La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le Il y a 2 heure(s)
Après de nombreux échanges pour rédiger le contrat de soumission (les pratiques, les limites, les safewords, ...). Les échanges furent rapides et intenses, et une rencontre est prévue lors d’un petit séjour pour une nuit dans une “love room” ambiance BDSM (table de massage/torture, balançoire, différentes attaches et contraintes, barre d’écartement, collier, laisse, bâillon, … ainsi que 2 lieux de détente : jacuzzi et sauna). Rien qu'au téléphone, la connexion cérébrale était déjà présente et intense tant mon corps l’exprime. Ma petite nouille était souvent dure et mouillée.   Arrive le jour J, je suis arrivé en premier (vers 17 h 30). Les règles étaient claires, je devais attendre à genoux sur le pas de l’entrée ainsi que la tête baissée. Je me posais 1000 questions : « Est-ce qu’elle va arriver ? », « Dans combien de temps ma Maîtresse va arriver ? », « Est-ce que je vais être à la hauteur ? », « Est-ce que j’ai bien fait de m’aventurer là-dedans ? ». Plein de questions qui trottaient dans ma tête, sans réponse à l’instant T, mais j’allais vite le découvrir. Soudain, j’entendis une voiture entrer dans la cour au bout de (15-20 minutes) à genoux : « Ça y est, ma Maîtresse est arrivée. » Ce fut un soulagement d'entendre ma Maîtresse arriver avec des pas déterminés et ses bottes à talons qui claquent le sol à chaque pas. J’ai l’impression de l’entendre à des kilomètres, telle sa prestance est immense. Après avoir déchargé tous les bagages de ma Maîtresse, j’ai dû donner ma clé de voiture, mon portefeuille, mon téléphone. Je lui donne clairement ma vie, mon identité, ma liberté, et je ne peux plus faire machine en arrière, je suis dorénavant sien, ne pouvant pas m’échapper aux risques d’être nu et sans papiers sur la voie publique. L’entrée en matière fut directe et très humiliante, mais j’avais confiance en ma Maîtresse. Sous son ordre, je me mets complètement nu pour que ma Maîtresse contrôle l’entièreté de mon corps, les différentes épilations demandées, mais aussi l’hygiène de mon corps de la tête aux pieds. Puis cette douche avec de l’eau froide fut si éprouvante que mon corps en tremble encore. De plus, ce lavage de mon petit trou à de nombreuses reprises (lavement anal) me vide totalement. Mais j’ai cette impression que ma Maîtresse me possède et m’avait déjà pris en main de nombreuses fois et que mon corps à l’intérieur de moi est totalement nettoyé et à ELLE. Prêt à subir tous les ordres et désirs que ma Maitresse s’apprête à me faire vivre dans ce séjour. Mon cul est dilaté d’entrée, prêt à travailler pour ELLE. C’est même sa priorité, puisque c’est la première pratique qu’elle exerce sur mon petit trou anal vierge. Maîtresse y va en douceur avec ses doigts de fées, mes gémissements montrent que j’ai énormément de travail à effectuer dans ce domaine pour pouvoir accueillir ses 5 doigts entiers dans mon cul. Les va-et-vient avec ses doigts, j’adore cela : c'est à la fois excitant pour le plaisir prostatique (1 doigt ça va) mais également douloureux à encaisser pour mon petit trou (2 ça tire fort déjà). Contraint à 4 pattes, attaché aux mains et pieds par une barre d’écartement qui m’empêche de resserrer mes jambes et offre mon trou. Mes bourses sont à disposition, ma Maîtresse en profite pour donner quelques coups de pieds et mains pour tester ma résistance au ballbusting. Je vous le dis, c’est dur de recevoir ces impacts sur cette partie fragile du corps... Ensuite, je suis mis sur la table de massage (ou plutôt de torture), totalement contraint et attaché de A à Z sur le dos par une longue corde avec mon sexe, mes tétons, mon visage à sa disposition. Mais avec la vue totalement masquée (je ne vois rien, je suis dans le noir), ce qui décuple les sensations de l’ouïe et de l’odorat, entendre son souffle, ses bruits de pas, me demander à quelle sauce je vais être mangé... Être touché par ELLE, sentir sa peau, sa voix, sa respiration, je suis clairement au 7ᵉ ciel. Mais cela est de courte durée, car ma Maîtresse est sadique et la torture de mes tétons est un de ses grands plaisirs. De plus, je suis fragile et très sensible de cette partie là, et elle le sait, je souffre déjà... Elle s’attaque à mon sexe également qui est en érection depuis de longues heures où ma maîtresse le malmène sans ménagement (même sans le toucher) et l’excite avec désir et frustration, un mélange explosif. J’ai envie de "balancer la sauce", mais j’en ai l’interdiction sans l’autorisation de ma Maîtresse. C’est dur, c’est tellement dur que mon corps refuse qu’elle me touche et je tente de me tortiller pour éviter qu’elle me touche. Mais je n’y arrive pas, elle utilise même tout son corps pour jouer sur moi et me contraindre un peu plus. Je sens son fessier, ainsi que sa culotte mouillée. Elle me bâillonne même avec sa culotte trempée. Après de longues minutes à me battre contre l’idée de jouir, elle retire mon bandeau ; ses seins sont juste au-dessus de mes yeux, j’ai enfin l’autorisation de jouir. Quelle récompense, mais d’une courte durée, car c’est un orgasme ruiné suivi d’une masturbation post-orgasme. Une vraie torture où je bouge comme une anguille prise au piège hors de l’eau. Je suis détaché, le bandeau remis, et je perds de nouveau la vue. Amené avec la laisse près d’un fauteuil, elle m’ordonna de lui prodiguer un cunnilingus pour tester mes capacités à lui servir de sex-toy, et tester ma langue et mon niveau de pratique. Après quelques minutes, ma maîtresse me repoussa brutalement de son sexe et prit son jouet pour se faire plaisir et obtenir un orgasme. J’ai tout de suite compris que je n’étais pas à la hauteur de ses espérances dans cette pratique là. Je suis NUL et MAUVAIS, je me sentis comme un moins que rien et pas capable de donner du plaisir à ma Maîtresse, je suis humilié, j’ai honte de moi. Après avoir obtenu sa jouissance avec un vrai jouet de qualité, elle me tira par les cheveux pour que je lèche et nettoie son orgasme, son nectar, qu’il n’y reste aucune goutte. Suite à ce désastre, ma Maîtresse eut envie de se délasser dans le spa et de prendre du bon temps pour elle. Pendant que j’étais contraint au sol par un humbler avec les couilles et mon sexe tiré vers l’arrière de mon fessier. J’ai dû clairement faire la statue au musée du Louvre, car chaque mouvement me faisait terriblement mal. Après ce moment de détente pour ma Maîtresse et ce long moment d’attente en mode « ne pas bouger » pour ma part. Ma Maîtresse testa mes qualités de masseur. À ce moment-là, je me suis dit : « Il faut que je me rattrape, je ne peux être que meilleur que lors de la pratique d’un cunni ; en tout cas, on ne peut pas faire pire, du moins. » Donc j'ai tout donné pour lui prodiguer un bon massage, afin qu’elle soit fière de son soumis. Elle s’allongea sur la table de massage sur le ventre avec une serviette qui remontait jusqu’à son bas du dos pour ne pas avoir froid. Je me croyais masseur professionnel tellement l’endroit correspondait avec l’ambiance des jeux de lumière tamisée (rouge), la table de massage ainsi que l’huile parfumée. Elle était sur le ventre, j’ai donc à disposition son dos, ses épaules, ses bras à masser dans un premier temps. Je pris l’huile de massage et l'ai frotté entre mes mains pour la faire chauffer. Je m’applique à passer sur tous ses membres avec force, énergie et dextérité, en passant à de multiples reprises et en appuyant plus ou moins fort pour détendre les muscles du corps de ma Maîtresse. Je sens que Maîtresse est plutôt détendue, qu’elle apprécie ce moment et qu’elle est satisfaite de ce massage. Et elle me l’exprime que « je suis meilleur (ou moins pire) en qualité de masseur que pour faire des cunnilingus ». Après avoir effectué le dos, les épaules, les bras et les mains de ma Maîtresse. Elle se retourne et j’ai eu la chance d’apercevoir et de prodiguer un massage sur sa poitrine et son ventre. Et autant vous dire que ses seins, c’est la partie préférée que j’admire chez ma Maîtresse, avec ses doigts de fées qui arrivent en second. Ma Maîtresse a 2 magnifiques obus qui auraient pu mettre fin à de nombreuses guerres, tellement les soldats auraient été éblouis et la rétine complètement transpercée par cette vue magnifique. Je prends le temps de contempler, toucher, masser, malaxer sa poitrine qui est si moelleuse et agréable au contact. Après ce moment de massage auprès de ma Maîtresse, j’ai eu la chance qu’elle m’autorise à l’accompagner dans le jacuzzi pour un moment de détente assez sensuel. Ce fut un moment inoubliable avec une première partie où ma maitresse joue de ses pieds pour toucher et exciter mon sexe avec plus ou moins de pression de sa part pendant que je prodigue un massage à son deuxième pied. Puis nous sommes amenées à discuter, à échanger, et je lui fais part d’une envie et de mon attrait pour le water bondage. Et ce n’est pas tomber dans l’oreille d’une sourde. Maîtresse prit une corde et m’attacha le haut du corps, bras et mains liés dans le dos en "shibari". Ce fut un moment suspendu dans le temps, où la complicité et le jeu étaient présents. Je tentai de me révolter un petit peu, mais c’était sans compter la pression et la force de ma Maîtresse qui me plongea dans l’eau, où ma respiration était coupée. Je devais me retenir, me concentrer et résister sous l’eau pour ne pas boire la tasse, et quand j’avais le souffle court, je tentai de remonter à la surface, mais ELLE jouait de cela pour me contraindre encore quelques secondes dans l’eau. C’était clairement mon moment préféré, ce moment de complicité, de jeu, mais aussi de proximité avec le corps de ma Maîtresse. C’était clairement un moment qui était magique durant ce séjour. Après ce moment intense et inoubliable, il était temps de prendre une douche et d’aller se coucher, car il se faisait très tard, même si je n’avais aucune notion du temps et de l’heure (j’ai su après qu’il était dans les 5 h du matin). J’ai eu l’occasion de dormir aux côtés de ma Maîtresse et c’était agréable de sentir sa présence, son corps, de la toucher avec son autorisation, mais aussi de la masser pour s’endormir. La nuit fut courte, puisque nous devions rendre le logement le matin même (avant 11 h). Mais le réveil était agréable avec ce réveil en douceur peau à peau avec la tendresse auprès d’ELLE. Mais tout d’un coup ma Maîtresse eut une envie de jouer avec moi et mon corps dès le réveil en m’attachant sur ce lit avec les membres aux extrémités en étoile de mer avec les attaches de lit. Je n’avais point le droit de jouir et ma maîtresse jouait de mon sexe et me fit découvrir une nouvelle sensation, la wand sur mon sexe. Quelle incroyable sensation de sentir les vibrations, mais quelle torture quand on n’a pas le droit d’éjaculer. Heureusement pour moi et pour cette éjaculation qui n’a point eu lieu puisque je n’ai pas eu l’autorisation de ma Maîtresse, hélas c’est l’heure de partir et nous devions ranger et quitter les lieux. Ce fut un moment triste, car je devais déjà quitter ma Maîtresse. Je fais le rangement et le ménage, elle charge sa voiture, et elle me rend ma liberté avec la remise de mon portefeuille, de mon téléphone et ma clé de voiture... Ce séjour fut très court, trop court, mais c’était une rencontre intense et excitante qui laissera surement place à d’autres séjours BDSM avec ma Maîtresse. A suivre... NB : Récit écrit à ma demande par mon soumis SMD96
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Par : le Il y a 20 heure(s)
Je me souviens de la première fois où j’ai passé la bride au cou d’une Femme. J’étais, je le reconnais, plus jeune, moins expérimenté et surtout beaucoup moins confiant. Cependant j’avais apporté un soin particulier au choix de l’article. Une bride en cuir épais, de qualité, comme celle qu’on monte sur les gros chiens, avec un anneau large ou passer plusieurs doigts etait possible. J’y avait adjoint une laisse optionnelle en acier lourd, à gros maillon, mais courte pour rester agile dans le maniement. Un très bel ensemble assorti d’une sangle en cuir ferme du même tenant permettant une prise ferme et sans défaut.   Celle-ci m’a depuis apporté beaucoup de plaisir. Autant dans l’apprentissage de l’art de son maniement que dans la variété des pratiques que celle-ci nous aura permis avec ces Dames.   A mon sens, une bride doit être entièrement assumée. Sans aucun détours ni ambiguïté. C’est un symbole et celui-ci doit être puissant et sans équivoque s’il veut inspirer une emprise rassurante. Toute dissimulation, hésitation  ou atermoient créera un climat de suspicion prompt à rompre l’harmonie Maître / Soumise.   En effet,  Mesdames, j’entends tout à fait votre volonté de ne pas vous laisser contraindre de la sorte par quiconque sans avoir atteint un certain seuil de confiance. Autant dans la personne elle-même que dans sa maîtrise de l’objet. Mais je fais confiance à votre jugement et à votre sensibilité pour savoir confondre un Maître malveillant ou malhabile.   Les vilaines laisses toutes fines pour petits lapins roses n’ont pas droit de citer dans mon vocabulaire. Au-delà de leur aspect cheap, de leur inconfort et de leur capacité à tourner ces Dames en ridicule; elles ne reflètent pas le contrôle et l’emprise que celles-ci attendent de l’objet. Et encore moins l’autorité que celui-ci confère à celui qui l’opère. Une bride respectable doit pouvoir devenir un objet de désir et de convoitise  pour ces Dames. Un de ceux qui font mouiller les lèvres et tourner les têtes.   Je reconnais par ailleurs avoir un faible tout particulier pour le harnais en cuir avec mordant. Même si celui-ci est moins versatile dans ses pratiques, il apporte certaines notes de transgression délicieuses qui résonnent en moi.    En effet, beaucoup moins confortable: le maintien du visage se faisant par la contrainte de la mâchoire. Souvent doté de lanières et d’anneaux latéraux (en metal dans mon cas) qui vont également compresser les plus fins minois. Son esthétique singulière confère, par anthropomorphisme, un côté cru et animal à ces Dames. Non pas un animal de compagnie qu’on identifie par un sobriquet et chérit comme son propre enfant; mais bel et bien un animal sauvage et libre dans toute sa splendeur. Et qu’il est, à l’évidence, fort agréable pour nous de dresser.    Ce côté légèrement plus kink de l’objet permettra à une Femme aguerrie une distanciation plus prononcée de sa propre psyché. Aussi, si celle-ci apprécie (car ça n’est évidement pas du goût de toutes), elle en fera un objet de libération fort, et qu’elle pourra même, parfois, de son propre chef, venir proposer à son Maître lorsqu’elle aura envie d’être apprivoisée.   Notez enfin que j’ai une tendresse particulière pour un mords en cuir assorti, permettant à ces Dames de punir à foison l’objet. Tout particulièrement quand encaisser une pratique devient physiquement plus difficile. Et ceci sans jamais abîmer leur précieuse bouche.  Il permet aussi Maître expérimenté de jauger les seuils d’inconfort et de les adapter pour faire durer le plaisir de l’un, comme de l’autre.  A noter que celui-ci autorise même l’emploi d’un safe word rassurant dans les cas extrêmes.  Et, comble de la sophistication, une longe de cuir longue et de bonne facture permettra accessoirement de cravacher cuisses, fesses et seins saillants pour redonner de l’entrain à la promenade, puis de la fougue au galop.   En résume j’invite donc ces Messieurs qui voudraient s’y essayer à choisir savamment une bride adaptée à leur maîtrise de l’objet et, par-dessus tout, j’invite ces Dames à apporter le plus grand soin au choix de ces Messieurs …
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Par : le 03/06/25
B. Premiers pas de soumis. Partie 2 « Bon, il a assez macéré, j’y retourne ! » dit Sabine. Vanessa préfère rester dans la pièce prétextant que Sabine s’en sortait très bien sans son aide et Martin retourne s’asseoir sur le canapé. Jean entend le pas cadencé de Sabine s’approcher de lui. Mais est-ce vraiment elle ? Si oui, que va t’elle inventer ? Avec quels jeux pervers elle va le tourmenter ? Il est surpris de constater que le simple fait de se poser la question fait monter en lui le désir à un tel point que cela lui procure du plaisir et est impatient de connaitre la suite. Par contre, contrairement à tout à l’heure, il ne perçoit aucun autre bruit. S’il y avait des spectateurs ils ont peut-être été déçus et sont partis. Ses interrogations sont interrompues car il sent qu’on décroche ses mains tout en lui laissant les menottes, pareillement pour les chevilles et, enfin, sa taille est libérée ce qui lui permet de respirer plus facilement. Jean ne bouge pas. Privé de toute vision il n’ose pas faire le moindre mouvement et attend qu’on le guide. Maintenant il est certain que c’est Sabine car il a reconnu son parfum. Sabine observe ce corps ruisselant de bave, elle décide de lui laisser le bâillon boule pour l’instant et, toujours sans prononcer le moindre mot, elle attrape la laisse et tire dessus pour le faire avancer. Jean parait moins tendu, elle constate qu’il la suit avec plus de facilité. Apparemment, ce moment où elle l’a laissé seul dans une position sans équivoque, lui permettant de faire face à sa condition de soumis a porté ses fruits. Elle l’amène jusqu’à un carcan sur pied, lui enlève le collier et se dirige vers le meuble où sont rangés tous les accessoires classés par catégories. C’est un meuble de couleur Chêne foncé qui fait penser aux vaisseliers d’antan. Sur la partie haute sont accrochés les fouets, martinets, cravaches, paddles, cordes et chaînes. Juste au-dessous une étagère présente des godemichets de différentes formes et tailles et encore au-dessous il y a celle des plugs. Le plateau permet  de préparer des objets ou de les déposer après utilisation et avant leur rangement. Le bas est divisé en trois parties. À droite une rangée de tiroirs dans lesquels on trouve des petits accessoires, au milieu une porte s’ouvre sur le matériel d’électro stimulation et à gauche il y a deux tiroirs dans lesquels sont fixés des sac poubelle. Le tiroir du haut pour mettre le matériel à nettoyer ou stériliser et celui du bas pour les déchets à jeter. Sabine ne voulait pas que des choses répugnantes trainent n’importe où, elle a fait faire ce meuble adapté à ses besoins par un artisan de la région. Tant-pis pour les fabricants suédois de meubles en kit. Tant pis aussi pour les aficionados de la canne et de la badine, elle n’en a pas car elle n’aime pas infliger des douleurs extrêmes. Elle se défini elle-même comme une Dominatrice romantique. Elle dépose le collier avec la laisse sur le plateau à côté de la cage de chasteté qu’elle avait mis là plus tôt, attrape une cordelette d’un mètre et retourne vers Jean qui cherche à deviner ce qu’elle mijote. Sabine se baisse et enroule la cordelette autour du scrotum en serrant assez fort, fait une boucle d’une vingtaine de centimètres sur le bas, elle regarde son travail, elle estime que les testicules sont suffisamment séparés de la verge puis tire sur la boucle qui résiste à la tension. Satisfaite elle se redresse, se place de l’autre côté du carcan, ouvre la partie haute et dit « Lève tes bras à l’horizontale et avance de deux pas ! » Il a vraiment l’impression de jouer à Colin-maillard. Elle lui attrape les deux poignets « Penche-toi en avant. N’aie pas peur ! » Elle positionne les deux poignets dans la partie basse puis le cou en appuyant sur sa tête, rabat la partie haute puis verrouille le tout. Elle termine en fixant les menottes à un piton fermé du carcan. Elle règle la hauteur du carcan afin qu’il ait le dos à plat et retourne au meuble, prend une cravache, ouvre un tiroir, hésite et se décide pour un poids de cinq cents grammes puis attrape une barre d’écartement métallique et retourne vers jean. Elle règle la barre pour un écartement de quatre-vingt centimètres, pour un début ça ira, elle pose la barre derrière les pieds de Jean, s’accroupit et ordonne « Écarte tes pieds ! », en tapant l’intérieur de ses cuisses avec la cravache elle arrive à attacher les chevillières à la barre. En se relevant elle constate que le dos n’est plus à l’horizontale, donc elle règle à nouveau la hauteur du carcan, fait deux fois le tour pour vérifier le résultat et en profite pour mettre une bonne tape sur les fesses de Jean, sachant qu’avec le cuir il n’aura pas mal mais juste pour lui faire comprendre que maintenant elles sont à sa mercie. Sabine se retourne vers Martin et Vanessa qui est derrière le miroir sans tain et fait mine de s’essuyer le front pour leur faire comprendre que ça n’a pas été une sinécure. Vanessa est morte de rire mais sent la chaleur monter dans son bas ventre. Sabine ramasse le poids, l’accroche à la boucle qui dépasse sous les testicules et avec sa cravache s’amuse à faire aller le poids d’avant en arrière comme le balancier d’une horloge. Depuis le début Jean fait des efforts surhumains pour réfréner chaque début d’érection en se conditionnant psychologiquement. Il s’était transformé en simple objet et y prenait du plaisir, un plaisir différent du plaisir phallique dont il avait l’habitude mais il est encore incapable d’analyser cette nouvelle sensation. Il ne s’en rend pas compte mais un filet gluant coule de son méat. Cela n’échappe pas à Sabine qui s’exclame « Voyez-vous ça. C’est qu’il est tout excité et en plus il bave. On dirait un escargot ! »  Elle lui enlève le bâillon, enfile des gants en latex, lui essuie la bave avec du papier absorbant, va récupérer la mouille qui coule encore du sexe de Jean avec son index et son majeur puis va lui mettre les doigts dans sa bouche « Suce mes doigts. Nettoie tes cochonneries ! Tu aimes sucer mes doigts ? » Il répond par un « oui Maîtresse ! » obligatoire. Sabine retourne au meuble, prend du lubrifiant dans un des tiroirs, revient et dégrafe la partie arrière du slip qui donne accès à l’anus. « On va vérifier si c’est bien propre ! » Elle enduit ses doigts, couverts par le gant, de lubrifiant et commence par en mettre autour de l’anus de Jean puis insère son index et fait quelques va-et-vient. Elle recommence en y ajoutant son majeur et là, il pousse un petit cri. Sabine se moque de lui – « Oh la chochotte ! Tu es puceau du cul ? » Jean – « Oui Maîtresse ! » Sabine – « Bon, c’est propre mais très serré ! » Elle va chercher un plug en silicone de dix centimètres de long et deux centimètres et demi maxi de diamètre. Pour un dépucelage ce sera parfait se dit-elle. Elle lubrifie copieusement l’objet, elle exerce une pression soutenue sur le bas du dos de Jean avec sa main gauche et dit « Respire profondément et lentement, décontracte-toi ! » Elle introduit lentement le plug jusqu’à ce qu’elle sente une résistance, glisse sa main gauche vers le torse de Jean, attrape le téton, le tord très fort et en même elle pousse d’un coup sec le plug qui, cette fois, a forcé le passage du sphincter et est en place. La douleur soudaine du téton a fait que Jean s’est à peine aperçu que l’objet était entré dans son fondement jusqu’à la garde. Il sentait juste qu’il avait un corps étranger en lui et que son anus était élargi mais il n'avait pas été traumatisé. Instinctivement il s’était mis en apnée au début de l’introduction mais, maintenant il a repris une respiration normale, son cœur bat un peu vite probablement à cause de l’émotion mais curieusement il se sent bien. Vanessa qui n’a rien raté de l’opération et s’introduisait deux doigts dans sa chatte au même rythme que le plug s’introduisait dans l’anus de Jean pousse un couinement et jouit. Martin qui, lui non plus n’a rien raté du spectacle, regrette de ne pas être à la place de Jean, même si lui, il est déjà à un niveau supérieur. Sabine contrôle la position du plug et referme le slip afin que le plug ne soit pas éjecté et dit « Maintenant je vais éveiller ta conscience ! C’est-à-dire que tu vas voir où tu es et ce que je fais ! Tu vas réaliser que tu n’es pas dans un monde imaginaire mais dans un monde réel ! » Elle lui ôte le masque et, effectivement, il prend conscience de sa condition mais, compte tenu de sa position il ne voit pas grand-chose de son environnement. Coincé dans le carcan il peut juste tourner la tête de droite à gauche et seulement une vision limitée surtout que, Sabine qui a récupéré la cravache qu’elle avait posée sur le dos de son apprenti soumis vient de positionner devant lui. Sabine – « Ouvre la bouche ! » Elle lui met la cravache dans la bouche. « Tiens la bien entre tes dents et elle deviendra ta meilleure amie. Si tu la lâches elle me demandera de te punir ! » Ensuite elle décroche les chevillières de la barre d’écartement et s’amuse à tirer sur le poids qui pend toujours au bout de la corde de bondage du scrotum avant de le faire balancer. Elle déverrouille le carcan, décroche les menottes et lui permet de se relever. Elle lui remet le collier avec la laisse qu’elle prend, cette fois, par la dragonne et tire pour l’emmener au milieu de la pièce. Jean marche maladroitement, gêné par le poids qui ballotte entre ses jambes. Il voit Martin assis dans le canapé et craint que ce dernier soit invité à participer. Elle le fait stopper et lui donne l’ordre de se mettre à genoux. Elle tire à nouveau sur la laisse « Viens jusqu’à moi ! » Il avance en étant obligé de garder les cuisses légèrement écartées à cause du poids mais aussi du plug qui, depuis que Jean s’est relevé fait vraiment sentir sa présence. Elle soulève sa mini-jupe « Lèche la chatte de ta Maîtresse comme un bon toutou ! À quatre pattes ! » Sabine étant perchée sur ses talons-hauts Jean a un mal fou à lécher régulièrement. Elle s’énerve « Debout ! Puisque tu es incapable de satisfaire ta Maîtresse on va passer à autre chose ! » Elle l’emmène avec brutalité jusqu’à la croix de Saint-André, le fait mettre face vers le mur, accroche les menottes et les chevillières mais, cette fois, ne le ceinture pas à la taille. Ne voulant pas le traumatiser le premier jour elle un martinet en crin de cheval. Et dit « Pour ta faute je te condamne à dix coups de martinet ! » Le cœur de Jean s’emballe, Sabine ajoute « Après chaque coup tu devras dire pardon Maîtresse ! » Le premier coup s’abat sur le dos de Jean, il demande pardon, cela dix fois de façon métronomique avec une brève pose entre chaque coup. N’étant pas attaché par la taille le corps de Jean tressaute et ondule à chaque fois. Vanessa frissonne et jouit une deuxième fois même sans se caresser. Lorsqu’elle fouette quelqu’un ou qu’elle voit quelqu’un se faire fouetté cela lui déclenche systématiquement une forte jouissance. Cette fois Martin ne regrette pas de ne pas être à la place de Jean. Quoique, parfois il aime bien car cela le déstresse. Sabine laisse Jean reprendre ses esprits, s’approche, se colle à son corps en frottant ses seins sur son dos rougi et lui dit doucement « Tu vois ce qui arrive quand on me déçoit ! » Elle le détache, le fait se retourner face à elle, enlève le poids et la cordelette qui entoure le scrotum, les menottes, les chevillières et va poser le tout sur le plateau du meuble. Elle revient avec la cage de chasteté, décroche la laisse du collier et l’accroche au bout de la cage en fil d’acier puis fait passer les testicules et la verge dans l’anneau métallique, fait glisser la verge dans la cage et la verrouille sur l’anneau. En voyant les testicules séparés de chaque côté de la cage et bien proéminents il lui vient une idée. Elle va chercher une roulette à pics et la passe sur les testicules en appuyant légèrement. Les picotements font frissonner Jean comme s’il recevait une légère décharge électrique. Sabine se relève et dit « Il se fait tard et je suis épuisée. Il est temps que j’aille dormir ! » puis s’adressant à Martin « Cette nuit tu dors seul je vais dans la chambre rose ! » Vanessa comprend qu’elle va finir la nuit avec son amie. Elle attrape la laisse et tire légèrement par à-coups pour faire comprendre à Jean qu’il devait la suivre de près s’il ne voulait pas être émasculé. Une fois qu’ils sont partis Vanessa rejoint Martin dans le donjon. Elle sait qu’elle va dormir avec Sabine car la chambre rose est celle qui est réservée à leur intimité et que Martin en est interdit d’accès et elle lui dit « Ne t’en fait pas demain je te la rendrai, et il vaut mieux qu’elle finisse la nuit avec moi plutôt qu’avec Jean ! » « Salope ! » murmure Martin. Vanessa s’en va en disant « J’ai entendu. Mais tu sais quoi ? Tu as raison. Je suis une salope et j’en suis fière ! » Sabine a amené Jean dans la chambre où il avait déjà dormi, a décroché la laisse, enlevé le collier puis elle est sortie. Mais avant elle lui a donné l’autorisation d’enlever le plug et le slip, sachant qu’il ne pourra pas les supporter très longtemps. Jean regarde son sexe encagé et se demande s’il va pouvoir dormir avec ça. Mais le plus urgent est d’enlever le plug qui commence à se faire douloureux. Il va dans la salle de bain, enlève le slip et se débarrasse non sans mal du plug puis va se coucher et s’endort sans même avoir le temps de repenser à tout ce qui lui était arrivé durant cette longue journée er partie de nuit. Sabine et Vanessa se retrouvent dans la chambre rose.  « Alors comment c’était ?  J’ai été à la hauteur ? » demande Sabine. Vanessa – « Tu as été parfaite ma chérie. Tu sais que j’ai jouit deux fois ! » Sabine – « Ah oui ? Quand je l’ai fouetté ça j’en suis sûre, mais l’autre fois ? » Vanessa – « Quand tu lui as mis le plug. Sincèrement c’était du grand art ! » Sabine – « J’ai été à bonne école mais il est vrai que pratiquer sur un non initié dont on ne sait pas s’il est vraiment volontaire, s’il va apprécier, s’il va vouloir recommencer et surtout vouloir aller plus loin, ce n’est pas évident. Avec Martin ça a été plus simple puisque c’est lui qui était demandeur. Mais porter son dévolu sur un inconnu et faire en sorte qu’il devienne ta propriété, ta chose, c’est excitant et angoissant à la fois. C’est vraiment compliqué ! » Vanessa – « J’y suis bien arrivée avec Patrick. Alors pourquoi tu n’y arriverais pas ! » Sabine – « Patrick et toi c’est différent. Vous étiez tous les deux célibataires, c’est lui qui t’a draguée et pour te garder il a tout accepté sans même chercher à savoir pourquoi tu avais besoin de dominer que ce soit un homme ou une femme, parfois avec cruauté ! » Vanessa – « Toi, je ne te domine pas ! » Sabine – « Au collège j’étais la seule à prendre ta défense quand tous les autres se moquaient de toi. C’est pour ça que tu ne te venges pas sur moi ! Mais je me méfie quand même ! » Elles éclatent de rire puis s’embrassent fougueusement puis Sabine dit avec un sourire mutin « Grâce à moi tu as joui deux fois aujourd’hui. Moi par-contre… » Vanessa – « Ma pauvre chérie. Docteur Vanessa va te guérir ! » Elle l’embrasse Sabine dans le cou, descend vers sa poitrine suce ses tétons tout en dégrafant sa robe qui tombe sur les pieds et pousse son amie en arrière qui se retrouve à moitié allongée sur le lit. Elle se met à genou, fait glisser la robe et les escarpins sur le côté, tire sur les jambes de Sabine pour amener ses fesses au bord du lit, caresse le sexe lisse qui lui est offert puis elle écarte les grandes lèvres, avance son visage et titille le clitoris avec sa langue. Sabine se met à onduler du bassin, Vanessa alterne succion et coups de langue sur tout le sexe et parfois des mordillements. Soudain Sabine attrape la tête de Vanessa à deux mains, soulève brusquement son bassin, lance un long ouiiiiiiiiii puis retombe sur le lit, bras écartés, inerte. Les deux amantes se déshabillent et s’endorment enlacées. Martin, seul dans son grand lit, ne trouve pas le sommeil. Il espère que dans quinze jours il pourra être acteur lors de la grande réunion kink.
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Par : le 03/06/25
Un petit poème de mon maso chéri :    Café, corde et douleurs   La dégueloise gronde, elle bout comme moi sous ta laisse. Chaque matin, je me lève pour te servir, te porter ton café  Avec beurre et croissants chauds   J'embrasse tes pieds, yeux baissés, souffle retenu, l’odeur du café chaud mélangée à celle de ton cuir — c’est mon encens.   Tu dégustes avec plaisir. Je n'ai pas le droit de te regarder. Tu es si belle et je brûle de désirs. Et je sais que la brûlure viendra après. Pour moi cela va barder, sur la peau, dans les nerfs, dans l'âme.   Maîtresse, fais-moi tenir. Fais-moi craquer. Tu sais que je ne vis que dans tes ordres, dans la morsure de ta voix et la morsure de ton fouet.   Je bande d’appartenir. Je bande d’être à genoux. Je bande quand tu craches sur mon amour et que tu l’écrases comme ta semelle sur mon torse.   J’ai préparé la salle, les cordes sont tièdes, les pinces attendent. Je tremble déjà.   je suis ton objet, ton meuble, ta chose.   Je n’ai pas besoin d’un baiser. Juste d’un ordre. Ou d’un « tiens-toi prêt »   La dégueloise siffle encore, mais moi je suis déjà en train de couler, dégoulinant d’attente, prêt à être pris, brisé, marqué,  aimé à ta manière.   Je vous aime tant Maîtresse.  La degueloise siffle toujours  et de moi,de mon amour se moque.  Oui je souffre , je souffre.  Et cela me rend encore plus fou amoureux.   
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Par : le 02/06/25
Aujourd'hui j'ai très très mal au bide . Ça était encore en journée mais là ça tape fort . Je me sens un peu comme dans mon enfance quand j'avais fait une connerie et eu grave peur que mon père va me ruger de nouveau... ou comme un gros noeud qui restera scotché au fond de mes tripes.. ça fouille et ne veut pas se défaire. C'est bizarre, hier soir je me suis faite encore jouir en pensant à celui qui me maltraitait souvent mentalement au lieu de me rapporter du bonheur. Ce n'est pas de sa faute , il ne se rendait pas compte je crois . Il faut être une vraie dingue  de garder ces souvenirs en bonne mémoire . Je croyais être une petite maso car j'avais trouvé du plaisir aux traitements mentaux qui te font souffrir mais mieux vaut arrêter avec cela . Laissons cela pour les "pro" ! Suis pas conne du tout , ni une naïve, au contraire, ne confondons pas mais actuellement ou toujours perdue dans ce monde de bdsm. Entre séances d'électrostimulation ou autres, une relation d/s avec des on/ off... je n'ai toujours pas trouvé mon bonheur . Ou dit- on sa place? J'en ai vécu un peu, de temps à autre. Deux pas en avant , rejettée trois en arrière. Coup brusque, dur! Je l'appelle de l'expérience vécue. Sans plus . Je me plains pas, juste je m'exprime. Toujours eu un énorme besoin de m'exprimer d'ailleurs ... Une chose que j'ai appris depuis. Le faire! Ouvertement. Comme la littérature française, la poésie , l'art ... tout cela  m'intéresse beaucoup depuis. J'ai appris à m'ouvrir ici, écrire ce qui me démange. C'est une façon de lâcher prise aussi . Et parfois les derniers temps, il y'a lui, celui qui pique . Lire quelques lignes de lui me suffisent. Par moment cela fait juste du bien . En lisant ses quelques mots, sans plus . Cela me fait rigoler ou simplement remonter le moral, m'accompagne en journée. Je ne demande rien , juste j'apprécie, je prends, aussi note et essaye de respirer pour du nouveau. N'importe où le chemin me ramène. Un jour, oui  . 
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Par : le 01/06/25
Il y avait un sujet d'étonnement plus réel dans la personne de la jeune fille. Il fallut très tôt cacher ses succès. Au début, on pouvait parler en riant des premiers prix de grec, des parties de tennis enlevées en quelques jeux, du piano dont elle jouait mieux que Saint-Saëns. Puis on dut modérer ces transports et même s'inquiéter, tant il devint évident qu'il ne s'agissait pas seulement d'une adolescente bien douée. À vingt ans, Charlotte était une jeune fille frêle, d'une vitalité extrême, avec un regard pétillant et une bouche remuante sous des cheveux bruns coiffés à la garçonne. Les femmes disaient qu'elle n'était pas jolie, parce qu'elle ne sourait jamais. Mais sa froideur attirait. Elle ouvrait la bouche et le silence régnait. Des yeux noirs brillants comme des cassis mouillés, un air de malice en accord avec son comportement fantasque, on sentait sous la désinvolture de sa jeunesse le nerf tenace des résolutions. En révolte contre les siens, mais sans aller jusqu'à casser de la vaisselle, elle transgressait les tabous de son milieu autant qu'il était convenable de le faire et même souhaitable pour prouver un fier tempérament. Elle s'amusait avec pas mal d'espièglerie d'un statut qui ne lui valait rien, sauf des égards et la faveur des snobs dont elle se fichait également. C'était romanesque d'être son chevalier servant. La domination mêlée à l'amour créait une atmosphère stendhalienne qui me plaisait. Nous nous étions connus en khâgne au lycée Louis-le-Grand, me dit-elle. Je la regarde. Elle n'a pas dû beaucoup changer : elle a à présent vingt-trois ans, elle vient de réussir l'agrégation, sans doute enseignera-t-elle l'année prochaine. Mais elle a gardé un air très juvénile, ce n'est sans doute pas un hasard, elle perpétue son adolescence, les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et une peau mate: Juliette a beaucoup de charme. Elle parait épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement des veines sur les tempes, mais ce pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Nous habitions Rouen, à l'époque. Sa cathédrale, ses cent clochers, Flaubert, et le ciel de Normandie. Même quand il fait beau, sauf pour Monet, quelque chose de gris traîne toujours dans l'air, tel des draps humides et froissés, au matin. Un charme bourgeois. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui. Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi comme la veille, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude, et que je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait pour changer, mes cheveux étaient mouillés. Il les a ébouriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il m'a attirée à lui, et je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, j'avais les jambes qui flageolaient, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais un peu froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. Ce n'est qu'à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé, plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais un peu. C'était la première fois. Charlotte avait trop souffert en secret pour ne pas accepter cet outrage en respirant très fort.     Elle avait découvert tristement qu'un homme peut remplacer un idéal. Il remplace tout. Les autres femmes ne mettent pas tant de religion dans leur amour. Mais, à défaut d'une union spirituelle, un breuvage physique les retient. Un corps les nourrit de sa substance blanche. Pour Charlotte, le corps de l'homme avait un rôle différent. Dans ses bras, elle pensait d'abord qu'il était là, certainement là, et que pour une heure ou deux il n'allait pas disparaître, tomber dans le désespoir. Enfin, il était solide, comme la vérité, les tables, les chaises et non cet être mobile, douloureux qu'elle connaissait. Elle voulait bien que son amant fût une idée ou un objet, pas un vivant, elle savait qu'on doit atttendre le pire, surtout au début. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts, d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à connaître et à aimer, mais là encore, il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide. Il y avait une seule lampe au plafond et il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était inacceptable pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête. Sanglotante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip poisseux, souillé par son sperme. Je m'abandonnais à cette suave torture. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa l'eau de la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie que je devrais porter et ne pas porter surtout. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage en précisant que le manche devait être métallique. J'allais franchir un nouvel échelon. "- Qu'est-ce que tu es ?", m'a-t-il demandé . "- Je ne suis rien. - Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave. - Je suis ton esclave, oui". Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte, je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée, au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Je consommais trop d'enthousiasme dans le désir.   Je l'avais longtemps supplié de m'aimer. Je l'avais laissé faire: ces mots abominables justifiaient ma punition. À présent, je tenais à lui, solidement, par tous les liens de l'habitude, de l'instinct et du dégoût de moi-même. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'il dit. J'étais devenue ce que je voulais être, un simple objet au bon plaisir de son Maître. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Ainsi, je ne m'appartenais déjà plus. Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six fois sur les seins en me meurtrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins. Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, en se donnant à part entière. C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites inattendus, l'abnégation de soi.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 31/05/25
Cela faisait plusieurs mois que nous échangions des messages. Bien que la distance t’effrayait, tu m’as perçu comme quelqu’un à part. Celui qui aurait l’honneur d’être ton Dom et Daddy, le premier à qui tu as choisi de te soumettre — corps, cœur et âme.   Il va sans dire que je me suis attaché à toi comme jamais auparavant. Nous avons partagé des moments virtuels que rien ne saurait remplacer, car notre lien allait bien au-delà d’un simple rapport Dom/soumise. Oui, je parle de sentiments, de connexion, d’amour.   On dit souvent qu’il faut se rencontrer dans un lieu public, la première fois, pour des raisons de sécurité. Mais nous n’avons pas suivi cette règle. Le désir, l’envie… tout cela ne se contrôle pas.   Nous avions longuement discuté de ce que nous attendions de cette rencontre, de ce que nous allions explorer ensemble. Et ce mardi matin, nous nous sommes enfin retrouvés, comme prévu.   Tu portais une élégante petite robe noire et des bottes. Ton visage, que je n’avais vu qu’en photo, m’est apparu dans tous ses détails : tu étais magnifique. Et terriblement sexy. Nous nous sommes salués d’une bise. Il faisait froid. Nous avons marché ensemble vers l’appartement que j’avais choisi, en secret, pour te surprendre.   À peine la porte refermée, tu es entrée les yeux bandés, en signe de la confiance totale que tu m’accordais. Je t’en remercie encore.   Sans attendre, je t’ai plaquée contre le mur. J’ai goûté tes lèvres, mordu ta langue dans un baiser intense. Puis je t’ai ôté le bandeau, pour que tu découvres ce lieu, pensé et préparé pour toi.   Nous avons partagé un petit déjeuner, même si mon appétit, je l’avoue, était tout autre : j’avais envie de te dévorer.   Consciente de tes complexes, je t’avais proposé un massage pour te détendre. Tu ne portais plus qu’une simple culotte… rapidement retirée. Rassurée, je t’ai entendue gémir de plaisir. Tu t’es offerte à moi, nue, vulnérable, sans retenue.   Je me suis déshabillé. Puis je t’ai ordonné de me faire une fellation. Excité à l’extrême, je n’ai pu tenir bien longtemps. Mais tu croyais peut-être que c’était terminé… Ce n’était que le début.   Je t’avais prévenue : je suis endurant. Et moi, j’en voulais plus. Beaucoup plus.   Après t’avoir installé des pinces sur tes seins — qui ont fini par glisser — je t’ai offert un cunnilingus, avant d’entrer en toi. Lentement. Profondément. Intensément.   Je sais que tu as eu mal. Je suis bien conscient que mon sexe n’est pas des plus discrets… Mais je t’ai laissé le temps de t’y habituer, poursuivant mes mouvements, puissants, réguliers.   Je sentais ton corps se crisper, tes paupières se fermer… Tu subissais mes assauts, la gorge serrée sous ma poigne. Je t’ai ordonné de me regarder. Tu as obéi. Et j’ai intensifié le rythme, jusqu’à ce que tu perdes pied.   Je t’ai griffée. Claquée. Possédée. Ton corps, si joliment offert à mes désirs, n’était que plaisir et abandon.   Et je me suis finalement répandu sur toi, dans un mélange de puissance et d’extase.   Nous avons ensuite pris une douche. En regardant l’heure — déjà 13h —, nous avons décidé de sortir manger. La boulangerie à côté a suffi : rapide, pratique. Nous ne voulions pas perdre une minute.   De retour à l’appartement, je t’ai déshabillée. Puis, je t’ai attachée à la croix : bras levés, jambes écartées, dos tourné. Tu étais à ma merci, incapable de bouger.   J’ai commencé à frapper tes fesses avec la cravache. Un gode inséré en toi, maintenu fermement, pour intensifier les sensations. Puis je suis passé au paddle… Puis au fouet à lanières, frappant ton sexe.   Tu encaissais, un coup après l’autre, sans un cri. Seulement des gémissements. Et ce petit sourire… révélateur du plaisir que tu prenais.   Je t’ai détachée, même si tu avais réussi à te libérer d’une attache. Je t’ai guidée sur le canapé. Et je t’ai prise, encore, jusqu’à l’épuisement.   Nous nous sommes installés, lovés l’un contre l’autre. Je caressais ton petit corps marqué de mes empreintes, écho des orgasmes intenses que tu venais de vivre.   Je t’ai proposé d’aller dîner dans un vrai restaurant. Mais encore une fois, nous avons préféré rester là. Un repas simple à l’appartement a suffi.   Puis je nous ai préparé un bain chaud, accompagné d’une bouteille de champagne. Mais la chaleur t’a vite submergée, tu n’as pas pu y rester longtemps.   Je ne compte plus le nombre de fois où je t’ai prise. Mais je me souviens de chacun de tes orgasmes. De ton corps qui se cambrait. De tes râles étouffés. De ta mouille qui coulait sur mes doigts, ta langue, ma queue.   Ce fut une journée d’une intensité rare. Une journée où tu t’es totalement abandonnée à moi. Tes gémissements, ton regard, ton corps, ton plaisir… Tout témoignait de cette confiance, de ce lien puissant entre nous.   Je t’avais promis de te faire jouir comme jamais. Et j’ai tenu promesse.   La nuit a prolongé la journée. Intense. Complète.   Tu t’es abandonnée. Tu as joui, encore et encore. Jusqu’à ne plus pouvoir articuler autre chose que “vous” entre deux soupirs. Jusqu’à ce que ton corps cède sous l’effet de la jouissance.   Et nous nous sommes endormis, l’un contre l’autre, apaisés, comblés, liés par quelque chose de plus grand que nous.   Le matin venu, nous avons partagé quelques instants charnels, puis une discussion sincère sur la suite. L’envie de nous revoir était bien là, brûlante. Nous avions déjà des projets.   Je t’ai raccompagnée à la gare. Je t’ai regardée partir, les yeux brillants du souvenir de ce que nous venions de vivre. Ce moment restera gravé, à jamais.   Mais la vie n’est pas toujours simple. Et malgré l’évidence de ce que nous vivions ensemble, tu as dû faire un choix. Un choix difficile. Ce n’était pas un choix du cœur, je le sais. C’était un choix imposé par ta situation.   Aujourd’hui, tu es toujours là. Présente. Indissociable. Amoureuse, mais dans l’ombre de ma lumière.   Cette personne que j’identifierais pas, se reconnaîtra dans ces mots.   À toi, ma belle petite chienne.  
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Par : le 31/05/25
Passé, présent, futur. La valse à trois temps de la langue. Valse qui s'offre tel un présent. Ce qui fait la force du présent c'est qu'il se partage. On donne, on reçoit, on se laisse guider. J'ai d'abord reçu la langue, j'ai lu en tout temps, je me suis nourrie. J'ai accueilli les mots tel une pluie, signe d'un au-delà qui vous rassure sur le fait que vous n'êtes pas seul dans vos maux. La pluie qui vous effleure d'abord, qui vous mouille parfois , qui se transforme en torrent de temps en temps. Torrent qui vous transporte calmement dans une rivière de lâcher prise ou plus vigoureusement dans une tempête intérieure. Torrent qui se retrouve quelques fois sur vos joues. Mais la pluie finit toujours par se calmer. Sans pluie, le monde est moins vert, il y a moins d'espoir. Sans pluie, la vie a moins de couleurs. Oui, j'aime la pluie et les couleurs qu'elle amène. Chaque personne qui fait le présent de ses mots ajoute sa touche de couleur à une oeuvre collective. On a beau se dire que tout a déjà été dit, que tout sujet a déjà été traité, que toutes les touches de couleurs ont déjà été donné, il n'empêche qu'il est toujours plaisant de prendre le temps d'admirer une oeuvre ou de s'exprimer librement. Face à tant d'artistes qu'elle peut bien être ma légitimité à écrire moi aussi. J'oscille entre modestie et syndrome de l'imposteur. J'oscille, je me balance, je danse. J'ai appris à danser sous la pluie. La danse me donne des couleurs, du rouge principalement, rouge couleur de passion. La passion m'éprend, la danse transforme mes doigts en pinceaux. Je les saisis. J'ai trouvé la touche de couleur que je voulais apporter. Pluie de rouge, pluie de passions. Passions polysémiques, passions polymorphiques. Passions qui animent l'âme, le corps et l'esprit. Dans la passion, la douleur et le plaisir se font mots. Les peaux se rencontrent, se touchent, se frottent. Les peaux se marquent et s'écrivent. Les esprits s'éclairent même dans des pièces aux lumières tamisées. Les corps composent l'histoire que je veux garder précieusement. Sans peau, sans mot, les souvenirs ne prennent pas corps et finissent par s'embrumer avant de s'échapper. Alors soufflons sur cette brume. Je veux sentir les souffles chauds contre ma peau. Sentir le souffle qui inspire. Sentir encore et toujours. Sentir le présent, unique cadeau qui ait véritablement du sens. Et pourtant le présent ne fait que filer entre mes doigts. A peine le temps d'écrire ces mots qu'ils appartiennent déjà au passé. Les écrire leur donne un second souffle de vie. Ils battent de nouveau un bref instant. Je sens leurs battements dans mon esprit. Ils me redonnent vie à moi aussi, à celle que j'ai été, à celle que je suis. Je les ressens dans mon corps, ils me parcourent, me possèdent et finissent dans mes doigts qui se mettent à taper. Écrire me fait me sentir en vie. Taper encore et toujours pour se souvenir du présent qu'est sa vie. Ce présent, je vous l'offre en espérant qu'il puisse guider certains d'entre vous.    
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Par : le 31/05/25
J'étais en couple avec une magnifique Femme Dominatrice. Au tout début de cette relation, nous avions discuté de nos envies et attentes, de nos kinks. Je lui avais expliqué que je souhaitais découvrir la bisexualité forcée sous ces ordres, mais cette idée était restée sans suite. En tant que soumis, je me plie aux envies de ma Domina et non aux miennes, cela me semble une évidence. Nous n'habitions pas ensemble, mais nous étions très souvent ensemble, assez pour qu'elle ait les clés de chez moi. Environ un an après cette première conversation, elle m'appelle pour me dire qu'elle n'est pas seule et qu'elle a une surprise pour moi. Elle me demande donc de me préparer avant leur arrivée, à savoir d'être nu intégralement, de porter un plug, et chose rare, de mettre un bandeau sur les yeux et de les attendre à genoux, mains sur les cuisses. J'étais tremblant et excité à la fois. Cette sensation est tellement intense, je sentais mon cœur battre à cent à l'heure ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver. Le temps d'attente m'a paru une éternité ,quand tout à coup, j'ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressé, tête droite et en position. Sur la table était posée une bouteille de vin blanc sucré, le préféré de ma Domina, avec deux verres, pour son invité et elle-même. Je tremblais mais je n'arrivais pas à me calmer, les yeux bandés, nu, à genoux sur le carrelage froid de mon salon. Cela dura cinq bonnes minutes, car j'entendis le vin couler et les verres s'entrechoquer, Ils venaient de trinquer, mais j'ignorais toujours si c'était une femme ou un homme dans la pièce avec ma Domina. Quelques secondes après, je sentis la main ferme de ma domina sur ma tête, je sentais son parfum enivrant qui se diffusait dans la pièce. Elle me dit de sa voix douce et autoritaire 'Es-tu prêt mon lapin rose?' (C'est ainsi qu'elle m'appelait depuis des mois après m'avoir fait porter un plug de queue de lapin, ainsi que des oreilles de lapin rose.) voir photos sur mon profil. Elle me retira le bandeau des yeux, et là je me retrouve nez à nez avec un un sexe d'homme épais au repos. cela était la première fois pour moi. A la vue de ma stupéfaction, ma domina se mit à rire, ce rire pervers et sadique qu'elle avait quand elle savait que j'avais honte et que je me sentais humilié. Autour de son cou, elle portait un appareil photo. Je levais les yeux en regardant ma Domina et elle dit seulement "Vas-y" A ces mots, je pris le sexe de cet homme dans ma main, il était épais et chaud... C'était une étrange sensation pour moi, mais j'avais l'envie de le faire durcir. Alors je me suis mis à la caresser, la branler et au bout de quelques instants l'envie de la prendre dans ma bouche, ce que je fis. Au loin j'entendais ma Domina rire, se moquer de moi et le crépitement de l'appareil photo, mais j'étais dans ma bulle... heureux de faire durcir le sexe d'un inconnu dans ma bouche, devant ma Domina. Une fois son sexe bien dur dans ma bouche, ma domina me donna l'ordre de le prendre a pleine main et demanda à l'homme de prendre à son tour mon petit sexe mou pour comparer et prendre des photos. Cette situation était très humiliante pour moi, mais je sais qu'à ce moment là, ma Domina prenait beaucoup de plaisir, cela était le plus important pour moi 💕 Ensuite la séance s'est déroulée sous les ordres de ma Domina., Il m'a doigté, pluggé, godé mais jamais pénétré. (Voir photos sur mon profil) Je ne serais dire combien de temps a durée cette séance et qui était cette homme, je m'en moqué. Je me sentais vide, épuisé, heureux. Une fois partie, cet inconnu partit, ma Domina me regarda intensément, je compris dans la seconde que cette séance l'avait grandement excitée. Alors je m'allongeai au sol sans un mot, elle se déshabilla rapidement et s'assit sur mon visage. il ne lui fallut pas longtemps pour qu'elle ait un orgasme intense et humide. Sans un mot, nous sommes parties sous la douche, et nous nous sommes allongées dans les bras l'un de l'autre. A ce moment là, nous ne faisions plus qu'un.😊
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Par : le 31/05/25
III. Acte 2 A. Premiers pas de soumis. Partie 1 Jean, qui est en train d’aider Martin à ranger, se retourne brusquement. Sabine se tenait debout dans l’encadrement de l’entrée voûtée, campée sur ses cuissardes aux talons aiguille et bras croisés. Il avait l’impression de voir une icône. D’un ton ferme elle dit « Assied toi ! » Interloqué Jean s’exécute. Sabine – « Tu as accepté de jouer un rôle. C’est exact ? » Jean – « Oui, c’est exact ! » répond-il surpris par ce soudain tutoiement. Sabine – « Et tu as promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! C’est bien ça ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « Je veux que tu me le dises ! » Jean – « J’ai promis d’assumer ce rôle jusqu’au bout ! » Sabine – « As-tu une idée du rôle que tu dois assumer ? » Avant qu’il réponde elle demande à Martin de les laisser seuls et d’aller sur le palier car elle craint que sa présence bloque Jean. Elle doit lui annoncer ce qu’elle attend de lui tout en le rassurant, faire en sorte qu’il comprenne de lui-même si ce n’est déjà fait, le faire adhérer en éveillant sa curiosité et son désir malgré ses doutes et ses craintes. Elle sait que l’excitation et la peur font monter le rythme cardiaque de la même façon, comme le plaisir et la douleur peuvent apporter les mêmes frissons. Elle s’assoie en face de lui. Sabine – « J’attends ta réponse ! » Jean – « Pas vraiment. J’ai vu tellement de choses et vécu tellement de situations aujourd’hui que j’imagine tout et rien ! » Sabine – « Ok ! Mais quand tu m’as envoyé OUI par SMS c’était avant ! Pourquoi tu as répondu OUI ? » Jean – « La curiosité, l’envie d’aller vers l’inconnu ! ». Curiosité, envie, inconnu. Des mots qui confirment Sabine qu’elle a choisi le bon sujet. Sabine – « Sais-tu où nous sommes ? » Jean – « Oui chez vous ! » Sabine – énervée « bien sûr qu’on est chez moi, mais Ici à cet étage ! Imagine-tu ce qu’il y a derrière cette porte ? » Elle désigne du doigt le couloir et la porte qui mènent au donjon. Jean – « Je sais que c’est un endroit spécial. Peut-être ce qu’on appelle un donjon dans le milieu BDSM ! » Sabine – « Bien ! Et que se passe-t-il dans un donjon ? » Jean – « Il y a une personne qui prend du plaisir à faire certaines choses à une autre personne ! » Sabine – « C’est plus subtil que ça. Il y a un dominant et un dominé. Faire certaines choses, comme tu dis, c’est un moyen pas une finalité. La finalité c’est le plaisir de l’un et de l’autre, peu importe le moyen sachant que c’est toujours le dominant qui décide du moyen ! Tu comprends ? » Jean – « Je crois que j’ai compris ! » Sabine – « D’après toi, de nous deux qui est le dominant ? » Jean – « Vous ! » Sabine – « Donc quel va être ton rôle ? » Jean – « Le rôle du dominé ! » Sabine – « Le rôle de soumis. On dit soumis car tu vas te soumettre à toutes mes volontés ! Et à partir de cet instant tu t’adresses à moi en disant Maîtresse Sabine ! C’est compris ? » Il sait enfin. Cela l’inquiète et l’excite en même temps, et son cœur se met à battre très fort. Il essaie de répondre mais aucun son ne sort de sa bouche. Sabine s’impatiente et sur un ton plus haut – « C’est compris ? » Jean avale sa salive et d’une voix chevrotante – « Oui Maîtresse Sabine ! » Sabine – « J’ai horreur de répéter deux fois la même chose ! » Elle se lève et dit « Suis-moi ! » Il se lève aussitôt et lui emboîte le pas. Elle déverrouille et ouvre la porte de la salle de préparation, tout en lui expliquant la signification des couleurs de la lampe qui se trouve au-dessus de la porte. Vert, déverrouillé et rouge verrouillé. « Ici, tu te déshabilles et tu ranges tes habits et ta montre dans ce placard. Quand tu es nu tu vas dans la salle d’eau ! ». Elle ouvre la porte et Jean se dit que c’est une salle d’eau normale sauf que, juste à côté il y a un ce qu’on appelle un pied à sérum comme on en voit dans les hôpitaux mais, sur celui-ci est accroché un récipient gradué et une canule au bout du tuyau. Jean est surpris car il se souvient que lorsqu’il avait été hospitalisé on lui avait mis un cathéter relié à une poche de sérum accrochée au même pied sur roulette. Il le poussait pour arpenter les couloirs et prendre l’ascenseur afin d’aller fumer sa cigarette à l’extérieur. Sabine voit que cet objet intrigue Jean, donc elle précise « Un soumis ou une soumise. Peut-être qu’un jour tu auras l’occasion d’assister à l’éducation d’une soumise ou d’en partager une session ! ». Elle fait exprès d’attiser sa curiosité. « Donc, un soumis ou une soumise se doit d’être toujours d’une propreté irréprochable, y compris au plus profond de son intimité, afin de ne pas risquer de subir une punition en cas d’inspection de la Maîtresse ou du Maître ! » Elle lui explique comment utiliser cet appareil et les précautions à prendre. Ils retournent dans la petite salle. « Une fois que tu es propre tu enfiles ce slip. C’est celui que tu as essayé cet après-midi. Tu t’assoies ici et tu mets ce masque sur tes yeux. Tu ne dois plus rien voir, comme quand on joue à Colin-maillard, et tu attends ! As-tu tout compris ? » N’ayant pas envie de se faire réprimander il répond docilement « Oui Maîtresse Sabine ! » Sabine sourit, lui caresse le dessus de la tête et dit « Ce soir je suis la seule Maîtresse ici. Alors oui Maîtresse suffira. Économise ta salive car tu risques d’en avoir besoin ! » elle ajoute « Sois prêt dans une demie heure ! » et sort par la porte qui donne sur le couloir, la lumière passe au rouge. Jean soupire, regarde autour de lui, vérifie la couleur des lumières qui sont au-dessus des portes, elles sont toutes au rouge, sauf celle entre la petite pièce et la salle d’eau. Pas moyen de s’échapper ni même d’entrevoir ce donjon dont Sabine lui a parlé et se souvient qu’il a un temps limité pour se préparer et découvrir ce nouveau monde. Il se met à siffloter un air de cette symphonie éponyme du compositeur Antonín Dvořák pour de donner du courage et exécute les consignes que Sabine lui a données. Sabine va chercher Vanessa et Martin qui attendent sur le palier. Ils se rendent dans le donjon après que Martin ait récupéré une bouteille de champagne dans le réfrigérateur et trois flûtes. Toute excitée Vanessa demande – « Alors c’est bon il se prépare ? » Sabine – « Normalement oui mais, tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas allumer l’écran et activer les caméras ! Et pendant que je me prépare tu surveilles ce qu’il fait. En même temps tu pourras me conseiller sur ma tenue ! ». Dans chaque pièce il y a une micro caméra invisible qui permet de visionner tout ce qu’il se passe. Vanessa – « Il ne verra pas ta tenue puisque tu m’as dit qu’il aura les yeux masqués ! » Sabine – « À la fin je vais le lui enlever car je veux qu’il découvre son environnement ! » Vanessa – « Mais il me verra ! » Sabine – « Non, tu retourneras dans la pièce du fond. Tu pourras regarder par la glace sans tain ! » Les deux femmes se dirigent vers cette pièce où se trouvent les tenues, l’écran qui permet de voir ce qu’il se passe dans les autres pièces et où des convives peuvent voir le donjon à travers la vitre sans tain tout en consommant des boissons fraîches ou chaudes. Vanessa démarre l’ordinateur, allume l’écran et active les caméras à partir du logiciel. Elle a la salle de préparation et la salle d’eau simultanément en double affichage. Elle voit Jean assis sur les toilettes avec la tête appuyée sur ses genoux et le tuyau de l’énéma entre ses fesses et regrette de ne pas avoir assisté au moment où il s’enfonce la canule dans l’anus. Sabine lui demande – « Tu le vois ? il en est où ? Il a intérêt à ne pas être en retard ! » Vanessa – « C’est sa première fois sois un peu indulgente ! » Sabine – « Tu as raison ! Qu’est-ce que tu penses de cette tenue ? » Escarpins rouges à talons aiguilles, corset porte-jarretelles en vinyle noir avec des bas résille et mini-jupe en cuir noir. Vanessa – « Pas de soutien-gorge ni de culotte ? » Sabine – « Non, car je veux qu’il sente le frottement de mes tétons sur sa peau et s’il est docile il sera récompensé d’un face-sitting ! » Vanessa – « C’est lui qui sera récompensé ou c’est toi ? » Sabine – « On verra ! » Vanessa reprend sa surveillance et Sabine met sa tenue. Jean sort de la douche et Vanessa s’exclame « Ouah, pas mal le mec ! » puis il s’essuie, va dans la salle de préparation, enfile le slip spécial, s’assoit et met le masque. Vanessa – « Il est prêt et il attend patiemment le petit chou ! » Sabine fait exprès de prendre son temps puis met en soupçon de parfum de chaque côté de son cou, il faut que Jean se souvienne de cette odeur toute sa vie. Vanessa va s’asseoir à côté de Martin et s » assure qu’il a compris la consigne du coup de coude. Finalement Sabine sort de la pièce, choisit un collier, aujourd’hui ce sera un collier en cuir, moins agressif qu’un métallique et une laisse en chaine avec une dragonne en cuir car elle veut qu’il ressente la sensation du métal de la chaine sur sa peau. Elle déverrouille la porte et l’ouvre. Jean tourne la tête en sa direction mais ne voit rien. Sabine lui dit « Debout ! » Jean s’exécute, elle lui met le collier en faisant exprès de faire frotter la laisse métallique sur son épaule, ce qui a pour effet de le faire frissonner puis elle prend la laisse à ras du collier afin de mieux le guider et lui dit « Avance ! » Il est surpris par le froid du carrelage qui contraste avec la douceur de la moquette de la salle dans laquelle il attendait. Les talons de Sabine claquent sur le sol en rythmant les pas. Après quelques mètres elle s’arrête, se positionne derrière lui, appuie ses seins contre son dos, passe ses bras autour de son torse et commence à faire rouler les tétons de jean entre ses doigts et sur un ton apaisant lui dit « Te voilà dans le donjon. Dans MON donjon ! ». Elle pince un peu plus fort et continue à faire rouler les tétons tout en tirant dessus, Jean grimace, Sabine ajoute « Tu vas avoir l’honneur de goûter à mes jouets préférés ! Est-ce que tu te rends compte de la chance que tu as ? » Jean, perdu dans ses pensées ne répond pas. Sabine tire plus fort « Répond ! » Jean – « Aïe. Oui Maîtresse ! » Sabine – « Oui quoi ? » Jean – « J’ai de la chance ! » Elle attrape la laisse et l’emmène vers la croix de Saint-André, l’adosse contre, elle lui lève le bras gauche et menotte le poignet à la croix puis fait de même avec le bras droit. « Écarte les jambes ! Encore ! » et elle attache les chevilles à la croix puis le sangle au niveau de la taille. Jean l’entend s’éloigner puis revenir. « Baisse la tête et ouvre la bouche ! », Il obéit et sent une boule s’insérer entre ses mâchoires et être serrée à l’arrière de sa tête par des lanières qui sentent le cuir. Une main descend le long de son corps, lui caresse le bas ventre à travers le cuir du slip, dégrafe la partie amovible, sort son sexe et commence à le branler. L’érection est immédiate et soudain la main glisse vers les testicules et les serre très fort. Ne pouvant pas crier à cause du bâillon boule Jean pousse des gémissements tout en entendant Sabine lui dire « Je ne te trouve pas très obéissant. Tu ne réponds pas instantanément à mes questions et tu bandes sans mon autorisation. Je ne sais pas si tu me mérites. Je vais te laisser réfléchir un moment ! ». Vanessa a chaud et regrette de ne pas pouvoir participer à cette initiation. L’initiation c’est son péché mignon, chaque fois qu’elle éduque un soumis ou une soumise elle a l’impression de peindre un nouveau tableau qui touche par touche va devenir le paysage qu’elle avait imaginé. Martin sourit en pensant que, pour une fois, il apprécie de n’être que spectateur tout en sachant qu’il vivrait mal sans sa soumission à Sabine qui justement s’avance vers eux, leur fait signe d’aller dans la pièce du fond en mettant son index à la perpendiculaire de ses lèvres pour qu’ils restent silencieux et ils s’engouffrent tous les trois dans la pièce en refermant la porte derrière eux. À travers le miroir sans tain ils regardent Jean immobilisé sur la croix avec son sexe qui pendouille lamentablement en dehors du slip et qui commence à baver à cause du bâillon. Sabine leur demande ce qu’ils en pensent, Vanessa et Martin lui confirment que c’est un bon début. Oui, Sabine pense que d’ici quelques temps elle aura une bonne emprise psychologique et physique sur lui. De son côté Jean se sent un peu bête, son ego de mâle est en train de prendre du plomb dans l’aile. Il ne peut rien voir mais imagine sa position, immobilisé sur ce qu’il pense être une croix comme il en a vu au salon de l’érotisme et en plus petit sur le mur du couloir, avec cette boule qu’il a dans la bouche qui fait couler la bave sur son torse et qui descend lentement vers son sexe exposé aux regards. Oui, regard au pluriel car il est persuadé qu’il n’est pas seul avec Sabine. Il lui a semblé entendre plusieurs pas, car le fait de ne pas voir aiguise ses facultés auditives. Combien ? Il ne saurait dire. Martin est là, c’est certain, mais après ? Vanessa ? La vieille Nanette ? D’autres personnes ? Mais, non ! Voilà que je recommence à bander en pensant que je suis peut-être exhibé devant des gens que je ne connais pas. Qu’est-ce qui m’arrive ? Il se concentre pour refaire tomber l’excitation car il n’a pas le droit de bander sans autorisation. Me concentrer, voilà la solution, y compris pour supporter la douleur, mais ça va être compliqué. Heureusement pour lui, derrière le miroir, personne ne l’a vu car ils sont trop occupés à bavarder.
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Par : le 31/05/25
(Ce récit est une invention, j'espère qu'il vous plaira)   Le jour J est arrivé... On avait longuement échangé, durant de nombreuses semaines, chaque jour instaurant davantage un lien de confiance entre nous. Et pour autant, je me sentais stressé... Il m'avait invité chez lui de façon tellement spontanée que sur le coup je n'avais pas su trop quoi répondre... Il m'avait demandé : "est ce que ça te dirait de venir prendre l'apéro à la maison ?" Et ce fameux "oui" était sorti... Faiblement, doucement, à la fois plein d'appréhension et de curiosité. Après tout, ce n'était qu'un apéro ! Mais non... C'était bien davantage... C'était notre première rencontre en réel ! Et ça, ce n'était pas rien. C'était le franchissement d'une nouvelle étape.   Ces derniers temps on avait parlé de tout et de rien. On s'était présenté. Lui, Timothée, Tim ou Timmy pour les intimes. Grand, bruns aux yeux verts, silhouette athlétique, la trentaine, docteur en médecine. Moi, Thomas, Tom ou Tomy pour les intimes. Pas très musclé mais pas enrobé non plus, châtain aux yeux marrons clairs, la trentaine également, étudiant en Ressources Humaines.   On s'était découvert un peu par hasard, sur un site dédié au BDSM/fétichisme et le courant était passé instantanément. Il faut dire que Tim avait cette façon là de mettre les gens à l'aise, même en distanciel. Il ne s'imposait pas, il avait une écoute attentive, un regard lucide sur les choses et un respect de l'autre hors du commun. Il n'avait pas peur de poser des questions, même les plus intimes, mais toujours en gardant une barrière de sécurité, me laissant libre d'en parler ou non. Comme il aimait à le dire : "il n'y a pas de questions idiotes et plus on apprendra à se connaître plus on pourra aller loin ! Mais sache que je respecterai toujours tes limites. C'est donc ta responsabilité de me dire si tu ne souhaites pas aborder telle chose ou telle pratique. S'il ne faudra plus jamais en parler ou si il te faut un peu de temps pour l'appréhender". Et je respectais cela.   C'est ainsi que je m'étais confié à lui petit à petit. Mon ressenti de ne pas me sentir de ce monde bien que je sois dans le monde. Mon souhait de m'abandonner totalement à un "grand" à travers un désir de régression, comme un "bébé". Le fait que j'étais très cérébral ce qui m'empêchait de faire des choses que j'aurais aimé faire et que je pensais être "pour mon bien". Mon fétichisme pour les matières matelassées. Mon souhait de pouvoir être utile à quelque chose.... Pourquoi pas à quelqu'un ou même à la science... Et j'aimais à plaisanter en lui disant "tu sais Tim, un bébé ce serait un statut parfait pour moi ha ha. Surcouvert pour ne pas risquer de prendre froid, immobilisé solidement pour ne pas risquer de se blesser, air restreint car un bébé respire moins d'air qu'un grand et p'tit bout - c'est comme ça que j'appelais mon sexe - en libre service pour toutes tortures et expériences que jugeront nécessaires les grands. Après tout un bébé n'a pas d'utilité à en posséder un !". Et j'en riais de bon coeur et on partait sur un autre sujet.   On parlait longuement à la fois de nos vies respectives, de nos joies, de nos peines, de nos doutes. On se prenait souvent la tête, souvent pour des queues de poire. Ce n'était pas agréable sur le coup, mais d'un autre côté, ça nous rassurait, car si l'orage grondait, la relation qu'on avait fondée était bien plus forte ! On parlait aussi beaucoup de ce qui pourrait m'arriver si je décidais de me lancer plus sérieusement dans notre univers parallèle. De ce qu'impliquerait la mise en place d'une appartenance. De ce qui adviendrait si un lavage de cerveau régulier était instauré. Tim connaissait mes limites et il les entendait, comme tout Domi qui se respecte. Il savait que le sexe ne serait pas possible, mais ça ne le dérangeait pas car ce n'est pas ce qu'il recherchait et s'il le désirait il pouvait l'obtenir par ailleurs. Il connaissait aussi les autres limites... Mais cela n'allait jamais plus loin. On papotait, on rigolait, c'était sympa, mais sans plus.... Jusqu'à cette invitation et mon fameux "oui" !   Et le jour J est arrivé... Il m'a donné son adresse et demandé de porter une doudoune freegun grise, celle avec la fermeture qui se zippe jusqu'en haut de la capuche. C'est le début de la belle saison et il fait chaud. Je transpire déjà beaucoup... Fort heureusement, mon stress d'être vu aussi chaudement couvert par d'autres personnes, par ce temps estival, s'est estompé rapidement quand je suis arrivé chez lui. Il habite une très jolie maison, isolée, à environ 2 km de la première habitation visible. Sa résidence est entourée d'un joli bosquet d'arbres. L'endroit est magnifique.   Et me voici. Tremblant et transpirant devant sa porte d'entrée. Conformément à sa demande, je zippe la capuche jusqu'en haut et je tâtonne le mur à ma droite, cherchant la sonnette que j'ai aperçu avant de perdre la vue. Je finis par la trouver.... La capuche s'appuie doucement sur mon visage à chaque inspiration, augmentant la chaleur et l'étouffement. Je sonne... Quelques secondes après, qui me parurent une éternité, j'entends le bruit d'une serrure et la porte qui s'ouvre. Une voix profonde, chaude, vibrante se fait entendre : "bienvenue Tom ! Tu es magnifique ainsi. Je sens que je pourrais te laisser ainsi toute ta vie ha ha. Allez entre, je vais te guider !". Il me fait entrer, referme la porte derrière moi et me parle doucement : "laisse toi faire. Je sens que tu es tendu et c'est normal. Mais je ne souhaite pas que tu vois la totalité de mon chez moi. Je te libérerai le visage une fois qu'on sera prêt à prendre l'apéro. Tu comprends ?". Je fais un hochement de tête affirmatif. Il me dit "Bien !".   J'entends qu'il ferme une autre porte derrière moi et il me fait asseoir. Je sens son ton amusé : "as tu pris ce que je t'avais demandé ?". Je répondis par un nouveau hochement de tête, ouvrit la poche droite de ma doudoune et en sortit une petite cage de chasteté. Il sourit : "comme j'ai dit, je te libérerai le visage quand tu seras prêt à prendre l'apéro !". Il me fit baisser mon pantalon, mon caleçon et m'installa doucement la cage : "et bah ! Le p'tit bout n'est pas si petit que ça ! On va vite arranger ça !!". La cage fut positionnée puis cadenassée. Il ne me remit ni le caleçon ni le pantalon : "un bébé ne remet pas ses vêtements tout seul, tu le sais ! Tu vas rester avec accroché à tes chevilles pour l'apéro". Je sens qu'il prend du plaisir à me narguer gentiment. Et moi sous ma capuche, je transpire de plus en plus et je me sens à la fois excité, frustré et humilié. C'est alors qu'il m'ouvrit la capuche....   Il fait assez frais et ça me fait du bien. Je regarde autour de moi et je vois Tim. Il me regarde, me sourit et va s'asseoir en face de moi. Il est exactement comme sur les photos qu'on s'était échangé. Peut être même mieux ! Je regarde autour de moi. La pièce est nue, ronde, il n'y a rien qui ressorte à part la peinture blanche. Au centre, entre nous deux, une table en bois. Et dessus je vois deux coupes de champagne, des petits fours et quelques gâteaux. Ça me marque car je me dis qu'il n'y a de la nourriture que pour une personne, au niveau de la quantité, mais je n'ose rien dire, j'ai déjà un grand privilège d'être invité... Et mon regard est alors attiré par des papiers et un crayon disposés devant moi...   Intrigué, je regarde Tim qui, voyant ma mine étonnée se mit à rire franchement. "Je comprends ton étonnement, je vais t'expliquer ! Je voulais t'en faire la surprise, mais ce qui se trouve devant toi c'est un contrat d'appartenance. Si tu es d'accord tu as juste à signer. Bien évidemment prends le temps de le lire et que tu signes ou non, on prendra l'apéro juste après". Je n'en reviens pas... Je suis à la fois excité et effrayé. Je ne m'y attendais pas. "Mais, Tim, ça veut dire que tu accepterais d'être mon éducateur ?" lui demandai-je fébrilement. Il rit à nouveau et avec sa voix chaleureuse me répondit "oui, tout à fait ! On discute depuis un certain temps déjà et je me sens prêt à prendre en charge ton éducation. Alors si tu es prêt toi aussi à franchir le cap, alors tu n'as qu'à signer. Mais sache que tu n'es pas obligé de le faire maintenant. Cette responsabilité te revient. Ce qui en découlera ne dépend que de toi, sache le. Donc si tu ne te sens pas prêt, ne signe pas !". Sur cette dernière phrase, sa voix s'était faite très grave et je percevais la profondeur de ce qu'il me disait....   Je lui dis alors "mais je ne suis pas aussi musclé que toi, je ne suis pas forcément aussi beau,...". Il ne me laissa pas terminer ma phrase : "Écoute moi bien, car je ne te le redirai pas ! Tu n'as pas à te dénigrer ! Tu es parfait comme tu es ! Et si on veut plaisanter un peu, dans ton cas, le physique n'a que peu d'importance puisque tu ne quitterai jamais ton cocon de chaleur". Ça me fit rire et il rit avec moi. Et en même temps, l'adrénaline qui me faisait transpirer davantage me fit comprendre que ce n'était absolument pas faux... Et puis après tout, on se connaissait, et j'avais envie de lui faire confiance. Aussi, je ne lus que la partie consacrée aux limites et voyant que ça respectait bien ce qu'on s'était dit, je finis par signer. Sa signature étant déjà présente sur le document.   Son visage s'éclaircit et il me dit "Félicitations bébé, désormais tu es mien ! Tiens, buvons pour fêter ça ! Et profites en car un bébé n'est pas censé boire de l'alcool !". Il me tendit une coupe alors que ses mots résonnaient en moi, provoquant un effet excitant. Il le vit et m'en fit la remarque "on dirait que ton p'tit bout se réjouit aussi de ta décision ! Tu sais bien que quand il tire c'est qu'inconsciemment tu aimes ce qui t'arrive ! Allez, à ta santé ! Bois vite, tu es en train de tremper mon sol tellement tu as chaud ha ha".   Tout gêné, mon p'tit bout étiré dans sa cage, transpirant fortement avec la doudoune, je bus ma coupe en quelques gorgées seulement... Je sentis alors un léger étourdissement... Je crus que c'était l'alcool... Mais j'avais le sentiment que mes paupières se fermaient doucement... Je cherche Tim des yeux. Il vient de se lever. Il s'approche de moi alors que je lutte pour ne pas sombrer. Il me prend la coupe des mains, la pose sur la table. Il me dit doucement"laisse toi aller, tout va bien". Puis il remonte doucement le zip de la capuche. J'essaie de me débattre, mais je n'en ai plus la force. J'entendis alors sa voix "tu te souviens... Tu m'as dit que tu es très cérébral... Et que tu ne te laisserais pas faire sans contraintes solides... Qu'il faudrait te forcer mais que tu savais que ce serait pour ton bien... Et bien nous y voilà... Tu as signé... Et tu es mien... Ton éducation commence aujourd'hui mon p'tit bébé !".   Mes yeux se fermèrent alors et je perdis connaissance...
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Par : le 31/05/25
J’aime à penser qu’en chaque Femme se cache une Soumise en devenir.  A l’évidence c’est un biais de ma propre psyché qui voit en chacune une promesse, mais je m’en accommode de bonne grâce. En effet, je reste lucide et conscient qu’il est absurde de projeter ses propres déviances sur autrui mais je n’en suis pas moins heureux de fantasmer sur le potentiel de soumission de ces Dames. Apres tout, un biais est un biais et il ne tient qu’à moi de continuer à nourrir ce petit espoir coquin. Même si, à l’évidence chaque Femme est un univers singulier. J’éprouve bien entendu le plus grand respect pour celles qui, tout comme moi, ressentent la nécessité évidente de dominer lorsqu’elles convoitent un Soumis ou une Soumise. Le besoin de contrôle n’étant fort heureusement pas réservé aux seuls Hommes. Ainsi, me prend-je à rêver qu’avec sincérité, initiative et créativité, nombreuses seraient ces Dames qui nourrissent l’envie secrete de se laisser accompagner dans les délices de la soumission. Ma modeste expérience m’a montré que, bien souvent, au sein d’une relation sincère, un cadre intime protecteur devient pour certaines assez confortable pour laisser éclore cette seconde nature, délicate et insoupçonnée, qui ne les quittera désormais plus. Les raisons profondes de ces transformations me semblent multiples. Peut-être, la véritable liberté de s’épanouir sexuellement devient-elle plus aisément tangible lorsque les limites en sont clairement définies. Peut-être devient-il aussi plus excitant d’en apprécier les contours et de n’exercer son libre arbitre qu’au seul choix de les respecter docilement ou, au contraire, les transgresser avec toupet afin que ceux-ci puissent ensuite être rappelés avec autorité. Tout plutôt que céder au flou des possibles incertains. Préférer à dessein l’emprise et l’obéissance à la paralysie et àl’initiative.  En effet, à mon sens, il est du ressort du Maître de définir et de maintenir ce cadre intime protecteur (tout en sachant savamment faire varier les limites de celui-ci), à mesure que la confiance grandit avec sa Soumise. Celle-ci n’en appréciera que plus ses contraintes qui deviennent un symbole de sécurité et d’appartenance. La qualité de la relation se mesurant véritablement à la confiance de l’un envers l’autre, et non aux dérives de chacun.  De plus l’abandon de son propre libre arbitre à autrui permet également de se dédouaner du jugement moral qu’on pourrait porter sur nos actes les plus déviants.  Ainsi, dans une relation incertaine, lorsqu’un acte est accepté à contre-coeur sur l’instant, il en deviendra une source de culpabilité; car assujetti à un jugement moral dégradant en regard de la qualité de la relation. A plus forte raison, ce même regard que l’on pourra avoir sur soi-même a posteriori s’en voudra d’autant plus sévère et cruel. Cependant, ce même acte, même imposé ou exécuté avec une violence féroce dans une relation privilégiée, devient, lui, libérateur. L’acte en question aura pu être préalablement convenu (SM), accepté (CNC/FreeUse) ou provoqué (Brat Taming) sans que l’égo de la Soumise n’en soit blessé. Il est tout naturel et assumé pour celle-ci de s’y prêter pour combler son Maitre. Et le déterminisme de ce mécanisme psychologique en devient même rassurant. Il est à noter que la culpabilité naît de l’intention et non de l’acte lui-même. L’intention étant déléguée a la seule volonté du Maître; la Soumise assumée se dote donc du pouvoir immense d’être libérée de toute culpabilité liée à ses pratiques. Son esprit étant apaisé et en totale harmonie avec son Maître, Il est donc devenu plus salvateur pour Elle de subir, même dans la douleur physique, une pratique forcée, humiliante  ou dégradante de la part de celui-ci que de s’adonner à une pratique à demi-consentie avec quiconque d’autre.  Ce paradigme renforce la complicité, la confiance et la relation fusionelle entre Maître et Soumise. C’est cette même confiance qui permettra à certains, s’ils le désirent, de partage ensuite leurs plaisirs avec d’autres protagonistes. La jalousie n’ayant pas sa place dans la relation naturelle qu’entretiennent Maitre et Soumise. Ce gage de fidélité devient alors possible grace au cadre intime d’une relation sentimentale profonde, saine et sincère.
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Par : le 30/05/25
Tout a réellement commencé le jour où j’ai découvert le site Omegle. Par simple curiosité, je m’y suis aventurée sans trop savoir ce que j’allais y trouver. Rapidement, j’ai commencé à y faire des rencontres virtuelles, parfois légères, parfois plus profondes, et certaines d’entre elles ont évolué vers des échanges intimes. C’est dans ce contexte que j’ai envoyé mes premières photos dénudées. Cette première expérience a marqué un tournant : elle m’a libérée d’une certaine retenue, et dès lors, je n’ai plus cessé de m’exposer publiquement, trouvant dans cette démarche une forme d’affirmation de moi-même. Avec le temps, à mesure que mes interactions devenaient plus variées, certaines personnes m’ont suggéré de me travestir. Au début, c’était une proposition anodine, presque un jeu, mais très vite, cela a éveillé quelque chose en moi. J’ai découvert un plaisir inattendu dans cette exploration de la féminité. Plus je m’investissais dans ces échanges, plus je ressentais le besoin – et l’envie – d’incarner pleinement une identité féminine. Cela m’a permis de mieux comprendre mes désirs, mes limites, et surtout, ce qui me procurait un véritable plaisir. C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris à quel point j’étais stimulée par le regard des autres, par leur désir, leur contrôle sur moi. Le fait de me sentir observée, utilisée même, m’apportait une forme d’excitation intense, difficile à expliquer mais profondément ancrée en moi. Progressivement, les demandes que je recevais sont devenues plus audacieuses, parfois extrêmes, et pourtant, je me suis surprise à les accepter, les unes après les autres, poussée par une forme d’abandon total. En m’immergeant davantage dans cet univers, j’ai découvert des aspects encore plus profonds de ma sexualité. L’un d’eux est le plaisir paradoxal que je ressens face au danger, à la perte de contrôle, à la sensation d’être à la merci d’un dominant. Être vulnérable, supplier, savoir que ses décisions pourraient avoir un impact réel sur ma vie privée… tout cela résonnait en moi d’une manière presque viscérale. Ce sentiment d’impuissance n’était pas effrayant, mais étrangement réconfortant, car il s’associait à une forme de confiance, de dépendance totale. Parmi ces pratiques, il y en a une en particulier qui a pris une place importante : l’urophilie, notamment dans un contexte d’humiliation. J’aime être rabaissée, qu’on me rappelle ma place, qu’on me déshumanise même, jusqu’à me réduire à l’état d’objet. Cela peut paraître extrême, mais pour moi, ce n’est pas synonyme de souffrance. Au contraire, c’est dans ces moments-là que je me sens pleinement connectée à mon rôle, utile pour mon maître, et cette utilité me remplit d’une joie profonde. Ce n’est plus seulement un jeu ou un fantasme : c’est devenu une part intégrante de mon identité.
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Par : le 30/05/25
Je teste volontiers les épreuves que j'impose aux autres. Devant cette magnifique armoire, je n'ai pu résister. Ainsi prostré, dans le noir troué de rais de lumière, j'ai laissé s'échapper le temps à écouter ma respiration, certains craquements à cause d'un mouvement de bascule de mon corps, l'odeur boisée des parois centenaires. Une paix magnifique m'a envahi, un sentiment de sécurité, de mise à l'écart du monde frénétique, mais surtout un rythme à moi, suspendu. Une sensualité sourde semblait chanter un air tribal, mes tempes retentissaient de tambours oubliés. Instinctivement, mes mains ont cherché mon sexe, enveloppant mes bourses et le phallus comme j'ai appris en tantrique pour former une coquille. De mon anus est partie une onde de plaisir, comme une tulipe qui s'ouvre, mon sexe s'est grandit et je me suis masturbé lentement, sans hâte : j'avais l'éternité devant moi. J'ai jouit délicieusement, déposant ma semence sur le bois antique comme une offrande, je l'ai laissé là intacte, comme une trace définitive qui disait "ici, j'ai été heureux avec moi-même". C'est avec regret que j'ai ouvert la porte et le monde m'a paru très petit.
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Par : le 30/05/25
On a souvent peur d'être abandonné. Cela indique un lien qu'on croyait indissoluble et maintenu par les deux parties jusqu'au moment où l'on découvre la trahison. Trop tard pour agir, trop tôt pour réaliser. Jeté comme sur un tas de foin, poupée de plaisir usée par un consommateur volage qui avait caché son jeu ou qui suit sa nature de girouette. Mais il y a toujours la possibilité d'en jouir. Notre malheur de l'abandon est un sentiment d'amour à l'envers, intense parce que dramatique, jouissif parce qu'il ne concerne que nous sans avoir à le partager, unique dans notre vie brisée. Par cette jouissance de n'être rien, nous pouvons l'accepter parce que c'est une façon de se sentir vivant au travers d'une douleur infligée et injuste qui nous ramène au foetus dont le premier soin a été d'abandonner le ventre maternel. Affalé sur ce tas d'herbes, coupées comme nous, nous pouvons pleurer, griffer les graminées, nous enfouir dedans, ce sera toujours un cri de vie renaissante. La vie n'est jamais qu'une succession d'abandons dont on se relève toujours, comme on peut avec une cicatrice de plus.
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Par : le 30/05/25
Il était clair qu'on avait décidé de violer le rythme intime de son être, de briser cette pulsation volontaire qui régulait tous ses plaisirs. La lanière de cuir passant entre ses cuisses persécutait atrocement son clitoris, à croire que le modèle de ceinture de chasteté qui lui avait été imposé semblait être inspiré d'une scène de l'Inquisition espagnole. Mais elle craignait seulement que l'on devine la fierté et surtout le plaisir à la porter. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une femme qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses divagations, amener à la jouissance de jeunes oies blanches, consentantes et résignées en les flagellant, parfois jusqu'au sang, pour mieux révéler en elles leurs fantasmes de servitude et pour lesquelles la terreur semblait alors si douce. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. L'inconnue la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que l'inconnue exigeait d'elle. Il devait venir.   Tout était dit dans cet épisode cruel où, d'une difficulté assez courante imposée par son sort, on avait fait un drame aggravé en niant sa sensibilité, en lui refusant le droit d'avoir mal, aussi longtemps qu'elle en éprouverait l'affreuse nécessité. Elle ravalait ses sanglots, car elle n'avait pas droit de douter. Tout ce qui lui était imposé était voulu par elle. S'il convient de toujours conserver une certaine distance dans les relations amoureuses pour entretenir une part de mystère, elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, la jeune fille se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre fraîche du salon, par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Mes yeux se retournent vers ton sourire.   À nouveau, son irrespect aveugle éclatait, cinglant. Son orgueil était en vérité plus fort que son amour. Elle nourrit d'amers regrets et de sombres repentirs. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Son corps supplie. Toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu te tais. Fouettée, tu es éclairée comme par le dedans, et l'on voit sur ton visage le bonheur et l'imperceptible sourire intérieur que l'on devine aux yeux des esclaves.    Au fil des ans, elle s'était découvert une envie d'audace dans la façon d'être prise, de rupture dans les rythmes d'un érotisme fatigué, le besoin même d'être forcée, emmenée loin de ses balises ordinaires par la femme qu'elle aimait, conduite par elle seule jusqu'au cœur de ses peurs les plus tentantes. Elle lui en voulait qu'elle n'eût pas deviné qu'elle souhaitait désormais être sa chienne. Tout ce que tu imaginais correspond à tes fantasmes, sans doute inconscients. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse, fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Le fouet ne fut pas de trop pour la calmer mais Juliette entendrait, encore une fois bientôt Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit.    Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 30/05/25
Comme d'habitude, le jeudi après midi des semaines impaires, je suis allée au Xcenter de Plan de Campagne. Ça faisait un petit moment que je n'y étais pas allée et cette fois ci, j'ai bien rattrapé mes absences. Je me suis changée en Trav dépravée  dans une cabine à l'étage et j'ai laissé mes affaires à l'accueil. Vêtue d'une jupe crayon en vinyle noir zippée en haut et bas, avec un beau laçage derrière qui était en accord mon corset en vinyle noir également mettant en évidence mes tetons outrancement développés et chaussée de sandales à lanières noires vernies hautes de 16cm, que je m'apprêtais à me faire déglinguer. À peine arrivée à l'étage, j'ai fait un petit tour jusqu'au fond de l'espace ciné et un monsieur très jovial et surtout très excité m'y a suivi et à commencé à me peloter de partout. Perso, je suis très excitée par les tenues vinyles et latex et apparemment ça plaît beaucoup aussi. J'envoie ma main explorer le contenu de son slip. J'y découvris un sexe en forme, de taille normale. Après quelques caresses et masturbation sur ma jupe, je lui fit une felation. Plusieurs hommes étaient présents et se régalaient du spectacle se masturbant avec obscénité. Autant de queue que je pouvais carresser voire sucer pour les plus hardis. Dans le tas gars je reconnu Didier, mon amant du coin équipé de son sexe énorme, que je surnomme mon demonte pneu. Ayant baissé comme un lapin, il n'était pas au mieux de sa forme. Ce n'était pas un problème car je sais très bien m'y prendre pour y remonter le moral. Je m'attelais à bien sucer ces 2 sexes car j'adore avoir 2 bîtes dans la bouche. Il n'a fallu pas trop de temps pour que le 1er homme me récompensa par quelques jets de son nectar dans ma bouche de pute que j'ai goulument avalé. Il se rhabilla me remercia du bon moment qu'il avait passé et partit. Je continuait de jouer avec Didier qui est  gars très performant et très endurant. Il me sodomisait sauvagement à plusieurs reprises heureusement que ma chatte habituée au fist en a vu d'autres. Mais qu'est-ce que c'est bon de se faire démonter aussi brutalement. Pendant la saillie, un gars très gentil et respectueux qui m'avait connu sur Trans Trav et qui m'avait fixé un rencard ici a pointé son nez. Il était très exité par ma tenue il m'a caressé longuement. Il était de taille modeste et semblait avoir des tremblements parkinsonniens. Il était tellement chaud que la felation que je lui ai fait n'a pas duré bien longtemps avant qu'il ne se décharge dans ma bouche.  Très content de m'avoir rencontré il se rajusta son pantalon et parti en me remerciant de lui avoir donné beaucoup de plaisir. Didier est vite revenu se faire astiquer le poireau. Pendant que je m'affairais sur son sexe, un énième  gars est venu se joindre à nous et a de suite vu mon penchant de chienne soumise. Il a commencé à me torturer sadiquement mes tétons. J'adore trop et ça me provoque des palpitations anales et une érection terriblement contenue dans ma cage de chasteté en plastique rose qui est toute indiquée à ma condition de sissy. Le gars m'a ordonné de respirer son poppers qui m'a tout de suite chauffé la tête et mon esprit. Bien brûlante comme la braise il a continué à me dominer en me giflant énergiquement et moi grosse chienne en chaleur qui lui en redemandait de plus belle. Me gavant de poppers, je suis tombée dans un cercle infernal qui ne faisait que monter en puissance. Le tout agrémenté d'insultes et d'obscenes menaces. La scène était d'une telle violence que Didier est venu voir si tout allait bien et il a vite été rassuré en me voyant en redemander de plus belle. Toutes les bonnes choses ont une fin, Didier devait partir. Il est rerentré dans le jeu pour m'offrir son sperme en remerciement de son après midi lubrique que je lui ai donné. Il m'a fait bouffer sa rondelle pour qu'il retrouve sa super érection. Quand son énorme sexe fut bien dur, il me le fit sucer tout en se branlant. Son ejaculation ne se fit pas attendre. Sous les yeux et les commentaires salaces de mon tortionnaire, il m'inondat le visage et la bouche. C'était une très grosse éjaculation, son sperme est très bon en bouche et je n'en ai pas perdu une goutte. Quel régal ! Didier se rhabilla et m'a fait un bisou, pendant que mon tortionnaire excité par la scène entrepris le même traitement. Ce fut bon, mais c'était sans commune mesure à ce que je venais d'avoir, surtout en quantité. Après toutes ces bonnes choses, je me suis dit que mon après midi touchait à sa fin. Je me suis refait une beauté et je suis allée déambuler et voir un peu ce qui se passait dans l'espace rencontre. Il n'y avait plus personne dans la petite salle ciné et en plus le film était bof. Il n'y avait pas plus de monde dans la grande salle, mais le film était un peu mieux. Une blonde américaine se faisait sauvagement sodomiser par un étalon, ce qui n'était pas sans me rappeler ce que je venais de me prendre. Un nouveau gars apparu dans l'espace rencontre. Un arabe pas du tout timide qui est venu se masturber en s'asseyant à ma gauche. Il était très bien monté le bougre. Quand je lui ai pris le sexe en main je me suis aperçu qu'il avait des excroissances de part et d'autre sous son gland. Il m'expliquat dans français approximatif que c'était des billes sous cutanées placées chirurgicalement. Il me pelota les seins et je lui fit vite  comprendre comment j'aimais qu'on me les maltraite. Pendant que je le suçait, il me les martyrisait bien, il me branlait mon sexe encagé et me foutait ses doigts dans ma chatte. En bouche j'avais du mal à ressentir ses billes car son gland tellement gros occupait toute ma cavité buccale. Attiré par notre jeu, un autre gars est venu s'asseoir à ma droite. Un grand européen qui s'est vite inséré dans la partie en sortant son sexe pour que je le masturbe. Son sexe était très bien mais de taille plus conventionnelle. Ils se sont mis debout de chaque côté pour que je les suces simultanément (trop bon). L'arabe n'avait qu'une idée en tête, qui était celle de m'enculer. Avec un tel sexe, moi aussi j'en avais une énorme envie. Avec ces doigts, il me fouillait ma chatte avec obscénité. Le deuxième gars très ecxité s'est levé pour se masturber et se finir. Quel dommage, il avait une énorme quantité de sperme dont je voyais les multiples jets tomber au sol pendant un bon moment. Je me les serai bien pris sur mon visage ou dans ma bouche de pute. Franchement il y en a qui n'ont pas la valeur des choses.  Sitôt fini il se nettoya et parti, me laissant seul avec l'arabe qui entrepris de m'enculer sans préservatif sur la banquette à baiser. Préférant la penetration protégée, je lui mis une capote avant qu'il ne me prenne. Qu'est-ce que c'était bon de se faire bourrer de la sorte avec sa queue bien épaisse. Mais je ne sentais pas les vibrations qu'auraient pu me donner ses implants sous cutanés. Il aimait alterner les penetration et la felation. Il se retira, enleva le préservatif  et me refit bouffer sa belle queue. Puis il voulu me reprendre, je lui remis une autre capote et s'était reparti pour une fougueuse saillie. Pendant que je me faisait admirablement enculer, un autre arabe observait la scène. Le gars qui était en train de me prendre lui fit signe de venir jouer avec nous. C'était un grand type, style joueur de basket et il avait sa bite en proportion. Une belle bite avec un énorme gland qui donnait un air de champignon à l'ensemble tant il dépassait de la hampe. Le gars a placé son champignon devant ma bouche et en bon amateur de champignons, je savais que celui ci n'était pas toxique et je l'avalais goulument. Quel pied de se faire prendre "entre pointes". Une grosse queue me défonçant sans ménagement la chatte et une encore plus grosse dans la bouche. Ce sont des moments inoubliables dans une vie de putain dépravée. Mon sodomisateur, aimant bien l'alternance revenit se faire sucer. Déjà que une m'ecartelait la bouche, là impossible de prendre les 2 bîtes en même temps. Les 2 monstres étaient devant ma bouche et je switchais entre ces deux énormes sucettes. Mais le sodomisateur trouvant ma chatte très accueillante, y retourna et profitant que j'étais très occupée, il me fourra sa bite sans préservatif. Heureusement que mon ami AngeouDemon m'avait recommandé l'emploi de la PrEP. Merci ma sœurette. Ce fut reparti pour la saillie de la chienne. Très excité, mon sodomisateur ne tardait pas à se vider dans ma chatte. Il me laissa seul avec le gros champignon. Le gars voulait que je lui bouffe ses couilles toutes poilues, ce que je fis avec perversité en les aspirant entieres dans ma bouche. Ce n'était pas facile de faire rentrer ces 2 grosses prunes dans ma bouche pour les gober. Pendant se temps il s'astiquait son vaillant appendice. Sa masturbation l'emmena à l'orgasme et il me demanda de me délecter de son jus comme il disait. En bonne salope je m'executais et j'ai tout avalé. Un gars qui matait la scène m'a tendu des essuie tout pour que je me nettoie un peu. Quelques minutes après, je me suis retrouvée toute seule quand tout le monde fut parti. L'après midi touchant à sa fin, j'en ai profité pour régurgiter tout le sperme qu'il y avait dans ma chatte. Je suis allée me faire une petite toilette avant de me rhabiller et rentrer à la maison. Sur le chemin du retour je sentais bien que malgré l'absence de fist cet après-midi là, ma rondelle avait pris cher et j'étais aux anges de m'être fait casser le cul comme ça. Vivement ma prochaine visite au xcenter dans l'espoir que ce soit aussi bon ou mieux encore.
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Par : le 28/05/25
Bonjour a vous tous et toutes 💕 Il y a quelques années, je trainais sur un site porno (Très original 😁) et je suis tombé sur les vidéos d'une certaine Domina et son Soumis/cocu. La première vidéo d'elle que j'ai vue, elle était avec un homme noir TBM et son cocu qui était à leurs genoux et en laisse. Elle l'insultait, se moquait de lui, lui mettait la queue de cet homme puissant devant le visage. Puis elle commença à le sucer profondément et sauvagement à quelques centimètres de son cocu qui regardait silencieusement, cela m'intrigua mais rien de plus, quand tout à coup, elle se retourne vers son soumis, lui force à ouvrir la bouche et crache dedans.. a ce moment là, j'ai senti des frissons parcourir mon corps. Une sensation d'excitation et d'humiliation que je n'avais encore jamais vue. Mais cela n'était que le début, car par la suite, une fois que le mâle alpha avait sa queue au plus dure, elle prend la tête de son soumis et le force à faire une gorge profonde... Mon excitation était a mon comble, et je ne comprenais pas pourquoi, car je n'avais jusque la été attiré par la soumission, le cocufiage, la bisexualité et les hommes noirs. Mais là encore, nous étions loin du compte, car ensuite, elle commence à s'empaler sur ce sexe épais et dur, tout en prenant la tête de son soumis par les cheveux, lui ordonnant de lui lécher le cul. L'homme sortait sa queue et obliger au cocu de lui lécher la bite avant de la remettre dans son sexe. Le cocu continuait de lécher sa maitresse, mais aussi les couilles de l'homme et on sentait qu'il prenait beaucoup de plaisir. Quand tout a coup, l'homme sort sa queue et des jets de sperme puissants et intenses se mettent à recouvrir le sexe et le ventre de cette femme. L'homme satisfait s'approche de la dominatrice, qui lui attrape la queue encore dure et ordonne à son soumis de la lécher avec sa langue. Mon excitation était à son paroxysme. Je croyais que cela était fini mais bien évidemment que non... La Domina attrapa pour la dernière fois la tête de son soumis cocu pour qu'il lèche tout son sperme, ce qu'il fît avec délectation. à ce moment là que je me suis mis à avoir mon orgasme... d'une rare intensité devant un porno. Evidemment, vous allez me dire qu'il n'y a rien d'exceptionnel à cette histoire aujourd'hui, mais il y a 15/20 ans cette pratique était plutôt tabou ou du moins beaucoup moins exposée. Ce que j'ai aimé dans cette vidéo, c'est cette complicité qu'il y avait entre eux 3. Peu importe, Dominatrice, Alpha, soumis, il y avait une osmose et ils ont tous pris tellement de plaisir. Les statuts n'avaient plus d'importance. Cela m'a ouvert l'esprit sur énormément d'envies et la chance que d'être un 'Soumis/Cocu' Depuis ce jour, je rêve de tomber sur une Femme avec qui je pourrais vivre ça et bien plus encore 💕 Ou encore un couple pour être à leur service, sachant que la couleur de peau du mâle alpha, ou de la Domina n'est qu'un détail pour moi. N'hésitez pas à commenter et me dire quel a été le déclic qui vous a permis d'en être là aujourd'hui. Et à me joindre en MP, si vous êtes intéressé 😘
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Par : le 28/05/25
Quand je l'ai vu prendre un verre et le remplir de son champagne doré, mon excitation est montée en flèche. Le verre se remplissait à une vitesse, jusqu'à ce qu'il déborde. Je n'avais qu'une hâte, qu'elle me donne l'ordre de le boire en entier, ce que j'ai fait sans aucune hésitation. Avaler son urine tiède a était une telle chance et un tel plaisir. Une fois le verre vide, elle m'a attrapé par les cheveux pour que je la lèche et la nettoie avec ma langue. Je me suis exécuté et il ne lui a fallu que peu de temps pour qu'elle jouisse dans ma bouche. Mais ce que j'ai aimé le plus dans cette expérience, c'est la fierté que j'ai ressentie dans le regard de mon ex-Domina. J'espère revivre cela un jour.☺️ Si vous êtes intéressé, n'hésitez pas à me contacter en mp. (Femme ou couples)
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Par : le 27/05/25
Comme d'habitude, le jeudi après midi des semaines impaires, je suis allée au Xcenter de Plan de Campagne. Ça faisait un petit moment que je n'y étais pas allée et cette fois ci, j'ai bien rattrapé mes absences. Je me suis changée en Trav dépravée  dans une cabine à l'étage et j'ai laissé mes affaires à l'accueil. Vêtue d'une jupe crayon en vinyle noir zippée en haut et bas, avec un beau laçage derrière qui était en accord mon corset en vinyle noir également mettant en évidence mes tetons outrancement développés et chaussée de sandales à lanières noires vernies hautes de 16cm, que je m'apprêtais à me faire déglinguer. À peine arrivée à l'étage, j'ai fait un petit tour jusqu'au fond de l'espace ciné et un monsieur très jovial et surtout très excité m'y a suivi et à commencé à me peloter de partout. Perso, je suis très excitée par les tenues vinyles et latex et apparemment ça plaît beaucoup aussi. J'envoie ma main explorer le contenu de son slip. J'y découvris un sexe en forme, de taille normale. Après quelques caresses et masturbation sur ma jupe, je lui fit une felation. Plusieurs hommes étaient présents et se régalaient du spectacle se masturbant avec obscénité. Autant de queue que je pouvais carresser voire sucer pour les plus hardis. Dans le tas gars je reconnu Didier, mon amant du coin équipé de son sexe énorme, que je surnomme mon demonte pneu. Ayant baissé comme un lapin, il n'était pas au mieux de sa forme. Ce n'était pas un problème car je sais très bien m'y prendre pour y remonter le moral. Je m'attelais à bien sucer ces 2 sexes car j'adore avoir 2 bîtes dans la bouche. Il n'a fallu pas trop de temps pour que le 1er homme me récompensa par quelques jets de son nectar dans ma bouche de pute que j'ai goulument avalé. Il se rhabilla me remercia du bon moment qu'il avait passé et partit. Je continuait de jouer avec Didier qui est  gars très performant et très endurant. Il me sodomisait sauvagement à plusieurs reprises heureusement que ma chatte habituée au fist en a vu d'autres. Mais qu'est-ce que c'est bon de se faire démonter aussi brutalement. Pendant la saillie, un gars très gentil et respectueux qui m'avait connu sur Trans Trav et qui m'avait fixé un rencard ici a pointé son nez. Il était très exité par ma tenue il m'a caressé longuement. Il était de taille modeste et semblait avoir des tremblements parkinsonniens. Il était tellement chaud que la felation que je lui ai fait n'a pas duré bien longtemps avant qu'il ne se décharge dans ma bouche.  Très content de m'avoir rencontré il se rajusta son pantalon et parti en me remerciant de lui avoir donné beaucoup de plaisir. Didier est vite revenu se faire astiquer le poireau. Pendant que je m'affairais sur son sexe, un énième  gars est venu se joindre à nous et a de suite vu mon penchant de chienne soumise. Il a commencé à me torturer sadiquement mes tétons. J'adore trop et ça me provoque des palpitations anales et une érection terriblement contenue dans ma cage de chasteté en plastique rose qui est toute indiquée à ma condition de sissy. Le gars m'a ordonné de respirer son poppers qui m'a tout de suite chauffé la tête et mon esprit. Bien brûlante comme la braise il a continué à me dominer en me giflant énergiquement et moi grosse chienne en chaleur qui lui en redemandait de plus belle. Me gavant de poppers, je suis tombée dans un cercle infernal qui ne faisait que monter en puissance. Le tout agrémenté d'insultes et d'obscenes menaces. La scène était d'une telle violence que Didier est venu voir si tout allait bien et il a vite été rassuré en me voyant en redemander de plus belle. Toutes les bonnes choses ont une fin, Didier devait partir. Il est rerentré dans le jeu pour m'offrir son sperme en remerciement de son après midi lubrique que je lui ai donné. Il m'a fait bouffer sa rondelle pour qu'il retrouve sa super érection. Quand son énorme sexe fut bien dur, il me le fit sucer tout en se branlant. Son ejaculation ne se fit pas attendre. Sous les yeux et les commentaires salaces de mon tortionnaire, il m'inondat le visage et la bouche. C'était une très grosse éjaculation, son sperme est très bon en bouche et je n'en ai pas perdu une goutte. Quel régal ! Didier se rhabilla et m'a fait un bisou, pendant que mon tortionnaire excité par la scène entrepris le même traitement. Ce fut bon, mais c'était sans commune mesure à ce que je venais d'avoir, surtout en quantité. Après toutes ces bonnes choses, je me suis dit que mon après midi touchait à sa fin. Je me suis refait une beauté et je suis allée déambuler et voir un peu ce qui se passait dans l'espace rencontre. Il n'y avait plus personne dans la petite salle ciné et en plus le film était bof. Il n'y avait pas plus de monde dans la grande salle, mais le film était un peu mieux. Une blonde américaine se faisait sauvagement sodomiser par un étalon, ce qui n'était pas sans me rappeler ce que je venais de me prendre. Un nouveau gars apparu dans l'espace rencontre. Un arabe pas du tout timide qui est venu se masturber en s'asseyant à ma gauche. Il était très bien monté le bougre. Quand je lui ai pris le sexe en main je me suis aperçu qu'il avait des excroissances de part et d'autre sous son gland. Il m'expliquat dans français approximatif que c'était des billes sous cutanées placées chirurgicalement. Il me pelota les seins et je lui fit vite  comprendre comment j'aimais qu'on me les maltraite. Pendant que je le suçait, il me les martyrisait bien, il me branlait mon sexe encagé et me foutait ses doigts dans ma chatte. En bouche j'avais du mal à ressentir ses billes car son gland tellement gros occupait toute ma cavité buccale. Attiré par notre jeu, un autre gars est venu s'asseoir à ma droite. Un grand européen qui s'est vite inséré dans la partie en sortant son sexe pour que je le masturbe. Son sexe était très bien mais de taille plus conventionnelle. Ils se sont mis debout de chaque côté pour que je les suces simultanément (trop bon). L'arabe n'avait qu'une idée en tête, qui était celle de m'enculer. Avec un tel sexe, moi aussi j'en avais une énorme envie. Avec ces doigts, il me fouillait ma chatte avec obscénité. Le deuxième gars très ecxité s'est levé pour se masturber et se finir. Quel dommage, il avait une énorme quantité de sperme dont je voyais les multiples jets tomber au sol pendant un bon moment. Je me les serai bien pris sur mon visage ou dans ma bouche de pute. Franchement il y en a qui n'ont pas la valeur des choses.  Sitôt fini il se nettoya et parti, me laissant seul avec l'arabe qui entrepris de m'enculer sans préservatif sur la banquette à baiser. Préférant la penetration protégée, je lui mis une capote avant qu'il ne me prenne. Qu'est-ce que c'était bon de se faire bourrer de la sorte avec sa queue bien épaisse. Mais je ne sentais pas les vibrations qu'auraient pu me donner ses implants sous cutanés. Il aimait alterner les penetration et la felation. Il se retira, enleva le préservatif  et me refit bouffer sa belle queue. Puis il voulu me reprendre, je lui remis une autre capote et s'était reparti pour une fougueuse saillie. Pendant que je me faisait admirablement enculer, un autre arabe observait la scène. Le gars qui était en train de me prendre lui fit signe de venir jouer avec nous. C'était un grand type, style joueur de basket et il avait sa bite en proportion. Une belle bite avec un énorme gland qui donnait un air de champignon à l'ensemble tant il dépassait de la hampe. Le gars a placé son champignon devant ma bouche et en bon amateur de champignons, je savais que celui ci n'était pas toxique et je l'avalais goulument. Quel pied de se faire prendre "entre pointes". Une grosse queue me défonçant sans ménagement la chatte et une encore plus grosse dans la bouche. Ce sont des moments inoubliables dans une vie de putain dépravée. Mon sodomisateur, aimant bien l'alternance revenit se faire sucer. Déjà que une m'ecartelait la bouche, là impossible de prendre les 2 bîtes en même temps. Les 2 monstres étaient devant ma bouche et je switchais entre ces deux énormes sucettes. Mais le sodomisateur trouvant ma chatte très accueillante, y retourna et profitant que j'étais très occupée, il me fourra sa bite sans préservatif. Heureusement que mon ami AngeouDemon m'avait recommandé l'emploi de la PrEP. Merci ma sœurette. Ce fut reparti pour la saillie de la chienne. Très excité, mon sodomisateur ne tardait pas à se vider dans ma chatte. Il me laissa seul avec le gros champignon. Le gars voulait que je lui bouffe ses couilles toutes poilues, ce que je fis avec perversité en les aspirant entieres dans ma bouche. Ce n'était pas facile de faire rentrer ces 2 grosses prunes dans ma bouche pour les gober. Pendant se temps il s'astiquait son vaillant appendice. Sa masturbation l'emmena à l'orgasme et il me demanda de me délecter de son jus comme il disait. En bonne salope je m'executais et j'ai tout avalé. Un gars qui matait la scène m'a tendu des essuie tout pour que je me nettoie un peu. Quelques minutes après, je me suis retrouvée toute seule quand tout le monde fut parti. L'après midi touchant à sa fin, j'en ai profité pour régurgiter tout le sperme qu'il y avait dans ma chatte. Je suis allée me faire une petite toilette avant de me rhabiller et rentrer à la maison. Sur le chemin du retour je sentais bien que malgré l'absence de fist cet après-midi là, ma rondelle avait pris cher et j'étais aux anges de m'être fait casser le cul comme ça. Vivement ma prochaine visite au xcenter dans l'espoir que ce soit aussi bon ou mieux encore.
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Par : le 27/05/25
Aprés avoir choisi sa place, celle qui lui convenait le mieux, celle ou elle voulait être, Vanessa était elle vraiment consciente que le train qui était en marche, ou plutôt l'avion qui était en vol dans un voyage ou elle ne voulait plus redescendre, ou elle ne pouvait plus redescendre à cette altitude-là, n'était pas sans risques. Même avec un bon pilote, l'atterrissage peut être parfois brutal  lui disait sa dernière petite voix raisonnable encore présente, cette dernière petite voix qui vous parle , que vous écoutez  , mais auquel vous savez déjà que vous ne serez pas d'accord . Sur le chemin du retour, Ludovic et Manon étaient plus seuls au monde, ils étaient seuls, mais dans leur monde . ils  riaient de certaines anecdotes de la soirée, ce genre de rire naturelle et généreux, contraire a celui dont on se force par politesse ou par séduction. Leurs fous rires complices pouvaient durer de longues secondes pour Vanessa qui n'existait plus pendant  ces moments-là,se faisant très discrète à l'arrière de la voiture, admirant le spectacle romantique parsemé d'humour de ceux qu'elle avait jetés dans les bras l'un de l'autre. Au bout d'une dizaine de kilomètres parcouru, un silence s'installa , un silence gênant pour Vanessa qui préférait encore les voir rire à gorge déployée que d'affronter celui ci . En effet face à lui, face à cette atmosphère silencieuse Vanessa, n'osa plus bouger, et encore moins parler, arriverait elle à s'exprimer d'ailleurs . Aprés ce silence pesant pour Vanessa, mais loin de l'être pour Ludovic et Manon qui eux sont parfaitement à l'aise, cette dernière d'un geste toujours aussi gracieux, posa sa main qui ne l'était pas moins sur la nuque de Ludovic  pendant qu'il conduisait, le caressait comme pour lui dire qu 'elle voulait qu'il soit à elle ce soir, passant sa main dans ses cheveux comme le ferais un couple de longue date qui filerait encore le parfait amour . Ce dernier caressait la cuisse de Manon entre deux changements de vitesse, remontant parfois Jusqu'à son indicateur rose et mouiller pour évaluer son degré d'excitation qui augmentait au même rythme que les kilomètres qui défilaient . Une fois joué de sa sensualité et voyant la fin du trajet arriver, Manon malgré son désir et son excitation pour ce beau brun , voulait quand même avoir la confirmation de Vanessa et de celui ci également, après tout elle ne les connait que depuis peu .  Manon se retourne vers vanessa la regarde et se concentre à la mettre le plus mal à l'aise possible, elle veut pas seulement le corps de Ludovic elle veut aussi le cérébral de vanessa. Car elle aussi ce soir a pris beaucoup de plaisir à dominer et a humilié celle-ci , elle aussi ressent couler un cours d'eau entre son entrejambe, certes loin de l'océan de Vanessa , mais un joli fleuve tout de même. " Que veux-tu Vanessa "  Posa Manon comme question a celle-ci aprés l'avoir fait transpirez de partout avec son regard d'actrice d'Hollywood , qui avait cependant changé de rôle . Face à cette question , ou plutôt cette ambiance, cette atmosphère de plus en plus chaude pour tout le monde,l'attitude de Vanessa ne frôle plus le pathétique, elle l'est à cet instant, à la voir, on pourrait la croire à la barre d'un tribunal et qui a peur de donner la mauvaise réponse à la méchante juge Manon. " Que veux-tu Vanessa  " insiste Manon, qui n'a rien de méchant et rien d'un juge non plus,tu veux que je couche avec ton mari c 'est bien ça lui dit elle sans même lui laisser le temps de répondre , en mettant une main sur le torse de Ludovic à travers sa chemise qui venait de garer la voiture devant la maison de celle-ci. " Oui, je le veux " dit Vanessa ,  " oui qui "rétorqua aussitôt Manon d'une voix une peu plus autoritaire.  " oui Manon pardon " reprit vanessa  " Oui, quoi "  insista manon .  " oui je veux que tu que vous  pardon avec mon....  ' Vanessa bégaye , bug, elle est touchée, sa rivale est plus forte , plus subtile , sa rivale a eu ce qu'elle voulait , la rendre pitoyable devant son mari ,  ce qui l'excite fortement .  " Oui je veux que vous couchiez avec mon mari s'il vous plaît Manon " arrivera à dire Vanessa après avoir repris ses esprits et sa respiration. Devant cette situation , Manon et Ludovic se regardent un instant dans les yeux, toujours aussi complice, et rétiaire un nouveau fou rire, 2 rires communicatifs qui se mélangent, 2 rires qui feront comprendre définitivement a Vanessa devant cette nouvelle humiliation, et le siège arrière encore intacte, heureusement protéger par la robe de celle-ci, que c'est bien ça qu'elle était venu chercher. Elle ne s'est pas trompé de destination, c'est bien de ce voyage-là que lui ont tant parler ses voix et ses pulsions obsessionnelles . Vanessa ne veut pas seulement voir son mari couché avec Manon , elle veut aussi lui être soumise, elle aime être humilié et rabaisser par celle-ci, elle le sait, elle le sent, a cet instant même elle le veut. Suite à cette confirmation et cette demande ridiculement courtoise de Vanessa, Manon cesse son fou rire, regarde Ludovic de ses yeux plissé et ravageur tel un jour de casting, rapproche son visage au plus près du sien, et de sa voix la plus allumeusement douce, dit a Ludovic , " et vous mon chère monsieur voulez vous  bien être à moi ce soir " , a quoi Ludovic répondra d'un baiser tendre, d'un baiser tendrement langoureux  pendant une trentaine de secondes, peut être 1 minute, ou alors peut être 2 , Vanessa ne sait plus, Vanessa ne veut plus savoir,  elle c 'est conditionner a seulement y assister. Mais ou est cette Vanessa  si élégante et charismatique au quotidien, cette Vanessa si dominante et arrogante dans le cadre professionnel , visiblement, est n'est pas là , existera elle a aprés , existe elle toujours d'ailleurs .Arrivé chez Manon , l'adrénaline et l'excitation augmentaient pour chacun, mais l'ambiance restait la même, Ludovic et Manon était toujours aussi complices et festifs  pendant que Vanessa continuait de rester discrète , honteuse et mouillé. Manon leur faisait visiter le salon de sa maison, une jolie maison donnant sur un jardin au décor assez propre à elle . Un jardin auquel on pouvait apercevoir de magnifiques fleurs pures, arborées de différentes couleurs, entourées de roses épineuses tout aussi particulières. Après avoir fait le tour de la décoration aussi élégante que sa propriétaire, Vanessa et Ludovic s'installent sur le canapé pendant que Manon mets une musique d'ambiance après avoir allumé la cafetière et s'absente quelques minutes. Ludovic se retrouvant seul avec Vanessa, regarde celle ci avec les mêmes yeux qu'un homme loyal a forte épaule peut avoir pour la rassurer,  et lui mets la main délicatement , mais légèrement ferme  entre son entre-jambe . A cet instant Ludovic comprend , regarde sa femme en essayant de lui parler sans mot quand Manon revient dans une tenue beaucoup plus aisé, mais pas moins raffiné. Manon est l'ennemie de l'inélégance, le contraire de la vulgarité, même dans un rôle de chienne, elle serait chic . En voyant ce petit bonbon revenir , le pouls cardiaque de Vanessa augmente autant que la testostérone de ludovic. Aprés avoir augmenté la tension de chacun, Manon parcourt la pièce , viens s'asseoir sur les genoux de Ludovic, et dit a Vanessa d'aller dans la cuisine cherchez le café pour leur servir d'une façon enfantine que Manon c 'est si bien faire  avec elle . Quand Vanessa reviens pour apporter les cafés , sans se bruler , et sans faire de tache sur le tapis  beige de Manon devant ce qu'elle voit  , elle comprend que plus personne ne joue, ou plutôt que le jeu est parti. La douceur de Manon avais fait place à sa bestialité  , la fleur pure se transformait en rose épineuse . Ludovic et elle  n'avaient plus aucune retenue, surtout elle , la chemise de celui ci  n 'était plus qu'un joli souvenir, préférant lui-même enlever son jean pour ne pas rentrer sans ceinture. Manon était sur Ludovic  , sans culotte mouillé ce coup-ci , qui lui même était sans jean et sans caleçon . Manon frottait son bouton de plaisir et les lèvres de son trésor , en se déhanchant légèrement , sur le sexe tendu de Ludovic et en faisant ressortir ses courbes parfaites . Les mains de Ludovic parcouraient le bas du dos de Manon jusqu'a son fessier , qu 'il dirigeait au rythme des mouvements de cette dernière . Vanessa regardait, ou plutôt fixait comme un film qu 'elle avait attendu toute sa vie, mais un film bien réel, un film tourné en directe  ,un film ou elle en était elle même la réalisatrice, mais sans maîtriser  le scénario . Manon et Ludovic mélangeaient leurs corps, leurs odeurs, leur salive, leurs excitations. Vanessa ne voyait plus sa posture si ridicule ou voulait peut être plus la voir, elle ne pensait qu'à ne pas se toucher pour éviter l'orgasme incontrôlé . Manon arrêta un instant son léger déhanché sur la fusée qui était sur le point de la faire décoller, les joues rougis, mais  pas à cause de la honte contrairement a ceux de vanessa , inclina légèrement la téte en arrière , les yeux pas encore révulser , et dit a celle-ci .  " Vanessa peux tu regarder dans mon sac et prendre ton parfum préféré si tu ne veux pas que ton chéri  me fasse une mini Manon " dit cette dernière d'un fou rire franc toujours aussi ironique , car évidemment Manon prend la pilule  , mais Manon ce soir est la fleur pure de Ludovic, très douce, et la rose épineuse de Vanessa , elle pique . Aprés avoir choisi un parfum qui n'était pas vanille , Vanessa tend à Manon ce qui lui garantit que cette dernière n 'aura pas de nausées dans les mois à venir, quand Manon lui dit , façon prof d'école botanique, " voyons Vanessa enfin nous allons pas tout faire tout seul , aide nous un peu, nous allons pas tout te dire, c 'est ton souhait , c 'est toi qui le veut , nous te faisons plaisir , alors fait un effort s'il te plait  , mets toi à genoux et protège ton mari "finira elle par dire don ton amusé et d'un rire étouffé . Vanessa se mit à genoux, prit le sexe dure de son mari , lui mit le préservatif  les mains tremblantes  , le visage a quelques centimètres du fessier de Manon  et de sa source au liquide commun , qui d'ailleurs coulait autant l'une que l'autre ,, le dirigea contre l'entre-jambes en ébullition de celle ci , frotta quelques instants le sexe de son mari contre celui de Manon , avant de le voir disparaître  dans un cris de plaisir fusionnel , absorber par la volcan de le fleur pure.....a épines.  
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Par : le 26/05/25
Déjà trois mois que nous nous connaissons. Après trois mois la première flamme s'affaiblit et il faut venir l'entretenir si nous voulons qu'elle devienne feu péren. Par habitude, j'ai fini par faire de cette affirmation une vérité générale afin de m'éviter toute déception. Cet élément, lié au manque de vous qui se fait de plus en plus ressentir et à mes angoisses, me poussent à vous parler du sentiment de stagnation que je commence à ressentir depuis quelque temps. Quelques messages en moins et voilà que les signaux d'alerte hurlent dans ma tête. Je crains une perte d'intérêt et d'engagement de votre côté mais,.paradoxalement, je crains aussi une envanilisation de la relation qui nous rendrait davantage simples amants que dominant et soumise. Sacré comble pour la femme de la nuit que d'être restreinte à vivre lors des horaires de bureau. Nous nous sommes mis d'accord sur le fait que nous n'allions pas empiéter sur la vie de couple de l'autre mais comment gérer la frustration de vous savoir qu'à quelques mètres de chez moi une fois le soir venu sans qu'on ne puisse se voir? Et comment regagner le contrôle sur mon corps qui se met bêtement a trembler lorsqu'il vous croise en compagnie de vos proches ?    Je vous ai prévenu, la communication est importante pour moi et ce autant pour les aspects positifs que négatifs. Je vous partage donc tout mon bazar et armé de vos mots vous commencez a arranger tout cela. Vous reprenez doucement la main sur la borne de contrôle et éteignez un a un les voyants qui s'étaient allumés. Ce partage nous permet de faire le point sur le chemin déjà accompli et nos désirs pour la suite. C'est l'occasion aussi pour vous de vous livrer plus en profondeur. Notre relation a engendré l'apprentissage pour chacun de nous de nouveaux rôles qui ne sont pas forcément les plus confortables. Celui de maîtresse d'école, je connais, maîtresse domina, j'ai déjà pu y goûter mais alors maîtresse amante , c'est nouveau pour moi et je ne sais quoi en penser. C'est ma morale qui en prend pour son grade même si bon ce n'est pas comme si elle avait été bien présente jusque-là. Oui, nous nous sommes attachés et bien que le destin nous mette au défi, il n'impacte pas notre envie de construire une relation d.s. Votre réponse a su me rassurer. Vous avez réussi à rendre étincelantes les noirceurs de mon âme.    Une étincelle de génie vous frappe vous aussi. Cela fait un moment que je ne me suis pas sentie soumise ? Vous n'allez tout de même pas me laisser en manque comme ça... Je devais aller faire une session shopping ? Eh bien ces achats se feront en étant comblée! Vous m'envoyez un message m'ordonnant de porter un plug en public pour ma sortie de l'après-midi. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire à la lecture de ce message. J'ai donc tant fait ressortir le diablotin dominant qui sommeille en vous. J'ai bien l'impression que vous vous êtes senti mis au défi mais j'accepte le vôtre. L'idée d'être pluggué en public me plaît. Elle permet de marier les deux faces de la même pièce, celles qui ne se montrent normalement jamais en même temps. La face de la femme de la nuit serait connue que de vous alors que je devrais garder intact le masque de la femme sage perçu par le reste de la société. Oui, l'idée me plaît, elle me plaît beaucoup même . Elle me plaît tant et si bien qu'elle me fait mouiller.   Sur vos ordres je vous partage les images de l'installation du plug. Je ne peux m'empêcher de vous faire connaître mon état et vous demander l'autorisation de me goder. Vous me l'accordez. Je suis assez mouillée et ouverte pour que je le fasse rentrer directement. Je commence les vas et viens qui se font de plus en plus rapides et profonds. Je veux me sentir entièrement remplie, faire complètement ressortir la salope en moi avant de devoir remettre mon masque. Je veux profiter pleinement de ce moment de plaisir libre. Vous m'envoyez un nouveau message. Vous voulez voir mon orgasme, me savoir réellement comblée. Vous savez que dernièrement j'ai des difficultés à atteindre l'orgasme, le maître-mot est donc le lâcher prise. Je veux être prise profondément, je me mets donc debout et empoigne le gode de mes deux mains pour recommencer les vas et viens. Je me relâche au maximum. Je sens un plaisir nouveau prendre place lorsque je suis relâchée ainsi. Je me suis déjà approchée du squirt sans jamais réussir à assez lâcher prise pour aller jusqu'au bout. Dans le doute, je tends le bras et saisis une serviette que je lance a mes pieds. Le gode vient stimuler le point parfait. Je sens l'envie monter mais on m'a toujours dit que si je commençais à avoir envie de pisser c'était bon signe et qu'il ne fallait pas le retenir car il s'agissait de squirt. Je ne retiens donc pas jusqu'à ce que je ressente un jet d'abord léger mais qui se fait de plus en plus gros et surtout de plus en plus chaud couler sur mon gode et sur mes mains. J'ai déjà vu une femme squirter et laissez moi vous assurer que le jet ne ressemblait pas à ça. Au vu de la flaque qui imbibe maintenant la serviette je coupe tout et ris en courant aux toilettes. Ah bah pour du lâcher prise ça en est du beau ça ! Je pensais d'abord que l'uro faisait partie de mes limites non négociables puis certaines lectures ici ont su planter quelques graines. Il faut croire que ces graines viennent d'être arrosées ! L'uro fait partie des pratiques souvent perçues comme crades et humiliantes et pourtant , je me sens fière, fière d'avoir lâcher prise et de dépasser un peu plus mes limites. Cette découverte et ce passage aux toilettes m'auront quand même valu un orgasme mais tant pis ! Je me nettoie rapidement et retourne dans mon lit . J'hésite d'abord à vous le dire. Le dernier message reçu de votre part me demande si je me rapproche de nouveau de l'orgasme. Je sous - entends. Vous tendez l'oreille et percevez la vérité. Vous me rassurez sur le fait que je peux tout vous dire et me demandez si j'ai bien aimé. Étonnamment, je crois que oui, j'y trouve même un côté excitant. Vous m'avouez alors que cela vous excite vous aussi et que vous auriez aimé assister à la scène. Espérons donc que les graines arrosées continueront à grandir dans ce sens.   L'heure a tourné, il est désormais 15h et je dois filer à ma séance de shopping en étant toujours aussi bien accessoirisée. Je me lève et me rhabille. Je n'ai jamais autant senti le plug en moi. Il n'est pas très gros mais je ne sais pas si me masturber avant de sortir ainsi était vraiment très tactique, je me sens resserrée dessus. Et c'est là que l'évidence me frappe : je ne vais pas pouvoir l'enlever avant mon retour chez moi à 20h30! Je vais donc devoir le garder pour faire mon babysitting et le porter pendant 5 heures ! Sacré défi pour une première fois en étant plugguée en public . Je ne sais si je vais assumer si longtemps. Je sors de chez moi et descends dans la rue. Chaque pas me fait ressentir un peu plus le plug. J'ai l'impression que les gens savent, que les regards qui se tournent vers moi ne peuvent que relever une démarche inhabituelle. Je prends une profonde inspiration qui j'espère va me détendre et surtout moins me faire sentir ce satané cœur. N'oublions pas le masque, il doit rester intact. Vous seul me savez plugguée, le reste est le fruit de mon imagination.    J'arrive dans le magasin et choisis plusieurs tenues, cinq au total, ça va en faire du temps d'essayage... Je cherche une robe pour un mariage et vous partage mes trouvailles. Vous me complimentez dès la première tenue que je vous montre, une longue robe fluide verte. Le vert, votre couleur préférée, couleur dont une pointe se cache dans vos yeux (oui oui je vous l'accorde, le soleil vous donne raison) et surtout couleur de l'espoir. Je suis déjà plus détendue, j'oublie même parfois ce qu'il se cache entre mes fesses. C'est pas si affreux que ça au final.. du moins c'est ce que je me dis en restant debout. J'enchaîne les tenues et hésite longuement mais me décide finalement sur la verte. Va pour l'espoir! Il nous en faut pour voir le verre à moitié plein. On aura plus de verres a vider comme ça ! Je passe à la caisse et fonce à mon babysitting. Oh j'ai eu espoir bien trop vite ! Le plug se fait toujours autant sentir lorsque l'on marche en fait. Plus que 3h à tenir et je crois bien que j'ai gagné en assurance dans ma démarche!     Je récupère la petite et nous profitons de la présence rare du soleil à Lille pour aller au parc. Je joue avec elle et la surveille tout en gardant un œil sur mon téléphone pour voir si je n'ai pas reçu un message de votre part. Vous êtes rentré chez vous et cela me vaut un message des plus immoraux. Vous avez pris une satanée habitude de m'envoyer une photo de vos plaisirs solitaires lorsque vous me savez au parc. Il faut croire que cela vous amuse de m'imaginer rougissant de gêne au milieu de ces enfants. J'écarquille les yeux et me dépêche de cliquer sur la notification pour supprimer la photo le plus discrètement possible. Vous jouez à des jeux bien dangereux et pas adaptés à l'âge des personnes autour de moi. Je range mon téléphone et vais m'asseoir sur un banc. Je ressens alors la présence du plug. Je ne saurais dire ce qui est le plus déplacé entre le fait d'être plugguée dans un parc pour enfants en faisant du babysitting ou le fait d'y recevoir un nude mais ce qui est sur c'est que le combo des deux risque de nous envoyer en enfer. Je crois bien que le feu est plutôt péren là bas.    Le babysitting se finit. Je rentre chez moi et retire enfin le plug. Il a beau être enlevé, je me sens toujours autant comblée. Nous avons tous deux répondu à nos défis respectifs. Merci monsieur pour cette journée riche en sensations et découvertes.
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Par : le 26/05/25
Il lui semblait qu'un peu de dignité lui était enfin rendue. Les consolations qui lui vinrent ainsi de souvenirs, parfois fort beaux et paradoxalement cuisants, sont tout à fait incroyables. Après de longs, longs mois, l'oubli qu'elle avait espéré et craint s'étendait sur elle. Il est difficile de décider où commencent les histoires et aussi où elles se terminent. Leur point de départ est toujours un peu arbitraire. Leur fin, même quand elle est brutale, traîne inlassablement dans les franges des souvenirs, dans les amertumes de l'oubli qui veut se faire et ne veut pas se faire. C'était comme un brouillard opaque qui se perçait brusquement. Elle était heureuse et malheureuse. Certaines nuits étaient encore un peu dures et elle s'éveillait brusquement en nage et elle pensait que sa sa bêtise et sa folie avaient été assez punies. Alors qu'il y avait au-dessus d'elle une grande glace, recouvrant totalement le plafond, que n'interrompait aucun luminaire, la jeune femme se voyait ouverte, chaque fois que son regard rencontrait le large miroir. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette étaient posées. La source qui filtrait de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra de tous ses muscles. Sa main droite balaya inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon total très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec violence.   Pour la première fois, elle réalisait qu'elle était heureuse. Elle oubliait sa colère, elle oubliait sa tristesse pour ne plus ressentir que du plaisir. Le monde de l'amour heureux est à la fois orienté et absurde: orienté, parce qu'il est tout plein d'un seul être; absurde, parce que cette présence envahissante n'est pour nous qu'une absence et qu'elle semble être là que pour nous faire subir un vide. Elle était sortie du monde de l'indifférence pour entrer dans un monde où la passion l'avait contrainte par la force à donner un sens aux choses. Elle continuait à croire  que n'importe quoi arrivait n'importe quand à n'importe qui. De temps en temps, elle parvenait à imaginer sans trop de déchirementd la vie de Juliette avec une autre. Elle trouvait des consolations dans son éventuel bonheur. Mais quand elle se disait qu'elle ne serait même pas heureuse, alors le désespoir reparaissait plus cruel et elle se reprenait à penser qu'elle n'était faite que pour elle. Plutôt alors mille fois voir Juliette morte que de la voir attachée à une autre ! Et non seulement parce que l'image de ces bras, de ces sueurs mêlées, de son corps étendu auprès d'un corps que l'anonymat ne protégeait pas de sa haine impuissante, était intolérable au-delà de ce que les mots sont capables d'exprimer, mais aussi parce que tant qu'il restait une chance, une seule, pour que Juliette lui revînt, cette chance était la pire douleur. La souffrance pure, la souffrance simple, la souffrance deuil n'était rien au regard de cette souffrance-sursis, aiguisée par les attentes et les résurrections. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but le suc délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Tout ne lui serait pas infligé à la fois. Elle aurait plus tard la permission de se débattre, de crier et de pleurer. Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Elle s'agenouilla entre ses jambes et Juliette voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement au-dessous d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Juliette. Elle sentit qu'elle allait exploser dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Sous ses longs yeux fermés un cerne violet s'étalait et une seule larme avait roulé au creux de sa joue.   Au coin de sa bouche, ces deux  fines rides qu'avait tracées l'amertume se creusaient davantage et, de temps en temps, un soupir si doux, si las s'échappait de sa potrine. ll y a une logique propre aux amours heureuses qui donne aux mots une signification nouvelle. Lorsque la coquetterie du bourreau vient jouer en outre sur les doubles sens et raffine ainsi sur la cruauté naturelle des attitudes et des expressions, on imagine les ravages que font alors les malentendus. Le bourreau est toujours innocent. Il n'avait que de l'amitié, il n'avait rien remarqué: à la rigueur, si on le pousse à bout, il se déclarera inconscient. Et s'il y a un coup de feu final, ou un corps qui s'écrase, ou un somnifère à triple ou décuple dose, il balbutiera, avec une horreur qui aura quelque peine à remplacer la satisfaction, qu'il était fou et qu'il ne savait pas. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur, commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était alors tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Ses phalanges pénétrèrent son ventre. Les lèvres entre les jambes de Charlotte, qui la brûlaient, lui étaient interdites, car elle les savait ouverte à qui voudrait. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarrassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Tout en haïssant le regard de triomphe de Juliette, Charlotte frissonnait d'un étrange plaisir, d'un désir tremblant, toute prête à être encore vaincue, encore prise avec cette brutalité délicieuse.   Ses yeux brillaient dans la pénombre humide, et ses cheveux roux, à peine bouclés, lui donnaient un air de grand seigneur exilé, de libertin courageux. La jeune femme effleura de ses lèvres la dure pointe des seins, de sa main le creux du ventre. Juliette fut prompte à se rendre mais ce n'était pas à elle. Il était indifférent à Juliette que Charlotte admirât son visage lissé et rajeuni, sa belle bouche haletante, indifférent qu'elle l'entendît gémir, quand elle saisit entre ses dents et ses lèvres la crête de chair cachée de son ventre. Simplement Juliette la prit par les cheveux pour l'appuyer plus fort contre elle, et ne la laissa aller que pour lui dire de recommencer. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder.   Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/05/25
Cela faisait quelques semaines que nous échangions, partageant nos envies, nos fantasmes, nos curiosités. Chaque message ajoutait un peu plus à cette tension qui montait doucement, une attente pleine de promesses. Le premier rendez-vous avait été manqué, pour des raisons complexes, mais jamais il n’avait été perçu comme un échec. Il avait simplement repoussé ce qui devenait inévitable.   Un second rendez-vous fut fixé. Cette fois, tout semblait aligné. Nous savions pourquoi nous venions l’un vers l’autre : pour explorer, ressentir, et surtout respecter chaque désir, chaque limite.   Le jour J, toute la matinée, je m’affaire. Je prépare l’espace, je pense à toi, à ce que tu pourrais aimer, à ce que nous avons évoqué. L’heure approche, tu m’écris : « J’arrive dans 5 minutes ». Je t’attends, debout, devant la baie vitrée, un verre de jus d’ananas à la main. Et je te vois.   Tu traverses l’allée, une valise à la main, ton allure irrésistiblement provocante. Talons hauts, collants résille, une jupe noire très courte qui souligne tes hanches, et un décolleté léger, à peine dissimulé par ta longue veste en jean. Tu avances, confiante, consciente de l’effet que tu produis. Je t’invite à entrer. Nos yeux se croisent. Tu souris, espiègle. Je ressens aussitôt cette alchimie revenir, encore plus forte.   Je t’accueille dans mes bras, je te glisse à l’oreille : « Qu’est-ce que tu es belle… ». Tu réponds, tout sourire : « Ça y est, on y est arrivé. » Et je te réponds, sincère : « Oui, et je suis ravi que tu sois là. »   Nous montons à l’étage, les regards s’alourdissent, nos corps se cherchent déjà. L’excitation est palpable. Une fois dans la chambre, tu poses ta valise. Ton regard se pose sur un objet posé sur le lit.   « Tiens, j’avais pas vu le martinet… » me dis-tu avec un sourire malicieux.   « Une surprise. Il y en a d’autres qui t’attendent », te répondis-je, amusé par ta réaction.   Nous nous rapprochons. Mon regard s’ancre dans le tien. Je te caresse le visage, puis t’embrasse. Un baiser d’abord doux, puis plus passionné. Nos langues se cherchent, se découvrent. Je glisse mes mains dans tes cheveux, t’attirant à moi avec fermeté, te dominant doucement, ressentant ton abandon. Mes mains explorent ton corps, caressent ta poitrine, tes fesses fermes, ton dos. Tu frissonnes, ton souffle s’accélère.   Nous prenons un moment pour parler, comme convenu. Consentement, limites, envies. Ce n’est pas un simple jeu — c’est une confiance mutuelle, un espace sacré que nous construisons ensemble. Puis je t’invite à découvrir les accessoires éparpillés ici et là : une balançoire de porte, des cravaches, des menottes, des rubans… Tes yeux brillent.   Je désigne ta valise. « Et là-dedans, qu’est-ce que tu as apporté ? » te demandai-je, curieux.   Tu éclates de rire. « Je me demandais quand tu allais poser la question ! » Tu l’ouvres, lentement, comme pour faire monter la tension. Et tu me montres, un à un, les objets que tu as choisis. Un plug à queue de diable, un autre en fourrure de renarde, un harnais, et deux godemichés XXL, auxquels tu as donné des prénoms. Intrigué, je t’interroge : « Tu les utilises souvent ? »   « Je suis une nymphe qui aime beaucoup se faire du bien », dis-tu avec un clin d’œil.   Je souris. « Tant mieux. J’adore les filles un peu trop curieuses et gourmandes. Je vais me faire un plaisir de m’occuper de toi. »   Ton regard me dit tout : tu es prête, avide, et profondément consentante.   Je me glisse derrière toi, mes mains reprennent leur danse sur ton corps, effleurent tes courbes, s’attardent sur ta poitrine, tes hanches. Tu te cambres contre moi, ton souffle tremble, ton corps parle un langage que je comprends. Tes tétons se durcissent sous mes caresses. Je te murmure à l’oreille des mots que seul ton corps saura interpréter. Je descends mes doigts le long de ton ventre jusqu’à ton intimité… déjà humide.   Je ris doucement : « Déjà ? »   « Oui », réponds-tu, sans honte, les yeux pleins de feu.   Je te demande de te déshabiller. Tu obéis avec grâce, te dévoilant lentement, presque théâtralement. Une fois nue, je te tends ton corset, que tu enfiles, puis je te passe un collier fin autour du cou, comme une promesse silencieuse. Je t’installe à quatre pattes sur le lit. La cravache à la main, j’admire tes fesses, ton dos cambré, cette offrande assumée.   Je commence doucement. Des claques mesurées, rythmées, suivies de caresses qui apaisent. Ton corps réagit, tu gémis, ton souffle s’alourdit. Puis je change d’instrument. Le paddle vibre plus fort sur ta peau. Ton sexe est brûlant, gonflé de désir. J’alterne entre plaisir et tension, cherchant le point d’équilibre.   Je place un bâillon à tes lèvres, j’attache des pinces sur ta poitrine. Tes yeux s’assombrissent de plaisir. Tu es là, offerte, puissante dans ta vulnérabilité.   Je prends ta chevelure, t’incline vers l’arrière, et glisse mes doigts en toi. Un, deux, trois… tu es accueillante, ouverte, et bientôt c’est ma main entière que tu reçois. Tu cries à travers le bâillon, ton corps tremble de plaisir.   Je ressens chaque pulsation, chaque contraction. Je te tiens, fermement, te soutiens. Tu jouis dans mes bras, belle, indomptable.   Tu tends alors ton jouet XXL. Je comprends. Tu en veux plus.   Je te l’introduis lentement, te regardant, attentif à chaque réaction. Ton corps l’accueille sans résistance. Je commence à bouger. Tes gémissements deviennent chants. Je frappe doucement tes fesses, leur teinte rosée me ravi.   « Je ne vais pas te prendre », te dis-je, penché à ton oreille. « Je veux juste te voir jouir… encore. »   Je t’accélère, te pousse à bout. Et puis tu exploses. Tu jouis, tu te répands, ton plaisir devient une onde liquide. Tu es une fontaine, comme tu aimes le dire, et je me régale de te voir ainsi.   Je te fais t’allonger. Ma main se pose sur ton cou, et tu poses les tiennes sur la mienne. Tu veux sentir la pression, ce juste déséquilibre entre contrôle et abandon. Et tu jouis encore, intensément, libérée. Si excitant de voir un corps si joli avec un visage d'ange se transformer en une si belle petite diablesse.    Nous nous arrêtâmes pour nous désaltérer, puis nous avons pris le temps de discuter de ce moment et d'autres. Cependant, ce n'était pas la fin de notre rendez-vous, car nous avons continué la session encore plus intensément à prendre plaisir de chaque jeux   Quand enfin le calme revient, nos corps sont tremblants. Je défais les accessoires, avec douceur, presque tendrement. Chaque geste est un mot que je ne prononce pas : respect, soin, présence. Tu souris, les traits détendus.   Nous restons là, à nous parler, à nous toucher doucement, sans but, juste pour le plaisir du contact. Il y a dans ce silence une intimité rare, née de la confiance absolue. Nous avons partagé quelque chose de fort, de brut, et de beau.   Et c’est ainsi que notre rendez-vous trouva sa plus belle fin.
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Par : le 22/05/25
Je ne sais pas si d’aucun se reconnaîtront dans mon propos mais j’aime admirer ces Dames et je m’incline pour celles d’entre elles qui auront su allier tout autant l’élégance et le goût que la provocation que la malice dans leur apparence.   Helas, je suis très conscient que l’insécurité de nos villes contraigne ces Dames à se faire discrètes. Je suis tout aussi conscient de la souffrance et de la charge mentale que représente la pression constante que nos quotidiens malveillants pour éviter les pièges. Ainsi, j’admire leur courage à savoir défendre leur liberté d’être séduisante tout en restant en sécurité. C’est tout autant une prise de risque mesurée qu’un équilibre délicat qu’il leur faut préserver à chaque instant. Tant par leurs gestes que par leurs attitudes.   Ainsi, et en toute logique, rares sont celles qui ne cèdent pas à la simplicité et au confort des tenues qui les rendent invisibles. Car, à l’évidence, ne pas se faire remarquer dans la jungle urbaine c’est avant tout un enjeu majeur de sécurité. Hélas, pour nous, les dandys modernes, les gentlemen respectueux (le jour en tous cas), les Hommes de vertu (le jour, et encore), cette dérive naturelle vers la banalité de l’apparence est parmi les plus tristes des spectacles.   Aussi, lorsque ces Dames se sentent en sécurité; que cela soit au bras d’un Gentleman protecteur ou au sein d’un groupe d’amis, les trouve-je délicieuses d’oser la provocation et l’audace de tenues savamment choisies pour ravir nos yeux. Comme une expression sensuelle de leur liberté de briller, de séduire et d’être convoitées à dessein.   Je reconnais pour ma part, trouver une Femme d’une beauté “simple en apparence”, mais élégamment habillée d’un charme beaucoup plus intense et envoûtant qu’une Femme à la “plastique parfaite” habillée sans soin. En effet, lorsque l’une aura eu le courage et la force, chaque jour, de vouloir sublimer les saveurs exquises des imperfections; l’autre aura céder à la facilité d’une beauté imméritée et déliquescente dont l’amer souvenir s’estompera quand celle-ci ne suffira plus à la rendre attirante.    Cela denote également de deux psychés bien distinctes et, même si c’est un lieu commun fort usité; à mon sens, trop souvent la richesse intérieure et l’attirance qu’on peut ressentir pour une Femme ne peut être résumée à la seule arrogance de physique. Mais tout cela n’engage bien évidement que moi …   Ainsi, outre mes propres penchants prononcés pour les codes vestimentaires de l’univers BDSM, j’apprécie tout particulièrement l’effort, le sens de l’esthétisme et la détermination nécessaires à la sublimation de son propre corps dont une Femme parfaitement apprêtée saura faire montre. A l’instar de l’artiste, celle-ci aura pris le soin de mûrement réfléchir chaque détail, de parfaire chaque technique, de mettre en application sa magie de l’apparat afin de faire de son image un chef d’œuvre. Pour son plaisir et le nôtre Messieurs.   Et c’est cette démarche intellectuelle, artistique et sensuelle à la fois qui va susciter en moi l’attirance et l’emoi au quotidien. Car je fais aisément la différence entre la Superficielle qui aura cédé aux codes futiles et insipides de la mode passagère et l’Elegante qui saura chaque jour se réinventer dans une image toujours plus exquise et raffinée.   Pour ma part, je prend plaisir à offrir à ces Dames des tenues élégantes et de qualité dans lesquelles elles peuvent se sentir imbues du pouvoir que leur confère leur féminité. Des tenues qu’elles peuvent sublimer de leurs charmes et de leurs démarches félines. J’aime qu’elles se sentent belles et puissantes.  Vos imperfections sont à mes yeux vos forces et vous voir les mettre en valeur, un gage rare de finesse, de volonté et de liberté.  Lorsque d’aucuns vous jugeront sachez, à votre tour les toiser du haut de vos atouts. Faites de vos complexes des charmes et osez montrer a la face du monde votre indépendance d’esprit à travers vos apparats. Chacune d’entre vous mérite de se sentir belle, désirée et fière. Soyez assurées que les vrais Gentlemen sauront, à travers les codes de votre apparence, prendre toute la mesure de votre féminité et reconnaîtront la puissance de celle-ci.    Fier de mes propres kinks et autres déviances perverses, j’aime également que ma Complice sache s’offrir dans le secret de ses dessous à celui qu’elle aura choisi. Adepte du CNC/FreeUse/Taming, je veux avoir la possibilité d’entreprendre en tous lieux et à chaque instant. Ainsi prend-je un malin plaisir à gâter celle-ci de dessous chics, de qualité, mûrement choisis et savamment ouverts qui lui permettent à d’être à ma disposition, même en public, tout en conservant, en apparence en tous cas, sa vertu et sa bienséance. Il n’est pas plus délicieux à mes yeux que de profiter, à ma guise et en secret, d’un objet de convoitise aussi attirant qu’une Femme qui assume son corps, le sublime avec soin et provoque l’envie chez les autres.   Ainsi, Mesdames, je vous exhorte à résister, dans les limites de votre sécurité s’entend, aux promesses du faux naturel et du confort et de vous faire belles chaque jour. Pour vous sentir puissantes, attirantes, désirées. Pour vous libérer des jugements mesquins. Pour votre plus grand plaisir et le notre également ...
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Par : le 21/05/25
F. Préambule à l’initiation. Jean est arrivé en avance devant l’entrée du palais des expositions un peu en avance et attend patiemment. Il ne voulait surtout pas être en retard et passer pour un malotru. Par contre il est 14h15 et pour l’instant aucune nouvelle de Sabine. Il s’inquiète, est-il devant la bonne entrée ? Apparemment oui. Il regarde sans cesse sa monte. 14h30 Sabine arrive enfin. Elle est tout de cuir vêtue avec un long manteau ouvert qui laisse apparaître des cuissardes qui mettent en valeur ses longues jambes fuselées, Une jupe arrivant à mi-cuisse et un bustier qui semblait dire « Regardez mais ne touchez pas ! ». Elle était magnifique, une nouvelle déesse, oui, la déesse de l’inconnu, celle qui peut vous entraîner dans le tourbillon de sa volonté en vous noyant dans son monde de volupté jusqu’à vous faire oublier que vous avez existé auparavant, que vous êtes encore vivant. Les gens s’écartaient devant elle comme les eaux devant Moïse. Martin la suivait, habillé d’un pantalon de ville gris, d’un blazer bleu ouvert sur une chemise blanche, col ouvert et un foulard rouge noué autour du cou. Jean qui était en tenue décontractée, comme il le faisait toujours lorsqu’il allait dans des endroits où il y a de la foule, se sentait un peu ridicule. « Bonjour » dit Jean d’une voix enrouée. « Suivez-nous » lança Sabine sans aucune forme de politesse. Jean restant immobile Martin lui fait signe de le suivre fissa. Tous deux emboitent le pas à Sabine. Sabine présente les billets d’entrée, récupère un plan du salon et dit « On va aller boire un verre, comme ça je pourrai voir le circuit que l’on fera ». Les deux hommes la suivent comme des toutous. En buvant leur boisson Sabine étudie le plan puis elle s’adresse à Jean « Vous étiez déjà venu au salon de l’érotisme ? ». « Non ! » répond Jean. Sabine s’esclaffe de rire et dit « Tu as entendu Martin ? Le pauvre petit chou qui nous accompagne n’est jamais venu au salon de l’érotisme ! ». Puis s’adressant de nouveau à Jean « Vous avez une vie vraiment triste. Mais, si vous êtes sage, cela va changer ! » Puis approchant sa bouche de l’oreille de Jean elle chuchote « Vous n’imaginez même pas ce dont je suis capable de faire pour changer votre vie. Vous l’imaginez ? » totalement désarmé, Jean regarde Martin qui lui fait un simple clin d’œil tout en ayant un sourire malicieux. Finalement Jean répond « Non, je vous avoue que je ne sais pas que penser ! » Sabine lui souffla dans l’oreille tout en disant « Aaaahhh ! Vous avez répondu OUI alors il ne sert plus à rien de penser. Moins vous penserez et plus vous saurez, et plus vous saurez moins vous imaginerez ! Vous êtes comme Faust ! Je suppose que vous connaissez l’histoire de Faust et Méphistophélès ! » Elle se lève et dit « Martin, tu sais ce que tu as à faire, Jean vous venez avec moi ! ». Le premier stand qu’il visitent est un stand de lingerie pour femme comme pour homme. Dentelle, maille, cuir, Lycra… Il y en a pour tous les goûts et tous les genres. Tenues vanille ou plus orientées et différentes panoplies sont accrochées sur des portants. Elle attrape un string en cuir pour homme l’approche du bas ventre de Jean et fait Hum, elle répète le geste avec plusieurs vêtements y compris avec une panoplie de soubrette. Jean pense qu’il sert de mannequin afin que Sabine choisisse des tenues pour Martin. Ensuite ils se rendent sur un stand de piercings et demande à Jean son avis sur les différents modèles. Le même stand propose des cages et des ceintures de chasteté. Cette fois Sabine ne parle pas, ne fait pas de présentations sur Jean mais arbore un large sourire à la fois mutin et énigmatique. Ils passent devant un stand qui présente du matériel et mobilier de donjon (C’est le nom que l’on donne à une salle aménagée pour les pratiques BDSM) mais Sabine ne s’y intéresse pas. Jean se dit que chez eux il n’y a peut-être pas la possibilité d’installer un donjon. Cela le rassure car il se vois mal être immobilisé à la merci de ses hôtes. Dans les jeux de rôle il préfère garder en partie le contrôle. Une voix de femme retentit soudain. « Coucou Sabine ! » Sabine se retourne, s’esclame « Ah Vaness ça va ? » et l’embrasse sur la bouche « Patrick n’est pas avec toi ? ». « Oh, il traîne par-là ! Et Martin ? » dit la femme. « Il était là tout à l’heure mais il est parti car il avait une course à faire ! ». « Mais je vois que tu n’es pas seule ! » répondit la femme. « Ah oui, je te présente Jean, un ami ! Jean, je vous présente Vanessa ma meilleure amie ! » Après un échange de « Enchanté.e » de part et d’autre Vanessa attrape Sabine par le bras et l’emmène à l’écart pour s’éloigner de Jean. Vanessa - « Ce n’est qu’un ami ? » Sabine - « Chuuut, c’est ma proie pour de nouvelles expériences ! » Vanessa - « Martin est d’accord ? » Sabine – « Évidemment ! Tu connais notre histoire et que ce que nous faisons ensemble est le ciment de notre couple ! » Vanessa – « Le moment venu n’oublie pas ta meilleure amie, j’aimerais voir ça ! «  Sabine – « Promis et tu pourras même participer si tu veux ! Et peut-être plus tôt que ce que tu penses ! » Vanessa – « Salope ! Tu sais que tu m’as fait mouillé ? » Sabine – « Si tu n’avais pas mis un pantalon j’aurais glissé ma main pour vérifier ! » Elle se mettent à rire puis s’embrassent à nouveau sur la bouche. Vanessa – « Au revoir Jean, à très bientôt j’espère ! » Jean – « Au revoir Madame ! » Vanessa s’éloigne en riant « Madame, ah ah, il est trop mignon ! ». Puis Sabine s’adressant à Jean « Bien, j’ai vu ce que je voulais voir ici. Vous êtes en voiture ? » Jean – « Oui, elle est sur le parking à gauche en sortant ! » Sabine – « Eh Bien, pour une fois, c’est moi qui vous suis ! » Jean – « Je vous dépose quelque part ou je vous ramène chez vous ? » Sabine – « Vous vous souvenez des consignes ? » Jean – « Oui ! » Sabine – « C’est-à-dire ? » Jean – « Que je sois ici à 14h00 et que je me rende disponible jusqu’à demain midi ! » Sabine – « Prenez la direction du centre-ville et je vous guiderai ! » Arrivés au niveau de la place principale elle lui demande de se garer puis ils s’engagent à pied dans une petite rue et arrivent devant un petit magasin de lingerie dont la devanture et la vitrine n’ont pas été changés depuis les années 1950 . Ils entrent, faisant teinter une clochette située en haut de la porte. Une dame âgée arrive et prend Sabine dans ses bras en disant « Bonjour ma chérie quel plaisir de te revoir ! » puis s’adressant à Jean « Bonjour jeune homme ! » Jean répond par un bonjour timide en se demandant ce que l’on pouvait bien trouver d’intéressant dans un tel magasin. Sabine à la vielle dame – « Martin est passé ? » La dame – « Oui il est passé dans l’après-midi et il m’a remis une liste ! Je n’ai pas tout mais viens, je vais te montrer ce que j’ai ! » Sabine à Jean – « Venez ! » Jean les suivit dans l’arrière-boutique. Il y avait des rayonnages en bois, remplis de ce qui semblait être des vêtements et des sous-vêtements emballés dans des sachets transparents et au-dessous des tiroirs, comme il y en avait dans les anciennes merceries , un petit canapé deux places en cuir rouge et en face une cabine d’essayage. La vielle dame sort la liste de sa poche et prie Sabine de s’asseoir dans le canapé puis attrape un mètre ruban puis s’approche de Jean en disant « Je vais prendre quelques mesures jeune homme ! » Surpris, il recule. Sabine – « Ne faites pas votre mijaurée, Nanette ne veux pas vous manger elle doit juste prendre des mesures ! » Finalement Jean se laisse faire, Nanette fait ce qu’elle a à faire, se dirige vers les rayonnages montre un sachet à Sabine qui acquiesce et le tend à Jean. « Prends ça et vas l’essayer ! » lui dit la vieille dame. C’était un slip qui paraissait être en cuir avec des boutons pression devant et derrière. Interloqué, Jean regarde Sabine qui pousse un soupir d’exaspération et lui fait signe d’aller dans la cabine d’essayage. Jean entre et attrape le rideau pour le fermer. « Non, non le rideau reste ouvert ! » lui lance Sabine. Bien que Sabine ne lui ait pas encore dit quel est son rôle, il comprend que le jeu a commencé et qu’il doit se soumettre à tous les ordres. Jean se met donc entièrement nu devant Sabine mais aussi devant la vieille dame et devient tout rouge, ce qui fait rire aux éclats les deux femmes. Puis tout en continuant à rire Nanette dit « Voila, je vais pouvoir prendre les autres mesures. Approche toi jeune homme. Ne t’inquiète pas, des bites j’en ai vu, tenu et sucé tellement dans ma vie qu’aujourd’hui je préfère manger une saucisse de Toulouse avec des lentilles ! » Une fois les mesures prises Jean enfile le slip et à la demande de Sabine il se présente face à elle puis fait demi-tour. Elle se lève du canapé puis dégrafe les boutons pression arrière et avant. « C’est bon vous pouvez vous rhabiller et attendez-nous dans la boutique ! » lui dit Sabine. Jean se rhabille devant ces dames goguenardes et part dans la boutique. Sabine à Nanette – « Montrez-moi ce que vous avez ! » Nanette – « Je n’ai pas la ceinture mais j’ai des cages ! Je te montre ? » Sabine – « Oui bien sûr ! » Nanette ouvre un des tiroirs et dit « Celles-ci correspondent aux mesures que j’ai prises sur le sujet ! » Sabine en examine plusieurs, hésite, puis en choisit une dont elle est certaine que toute érection sera forcément douloureuse. En connaisseuse, Nanette approuve ce choix puis glisse la cage et le slip dans un sachet opaque et propose à Sabine de faire son choix de ceinture sur catalogue. Sabine en choisit une et Nanette lui fait remarquer qu’il faudra bien préparer le sujet (Sujet est le terme que Nanette emploie pour nommer les hommes et les femmes qu’elle a dominé une grande partie de sa vie avec fermeté et sévérité. Son arrière-boutique actuelle était un donjon et la boutique de lingerie était tenue par une de ses soumises. C’était il y a longtemps). Sabine met le sachet dans la poche de son manteau et les deux femmes rejoignent Jean qui attend dans la boutique puis Sabine et Jean retournent à la voiture. « Maintenant nous allons à la maison ! » dit Sabine.
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Par : le 21/05/25
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jours plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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Par : le 21/05/25
J’ai été surpris. J’avais posté mon annonce depuis à peine dix minutes et un message s’est affiché. « Je suis intéressé par ce massage tantrique, on peut prendre un RDV ? ». La fiche de l’expéditeur révèle qu’il s’agit d’un homme quadra au physique agréable. Y’a pas, les abdos bien dessinés chez les hommes, c’est sexy même pour un hétéro comme moi. On tchate un moment et le rendez-vous est pris pour la fin de la semaine. Je lui donne les instructions de préparation : dîner de la veille végétarien, petit déjeuner liquide deux heures avant, hygiène parfaite, rectum vide et rincé. Le jour prévu, j’entre dans l’appartement. L’homme est chaleureux, nu sous son peignoir comme je l’avais demandé. Il rit un peu fort lors de notre conversation de préambule tandis que je m’installe, c’est normal, il est un peu stressé. En fait moi aussi. Je déroule une sorte de futon que je recouvre d’une large serviette éponge, je dispose mes outils de massage, surtout la fiole d’huile d’argan mélangée à une autre plus basique et deux ou trois huiles essentielles selon les besoins. Je demande à ce que les rideaux soient un peu tirés pour baisser la lumière. Le CD diffuse une musique discrète. Vient le moment de commencer. Ma voix est basse, presque chuchotée pour les instructions. Face à face, mes mains tenant ses mains du bout des doigts, nos yeux se regardent. C’est l’échange le plus profond, le moment où on se livre sans contrôle. Une expression d’angoisse dans ses yeux fait place peu à peu à une expression de soulagement en voyant mon regard bienveillant. Discrètement, j’ai évalué certains paramètres importants pour la suite : la longueur de son buste par rapport au mien, presque identique, qui permettra ou non en cas de trop grande différence certains gestes, la couleur du blanc de l’œil qui révèle un léger problème hépatique. Je lui indique que le moment de l’intime est venu et sans lâcher une main, je l’entraîne vers le futon. Assis en tailleur, je le fais asseoir face à moi, dans le creux de mes jambes, pubis contre pubis, dans une étreinte naturellement intime. Dans les bras l’un de l’autre, enlacés, nous restons là, immobiles et je l’encourage à se laisser aller. Sa tête se pose sur mon épaule tandis que mes mains ont recueilli l’huile et commencent à balayer le dos verticalement en alternance. La lenteur est de rigueur et je le sens qui se détend. L’abandon, le vrai, est pour plus tard. Mes lèvres effleurent les siennes, il semble accepter. Ma langue caresse de la pointe ses lèvres puis s'insinue dans sa bouche. Nous commençons une danse lente et salivaire. Lorsqu'il vient dans ma bouche à son tour, j'aspie et plaque sa langue contre mon palais, le contraignant à une immobilité. Puis je lâche et il retrouve une respiration normale. Nos fluides se sont mélangés. Je pose la main verticalement sur sa nuque et l’invite à la suivre. Il s’incline jusqu’au sol alors que son bassin reste collé au mien, en élévation à cause de mes jambes en tailleur. Je commence à masser le buste en douceur, caresse les tétons sans insister, puis encadre son phallus et ses testicules de mes deux mains et je le branle léger, juste la hampe en caressant les boules. Il gémit et bande, mes gémissements et mes soupirs se joignent à lui car je prends autant de plaisir à faire qu’il en prend à subir. Mais j’arrête au bout d’un court moment puisque le but est de faire monter l’énergie sexuelle sans aboutir. Je lève alors une des jambes qui m’encadraient et la masse sur toute sa longueur. Je fais de même avec l’autre pour ensuite la basculer du même côté tout en posant une main sur son épaule pour maintenir le buste collé au sol. Torsion lente, la jambe supérieure a été pliée presque à angle droit et je finis par lâcher le buste qui roule naturellement sur le même côté. Je masse alors les fesses et profite de la position où les parties intimes sont à découvert pour explorer l’entrejambe. Mes mains abondamment huilées coulissent entre les cuisses, retrouvent les testicules, vont jusqu’à attraper le membre tendu sans insister – tout est dans le dosage – et remontent dans le pli inter-fessier. L’anus est l’objet de caresses douces. La pulpe de mes doigts tourne autour, massant avec délicatesse cet endroit si sensible, ma voix l’encourage à s’exprimer et ses onomatopées me renseignent sur le succès de mes mouvements. Je le lèche à cet endroit et lui présente mon pouce. L’anus cède sans résistance. J’explore ainsi la cavité et caresse la prostate. Les soupirs se font profonds. Il faut à présent finir la rotation du corps pour le mettre à plat ventre. A cheval sur ses cuisses charnues, je malaxe ses fesses musclées et remonte lentement vers le dos. Je sais qu’il sent mes poils, mes couilles et mon sexe sur sa peau lorsque je me rapproche pour atteindre les épaules et balayer tout le dos. Je ne cache pas mes soupirs dus à l’effort et au plaisir du partage, l’encourageant à faire de même. Plus tard, je vais le retourner et nous commençons la danse d’amour. Je lui ai mis les bras en croix, paumes vers le ciel, à califourchon sur son visage, genoux écartés, je me suis penché jusqu’à atteindre son sexe qui s’était reposé. Je l’ai pris dans ma bouche et présenté le mien à la sienne. Commençant un doux mouvement de balancement de mon corps, j’ai balayé son visage avec mes parties génitales. Le mouvement est délicat et demande une maîtrise pour rester léger. Il a compris et a ouvert la bouche, acceptant mon sexe qui avait pris du volume. Ainsi le mouvement de balance permet que son sexe pénètre dans ma bouche tandis que le mien sort de la sienne puis les pénétrations s’inversent. C’est lent et terriblement langoureux et épuisant pour moi. Mais c’est jouissif d’aller si lentement, le désir devient puissant et c’est le but. Parfois je m’immobilise et cette station nous connecte un peu plus. Le délice, c'est de téter le gland plutôt que de sucer. Il arrive parfois qu’un spasme du phallus injecte du pré-sperme, signe d’une grande disposition à la jouissance. La phase suivante consiste pour moi à me tourner dans le même sens que lui, mes hanches sur son ventre et pendant que je masse ses côtes, soulevant un peu le buste, mon anus recule et cherche le contact de son phallus. C’est facile avec celui-là, il est tendu et ne demande qu’à servir. Toujours lentement, je le présente à mon anus lubrifié d’avance et avec ce balancement de mon corps, je commence la pénétration. Je reste à l’entrée, le gland à peine dedans. C’est le lieu de la plus grande jouissance pour lui comme pour moi. Nous gémissons sans aucune gêne, maintenant que nous sommes en harmonie. Je bascule alors sur mes pieds et lui demande de soulever ses hanches en prenant appui sur ses mains. Plus il monte, plus je monte sans perdre le sexe dans mon anus. Lorsqu’il arrive au plus haut, je laisse le phallus me pénétrer complètement. Je l’invite à descendre et maintiens le contact en laissant un décalage de hauteur pour permettre un coulissage qui va lui donner envie de remonter. Ainsi la danse d’amour, lente et sensuelle, nous rapproche du moment tant retardé. Lorsque je le sens prêt à éclater, je le plaque au sol, profondément en moi. Mes mains lient nos doigts pour le contrôler totalement, le serragge est impérieux, le maître d'oeuvre, c'est moi.. Puis je me lève un peu et en réglant la distance, je remue pour flatter uniquement son gland. Le coït sans précipitation abouti en peu de temps à l’orgasme souhaité. J’aime ce moment où l’autre est vaincu par l’explosion qui lui envahit le ventre de l’intérieur, où il perd tout contrôle avec cette expression de stupéfaction devant la puissance de son orgasme. Je me retire et le laisse haleter. De la main, je masturbe doucement le phallus encore dressé pour lui permettre de se reprendre. Un court jet de sperme me montre que c’était utile. Je peux maintenant terminer mon massage en mode léger, yin, pour l’apaiser. Notre séparation se fera avec un regard plein d’amour et de reconnaissance. Les pupilles dilatées, je franchis la porte. « Merci, tu m’as donné un grand plaisir ». J’ai simplement répondu : « je t’ai donné et tu as reçu, en recevant tu m’as donné ». La porte s’est refermée doucement, comme pour ne pas briser le lien silencieux que nous avions créé. L’effet durera trois jours. J’ai d’autres idées de façons de masser et espère vous raconter lorsqu’une femme m’aura demandé.
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Par : le 21/05/25
Bonjour madame votre rendez-vous est déjà là et attend depuis 15 min vient s'empresser de dire Océane l'adjointe de Vanessa là Directrice de l'agence auquel elle travaille . Apportez-moi un café et faites-le attendre repondit Vanessa d'un ton aussi sec que la gorge de son adjointe Toujours pas habitué à l'arrogance de sa supérieure .  Vanessa est celle qu'on envie par sa réussite et son élégance, mais celle qu'on déteste par son attitude et son mépris qu'elle rejette même dans le silence et pourtant paradoxalement Vanessa est plutôt douce et bienveillante dans son foyer et envers ses proches. Mais Vanessa a toujours cette idée qui trotte dans sa tête, cette envie, ce désir, ce fantasme ,qui en devenait une  obsession , celle de voir son mari, celui qu'elle aime, celui auquel elle a toujours été fidèle depuis leur rencontre , celui qui a toujours été fidèle envers elle également, celui qui pourrait lui décrocher 2 étoiles supplémentaires si elle lui demandait la lune ,celui que plus de 51 pourcent de la gente féminine révérait, Vanessa voulait voir son mari dans les bras d'une autre femme .  Vanessa voudrait voir son mari faire jouir une autre, cette idée la faisait jouir elle-même et continuait de la faire jouir encore et encore dans ses plaisirs secrets et solitaires à elle . La perturbation de ses fantasmes obsessionnels était à la hauteur du plaisir qu'elle ressentait , le plaisir d'imaginer vivre ce désir si particulier , Tout du moins si particulier pour elle , en effet Vanessa se sentait tellement  différente des autres, tellement de questions se bousculaient  dans sa tête. Ce n'était pas cette différence qui la tracassait , mais cette anormalité profonde qu'elle ressentait. et le pourquoi était sa grande question . Vanessa décida de se documenter , de lire des articles sur le cuckquean , de parler sur des forums. Mais en essayant de vouloir comprendre pour pouvoir peut être s'en échapper , Vanessa pénétra la sphère sans s'en apercevoir ou voulant peut être pas s'en apercevoir . Son mari ludovic grand brun trés séduisant savait les désirs de sa femme , celle-ci lui avoua pendant certains rapports sexuels ,mais Ludovic prenait ça comme un fantasme , un jeu  qui apportait néanmoins des orgasmes beaucoup plus fort a sa femme , certeins pour même être qualifier d'explosif lors de leurs jeux de rôles imaginaires concernant le fantasmes de vanessa ,et sa ludovic le remarquait , d'autant que celle-ci ramenait le sujet de plus en plus et ceux méme en dehors de leurs rapports , ludovic retrouvait  souvent  des livres et magasines sur le sujet. . Après avoir étouffé pendant quelques temps ses fantasmes qui lui criait si fort dans la tête, Vanessa et Ludovic se rendaient dans la douceur de ce jour d'été à une soirée de mariage d'un couple d'amis qui ont loué pour l'occasion un domaine immense, un domaine d'une élégance mélangé d'une simplicité naturelle faite par les jardins entourant et les hectares que l'on peut voir à perte de vue. Une centaine de personnes sont attendues, les invités sont presque tous aussi chic que le lieu auquel il se retrouve. Aprés que les esprits se soient échauffés avec l'apéro et petits fours, les invités se rendent autour des tables de 7 personnes pour entamer ce joyeux festin.  Vanessa et Ludovic se retrouve accompagné à la table de 2 couples d'amis et d'une amie prénommé Manon que ni Ludovic ni Vanessa ne connaisse, Manon est l'ami d'un des couples qui vient s'asseoir a coté de Ludovic pour le dîner  , ce brun ténébreux qui ne laisse pas indifférente ces dames. Cette soirée ou plutôt ce fameux dîner allait être l'élément déclencheur pour Vanessa en voyant Ludovic et Manon se parler comme s'ils se connaissait depuis des années , leur complicité naturelle  transpirant autant que le charme de Manon qui en joue un peu devant Ludovic qui est loin d'être indiffèrent également . Le nombre de points communs et d'éclats de rire entre eux passe complètement inaperçu avec tout ce bruit de voix provenant des multiples tables qui se mélangent et ce champagne qui coule à flot et qui fait parfois augmenter le niveau sonore des conversations, personne ne s'aperçoit de rien sauf Vanessa qui reçoit a cet instant une décharge électrique dans le cœur comme toute femme jalouse et amoureuse , son souffle se coupe , son coeur bat aussi vite qu'un joueur de poker qui bluff , ce n 'est plus une décharge électrique que reçoit Vanessa dans le bas-ventre , c 'est un coup de tonnerre, un coup de foudre équivalent a celui qu'elle vient de voir entre Manon et ludovic , un coup de foudre qui lui fait pleuvoir fortement son trésor qui est encore exlcusif a son mari.......
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Par : le 19/05/25
E. Le défi. Jean dormait profondément lorsqu’un bruit le fit sursauter. Toc ! Toc ! Toc ! « Monsieur Jean ? » lui demanda une voix qu’il ne connaissait pas. Il répondit par l’affirmative. La voix lui dit qu’il était 7h00 et s’enquit de ce qu’il prenait au petit déjeuner. Il répondait de façon mécanique, comme un robot, à cette voix qui semblait être celle d’une femme d’un certain âge, tout en émergeant et se souvint qu’il n’était pas chez lui. Il se prépara à la hâte et descendit dans la salle à manger. Un plateau garni de tous les ingrédients pour un copieux petit déjeuner était posé sur la table. Il n’osait pas s’asseoir car n’étant pas chez lui il ne savait si ce plateau lui était destiné. Une femme aux cheveux gris apparut et lui dit « Asseyez-vous, je vous en prie ! Madame m’a demandé de vous remettre cette enveloppe ». C’était bien la voix qu’il avait entendue par la porte. Elle lui tendit l’enveloppe qu’il plia et mit dans sa poche. Il regardera plus tard ce qu’elle contient. Pour le moment il doit se dépêcher pour ne pas être en retard à son travail. Lorsqu’il eut terminé la femme lui dit qu’un taxi l’attendait. Il monta dans le taxi qui prit l’allée menant au portail et alors qu’il s’éloignait de la demeure Jean se retourna pour voir si Sabine n’était pas derrière une fenêtre pour le regarder partir. Non ! Elle devait encore être en train de dormir. Jean se souvint de l’enveloppe. Il la sortit de sa poche et l’ouvrit. À l’intérieur se trouvait un carton bristol sur lequel était inscrit Sabine avec un numéro de téléphone et dessous était écrit à la main ; J’ai un jeu de rôle à vous proposer. Si vous acceptez ce ne sera qu’au moment où le jeu commencera que vous saurez quel est ce rôle. Un peu comme les acteurs qui font des jeux d’improvisation. Pour accepter vous m’envoyez OUI par sms sous 24 heures et je vous donnerai des instructions. Sinon adieu. Jean relu plusieurs fois le mot puis le remit dans sa poche. Arrivé à destination il monta dans sa voiture et prit la route pour aller à son travail en essayant de se recentrer sur tout ce qui l’attendait cette journée. Finaliser mon dossier pour la réunion de cet après-midi, que dois-je répondre à Sabine… Non, non, non… Il faut que je me recentre sur mon travail. Ça va être une journée compliquée. En effet, elle fut compliquée et le soir, une fois rentré chez lui, il ressortit le carton de sa poche et le relu, le relu, le relu encore et encore tout en tournant en rond dans son salon. Il ne s’était toujours pas décidé et dans le mot, il y avait une précision qui lui torturait l’esprit. 24 heures pour répondre… c’est à dire demain matin puisque j’ai eu le mot ce matin ou demain dans la journée voire le soir ? Bon, je vais analyser tout ce qu’il s’est passé depuis cette rencontre. Il prit une feuille de papier, un stylo et commença à tout noter dans l’ordre chronologique. La façon dont ce couple l’a approché, des questions qui se sont rapidement orientées vers la sexualité, l’invitation à venir chez eux, les confidences sur leur mode de vie avec Sabine qui est devenue dominatrice pour faire plaisir à son mari qui souhaitait être soumis, l’insistance sur les jeux de rôle et le carton donné le matin. Après réflexion il se dit : Ces gens veulent partager un moment de leur intimité avec moi dans le cadre de leur relation spéciale, ça c’est certain à 90 pourcent. Mais quel sera mon rôle ? Y aura-t-il d’autres personnes ? Ce qui m’inquiète c’est ce côté sexe entre hommes. Y serai-je obligé ? Si j’accepte le rôle je ne pourrai pas refuser telle ou telle situation puisque j’ai dit qu’en acceptant j’assumerai jusqu’au bout. Il s’enfonça profondément dans son canapé, tête en arrière pour regarder le plafond puis ferma les yeux et fit le vide dans sa tête. Mais Plein de scénarios lui venaient à l’esprit et malgré lui, son excitation était à son comble. Finalement, d’un geste déterminé, il attrapa son téléphone, saisit OUI et envoya le message au numéro indiqué sur le carton. Il paraît que la nuit porte conseil et c’est justement ce que Jean ne voulait pas car, une fois la tension redescendue, il risquait de ne pas répondre et de regretter de ne jamais savoir ce que Sabine à dans la tête. Il se releva, alla se faire chauffer des raviolis en boite et mangea en regardant une émission de téléréalité qui d’ailleurs, ne l’intéressait pas. Il sourit en se disant : finalement je préfère la réalité à la télé. Mais surtout il attendait les instructions venant de Sabine. Son téléphone restant muet il alla se coucher. Au réveil son premier réflexe fut de regarder ses messages mais rien de la part de Sabine. Il se dit qu’il s’était fait prendre pour un idiot, certainement à juste titre parce qu’il n’y a aucune raison qu’une personne comme elle s’intéresse vraiment à quelqu’un comme lui. Elle a joué avec lui et est passée à autre chose se délectant qu’il ait répondu OUI sans intention de donner suite. Il buvait tranquillement son café en faisant le point sur ce qu’il avait à faire durant sa journée de travail lorsqu’il entendu qu’il avait un nouveau message sur son téléphone. C’était un message de Sabine. Son cœur se mit à battre plus fort et ouvrit le message. Bonjour je vous contacterai dans la journée pour les consignes Sabine. Elle joue avec moi comme un chat avec une souris. Se dit-il. Mais, finalement, cela ne lui déplaisait pas. Alors qu’il travaillait sur un nouveau projet il reçut enfin le message qu’il attendait tant. Soyez à 14h00 devant l’entrée du palais des expositions et rendez-vous disponible jusqu’à dimanche matin. Ce sont des consignes qui ressemblent à des ordres stricts. Se dit Jean en fronçant les sourcils car il ne savait toujours pas ce qui l’attendait. En voyant la tête de Jean le collègue, qui partage avec lui le bureau de recherche et développement d’une société qui fabrique des pièces pour les machines-outils, demanda « Un problème avec le nouveau dossier ? ». « Hein ? Euh… Non, non ! » répondit Jean. Il chercha sur internet quel évènement il pouvait bien y avoir le weekend prochain et découvrit que c’était le salon de l’érotisme. Ok, ça promet se dit-il.
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Par : le 18/05/25
Vendredi, au lendemain de mon arrivée, tu me préviens que tu souhaites que je passe la nuit en cage, la toute petite nouvelle évidemment. Aussi, je profite que tu sortes une petite heure pour me lancer dans sa mise en place. On n’est jamais trop prudent pour éviter toute suggestion qui viendrait gêner son enfilage déjà complexe. Alors une pulsion soudaine de raideur imprévue serait rédhibitoire ! Par chance, ma stratégie marche et l’après-midi se termine à l’étroit mais néanmoins dans un relatif confort, certes bien contraint ! Lorsque la nuit fut venue, ce fut le tour de la nuisette noire. Depuis le temps, elle n’a toujours pas grandi. Elle couvre toujours aussi peu. Mais je reconnais qu’on y dort pas mal du tout sous la couette. Le sommeil n’est a priori pas dérangé par cet ensemble assez peu ordinaire. Il faut reconnaitre qu’une si petite cage présente un certain avantage : pas de risque de pincement nocturne soudain en cas d’érection. Et la restriction serrée ne m’empêche pas de trouver le sommeil.   Samedi matin, dès le réveil, lors de mes premiers pas en bas de l’escalier, tu fais connaissance avec cette mini-contrainte que rien ne dissimule. D’ailleurs ne devrait-on pas rebaptiser la nuisette ? « Montreuse » lui sied mieux ! Tes ongles prennent un malin plaisir à explorer ces « chairs » en tension, ainsi rendues hyper réactives, hyper sensibles. A la suite de ce plaisir des yeux, en ce qui te concerne, je suis autorisé à laisser la nuisette de côté, quant à la cage, libre à moi de décider. Etant donné qu’elle reste supportable et qu’elle n’est pas si évident à mettre en place, j’opte pour son maintien en place. Je verrai bien si j’ai présumé de mes capacités … ou pas !   Le soir venu, tu décides de réaliser les premiers tests de tes nouveaux jouets, à savoir les deux fouets en fibre optique. A dire vrai, je ne vois pas du tout le spectacle coloré qui se déroule dans mon dos. En revanche, je ressens bien le caractère électrisant des ces ultra fines « lanières », rien à voir avec un fouet. Il n’y a pas le mordant des mèches de cuir ; il n’y a pas le « poids » habituel. A priori, la prise en main et l’utilisation sont très différentes ; aussi j’ai vite fait de protéger comme je peux oreilles et visage avec mes mains. Des impacts pleuvant un peu partout. Il faut bien que tu expérimentes pour comprendre comment les manier, et manque de chance, ce n’est pas la même technique que pour ceux en cuir. Va falloir de l’entrainement pour arriver à maitriser le point d’impact ciblé… Mais je dois reconnaître que cette première dégustation est des plus encourageantes. A l’issue, tu m’invites à enfiler à nouveau la nuisette pour une nouvelle nuit, toujours encagé et serré de près.   Dimanche matin, tu immortalises ton nounours au réveil dans son « originale » tenue nocturne. Que dis-je tenue ? La preuve, tu n’as même pas besoin de la relever pour bien observer cette mini-enceinte métallique qui m’a encore tenu compagnie pour une deuxième nuit consécutive. Et c’est reparti pour une nouvelle journée à l’étroit.   Dans la soirée, tu souhaites passer aux choses sérieuses avec tes dernières acquisitions. Ma tenue ressemble étrangement à celle d’hier. Bon d’accord, elle était si minimaliste que ce n’était pas difficile. Néanmoins, tirant la leçon des premiers essais, tu me proposes la cagoule après avoir enfilé la paire de bas résilles, bien pratiques pour chausser les cuissardes. En fait, je serais simplement « vêtu » des jambes et de la tête. Même s’il m’est devenu difficile de tenir debout avec, leur port apporte toujours une certaine excitation … évidement contenue en ce week-end sous clé. Pour commencer, tu me demandes de me placer à genoux, buste droit et les bras le long du corps. Un poil contraint par la présence des cuissardes, cela me demande un peu de stratégie pour y réussir. Ceci fait, je t’offre tout mon dos. Tu choisis de débuter avec le moins long des deux fouets lumineux. Pour multiplier les sensations, ou plutôt les effets (que je découvrirai a posteriori), tu alternes les fouettées à la lumière, ou dans le noir, instants où les fibres lumineuses, aux couleurs changeantes déploient toute leur magie. Pour immortaliser cette inauguration, tu alternes aussi entre les photos, qu’il faut multiplier pour assurer d’avoir des clichés synchronisés avec les impacts et les vidéos qui captent à la fois les changements de teinte et le son si particulier de ces fouets, un sifflement différent de celui du cuir. Je retrouve l’effet électrisant déjà ressenti hier. En soi, ces fouets sont moins mordants à chaque impact. En revanche, l’accumulation de contacts finit par susciter un effet fouetté qui chauffe le dos ou les zones ciblées. Tu essaies aussi le plus long bien qu’il semble plus difficile à dompter pour avoir les effets escomptés. Petit à petit tu arrives à flatter aussi mes épaules et mes flancs. Quand une fibre traine près de la cagoule, mon oreille la plus proche siffle. Tu parviens aussi à faire quelques enroulés mais leur effet est bien plus ténu qu’avec les cousins en cuir. Après un bon moment passé à te présenter ma face postérieure, tu me demandes de me retourner et de m’étendre sur le dos, la pliure des genoux au bord du lit, et les bras serrés le long du corps à plat sur la couverture. Tu peux alors reprendre le même manège, cette fois en flattant essentiellement ma poitrine, accessoirement mes flancs. Etonnamment, mon intimité protégée par sa cuirasse semble échapper aux impacts. Quant aux sensations, elles sont très similaires à celle ressenties dans le dos. A la fin de cette inauguration qui appelle des suites, en alternance avec des fouets plus classiquement mordants, tu déposes les armes avant de me réserver une surprise. Toujours cagoulé, je ne te vois pas approcher. En revanche, mes couilles tendues et ma queue toute rabougrie dans sa cage bien étroite sont devenues hypersensibles au bout de quarante huit heures. Autant dire que le contact de tes griffes sur ces chairs me fait démarrer au quart de tour, m’arrachant quelques couinements. Je comprends quelques minutes plus tard que c’était aussi une façon de me rendre ma liberté. Il faudra bien une nuit pour que les chairs mâchées reprennent leur disposition originale.   Deux jours plus tard, dans la soirée, nous reprenons nos jeux, l’occasion pour toi de me proposer de changer de cadre. Exceptionnellement nous abandonnons la chambre au profit du salon. Pour mon plus grand plaisir tu me demandes de remettre, avec ton aide active précieuse, les cuissardes (si elles s’étaient absentées depuis un bon moment, elles font leur retour en force lors de ce séjour ; tout comme les bas résilles qui vont avec). J’ai l’impression qu’avec l’entrainement de dimanche, nous accomplissons l’enfilage plus rapidement. C’est tout de même épique, moi, assis sur le chariot, les jambes raidies par les cuissardes et toi qui tire dessus pour me faire approcher et finir le laçage, Je n’ose imaginer le spectacle de l’extérieur. Une fois terminé, tu me « repousses » littéralement. Auparavant, tu m’avais demandé d’enfiler le shorty rouge, bien visible et les bracelets aux poignets. Le collier était déjà en place depuis ce matin. Une fois paré, tu me tends la dernière touche de la tenue : toujours la cagoule en cuir que tu noues sur ma nuque. Cahin caha, j’arrive à pivoter et à me présenter devant la table basse selon tes consignes. Sauf qu’un hic se révèle. Le plan ne se déroule pas sans accroc. L’idée première de me faire pencher sur la table basse tout en restant sur le chariot se révèle  impossible à réaliser techniquement. Le chariot est trop haut pour cela. Qu’à cela ne tienne ! Nous le poussons dans un coin ; tu sors quelques coussins que tu places devant la table et je peux alors m’agenouiller « confortablement » au sol (pour autant qu’il puisse être totalement confort de se positionner ainsi avec des cuissardes !), puis placer la tête et le haut du buste appuyés sur un autre coussin posé sur le plateau. Jusque là tout allait bien, sauf que Maitresse veut m’immobiliser les poignets aux pieds de la table. Donc il faut que j’écarte les bras près des deux extrémités, vive le coussin …. et la cagoule, qui est venue me recouvrir la tête juste avant le début des nouages. A partir de là, je perds le fil des détails. Je comprends que les cordes m’enserrent. A priori, après avoir immobilisé mes bracelets aux pieds de la table, les cordes viennent contraindre mes bras avant d’encercler mon corps de plusieurs boucles. Elles poursuivent ensuite leur œuvre de contrainte à la lisière des bas, puis à celle des cuissardes avant de les serrer dans quatre nouvelles boucles. En guise de point final, tu viens lier les deux talons entre eux. Déjà privé de la plupart de mes mouvements, je ne risque plus de bouger. Désormais tu disposes d’une parfaite extension à ta table de salon, parfaite pour y reposer tes pieds sans risquer la moindre dérobade, tout en sirotant ton café, satisfaite de ta réalisation. Après l’effort, le réconfort ! Quelques minutes plus tard, après le retrait des cuissardes et des bas, tu te délectes des marques laissées sur mes jambes. Je ressemblerais presque à une tortue, arborant ce qui pourrait être assimilé à des écailles. Sans parler des petites marques rondes des œillets … Ton petit sourire de satisfaction fait plaisir à voir.   Le lendemain soir, tu me proposes le plat de résistance du séjour. Comme tu me l’avais demandé plus tôt dans la journée, je me présente à toi avec le boxer noir mi-long qui laisse apparent mes fesses en les soulignant à merveille, comme si elles appelaient les impacts. Contrairement à ce que j’aurais pu penser, très certainement par habitude, les moufles posées au coin du lit ne sont pas pour moi ce soir. Très étonnant ! Tu ne m’avais pas habitué à cela. En effet, pour épargner tes mains, une fois n’est pas coutume, tu les enfiles pour une séance de fessée que tu appliques, installée à califourchon sur mon dos. La sensation est légèrement moins impactante qu’à mains nues ; c’est d’ailleurs ainsi que tu termines cette mise en bouche, avant de poursuivre à mains nues. Après avoir délesté mon corps de ta présence enserrante, je ressens la présence d’un feutre qui parcourt mon postérieur. A priori, tu restes mesurée dans tes inscriptions si j’en crois mes sensations. Je verrai bien plus tard de quoi il retournait. Des mots prémonitoires qui annonçaient la suite. Mais cela, je l’ignorais à ce moment-là. Tu me gratifies alors d’une longue session de griffes, sur l’intégralité du corps, du moins sa face accessible. J’en frémis, j’en ronronne. Malgré les années qui passent, ce pécher mignon ne me quitte pas. Je ne saurais dire comment cette addiction a commencé mais il est hors de question de tenter de la soigner. Où plutôt si, avec une ordonnance de griffes régulières ! Le contact suivant sur mon dos correspond sans aucun doute à une brosse. Pourtant, après quelques passages, je commence à avoir quelques doutes. L’effet ne correspond pas à celle que j’imagine. Une fois n’est pas coutume, je finis par te demander ce que tu viens d’utiliser. C’était donc ça : j’imaginais la toute petite, il s’agissait de sa grande sœur, aux griffures plus denses, mais générant quand même moins d’effets que des ongles acérés. En fait j’aurais dû m’en douter quand le contact métallique s’est transformé en contact plat. Tu venais de la retourner pour t’en servir de petit paddle en bois. C’est un modèle plus long qui lui succède, toujours dans la thématique des détournements qui te sont si chers. Je dois reconnaitre que cette spatule en bois convient parfaitement pour rapidement réchauffer un postérieur offert et ainsi présenté dans son écrin de vinyle … Alternant le sucré et le salé, tu le remplaces par le plumeau. J’aime beaucoup la douceur des plumes mais il ne faudrait quand même pas en abuser. Maso un jour révélé, maso toujours. Mais il est bien utile avant de reprendre de plus belle. Bon, tu ne pouvais pas t’empêcher de le retourner pour transformer son manche en baguette, légèrement plus « douce » que les grandes en bois brut. Surtout que c’est du lourd qui vient soudainement s’abattre sur chacun de mes globes fessiers. Il n’y a qu’un seul candidat dans ton arsenal susceptible d’impacter aussi fort, aussi largement, aussi lourdement. Le « 54 fillette » ! Je n’ose imaginer l’état d’un fessier après une série un peu longue de ce colosse. Sans compter que lorsque tu le retournes, ce sont les crampons qui viennent essayer de mordre. J’avais presqu’oublier l’effet qu’il pouvait générer. Précautionneuse, tu n’insistes pas plus que cela, souhaitant sûrement laisser un peu de place au reste de ton programme (ou de ton improvisation ? Peu importe !). Du paddle en cuir long et clouté, je ne me souviens même pas que les sensations aient été différentes. Et pourtant ! Mais où était mon esprit ? Mystère ! Surtout que j’ai bien discerné par la suite le passage du petit slap. Tout comme, je ne pouvais pas ne pas reconnaitre la morsure de la petite langue de dragon. Il faut dire qu’elle est caractéristique et crée très vite une sensation de chaleur. D’autant plus que, depuis le début de la soirée, tu as décidé de limiter ta zone de jeux à l’espace délimité par mon boxer. Pour aussi loin que je m’en souvienne, je ne crois pas que tu aies autant insisté sur une surface finalement aussi restreinte. Je commence à me demander si je ne vais pas le regretter quand la chaleur va se transformer plus tard dans la nuit ou encore demain quand je voudrais m’asseoir. Je verrai bien. De toute façon, il est désormais trop tard pour revenir en arrière. Pour autant que je l’aurais voulu. Tu termines hors piste avec le fouet qui, lui, ne saurait se restreindre à un simple fessier. Il préfère largement aller flageller et mordre un dos resté « vierge » ou presque.   Après cette longue série d’impacts divers et variés, tu me demandes de me placer à quatre pattes. Dans ma tête, c’était pour une dernière tournée de lanières. Cela avait le mérite d’être raccord avec tout ce qui se passait depuis le début de la soirée. Sauf que je devine que tu viens t’installer juste derrière moi. Bizarre, quel accessoire nécessiterait une telle proximité ? Puis un liquide vient couler sur mon postérieur, ou plutôt dans mon sillon. Bizarre encore, je n’ai pas entendu le son des gants qu’on enfile quand cet endroit est concerné. Puis tes mains viennent écarter mes fesses : cette fois, le doute n’est plus vraiment permis. Ton nounours va se faire enfiler ! Reste à deviner ce que tu présentes devant ma rondelle. D’ailleurs, tu te vois obligée de prendre ton temps, d’y aller petit à petit avant que je me réhabitue à ce genre d’invasion. L’entrainement se perd vite, on dirait. Néanmoins tu es patiente, et tu parviens à tes fins au bout de quelques minutes. Il rentre jusqu’à la garde. Quand je dis il, je pense à ton gode-ceinture (enfin sans la ceinture ce soir !). Pendant de longues minutes tu le fais aller et venir. Il coulisse de mieux en mieux. Je crois comprendre que je ne m’oppose pas assez à son passage, comme s’il était devenu trop étroit. Hallucination auditive ? Mystère. En tout cas j’apprécie que tu fasses durer ce moment tout en délicatesse. Comme quoi sodomie ne doit pas rimer avec sauvagerie. J’ai beau être « moins opposé », il reste bien en place lorsque tu l’abandonnes quelques instants, fiché au fond de mon intimité. Comme quoi ! Là encore, j’ai le sentiment que jamais auparavant, tu n’avais fait durer ainsi un engodage. Merciiiii. Enfin tu me libères. Limite je finissais par m’habituer à cet intrus. Il faut dire qu’on le supporte mieux que le manche de flogger que j’avais sous-estimé voilà quelques années… Finalement non, cette sodomie n’était pas un point final. Tu m’offres quelques dernières griffes pour boucler la boucle, dernier ronron, dernier sourire de satisfaction béate.   PS : contrairement à mes craintes, la nuit ne fut pas perturbée par des fesses douloureuses pas plus que je n'ai eu de soucis pour m'asseoir le lendemain.
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Par : le 18/05/25
Nous échangeons par messages. Je me prépare pour cette soirée que je vais passer avec elle, et tu le sais. Tu sais que ce soir je vais froisser son lit. Je te partage mes essayages, mais tu ne vois pas tout. J'ai le plaisir de voir ta queue de Salope bander à la vue de mes photos, que tu m’envoies à des directives que je t'ai donné, et toi bien obéissant, tu t'y attelle si bien. Enfin prête, de mon côté je prends ma voiture pour finir ma journée de travail. Toi maintenant dans ton train, moi en voiture. Nous continuons à échanger, je t’envoies des vidéos où je te donne des directives à venir comme le désirs que tu t'occupes un peu plus de ta chatte en chaleur ainsi que de tes tétons. Puis je filme ma jupe que je soulève, où tu peux enfin redécouvrir mes dessous, mes bas résilles. Et une excitation te parcours lorsque tu t’aperçois que je porte une culotte en dentelle entrouverte. Je fait glisser mes doigts sur mon jardin secret que tu reçois de pleins fouet faisant monter ton désir. Je t'ai donnée l'ordre d'aller au toilette du train, afin de te caresser la queue bavante à souhait sans jouir. Toujours obéissant tu t’exécutes. Et le résultat est parfait. Je te sais dans ce train tout excité, sans que personne autour ne puisse imaginer la petite chienne que tu es, Ma chienne, la queue au bord de vouloir jouir sans n'y être autorisé. Ton train arrive à quai, nous avons fais le voyage ensemble, comme j'aime t'y accompagner. Pour que tu ne sois plus jamais seul lors de tes trajets. Je dois partir moi aussi, elle m'attend pour que je viennes froisser ses draps. Et tu le sais impuissant, mais obéissant. J'aime tant lorsque tu m'appartient!..................
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Par : le 18/05/25
Paris, 21h17. L’appartement sent le cuir, le bois ciré et une trace subtile de parfum musqué. Tu attends, à genoux sur le tapis noir du salon, les poignets croisés derrière le dos, le dos bien droit — mais ton regard, lui, brille d’insolence.   Tu as mis exprès cette jupe trop courte, celle qu’il t’a interdit de porter sans culotte. Évidemment, tu en portes. Une provocation calculée.   Tu veux qu’il te corrige.   Lorsque la porte du bureau s’ouvre enfin, il entre sans un mot. Grand, calme, en chemise noire retroussée, il a cette lenteur dans les gestes qui trahit une maîtrise glaciale. Il te regarde de haut en bas. Pas un sourire. Juste ce silence tendu, presque oppressant.   — Tu n’as pas suivi mes instructions, constate-t-il.   Tu hausses un sourcil, faussement innocente.   — Peut-être que je voulais voir si tu t’en souviendrais…   Le claquement sec du cuir fend l’air avant même que tu ne réalises : il a sorti la cravache. Un coup, net, sur l’intérieur de ta cuisse nue.   — Ne me teste pas, petite garce. Tu sais comment ça finit.   Tu frissonnes de tout ton corps, entre douleur et excitation. Mais tu tiens bon. Tu le veux furieux. Dominant. Implacable.   Il se poste derrière toi et écarte lentement tes genoux du bout de sa botte. Tu dois cambrer davantage, et la position devient vite intenable — mais tu ne bouges pas. Tu aimes cette douleur sourde dans les cuisses. Tu sais ce qu’elle annonce.   — Retire cette culotte, maintenant.    Tu obéis, te penchant en avant, mordant tes lèvres et la glissant lentement à tes pieds, pleinement consciente de l’humiliation volontaire de la scène. Tu sais qu’il t’observe avec attention. Il n’a pas besoin de parler pour contrôler la pièce. Tout en lui respire l’autorité     Tu es contre le mur, les joues en feu. La main sur ta gorge ne serre pas, mais tu sens parfaitement qui commande ici. Tu veux résister. Tu veux qu’il te force à plier, qu’il t’arrache chaque once de défi.   — Retourne-toi.   Tu obéis, mais à ta façon : lentement, en cambrant délibérément, provocante. Il te connaît. Il sait que tu ne t’abandonnes jamais sans combat. Tu n’es pas docile. Tu es soumise, oui, mais indomptable jusqu’à ce que tu sois brisée à genoux, haletante, les cuisses tremblantes d’avoir trop été privée.   Ses doigts glissent sous ta jupe. Ils frôlent tes lèvres déjà humides, s’arrêtent à peine sur ton clitoris. Un effleurement. Juste assez pour te rendre folle. Et puis rien.   — Tu crois mériter plus que ça ? Tu crois que ton insolence mérite la jouissance ?   Tu ne réponds pas. Tu veux. Tu veux si fort. Mais tu refuses de lui offrir le plaisir de ta supplique si facilement.   Le cuir frappe.   Une fois. Deux. Puis trois. Des coups nets, parfaitement espacés, sur tes fesses. La brûlure monte, délicieuse, rageante. Il s’arrête, caresse la peau rougie. Et recommence. Cette fois, il ajoute la voix.   — Dis-moi pourquoi tu es punie.   Tu restes silencieuse.   Le quatrième coup tombe plus fort.   — Dis-le.   Tu craques, entre les dents.   — Parce que j’ai désobéi…   — Et ?   — Parce que j’ai porté cette putain de culotte exprès.   Le mot l’arrête. Il sourit. Tu viens de céder un peu plus. Il adore t’amener à t’humilier toi-même.   Tu sens sa main entre tes cuisses. Cette fois, elle presse, frotte, cherche ton bouton enflammé. Tu halètes. Tu ouvres un peu plus les jambes, comme une supplique muette.   Mais il s’arrête.   — Non. Pas encore.   Et il t’emmène.   Par les cheveux, doucement mais fermement, jusqu’au fauteuil. Il s’assoit, te fait te mettre sur ses genoux, ventre contre ses cuisses, les fesses bien présentées. Là, il recommence. La main nue cette fois. Lente, pesante. Chaque claque résonne dans tout ton corps.   — Tu crois pouvoir me défier sans conséquences ? Tu crois que je vais te laisser jouir tant que tu n’es pas mienne corps et esprit ?   Tu te tortilles, mi-douleur, mi-désir. L’humiliation te brûle autant que les gifles.   — Tu vas supplier.   Tu veux tenir. Mais sa main glisse entre tes lèvres à chaque série de claques. Frôle. Stimule. Puis s’éloigne. Encore. Encore. Jusqu’à ce que ton ventre se contracte, ton dos se tende.   — Tu es au bord, hein ?   Tu gémis. Tu hoches la tête. Il appuie juste assez, juste ce qu’il faut…   — Non.   Et il retire sa main. Tu cries. De frustration. De honte. D’excitation.   — Tu ne jouis que quand je le décide. Et je ne vois encore qu’une petite insolente qui n’a pas assez pleuré de ne pas jouir.   Il te fait lever, sans un mot. Tu chancelles un instant, entre désir et colère, les cuisses glissantes, les fesses encore vibrantes de sa main. Il te guide jusqu’au miroir, grand, encadré de bois sombre, posé contre le mur. Tu t’y vois : les joues rouges, le regard trouble, la bouche entrouverte. Une image indécente de toi-même.   — Regarde.   Tu baisses les yeux. Il saisit ton menton, relève ton visage pour que tu affrontes ton reflet.   — Non. Regarde ce que tu es. Regarde ce que je fais de toi.   Il s’éloigne quelques secondes, puis revient avec un petit objet noir entre les doigts. Tu reconnais le plug. Petit, mais lourd. Il aime commencer par là — pas pour la sensation physique seulement, mais pour ce que ça signifie : la prise, la possession. L’humiliation parfaite, discrète et profonde.   — Penche-toi. Écarte les jambes. Et ne détourne pas les yeux.   Tu obéis. Lentement, cette fois sans provocation, juste cette tension constante entre la honte et l’envie. Tu sens ses doigts écarter doucement tes fesses, une pression froide contre ton intimité. Il a pris le soin de lubrifier, bien sûr. Il aime que tu le sentes glisser, que tu le sentes entrer en toi, lentement, irrésistiblement.   — Regarde-toi être remplie.   Tu hoquettes. Il pousse, tourne légèrement, te fait sentir chaque millimètre. Et quand le plug s’enclenche enfin, quand il se niche au creux de toi, il pose une main sur ton dos.   — Voilà. Maintenant, tu vas rester comme ça. À regarder.   Tu es debout, cambrée, le visage à quelques centimètres du miroir. Il s’assoit derrière toi, dans le fauteuil, à sa place d’observateur, de maître, de spectateur de ton humiliation.   — Touche-toi.   Tu hésites. Il n’aime pas que tu obéisses trop vite. Il préfère quand tu luttes. Quand tu n’as pas le choix. Alors tu glisses une main entre tes cuisses, tremblante, mal assurée. Et tu te regardes. Tu vois tes doigts se glisser là où tu n’as pas eu le droit d’aller seule depuis des jours. Tu vois le reflet du plug noir entre tes fesses, cette image indécente de toi-même, offerte et retenue.   Il parle doucement.   — Tu es si belle quand tu luttes. Si sale quand tu veux trop. Tu veux jouir, hein ? Comme une chienne affamée ?   Tu halètes. Tu ne réponds pas. Tu continues à te caresser, à observer cette version de toi-même que tu hais d’aimer : celle qui mendie sans mot, qui se montre sans honte, qui attend l’ordre comme une délivrance.   — Tu ne viens pas. Pas encore. Tu restes là, le plug bien enfoncé, les jambes écartées, à te regarder devenir exactement ce que tu méprises… et que tu adores être.   Il se lève. Il s’approche. Il t’enlace par derrière, sa bouche tout près de ton oreille.   — Tu es à moi. Et tant que tu n’es pas brisée… je continue.   Il est juste derrière toi, son souffle contre ta nuque, sa main posée sur le bas de ton dos. Le plug te remplit encore, froid et lourd, et ton reflet — cette image obscène de toi-même — ne te quitte pas des yeux. Tu es cambrée, offerte, et tu ne tiens plus. Tout ton corps vibre d’un besoin qui t’échappe.   — Tu veux jouir ? Alors tu vas devoir le mériter.   Il se recule légèrement, te fait pivoter face à lui, face au miroir. Puis il s’assoit, jambes écartées, et d’un geste, il sort son sexe, dur, prêt. Il le tient dans sa main, lentement, volontairement provocant.   — À genoux. Là, juste devant. Que tu puisses bien voir ce que tu fais.   Tu obéis. Tu te laisses tomber, docile, entre ses jambes. Ton regard croise le sien dans le miroir, puis descend sur sa verge. Tu ouvres la bouche, mais il ne te laisse pas faire.   — Pas comme ça. Les mains derrière le dos. Tu n’en as pas besoin. Ta bouche suffit.   Tu poses tes mains derrière toi, le dos droit, le regard fixé dans le miroir. Il saisit ta nuque, guide ta tête vers lui. Tu sens le contact de sa peau contre tes lèvres, le goût de sa domination. Il te pénètre lentement d’abord, puis plus profondément. Il tient ta tête, contrôle le rythme, te fait l’avaler centimètre par centimètre, jusqu’à ce que tu suffoques à peine. Il aime te pousser à la limite. Il aime voir les larmes dans tes yeux, la salive qui coule de ta bouche pleine.   — Regarde-toi. Regarde comme tu sais bien obéir, quand je décide.   — Regarde-toi. Un petit corps trop facile à faire plier. Une cervelle qui pense encore pouvoir résister. Mais tu comprends, maintenant ? Tu ne m’appartiens pas parce que tu as envie. Tu m’appartiens parce que tu n’as plus le choix.   Il te force à parler. À répéter. Encore et encore. Des phrases humiliantes, sales, indignes. Jusqu’à ce que tu les croies. Jusqu’à ce qu’elles sortent de ta bouche sans réfléchir.   — Dis-le. Que tu n’es rien d’autre qu’une petite chose docile, baisable, modelée pour mon plaisir. Dis-le. Et tu pourras respirer.   Il te tient là, quelques secondes. Il bouge doucement, puis plus vite, te forçant à prendre chaque coup de rein sans pouvoir protester, sans pouvoir fuir. Tu es là pour lui, juste une bouche, un regard brisé dans le miroir.   Puis il te relâche. Tu respires, haletante, les lèvres rouges, le menton trempé.   — Tu crois que tu mérites de jouir, maintenant ?   Tu hoches la tête, la voix presque inaudible.   — Oui…   — Oui quoi ?   — Oui, je vous en supplie…   Il te saisit alors, te fait te relever, te retourne encore, brutal mais précis. Il t’adosse au miroir cette fois, ton dos glacé contre la surface, ton regard qui se perd dans cette image de toi, offerte, défaite, les cuisses ouvertes, le plug bien enfoncé toujours. Il tombe à genoux. Tu t’y attendais. Tu l’espérais.   Sa langue touche tes lèvres, d’abord en surface. Puis il s’y applique. Lentement, comme une caresse interdite, méthodique, jusqu’à ce que tu perdes la tête. Il te tient les cuisses bien écartées, et chaque mouvement de sa langue te pousse plus près du bord.   — Tu veux venir ? Tu es prête à supplier pour ça ?   Tu gémis, incapable de répondre. Alors il s’arrête.   Tu cries. Tu tords les doigts. Tu le fixes dans le miroir, furieuse et suppliante. Et tu cèdes.   — Je vous en supplie… faites-moi jouir… je n’en peux plus…   Son sourire contre ta peau est une torture. Il reprend. Cette fois sans pitié. Sa langue frappe juste, ses doigts pressent contre le plug pour accentuer la sensation. Ton corps se tend. Ta voix se brise.   — Tu jouis quand je dis.   Il accélère. Tu trembles.   — Maintenant.   Et tout explose. En toi, autour de toi. Tes jambes lâchent, ta gorge gémit, ton ventre se contracte avec violence. L’orgasme est arraché, comme un cri, comme une libération. Tu n’es plus qu’un corps qui cède, qu’un reflet ruiné, ivre de soumission.   Il ne dit rien. Il n’a pas besoin. Tu sais que ce n’est que le début.   Tu reprends à peine ton souffle, les muscles encore noués, les cuisses tremblantes, le visage marqué par le plaisir trop longtemps retenu. Mais il ne te laisse pas retomber. Il t’attrape, te remet debout contre le miroir, les mains à plat sur la surface froide, les jambes écartées.   — Ce n’est pas fini. Tu crois que tu as gagné le droit au repos ? Tu n’as fait que commencer à payer.   Tu le sens retirer lentement le plug. Ta chair se resserre instinctivement, mais il murmure :   — Relâche. Tu vas en prendre plus.   Il s’éloigne un instant, et tu l’entends derrière toi préparer ce qui vient. Le son d’un flacon. L’odeur du lubrifiant. Puis il revient, derrière toi, imposant, décidé. Il saisit tes hanches. Tu le sens contre ton intimité, dur, prêt à te reprendre, à t’envahir à nouveau.   Mais cette fois, ce n’est pas tout. Il pousse en toi — ta fente glissante s’ouvre aussitôt, accueillante malgré la fatigue, chaude, trempée de ton plaisir précédent. Il gémit, satisfait. Il reste là un instant, profondément ancré en toi.   Puis il sort à moitié, ses doigts s’activent à nouveau derrière, à l’entrée plus étroite. Il glisse un, puis deux doigts, sans t’offrir le choix. Ton corps proteste, mais ton esprit capitule.   — Tu vas me prendre partout. Je veux te sentir m’appartenir des deux côtés. Tu es à moi.   Il retire ses doigts. Tu le sens se replacer. Et puis, lentement, irrémédiablement, il t’envahit. L’autre voie. Celle que tu crains, que tu désires, que tu refuses parfois de nommer. Il est lent, précis, mais inflexible. Il s’enfonce. Ta bouche s’ouvre sans son. Tu te vois dans le miroir : tendue, tordue de tension, offerte dans une posture indécente, ta bouche ouverte, les larmes prêtes.   Et puis il pousse encore. Tu es remplie. Devant. Derrière. Il te possède.   Il commence à bouger. Le rythme est lent au départ, calculé, pour que tu sentes chaque mouvement, chaque glissement. Tes jambes flanchent. Tes ongles griffent le miroir. Tu veux fuir. Tu veux qu’il continue.   — Regarde-toi. Regarde ce que tu es devenue. Prise. Dominée. Ouverte.   Il accélère. Il te pilonne, ses mains ancrées à ta taille. Tu n’es plus qu’un pantin. Un corps rempli, utilisé. Ton plaisir revient, brutal, incontrôlable, absurde après l’intensité de tout à l’heure.   — Tu vas jouir encore. Remplie comme une chienne. Et tu vas le faire sans honte.   Tu hoches la tête, incapable de parler. Tes gémissements sont brisés, sauvages, humiliés.   — Jouis.   Et ton corps obéit. Sans retenue. Un spasme plus fort encore que le premier. Tu cries. Tu te cambres. Tu perds pied. Et lui continue encore, quelques coups plus profonds, jusqu’à ce qu’il s’abandonne en toi dans un râle guttural, haletant.   Il reste là, quelques secondes. En toi. Posé sur ton dos. Sa main sur ton cœur, qui bat à toute vitesse.   Puis doucement, il se retire. Tu sens chaque vide. Chaque absence.   Ton corps s’effondre doucement contre le sien. Tu n’as plus de force. Tes muscles tremblent, tes jambes ne te portent plus. Il te soutient sans rien dire, te soulève dans ses bras, comme on recueille quelque chose de précieux qu’on aurait malmené trop fort.   Il t’amène jusqu’au lit. Pas pour te prendre, cette fois. Pour t’envelopper. Il t’allonge avec une lenteur presque religieuse, replace une mèche de cheveux collée à ta joue, essuie du pouce la trace humide qui s’y mêle — sueur, larmes, salive… Tu ne sais plus.   Il se couche derrière toi, te tire doucement contre lui. Sa main passe sur ton ventre, sur tes seins, sur tes hanches encore rouges des claques. Mais ce n’est plus pour dominer. C’est pour apaiser.   — Tu es là… c’est fini.   Sa voix est basse, grave, posée. Rien d’impérieux. Juste la présence. L’assurance. Il n’a plus besoin d’ordonner, il est simplement là. Et tu sens que tu peux relâcher ce qui reste encore tendu en toi.   Il te parle doucement. Te murmure des mots que tu ne comprends pas tous. Mais le ton suffit : tu es en sécurité. Il t’a prise, il t’a poussée, il t’a cassée — et maintenant il te tient.   Ses mains massent lentement tes muscles, surtout là où il t’a frappée. Il embrasse ta nuque. Tes épaules. Tes tempes. Il couvre chaque marque de gestes lents, patients.   — Tu as été parfaite. Indomptable. Mienne.   Tu frissonnes, non plus de tension, mais de gratitude. Il tire une couverture sur vous, t’enroule tout entière contre lui. Ses bras t’entourent. Son souffle berce ta nuque. Il ne parle plus. Il te laisse pleurer si tu dois. Soupirer. Revenir.   Et dans le silence, il pose sa main sur ton cœur, une dernière fois.   — Je suis fier de toi.   Tu t’endors là. Épuisée. Brisée. Refaite.   Et profondément aimée.
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Par : le 17/05/25
Madame, Je le confesse de bonne grâce: j’éprouve une joie sans limites à vous dominer. Non pas pour le mesquin plaisir de m’adonner à la violence gratuite. Ni pour venger une frustration ou soigner un ego malade. Non plus pour me sentir exister lorsque je vous diminue. Non, si je vous veux Soumise et moi Maitre, c’est sans aucune malveillance mais, bien au contraire, parce que c’est un plaisir délicat que nous partageons tous deux.  Je m’épanouis autant dans le contrôle que vous dans l’emprise. J’aime à prendre l’ascendant sur votre chair et votre esprit autant que vous aimez me les confier.C’est un équilibre sain et heureux dont nous jouissons l’un et l’autre. Et si nos ébats sont d’apparence crus, violents, dégradants, voire abjects dans la forme. Nous les apprécions d’autant plus car ils sont le reflet de qui nous sommes vraiment: épanouis, assumés, chacun à la place qu’il a choisi et qui résonne avec sa propre nature. Aussi, si je vous violente aujourd’hui et que vous y prenez plaisir, c’est parce que c’est notre manière de communier. Si mon rôle est bel et bien d’être votre Maître, sachez qu’il me ravi et m’honore à la fois. Celui-ci me confère, certes, de multiples privilèges et plaisirs que vous me réservez mais également tout autant de responsabilités. Ainsi, est-il évident pour moi de savoir honorer celles-ci du mieux qu’il m’est possible. Ainsi, parmi celles-ci je me dois tour à tour d’être le gardien de votre sécurité, de votre confiance et de votre plaisir.  Aussi, m’incombe-t-il avant toute chose de vous assurer la sécurité physique et psychologique en toute situation et à tout instant. Et ce, malgré les multiples risques, déviances ou autre chemins sinueux que nos corps perdront ensemble à la recherche de nos vices et de nos extrêmes secrets. Je me dois ensuite d’être celui qui saura être digne de votre confiance; afin que vous puissiez sereinement explorer et repousser vos propres limites. Sans jamais douter de mes intentions envers vous. Naviguer parmi certains plaisirs singuliers ne peut être entrepris qu’avec un guide dont la bienveillance reste l’assurance du respect mutuel.  Enfin j’ai également le devoir et l’honneur cumulés de vous faire prendre autant de plaisir qu’il vous en sera possible, dans les limites sans cesse repoussées de votre chair et de votre psyché. Je me dois, avec votre concours, d’être un artiste suffisamment talentueux afin de pouvoir faire de notre union un véritable chef-d’œuvre. Un esthète des sens qui saura maîtriser avec tout autant de passion les souffrances et la violence de nos actes que les mécanismes délicats du plaisir qu’ils nous procurent tous deux. Enfin, sachez Madame, qu’afin de vous mériter pleinement; je dois être celui dont le contrôle, la perversité et la créativité sans limites sauront vous ravir et vous envoûter chaque jour pour. Afin que vous ne puissiez jamais résister à l’envie de m’appartenir  …
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Par : le 16/05/25
J’ai été surpris. J’avais posté mon annonce depuis à peine dix minutes et un message s’est affiché. « Je suis intéressé par ce massage tantrique, on peut prendre un RDV ? ». La fiche de l’expéditeur révèle qu’il s’agit d’un homme quadra au physique agréable. Y’a pas, les abdos bien dessinés chez les hommes, c’est sexy même pour un hétéro comme moi. On tchate un moment et le rendez-vous est pris pour la fin de la semaine. Je lui donne les instructions de préparation : dîner de la veille végétarien, petit déjeuner liquide deux heures avant, hygiène parfaite, rectum vide et rincé. Le jour prévu, j’entre dans l’appartement. L’homme est chaleureux, nu sous son peignoir comme je l’avais demandé. Il rit un peu fort lors de notre conversation de préambule tandis que je m’installe, c’est normal, il est un peu stressé. En fait moi aussi. Je déroule une sorte de futon que je recouvre d’une large serviette éponge, je dispose mes outils de massage, surtout la fiole d’huile d’argan mélangée à une autre plus basique et deux ou trois huiles essentielles selon les besoins. Je demande à ce que les rideaux soient un peu tirés pour baisser la lumière. Le CD diffuse une musique discrète. Vient le moment de commencer. Ma voix est basse, presque chuchotée pour les instructions. Face à face, mes mains tenant ses mains du bout des doigts, nos yeux se regardent. C’est l’échange le plus profond, le moment où on se livre sans contrôle. Une expression d’angoisse dans ses yeux fait place peu à peu à une expression de soulagement en voyant mon regard bienveillant. Discrètement, j’ai évalué certains paramètres importants pour la suite : la longueur de son buste par rapport au mien, presque identique, qui permettra ou non en cas de trop grande différence certains gestes, la couleur du blanc de l’œil qui révèle un léger problème hépatique. Je lui indique que le moment de l’intime est venu et sans lâcher une main, je l’entraîne vers le futon. Assis en tailleur, je le fais asseoir face à moi, dans le creux de mes jambes, pubis contre pubis, dans une étreinte naturellement intime. Dans les bras l’un de l’autre, enlacés, nous restons là, immobiles et je l’encourage à se laisser aller. Sa tête se pose sur mon épaule tandis que mes mains ont recueilli l’huile et commencent à balayer le dos verticalement en alternance. La lenteur est de rigueur et je le sens qui se détend. L’abandon, le vrai, est pour plus tard. Je pose la main verticalement sur sa nuque et l’invite à la suivre. Il s’incline jusqu’au sol alors que son bassin reste collé au mien, en élévation à cause de mes jambes. Je commence à masser le buste en douceur, caresse les tétons sans insister, puis encadre son phallus et ses testicules de mes deux mains et je le branle léger en caressant les boules. Il gémit et bande, mes gémissements et mes soupirs se joignent à lui car je prends autant de plaisir à faire qu’il en prend à subir. Mais j’arrête au bout d’un court moment puisque le but est de faire monter l’énergie sexuelle sans aboutir. Je lève alors une des jambes qui m’encadraient et la masse sur toute sa longueur. Je fais de même avec l’autre pour ensuite la basculer du même côté tout en posant une main sur son épaule pour maintenir le buste collé au sol. Torsion lente, la jambe a été pliée presque à angle droit et je finis par lâcher le buste qui roule naturellement sur le même côté. Je masse alors les fesses et profite de la position où les parties intimes sont à découvert pour explorer l’entrejambe. Mes mains abondamment huilées coulissent entre les cuisses, retrouvent les testicules, vont jusqu’à attraper le membre tendu sans insister – tout est dans le dosage – et remontent dans le pli inter-fessier. L’anus est l’objet de caresses douces. La pulpe de mes doigts tourne autour, massant avec délicatesse cet endroit si sensible, ma voix l’encourage à s’exprimer et ses onomatopées me renseignent sur le succès de mes mouvements. Je le lèche à cet endroit et lui présente mon pouce. L’anus cède sans résistance. J’explore ainsi la cavité et caresse la prostate. Les soupirs se font profonds. Il faut à présent finir la rotation du corps pour le mettre à plat ventre. A cheval sur ses cuisses charnues, je malaxe ses fesses musclées et remonte lentement vers le dos. Je sais qu’il sent mes poils, mes couilles et mon sexe sur sa peau lorsque je me rapproche pour atteindre les épaules et balayer tout le dos. Je ne cache pas mes soupirs dus à l’effort et au plaisir du partage, l’encourageant à faire de même. Plus tard, je vais le retourner et nous commençons la danse d’amour. Je lui ai mis les bras en croix, paumes vers le ciel, à califourchon sur son visage, genoux écartés, je me suis penché jusqu’à atteindre son sexe qui s’était reposé. Je l’ai pris dans ma bouche et présenté le mien à la sienne. Commençant un doux mouvement de balancement de mon corps, j’ai balayé son visage avec mes parties génitales. Le mouvement est délicat et demande une maîtrise pour rester léger. Il a compris et a ouvert la bouche, acceptant mon sexe qui avait pris du volume. Ainsi le mouvement de balance permet que son sexe pénètre dans ma bouche tandis que le mien sort de la sienne puis les pénétrations s’inversent. C’est lent et terriblement langoureux et épuisant pour moi. Mais c’est jouissif d’aller si lentement, le désir devient puissant et c’est le but. Parfois je m’immobilise et cette station nous connecte un peu plus. Il arrive parfois qu’un spasme du phallus injecte du pré-sperme, signe d’une grande disposition à la jouissance. La phase suivante consiste pour moi à me tourner dans le même sens que lui, mes hanches sur son ventre et pendant que je masse ses côtes, soulevant un peu le buste, mon anus recule et cherche le contact de son phallus. C’est facile avec celui-là, il est tendu et ne demande qu’à servir. Toujours lentement, je le présente à mon anus lubrifié d’avance et avec ce balancement de mon corps, je commence la pénétration. Je reste à l’entrée, le gland à peine dedans. C’est le lieu de la plus grande jouissance pour lui comme pour moi. Nous gémissons sans aucune gêne, maintenant que nous sommes en harmonie. Je bascule alors sur mes pieds et lui demande de soulever ses hanches en prenant appui sur ses mains. Plus il monte, plus je monte sans perdre le sexe dans mon anus. Lorsqu’il arrive au plus haut, je laisse le phallus me pénétrer complètement. Je l’invite à descendre et maintiens le contact en laissant un décalage de hauteur pour permettre un coulissage qui va lui donner envie de remonter. Ainsi la danse d’amour, lente et sensuelle, nous rapproche du moment tant retardé. Lorsque je le sens prêt à éclater, je le plaque au sol, profondément en moi. Puis je me lève un peu et en réglant la distance, je remue pour flatter uniquement son gland. Le coït sans précipitation abouti en peu de temps à l’orgasme souhaité. J’aime ce moment où l’autre est vaincu par l’explosion qui lui envahit le ventre de l’intérieur, où il perd tout contrôle avec cette expression de stupéfaction devant la puissance de son orgasme. Je me retire et le laisse haleter. De la main, je masturbe doucement le phallus encore dressé pour lui permettre de se reprendre. Un court jet de sperme me montre que c’était utile. Je peux maintenant terminer mon massage en mode léger, yin, pour l’apaiser. Notre séparation se fera avec un regard plein d’amour et de reconnaissance. Les pupilles dilatées, je franchis la porte. « Merci, tu m’as donné un grand plaisir ». J’ai simplement répondu : « je t’ai donné et tu as reçu, en recevant tu m’as donné ». La porte s’est refermée doucement, comme pour ne pas briser le lien silencieux que nous avions créé. L’effet durera trois jours. J’ai d’autres idées de façons de masser et espère vous raconter lorsqu’une femme m’aura demandé.
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Par : le 15/05/25
J'ai contacté Marc après quelques temps où je vagabondais dans les pages du site. J'étais tombé par hasard sur sa fiche et je m'étais aperçu que son descriptif et ses pratiques me convenaient. Alors, je me suis forcé et je l'ai contacté en lui expliquant que je n'avais pas l'habitude, étant hétéro, de contacter un homme mais que j'étais attiré par une première expérience de sodomie "soft". Très gentiment il m'a souhaité la bienvenue et on a commencé à chater. Je lui expliquais que j'étais curieux de cette nouvelle attirance et il m'a proposé de me recontacter plus tard. J'ai conclu par un "ok" et me suis déconnecté. Mais au fond de moi, quelque chose avait remué. Deux jour plus tard, un message de Marc m'invite à le rejoindre pour une soirée. Il précise "apporte un peignoir". Très intrigué, je ne pose pas de questions. Le jour prévu, je sonne et une voix d'homme m'informe de l'étage. A peine arrivé sur le palier, une porte s'ouvre et un quelqu'un me fait signe. J'entre dans un appartement moderne et Marc me pousse gentiment sur la droite. "Entre, c'est là". Je suis étonné, c'est une salle de bain. "Tu as apporté le peignoir ?" me demande Marc. Je hoche la tête. Il me montre un gant et une serviette et précise que c'est mieux de faire une toilette rapide. Je suis en train de devenir comme sans volonté, je sens que je suis entraîné dans quelque chose que je ne maîtrise pas et que c'est effrayant mais délicieux. Je m'exécute en lavant soigneusement mes parties intimes en rêvant un peu à ce qui m'attend alors que je ne sais rien, bien que j'aie pris soin de laver mon rectum avec une poire pour être sûr d'être, disons, présentable. Je me déshabille en ayant l'impression que de multiples yeux me scrutent alors que je suis seul. Je vois mon sexe avec une perle au bout qui me révèle mon excitation. Des voix se font entendre, quelques rires m'indiquent qu'il y a plusieurs personnes masculines mais je n'entends pas de femme. Le peignoir en soie légère, coupé assez court, est enfilé et je sors de la salle de bain, pieds nus. Une certaine volupté s'empare de moi tandis que j'entre dans le salon attenant. Il y a là Marc que je reconnais et trois autres hommes. Ils m'accueillent chaleureusement mais je note que je suis le seul à être si peu vêtu. J'ai déjà compris. Je m'assied sur la place libre - volontairement ? - du divan et on me sert d'office un verre de whisky. Mon voisin me passe amicalement la main dans le dos et la laisse quelques secondes en bas avant de la retirer. J'ai frissonné involontairement. Je suis encadré par un autre homme qui est venu nous rejoindre. La conversation est joyeuse et débridée, mais une main s'est posée sur ma cuisse et le tissu léger a glissé et découvert ma peau. Le regard de mon voisin de droite semble langoureux. J'ai compris que l'objet de la soirée c'était moi et qu'on allait disposer de mon corps. Sa main est remontée vers le haut de ma cuisse et alors que je tourne la tête vers l'autre homme pour répondre, celui-ci plaque sa bouche barbue sur la mienne, sa langue s'engouffre dans ma bouche et je ne peux que suivre les tourbillons. La main de l'autre remonte vers mon ventre et débride la ceinture du peignoir, à peine nouée, découvrant ma poitrine. Essoufflé par ce baiser profond, j'éclate de rire, heureux d'être la chose de ces hommes. "Allez-y doucement, les gars, c'est une vierge" dit Marc en rigolant. Les autres se regardent, hilares. Très vite, ils décident de me mettre aux enchères. Ils me mettent debout au bout de la table basse, encore un peu débraillé, et sortent un jeu de cartes. Je ne connais pas ce jeu, mais cela ressemble à une bataille. Je reste ainsi, immobile, peu vêtu mais le sexe un peu brandi qui oscille à chaque battement de mon cœur, devant ces hommes qui sont en train de me partager pour savoir qui va me culbuter en premier et me faire perdre ma fleur. J'avoue que je suis terrorisé mais que je mouille abondamment. Un filet coule sur ma cuisse et je ne songe pas à m'essuyer. Au fur et à mesure que le jeu se déroule, je comprend un peu mieux la règle : les cartes servent à désigner le premier qui va commencer, puis le second mais surtout un deuxième tour désigne les différentes parties de mon corps. A chaque fois que l'un gagne quelque chose, il tourne la tête vers moi et m'annonce avec joie "j'ai la tête", puis au bout d'une autre levée de carte, un autre s'exclame "ah, moi j'ai la bite ! ". Je découvre ainsi peu à peu comment je vais être consommé et ça me fait un effet terrible. C'est long, mais j'ai de plus en plus le désir qu'on s'empare de moi. Le délice de l'attente fait monter l'envie. A chaque fois qu'un vainqueur nomme l'endroit de son gain, mon corps réagit, comme si un voyant s'allumait, je finis même par applaudir, heureux d'être le gain. Puis vient la dernière battue et le jeu de carte est rangé. Un homme s'approche de moi et entrouvre le peignoir que j'avais un peu refermé. Je frémis à son contact et sa main descend vers mon sexe qui durcit instantanément. Sa bouche englobe mon téton et ses doigts enserrent mon phallus et commencent un léger mouvement de va et vient qui m'arrache un gémissement qu'il étouffe en remplissant ma bouche d'une langue épaisse. Mes couilles sont malaxées en douceur, ma bite branlée et je sais que les autres regardent et ça me fait un effet terrible d'autant plus que je ne résiste pas, le peignoir débraillé dévoilant presque tout mon corps. Satisfait, l'homme me lâche et retourne au canapé, tandis qu'un autre s'approche. Il se colle à moi, m'embrasse et ses mains se posent sur mes fesses. Il grogne entre deux baisers : "c'est ça que j'ai gagné, ton cul est à moi". Il m'a fait tourner exprès pour que je tourne le dos aux autres et ses deux mains, largement étalées sur mes fesses les écartent pour leur montrer mon anus dévoilé. Quelques applaudissements ponctuent le geste. Il se baisse, se met à genoux et commence à me lécher entre les fesses. Un autre vient nous rejoindre et prend ma bite à moitié dure dans sa bouche. Sa langue experte ne tarde pas à me faire bander presque douloureusement. Quelqu'un m'a attrapé par la nuque et m'a fait me pencher en avant. Une bite rentre dans ma gorge et à peine quelques mouvements plus tard lâche un petit jet de pré-sperme. C'est doux et salé. J'ai perdu mon peignoir et mon contrôle. Je suis un objet manipulé par de multiples mains qui me tiennent fermement, me caressent, me pincent, me pénètrent. Je suce ce qu'on me donne dans la bouche et goûte des saveurs étrangères, j'accueille dans mon anus des membres durs et actifs, mes gémissements de plaisir ou de souffrance sont mêlés à des grognements et des soupirs, je suis manipulé et me retrouve sur le sol et sur un côté, un homme dans mon cul qui m'écarte une jambe et me tringle avec vigueur, un autre dont le membre chaud, dur et odorant pour avoir visité mon anus pilonne ma bouche. J'aime être le sextoy de ces hommes qui me prennent sans me demander mon avis, j'aime subir ce qu'ils décident et je me donne sans résistance. Je gémis en me laissant faire, en prenant des poses lascives pour les exciter un peu plus. Et puis soudain, il y a cette main qui saisit ma mâchoire, ce sexe turgescent au-dessus de moi, cette main qui bouge. Je sais ce qui va arriver et j'en viens à le désirer. L'homme jouit sur mon visage, le sperme jaillit avec force et une partie tombe directement dans ma bouche avec ma langue qui s'est étirée spontanément pour recueillir ma première semence. Je n'ai guère le temps de goûter qu'un deuxième membre viril se présente et s'engouffre dans ma bouche largement offerte. Il jouit tout de suite et mes lèvres enclosent la bite qui se secoue dans ma gorge. Je réprime un haut le cœur tellement il va profond mais j'ai envie de crier "encore". Deux mains agrippent mes hanches et me secouent pour un coït sauvage. Je me mets spontanément en position, mon cul offert, ma tête au sol, soumis au désir du mâle qui me baise. On attrape mon bras et le plie dans mon dos, une main puissante m'immobilise et je jouis de cette domination. Mon nez aspire avec volupté l'odeur âcre du tapis tandis qu'un homme se déchaîne en moi jusqu'au moment où il me défonce à fond, m'empalant profondément, ses mains crispées sur mes hanches et jouit longuement en moi. Je crois avoir senti son sperme jaillir. Il se retire d'un coup et je reste là, affalé sur le sol, comme une loque, essoufflé. Mais un homme s'allonge sur moi et je sens sa bite chercher entre mes fesses. Je l'entends cracher et sens la salive sur mon anus enflammé. Des doigts écartent mes fesses et une nouvelle pénétration renouvelle mes sensations. Allongé sur le tapis, je suis baisé par 80 kilos de poussée et je n'ai qu'une envie, c'est de me cambrer pour mieux accueillir l'intrus. Il se met en position de pompes, immobile, et je peux bouger les hanches pour branler cette tige qui m'emplit. Au bout d'un moment, il crie et m'enfonce profondément sa bite qui me déchire le ventre. Immobile en moi, il lâche sa semence puis se retire, me retourne sans ménagement et, couché sur moi, enfonce sa bite dans ma bouche. J'ai le goût de mon cul sur ma langue qui se mêle au gout de son sperme et son gland visite les moindres recoins de ma bouche. Assez rapidement, il jouit à nouveau et j'avale goulument le liquide visqueux. Après la tempête, il n'y a plus que des corps affalés, des yeux mi-clos. J'attrape le verre de whisky et je lampe la dernière gorgée pour me rincer. J'entends une voix marmonner "et lui, qui c'est qui le suce ?". "Sans importance, répond une autre, c'est un objet". Je suis rentré en marchant lentement, le monde avait changé autour de moi ou c'est moi qui ne le voyait plus pareil. Heureux ? Non, apaisé.
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