle le prend blotti dans les bras de son soumis.Oui, elle casse les codes et elle ne se prive de rien.Elle relève la tête doucement, le regarde en lui souriant. Il lui sourit à son tour sans comprendre immédiatement que ce petit sourire est loin d'être innocent. Elle prend appui sur ses bras et se décolle juste de son corps afin de laisser toute l' accumulation de ses jouissances s'écouler sur lui. Il ressent alors ce fluide qui se répand sur son sexe, son ventre, ses cuisses.Il savoure autant qu'elle ce partage. Tout est si spontané , sensuel. Il est à Elle, dans Son monde, au cœur de ses multiples envies. Elle est contente, se sent bien... Savoure pleinement... ....Alors, elle te plaît mon histoire? Imagine une dernière chose... IMAGINE JUSTE: C'est un jour de semaine ordinaire. J'attend en retrait derrière le rideau qu'il entre dans mon salon... J'aime cassé les codes, j'aime être là où il ne m' attend pas. J'ai adoré sa cravate, le frapper de sa ceinture, le baiser en long en large et en travers... IMAGINE SIMPLEMENT: C'est mon sex-toy.
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Par : le 16/06/21
Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/09/13
Par un beau dimanche matin pluvieux, le petit déjeuné à peine fini, tu me demandais ce que nous allions faire ce jour... Du tac au tac je t ai répondu que j avais déjà une petite idée , ce qui te fît sourire. Bien entendu, curieuse comme pas deux tu t es empressée de me demander de quoi il s agissait et devant mon air rigolard et surtout mon silence tu as pris ta petite voix "d hôtesse de l air" tout en me suppliant légèrement, et moi devant ce spectacle je te demandais t appuyer un peu plus tes suppliques te disant que tu pouvais encore faire mieux......beaucoup mieux. Tu redoublais d efforts et cela m amusais beaucoup mais voulant faire court je te demandais de te mettre à genoux, les mains jointes en avant et de bien formuler ta requête, ainsi et seulement ainsi elle aurait des chances d aboutir.... Sans plus attendre tu t es exécuté et oui j avoue avoir pris plaisir à te voir dans cette situation. Donc, étant un homme de parole je te dis que oui, ta prestation m ayant convaincue j allais enfin te dire ce que j avais en tête.... Tu étais là comme suspendue à mes lèvres, humm j adore ces moments là et surtout les faire durer... Finalement après t avoir fait signe de m écouter je te dis : Mets toi au milieu de la pièce debout, les mains dans le dos et ferme les yeux, et surtout ne bouge pas !! J allais dans la chambre prendre un bandeau pour te couvrir les yeux et de retour, sans un mot je te le mettais tout en m approchant de ton oreille et à voix basse t ordonnais qu à partir de cet instant tu ne devais plus dire un mot. Je t ai pris doucement la main, te tirant délicatement en avant et t ai emmené dans la salle de bain et t ai placé juste à coté de la baignoire, t es enlevé ton peignoir te laissant en petits dessous, puis t ai ordonné de te mettre à 4 pattes et t attendre mes nouvelles directives. Tant bien que mal, à l aveugle et tout doucement tu t es exécuté , moi pendant ce temps là j ai fais couler l eau pour un bon bain chaud, y ajoutant quelques sels parfumés bienvenus. Je voyais à ta respiration que cette situation t intriguait beaucoup tout autant qu elle t excitait. Pendant que la baignoire se remplissait doucement et que déjà les vapeurs de chaleur recouvraient le grand miroir je t ai demandé de bien vouloir cambrer tes fesses afin de recevoir ta récompense, car oui recevoir une fessée est pour toi une récompense tant cela t excite et te fais mouiller d excitation. Je m appliquais donc à te récompenser comme tu l espérais, y allant même à faire un petit peu de zèle, et vérifiant de temps à autre que ton excitation était bien présente ,histoire de bien marquer le coup lol. Puis tout en t aidant je t ordonnais de te relever, de te mettre bien droite, de mettre tes mains dans le dos et d écarter les cuisses je t enlevais ton soutien-gorge afin de libérer ta lourde poitrine et là tout en t embrassant je te masturbais ainsi jusqu à ton 1 er orgasme qui vînt très vite te provocant quelques cris bien appuyés accompagné de spasmes que tu étais bien incapable de contrôler. Te laissant quelques minutes pour reprendre tes esprits je mîs à profit ce temps mort pour de longs baisers savoureux, hummm Puis tout en t aidant je t ai ordonné de rentrer dans la baignoire et une fois dans celle-ci de te mettre à 4 pattes dans l eau, qui t arrivait juste à hauteur du bassin. Tes beaux seins ressemblaient à des flotteurs placés dans une mer un petit peu agitée. Beau spectacle excitant que celui-ci, toi à 4 pattes dans l eau, la tête relevée, les yeux bandés, ta croupe bien relevée et tes seins ballottant au gré des mini vagues que ton entrée dans la baignoire avait crée. Je m agenouillais juste à coté de la baignoire et tout en te caressant le dos je t aspergeais d eau a certains endroits stratégiques de ton anatomie ce qui te faisais frémir, puis d une vois douce mais sans appel je te demandais de te masturber, de la main droite, que tu plongerais tans ton string trempé en consolidant bien ton appui de la gauche de te masturber de nouveau mais cette fois-ci d attendre mon autorisation pour jouir, tu t activais ,je le voyais avec beaucoup d application mettant beaucoup de coeur à l ouvrage et devant ce spectacle de toute beauté je te mettais un doigt dans ton anus afin de te le masturber comme tu aimes tant et enfin te disais que oui, là oui tu pouvais te lâcher complêtement et aller jusqu à l orgasme. Ton orgasme fût violent, beaucoup plus que le 1er, tes cris résonnèrent dans toute la maison et tes spasmes provoquèrent un mini ras de marée qui inonda en partie la salle de bain. Alors que tu étais Toujours à 4 pattes, haletante j entrais moi aussi dans la baignoire et m asseyais face à toi. Tout en t aidant à te relever afin d être à genoux dans l eau je te demandais de retirer ton string et de me le donner . De mon coté je m allongeai autant que faire ce peut et te saisis la tête pour la baisser en direction de mon sexe déjà dressé et te demandais de bien vouloir ouvrir la bouche, et d un coup te l enfonçai dans la gorge, là je t autorisais avec l aide te tes mains de me sucer et caresser comme j étais endroit de l attendre. Mais pour compliquer un peu ta tâche, dans de lents mouvements de bassin je m enfonçais dans l eau ce qui t obligeais à garder la bouche bien ouverte dans l eau afin de laisser coulisser mon sexe en toi... Pour moi cette situation était on ne peu plus agréable mais j ai due l écourter devant ton début de noyade car visiblement tu n arrivais pas à ne pas avaler l eau, te laissant reprendre tes esprits je me mis hors flottaison ,mon sexe légèrement hors de l eau et cette fois-ci et te demandais de bien vouloir me branler d une main tout en me caressant et léchant les testicules de l autre tout en alternant mon sexe et mes couilles.... Hummmm Taquin comme je suis, parfois je descendais tres légèrement dans l eau ce qui te compliquais la tâche et moi me faisais sourire. Au bout d un long moment de ce plaisir dont je ne me lasse pas, je te demandais de te relever complètement, le faisant moi aussi et t ordonnais de te pencher en avant et de bien saisir les robinets car là ça allait secouer grave, voyant qu à l aveugle tu semblais si hésitante d une main ferme je te mettais en position puis sans plus attendre te pénétrais ainsi dans une levrette légèrement glissante, voir casse gueule. Moi afin d avoir une bonne prise te prît les cheveux tout en te les tirant sans ménagement en arrière te relevant ainsi bien la tête, mes coups de butoirs ainsi que les claques que je t assénais sur tes fesses résonnaient bien forts mais même ainsi n arrivaient à peine à couvrir nos gémissements... L orgasme nous prît sans surprise tant nous l avions voulu. Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes avant de récupérer quelque peu nos esprits.. Enfin je t enlevais on bandeau et te pris dans mes bras , t enlaçant tout en t embrassant doucement, tendrement. La salle de bain ressemblait à un sauna, l air y était devenu rare .... Par contre de l eau il y en avait partout , il y avait plus d eau en dehors que dans la baignoire ce qui nous fît bien rire. Et là tu t es approchée de moi, me remerciant pour cette vision si ludique et jamais expérimentée par toi jusqu à présent de prendre un bain. Sourire aux lèvres je déposais un petit baiser sur tes douces lèvres et te dis : attends de voir ce que je te réserve pour l après midi...........
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Par : le 16/04/18
Je suis nue, comme toujours dans nos tête-à-tête. Madame aime exacerber mes sens, alors un de mes bas sert de bandeau. De toute façon je ferme les yeux, concentrée sur sa voix, ses mouvements, son parfum. Je suis contrainte par cette corde rouge que je connais si bien, la position de mes bras est inconfortable, mes jambes liées sont écartées pour me maintenir disponible. Une chaîne relie mon téton le plus sensible à mon piercing intime, un plug est planté dans mon sexe. L'amplitude de mes mouvements est très limitée. Madame joue avec moi comme un fauve avec sa proie. Elle se sert, elle m'utilise, elle dispose à sa guise. Je vis chaque sensation et chaque douleur avec cet indicible plaisir de me soumettre et de m'offrir à cette femme dont je connais aussi bien la douceur que le sadisme. Je suis en nage et inondée de désir. J'entends le petit "pop" du capuchon du feutre. Madame écrit sur ma peau. Je m'abandonne sans réserve. Je suis sa propriété, sa chose, sa chienne. Le temps s’écoule au rythme de ses pulsions et de ses caresses, mon cerveau sécrète en alternance de la dopamine et des endorphines, mes terminaisons nerveuses sont à vif, mon ventre est en feu. Madame finit par enlever le bandeau et délie la corde. La chaine et le plug restent en place. Je lis ses mots sur mon corps. *M's precious slut*. Le rouge de l'émotion me monte aux joues, violent. Madame me fait face et s'allonge à moitié. "Ne bouge plus". Je suis à genoux. Immobile. Le silence envahit la pièce. Elle me regarde. Longtemps. Il y a beaucoup, dans ce regard. #BMOM
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Par : le 16/05/21
Une soirée presque parfaite I Le télétravail a du bon. Quelques courses entre midi et deux, de la liberté pour organiser ma journée plus ou moins comme je l'entends. Aujourd'hui ce sera organiser, préparer, cuisiner. Je veux que la surprise soit totale. Et ma princesse aux anges. Même si c'est un Démon... Allez je m'étais dit 16 heures, aujourd'hui je tiendrai parole quoi qu'il arrive. Ou presque. Une rose rouge sur son oreiller. J'essaie d'imaginer son sourire quand elle la verra. Elle se déshabillera puis filera à la salle de bain attenante. Elle tombera sur les pétales de roses, multicolores, au sol. Avec les sels de bains à la rose, le visuel sera parfaitement complété par l'odeur. J'espère juste qu'elle sera ponctuelle. A quelle heure faire couler son bain pour qu'il soit à température idéale quand elle arrivera ? 18H30 est son heure et j'espère avoir habilement hier soir sondé sa journée pour ne pas être surpris. 18H15, ce sera bien. J'aère la chambre, le lit est impeccable tiré, rien ne traîne, nickel. J'essaie de penser à tout pour qu'elle soit bien. Bon cuisine. Les Saint Jacques du poissonnier étaient magnifiques. Je vais refaire le beurre au cerfeuil avec les noisettes concassées. Ca changera de la fondue de fenouil qu'elle adore aussi. Mais ça c'est fait depuis ce matin, au frais et hop. Les feuilletés aux baies et parmesan pour l'apéro, ce sera au dernier moment de les mettre au four, les servir chauds. Bon ça c'est une première, j'espère bien doser les épices. Le champagne est au frais, rosé millésimé, comme elle aime, le Corton Charlemagne, son blanc préféré également, parfait. Je préparerai le cocktail pendant qu'elle se détendra dans son bain : un fond de Grand Marnier, une framboise surgelée, champagne brut, elle va adorer. Bon mon dessert : une tarte citron meringuée déstructurée, c'est ce qui me demandera le plus de temps, en route. Balance, matériel, ingrédients, tout préparer, être organisé, se souvenir des cours... Pétard 17h45 et je termine juste de monter mes verrines. Allez zou, au frigo. Ce n'est pas ma spécialité mais faire une belle table : le service émaillé noir et or récemment acquis est superbe, un chandelier ornée de jolies bougies rouges, ne lésinons pas. De jolis verres. Voilà, parfait. Préparer les allumettes, pour le dernier barbecue je les ai cherché 10 minutes. Pour un peu on mangeait la côte de boeuf crue... Je vais cueillir quelques branches de houx dans le jardin, un peu de verdure manquait sur cette table. Bon récapitulons : repas, check ; table, check ; déco, check. 18H15, plus qu'à me changer, ma tenue de télétravail n'étant pas celle qui lui plaît le plus. Ce nœud pap là elle adore. L'image du miroir me convient pendant que je mets son bain à couler. Pas le choix, je dois bien faire avec. La voilà qui arrive déjà, elle a encore du faire péter tous les radars en revenant... Vite le four à préchauffer, lui ouvrir la porte quand j'entends ses pas sur les dalles de l'entrée. Son sourire m'indique qu'elle a vite compris en me voyant. Elle déjà habituée ou quoi? Il reste ma meilleure récompense ce visage qui change d'expression instantanément après la fatigue de la journée. Aucun mot superflu, un baiser, je prends son manteau et lui ouvre la porte de la chambre. Elle est de dos mais je sais qu'elle sourit. Je suis retourné en cuisine enfourner mes feuilletés après les avoir doré au jaune d'oeuf en l'imaginant sans grand risque de me tromper. Elle s'effeuille comme chaque soir, toujours un spectacle pour moi prend son bouquin du moment et se glisse dans la baignoire en appuyant sur le programme des bulles douces, accompagnées d'une lueur bleutée qui irradie dans toute la salle de bain. Je me demande juste ce qu'elle a mis en musique de fond. Voilà tout est prêt, je bous d'impatience : le plateau avec le seau à champagne et les coupes est prêt, j'espère que les feuilletés à peine tièdes lui plairont autrement que par leur aspect doré et croustillant. Pas de raison. J'entends du mouvement. Quelle tenue va-t-elle choisir ce soir? Ange ou Démon? Je baisse la lumière tamisée du salon donnant sur le lac où deux cygnes majestueux et indifférents passent tranquillement. J'entends ses talons qui claquent, la porte de la chambre s'ouvre. Ma princesse rentre en scène. Waouh. La soirée s'annonce... Je n'ai plus de mots tellement elle est magnifique. II Ses bottines noires brillantes aux talons aiguilles lui confèrent une démarche de Reine. Oui ma princesse est devenue Reine. De mon cœur. De mon corps. De mon âme. Mes yeux lubriques remontent le long de ses jambes magnifiquement mises en valeur par ces bas résilles auto-fixants à large maille jusqu'à son string en satin qui semble si doux. Je ne sais que trop combien son Mont de Vénus l'est plus encore. Noir c'est noir ce soir : le corset assorti qu'elle a du avoir du mal à fixer marque exagérément sa taille irréelle pour le coup et produit l'effet inverse un peu plus haut en faisant ressortir diaboliquement ses sublimes seins. Deux splendides collines naturelles surmontées de tétons roses dont l'un pointe le bout son nez. A croquer. Une autre fois, car ce soir, je suis sien. Seul son désir compte. La claquement de métronome de ses talons au sol me transporte déjà. J'avance avec un cocktail champenois de chaque main, mes yeux azur ne quittant pas ses yeux saphir. Comme un copié collé. Une pierre précieuse ma princesse. Nous trinquons à ce magnifique cadeau que la vie nous a fait. Que nous sommes allés chercher aussi. Rien n'arrive par hasard. Tandis qu'elle porte ses délicieuses lèvres à son breuvage préféré, mes mains sur ses hanches, je glisse le long de son corps de rêve. Des miens en tous cas. Et depuis le premier jour. Avant même de l'avoir vue. Comment est-ce possible... ? Déposant un chaste baiser sur la peau si douce de mes deux merveilles préférées, je me retrouve naturellement, presque sans m'en rendre compte à genoux devant elle. Cherchant ses yeux par gourmandise, puis collant ma tête contre son ventre satiné, comme à l'écoute, je l'enserre de mes bras. Je ferme les yeux. Caressant à peine, totalement involontairement bien sûr, ses fesses rondes et fermes, si douces... Elle ne bouge pas, m'accordant ce plaisir dont je ne saurais évaluer la durée. Mais même des heures seraient trop courtes. Un claquement de son talon au sol me rappelle que ce n'est qu'un début. Comme toujours aucun besoin de mot entre nous pour nous comprendre: j'embrasse le cuir de ses bottines, le lèche avec gourmandise, suçotant même l'aiguille qu'elle met à ma portée. Je sais que cela l'excite terriblement. Moins que moi. Elle me relève de mon acte d'allégeance d'un doigt sous mon menton, jusqu'à ce que nos regards fussent à nouveau à la même hauteur. Ses yeux me sondent, je me sens nu malgré son regard assuré autant que rassurant. Je suis sa chose. _ J'ai faim, me déclame-t-elle avant de se diriger vers le canapé en cuir blanc qui lui tend les bras pendant que je vais chercher notre plateau de feuilletés. Je le dépose cérémonieusement devant elle, avant de m'asseoir à ses pieds. Elle si belle ! Elle dévore deux canapés coup sur coup. En porte un ma bouche. Je lèche sa main, reconnaissant. _Masse mes pieds, ma journée fut éreintante. Je zipe délicatement pour ne risquer de pincement la fermeture éclair située sur le tendon d'Achille, dépose sa bottine. Je la regarde. _ Evidemment il faut enlever mon bas... Je l'adore. Elle sait comme personne allier nos plaisirs, penser au mien sans le moins du monde renoncer au sien. Mes mains glissent le long de ses jambes galbées de sportive, frôle le string dont je perçois la douceur soyeuse. Je me rends compte qu'il est déjà humide. Le bas descend, sans être roulé, et fini sa course sur mon épaule. Son adorable peton menu reposant sur ma cuisse j'étire chaque orteil, masse la voûte plantaire, sa cheville souple. Je suis toujours ébahi par la douceur de sa peau. Je remonte jusqu'au mollet, je sais qu'elle apprécie ; je prends mon temps, qui ne compte plus d'ailleurs. Je termine en déposant un baiser sur le dessus de son pied. Son sourire me montre sa satisfaction alors qu'elle me tend l'autre jambe. III Ses yeux mi clos pourraient donner à croire ma Princesse assoupie. Ses orteils curieux cherchant et trouvant aisément une certaine proéminence sur mon pantalon m'indiquent le contraire. _ J'ai faim, ça sent bon... _ Je vous abandonne 5 minutes Princesse et nous passons à table. Tandis que ma belle achève de se détendre je file mettre la touche finale à mon repas. _ Je vous invite à passer à table Princesse, tirant la chaise pour ma belle. _ Hop hop hop, pas si vite mon ange, tu reviens ici et tu te déshabilles, totalement. Durant mon effeuillage elle pose bruyamment sur la table basse un rosebud inconnu, bleu saphir. _ Assorti à tes yeux mon ange. Tu vois moi aussi j'ai mes petites surprises... Une tape sur ses genoux m'indique la position qu'elle attend de moi. Son doigt inquisiteur lubrifié par ma propre salive entreprend une exploration intime. _ Détend toi, accompagné d'une tape gentillette sur la fesse m'excite terriblement. J'adore quand elle me parle doucement, un murmure à peine audible, des pires pensées traversant son esprit aussi fécond que dévergondé, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Le rosebud rentre difficilement, faute d'habitude. Il ressort, revient, est remplacé par un doigt, puis deux, puis revient, comme pris d'une vie autonome. Enfin il semble en place, je souffle. _ Je vais décupler son efficacité, éveille mon inquiétude. Justifiée quand une sérieuse fessée commence. Je crispe mon postérieur, à broyer l'objet exogène qui ne se déformera pas lui, combat perdu d'avance. Quand les claques sur mon cul écarlate cessent enfin, je ne sens effectivement plus l'engin. Mais ma croupe oui ! Pétard elle n'y est pas allée de main morte. Comment savait-elle que je désirais cela, mieux que j'en avais besoin? Peut-être est-ce plus simple que cela, juste une envie subite coïncidant avec mon attente. Au diapason, comme d'habitude. Comme depuis le premier jour, la première minute, la première seconde. Nous sommes capables de finir les phrases l'un de l'autre. L'impression de s'être toujours connus. Aucune soumination, les envies de l'un coïncidant juste à la perfection avec les besoins de l'autre. Magique. Invraisemblable. Mais réel. Je me dandine une bonne partie du repas sur le siège que je trouve pourtant habituellement confortable. Ce qui l'amuse grandement. Le rosebud inhabituel n'y est pas pour rien non plus. Le dîner se déroule pour autant sans accrocs, ravissant ma belle, moins que moi. En connaisseuse elle a apprécié le grand cru blanc et le reste. Bon je n'aurais certes pas eu une attitude vatelienne en cas de critique, mon égo est au dessus de ça, mais pour elle, je voulais une soirée, et au premier chef un repas, en tous point inoubliable. En attendant la prochaine. Où j'essaierai de faire mieux. Ou différent. Parce que ma princesse mérite bien plus qu'un repas type Saint Valentin une fois l'an. C'est une de mes façons de lui signifier combien je suis heureux depuis qu'elle a changé le cours de mon existence. Nous sommes encore loin de la routine de toute façon en ce domaine comme en bien d'autres. Quelle magie que cette période bénie! _ Vient commencer ton dessert. Je glisse sous la table et découvre son string en satin noir déjà humide, ses cuisses fuselées écartées juste pour ma place. A peine en position, elle les resserre autour de moi, dans une prison dorée. Je ne fomente d'ailleurs pas la moindre tentative d'évasion. Détenu par elle jusqu'à la fin de mes jours est mon souhait. Ma langue la lèche à travers le tissus. Déjà imbibé de son goût délicieux que j'ai appris à reconnaître entre mille. J'allais l'écarter mais ma belle se prend au jeu. Mieux elle me guide, comme me fournissant un mode d'emploi. _ Plus haut, oui descend sur toute ma fente, encore... Ses mains caressent mes cheveux dans un geste tendre autant que possessif. _ Rentre là un peu, hummm Redescend. Oui encore comme ça; baise moi avec ta langue comme avec ta jolie queue mon ange... Sa voix change, puis s'éteint, au fur et à mesure que l'étreinte de ses cuisses se resserre sur mon cou, que ses doigts se crispent sur me crâne. Je m'applique, varie, accélère puis ce cris que je connais si bien déchire le silence de la salle. Animal, venant des tripes. J'ai à peine finit qu'elle me tire de sous la table et me redresse vers elle, m'embrassant sauvagement, puis léchant mon visage comme une chatte, comme récupérant chaque goutte de son élixir de ma jeunesse retrouvée. J'aime quand elle se laisse aller ainsi, naturellement, à ses instincts, ses pulsions, ses envies... IV _ j'ai cru voir mon dessert préféré mon ange ? Le sourire presque enfantin éclairant son doux visage me fait fondre, comme à chaque fois. Trop facile, pas sport. Mais si bon... Sa capacité à changer d'expression en un quart de seconde me sidèrera toujours. Je sers à mon élue sa verrine de tarte au citron meringuée destructurée, revisitée à ma façon. Un verre de vin de paille du Jura aux arômes exotiques se mariant à merveille. Elle ne pipe mot, tout à son plaisir. Hédoniste autant qu'épicurienne, elle est capable de ressentir un vrai plaisir dans son acte présent, bien au delà du sexe. Quasiment un plaisir physique. Elle aime ce moment sublimé par la musique douce qui nous accompagne, donnant un côté vaporeux à cet instant suspendu. Jouissif. _ Tu m'as gâtée mon ange, à mon tour. Pousse la table basse du salon et attends-moi à 4 pattes sur le tapis, tu regarderas le lac en face, interdiction de tourner la tête. En position, l'attente me semble longue. Puis interminable. Puis... La porte de la chambre s'ouvre et j'entends à nouveau le délicieux claquement de ses talons au sol. Tout à coup je suis moins pressé... Je ne peux m'empêcher de voir son reflet dans la baie vitrée et nous nous en rendons compte simultanément, partant de concert dans un éclat de rire coutumier. Les même délires, qui seraient déstabilisants pour d'autres. Pas pour elle. La surprise étant éventée elle se présente devant moi, harnachée d'un god ceinture dont j'ignorais jusqu'à l'existence dans son attirail. Je ne puis m'empêcher de la remercier intérieurement pour sa taille raisonnable. Elle dépose devant moi un single tail. Je frissonne devant le double inconnu. _ Tu préfères quoi ? Mais quelle question sadique ! Devoir choisir c'est en outre devoir avaliser ma peine. La peste ou le choléra ? Et en même temps les deux m'attirent. Elle le sait, le devine. Mon hésitation l'amuse et elle croit bon de piétiner son homme à terre à assénant : _ … En premier je veux dire! Mais elle pire que je croyais! Pire que moi c'est dire. Son rire cristallin m'achève. Je sais que cela l'amuse follement. Et par la même moi aussi, comme toujours. _ Gardons le meilleur pour la fin...? Une façon comme une autre de ne pas répondre, la forçant au choix, quitte à prendre un risque. Je n'aimerais pas finir par le fouet. Bon possible que je n'aimerais pas commencer par là non plus en fait! Je n'avais pas vu le foulard de soie posé négligemment sur son épaule, qu'elle noue délicatement autour de mes yeux. Je n'entendrai plus un mot non plus, ignorant jusqu'à la dernière seconde son choix. Un silence, des bruits que je suis incapable de déterminer, un peu perdu, En délicieuse perdition, mon attente. Un sens occulté, les autres décuplés paraît-il. Sous réserve d'une minimum de lucidité et d'un cœur qui ne bat pas à tout rompre à mon avis. Le claquement dans l'air, plutôt éloigné de moi m'indique son choix. _ Seulement 5 ce soir mon ange... Son murmure à mon oreille me transporte, comme toujours. Me rassure. J'y puise ma force. De toute façon désormais elle est source de tout pour moi. Etrangement je pense à ce qui sur le moment devrait n'être qu'un détail : je n'ai jamais eu de marques. J'en ai déjà fait. C'était la fierté de mes soumises. Décidément je ne comprendrai jamais. Ma réflexion philosophique à deux balles est interrompue par le premier coup, visiblement retenu. Je le ressens pourtant psychologiquement avec une extrême violence. Rien de négatif. Juste mon entrée dans un autre monde. Celui dont je cherche, plus ou moins inconsciemment, à pousser la porte depuis des années. Encore une chose que je dois à ma Princesse. La liste s'allonge. Puis un second, elle semble prendre ses marques. La douleur est déjà là, quelle mauviette je fais ! Trois. Outch, bon heureusement ce ne sera que 5. _ Au fait tu n'as pas compté? _ Vous ne m'aviez pas demandé Maîtresse Princesse. _ C'était une évidence. On repart donc à 0. Nan mais quelle mauvaise foi !!! Je suis vert. Et j'adore en même temps. Sa fraîcheur, comme une espièglerie enfantine. Mon bain de Jouvence. V Il est clair que les coups furent léger, pourtant … Quel engin diabolique. Je n'ai jamais été aussi soulagé de prononcer ce « 5 » dans un soupir de soulagement. Dans ce noir total, je ressens pleinement ces zones dans mon dos, chauffées à blanc, au rouge plutôt, et celle épargnées. La brûlure dure bien après que les coups aient cessés, une découverte. Sans vraiment les entendre je sens des pas sur le tapis, puis une caresse, douce apaisante. Puis des ongles ! Je la maudit sur mon épiderme à vif ou du moins me semblant tel. J'ai hâte de le voir en fait Regarder enfin ces fameuses traces. Puis des baisers sur mes chair meurtries. Elle est diabolique pour alterner le chaud et le froid avec une pertinente perversité. Ces mots susurrés à mon oreille m'emmènent loin, si loin. Je les entends à peine, les comprends encore moins. Toujours est-il qu'il me font un bien fou. Un baiser sur mes lèvres m'achève. _ Bien passons aux choses sérieuses. Ah bon, ce n'était pas sérieux là ? Si le but était d'augmenter mon angoisse, carton plein. J'ai beau savoir qu'elle joue, j'appréhende. Peur de la décevoir. Peur de me décevoir. Crainte de mesure la distance entre fantasme et réalité . Elle m'enlève mon bandeau, mes yeux se réhabituent vite à la lumière tamisée. Elle est là devant moi debout, impressionnante harnachée ainsi. Je me sens petit, aux pieds de ma princesse. _ Suce ! Quelle économie de mot. Elle joue le jeu à fond, j'aime ça. J'avais peur que notre complicité, nos sentiments ne bloquent certaines choses, nous empêchent de nous livrer à fond. C'est le contraire et j'en suis ravi. Au delà de l'acte qu'elle m'impose, même son ton sans appel me conforte. Obéir c'est aussi moins assumer, cela me facilite la chose. Qu'elle ne doute pas (ou affecte de le faire?) également. Je m'exécute donc, maladroitement. Quand je pense à la science, que dis-je son art à elle... Soupir. J'essaie de m'en inspirer. Je la regarde. Non pas du regard qu'elle me lance quand elle pratique, semblant me dire oui j'aime ça et j'assume mon ange. Non, un regard interrogateur, pour avoir un retour, savoir où j'en suis. A ma grande surprise elle ferme les yeux, comment semblant ressentir cette fellation factice. Elle n'est pas croyable. Si sensuelle, si dans son trip psychologique. Quand elle rouvre les yeux, un lumineux sourire éclaire son visage radieux, me confortant. Elle ne me juge pas, semble ravie de mon implication. Une fusion. _ Tu m'as terriblement excitée mon ange, tu es prêt ? _ Bah.... _ Ce n'était pas une question. _ Ah... Je la hais ! Et l'adore encore plus. Ca doit être ça un switch. Ceci dit quand je la sens se positionner dernière moi je n'en mène pas large. Je redoute. Et en même temps je suis demandeur. Ca doit être ça un indécis. Je le lui fais confiance, mais je crève d'envie de lui demander d'y aller doucement. Ca doit être ça un emmerdeur. Quand je la sens enlever mon rosebud je ne peux plus reculer. Ou plutôt si mais ce serait pire vu la protubérance que je sens positionnée contre mon fessier gauche pour l'instant. Elle tire à gauche... Elle remet du gel sur mon cul, l'étale, comme un massage, plutôt agréable d'ailleurs. Puis un doigt inquisiteur part à l'aventure. Pas longtemps seul, il devait s'ennuyer. Pas moi qui me concentre pour me détendre au maximum. Dire que quand c'est moi qui suis à la baguette cela paraît facile, naturel... Je la sens ajuster sa position derrière moi, se rapprochant, une main sur ma hanche. Bon en principe question musique on devrait passer de la petite musique de nuit à la chevauchée des valkyries. Au lieu de ça on reste sur une musique douce, hallucinant contraste avec la violence innommable de la scène que je vous épargnerai. Mozart et Wagner ayant baissés pavillon, votre serviteur également, reprenant sa respiration allongé sur le tapis, ma belle pour une fois fait comme tout le monde. Epuisée peut-être. Rassasiée sûrement pas, elle ne l'est jamais. Allongée contre moi, sa main bienfaisante caressant mon corps en sueur encore. Une douceur extrême dans un silence assourdissant. Deux sourires qui sans se voir se rejoignent, s'envolent, haut, très haut...
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Par : le 07/10/21
Quand j’ai cherché ma serviette dans la cuisine, j'ai vu l'heure : deux heures. J’ai espéré qu’on allait s’arrêter, ce qui n’a pas eu lieu. Je me suis demandée pourquoi on continuait, j’étais fatiguée, en manque de sommeil. Ensuite, bandeau sur les yeux et pinces sur les seins, déjà tellement malmenés que la douleur a encore augmenté. Des pinces sur les grandes et les petites lèvres, je ne savais pas ce que vous faisiez, ça faisait hyper mal. et vous me disiez que c’était les pinces qui pincent le moins. Est-ce que c’était votre première utilisation ? Ca faisait mal, très très mal, je ne me souviens plus quand j’ai eu une douleur physique aussi intense, il y a des années surement. Vous avez commencé à retirer les pinces à ma demande. Heureusement. En me disant que j’étais hypersensible. Et là .....Enorme crise de larmes, poumons bloqués par la douleur, je ne pouvais plus respirer, plus reprendre mon souffle. J’ai commencé à paniquer de ne pas respirer, je suis entrée en moi, me suis calmée seule, et ma respiration est revenue. Je ne voulais plus rien, juste m’en aller, et certainement pas vous approcher. Puisque vous êtes celui qui fait mal. La seule raison qui m’a fait rester est que j’étais épuisée, et vous, le seul être humain à la ronde. Je vous en ai voulu beaucoup, de ce peu de compassion et d’humanité apparente, pas de petite phrase « viens dans mes bras, tu as été courageuse ». Non, des ordres, juste « viens là, calme toi ». Votre explication : la jouissance d’après cette douleur devrait être encore plus forte. Ça n’a pas été le cas, je n’ai pas joui plus fort, j’ai subi cette douleur très vive pour peu de plaisir supplémentaire. Trop fatiguée pour aller plus loin dans la recherche de plaisir ? sûrement. Ou trop de force pour vraiment lâcher prise ….. Ensuite, du shibari que j’apprécie toujours autant. Une fessée avec un chausse-pieds en métal, froid, agréable, et aussi comme une menace de l’endroit à frapper. Après …. Les coups fatiguent. Les marques sont encore là, quatre jours après, elles partiront sûrement. Sur les pieds aussi, douloureux, aussi. Vous m’avez laissée un petit temps encordée, agréable pour me reposer, j'en profitais pour me remettre, et respirer longuement en attendant la suite. J’avais atteint le stade de capitulation, je n’osais plus rien faire, et plus rien dire non plus, de peur de me faire pincer les seins, ou avoir mal, encore et encore : ce n’était plus drôle depuis un bon moment, tard dans la nuit aussi, et vous n’aviez apparemment pas l’intention d’arrêter. Et pourtant, je continuais. C'était peut-être ce que vous souhaitez : me "mater" Je continuais, pour voir, pour savoir ce que cette découverte pouvait comporter. J’étais là pour apprendre, sur moi, c’est mon souhait. L’envie de savoir était plus forte que l’inconfort, la douleur ou la fatigue. MON envie de savoir, d'apprendre, d'expérimenter. MA volonté aussi, qui a été largement testée. Et je savais aussi que je pouvais m’en aller à tout moment. Une grosse sécurité pour moi. Quand vous avez mis une pince sur ma langue, je l’ai enlevée. Quand vous avez parlé de l'appliquer à mes narines, la phrase est sortie toute seule « si vous faîtes ça, je m’en vais ». J’ai rassemblé mes forces 3 secondes pour faire ça, mon instinct de survie probablement. Le silence est tombé dans la chambre, éloquent. Je vous ai senti déçu. Et surpris. De quoi ? Pour autant, vous avez respecté mon souhait et m’avez désencordée. Ouf. Ensuite je vous ai donné du plaisir avec ma bouche, j’ai entendu « ma douce soumise », à moitié endormi, sur le dos, tranquille. Un peu bougon, vous restez au lit, le temps que j’aille prendre une douche. Pas de douche ensemble, d'aftercare si précieux pour moi, l'eau c’est mon élément, je profite de ce moment seule, dommage. Ça m’aurait donné une occasion de vous voir nu. Une fois douchée, en guise de bonne nuit, c’était « fais moins de bruit », charmant ! Vais-je dormir dans cette chambre, ou dans la chambre à côté ? De fatigue, je suis restée. Dormi deux heures, réveillée avant vous, vers 5-6 heures à cause des ronflements, malgré les bouchons d’oreille et l’huile essentielle …... Une prochaine fois, je ferai autrement. Réveil presque câlin, fellation et sodomie. J’ai échappé à une nouvelle torture de mes seins, je ne sais pas si j’aurai supporté. J’aime entendre les hommes jouir, c’est mon plaisir, c’est gratifiant pour moi. Petit déjeuner calme, vous debout tout le temps, vous mangez, parlez et buvez debout. Allez-vous continuer à me pincer les seins, le jeu est-il fini ? Dans le doute, je reste en semi-alerte, je n'ai pas ou plus confiance. Mais vous ne me touchez pas, ça me détend. En tous cas, 3 petites heures de sommeil n’ont pas l’air de vous déranger, vous ne semblez pas fatigué, un homme solide. Un bisou sur la bouche en partant, une des rares récompenses accordée à ses soumises. Probablement un signe positif pour moi. Vous m’avez dit aussi que j’étais une bonne soumise. Retour chez moi, boulot le matin et 2 heures de sieste pour me remettre, vu qu’une longue soirée m’attendait. Criblée de courbatures le vendredi, le frottement de ma robe est douloureux devant. Du mal à dormir sur le ventre, les seins douloureux, bleuis et les tétons un peu écorchés. Pas trop de mal du côté des fesses, à part les traces violettes. Avec le recul, je me suis aussi demandée quand vous aviez prévu de vous arrêter pour cette première rencontre. Si je ne vous avais pas stoppé, aviez-vous prévu une nuit blanche ? Pourquoi trop fort, trop long, trop douloureux, sadique, peu voire pas sensuel ? Quelle aurait été votre limite ? Est-ce que vous n'en avez pas du tout ? (ce qui serait effrayant) Je me le demande encore. Je suis venue, j'ai vu, j'ai perdu (veni, vici, perdidi) ******************************************************************************************* Edit 2021 Avec le recul, deux années après, je me rends compte à quel point je voulais tester des choses. Et à quel point j'ai une très forte volonté. Cela n'aurait pas pu se faire sans. Et de la patience. Capable de me faire passer 7h avec une personne qui ne me correspond pas. Et à quel point mon instinct de survie s'enclenche. Quand il le faut. A bon escient. Ca me rassure, aussi de savoir que j'ai cette ceinture de sécurité personnelle. Et enfin, comment je sais entrer en moi, avec quelques respirations, comment je peux m'isoler du monde par la simple force de mon souffle. Pour ceux qui liraient mal entre les lignes, ce n'est PAS du masochisme. C'est une expérience. Sévère, abrupte, mais c'est ainsi. ****************************************************************************************** Quelle a été la suite de cette fameuse soirée ? Ce dom, d'une vieille famille bordelaise très connue, n' avait pas souhaité que l'on se rencontre dans un café à Bordeaux avant cette soirée, car il était marié. Et plutôt connu. Donc difficile pour lui de se promener avec une femme qui n'est pas son épouse. Et je ne me voyais pas l'inviter chez moi. Ensuite, il habitait en Normandie et je savais que ce ne serait pas une relation intense, vue la distance. Suite à mon courrier, il a été effaré par le retour que je lui en ai fait, la description précise. Et a signalé que ça le calmait bien de recommencer. Preuve qu'il n'avait pas observé/compris ce qui se passait durant la séance. Que sa limite était ...... la mienne : drôle de dom qui délègue la limite à sa soumise, sait-il lire mes signaux ?  Et pour la petite histoire, ce monsieur a vécu un sévère "retour de boomerang". Découvert par son épouse, son téléphone surveillé par ses fils, il a totalement disparu des réseaux sociaux. Et ses ex-soumises n'ont plus entendu parler de lui. C'était donc un dom ...... pas si dom que ça :-)
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Par : le 30/09/13
Voilà bientôt 4 ans Maître, que nous partageons tendresse, bonheur, amour, passion, périodes de doutes, pleurs, BDSM, épreuves, mais toujours en confiance. J’ai toujours eu Confiance, j’ai toujours cru en vous….et Aujourd’hui ce jour tant attendu est arrivé. Oui, aujourd’hui vous êtes enfin à moi, nous vivons ensemble…. J’ai tant attendu ce moment, que je ne peux y croire encore. Très souvent vous m’avez demandé de Vous faire part de mes envies, de me fantasmes, aujourd’hui je suis capable de les coucher sur le papier, car je sais que rien ne viendra troubler nos jours et nos nuits, nos semaines, nos week-end, nos vacances. Nous pouvons enfin prévoir les choses, entrevoir des escapades. Aujourd’hui je rentre du travail, je sais que vous n’avez pas travaillé, vous avez pu vous reposer et laisser votre imagination vagabonder, au gré de vos fantasmes les plus secrets, les plus pervers aussi peut-être, et puis, Vous me connaissez si bien Maitre, mes attentes, mes peurs, ma soumission envers Vous, et aussi mon envie d’être toujours meilleure, de dépasser certaines de mes limites, celles que Vous savez franchissables…. D’ailleurs, à plusieurs moments cet après-midi, Vous m’avez envoyés des sms pour me « conditionner », pour me mettre dans cet état de demande, d’attente, dans lequel Vous adorez me voir. Je viens de passer la porte, il n’y a pas de lumière dans l’entrée, j’allume et j’accroche mon manteau, je retire mes chaussures. Je remarque de suite, sur la petite desserte, mon collier, et ma laisse. Sans attendre, et avant de venir Vous embrasser, je le mets à mon cou. Vous êtes installé sur le canapé, Vous regardez la télé, tranquillement. Je me glisse à Vos pieds, Bonsoir Maître, et je vous baise les pieds, Vous êtes pieds nus, comme toujours lorsque Vous endossez Votre rôle de Maître et que nous allons passer une soirée plus dédiée au BDSM qu’aux câlins…. Vous passez Votre main dans mes cheveux, elle descend et se fait plus appuyée sur ma nuque, Vous savez que ce geste me rend folle et me signifie instantanément ma condition de soumise, j’adore cette sensation, l’emprise que Vous avez sur moi grâce à ce petit geste. Puis Vous me dites, va vite te faire belle et chienne pour moi, tu as 1h devant toi, alors ne stresse pas. Ouf 1 heure ! Merci Maître, j’arriverai à être prête à temps, toute l’après-midi j’ai réfléchi à ma tenue, sachant ce qui allait arriver ce soir, en lisant vos sms. Je ne perds pas de temps, je commence par mon lavement pour être impeccable au plus profond de moi, puis ma douche, je me maquille, regards très noir comme Vous aimer, je m’habille: la jupe d’écolière à carreaux que Vous aimez bien, mon corset rouge en satin qui laisse mes seins libres et accessibles, un boléro en résille que je ferme devant pour les cacher au départ, des bas et des escarpins. Je n’ai pas oublié de mettre mon rosbud bien sûr. Je Vous rejoins au salon, pour me présenter à Vous. Vous me félicitez pour ma tenue, « tu es très belle ma petite chienne d’Amour »… Merci Maître. Je Vous demande si je peux aller préparer le repas, « Fais vite, j’ai acheté du carpaccio, cela suffira, tu prépares 1 seule grande assiette ». Je me hâte, je prépare une grande assiette avec le carpaccio, j’y rajoute des copeaux de parmesan, comme Vous aimez. Je sors une bouteille de vin rosé du frigo Je dépose le tout sur la table. Je viens de me rendre compte que Vous passez du temps à envoyer des sms….Je sais que sans doute notre soirée ne va pas être qu’en seul tête à tête, Vous avez du contacter quelqu’un…. « Maître, Vous êtes servi » « Oui Laika, j’ai vu, mais cela ne refroidira pas, vient me rejoindre, et sert nous un verre de vin blanc» Je me presse à Vos pieds, bouteille et verres à la main. « Alors ma Laika, comment te sens-tu ce soir…tu es bien ? Tu es prête à être mienne…à te plier à mes envies les plus perverses… Oh oui Maître, je suis prête, j’y pense sans arrêt depuis notre vie commune, qu’en fait maintenant, plus besoin de prévoir de date, de trouver un prétexte pour se voir un peu plus longtemps….Maintenant Vous pouvez abuser de moi comme Vous en avez envie, sans me prévenir….et rien que d’y penser, chaque jour, me rend encore plus dépendante de Vous. « Allez, j’ai faim ». Vous Vous installez à table, devant l’immense assiette de carpaccio ! Je pose un coussin à terre et je m’agenouille à vos côtés. Vous commencez à diner, j’ai faim aussi, mais je ne dis rien, j’attends. J’adore le carpaccio et c’est un supplice de Vous voir le déguster alors que je suis là….à attendre. Vous le savez…soudain un morceau de carpaccio au bout de Vos doigts, je dois tendre la bouche pour l’attraper, humm merci Maître, un 2e morceau que je dois attraper au vol, ainsi de suite Vous alternez le repas entre vos morceaux et les miens. De temps en temps je dois me redresser car Vous me donnez à boire, non pas dans un verre, mais de Votre bouche. C’est encore meilleur. Le repas se termine, je débarrasse rapidement et je reviens à vos côtés. J’ai bien vu que Vous aviez de nouveau votre téléphone en main… Mon cœur bat, à la fois d’inquiétude mais aussi d’une excitation que je sens monter au fond de mon ventre. Il est temps… Sur la table, il y a les boules Kies, Vous me demandez de les mettre, cela n’arrive pas souvent, mais Vous savez que privée de mes sens je suis encore plus à votre merci ; puis le bandeau qui est posé sur la table depuis le début du repas, je n’entends plus rien, je ne vois plus rien. Les poignets de cuir se ferment et me voilà attachée, bras en l’air, à l’entrée du salon. Je sens votre présence autour de moi, je la devine, Votre regard doit être en train de me dévisager et Vous êtes là, à me faire attendre. Le temps me parait interminable. Je sens une corde qui s’enroule autour de moi, Vous commencez à bondager mes seins et les voilà offerts à vos tourments. Des pinces s’agrippent à mes tétons, des gouttes de cire viennent les orner, l’excitation provoquée par la douleur inonde mon sexe, vos doigts passent régulièrement entre mes jambes pour vérifier…. Le fait d’être privée de la vue et de l’ouïe décuple les sensations. Je sens votre présence autour de moi, Vous m’effleurez, je sens Votre souffle dans mon cou ; d’une main ferme, Vous ôtez les pinces de mes seins. Soudain la cravache s’abat sur mes fesses, plusieurs coups de suite, par série de 5 de chaque côté…pour équilibrer, comme Vous dites toujours. La cravache est suivie par le martinet, dans le dos…Depuis quelques temps j’ai découvert que la sensation des lanières qui s’abattent sur mon dos me fait frissonner, la douleur m’irradie certes, mais elle m’excite de plus belle. Vous alternez les coups, tantôt légers, aériens, tantôt appuyés, le dos, les fesses, les cuisses… J’ai peur car mes seins me font mal, ils sont douloureux car bondagés depuis longtemps. Vous avez remarqué, à l’expression de mon visage, qu’il était temps de défaire le bondage. Le temps de défaire les cordes me permet de me reposer, Vous me détachez les bras, que je peux reposer sur la table en face de moi. Vous me donnez à boire, une gorgée de vin blanc, puis une autre, de votre bouche. Puis Vous me guidez vers le canapé, j’ai toujours les yeux bandés et les boules dans les oreilles. « Repose-toi un peu Laika, la soirée n’est pas terminée » Je suis couchée sur le canapé, jambes repliées, je masse un peu mes seins endoloris par le bondage. Il m’a semblé entendre un bruit, mais avec ces boules dans les oreilles, impossible de définir de quoi il s’agit. Je ne tarde pas à le savoir…. Votre main gantée de latex vient me caresser, écarte mes cuisses et me pénètre….L’excitation est telle depuis le début de la séance qu’à peine quelques vas et viens m’arrachent un premier orgasme…J’inonde le canapé…. Puis Vous me demandez de me mettre sur le bord du canapé, à genoux, fesses bien ouvertes, tête dans les coussins…. Je m’attends à sentir votre main venir me fouiller au plus profond de moi, Vous dégagez mon rosbud d’une main douce, pour ne pas me blesser. Mais ce n’est pas Votre main que je sens à présent contre mes fesses….mais un sexe qui vient s’appuyer doucement sur mon orifice dilatée et lubrifié…. Voilà donc ce que Vous mijotiez au téléphone…. Je sens des mains qui me caressent, les Vôtres, mais d’autres mains aussi, et ce sexe qui m’empale et commence à me labourer. Je suis Votre chienne, Maître, je Vous appartiens, je Vous aime. Je sais que Vous êtes attentif à tout ce qui se passe et que je peux être en confiance, je me laisse emporter, Je sens votre main sur ma joue, qui vient me rassurer. Doucement Vous ôtez les boules de mes oreilles, puis le bandeau, afin que je puisse découvrir l’homme à qui Vous m’avez offerte. Mes doutes et mes craintes se sont évanouis très vite, car j’ai reconnu notre ami F. et sa façon de faire, toujours très respectueux et attentif. Merci Maître, de me donner autant de plaisir. Je Vous aime Laika
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Par : le 01/08/15
Lors de la visite d'une maison neuve, je me suis rappelé un anniversaire que ma compagne m’avait offert. Je ne suis pas un collectionneur d’objets mais j’apprécie les évènements. Elle sait que je suis amoureux d’elle est que j’aime le sado-maso, mais elle ne veut plus de mon niveau de hard depuis longtemps. Donc elle me demanda des semaines à l’avance si un cadeau pouvait me faire plaisir. Bien sûr je lui ai demandé une soirée avec elle et deux couples d’amis, mais aussi une séance SM comme je les aime, avec elle comme soumise. Elle dit craindre la dite soirée mais accepta. Quand c’est loin dans le futur, les gens acceptent plus facilement. Ce soir-là venu elle s’habille donc sexy (pantalon stretch et cuissardes) pour partir au resto rejoindre les 4 autres personnes. Quelques minutes avant le départ je revendique une “avance sur séance”. Négociations. Elle accepte mais demande de pouvoir encore s’asseoir ensuite. Je lui place le bandeau sur les yeux, lui ajuste les deux bracelets de poignets en cuir aux poignets (j’ai suffisamment de bracelets et je sais comment les serrer vite et bien), l’emmène vers la cage d’escalier, et lui lève les deux bras de part et d’autre d’un barreau. Je clippe deux mousquetons pour réunir les deux poignets au-delà du barreau. J’avais choisi un barreau suffisamment haut car, il y a quelques années, alors que je lui cravachais les fesses, elle s’était laissée glisser vers le bas, jusqu’à avoir les fesses au sol, interrompant ainsi la séance. La voilà donc, me tournant le dos, debout, face aux escaliers, les poignets réunis au-delà d’un barreau, me présentant ses jolies fesses et ses belles cuisses. Comme le rendez-vous avec les deux autres couples était assez proche et que je n’avais pas beaucoup de temps pour la cravacher, je l’ai tout de suite frappé suffisamment pour l’entendre crier et la voir onduler. Dix minutes ont suffit et je l’ai délivrée. C’était fun. Je lui ai confirmé que ce n’était qu’une avance et que la vraie séance aurait lieu au retour, ce qui ne l’a pas réellement séduite. La soirée était sympathique et nous n’avons parlé de rien de BDSM avec les deux autres couples (qui ne sont pas connectés BDSM). Curieusement ma compagne prenait tout son temps et ne semblait pas pressée du tout de rentrer. Elle a même revendiqué une petite balade dans le Centre de Bruxelles. Etonnant. Tout a une fin et moi j’étais impatient de profiter de la dernière partie de mon cadeau. Nous sommes donc repassé par ma salle SM (bien équipée et insonorisée – si vous voulez la description complète, demandez-la moi : je l’ai aménagée moi-même) située à Bruxelles aussi. Je lui ai bouclé les bracelets de poignets et de chevilles, attachée au trapèze, l’ai remerciée pour la suite imminente dont j’ai pleinement profité. Comme il était tard, le bâillon m’a rendu service. Ma cravache et moi nous en avons profité. Quand je l’ai délivrée et qu’elle a repris ses esprits et son souffle, elle m’a dit que j’étais un vrai sadique. C’était un scoop ;-) Je vous le dis : mon anniversaire devrait être chaque mois. GC
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Par : le 18/07/20
Ca y est le jour J arrive enfin, celui de notre rencontre apres des dizaines de mails, d appels, de photos echangées, le RDV est fixé dans un hotel... Vos consignes sont claires. Je dois prendre une chambre , vous envoyez le numero par SMS et vous y attendre a genoux, en boxer moulant, dos tourné a la porte sans me retourner. Vous arriverez quelques instants plus tard. Me voici en situation, toutes les consignes sont respectées... plein d idées, d envies me viennent en tete en vous attendant. Un grand sentiment d apprehension aussi... allions nous retrouver en reel la meme complicité, le meme feeling que par ecran interposé? Mes pensées sont interrompues par le bruit de la porte d entrée. Vous m aviez prevenu que vous alliez faire un detour par la salle de bain pour vous preparer. Vous savoir si pres renforce mon excitation... quelques instants apres, j entends des bruits de talons qui se rapprochent... je lutte pour ne pas me retourner... puis je sens une douce main se poser sur ma nuque... je suis surpris; je sursaute mais ce contact est tres agreable.Vous passez face a moi, tout en laissant votre main sur mon visage et nos regards se croisent enfin.... nous restons quelques secondes ainsi, votre visage arbore un large sourire. Vous portez des talons hauts, des bas, une mini jupe en cuir, un bustier moulant. Dans votre autre main vous portez un sac dont une cravache depasse. Vous decollez legerement votre main de mon visage, je l embrasse delicatement , en vous regardant les yeux dans les yeux. Vous vous asseyez face a moi, avancez un de vos pieds vers moi sans dire un mot. Je me mets alors a 4 pattes, commence a lecher et embrasser vos pieds, je remonte doucement vers votre cheville, puis le long de votre mollet. Mon regard est attire par votre entrejambe, je distingue une petite culotte noire tres sexy sous votre minijupe, vous remarquez alors mon attitude... vous vous penchez alors vers moi, passez une de vos mains sous mon menton et vous me faites relever la tete "Regardes moi bien dans les yeux" " Bien Madame" Je continue alors a remonter le long de votre mollet, en fixant mon regard sur vos yeux, arrivé au genou vous me dites " ca suffit ne sois pas trop gourmand passe a l autre jambe". Je m execute et fais de meme avec l autre jambe, en luttant pour ne pas regarder sous votre minijupe, Des que je frole votre genou, vous placez vos mains sur mes épaules, me repoussez légerement puis me dites d une voix douce et sensuelle " allonge toi par terre a plat dos" je m execute, m allonge par terre a meme le sol a plat dos, vous ne me lachez pas du regard, puis vous vous relevez et attrapez votre cravache qui etait posée a cote de vous. vous me dites ensuite de la meme voix sexy"deshabille toi, ecartes tes cuisses et ne bouge pas".je retire doucement mon boxer et le fait glisser le long de mes jambes, laissant mon sexe bien gonflé apparaitre a vos yeux, j écarte mes cuisses, puis reste immobile en arborant un large sourire. vous posez l extremité de votre cravache sur ma joue, la faites ensuite sur mon torse, puis me donnez un petit coup bien sec sur un de mes tetons, ce qui me surprend, m arrache un gemissement et me fait sursauter. Vous faites de meme avec l autre, cette fois ci un peu plus fort me faisant encore sursauter. " je t ai dit de ne pas bouger " " veuillez m excuser Madame" Vous me donnez quelques autres petits coups, mon rythme cardiaque s accelere, mais je reste immobile. vous descendez alors tout doucement votre instrument le long de mon ventre, carressez mon sexe avec, je vous regarde avec un immense sourire, mon excitation est renforcée... vous vous deplacez alors vers mes jambes, d une demarche feline, votre mini jupe mettant tres bien votre posterieur en valeur. Vous me faites face, me regardez droit dans les yeux, un immense sourire se dessine sur vos levres sensuelles... vous posez alors la semelle d une de vos chaussures sur mes boules delicatement, puis appuyez doucement et progressivement tout en guettant mes reactions... j ecarte encore plus les jambes, je cherche a garder les yeux ouvert mais ils ont tendance a se fermer sous l effet de l excitation, je reste immobile au maximum, mon sexe se gonfle encore plus.... Vous relachez la pression, puis quelques secondes apres vous recommencez, legerement plus fort, je sens bien votre chaussure sur mes couilles j adore cela, etre sous vos pieds... Vous arretez, fouillez dans votre sac, attrapez un bandeau, vous venez vers ma tete, la soulevez puis m installez ce bandeau, le serrez fermement... vous reposez ma tete sur le sol, je n y vois plus rien... je me demande alors de savoir ce que vous me reservez pour la suite...
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Par : le 05/02/15
Bonjour M., vous appelez à l’heure, j'en suis ravi. A partir de maintenant vous allez m'écouter et ne répondre que par oui. Si jamais vous prononcez un non, je raccrocherai. Est-ce clair ? oui Regardez autour de vous comme cette place est belle, on dit que l’arbre en face de la maison de maître a plus de 300 ans et qu’il exauce les vœux. Alors faites un vœux M. oui Bien, maintenant, remontez la ruelle pavée jusqu’au grand escalier qui mène à la petite chapelle romane. Détendez-vous, profitez de cette balade qui vous rapproche de cet instant que nous attendons vous et moi. A droite de la chapelle, empruntez le passage du beffroi, traversez le petit jardin jusqu’au magasin de photos. Vous vous sentez surement fébrile, funambule d'un fil d’émotions paradoxales, en équilibre instable entre raison et déraison. Mais vous avez envie d’être déraisonnable, n’est-ce pas ? oui Alors longez la rue de la treille jusqu’au magasin de lingerie de la place Saint Pierre. Vous y êtes ? oui Rentrez, présentez-vous sous votre prénom et dites simplement que vous venez chercher "quelque chose de sexy" et on vous remettra un sac. Dites bien "quelque chose de sexy", sinon on ne vous remettra rien. ... Avez-vous votre sac ? oui Ne l'ouvrez-pas. Vous voyez la rue à gauche du fleuriste ? oui C’est la rue des cordeliers, prenez là et marchez jusqu’à la porte cochère du numéro 29. ... Vous y êtes ? oui Poussez cette porte, entrez dans le hall et prenez l’escalier jusqu’au 2ème étage. Trente deux marches vous séparent de cet interdit que vous et moi allons transgresser ensemble. Prenez votre temps en montant, écoutez les battement de votre cœur et votre respiration qui s’altère, l'appréhension vous gagne alors que votre bas ventre papillonne irrésistiblement. Goûtez cette tension qui monte et précède le plongeon, ce moment unique qui vous rapproche du précipice où, doucement, vous palperez le vide de l'abysse qui se présente avant d'y faire le grand saut. Avez vous envie de faire le grand saut M.? oui Bien, etes vous sur le palier du deuxième étage ? oui Il y a deux portes, choisissez la porte de droite, vous êtes arrivée. Vous avez encore le choix M., rentrer et faire un pas vers ‘nous’, sortir et garder à jamais le regret de ne pas avoir osé. Voulez-vous rentrer ? oui Bien, alors rentrez et refermez la porte derrière vous. ... C’est fait ? oui Ecoutez bien, je ne le répéterai pas deux fois. Vous allez ouvrir vos paquets, vous y trouverez la tenue que vous devez porter. Changez-vous. Sur la table il y a un coffret de bois, une enveloppe et un bandeau. Dans le coffret vous trouverez les deux objets de vos outrages à venir, n’y touchez pas. Dans l’enveloppe, il y a votre dernière consigne. Quand vous serez changée et que vous aurez lu la dernière consigne, vous mettrez le bandeau. Est-ce compris ? oui Vous avez 13 minutes à partir de maintenant, pas une de plus ! Dans 13 minutes, la porte d’entrée s’ouvre et c’est moi qui rentre.
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Par : le 01/07/15
« Lève toi et marche ». Diantre, serait-il porté sur les paroles christiques ? Je me lève donc, je règle ma consommation et agrippe mon sac à main contre moi comme un bouclier. Geste factice pour effacer un peu de la fébrilité qui me gagne. « droit devant » apparaît sur l’écran. Mes yeux se plissent et je regarde de tout côté, en vain, et je l’imagine déjà, regard amusé, narquois, gourmand. Je poursuis à grand pas, épaules en arrière, tête droite. « prends la première à gauche ». J’obtempère, gagnant une rue calme bordée d’habitations ; les magasins se font plus rares, changement de quartier… Le bip me rappelle à l’ordre : « tourne à gauche à la prochaine intersection ». Je me retourne pour savoir, guetter, voir. « Ne te retourne pas, continue. Sans tricher ». La ruelle est étroite un peu sombre en dépit de l’heure, un bienfait car il y fait moins chaud mais je sens mon estomac se nouer. Pas vraiment d’excitation, un stress léger me gagne. Il grandit quand j’entends un pas se rapprocher. « Ne te retourne pas, arrête toi sous le porche au n°77 ». Je déglutis, je sens la boule grandir dans mon ventre. Une peur m’envahit. Et si… Mais la ruelle qui semble déserte abrite forcément du monde, n’est ce pas ? Allons, allons, jouons le jeu, puisqu’il s’agit d’un jeu. Les pas résonnent plus fort, il se rapproche. Je ne m’y attendais pas, pas comme ça, mais il est là, derrière moi. Je sens son ombre me couvrir, je sens une main caresser mes cheveux Je frissonne et les battements de mon cœur s’accélèrent. Sa main se pose sur mes yeux, me plaquant contre lui, je sens son corps derrière mon dos, sur mes fesses, j’entends sa respiration, calme. De l’autre, il ouvre une lourde porte, me fait entrer dans ce que je pense être une cour intérieure. Il noue un bandeau sur mes yeux, puis ses mains se posent sur mes épaules, me poussant vers l’avant. Je trébuche sur les pavés, il me rattrape à la taille, m’enserrant et plaquant ses lèvres sur ma nuque. Je défaille et présente mon cou, instinctivement, attendant, espérant sa bouche. Mais il semble me humer, me respirer, il prend son temps. Ma respiration se fait plus saccadée, mon ventre gronde, avide. Je pressens qu’il va faire durer le plaisir, faire grandir l’attente, faire monter le désir, jouer avec mes nerfs. J’ai envie de dire quelque chose, je ne sais pas trop quoi, mais aussitôt que j’ouvre la bouche, il pose sa paume sur mes lèvres. Envie de lécher, de mordre, de provoquer, de le faire sortir de ses gongs et moi de sortir de cette léthargie imposée à mes sens. Mes mains le cherchent même si je sais que cette situation impose obéissance, silence et attente. Un murmure dans mon oreille « ne bouge pas où je t’attache ».
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Par : le 13/03/20
Lorsque nous avons planifié ce week-end ensembles, nous n’imaginions pas qu’une épidémie viendrait essayer de nous perturber, qu’une grève des contrôleurs aériens viendrait perturber mes vols et qu’une météo agitée viendrait mettre à rude épreuve mes entrailles. Malgré ces quelques embûches, j’ai tout de même réussi à te rejoindre avec une bonne heure de retard, avant que nous nous mettions à l’abri de ces cieux bien arrosés. Il fait bon au chaud, à tes côtés. D’ailleurs il fait toujours bon avec toi. Je ne m’en lasse pas avec les jours, les mois et les années qui passent ! Ton intérêt marqué pendant le match de rugby du samedi à chaque mêlée me laisse présager de la soirée. Certes tu me taquines souvent mais ce « introduction, voilà un mot qui me plait » m’a semblé sonner différemment. N’ayant rien contre ce que ce terme peut représenter, bien au contraire, je m’attends donc à une séance aussi plaisante que les autres. Je ne m’attendais en revanche pas du tout à ce que tu m’avais réservé. Une fois n’est pas coutume, tu avais préparé à l’avance ton « terrain de jeu ». Ainsi, pour la première fois peut être, j’ai un léger aperçu des plaisirs qui risquaient de m’attendre. Après avoir bouclé mon collier, indispensable marque de ma position vis-à-vis de toi, tu me tends le harnais que nous n’avions pas encore eu l’occasion d’inaugurer. Il nous faut quelques minutes à deux cerveaux pour comprendre dans quel sens il se porte et comment il peut s’enfiler. Ce ne sont pourtant que quelques lanières de cuir et à peu près autant d’anneaux métalliques. Pas spécialement contraignant, il apporte néanmoins une petite touche sympa à ma parure pour le moins « épurée ». Reste à savoir s’il ne te gênera pas, toi qui aimes par dessus tout avoir accès à la plus grande surface possible de ton soumis. L’avenir me le dira. Après cette « introduction vestimentaire », tu commences à me tendre le premier manchon pour que j’y glisse un bras. Immédiatement, je comprends que la photo que je t’ai montrée quelques jours à peine auparavant a déjà fait son chemin dans ton esprit « SMement » imaginatif. Une fois le second enfilé et bouclé, mes impressions se confirment vite lorsque tu les relies dans mon dos avec une sangle formant ainsi une parfaite alternative à la camisole de force. Désormais, je ne risque plus de t’être de la moindre aide : condamné à subir. Oui, je sais, j’aime ça, je dirais même j’adore ça ! Dernière vision avant que tu me passes un masque noir sur les yeux, suffisamment opaque pour que je ne distingue que quelques points lumineux du lustre qui nous surplombe. Sans ménagement tu me pousses en arrière pour que je bascule sur le lit juste derrière, au préalablement protégé d’un grand drap de bain. Décidément, mon intuition pourrait bien se confirmer. Tu me demandes alors de replier les jambes en posant mes pieds au bord du lit. Les cordes commencent à encercler mes cuisses et mes jambes. Rapidement je ne peux plus les étendre. En t’entendant farfouiller, je devine que tu dois être en train de nouer l’autre bout de la corde au pied du lit. Sinon comment expliquer que je perde encore une capacité de mouvement de ma jambe gauche. Le même manège semble se répéter à l’identique du côté droit. Désormais j’ai l’impression d’être un mélange de tortue et de grenouille coincée sur le dos sans possibilité de me remettre à l’endroit. Tu farfouilles encore jusqu’à empoigner mon intimité. Visiblement il manquait un lien à cet endroit. Je sens que tu noues une cordelette à la base de mes couilles en faisant une paire de fruits bien gonflées avant de faire de même à la base de mon pénis qui lui aussi se raidit immédiatement devant tant de pression. Tu peux désormais t’amuser avec une de tes cibles préférées. Il faut dire que cet appendice gorgé de vie et tendu doit être des plus tentants. Ce sont d’abord tes griffes qui farfouillent entre les boucles de la cordelette, malaxant à qui mieux mieux tout ce qui se présente. Il me semble reconnaitre le contact bien « efficace » pour ne pas dire plus de la spatule en bois, bien vite suivi par le petit paddle en cuir. Tu en viens même à user directement du plat de ta main pour venir percuter mes pauvres couilles. C’est sans aucun doute la sensation la plus puissante tant ses effets se prolongent. Mais tu sais ramener le calme soit par ton agréable souffle, ou encore par le doux contact des plumes. Mais celles-ci ne viennent jamais seules. Le manche du plumeau qui leur succède est bien moins doux. Lui aussi réussit à m’arracher quelques couinements. Tous ces assauts localisés me font me tortiller à défaut d’avoir grande latitude dans mes mouvements. Sur ce coup-là, tu as bien pensé ton coup. Le bandeau résiste tant bien que mal à mon agitation. Finalement un répit passager mais bienvenu se présente, le temps que mon intimité reprenne ses esprits. Pendant ce temps, tu viens écrire quelque chose sur l’intérieur de mes cuisses. Ce doit être assez court si mes sens ne me trompent pas. Tu as bien brouillé les pistes en montant sans les cacher une bonne poignée de stylos. Je m’attendais potentiellement à servir de feuille blanche à un roman. Comme d’habitude, j’ignore ce que tu prépares ensuite. J’ai l’impression de distinguer le claquement d’un gant médical sans trop comprendre ce que tu peux bien mijoter. Dans mon esprit, il s’écoule de longues minutes avant que je comprenne. Pourtant j’ai bien senti que tu prenais ma queue en main. Mais pas la suite, ce n’est qu’une fois bien en place, que le traditionnel mais subtil picotement me donne la réponse à mon interrogation. Tu viens de m’introduire la sonde urétrale sans que je m’en rende compte. Qu’il parait loin le temps où j’appréhendais son approche avant même que tu me touches avec. Désormais, je me délecte des sensations procurées. D’ailleurs tu t’amuses à plusieurs reprises à la faire coulisser tout en serrant ma tige histoire de renforcer les effets. Mes gémissements de plaisir se succèdent. Quelle diabolique invention parfaitement exploitée ! Tu « m’abandonnes » ainsi pour te préparer pour le prochain épisode, ce qui a le don de m’inquiéter, non pas de ce qui va suivre, mais par crainte que la sonde disparaisse en moi sans que tu ne la vois. Pourtant, je sais que je ne risque rien tant tu prends soin de moi. Reste à convaincre mon cerveau. Il semblerait aussi qu’un nouveau gant vienne de claquer. Mystère, mystère ! Un doigt éclaire ma lanterne. Ou plus exactement vient s’immiscer en moi. Quelques allers-retours plus tard, il est rejoint par un second, et me semble-t-il, un troisième. Y a pas à dire, ca n’est pas désagréable du tout de se faire doigter. Mes gémissements se renforcement lorsque avec ton autre main tu remets en mouvement la sonde. De plaisants et irrépressibles frissons me traversent. Me voici soumis pour la première fois à une double introduction. J’ai l’impression que si la sonde n’était pas là, je finirais par « exploser ». Tout cela ressemble fort à une séance préparatoire à un fist en bonne et due forme. Mais c’est l’avenir qui me confirmera, ou pas cette intuition. En tout cas, à cet instant, je te remercie intérieurement d’avoir franchi ce cap. Le point d’orgue était encore à venir après avoir joué prudemment mais certainement, tu retires tes doigts avant de les remplacer. Ainsi préparé, j’accepte sans résistance ton gode ceinture, dès lors qu’il se présente bien. D’ailleurs pour te faciliter la tâche, tu m’as fait relever les jambes qui étaient restaient en appui sur le rebord du lit depuis le début de la soirée. Ainsi offert, ton dard peut s’introduire aussi loin que possible. Je me surprends même à essayer de t’enserrer avec mes jambes pour te garder en moi. Depuis quelques minutes, tu m’as libéré du bandeau. Après une phase d’éblouissement imparable avec le lustre au-dessus de nos têtes, je me plonge avec bonheur dans ton regard visiblement satisfait de l’instant. Et je continue à gémir et frémir de plaisir. Mes sens m’emportent à tel point que je ne me rends même pas compte que tu as retiré la sonde. Pour me ramener sur terre, enfin sur le confortable matelas, tu te saisis du faisceau de pailles toujours aussi efficace quand tu viens titiller mes bourses avec. C’est un peu comme me frotter avec une pelote d’aiguilles sans que cela me transperce. Evidemment, je reprends mes petits couinements. Puis c’est le son caractéristique du briquet qui m’indique qu’une bougie est certainement en train de chauffer. Bingo, les courtes mais intenses sensations de brûlures se succèdent encore et toujours sur mes couilles. Tu sembles à disperser un peu partout mais en prenant tout ton temps, à tel point que je finis par me demander si tu n’es pas en train de créer une complète gangue de cire. Imagination erronée ! Une fois n’est pas coutume, tu m’épargnes le nettoyage à ta manière, me laissant retirer la cire en douceur sous la douche. Quelle soirée au contenu inattendu mais Ô combien plaisante et pleine de sensations.
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Par : le 28/04/23
La jeune femme se souvenait comment elle s'était donnée, sans aucune retenue, à trois inconnus, avec cet abandon qui marque le don sans retour, l'entrée dans une sensualité qu'elle imaginait encore plus vaste, dans une confiance sans fêlure, sa Maîtresse s'était effacé dans le sommeil, la laissant brusquement tout à sa solitude, meurtrie qu'elle lui eût imposé son propre rythme, au mépris du tempo de ses sens. Elle avait négligé sans façon son penchant pour les heures sans fin, où l'amour n'est pas borné. Pas respectée, elle s'était sentie outragée par des sexes, et impuissante au surplus, furieuse, d'être si peu entendue, si mal considérée. Il est clair que Juliette n'avait cessé de violer pareillement le rythme intime de son être, de méconnaître cette pulsation qui régulait tous ses désirs. Sans qu'elle puisse se défendre, les trois hommes usèrent de ses trois orifices naturels, avec une prédilection exacerbée pour son anus où, sans préparation, les membres s'enfoncèrent, lui arrachant de véritables cris d'horreur et de douleur, ne se retirant que pour se promener sur ses lèvres, qui furent écartées et ouvertes pour que sa bouche fût imprégnée du goût âcre de sa cavité,  provoquant un écœurement tel qu'elle se sentit prête à défaillir. À demi endormie, comme dans un éclair, elle fut traversée par la certitude, mais aussitôt évanouie, qu'elle l'aimait. Bien qu'elle n'y crût pas, et se moquât d'elle-même, elle en fut réconfortée. Alors, pour la première fois depuis qu'elle la faisait venir deux ou trois par semaine, et usait d'elle lentement, la faisait attendre dénudée parfois une heure avant de l'approcher, écoutant sans jamais répondre à ses supplications, car elle suppliait parfois, répétant les mêmes injonctions au même moment, comme dans un rituel, si bien qu'elle savait quand sa bouche la devait caresser, et quand à genoux, la tête enfouie entre ses mains dans la soie de l'oreiller, elle ne devait lui offrir que ses reins, dont elle s'emparait désormais sans la blesser, tant elle s'était ouverte à elle, pour la première fois, malgré la peur qui la décomposait, ou peut-être à cause de cette peur. Et pour la première fois, si doux étaient ses yeux consentants lorsqu'ils rencontrèrent les yeux clairs brûlants de Juliette. Le plaisir qu'elle prenait à la voir haleter sous ses caresses, ses yeux se fermer, à faire dresser la pointe de ses seins sous ses lèvres et sous ses dents, à s'enfoncer en elle en lui fouillant le ventre et les reins de ses mains, et la sentir se resserrer autour de ses doigts. Charlotte voulut parler, poser une question. "- Un instant, dit Juliette, va dans la salle de bain, habille-toi, et reviens". Charlotte prit les bas noirs, le porte-jarretelle et la jupe, posés sur une chaise près de la coiffeuse et lentement se revêtit. Elle accrocha ses bas aux quatre jarretelles et sentit son ventre et sa taille se creuser sous la pression du corset, dont le busc descendait devant presque jusqu'au pubis. La guêpière était plus courte par-derrière et laissait les reins totalement libre, de façon à ne pas gêner si on ne prenait pas le temps de la déshabiller. L'homme à la gauche de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, sous la jupe, le reflet voluptueux des jarretelles.   Sa Maîtresse, toujours en avance, ou en retard n'avait jamais su aimer son émotivité-fleuve dont les zig-zags étaient si étrangers à son besoin vital de simplicité. À nouveau son irrespect aveugle éclatait, cinglant. Au fil des temps, la jeune fille s'était découvert une envie d'audace dans la façon d'être prise, le besoin même d'être forcée, emmenée loin de ses balises ordinaires par la femme qu'elle aimait, conduite, par elle seule jusqu'au tréfonds de ses peurs les plus tentantes. Charlotte lui en voulait qu'elle n'eût pas deviné qu'elle souhaitait désormais être "sa chienne", et regardée comme telle, parfois dans le clair-obscur de leurs soirées mitonnées pleines de sueur.  Insensiblement, elle écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les yeux baissés son impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, en-dessous, le sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. À la fin du repas, il lui demanda de le rejoindre immédiatement, au rez-de-chaussée, dans les toilettes pour hommes. À peine dans l'escalier, elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. De nouveau, sa jupe fut troussée, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, l'anneau de ses reins fut frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit et, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. Subitement, elle se dégagea, se tourna. Il l'accola face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses reins, comme une épée dans son fourreau. Elle goûta la sensation de cette chair palpitante et mafflue. Lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui prenant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son ventre. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui pinçait les mamelons. Charlotte se complut à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche. Elle suça avec ferveur la verge tendue qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la gorge. Elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la succion.   La jeune femme n'était pas sûre de souhaiter que ce même homme la vît ainsi, qu'il pût superposer sur leur quoditien réglé les images d'elle abandonnée à ses dernières pulsions, rageant dans le plaisir de n'être pas affranchie une fois pour toutes de ses pudeurs.  Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif de l'inconnu. Le gland était beaucoup plus gros que la hampe. Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui enveloppèrent la colonne de chair. Les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à cœur à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Après quoi, il la fit le rajuster, et partit. Un garçon du restaurant, que la soumission de Charlotte, et ce qu'il avait aperçu des lacérations de son corps bouleversaient, au lieu de se jeter sur elle, la prit par la main, remonta avec elle l'escalier sans un regard aux sourires narquois des autres serveurs, et ne la laissa alors, qu'une fois installée de nouveau, dans le cabinet privé du deuxième étage. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre sur un lit de fer. On la déshabilla alors totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle serait offerte à des inconnus. Charlotte allait être fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique. On la cingla alors brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas faire mal, il voulait l'amener à ce degré d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de cette Vénus callipyge.   C'était bien avec sa Maîtresse, dans la sécurité de leur amour ancien, qu'elle eût voulu se risquer sur ces pentes où tout l'être engage sa bestialité pour mieux se refaire une âme. D'une certaine licence sexuelle improvisée ensemble, Charlotte attendait une collision décisive avec sa vie inconsciente. Derrière une fausse apparence d'ingénuité, la jeune fille se découvrait une nature de plus en plus masochiste. Sans avoir le goût pour l'aventure, elle recherchait l'inattendu, pour avant tout se faire peur. Il lui arrivait ainsi de plus en plus souvent de demander à Juliette, l'autorisation d'être battue, sans être attachée par des bracelets à une croix, à ses poignets et à ses chevilles, juste pour le plaisir de se surpasser dans le chemin de sa soumission, lui offrant ainsi la plus pure preuve de son abnégation. On prit le parti de lui concéder cette grâce. Confiance aveugle où elle devenait elle-même aveugle lorsqu'un bandeau, un masque de cuir ou une cagoule recouvrait ses yeux, lorsqu'elle devait se soumettre à certaines épreuves, en des lieux et avec des tiers connus d'elle seule. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia alors la chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées. L'orgueil qu'elle mit à résister et à se taire ne dura pas longtemps. Les invités l'entendirent même supplier qu'on arrêtât un instant, un seul. Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, quand elle ne put plus résister, elle céda. Tel un pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence rejoignit alors la nuit. Charlotte, les yeux mi-clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement. Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir. Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident. Elle s'y attendait pourtant, haletante, les tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était enfoncé. Sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité. Il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués. Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la pénétra profondément entre ses reins. Le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler. Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie, maudite, mais heureuse. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée mais paradoxalement libérée. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit à même le sol, nue et épuisée. Souillée de sperme et de sueur, chancelante, seule dans le noir, elle se caressa lascivement dans l'obscurité, portant ses doigts à sa bouche, pour mieux se délecter de ce substrat mêlé, visqueux et glutineux, miel de son propre suc et de la semence des Maîtres, avant de sombrer dans la nuit, rassasiée et heureuse.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/01/22
Envie de t'avoir couché à mes pieds. Ma main tendrement repliée sur le cuir d'une poignée, mes doigts bagués remontant lentement les maillons d'une chaîne d'acier dans un cliquetis qui te remonte jusqu'à l 'échine... Clic! Clic! Clic! Clic! Avance jusqu'au loquet refermé sur cet anneau tant convoité, je tire doucement sur cette laisse pour que tu te redresses. Envie de te sentir, te toucher, te savoir à moi... Passer mes doigts autour de ton cou, longer ce ruban de cuir qui fait de toi le Mien. Tirer un peu plus sur ta laisse pour que tes lèvres prennent place sur ma cuisse, à moitié relevé, à demi endormi, je te mets à proximité de mes envies intimes... Ma main glissée sur ton collier te guide vers mon ventre Ton silence est le plus précieux des plaisirs que tu puisses me donner en pareil moment. Etre juste là, au pied de mon lit, au bout de ma laisse, sans rien attendre de plus que servir pour mon plaisir... Plaisir que je veux ressentir en caressant ta tête au- dessus de mon sexe, sans mots , sans ordres, sans aucune contrainte, profiter de la chaleur de tes lèvres immobiles. Les embrasser des miennes déjà humides, onduler mes hanches langoureusement plaquer un peu plus fort, serrer mes doigts sur ton crâne pour mieux te sentir, te laisser plonger le nez dans mon intimité, petit à petit, maintenir plus fermement ton collier, plaquer plus durement ta tête, accélérer le balancement de mes reins et laisser monter mon plaisir... Activer mes doigts sur toi, descendre sur ton dos, tirer la laisse sèchement un bon coup, placer ta bouche sur ma chatte et planter mes griffes dans ta peau... Aller chercher ma jouissance et la déverser dans ta bouche, déchaîner mes hanches accrochée à ton cou et gémir de plaisir, encore plus fort t'agripper encore plus vite basculer va et vient accentué de mes lèvres contre ta langue, je n' en peux plus d'attendre. Je tire tout, te retourne à terre ,au sol t'emprisonne la tête entre mes cuisses, branle ma fente sur ta bouche que tu m' ouvres, les mains empoignant ton corps sans lâcher le cuir de ton collier ni celui de ta laisse... Je me branle jusqu'à m' en faire jouir une première fois, me redresse à peine, plonge mes doigts en moi, les actionne là où se gorge mon foutre, et l'expulse sur ton visage en jouissant une seconde fois... Tu recueilles plus ou moins en silence mon jus, je fini plaquée sur toi mes mains desserrent leur emprise, caresse le bandeau de cuir qui entoure ton cou. Je repose mes fesses dénudées sur ton ventre, repose ma tête sur ton épaule, reprend mon souffle sans jamais dire un mot... Je suis bien... Je te sens bien... Tu es Mien... Je prend tes mains une à une et les place sur mon corps, t'offre en cadeau le contact de ma peau... Encore un moment.... Encore un peu... Me redresse doucement, dépose un baiser sur ton téton, fait lentement glisser les maillons de la chaîne contre mes bagues, Cliquetis qui s'éloigne. Clic! Clic! Clic! Clic! Je remonte sur mon lit, le cuir de la laisse dans ma main, je rabat les draps sur moi et m' endors paisiblement...
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Par : le 13/06/23
D'un coup, ce prénom était sorti de la gorge de la jeune femme, qu'elle avait étroite en cet instant. L'homme se retourna, tandis qu'elle venait à lui, sans préméditation, avec cette simple envie de l'enlacer, de l'ébouriffer de caresses. Mais il se devait de la dominer sans sentimentalisme. Alors, il se contourna tout à fait vers Charlotte, toujours allongée sur le ventre. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit claire de pleine lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, losqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il lui avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les fesses et l'avait pénétrée ainsi, tout habillée. Jamais Charlotte n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol, peut-être, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de Xavier. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Longtemps et à son rythme. Il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car Charlotte lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait bousculée, insultée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir.   Surprise, elle se laissa faire, et cet outrage sans méthode eut le goût d'une première fois, sous un ciel tout en clarté que ne contrariait aucun nuage. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer sans doute, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes sur le sol et au milieu du séjour. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. " Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la terreur et la honte, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de Xavier s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. Pour leur plus grand bonheur. - Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi. Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où Xavier la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel Charlotte, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles: là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses.   Alors soudain elle se ravisa, et songea qu'elle avait perdu la tête d'éconduire un homme pareil, un si concerné par elle. La taille de cette passion lui fit honte. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau. À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ? Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois me tenir sur les omoplates, les jambes très écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le protocole de nos relations. La manière dont, je devrais toujours me mettre à genoux. La lingerie que je devrais porter dorénavant, et ne pas porter, surtout. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, devant une sorte de lourd guéridon bas où reposait une fine cravache. Xavier m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les reins, en stries parallèles bien nettes. "-Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plus, mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais le visage brouillé de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. Voilà que cela fait deux ans que cela dure.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
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Par : le 22/04/13
Dans toutes les soirées passées, j’ai fait connaissance de beaucoup de monde et mon carnet d’adresses était bien rempli. Un jour que j’étais invitée chez des amis, la conversation est tombée sur ce sujet. Chacun notre tour nous avons évoqué des fantasmes que nous avions en tête. Comme beaucoup de femmes et je suppose d’hommes, nous avons tous des fantasmes. Pour avoir lu des études sur ces fantasmes, il en ressort qu’en fin de compte ils sont sains, et permettent d’entretenir une certaine libido. J’évoquais le fantasme d’un viol collectif ou de se transformer pour un soir en prostituée, une amie aurait souhaitée être baisée par un inconnu dans la rue, devant son mari. Une autre voulait connaître ce que procurait la douleur physique pour ensuite arrivée à la jouissance. Un homme évoqua le fait d’être violé par plusieurs femmes devant sa femme, un autre par des hommes également devant sa femme, une autre femme raconta que depuis son adolescence au pensionnat, elle rêvait de faire l’amour avec une femme déguisée en bonne sœur etc. Tout un programme. Le tour de table terminé, nos esprits étaient assez échauffés, mais la soirée s’est terminée sans que personne ne prennent l’initiative d’une soirée plus érotiques (pour une fois). Avant de partir un de mes amis évoqua l’idée que nous pourrions organisés chacun de notre côté le fantasmes d’un autre, tout cela dans le plus grand secret. Après un court instant de réflexion, l’idée fut adoptée à l’unanimité. Donc chacun d’entre nous fera tout pour réaliser les fantasmes d’un autre ou d’une autre. Je rentrais chez moi, en me demandant quels fantasmes allait-on réaliser pour moi et lequel j’allais réaliser pour mes amis. Je décidais d’organiser le viol de cet ami par des hommes, je trouvais l’idée intéressante, n’ayant jamais vue d’hommes entre eux. Trois semaines plus tard, sous prétexte d’un service à demander, j’organisais chez moi un diner en tête à tête avec le couple dont l’homme avait émis le souhait de se faire violer par des hommes. Le diner se passa sans visiblement qu’il ne se doute de quoi que se soit. Passé au salon, je m’absentais un moment, pour aller ouvrir la porte d’une chambre ou étaient depuis le début de la soirée 4 copains, prêt à tout pour satisfaire mon ami, bien qu’ils ne soient en rien homosexuels. Ils firent irruption dans le salon, saisirent le « condamné », le déshabillèrent complètement, et commencèrent le travail pour lequel je les avais conviés. Le pauvre ne s’attendait pas à un tel assaut, il dut faire une fellation à un, se faire sodomiser par un autre. Sa femme regardait la scène médusée, visiblement le fait de voir son mari abusé par d’autres hommes, le mettait dans un état d’excitation extrême, Je m’en aperçu, je m’approchais d’elle, commençais à lui caresser les seins, puis ma main est descendue vers son sexe, elle ouvrit immédiatement les cuisses, se laissa pénétrée, les yeux rivés sur les fesses de son mari entrain de se faire sodomiser pour la troisième fois. Ne pouvant pas la laissée dans cet état, je demandais à un des 4 « invités » de s’occuper d’elle, Il l’a fit mettre à quatre pattes sa tête en face de celle de son mari et lui pénétra les reins. Ils se faisaient sodomiser en même temps. D’un fantasme, j’avais réussi, sans le vouloir, à en réaliser d’eux. Elle n’avait pas avouée qu’elle souhaitait être enculée en même temps que son mari, de peur que celui-ci refuse. Il faut toujours dire ce que l’on souhaite faire ou se faire faire, dire la vérité sur soit, dire ses fantasmes, dire que les autres sont des hypocrites, qui trompent leurs femmes ou leurs maris au lieu de faire ça ensemble, la jouissance est alors multipliée à l’infini. Et puis le temps passa, sans que je repense trop cette organisation. Un soir après un diner avec un de mes meilleurs amis, je l’appellerais Michel, qui était présent à cette fameuse soirée, dans la voiture qui nous conduisait à son domicile, à un arrêt au feu rouge, il me tendis un bandeau noir et me demanda de le mettre sur les yeux. Je m’exécutais, un peu inquiète tout de même. Nous avons roulé encore quelques temps, et nous nous sommes arrêtes. Cette mise en scène me rappela le roman « Histoire d’O » lorsque « O » est emmené par son amant René dans le château de Roissy. Je l’entendis couper le moteur, descendre de la voiture, m’ouvrir la portière et m’aida à descendre. J’ai entendu des voix autour de moi, puis une porte s’ouvrir, mes pas résonnaient sur ce qui devait être un sol en carrelage. Nous avons monté un étage et j’ai senti qu’on me faisait rentrée dans une pièce qui résonnait aussi à mes pas. Toujours les yeux bandés, une main vint me faire descendre la fermeture éclaire de ma robe, ensuite retirer mes chaussures. On m’allongea sur ce j’ai cru être une table, mais légèrement rembourrée, on me leva les jambes, j’ai senti qu’on les reposait en hauteur et qu’on les attachait avec des sangles. Je compris instantanément que j’étais allongée sur une table de gynécologue. On m’a prise par la taille et tirée vers le bas, je me suis retrouvée dans la même position que chez mon toubib, les fesses justes au bord de la table. Michel qui était toujours là, me dit alors que je devais garder mon bandeau. On m’attacha également les mains aux sangles de la table. A ma droite, j’entendais des bruits, des gémissements, des râles. Et puis ça a commencé, j’ai senti un homme me pénétrer brutalement, mon sexe pas encore humide reçu ce sexe assez gros avec une forte douleur. Puis au bout d’un temps assez court, je l’entendis jouir et se retirer aussitôt, par contre je ne sentis pas son sperme dans mon vagin, il devait porter un préservatif. Puis un autre aussitôt arriva et tout recommença. J’étais où ? La question me taraudait l’esprit malgré la douleur persistance du premier assaut. Et une suite sans fin de pénétrations se succédèrent à une rythme soutenu, je n’arrivais pas à jouir et à me libérer complètement pour pouvoir apprécier cette séance. C’est quand mon ami me dit, « ça fait vingts mecs qui te baisent » qu’est venu mon premier orgasme. Était-ce le fait du nombre, l’idée que trente hommes m’avaient pénétré et joui en moi qui m’a fait cet effet, en tout cas je jouissais. La séance continua, je devenais folle, mon sexe commençait à me faire très mal, je sentais que de temps en temps on me mettait dans le vagin un gel lubrifiant. J’appelais mon ami, et quelqu’un me dit alors qu’il était parti. Prise de panique je hurlais, mais une main ferme me cloua la bouche et un bâillon termina d’étouffer mes cris. Combien de temps je suis restée sur cette table à recevoir sans dis continué des dizaines d’hommes en moi, je n’en avais pas la moindre idée. Puis brusquement tout s’arrêta, je reconnus la voix de mon ami, on me détacha les mains, et me retira le bâillon et le bandeau. Un spectacle d’horreur s’offrit à moi, sur une table à droite, était attachée une femme, et une longue fille d’hommes attendaient le sexe à la main, de se soulager en elle. Elle était visiblement très jeune tout au plus 18 ans. Elles subissaient les assauts des hommes, certains la baisait, d'autres l'enculait, mais, à l’inverse de moi sans préservatif, alors je vis une vieille femme arrivée un tuyau d’arrosage à la main l’introduire dans le sexe de la fille et ouvrir le robinet. L’eau gicla avec violence, le sperme mélangé à l’eau s’évacua, puis elle retira le tuyau et l'introduit dans l'anus et recommença puis elle la sécha rapidement avec une serviette et sans autre soin, le supplice recommença aussitôt. Elle semblait dans un état second, certainement droguée. On me détacha complètement et on m’emmena dans une autre pièce où j’ai pu prendre une douche. Je demandais à Michel ou je me trouvais, Il me répondit dans une maison close du 18eme arrondissement de Paris, fréquentée uniquement par des maghrébins et des africains, il ajouta une maison d’abattage, ou les femmes récalcitrantes étaient amenées pour être punies. Je lui demandais, « combien d’hommes m’ont baisée », « tu veux vraiment le savoir » me dit’ il. Il hésitait un moment et me répondit « Bien plus de 70 hommes t’ont baisée, tu es restée 7 heures sur la table, mais tu sais ils sont tellement excités qu’ils jouissent au bout de 3 ou 4 minutes surtout dans une femme blonde ». Comment j’avais pu supporter cela. Il me dit : «ce n’est rien, les femmes qui sont amenées ici subissent plus de 300 passes par jour. Elles restent en moyenne entre 8 et 30 jours, elles dorment 2 à 3 heures par jour. Le bordel étant ouvert 24h sur 24. Ils y a celles qui sont amenés également sur les grands chantiers. Elle sont enfermées 24h/24 dans un bungalow et subissent aussi autant de pénétrations sans compter les coups qu'elles prennent si elles se rebellent. Et puis il y celles qui sont envoyées dans des soirées privées, et là tout est permis sur elles". Puis il ajouta, " j'ai eu connaissance de trois filles qui ont été torturées à mort, les seins coupés, le clitoris coupé ainsi que les petites et les grandes lèvres intimes. Quand elles ont été retrouvées dans un décharge, elles avaient dans le vagin et l'anus des bouteilles de biere qui avaient été cassées à l'intérieur, sans doute à coups de marteau. Elles avaient les doigts coupés pour ne pas pouvoir les identifiées. L'autopsie à prouvée que la mort avait été provoquée non pas par les tortures, mais une balle dans la nuque. Ces "soirées" sont généralement filmées et les cassettes sont vendues à prix d'or par des réseaux spécialisés. Le pire ça été dans une grande propriété abandonnée, près de Chantilly, il a été trouvé une fille suspendue par les mains dans une cuve d'acide, son corps ou plutôt ce qui en restait était plongé dans le liquide jusqu'à la taille. Ses seins avaient été perforés de long en large par une longue tige métallique type fer à béton qui avait été affuté et qui entrait dans le sein gauche et ressortait par le sein droit a laquelle était attaché aux extrémités deux parpaings ce qui faisait pendre ses seins jusqu'au milieu du ventre. Son visage intact mais avec la langue coupée, montrait des traits déformés par la souffrance. L'horreur à l'état pur". Il continua " Aux USA, on a trouvé une femme qui avait été découpée vivante suivant le supplice chinois des sept couteaux. Un couteau servait à découper les seins au raz de la cage thoracique. Un petit couteau servait pour retirer chez les hommes les testicules de leurs enveloppes et ouvrir le sexe dans sa longueur et pour la femme la totalité du clitoris et des lèvres, un autre à couper les muscles des bras et des cuisses, un plus grand, les articulations des coudes et des genoux. Le bourreau terminait son œuvre par l'ouverture de l'abdomen, laissant ainsi échapper tous les organes. Le bourreau s'appliquait à laisser la femme ou l'homme ainsi torturé vivant le plus longtemps possible". J'atais blême au bord d'être malade. Nous sommes ressortis de ce bordel, il faisait grand jour, des hommes faisaient la queue devant la porte. Je remarquais la façade de l’immeuble, ça ressemblait à un ancien cinéma. Je demandais alors à Michel, « mais les flics n’interviennent pas, les maisons closes sont interdites en France» Il me répondit, « c’est vrai que les maisons closes sont interdites, mais la police ferme les yeux, ça permet de diminuer l’agressivité dans ce quartier ». Il me semblait bien au courant, et il avait de drôles de fréquentations, comme je ne lui avais jamais demandée le métier qu’il exerçait, je profitais de l’occasion : « Moi je suis flic, Inspecteur Principal si tu veux savoir ». Et comme pour se dédouaner, il ajouta : « Tu sais on fait des descentes de temps en temps,… pour la forme , et pour ce qui est des trois filles torturées, c'est moi qui avait été chargé de l'enquête ». Le jour où j’avais parlé de se transformer pour un soir en prostituée, j’avais imaginé plutôt en call girl ou sur le trottoir, faire une fellation et me faire sauter dans une voiture, j’étais loin de m’imaginer qu’on me mettrait dans une maison d’abattage. J’aurais mieux fait de me taire, mais j’avoue qu’avec le recul, l’expérience que j’ai subie m’a fait comprendre le calvaire de ses femmes soumises à ces tortures physiques et aussi morales, car pour tenir le choc pendant un mois voir plus, si la fille est très jeune et jolie, à ce rythme là, beaucoup reçoivent des doses importantes de drogue. Elles ressortent de cet enfer complètement détruites moralement et physiquement. J’avais pour ami un flic ripoux. Bon ripoux j’oublie, mais flic, ça pouvais toujours servir. Mon fantasme avait été exhaussé à la puissance 100. Mais juré promis, craché, je ne recommencerais jamais. Quelques temps plus tard ou je prenais le métro à Stalingrad pour allez vers la place Clichy, du métro aérien à la station Barbès, je me remémorais ce qui c’était passé dans ce bordel devant lequel s’allongeait une file d’hommes prêts a assouvir leurs besoins sexuels sur des femmes esclaves du sexe. Je repense souvent à elles. Si cet ami ne m’avait pas fait connaître cette partie cachée de l’univers de la prostitution, je n’aurais certainement pas cru qu’une telle dégradation de la femme puisse exister. Ces maisons ont été fermées quelques temps plus tard. Ce qui n’a rien changé au problème de la prostitution. A suivre
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Par : le 06/01/17
Depuis le matin, nous étions affairés à tout préparer... Elle, la matinée, à tout ranger, tout nettoyer, d'abord, entièrement nue, bien sûr, en dehors de ses talons hauts, de son collier et des quatre bracelets de cuir et d'acier qui ornaient son cou, ses poignets et ses chevilles, ainsi que de la petite chaînette d'argent qu'elle portait de façon permanente à sa cheville gauche comme symbole discret de son appartenance... Il faisait un peu frais, bien sûr, dans la maison, en ce début d'hiver, mais l'activité fébrile l'empêchait d'avoir froid. J'avais eu envie de la prendre, plusieurs fois, sauvagement, sans crier gare, basculée sur le dossier du canapé ou jambes écartées face au mur, à la voir ainsi, nue, désirable, la peau un peu humide de transpiration... Mais je savais qu'il fallait réserver mon énergie vitale - et la sienne - pour le soir ! J'étais donc sorti faire les courses prévues pour cette soirée à venir, et je m'étais ensuite occupé de mettre le champagne au frais, puis de mettre en place l'accueil prévu à l'extérieur... Nous avions ensuite déjeuné rapidement, sur le pouce, et fait une petite sieste, afin d'être au mieux de notre forme ! Bien sûr, pour ce jour spécial, elle avait dormi attachée dans sa cage, sortie spécialement pour l'occasion, au pied du lit, un masque sur les yeux, afin de la mettre en condition pour l'évènement à venir... Puis nous avions continué nos préparatifs... Elle, en cuisine... Pour l'occasion, elle avait ajouté à sa panoplie un tablier de cuisine court, en coton beige écru festonné de feuilles d'oliviers, qui lui arrivait en haut des cuisses, laissait deviner largement le sillon de ses seins, et bien entendu la montrait entièrement nue de dos, en dehors des deux fines cordelettes nouées au creux des reins et autour du cou... Et tout l'après-midi, elle avait confectionné de petits plats pour le buffet du soir : un cake salé aux olives vertes et noires, de petits roulés de jambon cru au fromage frais de brebis, de petits pains suédois croquants en canapés au saumon et tomate cerise, des roulades de poivrons rouges au thon et à la feta, des boulettes d'aubergine au parmesan, et de petites barquettes de feuilles d'endive aux crevettes, coriandre et pointes d'asperges... Puis elle avait préparé un beau plateau de fromage, agrémenté de petites grappes de raisin blanc. De mon côté j'avais utilisé ce temps pour vérifier le chauffage et les éclairages de la pièce, pour disposer les cordes, les plugs, la cravache, le fouet et autres accessoires à l'emplacement approprié, sur la petite console adossée au mur, et tester la solidité des anneaux d'acier noir vissés dans les poutres du plafond... J'avais aussi pris le temps de disposer plusieurs dizaines de bougies, toutes de couleur rouge, partout dans la pièce. Puis j'étais allé sélectionner les musiques qui agrémenteraient notre soirée, et les parfums d'encens qui lui donneraient cette atmosphère exotique et voluptueuse... Enfin, pour parfaire le tout, j'avais allumé un grand feu dans la cheminée, avec ce mélange si particulier et si odorant de chêne blanc et de ceps de vigne qui embaumaient la pièce d'un parfum de vendanges d'automne ! Le temps ainsi était vite passé... J'étais un peu frustré, car il ne se passait jamais une journée entière sans que je la prenne, la possède, sans qu'elle me fasse jouir ou que je lui procure un orgasme... Mais il était déjà dix-huit heures, et nous aurions le temps de nous rattraper plus tard dans la soirée, cela était certain ! J'appelais ma bien-aimée soumise : il était temps pour les derniers préparatifs avant de recevoir nos invités, nous habiller ! Elle savait ce que nous avions choisi et commandé ensemble pour cette occasion, je n'avais pas besoin de le lui rappeler... Elle savait aussi ce qu'il lui restait à préparer avant que je ne revienne avec les invités... Il était temps pour moi d'aller les chercher ! J'avais rendez-vous avec eux dans un bar du village voisin... Le temps d'un verre ensemble, et de m'assurer qu'ils avaient bien compris les instructions pour cette soirée... J'entrais dans ce bar que je connaissais surtout en terrasse au soleil, l'été... Une atmosphère paisible et un peu désuète y régnait, entretenue par une chaleur confortable, par une douce pénombre trouée de quelques halos de lumière chaude diffusés au travers de lampes à abat-jour et de spots harmonieusement répartis, par ces banquettes de cuir rouge surmontés de hauts miroirs encadrés de bois sombre vernis, et par cette musique jazzy de temps plus anciens... Il y avait peu de monde à cette heure intermédiaire entre les amateurs de thé de de chocolat chaud de l'après-midi et les premiers inconditionnels de l'apéro accoudé au bar de zinc. Vers le fond de la salle, dans un coin, un jeune quinqua à l'air encore fringuant, la peau hâlée et creusée d'un marin, le nez fin surmonté de lunettes rondes d'intellectuel un peu mystique, avec un cahier, un stylo et un livre que j'identifiais comme étant le Magellan de Stefan Zweig posés devant lui... Plus au centre, tournée vers la baie vitrée de la façade, une femme attablée devant un thé citron et qui semblait habituée des lieux, et habitée d'une vie intense, l’œil vif au regard malicieux et pétillant, et dont émanait une sensualité irrésistible, semblait plongée dans de profondes pensées, comme flottant dans un autre univers... Et près de l'entrée, un couple attablé devant deux tasses de thé encore fumantes devisait tranquillement : je reconnus immédiatement mes deux visiteurs attendus, et m'approchais de leur table. Ils se levèrent pour nous saluer. Elle, dénommée V., une belle femme élancée et souriante, la quarantaine épanouie, emmitouflée dans un beau manteau au col de fourrure et doublé d'une longue cape évasée qui emmenait le regard jusqu'à ses bottes de cuir noir à talons hauts qui dépassaient au bas de la doublure... Lui, prénommé H., un beau métis élancé et musclé, la quarantaine affirmée, vêtu de façon très élégante sous son épaisse parka en mouton retourné gris anthracite et d'une longue écharpe de cachemire et soie aux discrets motif monogrammés dans une dominante violette foncée enroulée nonchalamment autour de son cou ... Je ne pus m'empêcher en le saluant de jeter un coup d’œil rapide sur la bosse qui tendait son pantalon de cuir noir au niveau de l'entrejambe, et qui semblait répondre aux promesses de nos échanges lors de la sélection que j'avais opérée ! Sophie, la jeune serveuse brune et accorte, aux fesses légendaires et à la voix gouleyante que je connaissais un peu, prit ma commande de thé aux épices, et nous nous avons discuté un petit moment avec mes deux invités du jour, pour faire connaissance, et m'assurer une dernière fois en réel et en face-à-face que l'impression était bonne, et qu'ils correspondaient à ce que nous attendions d'eux pour cette soirée si spéciale ! Il était près de 19h. La nuit était tombée. Un autre homme entra et vint saluer l'homme attablé au fond d'une bourrade amicale... Quelques habitués commençaient à s'agglutiner au zinc pour l'apéro. Il était temps pour nous de quitter les lieux, et de rejoindre Â, comme prévu. Mes deux invités me suivirent, et je les invitais comme convenu à l'avance à laisser leur propre voiture sur le parking et à monter dans ma voiture, après qu'ils eurent chacun récupéré dans leur véhicule un petit sac de voyage, dont je connaissais le contenu... Une fois installés, je leur tendis à chacun un petit foulard de soie noire. Ils en savaient la raison : notre destination finale ne devait pas être connue d'eux, et ils s’exécutèrent docilement en se bandant les yeux. Je leur dis avec un sourire malicieux : "Ce n'est pas tous les jours que deux Doms se font bander les yeux !", ce qui déclencha un petit rire collectif et mis une ambiance joyeuse dans la voiture pendant ce court trajet de retour ! Dix minutes plus tard, nous arrivions à la maison. Il était 19 heures précises, le timing était parfaitement respecté. Je garais la voiture sous le grand tilleul, comme j'en avais l'habitude, et leur dis : "Vous pouvez ôter vos bandeaux". Et nous sortîmes de la voiture. Les photophores éclairaient l'allée de cyprès depuis le portail de l'entrée jusqu'à l'entrée de la maison, dont le porche était encore entouré d'une guirlande de Noël à la douce lumière chaude et scintillante. Je les invitais à entrer dans la maison, et à se débarrasser de leurs manteaux. L'occasion de me rendre compte que V. ne portait pas juste des bottes ordinaires, mais de grandes cuissardes qui gainaient ses longues jambes jusqu'à mi-cuisse : j'appréciais la vision sensuelle et exquise ! C'était le moment d'entrer dans le lieu de nos réjouissances à venir ! J'ouvrais la porte, et les fis entrer devant moi. Et nous restâmes là tous les trois un instant à admirer le spectacle qui s'offrait à nous et à nous imprégner de l'ambiance, comme saisis par la magie de l'instant ! Le feu crépitait dans la cheminée, dégageant sa subtile odeur de bois et de vendanges qui se mêlait aux parfums d'ambre musqué des bâtonnets d'encens... Des dizaines de bougies rouges faisaient danser leurs ombres vacillantes sur les murs de pierres banches et les plafonds aux poutres apparentes... La musique de l'album 'Climax' de Molecule (https://youtu.be/hvxBsffzQr0) faisait vibrer l'air de ses harmonies sensuelles et charnelles... Dans un angle était dressé une joli buffet où chaque plat invitait aux plaisirs épicuriens de la gourmandise... Le long d'un grand mur était disposé une immense bibliothèque dont les étagères montaient jusqu'au plafond, munie d'une barre de laiton horizontale à laquelle s'accrochait une échelle de bois permettant d'accéder aux ouvrages les plus en hauteur... Deux profonds canapés de cuir nubuck et un grand pouf couleur fauves trônaient au centre de la pièce autour d'une table basse en teck massif aux formes asiatiques arrondies dans leur teinte naturelle imperceptiblement cérusée de blanc et imprégnée d'huile de lin... Le long d'un autre mur était disposé une longue console de fer forgé et verre, sur laquelle étaient étalés mes accessoires de jeu... Et, dans un espace vide de la pièce pendaient plusieurs cordes de chanvre épaisses, suspendues à autant d'anneaux d'acier noir fixés aux poutres du plafond... Mais nos yeux étaient évidemment irrésistiblement attirés par un autre spectacle... Celui de Â, en position d'attente et de soumission, à genoux, cuisses écartées en V, bras croisés dans le dos, tête baissée... Et entièrement vêtue de rouge, de noir et d'argent : des escarpins ouverts aux talons vertigineux en peau façon croco, des bas couture de nylon noir, un serre-taille au fond rouge agrémenté de fines dentelles noires, lacé dans le dos, auquel étaient reliés les bas dans la partie inférieure par quatre porte-jarretelles de soie noire, et qui dans la partie supérieure soutenait ses seins entièrement apparents... Une fine tunique de tulle rouge transparente à deux pans brodée de motifs en forme d'arabesques orientales masquait partiellement son torse aux regards, laissant deviner plus que voir le serre-taille et ses formes sensuelles, et laissant les bras nus... Une chaînette de cheville en argent luisait à la lueur des bougies et du feu de bois, et deux larges bracelets en argent ciselé enserraient ses bras au niveau du biceps... Enfin, elle était nantie de quatre bracelets et d'un collier de cuir rouge munis chacun d'un anneau d'acier aux poignets, aux chevilles, ainsi qu'à son cou... J'étais moi-même subjugué par la beauté de  à cet instant, et laissait mes invités absorber le choc émotionnel que visiblement cela leur procurait, si j'en croyais leur visage ébahi et leur silence éloquent - sans parler de la bosse du pantalon de H. que je voyais nettement prendre de l'ampleur ! Puis je rompis le charme : "Je vous présente Â, ma soumise bien-aimée. Â, je te présente V. et H." V. et H. saluèrent  de vive voix : "Bonsoir Â, vous êtes superbe", dit V. tout d'abord. "Bonsoir Â, je suis très heureux de faire votre connaissance ce soir", a ajouté H. Ensuite.  répondit sans lever les yeux, et en inclinant le buste vers l'avant : "Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur, soyez les bienvenus". Je continuai : "Comme vous le savez, cette soirée est spéciale. Mais avant toute chose, déposez ce que vous avez apporté avec vous sur la console, là-bas". V. et H. se dirigèrent d'un pas commun vers l'endroit désigné, posèrent leur petit sac sur le sol, et en sortirent chacun un long fouet aux lanières de cuir qu'ils déposèrent sur la console, à côté du mien. "Bien, vous pouvez maintenant vous installer confortablement dans les canapés.  va nous servir le champagne, puis nous pourrons profiter du buffet dînatoire avant de commencer les festivités !"  se leva pour aller chercher le champagne, un Laurent-Perrier rosé millésimé... J'échangeais un regard avec elle au moment où elle revint dans la pièce, portant un plateau avec la bouteille et quatre coupes de cristal Baccarat, et vis ses yeux refléter les milles lueurs des bougies de la pièce, mais aussi scintiller d'un mélange d'angoisse et d'excitation que je sentais monter en elle... J'étais fier d'elle, et je savais que la soirée serait la plus merveilleuse de notre relation jusqu'alors...
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Par : le 19/03/17
Vendredi (janvier 2017) Son message Sois prête pour ce soir 19h. Tenue sexy, lingerie fine, Épilée, maquillée, avec ton collier, tes bracelets... Destination surprise... Je mis une jupe avec un haut léger, portes jarretelles et bas noirs Il vint me chercher à l'heure Je l'attendais dans le salon A genoux Lui tendant les bracelets Il m'emmena chez lui pour le dîner Puis, dans la voiture, il me banda les yeux Effet bizarre quand on ne connaît pas la destination… Je ferme souvent les yeux en voiture, mais là, c'est différent Je ressens les bosses, les virages, je tente de reconnaître Mais tout est faussé, l'impression de rouler en marche arrière est déboussolant Un dernier virage et on s'arrête les pneus montent sur un trottoir, j'ai un petit doute sur le lieu à ce moment là Il sort de la voiture, puis m'aide à y sortir à mon tour Il me guide, on entre dans le lieux qu'il m'a choisi, tout est silencieux, j'entends des clés… Il continue à me guider, quelques pas de plus, il me retire le bandeau, j'ouvre doucement les yeux… Un vestiaire, oui, celui d'un club sympa ou l'on y retrouve souvent nos amis du milieu BDSM Je me met en tenue légère, on se dirige vers le bar On y salue les gens, un couple me reconnaît, des gens que j’apprécie DJ, boissons, grignotage tout y est Après quelques danses, il m'emmène à l'étage, une pièce se prête bien à nos jeux Une chaise un peu spéciale qui me tient les jambes écartées, attachées, les bras ainsi que la tête se retrouvent maintenus à leurs tours Il s'amuse avec moi, de ses mains agiles, il fait monter la tension, puis redescendre aussi sec Je suis sa proie.. Un curieux s'installe dans le fauteuil en face et mate, il me souris Je ressens l’excitation de mon Maître qui renforce les sensations Il use de quelques instruments pour varier telle que la roulette... Je gémis, il ne lâche pas, je pousse des petits cris, rien y fait, il a décidé de me faire jouir en public Je tente de me débattre mais les attaches sont bien fermées Je ravale ma salive tant bien que mal, il me souris il sait parfaitement que je ne tiendrais plus bien longtemps, puis un ordre sec « tu ne jouis pas tant que je ne te donne pas l'autorisation » Merde…. J'allais venir Concentration, je serre les dents, il me sens venir et me rappelle à l'ordre d'un ton encore plus sec Je me tortille, il souris, d'autres gens m'entourent et attendent que je puisse me lâcher Il continue la torture, je respire comme un toutou Et, enfin le mot libérateur «  jouis, vas y jouis, lâche toi » Tous mes muscles se relâchent avant de se contracter à nouveau pour me laisser finalement jouir A part, le regard de mon Maître, je ne vois plus personne… Il me détache fièrement de cette chaise et m'emmène dans la cage qui se trouve à proximité, à l'intérieur, un grand lit Il prends les cordes, il m'allonge sur le ventre et m'attache les poignets, la corde est reliée aux barreaux de la cage Il fouille dans son sac, il se pique à la roulette. « Aïe » Je pouffe de rire, la morsure du martinet se fait sentir sur mes fesses, j'en ris de plus belle Il m'attrape par les cheveux, les secoue un peu, le martinet claque plus fort, ça calme….. Il joue de mon corps, un coup douleur, un coup douceur Des mains étrangères passant à travers les barreaux, me caressent le bras, me tiraillent les cheveux, je sais qu'il observe, qu'il ne laissera pas déraper, j'ai confiance Je me laisse totalement aller, livrée à lui et ses envies Je sens qu'il a envie de prendre possession en moi, il y parvient sans difficulté Il s'introduit, malgré les regards d'autres gens, une première, ça m'excite Un coup plus doux, un coup plus fort, acte de folie, les gouttes de sa transpiration dégouline sur moi Je ne m'entends plus, je ne suis plus moi-même , je gémis, je râle je cris Rien ne l'arrête Puis, son râle, celui que j'aime…. Il me détache doucement, me tient fort contre lui jusqu’à ce que je revienne doucement à moi puis, m'emmène sur la table de massage ou, de ses mains, il m'apporte tout son bien être Une soirée superbement réussie, Merci Maître Je t'aime Maître
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Par : le 16/06/20
Presque 24h, un peu moins. Un timing plus que serré. Plein d'envies et de désirs, alors je ne perds aucune de ces heures, je fonce. Je teste une nouvelle cravache, elle claque,mais marque trop légèrement. A peine dévêtu, encore sous le coup des kilomètres et d'une fin de conduite pluvieuse. Je ne lui laisse pas de repos. Il sait. Il désire mais sans l'avouer, il provoque, recule, approche puis obéit. Je veux poser une de mes empreintes : tout de suite, ne pas lui laisser le temps de réfléchir, le cueillir à froid pour le réchauffer et m'échauffer avant les prochaines heures. Il sait. Le stick claque sans bruit. Un long gémissement pourtant. Main droite, main gauche, stricte application au centre de ses fesses, je frappe pour obtenir cette marque particulière lorsque l'extrémité vient éroder la peau de sa cuisse, de son ventre ou de sa queue. Une marque rouge, douloureuse, quelques centimètres seulement, une résonance vive. J'aime. Terriblement. Il le sait. D'autres gémissements, une attitude de protection. Inutile. Nouveaux claquements, comme pour équilibrer. Fin de nos retrouvailles immédiates. L'heure avance, nous rejoignons un domicile ami. Un garage. Aménagé. Fabuleusement aménagé. De nouveaux désirs en frôlant certains instruments cinglants, brûlants, piquants. "Déshabille toi. Retire tout" Gêne. Son cerveau en ébullition face à nos amis. Je l'installe sur une banc à fessées, le ventre sur le cuir rouge, genoux repliés. Je fixe les attaches : j'aime cet instant précis où je le sangle serré, en le pinçant parfois. Pas grave. Il sait. Pas de bandeau, je veux qu'il voit. Je lui glisse à l'oreille : "tu as une pose d'une grande indécence" Puis, je redis cette phrase à nos hôtes. Mon amie domina commente d'un ton badin : "Hmmm, intéressante cette pose, elle permet d'imaginer des tas de gestes " Il rit mais n'en mène pas large. Je le chauffe en le fessant : j'aime ce contact, doux, sensuel, j'aime le bruit de mes mains sur son cul tentant. Je joue. Sérieusement. Je reprends possession de son corps. Il me l'offre, il grince des dents, gémit, crie, se cambre, tente d'éviter. Les liens enserrent ses bras, ses mollets et ne lui permettent que peu de liberté. Je joue toujours. Fouets rapides, vifs, irradiants. Fouets lourds : ses préférés, coups répétés, cadence élevée. Poings serrés, paupières closes, sourcils froncés. Il gémit de plus en plus et de plus en plus fort. Je ralentis puis cesse. Je le regarde, je touche sa peau, sa chaleur, sa transpiration, ses boursouflures . Question : "je poursuis ? " Murmure assuré : "Oui, ma Lady" Je cingle ses fesses, zone de frappe non érogène pour lui, il se concentre pour accepter cette douleur. Je suis attirée par son cul tendu Il sait. Je reprends mais en le détachant et en le faisant lever. Un instrument m'attire terriblement. Deux longues griffes sur une bague. Je strie son corps entier, je dessine, je compose Je trace de longs traits rouges puis je coupe leur trajectoire en retraversant de l'autre coté. Son corps devient damier. Il aime mes griffures. Il geint et il aime De nouveau sur le banc, je griffe sa queue et ses couilles. Délicatement. Il a peur. J'aime sa peur. Terriblement. Il sait. 1 heure pleine de contacts appuyés, zébrant sa peau, la chauffant de plus en plus. Il aime mais sans l'avouer. Je frôle les marques, pose mes doigts sur les traits larges du fouet bifide, masse légèrement ce corps bouleversé mais pas assez travaillé encore. Pas assez repossédé. Je le relève, l'observe, le contrôle, le surveille, le cajole. Il ne lâche pas prise facilement. Il contrôle aussi, sans se laisser aller totalement : alors, je saisis un couteau. Il sait, recule et me fixe. Muet, il dit non. Je lui conseille juste de ne pas bouger. Je passe la lame sur ses joues, sur ses yeux fermés, sur ses lèvres gémissantes. Je descends la lame sur sa gorge, je reste en appui sur sa peau si fine. Il tremble mais accepte. Ma main est sûre, ne tremble pas : une des différences entre le soumis et la domme. Merci à toi, pour ces émotions Merci à eux de nous avoir reçus et accompagnés Et merci à vous si vous en êtes arrivés là
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Par : le 01/06/21
Ça me démange...  Déjà hier, j' avais cette envie et ce matin en me levant , elle est toujours là... Cette envie de fesser me démange les bouts des doigts... La matinée passe, l' envie reste...  Le confinement pèse dans la balance des restrictions.Fesser me manque...    Bon allez , c'est 13 h, mon taf est à jour,  je pars à la chasse... Je me connecte sur un certain  site BDSM,  j'adapte ma photo de profil à mon humeur, comme j'ai l' habitude de le faire . L' envie de fesser, ce n'est pas la plus simple à illustrer ... J'ai choisi de mettre une de mes  photos d'un fessier bien fessé .  Au moins j' annonce la couleur... En plus , je l' aime bien cette couleur violacée... Humm! j' ai les mains qui me démangent... Sur le chat, après avoir ignoré tous les "bonjour Madame" de l' autre bout de la France, mon attention se porte sur un message. Les mots clés : Annecy  et dispo  apparaissent dans les premières phrases. J'engage le dialogue, sonde ce jeune soumis qui  à tout du p' tit 4 heure. Joli  corps musclé qu'on en fait qu'une bouchée. Un plus fort agréable pour assouvir mon envie ...  Il est intéressé pour venir. Il questionne régulièrement sur l' usage du gode ceinture entre le où le , quand et le  comment...  Mes réponses sont on ne peut plus cash:  J'ai envie de te fesser dans les bois... C'est  un coin proche de chez moi... Oui, un peu de passage... Non,  je ne vais pas te baiser là-bas. (Comme si ça pouvait me gêner.  ) ... Non je ne reçois pas... Oui; je vais te fesser, et certainement un peu te griffer... Non, je ne prends pas mon stap-on ...  Je suis à peu près certaine que quelque part en lui, il garde l' espoir que. Peut-être... Je le laisse avec son espoir, moi c'est lui que je veux maintenant. En quelques minutes, le voilà ferré. L'heure du  rendez-vous  est basée sur l'horaire du bus qui  le  mène jusqu'à moi. Je suis contente, je me déconnecte et prépare mes affaires avec un sourire de satisfaction,..    Une heure passe et je sors de chez moi, mon petit sac à la main, un masque et mon attestation   dans la poche sur laquelle j'ai coché la case exercice physique à proximité du domicile .Je triche sur l'heure, peu probable que je sois contrôlée dans les bois ...  Hum! Ça me démange et ça m' excite de partir pour administrer une fessée...   J'arrive  près de l'endroit  indiqué. Je  le vois au loin. J'envoie un coup de sifflet, il tourne la tête vers moi. Je fais un signe de la main et il vient à ma rencontre...  Là , mon plaisir commence...   Je glisse une première fois ma main dans mon  petit sac... Il approche...  sur le boulevard il y a de la circulation... Je sors le collier... Les passants vont  autour de nous... Il est à ma hauteur quand je lui tends ... Il bafouille un bonjour, je lui fais un sourire: " Mets le! Son regard  balaie rapidement  les alentours... Je continue d'avancer... Il prend le collier et le met à son cou en me suivant...  Je plonge à nouveau ma main dans mon petit sac... J'en ressors  un  bracelet menotte.   Je lui tends   " Ça aussi! "  Tout en avançant , il s'exécute... je m'arrête au feu  et le dévisage en attendant que le p'tit bonhomme passe au vert. Il baisse la tête , essaie de dissimuler le bracelet sous sa manche... Une femme s'arrête à coté de nous... Je le sens gêné... Le bonhomme passe au vert en même temps que je sors le second bracelet de mon petit sac...  "Continue!" ... Il prend le bracelet  qu'il met en traversant la route... Je suis en jean noir avec mes bottes en cuir noires, une veste et un haut noirs et je sors de mon petit sac noir ma laisse en chrome... Humm!  Approche petite chose! Viens  te mettre au bout de ma laisse...  J'avance d'une bonne allure, mon soumis accroché à ma laisse. Je le tiens assez court  le temps qu'il se mette au pas puis je laisse pendre la chaîne. Il garde la cadence, veillant à ne pas laisser cette chaîne se tendre pour rester discret quand on croise des gens.  Le sentir  gêné me donne le sourire. Ça me plaît de le tenir ainsi jusqu'à mon petit coin en retrait. C'est  entre deux bosquets d'arbustes,  le long d'un petit chemin qu'emprunte de rare jogger. Nous y voilà!  Faut se faufiler entre les branches, bien lever les pieds à cause des ronces, Humm! Les ronces, "Ramasse Moi cette ronce!  Il se baisse et tire un coup sec sur la plante qui ne se fait pas prier pour participer à mon plaisir. Sourire jusqu'aux oreilles... Je lui indique sa place et prends la mienne.  J'ai la vue sur le chemin principal par lequel on est arrivé et celui d'en face. Ainsi, d'un simple mouvement de tête, je contrôle les aller venus sans être vu. Autre avantage de ce coin, et c'est pour ça que je l' ai choisi, il y a une branche solide qui surplombe un petit vide juste devant ses pieds. C'est à celle-ci que  j' accroche la laisse. A ma droite, il y en a une autre pour y mettre mon petit sac. Mais d'abord, je plonge ma main dedans et en ressors le bâillon boule." Mets ça!"  Il a un air un peu perplexe, me regarde,  regarde le bâillon, "Allez dépêche toi!  Tu es venu pour prendre une fessée, et bien voilà , tu y es! "  Il me réplique un dernier "oui Madame" puis se bâillonne. Je lui fait tenir la branche  et fixe les bracelets entre eux , autour.  Je profite de cette proximité pour le ressentir. Ce petit corps me plait bien. Il a bien une tête de plus que Moi mais quelle importance,  ses fesses restent à bonnes portées...   Encore une plongée dans mon petit sac pour prendre un bandeau.  En lui serrant  autour des yeux, je lui glisse quelques mots à l' oreille... Je fais descendre ensuite mes mains le long de ses bras jusqu'à sa taille. Je l' empoigne et tire ses hanches en arrière pour qu'il me soit bien offert. Mes mains s'affairent sur  l' ouverture de son pantalon. Je veux avoir accès à  ses fesses et son dos aussi. Je tourne son sweat vers le haut. Griffe en même temps... Redescends ... Fais glisser son pantalon au bas des cuisses... Il bande dur...   J'attrape ma jolie ronce fraîchement cueillie... Raye avec  ce joli fessier qui me donne envie... Fouette doucement ... Caresse, griffe et fouette à nouveau... Puis plus vite... Plus fort...  Continue en alternant avec des mots... Je lui parle de mon envie... Lui dit ô combien je suis contente qu'il soit venu jusqu'ici... La ronce s'effiloche rapidement et mes mains  ne veulent plus attendre... Je lâche le végétal , ajuste ma position et claque les deux fesses à l' unisson... Humm! Oui! Me voilà parti... Il s'ensuit des séries de claques sur ce cul rebondi... Mon  plaisir s'accroît en voyant rosir son derrière ... Les empreintes de mes doigts  se croisent ainsi que celles de mes griffes... Lui se met à gémir en aspirant la bave qui lui coule du bâillon... Je l' oblige à se  remettre cul tendu à chaque fin de série... J'augmente l' intensité , ça me fait mouiller. Ça me manquait tant...   Quand des gens s'approchent , je  plaque son cul contre moi et lui souffle" silence! " dans le creux de l' oreille. Il  fait bien moins de bruit que mes mains avec ses gémissements, c'est plus pour  rappeler à son cerveau   qu'il est  exposé à la vue des promeneurs. D'ailleurs, voilà un joggeur qui arrive...  je glisse mes mains sous ses vêtements, comme je le ferais avec un  amant.  Je plante mes griffes dans sa peau. Le gars passe un un mètre sans tourner la tête. Je griffe son dos jusqu'à la taille, ce qui le cambre magnifiquement bien. Du coup je recommence...  " Encore!" Je griffe, je claque.. Je claque, je griffe, mais surtout je le claque encore et encore... Il s'accroche à sa branche de toutes ses forces... Je ressens la tension de tout son corps... Il est dans un état de  soumission où sa volonté  est  de tenir pour que j' en prenne plaisir et c'est ce que je fais... Je me régale de le fesser... J'en avais vraiment trop  envie...  Il tremble, sa limite arrive... Je caresse entre de frappe... Sa peau est chaude... Rouge... Dure... Humm! j' ai besoin de le  toucher... Je m'approche  de lui... Plaque son cul encore une fois contre moi... Je l' aurais bien baisé  en fait! ... Humm! Encore une ou deux séries bien intenses... J'approche ma bouche de son cou... " 'j'aime te fesser, j' en suis toute mouillée... " En disant cela mes doigts ont trouvé le chemin pour atteindre ses tétons et ils les pincent  avec un plaisir non dissimulé...  Humm! Quel régal  de donner vie à ses envies... Doucement je le redresse... Lui retire le bandeau et le bâillon... J'attends un peu qu'il reprenne ses esprits. J'en profite pour faire ma photo souvenir, puis je lui décroche les menottes pour qu'il baisse les bras et les raccroche entre elles... Je lui fais lever la tête pour qu'il me regarde dans les yeux... "Maintenant , je te laisse deux minutes pour te faire gicler où je recommence tout!"  Sans perdre une seconde, il s'active sur sa queue avec frénésie et met à peine plus d'une minute pour gicler une grosse coulée de sperme ...  La fessée s'arrête donc là...  Je décroche la laisse, range le bâillon et le bandeau dans mon sac. Lui,  remet sa bite et ses fesses dans son pantalon et on  prend le chemin du retour...  50 mètres plus loin , on croise un groupe d'adultes. Il se rapproche vite de moi pour tenter de dissimuler la laisse. Les gens passent et il me dit : "Maintenant, vous pouvez peut-être  m' enlever la laisse. J'éclate de rire! " Bien Sûr que non!    Tu crois que ça y est, tu as éjaculé, c'est fini. ( RIRE) Allez! Avance!" " Dis toi que les gens s'en fiche que tu sois en laisse. La plupart ne le remarque même pas" .  Je le détache avant d'arriver sur le boulevard. Je fais un bout de route avec lui, histoire de le remettre dans la direction de la ville... Je récupère le collier, il me rappelle qu'il a encore les bracelets; Oup's!  Je les avais zappé ceux-là ...  Et voilà! Mes mains sont agréablement chaudes...  Mon esprit satisfait et serein...  Mon envie de fesser assouvie...  Je suis bien en rentrant chez moi et je reprends le cours de ma petite vie... Je n' ai plus eu de nouvelles de ce p'tit 4 heures... Plus jusqu'à il y a quelques jours... Ding!  SMS "Bonjour Madame! Vous vous souvenez peut-être de moi. Vous m' aviez fouetté avec des ronces et   fessé dans les bois.  J'ai mis longtemps à vous donner des nouvelles car j' ai beaucoup aimé vous servir ainsi mais j'étais  très gêné d'être exposé .. Etc... " Humm! En voilà une nouvelle qui me donne envie...  Il aura mis du temps à passer au-dessus de ses appréhensions... Le seul fait qu'il y soit parvenu et ose me recontacter 6 mois après  me plait...  Humm! Ça me démange à nouveau de le fesser...  
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Par : le 20/01/23
  Il y a six mois que le renouvellement de mon serment d'allégeance a eu lieu , il est donc temps de relater cet évènement .   Ce projet avait commencé par le constat de l'estompement inéluctable de la marque au fer rouge que Lady Gabrielle avait gravée dans ma chair en 2010. En outre elle n'appréciait pas l'usure de notre relation BDSM .Elle trouvait que cette relation devenait trop << vanille >> . Elle avait donc émit le désir de remettre nos rôles dans le bon ordre .Elle me trouvait un peu trop << brat >> si je peux employer cette expression pour ce qui me concerne . Il me faut bien avouer que je suis un soumis quelque peu rebelle .   Lady Gabrielle avait donc décrété qu'il me fallait réitérer mon serment d'allégeance envers elle au cours d'une cérémonie durant laquelle je serai , une nouvelle fois , marqué au fer rouge de son initiale . J'éprouvais depuis quelques temps le fantasme de subir à nouveau cette << flétrissure >>. Mais d'entendre les premières paroles annonçant sa concrétisation m'emplissait , immédiatement, d'un stress que je ne connaissais plus depuis longtemps .   L'organisation de la cérémonie du marquage mûrit tranquillement à l'intérieur même de nos fantasmes pour aboutir au 2 juillet 2022 . Après moult recherches nous découvrîmes le lieu idéale à tous points de vue pour célébrer cet événement : la maison d'un couple tout à fait charmant , Lux et Ivy . Leur maison sise près de Bézier est entourée d'un magnifique petit parc végétalisé qui dispense une ombre agréable et fort bien venue par les chauds après midi d'été particulièrement en cette année 2022 qui connu une terrible canicule . Ce parc entouré de hauts murs , planté de bosquets de buis , de figuiers , de chênes , de catalpas et autres essences ménageant de nombreux recoins invitent à l'intimité , aux jeux sensuels en toute discrétion et a fortiori aux jeux BDSM .   Avec le maître des lieux , nous installâmes différents agrès et meubles de tourments dont un grand nombre fût prêté par les propriétaires d' un club privé SM de la région . Il y avait là , croix de Saint André , pilori , banc à fesser , cage de compression en lanière de cuire , cage en métal , barres en bambou etc . Le tout disséminé dans les espaces aménagés dans la végétation . Et tous ces petits espaces étaient subtilement éclairés conférant au parc une ambiance mystérieuse . Sous les ordres de Lux nous l'aidâmes à monter un chapiteau sous lequel nos invités purent dîner d'un buffet d'entrées d'été , d'une salade piémontaise d'anthologie confectionnée par Lux en personne , d'un << rougaille saucisse >> , spécialité réunionnaise , cuisiné par Ivy la charmante hôtesse de la maison . De nombreuses bouteilles de vin de la région étaient à la discrétion des convives mais les boissons soft eurent plus de succès en raison des fortes chaleurs .   Nos invités commencèrent à arriver aux alentours de dix neuf heures . Tous ces gens charmants avaient fais d'énormes efforts d'apprêts vestimentaires et de maquillage . Avec un petit discours Lady Gabrielle porta un toast de bienvenue à chacun et à chacune .   Il était vingt trois heures quand arriva enfin la cérémonie de mon marquage . J'attendais avec une appréhension grandissante ce moment . Lady Gabrielle , ses deux assesseurs et moi même tenu en laisse arrivâmes en procession . Lady Gabrielle prononça une petite oraison en préambule à cette célébration pour expliquer son désir de réaffirmer son autorité sur son mari soumis .     Ses assesseurs étaient vêtus d'aube blanche . L'un portait sur un coussin , le fer représentant un G majuscule qui après avoir été chauffé me marquera et l'autre portait un petit coffret où se trouvaient les anneaux de notre union BDSM . Lux entra dans le rôle de maître de cérémonie pour nous inviter à procéder à l'échange des alliances , en prononçant lui aussi une petite oraison . Puis vînt le moment où je réitérais mon serment d'allégeance.   En voici le texte :     Lady Gabrielle , il y a maintenant 17 ans que vous m'avez demandé d'être votre soumis .   Le 31 juillet 2005 j'ai accepté . Depuis ce jour je vous appartiens sans possibilité de retour en arrière pour ce qui me concerne .   J'étais au crépuscule d'une vie terne , vous avez fais de ce crépuscule une aube claire . Vous avez su voir dans le brouillard de mon existence , de la votre aussi , la lueur qui éclairerait notre relation .   Depuis le jour où nous nous sommes rencontrés , je vois le monde d'une autre façon .   Depuis le jour où vous m'avez choisi , je n'ai plus de sentiments que pour vous .   Depuis le jour où je suis devenu votre jouet sous votre fouet , mon désir d'appartenance s'est réalisé .   Toutes ces raisons et tout ce que nous avons vécu depuis ce 31 juillet 2005 m'ont convaincu que le bonheur existe , que ce n'est pas une vue de l'esprit .   C'est pourquoi en ce jour du 2 juillet 2022 je réitère mon serment d'allégeance envers vous . Vous savez que vous êtes propriétaire de mon corps et de mon esprit pour le temps qu'il vous plaira . Je souhaite , désormais , qu'il en soit ainsi jusqu'à ce que la mort nous sépare .     Lady Gabrielle , je suis prêt à recevoir , une nouvelle fois , votre marque .       Après ma prise de parole je m'installais en prenant appuie sur un chevalet en bois pour attendre ma << flétrissure >>. L'un des assesseurs me banda les yeux tandis que l'autre me débarrassait de ma cape noire dont j'étais vêtu . C'était donc nu et libre de toute entrave que j'attendais dans l'anxiété . J'avais formulé le voeux de n'être ni attaché ni contraint d'aucune façon pour subir cette épreuve . Lady Gabrielle avait accédé à ma demande énonçant ses propres exigences : je ne devais ni bouger ni gémir ni crier sous la douleur . Je devais rester impassible et stoïque . Après un temps qui me parut une éternité , le ronflement du chalumeau chauffant le fer se fit entendre. Le ronflement cessa , Lady Gabrielle prononça des paroles dont je n'ai aucun souvenir en raison de la concentration de mes pensées à ce moment là . Enfin elle appliqua le fer chauffé à blanc sur ma chair au dessus de ma fesse gauche . Je n'émis aucun son mais je fus pris d'un réflexe irrépressible , je fléchissais les genoux au moment du contact du fer . Ce réflexe m'emplit aussitôt d'une grande déception : je n'avais pas obéi aux ordres de Lady Gabrielle . Dans un effort de volonté je reprenais ma position initiale , Lady Gabrielle appliquait une deuxième fois le fer exactement au même endroit sur mon corps et le laissait les trois secondes nécessaires au marquage .           Quelques instants plus tard , dans un semblant de retour à la réalité , je me prosternais , à genou, aux pieds de ma Maîtresse , démontrant mon incontestable , si cela était encore nécessaire , soumission envers elle .     Plus tard le sentiment de déception s'estompa car je m'étais remis en position et le temps de contact du fer avait été quasiment doublé . Surtout Lady Gabrielle exprima sa fierté devant le fait que je n'avais émis ni gémissement ni cri .       Durant la soirée nos invités nous avaient offert des cadeaux : fouet , baillon boule , bandeau aveuglant, meuble plug . . . etc etc etc . Lady Gabrielle se fit un point d'honneur à essayer tous ses nouveaux joujoux . Elle fût bientôt imitée par les participants à cette soirée qui se disséminèrent dans le parc profitant des bancs à fessée et autres agrès de tourments .   Inutile de dire que la nuit fut longue à devenir demain . Berny de Lady Gabrielle
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Par : le 11/02/19
L'endroit est juste magique, à seulement trois quarts d'heure de la maison. Un château caché au fond d'un immense parc arboré animé d'éclairages mettant en scène les plus beaux spécimens d'arbres venus de multiples continents. Le Bâtiment est imposant, cossu, richement décoré. Mélange d'ancien, de noble et de plus moderne, mais avec un goût qui ne peut laisser indifférent. On me presse pour les présentations d'usages, j'embrasse avec enthousiasme Maître Georges toujours si gentil avec nous. C'est son anniversaire, et c'est ce que l'on appelle une célébration en grande pompe. Je m’imprègne des lieux, je respire cette atmosphère particulière et m'invente des histoires du passé. Il y à de la pierre taillée que je touche, l'escalier est majestueux. En montant, je m'applique a tenir ma robe de chaque côté, je suis une princesse. Les marches sont si larges que deux couples peuvent se croiser. Des balustrades en fer forgées permettent de s'appuyer dessus et d'admirer les étages du dessous et tout ce petit monde qui fourmille, discute, se croise ou se toise aussi parfois. Je suis au spectacle, au balcon de l'opéra... allez stop Lilo, ne t'éparpille pas, reviens là, ici, dans l'instant, accrochée solidement au bras de Shape. Qu'il est beau, tout classe, en noir et bleu foncé sa badine à la main. Le thème de la soirée pour fêter ce non anniversaire sur deux jours et ce avec plus de 150 invités est "Alice au Pays des Malices". Je porte pour être raccord à mon Maître, une robe bleue foncée avec un bandeau de satin noir style année 50, en dessous un tutu noir, une paire de bas, des petites chaussures à talons et pour faire référence au chat d'Alice j'ai des oreilles sur le crâne et un masque qui me donne un air "bête", ou mystérieux, c'est selon. J'ai déjà dis bonjour à beaucoup de monde avec mon plus beau sourire, celui que je suis seule à savoir qu'il ne veux rien dire . J'admire ....encore ...aux plafonds des dorures et de lourds lustres, sur les sols des tapis immenses fourmillants de détails colorés. Les meubles sont beaux, les lits démesurés et les fauteuils en cuir invitent à tous les essayer .Je veux voir partout. Dans certaines pièces je pourrais y loger le rez de chaussez de notre chez nous, et il y à ces portes épaisses lourdes et tellement bien travaillées, je serais capable de m'y frotter. Quelques jours avant, Shape avait reçu l'invitation et m'avait demandé de répondre à un questionnaire, sur des jeux auxquels je souhaiterai éventuellement participer. Il n'avait fait aucun commentaire sur mes réponses. Il me fallait attribuer une note allant de zéro à 10. Il y avait celui de la table de black Jack : avec la mise en jeu de son soumis ou soumise pour 10 minutes aux mains du ou de la gagnante. Celui des Renardes en détresses : soumises attachées devant sortir d'une pièce en moins de 15 minutes sous peine de punition en cas d'échec. Les petits fantômes lubriques : dans une pièce plongée dans le noir, pendant 10 minutes, laisser parler les sens des mains souhaitant faire connaissance. Le défilé des soumis'(es) : défiler devant un jury après avoir été préparé (es) sur le thème de la soirée. Les œuvres d'arts :à différents moments de la soirée, être meuble ou objet de décoration utile ou non, ou simplement oeuvre d'art exposée à la vue de tous sous vitrine. Et je ne me souviens plus des autres, sûrement qu'ils m'attiraient bien moins. Je me rappelle avoir été super emballée et dans un premier temps avoir attribué la note de 9 pour le jeu de carte. Je rêvais de l’atmosphère moite et tendue dans de vieux films mafieux, les gros cigares les chapeaux qui cachent stratégiquement les regards, l'éclairage peu généreux, le tapis vert, et ce sentiment d'être misée, jouée, réclamée et utilisée tel un lot remporté. Les renardes 8. J'imaginais des tas de filles attachées à des meubles ou radiateurs, avec ce sentiment de panique car à la clef les coups à vivre. Je me suis même vu dans la situation d'avoir réussi à me détacher, et comme dans Fort Boyard, à quelques secondes de la fermeture de la grille et de pouvoir m'échapper, le deal d'aider une ou deux complices me suppliant de les sauver. Les fantômes pour leurs mystères ont obtenus 7. J'étais à devoir traverser une pièce les yeux bandés et subir différents attouchements, coups ou humiliations. Les objets ou œuvres 5, moi contre un mur, poitrine à l"air, contrainte, tenant un plateau immobile plusieurs longues minutes sans rien pouvoir faire ou dire, trop difficile. Le défilé obtint la note de 4, trop de temps à passer à se préparer en plus du stresse d’être à la hauteur et tellement de choses potentielles à louper de la soirée, sans compter le jugement et l’attribution de notes telles des bêtes à concourir, j'aime pas. Et puis je me suis ravisée, croyant voir au 9 attribué une légère tension sur le visage de Shape. "Euh, non, non attend, je change, je mets 7 au black Jack et 9 aux fantômes, c'est mystérieux et ça me fiche déjà la trouille d'avoir les yeux bandés et si c'est dans le noir on risque de bien rigoler" . Cela fait plus d'une heure que nous sommes arrivés, nous retrouvons en nous promenant, nos amis et les têtes connues et rassurantes. Nous rejoignons Louna à la table du Black Jack lorsque la salle des jeux ouvre. Elle veut remporter au moins un des lots proposés et souhaite participer au même titre que les Maîtres et Dominas présents. Après tout, il n'était pas précisé que les soumises étaient exclues du jeu, et que notre place était uniquement celle d'être misée!!! Je suis à fond. Nous allons gagner !! Elle me demande conseil pour miser. Nous sommes sur excitées toutes deux. Elle joue les jetons et moi je compte. Louna à les seins à l'air et un serre taille. Elle donne envie à un photographe d'immortaliser l'instant. Moi j'ai les fesses en l'air à quatre pattes mes genoux enfoncés dans l'assise d'un canapé en cuir noir Chesterfield, mon ventre reposant sur l'accoudoir. Shape m'observe, il s'amuse à remonter mon jupon et à caresser mes fesses à l’abri des regards, pendant que je croise les doigts sur les mises un peu folles de Louna. Elle peut remporter une femme brune bien faite de sa personne, qui se tient debout à côté de son Maître. Le lot est décrit à voix haute. J'adore! Elle porte un bandeau et entend tout des conversations qui vont bons trains autour de la table de jeu. Je sens son envie et ses angoisses et, sadique, j'en rajoute en mettant plus d'ambiance, en riant plus fort en rajoutant au suspens et en jouant des mots. Je sais aussi qu'en faisant cela je participe à faire monter son désir. La peur étant un détonateur de plaisir encore plus fort.. Alors, je reçois à intervalle régulier, les premières claques de mon Maître sur mon cul qui en réclame déjà tellement plus. Je sais déjà, que je ne serais pas des plus sage à cette soirée !!! Louna remporte la Dame aux yeux bandés et elle est invitée, un peu gênée, pour le coup, à disposer de son lot dans une autre pièce. Elle me lance "Merde, je sais pas ce que je vais en faire moi !" J'explose de rire : "Bien fait. Improvise. Tu seras trouver. Ou mets son Maître à contribution, et là Pafff tu auras gagné sur tous les tableaux ! " A cet instant avant que je ne puisse baisser mon jupon, une sensation plus cuisante, c'est abattue sur ma fesse gauche. Je me relève et regarde Shape d'un air plus que renfrogné. Alors que nous sortons de la pièce et que nous croisons le lot suivant, un encordeur est aux manœuvres avec la protégée de Maître Balthazar. Shape me fait asseoir sur une chaise et me demande de me calmer un peu et de regarder. Ma poitrine serrée dépasse de ma robe. Il me surplombe, et je sais qu'il regarde ses deux monts que je tente alors, encore davantage de mettre en évidence. En face de moi, des cordes, un portique en bambou et une jeune soumise concentrée et détendue profitant de l'instant. Respiration dosée, yeux semblants comme ailleurs. Je peux observer aussi le dos de Maître Balthazar qui veille et regarde attentivement ce corps qui s'abandonne aux laçages trop méthodiques et sans aucune poésie à mon goût. Je m'ennuie un peu. Shape le sait, mais les cordes l’intéressent, d'autant plus que nous venons de traverser un passage pénible tous deux lors d'une séance de bondage à la maison. Un moment de panique mal géré de part et d'autre. Le corps de la soumise s'envole et son Maître peut alors vérifier si elle apprécie. 15 minutes pour moi sans action. Cela commence à être long. Shape me sourit, et me caresse alors les seins, il les sort d'avantage du décolleté " Ne bouge pas, regarde" alors la badine vient percuter gentiment et amoureusement ma poitrine qui gonfle à mesure et prend de la couleur. Je ne bouge pas, je regarde et moi aussi, à mon tour, je contrôle et respire. Nous sommes sur le balcon, là ou le passage se fait . Mais personne ne voit cet instant complice. Et que c'est bon. A ma droite, plus loin, une soumise se fait punir. Elle est nue agenouillée sur un fauteuil les mains en l'air contre une fresque au mur, son rosebud bien en place. Son Maître crie et gesticule. Il fait le show. Ma poitrine s'allume, elle me brûle littéralement, lorsque j'apprends le pourquoi de ces immenses coups sur son postérieur : " Chienne, la prochaine fois, lorsque je te demanderais de te caresser, qu'il y ai du monde ou pas, le feras tu? " ..... Et moi, je pourrais le faire ça ?? .... "Aie Aie Aoutch Shape !" Mes yeux sont mouillés, je verse une larme sans un bruit. Les caresses apaisantes finissent par calmer la morsure de cette badine métronome. Mon décolleté me fait penser aux culs rouges de certains babouins, c'est pas trop la classe, mais je souris et j'apprécie. A gauche deux Domina magnifiques préparent leurs soumis tenus en laisse à recevoir le fouet. Elles vont en jouer à quatre mains et sortent leurs instruments avant de s’entraîner face à face. Eux attendent, ils sont habillés de cuir, leurs torses sont restés en parti nu ainsi que leurs fesses et sexes encagés. Ils n'ont d'yeux que pour leur Maîtresse. Jusqu'à ce que Maître C fasse exploser ses fouets non loin de nous. C'est un passionné de cet instrument, ses créations sont des bijoux que je n'ose toucher qu'avec les yeux. De véritables œuvres d'art. Le bruit est plus que percutant et me fait sursauter à chaque fois.Je me demande à quel point, il ne fait pas exprès d'en faire la démonstration à cinq mètres à peine de mon visage. Shape s'est d’ailleurs légèrement déplacé et me bouche un peu la vue. Ce mûr du son est si éclatant, qu'il va nous rendre sourd. Un des soumis est alors placé dans un carcan en fer forgé extrêmement bien travaillé et riche de détails. C'est Maître C qui l'a également conçu. Il administre ensuite quelques coups de fouet longs, certains forts appuyés, avant que ce ne soit au tour des Dames. La séance s'arrête très vite lorsque la Maîtresse du soumis se rend compte que sur l'un des coups administrés par Maître C, une blessure laisse perler le sang de son protégé. Elle ne semble pas contente du tout. " Oh Ca va, c'est un bonhomme, il est pas en sucre ! " C'est tout ce que j'entendrais car Shape me demande de le suivre pour aller dîner. Je me lève et tout en marchant, je peux apprécier la vision de cette belle Domina au corps vinyle et à la longue queue de cheval blonde ,agenouillée aux pieds de son soumis en train de le panser de la façon la plus délicate qui soit. Cela me touche. A table nous discutons avec un couple très sympa et je retrouve Louna et Maître Balthazar. Louna me dit que pour finir la soumise était Switch et qu'au bout de quelques coups administrés sur son postérieur, elle à failli s'en manger une. Alors elle les a bien vite laissé jouer entre eux. Une bagarre manque d'éclater sérieusement derrière nous. C'est une scène animale ou les femelles s'en mêlent pour défendre leurs mâles La bêtise sur dosée en testostérone atteint ceux qui se disent grands et forts, pour peu qu'une histoire de couleur ou de frisure de cheveux s'en mêle !!! . Que c'est dommage, moi qui nous imagine tous égaux dans ce monde qui tend à faire oublier presque totalement nos complexes individuels créés et nourris par une société faite pour l'élite, les biens pensants, le pognon, le blanc, le fin etc etc .... Je suis mal à l'aise, je tremble un peu. Je crois que j'ai envie de partir. Shape et d'autres tentent de calmer les énervés et de faire redescendre les tensions. C'est à cet instant que Max m'invite à participer, après validation de Shape à l'instant "des petits fantômes ".... Shape lui précise "je vous la confie", il m'embrasse et me dit qu'il sort fumer une cigarette. Me voilà toute seule au bras de Max. Je le trouve très attirant, il à l'âme bienveillante et fort joueuse. Je suis à la fois emballée, heureuse et anxieuse. Il le sent et me prend alors la main pour me la serrer plus fort. Impossible de feindre le calme, alors je commence à lui poser dix questions à la seconde. Il me répond uniquement," suis moi, je vais tout t'expliquer"....
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Par : le 02/05/20
LA servante. - Je te prépare un week end intensif petite chienne. - Ah oui, Monsieur ? - Oui, j’espère que ton éducation saura me montrer combien tu as bien compris où était ta place. Il avait son sourire complice mais sérieux. Je me demandais ce qu’il avait prévu. Nous avions pris la route, je ne savais pas où nous allions. J’avais préparé quelques affaires pour le week end avec ce les indications qu’il m’avait donné. Nous étions en pleine campagne, loin de tout. Il avait mis le GPS, nous en avions pour 2h de route. - Puis-je savoir où nous allons ? - Non.. - Même pas un indice ? - Ta curiosité est un vilain défaut. Ecarte moi tes jambes. Il mis sa main sur mon sexe. Je commençais déjà à ne plus me contenir. Pendant le temps de la route il m’avait interdit de parler, juste d’écouter. Il me trouvait insolente ces derniers jours. Après tout, c’est mon tempérament. J’aime être effrontée. Nous étions arrivé à destination. - Ne bouge pas, je viens t’ouvrir la porte. Il descendit de la voiture, pris sa veste légère située à l’arrière puis viens m’ouvrir la porte. - C’est la maison d’un ami qui nous la prête pour le week end. Tourne- toi. Il me plaqua contre la voiture. Je sentais son corps chaud contre moi. J’aimais quand il me faisait tomber le visage en pressant sur ma gorge. Je me sentais posséder de tout mon être, à être dévouée. J’étais esclave de mon désir pour lui. Il me banda alors les yeux avec un masque en cuir. Cette odeur si particulière et si excitante. Il me prenait toujours par la gorge et me forçait à avancer. J’entendis le claquetis de la clé s’insérer dans la serrure. - Attention à la petite marche. Ne bouge pas et reste debout ici. Je sentais ses vas et vient. Je bouillais à l’idée de regarder où nous étions. Profitant alors de le savoir dehors, comme un enfant, je soulevais légèrement le masque. C’est là qu’il me plaqua contre le mur . Il tenait ma gueule de sa main menaçante. - T’ai-je autorisé à ôter ton masque ? Je crois bien que non. Vu que tu ne sembles pas comprendre ses mots simples, je vais te donner l’occasion de voir. Il m’avait bien remis le masque à sa place et sans aucune délicatesse me faisait marcher. La perte de la vue sans repère, nous fait marcher à taton, avec cette crainte de tomber , prendre un mur ou un meuble. Mais à quoi bon, puisqu’il me tient. Que pouvait -il arriver. J’entendis une porte s’ouvrir . - On va descendre des escaliers. Je te tiens. Tu ne risques rien. Sa voix m’apaisait. La voix est si importante. Une voix peut en un instant provoqué un tel émoi, un frisson ou parfois aussi un dégoût. Je ne pouvais envisager une relation sans que la voix de Monsieur me provoque cet émoi. Je suis certaine que vous comprenez ? J’étais en confiance. Il me tenait d’une main ferme. - A genou ! - J’allais te mettre dans ta chambre, à l’aise. Mais tu mérites une petite leçon. Je vais te laisser dans l’ignorance. Tes mains ! Il m’attacha les mains. Puis, j’entendis des bruits de chaînes. Je commençais légèrement à trembler. Les mains attachées, il les releva. Il les avait rattaché à une chaine et probablement à un anneau que je devinais au plafond. La corse était bien tendue. J’étais à la limite sur la pointe des pieds. Ensuite, il saisit ma cheville droite et m’enchaina. Il opéra cette opération avec l’autre cheville. Mes jambes étaient écartées. - Humm voilà… petite chienne. Il releva ma robe et me fessa avec fermeté. Je ne pouvais me soustraire. - Tu pourras crier autant que tu veux ici… personne ne t’entendra. Je te laisse maintenant méditer à ta condition petite insolente. Il partit. J’étais ainsi enchainée, privée de la vue, probablement dans une cave. Cette situation m’excitait au plus haut point. Cette sensation de ne pouvoir m’échapper, de lui obéir, d’être à sa merci. Il savait jouer à la perfection avec moi. A me rendre folle. Folle d’impatience, folle de désir, follement curieuse… Je perdais la notion du temps. Quand j’entendis à nouveau le son de ses pas, j’étais assez engourdie, calme et obéissante. Il s’approcha de moi. Encore un long silence Il prit à nouveau mon menton entre ses doigts bien ferme. Il m’immobilisa bien à tel point que j’imaginais parfaitement son regard à travers mon masque. Ce regard profond, pénétrant qui a fait que je l’avais choisi pour prendre possession de mon être. - Je t’ai préparé quelques affaires à porter. Je vais te laisser le temps pour te préparer. Sache que je vérifierai que tu sois bien habillée. Tu t’attacheras les cheveux avec une queue de cheval. Tu comprendras rapidement ton rôle durant ce week end. Hoche de la tête pour me dire que tu comprends. J’hochais de la tête. Il me détacha en premier les jambes. Puis les bras. Il n’avait aucun geste d’affection à mon égard pour me soulager. J’attendais cela. Il me punissait de ma petite insolence. Mais après tout, je le cherchais aussi.. Me faire punir, souffrir et avoir du plaisir. Sans ménagement il m’ota le masque qu’il avait bien serré. Ma vue avait du mal à se faire à la lumière. J’étais dans une cave aménagée. De la pierre au mur, c’était très brut. Le sol était également en pierre. La pièce devait faire 20m2. Il y avait quelques anneaux disposés, laissant devinés de nombreux jeux interdits. Cette pièce disposait d’un lit avec des barreaux. Un miroir ainsi qu’une vasque et un pot.. Je devinais alors que c’était un pot de nuit. Je commençais à deviner son envie de ce week end. C’est là que j’aperçus mon sac avec mes affaires, puis sur le lit, je vis une tenue. Elle était noire et blanche. Des vêtements de soubrette. Ainsi j’allais être sa servante durant le week-end. Je commençais à perdre la notion du temps je ne savais même pas quelle heure il pouvait être. Et après tout était-ce le plus important. Dans ces moments là, on a envie que cela dure et pourtant c’est là que le temps passe si vite. Il revint. Il était là face à moi. J’avais baissé naturellement mes yeux. - Bien. Petite soubrette. Je vois que tu as bien suivi mes instructions. Leve moi cette jupe. Je levais ma jupe, qui était particulièrement courte. Ce genre de jupe où si vous vous baissez, on voit tout. Elle était légèrement bouffante. - Parfait. Je ne veux aucune culotte. Tu seras à mes ordres, cela va de soi. Interdiction de parler sauf si je te l’autorise. Si tu as besoin de me dire quelque chose, tu t’agenouilleras à mes pieds. Suis-je clair ? Hoche de la tête. J’hochais de la tête. - Maintenant tourne-toi. Il me mit un gag-ball. Il était certain que je n’allais pas parlé.. j’avais envie de sourire. Pourquoi me dire ne pas dire un mot si c’est pour ensuite me baillonnée. J’étais effrontée dans ma tête. - Comme toute bonne petite servante, je vais te mettre tes attributs. Vu que tu as des problèmes avec la compréhension de mes ordres, à prendre souvent quelques libertés, je vais t’aider. Il mis alors autours de mon cou un collier en acier. Le contact froid me surpris. Il le ferma avec un cadenas. Sauf que de chaque coté du collier, il y avait deux barres auxquelles étaient attachés des bracelets aussi en acier. Il pris sans ménagement mon poignet droit et le mis dans le bracelet.. Il le referma avec un cadenas également, de même pour l’autre poignet. Il me retourna. Je croisais son regard complètement satisfait. Il mit devant mes yeux les clés des cadenas afin que je les regarde bien. Puis il les imbriquas dans un anneaux qu’il fixa ensuite à son pantalon. - Voilà, tu es parfaite, sale petite chienne insolente. Maintenant on va monter et je vais t’expliquer tes taches. Je montais alors les escaliers en me mettant sur le coté. Je n’étais pas à l’aise. Je n’étais pas fière, mais je ne voulais pas lui laisser ce plaisir. - Voilà. Tu trouveras de quoi faire les poussières. Mes yeux s’écarquillaient ! Mais il rêvait ! - Aucune objection. Active toi allez. Je me demandais comment avec ces bras coincés comment j’allais opérer. IL s’était installé sur la table en bois. La pièce était sublime je devais le reconnaitre. Un âtre ouvert sublime, un canapé chesterfield vert anglais. La pièce avait une réelle âme avec des poutres apparentes. J’aimais ce mobilier qui avait une âme. Je me pris le plumeau et je commençais à faire les poussières. Il s’était assis sur la table avec son ordinateur. Je l’imaginais à travailler sur un de ces dossiers professionnels. Je savais qu’il me regardait mais il ne voulait pas que je le regarde faire. J’avais une très forte envie de faire pipi. Quelle nouille. J’aurai dû y aller bien avant quand j’avais la possibilité. C’est alors que j’essayais de trouver les toilettes. - Revenez ici. Qui vous a autorisé à sortir de la pièce. Servante. C’est alors que je m’avançais vers lui, le regard fautif avec cet air faussement innocente. Espérant échappée à sa sévérité. C’est alors que je me mise à genou avec grande peine, tête baissée. Il me releva alors la tête et me libéra du gag-ball. - De voulez-vous. - Je.. (je n’avais pas envie de lui dire que je voulais aller aux toilettes, mais je n’avais pas le choix). J’ai besoin d’aller aux toilettes Monsieur. - Très bien. Je comprends que ma servante a besoin de soulager des besoins naturels. Je t’accompagne à ta chambre. On descendait les escaliers. Il baissa alors ma culotte jusqu’à mes chevilles. - Allez, va pisser petite chienne. J’avais les yeux râleurs. Il me regardait marcher avec difficulté la culotte au niveau des chevilles. Il s’était retourné, mais il aimait tout contrôlé. Une fois soulagée, il revint vers moi. - Cambre toi et écarte tes jambes. Il prit un gant de toilettes qu’il trempa dans une bassine d’eau qui était posé sur un petit meuble. Puis il me nettoya la chatte. Il frottait bien. Puis il prit la serviette et me secha bien l’entrejambe - Je veux que tu sois propre. D’ailleurs tu peux laisser ta culotte ici. Je te veux à ma disposition à n’importe quel moment. Je vais ôter le gag-ball. A la moindre insolence de ta part, je te descends et je te laisse ici. Compris ? Je savais qu’il ne plaisantait aucunement. Je hochais la tête à l’affirmative. - EN tout cas je vois que tu as bien compris le mot disposition. Tu es déjà bien trempée, petite trainée. Que pouvais-je ? oui j’étais sa petite trainée, à l’affut de chacun de ses supplices. - Allez va monte et va me préparer un café. Nous remontions ensemble. Il me montra la cuisine. Je m’appliquais à ma tâche. IL avait tant pris soin de m’organiser tout cela que j’allais laissée ce coté brat de coté. J’aimais ces instants où je suis sa chienne. Celle où je peux me libérer totalement. Il est là pour mon bien, pour son bien. Pour notre bien. Avez-vous déjà tenté€) de faire un café en ayant quelques contraintes ? je vous l’assure c’est comme de la contorsion, demandant ingéniosité et aussi à essayer de faire les choses avec une élégance certaine pour ne pas paraître ridicule. Je revenais dans la salle à manger. Je m’abaissais afin de poser sur la table la tasse de café, et de l’autre main le sucre. - Sers moi le sucre et touille. J’obtempérais. J’essayais d’y mettre une certaine grâce, mais cela était bien compliqué. Il était penché sur un tableau excel mais au fond de moi je savais qu’il n’en ratait pas une seule miette. - Agenouille toi à coté de moi maintenant. Je te veux proche. De temps à autre, il me jetta un œil et me caressait les cheveux. - Douce petite chienne bien docile. Regarde toi. Tu n’attends qu’une chose que je te remarque. Que je te regarde. Quand il me tendit sa main, je n’ai pas pu m’empecher de la lécher, de l’embrasser. Je le remerciais. Je voulais qu’il soit fière de ma dévotion. J’avais totalement lâcher prise. Mon regard avait tellement faim de lui. Il me caressa encore. - Quel regard de putain. Faut apprendre à se tenir. Mais je suis heureux de voir que tu as cette bonne attitude. Je vais te libérer. Tu vas monter sur cette table. Tu vas ensuite mettre ton fessier fasse à moi. Je veux qu’avec tes mains tu me présentes tes orifices. Et tu ne bougeras pas. C’est alors que je m’exécutais. Mes bras étaient heureux de retrouver leur liberté. Je m’installais alors comme Monsieur me l’avait demandé. J’étais outrageusement obscène. Habillée ainsi en soubrette, le cul bien relevé. Mes mains écartant mes fesses. J’exposai ainsi au regarde de Monsieur ma vulve ainsi que mon fion. - Parfait petite soubrette. Tu es un magnifique centre de table ! A me demander si je ne vais pas te recycler comme tel ! Ecarte moi mieux ces fesses ! Tu es magnifique ainsi. Attendant patiemment d’être fouerée par tous ces trous. Je t’autorise à le dire.. - Oui, Monsieur, j’aime exposer ainsi mes attributs. La petite soubrette qui se présente devant vous, n’attends qu’être à votre disposition et à être utilisée comme il se doit. - Ah oui ? continue. - Je souhaite que Monsieur me fasse subir ce que je mérite pour parfaire mon éducation. J’ai envie d’être baisée, sodomisée, fouillée, fessée.. ou tout autre chose que Monsieur juge important à faire. - Oui en effet, seul moi décide de comment je vais disposer de tes trous de salope, ou de ton corps. Oh mais que vois-je ? Ta chatte est bien luisante dis moi.. Il y passa un doigt. - Tourne toi. Avec langueur, je me tournais vers lui. Il me tendait son doigt. - Lèche. Je sortais alors ma langue afin de goûter à ma excitation. - J’ai dit.. LECHE.. pas SUCE. Je léchais alors son doigts, ou plutôt je lappais comme une chienne en chaleur. Il me rendait complètement folle. A ce moment là j’étais totalement chienne. Il s’était levé. Il avait poussé son ordinateur. - Sur le dos ! Une fois sur le dos, il me poussa afin que ma tête soit dans le vide. Il défit son pantalon. - Sors ta langue. Une bonne soubrette est faite pour nettoyer. Alors tu vas lécher. Ma tête était relativement basse dans le vide. Ma langue était sortie. C’est alors qu’il se retourna puis mis ma tête entre ses jambes. J’allais presque me sentir étouffer par ses couilles. Heureusement il était grand. Il me tira par les cheveux pour m’obliger à encore plus m’étouffer. - Ouvre tes yeux et regarde moi. Je veux voir ma chienne s’étouffer avec ma queue et mes couilles. Il utilisait ma bouche comme une serpillère pour nettoyer les sols. Je rafolais de la lécher ainsi. J’aimais quand il rajoutait cette violence animale qui faisait que j’étais complètement folle. Il tenait bien ma tête et faisait ses mouvemens de va et vient comme si j’étais une poupée gonflable. Quand il forca le passage de ma bouche pour enfoncer son gland, il reserra alors ses cuisses. - Quelle bonne petite suceuse. J’osais imaginer le tableau loin de l’image de princesse que je peux avoir. Celle où j’étais presque étouffée par une queue et des couilles. Il me tenait alors par la gorge pour faire passer.. la pilulle. La gorge profonde dont il m’assaillait me faisait baver de partout. D’un coup sec, il s’arrêta, se retourna et me retourna. Il me saisit par le haut de mes cuisses. IL inserra brutalement quelques doigts dans ma chatte. - Déjà bien ouverte, petite salope. D’un coup de rien il me pénétra. Tout en me culbitant, il me serrait le cou.. J’adorais ça, cela me rendait folle de lui appartenir. Parfois il me giflait… Je ne culpabilisais pas d’être sa chienne lubrique. Il avait sauvagement défait mon chemisier. Il avait sorti mon sein droit qu’il tenait très fermement. Je prenais de partout. Ma chatte prise d’assaut, j’étais giflée, parfois il me pénétrait aussi de quelques doigts dans ma bouche. Dans sa frénésie il me baillonait de sa main. Puis il me susurrait à l’oreille. - Petite pute. Tu mérites d’être prise ainsi. Dépravée, baisée.. tu as besoin de tout cela. - Oui,..Monsieur Il me gifla. - Ta gueule putain ! De plus belle il me besognait. Sur un dernier rale, il se retira sans avoir joui. - Suffit maintenant. Mets de l’ordre. Je ne veux plus te voir descends dans ta chambre. Je viendrais te voir plus tard. Je te veux nue ! Je n’avais envie que d’une chose, que cela continue. J’étais encore plus excitée à ce qui allait se passer. Je redescendais alors dans cette chambre qu’il m’avait attrituée. Une fois la porte passée, c’est là que j’entendais qu’il m’avait enfermée à clef. J’étais totalement impatiente. Le temps encore filait. La faim commençait aussi à me gagner. J’avais fait ma toilette et comme il me l’avait demandé, je m’étais mise nue. Heureusement que sur le lit il y avait de douces couvertures et douces fourrures (je précise.. fausses). Quand il revint, je m’étais endormie sur le lit. Il me réveilla en ayant mis sa main sur ma bouche. - Un véritable ange quand tu dors. Puis il se mit sur moi en tenant fermemant mes poignets au dessus de ma tête. Puis, il me mit des bracelets en cuir et m’attacher bras écartés au lit et fit de même pour mes chevilles. Il s’assit sur moi à hauteur de poitrine. Il aimait me regarder ainsi quand il me baisait par la bouche. Il aimait engouffrer profondément son sexe dans ma bouche, à tester les limites - Je vois que la petite chienne se réveille. Honore moi encore avec ta langue et ta bouche. C’est là qu’il resta dans ma bouche, sans bouger. IL tapottait mes joues. - Brave pute. Puis il me pinça le nez. Je ne pouvais plus respirer, presque étoufée à nouveau par son gland. Il avait la maitrise, je ne pouvais rien faire. J’avais de la bave partout. - Maintenant que tu en as bien partout, sors bien ta langue. C’est là qu’il s’assit directement sur ma bouche m’offrant alors son anus à lécher. - Quelle bonne petite bouche nettoyeuse. J’étais son objet. Il pouvait faire ce qu’il voulait. J’adorais cela. J’étais comme possédée dans ce moment là. Au bout d’un moment il se releva puis partit à l’assaut de mes autres petits trous. Il mis alors sur mes cuisses des attaches pour les relier à mes chevilles ou mes poignets. Il aimait me contraindre et après tout j’adorais cela. IL me détacha les chevilles du lit pour les rattacher à mes cuisses. Mes jambes étaient alors pliées montrant bien mes deux trous à mon maître. C’est alors qu’il me gifla le con. A plusieurs reprise. Je lâchais alors plusieurs cris. Il mis sa main sur ma bouche et introduisa sa ménagement Trois doigts dans mon petit trous. Il s’amusa a les regarder aller et venir comme pour les sortir par ma chatte. - Plus ? - Je disais oui du regard. Je prenais ce regard qui disait non.. mais oui quand même ????. Il tournait savamment ses doigts pour élargir au mieux mon fion. Il introduisait un quatrième doigts. Mon trou n’était pas encore assez travaillé comme il le désirait. - Hum, regarde.. quatre doigts dans le cul de ma putain.. Il y allait avec douceur, il jouait, il tournait sa main. Il y mettait une dévotion particulière à m’élargir. Il regardait la réaction de mon fion quand il sortait ses doigts. A regarder la trace de son passage. A voir s’il se refermait ou s’il restait béant comme pour réclamer plus. C’est là que de l’autre mois, il introduisait aussi des doigts dans ma petite chausse. Il était maintenant à s’afférer à bien me remplir. - Quatre doigts dans le cul, deux dans la chatte.. C’est là qu’il força le passage de ma chatte avec un troisième doigt. - Comme tu en mets partout.. regarde le lit est plein de mouille de petite salope… Ainsi il me fouilla de ses doigts, jouant avec mes orifices. Tout glissait.. naturellement tellement j’étais trempée. Je sentais mon corps frémir surtout quand il caressait en plus mon clitoris. Je n’arrivais pas à résister que je jouis. - Petite salope. Jouir sans me le dire… Quelle égoïste tu es. D’un geste sec, il me détacha. Les chevilles des cuisses. Il serra mon bras et m’attacha à nouveau comme à mon arrivée les bras au dessus de la tête. Je vis alors le martinet.. Mes yeux grossissaient. Il me flagellait alors de haut en bas. Les cuisses, les fesses, le dos. Il avait tellement rehausser mes mains, que j’en étais sur la pointe des pieds. Je voulais me dédouaner de cette punition méritée. J’étais bien rouge. Rouge de honte. Il me baillonna de mon gag ball, me remit le bandeau et me laissa ainsi… Qu’allait il ensuite faire de moi….
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Par : le 02/05/21
Patricia regagna sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. Étendue nue sur le lit, elle avait seulement conservé son bustier en cuir noir qui enserrait sa taille. Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle bondit hors du lit et alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur attendait, tenant une corbeille de fleurs dans les bras. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un superbe bouquet de lys, une bouteille de champagne et un cadeau très soigneusement enrubanné. C'était agréable et inattendu et elle ne put s'empêcher d'être émue par ce geste si romantique de la part sans doute de l'inconnu, celui qui l'avait soumise la veille, lors de cette soirée mémorable. Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et ouvrit avec joie le paquet. Patricia ne fut pas étonnée de découvrir son contenu, un déshabillé en soie noire, un loup en velours de la même couleur et une paire de menottes. Elle saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute: "Cette soirée vous appartient. Portez le bandeau pour moi. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures". Un peu anxieuse, elle aima pourtant sa persévérance et sa fidélité dans le lien qui les unissait. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Patricia songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Patricia devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lys, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Patricia portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Les règles de leur jeu. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Patricia frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Patricia oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Un sourire sur son visage. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/11/14
Je suis allée au Fessarium....... Soumise à la recherche d'un collier, j'ai lu et relu l'impressionnant "casting" du Maître des lieux, désirant trouver une partenaire docile, complice, motivée, sincère.... pour une interaction à 3. Malgré mes critères de "sélection" bien définis, je me suis reconnue en partie dans la description détaillée de cet appel qui m'apparaissait comme une opportunité à ne pas manquer. Cependant mon côté réservé, mon manque de confiance en moi, me faisaient hésiter à déposer ma candidature. La barre était placée très haut, néanmoins la tentation était omniprésente et l'envie m'a fait dépasser mes doutes, je me suis lancée, j'ai répondu à cette offre, je me suis dévoilée et j'ai cliqué, sans grande conviction, sur le bouton "envoyer" de ma messagerie dans l'espoir impatient d'une réponse. Celle-ci ne s'est pas faite attendre trop longtemps et à mon grand étonnement s'avérait plutôt positive. L'instigateur de cette annonce devant en référer à sa compagne et soumise, il me fallait encore patienter un peu pour connaître leur décision. Leur démarche commune m'a enthousiasmée. "E" est elle-même sur le chemin de la découverte, de l'apprentissage, et l'enjeu de cette coalition est non seulement que l'on devienne sœur de chaîne mais que l'on progresse ensemble dans notre soumission, sous l'éducation d'un directeur de conscience de qualité qui s'engage à nous faire cheminer vers l'épanouissement le plus complet. Selon la formule, nous avons fait plus ample connaissance, ils m'ont accordé leur confiance et après avoir fait couler beaucoup d'encre, une rencontre s'est profilée, de façon minutieuse, à l'initiative perverse de Monsieur et à travers de nombreux échanges de mails réactifs. A la veille de notre rencontre, Monsieur a écrit un message explicite sur son mur : « Bonjour à toutes et tous... Le sens de la vie en communauté étant fondé sur le partage, je souhaite donc vous faire profiter de mon actualité. Procédant à l'examen minutieux d'une candidature depuis maintenant quelques semaines, j'aurai demain soir, le plaisir et le privilège, d'accueillir sous mon toit, aux côtés de ma compagne vanille et soumise, un sujet féminin ayant manifesté sa volonté d'appartenance et présentant de sérieuses prédispositions pour rejoindre ma Maison et porter la marque de mon enseignement. Cette étape devant me permettre d'évaluer définitivement quelques éléments de compatibilité et de bonne adéquation, afin d'assurer à chacune des 3 parties concernées par l'équation relationnelle envisagée, que mon verdict final constituera la meilleure des décisions. Vous souhaitant une excellente journée, au bord de l'eau, ou ailleurs ! » (Pour les habitués du forum, cette missive rappellera sans doute quelque chose ou quelqu’un !) Il m'a également adressé son ultime écrit pour me donner les dernières instructions, dont voici un extrait : « Nous voilà arrivés devant la frémissante perspective de notre rencontre... Puisque vous avez confirmé votre présence, il convient donc désormais de vous adresser quelques informations pratiques mais aussi, quelques directives et autres consignes. Concernant votre point de rendez-vous, vous vous présenterez à 18h00 précises, sur le parking que nous avions convenu. Un chauffeur vous y attendra et vous prendra en charge pour vous conduire jusqu'à moi. Une fois le véhicule identifié, vous monterez simplement à l'arrière, côté passager. Quelques minutes suffiront pour parcourir la petite distance qui très sûrement, vous semblera une éternité... A mi-parcours, votre chauffeur vous demandera de vous bander les yeux ! Je compte sur vous pour obtempérer... A partir de cet instant, vous n'aurez plus qu'à vous laisser guider, en étant attentive aux quelques instructions que mon chauffeur vous donnera une fois arrivée et le moteur coupé...................» Le ton est donné et la volonté d’y être au plus vite s'accompagne de cette boule au ventre qui s’empare de moi. J'étais assez inquiète pour la route, je n'aime pas conduire vers un endroit méconnu, ce qui rajoute encore au stress de ce qui m'attendait..... En arrivant, je repère la voiture indiquée sur un parking qui était loin d'être désert...... J'avais quelques minutes de retard mais j'ai encore patienté un peu pour m'assurer que ce véhicule était le bon...... j'étais un peu en panique quand j'ai reçu un appel de Monsieur me souhaitant "bon voyage". J'ai rejoins la voiture en suivant les consignes....... Une femme est au volant et me souhaite la Bienvenue...... L'aventure commençait....... Depuis le début de nos correspondances, j'étais littéralement subjuguée par ce couple, de par la teneur d'une écriture habile mais surtout de nos envies respectives et de la notion d'une relation bdsm que nous partagions. Le feeling allait-il se concrétiser ce soir...... J'avais formulé mes intentions de soumission, m'accepteraient-ils au sein de leur binôme ? Trouverais-je en "E" une complice ? Consentirait-elle à partager son Maître ? Quelle décision Monsieur prendrait-il ? et tout simplement serais-je à la hauteur de ce qu'ils espéraient de moi ! Toutes ces questions me trottaient dans la tête..... Ils avaient su être rassurants, tout était prévu, sécurisé, discuté, orchestré avec brio, mais je partais néanmoins vers l'inconnu et à l'aveugle pour vivre et ressentir ma condition de soumise...... Le protocole à mon arrivée suffisait à poser le climat me rappelant l'enjeu de cette rencontre qui se plaçait néanmoins sous le signe de la décontraction. Ce récit n'a pas pour objectif de flatter l'ego de mes hôtes, mais je tiens à préciser que j'étais une invitée très attendue qu'ils ont su accueillir de manière chaleureuse dans un cadre convivial. Malgré ma nervosité je n'étais pas inquiète et me laissait guider en toute confiance. "E" m'amenait aux pieds de son Maître et me confiait les dernières consignes...... je sentais les palpitations s'accentuer, les choses devenaient concrètes, je la suivais d'une démarche incertaine, m'en remettant complètement à elle puis à la voix de Monsieur, me remerciant d'être venue à leur rencontre...... L'intonation était solennelle mais apaisante, la conversation amicale, tout en laissant planer de façon adroite et maîtrisée une certaine pression..... je retrouvais sa force de caractère, son côté subtil, cérébral, un peu calculateur, taquin, parfois pervers, mais très respectueux, jouant sur notre sensibilité à fleur de peau. Le bandeau qui était au départ une contrainte devenait finalement un refuge. Quand "E" m'a rendu la vue, sur injonction de son Maître, j'hésitais à ouvrir les yeux de peur de sortir de mon rêve, mais la réalité fut merveilleuse, et l'harmonie des plus parfaite, bien au delà de ce que je pouvais espérer vivre. Chacun a pu trouver sa place, sans jugement aucun, les limites étaient respectées et les actes se sont enchaînés de façon fluide, cohérente, progressive, comme une évidence qui nous attendait, mais sans douter un seul instant de la remarquable organisation, réfléchie et consciencieuse du Maître de maison qui a planifié cette rencontre avec finesse, rigueur et envie, qui a su combiner l'aspect troublant, excitant, suggestif, grisant...... qui a su souffler à merveille le chaud et le tiède.... jouant avec mes perceptions, me transformant en "objet" de plaisir.... mais un plaisir partagé à 3. J'ai été charmée par les allusions subtiles de Monsieur, j'ai du puiser en moi même la force pour dévoiler mon ressenti quand il m'interrogeait, je suis passée par des sentiments de gêne, d'humilité, d'offrande, et il n'est pas toujours facile d'adopter la bonne attitude quand on s'introduit ainsi au sein d'un couple, craignant de froisser la sensibilité d'"E" et j'ai reçu en retour un cadeau inestimable de sa part....... Elle a été pour moi une alliée, une sœur, et pour son Maître non seulement une soumise hors pair mais une assistante au service de notre plaisir commun..... Je n'entrerais pas ici dans le détail de notre soirée magnifiquement ficelée, j'ai bien sur exposé avec précisions mes émotions et perceptions à Monsieur et "E" en les remerciant sincèrement pour ces moments intenses. J'ai pris conscience que ma docilité était bien une partie intégrante de ma personnalité, j'ai vraiment apprécié sentir vibrer ma fibre de soumise, et que l'on me montre le chemin, il est long à parcourir mais cela me donne l'envie de poursuivre mon apprentissage, pour atteindre l'abandon, la confiance en moi et l'appartenance dont j'ai besoin. J'ai rencontré deux personnes formidables, attentionnées et touchantes par leur complicité, leur respect mutuel et envers les autres, leur délicatesse, le dévouement d'"E" pour son Maître et mari et je remercie la chance qui m'a été offerte d'attirer leur attention et de croiser leur route. Je ne m'attarderais pas sur leur élégance, leur raffinement, sinon ils vont prendre la grosse tête ;-) mais j'ai été séduite par la féminité d'"E", par la prestance de Monsieur et par l'ambiance qu'il a su créer..... Je suis fière d'avoir eu l'audace de répondre à leur invitation et de franchir le seuil du Fessarium. Y aura-t-il une seconde étape ? Cette soirée magique restera longtemps gravée dans ma mémoire et j'espère qu'elle ne restera pas isolée. Monsieur, votre pseudo est tellement représentatif de votre personnalité...... Prenant à cœur votre rôle de dirigeant pour nous amener là où Vous/nous le souhaitions et nous montrer les ressources qui existent en nous pour notre épanouissement, vous nous aidez à nous élever vers l'excellence. Vous êtes notre Ange..... Depuis cette rencontre, nous avons maintenu un contact très chaleureux. Tenant compte de toutes les parties concernées et principalement de mon idéal relationnel, qui est avant tout de trouver LE Dominant auquel je pourrais appartenir de façon exclusive, Monsieur m'a fait une suggestion. Il souhaite me prendre sous son aile éducative, protectrice, et me permettre de développer mon expérience aux côtés d'"E", en m'offrant une invitation permanente sous son toit, tout en aménageant notre relation de façon à ce que je puisse poursuivre ma quête. J'ai donc accepté de devenir une "soumise libre" néanmoins placée sous la gouvernance du Maître du Fessarium qui n'en sera pas moins exigeant. Monsieur Sitaël, puisque vous l'avez sans doute reconnu, est donc toujours à la recherche d'une soumise avec collier....... cerisa
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Par : le 09/10/15
La frustration fait grandir le désir et le plaisir. Mais c'est aussi une forme de supplice pour certains, certaines. Pas de flagellation, il n'est pas masochiste. Pas d'humiliation, pas de féminisation, ce n'est ni son plaisir ni le mien. La frustration sera pour lui une autre voie, une découverte, une expérience extrême après 6 ans de libertinage... Je mets une dernière touche à mon maquillage, léger, trait noir qui souligne le regard, rouge brique qui dessine les lèvres. Je rectifie mon chignon et regarde l'effet produit. Working girl ou maîtresse d'école, dans cette jupe droite et cette chemise blanche sous lequel on devine le soutien gorge ? Maîtresse tout court si l'on sait que sous cette jupe, le voile noir qui gaine la jambe s'arrête à mi cuisse, porté par deux jarretelles d'un serre-taille également noir... Image un peu stricte, regard pervers, bouche humide à l'idée de la matinée qu'elle s'apprête à aspirer comme une fumée voluptueuse. Des volutes qui embrument mon esprit, se décantent pour laisser place à des images précises, furieusement évocatrices, de regard avide, de chair offerte, de contraintes et de liens. Je glisse dans ma sacoche à supplices, cordes et lien de satin, une paire de gant, un foulard, un pinceau à blush, un gode, du lubrifiant. J'attrape mon manteau et je sors ; n'ai-je rien oublié ? La voiture file vers l'autoroute. Défilent des paysages que je ne vois pas, je ne vois que ces images qui s'agencent peu à peu en un scénario lubrique. Fébrile, excitée, la bouche sèche. Serai-je à la hauteur ? Je suis à l'approche, je me trompe de chemin, je suis obligée de l'appeler. J'aurais préféré arriver comme une surprise enrubannée de stupre. Il est au coin de la rue, me guide et me rejoins à pied, sourire aux lèvres, regard pétillant. Que peut-il imaginer de ces moments qu'il s'apprête à vivre ? Je lui ai dit frustration, contrôle, contrainte mais qu'est-ce que cela évoque pour lui, tellement loin de l'univers bdsm ? Nous nous enlaçons, nous embrassons et je retrouve son parfum, la saveur de sa bouche, son sourire qui dit beaucoup, en silence. Comme convenu, il porte un pantalon et une chemise. Comme convenu, le café est prêt et nous le prenons au soleil. Je lui rappelle les règles du jeu de ce moment d'appartenance.« Tu m'appelleras Madame et tu me vouvoieras ». Je définis un safecode, au cas où. Même si rien de bien désagréable ne devrait lui être fait. Des questions ? Il n'en a pas. Mais pas de possession ou de stimulation anale cette fois-ci. Il n'est pas prêt. Je l'entraîne alors sur le canapé, je m'assied à ses côtés, lui tend mes pieds, mes jambes, qu'il masse et caresse. Je lui tends la paume de ma main dont il ne sait que faire, mais il finit par l'embrasser, la lécher timidement. Je me rapproche alors, pour un baiser langoureux, nécessaire. Comme pour le bercer avant de lancer les hostilités. Les boutons de sa chemise se défont un à un tandis que mes mains jouent sur son torse ; sa respiration se fait plus courte... Je lui bande les yeux. Aveuglé pour mieux ressentir. Mais sans toucher, c'est la règle. Du moins pas sans mon autorisation. Mes dents mordillent son menton et ses lèvres et ma langue les lèche tour à tour. Distiller morsure et douceur, l'aigü et le suave, comme une entrée en matière subtile. Mon bon vouloir, son abdication... J'enlève ma chemise à mon tour et porte ma poitrine à son nez, qu'il me respire d'abord et pose ensuite sa bouche, l'ouvre, saisit et fait rouler, aspire l'objet de ses désirs, un téton qui se dresse sous ces caresses... Un plaisir que je lui ôte de la bouche. Frustration... Je libère son sexe que je sens tenté mais intimidé lui aussi. Je le fais grandir, prendre sa place, s'épanouir, se dresser, fièrement mâle. Je caresse le gland rose et joufflu de mon pinceau. Bel effet qui sort de sa gorge, une plainte gourmande... Puis j'enfile mes gants, très doux, comme une seconde peau pour un autre toucher, mes doigts de tissu vont et viennent sur son corps et sur son sexe, toujours droit. Je caresse aussi son visage, l'entraînant dans d'autres sensations. Ce n'est pas ma peau mais c'est doux et caressant. Sa bouche s'entrouvre lorsque je passe sur ses lèvres. Tout va bien. Tout est sous contrôle... Hormis deux mains hésitantes qui aimeraient reprendre la maîtrise du vît. Levons le voile, déchirons le et déversons ce sucre amer sur ce corps offert. Les cordes pour contraindre, empêcher de jouir comme à son habitude, interdire sa propre possession. Pas touche ! C'est à moi, il le sait, n'a pas le droit d'y toucher. Le chanvre passe sur ses mains jointes, dans le dos, s'étirent sur son torse et sous les pectoraux, faisant saillir les tétons, que je pince soudainement plus fort, laissant passer un peu de temps avant de les humidifier de ma langue. Allongé sur les coussins du canapé, bras bondagés, il est désormais à merci de mes envies. Je reprends en main la queue dressée, la presse et l'astique, turgescente, enduite de ma salive, empoignée à deux mains. C'est comme une bouche qui l'enserre. Il s'y trompe d'ailleurs, les yeux bandés, abusés par ses sens et son désir, le cerveau obscurci par un trop plein de sensualité inhabituelle. Lui qui aime voir, se repaître de la peau, du corps, du regard de l'autre. Frustration... Il demande grâce, je lui ôte son bandeau. Il me regarde alors, il observe mes mains s'activant sur lui, il se voit se gonfler, s'étendre, se lever davantage. Je le regarde dans les yeux, d'un regard lubrique qui annonce mon prochain jeu : le ruban de satin vient enserrer les testicules et la queue. Ses organes génitaux ainsi liés, je reprends les va et vient. La jouissance n'est pas loin, je ralentis le rythme, avant de reprendre crescendo. Une pause à sa demande. Enlevons les cordes, ne gardons que le satin. Mais interdiction de se ou de me toucher. Je reprends alors mes jeux masturbatoires, alternant entre douceur et lenteur, rythme et force, jusqu'au bord de l'explosion, en m'arrêtant brutalement. Frustration... Puis me vient l'idée cruelle de le laisser me masser les cuisses et les fesses, seulement me masser, mais jupe relevée. Frustration... Les mains massent avec délicatesse puis vigueur, un peu crispées. Redoutable, insupportable, un doigt glisse par erreur. La punition ? Le massage s'arrêtera pour une cruauté plus féroce, sans doute incongrue mais à coup sûr qui ferait mouche ! Assise devant lui, je relève ma jupe, écarte les cuisses et me caresse avec indécence devant ses yeux écarquillés et suppliants. Odieuse ! J'ajoute à ce supplice, car c'en est un, en utilisant mon gode devant lui. Je le dévisage, perverse, impudique, les yeux plongés en lui, désemparé, implorant de le laisser se masturber. Hors de question ! Frustration... Double frustration. Assez de frustrations, devant ses implorations, je le laisse me toucher, me doigter, embrasser mes seins. Devant ses suppliques répétées, je viens m'empaler sur lui, je le laisse me baiser, plaisir ultime d'un libertin, coït profond. Libération d'un libertin, jouissance finale... Et instants de tendresse. L'aftercare après un trop plein de frustrations. Abandon d'un libertin, enfin...
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Par : le 06/06/16
Il est venu me rejoindre samedi Il y a plus d'une semaine déjà…. Il m'a enlevée Amenée dans le plus bel hôtel du coin… Un beau soleil Piscine.. SPA…. Le soir venu, ses yeux ont changé de couleur Très noirs… Il me regarde intensément Je comprends très vite et adapte la position qui convient A genoux, mes yeux baissés, mes mains posées sur mes cuisses, paumes tournées vers le bas Là commence un long rituel.. Il m'attache sur le lit Me met un bandeau sur les yeux Un casque sur les oreilles Je connais cette musique… Ludovico Einaudi: In a time lapse La tempête se lève, je n'entends rien… Rien que la musique Tel un chef d'orchestre, il mène la badine, la cravache, le martinet… Et… La ceinture… Un savant mélange de douceur et de douleur… Il s'acharne sur moi, je gémis, je cris Les objets s'insinuent dans mes orifices Vibrants, froids, chauds…. Puis il attrape mes hanches Je le sens en moi D'abord des petits coups, pour se frayer un passage Puis les grands coups Il me pilonne sans retenue J'en perds mon souffle La tête me tourne, je me perds dans ses mouvements Mes cris se transforment en pleurs Mes larmes coulent le long de mon visage, tant la jouissance est forte Mon corps fini par se lâcher totalement Je n'ai plus de forces Puis, il me relâche doucement, me détache, me retire mon bandeau … Il voit mes larmes Il me sourit Aucun mot ne parvient à sortir de ma bouche Mes membres ne répondent plus… Je suis là, telle une poupée disloquée, désarticulée… Il me tient tout contre lui Son parfum m’enivre Il me chuchote des mots doux… Je reviens doucement à moi Au lendemain, je vais sur le balcon, je vois les dégâts de la tempête , les branches des arbres jonchent le sol, les grands pots de fleurs et d'arbustes sont couchés sur le côté La piscine est inaccessible… Je réalise l'intensité de ce que j'ai vécu, pour ne pas capter la force de la tempête Puis… Je reprends ma place de souminarde… Je t'aime Maître
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Par : le 01/02/21
J'échangeais depuis quelques temps avec une jeune femme que j'appellerai S. qui désirait tenter l'expérience de la soumission, mais n'était pas encore vraiment décidée à sauter le pas, il est vrai que l'univers BDSM peut parfois effrayer. Je lui avais proposé, lors de nos échanges, de goûter en douceur aux jeux de cordes qui sont des jeux que j'affectionne particulièrement et qui me semblent propices à la découverte, à la sensualité du contact de la corde sur la peau et au plaisir partagé. Au cours de ces jeux, suivant le ressenti et l'envie des partenaires, la séance peut rester exclusivement tournée vers les cordes dans le but de réaliser certains modèles; mais elle peut aussi basculer dans la complicité et les jeux de domination/soumission. Ce matin je reçois un message de S. qui commence ainsi: "Monsieur,..." je comprends que quelque chose a changé, S. ne m'ayant jamais appelé ainsi... et la suite du message "je suis prête à goûter à vos cordes". Ce message très court, presque envoyé en catimini, me ravit. Je recontacte S. pour la féliciter de sa décision et nous fixons un rendez vous pour le lendemain après-midi. Nous nous retrouvons dans un endroit neutre et public pour être bien rassuré sur les intentions de la personne que l'on rencontre, puis nous nous dirigeons vers une chambre d'hôtel que j'avais réservée. Nous nous installons dans la chambre, montons le chauffage pour que la température soit confortable pour S. Mon amie part se rafraîchir dans la salle de bains pendant que je sors de mon sac le matériel que j'ai amené: deux cordes de 10 mètres, une paire de ciseaux au cas où, un bandeau pour les yeux et une paire de pinces à tétons; je pose tout le matériel sur le lit pour que S. soit rassurée sur ce qui va se passer; je lui explique la présence des ciseaux pour la sécurité et le bandeau et les pinces à tétons pour le cas où nous voudrions pousser un peu plus loin le jeu. Nous en avions déjà parlé et je vois d'ailleurs que ces accessoires ne laissent pas S. indifférente ce qui me conforte dans l'idée de les avoir amenés. Je me tourne vers S. et lui demande: Prête ? Elle me répond: "oui Monsieur". Je la rassure sur le fait que tout va bien se passer. S. est vêtue d'un chemisier blanc sous lequel elle n'a visiblement pas mis de soutien-gorge, d'une jupe courte, de bas type Dim-up et de chaussures plates. Je demande à S. de s'asseoir sur le lit; S. s'exécute et je la débarrasse de ses chaussures. Je lui dis ensuite de se remettre debout, je lui explique que je souhaite lui faire un bondage de ses seins et que ce modèle comprend aussi une corde qui doit passer entre les jambes. Je lui indique que pour réaliser le bondage, j'ai besoin d'enlever ses vêtements, et que je souhaite le faire moi même, S. me répond "Bien Monsieur, je pensais bien que j'allais devoir me déshabiller". Je défais donc un à un les boutons du chemisier et je découvre complètement le buste de S. Je la félicite pour ces jolis seins qui vont bien se prêter au bondage. Je lui laisse sa jupe pour le moment. Je demande à S. de mettre ses deux mains derrière la tête ce qui a pour effet de mettre en valeur sa poitrine et de la mettre dans une des positions d'attente de la soumise. Je lui fais ensuite faire demi tour pour me trouver dans son dos et je commence à l'encorder; le modèle que j'ai prévu est très simple: avec la corde pliée en deux, un tour au dessous des seins, la corde qui change de sens das le dos, puis un deuxième tour au dessus des seins pour revenir dans le dos... Je demande à S. si ce n'est pas trop serré et si tout va bien... "Oui Monsieur" Ensuite la corde monte en bretelle sur une épaule pour passer entre les seins sous le premier tour de cordes et remonter ensuite en bretelle sur la seconde épaule pour être ensuite attachée avec un noeud sur les autres cordes au centre du dos. La tension de la corde a eu pour effet de faire remonter la corde qui passait sous la poitrine, qui vient maintenant presser les seins de S. Je vois que cela a l'air de passablement exciter mon amie qui respire un peu plus vite, et je vois les pointes de ses seins qui se sont dressées. Je dis à S.: "Fin de la première étape, je vais un peu faire travailler tes tétons si tu veux bien...", elle me répond "Oui Monsieur". Je préfère annoncer à S. ce qui va se passer juste après et avoir à chaque fois son consentement. Je suis dans son dos, mes mains caressent les seins de S., jouent un peu avec les cordes qui compriment la poitrine et rendent les seins plus fermes, je sens les tétons durcis au creux de mes paumes. S. se laisse aller, la tête en arrière contre moi; je lui murmure à l'oreille que je vais jouer avec ses tétons, les pincer, les étirer et qu'elle va goûter à la douleur... De chaque côté, je tiens ses tétons entre pouce et index en les étirant vers l'avant et en serrant de plus en plus fort ; cela arrache un râle de douleur à S., je relâche un peu la pression tout en continuant à faire rouler les tétons entre pouce et index, S. me répond "j'aime beaucoup Monsieur"; je recommence alors à serrer et j'invite S. à endurer la douleur, à en faire son amie, je garde ainsi la pression pendant de longues dizaines de secondes. (On dit que la sensation de douleur est très proche de la sensation d'excitation qui conduit à la jouissance et que certaines femmes arrivent à jouir uniquement par la stimulation des seins). Je relâche mon étreinte, repasse devant S., lui caresse la joue et lui demande si ça va, si elle a pris goût à la douleur. Elle me répond "Oui ça va Monsieur, j'ai eu un peu de mal avec la sensation mais on s'y habitue". Je lui propose alors de lui mettre les pinces à tétons qui vont maintenir une pression constante pendant le reste de la séance; S. étant d'accord pour poursuivre, je lui pose une pince sur chaque téton en prenant garde de ne pas la mettre trop au bout pour que ce soit moins douloureux; je vois que S. souffre un peu plus, je caresse ses seins pour rendre cela plus supportable et la douleur s'estompe. Je peux maintenant jouer avec la chaîne métallique qui relie les deux pinces, ce qui procure un certain plaisir à S. Je lui propose alors de poursuivre le bondage en faisant passer le reste des cordes entre ses jambes pour venir les rattacher devant entre les seins; S. étant d'accord, je détache sa jupe qui tombe à ses pieds et fais glisser sa culotte qui ne tarde pas à rejoindre la jupe. Je suis à genou devant S. et découvre son sexe à hauteur de mes yeux; il est complètement épilé, ce qui fait qu'on voit les lèvres s'exposer impudiquement et j'aime beaucoup cela pour une soumise. Je fais savoir à S. que j'apprécie son sexe épilé car une soumise ne doit rien cacher, et je lui explique la fin du bondage avec la corde qui va venir se rattacher devant; je lui explique aussi que je vais faire des noeuds sur la corde au niveau du sexe pour que cela appuie sur son clitoris et lui procure des sensations; l'idée à l'air de ravir S. Je réalise la fin du bondage et la corde avec les noeuds passe maintenant au milieu du sexe de S., j'ai écarté un peu ses lèvres pour que la corde disparaisse entre les lèvres à cet endroit là, c'est très joli à voir. Je joue un peu en tirant la corde vers le haut ce qui arrache des soupirs à S. Je demande à S. si elle veut poursuivre les jeux et pousser un peu plus en avant dans la DS. S. me répond encore "Oui Monsieur". J'attrape alors la chaîne qui relie les pinces à tétons en la tirant un peu vers le bas; sans que j'aie un mot à dire, S. a compris qu'elle doit se mettre à genoux devant moi. Je prends le bandeau et lui demande si elle est d'accord pour que je lui bande les yeux; S. me répond encore "Oui Monsieur, je suis votre soumise faites ce qu'il vous plaira". S. est donc maintenant à genoux devant moi, avec un bandeau sur les yeux et est uniquement vêtue de des Dim-up et de la corde. Je lui dis qu'elle a fière allure et qu'elle est une belle soumise; elle me répond: "Merci Maître". Ce changement de langage m'incite à poursuivre les jeux avec cette femme qui se revendique comme ma soumise. Je lui demande de mettre les mains derrière la tête. S. obéit et vacille un peu, c'est plus difficile de garder son équilibre, avant de se stabiliser. Je la gratifie d'un encouragement. Je lui demande ensuite d'ouvrir la bouche. S. s'exécute immédiatement. Je lui demande alors de tirer la langue et de rester comme ça sans bouger. S. réalise l'ordre sans rechigner. Je dis à S. "Tu vas garder la position, je te regarde, ne t'inquiète pas". Je prends une chaise et m'installe en silence face à S. Je la regarde ainsi pendant quelques minutes. Un peu de bave coule à la commissure de ses lèvres. S. a maintenant l'air inquiète de ne plus m'entendre; j'imagine que les idées se bousculent dans sa tête à ce moment... Je la laisse un peu à ses pensées; cet exercice l'aide à travailler la confiance qu'elle doit avoir en celui qui est maintenant son Maître. Je me lève et le bruit inquiète S. Je la rassure: "Tout va bien, je suis là. Est ce que tu peux tenir la position? Tu as le droit de fermer la bouche pour me répondre". S. me répond "Oui Maître" et ouvre aussitôt sa bouche en tirant la langue. Je la complimente pour cela. Je m'approche de S. et lui caresse la joue, j'ai terriblement envie de sortir mon sexe et de baiser sa bouche ainsi offerte. C'est probablement aussi ce que S. imaginait qu'il allait se passer. Nous ferons cela une prochaine fois, il ne sert à rien d'aller trop vite et à ce stade ce qui était important pour moi est que S. ait accepté de se soumettre à mes demandes en me faisant confiance pour ne pas abuser de la situation ou dépasser ses limites. Je parcours ses lèvres avec mon pouce, essuyant un peu la bave qui a coulé sur son visage. J'ai maintenant deux doigts (index et majeur) dans sa bouche; ma soumise se laisse faire et je crois que nous jubilons tous les deux de la connexion cérébrale que nous partageons à cet instant. J'annonce à S. que c'est la fin de la séance et que je vais la libérer. Je l'aide à se remettre sur ses pieds, lui enlève le bandeau et lui demande si ça va ? Elle est en train de redescendre doucement et me répond avec un sourire: "Oui Monsieur, c'était..." comme si elle ne trouvait pas les mots. Je finis de libérer S. en enlevant d'abord les pinces à tétons ce qui lui arrache un soupir de douleur au moment ou la pression se relâche, je caresse ses seins pour que la douleur s'estompe, puis je finis en enlevant la corde. Nous nous installons ensuite sur le lit, j'enlace ma soumise pendant qu'elle continue de récupérer et nous débriefons tranquillement cette séance de découverte. Lors du débriefing, je lui fais promettre de tenir à jour, à mon intention, un journal de soumise par écrit dans lequel elle pourra décrire son ressenti, ce qui lui a plu ou déplu, ce qui était difficile ou facile; ce journal de soumise ne sera accessible qu'a nous deux. Je lui parle aussi de la checklist de pratiques, également partagée entre nous deux, qu'elle devra remplir et tenir à jour; cette checklist, très importante à mes yeux, nous permettra de choisir les pratiques de prochaines séances et me permettra de savoir ce qu'elle aime ou pas, ce qui lui est difficile ou pas, quelle sont ses limites, ce sur quoi elle a envie de progresser. Je prendrai soin, pour la suite, de mélanger des pratiques qu'elle aime, des pratiques plus difficile pour elle mais que je tiens à lui faire découvrir ou encore sur lesquelles elle désire progresser. En résumé, progresser ensemble en confiance et prendre du plaisir. MainDeVelours, 24/01/2021 cette histoire est une pure fiction mais inspirée de mes envies du moment.
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Par : le 11/05/21
De cette chose impalpable, peut-être inexistante qu'est le passé, que gardons-nous ? À peine quelques mots dont nous ne savons plus s'ils ont été réellement prononcés ou si c'est nous qui les inventons dans le naïf désir de nous justifier, de croire que nous avons vraiment existé tel jour, telle heure cruciale dont le souvenir nous poursuit. Seules des images, parfois même reliées entre elles comme dans un film dont le monteur aurait coupé les meilleures ou les pires passages, ôtant toute logique à leur enchaînement, seules des images fugaces surnagent et permettent de reconstituer un épisode du passé dont nous sommes assurés qu'il a été un carrefour fatal. Là, tout est décidé. Un pas à gauche au lieu d'un pas à droite, une minute de retard, et toute une vie bascule dans l'inconnu. La double magie des lumières et du maquillage conservait miraculeusement l'éclat des vingt ans de Sarah alors qu'elle approchait du double et l'ardeur généreuse de sa jeunesse ressuscitait sur son visage en présence de Patricia. Son amante ne voyait plus qu'elle, n'entendait plus que le timbre de sa voix à peine mûrie par les excès de sa vie passée. Face à face, elles ne se mentaient jamais. Dans un miroir, c'est beaucoup plus facile. Une remarque insolente sur sa soudaine pudeur, le rappel de la scène qui a motivé leur fâcherie seraient de mauvais goût. Se souvenait-elle seulement des plaisirs partagés, et qu'elles prenaient, parfois pour de l'amour ? Une méprise bien de leur âge. Un jean noir et un chandail amincissait sa silhouette, sans être grande, elle avait un corps charmant. Un bandeau noir sur son front maintenait en arrière ses cheveux cendrés. Patricia avait depuis longtemps, dépassé le stade de la souffrance, une douleur qui s'annihile elle-même. Allongée dans le lit, la jambe de Sarah pressée contre la sienne, Patricia respirait avec bonheur le doux parfum épicé de son amante. La chaleur qu'elle dégageait la rassurait autant qu'elle aiguisait ses sens. Cette nuit, elle ne dormirait pas seule. Et si d'aventure, il arrivait que Sarah l'embrasse encore, et apaise ses brûlures qu'elle avait fait naître sur tout son corps, elle se plierait avec joie à son bon plaisir. Les longues jambes fuselées, le triangle inversé de la fine toison qui plongeait entre ses cuisses, le galbe des hanches d'une perfection appelant la caresse et là-haut au-dessus de la taille crémeuse, les seins ronds qui pointaient. Pourtant, elle comprit tout de suite, qu'elle ne se livrerait pas en totalité. Ce baiser manifestait la violence de son désir, l'acuité des sensations qu'elle éprouvait mais l'esprit de Sarah demeurerait à distance. Cela, alors qu'elle se donnait sans compter. Elle risquait de rompre le charme. Elle était si claire de cheveux que sa peau était plus foncée que ses cheveux, bise et beige comme du sable fin quand la marée vient juste de se retirer. Un peu de sueur brillait sous ses aisselles, qui étaient épilées et Patricia en sentit l'odeur âpre et fine, un peu végétale et se demanda comment une femme si belle pouvait parfois se montrer d'une si grande cruauté. Elle savait à qui elle appartenait mais se demandait où étaient sa bouche, ses seins et ses reins. Les exigences de Sarah, le plus difficile n'était pas de les accepter, le plus difficile était simplement de parler. Dans la moiteur de la nuit, elle avait les lèvres brûlantes et la bouche sèche, la salive lui manquait, une angoisse de peur et de désir lui serrait la gorge, et ses mains étaient froides. Si au moins, elle avait pu fermer les yeux. Mais non, elle veillait sur la lancinante douleur des traces. Les amours l'avaient laissé indemne jusqu'à Patricia. Elle adorait voir la joie de vivre dans ses yeux malicieux, la parfaite connaissance de ses doigts soyeux du corps féminin, jamais lasse d'étreintes fiévreuses, toujours à l'assaut. Pour Sarah, les hommes étaient le mensonge, avec leurs mains fausses, leur appétit, la politique dont ils parlaient, ils font impression jusqu'au jour où leur faiblesse éclate; pour la plupart, ils sont peureux et paresseux, et la faiblesse engendre la vulgarité. Patricia était la femme de sa vie. Avec le temps, les corps s'apprivoisent et les caractères se sculptent. Elle avait accepté de se soumettre à elle dans une totale abnégation. La flagellation et les humiliations, ça faisait partie de la poésie de Patricia. Entre douleur et langueur, supplices et délices, telle de la glace sur du granit, le désir était devenu une terre ardente où s'épanouissait son corps. Quand Sarah évoquait l'anatomie altière de Patricia, sa grâce brune et allongée, sa femme-enfant, fragile et éternellement adolescente, ses seins parfaits, ses longues jambes toujours brunies par le soleil, elle avait peur pour elle, du soleil, des coups de cravache trop violents qui semblaient devoir la brûler. Elle l'aurait voulue, idéalement dans la pénombre d'un boudoir, dans un décor vaporeux qu'elle aurait éclairé de la lueur de ses longs cheveux noir de jais croulant en cascade sur ses épaules nues. Fragile et forte, forte mais attendrissante de faiblesse pensait Sarah en regardant la nuit monter dans le ciel immense. Que ferais-je sans elle, je serais sans doute un peu perdue, désemparée. Patricia s'ouvrit et se cambra au contact de son doigt qui remontait et qui se mit à masser doucement son bouton de chair turgescent qui gîtait dans l'ombre de son pubis. Ineffable lui fut la caresse de son index à l'orée de sa voie la plus étroite, provoquant en elle une sensation de plaisir telle que jusqu'au fond de son ventre et de ses reins, elle fut traversée d'une tension exquise, presque insoutenable. Elle s'abandonna à cette jouissance, à cette extase irradiante. C'était comme si son être entier, tout son corps, tous ses nerfs, tout son sang bouillonnant affluaient dans son hédonisme solitaire. Elle eut un éblouissement d'impudicité. Elle cria sa lasciveté, avec des saccades et des soubresauts. Elle demeura debout, les cuisses écartées, les bras mous immobiles le long du corps. Elle avait encore en elle des ondes d'orgasme qui se répandaient dans une fréquence de plus en plus lente, comme les vagues qui meurent sur le sable quand la mer est calme sous un ciel étale. Une femme experte n'aurait pas été plus habile à lui donner autant de plaisir, sauf Sarah. Mais elle était heureuse de dormir seule dans le grand lit, avec le calme de la campagne tout autour. Elle allait tirer les rideaux, laisser entrer la lumière du soir recouvrir ses rêves et la lune éclairer les arbres. Il n'est pas de plus grands fâcheux que ceux qui racontent leurs rêves. Si Sarah s'y risquait, ce n'était pas par complaisance envers elle, détachée et prisonnière de l'instant, confrontée tantôt jusqu'à l'angoisse, tantôt jusqu'au plaisir avec la réalité onirique, mais parce qu'elle se trouvait en proie à une netteté indélébile. Il était plus de minuit. Patricia ne se déroba pas aux promesses. Elle avait les yeux de ce bleu qui dénotait une âme tendre. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 05/10/13
Nous y étions enfin !! Je dis enfin car la veille, de part votre déclaration oui vous vous êtes fait mienne, acceptant de fait ma domination sur vous . Le mot Maître que vous refusiez de dire jusqu à présent est sorti de votre bouche spontanément alors que vous étiez prosternée , nue face à moi, geste symbolique s il en est un pour l un comme pour l autre, de par cette action et de vos mots prononcés vous m avez offert ainsi votre soumission totale envers moi et je l ai accepté ,confiant quand à vos capacités et vos réelles envies de progresser dans ce domaine. Pour vous remercier de votre confiance, cette nuit je vous ai envoyé un mail ne détaillant que le début de notre rencontre de ce jour, vous permettant ainsi de vous imaginer mille façons dont se pouvait se dérouler le reste de cette journée. Vous connaissant je sais oh combien cela vous met en émoi et voir même vous stresse dans le bon sens du terme bien sur. Maintenant que vous étiez mienne je vous avais prévenue que je vous voulais également chienne, il n y a rien qui m excite plus qu une bonne chienne soumise vous avais-je dit ce a quoi vous m avez répondu que l idée était non seulement séduisante mais aussi et surtout très très excitante.... Mais le sujet de ce jour, de ton premier jour avec moi serait basé sur la confiance, totale, oui totale voir aveugle car c est seulement celle-ci qui t aideras à progresser voir te surpasser . sans elle aucune relation quelle qu elle soit ne peut être envisagée sur le long terme. Je suis arrivé avec un peu d avance, restant dans ma voiture car il pleuvait très légèrement. Cet endroit habituellement agité était ce matin bien désert, quel dommage , du coup je regrettais un peu mon choix du lieu , j aurai tant aimé pour votre 1er jour de soumise vous mettre à l épreuve dans ce genre d exercice, a voir si un peu plus tard il y aura un peu plus d animation je me suis dit. Pourtant l endroit est très touristique en été , ce que ne rend pas ce grand parking si vide, mais en observant l entourage je voyais bien que la veille il avait du y avoir du passage car il restait quelques immondices au pieds de certaines tables de picnic disséminées ici et là. 10:00 tapantes et j apperçois ta voiture entrant sur le parking, tu me dépasse et part te garer dix mètres plus loin coupant de suite le moteur. Je te devine t affairant à te préparer telle que je te l ai demandé, cela dure quelques minutes puis enfin tu sors de ta voiture.. De suite je saisis mon appareil photo et te mitraille, tu es resplendissante avec ton côté chienne bien mis en avant, la vision que tu m offres ainsi est super excitante... Tu es vêtue d une robe moulante blanche avec un décolleté à la base très échancré mais aujourd hui et comme je te l avais exigé tu as sorti tes beaux et gros seins lourds écartant de fait au maximum ce décolleté, tu avances doucement mais même ainsi à chacun de tes pas tes gros seins exposés ainsi à l air libre ballottent gentiment de droite à gauche, Tu marches la tête haute le dos bien droit mettant bien en avant et en valeur ta belle poitrine, la pluie si fine de mon arrivée laisse la place à une autre plus drue mais en aucun cas tu ne te dévies de ton devoir , ta robe déjà bien imbibée d eau se fait à chacun de tes pas de plus en plus transparente, maintenant on voit plus qu on ne devine que tu es bien nue sous ta robe qui laisse bien voir clairement ton dos et surtout tes fesses... Tu traverses ainsi ce grand parking jusqu à aller te poster devant une de ces table de picnic et tu m y attend totalement immobile. Après avoir pris un petit sac ou j avais placé quelques affaires et objets je me suis dirigé vers toi et une fois arrivé juste derrière toi, presque collé à toi je t ai dis : Penche toi en avant sur cette table, et mets tes bras le plus loin et en avant possible aussi. Une fois fait, d un coup sans te prévenir je t ai remonté ta robe jusqu à la taille puis te l ai retirer complêtement laissant tes fesses nues à ma vue. La pluie ne les recouvraient pas et l eau ruisselait sur celles-ci allant jusqu à s écouler dans ton intimité , vision super excitante que celle-ci, j adore ... Je t ai ordonner d écarter un maximum les cuisses et t ai posé des menottes aux chevilles . De celles avec une chaine en métal entre chaque extrémités , puis de mon petit sac j ai sorti un plus anal taille moyenne que je n ai eu aucune difficulté à t introduire , doucement quand même ,vu l écartement de tes fesses, ensuite j ai pris tes mains et je les ai nouée dans ton dos et pour finir je t ai bandé les yeux et t ai aidé à te redresser. Le temps semblait jouer au yoyo avec nous car il ne pleuvait presque plus, juste quelques fines gouttes tombaient encore , et les températures malgré ce temps étaient encore très douce en cette saison. Je t ai pris par le bras te guidant ainsi durant quelques mètres ,jusqu à que tu te trouves en plein milieu du parking puis t ai fait faire un tour sur toi même avant de dire qu à partir de cet instant il faudra que tu te fies à moi voix et à ma voix seule , je te demandais de ne pas bouger et de ne réagir et agir seulement que sur mes ordres. Ensuite je me suis éloigné d un pas rapide te laissant seule et désemparée Je me suis posté à une bonne quinzaine de mètre de toi t observant, de sereine au début, ton angoisse se faisait plus présente au fil des minutes qui passaient. J ai laisser filer le temps une bonne dizaine de minutes ainsi avant de te demander de faire à nouveau un tour sur toi-même , seule sans aide les chevilles entravées et les mains nouées dans le dos, et sans un appui quelconque tu as peiné manquant de peu de tomber à plusieurs reprises puis tu as stoppé. Alors d une voix forte je t ai demandé de venir me rejoindre en t aidant de ma voix comme guide et qu il fallait que tu me fasses complètement confiance et que j allais t aider à passer et surmonter certains obstacles voir même certaines peurs bien ancrées en toi. Ce petit jeu a duré pendant presque une demie-heure et finalement, fatiguée à la limite des larmes tu es arrivée à mes pieds. Je t ai enlevé tes entraves , des pieds, des mains ainsi que ton bandeau puis je t ai pris dans mes bras tout en te félicitant chaleureusement et en t embrassant et te frictionnant un peu. Je suis fier de toi, vraiment très fier , cette épreuve oh combien difficile tu l as passé haut la main et je sais aujourd hui qu à partir de maintenant, nous allons toi et moi allez très loin dans cet univers que nous avons choisi t ai-je dit en te regardant droit dans les yeux. Tu as mérité ta récompense , une très bonne récompense même, viens ... Je t ai pris par la main et nous sommes retournés vers les tables, je t ai demandé de t allongé sur une table ,sur le ventre ,de bien écarter tes bras et tes cuisses, et surtout de ne rien dire, pas un mot , pas un cri . Quel spectacle c était de te voir ainsi toute nue sur cette table, je t ai remercier de cela, hum que j aime te voir ainsi... J ai sorti de mon sac un petit fouet et t ai demandé combien de coup de fouet tu estimais avoir mériter pour ta prestation de tout à l heure , Le nombre qu il vous plaira Maître m as tu répondu. J ai bien insisté sur le fait que c était ta récompense et que donc en gage de remerciements aujourd hui et seulement ce jour tu aurai le droit de choisir . Tu m as répondu par un merci Maître, alors svp j en voudrai 30. D accord mais c est toi qui va les compter, je vais aller de doucement à de plus en plus fort , mais si jamais tu avais trop mal dis le moi et je stopperai tout car il est hors de question que je te blesse. Les cinq premiers à peine appuyés ne t ont même pas fait effets mais à partir du sixième et ce jusqu au trentième ton corps n a cessé de sursauter de plus en plus haut et fort mais jamais tu n as laissé échapper un cri , pourtant je t ai vu parfois agripper très fortement la table tu en avais les muscles tendus à l extrême , surtout sur la fin. Quand je me suis approché de ton visage pour t embrasser j y ai vu couler des larmes , que j ai prises pour des larmes de douleur m empressant de te prendre dans mes bras tout en te disant que je ne comprenais pourquoi tu ne m avais pas demandé d arrêter ? Et là esquissant un petit sourire au travers de tes larmes tu m as répondu de ta petite voix toute douce , non mon Maître, je ne pleure pas de douleur , je pleure de bonheur , celui d être à vous....totalement à vous , je vous aime . Aujourd 'hui grâce à vous j ai réussi a surmonter tant d épreuves ,tant de blocages que j avais enfouis au plus profondément de moi-même et en plus j y ai ai pris énormément de plaisir, et je vous en remercie beaucoup... Je suis à vous pour toujours... Maître .
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Par : le 05/02/15
11h15 Je reçois le texto qui m’annonce qu’elle est sur le parking de l’hôtel. Par retour, je lui envoie le numéro de la chambre ou elle doit se rendre. Silencieux, j’observe mon reflet dans le miroir de la salle de bain dont j’ai fermé la porte. 11h21 Je l’entends pousser la porte de la chambre que j'ai laissée entrouverte, et y pénétrer. Je l’écoute qui se prépare et passe la tenue décrite dans la lettre de consignes qu’elle a reçue hier. Je devine le moment ou elle glisse le bandeau noir sur ses yeux et s’expose de la manière convenue. Le silence... puis après une longue inspiration, elle dit: « Je suis prête » 11h33 J’entre dans la chambre et la découvre, debout au centre la pièce, immobile les mains le long du corps. Elle ne m’a jamais vu et ne connaît de moi que la voix et les mots de nos échanges. « bonjour M. » Elle me répond fébrilement, je devine qu’elle tremble un peu alors je lui parle et la rassure, en marchant autour d’elle sans la toucher. Je respire son parfum que je commente. Je lui chuchote dans le creux de l’oreille de rester immobile pendant l'inspection que je vais mener pour établir si elle a bien suivi mes consignes de tenue et de toilette. 11h49 Je pose la pulpe d’un doigt sur sa jambe, glisse doucement en remontant le long de sa cuisse, j’éprouve l’élasticité de son bas autofixant, relève la jupe et dévoile la dentelle de sa culotte. Elle est figée, alors que ce doigt l’inspecte et que je respire les mèches de ses cheveux. Nos chuchotements s’entremêlent, elle me dit son trouble, je lui livre mes exigences. 11h55 Mon index joue avec l’élastique de sa culotte, mes mains explorent la douceur de sa peau et la tonicité de ses fesses. Je dégrafe son décolleté, met à jour la couleur du soutien gorge, palpe le bout de ses seins, à l’affût de l'instant ou, réceptifs, ils vont se raidir et se tendre. 12h09 Je tire sur sa culotte qui creuse et pénètre le sillon intime de son sexe et je lui dis : « M., tu as le choix ! soit tu enlèves ton bandeau, prends tes affaires et disparais à jamais, soit tu restes et dans ce cas, je te veux offerte, abandonnée et docilement Obéissante… » 12h12 Elle reste…
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