La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 02/05/24
Châtiée, à cru et à cuirs - partie III Toilettage canin de Luxe   Un bruit. De la lumière. Une cloison a coulissé.   Allongée, je fais semblant de dormir, les yeux clos, juste un rai de vision. Respiration lente.   Deux paires de sabots de bloc opératoire verts. Des pieds féminins. Un pantalon vert, des jambes nues.   " ... Le Setter irlandais est trop commun, trop gentil. Elle veut une chienne de garde et d'attaque. La bête est taillée pour. Belle bête. Peut-être un peu trop grande. Une vraie rousse. Faut choisir une race rouge. Faudra garder du pelage rouge aussi. Une chienne rouge de Hanovre ferait l'affaire. Mais celle-ci est vraiment puissante, athlétique, bien bâtie. Du muscle.  Une Chienne rouge de Bavière, elle est parfaite. Ce sont des chiennes obéissantes. Sa Maîtresse veut de l'Obéissance, une vraie obéissante. Physiquement, elle convient, au top du muscle! Le dressage sera intéressant. très intéressant. Fermeté, douceur et sanctions sèches. Il faudra pas mal de séances et de séjours ici. Allons-y. La Maîtresse sera contente. En attendant, tire la de là et fais un toilettage complet. Tu me l'amènes après."   La porte grillagée d'acier s'ouvre, silencieuse, la chaîne d'acier tire sur "mon collier". "Avance la chienne, à quatre pattes".   Obéissante, j'avance, maladroite, contractée sur mes mains et les genoux, sur le carrelage dur.   "Stop". Je m'arrête.   La femme s'agenouille et commence à me caresser. Des doigts longs, fins, secs. Des mains douces et chaudes.   Les doigts fouillent mes cheveux, longs, défaits. Les mains lissent à plat les muscles, dos, flancs, cuisses, bras. Elles dessinent le cou, le buste, les seins. Elles s'attardent sur le ventre.   "Aboie ma chienne". J'aboie. "Oui, continue". Je continue. Une main se glisse sous mon ventre, une main se glisse entre mes cuisses. Elles caressent la vulve, le pubis, les lèvres, le clitoris. Elles écartent les petites lèvres, les doigts pincent le clitoris. j'halète. Ma honte mouille mon sexe, ma vulve mouillée me rend écarlate.   "Aboie". J'aboie, les yeux fermés, le ventre mouillé, ouvert.   J'explose dans les aboiements, mes aboiements. Explosion d'un orgasme de chienne.    volcans de soleil explosion d'étoiles chaos de lumières    .../...   j'erre entre nuages et mers alanguie abandonnée nuages ivoire et gris ciel bleu pâle mers vert de jade violet et pourpre la douceur de la brosse étirant mes cheveux m'endort odeurs d'herbes et de lavande   Une main retire l'Oreiller d'herbe, ma tête mise délicatement sur le sol. Elle décroche rapidement mon lourd collier d'enchiennement ; défait les bracelets des chevilles et ceux des poignets.    Privée de mon collier, je me sens dénudée, je suis nue.   Les doigts griffent derrière mes oreilles, la nuque, le haut du dos, le bas de la colonne vertébrale. "Ca t'as fait du bien. Peut-être manques-tu de caresses. A voir".   "A quatre pattes, avance derrière moi. A la toilette".   J'avance, un panneau glisse : un large box carrelé du sol au plafond.   Les mains écartent mes cuisses, curieusement docile je me laisse faire. "Oui, bien ouverte, c'est bien". Les mains appuient sur mes reins "Bien cambrée ma chienne". Un bruit, un frottement, j'aperçois une bassine rose sous mon ventre, entre mes cuisses. "On ne bouge plus". La canule pénètre mes reins. "Doucement".  Le fluide tiède me prend, envahit mon ventre, mes intestins. Je suis tendue, inquiète.  Je gonfle, attiédie.  "Un bon énema, un bon lavement pour la chienne". La canule sort. Un claquement, un deuxième claquement. Deux mains gantées massent mon ventre. Lentement. Je me sens grossie, pleine. Les mains pressent. Vidée, brutalement, libérée. Mes yeux pleurent un peu.  Mes reins sont offerts, je me sens offerte, je me cambre. Inquiète mais désirante contre mon gré.   Le jet d'eau frappe mon corps et fait résonner ma peau, elle est chaude. "Le lavage pour commencer". L'eau s'arrête. Le savon liquide est froid. Il est étalé partout. Rapidement. Le rinçage est bref, il pénètre les recoins, même les plus intimes. Mon ventre ondule, discret, en silence. Je suis ravie, aux sens propre et figuré. Je me livre à ces soins, sans défense.   "Ferme les yeux". Le shampoing est rapide. Le rincage long, il se conclut à l'eau froide, je frissonne ; elle rit. "Beaux cheveux!". Je pense à ma Maîtresse, elle me manque.   Le peigne défait mes cheveux, lent, précis, ubiquitaire. Je tremble de plaisir. La brosse à cheveux descend, revient, un travail en finesse. Je suis disponible, mon ventre mouille, mes tétons pointent, mes joues chauffent, mes cuisses aussi.Le plaisir du brushing me domine, doux et puissant. La peeling avec une brosse en alufa m'échauffe, il est interminable, ma peau exfoliée, mise à vif, mon corps frotté, échauffé partout, comme impitoyablement, le dos, le ventre, les seins, devenus lourds et douloureux, les cuisses, les bras, les jambes, jusqu'aux talons. Je tremble, je gémis.  violentes, deux claques sur les fesses, étalée à plat ventre je jouis, une jouissance lente, répétée, répétée. "Aboie". J'aboie, aboiements signes de mon plaisir. Elle rit; Un rire fin. Je suis heureuse, libre.    J'attends, rassasiée, pleine d'un érotisme rare. Elle me retourne. Sa poitrine s'impose à moi, dans l'ouverture de sa blouse médicale verte. Petits seins, ronds, élégants, la peau ambrée, le grain très fin. Des tétons bruns sombres, courts, en érection, rehaussés d'auréoles étroites, plus claires. L'envie me surprend., fascinante. Je la désire. Son visage est beau, coréen sans doute. Elégant, sobre, cultivé aussi. Un maquillage sobre. "On va préparer les griffes." Elle coupe rapidement, avec sécheresse mes ongles, les mains, les pieds, presque à ras. Je surprends l'inscription "Jiwo, Dr vétérinaire", brodée en noir. Elle retire rapidement, le vernis, surprise, je m'affole un peu. Elle me regarde. L'ordre est immédiat: "A quatre pattes".   Un moteur rapide s'impose dans le silence. Une main remonte mes cheveux, le rasoir électrique brûle la nuque. Je crie "Non". Elle rie "Je rase ta nuque. Interdit de parler ; tu seras punie pour ça". Le rasage est haut sur la nuque, je le sens, inquiète et honteuse, ainsi : le rasage de ma nuque se remarquera. Ma servitude exposée sans fard aux "connaisseuses".    Le silence s'installe. "Cesare Beccaria l'a dit : la meilleure politique pénale de prévention consiste à appliquer des peines certaines et immédiates." "Cambre-toi".  Docile, je creuse mon dos, je pousse mes fesses. Je ferme les yeux. J'attends soumise ma punition "certaine et immédiate". "Ici tu fautes, tu es châtiée sur le champ. Proportionnellement. Si tu comprends, aboie deux fois." "Sur le champ", à quatre pattes, nue, la croupe offerte cambrée, j'aboie deux fois. Je n'ai ni honte, ni désir, je suis seulement obéissante. Ma fesse droite brûle, j'aboie. "Plus fort !" Une nouvelle brûlure, plus intense, les larmes me piquent les yeux, appliquée j'aboie le plus fort possible. "Bien. On va en rester là pour la première fois. La prochaine fois, en cas de récidive, ce sera, évidemment, une peine plus lourde. Aboie trois fois si tu comprends." Sans réfléchir, j'aboie trois fois. Sa main glisse entre mes cuisses, elle explore mes lèvres, mon clitoris, me pénètre de deux doigts, va-et-vient. Je tremble. "Et la punition te fait mouiller. Tu es de ces chiennes maso, ça confirme ta fiche".  Mon visage me brûle d'émotion, je redoute et j'ai besoin des châtiments corporels. La honte et le plaisir.  Mon ventre s'ouvre encore, chaud, liquide. Elle rit sans retenue : "Il faut intégrer ça à ton dressage".   Brusque, elle me retourne sur le dos. Excitée, j'envie sa beauté. Ses cheveux sont brillants, lisses, noirs, coupés au carré. "Pour les épilations, nous verrons là-haut ! " "Ce sont aussi des choix de transpéciations". Je suis intriguée.   Elle me retourne encore, à quatre pattes, lavée, brossée, exfoliée, baisée, docile. J'attends. Un mince collier emprisonne mon cou. Elle tire sur ma laisse. Je la découvre, assise sur le sol, cuisses écaté, sexe lisse offert. "Viens payer ton toilettage de Luxe". Obéissante, je m'approche, fascinée par la tête de jument qui orne son pubis, les deux étriers, l'un d'acier, l'autre en Or, qui ferrent ses lèvres intimes.   ma langue entrouvre ses pétales de  camélias grenat elle dresse son pistil des plaisirs je m'abreuve de ses miels mouillés de sa féminité  les jets de sa jouissance bruyante violente m'arrache un orgasme animal   à suivre   
188 vues 7 aime
Par : le 23/04/24
Bernard Montorgueil, est le pseudonyme d’un illustrateur français dont on ignore toujours à ce jour l’identité réelle. Bernard Montorgueil est un illustrateur du BDSM et du fétichisme, qui a été principalement actif dans les années 1920 et 1930. Ses œuvres explorent les thèmes de la domination féminine et de la soumission masculine, richement détaillés dans un style typique en Europe dans l’avant Seconde Guerre mondiale. Malgré la richesse visuelle et thématique de son travail, très peu d'informations biographiques sur Montorgueil sont donc disponibles, son identité et ses origines restent donc un mystère. Initialement, ses œuvres furent publiées de manière clandestine, souvent diffusées sous le manteau dans des cercles restreints. Dans les années 1970, des rééditions limitées ont été produites par les Éditions Bel-Rose aux Pays-Bas et en France, il y eut également des transcriptions allemandes où son patronyme a parfois été ecrit "Montorgeuil" par erreur. Les illustrations originales de Montorgueil étaient en noir et blanc et ont parfois été colorisées lors de ces rééditions, souvent par des artistes embauchés par les maisons d'édition. Ces colorisations, qui datent probablement des années 1970, contrastent parfois de manière notable avec les nuances plus subtiles des originaux. Une partie de l’histoire de l’œuvre de Montorgueil s’est révélée lors d'une vente aux enchères chez Christie's en 2014, où quatre manuscrits uniques contenant des dessins originaux ont été vendus pour 30 000 livres. Ces manuscrits, intitulés "Dressage", "Une Brune piquante", "Une Après-midi de Barbara", et "Les Quat' Jeudis", comprennent des textes manuscrits accompagnés de dessins au crayon papier avec un ajout de légères touches de couleur, qui révèlent ainsi que certaines œuvres n'étaient pas strictement en noir et blanc comme on l’a longtemps cru. La revente de ces œuvres a contribué à un regain d'intérêt pour Montorgueil, remettant en lumière l'importance et la complexité de son art. Les rééditions ultérieures, notamment celles de Leroy en 1979, bien que largement diffusées, ne présentent souvent que des versions tronquées des œuvres originales, ce qui a suscité des polémiques quant à l’exhaustivité et la fidélité des reproductions disponibles. Des rééditions telles que celles publiées en fac-similé par les Éditions Bel-Rose en 1970 pourraient s’avéraient être les reproductions les plus fidèles des manuscrits originaux, d'autant plus qu'ils semblent inclure les dessins incolores correspondant aux descriptions des manuscrits vendus chez Christie's. Enfin, le mystère de Montorgueil et la discrétion qui entoure sa vie personnelle et son œuvre continuent de fasciner les chercheurs et les amateurs d'art érotique, tout en nous interrogeant collectivement sur les questions d’authenticité et sur la problématique de la préservation des œuvres d'art quand elles ont été diffusées par des canaux clandestins. Bernard Montorgueuil reste en tout cas une figure majeure de l'illustration érotique du 20e siècle et un mystère. Saurons-nous un jour qui il était ?
164 vues 12 aime
Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
532 vues 3 aime
Par : le 17/03/24
. Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler. Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts. Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal. Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage. Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin. À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité. Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices. Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour. Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps. -- Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués. Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter. Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps. Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet. Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot. À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents. Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre. Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes. D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé. -- Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe. Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir. L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes. Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille. Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids. Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander. Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité. Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie. Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû. Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient. Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant. Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse. Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !" Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail. D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi. -- Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
851 vues 5 aime
Par : le 10/03/24
La Belle et la Bête (vécu)       En ce début de soirée, Tara, s’apprête à jouer un rôle face à son Maître qui va la dresser à sa convenance afin d’en faire une parfaite soumise pour son unique plaisir; avec un mélange d’excitation et d’appréhension. Ne sachant pas ce que ce dernier va lui infliger, elle va endosser son rôle.   Elle pense bien le connaître; avec sa longue silhouette, sa carrure imposante, ses mains aux longs doigts fins mais d’une force redoutable, son regard tendre qui peut se transformer en froideur glaciale, son intonation douce et virile qui peut être grave et autoritaire, et aussi son intrangigeance. Elle sait qu’il a tout loisir de tester ses trois orifices, longuement, profondément, dans toutes les positions, de pétrir ses mamelles et de juger de son comportement sexuel. Il ne devrait avoir aucune difficulté à l'évaluer en détail, aussi sincèrement que possible, avec bienveillance mais néanmoins sans complaisance.   Elle s’apprête ; enfile son porte jarretelles, son seul dessous chic, ses bas, son collier de seins finement doré qui emprisonne ses tétons, sa robe gainante noire transparente faite de dentelle qui s’arrête juste au dessous des fesses, le cul et la chatte à l’air, elle enfile un oeuf de jade dans sa chatte qu’elle pourrait pondre en dansant pour amadouer son Maître et s’enfilera plus tard un plug (afin de réveiller tous ses sens provenant de son cul), un accessoire doré avec une pierre rouge brillante.   Le maquillage, très important; des yeux de biche et un rouge à lèvres ostentatoire, sans oublier d’embellir ses tétons à l’aide de crayons de maquillage de couleurs rosées afin de les sublimer. Elle se munit d’un sac à main contenant quelques accessoires indispensables à un dressage parfait : son collier avec sa laisse, ses liens en cuir rouge, son bandeau de soie sauvage, son plug, son gode, son crochet d’anus et son cadenas qui se prend dans les anneaux pour verouiller son sexe (et dont lui seul posséde la clé).   Tara est prête. Elle enroule un boa en fourrure autour de son cou. Une ultime vérification, puis elle descend l’escalier, la démarche chaloupée, en faisant claquer ses escarpins sur les marches et se présente à son Maître, les yeux déjà pleins de désir. - Fais-moi ton état des lieux. Elle connait bien cet exercice, c’est une exhibition sans complaisance et devant témoin de ses appas féminins. Elle hésite néanmoins, sa prestation doit être parfaite. Son corps ondule de façon provocante. Elle porte deux doigts à ses lèvres et les lèches langoureusement puis elle les enfourne dans sa bouche, les yeux fermés. Elle imagine le sexe dressé de son Maître, pourtant ce n’est pas aussi doux. Ses deux doigts font des va-et-vient, elle savoure ce moment dans son fantasme. Elle prend son temps mais pas trop tout de même pour ne pas le lasser. D’une main elle fait tournoyer son boa, et de l’autre elle découvre son cou laissant apparaître sa poitrine libérée de sa cage de dentelle. Ses deux globes pointent fièrement. Elle les malaxe longuement et maltraite rageusement ses tétons, puis les lèche d’une langue experte. Mais il l’interrompt brutalement, péremptoire. - Ce maquillage n’est pas à ma convenance, je veux un rouge vermillon, - Oui Maître, comme il vous plaira. Il est vrai que le maquillage est trop discret. Face à son insatisfaction, elle descend sur son ventre et lève sa robe qui ne cachait pas grand chose. Elle dévoile une chatte bien taillée et de deux doigts elle titille son clitoris déjà gonflé. Rapidement elle sent la cyprine l’inonder, son sexe prêt à recevoir plus d’attentions. Mais ce n’est pas suffisant, elle lève une jambe et pose son pied sur le canapé pour offrir une meilleure vision de son entrecuisse et exhiber sa chatte sans aucune pudeur. Elle se saisit de son gode et se l’enfile jusqu’à la garde, suivi de va et vient, elle se déhanche et se cambre, elle sait qu’elle pourrait jouir mais ne peut se le permettre, elle n‘est là que pour offrir un spectacle et prouver à son Maître ses aptitudes de parfaite putain. Elle cesse donc, à contrecoeur, son petit manège et se retourne. Elle offre à présent ses fesses rebondies bien en vue. Elle les écarte et va fureter à la recherche de son anus. Comme il est sec, elle va puiser à la source de son sexe pour l’humidifier. Elle s’encule d’un doigt puis un second. Maintenant il est bien ouvert et prêt à recevoir son plug. Ce qu’elle fait et voici son petit trou du cul paré d’un rubis. Elle le ressort puis le réintroduit pour plus de sensations. Un vrai délice. Elle continue et ne voudrait pas s’arrêter. Mais il l’interrompt brutalement - Remonte dans la chambre, pense à te remaquiller comme je le désire, prends ta posture de soumission et attends-moi. Est-il satisfait de sa démonstration? Elle n’en saura rien et sort du salon un peu frustrée.  
212 vues 2 aime
Par : le 20/02/24
Épisode 5 : » la présentation « suite et fin du dressage de la chienne   Revenons à nos moutons, pardon je voulais dire revenons à la chienne …   De retour dans la maison et après une pause bien méritée: une gamelle pour lilly et un verre de whisky pour nous.   La leçon suivante consista à savoir honorer son Maître. Au retour de son Maître une bonne chienne doit l'accueillir joyeusement à quatre pattes et lui embrasser les pieds en remuant la queue. Il proposa de lui apprendre une variante plus perverse. « au pied la chienne «  Lilly trotta jusqu’à lui en remuant la queue. Il lui tendit un de ses pieds. « lèche ma botte » Elle s'exécuta avec réticence et lécha du bout de sa langue une de ses bottines de cuir. « Mieux que cela ou gare à tes fesses » Elle s’appliqua et sa langue s’agita avec plus de dextérité. Il s’assura que toute la surface soit consciencieusement nettoyée. Après de longues minutes il parut satisfait. « Fais la briller avec ta chatte. » Elle prit la bottine entre ses cuisses et son sexe se colla contre le cuir. Elle se frotta dans un mouvement de haut en bas. C’était vulgaire, j’avais vu des chiens essayer de se branler ainsi sur le mollet de leurs Maîtres avant de se faire éjecter d’un coup de pied. Il imprima le mouvement avec son pied l’obligeant à être plus rapide et elle s’appliqua à le satisfaire de son mieux. Il semblait ne jamais vouloir arrêter ce supplice. Le cuir râpait son sexe entrouvert et le frottement dans son intimité était à peine supportable. Après la deuxième bottine elle était épuisée et son visage semblait résigné .   Je la sentis humiliée comme rarement je l’avais humiliée. Visiblement il jouissait de son humiliation.. Dresseur pervers il en avait fait un petit animal soumis et craintif qui guettait le moindre de ses ordres. Autant on avait pratiqué certaines de ses scènes entre nous, dans notre couple, autant d’être chienne devant un inconnu froid et calculateur, la rabaissait au rang d’animal. Ce dresseur repoussait ses limites bien mieux que je n’y arriverais  jamais car il n’avait aucun sentiment qui interférait. Seul le résultat comptait et il voulait atteindre les objectifs qu’il s’était fixé. Mais il n’était pas inhumain. Il était attentif et savait doser et reculer si nécessaire, mais obstiné il revenait à la charge dès que Lilly avait récupéré. J’étais certain qu’après quelques séances elle serait une parfaite chienne obéissante.   Si le sexe n’était pas la priorité, il ne s’en priva pas. Elle était sa chienne pour quelques heures et traiter Lilly de chienne en chaleur était une expression qu’il affectionnait. « Chienne, tiens toi prête pour la saillie, présente ton cul et cambre toi au maximum. » Lilly prenait la pose cuisses écartées, son sexe bien ouvert sous l’action des pinces qui l’écartelaient. Son orifice béant était une invitation à la pénétration, mais il n’en avait strictement “rien à foutre”. Il préférait son cul.   D’un geste rapide il lui ôtait le plug et introduisait son membre dans son cul encore entrebâillé. Il l’encula ainsi à de nombreuses reprises et avec un plaisir pervers, sachant s’arrêter à  temps. L’empêchant de prendre son pied. Il aimait la fesser, lui flatter la croupe, la tirer par les cheveux en la sodomisant. Il alterna le cul et la bouche et elle aurait en temps normal fait “la fine bouche”. Mais elle n’avait plus la force de résister. Le summum de sa dépravation fût atteint à plusieurs  reprises au cours de la soirée. Sur le point de jouir, il l’obligeait à se préparer à goûter son sperme jusqu’à la dernière goutte. Vicieusement il vérifiait qu’elle avait tout avalé en lui retroussant les babines, en glissant deux doigts de par et d’autre de sa mâchoire. Comble du sadisme il lui tapotait la joue en disant “bonne chienne”.   Honteuse, elle aurait aimé pouvoir se cacher dans un trou de souris et pleurer tout son soûl, mais il la gardait à portée de main, couchée à ses pieds le sexe toujours bien ouvert. Offerte et disponible.     Pourtant Lilly en bonne femelle avait d’instinct repéré les caresses, les positions, les parties de son corps que préférait son tourmenteur. Elle jouait de sa langue, de son cul et de tout son corps pour devancer ses désirs, les combler et ainsi tenter de l’amadouer. Elle savait rien qu’au timbre de sa voix dans quelles dispositions il était et agissait en conséquence en s’offrant sans pudeur. Elle anticipait aussi lorsqu’il la cravachait et modulait ses plaintes. Certains gémissements ayant des pouvoirs d’excitation, d’autres couinements le faisait frapper moins fort. Telle une vraie chienne elle apprit à être en totale osmose avec son dresseur. Privée de la parole les autres sens prenaient le relais et elle ressentait le moindre changement dans son attitude. Elle arriva même à deviner lorsqu’il était en proie à un léger doute sur la conduite à tenir ou devant un choix à faire. Elle espéra même un moment pouvoir par son attitude soumise réussir à l’influencer. Mais malheureusement pour elle, ce dresseur avait une personnalité bien affirmée. Le programme qu’il lui avait concocté comportait de nombreux passages obligés qui étaient de véritables épreuves pour elle.   Son Maître était attentif à son plaisir. Il respectait aussi certains de ses tabous, alors que cette nuit elle pressentait que son humiliation serait complète. Elle allait, elle le savait aller au bout de sa honte et devoir accepter tout ce que ce pervers avait envie de lui faire subir. Pourtant elle était certaine que le dressage proposé avait reçu l'acquiescement de son Maître. Son Maître voulait donc qu’elle devienne cette chienne en chaleur. Comment était ce possible? Son Maître allait il la traiter ainsi à l’avenir ? Non elle ne pouvait pas y croire. Son Maître aimait trop la faire jouir en récompense des efforts qu’elle faisait pour lui plaire. Et elle prenait du plaisir à lui faire plaisir.   Ce n'était pas le cas avec Marc. Pour Lilly ce soir, le plaisir n’était pas au programme. Elle était là pour être dressée, utilisée, humiliée, obéir, donner du plaisir et en baver.   “En baver” il fallait prendre cette expression au sens propre et au sens figuré. Elle devait garder la langue sortie, dès lors qu’elle était touchée ou pénétrée au niveau du sexe ou du cul, et avait l’interdiction de fermer la bouche aussi longtemps qu’on s’occupait ainsi d’elle. Après quelques minutes cela devenait très pénible car elle ne pouvait s’empêcher de baver. C'était une règle que son Maître avait instauré et qui l’excitait et l’humiliait à la fois. Marc avait tout de suite adhéré à cette proposition.   Titillant son clitoris, il la surprit en train d’avaler subrepticement sa salive. Comme punition, il lui accrocha une pince lestée d’un poids à la langue. Il la surveilla de près se délectant de voir de la salive couler sans discontinuer et il la traita de chienne baveuse. Elle resta ainsi 10 minutes la langue pendante. Désormais craintive elle ne refit plus la même erreur. . A aucun moment son membre ne la pénétra vaginalement, lui ôtant ainsi toute possibilité de prendre son pied. Le but était de la garder au maximum dans un état de manque et de la maintenir entre l’excitation et la douleur. C’était pervers. Son corps était tellement sensible que le moindre effleurement des seins, la moindre caresse la rendait folle de désir. Il l’a plusieurs fois amenée au bord de la jouissance attentif à ses râles de plaisir et il s’interrompait juste avant l’orgasme. La frustration était terrible. Ravalant toute fierté elle l’implorait en geignant, son corps parcouru de spasmes et un simple attouchement aurait suffit à la faire jouir.   Des moments proches du sadisme il y en eut plusieurs. Lilly n’était pas maso mais une certaine dose de souffrance pouvait l’exciter, si le plaisir alternait avec la douleur. Mais Marc avait bien l’intention de repousser ses limites et de la traiter en chienne maso. Il lui fit prendre la position numéro 4, sur le dos cuisses écartées avec ses deux mains et les cuisses repliées en arrière et dégagea son clitoris. Il avait une pompe à venin et il l’appliqua sur le bouton du clitoris décalotté. Il l’actionna d’un coup sec. Lilly hurla sous la douleur. Son clito aspiré dans la pompe avait doublé de volume, et il laissa la pompe accrochée. Lilly se calma mais la douleur persistait. Il fit de même avec les tétons des mamelles et les bouts s’allongèrent de deux bons centimètres. Lilly se contenta de gémir sourdement, un gémissement guttural, animal qui dura tout le temps où elle conserva les trois pompes. Il la laissa ainsi pendant plusieurs minutes avant de la délivrer.   Le résultat était parfait. Les tétons étaient terriblement sensibles et allongés. En lui touchant le clito, qui avait doublé de volume Lilly geignait. Après quelques minutes elle avait retrouvé un peu de sérénité mais les tétons continuaient insolemment à poindre et son clito était proéminent. Environ une heure après il décida de la tourmenter à nouveau. Il lui badigeonna le clitoris et les lèvres d’une sauce piquante à base de gingembre et de piment, dotée d’un pouvoir d’irritation très puissant. Lilly se tortillait, allant jusqu’à se frotter le sexe à un bout du pied de table, pour essayer de calmer la brûlure. Traitée de chienne en chaleur, elle gémissait dès qu’il lui touchait la vulve et son clito hypersensible lui faisait craindre la moindre caresse.   Nous priment une collation en nous servant de Lilly comme d’une table basse et lui avons permis de boire et manger dans une gamelle.   Estimant qu’il était temps de la faire se soulager, il la fit s’accroupir, les cuisses écartées au maximum. En équilibre sur la pointe des pieds et les mains derrière la nuque. C’est une position difficile à tenir car on a aucun point d’appui solide et Lilly avait du mal à la garder. Il lui intima l’ordre de pisser dans un verre à pied. Lilly essaya, je vis à son regard implorant qu’elle voulait réussir. Mais elle s’était retenue depuis si longtemps et son sexe avait été tellement tourmenté qu’elle faisait un blocage. Elle sentait le regard de son tourmenteur et son impatience. Je lisais les efforts désespérés sur son visage mais elle n’y arriva pas. Il insista, pressa sur la vessie, en vain. Il l’encouragea, la réprimanda sévèrement. Rien n’y fit. En désespoir de cause il prit une canule munie d’une poire et introduisit le bout dans l’urètre. Une pression sur la poire provoqua un jet d’urine puissant. Mais il ôta aussitôt le tuyau et lui intima l’ordre de se retenir. Elle réussit à arrêter le jet en grimaçant en signe de désapprobation. Son but était qu’elle pisse sur commande. « pisse chienne, doucement. » Un léger jet sortit et atterrit dans le verre qu’il tenait, il la félicita. Il l’obligea à remplir le verre et la stoppa en pinçant fortement les tétons avant que le verre ne déborde. Il fit de même pour les 5 verres suivants.   Bien plus tard dans la nuit, j’eus pitié d’elle. J’avais trop envie de la prendre et de la baiser en l’entendant jouir. Je la libérai des pinces au sexe et elle gémis, le sang se remettant à circuler. Je la massais délicatement et elle soupira d’aise. Son sexe était trempé et n’attendait que d’être pris par une queue.  Ce fut une étreinte puissante et rapide et elle jouit en poussant des gémissements et des cris qui semblaient venir du plus profond de son être. Un orgasme puissant et une récompense après  tout ses supplices. Ses yeux remplis d’amour, me firent comprendre qu’elle était heureuse et reconnaissante de lui avoir permis prendre son plaisir après tant de tourments.   Peu avant le départ pendant que Lilly attendait sagement couchée à nos pieds, profitant d’un moment de repos bien mérité, Marc me prit à part et proposa de nous revoir. Mais cette fois en compagnie d’autres dresseurs et d’autres chiennes. Pour lui, elle avait réussi à atteindre le niveau qui permettait de la présenter à son cercle. Il la jugeait apte à devenir une chienne confirmée. Je me sentis fier d’elle. C’était à n’en point douter un grand honneur qu’il nous faisait. Je promis d’y réfléchir. En le quittant quelques minutes plus tard je lui dis à bientôt, et Lilly le remercia en baisant la main qui l’avait si durement dressée. Il lui dit à la prochaine en flattant une dernière fois sa croupe et elle eut un long frisson involontaire. Épuisée, elle s’endormit à peine installée dans la voiture et ne se réveilla pas avant l’arrivée à la maison.  
553 vues 11 aime
Par : le 15/02/24
Épisode 4 : la présentation    Un moment de détente dans ce cadre champêtre me fut proposé.     Le salon donnait sur le parc et une petite balade à l'extérieur avec la chienne s’imposait. J’acceptai. Tenue en laisse Marc fit marcher lilly à quatre pattes. Les pinces écartaient son sexe, et la meurtrissait dans sa chair la plus intime car chaque mouvement tirait sur les lèvres. Elle essayait de faire bonne figure, mais elle devait souffrir. Malgré les protections aux genoux, avancer dans les allées ainsi harnachée n’était pas une partie de plaisir mais il marcha lentement en prenant le temps de flâner. Il s'arrêta souvent pour me montrer un pin centenaire, un ginkgo biloba “l’arbre aux cent écus” ou un massif de plantes rares. Lilly prenait la pose à chaque halte. Cuisses écartées, ouverte et bien cambrée et il la taquina avec une cravache provoquant des plaintes de la chienne. Il le fit tout en m’expliquant l’origine des différentes espèces de plantes et l’histoire du manoir qui faisait partie de sa famille depuis plusieurs siècles. Arrivé devant un bassin ornée d’une statue d’une femme nue il la fit s’approcher de la fontaine et la fit boire en se penchant pour laper et elle obéit à regret.   Au détour d’un sentier, un arbre abattu barrait le chemin et il la positionna courbée en travers du tronc. Il proposa qu’on la prenne tous les deux simultanément en alternant bouche et cul. J’acquiesçai avec un plaisir non dissimulé. Cela faisait plusieurs heures que j’avais envie d’elle.   Il veilla à ce que son ventre soit bien à plat contre le tronc, cul et tête bien dégagés. Elle subit nos assauts, bouche et cul emplis par nos sexes vigoureux, en gémissant. D’un signe de la main nous décidions d’échanger nos places et elle fut traitée d’une manière assez bestiale. Au moment de jouir nous nous présentâmes tous les deux devant elle. Ejaculant sur son visage et dans sa bouche de concert. Elle avala nos semences mélangées sans rechigner. J’avais adoré la sensation de mon sexe la pénétrant dans son cul, pendant qu’elle suçait Marc.     Le moment est venu d’expliquer et de raconter notre histoire de couple afin de mieux comprendre pourquoi, j’avais amené ma soumise adorée pour la livrer ainsi à un dresseur de chienne. Il y avait 8 ans que lilly et moi formions un couple Maître soumise. Elle avait 35 ans et moi 15 ans de plus lors de notre rencontre. J’avais déjà une grande expérience de Maître et j’avais été marié avec une femme qui était ma soumise pendant de longues années, mais nous avons divorcé. Lilly ne connaissait que la vie vanille et je n’avais aucunement l’intention de vivre avec une femme qui ne serait pas ma soumise. Je l’ai donc initié et lui est fait découvrir le Bdsm. Elle a aimé et s’est épanouie et a rapidement été demandeuse. Lilly n’était pas soumise en 24/7 mais sur un simple mot clé elle devenait soumise et obéissante. Elle aimait la fessée, le bondage et tous les instruments qui font partie de ces jeux. Sauf la badine qu’elle redoutait par dessus tout et que je réservais aux punitions dures. Nous avions un grenier transformé en donjon pour nos séances.   Puis nous avons fait des rencontres Bdsm . Tout d’abord avec un couple d’amis que je connaissais et dont la femme était soumise et son mari dominant. Lilly a découvert le plaisir d’être attachée avec une autre femme et la complicité des deux soumises était une délicieuse découverte. Puis quelques autres couples, dont certains devinrent des amis, et nous avons vécu des moments de partage. D’autres ne furent que de passages. J’étais très sélectif et lilly redoutait toujours ces rencontres. Pourtant en même temps elle ressentait une réelle excitation à l’idée de jouer. Ce mélange de crainte et de désir donnait de très bon résultats. Oui je dirais que c’était à la fois ludique et sérieux selon les séances et les fesses de ces dames s’en souviennent parfois quelques jours après. On n’aimait pas trop fréquenter les clubs SM. Le fait que les dominants restent habillés toute une soirée figés dans leur rôle, le fouet à la main m’a toujours paru étrange.   Mais nous n’avons jamais rencontré d’échangistes purs et durs. Pourtant lors de ces soirées le sexe était quand même présent et j’aimais voir ma soumise sucer un inconnu et être fessée. Faire jouir les soumises attachées dans un savant dosage de plaisirs et de tourments. Mais le sexe n’était pas le but dans le cadre Bdsm. Parfois je refusais qu’elle soit pénétrée n’ayant pas trouvé le dominant à la hauteur ou simplement cela n’aurait rien apporté de plus dans nos jeux. Nous attendions d’être à deux pour finir en beauté la nuit en mélangeant plaisir et tourments. Et nos orgasmes étaient d’une rare intensité.   J’ai toujours beaucoup aimé mettre en scène les débuts de ses rencontres : arrivée les yeux bandés, avec collier et laisse, dans une tenue imposée et forcément sexy choisie par l’invité, pour découvrir la soumise prête et offerte. Le cadre, l’ambiance, la musique, les bougies tout cela faisait partie des détails qui font qu’une soumise privée de la vue va ressentir des sensations fortes et intenses tous ses autres sens étant en éveil.   Au bout de 8 ans de vie commune en faisant le point avec lilly on était arrivé à un moment que doivent traverser beaucoup de couples : la routine qui s’installe et le désir qui se fait plus rare. La faute au boulot, les enfants, les soucis  …cela prenait presque tout notre temps et notre énergie.   C’est là que soit on choisit de mettre une télé dans la chambre à coucher et c’est le début de la fin ou on part à l’aventure au bout du monde pour ressouder le couple.   On a beaucoup discuté et fait le point sur sa soumission, notre amour, nos envies… Elle m’a avoué que lors de ces dernières rencontres elle était souvent déçue, le domi était soit trop gentil, soit maladroit ou simplement sans imagination. Que moi je n’avais plus ce désir de la surprendre me contentant de nos jeux, et nous connaissant trop on était devenu moins créatifs. Elle aimait toujours le côté DS, être ma chienne mais elle avait besoin de nouveauté, de savoir si ses limites pouvaient être repoussées et moi mari et Maître je n’osais pas de peur de la blesser. Elle avait mille fois raison même si elle était traitée en chienne je n’allais pas au bout de mes fantasmes avec elle, car je l’aimais trop pour risquer de la perdre. Je compris qu’il fallait que ce soit un parfait inconnu qui lui offre cette possibilité de vivre cette expérience. Encore fallait il trouver ce dresseur, capable sans état d’âme de la prendre en main.     Je vous dirai pas comment après de longues recherches je l’ai trouvé et sélectionné, selon des critères précis et de longues discussions, mais voilà cet homme c’est Marc.   La suite au prochain épisode          
525 vues 15 aime
Par : le 14/02/24
La présentation : Épisode 3   « Bien à partir de maintenant tu ne parleras plus sauf pour compter les coups si tu es punie. Tu peux gémir, couiner,  chouiner, sangloter, aboyer… Tu répondras à chaque question par un aboiement un pour dire oui deux pour dire non. Tu sais aboyer? Réponds en aboyant comme la bonne chienne que tu es ».   Lilly poussa un petit “ouaf” qui voulait dire oui mais qui ne sembla pas mais alors pas du tout convaincre son dresseur. « Ridicule! c’est nul recommence en y mettant plus de conviction. » Lilly recommença et recommença encore. Mais ses aboiements sonnaient faux. Exaspéré il lui mit deux puis quatre doigts dans la bouche, afin de faire sortir du fond de sa gorge des aboiements qui semblaient provenir de ses tripes.  Elle avait du mal à respirer et à déglutir mais il ne céda pas. Ses “ouafs ouafs” étaient maintenant rauques et rageurs.   Enfin satisfait il la laissa souffler et il proposa une pause et mit lilly à quatre pattes sur la table basse bien exposée devant nous. On dégusta un whisky écossais single malt de 25 ans d’âge dans de confortables fauteuils clubs en cuir anglais, en admirant les premiers résultats de la transformation de Lilly en chienne. Il commenta son corps en des termes vulgaires, parlant de son cul rebondi, de ses mamelles tombantes, la traitant de salope sans pudeur, de chienne en chaleur… Immobile, exposée sur la table Lilly était morte de honte. Il lui posa une écuelle remplie d eau et elle lapa sans rechigner.   Moi je la trouvais jolie ma Lilly. Sa taille de guêpe, sa queue pointant entre ses fesses et les lèvres de son sexe étirés étaient une invitation à la baiser.       Puis le dressage reprit. Il passa en revue les différentes positions que toute bonne chienne se devait de connaître. “Faire la belle” elle savait  et ce fut une simple formalité. Elle était à genoux cuisses ouvertes, bien droite, les pattes repliées à hauteur des épaules. De joie sa queue devait s’agiter. Prendre la pose à l’arrêt, tête au sol mains bien à plat devant elle, cuisses écartées et bien cambrée, c’était la pose numéro 5. Dans cette position indécente, il s’amusait à lui taquiner le sexe et à la doigter afin de bien lui faire tirer la langue. Il lui fit chercher la baballe et la ramener entre ses dents, et “faire la belle” avant de la lui redonner. Il ne manquait jamais de glisser un doigt entre ses cuisses pour la féliciter, l’obligeant à tirer la langue. Il attendait de la voir baver avant de renvoyer la balle. Le salon était immense et meublé avec goût, mais de nombreux obstacles imposaient à Lilly de louvoyer entre les meubles. Elle avait beau se dépêcher,  il lui mettait la pression afin qu’elle aille encore plus vite. Les pinces aux lèvres la faisait souffrir et ramasser la balle avec les dents l’obligeait à des contorsions et provoquait une tension involontaire des pinces. L’homme la suivait en la houspillant, il se servait de la cravache pour la faire avancer plus rapidement, et elle eut bientôt les fesses rougies et zébrées.   Bien remuer la queue qui pointait hors de ses fesses était plus difficile qu’il n’y paraissait. Car seul l’arrière train devait bouger, l’apprentissage fut ardu. Cela rappelait les danses des tahitiennes qui remuaient leur bassin orné de leur pagne en dansant le Otea. Là encore elle fut cravachée jusqu’à ce qu’il soit satisfait de son déhanchement. Il exigea qu’elle remue sa queue à chaque fois qu’il l’appelait. au pied chienne Elle trottait jusqu’à lui et “faisait la belle” en agitant la queue. Charmant tableau.   Pour la récompenser il lui donnait son sexe à sucer et lui imposait un rythme soutenu. Ce n’était pas à proprement parler un cadeau. Il avait un sexe long et épais. En l’obligeant à l’engloutir entièrement, elle suffoquait. Elle essaya une fois de se dégager avec ses mains pour déglutir et reprendre son souffle. Mal lui en pris. Il n’apprécia pas et il lui saisit la tête entre ses mains et la tint fermement collée à son ventre, son sexe butant dans sa gorge . Et il lui imprima des mouvements rapides et profonds. Un vrai “Deepthroat” forcé. Il lui ordonna de garder les mains dans le dos. Il la libérait juste avant qu’elle ait un haut le cœur puis recommençait la forçant à bien avaler son membre. Elle salivait abondamment et hoquetait cherchant à reprendre son souffle avant de replonger sur son sexe. Je craignais qu’il la gifla si elle essayait à nouveau de se rebeller mais elle ne tenta plus de se servir de ses mains. Heureusement, il eut d’autres idées et alterna en lui donnant ses couilles et son cul à lécher. Sa langue aussi devait servir à donner du plaisir et Lilly en bonne lécheuse s’appliqua à le satisfaire savourant ces moments de répit.   Elle obéissait du mieux possible, de peur des punitions. Les dix coups de cravache sur les mamelles l’avait fait couiner de douleur. Il lui avait fait compter les coups et il frappait d’un geste sûr en dosant la puissance. Précis et méthodique. Il aimait punir et il guettait la moindre faute. Une fois, il la surprit en train de l’observer à la dérobée et leurs regards se croisèrent. Elle sut instantanément qu’elle allait le payer très cher. Il l'agrippa sans ménagement et elle fut promptement culbutée sur ses genoux. Ses grosses mains lui donnèrent une fessée sévère qui incendia toute l’étendue de ses fesses. Il ne lui demanda point de compter préférant la corriger jusqu’à qu’elle soit au bord des larmes. Puis, elle fut mise au coin à genoux en position d’attente, son cul rougi exposé. A compter de ce moment elle décida de lui obéir au doigt et à l’oeil afin de ne plus être punie.   C’était un dressage dur, appliqué sans concessions et il avait envie de l’asservir rapidement et totalement. Je ne me souviens plus de l’ordre chronologique de la soirée. Il y eut des moments de calme où Lilly attendait sagement et récupérait à nos piedsmais j’ai encore en tête les détails de chaque moment fort.    
606 vues 9 aime
Par : le 12/02/24
Épisode 2 « la présentation » suite. Lire « la présentation » avant. Attention cette histoire est plus un dressage de « petgirl » qui transforme une soumise en chienne. Réservé aux amateurs de chiennes dressées durement.   Visiblement Marc adorait découvrir les positions que lilly avait apprises dans le but d’être présentée et qui par leur côté cru l’obligeait à s’humilier abdiquant toute pudeur. Ses positions sont celles qui font partie de celles qu’adoptent les soumises pour dévoiler leur intimité à leurs Maîtres et leurs permettre d’y accéder soit pour les saillir soit pour les tourmenter.   La « position numéro 3 »est comme la position 2 une de celles qui peuvent être prises facilement dans la vie quotidienne si la soumise est en jupe sans culotte. Sur l’invitation de Marc elle obéit. Lilly se tourna et se pencha en avant son dos à l’horizontal, gardant les jambes droites et espacées. Ses deux mains saisirent ses fesses et les écartèrent. Son trou du cul apparut. Marc y glissa un doigt et répéta le mouvement et Lilly docilement activa sa langue.   « position numéro 4 » demanda t il d’un ton ferme. Quittant la position debout, lilly se coucha sur le dos entrouvrit les cuisses et les tint repliées entre ses mains. Cette position était idéale pour la sauter ou tourmenter sa chatte. Il écarta au maximum les grandes lèvres et son sexe ainsi ouvert était totalement vulnérable. Il joua avec son clitoris et lilly se sentit à la merci de son tourmenteur qui alternait pincement et caresses. Un mouvement involontaire et de légers tremblement ponctuaient chaque geste de Marc et lilly gémissait doucement sous la pression des doigts et il s’attarda longuement sur son sexe offert. « Jolie pose il faudra lui refaire prendre en lui mettant une pompe afin d’aspirer le clito et le faire s’enfler. »   Il continua : « position numéro 5 » Elle se mit à quatre pattes, tête au sol, mains à plat devant elle, cuisses écartées bien cambrée offrant son cul. C’était la position qu’elle devait adopter, lorsque marchant en laisse son Maître s’arrêtait ou lui disait stop lorsqu’elle trottait a 4 pattes. « Un beau gros cul qui va devoir être rougi pour mon plaisir » fut la remarque de Marc Lilly savait que cette pose permettait tous les excès soit en recevant la cravache soit en étant prise par les orifices qui s’offraient au regard pervers de l’invité.   Et pour finir la « Position numéro 6 » Elle se mit accroupie, cuisses largement ouvertes, sur la pointe des pieds, mains derrière la nuque. Elle oscillait légèrement cherchant à garder son équilibre et fit grimacer lilly. Il commenta. « Pour tenir longtemps cette pose il lui faudra une cale dans le cul pour avoir un appui au sol. «  « Oui répondis je et c’est la position idéale pour la faire pisser lors d’une balade dans la nature. » Voyant qu’elle avait beaucoup de peine à tenir la pose il s’adressa à Lilly.   « debout chienne. » Soulagée Lilly se releva et reprit la position d’attente. Il saisit la laisse et l’entraîna vers un coin du salon. Arrivé devant une table il lui demanda de l’escalader et de se mettre à quatre pattes. Lilly s'exécuta. « Écarte plus tes cuisses et cambre toi. » Lilly obéit. Marc tourna lentement autour de la table afin de pouvoir l’observer sous toutes les coutures. Il laissa ses doigts glisser sur différentes parties de son corps s’attardant sur ses mamelles pendantes et les gifla de sa main provoquant de légers frémissements de la part de Lilly. Puis il se tourna vers moi. « si tu le permets je vais la transformer en vraie chienne. » Je lui donnais la permission et Lilly soupira. Un soupir involontaire qui lui échappa. Marc fit comme s’il n’avait rien entendu, mais il eut un petit sourire sadique. Je me demandais un instant si cela avait été une aussi bonne idée de la mettre entre les mains d’un parfait inconnu. Il revint au niveau des ses fesses et il enserra chaque cuisse d’une cordelette, reliée à un tendeur et à une pince. Il lui ordonna de serrer les cuisses et ajusta chaque pince au sexe de Lilly. Lorsqu’il lui fit ouvrir les jambes le ressort écarta au maximum les grandes lèvres et je vis Lilly grimacer de douleur. « Écarte les cuisses, serre les, écarte plus. » L’effet était saisissant et des plus crus presque vulgaire. Il répéta plusieurs fois cette opération afin de régler la bonne tension. Il voulait qu’elle puisse marcher à quatre pattes en ressentant pression et gêne, et qu’en s’ouvrant totalement la douleur soit à la limite du supportable. Pendant tout le temps où il ajustait les pinces Lilly garda la langue sortie comme elle avait appris, sachant qu’il lui était formellement interdit de refermer la bouche. Un peu de salive perlait déjà de sa bouche. Je savais qu’elle se sentait humiliée de se voir ainsi palpée et auscultée cuisses écartées langue pendante, devant un parfait étranger. Il se tint devant elle et elle put refermer la bouche visiblement soulagée.     Elle était encore persuadée de pouvoir lui résister. Elle allait bientôt déchanter car le temps n’allait pas jouer en sa faveur. Il aimait briser ces petites femelles sexuellement libérées qui croyaient venir ici pour s’encanailler.   Marc ne resta pas inactif. Il lui ôta les escarpins, enserra pieds et mains dans des sortes de moufles en cuir. S’il lui demandait de se lever, elle serait obligée de se tenir en équilibre sur la pointe des pieds. Impossible de faire plus d’un mètre sans tomber. Il protégea ses genoux avec des genouillères afin qu’elle puisse marcher à quatre pattes.   Il l’interrogea soudain. « ton cul est propre? » La question surprit Lilly qui n’était pas habituée à un langage aussi cru. Mais elle savait que quelque soit les questions elle devait répondre poliment et précisément. « oui monsieur, mon cul est propre. » « Comment l’as tu nettoyé? » « J’ai eu un lavement, monsieur. » « bien je t'enculerai bien profondément. » Lilly grimaça mais ne répondit pas. Pour Lilly le lavement était une des pires épreuves qui soit. Elle renâclait à cette pratique et je devais me montrer particulièrement ferme pour qu’elle s’exécute. Mais avant de venir elle avait du le subir. Je voyais son corps se crisper rien qu’à l’évocation de ce souvenir humiliant.   Puis il prit un plug en métal de bonne dimension avec à son extrémité une courte queue. Il l’approcha de sa bouche, força ses lèvres et le glissa en effectuant des vas et viens rapides et profonds. « mouille le bien tu vas l’avoir dans ton cul. » Lilly s’appliqua à bien l’humidifier. Il lui mit le plug en faisant preuve de délicatesse. Il faut dire qu'il était d’une taille imposante. La courte queue transformait doucement Lilly en animal. Elle se sentit remplie et dilatée à la fois.   Pour finir il lui enserra la taille à l’aide d’un corset de cordes et le serra au maximum. Sa taille  s’affina et ses fesses rebondies attirèrent nos regards. Elle était à croquer ainsi harnachée. Je vis l’effort qu’avait fait Lilly pour ne pas crier puis elle sembla s’habituer à sa nouvelle condition.   Doucement il s’approcha de sa tête, lui caressa les cheveux et lui dégagea les oreilles, prenant le temps de l’observer. Il la huma, la renifla et reconnut son parfum. Opium d’Yves Saint Laurent. Il lui fit ouvrir la bouche y glissa plusieurs doigts et il inspecta sa dentition. Elle eut honte d’être examinée comme une esclave des temps anciens qui allait être vendue sur le marché. Dans chaque narine il lui posa un crochet, relié par une cordelette à une sorte de serre tête. Il tira et ajusta le tout. Son nez se retroussa et sa lèvre supérieure s’entrouvrit la rendant plus animale.Il joua ainsi pendant quelques minutes à tendre la corde l’obligeant à desserrer la lèvre supérieure. Puis curieusement il lui ôta cet accessoire en disant s’en servir plus tard. D’une voix grave il reprit la parole. « voilà qui commence à me plaire, on va pouvoir commencer le dressage, Lilly es tu prête? » « Oui monsieur, je suis prête à être dressée. »  
834 vues 13 aime
Par : le 10/02/24
Bonjour à tous, je vais vous raconter l'expérience où j'ai pris le plus mon pied avec ma femme. Il y a quelque été de ça m'a femme qui aussi ma dominatrice et moi, nous avons décidé de partir faire une balade en quad en forêt. Après une bonne heure de balade nous nous sommes arrêté dans un coin calme sans personne pour nous reposer, enfin ce que je croyais. Ma femme a décidé de faire une séance de domination soumission en plein air en pleine nature, elle m'ordonna de me mettre nu à genoux devant elle, chose que j'ai faits immédiatement. Elle était assise sur le quad face à moi, elle me regardait avec mépris, et me dit d'un air autoritaire: "retire mes chaussures délicatement et renifle mes pieds larbin". J'ai donc fait ce qu'elle m’a dit, j'ai reniflé ses pieds qui étaient nus dans ses baskets avec la chaleur elle sentait des pieds et elle souriait en me regardent faire. Je lui reniflais ainsi que léché les pieds avec passion, elle me l'ait frotté sur mon visage pour que l'odeur reste sur moi puis elle se rapprocher de moi pour me crachera la figure et m'envoyer un bâton à travers les bois pour que je cours comme un chien pour le lui rapporter. Elle a continué ma séance de dressage en me faisant renifler sa chatte humide et son anus transpirent tout en asseyent sur ma figure elle les frottait toujours pour que les odeurs restent sur moi elle crachait en même temps et tout en se frottent elle étalait sa bave sur toute le surface de ma figure jusqu'au moment où elle s'est arrête et a collé sa chatte poilue et humide de mouille et se salive au niveau da ma bouche et s'est soulagé de son liquide doré et chaud dans ma bouche tout en me disent:"n'en perd pas une gouté larbin". J'étais recouvert de pisse de bave et de ses odeurs intimes. Elle m'a ensuite obligé à me faire moi-même pipi dessus, puis elle m’a fait mettre à 4 pattes sur le quad lui offre mon cul et à commencer à me pénétrer avec ses doigts pour finir avec 4 de ses doigts dans mon anus, elle faisait des vas et viens de plus en plus vite je gémissais comme une chienne j'avais les jambes qui en tremblaient, elle me demandait de crier que j'aimais ça et que j'étais et que je suis toujours je tiens à le préciser une grosse salope. Et pour finir après m'avoir bien défoncé le cul elle m'a sucé en me titille le bout des seins chose qui m'excite énormément pour me faire gicler dans sa bouche et me le recracher dans la mienne et sur la figure. Voilà une de mes expériences le plus où on a pris notre pied.   PS: jhomme soumis.
539 vues 3 aime
Par : le 09/02/24
Étant séparé récemment d'une relativement totalement vanille, j'ai décidé de vivre ma vraie nature ,ma soumission, longtemps réfréner    je contacte une Dominatrice sur le site marché aux esclaves après plusieurs jours de discussion et d'ordres , Madame me convoque pour un test . Pour ce premier contact, il fut convenu que je devais porter un plug, et une tenue imposé ( Pantalon noir, haut blanc) Madame me donne rendez-vous devant un restaurant d'une ville de sa région!  Par peur d'arriver en retard c'est avec plusieurs heure d'avance et quelques heures de route que je suis au Rdv  lors de cette rencontre je suis très intimidé et je ne suis pas trop quoi dire, car Je savais que mes faits et gestes seraient épié et décortiqués par Madame  Après le repas, nous nous rendons à l'hôtel pour ma première séance avec ma nouvelle Domina.  Arrivé dans la chambre, Madame entra dans le vif du sujet  Elle m'ordonna de me déshabiller ce que je fit timidement.   Arrivée devant devant Mme,dans le plus strict d'appareil  elle ordonna de répéter les différents exercices qu' elle m'avait appris en virtuel afin de les corriger puis elle m'instruit mes différents rituels , de salutations,de présentation et d'endurance  Je reçu la cravache par séries de 10 , j' arrive à 60 malgré la brûlure qui se fait vite ressentir  A suivi une séance intensive de pénétration anale avec différents types et de taille de godemichet Durant la séance anale je jouis avec un grand plaisir mais sans autorisation ce qui me coutera une punition.   Après cette séance nous nous sommes assis sur le lit pour faire un premier point et parler de tout et de rien    Après ce moment de pause je reçu ma punition : la ceinture , la trique , cravache et badine  A suivi les pinces aux seins et aux testicule  J'ai la joie également de goûter la cire ,à la roulette et à l' électro stimulation    Après cette nouvelle séance nous fûmes une petite pause et nous décida d'aller manger à quelque part, avant de nous quitter malheureusement nous fûmes déçu de notre choix de restauration !   Comme à son habitude Madame me laissa la nuit de réflexion avant de faire ma demande de dressage !
274 vues 5 aime
Par : le 27/01/24
Exhibée : réponses aux questions simples.   Lady Scarlett, ma Maîtresse, respectée et Obéie, est satisfaite de mon retour sur cette scène où je dois me raconter et dialoguer, échanger. Elle remercie celles et ceux, Dominant-e-s et soumis-e-s, qui m'ont posé des questions ; les plus simples, les plus factuelles vont trouver réponses dans ce post, qui pourra être interrogé ; les plus complexes recevront réponses dans des posts ultérieurs, par exemple: qui t'a dressé ? qu'est-ce qu'un dressage à la dure ? Lady Scarlett remercie plus particulièrement pour la qualité de leur dialogue avec moi : Maîtres I....5 et I...........t ; elle adresse ses sentiments les plus sincères et chaleureux à Maîtresse C.......m. Les questions supplémentaires sont, évidemment, bienvenues.   Maître V - Soumission et dressage ? - Maintenant, j'ai des règles de vie assez complexes, parfois stables, parfois changeantes ou imposées pour quelques jours.  J'ai une gouvernante à Paris, mariée à une femme, chez laquelle je vis lorsque je ne suis pas à Londres ; son rôle est simple : "surveiller et punir" ; elle est sévère. A Paris, c'est aussi elle qui satisfait mes besoins sexuels (que j'avoue "substantiels") en se payant sur la bête.  Je suis donc châtiée, baisée de façon régulière ; seule ma Maîtresse m'exhibe et m'humilie, de façon irrégulière, souvent surprenante. A ce stade de mes Confessions, je dois dire que j'aime obéir, beaucoup, et que les châtiments corporels m'excitent bien que je les redoutent comme les exhibitions ; les humiliations sont, elles, des épreuves difficiles pour moi. Les règles de vie sont au fondement de mes dressages, dès le début, par Ana puis Scarlett. Elles font partie de ma vie et plus encore de ma personnalité, de ma personne, de moi. - Vices et perversions ? - Si vous pensez à mes vices et à mes perversions, à ceux qui m'habitent, les principaux sont le cosplay, de toutes sortes : panthères, tigresse, poney, pirate, esclave, fille de harem, princesse, "Blanche-Neige", médecin, etc.  En tant que pony-girl, j'adore être harnachée, recevoir des mors, un filet de tête, une pony-tail, être exhibée ainsi, défiler ; bien sûr, je redoute la cravache, les cravaches, de celle à claquette à celle de dressage. Je dois confesser un goût peu modéré pour la lingerie, toutes les matières, coton, soie, cuir, vinyl, toutes les couleurs, tous les assortiments. Curieusement, je me sens valorisée et j'apprécie énormément que ma Maîtresse, ma Gouvernante ou des Amies choisissent et m'imposent de la lingerie (ou son absence!). Si vous pensez aux vices et aux perversions de ma Maîtresse, ils sont nombreux, divers, variés, je dirais aussi changeants. Je ne peux jamais savoir, jamais anticiper.  - Des domaines à explorer ? - J'imagine ; mais, ce n'est pas à moi de les choisir. Maître D - Dressée à la dure ? - On y reviendra. Maître C - Lesbienne? Bi ? - Depuis mon adolescence, je suis lesbienne, attirée exclusivement par les femmes, de façon éclectique. Je trouve de plaisir dans les rapports avec des femmes, jeunes femmes ou femmes âgées, connaissances ou inconnues, avec ou presque sans préliminaire, à deux ou à plus, dans l'intimité ou en groupe, dans une chambre, en forêt, dans une voiture. Mais, j'apprécie (j'ai besoin de) les corps propres, très propres, parfumés aussi.  Je ne suis pas bi, mais j'ai dû, par Obéissance à ma Maîtresse, "recevoir" le sperme de mâles, Maîtres, soumis ou vanilles, sur moi - cheveux, seins, dos, le visage parfois ; c'est, pour ma Maîtresse une preuve de soumission, de docilité de ma part. Je redoute et je n'aime pas ces défis, ou ces surprises ; j'en pleure, même si j'en jouis fortement, tout en culpabilisant de ce plaisir et de mon Obéissance.  Il arrive que je sois menacée d'être baisée par des hommes à titre de punition en cas de faute grave ; c'est, je crois, la plus forte menace de punition possible.  Je subis souvent le gode vaginal, à la main ou à la machine, notamment pour assurer mon "calme sexuel". Maître T - Décrivez-vous ! Présente-toi ! - Je suis grande, élancée mais musclée, rousse, Italienne, chef d'entreprise, soumise sous collier. La peu claire, et malheureusement , de nombreuses tâches de rousseur ou brunes sur tout le corps. Une poitrine ronde, haute, une taille mince mais des hanches larges et de "grosses fesses" (que je n'aime pas). Esclave sexuelle ? - Totale. J'accepte tout : je suis volontaire pour et dressée à. Je suis l'esclave, notamment sexuelle, de ma Maîtresse Lady Scarlett. Déjà fécondée ? - Jamais ! Vraiment rousse ? - Oui, roux vénitien pour les cheveux et les aisselles, roux-blond clair pour le sexe, pubis et grandes lèvres. - Epilée ? - Les exigences de ma Maîtresse varient et je dois m'adapter "immédiatement".  Ma nuque est toujours rasée, les tempes parfois, selon les désir de ma Lady. La situation des aisselles varie souvent : épilées ou poilues, parfois teintes. L'anus et les grandes lèvres sont le plus souvent épilés à la cire. L'épilation ou le rasage total ou partiel du pubis, sa teinture sont des choix que ma Maîtresse se réserve. Les épilations, rasages, teintures sont faites par la Gouvernante ou une esthéticienne ; jamais par moi. Maître M - Pourrais tu être intéressée par une mise en esclavage permanente 24/7..?! - C'est le cas aujourd'hui.  C'est très facile à gérer, je vis dans des cadres changeants et je sers ma Maîtresse. - Maître P - Tu n'es soumise qu'avec des Dominas ? - Ceci est une évidence absolue pour moi. - Quelle est jusqu'à présent la plus grade humiliation que vous avez dû subir ? - Boire de l'urine de plusieurs personnes, être douchée avec, être baisée sur un parking de voyeurs. Maîtresse I - A lire ton profil tu as été dressée jeune ? - Oui, 17 ans. - Un dressage dur donc ? - Oui dur. A Milan, par un couple de femmes. J'étais étudiante. Elles, l'une prof, l'autre étudiante. Elles étaient exigeantes, sévères, attentives. - Quelles exigences ? - Habillement. Travail pour la fac et ménager. Services sexuels.   Un esclavage réel, total, sans violence mais avec des punitions physiques. - Je t imagine le style de meuf qui au début devait être assez prétentieuse ?  - Effectivement : Grande, rousse, cheveux longs, musclée. 1,84, 68 kg. - Annelée ou pas encore ? Quatre perçages : Tétons et petites lèvres. - Marquée au fer rouge ? Non. A suivre.
722 vues 11 aime
Par : le 26/01/24
Je me souviens parfaitement de notre première séance. Ma femme venait de rentrer d'un long séjour, fatiguée mais rayonnante. À ce moment-là, j'ignorais encore son aventure virtuelle, que j'apprendrais plus tard. Quelques jours avant son retour, elle avait révélé son désir de devenir soumise, Ma soumise. Après 10 ans de mariage, c'était une révélation inattendue, mais excitante. J'avais noté un changement chez elle, elle vivait sa crise de la quarantaine, aspirant à plus, sans que je ne soupçonne l'ampleur de ses désirs. Son retour marquait un tournant. Durant son vol de retour, je lui avais demandé de réaliser quelques défis érotiques. Elle devait prendre des photos d'elle dans les toilettes de l'avion, se caresser discrètement sous une couverture, obéissant ainsi pour la première fois à un ordre de ma part. Puis, je lui avais demandé de séduire un steward et d'obtenir son numéro. Elle s'était exécutée, captant l'attention d'un steward qui lui offrit des boissons supplémentaires, mais sans aller jusqu'à obtenir le numéro. L'important était qu'elle ait essayé. Une fois de retour à la maison, les enfants endormis, j'avais tout préparé pour une soirée spéciale. Sur notre terrasse, à côté de la piscine, j'avais ouvert une bouteille de vin blanc. Ma Douce Soumise s'était assise en face de moi, comme à son habitude. J'ai pris un moment pour la contempler en silence, puis, d'une voix calme, je lui ai rappelé qu'elle n'avait pas été autorisée à s'asseoir. Surprise mais obéissante, elle se leva, croisant les mains derrière la tête, se plaçant devant moi en position de soumission. Je lui ai alors expliqué mes règles et ce que j'attendais d'elle. Elle m'écoutait avec attention, demandant la permission de poser des questions. Voir ma femme se soumettre ainsi devant moi était un délice. Après quelques minutes, je lui ai ordonné de se déshabiller de manière lente et sensuelle. Le spectacle était captivant. Une fois nue, elle a repris sa position. Je me suis levé, m'approchant d'elle pour la caresser. Chaque caresse la faisait frissonner, intensifiant son excitation. Sa réponse à mon toucher était évidente : sa chatte était humide, un signe clair de son plaisir. Puis, je suis passé à la fessée. J'avais déjà donné des fessées durant notre vie 'vanille', mais cette fois, l'impact était différent, plus précis. Elle mordait ses lèvres, réagissant à chaque coup. Je lui ai demandé de compter et de me remercier. '1 merci Maître, 2 merci Maître, 3... 10 merci Maître.' Après avoir vérifié son intimité, j'ai constaté qu'elle était encore plus excitée, prête pour la suite. Sur l'autre fesse, le rituel se répéta. '1 merci Maître, 2 merci Maître, 3... 10 merci Maître.' Elle était résolue à devenir Ma Soumise. Pour la récompenser, j'ai commencé à caresser sa chatte, alternant entre douceur et intensité. Elle gémissait, son corps réagissant fortement à chaque toucher, des contractions se dessinant sur son ventre. Elle restait en position, savourant mes premières actions en tant que maître. Notre aventure était lancée. Ma Douce Soumise était à ma disposition, s'en remettant entièrement à ma volonté. Depuis, je la guide. Je préfère le terme 'guide' à 'dressage', car elle n'est pas un animal, mais ma plus belle propriété, et elle m'a confié la tâche de faire d'elle ma soumise. J'espère que ce récit vous a captivé. N'hésitez pas à partager vos pensées en commentaire. Écrire me permet de réaliser la chance que j'ai de vivre cette expérience. À très bientôt pour la suite. Maître DeepDom
418 vues 13 aime
Par : le 03/12/23
Les têtes Doppler se rétractent. Les écrans s’éteignent. Le silence emplit la pièce [1]. Mon Maître laisse tomber une feuille de papier qui atterrit délicatement sur mon ventre après un élégant vol plané. Sans un mot, il s’éloigne en compagnie de Satoshi, me laissant seule avec le jeune homme, qui entreprend, sans attendre, de me libérer de mes liens. J’examine la feuille avec curiosité. Je n’y comprends rien – à peine arrive-je à décoder quelques kanjis. Mais je reconnais la structure du formulaire d’évaluation. Le jeune homme s’assoit sur une chaise et m’invite à en faire autant. Il semble aussi timide que moi, ce qui ne va pas faciliter les choses. Le silence est pesant. Je sais ce que mon Maître attend de moi, mais je ne sais pas comment y arriver. Je le regarde un bref instant et je rougis, sans oser prendre l’initiative. Détourner le regard et baisser les yeux est ma seule réaction.  « Ce n’est pas possible d’être aussi empotée ! » me dis-je, rageant intérieurement contre moi-même. Si je retrouve mon Maître sans avoir été baisée, je vais prendre une sacrée raclée, ça j’en suis sûre. Je suis toujours nue, m’abstenant volontairement de récupérer mes vêtements. C’est un signe qu’il devrait interpréter sans ambiguïté. Mais ce qui semble une évidence pour moi ne l’est pas forcément pour l’autre, à plus forte raison s’il est né dans une autre culture. Je devrais pourtant le savoir. Je me rends compte que je ne connais même pas son prénom. Je me risque à le lui demander. Cette simple question suffit à le désinhiber un peu. Masato  me demande timidement si cela m’intéresse qu’il me fasse visiter le campus universitaire. Évidemment que je veux bien ! Cela me fera gagner du temps – le temps que j’arrive à surmonter ma timidité et que je trouve un moyen de lui faire comprendre que je dois être pénétrée et notée, sinon je serai sévèrement punie… Je m’habille et l’accompagne, main dans la main - c’est bon signe. Tout est nickel sur le campus, pas un grain de poussière. Nous sommes au Japon, je ne devrais pas en être surprise, et pourtant le dépaysement agit encore. Dans un anglais hésitant, il me parle un peu de la thèse qu’il est en passe de terminer et de l’admiration qu’il porte au Professeur. Au détour de la visite, il me fait découvrir son logement. Une minuscule chambre d’étudiant. Une chaise, une toute petite table, un lit d’à peine une place, ...  Ici on ne fait pas dans le superflu. Pas un instant à perdre, me dis-je – c’est le moment ou jamais. A peine la porte refermée, je me déshabille entièrement. Là s’il ne comprend pas… Je m’allonge nue sur le lit et, assis sur le rebord, il passe délicatement ses doigts sur mes marques. J’en suis fière de ces marques ! Mémoire des soirées où mon Maître m’a corrigée à coups de ceinture, des soirées où je ressentais dans mes tripes le plaisir qu’il éprouvait à me cogner, comme si nos esprits étaient connectés. Il parcourt chacune lentement, très lentement. Yeux fermés, à travers les sensations tactiles je reconstitue mentalement le graphe qu’elles dessinent sur la peau. C’est terriblement érotique et je me demande si je ne vais pas finir par avoir un orgasme spontané. J'ouvre les yeux. Il a sorti sa bite. Lui aussi est très excité par la scène, si j’en juge par la vigueur de son érection. La vue d’une femelle qui a été sévèrement corrigée et qui en porte encore les stigmates excite les hommes, en général. J’entreprends de lui sucer la bite, avec délectation. Avec un peu trop d’enthousiasme, sans doute. L’éjaculation est presque immédiate, m’emplissant la bouche de la précieuse semence.  « Quelle conne ! », me dis-je. Je voudrais m’excuser, mais je ne peux pas. Je garde le sperme en bouche, attendant qu’il m’autorise à avaler. Il est jeune. Avec un peu de chance il pourra remettre ça. Je me suis souvent dit que la sexualité masculine est mal conçue. Elle nécessite beaucoup de self-control. C’est tellement plus facile d’être femelle ! De par ma curiosité maladive, j’ai souvent rêvé d’avoir la possibilité technologique de transférer temporairement mon esprit dans le corps d’un homme, pour expérimenter intimement ce qu’il ressent. Ce n’est qu’après un long moment qu’il comprend, enfin, que je ne n’ai pas le droit d’avaler le sperme de ma propre initiative et que j’attends désespérément son feu vert. La nuit est déjà tombée. Après un frugal repas, je dois insister longuement pour lui faire accepter le fait que je peux parfaitement dormir sur le sol. Le lit est bien trop petit pour deux, il ne sera pas à l’aise, et puis je sais ce que mon Maître voudrait s’il était là. Je me demande si je ne devrais pas lui parler du risque de migration des zébralyvox. Et puis zut ! Tant pis. Surmonter ma timidité, c’est déjà assez compliqué comme ça. De toute façon, il doit bien s’en douter. Il a vu les images. Et puis le risque est minime. Les zébralyvox préfèreront certainement rester ensemble pour l’instant, ayant trouvé un environnement favorable dans mon corps. Après m'être refait une beauté et m'être soigneusement préparé et lubrifié le cul, je m'allonge sur le sol, à ma place de chienne. Je veille à maintenir mes cuisses ouvertes, comme une invitation à la pénétration, signifiant ainsi qu'à tout moment, même au milieu de la nuit, je suis disponible pour le plaisir du mâle. Il m'arrive de les refermer pendant mon sommeil, mais de moins en moins. A la maison, à chaque fois que mon Maître m'a trouvée cuisses serrées, il m'a réveillée et réprimandée, alors j'acquiers peu à peu les bons réflexes. Je m’endors en espérant qu’au petit matin Masato aura pleinement récupéré sa vigueur. C’est bien le cas et sans attendre le matin ! Il me réveille au milieu de la nuit, certainement très excité par le fait de savoir qu’il y a une femelle nue au pied du lit, cuisses ouvertes, collier d'esclave au cou, n’attendant que la bite  – il doit y penser depuis que l’on a éteint la lumière, se faire des plans dans sa tête, et puis, n’y tenant plus, il m’a réveillée.   Il me gifle, me laissant interloquée. Il a vu mon Maître le faire – il doit penser que tout le monde en a le droit. Mais je ne relève pas. Après tout, je l’ai bien mérité, après ma maladresse d’hier soir. C’est parti pour de la baise non-stop jusqu’aux premières lueurs du jour ! Ceci en toute illégalité, car nous n'avons pas de Fucking Pass. De quoi être arrêtés et condamnés si nous étions découverts. Il est complètement épuisé, à force de me ramoner les orifices sans ménagement. Moi aussi d'ailleurs, mais je ressens la satisfaction de lui avoir bien vidé les couilles, jusqu'à la dernière goutte de sperme. J'aurais tant aimé que mon Maître eût été là pour observer mon comportement et constater les premiers résultats du sévère et exigeant dressage auquel il me soumet depuis des mois et des mois. Depuis que je lui appartiens, il me dresse en esclave sexuelle, dévouée au plaisir, avec un niveau d'exigence qui me donne l'impression d'être préparée comme une athlète de haut niveau, ce qui fait souvent l'objet de plaisanteries entre nous. Masato a eu tout loisir de tester mes trois orifices, longuement, profondément, dans toutes les positions, de pétrir mes mamelles et de juger de la manière dont je me comporte sexuellement. Il ne devrait avoir aucune difficulté à m'évaluer de manière détaillée, aussi sincèrement que possible, avec bienveillance mais néanmoins sans complaisance, ainsi que le souhaite mon Maître et ainsi qu'il l'a précisé en entête du formulaire d'évaluation. Je lui tends le formulaire, en lui demandant de bien vouloir me noter et compléter toutes les rubriques sans exception dès qu’il en aura le temps. J’insiste sur le fait que c’est très important pour moi, sinon je serai punie. J’espère qu’il le fera et qu’il ne sera pas trop sévère. Il me suggère de prendre notre douche ensemble, mais je ne peux pas. Je lui explique qu'en tant qu'esclave je dois obligatoirement me doucher à l'eau froide - ordre du Maître - et que je ne voudrais pas lui infliger cela!  La matinée est déjà bien avancée. Masato me propose de visiter le chantier de la B.I.T.E.S. En tant qu’universitaire, il fait partie des privilégiés qui peuvent accéder au site. Mon Maître ne m’a laissé aucune consigne. Je ne sais ni où ni quand je suis supposée le retrouver. Alors, pourquoi pas. Je suis curieuse de visiter ce projet – le plus coûteux de tous les temps. Situé au pied du mont Fuji, le site japonais de la B.I.T.E.S. – Broadest Initiative against Terror and Extra-terrestrial Spacecrafts – fait partie du complexe de défense planétaire. L’initiative comporte deux volets, l’un destiné à lutter contre le terrorisme grâce au renforcement de la surveillance de masse, l’autre, le plus important, destiné à protéger la planète contre les envahisseurs extra-terrestres. Une campagne d’opinion avait déjà été tentée en 2023, sous couvert de prétendues fuites d’informations attestant de la réalité de la menace Alien [2]. Mais elle n’avait pas pris comme espéré. Relancée récemment, avec une orchestration bien plus efficace, elle a suscité très vite l’adhésion de la population. Bien que loin d’être terminé, le chantier est déjà impressionnant. A perte de vue, des alignements de canons électromagnétiques, destinés à assurer notre protection. Une initiative dont la Suprême Alliance Démocratique est très fière. On dirait un champ de bites, énormes, dressées vers le ciel. Accolées à chaque bite, deux énormes couilles servent de réservoirs dans lesquels un liquide  blanchâtre est brassé et magnétisé, avant d’être introduit dans le canon. Lancée à l’initiative d’un ancien POTUS reconverti dans le projet messianique de sauvegarde de la planète, la B.I.T.E.S. est entièrement financée sur fonds publics - le plus gros détournement d'argent public de tous les temps - et suscite l’adhésion massive de la population. Récent lauréat du prix Hunter B., récompensant les hauts responsables politiques qui, durant leur mandat, ont œuvré de manière exemplaire contre la corruption et le trafic d’influence, son initiateur jouit d’un prestige immense, savamment entretenu par les médias. Alimentés par une énergie verte, 100% décarbonée, les canons respectent scrupuleusement l’idéal politique de la Suprême Alliance Démocratique, soucieuse du climat avant tout, même quand les pires menaces pèsent sur l’humanité. « Est-ce que tu sais qu'en vrai le sperme des hommes n'est pas stocké dans leurs testicules? » me dit Masato, dans un anglais toujours aussi hésitant. J'ai une petite hésitation, et puis je choisis de faire l'andouille, de faire comme si je ne savais pas. Cela lui donnera le plaisir de m'expliquer l'anatomie du mâle, cela lui donnera confiance en lui. Un tout petit mensonge pour la bonne cause... Est-ce bien? Est-ce mal? Je ne sais pas vraiment. Une démonstration est imminente et le compte à rebours a déjà commencé. On nous apporte des casques anti-bruit, destinés à protéger nos tympans du bang hypersonique qui se produira lors de l’éjaculation. Au terme d’une vertigineuse accélération, que seul un canon électromagnétique peut produire, des amas de liquide blanchâtre sont expulsés à plus de 20 fois la vitesse du son. Les amas deviennent rapidement incandescents sous l’effet de l’échauffement puis disparaissent en haute altitude. En douze secondes seulement, les projectiles visqueux ont déjà atteint l’ionosphère, à 80 km d’altitude, et deviennent invisibles à l’œil. Lorsque le dispositif sera entièrement opérationnel, il constituera une barrière infranchissable pour les vaisseaux Aliens, qui se retrouveront englués par ce liquide visqueux, se solidifiant à leur contact et les rendant impossibles à manœuvrer. L’objectif des Aliens pourrait être de violer les femelles humaines pour les ensemencer, assurent de plus en plus de spécialistes. La Bill & Alvértos Fucking Corporation a déjà dans les tuyaux un vaccin à ARN messager ciblant la protéine spikouze, présente à la surface des spermatozoïdes Aliens. Le vaccin transformera les cellules de la receveuse en usines à spikouze, provoquant la formation continue d’anticorps hautement protecteurs, ainsi que l’affirme le consensus scientifique relayé par tous les experts de plateaux. C'est sûr et efficace, et c’est la garantie de ne pas être fécondée par ces monstres. Des images de synthèse, terrifiantes, montrent l’horreur qui attend celles qui refuseraient le vaccin, subissant les plus humiliants outrages, violées et ensemencées par des monstres extra-terrestres aux yeux rouges, puis mises en cage pour la durée de leur gestation. C’est la bousculade pour s’inscrire sur les files d’attente. Les premières inscrites seront les premières à bénéficier de la précieuse injection quand elle sera disponible.  « Mais pourquoi prévoir cette injection si nous sommes déjà protégés par le projet B.I.T.E.S., réputé infranchissable ? » s’est risquée à demander une journaliste stagiaire. Depuis, elle a disparu des écrans. Le spectacle de ces amas  incandescents s’élevant à vitesse hypersonique vers la ionosphère est magnifique, c’est un fait. Je serais presque tentée d’adhérer au narratif, moi aussi. Et pourtant… Si tant est qu’ils existent, qui pourrait croire que nous arrêterons des êtres qui ont les capacités technologiques de franchir des milliers d’années-lumière en leur balançant de gros chewing-gums spermiques ?  Fussent-ils les chewing-gums les plus coûteux de l’histoire ? Un enfant de 5 ans, peut-être ? Pas seulement… Le début de la décennie a démontré que la population est prête à gober n’importe quoi. C’est juste une question de matraquage médiatique et de pouvoir de conviction des experts de plateaux [3]. Masato m'a tellement prétri les mamelles sans ménagement pendant la nuit qu'elles en sont encore très douloureuses. Ce n'est pas grave, ça passera. Il me caresse la joue avec gentillesse, comme pour me remercier du plaisir que je lui ai procuré. Cela déclenche immédiatement un sentiment de bien-être qui m'emplit le corps et l'esprit. J'adore donner du plaisir et sentir la satisfaction chez l'autre. C'est ma plus grande source de motivation. Il me demande quand est-ce que j’ai compris que le totalitarisme était déjà en marche, chuchotant à mon oreille, la voix tremblante, comme s’il craignait que Big Brother ne nous surveille.  « A un moment où nous aurions encore pu l’arrêter, si nous avions ouvert les yeux » Je réalise que je chuchote moi aussi.   à suivre Contexte et références  [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  [2] Officials and lawmakers push for more government transparency on UFOs, CNN, July 26, 2023, https://edition.cnn.com/2023/07/26/politics/ufo-house-hearing-congress/index.html  [3] « On nous raconte des faits qui n’existent pas et on passe sous silence des faits qui existent. […] La pensée n’est plus régulée par le retour d’expérience ; elle s’impose en tant que certitude délirante sur l’expérience, interprète et déforme la réalité pour la faire plier sous sa folie, et la lire au travers du prisme de son dogme, qui ne souffre aucune remise en question. […] A force de répétition, la population finit par être persuadée que l’eau brûle et que le feu mouille ». Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme, septembre 2023, pages 42-43  
533 vues 10 aime
Par : le 15/11/23
Petit rappel même s'il est complètement évident que tout le monde, maintenant, connaît cette série :D Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) Comme à chaque séance, tu réponds quand je t'appelle pour entrer dans notre pièce. A genoux, en lingerie noire. Maquillage soigné, rouge vif qui décore non seulement tes lèvres mais barre ton front d'une SALOPE. Tu es prête à être utilisée comme je voudrais. Tu as conscience que tu es ici pour ton éducation et mon plaisir. Je ne rentrerai pas dans les détails mais tu sais très bien que tu m'as déçu ces derniers jours. J'imagine que tu sais que tout va se régler aujourd'hui. Je prends la laisse et je traîne jusqu'à la table que je fais descendre. - Regarde moi. Tu sais que tu vas être punie pour ton comportement récent ? - Oui Maître, je le sais, je le sens et je le veux. Je le mérite. Je suis ta salope et je veux que tu m'utilises. Mais je comprends que je dois mériter ce droit et je suis heureuse de payer pour te servir ensuite. Si tu le souhaites, bien évidemment Maître. - Monte sur la table ! Prends ton string et mets-le dans ta bouche. Je n'ai pas envie de t'entendre dire Merci ou plus fort quand je te fesserai. Je n'ai pas du tout envie de t'entendre, d'ailleurs. Tu te mets en position. Tu as remarqué les liens sur la table. 4 liens dont la largeur est ajustable. 2 pour les mains, 2 pour les pieds. Tu vas naturellement positionner tes mains dans les menottes que je serre fort. Pas encore de baillon dans cette pièce et c'est bien dommage mais ton string fait l'affaire pour l'instant. Ni de paddle ou de fouet. Mes mains devront suffire. Et elles suffisent jusqu'à ce que ton cul soit rose foncé. La marque des mes mains disparaît au fur et à mesure que tout ton cul se colore. Je te traite de tous les noms. Je cite également tout ce que je veux ajouter à cette pièce. Un objet à chaque fois, c'est finalement trop peu. Je voudrais que ton dos, tes cuisses soient zébrés maintenant. Pas juste ton joli cul. Mes mains chauffent, je me rapproche de ton cul pour le mordre et il dégage une belle chaleur également. Sans même y réfléchir, je retire ma ceinture. Ce n'est pas tricher, de toute façon. Je l'avais sur moi et je fais les règles. Quelques minutes intenses et ton corps est zébré, des épaules au bas des cuisses. Quelques minutes de plus encore. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je pense, non, je suis certain que je n'ai jamais été aussi prêt de perdre le contrôle et je sais que tu sentiras la douleur pendant toute la séance. Sans doute même bien les soins post-séance. Je détache tes mains. Tourne-toi salope ! Dos contre la table. Remets tes mains en place. Je les menotte et j'écarte tes jambes pour fixer tes chevilles également. Tu es écartelée au maximum supportable. Ton corps est sur la table, ta tête dans le vide. Je me déshabille et m'approche de toi. Dès que je retire ton string de ta bouche, tu commences à lécher comme l'immense salope que tu es. J'en profite pour m'occuper de tes seins et de ton sexe. Pas question de les laisser jaloux de ton dos et de ton cul. Eux aussi ont le droit d'être maltraités, claqués. Je m'écarte de toi et je t'ordonne d'essayer de cracher sur ma queue. Pas facile mais je viendrai m'essuyer contre ton visage jusqu'à ce qu'il soit luisant, recouvert de salive. Encore. tant pis si ça commence à te couler dans les yeux et le long des cheveux. Je te crache dessus pour accélérer les choses. - Voilà maintenant ouvre grand la bouche. Je sais que tu ne maîtrises rien. Je sais que la position est inconfortable et que tes abdominaux ne peuvent plus te permettre de te redresser. Tu vas juste subir. Je presse mes mains autour de ton cou. Je serre jusqu'à ce que ton visage soit aussi coloré que ton cul. Tu sembles avoir du mal à récupérer et tu es obligée de déglutir et ton visage devient encore plus luisant. Ton mascara coule et ça m'excite. Je recommence. Encore et encore. Tu sens enfin que mes doigts ouvrent ta bouche et que ma main commence à la baiser. Quel plaisir de la retirer et de la sécher sur ton corps ou ton visage. J'aime que tu sois recouverte. Mais là il est temps de mettre ma queue et de te baiser encore et encore. Parfois rapidement, parfois avec une lenteur calculée jusqu'à ce que tu puisses lécher mes couilles. Parfois en agrippant tes cheveux pour forcer ta tête à aller et venir. Ton visage est blanc. Blanc de salive. Avec des très jolies nuances de mascara. Je te détache. - À genoux salope. Tu sais que tu n'auras pas l'honneur de me faire exploser. Mais tu as trop envie de recevoir mon sperme sur ton visage méconnaissable pour ne pas obéir prestement. Tu ouvres la bouche, tu tires la langue. Je viens me branler à quelques centimètres de toi. Parfois contre ta langue. Je jurerais t'entendre gémir comme la chienne que tu es. Je regrette de ne pas avoir encore équipé la pièce d'un simple verre car c'est en te regardant boire mon sperme que je voudrais finir. Tant pis, je m'arrête. Une petite distorsion des règles et je reviens 30 secondes plus tard avec une flûte à champagne. Je me tourne, je fourre ta langue dans mon cul et, en même temps que tu essayes de l'enfoncer le plus profondément possible, j'explose et je remplis le verre. Je vais me mettre dans le sofa et tu accours. Enfin accours à 4 pattes. - Maître je t'en supplie. Je veux vous boire. Je lui tends la flûte. Tu as interdiction de boire. Je reste interdit quand elle vide le verre mais je comprends quand elle la remplit en recrachant tout à nouveau. Elle bascule la tête en arrière et vide, précautionneusement le contenu sur son visage. Le dressage avance bien !
923 vues 11 aime
Par : le 14/10/23
"Seule la mort est gratis, et encore, elle vous coûte la vie. Une des conditions fondamentales de l'amour est de se sentir valorisé parce qu'un autre vous place au premier rang de ses aspirations. Dans l'interprétation d'une œuvre musicale il y a un point où s'arrête la précision, et où commence l'imprécision de la véritable création. L'attrait essentiel de l'art réside, pour la plupart, dans la reconnaissance de quelque chose qu'ils s'imaginent comprendre". Cette femme qui nous toise, impériale et distante, a reçu le Prix Nobel en 2004 pour une œuvre d'une rare violence. Violence faite à la langue, violence imposée aux lecteurs, infligée à elle-même. De ce rôle d'imprécatrice, de cette image hautaine, elle souffre, fatiguée d'assumer sans répit la tâche de rappeler à l'Autriche sa tache originelle, son passé nazi enseveli, jamais liquidé. Elle est née le vingt octobre 1946 à Mürzzuschlag, en Styrie, dans les montagnes où se jouent son maître-livre, "Enfants des morts", et plusieurs de ses livres. Mais elle a grandi à Vienne, dans un cocon familial, terreau à schizophrénie. Une mère, bourgeoise, catholique, qui abuse de son pouvoir. Un père juif, opposant au nazisme, engagé à gauche, détruit par la guerre. Les deux sombreront dans la folie, lui très tôt, désertant la place, elle à la fin d'une longue tyrannie, à quatre-vingt-dix-sept ans. "Et c'est peut-être cette même folie que je côtoie dans mon écriture. Je parviens tout juste à me maintenir au bord, j'ai toujours un pied qui dérape dans l'abîme". Entre les deux, une petite fille destinée à être une grande musicienne, soumise à un dressage inhumain, privée d'enfance, qui se "claque" la tête contre les murs, formée "à l'école de la destruction". À dix-huit ans, une crise d'angoisse l'enferme dans sa chambre, agoraphobe, durant une année. Elle la passe à lire, la poésie américaine mais aussi des romans de gare, de la littérature trash, et à regarder des séries à la télévision "de manière presque scientifique", matériau dont elle saura tirer par la suite des effets d'écriture, particulièrement dans "Les Amantes", où l'on voit deux filles se faire engrosser pour se trouver un mari. C'est dans cette réclusion que la jeune femme commence à écrire. Des poèmes érotiques qui ont pour fonction de sublimer une libido écrasée. Dans "La Pianiste", son texte le plus autobiographique, on voit à l'œuvre les ravages d'une éducation mortifère. C'est son roman le plus connu, à cause du film de Michael Haneke (2001). Mais la poésie n'est pas sa voix. "Je ne suis pas quelqu'un de la réduction", reconnaît-elle. Il faut "que ça fuse dans tous les sens". Dans les années 1970, elle pratique alors le cut up, l'écriture aléatoire. Bouillonnante et révoltée, c'est à ce moment aussi qu'elle s'engage politiquement. "Pour bien s'y prendre avec les femmes, il faut connaître le secret. Il n'est pas absolument nécessaire d'être médecin pour éventrer les gens, mais il est préférable de l'être si l'on veut dénicher le serpent logé dans le ventre, ce vilain serpent qui nous a jadis induit en tentation". Elle s'engage en politique contre sa mère qui honnit la "racaille de gauche". Surtout par fidélité envers le père qui abdiqua toute autorité paternelle sauf pour imposer la manifestation du premier Mai. Elle entre même au Parti communiste, pour y rester jusqu'en 1991. Ce qu'aujourd'hui elle considère avec étonnement sans rien renier: "Je n'ai rien perdu de mon anticapitalisme, de ma haine de la destruction et de l'injustice sociale engendrée par un tel système". Ce qu'elle a perdu, en revanche, c'est l'illusion que l'art peut changer les choses. Pourtant, comme tant d'écrivains autrichiens, elle ne cesse de rappeler à son pays son allégeance au nazisme, la complaisance envers les anciens membres du Parti, l'amnésie générale. Le retour de Kurt Waldheim à la présidence en 1986, puis, la montée au pouvoir de Jörg Haider, l'antisémitisme renaissant poussent Elfriede Jelinek à se radicaliser.   "Erika ne sent rien et n’a jamais rien senti. Elle est aussi insensible que du carton goudronné sous la pluie"."Mais je tiens à dire que ma conscience juive n'a rien à voir avec le judaïsme ou la religion juive". Dans les années 1980, sa pièce "Burgtheater" fait scandale. En 2000, à Salzbourg, une affiche qui la représente est lacérée puis retirée. C'est alors elle-même qui se retire, interdisant que ses pièces soient jouées dans son pays, "par hygiène personnelle". "Je suis la caution de l'opposition aux nazis, aux néonazis, à la droite, au fascisme clérical, mais de ma démarche esthétique, il n'est jamais question", se plaint-elle. "Il est au fond arrivé un peu la même chose avec Thomas Bernhard", ajoute-t-elle. De cet auteur auquel on la renvoie souvent, elle perçoit avant tout "l'incroyable musicalité" alors qu'elle-même travaille les dissonances, la destruction de la musique qui a failli la détruire. Son modèle à elle, aux antipodes de son esthétique, c'est Robert Walser, "aussi bas que les fleurs", dont elle scelle toujours une phrase dans ses livres. Quant à elle, cataloguée comme politique et féministe, elle se voudrait "un auteur méditatif". D'abord effrayée par le poids du Prix Nobel, perçu comme un hommage à toutes les femmes, elle a fini par le recevoir comme une reconnaissance de son travail d'écriture. Dans son discours de Stockholm, intitulé "À l'écart", il n'est question que de la langue, cette entité qui est "la gardienne de sa prison", dont elle semble être coupée. "Je suis le père de ma langue maternelle". "L'art et l'ordre, parents ennemis. En sport la camaraderie s'arrête là où l'autre risque de vous gagner de vitesse". Cette phrase énigmatique renvoie à la défection du père mais aussi à l'impossibilité d'utiliser innocemment un langage souillé à jamais par tout ce qu'il a dû "cracher". Cet instrument, qu'elle compare aussi à "un chien en laisse qui tire celui qui le tient", elle le tord et le triture, le plie aux "assonances, variations, amalgames" jusqu'à ce que quelque chose s'écrive "qui relève aussi en partie de l'inconscient". Elfriede Jelinek se situe dans une esthétique du choc et de la lutte. Sa prose trouve, de manière exhaustive, différentes manières d’exprimer l’obsession et la névrose et vitupère à l'extrême jusqu'à l'absurde contre la phallocratie, les rapports de forces socio-politiques et leurs répercussions sur les comportements sentimentaux et sexuels. La rhétorique pornographique, exclusivement masculine, est déconstruite et dénoncée et le pacte inconscient qui consiste alors à voir le triomphe de l’homme sur la femme, analysé et fustigé. La décision de l’Académie suédoise pour l'année 2004 est inattendue. Elle provoque alors une controverse au sein des milieux littéraires. Certains dénoncent la haine redondante et le ressentiment fastidieux des textes de Jelinek ainsi que l’extrême noirceur, à la limite de la caricature, des situations dépeintes. D'autres y voient la juste reconnaissance d’un grand écrivain qui convoque la puissance incantatoire du langage littéraire pour trouver une manière neuve et dérangeante d’exprimer le délire, le ressassement et l’aliénation, conditionnés par la culture de masse et la morale régnante. La polémique atteint également les jurés du prix Nobel. En octobre 2005, Knut Ahnlund démissionne alors de l'Académie suédoise en protestation de ce choix qu’il juge "indigne de la réputation du prix". Il qualifie l’œuvre de l’auteur de "fouillis anarchique" et de "pornographie", "plaqués sur un fond de haine obsessionnelle et d’égocentrisme". Après l'attribution du prix, Elfriede Jelinek dit profiter de l'argent de la récompense afin de vivre plus confortablement et arrêter les traductions auxquelles elle est astreinte pour subvenir à ses besoins. La femme de lettres n’en est pas pour autant rentrée dans le rang. Malgré son statut de grande dame de la littérature de langue allemande, elle garde et mérite, en Autriche, sa sulfureuse réputation de "pétroleuse". Elfriede Jelinek s’insère dans la tradition des grands polémistes, misanthropes et grands satiristes viennois tels que Karl Kraus, Kurt Tucholsky ou Thomas Bernhard. La vigueur de sa pensée et l’originalité formelle de ses œuvres en font malgré tout l’auteur majeur de sa génération.   "Les applaudissements sont encore plus forts qu'avant l'entracte, car tous sont soulagés que ce soit fini. La mère dit qu'elle a sur le bout de la langue la citation latine de ce qu'elle vient de mentionner, qu'on apprend pour la vie et non pour l'école. Elle possède un réservoir de proverbes et de maximes". Elfriede Jelinek est née le vingt octobre 1946, à Mürzzuschlag dans la province de Styrie en Autriche. Après des études musicales au Conservatoire de musique de Vienne, elle étudia le théâtre et les beaux-arts à l’université de Vienne. C’est en 1968 qu’elle composa ses premiers poèmes. Son père décéda en 1969 dans une clinique psychiatrique. Le parcours de son père, chimiste, qui avait pu échapper à la déportation et fut enrôlé pour le travail forcé, a profondément marqué l’écrivain: "Mais qui suis-je ? La vengeresse ridicule de mon père accrochée au passé comme une mouche dans l’ambre jaune". Comme cela est le cas pour beaucoup d’écrivains de deuxième génération, le traitement littéraire du traumatisme n’est assurément pas un aspect mineur de son œuvre. C’est à ce titre qu’il doit être pris en compte. En 1969, engagée dans les mouvements estudiantins, elle participa aux discussions littéraires de la fameuse revue "Manuskripte". Elle était proche du groupe de Vienne, écrivains inspirés par le dadaïsme, la littérature baroque, le surréalisme, la philosophie de Wittgenstein et la littérature expérimentale. Les années 1970 furent consacrées à l’écriture de pièces radiophoniques, de traductions et de scénarios. En 1975, "Les Amantes", "Die Liebhaberinnen", son premier roman, célébrait un nouveau féminisme. Apprécié par le grand public et couronné de nombreux prix, il souleva néanmoins de vives polémiques. Son auteur, cynique et sans cœur, se désolidarisait de ses protagonistes féminines. Puis vint le premier scandale, en 1983, lors de l’avant-première de "Burgtheater". Dans cette pièce dont le titre est le nom du prestigieux théâtre national viennois, Jelinek s’attaquait à l’implication dans l’appareil de propagande nazi des artistes, comme Paula Wessly, l’une des comédiennes les plus populaires en Autriche. La presse, choquée que la vérité sur l’icône du théâtre viennois eût vu le jour, fit de Jelinek une Nestbeschmutzerin, celle qui souille son nid. Jelinek interdit alors donc la représentation de "Burgtheater" en Autriche qui n’y fut jouée que vingt ans plus tard. La femme de lettres démontra toute sa ténacité. "Il n'y comprendra rien, sera anéanti, et par la suite laissera sa fille en paix. Dans la famille de la mère, la culture est une tradition, elle n'est jamais laissée à l'initiative personnelle, étant trop précieuse pour cela. La savoir, le voilà le plus précieux des biens". Lors de la parution de "La Pianiste" en 1983, l’auteur fut alors insultée et en 1989, avec "Lust", elle s’attira la foudre de la presse. En 1995, suite à une campagne de diffamation déclenchée contre Elfriede Jelinek par le parti autrichien d’extrême droite, le FPÖ, l’écrivain refusa alors que ses pièces soient jouées dans les théâtres nationaux. En février 2000, après l’entrée dans la coalition gouvernementale de membres du FPÖ, parti autrichien d’extrême droite, Elfriede Jelinek interdit, une nouvelle fois, la représentation de ses pièces. En dépit de ses nombreux détracteurs, son œuvre fut couronnée par de nombreux prix prestigieux, dont le prix Nobel en 2004. Ce fut l’occasion d’un nouveau scandale, provoqué par Knut Ahnlund, membre de l’Académie suédoise, qui quitta définitivement son siège et fut rejoint dans un concert de critiques moralisatrices par le Vatican. Le portrait que brosse alors la presse autrichienne et étrangère de l’écrivain oscille entre pornographie et prix Nobel. Avant cette consécration, qui fut loin de faire l’unanimité, Elfriede Jelinek, qui fut pendant des décennies la tête de turc de la presse populaire en Autriche, s’est peu à peu retirée de la sphère publique. Le rapide cadre imparti ici ne suffirait pas à énumérer les scandales qui éclatèrent à propos de ses œuvres.   "Souvent la mère est prise d’inquiétude, car tout possédant doit apprendre d’abord, et il l’apprend dans la douleur, que la confiance c’est bien, mais le contrôle c’est mieux". Les œuvres de Jelinek sont lues dans différentes perspectives: littérature féminine, démythification, recherche sur la langue, études de la mise en scène de ses textes très souvent adaptés, critique de l’Autriche et du mensonge qui a permis de consolider une identité nationale très ébranlée après 1945 et après son occupation pendant dix ans par l’Union soviétique, critique de la société de consommation, réflexion sur l’oppression, sur la nature dans la littérature. Dans son entreprise de déconstruction, c’est à la langue que Elfriede Jelinek s’attaque d’abord avec la virtuosité de musicienne qui est la sienne. Jelinek, musicienne pendant toute sa jeunesse, devient compositeur quand elle prend la plume. Elle-même y fait allusion lorsqu’elle fait apparaître de façon récurrente des noms de compositeurs et des citations de leurs œuvres, par exemple: "La Belle Meunière" de Franz Schubert dans "Dans les Alpes", les trios de Haydn et une sonate d’Alban Berg dans "Les Exclus", et Clara et Robert Schuman, protagonistes de "Clara S". Elfriede Jelinek livre sans retenue ce qui la taraude, la terre allemande est de la cendre. "Ce qui vient de vous est toujours un facteur de risque, mieux vaut l'éliminer. Par ailleurs elle n'aimerait pas voir ces deux-là disparaître sans surveillance dans la chambre de jeune fille d'Anna aménagée par ses soins". Et au fil des années, la complexité des textes de Jelinek s’accentue, l’intertextualité devient presque inextricable. L’illisibilité des textes, dissonance assourdissante plus qu’harmonie musicale, semble pourtant accoucher d’un motif qui parcourt l’ensemble de son œuvre. Au cœur de celle-ci git un corps torturé. Ainsi dans le village de Rechnitz, le devenir des cadavres des déportés juifs reste mystérieux car la fosse commune, où ils sont susceptibles d’avoir été ensevelis, reste introuvable. D’une part leurs corps, portant les stigmates de la torture et de la mort, d’autre part l’impunité des bourreaux semblent vouloir obstruer l’espace de notre compréhension. L’incompréhension éprouvée face à de tels événements entraîne l’impossibilité de partager, mentalement, la motivation des bourreaux et de s’identifier au sort des victimes, donc, d’une certaine manière, de le partager. Ainsi le corps mutilé et assassiné barre la voie au partage de l’expérience. Et c’est assurément cet aspect des écrits de Jelinek qui établit un lien direct avec la mémoire de la Shoah. Ce motif du corps est déjà présent en 1975 dans son premier roman "Les Amantes" ("Die Liebhaberinnen"). En 1989, dans "Lust", la sexualité est traitée comme le lieu de la dominance masculine dans lequel le corps féminin, dont le désir est nié, n’est qu’un objet offert aux coups et la femme, "das Nichts", le rien. Plus que de sexualité, il s’agit ici de la négation de la personne, de la réification du corps et de l’usage qui en est fait, bafouant toutes les valeurs relatives au respect de l’autre. Le corps est maltraité et une voix semble commenter son propre accablement. Le corps chez Jelinek est tout entier livré à la violence qui lui est infligée. Les personnages, dénués de psychologie, s’appellent souvent homme, femme et ne sont là que pour subir les coups qui s’abattent sur leur corps sans visage.   "Aujourd'hui, un jeune homme sorti d'on ne sait où prend la place de cette mère qui a pourtant fait ses preuves et qui, froissée et délaissée, se voit reléguée à l'arrière-garde. Les courroies de transmission mère-fille se tendent, tirant Erika en arrière. Quel supplice de savoir sa mère obligée de marcher toute seule derrière". L'œuvre d'Elfriede Jelinek n’est scandaleuse que dans la mesure où le geste de la déconstruction, qui n’est ni théorie ni code ni règle, ne se soumet pas, il fait acte de résistance en opposant à l’essence, à la solidité de l’Être, la survivance du reste. En ce sens, le scandale est entier, non que l’auteur soit masochiste, sadique ou qu’elle flirte avec l’obscénité, mais parce que, dans son économie, son œuvre se fait tabou. Ce faisant, elle se réclame d’une appartenance indéfectible à l’après-Shoah, non pas d’un point de vue chronologique mais comme puissance qui surgit contre ce qui fut, advint et donc ne "cessera d’advenir". Pourtant, contre toute apparence et pour la raison énoncée précédemment, l’œuvre de Jelinek, en tant que telle, ne se réduit ni au sombre désespoir ni à la présupposée morbidité qu’elle affiche. Sa prolificité, ses débordements, sa fureur de dire sont l’expression d’une liberté que l’écrivain s’autorise. Si les textes de Jelinek sont illisibles, quand ils sont lus noir sur blanc, ils prennent vie, en revanche, quand ils sont proférés sur une scène de théâtre. Théâtre en tant que geste contre la mimesis qui n’est donc jamais la représentation de la vie. On en voudra pour preuve l’assertion d’Elfriede Jelinek: "Je ne veux pas de théâtre où les comédiens doivent dire ce que personne ne dit". Son théâtre qui est, comme la vie elle-même dans ce qu’elle a d’irreprésentable. Elfriede Jelinek a obtenu plusieurs récompenses de premier ordre dont le prix Heinrich Böll 1986, le prix Georg-Büchner 1998 et enfin le prix Heinrich Heine 2002 pour sa contribution aux lettres germanophones. Puis elle se voit attribuer, en 2004, le prix Nobel de littérature pour "le flot de voix et de contre-voix dans ses romans et ses drames qui dévoilent ainsi avec une exceptionnelle passion langagière l’absurdité et le pouvoir autoritaire des clichés sociaux", selon l'explication de l'Académie suédoise. Bien qu'Elias Canetti fût distingué comme auteur autrichien en 1981, Jelinek devient cependant le premier écrivain de nationalité autrichienne à être honoré par le comité de Stockholm. Elle se demande pourquoi Peter Handke n'a pas été couronné à sa place. "Qu'elle l'ait proposé d'elle-même n'arrange rien, bien au contraire. Si M. Klemmer n'était pas en apparence indispensable, Erika pourrait marcher tranquillement à côté de sa mère. Ensemble elles pourraient ruminer ce qu'elles viennent de vivre, tout en se repaissant de quelques bonbons".   "La douleur n'est que la conséquence de la volonté de plaisir, de la volonté de détruire, d'anéantir, et dans sa forme suprême, c'est une sorte de plaisir". Elle accepte ensuite le prix comme une reconnaissance de son travail. "Je n’irai certainement pas à Stockholm. La directrice de la maison d’édition Rowohlt Theater acceptera le prix pour moi. Bien sûr, en Autriche, on tentera d’exploiter l’honneur qui m’est fait, mais il faut rejeter cette publicité. Malheureusement, je vais devoir écarter la foule d’importuns que mon prix va attirer. En ce moment, je suis incapable d’abandonner ma vie solitaire". Elle dit une nouvelle fois qu’elle refuse que cette récompense soit "une fleur à la boutonnière de l’Autriche". Pour la cérémonie de remise de prix, elle adresse alors à l’Académie suédoise et la Fondation Nobel une simple vidéo de remerciements. À l'annonce de la nouvelle, la République autrichienne se partage alors entre joie et réprobation. À l'international et notamment en France, les réactions sont contrastées. La comédienne Isabelle Huppert, lauréate de deux Prix d'interprétation à Cannes dont un pour "La Pianiste", déclare: "En général, un prix peut récompenser l'audace, mais là, le choix est plus qu'audacieux. Car la brutalité, la violence, la puissance de l'écriture de Jelinek ont souvent été mal comprises. En lisant et relisant "La Pianiste", ce qui ressort, c'est finalement beaucoup plus l'impression d'être face à un grand écrivain classique". Sensible à l'expérimentation, l'œuvre d'Elfriede Jelinek joue ainsi sur plusieurs niveaux de lecture et de construction. Proche de l'avant-garde, elle emprunte à l'expressionnisme, au dada et au surréalisme. Elle mêle diverses formes d'écriture et multiplie les citations disparates, des grands philosophes aux tragédies grecques, en passant par le polar, le cinéma, les romans à l'eau de rose et les feuilletons populaires. L'écrivain affirme se sentir proche de Stephen King pour sa noirceur, sa caractérisation des personnages et la justesse de son étude sociale. Le langage de l'auteur combine déluge verbal, délire, métaphores aiguisées, jugements universels, distance critique, forme dialectique et fort esprit d'analyse. L'écrivain n'hésite pas à utiliser la violence, l'outrance, la caricature et les formules provocantes bien qu'elle refuse de passer pour une provocatrice. Elle se situe dans une esthétique du choc et de la lutte. "Avant-goût de la chaleur et du confort douillet qui les attend dans leur salon. Dont personne n'a fait échapper la chaleur. Peut-être arriveront-elles même à temps pour le film de minuit à la télévision. Quel merveilleux final pour une journée si musicale". Sa prose trouve, de manière exhaustive, différentes manières d’exprimer l’obsession et la névrose et vitupère jusqu'à l'absurde contre la phallocratie, les rapports de forces socio-politiques, leurs répercussions sur les comportements sentimentaux et sexuels. Dans "La Pianiste" ("Die Klavierspielerin", 1983), récit quasi-autobiographique, Jelinek dépeint, sous des angles multiples, l'intimité d’une femme sexuellement frustrée, victime de sa position culturelle dominante et d'une mère possessive et étouffante, ressemblant à la sienne. Elle revendique une filiation avec la culture critique de la littérature et la philosophie autrichiennes, de Karl Kraus à Ludwig Wittgenstein, en passant par Fritz Mauthner, qui réfléchit le langage et le met à distance. Elle dit également avoir été influencée par Labiche et Feydeau pour leur humour abrasif et leur étude très subversive de la bourgeoisie du XIXème siècle. Lorsque l'Académie suédoise décerne le prix Nobel à l'allemand Günter Grass en 1999, elle déclare avoir été largement marquée par sa lecture du "Tambour" dont le style a nourri son inspiration littéraire: "Le Tambour a été pour nous, les auteurs qui nous réclamions d'une activité expérimentale, quelque chose d'incontournable. Le début du "Tambour" est l'une des plus grandes ouvertures de roman dans toute l'histoire de la littérature. Peut-être qu'on a voulu honorer avec le Nobel l'auteur politique, mais l'œuvre aurait mérité de l'être depuis déjà longtemps". En réalité, Elfriede Jelinek a élaboré une écriture nourrie de négativité. Nul ne sera surpris, dès lors, de ne pas retrouver chez Jelinek d’éloge de la vieillesse. Quand Jelinek écrit la sénescence, elle ne se plie guère à la réalité ni ne fait d’elle un objet contre lequel il serait bon de se blottir. L’image des cheveux et des jupes est parlante, puisqu’Erika va à un certain moment scalper sa mère tandis que cette dernière ne peut s’empêcher de déchirer les robes de sa fille. Il s’agit d’indices nous révélant à nous, lecteurs, que la réalité passe entre la mère et la fille. La vie à l’écart que mènent Erika Kohut et sa mère permet à Elfriede Jelinek de s’attaquer à la vieillesse comme construction sociale historiquement et culturellement marquée. Par-delà leurs deux figures, c’est une culture entière dont elle dynamite les bases. La vigueur de sa pensée et l’originalité de ses œuvres en font l’auteur majeur de sa génération.     Bibliographie et références:   - Nicole Bary, "Elfriede Jelinek, la déconstruction des mythes" - Vanessa Besand, "L’œuvre romanesque d’Elfriede Jelinek" - Thierry Clermont, "Elfriede Jelinek, l'insaisissable" - Yasmin Hoffmann, "Elfriede Jelinek, une biographie" - Magali Jourdan, "Qui a peur d’Elfriede Jelinek ?" - Roland Koberg, "Elfriede Jelinek, un portrait" - Christine Lecerf, "Elfriede Jelinek, l’entretien" - Gitta Honegger, "Un Nobel imprévu, Elfriede Jelinek" - Claire Devarrieux, "Jelinek, la subversion primée à Stockholm" - Christian Fillitz, "L'Autriche partagée entre joie et réprobation" - Liza Steiner, "Elfriede Jelinek, anatomie de la pornocratie" - Gérard Thiériot, "Elfriede Jelinek et le devenir du drame" - Béatrice Gonzalés-Vangell, "Elfriede Jelinek" - Klaus Zeyringer, "Dossier Elfriede Jelinek"   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
367 vues 13 aime
Par : le 13/10/23
Voici le deuxieme texte j'espere qu'il vous plaira autant que le premier               Nous sommes le 24 juillet 2017, Lucie, une très jolie rousse de 21 ans, est enfin à la maison après plusieurs annulations de dernières minutes. Au mois de juin, je lui ai fait part de mes sentiments envers elle, mais elle a décliné ma « demande ». Alors dans ma tête c’est monté un scénario de domination soumission.                Oui car j’ai oublié de préciser, que je suis sadomasochiste et que je suis switch (je peux être soit dominant, soit soumis) mais plus a tendance soumis. J’ai d’ailleurs eu plusieurs expériences, mais nous verrons ça une autre fois. J’ai aussi installé des caméras espionnes dans la salle de bains, le couloir et ma chambre.                Donc, le lundi nous rentrons dans l’après-midi, après avoir fait la route depuis paris. Je lui montre l’appartement, lui explique 2-3 trucs et nous nous posons devant la télé, pour jouer à la console. On joue aussi au UNO, notre jeu préféré XD, bref une  fin d’après- midi banale en sommes. Le soir, elle part prendre sa douche, je lui montre comment activer le pommeau pluie, et en profite pour mettre les caméras en route. Sur certaines je peux, via mon pc ou mon tel, voir le flux vidéo en direct. Et je dois dire que je ne suis pas déçu, une fois fini, nous mangeons  et regardons la télé tout en discutant de banalité.                Le mardi, nous avons passé l’après-midi à la plage. Je reconnais en avoir profité pour mater son corps, fort bien sympathique avec une poitrine qui convient à son corps, un joli petit cul, et quelques kilos de trop mais rien de bien méchant, en soit elle est très jolie. Le soir, nous faisons comme la veille, discuter devant la télé ou un jeu. L’alcool aidant, la discussion en arrive à la partie sexe, je sais qu’elle est encore vierge, et je dois avouer bien que j’ai 32 ans cela ne fait 4 mois que je ne suis plus vierge, cela est une autre histoire. Donc elle me dit que pour l’instant ça ne la perturbe pas plus que ça et qu’elle ne se sent pas prête pour une relation.                Voyant que l’on peut tout se dire, j’ose lui avouer mon côté sadomaso, en lui parlant des différentes expériences que j’ai vécu. Je lui montre des photos et des vidéos de moi, mais aussi celle trouvé sur internet. Ça n’a pas l’air de la choquer, je dirai même qu’elle me posait beaucoup de questions comme si elle était intéressée par la chose, je lui propose que je lui montre à quoi je ressemble en vrai quand je suis en femme et bondagé, elle me répond qu’elle souhaiterait effectivement voir ça en vrai. Je monte donc à l’étage, me transforme en Sophie (c’est mon nom de soumis).                Une fois dans la chambre je déposai sur le lit, les affaires de Sophie. Voici la liste : 1 robe de soirée 4 bodys 1 nuisette avec menotte intégré 1 bâillon bite de 10 cm 1 crochet anal 3 boules de 19 mm à 35 mm 1 paire de talon aiguille avec une plateforme de 4 cm et haut de 14 cm 1 paire de faux seins 2 rosebud (1 métal : 7 cm de long et 2.8 de large ; 1silicone : 8.5 cm de long et 4.4 de large) 1 ceinture menotte 2 contrainte pieds et mains ensemble velcro 1 combinaison résille fendue a l’entre jambe 1 stimulateur de prostate a accroche au pénis 1 martinet 1 bâillon boule casque 1 bâillon boule 2 paires de pinces à tétons en métal reliées par une chaine 2 shortys 1 cage de chasteté en plastique ajustable 1 cage de chasteté en métal 2 paires de menottes (1 poignet et 1 cheville) 1 cravache Quand je redescends, elle me trouve ravissante et que je sais bien m’habillé quand je suis en femme. Elle demande, alors à voir comment est composée cette tenue. Je commence par défaire mes menottes de poignets et de chevilles, mon bâillon, ma robe. A ce moment-là, je la vois écarquillé les yeux de surprise, je lui demande pourquoi elle fait ces yeux -là, et m’explique qu’elle ne s’attendait pas à me voir encordé comme cela (j’avais réalisé un shibari) et que c’était harmonieux. Je continu, je défais donc ce shibari, enlève le soutien-gorge où les faux seins viennent avec et je retire le string. Je suis donc nue devant elle, avec un collier où est cadenassée la chaine des pinces sur mes tétons, ma cage de chasteté et un rosebud dans l’anus. Elle me demande de tourné sur moi-même pour mieux admiré ce qu’elle voit, et elle remarque un truc brillant au niveau de mon cul et me demande ce que c’est, je lui dis que c’est un rosebud. C’est alors, avec le cœur battant à 100 à l’heure, que je lui propose un truc totalement fou, mais sur lequel je fantasme depuis le mois de juin, c’est qu’elle devienne ma Maîtresse et qu’elle m’éduque en tant que soumis.                Je la vois réfléchir, et je lui propose que pendant qu’elle essaie de prendre une décision, de se rapprocher de moi pour mieux voir, de touché les pinces, la cage, enfin ce qu’elle veut. Elle me demande alors de me pencher en lui présentant mes fesses, et là elle fait une chose complètement inattendu, elle retire le rosebud d’un coup sec. Je n‘étais pas forcément préparé à ça, ça m’a tellement fait mal que je suis tombé à genou mais malgré cela bien que mon sexe se sentait à l’étroit dans sa cage il se mit à gonfler au maximum de ce qu’il pouvait, c’était douloureux mais tellement jouissif. Elle a eue peur et me demande si ça va. Je lui oui et que j’ai juste été surpris de son action. Je me prosterne à ses pieds et lui demande pardon de lui avoir fait peur, c’était aussi dans le but de lui montrer qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait de moi et « forcer » sa réponse dans le positif. Je ne pourrais pas dire combien de temps je suis resté à ses pieds, mais après un long silence, elle lâche ces mots, plus que surprenant mais qui resterons a jamais gravé en moi, et qui m’ont rendu heureux jusqu’à présent.  « Je suis refuse d’être ta maitresse car je ne m’en sens pas capable, mais te voir ainsi m’intrigue et j’aimerais bien essayer. Alors je veux être ta soumise. » Je me suis relevé, abasourdi par ce que je venais d’entendre, en essayant de bien comprendre cette annonce très inattendue. Je me vois alors lui dire, «  tu en es sûr car moi je sais ce que c’est d’être soumis à quelqu’un, mais toi ?». Elle me oui et que si elle est honnête avec elle-même et moi, son caractère est celui d’une personne qui suit, pas qui dirige. Je lui réponds que je comprends et que si c’est ce qu’elle veut, alors ça sera ainsi. « Alors voici mon premier ordre », lui dis-je ; «  déshabille-toi complétement ». Un peu hésitante, elle s’exécuta, un peu trop lentement, ce qui ne me plait pas, je prends la cravache qui est sur la table et lui claqua ses fesses, en lui intimant de se dépêché. Un peu choqué, elle redoubla de vitesse et en 5 secondes, elle était nue devant moi, je la trouve magnifique. C’est alors que je me souviens que j’avais encore ma cage sur mon sexe, car j’en avais mal à mourir. Je lui ordonne de prendre la clé du cadenas, et de me libéré la bite. Je sais qu’elle n’as jamais vu de bite avant aujourd’hui, et encore moins d’en avoir touché une. C’est avec une main hésitante, qu’elle enleva le cadenas puis la cage. J’en profite pour lui demander de finir de m’enlever l’équipement restant sur mon corps. Elle saisit la pince située sur mon téton droit. Je lui dis d’y aller doucement car je ne veux pas avoir mal, et que si ça arrive, elle sera punie. Je la vois se concentrer sur la tâche qui lui incombe, mais malheureusement pour elle, la pince se referma sur mon téton, en m’arrachant une grimace. En effet, ayant l’habitude de ces pinces je sais qu’il faut les ouvrir avec les 2 mains. Une qui appuie sur la pince et l’autre qui maintient le ressort compressé, au cas où la première doit reprendre une position plus confortable pour continuer. Je dois dire que je suis content, malgré la douleur, car elle observe bien et apprend vite, car juste après avoir raté sa tentative, elle se mit à genou et me présenta ses excuse en se prosternant à mes pieds, comme je le fis peu de temps avant. J’accepte ses excuses, lui intime l’ordre de se relevé et lui montre comment les enlevé sans trop de souffrance. Car oui, et ceux qui en porte le savent aussi, la réalimentation en flux sanguin des tétons est douloureuse, et j’avais décidé de ne pas lui en tenir compte. Donc une fois que je lui ai montré comment retiré une pince, elle essaya côté gauche, ce qu’elle réussit grandement. Je l’informe aussi, car il est de mon devoir de maitre, de cette douleur quand le sang revient pour qu’elle ne soit pas surprise quand cela lui arrivera. Elle passa derrière moi, pour défaire le collier. Et enfin se remit à genou pour m’aider à enlever mes talons aiguilles. Je suis débarrassé de tout mon attirail, nu devant elle avec une gaule comme je n’en ai pas le souvenir et elle à genou et nue aussi, j’avais une grande envie de lui demander de me sucer. Mais je sais que sexuellement elle est vierge en tout point. Alors je ne lui dis rien et je retourne dans ma chambre pour me rhabiller, en montant les escaliers je la vois me suivre du regard, inquiète, cela m’amuse et m’excite beaucoup. Une fois rhabillé, je redescends et je la retrouve toujours à genou, avec une mine de quelqu’un qui réfléchit et qui ne sait pas trop ce qui lui arrive. Je la regarde un moment, je lui demande si tout va bien et si elle veut continuer, que si elle veut arrêter, je ne lui en voudrais absolument pas et que on ferait comme si rien ne c’était passé. Elle me répond que oui ca aller, qu’elle avait un peu peur de ce qu’il allait se passer et que ça lui faisait bizarre d’être comme ça devant quelqu’un. J’essaie de la rassurer, en lui disant que sa réaction est plus que normale, que moi aussi je suis passé par là et que si elle ne réagissait pas comme cela, ça aurait été bizarre. Je pense que ça a marché, car elle semble plus détendue d’un coup. Je lui demande de se rapprocher de mon PC à 4 pattes, avec le dos bien cambré. Je la suis et j’en profite pour regarder ce magnifique corps, en pensant que j’ai une chance inouïe. Elle qui quelque mois auparavant « se refuser » d’être ma copine, maintenant se retrouve nue et soumise devant moi, je bandais comme un fou. Mais je devais me calmer, car il fallait signer les contrats qui nous lieraient, bien qu’ils n’aient aucune valeur juridique, c’était plus pour la forme et qu’elle connaisse les règles et ce que j’attends d’elle. Une fois lu elle les signa et rempli une checklist de soumise destinée à connaitre ses limites. Je la regarde droit dans les yeux, elle comprit qu’elle devait baisser la tête. C’est alors que je lui dis que je n’ai pas oublié qu’elle devait recevoir une punition pour tout à l’heure. Je la vis se crisper et avoir peur de ce qu’il allait lui arrivé. Ne voulant pas la choqué et ainsi la brusqué et qu’elle décide d’arrêter tout. Je lui dis que vu qu’elle est vierge, et que moi-même ne voulant pas que sa première fois soit mal vécue par elle, nous n’irons pas loin sexuellement ce soir. Je la fis mettre alors debout, jambes écartées, les mains sur la tête, et je commençai sa punition. Pour la mettre à l’aise je lui annonçai que pour les premières punitions, je lui décrirais ce que je lui ferais. Je pris des pinces à linges, pas celle que j’avais quelque instant plus tôt, car je trouve cela trop dur pour une première. Ce n’est pas parce que j’ai une esclave maintenant que je ne dois pas en prendre soin, bien au contraire, plus elle se sentira en sécurité et à l’aise mieux elle me servira. Et c’est ainsi que je posai une première pince sur le téton gauche, tout en douceur, ensuite le droit avec un peu moins de douceur. Je me mets à genou, et je commence à déposer des baisers sur ses cuisses tout en me dirigeant vers sa chatte, un peu trop poilue à mon gout et je me dis qu’il va falloir y remédier rapidement, elle a un petit mouvement de recul que j’arrête en lui maintenant les cuisses avec mes mains. Je commence alors à la lécher, je sens un peu de mouille et je me dis que finalement cela l’excite un peu. Sans rien lui dire, j’accroche une pince sur sa grande lèvre droite, en la regardant, elle grimace et ça m’amuse. Je fais de même sur la gauche et me relève, je viens coller mes lèvres sur les siennes pour qu’elle goute à son jus et je lui dis qu’elle y goutera souvent alors autant commencer tout de suite. Je lui dis de tourner sur elle-même pour que je puisse admirer son joli corps. Une fois qu’elle me tourne le dos, je lui dis de ne plus bouger. Je prends le martinet et lui annonce que sa punition va réellement commencer, et que pour ne pas avoir obéit a mon ordre, elle allait recevoir 10 coups sur chaque fesse. Sans lui permettre d’assimilé ce qu’elle vient d’entendre, je lui assène un coup, un peu trop violent par rapport à ce que je voulais, elle mit ses mains sur ses fesses comme pour essayer d’échapper à sa correction. Je me place devant elle et lui fait comprendre que si elle re bouge ses mains, je doublerais la punition. Elle se remit en place, moi aussi et je recommence, mais cette fois les coups sont plus maitrisé et c’est à la limite de la caresse et du picotement. Les 20 coups fini, je regarde mon ouvre et je m’aperçois que son cul marque vite et on voit bien les zébrures due aux lanières du martinet. Je prends une photo et lui montre, en lui disant de regarder comment son petit cul est joli rouge comme ça. Je lui ordonne de se mettre à genou, et de me remercier pour la punition et de me baisers les pieds. Je lui dis aussi qu’après chaque punition, elle devra toujours faire ça. Je lui demande alors de me masturber, je la rassure en lui disant que comme c’est une première elle ne me sucera pas et je n’éjaculerais pas sur elle, mais que par la suite elle n’y échappera pas. Sans que je la rappelle à ses devoirs, elle me dit « merci maitre d’être aussi compréhensible avec votre soumise ». Je la récompense en lui caressant les cheveux,  comme on caresserait un chien. Me sentant au bord de la jouissance, je lui donnai un verre pour me faire éjaculer dedans. Je joui, quasiment 2 secondes après qu’elle est pris le verre, de long jets remplissant facilement un quart du verre. Je me dis que c’est con de jeter ça. Je l’attrape par le menton, la forçant ainsi à me regarder, et je lui dis que je n’avais pas l’intention de lui faire subir cela pour une première, mais que en voyant le contenu du verre et que  gâcher c’est mal, je lui dis donc de boire le contenu de ce dernier. A ce moment-là, j’ai cru qu’elle allait tout arrêter, en regardant son expression de dégout quand elle regardait le verre. Mais au final elle le bu cul-sec, je lui signalai que c’était bien et que j’étais fier d’avoir une soumise aussi obéissante. A cette annonce son visage s’illumina, comme si elle avait reçu un cadeau. Je lui dis que vu l’heure on allait se coucher, qu’elle doit me suivre à 4 pattes, elle porte toujours les 4 pinces. Une fois en haut, je me demandai comment la faire dormir, parterre attaché ou juste parterre libre de ses mouvements ou encore dans mon lit. Vu qu’elle a été  plus qu’à la hauteur de mes attentes, je décidai de la récompenser, en la faisant dormir dans mon lit avec moi, tout en l’informant que c’est parce que c’est la première et que elle avait été très forte ce soir. Mais que à partir de demain, je passerais la vitesse supérieure, qu’elle soit prête ou pas. Je pris la décision de n’enlever que les pinces qui sont sur sa chatte et nous nous couchions. Juste avant d’éteindre, je l’embrassai langoureusement et lui dis je t’aime ma soumise rousse. Elle répondit qu’elle aussi m’aimer. Je lui donnai le dernier ordre de la journée, qu’elle doit se lever avant moi, je précise que je ne veux pas entendre le réveil, pour me préparer le petit déjeuner et me réveillé à 11 heures. Lucie, n’arrivait pas à dormir à cause des pinces sur ses seins, ça lui faisait mal. Je me fâchai, en lui disant que si elle n’arrête pas de bouger, elle dormirait au pied du lit. Ça eu son effet, elle s’endormi 5 minutes après. Le lendemain, je fus réveillé par une étrange sensation, je dus mettre 1 bonne minute à comprendre que Lucie était sous la couette et qu’elle me suçait la bite. Je ne vous dis pas ô combien j’étais heureux qu’elle prit cette initiative. J’écartai la couette et elle me regarda, puis à mon grand étonnement me dit, « que mon maitre m’excuse, mais il est 11 heures, conformément à l’ordre reçu je vous réveille ». Je la félicitai en caressant sa joue, et lui dit de terminer ce qu’elle a commencé. 5 minute après je joui dans sa bouge, je maintien sa tête et lui dit d’avaler, puisqu’elle y a déjà gouté hier. Elle se releva et ouvrit la bouche pour me faire voir qu’elle avait bien avalé. Je l’embrassai et me leva, nous descendîmes, dans la cuisine pour déjeuner. Je lui demandais ce qu’elle prenait le matin. Elle me répondit, une tasse de thé avec pain et du beurre. Je lui fis signe de se servir et au moment où elle voulut s’assoir à table, je lui rappelai sa condition de soumise et tant que telle, elle doit manger parterre, et qu’elle s’estime heureuse que je ne lui attache pas les mains dans le dos. Une fois qu’on a fini de manger, elle fit la vaisselle pendant que moi, j’allais sur mon PC, pour regarder mes mails etc. En l’entendant finir dans la cuisine et revenir dans la salle pour attendre de nouvelles instructions. J’ouvris le dossier la concernant et balança la vidéo d’elle sous la douche de lundi. En entrant dans la salle, elle fut surprise de se voir sur la télé et me lança un regard interrogateur. Je lui dis alors que vu qu’elle ne voulait pas sortir avec moi, et que moi je voulais « un lot de consolation », que j’avais caché plusieurs caméras dans la salle de bains. Elle voulut dire quelque chose, mais je la coupai net, en lui rappelant sa condition actuelle et que dans le contrat qu’elle avait signé, elle acceptait d’être filmé et photographié, et que je pouvais en faire ce que je voulais. Je la rassurai quand même que mon but, n’est pas de la détruire socialement, que ces fichiers sont stockés sur un disque dur externe non connecté au réseau, donc pas de risque de fuite en cas d’un potentiel piratage de mon PC. Par contre je lui dis que certaine capture d’écran de la vidéo, et peut être même la vidéo se retrouve sur le site d’Xhamster, mais que je ferai un montage pour que son visage et sa tache de naissance n’apparaisse pas sur le rendu final, pour ne pas qu’on la reconnaisse. Là, elle me surprit encore une fois en me disant « si c’est ce que veut mon maitre, j’accepte ». Je ne pensais pas qu’elle était à ce point une soumise refoulé. Je décidai qu’il était l’heure d’aller prendre un bain, alors nous montons dans la salle de bains. Je retire les pince sur ses seins, elle grimace de douleur, je sais plus que très bien le mal que ça fait pour l’avoir moi-même vécu. Je prends mètre ruban, et je prends ses mensurations, 84-65-88. Ainsi que son poids : 58kg. Je fis couler l’eau, et mis du bain moussant, nous rentrons dedans et j’en profite pour la caresser et lui demander son état d’esprit par rapport à ce qu’elle vivait maintenant. Elle me répondit que bizarrement elle se sentait sereine et qu’elle me faisait entièrement confiance pour la suite. Mais elle avoua qu’au début cela lui paraissait irréel, que jamais elle avait pensé que je pouvais avoir cette tendance. Mais qu’au final elle était contente que je lui en fasse part, cela lui avait permis de mettre le doigt sur des réponses aux questions qu’elle avait pu se posait dans le passé. Je lui fis part aussi de mon ressenti, à savoir qu’au début je ne voulais pas lui révélé cette part d’ombre de moi. Mais qu’au fil de nos discutions, je sentais qu’on pourrait aborder ce sujet, et que j’ai donc saisi l’occasion. Qu’en revanche, j’étais plus que surpris du résultat final, qu’au début j’ai pensé que notre amitié allait s’arrêter une fois la révélation, mais la plus grosse surprise est qu’elle refusa de devenir ma maitresse, qu’en fait elle préférait devenir ma soumise. Nous nous lavons mutuellement, et une fois bien propre je sors de la baignoire. Lucie voulu me suivre, mais je l’arrêtai net et lui imposa de se mettre à 4 pattes dans la baignoire et de bien se cambrer. Elle s’exécuta un peu paniqué, j’allais chercher la canule dans ma chambre et le mis sur le flexible de la douche. Et je lui dis que comme elle est vierge, et que je sens qu’elle ne sent pas prête à le faire, que de tout façon sa première fois sera fait normalement, il fallait bien que je profite un peu de son corps. Elle allait donc subir un lavement anal, afin de lui mettre un rosebud de petite taille. Je pensais qu’elle allait refuser, mais elle se résigna et accepta « son destin ». J’insérai donc la canule tout doucement dans son anus, prépara l’eau pour qu’elle soit tiède froide, et enclencha le mode douche. Je lui dis de se détendre, et que lorsqu’elle ne pourra plus supporter, elle le dise pour que j’arrête l’eau.au bout d’une minute, elle me signale qu’elle a atteint sa limite. J’arrêtai donc l’eau, enleva la canule en lui disant que je ne veux pas d’eau s’échappe, sinon elle sera punie. « Oui maitre », fut sa réponse. Une fois retiré, il n’y a pas d’eau qui sorti, je lui dis que j’étais fier d’elle, je la relève lentement, et lui dis d’attendre un peu avant de se vider. Car je veux une soumise sans poils, par conséquence j’allais la rasée au niveau du sexe et du sillon inter fessier. Je pris ma tondeuse à barbe pour dégrossir un peu, puis je mis de la mousse à raser et commença à la rasée. Une fois fini, je l’autorisai à aller sur les toilettes, il ne fallut qu’une seconde pour entendre le contenu de son cul tomber dans les toilettes. Une fois vide, je l’emmenai sur mon lit, son cul tourné vers moi. Je pris mon plus petit rosebud, l’enduit de lubrifiant et le présenta à l’entrée de sa rondelle. Elle se crispa au contact du froid du lubrifiant, je lui dis de se détendre sinon elle allait avoir mal et je poussai doucement mais en continu. Il me fallut 5 minutes pour le faire rentrer entièrement. Je laissai quelques instants de répits à Lucie, pour qu’elle s’y habitue. Je la relevai, et lui donna un string blanc en dentelle et une robe noir assez transparent à enfiler. Le résultat était magnifique, on voyait bien le string et ses tétons à travers la robe, et pour finir lui donna des talons aiguilles, je pris mon APN et la mitrailla. Je vis sa gêne dans ses yeux et m’en amusa, pour continuer à la faire paniquer, je lui annonçai qu’on allait sortir se promené sur le bord de la plage. A ce moment-là, elle paniqua fortement et on redescendit dans la salle je me dirigeais vers le placard a chaussures, et je me retournai en lui riant au nez. Je lui dis que je ne peux pas lui faire ça, enfin pas encore. Je m’installai devant la télé, elle à mes pieds, je m’amusais à lui demander un verre d’eau, un gâteau, je la forçai à me sucer. Et quand j’arrivai au bord de la jouissance, je l’arrêtai net, lui réservant une surprise pour tout à l’heure. Il me vint alors une idée de jeu, pour se faire, nous montâmes dans la chambre, lui demanda d’enlever sa tenue de soumise et de s’habiller normalement. Je lu une interrogation sur son visage, ce qui me fit sourire. Dès qu’elle eut fini de s’habiller, je lui dis qu’on va jouer au strip – uno. Quand elle gagne, il ne se passe rien tant qu’elle est pas nue intégralement. Dès qu’elle serait nue entièrement, et que si elle gagne la manche, elle pourra remettre un vêtement perdu. Si elle perd, elle enlève le vêtement que je lui dirais, et que lorsqu’elle est totalement nue, elle aura des gages à réaliser. La partie commence, et pour la mettre en confiance, je fis exprès de perdre la première manche. Cela marcha, car elle me regarda avec un petit sourire en coin voulant dire c’est bon je ne perdrais pas beaucoup. C’était mal jugé car elle perdit les 4 manches suivantes, elle se retrouva plus qu’avec son débardeur, car j’avais pris un plaisir à lui faire enlever ses sous-vêtements en premier, et que pour le soutif, elle ne devait pas retirer son top. La manche d’après eut été en sa faveur, elle commença à vouloir reprendre sa culotte. Mais je la rappeler à l’ordre en lui signifiant qu’elle n’était pas nue intégralement. Elle reposa sa culotte, un peu triste. Les 2 suivantes je gagnai, et vu qu’elle était complètement nue, les gages commençaient. Pour le premier je lui donnai le choix, entre soit avoir une pince sur le téton de son choix, soit une pince sur la lèvre de sa chatte de son choix. Un choix qui me surprit, elle demanda la pince sur la lèvre gauche. Elle m’indiqua que ses tétons étaient encore un peu sensibles. La manche d’après, elle gagna, et elle remit son soutif. La partie continua ainsi pendant un moment, si bien que pendant une manche, elle était de nouveau habillée, mais elle portait toujours les effets des gages précédents, c’est-à-dire que sous ses vêtements, elle avait des pinces aux seins, à la chatte,  un plug dans le cul, un bâillon et jouait les mains attaché dans le dos. En gentleman, je n’en profitais pas pour regarder ses cartes à chaque fois qu’elle se tournait pour savoir qu’elle carte jouer. Enfin jusque-là, puisqu’elle s’était « refaite », je décidai de tricher pour qu’elle se retrouve à nouveau nue. Là je lui annonçai, que c’était la dernière manche, et que si elle perd le gage serait le plus dur à réaliser de la soirée. Jusqu’au dernier moment, je lui laissé l’espoir de pouvoir vaincre, et au moment où elle crut remporter la victoire, je lui assénai ma botte spéciale (2 cartes +2 suivi de la carte couleur adéquate). Je remportais donc la partie et là je me mis à rire genre malsain, ce qui l’inquiéta. Je la fis mettre debout, je pris la corde dans le sac et nous descendîmes dans la salle. Je remontai le volet roulant, ouvrir les portes fenêtres en grand. Je la vois essayer de se cacher de la fenêtre, mais je m’approchai d’elle, me baissa, retira les menottes à ses chevilles. Mais je lui reliai tout de suite, en les joignant avec de la corde. Puis je la pris dans mes bras et la passa par-dessus la rambarde de la fenêtre. Je repris la corde qui pendait à ses pieds, la fit passé derrière la barrière (du côté salle) et la noua autour de sa taille. De telle sorte qu’elle ne pouvait plus tomber, je continuai de nouer la corde autour de son corps. Et je lui dis bonne nuit et referma le volet. Elle voulait implorer pitié mais je ne comprenais rien avec le bâillon. Au bout de 5 min je ne l’entendais plus, et j’attendis encore 5 minutes de plus pour la ramener dans l’appartement. Je la déposai sur le canapé, pour finir de la libérer et je vis qu’elle pleurait. Une fois le bâillon enlevé, je lui demandai si tout aller bien. Elle me répondit pas trop, que ce gage lui a fait peur, je la rassurai en lui disant que ce qu’elle subissait, eh bien qu’en fait je l’avais testé avant. Que je ne lui ferais pas subir quelque chose sans que moi je l’ai essayé. Ça la rassura un peu, et on s’aperçu que nous n’avions toujours pas mangé. Elle prépara le repas, et au moment de se mettre à table. Je lui ordonnai de me sucer, juste avant d’éjaculer je me retirai de sa bouche et joui dans son assiette, la posa à terre et lui souhaita bon appétit en rigolant. Vaincue par la dernière épreuve, elle mangea sans protester, à 4 pattes. Le repas fini, elle fit la vaisselle, et je décidai qu’on allait se coucher. Je réalisai qu’elle avait eu une journée chargée en émotion forte, aussi je décidai de la récompenser. En lui disant que cette nuit si elle voulait, elle pouvait redevenir la Lucie normale, et dormir habillé. Où elle continuait d’être la Lucie soumise, mais qu’elle dormirait à terre, attaché écarter, avec pinces aux seins et à la chatte, et plug au cul. Je lui donnai 5 minutes de réflexion, et lui dis que vu la journée intense qu’elle a subie, elle ferait mieux de redevenir Lucie normale, que je lui en voudrai absolument pas. Encore une fois, sa réponse me surpris et me confirma que c’est bien une soumise refoulé, car elle me dit qu’elle reste la Lucie soumise et me présenta son cul pour l’insertion du plug. Je l’envoyai aux toilettes avant, pour qu’elle n’est pas de problème à force de se retenir. Quand elle est revenue, je l’équipai et l’attacha en lui souhaitant ce coup-ci une vrai bonne nuit. Je me couchais et mis le réveil pour 10H, car elle repartait à midi le lendemain. Au réveil je la détachai, l’aida à se relever, et la massa pour détendre ses muscles. Nous prîmes notre douche ensemble en nous lavant mutuellement. Elle se mit à genou et me fit une pipe du tonnerre. Je giclai dans sa bouche et elle avala sans en perdre une goutte. Pour la féliciter, je lui fis un cunni, elle jouit en 10 minutes. Nous déjeunons, et je lui dis de redevenir la Lucie normale pour qu’on puisse discuter de ces 2 jours tranquillement. Je lui dis que j’étais plus que fier de ce qu’elle a accompli, que je ne pensais pas qu’elle irait si loin. Je n’avais pas imaginé la tournure que ça a pris, que j’étonnai car je pensais qu’une fois qu’elle aurait appris, mon penchant sexuel, elle voudrait rentrer chez elle de suite et ne plus jamais entendre parler de moi. Mais au contraire qu’elle l’est acceptée et retourné ma demande sur elle. Je suis aux anges, je lui posais enfin la question, veux-tu continuer à être ma soumise, si oui es-tu prête à emménager avec moi, pour continuer ton dressage. Je fini en la regardant droit dans les yeux et lui « je t’aime ». Elle m’avoua que lorsque je lui ai dit que j’étais sadomaso et en voyant les photos et vidéo de moi, elle a pensé à partir. Mais que au final, cette approche allait peut être répondre à ses questions personnelles, qu’elle décida donc d’écouter ce que j’avais à dire jusqu’au bout, et lorsque je lui ai proposé de une « démo », elle voulait voir car elle était curieuse. Que son déclic d’être soumise, fut quand elle me retira le rosebud de mon anus, où elle s’est excusée de suite. C’est là, qu’elle comprit que son rôle n’était pas d’être une maitresse, mais une soumise. Elle me dit aussi qu’elle prit 10 minutes de réflexion, pour peser le pour et le contre et qu’elle avait un peu peur que je sois trop brutal. Mais qu’au final j’ai été calme, attentionné, mais juste. Par contre, le seul moment où elle a été à 2 doigts de tout arrêter, c’est quand je l’ai attaché à la rambarde de la fenêtre. Pour finir me dit-elle, « je veux continuer à être ta soumise et oui je suis prête à venir vivre ici ». Je l’informe que je ferais appel, à mon ancien maitre pour m’aider à devenir un véritable dominant, et qu’il risque de se faire payer en nature avec toi. Elle me répond qu’elle est ma chose maintenant et que j’ai les pleins pouvoir sur elle corps et âme. Je l’emmène à la gare pour qu’elle puisse repartir chez elle et aller bosser. Son contrat ce fini le 1 er septembre, et qu’au plus tard le 5 elle débarque ici avec ses affaires. Je lui dis que je continuerais à la dominer par message. Elle accepta, on s’embrassa et elle monta dans le train. Cette histoire est une fiction, basée sur quelque faits réel, comme le fait que Lucie m’ai recalé, le fait que je sois un sado maso et le fait que je possède réellement le matériel qui apparait dans l’histoire. En sorte une version d’un fantasme d’une relation avec Lucie que je rêve depuis presque un an maintenant                                                                                                                                                     FIN
371 vues 2 aime
Par : le 13/10/23
Première partie : https://www.bdsm.fr/blog/8979/Dresser-mon-esclave---partie-1---le-canap%C3%A9/ Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Ah, et pour cette partie, j'ai triché. J'ai mon téléphone avec moi. Mais un Maître ne triche jamais. Il fait les règles. Second texte / second  élément : une belle et grande table en bois Je t'appelle et tu arrives tout de suite. Collier, laisse et lingerie sur tes mains et tes genoux. Je crois qu'excepté couverte de ma semence, avec un baillon dans la bouche ou avec un crochet dans le cul, c'est ainsi que tu es la plus désirable. Mais ne nous laissons pas distraire. Place à la seconde séance de dressage. Je suis confortablement installé dans le canapé. Je tapote sur mes genoux pour appeler ma chienne. Tu as pour instruction de regarder le sol et je sais que tu as quand même jeté un coup d'oeil pour voir ce qui t'attendait. Une simple table. Je te laisse approcher. Tu commences à lécher mon jean à hauteur de ma queue comme si tu pouvais faire ce qui te plaît. Cette erreur te coûte une claque retentissante. - Pardon Maître, j'en avais tellement envie. - Ouvre la bouche. Tu sais que tes erreurs se payent et j'aime tellement cracher dans ta bouche offerte que je te pardonne trop facilement. - Maître, s'il vous plaît, laissez votre esclave lécher votre jean - Tu peux ! Et je vois ta langue se précipiter. Je te sens même prendre ma queue à travers jean et boxer. Je sens ta joue la presser aussi. - Notre nouveau jouet est une table. Tu te retournes pour la regarder. Une belle table en bois massif. Carrée mais suffisamment large pour que tu puisses tenir allongée dessus sans problème. Un sofa et une table. On ne dirait pas l'aménagement d'une pièce spéciale mais ça va venir. Tu as repris ton activité et tu me suces comme si j'étais nu. J'ai envie de sentir ta bouche de plus près. - Enlève mon pantalon. Non seulement tu l'enlèves dans les 10 secondes mais tu fais glisser la ceinture et me la tends avec référence. - Au cas où vous vouliez vous en servir Maître Je me lève. J'atttrape tes cheveux pour te forcer à coller ta figure contre mon bassin. Je récupère la laisse et je la passe autour de ta nuque pour pouvoir serrer encore plus fort. Je te sens t'agiter mais il faut que tu apprennes à devenir encore meilleure pour respirer quand tu peux ou avec une queue coincée au fond de ta bouche. C'est pour ça qu'on t'entraîne. Je profite de ce moment et je le fais durer. Je te libère de temps en temps pour te voir reprendre péniblement ton souffle. La salive s'écoule de tes lèvres. - Tourne-toi mon esclave. Direction la table. Monte dessus. Tu te relèves tout de suite et tu comprends que c'était une erreur. Tu te remets tout de suite à 4 pattes mais tu sais que tu paieras pour ça. Je te soupçonne même d'avoir commis cette erreur de débutante exprès. Tu es à 4 pattes sur la table, le regard tourné vers le bas. Je t'attrape par les cheveux. Première claque - Tu l'as fait exprès ? - non Maître - (seconde claque plus forte) Tu l'as fait exprès ? - quoi, Maître ? - (troisième claque, crachat) tu sais très bien quoi. Arrêter de marcher comme la chienne que tu es bien avant la table - (baissant encore plus a tête) sans doute Maître que je voulais être punie. - A 4 pattes, les avant-bras posés sur la table, la tête entre. Offre-moi ton cul bien en l'air. Tu t'exécutes et, en même temps, tu sens la table bouger. Les plaisirs de la technologie. Offrir à un Maître une esclave à parfaite hauteur de fessée. Comme souvent, je commence par te fesser à main nue. Tes fesses se colorent et, quand elles sont d'un rose suffisamment soutenu, je tends la main pour me saisir de la ceinture. Je commence par changer de cible et je m'occupe de tes cuisses, de ton dos. Tu gémis de plus en fort mais ça ne t'empêche pas, de temps en temps, de me supplier de taper plus fort. Retour à ton cul jusqu'à ce qu'il soit d'un beau rouge. - C'est fini pour l'instant mais ne bouge pas. Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos. Puis j'enclenche la vidéo et je fais plusieurs fois le tour de la table. - Tu peux me regarder ma salope. Tu aperçois le téléphone. - Enlève ton string. Donne-le moi. Montre-nous à quel point tu es trempée. Au nous, tu réalises que cete vidéo va finir uploadée sur internet. Tu me tends le string. Je l'expose devant la caméra. Il est très facile de voir qu'il est trempé. Mes doigts se glissent contre ton sexe. Wow oui tu es carrément trempée. Ouvre la bouche. D'abord mes doigts. Oui suce-les comme si ta vie en dépendait même si ce ne sont que mes doigts. Puis le string. Voilà, c'est pas un baillon mais ça sera mieux que rien. Gros plan sur cette bouche de pute qui prend tout ce qui passe à proximité. - A genoux chienne ! Regarde droit dans la caméra. Que tout le monde te regarde exploser. Aujourd'hui c'est une séance pour te préparer à aimer les regards qui se posent sur toi. Je sais à quel point tu aimes que tout le monde sache que tu es mon esclave. Regarde la caméra, montre à tout le monde à quel point tu es bien dressée. Tu prends le bout de la laisse, tu la glisses contre ton sexe et tu tires. Tu la presses avec ton autre main et je vois tes doigts qui commencent à s'agiter contre ton sexe. Tu arrives à regarder la caméra jusqu'à ce que tu commences à gémir très fort. Ta tête bascule en arrière et il ne faut que quelques secondes de plus pour que ton corps tressaille, pour que tu exploses bruyamment. Tu reprends tes esprits, tu me regardes, - Merci Maître !      
1000 vues 3 aime
Par : le 10/10/23
"Le visage aristocratique du baron von Blixen-Finecke me salua, comme toujours, du plus gracieux sourire, qui l'éclairait comme un rayon de soleil éclaire un morceau de cuir familier, un cuir bien entretenu, sans rides, mais tanné et dur comme une selle de cheval. C'est d'ailleurs la seule concession accordée par le visage de Blix à l'image populaire qu'on se fait d'un chasseur blanc". L’association, dans une même phrase, des mots "fermière" et "Afrique", fait immédiatement penser à Karen Blixen, l’auteur de "La Ferme africaine", roman porté à l’écran sous le titre "Out of Africa". Pourtant, l’Afrique peut s’enorgueillir d’une autre pionnière de la même trempe, elle aussi fermière au Kenya, aussi talentueuse que l’auteur danoise, pourtant largement moins connue: Beryl Markham. Pionnière de l’aviation de brousse kényane d’origine anglaise, Beryl Markham (1902-1986) a été la première femme à traverser l’Atlantique en solo, d'Est en Ouest, sur un avion à peine équipé. Elle a appris le Swahili, chassé dans des safaris, dormi dans des huttes africaines. Mais elle a aussi brisé de nombreux cœurs, épuisé son entourage. Beryl Markham ne fait pas l’unanimité, sauf lorsqu’il s’agit de saluer sa singularité et de sa force de caractère. L’histoire de Beryl Markham débute véritablement quelques années après sa naissance, lorsque son père fait l’achat d’une ferme au Kenya. La famille Barkham quitte alors la pluie grisâtre du Leicestershire pour le soleil de plomb de la vallée du Grand Rift. Pour la petite Beryl qui court pieds nus après les termites, c’est la cour de jeu rêvée. Pour sa mère, c’est l’enfer. Elle quitte le Kenya quelques temps plus tard, en emmenant avec elle le grand frère de Beryl. Celle-ci restera seule avec son père et l’amertume d’avoir été abandonnée par sa propre mère. Les deux femmes ne se reverront que des dizaines d’années plus tard, avec une joie modérée. Beryl n’a jamais pardonné à sa mère d’être partie sans elle. Tout l’amour qu’elle lui portait s’est reporté sur son père, qu’elle admire sans condition. Ensemble, ils se délectent alors de la vie africaine, "un monde sans mur" dira-t-elle plus tard. Elle grandit ainsi entourée d’animaux et se lie d’amitié avec les tribus environnantes, qui lui apprennent à chasser et à parler leur langue. Bientôt, la petite Beryl maîtrise mieux le Swahili que l’anglais. Son père ne la surveille jamais. La savane se charge de lui enseigner les grandes leçons de la vie. Ce cadre de vie en fera une jeune fille indépendante, hardie, dure aussi. Après trois ans passés dans une école privée de Nairobi, elle est renvoyée définitivement. Trop turbulente, insolente, elle n’en fait qu’à sa tête et insupporte ses professeurs. En amour, elle a du mal à se consacrer à une autre personne qu’à elle même. Ses trois mariages seront des échecs cuisants. De l’une de ces liaisons naîtra un fils, Gervase, dont elle a laissé la garde à ses beaux parents, qu’elle n’a pratiquement pas connu, par manque d’intérêt. Dans son entourage, on l'appelait "la garce intrépide".   "Ses yeux sont gais et bleu clair, et non froids et gris comme de l'acier. Il a des joues rebondies, et non un visage en lame de couteau. Ses lèvres sont pleines et généreuses, et non resserrées par la dure expérience de la nature à l'état sauvage. Il parle volontiers. Il n'a pas de silences lourds de sens". Mais c’est cela qu’on aime dans la vie de Beryl Barkham. Tout n’est pas glorieux, héroïque, remarquable. L’histoire a du relief, le personnage est couvert d’aspérités. Cette jeune femme sublime, aux mensurations de mannequin, au look androgyne, très coquet a de quoi surprendre. Elle aime séduire les hommes mais déteste l’engagement. Elle tient à être mise sur un pied d’égalité avec ses alter egos. Comme eux, elle veut découvrir le monde, se réaliser sans avoir alors à se soucier du dîner du soir. Farouchement indépendante, elle a grandi en liberté et ne veut surtout pas que cela change. Elle était connue pour user de sa féminité à son avantage, ensorcelant les hommes pour qu’ils ne jalousent pas son intrusion dans les métiers de tradition masculine comme le dressage de chevaux et l’aviation. Sa détermination et cette ambiguïté assumée dans ses relations avec les hommes lui ouvrira de nombreuses portes. À dix-neuf ans seulement, elle est la première femme à obtenir une licence de pilote commercial, sur les encouragement de son amoureux de l’époque, Tom Campbell-Black. Elle se lance alors dans la préparation d’un vol transatlantique en solo. Sans radio ni feu, elle s’élance au dessus des déserts africains et relie Khartoum au Caire, Tripoli à Tunis, Cannes à Cagliari, jusqu’au grand jour. Le quatre septembre 1936, elle décolle d’Abingdon, en Angleterre. Le temps est à la pluie, au vent et au brouillard, mais Beryl n’a pas peur. Beryl n’a jamais eu peur en avion. Après vingt-et-une heures de vol, son avion se crashe non loin de New York, mais pour elle, le défi a été relevé. Elle est la première femme à avoir traversé l’Atlantique en solo, d'Est en Ouest. Et tout cela pour épater son doux Tom, parti flirter avec une autre femme au cours d’un voyage d’affaires. Mais l’exploit ne suffira pas à le faire revenir. Beryl perd le goût de voler et part s’installer en Californie avec un nouveau garçon, Raoul Schumacher. Là, elle fait la rencontre d’Antoine de Saint Exupéry, un aviateur qu’elle admire et qui lui recommande vivement de se mettre, elle aussi, à l’écriture. Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Beryl travaille immédiatement sur la rédaction de ses mémoires, "West with the Night". Elle fait lire le résultat à Ernest Hemingway, qu’elle avait rencontré lors d’un safari au Kenya. Il est époustouflé: " Cette fille, qui est, selon moi, une personne détestable, on pourrait même dit une garce de haut niveau, est capable de surpasser tous ceux qui, comme moi, se disent écrivains".   "Peut-être que j’ai besoin d’un changement, d’une année en Europe cette fois, de quelque chose de nouveau, de mieux si possible. Si la vie n’avance pas, elle stagne. C'est, je crois, la vie que je mène ici. Ça ne sert à rien de se dire qu’un jour on pensera peut-être qu’on aurait mieux fait de ne pas changer de vie". Grâce à lui, "West with the Night" est publié en 1942, mais le succès n’est pas au rendez-vous. Après cinq ans de mariage, Beryl et Raoul divorcent. L’aviatrice retourne au Kenya et renoue avec la passion de son enfance, l’équitation. Mais elle peine à vivre de ses activités d’entraîneuse hippique et décide, en 1983, de republier "West with the Night". Cette fois, le public est sous le charme et Beryl triomphe une deuxième fois. L’histoire se termine trois ans plus tard, lorsque "l'intrépide garce" décède alors d’une pneumonie, le trois août 1986 à Nairobi, à l'âge de quatre-vingt-quatre ans. Pionnière de l'aviation, aventureuse, indépendante et belle, Beryl Markham était admirée et décrite comme une non-conformiste réputée, même dans une colonie. À l'époque le Kenya s'appelle l'Afrique orientale britannique, connue pour ses excentricités. Elle se marie trois fois, prenant le nom de Markham de son deuxième mari, le riche Mansfield Markham. Elle a une liaison en 1929 avec le prince Henry, duc de Gloucester, fils du roi George V, mais les Windsor demandent de mettre un terme à cette relation. Elle a également une liaison avec Hubert Broad, ancien pilote britannique de la première guerre mondiale. Mansfield Markham, lors de son divorce en 1937 avec Beryl, demandera le témoignage d'Hubert Broad. Après sa traversée de l'Atlantique, elle revient pour vivre avec Broad, qui avait influencé sa carrière de pilote. Elle s'était liée d'amitié avec l'écrivain danoise Karen Blixen pendant les années où cette dernière gérait la plantation de café de sa famille dans les collines de Ngong près de Nairobi. Lorsque la relation romantique de Blixen avec le chasseur et pilote Denys Finch Hatton se termine, Markham entame une liaison avec lui. Il l'invite à reconnaître tous les terrains d'aviation du Kenya, ce qui s'avéra fatal pour lui, mais Markham refuse, suivant la prémonition de son instructeur de vol, le pilote anglais Tom Campbell Black. Beryl a fini par séduire, Denys Finch Hatton, fils d'Henry Finch-Hatton, treizième comte de Winchilsea, le meilleur fusil d'Afrique, vif argent solaire, mort bien trop tôt, bien trop jeune. Amoureuse des hommes et du sexe, elle était le genre de femme à qui tout homme sain d'esprit, préférait l'abri d'une cage où tournaient deux ou trois tigres. "Cela ne sert à rien de prévoir les regrets. L’avenir n’a pas besoin de ressembler au passé. Les êtres humains ont tiré, à la loterie de l’évolution chère à Monsieur Darwin, le ticket gagnant et la souche qui va avec". Beryl n’a que quatre ans lorsque sa famille arrive au Kenya, à Njoro. Elle n’a guère qu’un an de plus lorsque sa mère jette alors l’éponge et retourne en Angleterre, son fils aîné, de faible constitution, sous le bras. La vie s’organise donc comme elle peut chez les Clutterbuck. Le père élève des chevaux de courses, la fille vagabonde dans les collines alentour et fait l’apprentissage de la savane avec les enfants du village Kipsigi, parmi lesquels Kibii, son meilleur ami. Mais conseillé par de bons amis, le père s’aperçoit assez vite que Beryl ne peut être laissée ainsi, à presque dix ans, à courir à moitié nue dans les taillis. Arrive donc Emma, une vraie lady de la colonie, chargée de domestiquer et de discipliner la jeune fille.   "La beauté intrépide, son ermitage au pied des vagues et des nuages". La première leçon consistera à lui apprendre à porter des chaussures. Constatant que les cours sont totalement inefficaces, plusieurs préceptrices et autres gouvernantes se succéderont chez les Clutterbuck, afin d’instruire la jeune fille. Au grand dam d’Emma, c’est à coups de mamba noir glissé entre les draps et autres farces que Beryl chasse le personnel. Elle ira donc en pension. Mais elle a la peau dure et son obstination paye. Elle revient très vite au domaine et travaille aux côtés de son père, soignant et dressant les chevaux. Exactement là où elle le voulait depuis le début, en fait. Une chose est sûre, Beryl ne manque ni d’obstination, ni de volonté. Ce trait de caractère la conduira loin. Lorsqu’à contrecœur, elle prend conscience des problèmes financiers de son père, elle décide de se marier avec Jock Purves, un voisin bien plus âgé qu’elle, alors qu’elle n’a que dix-sept ans. Las, elle va vite déchanter. Rien ne pressait et Jock s’avère être tout sauf le mari idéal. Mais il en faut plus pour abattre la jeune toute jeune Madame Purves. Elle décide donc de quitter le domicile conjugal pour aller travailler. Quoi de mieux que d’entraîner des chevaux chez un ami de son père ? Malgré les bouderies de Jock, qui a peur du qu’en-dira-t-on et se montre affreusement jaloux, Beryl établit ses quartiers et il ne lui faut pas longtemps pour également imposer son savoir-faire. Elle se révèle être née pour élever des chevaux. Elle deviendra entraîneuse professionnelle. Peu importe qu’elle soit une femme, anglaise, qu’elle ait dix-huit ans, et qu’elle vive séparée de son mari. Inutile de s'embarrasser de tous ces détails sans intérêts. Si Beryl n’éprouve aucun problème à courir en pagne, pieds nus, dans les taillis, à chasser avec les Kipsigi et à monter son cheval à cru, on attend plutôt d’une jeune lady, qu’elle soit toujours élégante et distinguée, qu’elle ait de la conversation et d'excellentes manières, tout ce que déteste profondément notre héroïne. De fait, l’éducation très libre de Beryl lui a donné des idées extrêmement modernes, voire choquantes pour les membres les plus prudes de l’intelligentsia locale. Moderne, anticonformiste, libre, sensuelle, Beryl est aux antipodes du modèle idéal de la jeune fille britannique mondaine. "Voilà sans doute pourquoi nous sommes si merveilleux, pourquoi nous savons faire des fils, des rasoirs électriques et des appareils de radio, et des fusils pour tuer les éléphants, les lièvres, les pigeons d’argile, et nos semblables". Inspirée et entraînée par Tom Campbell Black, Beryl a appris à voler. Elle a travaillé durant quatre années comme pilote de brousse, repérant les gibiers depuis les airs et signalant leur emplacement à des safaris au sol. C'est une des premières femmes à avoir pu vivre de son activité dans l'aviation commerciale. Dans son autobiographie parue en 1942, sous le titre, "West with the night", en français, "Vers l'Ouest avec la nuit", les premières pages évoquent tout naturellement un souvenir ayant trait à sa carrière de pilote: un vol de Nairobi à Nugwe figurant dans son carnet de bord en date du seize juin 1935. Ce jour-là, elle devait livrer un cylindre d'oxygène à un chercheur d'or atteint d'une maladie pulmonaire dans ce petit village perdu au milieu de nulle part. Elle devait également essayer de retrouver Woody, un collègue aviateur qui n'était pas rentré à Nairobi et était sans doute en panne quelque part dans la brousse. Les vols de nuits, les atterrissages en rase campagne sur des pistes cahotantes et les pannes étaient monnaie courante. Comme le relève Markham, "À une distance de mille pieds, la lumière dansante des torches de pétrole ne révélait qu'une piste très étroite, mince cicatrice sur le grand corps étendu de la brousse". Arriver sain et sauf à destination représentait un exploit qu'il convenait de renouveler alors chaque jour et tous les pilotes n'eurent pas la chance d'y parvenir.   "Elle avait mis ses mains dans son dos comme une enfant effrayéeé". L'atterrissage de Merkham en pleine nuit à Nugwe dans un nuage de poussière que les torches coloraient d'une teinte orangée, son décollage au petit matin après avoir livré sa bouteille d'oxygène, et le sauvetage de Woody qu'elle retrouve en mauvaise posture sur le chemin du retour, ne sont qu'un avant-goût des péripéties relatées par la suite. Toutefois, ce n'est pas au cœur de l'exploit que la narratrice plonge le lecteur au tout début de son ouvrage. Elle entend en préambule lui rappeler que la mémoire donne une couleur particulière à toute évocation du passé, qu'elle est subjective, personnelle et irrationnelle. "Comment peut-on mettre de l'ordre dans des souvenirs ?" écrit-elle, avant de concéder qu'il s'agit d'une mission impossible: "Je voudrais pouvoir commencer par le commencement. Je voudrais pouvoir dire, Voilà le point de départ, mais il y a cent points de départ, car il y a cent noms: Mwanza, Serengeti, Nungwe, Molo, Nakuru. Il y a une bonne centaine de noms et, pour commencer, il faut que j'en choisisse un, non pas parce que c'est le premier, ni parce qu'il évoque une aventure particulièrement spectaculaire, mais parce qu'il est là, sous mes yeux, sur une page de mon carnet de vol. Les noms sont des clés qui ouvrent des corridors enténébrés dans notre esprit, mais que le cœur reconnaît sans peine". Beryl Markham n'était pas qu'un brise cœur, c'était une aviatrice chevronnée. "Denys possédait cette qualité inestimable à mes yeux. Il savait écouter une histoire. L'art d'écouter une histoire s'est perdu en Europe. Les indigènes d'Afrique, qui ne savent pas lire, l'ont conservé. Les blancs eux ne savent pas écouter une histoire, même s'ils sentent qu'ils le devraient". Les commentaires de Merkham sur les images contradictoires de l'Afrique que les auteurs proposent à tout un chacun sont eux aussi intéressants. Résolument moderne dans son approche de la chose littéraire, l'auteur souligne que son ouvrage, comme de tous ceux des écrivains qui l'ont précédée, ne propose pas une image définitive de "la réalité" mais recrée ainsi le monde et les événements qu'elle a vécus au fil de sa mémoire vagabonde. L'Afrique est "une entité qui prend naissance dans les espoirs et les rêveries des hommes". "Il y a donc de nombreuses Afrique. Il y a autant d'Afrique qu'il y a de livres sur l'Afrique. Quand on écrit un nouveau livre à ce sujet, on a la satisfaction de savoir que l'image que l'on va en donner sera inédite, qu'elle se démarquera de toutes les autres, mais qu'elle se heurtera sans doute au refus hautain de tous ceux qui croient en une Afrique différente". Cette approche non doctrinaire de la perception du monde et de la manière subjective dont chacun en parle, contraste avec les certitudes de l'idéologie coloniale. L'Afrique que nous raconte Beryl Markham se situe résolument en marge des clichés ressassés par la majorité de ses contemporains. Contrairement aux expatriés souffrant du mal du pays et rêvant de quitter "l'enfer des colonies ", elle ne considère pas l'endroit où elle vit comme un monde étranger, sous-développé et plein de dangers. Elle se plaît où elle est et considère l'endroit où elle a grandi, comme "son pays". La ferme familiale, les gens qui y travaillent et les vastes étendues de brousse qui l'entourent lui fournissent tous les repères nécessaires à la compréhension du monde.   "J'avais quatre ans quand j'ai quitté l'Angleterre", dit-elle à son ami Otieno, "Peut-être que c'était le pays de lait et de miel, mais je ne me le rappelle pas ainsi. Je ne connais pas d'autres pays que celui où je vis, ces collines, familières comme un souhait de toujours, ce veldt, cette forêt". Cet attachement au Kenya explique son désir de rester sur place lorsque la faillite contraint son père à vendre sa ferme et à quitter le pays, comme sa voisine Karen Blixen un peu plus tard. Beryl a à peine dix-huit ans, une passion dévorante pour les chevaux de course et la certitude qu'elle en sait assez sur le sujet pour entraîner des pur-sangs et les mener à la victoire sur les hippodromes. Dès lors, le cœur gros mais confiante en l'avenir, elle quitte le domaine paternel avec son cheval Pégase et deux sacoches de selle. "Jamais je n'ai possédé si peu de chose et je ne suis pas sûre qu'il m'en ait jamais fallu davantage". Au sortir de l'adolescence, l'idée de thésauriser lui est étrangère et elle le demeurera toute sa vie. Cigale sans attirance pour la vie besogneuse des fourmis, elle se laisse porter par ses projets, son goût de l'aventure, ses engouements et ses désirs de réussite. À dix-huit ans, lorsqu'elle quitte son père, ce qui compte avant tout pour elle, c'est d'obtenir une licence professionnelle d'entraîneur du très chic Jockey Club de Nairobi, de devenir une femme entraîneur, et de courir de victoire en victoire avec les chevaux confiés. Projet utopique, car les propriétaires de pur-sangs ne voyaient d'un très bon œil une jeune femme ayant la prétention de s'immiscer dans leur chasse gardée. "Denys Finch Hatton avait une passion, si l'on peut qualifier de passion le besoin fanatique de sécurité et de solitude. Ce besoin s'apparentait au mal du pays, ou à l'instinct du pigeon, qui le pousse à revenir vers son nid. Tout ce qu'au plus intime de son être il exigeait de la vie, était de rentrer chez lui et de s'y enfermer, certain que personne ne le suivrait ou ne viendrait le déranger". Mais à force de détermination, de persistance, de séduction et de travail, Beryl Markham finit par imposer sa présence sur les champs de course avec plusieurs victoires. Son engouement pour l'aviation, dans les années trente, mit fin à ses activités hippiques. Ce n'est que bien des années plus tard, lorsque Beryl Markham rentra au Kenya après un long séjour aux États Unis, dix ans après la publication de son autobiographie, qu'elle renoua avec la passion des chevaux de sa jeunesse et reprit son activité d'entraîneuse pour devenir l'un des entraîneurs les plus couronnés de Nairobi. Sa rencontre fortuite avec Tom Black sur un chemin de campagne au milieu de nulle part fut alors à l'origine de son intérêt pour les aéroplanes. Le jeune homme réparait sa voiture qui venait de tomber en panne et Beryl qui passait par là avec Pégase s'était arrêtée. Elle discutait de choses et d'autres avec le jeune homme alors qu'il s'activait, les mains pleines de cambouis. Ils parlaient d'automobiles et de progrès techniques, mais ce qui passionnait Tom par dessus tout, c'était les aéroplanes. Il en avait piloté un pendant la première guerre, ça lui avait beaucoup plu et il n'attendait que le moment de trouver l'argent nécessaire pour acheter son propre appareil. "Quand vous volez, vous avez l'impression de posséder le monde, plus que si vous étiez propriétaire de toute l'Afrique. Vous sentez que tout ce que voyez vous appartient. Tout est là, et tout est à vous. Vous vous sentez plus grand que vous n'êtes et plus proche d'un idéal que vous pensiez vaguement être capable d'atteindre mais que vous n'aviez jamais eu le courage d'envisager sérieusement". Sa passion était communicative et il ne fallut pas longtemps pour que Beryl ne se décidât à apprendre à piloter. "Tom commença mon apprentissage sur un D.H. Gipsy Moth. Son hélice pulvérisait le silence de l'aube sur les plaines de l'Athi. Nous nous balancions au-dessus des collines, au-dessus de la ville, puis nous revenions, et je compris comment un homme peut être maître d'un avion, et comment un avion peut être maître d'un élément. Je vis l'alchimie de la perspective réduire le monde que je connaissais, et tout le reste de ma vie, aux dimensions de grains de blé dans une tasse. J'appris à partir à l'aventure. J'appris ce que tout enfant imaginatif et intrépide, a besoin de savoir, qu'il n'existe pas d'horizon si lointain qu'on ne puisse survoler et dépasser. La vraie liberté consiste à voler pour quitter la terre".   "Bien des gens penseront qu'il est insensé d'attendre un signe du Destin. Pour en arriver là, à vrai dire, il faut un état d'esprit que tout le monde, heureusement, ne connaît pas. Mais à ceux qui l'ont connu et qui demandent un signe, la réponse ne peut manquer, elle est une conséquence de la demande". Obtenir son brevet de pilote ne fut qu'une formalité et une année et demi après avoir commencé à voler, elle passa son brevet B, c'est-à-dire, "la Grande Charte d'un pilote" qui lui permet de devenir professionnel. Elle avait environ mille heures de vol à son actif et décida de se mettre à son compte, "transportant du courrier, des passagers, des provisions pour les safaris, ou toute autre cargaison". Parallèlement, Tom consacrait toute son énergie à l'expansion de la Wilson Airways dont il était le directeur et le pilote principal. "Il œuvrait avec acharnement comme ambassadeur du progrès à l'intérieur du pays, et souvent, nous quittions l'aéroport de Nairobi juste après l'aube, Tom en route pour l'Abyssinie et moi pour le Soudan anglo-égyptien, le Tanganyika, la Rhodésie du Nord, ou n'importe quelle autre destination où m'appelait un contrat". Bien que passionnée par son métier, le transport très routinier de passagers et de matériel finit par perdre son piquant, d'autant que Tom à qui l'on avait offert un nouvel emploi était parti pour l'Angleterre en laissant un grand vide derrière lui. Mais, n'ayant rien perdu de son dynamisme, elle releva le défi de Denys Finch-Hutton, et plus tard du Baron Bror von Blixen-Finecke qui organisaient des safaris pour les milliardaires de l'époque. Leur idée était de repérer alors les éléphants à l'aide d'un avion et d'indiquer la position du gibier aux chasseurs progressant à travers la brousse. "L'émerveillement de mes premières heures de pilote néophyte s'était émoussé et repérer les éléphants permettait non seulement de sortir de la routine, mais c'était aussi un travail très lucratif". "Ce n'est ni brutal, ni héroïque, c'est tout juste une de ces entreprises ridicules dans lesquelles les hommes aiment se lancer". Exubérante et pragmatique, elle n'est pas femme à s'inquiéter des contradictions qui émaillent son comportement et ses propos. C'est donc sans remords et en toute connaissance de cause qu'elle s'accoquine avec Denys Finch-Hutton puis avec le célèbre Baron Blix dont elle apprécie le charme et admire la détermination, le sang-froid et la capacité de sortir indemne des situations les plus périlleuses. Sa seule faiblesse, selon elle, est d'avoir été trop modeste dans sa manière d'évoquer ses exploits. "Il fait de toutes les montagnes qu'il a escaladées des taupinières, et relate comme de minces incidents des histoires vraies qu'un homme moins modeste aurait transformées en épopée".   "L'homme est effrayé, au fond, par l'idée du temps. Il ne trouve pas son équilibre par suite de son déplacement incessant entre le passé et le futur. Quand le souffle passait en sifflant au-dessus de ma tête, c'était le vent dans les grands arbres de la forêt, et non la pluie. Quand il rasait le sol, c'était le vent dans les buissons et les hautes herbes, mais ce n'était pas la pluie". La même remarque conviendrait aussi bien à la vie de Beryl Merkham dont les prouesses comptent un nombre incalculable de vols de nuit et d'atterrissages très périlleux, plusieurs vols du Kenya en Angleterre, et la traversée en solitaire de l'Atlantique. Autant de performances qui sont présentées comme des exercices somme toute assez ordinaires. Cette modestie qui contraste avec la vivacité de l'auteur n'a rien d'artificiel et elle n'empêche d'imaginer les obstacles que cette femme d'exception a dû surmonter tout au long de sa vie. Il n'était pas possible de défier l'ordre social des années 1920 et 30, de s'arroger des droits qu'on refusait aux femmes à l'époque et de se faire une place au sein d'un univers masculin bien gardé sans être la proie de féroces critiques. "Les êtres qui rêvent pendant leur sommeil éprouvent une satisfaction particulière et profonde, inconnue du monde diurne, une forme d'extase assez passive, une légèreté du cœur semblable à celle procurée par du miel sur la langue. Le véritable ravissement du rêve réside dans le sentiment de liberté sans bornes qu'il apporte avec lui. Ce n'est point la liberté du tyran qui impose son bon vouloir au monde, mais celle de l'artiste libéré de la volonté. Ce n'est pas le sujet du rêve qui donne ce bonheur distinct, mais le fait que, dans le rêve, tout se passe sans le moindre effort, sans hâte ni rupture. Ainsi, celui qui rêve sent la liberté qui l'entoure et l'habite comme une lumière et un air des sommets, un bonheur surnaturel. Le rêveur est l'élu, une personne comblée qui n'a pas à intervenir dans ce qui arrive, tout lui apporte richesse et plaisir. Il prend part à une grande bataille, une battue ou un bal, et, au milieu de cela, se demande pourquoi il reçoit tant de faveurs en restant toujours allongé. Quand vous commencez à perdre ce sentiment de liberté, quand la nécessité fait irruption dans le monde du rêve, quand pointe une exigence de hâte et d'effort, que ce soit une lettre à écrire ou un train à prendre, quand il faut se donner de la peine pour faire galoper les destriers du rêve ou éviter qu'ils ne fassent long feu, alors vos rêves sont sur le point de s'achever et de se muer en cauchemar, une forme de rêve vulgaire et mauvaise". Aucun palais n'aurait pu retenir celle dont la vie était traversée par une violence silencieuse qui la poussait à tout détruire sur son passage. Beryl Markham est à jamais l'enfant d'un monde premier dont elle a vécu les derniers instants. Ayant survécu à la cruauté d'une mère qui pouvait vivre sans elle, elle finit par intégrer l'idée, que quelle que soit l'intensité de la douleur infligée, aussi irréparable que soit la perte, l'homme doit faire face et de tout supporter. De quoi créer un égocentrisme farouche. Ce qu'elle fit.   Bibliographie et références:    - Beryl Markham, "West with the night" - Karen Blixen, "Afrique, terre de liberté" - Katell Faria, "Les aventurières du ciel" - Errol Trzebinski, "The lives of Beryl Markham" - Sara Wheeler, "The Life of Denys Finch Hatton" - Judith Thurman, "Karen Blixen" - Nathalie Skowronek, "Karen et moi" - Dominique de Saint Pern, "Baronne Blixen" - Paula McLain, "Beryl Markham" - Sally Shuttleworth, "Fly with Beryl Markham" - Ulf Aschan, "The man whom women loved"   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
347 vues 7 aime
Par : le 22/09/23
préambule: Ce texte est la traduction / réécriture partielle d'un texte que j'ai écrit en anglais (sur fetlife).   Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. La limite est fine. Premier texte / premier élément : un canapé confortable A genoux et sur tes mains, esclave ! Je sais que tu n'as pas été dressée, mais est-ce que c'est si compliqué pour toi de comprendre que ta place est à genoux ? À partir d'aujourd'hui et, pour chaque nouvelle session de dressage, tu entreras dans notre pièce spéciale, à genoux. Impatiente de poursuivre ta formation d'esclave, dans le but utime de mieux servir ton Maître. Est-ce que c'est compris ? Oui, Maître Good girl (flemme de traduire :D (mais pas de commenter, ce qui est sans doute plus chronophage, bonne remarque)) Je suis assis sur le canapé et je trouve que, pour l'instant, la pièce est vide. Mais nous allons en faire notre endroit. Mon esclave est complètement nue à l'exception d'un collier et d'une laisse qui traîne derrière elle. Viens ici, salope ! Commençons ton entraînement en te faisant comprendre que tu es une chienne faite pour obéir à tous les ordres que je voudrai bien lui donner, ni plus ni moins. La réflexion, c'est pas pour toi. Tu te contentes d'obéir et de répondre oui Maître. Compris, salope ? oui Maître Tourne-toi ! oui Maître Laisse-moi vérifier quelque chose. Oh wow tu es une vraie salope. Complètement mouillée alors que rien n'a commencé. oui Maître. Je suis impatiente de vous servir du mieux que je peux. Ok, c'est vrai. Tu as probablement ce qu'il faut pour être dressée et faire une esclave acceptable. Viens ici comme le putain d'animal que tu es. En marchant à 4 pattes et en regardant le sol. Je veux te voir te frotter à ma jambe jusqu'à ce que tu exploses comme la chienne que tu es. Oui, Maître. Merci beaucoup, Maître de m'autoriser à exploser. Ne me regarde pas. Baisse les yeux, sale pute ! Je peux déjà t'entendre gémir après quoi ? Quelques dizaines de secondes. Sérieusement, tu vas vraiment exploser dans la minute ? Arrête ! Je sais que tu es un putain d'animal, mais quand même, respecte-toi un peu. Oui, Maître. Mais c'est toi qui me transforme en une énorme salope, tu le sais. Je ne le reconnaîtrais jamais à voix haute. mais c'est vraiment très agréable de voir ce regard suppliant dans tes yeux. C'est aussi très agréable de cracher dans cette bouche ouverte, prête à avaler tout ce qui se présentera à elle. Je vais te laisser exploser mais, d'abord, regarde-moi dans les yeux et ouvre ta bouche. Supplie-moi et je te laisserai le faire. Dans la seconde qui suit ... s'il vous plaît, Maître. Ayez la gentillesse de me laisser exploser en frottant mon sexe contre votre jambe, contre votre pied. Je n'ai même pas réalisé que tu avais pris mes doigts dans ta bouche et que tu te remets à les lécher après avoir supplié. ok, tu as 30 secondes. Si tu peux exploser, c'est parfait. Sinon, tu auras perdu ta chance pour aujourd'hui et sûrement les jours à venir. Je retire mes doigts, j'attrape tes cheveux et je les tire pour que ton visage regarde vers le bas. Je sens ton sexe trempé se déplacer contre ma jambe. Tu ouvres encore plus les genoux pour que je puisse placer mon pied droit entre eux. Il te faut 10 secondes pour commencer à gémir très fort. Encore 10 secondes et tout ton corps commence à se contracter et tu commences à exploser bruyamment. Tu as effectivement tout pour devenir mon esclave. Il y a du travail. On va travailler sur la frustration. Pas question que tu deviennes un animal. On va travailler sur la frustration, la retenue pour que tu deviennes une vraie esclave mais je n'ai aucun doute que l'aménagement de cette pièce spéciale et le dressage en parallèle va être une source de plaisirs multiples.
1.3000 vues 16 aime
Par : le 17/09/23
Son visage était l'écueil de la beauté ou son affirmation la plus éclatante. Elle était comme une panthère humaine que la panthère animale éclipsait. Et la bête cruelle ne cessait de la déchiqueter et ne se contentait jamais de triomphe. Souple et puissante, elle ne manquait jamais de générosité dans le dressage de sa proie. De coups de fouet rapides comme l'éclair. La jeune femme ne pensait déjà plus à ce que son amante venait de lui vriller dans l'esprit, à son insu. Il est vrai que cette dernière avait parfois des pratiques de prestidigatrice, de voleuse d'attention. Mais de son chapeau, elle ne faisait surgir le plus souvent qu'un avenir souillé de souffrances furieuses. Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se dégorgea. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra.   Le secret de l'éclat de son visage était le masque de beauté que les hommes lui prodiguaient quotidiennement de leur semence. De fait, elle eut l'envie, qu'elle crut naturelle, d'apaiser elle-même ses désirs toujours vivaces. Elle résolut alors d'avoir raison de son incomplétude. Elle était prise. Le visage dégoulinant de sperme, elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Charlotte se sentit fondre et son ventre se liquéfia.    Elle ne savait plus où étaient sa bouche, ses reins, ni ses mains. Elle avait les lèvres brûlantes et la bouche sèche et une afliction de crainte et de désir lui serrait la gorge. Brusquement, la jeune femme saisit toute la réalité de son naturel désespéré, ce vieux fonds qu'elle s'était toujours ingénié à combattre, et les effets calamiteux de ce mensonge entretenu sur ceux qu'elle aimait. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Juliette prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement. Elle était la plus heureuse des femmes. Son sourire de bonheur envahissait son visage.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
457 vues 13 aime
Par : le 07/09/23
Assurément, j'aurais pu me faire entretenir, et l'occasion ne m'avait pas manqué. J'avais accepté une ou deux amantes, moins parce qu'elles me plaisaient, elles ne me déplaisaient pas, que pour me prouver que j'étais capable d'inspirer le désir et l'amour. La seconde m'avait fait cadeau d'une ceinture de chasteté exactement à ma taille et son créateur, dans un souci bien compréhensible d'efficacité, avait ménagé deux orifices qui pouvaient laisser pénétrer des objets cylindriques de moindre taille. Le soir, j'attendis Juliette impatiemment en devinant le programme qu'elle avait imaginé pour fêter le bel objet fantasmatique. Elle me proposa de m'emmener finir la soirée dans un club échangiste. Je fus ravie de cette proposition. Je brûlais d'impatience de m'exhiber devant les habitués de ce lieu, avec la fierté de n'appartenir qu'à celle que je suivais fidèlement. Je portais des bas noirs, la ceinture de chasteté et une veste en soie également noire dont l'amplitude laissait entrevoir mon intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent et serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse donnait à ma tenue le plus bel effet. J'étais fière, je me sentais élue et fêtée, d'autant plus que ma Maîtresse m'avait préparée à vivre des évènements importants au cours de ce week-end. J'étais terriblement excitée de me retrouver face à un couple de dominateurs chevronnés, qui partiquait les rites du sadomasochisme depuis plus d'années que j'en avais moi-même vécu. Une fois encore, ma principale crainte était de ne pas avoir la force et la volonté de me montrer à la hauteur des épreuves sur lesquelles on allait me juger, et, travers moi, ma Maîtresse. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte; il lui semblait sacrilège que sa maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand les lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage; elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser le membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu la quitta d'un brusque arrachement et lui aussi cria. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le dos sur un lit, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Charlotte darda alors sa langue et lapa avec avidité le ventre détrempé de sa Maîtresse.    On lui fit prendre des poses provocantes pour attiser le désir des inconnus. Elle en rajoutait jusqu'à devenir franchement obscène. Au moment où les moins timides commençaient à s'approcher d'elle, avec la compréhensible intention de profiter directement du spectacle qu'elle offrait, Juliette la fit mettre à quatre pattes et retira de la centure de chasteté le long olisbos d'ébène qu'elle avait placé au début de la soirée. Les traces de son excitation y étaient visibles et Juliette lui ordonna de les faire disparaître avec sa langue. Elle savait qu'elle allait être prise par l'arrière et contrainte par la bouche simultanément. Qu'importait dès lors que sa Maîtresse se se servît de sa bouche ou de ses reins comme celle d'une putain ? Ses cuisses musclées s'écartèrent sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Charlotte ne sentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne, son corps partait à la dérive. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir.Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. Elle fut mise à nue et attachée sur la croix de Saint André. Elle reconnut immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put connaître le visage des autres invités de cette soirée mémorable. Elle découvrit ainsi que Laurence était une superbe jeune femme brune aux yeux clairs, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Charlotte fut mise à nouveau dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Le parcours serait long. Pour son plus grand bonheur, elle n'était pas encore arrivée au bout.   La jeune femme luttait contre la tentation de prêter à ces choses si visibles des pensées et des sentiments humains. Mais accepter n'était pas un mot facile à accepter. Il ouvrait la porte à toutes les capitulations. Avec sa poitrine découverte, son collier métallique et ses bracelets de recluse, il suffisait aux hommes qu'elle servait d'exiger qu'elle se tînt auprès d'eux pour vouloir la sodomiser. Ce fut pourquoi on la maltraita davantage. Les yeux de nouveau bandés, nue, droite et fière, parée pour la circonstance d'un seul harnais et d'un bustier en cuir et d'une cagoule qui emprisonnait sa nuque, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche qui, ainsi pourrait être disponble si quelqu'un voulait l'utiliser. Ce fut sa Maîtresse qui la conduisit. Elle était alors en position, jambes docilement écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche déjà ouverte, prête à être investie selon le bon vouloir de sa Maîtresse. Pendant que l'on usait de ses orifices ouverts, Xavier exhibait devant elle son sexe congestionné qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais Xavier, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Un homme dont elle ne put apercevoir le visage s'adressa à elle en la traitant de "sac à foutre". Elle apprit plus tard qu'elle était là pour servir de réceptacle à la semence des hommes, qu'elle devait les recevoir par tous les orifices de la nature, sans jamais protester ni même trahir un quelconque sentiment. C'était une femme ravalée au rang d'objet, muet et servile. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Laurence dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne facile et docile. Le dîner fut annoncé à son grand soulagement, enfin le pensait-elle.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
496 vues 12 aime
Par : le 17/08/23
Le départ Cela ne pouvait pas durer. Je comprenais que je n'avais pas vraiment ma place chez mon maître, que j'y subissais davantage une initiation, un dressage qu'une intégration. Mais pourquoi ? Bien entendu, je ne posais pas de questions. Tout était fait pour m'éprouver. Longues séances attaché dans le jardin. Argent laissé en évidence. Ordinateur du maître allumé dans le salon. Médicastre toujours aussi brusque. Cela ne me perturbait pas mais je sentais bien que j'étais particulièrement étudié, analysé, scruté. Et un matin, le maître vint m'annoncer mon départ immédiat. "Mets ce pantalon, je t'amène chez ton nouveau maître." Et il chargea mes valises que je n'avais jamais rouvertes. C'était l'hiver et c'était la première fois que je quittais son logis. J'ignorais que je n'y reviendrais pas. Il neigeait quand nous traversâmes un village et arrivâmes à une allée menant à une maison isolée, ce qui n'empêcha pas mon maître de m'intimer de me déshabiller pour sortir du véhicule. C'est donc nu, en espadrilles, que je marchai dans la neige en portant les valises et attendis qu'un senior plus âgé ouvre la porte, il fit une accolade à mon maître mais ne me regarda même pas. Je rentrai après eux, posai les valises et attendis dans le couloir, la porte du salon ayant été fermée. Alors que je tentais toujours de me réchauffer, mon maître passa avec le nouveau qui le raccompagna en laissant la porte d'entrée ouverte. J'entendis la voiture partir. Je remarquai alors que le senior entendait mal malgré des appareils auditifs. Il se servit de sa canne pour que j'avance vers une petite pièce à droite où je découvris un lit d'internat, métallique. Quand il me tapota les fesses, je compris qu'il voulait que j'y grimpe à quatre pattes. Dans un tiroir, il prit des sangles pour lier mes poignets à l'avant du lit et les chevilles à l'arrière de façon à bien m'écarter. Et il commença à frapper avec sa canne mais comme il se fatiguait vite, il utilisa un martinet et retrouva rapidement de la vigueur. Il étala ensuite un torchon sur le lit et m'enfonça un plug dont les vibrations se multipliaient dans mon séant encore frigorifié. Il prit ensuite un étui en silicone, saisit mon sexe pour l'entourer. Je commençais déjà à jouir. Il me laissa ainsi...   Nouvelle vie Quand il me libéra, je lui en fus reconnaissant tant j'étais exténué mais ne dis rien comme à mon habitude. Il ouvrit une porte sur le côté et me montra une grande chambre décorée à l'ancienne. Il agita une clochette que j'allais souvent entendre pour me mettre à sa disposition, me montra une armoire avec ses habits et des draps puis une salle de bains avec un lave-linge, un WC, une grande douche, une vasque, et sur des étagères les serviettes et des protections urinaires. De retour dans la petite chambre, il ouvrit un placard avec uniquement des pantalons de jogging et des polos. Je posai les valises en bas. Il me montra le lavabo et la douche qui m'étaient destinés dans un recoin. Les autres pièces étaient le salon, avec un ordinateur déjà ancien, la cuisine au frigo rempli de plats pour les vieux et une arrière-cuisine avec les produits et le matériel d'entretien. Puis il me fit signe de me décrasser sous la douche en m'observant comme un animal de zoo. Je m'habillai évidemment d'un polo et d'un jogging. Nous mangeâmes des plats réchauffés au micro-onde qu'un traiteur apportait trois fois par semaine, complétés par une livraison mensuelle pour les autres produits. Ma fatigue était encore évidente lorsque j'entendis sonner à la porte. Mon maître se leva péniblement et revint avec un grand gaillard qui me toisa, s'assit et m'appela du geste. Il me saisit pour m'allonger sur ses genoux et commença à me fesser d'une manière que je qualifie de professionnelle, sans trop de brutalité, avec une régularité et une force qui devinrent insoutenables, m'obligeant à bouger les pieds et à me débattre. Il me releva et je restai avec le pantalon baissé comprenant qu'il s'agissait d'un avertissement. il m'amena ensuite dans un coin où je me retrouvai à genoux les mains sur la tête.   Première nuit   Quand le géant partit, j'entendis la clochette, remontai mon pantalon et suivis le maître. Il se déhabilla, et quand je lui retirai les chaussettes je devinai une protection dans son slip. En pyjama, il se rendit dans la salle de bain. Quand il revint, je l'aidai à se coucher avant qu'il me fasse signe de partir. Je me suis écroulé sur le lit qui de toute façon n'avait pas encore de draps. Mon maître a certainement insisté avec la clochette au milieu de la nuit pour que je vienne l'aider à se lever. Les draps n'avaient rien, je savais que ce ne serait pas toujours ainsi. La clochette me servit encore de réveil. Je le suivis pour l'aider à se doucher puis à s'habiller. Quand il fut prêt, il me raccompagna dans ma chambre où il me regarda uriner, reprit les sangles et recommença l'installation des appareils vibratoires. Je restai encore longtemps ainsi harnaché et travaillé en tortillant du cul. Enfin il me libéra, m'indiqua de me laver et je pus déjeuner. Le cérémonial s'est répété chaque jour avec cette autre manie : quand j'ai commencé les tâches ménagères, il a abaissé mon pantalon avec sa canne et je le retire donc chaque jour à ce moment laissant le vieux lubrique me tripoter et m'asticoter pendant que je nettoie les lieux. Il en profite aussi dès que je me penche ou me baisse, ou met sa main sur ma bouche en me presssant le pénis. Si un livreur ou autre sonne, je retourne dans ma piaule.   Les jeux L'après-midi, trois habitués venaient jouer aux dés ce qui me laissait un peu quartier libre. J'entendais les exclamations montrant leur emprise à ce jeu jusqu'au cri final. C'était alors à mon tour de participer. Le gagnant choisissait un accessoire dans un placard : jupe, short, chasuble, menottes, sifflet, dossier... et commençait dans le thème choisi avec un grand sens de l'humour que je n'appréciais pas toujours. Plus le prof me donnait d'ordres contradictoires, plus il m'engueulait. La confession de l'enfant de chœur était de plus en plus orientée et intrusive. Je devais mimer les scènes demandées par le juge, pas simple avec les menottes et le pantalon baissé. Impossible de suivre le rythme exigé par l'entraîneur. Le mari tyrannique me ridiculisait. Le vigile recommençait sa fouille de manière de plus en plus approfondie car il avait un doute. Le directeur était de plus en plus directif et me faisait du chantage à l'emploi. Ils ne manquaient vraiment pas d'imagination sauf pour la punition finale et l'enculade pas seulement par le gagnant. Tant pour le jeu que pour la phase finale, ils faisaient durer leur plaisir. Certains après-midis, chacun tirait au sort un gage que je devais exécuter et le résultat final était le même. Mais si le géant passait dire bonjour, ils adoraient le voir officier. Quand ils me rasaient, ils me décoraient avec des tags et graffitis sur toutes les parties de mon corps que j'avais des difficultés à effacer en frottant. Je fus un jour attaché écartelé sur la table du salon à subir toutes leurs envies, notamment la cire chaude.   Jeannot Le médecin décida que mon maître devait faire un séjour en maladies respiratoires à l'hôpital. Quand il partit en ambulance, Jeannot, le plus volubile des joueurs de l'après-midi vint fermer les portes et volets et m'emmena dans sa 4L. Il habitait une ancienne ferme peu entretenue. Son vieux tracteur lui servait encore pour l'affouage dans les bois de la commune. Quelques poules pour les œufs, un chien qui était pratiquement toujours dans la cour. Pas d'appareils récents, pas de télévision, et pourtant un écran, pour l'interphone pensai-je. Il me montra qu'il pouvait visionner toutes les pièces de la maison de mon maître, Pierrot et Paulo, ses comparses de jeu, le pouvaient aussi. Cet ancien cultivateur, avait gardé l'habitude de se lever tôt et était resté très actif. Après le repas qu'il préparait avec des produits de son jardin ou du marché, pendant que je lavais la vaisselle, il me lisait les titres du journal local et les commentait. Il écoutait aussi aussi la radio pour les actualités. Les après-midis, il m'embauchait dans son jardin surtout pour du désherbage. Au retour, il me décrassait dans la baignoire en n'oubliant pas de vérifier le fonctionnement des génitoires. Les soirées étaient calmes, assis derrière la maison. Puis je dormais sur le divan avec le chien près de moi. Le dimanche matin, il m'emmena à la pêche dans un coin dont il avait le secret donc difficilement accessible. Il s'installa sur son siège pliant, cala ses cannes à pêche et attendit en m'observant frissonner. J'aimais observer la rivière avec les brumes et les oiseaux furtifs. Quand il n'y tint plus, il m'entraîna dans les fourrés humides pour son envie matinale. J'en ressortis avec des égratignures et le pantalon trempé que je tins devant moi pour tenter de le faire sécher alors que la brise fouettait mes jambes et mes fesses. Heureusement qu'il avait apporté un casse-croûte et du café. Le lundi, il alla aux champignons dans une forêt où je n'aurais pas risqué de me perdre. J'imaginais les animaux dont j'entendais les bruits, je chassais les insectes et pataugeais allègrement avec des bottes. Les grognements ne provenaient pas d'un animal quand il me coinça contre un arbre. Le mardi, en allant au marché, il passait prendre le panier de son copain Max qui était en fauteuil roulant. Il m'y laissa et il ne fallut pas longtemps pour que je n'aie plus rien à cacher affalé ou allongé sur une table, ou bien suspendu à une poutre. L'antre de mes fesses fut exploré et je subis des pincements fort désagréables. Le mercredi, il sembla heureux de me faire découvrir sa contrée au cours d'une longue randonnée où il n'arrêtait pas de me peloter les fesses et de me tenir les couilles. Quand on n'était pas trop visibles, il me retirait le pantalon et me fouettait avec une baguette. Le jeudi, je découvris un trans qui prit son temps pour raidir ma verge avec différents artifices afin que je remplisse mon office et son orifice même si ce n'était pas ma tasse de thé. Le vendredi, en allant chez le médecin, il me déposa chez le géant qui après m'avoir souhaité la bienvenue à sa façon, me mit un collier, me fit marcher à quatre pattes dans son jardin, manger dans la gamelle et coucher dans le panier. Un peu plus longtemps et je n'aurais pas pu me retenir d'uriner. Le samedi, il retourna au marché en me déposant au passage chez Max qui voulut que je l'allonge "pour mieux en profiter". Effectivement... Le dimanche était le jour de grand ménage interrompu par les visites de ses comparses qui s'ennuyaient visiblement de ne pas pouvoir disposer de moi.   Retour chez mon maître Deux semaines après, mon maître revint de l'hôpital avec un respirateur, un appareil pour l'aider la nuit, qui rythma mes nuits de concerts de trompette et de klaxon de camion. En effet le masque en caoutchouc laissait rapidement l'air s'échapper sur les côtés. Cet appareil compliquait aussi ses levers d'où des changements de draps. Il reprit exactement le cours des journées : le cérémonial du matin avec ces vibrations intérieures incontrôlables que je savais maintenant observées par ses comparses, le ménage ouvert à ses caprices et les jeux de l'après-midi. Bien sûr, je sentais qu'il n'acceptait pas la dépendance qu'il ressentait de plus en plus même s'il ne s'en plaignait pas. C'est certainement la raison pour laquelle il se montra parfois cruel dans ses propos et même assez violent ; il me dérangeait sans raison. J'en venais à attendre les après-midis alors que ce n'était pas une partie de plaisir, du moins pour moi, ou à m'évader dans des phantasmes. Cela devint évident quand un après-midi il me griffa au point de me faire saigner. Si les autres ne lui firent pas de reproche, je sentis cependant une légère hésitation. Par la suite, le ton était souvent faussement enjoué et je fus insensiblement mis à l'abri de ses accès d'agressivité. Au fil des mois, son état se dégrada. Il demanda à Jeannot de venir me harnacher le matin, tenant à ce que je bénéficie du plug comme on va promener son chien. Il participait encore volontiers à ma mise en spectacle de l'après-midi mais se montrait moins actif. Je retrouvai les moments difficiles que j'avais connus avec mon conjoint sans subir en plus l'immense solitude qui m'avait alors accablé. Toute la préparation avec le précédent maître, l'entraînement quasi commando, m'avait endurci et je supportais un peu mieux les moments de doute me disant que l'intérêt porté à mon maître devait être ancien de la part de l'équipe de Jeannot et que si quelqu'un avait été jugé plus apte à remplir mon rôle, ils n'auraient pas hésité à me remplacer.   L'année suivante, quand mon maître s'éteignit, Jeannot m'aménagea une place dans sa ferme. Depuis j'y vis de nombreuses expériences prenantes et souvent inattendues comme il en a le secret.
314 vues 2 aime
Par : le 30/07/23
Il y avait un sujet d'étonnement plus réel dans la personne de la jeune fille. Il fallut très tôt cacher ses succès. Au début, on pouvait parler en riant des premiers prix de grec, des parties de tennis enlevées en quelques jeux, du piano dont elle jouait mieux que Saint-Saëns. Puis on dut modérer ces transports et même s'inquiéter, tant il devint évident qu'il ne s'agissait pas seulement d'une adolescente bien douée. À vingt ans, Charlotte était une jeune fille frêle, d'une vitalité extrême, avec un regard pétillant et une bouche remuante sous des cheveux bruns coiffés à la garçonne. Les femmes disaient qu'elle n'était pas jolie, parce qu'elle ne sourait jamais. Mais sa froideur attirait. Elle ouvrait la bouche et le silence régnait. Des yeux noirs brillants comme des cassis mouillés, un air de malice en accord avec son comportement fantasque, on sentait sous la désinvolture de sa jeunesse le nerf tenace des résolutions. En révolte contre les siens, mais sans aller jusqu'à casser de la vaisselle, elle transgressait les tabous de son milieu autant qu'il était convenable de le faire et même souhaitable pour prouver un fier tempérament. Elle s'amusait avec pas mal d'espièglerie d'un statut qui ne lui valait rien, sauf des égards et la faveur des snobs dont elle se fichait également. C'était romanesque d'être son chevalier servant. La domination mêlée à l'amour créait une atmosphère stendhalienne qui me plaisait. Nous nous étions connus en khâgne au lycée Louis-le-Grand, me dit-elle. Je la regarde. Elle n'a pas dû beaucoup changer: elle a à présent vingt-trois ans, elle vient de réussir l'agrégation, sans doute enseignera-t-elle l'année prochaine. Mais elle a gardé un air très juvénile, ce n'est sans doute pas un hasard, elle perpétue son adolescence, les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et une peau mate: Juliette a beaucoup de charme. Elle parait épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement des veines sur les tempes, mais ce pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Nous habitions Rouen, à l'époque. Sa cathédrale, ses cent clochers, Flaubert, et le ciel de Normandie. Même quand il fait beau, sauf pour Monet, quelque chose de gris traîne toujours dans l'air, tel des draps humides et froissés, au matin. Un charme bourgeois. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui. Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi comme la veille, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude, et que je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable; il pleuvait pour changer, mes cheveux étaient mouillés; il les a ébouriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il m'a attirée à lui, et je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, j'avais les jambes qui flageolaient, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais un peu froid; quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé, plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais un peu. C'était la première fois. Charlotte avait trop souffert en secret pour ne pas accepter cet outrage en respirant très fort.     Elle avait découvert tristement qu'un homme peut remplacer un idéal. Il remplace tout. Les autres femmes ne mettent pas tant de religion dans leur amour. Mais, à défaut d'une union spirituelle, un breuvage physique les retient. Un corps les nourrit de sa substance blanche. Pour Charlotte, le corps de l'homme avait un rôle différent. Dans ses bras, elle pensait d'abord qu'il était là, certainement là, et que pour une heure ou deux il n'allait pas disparaître, tomber dans le désespoir. Enfin, il était solide, comme la vérité, les tables, les chaises et non cet être mobile, douloureux qu'elle connaissait. Elle voulait bien que son amant fût une idée ou un objet, pas un vivant, elle savait qu'on doit atttendre le pire, surtout au début. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à connaître et à aimer, mais là encore, il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide. Il y avait une seule lampe au plafond et il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était inacceptable pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête. Sanglotante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip poisseux, souillé par son sperme. Je m'abandonnais à cette suave torture. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie que je devrais porter et ne pas porter surtout. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage en précisant que le manche devait être métallique. J'allais franchir un nouvel échelon. "- Qu'est-ce que tu es ?", m'a-t-il demandé . "- Je ne suis rien. - Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave. - Je suis ton esclave, oui". Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte, je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée, au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Je consommais trop d'enthousiasme dans le désir.   Je l'avais longtemps supplié de m'aimer. Je l'avais laissé faire: ces mots abominables justifiaient ma punition. À présent, je tenais à lui, solidement, par tous les liens de l'habitude, de l'instinct et du dégoût de moi-même. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'il dit. J'étais devenue ce que je voulais être, un simple objet au bon plaisir de son Maître. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Ainsi, je ne m'appartenais déjà plus. Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six fois sur les seins en me meurtrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins. Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, en se donnant à part entière. C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites inattendus, l'abnégation de soi.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
634 vues 13 aime
Par : le 29/07/23
Lina numéro 1 Enfant j'ai eu un chien qui s'appelait Lina, une chienne, une jolie petite caniche naine et noire. Bien plus tard, je suis à la plage avec une nouvelle chienne que j'ai décidé d'appeler aussi Lina. Cela m'aide à la considérer comme une canidée. En effet la plage est interdite aux chiens, pourtant Lina est là, à côté de mon siège couchée sur le côté en rond, comme je lui ai appris et comme je lui ai demandé de le faire sur la plage, lorsqu'il y a du monde elle peut s'étendre sur le ventre ou le dos. C'est le matin à Cannes sur les plages du midi, l'eau est claire et calme, il n'y a pas de vagues, il fait chaud. J'ai mis Lina à l'ombre d'un parasol qu'elle m'a aidé à apporter de la voiture. Elle installe: parasols, serviettes, mon siège, mon sac, les vêtements que je viens d'enlever pour piquer une tête. Quand elle a fini elle m'attend au soleil en position "kneel" assise à genoux sur le sable, mais les paumes de mains sur les genoux. Elle me surveille et garde les affaires. Si je ne lui fais pas signe de me rejoindre dans l'eau, ce qu'elle adore, elle attend que je revienne. Je lui susurre en prenant place dans mon fauteuil : "à ta place" accompagné d'un regard discret qui lui montre sa serviette. Il m'arrive de lui dire "ici" pour la mettre à ma droite dans le sable au soleil quand je ne l'a trouve pas assez bronzée. Elle porte un bas de maillot de bain, un string noir en lycra et des petits anneaux aux seins. Un fin ruban de lycra noir autour de son cou. Elle doit le maintenir en place cette année car je souhaite une bande blanche sur son cou à l'emplacement de son collier de chien, elle peut aussi se transformer en: esclave, soumise, servante, mobilier ou vanille et cela sur: demande, geste, regard, claquement de doigt, habitude, rituel ou consignes pérennes. Du doigt je peux lui montrer la surface côté de mes pieds ou tapoter sur ma cuisse pour qu'elle y dépose sa tête. Elle sait que nous sommes en public et que je souhaite d'une manière générale qu'elle ait un comportement vanille. Elle ne porte toute l'année que des robes de plage sans bretelles en tissus extensibles, éventuellement un gilet et dehors un manteau doudoune resserré à la taille. Tous ces gestes de domination envers Lina et demandes sont exécutés dans une discrétion totale. Les voisins nous regardent du coin de l'œil sans manifester d'hostilité. Je m'attache à ce que Lina n'ai que le présent à vivre. Elle n'a de raison de vivre que de veiller à mon bien-être et mes besoins. Elle me suit comme un chien et n'a d'yeux que pour mon moindre besoin, qui ne s'exprime que par ma communication non verbale. Cela demande beaucoup d'observation, en effet assouvir le désir du dominant est simple, il suffit d'ecouter. Elle me regarde très souvent et détourne les yeux quand je la regarde… C'est un confort pour moi immense, c'est le résultats d'un travail de 7 ans non pas de dressage, mais de mise en condition ou de mise en situation. En équitation on ne "dresse" pas un cheval, on le met. C'est l'apanage des grands mammifères, je pense, comme les orques, les dauphins, les chevaux ou les soumis. Lina est si bien "mise", qu'elle force mon amour, j'ai peur de l'aimer. J'en suis à être effrayé qu'elle me quitte. Je l'ai éduquée à coups de fouets, cordes, pinces, poids, anneaux, et autres oiseaux de mauvaise augure… Elle nage, elle court, elle grimpe, elle saute, elle me fait la lecture au lit, je suis légèrement dyslexique, j'en ai fait mon héroïne, c'est ma cam à moi, ma drogue, elle m'enivre… Je me sens faible, alors que je dois être son mentor son maître. J'ai peur qu'elle le ressente et trouve nul de m'obéir, de me servir, de m'observer, de disparaître dans mon ombre, d'avoir mal, d'avoir un mâle pour son bien. Je me ressaisi, la réveille… Elle dort par fractions, comme en voile ou sur un voilier en transatlantique. Elle tient des quarts. Elle dort par petits bouts comme l'impose toute veille. Elle doit rester à mon service humain et sexuel. Son rôle, me veiller. Elle me regarde, m'observe afin de devancer mes souhaits exprimes par mes attitudes ou mes comportements. Quand elle ne devine pas ce que je veux, elle me lèche, me caresse avec ses joues ou son front, elle se love. On est toujours sur la plage. Elle me sent bouger, elle se sort de sa torpeur. Elle m'observe. Je cherche dans mon sac un objet gonflable qui ressemble à un mini ou mico zodiac avec un drapeau qui signale un plongeur aux bateaux à moteur. Ce mini zodiac de 50 centimètres. Permet de transporter un tas d'objet et permet de s'y reposer et de retrouver son souffle après une apnée en profondeur. Ce tout petit bateau permet de tirer une personne lorsqu'elle peut plus nager. Surtout elle nous balise si nous sommes à la limite de la zone de baignade qui va va jusqu'à 300m des côtes ou si nous allons nager dans les calanques de l'Estérel ou ailleurs dans le monde. Lina le trouve pour moi et le gonfle. Elle se retrouve hyper ventilée avec la tête qui tourne, j'adore la voire avec la tête qui tourne, je lui interdis l'alcool. Je veux qu'elle soit toujours en possession de ses moyens pour pouvoir utiliser son safe word qui est "bouillabaise". Je lui fais enfin un signe de se mettre à l'eau et la commence un rituel qui a pris plusieurs étés d'apprentissage. Elle se mouille, plonge dans la vague où s'immerge totalement dans la mer calme. L'eau à la taille elle retire son string et le place comme "chouchou" dans ses cheveux en me regardant. J'aime voir ses anneaux de sein vibrer sous les gestes des ses mains s'affairant près de sa nuque. Une fois sa queue de cheval terminé je souhaite pouvoir observer l'instant d'un flash sa nudité totale, elle doit se projeter la tête dans l'eau vers le large. Si elle le fait en arrière je vois son sexe glabre que je connais par cœur, je vois parfois un de ses sept anneaux de sexe accrocher un rayon de soleil. Elle doit enfin se retourner vers moi de l'eau jusqu'au cou et m'attendre...
340 vues 4 aime
Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
1.4000 vues 4 aime
Par : le 13/07/23
La jeune femme serait entourée de sœurs de soumission. Il était difficile de savoir si elle en serait fière ou non. Il était également convenu qu'un jeune homme serait dressé. Autour d'elle, tout avait l'air étrangement calme et inanimé. Le temps lui-même semblait figé, inerte, exactement comme si cet instant de sa vie s'était tout entier contracté et que rien ne lui succéderait jamais. Un tel déni de réalité avait forcément une explication. Ce rôle que le destin lui attribuait tout à coup s'apparentait à la vérité. Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se degorgea. Epuisée, des gouttes de sueur étaient venus éclater sur ses épaules, mais elle était fière de l'hommage buccal rendu à la chair durcie. Pendant ce temps, le jeune soumis, agenouillé sur le sol, les yeux baissés, se masturbait lentement, obéissant aux ordres qui lui intimaient de ralentir le rythme de sa carence infamante. On lui ordonna de jouir et presque aussitôt, il lébéra un jet de sperme qui éclaboussa les dalles de pierre. Il fut obligé de lécher jusqu'à la dernière goutte. Puis il fut flagellé pour avoir éjaculé aussi abondamment. Elle était résolue, avec plus de rage que d'élan. On lui avait demandé de retirer ses bas et de demeurer muette. Ses jambes effectuaient alors une drôle de rotation, et elle se mit à tourner sur elle-même, les bras écartés à la façon d'un pantin désarticulé, tandis que les mouvements de son corps semblaient complètement déconnectés de sa conscience, les yeux perdus dans le vide, aussi dépourvue de ressources qu'un animal attaqué par le non-être. Pourtant, elle savait qu'elle n'avait pas le droit de se laisser à la peur.   Elle lui avait caressé les cheveux, l'avait embrassée comme autrefois. Son amante lui avait dit: "On appelle ça de l'amour". Alors, elle voulait se racheter par orgueil, pour prouver qu'elle pourrait devenir un jour une parfaite esclave, enviée de tous les Maîtres, sujet d'orgueil de la seule qu'elle vénérait, sa Maîtresse. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Charlotte prit plaisir à exhiber ainsi son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette et de ses invités, en acceptant le supplice pour être digne d'elle. Elle n'était plus à elle, et ce qui d'elle était le moins était certainement cette moitié de corps qui pouvait si bien servir en dehors d'elle. Le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait en la réhaussant dans son statut d'objet sexuel. Que ce désir de soumission ait pu se transformer un jour en une affection mutuelle et exclusive devait relever d'une conjonction astrologique.   La jeune femme savait maintenant que c'était l'histoire d'un amour. Quand on est forte, on ne laisse pas les autres démolir cet amour. Quand on est forte, on ne décide pas de se cacher. Même si cette relation n'était pas non plus tout à fait dénuée d'arrière-pensées, de part et d'autre. Quelque chose d'indéfinissable semblait avoir pris le contrôle de son cerveau et commandait à son corps de jouir de cette humiliation prégnante magnifiée par son obéissance servile. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Juliette prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes. Mais on lui opposa un refus bref et sévère. Une angoisse incontrôlable l'envahit alors.   Son amante était une femme de génie et une personne très séduisante. Elle avait des yeux auxquels on obéissait toujours et elle parlait d'une montagne inconnue, beaucoup de bonté et monstruosité. Pourquoi, à chaque fois qu'elle le constatait, en était-elle, non pas surprise, mais comme persuadée à nouveau, avec à chaque fois aussi fort le même trouble qui l'immobilisait, et qui la livrait davantage ? Qu'importe que des hommes se soient servis de sa bouche comme celle d'une putain, qu'on la malmenât et l'abreuvât de leur plaisir, c'était une forme ultime d'humiliation, et Juliette en était tout à fait consciente, comme elle était consciente d'être dans ces moments-là la complice objective de sa perversion, qui frôlait souvent par sa passivité la complaisance. Charlotte lui paraissait seulement plus pâle, mais encore plus désirable qu'à son habitude, dans ses manières humbles et son air abattu,qui la prédisposaient encore plus favorablement. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement. Charlotte n'était plus l'ingénue libertine de ses débuts, elle avait gagné ses galons d'objet servil. Elle ne pouvait, puisqu'elle l'aimait, qu'aimer tout ce qui venait de Juliette. Sa Maîtresse obtiendrait sa soumission, non malgré elle mais pour l'incomparable plaisir de lui appartenir. Béatrice, à la fin du repas, interrompit ses méditations en lui ordonnant de s'agenouiller pour recevoir quelques coups de fouet avec laquelle elle marqua ses seins de longues estafilades que Charlotte fut longtemps fière d'exhiber. Puis, elle lui pénétra les reins avec un olisbos plus épais, mais très court, qu'elle décida de laisser en place jusqu'à la fin de la soirée, avant de la forcer à s'asseoir sur le tabouret, de lui bander les yeux et de lui lier fermement les mains derrière le dos avec des menottes, en lui ordonnant de cambrer au maximum ses reins, de façon à renfler sa poitrine. Les Maîtres s'approchèrent d'elle, et sous la lourdeur des regards,se déversèrent tous sur son visage, ou sur ses seins nus offerts. On la libéra ensuite pour l'attacher de nouveau à la croix de saint André. Ainsi contrainte, il ne lui serait plus possible de se caresser et de jouir de ses propres caresses, la douleur se muant lentement en plaisir. Elle s'endormit en souriant, impudique mais heureuse..   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
613 vues 11 aime
Par : le 10/07/23
Au début le milliardaire chinois lio avait souri. Il pensait faire une belle séance au pied de sa sublime maîtresse, la nord coréenne Kim. Lio, la cinquantaine, bien marié, bon père de famille, riche à milliards  avait cru au début à une simple aventure. C'est Kim qui l'avait viole dans son bureau. Un rdv qu'il croyait facile avec une militaire qui voulait lui acheter pour une milice privée russe des drones dernière generation. D'habitude c'est lui qui violait la fille avant toute discussion. Le vagin plein de sperme facilitait les négociations. Mais là, il n'avait rien pu faire. Kim l'avait neutralise comme s'il n'était qu une mince feuille de papier et l'avait broyé.  Elle l'avait ensuite empale sur un énorme god ceinture. Il n'avait même pas pu hurler. Kim savait agir sur ses points vitaux pour le paralyser. Et lio avait jouit du cul comme jamais il n'aurait pensé cela possible. Des orgasmes de la prostate à répétition. Son sperme avait coule et Il avait du tout nettoyer.  Depuis cette salope de Kim le tenait par les couilles. Il était devenu accro complet de cette folle qui le battait, le giflait, l'humiliait sans cesse, le fouettant jusqu'au sang. Après elle le baisait et il jouissait toujours très fort, très vite et en cascades. Cette salope de Kim l'avait cocufie en allant sauter sa femme devant lui. Depuis il portait et les cornes et une cage de chasteté.   Il ne s'était pas méfié ce jour là.  Un énorme gode en porcelaine. Avec comme des tores toujours plus gros jusqu'à la base. Et Kim l'avait empale dessus. Les premiers tores étaient rentrés faciles. Il avait jouit fort. Mais à présent il avait peur. Et cette folle de Kim qui semblait l'ignorer.  Il voudrait hurler. La peur cela ouvre le cul, c'est bien connu. Un tore de plus!!! Largeur ballon de rugby 🏉.  Le prochain c'est largeur ballon de football ⚽️.  Une horreur. Il a le cul tellement ouvert à présent que cela se déchire à  l'intérieur.  Et celle folle de Kim qui l'ignore. Il voudrait hurler. Maudit points vitaux bloqués par cette salope. La trouille terrible est la. La peur de mourir.  Et zou le ballon de foot est entre.  Kim s'approche et lui tire une paire de baffes bien sonores. - Non, tu vas pas mourir connard. Mais tu vas racker des milliards. Notre chef Valeri en réclame. On va juste te mettre à contribution. Tu veux bien faire plaisir à ta maîtresse et dire merci ?  Lio a dit oui des yeux. Cela l'a fait jouir. Et merde...un tore de plus dans le cul. Kim l'arnache avec des cordes pour stopper l'empalement.  Cette salope va le laisser comme cela longtemps. Elle eteind la lumière et le laisse dans le noir avec son cul explose et defonce.  -A demain, connard. Je file au resto avec ta femme et je vais bien la baiser après. Un de ces jours on mangera tes couilles grillées devant toi.  Une folle!!! Et rien que d'y penser lio a encore jouit très fort. 
739 vues 6 aime
Par : le 07/07/23
Jadis, elles se plaisaient, toutes les deux, à cultiver leurs différences, et même leurs oppositions. Juliette, impétueuse, Charlotte, lucide, elles se livraient un combat sans issue. L'Université avait fait d'elles des êtres rationnels, rationcineurs, péroreurs et subtils. Elles étaient claires, et ardentes de leur illusoire clarté. On aurait fait un roman de leurs confidences mélangées, mettant en tête la conclusion du premier, intervertissant l'ordre des chapitres du second, et terminant sur les deux préludes. Ainsi faisaient-elles. Elles ne dialoguaient pas. Elles juxtaposaient des monologues et en étaient totalement conscientes. En réalité, Charlotte redoutait plus que tout le déclin des passions, les pensées inodores, les amants mal rasés, les amours sans épices et les convictions flaques. Un évènement allait changer le cours de sa vie. La nuit tombait sur les angoisses de la jeune femme. L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Le plus insupportable, c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Juliette avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait Vincent  ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Vincent voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Charlotte distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière l'aveuglait. Elle ne ressentait aucun sentiment d'angoisse ou d'appréhension mais plutôt d'étonnement. Elle avait l'habitude de dormir toutes fenêtres ouvertes, depuis l'âge de ses seize ans. Confiante, elle s'attendait à une agréable surprise. C'était Vincent mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son chemisier en dentelle blanche, ses bas transparents et ses chaussures à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une putain. Vincent avait amené une prostituée. Hébétée, Charlotte portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses, mais conserva son collant. Elle avait des jambes longues et musclées. En bas de son ventre, son pubis délicatement entretenu mais pas rasé se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son chemisier transparent, conservant la paire de bas, couleur chair, ses seins comprimés en jaillirent comme des léopards. Sans en être consciente, Charlotte tomba immédiatement sous son charme. La suite de cettre rencontre allait de façon déroutante, lui donner raison. Seul Vincent détenait la clé qui lui manquait.    La jeune femme angoissée sentit seulement sa présence, puis la fragrance onctueuse de son parfum. Charlotte prit enfin conscience de la situation. Malgré toute attente, afin de réaliser un fantasme prégnant, Vincent avait imaginé et mis au point un scénario sadomasochiste dont il serait la première victime. La putain était nue maintenant. Son catogan strict, son visage émincé, ses yeux verts étincelants la métamorphosaient dans l'esprit d'esclave soumise de Charlotte en fauve qui allait la dévorer. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Charlotte put assister au dressage de Vincent. Il était prosterné et agenouillé sur le sol, obtempérant aux instructions qui lui intimaient de ralentir le rythme de sa caresse dégradante. Elle lui ordonna de jouir et presque aussitôt un jet de sperme éclaboussa alors les dalles de pierre. Il fut obligé de lécher sa propre semence jusqu'à la dernière goutte. Il reçut sans broncher des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades violacées. Charlotte voyait son érection lentement renaître. Elle se surprit à découvrir le plaisir de contempler l'humiliation d'un esclave.  - "Tu viens, mon chéri ?" minauda-t-elle. Vincent se redressa et toujours nu, s'approcha lentement du lit, Charlotte remarqua qu'il bandait de plus en plus. Alors, il se maîtrisa et reprit le cours du scénario imaginé par lui, changeant alors radicalement de comportement et de ton   -" Fais ce que j'attends de toi", dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. -" Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi en répandre encore partout, mais avant il est temps d'assouvir tes fantasmes de soumission". L'inconnue le menaçant de sa fine cravache et toisant l'homme, s'approcha de son membre intumescent et lui affligea de douloureuses sanglades qui le firent se contracter davantage. Mais elle décida alors de mettre fin à son supplice et abandonna le jonc pour en profiter, comme bon lui semblait. Abasourdie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter bientôt avec adresse le sexe de Vincent dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Vincent, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Vincent enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Sa pureté étincelante la distinguait et son port de tête signalait une âme élevée, un corps gracieux, cuirassé contre la petitesse. Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Vincent lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Vincent ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle respectait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Vincent enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton travail et va-t'en". Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son chemisier blanc. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Vincent. Elle essayait de comprendre. Quel travail la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage.   Sans se l'avouer intimement, la séance à laquelle elle avait assisté, l'avait émoustillé et un sourd frisson parcourait son corps, de sa nuque jusqu'au bas de ses reins. Dans son esprit, la prostituée se mua insidieusement en hétaïre racée et respectable. Ainsi, Charlotte deviendrait à son tour l'objet de plaisir de cette femme étrangère. Bien que timide par nature, elle allait accepter de se prêter à une situation inédite. La beauté insolente de l'inconnue avait achevé de la convaincre. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. L'inconnue passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une inconnue, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, lié à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, l'étrangère enroba le clitoris de la jeune femme, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. L'amour n'est pas une chansonnette de complaisance, un badinage d'étourdi mais bien une aventure radicale qui doit mobiliser jusqu'aux dernières fibres de notre être. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Vincent dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Vincent. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Charlotte se laissa sodomiser par cet homme auquel sa Maîtresse l'avait prêtée, car tel était son devoir. Elle était la plus heureuse des femmes.      Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
818 vues 13 aime
Par : le 28/05/23
Au fil des mois, sous la coupe de Mon Maître, je devins la parfaite esclave sexuelle pour lui et ses relations mais également une véritable petite pute. Le dressage avait si bien fonctionné que même en son absence, mon esprit était entièrement tourné vers l'asservissement. Durant la période lycée, je passais mes heures de libres dans un parc public. J'avais repéré un banc sur une artère empruntée par des joggers. Je m'y asseillais et dès qu'un homme arrivait, je me redressais, écartait les jambes, posais les mains sur les genoux paumes vers le haut. La tête baissée et bouche légèrement ouverte complaitait le tableau. Quelques fois l'homme s'arraitait de courir pour s'asseoir à mon côté. Tu m'as l'air d'être une bonne salope soumise toi ! Oui monsieur j'en suis une. La plupart fourageaenit vite dans mon survêtement et me tripotaient la queue . Tu es maquée ? Oui monsieur j'appartiens à Maître Marc. Combien la pipe ? 50 Frans Monsieur, 100 francs par le cul. Derrière le banc un gros bosquet nous accueillait pour une fellation ou une sodomie. Bien sûr sans capote. Comme j'étais très ouverte, seules les grosses queues arrivaient à me faire jouir. penser à Maître me comblait, il m'arrivait certains jours à vider une dizaine de types. Avec le recul, je reconnais que j'ai eu énormément de chance de ne pas attraper une saloperie ou de tomber sur un brutal mais j'aimais énormément cela et ne pouvais plus m'en passer. Cette période bénie pris fin peu après mes 18 ans avec la convocation pour les trois jours pour effectuer le service militaire obligatoire....
355 vues 3 aime
Par : le 08/05/23
Je fixe autour de mon cou le lourd collier que mon Maître m'a donné et qu’il veut me voir porter. Impossible de l’oublier,  il pèse sur mes clavicules.  J’essaie de voir l’effet dans un miroir. Il est en acier, très épais. La boucle sur le devant me semble énorme.  Il est très beau. J’aimerais à cet instant le sentir plus enveloppant encore. Moins flottant. Dehors, je sens le regard des hommes qui cherchent le mien comme une confirmation et celui des femmes qui m’évite et désapprouve cette condition que j’affiche. Je suis assez mal à l’aise.  Je n’ai aucune gêne à discuter avec les gens de ce que je pense,  de la façon dont je me sens naturellement soumise auprès d’un homme. Mais le mettre en évidence de cette manière, en manifeste, c’est comme une effronterie, presque une agression de l’autre qui ne m’a rien demandé et ne veut rien savoir de mon intimité.  Je ressens cela souvent face à une femme voilée ou un barbu et ce parallèle de mon cerveau me trouble. Dans le même temps,  je suis fière de cette marque d’appartenance qui m'attache à mon Maître, même éloigné. Et lorsqu’il m’attire tout contre lui en glissant le doigt dans la boucle à mon arrivée, je sens les prémices du plaisir s’installer au creux de mon ventre. Je subis sa petite inspection, routinière maintenant, dans le hall du Donjon. J’aime sentir son corps appuyé de tout son poids sur le mien collé au mur. Je suis heureuse de le respirer. Je suis heureuse lorsqu’il m’offre son intimité à goûter. Je suis heureuse lorsqu’il imprime son corps dans le mien et que je sens mon collier tinter et claquer sur ma peau, ce rappel de ce que je suis pour lui. Sa petite chienne dressée ( ou en cours de dressage. J’ai envie qu’il m’attache et me contraigne aujourd’hui. J’ai besoin de vivre cela pour mon Maître,  avec mon Maître.  Je ne l’exprime pas et pourtant je l’entends derrière moi faire glisser la corde dans le creux de sa main. Connexion ? Je suis assise et c’est bien.  Je pourrai alors maintenir ma tension artérielle stable. Je suis plus excitée qu'anxieuse à ce moment-là. Je veux réussir.  J'y ai pensé toute la semaine.  J’ai inlassablement répété la scène dans ma tête et anticipé mes réactions. Et puis j'adore le souffle de mon Maître sur ma nuque, ses lèvres sur ma tempe et sa joue contre la mienne après chaque tour de corde qui laisse aussi l’empreinte de ses doigts sur mon buste, sur mon ventre,  entre mes jambes… Jamais je ne me suis sentie plus à lui  livrée ainsi. Nous avons remporté une petite victoire aujourd’hui...
477 vues 11 aime
Par : le 30/04/23
Ses yeux retrouvèrent cette expression douloureuse et aimante d'autrefois. Elle baissa la voix et reprit avec l'intonation simple que sa Maîtresse avait toujours connue: - "M'offrirez-vous encore cette nuit, Madame ?". Juliette ne dit rien de plus que de se préparer. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage.   Cette idée la flatta là où elle était inquiète. Elle eut donc la faiblesse de se fier à Juliette et ne fit guère d'efforts pour se persuader qu'elle avait peut-être menti. Elle allait être prise par l'arrière et contrainte simultanément. Qu'importait pour elle que l'on se servît de ses lèvres comme celle d'une putain ? Elle était l'orgueilleuse esclave de Juliette, sa Maîtresse vénérée. La jeune femme se mit également à genoux pour mieux prendre l'inconnu dans sa bouche, avec un tel délice que ses lèvres osaient à peine effleurer la pointe du sexe, que protégeait encore sa gaine de douce chair. Elle pensait que sa bouche était belle, puisqu'un homme daignait s'y enfoncer et s'y répandre. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se dégorgea. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé.   La jeune femme savait qu'en exigeant une conduite, elle faisait naître chez sa Maîtresse le désir de l'interrompre. Or depuis qu'elle avait découvert le plaisir de la franche colère, si jouissive dans ses débordements, elle avait tendance à s'installer dans cette facilité pénible pour elle. En acceptant ce comportement au point de le prescrire, elle reprenait le contrôle de la situation, qu'elle avait d'ailleurs suscitée. Charlotte ne pouvait tolérer qu'elle cherchât ainsi à maîtriser ses coups. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait.   Troublée, cherchant à se maîtriser, la jeune femme oublia de critiquer cette singulière déclaration très contradictoire quant à l'objectif suivi. Elle en admit plus facilement les évidentes conclusions, tout en saisissant bien ce que sa Maîtresse lui demandait à mots couverts, sans qu'elle l'eût fait expressément. Juliette n'avait jamais la naÏveté d'ordonner. Ses mots se contentaient d'ouvrir des chemins, d'inventer des opportunités. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement. On la fit asseoir sur un tabouret hérissé d'un volumineux godemiché. Dans cette position, son vagin devint rapidement douloureux, mais ce fut pire lorsqu'on lui demanda de le faire pénétrer profondément entre ses reins. Elle sentait son anus s'écarteler au fur et à mesure qu'elle s'empalait sur le cylindre de latex. Elle découvrit le plaisir extrême que l'on éprouve à se prendre soi-même. Elle se masturbait, en perdant toute notion de pudeur. Juliette l'observait, la jeune femme percevait l'intensité de son excitation. Elle n'était plus elle-même, mais elle avait conscience de son amour pour elle. Elle était une esclave à part entière et assumait avec fierté sa condition.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
364 vues 11 aime
Par : le 24/04/23
Elle n'avait pas été parfaite, loin de là. Elle s'était allée à un moment de faiblesse, et sa Maîtresse ne le lui pardonnait sans doute pas. Elle devait affronter une nouvelle épreuve initiatique bien plus éprouvante encore: ses reproches et les humiliations qu'elle allait inventer pour la punir. Le plaisir sur lequel elle ouvrait grand les yeux dans la pénombre était un plaisir anonyme et impersonnel, dont elle n'était que l'instrument. Après avoir passé la nuit entière dans une cage en fer, nue et enchaînée, Charlotte fut préparée dans l'attente de la soirée. Elle avait été avertie que Béatrice serait accompagnée de plusieurs couples à qui elle s'offrirait, quoi qu'on pût exiger d'elle ou lui infliger. Il fut décidé qu'elle ne les verrait pas et que les mains attachées derrière le dos, on la conduirait dans une cave. On fixerait à son cou un collier et à ses poignets des bracelets. Juliette avait choisi sa tenue: une jupe courte en taffetas noire, dévoilant ses cuisses, et un chemisier clair marquant un corset en cuir resserré de façon à faire saillir ses seins; elle s'assura que son ventre ainsi que le sillon de ses reins étaient parfaitement lisses afin que ses deux orifices ne soient ouverts qu'à ses besoins, ou à ceux des des inconnus à qui elle la destinait. Pendant que je lui nouai les cheveux en queue de cheval, pour lui bander les yeux, un cri indubitablement féminin retentit, elle se mit à trembler. À force d'être humiliée, il me semblait qu'elle aurait dû être habituée aux outrages, sinon au fouet, à force d'être fouettée. Une affreuse satiété de la douleur et de la volupté devrait la résigner, comme le supplice d'une fille offerte comme elle, et même lorsqu'elle n'était pas livrée, de son corps toujours accessible. Un long silence suivit, troublé seulement par des chuchotements. Je reconnus Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu'à ses bottes en cuir. Elle déganta sa main droite et posa doucement son majeur et son index près de l'oreille gauche de Charlotte. La maîtresse de lieux, qui semblait particulièrement l'apprécier, l'entraîna au bout d'une laisse dans la cave, au beau milieu d'une réception où des couples contemplaient le spectacle d'une jeune femme nue se faisant alors prendre sauvagement par des esclaves mâles. Des hommes et des femmes en tenue de soirée, tous masqués, étaient éparpillés çà et là une coupe à la main. Au centre de la salle, sur un grand lit en fer forgé noir, érigé en estrade, la femme que j’imaginais se faire torturer, était possédée par deux hommes aux corps d’athlètes qui la pénétraient frénétiquement dans la lueur des torches. Elle avait de petits seins fermes et des hanches à peine formées. L’assemblée se tourna vers nous et nous salua en s’inclinant en silence. Ses doigts glissèrent le long de ma mâchoire, puis de mon cou, contournèrent mon sein gauche, caressant ma taille, et s’arrêtèrent sur ma vulve, en appuyant légèrement sur la chair fragile. Saisissant la dragonne de la laisse reliée aux anneaux d'or fixés sur mes lèvres intimes, elle ouvrit les deux battants du grand salon et me guida vers l'autel de mon sacrifice; au fond de la salle, éclairée par des projecteurs diffusant une lumière pâle, m'attendait la croix de saint André. J'avançai vers ma crucifixion, tenue par mes anneaux. Béatrice me tendit la main pour m'aider à gravir les deux marches qui me menait à mon calvaire. Elle me plaqua le dos contre le bois, me laissant ainsi exposée de longs instants.   Honteuse et fière, elle allait jouir des traitements infligés par la volonté de sa seule Maîtresse. Elle savait que les coups et les fers m'allaient bien, et que ma sueur et que mes gémissements m'étaient trop doux. Elle me présenta comme étant son esclave. Tout me serait infligé sans pitié pour juger de l'efficacité du fouet. En elle, je devinais une volonté ferme et glacée, que le désir ne ferait pas fléchir. Je devais obéir docilement. Les yeux bandés, je ne pouvais apercevoir les derniers invités qui descendaient dans la cave, grossissant l'assistance silencieuse. Ainsi exposée et écartelée sur cette croix, seule dans le noir et le silence, je me demandais pourquoi tant de douceur se mêlait à tant de terreur, ou pourquoi tant la terreur me paraissait aussi douce. On me détacha enfin pour m'exhiber. À peine libérée, quelqu'un me demanda de me tourner et on me délia les mains en m'ôtant le bandeau des yeux. On me fit avancer, trébuchant un peu, vers un homme qui voulait me toucher. Il m'ordonna de me déshabiller, et de me présenter, ce que je fis instantanément. Debout les bras coudés derrière la tête en écartant les cuisses, comme on me l'avait signifié, afin de livrer avec le plus d'indécence possible le spectacle de ma double intimité. Se présenter de telle façon oblige l'esclave à s'abandonner, quels que soient ses réticences, à mieux se donner. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié, sans concession. La soumise ainsi exhibée apprend alors à se surpasser dans l'épreuve, poussée parfois au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique. C'est ainsi qu'elle peut s'épanouir totalement et accepter les châtiments les plus cruels. Béatrice apparut avec un esclave à demi-nu harnaché de cuir au bout d’une laisse. L’homme à l’allure athlétique était doté d’une musculature impressionnante et d’un sexe épais dont on osait à peine imaginer la taille en érection. Elle fit allonger l'homme sur le dos, puis me tira par les cheveux et me força à m’agenouiller entre ses jambes, la croupe en l’air et le visage et la bouche écrasés contre son pénis. J’entendis des ricanements dans l’assemblée. Et Juliette avait raison. C'était vrai que je ne pouvais songer alors à rien d'autre, qu'au fait que j'étais triplement offerte. Ce n'était pas la caresse de mes lèvres le long de lui qu'il cherchait, mais le fond de ma gorge. Il me fouilla longtemps, et je sentais gonfler et durcir en moi le bâillon de chair qui m'étouffait, et dont le choc lent et répété me tirait des larmes. Debout sur l'estrade, Béatrice faisait voler sa cravache sur mes reins. Elle m'ordonna de lui lécher les testicules et le pourtour de son anus. Je m’exécutai, faisant ainsi glisser ma langue de la hampe jusqu'à l'entrée de sa cavité anale. L'esclave semblait apprécier et s'enfonçait dans ma bouche pendant que je le couvrais de salive. Elle se plaça derrière moi et plongea ses doigts dans mon vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement ma vulve, remonta sur mon anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”. Sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur ma croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Les lèvres ainsi forcées par le glaive charnel, je dus me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses. J’introduisis tant bien que mal un doigt dans la moiteur de ma voie la plus étroite pendant que Béatrice continuait de me fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus"; je répondis d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant l'intérieur de mes cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière moi: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Je m’exécutais docilement alors qu’elle forçait mon anus en écartant mes fesses de ses doigts pour faciliter mon introduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était des plus humiliantes. J'étais partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être alors docilement utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant. J'avais fini par reconnaître, pour une vérité indéniable et importante, l'enchevêtrement contradictoire et constant de mes sentiments. J'aimais l'idée du supplice, quand je le subissais, j'aurais trahi le monde entier pour y échapper. Quand il était terminé, j'étais alors heureuse de l'avoir subi, d'autant plus heureuse qu'il avait été plus cruel et surtout plus long. Mais ce ne furent que les préliminaires. Béatrice me releva en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”. Encouragée par ses coups de cravache, j’enjambai maladroitement l'esclave et m’accroupis dos à lui, tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Béatrice maintint le sexe à la verticale et me força à descendre dessus en tirant sur mon collier. Ma croupe s’écrasa sur la pointe saillante. Tous les invités se regroupèrent autour de la scène et je pus voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches.   Je perdais la notion du temps et de la douleur, j'attendais la suite dans un état proche de l'inconscience. Sans que j'en pris conscience, bien trop occupée à sonder mes limites en redoutant de ne pouvoir m'y surpasser, j'étais arrivée au paroxysme de l'excitation. Mon ventre semblait contenir et concentrer toute la jouissance que je ne parvenais pas encore à libérer. Alors que je m'efforçai de garder l’équilibre, l'esclave me força à m’empaler sur son sexe. Je tentai de résister, mais en vain. Son membre surdimensionné défonça mes reins, distendant lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit, tout mon corps était perlé de sueur. Béatrice exultant, ordonna l'esclave mâle à me pénétrer tout en caressant ses testicules: “Allez, chien, défonce-lui son cul de salope!”. L’homme obéit sans sourciller, m’attira contre son sexe brutalement pour me faire mal. Mes deux sphincters anaux se dilatèrent sous la pression et il me pénétra d'un seul coup. Je manquai de m'évanouir. L’assemblée poussa un “Oh” d’étonnement mêlé d’admiration. Béatrice demeura un instant interdite à la vue de ce membre à moitié emprisonné. Partagé comme moi entre douleur et plaisir, l'esclave mâle relâcha son étreinte, en me maintenant dans cette position grotesque. Accroupie, empalée au sommet de son sexe, Béatrice, agenouillée face à moi, me meurtrissait les seins en me pinçant les pointes tout en m’observant avec un regard pervers qui m'effraya. Elle quitta mes yeux, plongea sa tête entre mes cuisses, posa délicatement sa bouche sur ma vulve rougie par ses coups de cravache puis aspira mon clitoris entre ses lèvres. La bouche de Béatrice estompa peu à peu la douleur de la colonne de chair qui saccageait mes reins. Juliette ne s'était pas trompée à mon égard, à mon acquiescement, ni à ma révolte, et savait que mon merci était dérisoire. Je luttais pour ne pas jouir. Les invités nous regardaient dans un silence quasi religieux. Le spectacle que j'offrais, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Béatrice se dénuda alors et commença à se caresser tout en me fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de moi, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées. Juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait totalement, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans mon ventre et irradia tout mon corps; parcourue de spasmes, je jouis en silence tout en éjaculant au visage de Béatrice. Mes jambes vacillèrent mais l'esclave me tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais mon anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse. On entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour me regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir. Plus loin un homme qui se masturbait en m'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Béatrice, s’essuya le visage du revers de la main et lècha ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un sourire narquois. Elle se pencha à nouveau entre mes cuisses mais cette fois pour s’occuper de l'esclave. Elle commença par effleurer ses testicules du bout des doigts puis elle remonta sur sa hampe qu'elle caressa comme un objet sacré. Elle semblait s'amuser de façon perverse avec ce sexe surdéveloppé pour faire souffrir l'homme. Elle glissa une main sous ses fesses musclées et stimula son anus en le masturbant de plus en plus fort. C'était excitant d'assister à son érection. Il grossit et se déploya. Charlotte n'était alors plus à elle, et ce qui d'elle était le moins serait son orifice le plus étroit qui pouvait si bien servir. L’effet ne se fit pas attendre. Dans un ultime effort pour retarder l’inévitable, il se cambra sous moi et rompit le silence de la salle par un long râle bestial. Je sentis son sexe tressaillir, me remplissant d’un flot de sperme saccadé. La sensation fut divine et l’instant si intense que je fus à nouveau sur le point de jouir.   Le désir bouillonnait sous ma peau comme si tout mon corps se liquéfiait et aller se répandre. J'avais les entrailles en feu, je me consumais. Sans doute n'était-ce pas là seulement la sensation du plaisir, mais la réalité même. Je ne sais ce qu'il advint par la suite. Je crois me souvenir d'un attroupement autour de moi et du plaisir que les témoins ont déversé sur mon corps. Visiblement satisfaite, Béatrice se redressa, posa ses mains sur mes épaules et se pencha sur moi pour m’embrasser. Elle goûta à mes lèvres, les aspira, les mordilla puis pénétra ma bouche de sa langue mouillée. Fermant les yeux et vaincue, je me laissai emporter par un nouvel orgasme. Alors que je m’abandonnai à son étreinte, elle appuya de tout son poids sur mes épaules et me força à m’empaler de nouveau sur le sexe redevenu raide. Le pieu de chair dégoulinant me pénétra facilement et m’envahit sans plus aucune résistance. Distendue, la sensation d’être remplie totalement dépassa tout ce que j’avais enduré auparavant. Mon orgasme redoubla d’intensité et semblait ne plus vouloir s’arrêter. Béatrice releva mon menton du bout des doigts et me regarda jouir avec le sourire de la victoire. L'esclave mâle qui était resté passif jusque-là recommença à s'ébranler lentement dans son foutre tout en m’agrippant fermement par la taille, n'ayant rien perdu de son ardeur, bien au contraire. Béatrice m’abandonna à mon sort. Elle s’accroupit juste derrière moi et écrasa sa croupe sur le visage de l'homme. Ce dernier sembla apprécier cette douce humiliation et continua de me fouiller les reins en redoublant d'acharnement. Dans un bruissement gras et humide, rompant le silence, mon corps se balançait au rythme de ce va-et-vient féroce. Je faisais maintenant face à l’assemblée qui se pressait autour de moi pour me regarder jouir. Ne prenant même plus la peine de se cacher, plusieurs hommes se masturbaient sans retenue, juste devant moi. Du haut de son estrade, une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil, la maîtresse des lieux se caressait tout en se délectant du spectacle de ma sodomie. Pourquoi, à chaque fois que je le constatais, en étais-je pas persuadée à nouveau, avec à chaque fois aussi fort le même trouble qui m'immobilisait et qui me livrait beaucoup moins qu'à Juliette qu'aux mains des inconnus à qui elle m'offrait. Des mains glacées se posèrent alors sur ma peau et me firent tressaillir. Je m'offris avec docilité aux caresses de plus en plus insidieuses. Un long silence suivit, troublé par quelques chuchotements dont j'essayai vainement de percevoir le sens. Subitement, je me sentis soulevée de terre, mes poings et mes chevilles furent liés par force de nouveau à la croix. Dans cette position qui favorisait l'examen de mon corps, un doigt força brusquement mes reins et me pénétra avec douleur. Celui qui me violait ainsi, sans préparation, me menaçait durement. Soudain, on me cingla. Je reconnus immédiatement les coups appliqués par Juliette. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée se traduisant par une caresse de la cravache avant le claquement sec, imprévisible et toujours judicieusement dosé. Après le dernier coup, elle caressa furtivement mon ventre enflammé et cette simple marque de tendresse me donna le désir d'endurer encore davantage. Quand le cuir s'attaqua à mes seins, je compris que je serais fouettée intégralement sauf le visage. Comme une confirmation, les lanières atteignirent le bas de mon ventre, en cinglant mes lèvres intimes. Je laissa échapper un cri de douleur, comme un écho au hurlement entendu dans le couloir. On m'ordonna de me mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave. Je reconnus à la douceur des mains de femmes qui commencèrent à palper mon corps. Elles ouvrirent mon sexe. Peu après, mon ventre fut investi par un objet rond et froid que Béatrice mania longtemps avec lubricité. On décida alors de me reconduire au premier étage pour me placer dans un trou aménagé dans le mur, en m'ordonnant de ne pas bouger. Cette fois, il était clair que Juliette voulait rencontrer mon regard. Ces yeux noirs brillants et durs fixés sur les miens, dont je ne savais pas s'ils étaient ou non indifférents, dans un visage souriant mais glacé qui me troubla. Alors que l'on usait de tous mes orifices, un homme exhiba son membre que je tentai de frôler avec mes lèvres puis avec ma langue, mais avec cruauté, il se dérobait à chaque fois que j'allais atteindre sa verge. Prise d'un besoin naturel, on me refusa de me rendre aux toilettes. Confuse, je vis qu'on apportait une cuvette et je reçus l'ordre de me soulager devant les invités rassemblés.   Qu'importait dès lors que ma Maîtresse me malmenât et s'abreuvât de son plaisir ? L'humiliation était là: me montrer dans cette position si dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, ma vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. L'impatience que je lus dans le regard attentif de Juliette parut agir sur ma vessie qui se libéra instinctivement. Lorsque j'eus fini de me soulager, Béatrice m'ordonna de renifler mon urine, puis de la boire. Au bord des larmes mais n'osant pas me rebeller, je me mis à laper et à avaler le liquide clair et encore tiède. Après avoir subi les moqueries des invités, je fus amenée devant Béatrice dont je dus lécher les bottes vernies du bout de ma langue. On m'ordonna ensuite de me coucher sur le sol et de relever mes jambes afin que chacun puisse me prendre facilement. Je fus possédée par l'ensemble des invités qui se succédaient à la chaîne sur mon corps. Puis on me releva pour me placer sur un tabouret hérissé d'un volumineux olisbos. Dans cette nouvelle position, mon ventre devenait douloureux, mais ce fut pire lorsqu'on m'ordonna de m'asseoir sur le cylindre massif et de le faire pénétrer entre mes reins profondément. Je sentais mon anus s'écarteler au fur et à mesure que je m'empalais sur le cylindre de latex. Longtemps, on me força à me pénétrer très lentement l'un et l'autre de mes deux orifices. " - Bientôt, je te donnerais de véritable motifs d'avoir peur de Béatrice. Tu te comportes comme je l'espérais." Je n'osai pas insister. Béatrice m'intriguait autant que ma Maîtresse, malgré le respect que j'éprouvais pour elle. Juliette venait de me signifier que mon dressage n'était pas achevé. Ma peau subit aussitôt le contact de mains posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Une cravache noir me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un véritable rugissement. La rigidité du cuir enflammait mes reins et mon dos, les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir. Une fois la fulgurante jouissance dissipée, j'osai implorer leur pitié. Je venais de rompre le charme. Ils décidèrent de me faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Je fus à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ca que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Béatrice qui m'installa. J'étais en position, jambes écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, ma bouche servant alors d'écrin. Au même moment, un autre utilisait mon vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement mes reins, qui comme la totalité de mon corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qui se passait autour de moi. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra ma croupe. Mon ventre et mes reins se liquéfièrent. J'étais prise, on ravageait mes reins meurtris. Je compris enfin que le membre qui me pénétrait était un olisbos à ceinture dont Béatrice s'était ceint à la taille. Elle exigea de moi que je me cambre davantage, pour qu'elle puisse "me remplir jusqu'au fond." Je cédai à l'impétuosité d'un orgasme que j'aurais voulu pouvoir contrôler. Béatrice se détacha de Charlotte qui glissa au sol. Elle récupéra ses appuis et réussit enfin à se tenir debout, mais on la rattacha fermement sur la croix de Saint André face à la salle plongée alors dans la pénombre. Elle demeura ainsi le reste de la soirée, souillée de sperme et de sueur, les chevilles et les poignets entravés.    Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
398 vues 12 aime
Par : le 22/04/23
Elle savait quelle demeurait transparente aux yeux de sa Maîtresse. Il est vrai qu'elle ne faisait rien pour attirer son regard. Elle n'était pas du tout le genre de femmes à débarquer dans une soirée cheveux au vent, les seins débordant d'un haut trop petit, moulée dans une jupe très sexy et arborant des chaussures à talons vertigineux. Instruite du résultat habituel de ces cérémonies, Charlotte s'y rendit pourtant de bonne grâce. Elle continuait à espérer, tout en se moquant d'elle-même, que viendrait un jour où sa Maîtresse cesserait de l'offrir au cours de ces soirées éprouvantes, les seins relevés par un corset de cuir, aux mains, aux bouches et aux sexes à qui tout était permis, et au terrible silence. Ce soir-là, figurait un homme masqué qui retint immédiatement son attention. Il posa sur elle un de ces regards mais sans s'attarder, comme s'il prenait note de son existence avec celle du mobilier, un miroir dans lequel se reflétait au fond de la salle, dans l'obscurité, l'ombre d'une croix de Saint André et un tabouret. Elle n'aurait pas aimé qu'il s'attarde, comme le faisaient les autres. Pourtant, elle souffrit de le voir détourner les yeux d'elle. Elle ne s'arrêta pas à considérer si c'était seulement l'effroi. On halerait son corps pour la crucifier, les poignets et les chevilles enchaînés, et on la fouetterait nue, le ventre promis à tous les supplices. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte. Il lui semblait sacrilège que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand des lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser un membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu s'enfonça plus profondément et se dégorgea.   La cagoule spécialement confectionnée des mains mêmes de sa Maîtresse emprisonnait sa nuque, aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche qui, ainsi, pourrait toujours être disponible si quelqu'un voulait l'utiliser, elle percevait des présences, devinait la lourdeur des regards qui semblaient coller à sa peau, en particulier entre ses cuisses où le magnétisme de tous ces yeux dirigés en ce point précis provoquait une brûlure. Dans un éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler. C'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée. Elle s'approcha d'elle, la coucha sur le sol, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent alors sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra dans sa bouche. Charlotte ne ressentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne. Elle se rendait compte également que sa façon de tout prendre en charge effrayait la plupart des femmes, même si Juliette ne s'en plaignait pas, bien au contraire, de son efficacité pendant les heures de bureau ou dans un lit. On l'avait délivrée de ses mains, le corps souillé par l'humus du sol et sa propre sueur. Juliette tira sur la taille fine de Charlotte, strangulée par le corset très serré, pour la faire encore plus mince. Si durement baleinée et si étroite, qu'on aurait dit un busc de cuir destiné à la priver de toute liberté, pire à l'étrangler comme une garrotte médiévale. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. On lui ôta son corset afin de la mettre à nu et on l'attacha sans ménagement sur la croix de Saint André dans une position d'écartèlement extrême de sorte qu'elle crut un instant être démembrée, tant les liens qui entravaient ses poignets et ses chevilles meurtrissaient sa chair. Elle reconnut alors immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire.   Elle avait pris conscience d'être le fantasme de tous les voyeurs, elle qui doutait tant de son pouvoir de séduction, avait allumé le désir, celui des hommes, celui des femmes. Elle avait consciencieusement accompli sa tâche, celle d'être la digne salope que sa Maîtresse voulait. On la libéra et on lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put alors apercevoir le visage des autres invités. Juliette prit tout son temps, étalant longuement l'huile sur sa peau frémissante, glissant le long de ses reins, sur ses hanches, ses fesses, qu'elle massa doucement, puis entre ses jambes. Longuement. Partout. Elle s'aventura bientôt vers son sexe ouvert, écarta doucement la sa chair et introduisit alors deux doigts glissants d'huile en elle. Pourtant, il ne lui sembla pas reconnaître le visage des hommes dont elle avait été l'esclave, à l'exception de songes fugitifs, comme si aussitôt après le rite, son esprit voulait en évacuer tous les anonymes pour ne conserver de cet étrange et subversif bonheur, que l'image d'une complicité extrême et sans égale à ce jour entre sa Maîtresse et elle. Elle découvrit que Béatrice était une superbe jeune femme brune aux yeux bleus, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut bientôt soumise dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses autres orifices, un homme exhibait devant elle son sexe mafflu qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum.   Elle lui offrait son intimité et il la violait avec rudesse, sans le moindre égard, elle aimait cela. Elle ne pouvait plus se passer de ces mises à sac brutales, violentes mais passionnées. Mais l'inconnu, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit alors quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable. La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu. Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Béatrice dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut alors annoncé à son grand soulagement.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
385 vues 10 aime
Par : le 20/04/23
Le plus intrigant n'était pas que sous des dehors aussi routiniers, elle fût une séductrice, après tout, on a vu des Casanova plus incongrus, mais que sa solitude devînt chaque jour plus obscure. Il y avait un abîme en elle qui repoussait l'empathie, et ce point d'étrangeté qui éloignait les femmes aussi vite qu'elle les avait attirées pouvait en effet paraître dangereux. Derrière certains horizons calmes, on aperçoit des choses terribles. Dès que je sortis dans la rue, je l'aperçus. Charlotte m'attendait dans une mini robe très courte rouge. J'allai vers elle. Je l'embrassai. Et soudain, quelque chose se brisa. Cette jeune fille que j'avais devant moi, c'était une autre, pas celle que j'avais rêvée. Certes, elle était éclatante, jeune, blonde, aimante, tendre comme l'autre, mais il lui manquait une qualité qui n'appartenait qu'à l'autre. Elle me demanda: "- préférez-vous que je vous laisse seule ?" Elle me sourit. Je la regardai avec une expression d'incrédulité mais je vibrais encore de la ferveur de ses mains. Le lendemain soir, elle vint chez moi. Tout alla très vite. Il n'y a que les femmes légères qui hésitent à se donner. Je l'aimais pour la gravité qu'elle mettait dans l'amour. Sa beauté, mais plus encore l'air de bonté qui émanait d'elle. Il était moins de minuit quand nous entrâmes rue Saint-Honoré à La Marquise et nous allâmes nous asseoir tous les trois dans un angle où un guéridon était encore libre. Vincent commanda du champagne et Charlotte s'installa à côté de Juliette. Le contraste entre les deux jeunes femmes avait de quoi bluffer un homme. Charlotte était blonde, avec la fragilité apparente de la porcelaine de Saxe et de grands yeux bleus pleins d'innocence. Juliette, brune aux cheveux courts, un fauve racé, très sportive, dévorant les jolies filles et la vie à pleines dents.   L'émotion qui naissait alors en elles ne se consumait pas dans la jouissance, elles attendaient. Le corps de sa prochaine conquête lui apparaissait miroitant d'or et d'argent, comme si la lune et le soleil l'avaient enduite d'une rosée dont elle allait goûter le nectar. Les prières glissent ainsi vers un temple invisible. Juliette méditait son érotisme. Peu à peu, nos pupilles bientôt s'habituèrent à la pénombre qui régnait. L'endroit était frais, agréable, une musique anglo-saxonne en fond sonore, tout au fond de la salle, il y avait un grand rideau derrière lequel nous entendions par instants des éclats de rire et des exclamations. Autour de nuit, des couples flirtaient sans trop de retenue, Vincent leva son verre en direction de Juliette qui lui répondit avec un sourire. Ils étaient beaux tous les deux et très amoureux l'un de l'autre. Ils ne s'adonnaient désormais plus aux jeux échangistes qu'ils pratiquaient autrefois. Le champagne était délicieusement frais et pétillant. Bientôt, une jeune femme passa devant eux, attirant tout de suite l'attention de Juliette. Elle était ravissante, cheveux blonds coiffés en queue de cheval, longiligne, le visage souriant, bronzée. Sa silhouette élancée était mise en valeur par une jupe noire très courte montrant des bas qui luisaient langoureusement. Un charme fou, une distinction naturelle. La Marquise était un établissement dont l'organisation était sans défaut. On pouvait très bien rester dans la première salle et y boire un verre tranquillement dans une atmosphère ne dépassant pas le flirt un peu poussé. La jeune femme qui venait d'arriver s'était assise non loin d'eux et ils auraient juré qu'elle venait là pour la première fois. À la table voisine, un couple, lèvres soudées, s'étreignait passionnément et la main de l'homme était invisible sous la robe de sa compagne dont les jambes frémissaient par instants, s'ouvraient insensiblement, puis se refermaient comme sous l'effet d'un retour de pudeur. Soudain, ils se levèrent et disparurent derrière le rideau rouge, sans doute pour rejoindre alors une alcôve. Juliette avait imperceptiblement changé d'attitude, Vincent la connaissait suffisamment pour deviner qu'elle avait envie de lui, mais plus encore, d'aller jeter un coup d'œil dans l'autre salle, de profiter ainsi de l'opportunité pour faire connaissance de la ravissante blonde. Une conquête facile et surtout agréable, d'autant que l'attirance paraissait mutuelle.   Elle était mince, d'une élégance très parisienne et son visage pétillait de joie. L'obscurité et le rire des jeunes femmes des tables voisines composaient un instant radieux. Il y a toujours un mur glacé qui à l'intérieur de chaque instant vous renvoie au néant. La plupart du temps, ce mur se franchit aisément, on n'y pense même pas. L'amour de vivre suffit à l'effacer. Son maquillage était discret. Assurément sous son chemisier transparent, elle ne portait pas de soutien-gorge car on devinait ses seins libres et fermes. Sous des airs de jeune fille BCBG, elle devait avoir un tempérament de feu. Elle avait vingt ans. Même pas, dix-huit ans et demi. Un âge diabolique pour Juliette qui en a quinze de plus. Elle est distinguée, blonde, avec des yeux magnifiques, le visage encadré par une sage chevelure. Piquante, peu farouche, elle avait cette liberté des jeunes filles de bonne famille émancipées. Elle devait traîner tous les cœurs derrière elle. Elles décidèrent toutes les deux après avoir échangé quelques paroles anodines de rejoindre Charlotte et Vincent dans l'autre salle, derrière le rideau. Sur les banquettes garnies de coussins qui faisaient le tour de la pièce surchauffée, des couples faisaient l'amour sans retenue. Quelque part, s'éleva un long gémissement de plaisir. Juliette avait retrouvé ses ardeurs saphiques, dont Vincent avait l'habitude. Un inconnu contempla Charlotte, surpris de sa retenue, puis jeta un bref regard à Vincent, comme pour solliciter une autorisation. À La Marquise, tout le monde était bien élevé. Voyant qu'il n'y avait aucun refus, il se baissa alors vers Charlotte qui gardait obstinément les paupières closes et, la prenant par la taille, la redressa doucement jusqu'à ce qu'elle fût agenouillée devant lui. Puis il releva sa robe le plus haut possible dans son dos, défit lentement le tanga en soie jaune qui voilait ses hanches. Elle frémit quand il commença à caresser ses fesses nues qui s'offraient vers lui. Sans se l'avouer, elle adorait se faire prendre par un inconnu dont elle se refusait à voir les traits, ce qui devait combler son fantasme favori. Juliette avait conquis la ravissante blonde. Elle s'appelait Florence. Le désir n'a jamais l'épaisseur qu'il a dans le silence. Elles s'embrassaient amoureusement, les langues entremêlées. À genoux, la main de Juliette allait à la découverte des merveilles entrevues dans le décolleté de Florence. Ses seins tenaient juste dans la paume de sa main et avaient une fermeté remarquable. Le bout des doigts caressait, tour à tour, chaque auréole et elle sentait les pointes commencer à s'ériger.   Il y eut alors un long silence. La jeune femme savoura cet instant qui la vengeait. Désormais, elle aurait totalement accès à elle, sans rien exiger. Son cœur battait fort, elle riait. Elle se sentait à la fois ridicule et glorieuse, comme si un événement considérable avait lieu. Elle la fit basculer pour l'allonger sur la banquette. Elle fermait les yeux mais sa respiration avait changé de rythme. Elle couvrit son visage de baisers par de multiples touches délicates, sur les lèvres, passant sa langue derrière son oreille, ce qui la fit frémir. Florence mordillait les pointes des seins de Juliette. Après lui avoir ôté ses talons hauts, Juliette commença à faire glisser sa main le long de la jambe dont le galbe du mollet était parfait, sa main crissait sur les bas. Bientôt la main continua sa reptation au dessus du genou, vers l'entrecuisse de Florence. Juliette s'aperçut qu'elle ne portait que des bas. Florence riva son regard sur les doigts de Juliette qui parcouraient sa fente, tandis que son clitoris, décalotté, pointait tel un dard. Florence ne tarda pas à jouir. À peine risquait-elle une fiévreuse caresse, un élan passionné, que Florence entrait aussitôt dans des ardeurs trop vite maximales. Juliette freinait donc là où une femme devait pouvoir se lâcher. Elle se réservait toujours au lieu d'offrir sa confiance en même temps que son corps, ce qui on en conviendra rationne le plaisir. Elle avisa que le comportement de Florence, sans être insolent, allait à l'encontre des préceptes qu'il lui faudrait bientôt assimiler, pour la rendre docile, bien entendu, mais surtout, résignée à se priver d'orgasme, avec un respect infini et la langueur qu'elle attendrait d'elle. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller. Sa jupe flottait au gré de ses mouvements. Par moment, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine. Elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance.   Elle se donna très doucement, et tout de suite ce fut parfait. Les baisers, les caresses prenaient avec elle la forme d'une évidence. Ce qui se consumait dans leurs ébats effaçait entièrement la logique. Elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta. Le soutien-gorge descendu fit apparaître l'aréoles de ses seins. Elle s’exhibait sans retenue. Deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà fièrement dressés. Le premier les malaxa sans douceur. Le second attoucha ses fesses. Elle était maintenant nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée. les doigts fouillèrent son vagin et son anus. Elle implora d'être prise. Un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient. Un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge. Juliette et Florence avaient choisi de profiter d'un recoin sombre de la salle pour s'abandonner de façon plus discrète. Elles étaient totalement nues maintenant. Étendue sur le dos, les bras rejetés en arrière, Florence se livrait sans pudeur. Juliette avait décidé de la dompter, de la soumettre durement, de la rabaisser, de l'anéantir presque. Mais le lieu ne s'y prêtait pas. Elle se jura en elle-même de parvenir à ses fins. Comme dans un rêve, sous ses caresses, elle entendit le feulement de Florence qui se cambrait de tous ses muscles. Un instant ses cuisses se resserrèrent convulsivement autour de la tête de Juliette puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon. Juliette plongea ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant fièrement, que Florence avait de nouveau joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longuement entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine. Elle ne s'était pas trompé dans le jugement qu'elle avait porté sur la personnalité de Florence. Après un dressage strict et sans répit, elle deviendrait certainement une parfaite soumise.   Bonne lecture à toutes et à tous.   Méridienne d'un soir.
397 vues 16 aime
Par : le 27/02/23
Je lui claque une fesse. Sa mouille abondante dégouline lentement jusqu’au plancher. Elle baise ma chaussure. Je saisis le feutre sur la table sur la table et, d’un mouvement sec, tir un grand trait barrant ceux qui ornent déjà sa peau. — Tu n’as pas honte ? je demande. Un gémissement plaintif me parvient aux oreilles. Je reconnais le doux son de sa gêne. Je retire l’œuf de sa chatte et le jette sur le tapis. Quand je plonge deux doigts dans son anus tremblant, sa bouche m’accueille d’un geignement prolongé et suave. Genoux à terre, repliée en avant sur le tapis et mains menottées dans le dos, elle est à ma Mercie. Soumise sous contrôle. Chienne en dressage. Esclave de mon désir. Mes doigts s’engouffrent dans ses fesses et je frotte ses parois avec vigueur. Je fouille son intimité. Je saisis sa crinière et tire sa tête vers l’arrière. Un long gémissement traverse la pièce. — Petite pute. Elle gémit. — Putain masochiste. Elle gémit. — Tu n’as pas honte ? Son souffle s’accélère, ses parois se resserrent. Sa tête que je tire vers moi s’abandonne de plus en plus dans mon sens. Elle frémit, son corps est parcouru de spasmes. Les larmes de mascara sur son visage gonflent ma verge d’un désir explosif. — Jouis ! Je lui claque une fesse. De petites gouttes forment rapidement une trace humide sur le tapis et elle pose un baiser sur ma chaussure. Du feutre, je grave sur son cul son cinquième orgasme. Je me lève et lui retire les menottes. — Debout ! Elle obéit. Elle s’avance vers le pied du lit. — Cambrée ! Elle s’affaisse vers l’avant. — Tes fesses ! Elle gémit. Elle amène ses mains dans son dos et écarte les fesses. Son petit anus compressé s’agite. Il me fait de l’œil et je compte bien le défoncer. Je bande à en mourir. Je rapproche ma bite de son cul et d’un mouvement sec je la pénètre jusqu’à la base. Son gémissement résonne contre les parois des murs. Je saisis son cou et à son oreille : — Silence ! Chienne ! j’ordonne. Elle inspire grandement. Elle gémit. Elle frémit. Mon bras appuyé contre son sein capte le battement affolé de son cœur. Elle est belle. Elle est si belle dans la peur. Je retire alors ma queue et, une nouvelle fois… je lui baise l’anus.   Couché sur papier en une petite heure...
627 vues 16 aime