La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 28/12/23
Il est toujours nécessaire de savoir quand se termine une étape de la vie. Si tu insistes à vouloir rester en elle au-delà du temps nécessaire, tu perds la joie et le sentiment du reste. Il faut fermer des cercles, ou fermer des portes, ou fermer des chapitres, comme tu voudras le nommer. L’important est de pouvoir les fermer, et laisser aller les moments de la vie qui se clôturent. Ton travail s’est terminé ? Ta relation amoureuse s’est terminée ? Tu ne vis plus dans cette maison ? Tu dois partir en voyage ? Tu peux passer beaucoup de temps de ton présent « anéanti » dans les pourquoi, en te repassant le film et en essayant de comprendre le pourquoi du comment de telle ou telle chose. L’usure qui s’en suit sera infinie, parce que dans la vie, toi, moi, tes amis, tes enfants, tes frères et soeurs, tous et toutes sommes sur le chemin vers la fermeture de chapitres, tournant la page, terminant avec des étapes, ou avec des moments de la vie et continuant à aller vers l’avant. Nous ne pouvons pas être dans le présent en regrettant le passé. Ni même en nous demandant pourquoi. Ce qui s’est passé, est passé, et il faut le lâcher, il faut s’en détacher. Nous ne pouvons pas être éternellement des enfants, ni des adolescents tardifs, ni des employés d’entreprises inexistantes. Les faits passent et il faut les laisser partir ! Voici pourquoi, quelquefois il est si important de détruire les souvenirs, offrir les cadeaux, changer de maison, déchirer des papiers, jeter des documents, et vendre ou offrir les livres. Laisser partir, lâcher, se détacher. Dans la vie personne ne joue avec des dés pipés, et il faut apprendre aussi bien à perdre qu’à gagner. Il faut laisser partir, il faut tourner la page, il faut seulement vivre ce que nous avons au présent… Le passé est passé. N’attend pas qu’on te le rende, n’attend pas qu’on te reconnaisse, n’attend pas qu’un jour on se rende compte de qui tu es… Lâche le ressentiment. En te branchant sur « ton téléviseur personnel » pour tourner en boucle et ressasser maintes et maintes fois l’affaire, la seule chose que tu peux obtenir c’est te blesser lentement, t’empoisonner et développer de l’amertume. La vie est faite pour avancer, jamais pour reculer. Des fiançailles ou des amitiés qui se terminent ? Des possibilités de retour en arrière ? (vers quoi ?) Des besoins d’éclaircissements ? Des paroles qui n’ont pas été dites ? Des silences qui ont tout envahi ? Si tu peux les affronter maintenant et tout de suite, fais-le, sinon, laisse tomber, ferme les chapitres. Dis-toi à toi-même non, ils ne reviendront pas. Mais pas par fierté ou orgueil, seulement parce que toi tu ne cadres plus dans cet édifice, dans ce lieu, dans ce coeur, dans cette pièce, dans cette maison, dans ce bureau, dans ce travail. Toi, tu n’es plus le même que celui d’il y a deux jours, trois mois, un an. Par conséquent, il n’y a plus rien vers quoi revenir. Ferme la porte, tourne la page, ferme le cercle. Paulo Coelho
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Par : le 27/12/23
Ce texte n'est pas le mien. Il est d'un Monsieur bien connu dans le milieu du bdsm SIR JOHN que j'ai eu l'occasion de cotoyer. LES SOUMINATRICES Véritable serpent de mer et en même temps anathème lancé par certains à la tête d'une soumise dès que celle ci fait preuve de caractère, ou pose ses limites, beaucoup de choses sont dites, mais les contours de la souminatrice sont parfois extrêmement flous.  Ne dit-on pas que la personne Dominante agit pour le bien de sa soumise, pour son évolution ? Qu'elle ne fait rien que celle ci n'est accepté en conscience ? Ce serait donc elle qui domine, finalement ? Est -ce cela, une souminatrice ? Vous vous doutez bien que non, sinon, mon post serait déjà fini avant d'avoir commencé... Une soumise se doit d'avoir du caractère. Sinon, quel plaisir de voir se soumettre une serpillière ? Elle sera donc amené dans sa vie de soumise à s'opposer à des Dominants. Soit parce que ceux-ci se comporte en dépit de la bienséance, soit pour affirmer ses idées. Elle sera même amenée à faire part de son avis à son Maître, et que celui ci sera contraire.  Peut-être même sera-t-elle obligée de mettre fin à une pratique ou une séance pour de multiples raisons... Cependant, ce n'est pas ça, une souminatrice. La souminatrice instaure un rapport biaisé et malsain, où tout va être centré sur elle seule, tout au long de la relation avec son « Maître ». Non seulement elle centre les désirs de son Maître sur elle seule, mais également ses propres désirs pour elle même.  Une façon de s'aimer soi même à travers l'autre. Là où un véritable lien D/s sera un échange, une satisfaction réciproque et non unilatérale.  Une soumise va poser ses limites et ses interdits, mais également ses désirs, ses besoins et ses envies au début de la création du lien lors des discussions préalables.           La soumise se doit d'être transparente.          La personne Dominante fera de même.       Libre aux deux parties de s'engager alors dans le lien ou non. Contrairement, la souminatrice ne va pas être transparente. Car elle estime que c'est elle qui dirige le "jeu" (car pour elle, c'est un jeu).  Ou alors, elle va l'être, mais plutôt qu'une discussion ouverte sur les désirs de l'un et de l'autre, elle va arriver avec ce que j’appellerai un « cahier des charges » pour la personne Dominante. Et point de salut en dehors de cette liste de « prestation de service ».  De même, là où cette check-list évoluera au grès de la relation D/s, la liste de la soumintrice n’évoluera uniquement que pour assouvir les nouvelles envies qu'elle pourrait avoir. A charge de la personne Dominante d’accéder à ses désirs. Parce que ce n'est que ça, pour la souminatrice. Elle est la « cliente » et la personne Dominante le « prestataire ».  Un « BDSM-toy », en quelque sorte.                    Elle va n'avoir de cesse que d'amener son « Maître » là où ELLE veut. Non seulement une souminatrice ne va pas lâcher prise, mais surtout, elle n'en voit pas l'intérêt. Car pour elle, seul son propre plaisir, et que le Dominant accède à tous ses désirs, compte. Elle ne reçoit pas. Elle prend.  Elle ne s'offre pas à son Maître ou sa Maîtresse, afin qu'il prenne en charge son éducation et qu'il l'amène là où elle doit être.  Pour autant, faut-il condamner la souminatrice ? Parce que si en effet certaines sont dans la manipulation perverse, dans l’égoïsme pur, d'autres n'ont cette attitude que de façon inconsciente, pour se protéger. En effet, certaines blessures intimes, d'anciennes relations mal vécues, vanilles ou BDSM, peuvent conduire à la soumination. Ce sera alors pour la souminatrice un moyen de ne pas prendre de risque. De ne pas souffrir en s'investissant dans une relation qui lui fait peur.  Dans ce cas, le rôle de la personne Dominante sera de faire la part des choses entre le « bon grain » et « l'ivraie ». De comprendre le pourquoi de cette soumination. Et si c'est en effet par réaction, prendre en compte cette souffrance latente, de ne pas se laisser entraîner dans cette relation pervers, mais de faire preuve de beaucoup de patience pour donner confiance en lui et dans le lien D/s qu'il lui propose de créer.  Ainsi, la personne Dominante reprend le contrôle. Soit en refusant la souminatrice, soit en refusant la soumination. Dans ce deuxième cas de figure, il sera totalement dans son rôle de Maître ou de Maîtresse en ramenant la souminatrice vers sa vraie nature de soumise.  *Est-ce une soumise ? Est-ce une Dominatrice ? Non ! C'est une souminatrice !
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Par : le 07/12/23
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________   De fin 2016 a fin 2017   Nous voici à un tournant de ma sexualité car après un premier plan cul aussi satisfaisant, une véritable salope était née ou du moins libérée/assumée (l’ayant un peu toujours été) … J’avais adoré ça ! Me taper un parfait inconnu, le sélectionner pour sa belle-gueule, sa grosse queue, sa promesse d’une baise endiablée ! Rejoindre un garçon juste pour baiser avec, faire nos affaires et rentrer l’air de rien sans que mes collocs ne le sachent, quelle liberté ! C’était excitant de faire du sexe pour le sexe sans rien vouloir ou attendre de l’autre, j’y étais allée que pour sa bite et qu’il me baise, il ne m’avait pas déçue ! J'avais l'impression d'avoir fait une chose que la plupart des femmes s'interdisent, d'être passée a un stade supérieur sexuellement et spirituellement, je ne regrettais aucunement d'avoir osée me faire ce beau-gosse, il avait été le mieux foutu et le mieux membré de tous mes partenaires mais aussi le plus performant/excitant ... Je me masturba plusieurs fois en repensant à sa main qui m’étranglait sans concession … A son épais morceau de chair qui m’avait détruite comme jamais … A la manière qu’il avait de se comporter avec moi, de prendre ce qu’il voulait de moi … Sans le savoir, j’avais éveillé mes premiers attraits pour la soumission… J’avais toujours aimée être docile avec les hommes, leur donner ce qu’ils attendent de moi, faire de mon mieux pour satisfaire leurs besoins. Ayant été abandonnée enfant par mon géniteur et ayant grandie sans figure paternelle, j’avais développée une peur de l’abandon et la certitude de ne pas mériter l’amour d’un homme mais aussi surtout un malsain besoin d’attention de la part de ceux-ci. Le sexe a toujours été un besoin vital pour moi, celui de jouir et faire jouir, d’exister à travers l’autre, de le sentir physiquement mais aussi de le ressentir spirituellement ... J’aimais tout découvrir de l’autre, son corps, son intimité mais aussi sa partie sombre, obscène, primale que les autres ne verront jamais … Je me sentais épanouie en constatant le désir de mon partenaire, en me rendant utile à son plaisir, en ressentant sa passion à mon égard … Le sexe m’apportait l’intérêt, l’affection et les sensations que je voulais, j’y trouvais l’équilibre d’une relation Homme/Femme telle que je la concevais, pour moi et mes failles personnelles … Il m’est arrivée néanmoins de m’oublier pour l’autre, « d’acheter » l’autre avec du sexe ... J’ai plusieurs fois été utilisée par les hommes dans leur quête égoïste de sexe, je me suis laissée conquérir et asservir par des hommes qui m’imposèrent leurs besoins. Il m’est arrivée de détester ça et d’en souffrir mais aussi d’en jouir et d’avoir conscience que c’était ma façon de les garder auprès de moi …Avec le recul, je sais qu’ils avaient de l’emprise sur moi et qu’ils « dominaient » la relation mais il n’y a qu’aux côtés de Thomas que j’ai vraiment eue l’impression d’être sa chose, d’avoir une sorte de maître à qui je me dévouais … Quoi qu’il en soit, que je m’en sois rendue compte ou non, toutes ces relations étaient révolues et c’est le plaisir pris à me faire traiter sans ménagement par cet inconnu qui me troublais … J’avais décidé de vivre ma sexualité a fond, de jouir sans tabous, de réduire les hommes a des bites sur pattes qui allaient me donner du plaisir alors pourquoi avais-je autant jouis à me faire manquer de respect, rabaisser, utiliser, maltraiter ? Comment pouvais-je prendre mon pied à faire l’amour avec mon meilleur ami mais tout autant voir davantage à me faire labourer sans une once de délicatesse par le premier venu ? J'avais décider de me gorger de sexe et ne m'en tenir qu'a sa fonction primaire "donner du plaisir/jouir" pourtant je m’étouffais moi-même en me caressant dorénavant et je ne m’imaginais plus me faire prendre mais démonter sauvagement ... Pourquoi le sexe devait-t-il toujours s’orienter vers un rapport de force ? C’est avec une obscénité inédite et une soif d’aventures incommensurable que j’aborda mes prochaines rencontres.   Je fis la rencontre du prochain garçon une quinzaine de jours plus tard, un samedi soir. Un beau-gosse de mon âge que je rencontra dans un bar répétant le même schéma que la fois précédente (conversations sur un site de rencontres, sextos, nudes puis rencard) il fut beaucoup plus timide que son prédécesseur et c’est moi qui mena la discussion du début à la fin, je m’interrogea sur mon envie de poursuivre car il n’était pas sûr de lui, peu entreprenant et donc pas vraiment excitant … Je lui donna quand même sa chance bien qu’il n’avait pas du tout la même prestance en vrai qu’en virtuel mais une fois chez lui et mes vêtements sur le sol, il se réveilla et m’offrit de délicieux préliminaires en me bouffant la chatte et le cul debout comme un affamé, il réussit à me faire jouir avec son cunni et ses doigts ! Je l’installa alors sur le canapé pour lui faire une belle pipe et même si sa queue ne tenait pas la comparaison avec la précédente, elle était supérieure a la moyenne et bonne a sucer. Je le chevaucha par la suite sur son canapé où il commença à se lâcher, il me baisa fougueusement en missionnaire et sans retenue en cuillère avant de jouir dans la capote. Je me souviens avoir été très excitée alors qu’il m’empoignait par les hanches et se déchainait contre mes fesses me demandant si c’était toujours le même garçon que celui de tout à l’heure, sa timidité s’étant clairement évaporée ! On se rhabilla, échangeames quelques banalités puis je partis rapidement ne préférant pas m'attarder sachant que je ne le reverrais pas mais je garde un bon souvenir de cette petite baise qui n’était pas gagnée d’avance ! Je rencontra le prochain dès le samedi soir suivant en répétant toujours le même schéma mais ne le choisissant que pour sa belle-gueule car cette-fois on n'écheangea pas de nudes. Il se montra lui aussi plus timide en vrai que par messages par contre ce fût un fiasco au lit, une vraie déception, il y’a eu tromperie sur la marchandise car il m'avait promis de belles performances et il ne fournit qu’un missionnaire monotone et une levrette trop classique qui le fit venir avant que je ne commence à vraiment grimper aux rideaux ... Je rentra frustrée et revancharde cette nuit-là alors j’alla à la rencontre du suivant dès le lendemain avec une conversation express du genre « salut BG, tu fais quoi ce soir ? » et en 3/4 messages j’étais chez le mec pour me faire soulever … Je me souviens m’être sentie plus salope de faire ça dès le lendemain, d’enchainer deux queues différentes en 24 heures, d’aller me faire sauter un dimanche soir alors que j’avais cours tôt le lendemain et surtout d’aller chez lui sans se voir dans un bar avant ! Le gars devait avoir dans les 23 ans, je me souviens que je l’avais choisie pour ses abdos sur l’une de ses photos à la plage et son beau minois, j'avais le feu au cul ! Je lui envoya un message quand je fus devant chez lui, il descendit me chercher et mon excitation se transforma en une légère appréhension alors que je pénétrai dans le hall de son immeuble. Dans l’ascenseur il me complimenta sur mon physique et me dit qu’il se demandait si j’allais venir pensant que je n’étais pas sérieuse ou réelle. Je lui répondit fébrilement que j’étais bien là comme il pouvait le constater et il rougit. Une fois dans son appartement, il me proposa un verre, je rétorqua avec une assurance qui me surprit moi-même que je n’étais pas là pour boire un coup mais me faire baiser ! Il s’approcha alors pour me retirer mon manteau, m’embrassa sans dire un mot et commença a passer ses mains sous mes vêtements, je su en quelques instants que lui, il allait me faire du bien ! Comme a mon habitude, je commença par me faire tripoter et déguster dans le salon y délaissant tous mes habits puis je le suivis dans sa chambre pour les choses sérieuses ! Il me coucha sur son lit tout en m'embrassant, ses doigts rentrèrent en moi et il me masturba avec patience et savoir-faire tout en me roulant des pelles, j'étais trempée et ultra excitée ... Je me souviens que j'aggripais son t-shirt et cherchait parfois a prendre une bouffée d'air pour respirer mais qu'il replongeait instantanémant sa langue dans ma bouche comme pour me garder en apnée. J'étais en train de gémir dans la bouche d'un parfait inconnu, ses doigts qui allaient et venaient en moi me comblaient et ma chatte humide faisait des bruits obscènes sous son traitement. Je me sentais si salope que j'en tirais une satisfaction déroutante. J'étais arrivée chez ce mec dont je ne sais rien, il m'avait caressée, déshabillée, tétée les seins, bouffée la chatte avant de m'emmener dans sa chambre et maintenant il salive dans ma bouche, j'avale sa bave, il suce ma langue, enroule la sienne autour de la mienne, je suis totalement nue et sous son contrôle alors qu'il n'a pas enlevé le moindre vêtement, c'est si bon toute cette dépravation. Je resserrais mes cuisses sur sa main et me tortillais dans tous les sens quand il réussit a me faire jouir, j'hurla ma satisfaction lorsqu'il libéra enfin ma bouche. J'avais de la bave sur le menton, la nôtre car il avait sûrement autant saliver dans ma bouche que moi durant cette apnée, je repris mes esprits alors qu'il secouait ses doigts trempés de ma cyprine au dessus de moi laissant tomber quelques gouttes sur mon ventre, on rigola un moment en se disant que c'était intense ! Il se coucha a côté de moi, me regardant avec un regard attendrissant alors que je reprenais ma respiration, sa main se promena sur mes seins qu'il malaxa tendrement, je me sentais vulnérable ayant jouie devant cet homme encore habillé alors que j'étais à poil, rouge comme une tomate et plutôt sâle. Je pris alors rapidement les devants et me mis a quattre pattes devant lui pour lui retirer son pantalon, il m'aida en s'amusant de ma fougue, je fit voler son froc, son calbut et sa paire de chausettes jusqu'au bout de la chambre puis je lui embrassa les pieds avant de remonter avec ma langue de ses chevilles jusqu'à ses couilles. J'empoigne alors sa bite et découvre qu'elle suinte de liquide séminal, il y'en a vraiment beaucoup et son gland visqueux glisse entre mes doigts, je constate qu'il était visiblement très excité aussi par ce qu'il m'a fait. Je le branle doucement en promenant mon pouce sur la surface de son gland pour le stimuler mais aussi éponger tout ce pré-sperme, il semble apprécier et être à point. Sa bite est un peu décevante car elle est de taille banale, assez inférieure a mes précédentes rencontres tout du moins mais elle attire mon attention car son érection est tordue et son prépuce assez serré lui donne un aspect peu commun, on dirait que son gland porte une capuche ! Je m'amuse de cette particularité sans lui faire un commentaire tout en le branlant, j'éponge a plusieurs reprises son pré-sperme abondant du pouce et termine de reprendre toute ma respiration avant de le sucer. Il me supplie du regard de m'y mettre sans oser dire un mot, je fais durer le plaisir volontairement avant d'enfin lui gober la queue. Je m'applique a bien le sucer voulant lui rendre la pareille mais son gland est difficile a garder décalotté et je me retrouve a lui titiller le prépuce plus que la surface du gland la plupart du temps ce qui ne semble pas le déranger car il soupire agréablement, me complimente et me caresse les seins avec douceur. Je m'habitue a sa bite particulière et apprécie de le branler dans ma bouche sentant son prépuce aller et venir sur son gland gonflé de désir, j'ai l'impression que sa queue tient plus de l'animal que de l'homme, ça m'excite et je commence a me dire pour je ne sais quelle raison qu'il va probablement beaucoup éjaculer... Sentant que ma chatte est de nouveau d'attaque et pleine d'envie, je lui demande où est le préservatif ? Il m'indique un tiroir de son bureau, je lui enfile la protection et commence a le chevaucher. Comme je m'y attendais, je ressens sa queue tordue d'une façon différente des bites raides que j'ai cotoyées jusqu'ici, quand je redescends dessus son gland et une bonne partie de sa verge frotte contre ma paroi vaginale. Je prends le temps de ressentir cette bite particulière en la chevauchant lentement, découpant bien chaque mouvement pour bien la ressentir. Je commence a me dire que j'aime bien, que ça change un peu et que c'est pas désagréable alors je me couche sur le mec et lui dit qu'il peut-y-aller ! Sans tarder il aggripe mes fesses, relève ses jambes et commence a me labourer la chatte, je prends des coups de bites puissants qui me font instantanément gémir. Le gars me baise avec panache, m’insulte moi et ma chatte quelques fois de salope, chienne ou pute ce qui m’excite terriblement vis-à-vis de la situation. Comment pourrais-je appeler une fille qui envoie un message a un inconnu et qui moins de deux heures plus tard est en train de s’empaler sur sa bite ? Je commence a gueuler sans retenue puisqu'il semble aimer m'entrendre, sa verge inclinée frappe au même endroit depuis un moment et cette zone de ma chatte est en feu, j'ai l'impression qu'il me creuse de l'intérieur. Je suis sur le point de jouir alors qu'il pétris mes fesses lorsqu'il me demande soudainement a passer en levrette pour apprécier mon cul (je sais plus comment il l'a dit mais c'était bien plus vulgaire). Je me retire alors curieuse d'essayer sa bite dans cette position, je cambre comme une chienne en chaleur avec la chatte bien dilatée pendant qu' il retire son t-shirt. Une fessée s'abat sur mon postérieur avant qu' il ne vienne aggriper mes fesses et me la mettre sans les mains, le boug démarre fort et me martèle le cul instantanément sans retenue. Sa bite est comme un crochet qui va et vient en moi, son gland me lime la paroi inverse de la position précédente, des fessées s'abattent sur mes fesses a la chaine, des noms d'oiseaux fusent, je prends un pied monstrueux et l'implore de continuer a me démonter. Il me fit jouir avec une levrette des plus sauvages avant de se retirer le souffle court pour me demander si je pouvais le finir avec ma bouche car il était épuisé ayant tout donné niveau cardio dans la levrette. Je m’exécuta satisfaite d’avoir été bien baisée et voulant lui faire plaisir a son tour. Je le branla a toute vitesse moins de deux minutes dans ma bouche tout en le suçant goulument alors qu’il reprenait son souffle. Il se vida copieusement, son sperme chaud dégoulina plusieurs fois alors que ma langue qui lapait le haut de son prépuce recceuillait ses jets, j'avala successivement chacune des coulées de laves que ce volcan crachait et son goût prononcé me déplu mais pas la sensation d’avoir fini avec brio le travail ! Il me remercia pour ce qu'il décrit comme la meilleure finition de sa vie, je le remercia pour la soirée puis je regagna le salon en quête de mes fringues alors qu'il se rhabillait dans la chambre. Il demanda comme les autres a me revoir et je lui expliqua que c'était vraiment sympa mais pas dans ma façon de faire puis je lui dis adieu. Dans l'ascenseur, je réalisa ce que je venais de faire, je me remémora mon coup de stress à l'aller qui n'avait rien a voir avec l'euphorie du retour ... Je rentra assez tard chez moi, ne dormis pas mon quota minimum et attaqua la semaine avec la tête dans le cul mais le lundi matin en classe, je repensa avec satisfaction a ma soirée de la veille plus que sympathique !     Les semaines s’enchainèrent et ma fréquence de rencontres également, je commençais a rencontrer un nouvel amant deux fois par semaine m’autorisant dorénavant une rencontre en début de soirée un soir de semaine et le samedi soir !  J’avais pu constater que la plupart ne voulant que baiser et n’étant pas très à l’aise avec une parfaite inconnue niveau conversation, il était préférable de raccourcir autant que possible la mascarade des premiers échanges et d’aller a l’essentiel. Mes expériences précédentes m’ayant prouvées qu’une grosse queue et des beaux-parleurs n’étaient pas toujours ceux qui baisent le mieux, je me concentrai dorénavant sur leur physique et leur disponibilité pour les sélectionner.  Il fallait voir comment des gars sûrs d’eux et excitants par messages pouvaient se révéler timide, mal a l’aise et décevant en réel. L’expérience m’apprit vite qu’il fallait s’en remettre a la chance, la magie de l’inconnue pour tomber sur un bon coup, qu’il n’y avait pas de règles ou de garanties mais qu’en multipliant les rencontres, il y’en aurait toujours quelques-uns qui sortiraient du lot comme le premier mec ou la bite tordue. Adieu donc le schéma "conversations, sextos, nudes, rencard dans un bar/café puis on va chez eux" dorénavant je faisais mon marché vis a vis de leurs photos, ils m’envoyaient leurs adresses, je sonnais à l’interphone, montait jusqu’à leur appart et à peine entrer, je me désappais pour leur sauter dessus et cela donnait des départs souvent bien plus torrides et excitants pour moi que les moments gênants et affligeants ou le type bégaie, rougit, me fuit du regard et se demande comment on va débuter … Mon quotidien s'accoutuma vite a cette sexualité débridée ! Studieuse et rigoureuse en cours comme en dehors, les plans culs étaient un moyen de me détendre et me faire du bien qui fonctionnait carrément. Il y'avait Charlotte, l'étudiante qui était dans les meilleurs de la classe, la colloc sage et discrète, la bonne copine sympa et disponible mais il y'avait aussi cette autre fille que j'incarnais le temps de quelques heures qui sélectionnait un beau-gosse en ligne (qu'elle aurait sans doute pas osé aborder dans la vraie vie) pour aller s'envoyer en l'air sans la moindre gêne. J'aimais être la gentille fille qui ne fait pas de vagues, celle qu'on complimente pour sa rigeur, son hygiene de vie, ses résultats scolaires et j'aimais aussi être la pire des salopes qui enfonce la queue d'un inconnu au fond sa gorge, se fait insulter, utiliser comme un vide-couilles. Ces deux entités co-existatent dans mon quotidien, celle qu'on voit en cours, a l'appart, en famille ou entre amis et que je m'efforce de rendre la plus admirable et respectable possible et plus profondement enfoui, il y'avait cette part d'ombre, cette fille pas présentable et incarnable aux yeux du monde, celle que je nommerais plus tard Lady Bitch, qu'on ne voit qu'en privé et dans l'intimité, qui adore se dévergonder, qui ne veut pas être respecter mais plutôt utiliser, une dépravée que j'appenais a devenir ... J'avais fût un temps eue peur de mon addiction au sexe, de ma nymphomanie mais pour la première fois de ma vie je l'embrassais et m'épanouissais dedans n'y allant pas pour de mauvaises raisons. J'étais enfin en phase avec mon corps, acceptant pleinement mes charmes, mes formes, mon physique, je pris confiance en moi en me donnant a tous ces garçons, en constatant que je plaisais et pouvais avoir qui je voulais, je dis au revoir a tous mes complexes et gagna grandemment en assurance. Je me masturbais moins ayant dorénavant plus souvent l'occasion de me faire démonter de A jusqu'à Z avec des préliminaires toujours gourmands (on est tous un peu plus généreux quand on goûte a un nouveau corps pour la première fois) mais je me godais toujours s'il se passait plus de deux jours sans sexe. J'acheta énormément de lingerie cette année-là, bien que j'avais de beaux soutifs et des culottes ou strings assez sexy, je voulais avoir des tenues qui rendent fous mes partenaires et me fassent sentir encore plus désirable. Je souhaitais crédibiliser la salope en moi et renforcer cette démarche dans laquelle j'étais d'être le coup d'un soir le plus torride de ces types ! Pour la première fois de ma vie, j'investissais donc dans de la lingerie coquine et portais des ensembles en dentelles échancrés laissant voir mes mamelons ou ayant une ouverture au niveau du vagin, de la vraie lingerie de "pute", celle qu'on ne porte pas pour aller en cours mais se faire baiser ... Je me pris une guépière violette, des portes-jaretelles, un body noir et jaune avec l'entrejambe ouvert bref je passa un cap dans ma féminité et c'est une bombe atomique qui débarquait dorénavant chez ces messieurs d'ailleurs ils aimaient tellement ça qu'ils ne m'enlevaient meme plus tout préférant souvent me baiser dans mes petites tenues qui faisait leur effet ... En parallèle de tous ces coups d’un soir organisés via les sites de rencontres, je sortais de plus en plus avec des copines en boite de nuit, a peu près un week-end sur deux, il m’arrivait de plus en plus d’y embrasser des gars et parfois de finir chez eux ou dans leurs voitures pour un coup vite-fait cachant néanmoins autant que possible mes fresques a mes amies. Je ne buvais jamais d’alcool en soirée/sorties me méfiant de mes anciens démons et craignant l’état dans lequel je pourrais vite me retrouver si j’alliais de nouveau sexe et alcool (en plus de ça en discothèque avec des inconnus) … J’étais donc en pleine possession de mes moyens lorsque je chauffais ou dansais avec des hommes, mes copines se mettaient souvent des caisses et ne se rendaient pas compte de tout ce que je pouvais faire sur la piste ou dans certains recoins des lieux dans lesquels nous sortions. Je ne couchais pas dans les WC mais il m’arrivait souvent de frotter mes fesses contre les bites en érections de mes partenaires de danse ou d'aller aggriper quelques bites de certains "piliers de bars" a travers leurs pantalons. J’aimais sentir une bosse se former au niveau de leur entre-jambe alors que ma robe ou jupe se remuait sur leurs queues et jouer avec le risque d'être vue par une de mes copines. Je frottais parfois la paume de ma main sur leur entre-jambe ou glissais ma main dans leur pantalon pour toucher leur queue quand nous étions chauds et il était amusant de voir ces mecs qui souvent se permettent d'être trop tactiles ou entreprenants avec les autres demoiselles être surpris ou géné par mon audace ! Tous les mecs en boite sont des queutards, la plupart sont bourrés et déshinibés et ça m'amusait de les allumer bien franchement ou de me faire passer pour la meuf ivre, de toute façon personne ne les croiraient vu comment ils étaient alcoolisés ... Je ne jouais qu'avec les beaux-garçons parfois pour le fun, parfois pour finir chez eux, parfois pour leur donner mon numéro et les revoirs dans la semaine dans un contexte plus propice a ma seconde nature ... Le maximum que j’ai fait sur place c’est de branler quelques secondes un type dans un recoin de la salle avant de la lui remettre dans son pantalon et de lui souhaiter une bonne fin de soirée sinon je me contentais de passer ma main dans leur caleçon afin de palper la taille de leur verge et voir s'ils avaient les couilles rasées m'aidant souvent a choisir celui avec qui je finirais la nuit ... Les mois passèrent, mon body-count explosait mais je prenais mon pied, je ne m’étais jamais sentie aussi libre, sexy et bien dans ma peau. Mes résultats en cours étaient excellents, je travaillais dur comme pour me faire oublier l’échec de l’année dernière, je voulais me prouver que j’en avais les capacités et que cette année infernale s’éclipse dans l’esprit de mon entourage. L’année fila a une vitesse folle presque autant que l'augmentation de mes envies de sexe. J'avais débuté les plans culs avec une rencontre tous les samedis soirs puis très vite je fût a deux rencontres par semaine avant d’être régulièrement a trois les semaines où j’allais en boite (finissant souvent avec un mec) ... Il m’arrivait parfois de me taper quatre gars différents dans la même semaine ayant par exemple une rencontre le mardi soir ou mercredi soir, une seconde le jeudi ou vendredi soir et une le samedi comme le dimanche soir …. Très vite je ne pouvais plus tenir le compte, il pouvait m’arriver de renter de boite de nuit sans rien avoir fait (juste embrasser des gars) et d’avoir des semaines plus calmes si j’étais a fond dans les études ou plus fatiguée/débordée mais clairement il ne se passait plus une seule semaine sans que je ne rencontre au moins un gars ! J’ai largement dû coucher avec une centaine de garçons différents au cours de mon année scolaire ... Il y'a eu tellement de baises que je ne pourrais toutes vous les conter et elles ne sont clairement pas toutes mémorables alors je vous en détaillerais quelques-unes marquantes sur le parcous de Lady Bitch, celle qui en voulait toujours plus et cherchait toujours plus de dépravation.
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Par : le 04/12/23
L'action est une fiction, la description de mon corps, elle est réelle. Nous sommes avec mes maîtres en week-end dans un complexe naturistes. Je décide de me rendre seul au sauna. Nous sommes dans le milieu de l’après-midi. Je me déplace avec mon fauteuil roulant et je vois deux mecs qui me suivent. A cette heure, le sauna est vide, je suis dans les vestiaires quand les deux mecs arrivent. Ils se mettent à rire en voyant mon entre-jambe avec le sac vide et ma nouille molle. Je suis toujours dans mon fauteuil, le premier se met face à moi, il est grand et il bande dur, son sexe est énorme. Il me l’enfonce dans ma bouche édentée et l’utilise comme un sexe. Il me ramone profond, j’ai le sentiment d’étouffer. Il se retire, laisse la place à son copain qui me pinçait les tétons depuis derrière. Ça repart. Il se retire et les deux me sortent du fauteuil, me tâte le sac en se marrant, le plus grand des deux se met derrière moi, me tien par la taille et avec un « han » de bucheron m’empale violemment. L’autre durant ce temps me masturbe en rigolant devant ma bite molle à jamais. Il se met à me la pincer, me fait mal. L’autre enfin explose en moi. Je sens sa semence couler de mon cul qui est devenu lâche au fil du temps. Le deuxième farfouille mon cul avec son doigt et réalise que je n’ai plus de prostate. Les rires recommencent en m’humiliant et à son tour il me défonce le cul ou devrais-je dire la chatte. Le plus grand des deux va au distributeur de gel alcoolisé, en prend au creux de sa main, l’autre me pose à plats ventre sur un banc et m’écarte les fesses pendant que l’autre fait couler le gel dans mon cul. Ça me brûle je retiens des larmes. Et comme ils sont venus, ils sont repartis. J’ai le cul en feu et je décide de retourner en chambre. Au passage, je vois mes maîtres attablés à la terrasse avec les deux mecs. Ils m’appellent. Arrivée à leur table, je reçois des compliments, que je suis une bonne petite pute et l’ordre de rester avec eux. Voilà c'était ma première fiction  
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Par : le 03/12/23
Les têtes Doppler se rétractent. Les écrans s’éteignent. Le silence emplit la pièce [1]. Mon Maître laisse tomber une feuille de papier qui atterrit délicatement sur mon ventre après un élégant vol plané. Sans un mot, il s’éloigne en compagnie de Satoshi, me laissant seule avec le jeune homme, qui entreprend, sans attendre, de me libérer de mes liens. J’examine la feuille avec curiosité. Je n’y comprends rien – à peine arrive-je à décoder quelques kanjis. Mais je reconnais la structure du formulaire d’évaluation. Le jeune homme s’assoit sur une chaise et m’invite à en faire autant. Il semble aussi timide que moi, ce qui ne va pas faciliter les choses. Le silence est pesant. Je sais ce que mon Maître attend de moi, mais je ne sais pas comment y arriver. Je le regarde un bref instant et je rougis, sans oser prendre l’initiative. Détourner le regard et baisser les yeux est ma seule réaction.  « Ce n’est pas possible d’être aussi empotée ! » me dis-je, rageant intérieurement contre moi-même. Si je retrouve mon Maître sans avoir été baisée, je vais prendre une sacrée raclée, ça j’en suis sûre. Je suis toujours nue, m’abstenant volontairement de récupérer mes vêtements. C’est un signe qu’il devrait interpréter sans ambiguïté. Mais ce qui semble une évidence pour moi ne l’est pas forcément pour l’autre, à plus forte raison s’il est né dans une autre culture. Je devrais pourtant le savoir. Je me rends compte que je ne connais même pas son prénom. Je me risque à le lui demander. Cette simple question suffit à le désinhiber un peu. Masato  me demande timidement si cela m’intéresse qu’il me fasse visiter le campus universitaire. Évidemment que je veux bien ! Cela me fera gagner du temps – le temps que j’arrive à surmonter ma timidité et que je trouve un moyen de lui faire comprendre que je dois être pénétrée et notée, sinon je serai sévèrement punie… Je m’habille et l’accompagne, main dans la main - c’est bon signe. Tout est nickel sur le campus, pas un grain de poussière. Nous sommes au Japon, je ne devrais pas en être surprise, et pourtant le dépaysement agit encore. Dans un anglais hésitant, il me parle un peu de la thèse qu’il est en passe de terminer et de l’admiration qu’il porte au Professeur. Au détour de la visite, il me fait découvrir son logement. Une minuscule chambre d’étudiant. Une chaise, une toute petite table, un lit d’à peine une place, ...  Ici on ne fait pas dans le superflu. Pas un instant à perdre, me dis-je – c’est le moment ou jamais. A peine la porte refermée, je me déshabille entièrement. Là s’il ne comprend pas… Je m’allonge nue sur le lit et, assis sur le rebord, il passe délicatement ses doigts sur mes marques. J’en suis fière de ces marques ! Mémoire des soirées où mon Maître m’a corrigée à coups de ceinture, des soirées où je ressentais dans mes tripes le plaisir qu’il éprouvait à me cogner, comme si nos esprits étaient connectés. Il parcourt chacune lentement, très lentement. Yeux fermés, à travers les sensations tactiles je reconstitue mentalement le graphe qu’elles dessinent sur la peau. C’est terriblement érotique et je me demande si je ne vais pas finir par avoir un orgasme spontané. J'ouvre les yeux. Il a sorti sa bite. Lui aussi est très excité par la scène, si j’en juge par la vigueur de son érection. La vue d’une femelle qui a été sévèrement corrigée et qui en porte encore les stigmates excite les hommes, en général. J’entreprends de lui sucer la bite, avec délectation. Avec un peu trop d’enthousiasme, sans doute. L’éjaculation est presque immédiate, m’emplissant la bouche de la précieuse semence.  « Quelle conne ! », me dis-je. Je voudrais m’excuser, mais je ne peux pas. Je garde le sperme en bouche, attendant qu’il m’autorise à avaler. Il est jeune. Avec un peu de chance il pourra remettre ça. Je me suis souvent dit que la sexualité masculine est mal conçue. Elle nécessite beaucoup de self-control. C’est tellement plus facile d’être femelle ! De par ma curiosité maladive, j’ai souvent rêvé d’avoir la possibilité technologique de transférer temporairement mon esprit dans le corps d’un homme, pour expérimenter intimement ce qu’il ressent. Ce n’est qu’après un long moment qu’il comprend, enfin, que je ne n’ai pas le droit d’avaler le sperme de ma propre initiative et que j’attends désespérément son feu vert. La nuit est déjà tombée. Après un frugal repas, je dois insister longuement pour lui faire accepter le fait que je peux parfaitement dormir sur le sol. Le lit est bien trop petit pour deux, il ne sera pas à l’aise, et puis je sais ce que mon Maître voudrait s’il était là. Je me demande si je ne devrais pas lui parler du risque de migration des zébralyvox. Et puis zut ! Tant pis. Surmonter ma timidité, c’est déjà assez compliqué comme ça. De toute façon, il doit bien s’en douter. Il a vu les images. Et puis le risque est minime. Les zébralyvox préfèreront certainement rester ensemble pour l’instant, ayant trouvé un environnement favorable dans mon corps. Après m'être refait une beauté et m'être soigneusement préparé et lubrifié le cul, je m'allonge sur le sol, à ma place de chienne. Je veille à maintenir mes cuisses ouvertes, comme une invitation à la pénétration, signifiant ainsi qu'à tout moment, même au milieu de la nuit, je suis disponible pour le plaisir du mâle. Il m'arrive de les refermer pendant mon sommeil, mais de moins en moins. A la maison, à chaque fois que mon Maître m'a trouvée cuisses serrées, il m'a réveillée et réprimandée, alors j'acquiers peu à peu les bons réflexes. Je m’endors en espérant qu’au petit matin Masato aura pleinement récupéré sa vigueur. C’est bien le cas et sans attendre le matin ! Il me réveille au milieu de la nuit, certainement très excité par le fait de savoir qu’il y a une femelle nue au pied du lit, cuisses ouvertes, collier d'esclave au cou, n’attendant que la bite  – il doit y penser depuis que l’on a éteint la lumière, se faire des plans dans sa tête, et puis, n’y tenant plus, il m’a réveillée.   Il me gifle, me laissant interloquée. Il a vu mon Maître le faire – il doit penser que tout le monde en a le droit. Mais je ne relève pas. Après tout, je l’ai bien mérité, après ma maladresse d’hier soir. C’est parti pour de la baise non-stop jusqu’aux premières lueurs du jour ! Ceci en toute illégalité, car nous n'avons pas de Fucking Pass. De quoi être arrêtés et condamnés si nous étions découverts. Il est complètement épuisé, à force de me ramoner les orifices sans ménagement. Moi aussi d'ailleurs, mais je ressens la satisfaction de lui avoir bien vidé les couilles, jusqu'à la dernière goutte de sperme. J'aurais tant aimé que mon Maître eût été là pour observer mon comportement et constater les premiers résultats du sévère et exigeant dressage auquel il me soumet depuis des mois et des mois. Depuis que je lui appartiens, il me dresse en esclave sexuelle, dévouée au plaisir, avec un niveau d'exigence qui me donne l'impression d'être préparée comme une athlète de haut niveau, ce qui fait souvent l'objet de plaisanteries entre nous. Masato a eu tout loisir de tester mes trois orifices, longuement, profondément, dans toutes les positions, de pétrir mes mamelles et de juger de la manière dont je me comporte sexuellement. Il ne devrait avoir aucune difficulté à m'évaluer de manière détaillée, aussi sincèrement que possible, avec bienveillance mais néanmoins sans complaisance, ainsi que le souhaite mon Maître et ainsi qu'il l'a précisé en entête du formulaire d'évaluation. Je lui tends le formulaire, en lui demandant de bien vouloir me noter et compléter toutes les rubriques sans exception dès qu’il en aura le temps. J’insiste sur le fait que c’est très important pour moi, sinon je serai punie. J’espère qu’il le fera et qu’il ne sera pas trop sévère. Il me suggère de prendre notre douche ensemble, mais je ne peux pas. Je lui explique qu'en tant qu'esclave je dois obligatoirement me doucher à l'eau froide - ordre du Maître - et que je ne voudrais pas lui infliger cela!  La matinée est déjà bien avancée. Masato me propose de visiter le chantier de la B.I.T.E.S. En tant qu’universitaire, il fait partie des privilégiés qui peuvent accéder au site. Mon Maître ne m’a laissé aucune consigne. Je ne sais ni où ni quand je suis supposée le retrouver. Alors, pourquoi pas. Je suis curieuse de visiter ce projet – le plus coûteux de tous les temps. Situé au pied du mont Fuji, le site japonais de la B.I.T.E.S. – Broadest Initiative against Terror and Extra-terrestrial Spacecrafts – fait partie du complexe de défense planétaire. L’initiative comporte deux volets, l’un destiné à lutter contre le terrorisme grâce au renforcement de la surveillance de masse, l’autre, le plus important, destiné à protéger la planète contre les envahisseurs extra-terrestres. Une campagne d’opinion avait déjà été tentée en 2023, sous couvert de prétendues fuites d’informations attestant de la réalité de la menace Alien [2]. Mais elle n’avait pas pris comme espéré. Relancée récemment, avec une orchestration bien plus efficace, elle a suscité très vite l’adhésion de la population. Bien que loin d’être terminé, le chantier est déjà impressionnant. A perte de vue, des alignements de canons électromagnétiques, destinés à assurer notre protection. Une initiative dont la Suprême Alliance Démocratique est très fière. On dirait un champ de bites, énormes, dressées vers le ciel. Accolées à chaque bite, deux énormes couilles servent de réservoirs dans lesquels un liquide  blanchâtre est brassé et magnétisé, avant d’être introduit dans le canon. Lancée à l’initiative d’un ancien POTUS reconverti dans le projet messianique de sauvegarde de la planète, la B.I.T.E.S. est entièrement financée sur fonds publics - le plus gros détournement d'argent public de tous les temps - et suscite l’adhésion massive de la population. Récent lauréat du prix Hunter Biden, récompensant les hauts responsables politiques qui, durant leur mandat, ont œuvré de manière exemplaire contre la corruption et le trafic d’influence, son initiateur jouit d’un prestige immense, savamment entretenu par les médias. Alimentés par une énergie verte, 100% décarbonée, les canons respectent scrupuleusement l’idéal politique de la Suprême Alliance Démocratique, soucieuse du climat avant tout, même quand les pires menaces pèsent sur l’humanité. « Est-ce que tu sais qu'en vrai le sperme des hommes n'est pas stocké dans leurs testicules? » me dit Masato, dans un anglais toujours aussi hésitant. J'ai une petite hésitation, et puis je choisis de faire l'andouille, de faire comme si je ne savais pas. Cela lui donnera le plaisir de m'expliquer l'anatomie du mâle, cela lui donnera confiance en lui. Un tout petit mensonge pour la bonne cause... Est-ce bien? Est-ce mal? Je ne sais pas vraiment. Une démonstration est imminente et le compte à rebours a déjà commencé. On nous apporte des casques anti-bruit, destinés à protéger nos tympans du bang hypersonique qui se produira lors de l’éjaculation. Au terme d’une vertigineuse accélération, que seul un canon électromagnétique peut produire, des amas de liquide blanchâtre sont expulsés à plus de 20 fois la vitesse du son. Les amas deviennent rapidement incandescents sous l’effet de l’échauffement puis disparaissent en haute altitude. En douze secondes seulement, les projectiles visqueux ont déjà atteint l’ionosphère, à 80 km d’altitude, et deviennent invisibles à l’œil. Lorsque le dispositif sera entièrement opérationnel, il constituera une barrière infranchissable pour les vaisseaux Aliens, qui se retrouveront englués par ce liquide visqueux, se solidifiant à leur contact et les rendant impossibles à manœuvrer. L’objectif des Aliens pourrait être de violer les femelles humaines pour les ensemencer, assurent de plus en plus de spécialistes. La Bill & Alvértos Fucking Corporation a déjà dans les tuyaux un vaccin à ARN messager ciblant la protéine spikouze, présente à la surface des spermatozoïdes Aliens. Le vaccin transformera les cellules de la receveuse en usines à spikouze, provoquant la formation continue d’anticorps hautement protecteurs, ainsi que l’affirme le consensus scientifique relayé par tous les experts de plateaux. C'est sûr et efficace, et c’est la garantie de ne pas être fécondée par ces monstres. Des images de synthèse, terrifiantes, montrent l’horreur qui attend celles qui refuseraient le vaccin, subissant les plus humiliants outrages, violées et ensemencées par des monstres extra-terrestres aux yeux rouges, puis mises en cage pour la durée de leur gestation. C’est la bousculade pour s’inscrire sur les files d’attente. Les premières inscrites seront les premières à bénéficier de la précieuse injection quand elle sera disponible.  « Mais pourquoi prévoir cette injection si nous sommes déjà protégés par le projet B.I.T.E.S., réputé infranchissable ? » s’est risquée à demander une journaliste stagiaire. Depuis, elle a disparu des écrans. Le spectacle de ces amas  incandescents s’élevant à vitesse hypersonique vers la ionosphère est magnifique, c’est un fait. Je serais presque tentée d’adhérer au narratif, moi aussi. Et pourtant… Si tant est qu’ils existent, qui pourrait croire que nous arrêterons des êtres qui ont les capacités technologiques de franchir des milliers d’années-lumière en leur balançant de gros chewing-gums spermiques ?  Fussent-ils les chewing-gums les plus coûteux de l’histoire ? Un enfant de 5 ans, peut-être ? Pas seulement… Le début de la décennie a démontré que la population est prête à gober n’importe quoi. C’est juste une question de matraquage médiatique et de pouvoir de conviction des experts de plateaux [3]. Masato m'a tellement prétri les mamelles sans ménagement pendant la nuit qu'elles en sont encore très douloureuses. Ce n'est pas grave, ça passera. Il me caresse la joue avec gentillesse, comme pour me remercier du plaisir que je lui ai procuré. Cela déclenche immédiatement un sentiment de bien-être qui m'emplit le corps et l'esprit. J'adore donner du plaisir et sentir la satisfaction chez l'autre. C'est ma plus grande source de motivation. Il me demande quand est-ce que j’ai compris que le totalitarisme était déjà En Marche, chuchotant à mon oreille, la voix tremblante, comme s’il craignait que Big Brother ne nous surveille.  « A un moment où nous aurions encore pu l’arrêter, si nous avions ouvert les yeux » Je réalise que je chuchote moi aussi.   à suivre Contexte et références  [1] L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  [2] Officials and lawmakers push for more government transparency on UFOs, CNN, July 26, 2023, https://edition.cnn.com/2023/07/26/politics/ufo-house-hearing-congress/index.html  [3] « On nous raconte des faits qui n’existent pas et on passe sous silence des faits qui existent. […] La pensée n’est plus régulée par le retour d’expérience; elle s’impose en tant que certitude délirante sur l’expérience, interprète et déforme la réalité pour la faire plier sous sa folie, et la lire au travers du prisme de son dogme, qui ne souffre aucune remise en question. […] A force de répétition, la population finit par être persuadée que l’eau brûle et que le feu mouille ». Ariane Bilheran, Psychopathologie du totalitarisme, septembre 2023, pages 42-43  
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Par : le 02/12/23
Récit de notre deuxième séance.   « Celle-ci était prévue depuis quelques semaines, nous avions un créneau. Manque de chance, Misslily tombe malade la veille. Elle dors toute la journée. Le soir elle va un peu mieux, et je ne suis pas non plus au summum de ma forme, on se dis qu’on verra demain dans quel état nous serons.   Au petit matin, Lily me dit me dis qu’elle n’est pas à 100 % mais qu’elle a très envie de moi… Je ne suis pas au top, mais je ne peux la décevoir… Moi son Maître, je ne peu me dérober sous prétexte que je n’ai pas assez dormis ou un peu mal au crâne.   Bref, j’ai une tonne de choses à faire le matin, pas le temps de penser à notre séance de cet après midi. Je rentre à la maison, il est 14H, Lily à commencé à se préparer…   Elle me demande ce qu’elle doit porter, je lui dit de ne porter que son plug anal qu’elle vient d’acheter. Ce n’est pas assez pour elle, elle à besoin d’enfiler une tenue pour se mettre dans l’ambiance, je lui dis qu’elle peut donc mettre son harnais à chaînes récemment acheté et lui demande aussi de mettre ses talons aiguilles.   Passage à la salle de bain pendant que Madame finit de se préparer. Je sors de la salle d'eau, madame est toute harnachée, lui manque que son plug en verre que je m’empresse de lui insérer.   Je tourne autour d’elle, je l’admire, elle est toujours aussi belle vêtue de cuir, de verre et d’acier.   Mes mains frôlent son corps, quelques bisous dans le cou, des coups de langues sur ses tétons, derrière ses fesses, je descend le long de ses jambes… Je la sens très réceptive.   Je continue avec la roulette à pics, sur ses seins, je descends jusque sur sa petite chatte, elle frétille. Au tour de son dos maintenant, ses fesses, ses cuisses… Je passe derrière ses genoux, elle se tord, ne tiens plus debout, j’ai touché un point sensible, quel plaisir de la voir ainsi.   Je décide de lui retirer son plug, il est temps de donner un peu de couleur à ces fesses bien pâles.   Je me saisi du martinet en guise de pinceau et commence à la badigeonner de rouge…   Ce n’est pas aussi instantané qu’un coup de pinceau trempé dans de la peinture, la couleur met plus de temps à être visible, il faut aussi plus de coups, pour le plus grand plaisir de Lily, elle ne dit mot, quelques petits cris tout au plus.   Je me rend compte que je prend aussi du plaisir à me prendre pour un peintre, je bande comme un fou, l’excitation monte en moi, je lâche le martinet, me jette sur elle, j’empoigne ses gros seins, la saisi par le cou, ma queue viens se glisser toute seule dans ses petites fesses, et je commence ainsi à la prendre par le cul comme un fou, pas très longtemps, mais intensément.   Une fois ma pulsion redescendue, je lui pose des « pinces tétons » à succion et j’enveloppe son buste de scotch vinyl noir en laissant ses seins accessibles.   Je recommence à jouer avec la roulette, madame se tortille. Je joue avec les « pinces tétons », elles se détachent, je me jette alors avec ma bouche sur ses tétons gorgés de sang, ultra sensibles, un délice et je sais madame ravie. Ma bouche descend sur sa petite chatte que je mange avec plaisir.   Il est temps de changer de pièce, je demande à Lily d’aller s’allonger sur le lit, sur le dos.   J’arrive avec le scotch, j’attache ses mains à ses chevilles. Elle est ainsi mienne, sans aucune défense, entièrement offerte, ouverte à son Maître.   Je lui bouffe la chatte comme un dingue. Formulation un peu vulgaire, je vous l’accorde, mais je ne vois d’autre façon de vous décrire cette bestialité qui s’est installée entre nous.   Je lui pose des pinces sur les tétons ainsi que sur son clitoris, reliées par une chaîne.   Je lui pose le vibro sur sa petite chatte et je commence à l’enculer, comme un sauvage, elle ne peu plus se débattre.   Je lui saisi le visage et je lui ordonne, avec le regard qui va avec, de ne plus faire aucun bruit, aucun son ne doit sortir de sa bouche, et dans le même temps je lui pilonne le cul comme jamais.   Sensation exquise de lui dire ça tout en la regardant droit dans les yeux… Et elle tiens le regard la garce.   De looongues minutes s’écoulent, je joue avec la chaîne reliant les 3 pinces, je les arrache, je me retire de son cul et commence à jouer de la cravache.   Les impacts se font plus intenses que la première séance, Lily peu encaisser encore plus, nous en avons discuté.   Le cuir frappe ses cuisses, ses seins, sa chatte, je vois ma Lily se débattre, essayer tout du moins… Mouhaha, quel pied.   Lily me signale que la position commence à l’inconforter, elle me demande de la retourner, ce que je fait, comme une crêpe.   Elle se retrouve face contre le matelas, cul en l’air.   Je lui prend sa petite chatte, en levrette, mais au bout de quelques minutes, je ne peut m’empêcher de retourner dans son cul, attiré comme un aimant à un bloc de fer.   Je la sodomise vigoureusement, son vibro sur sa petite chatte, quelques minutes s’écoulent, elle ne peu pas se retenir, Lily jouit intensément. C’est beau. Ses spasmes et ses gémissements, me procurent un plaisir si intense et inattendue que la chaleur monte en moi, je me retire et c’est une explosion de sperme sur son cul encore ouvert… dégoulinant sur sa chatte… »       Le bilan de cette deuxième séance est encore très positif. Je ne sais pas si je le traduis justement dans mes écris, mais j’ai tenu compte des remarques de Lily lors de notre première rencontre, elle à été ravie de cette séance.   Je me rend compte qu’être Dom n’est pas de tout repos. Pour avoir légitimité à être exigeant avec sa soumise il faut tout d’abord être exigeant avec soi-même. Le Dom est le phare dans la nuit de sa soumise, il doit montrer l’exemple, enfin c’est ainsi que je vois les choses.   Peu de photos on été prises, j’en suis le premier déçu, mais gérer la séance et la prise de vues, n’est pas chose aisé, surtout quand on débute dans les deux domaines.   Je n’ai pas été aussi strict que j’aurais du l’être, elle avait ordre de porter ses talons aiguilles et devait me ramener sa liste d’obligations à faire avant chaque séances, écrites à la main, elle na rien fait de cela. J’ai remarqué qu’elle ne portait pas ses talons pendant la séance, mais dans le feu de l’action j’ai estimé que ce n’était pas grave. Pour les obligations manuscrites, je ne m’en suis rendu compte que deux jours plus tard ! (fatigue et autres obligations)   C’est en ça aussi que le rôle de Dom est énergivore, mais Lily aurait du respecter les consignes sans que je n’ai à le lui rappeler, donc après discussion elle sera punie pour ces deux manquements.   Je réfléchi encore pour les punitions… Vos suggestions sont les bienvenues.     Maître J.  
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Par : le 29/11/23
Quand le masochiste est son premier sadique   Lors de la rencontre avec mon premier Maître, j'ai été confronté au sujet du masochisme. De plein fouet dirai-je. (Je comprends mieux cette expression.) C’était pourtant clairement écrit dans son profil mais je ne l'ai pas vu.  L’inconscient sait nous mener par le bout du nez. Dès nos premiers échanges, il s’est positionné de manière transparente sur son attrait pour le sado-masochisme. En relisant, j’ai simplement vu que je répondais innocemment que moi non. Cela ne l'a pas déconcerté, vous imaginez bien.  Là encore, je n’ai pas vu ce qui se tramait sous mon nez.  Sans me juger, je me dis qu’il fallait que ce soit ainsi : dit mais pas entendu. Sinon, je ne serai pas là à écrire ce texte. Je n’aurai pas vécu cette rencontre. Je n' aurai pas ouvert la porte.  C' est ainsi que je me suis retrouvée dans une relation sado-masochiste. En l' ignorant malgré l annonce.  Comprenez que c est comme lire un roman sans lire le titre. Ou comme si vous lisiez un titre de livre en langue étrangère. Tout est-il dans le titre ? Tout est-il dans la présentation ?  Je suis quoi qu' il en soit passé à côté.  Comment savoir que vous avez une tendance masochiste lorsque vous ne vous êtes jamais créé de douleurs physiques volontairement pour vous soulager d une pression ou pour le bénéfice d’un plaisir ?  Comment se reconnaître soi dans un fonctionnement masochiste lorsque vous fuyez toute douleur ou souffrance ?  “Voyons Mon Maître ! C’est évident que je déteste souffrir et que je ne vais pas tolérer qu’on me mette à mal volontairement.” Et Mon Maître, alors, tout dans sa patience, pour obtenir ce qu'il veut, ce dont il a besoin lui-même à termes, me plaque au visage, les graines fatales de mon histoire de vie, par lesquelles ont germé mon masochisme.  Rejeter tant Mon Maître que son idée de mon masochisme n’était pas si facile. Juste possible pour qui est masochiste ! (Qu' est ce qui finalement me met le plus à mal ? Le plus en souffrance et en douleurs ?) Je l ai entendu. Ça se tenait. C’était une version possible. Une lecture de ma vie et de mon fonctionnement qu' il me racontait, qui était là, évidente pour lui, effrayante pour moi.  Je ne pouvais ni accepter cette vision, ni me reconnaître de cette façon. Comment s' approprier son fonctionnement masochiste comme partie intégrante de soi et de son psychisme ? Comme base relationnelle ?  Quand notre pensée est fondée sur deux catégories : ce qui est bien, bon et juste et ce qui est mal, mauvais et injuste, se reconnaître soi est une subtile affaire de temps, de bienveillance et d’accompagnement.  J’ai rejeté le Maître, ne supportant pas, ne pouvant accepter, l' humiliation, le rabaissement de soi, la ridiculisation lors de nos échanges dans nos conversations quotidiennes. Il n’y avait pourtant pas que ça. Bien au contraire. Mais c était là. J' y serai encore si ce n était pas le cas. Mais l' histoire n est pas celle-ci.  J' étais prête à perdre tout ce que je vivais de beau, de bien et de réconfortant, pour ne pas avoir à intégrer ma part masochiste et ne pas être confronté à sa part sadique. Laquelle ai-je le plus fui ?   Confrontée à sa part sadique dans la relation, mon masochisme m’a fait prendre la poudre d' escampette.  Hélas, je suis partie avec lui.  Alors, me voici telle une chouette, réveillée par l’excitation que je ne veux plus laisser en silence, à réfléchir à ce que m’a dit le Maître. J ai eu l occasion de porter son regard sur les situations de ma vie comme des contextes créés pour renouveler l' expérience à subir.  Certes, je ne me suis jamais mise à mal physiquement. J’ai également toujours voulu échapper aux douleurs et souffrances émotionnelles, affectives et psychologiques sans y parvenir.  L' attachement à nos souffrances nous relie au passé telle l' ancre d un bateau.  Je ne veux pas être masochiste. Cela ne cadre pas avec le reste de qui je suis. Voyons ce n' est pas acceptable. Je ne ressens pas de plaisir ni de soulagement dans ces situations de vie dans lesquelles selon le Maître je me maintiens en échec et en douleur. Mais c est ce que je connais. À ma façon, je ne connais rien d' autre tout en rêvant de ce beau voyage vers des terres inconnues, voyage qui n' est jamais venu.  Je regarde ces autres vies derrière une fenêtre. Je rêve d’être ceux qui ne sont ni masochistes ni sadiques ou qui n' ont pas besoin du BDSM dans leur vie. Je les trouve chanceux et forcément plus heureux. Y a t-il du bonheur dans le masochisme ? Est-ce possible d’être heureu.se en étant dans une relation sado-masochiste ?  J aime le bonheur, la lumière, la chaleur (pas celle des bougies tsss).  Le comble, chers lecteurs, c’est qu’en voulant ne pas subir son sadisme, je me prive de lui, de ce petit nous qui émergeait et dont je commençais juste à me délecter. Je me prive des possibles mystérieux qu il m inspirait par ailleurs. Je me prive de ce bien-être nouveau que je ressentais. Pour au final, me confronter à  cette persona ingrata “ mon masochisme”. Celui qui me suit comme mon ombre. Celui qui me colle aux pompes tel un chewing-gum. Quelle danse infernale je mène avec lui !  J ai refusé le sadisme du Maître. J' ai rencontré le mien. En rejetant sa part sadique, j accepte ma part masochiste. (Là je m’emballe, ça fait juste classe mais on est dans la vraie vie) Dans la solitude. Dans la peur de sombrer dedans silencieusement, de nuit comme par hasard. De rester enfermer dans les échecs et les limitations que je me crée.  Victime de ma mère, je me suis souvent dit qu' elle était elle-même sa première victime et son propre bourreau.  Je me vois comme elle et c est insupportable. Comment accepter l' inacceptable ?  En l'écrivant peut être. Les mots comme l' expression des émotions m' aident et mettent en mouvement ce que je ne peux supporter seule dans mon for intérieur.  Serait-on son premier sadique lorsque nous sommes masochiste ?  La relation sado-masochiste commencerait-elle en soi ? Dans sa forme la plus complète, à la fois sadique et masochiste envers soi, avant même d’externaliser l’un ou l’autre de ces rôles ?  “Allons ! Qu’importe !” Voilà ce que j aimerai me dire pour me rendormir.  Mais la pensée rôde. J attends le jour pour la semer. Avec un peu de soleil, tout fait moins peur.  Moi… masochiste. Quelle drôle d’idée !  C' est de sa faute à elle et c est encore moi qui paie les pots cassés.  Ça fout les boules non ?  Comment se redéfinir ?  En écrivant des histoires.  Qui m’emmèneront voyager dans des vies qui ne sont pas la mienne.  Je sais qu’ici, vous aimez le BDSM. Pour moi, c’est comme un monstre sous le lit.  J’aimerai le frapper à coups de balai pour qu’il déguerpisse et me laisse dormir.  En attendant, je vais quand même m’aimer. Parce que j estime l avoir bien mérité. Même menottée en moi-même, subissant le fouet d'un masochisme silencieux. Voici que je lui donne la parole, le temps d'un soir.   ♡ Eclipse d’Espoir ♡  
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Par : le 27/11/23
Depuis que nous jouons ensemble, nous avons beaucoup échangé sur nos envies communes, nos délires, nos fantasmes les plus enfouis. Etonnamment, même si elle a des envies plutôt modérées, elle rêve de kidnapping, simulacre de viol. J’avoue que cette idée n’est pas totalement pour me déplaire. Après, je ne me vois pas organiser un enlèvement en pleine rue et la jeter ligotée à l’arrière d’un fourgon.  Personnellement, j’ai été fortement influencé dans ma jeunesse par la BD extraordinaire de Milo Manara « Le Déclic ». Un homme implante un dispositif dans le cerveau d’une femme et contrôle à l’aide d’une télécommande son désir sexuel lui donnant à la demande un appétit vorace. J’adore absolument l’idée mais personnellement, j’ajouterai un bouton du style ON / OFF, la plongeant si besoin dans une sorte de comma télécommandé. Le but ultime est de pouvoir rendre la soumise inconsciente pour qu’à son réveil, elle soit dans un lieu, une posture, une contrainte qu’elle découvre, bref jouer avec l’inconnu, la surprise ultime. J’ai essayé d’assouvir ce phantasme il y a bien des années avec une soumise et amie mais ce fut un échec pour diverses raisons. Aujourd’hui, J’ai envie de faire plaisir et surprendre cette nouvelle partenaire et prendre également un pied absolu en assouvissant mon vieux phantasme. Après quelques longues recherches et autres discussions, une solution simple et sans risque est trouvée, il faut passer à l’acte. Tout d’abord, il faut un cadre. Pour ça, c’est facile, la grange d’une vielle maison de famille sera parfaite. Elle est grande, intrigante et pleines d’accessoires pouvant être détournés. Je suis allé y passer quelques heures pour préparer le lieu. Tout est bon de ce côté-là. Aujourd’hui c’est le grand jour. Ce samedi matin, nous avons décidé de nous retrouver et d’aller faire un tour en ville. Je gare la voiture dans mon parking habituel est nous partons en balade. Je prétexte à la sortie du parking un oubli pour retourner à la voiture. Le piège se referme… Elle ne se déplace jamais sans sa gourde et la laisse en voiture, c’est trop facile. Je l’ouvre et y met la dose de liquide qu’on m’a donnée. Après une balade que j’ai volontairement écourtée, nous reprenons la voiture. Dès que nous roulons, son premier réflexe est de boire quelques longues gorgées de son infusion. Il ne faut pas bien longtemps pour qu’elle s’assoupisse profondément. Je continue tranquillement les quelques kilomètres qui nous séparent de son lieu de détention. Nous arrivons. Je gare ma voiture à l’abris des regards, ouvre la grange et y porte mon colis. Elle semble dormir très profondément. Je la déshabille doucement, puis pose les contraintes que j’avais prévu sur ce sublime corps. Je m’installe confortablement dans un coin que je m’étais aménagé pour attendre son réveil. Comme elle n’a pas beaucoup bu et que j’ai mis une dose raisonnable, ça ne devrait pas trop tarder. Au bout d’une heure, un bruit de chaine me sort le nez de mon PC portable, elle se réveille, je ne bouge pas. Très rapidement, les premiers gémissements étouffés par sa cagoule de bondage se font entendre, je ne bouge toujours pas. Puis elle bouge franchement essayant se mouvoir. Je ne l’ai volontairement pas immobilisée comme j’aime souvent le faire. Je voulais qu’elle puisse se débattre, bouger dans les limites que j’avais déterminées. La voir se débattre m’excite. En plus de sa cagoule, des mitaines en cuir l’empêchent de se servir de ses mains. Une chaine relie ses chevilles avec une trentaine de centimètres de « liberté ». Ses escarpins sont verrouillés sur ses chevilles. Enfin, une chaine d’un mètre relie le collier d’acier qu’elle porte au cou à un anneau au sol. Sa longueur bien trop courte lui interdit de tenir debout. Cette grange à un écho, une odeur qu’elle ne connait pas. Le sol froid et irrégulier participe à l’angoisse que je sens monter en elle. Elle se débat depuis quatre ou cinq minutes testant tour à tour les limites imposées. Sans faire de bruit, je m’approche le pose ma main sur sa tête. Surprise, elle a d’abord un mouvement de recul, puis vient naturellement chercher le contact et se blottir contre moi. Maintenue à genoux par sa chaine, elle vient maintenant se frotter contre moi à la recherche d’une caresse. Puis, sa tête vient maintenant se frotter de façon bien précise contre mon entre jambe. Je défais ma ceinture puis mon pantalon. Le bruit de la fermeture éclair l’excite indiscutablement. Je lui ôte le bâillon de sa cagoule et, sans rien dire, elle se met goulument au travail. Quel bonheur. La tache accomplie avec succès, je défais du sol sa chaine et l’amène vers le vieil établi. Je la penche en avant sur l’établi et fixe sa chaine au travers d’un trou du plateau. Elle est là, offerte, la croupe à l’air et dans l’incapacité de se relever. Comme elle n’est pas très grande, elle arrive à peine à poser ses talons au sol et cherche parfois l’équilibre sur la pointe des pieds.  Je viens me coller contre elle pour user de cet orifice présenté en offrande. Je savoure ce moment. Puis, dans de tendres caresses, je saisi ses mitaines et les relie par un mousqueton dans son dos. Je défais ensuite sa chaine de l’établi et l’aide à se redresser. Tenant sa chaine tel une laisse, le la tire hors de la grange jusqu’à la voiture. A l’aide d’un deuxième mousqueton, je relie ses bracelets de cheville lui interdisant de marcher et la bascule dans le coffre ouvert. Avec prudence, je rentre à la maison pour que nous puissions terminer le Week end
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Par : le 24/11/23
Première publication pour vous faire un retour sur notre première séance. (attention, pavé!)   Ca y est, nous avons enfin fait le grand saut. Le besoin de réaliser ce que nous avions en tête se faisait de plus en plus pressant. Une journée de libre se profilait et nous décidâmes que c’était le bon moment. Pas de contrat entre nous pour l’instant, mais un questionnaire sur les pratiques acceptées et surtout celles interdites. Remplis et validé par les 2 protagonistes bien entendu. J’avais acheter plusieurs accessoires pour l’occasion ( cravache, martinet, bandeau pour les yeux, roulette à pics, crochet anal, pince tétons, barre de contrainte, collier et laisse ainsi que du matériel photo pour les souvenirs) Miss Lily s’était, de son coté, acheter un harnais en cuir. Avec les accessoires que nous avions déjà (plug, godes, vibro) nous étions prêts et équipé. Je laisse Miss Lily se préparer pour sa première rencontre avec son Maître. Pendant que je prépare le matériel, une certaine appréhension commence à se manifester, les choses on fait que je n’ai pas eu le temps de planifier cette première rencontre comme je l’aurai souhaité, je vais donc improviser en grande partie. Miss Lily arrive dans le salon, la chatte parfaitement rasée, vêtue de son harnais et de son string noir. Elle me tend son plug, quelques coups de langues plus tard, je lui insère délicatement dans son joli petit cul. Je lui présente son collier d’appartenance, elle sourit, je lui passe autour du cou, et je lui met la laisse aussi tôt. Ca y est, le Maître rencontre enfin sa soumise et vice versa. Les pinces tétons en place et le bandeau sur les yeux, je prend le temps de l’admirer, de la prendre en photo, elle est magnifique, c’est la plus belle. La cravache sera son premier ustensile de « torture », je lui frotte l’extrémité en cuir sur le corps, puis tombent les premier coups, Miss Lily sursaute mais ne dis mot. Je la fait se mettre à genoux sur le canapé, de façon à ce que son petit cul soit tendu vers moi. Je continu de travailler ses fesses à coups de cravache, les premières rougeurs commencent à apparaître, elle ne bouge pas et reste dans la position que son Maître lui à ordonné de prendre. Elle rempli son rôle à la perfection, je bande comme un taureau, il est temps d’ôter ce plug. Aussitôt fait je ne peut m’empêcher de la sodomiser, avec délicatesse tout d’abord. Pénétration comme dans du beurre, comme si son cul était fait pour ma queue, un pur délice. Rapidement, les coups de cravache recommencent à pleuvoir, les coups de queue se sont plus intenses. - Ma petite chienne, est-ce que ça te plaît de te faire enculer par ton Maître ?  - Oui - Oui qui ? - Oui Maître - Qu’est ce qui te plaît ? - De me faire enculer par mon Maître Je veux lui faire dire ces mots, je veux l’entendre de sa bouche qu’elle aime se faire enculer par son Maître. Je lui fais dire que c’est une grosse salope, et c’est ce qu’elle est, le temps de cette séance… Comme une bonne petite soumise, elle s’exécute. Je me retire de temps à autre pour admirer ce trou qui commence à se dilater. J’essaye la roulette à pics, pour voir sa réaction. Un petit sursaut, quelques contorsions et la chair de poule sur ses cuisses, ses fesses…. Encore quelques allés retours dans son cul et je décide qu’il est temps de changer de pièce. Mais avant je lui met son chapelet anal, une seule boule, je veux la voir marcher avec le reste du chapelet qui balance telle une queue. Elle marche jusqu’à la chambre (je lui ai fait enlever son bandeau des yeux) je la suis, regardant ce chapelet balancer à chaque pas… C’est beau. Je la met sur le lit, le cul en l’air, la tête contre le matelas, ses mains passant entre ses cuisses attachées au niveaux de ses chevilles, elle ne pourra plus bouger ainsi. Je lui ôtes son chapelet , lui mets quelques coups de bites, parce que j’aime ça, puis je décide de lui enfiler le crochet anal… avec la laisse, attachée au crochet et passant par l’anneau de son collier, je peux ainsi faire remonter le crochet en tirant sur la laisse, elle est contrainte de la tête aux pieds, en passant par le cul. Je la prend ainsi pendant un moment par la chatte, prenant soins de garder la laisse tendue. Mais l’envie de retourner dans son cul est trop forte. Je vois son anus bien dilaté avec ce crochet à l’intérieur… Tu en as toujours rêvé, alors vas y, me dis-je… Ma queue rejoins donc le crochet dans son anus… Chaque seconde qui passe je repousse un peu plus les limites de ma soumise, je vis un rêve, c’est un bonheur indescriptible. Je fini par enlever le crochet, s’en suis un festival godes et de bite, en vaginal, anal, double etc. Le tout sous une pluie torrentiel de coups de martinet et de cravache. Puis une pause s’impose, Miss Lily à déjà bien encaissé. On débrief un peu et on se pose devant un film, histoire de redescendre en douceur de notre nuage. « Killer » sur Netflix est sorti il n’y a pas longtemps, le film commence, mais nous n’en verrons pas la fin… Ma soumise est blotti contre moi, je ne peu m’empêcher de lui malaxer sa belle grosse paire de seins, le désir commence à monter, Lily commencer à me sucer langoureusement pendant que je m’occupe de ses tétons, je sais qu’elle adore. Elle finit par venir se poser sur ma queue. Elle commence ses allers-retours, je lui demande si elle se l’est mise dans cul, elle me répond par l’affirmative, bien évidemment. Une sensation de bonheur explose alors en moi, elle vois son Maître pour la première fois et le connaît déjà si bien, salope jusqu’au bout des ongles. On repasse rapidement dans la chambre, je saisi la cravache au passage, je veux lui exploser le cul, mettre ses fesses a sang. Même position que tout à l’heure, mais sans contraintes, elle aime trop ça, je sais qu’elle ne partira pas. Je lui met son vibro dans la main, elle pourra s’occuper un peu de son clitoris pendant que je m’occupe de son cul. Je la pilonne avec toute la passion qui est en moi, un gode dans la chatte pour la combler au maximum. Les coups de martinets tombent, comme la grêle sur un vélux. Je me lâche, vraiment, je ne me contrôle plus, je sens cette chaleur monter en moi, puis c’est l’explosion, je déverse tout mon sperme sur son anus, qui dégouline le long des belles lèvres de sa petite chatte… Je suis vidé. Lily, n’a pas jouis, elle me fait comprendre qu’il lui en faut encore, je ne bande plus, je lui glisse un, puis deux, puis trois, puis quatre doigts dans les fesses en faisant de petits allers retours, de l’autre main je manie la cravache, de plus en plus rapidement, ses fesses rougissent de plus en plus le plaisir arrive à son summum. Et puis tout d’un coup, un cri, ou plutôt un gémissement, Lily est en train de jouir en se tordant de plaisir, plaisir que je partage, quelle sensation que de faire jouir sa soumise en lui faisant « mal », c’est exquis. Un petit tour à la salle de bain et je lui propose un massage, elle en a besoin, moi aussi, besoin d’un peu de douceur après ce moment des plus intense. On termine en buvant une petite verveine pour débriefer. Ainsi s’achève cette comptine pour adulte, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…. Mouhaha !   Donc voici notre première expérience dans ce vaste monde. De mon point de vue tout était parfait, j’ai abusé de Lily et de son petit cul comme jamais je n’aurais osé le faire dans un autre contexte, je l’ai pénétré et « fouetté » plus que je ne l’aurai jamais imaginé. Lily s’est abandonné comme jamais, totalement dévouée à son Maître. Très fière d’avoir été « la chienne de mes fantasmes ». Elle me fait juste remarque que j’aurais pu y allé un peu plus crescendo, m’occuper d’avantage de ses tétons et de sa petite chatte. Et jouer un peu plus avec elle, plus d’espièglerie me dit elle. J’ai pris un pied immense à la prendre directement par le cul sans lui demander son avis, de manière totalement égoïste. Néanmoins, je prend note des ses remarques pour la prochaine séance. Je dois m’affiner, trouver on style, apprendre à lui donner aussi ce qu’elle veux tout en lui donnant le sentiment que je la « méprise », bref que je la Domine avec un grand D. Le chemin est encore long. Nous savions que ce ne serait pas parfait, mais honnêtement, pour une première, ce fût au-delà de mes (nos?) espérances. Des photos vont arriver, malheureusement pas de très bonne qualité, il faut que je prenne en main l’appareil photo récemment acquis. Miss Lily les postera, elle a ordre de les commenter. Et vous, c’était comment votre première séance ?   Maître J.
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Par : le 15/11/23
Petit rappel même s'il est complètement évident que tout le monde, maintenant, connaît cette série :D Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. NDM: je ne considère pas le collier et la laisse comme 2 objets. C'est discutable mais, pour moi, ils sont indissociables de mon esclave. J'aurais aimé ajouter un gag à mon esclave. Je ne l'ai pas fait, par contre. Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) Comme à chaque séance, tu réponds quand je t'appelle pour entrer dans notre pièce. A genoux, en lingerie noire. Maquillage soigné, rouge vif qui décore non seulement tes lèvres mais barre ton front d'une SALOPE. Tu es prête à être utilisée comme je voudrais. Tu as conscience que tu es ici pour ton éducation et mon plaisir. Je ne rentrerai pas dans les détails mais tu sais très bien que tu m'as déçu ces derniers jours. J'imagine que tu sais que tout va se régler aujourd'hui. Je prends la laisse et je traîne jusqu'à la table que je fais descendre. - Regarde moi. Tu sais que tu vas être punie pour ton comportement récent ? - Oui Maître, je le sais, je le sens et je le veux. Je le mérite. Je suis ta salope et je veux que tu m'utilises. Mais je comprends que je dois mériter ce droit et je suis heureuse de payer pour te servir ensuite. Si tu le souhaites, bien évidemment Maître. - Monte sur la table ! Prends ton string et mets-le dans ta bouche. Je n'ai pas envie de t'entendre dire Merci ou plus fort quand je te fesserai. Je n'ai pas du tout envie de t'entendre, d'ailleurs. Tu te mets en position. Tu as remarqué les liens sur la table. 4 liens dont la largeur est ajustable. 2 pour les mains, 2 pour les pieds. Tu vas naturellement positionner tes mains dans les menottes que je serre fort. Pas encore de baillon dans cette pièce et c'est bien dommage mais ton string fait l'affaire pour l'instant. Ni de paddle ou de fouet. Mes mains devront suffire. Et elles suffisent jusqu'à ce que ton cul soit rose foncé. La marque des mes mains disparaît au fur et à mesure que tout ton cul se colore. Je te traite de tous les noms. Je cite également tout ce que je veux ajouter à cette pièce. Un objet à chaque fois, c'est finalement trop peu. Je voudrais que ton dos, tes cuisses soient zébrés maintenant. Pas juste ton joli cul. Mes mains chauffent, je me rapproche de ton cul pour le mordre et il dégage une belle chaleur également. Sans même y réfléchir, je retire ma ceinture. Ce n'est pas tricher, de toute façon. Je l'avais sur moi et je fais les règles. Quelques minutes intenses et ton corps est zébré, des épaules au bas des cuisses. Quelques minutes de plus encore. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je pense, non, je suis certain que je n'ai jamais été aussi prêt de perdre le contrôle et je sais que tu sentiras la douleur pendant toute la séance. Sans doute même bien les soins post-séance. Je détache tes mains. Tourne-toi salope ! Dos contre la table. Remets tes mains en place. Je les menotte et j'écarte tes jambes pour fixer tes chevilles également. Tu es écartelée au maximum supportable. Ton corps est sur la table, ta tête dans le vide. Je me déshabille et m'approche de toi. Dès que je retire ton string de ta bouche, tu commences à lécher comme l'immense salope que tu es. J'en profite pour m'occuper de tes seins et de ton sexe. Pas question de les laisser jaloux de ton dos et de ton cul. Eux aussi ont le droit d'être maltraités, claqués. Je m'écarte de toi et je t'ordonne d'essayer de cracher sur ma queue. Pas facile mais je viendrai m'essuyer contre ton visage jusqu'à ce qu'il soit luisant, recouvert de salive. Encore. tant pis si ça commence à te couler dans les yeux et le long des cheveux. Je te crache dessus pour accélérer les choses. - Voilà maintenant ouvre grand la bouche. Je sais que tu ne maîtrises rien. Je sais que la position est inconfortable et que tes abdominaux ne peuvent plus te permettre de te redresser. Tu vas juste subir. Je presse mes mains autour de ton cou. Je serre jusqu'à ce que ton visage soit aussi coloré que ton cul. Tu sembles avoir du mal à récupérer et tu es obligée de déglutir et ton visage devient encore plus luisant. Ton mascara coule et ça m'excite. Je recommence. Encore et encore. Tu sens enfin que mes doigts ouvrent ta bouche et que ma main commence à la baiser. Quel plaisir de la retirer et de la sécher sur ton corps ou ton visage. J'aime que tu sois recouverte. Mais là il est temps de mettre ma queue et de te baiser encore et encore. Parfois rapidement, parfois avec une lenteur calculée jusqu'à ce que tu puisses lécher mes couilles. Parfois en agrippant tes cheveux pour forcer ta tête à aller et venir. Ton visage est blanc. Blanc de salive. Avec des très jolies nuances de mascara. Je te détache. - À genoux salope. Tu sais que tu n'auras pas l'honneur de me faire exploser. Mais tu as trop envie de recevoir mon sperme sur ton visage méconnaissable pour ne pas obéir prestement. Tu ouvres la bouche, tu tires la langue. Je viens me branler à quelques centimètres de toi. Parfois contre ta langue. Je jurerais t'entendre gémir comme la chienne que tu es. Je regrette de ne pas avoir encore équipé la pièce d'un simple verre car c'est en te regardant boire mon sperme que je voudrais finir. Tant pis, je m'arrête. Une petite distorsion des règles et je reviens 30 secondes plus tard avec une flûte à champagne. Je me tourne, je fourre ta langue dans mon cul et, en même temps que tu essayes de l'enfoncer le plus profondément possible, j'explose et je remplis le verre. Je vais me mettre dans le sofa et tu accours. Enfin accours à 4 pattes. - Maître je t'en supplie. Je veux vous boire. Je lui tends la flûte. Tu as interdiction de boire. Je reste interdit quand elle vide le verre mais je comprends quand elle la remplit en recrachant tout à nouveau. Elle bascule la tête en arrière et vide, précautionneusement le contenu sur son visage. Le dressage avance bien !
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Par : le 13/11/23
Episode 1: Relaxant Onsen Depuis les temps anciens, les Japonais profitent des bienfaits relaxants et thérapeutiques des sources thermales. D'après le Nihon shoki (日本書紀), l'une des rares sources écrites sur les origines du Japon, achevé en 720, le premier Onsen aurait  été créé en 631. De nos jours, plus de 3000 stations thermales sont aménagées. Beaucoup d'hôtels possèdent leur propre Onsen, soit naturel, soit artificiel. Depuis que le Japon s'est ouvert à l'Occident, la mixité qui était la règle à l'origine a quasiment disparu. C'est le cas dans notre hôtel, qui dispose d’espaces de baignade strictement séparés pour les hommes et les femmes. Par pudeur probablement, les guides touristiques sont avares de détails, mettant l'accent sur les bienfaits des eaux chaudes fortement minéralisées, et oubliant les aspects pratiques. Car dans un Onsen on doit se baigner entièrement nu et respecter un certain rituel. Après s'être dévêtu dans l'espace vestiaire, on rejoint un espace dans lequel on doit se doucher assis sur un petit tabouret, puis éliminer soigneusement toute trace de savon car polluer l'eau du bain est un sacrilège. Les Onsens n’échappent pas à la fameuse politesse japonaise: ce sont des lieux de repos et de détente -  adopter un comportement discret et silencieux dans l'espace de baignade est la règle, néanmoins parfois mise à mal dans les régions touristiques. L'accès aux personnes tatouées est en principe interdit, les tatouages évoquant le crime organisé dans ce pays. Pas d'autre choix que d'enlever le symbole Kef, tatoué en haut de ma cuisse gauche. Quel dommage! Je venais juste de refaire ce tatouage temporaire. Solution de fortune, la lotion démaquillante en est venue à bout, mais non sans mal. J'ai lu qu'ici un sexe épilé rappelle les films pornographiques ou la prostitution et c'est donc très mal vu. En effet, pour échapper aux lois de censure qui interdisaient de montrer toute pilosité pubienne, l'industrie du film pornographique a eu recours à l'épilation. J'ignore si cette association est la vraie raison, mais force est de constater que je suis la seule à avoir la chatte intégralement épilée. Les japonaises sont bien foutues – question d’alimentation probablement – et je pense que mon Maître apprécierait d’être à ma place. Je l’imagine du côté homme, entouré d’hommes nus. Lui qui est 100% hétéro, le pauvre… Et je m’efforce de réprimer le fou rire que je sens arriver, histoire de ne pas me faire remarquer. Après un moment bien relaxant dans ces eaux très chaudes, je retrouve par hasard mon Maître dans l'ascenseur. Lui aussi vient juste de quitter l’Onsen. Quelle synchronisation ! Nous sommes vraiment faits pour être ensemble. - "Vous avez pu mater de belles bites, Maître ?" Je n'ai pas pu m'empêcher de le charrier... Et je suis prise d'un fou rire. - "Pfff... Tu es bête", me répond-il, ne pouvant néanmoins réprimer un sourire.   Episode 2 : Le sens de l’accueil A peine la porte de notre chambre ouverte, la télévision s'allume automatiquement, avec un niveau sonore particulièrement agressif, et bascule sur une chaîne française. L’ouverture de la porte déclenche la mise sous tension et le choix de la chaîne est préréglé en fonctions de nationalité des clients. Cela part certainement d’une bonne intention – faire en sorte que le client se sente comme chez lui – mais qu’est-ce que c’est agaçant ! La nudité intégrale en présence de mon Maître est la règle, hormis dans les espaces publics bien sûr. Pendant que je me déshabille, mon Maître se bat avec la télécommande dont toutes les touches sont gravées en japonais. Un médecin de plateau vante les mérites de la zébralisation (*). La journaliste en rajoute une couche, en fustigeant les ignorants, fascistes, anti-science, qui sont encore réticents à se rendre dans leur centre de zébralysation. - "Putain! Mais comment est-ce qu’on arrête ce bazar!" Il est très rare que mon Maître, si philosophe habituellement, montre des signes d'agacement. - "S'il vous plaît, Maître, laissez-moi faire" C'est toujours utile d'avoir une soumise sous la main, prête à rendre service ! Voilà mon téléphone qui sonne maintenant. C'est mon médecin traitant. - "Je vois que vous n'êtes pas encore zébralysée. J'ai pu vous obtenir un rendez-vous dans le centre de zébralysation pour mardi à 10h". Technique commerciale bien connue: mettre l'interlocuteur devant le fait accompli et dans une situation dans laquelle il se sentira mal à l'aise, voire honteux, de refuser. "Mais c'est du harcèlement!" me dis-je. Par chance, j'ai une bonne excuse cette fois: je suis à plus de 10 000 km du centre de zébralysation. - "D'accord" répond-il, sur le ton agacé du vendeur qui a raté son affaire. "Mais il ne faudra pas tarder à vous mettre en règle - d'ailleurs ce sera bientôt obligatoire sous peine d'amende". J'entends mon Maître ironiser à voix basse pendant que j'assure que j’y pense et que je ferai le nécessaire – histoire de mettre un terme à la conversation. - "Menteuse..." - "Une bonne fessée et la bite dans la cul, voilà ce que tu mérites" Sacrée fessée en effet ! Visiblement, les eaux minérales de l'Onsen l'ont bien revigoré. J'imagine la tête de mon médecin s'il apprenait que je suis déjà doublement zébralysée, qui plus est avec les derniers spécimens naturels. Malheureusement, l'espèce s'éteindra en moi. Je ne crois plus guère que la reproduction, dans laquelle nous avions mis tant d’espoirs, réussira, et je me sens responsable de cet échec. Episode 3: Chienne esseulée devant l’Hôtel Riz-Carbone Je ne fais pas la fière, assise seule sur ce banc, un peu en retrait de l'entrée du prestigieux Hôtel Riz-Carbone. - "Je dois rencontrer un membre du personnel", m'a dit mon Maître pendant qu'il attachait ma laisse à l'accoudoir et me déboutonnait le chemisier jusqu'au nombril, prenant bien soin de l'ouvrir un peu au delà des limites de la décence, laissant apparaître une bonne moitié de chaque téton. Moi qui ai souvent regretté d'avoir les tétons trop clairs et qui aimerait les avoir bien sombres, je me rends compte que cela a aussi un avantage. C'est plus discret... C'est dans cet hôtel de luxe, sur les hauteurs de Nikkō, qu'un échantillon des princes qui nous gouvernent se sont rencontrés en marge du sommet du G7, en juin 2023. "G7 ministerial meeting on gender equality and women's empowerment" : l'égalité des genres et le féminisme idéologique sont des thèmes porteurs et fort utiles pour masquer des objectifs bien moins avouables. Surplombant le lac Chūzenji, l'hôtel bénéficie d'un cadre idyllique. Les rives du lac étaient très populaires au siècle dernier comme en témoignent de nombreux bâtiments bien préservés, parmi lesquels l'ancienne ambassade de France et de somptueuses résidences secondaires de diplomates. Yeux baissés par timidité, mais cuisses écartées par obligation, je tente néanmoins de me faire la plus discrète possible. C'était sans compter ce gros touriste américain, qui, à peine sorti de l'hôtel, ne manque pas de me remarquer. "Hi guys! Are you on a leash?" me dit-il bruyamment. Je marmonne une réponse incompréhensible, tout en rougissant. Franchement, est-ce que j'ai une tête (des têtes?) de "guys" ? Il se plante devant moi et me raconte une histoire à la con qui se veut drôle. Pitié… Mais faites-le taire ! Un puissant instinct me pousse à resserrer les cuisses et à me reboutonner, mais je mets un point d'honneur à respecter les ordres du Maître, y compris, et peut-être encore plus, quand il n'est pas là pour me contrôler. Alors, je mets toute ma force de volonté pour résister à cette réaction instinctive. Ouf ! Le vulgaire personnage n'insiste pas et s'éloigne, sans doute refroidi par mon peu d'enthousiasme à lui répondre et à rire de son histoire sans queue ni tête.   Mes cuisses doivent être maintenues ouvertes en toutes circonstances et le fait que les sous-vêtements me soient interdits n'y change rien. C'est la règle. C'est Sa Loi. Le temps semble toujours s'écouler à une vitesse d'escargot dans certaines circonstances et comme par hasard surtout quand on voudrait qu’il accélère. Mais que fait mon Maître ? J'ai l'impression qu'il y passe des heures dans cet hôtel. Eh ben ! Il en a mis du temps ! - "Mets-toi ça dans la chatte, c'est plus prudent. Sonia sera comblée par ce qu'il y a là dedans", me dit-il en me tendant une boule mémoire - version moderne des anciennes clés USB. C'est vrai que l'on n'est jamais à l’abri d'une mauvaise rencontre avec une patrouille de défenseurs de la démocratie. Les miliciens peuvent être très zélés et sont habilités à contrôler nos effets personnels, mais il est peu probable qu'ils aillent jusqu'à une fouille intime - du moins tant que l'on n'attire pas trop l'attention. - "Ca te dit de dormir ici la nuit prochaine ?" 700 à 6000 dollars la chambre, voilà qui n'est guère raisonnable... Eh oui ! On paye à présent en dollars au sein de la Suprême Alliance Démocratique. Les monnaies locales ont disparu. C’est le résultat d’un arrangement entre la Chine et les USA : pour l’une, en tant que berceau de la démocratie moderne, le privilège d’accueillir le siège du pouvoir fédéral, pour l’autre le contrôle de la monnaie. J'ai parfois du mal à savoir si mon Maître est sérieux ou me fait marcher. - "Malheureusement, nous n'avons pas la chance d'être logés aux frais du contribuable..." rajoute-t-il. Dommage... C'est tenue en laisse, jupe retroussée, qu’il me conduit sur le petit sentier, heureusement peu fréquenté, qui relie le luxueux hôtel aux chutes Kegon. Avec ses 97 mètres de haut, la grande cascade Kegon est l'une des plus hautes du Japon. Un petit plateau d'observation, équipé de bancs publics, permet d'avoir une belle vue sur les chutes. C'est sur l'un de ces bancs, assise aux côtés de mon Maître, toujours tenue en laisse, que j'observe la cascade, comme hypnotisée par le spectacle. Une petite tape sur le sein gauche, puis sur le bas de ma jupe, me sort de ma contemplation. Oui, bien sûr, le banc est au bord de la plateforme, personne ne peut passer devant nous, alors... J'ai encore du mal à bien analyser chaque situation et à prendre de moi-même les bonnes initiatives. Je m'empresse d'ouvrir plus largement mon chemisier déboutonné, pour dégager entièrement mes mamelles et de remonter ma jupe pour exposer ma fente. Me voilà exhibée pour le plaisir de la déesse de la montagne... et pour celui de mon Maître ! Pas un mot n'est prononcé. Quoi de mieux que le silence pour apprécier les bruits de la nature, apprécier le bonheur de me trouver là, au bout de la laisse tenue par l'homme que j'aime. Est-ce qu'il a en ce moment des pensées similaires aux miennes? Est-il satisfait de sa chienne? Je l'espère. Mais il serait déplacé de lui demander. On dirait que la cascade s’est mise en conformité avec les règles de politesse à la japonaise : pas de vacarme assourdissant mais un bruit agréable, presque relaxant. Comme si elle voulait rester discrète et respectueuse des visiteurs. Malheureusement toutes les bonnes choses ont une fin et il est déjà temps de reprendre le bus pour Nikkō. Je garde mon collier d’esclave, mais, soulagement, la laisse m’est retirée. Je ne vais quand même pas prendre le bus tenue en laisse ! Episode 4: Retrouvailles inattendues sur le pont Shinkyo   Le bus descend à toute vitesse vers Nikkō, enchaînant les virages à 180 degrés. Je tente de filmer la spectaculaire descente sur cette vertigineuse route en lacets, mais j'ai très vite le tournis. Mon Maître prend le relais. Pour me rassurer, il me dit que le chauffeur a certainement fait ce trajet des centaines de fois. Certes ! - Mais... - "Quand nous serons de retour à Tokyo, je te placerai pendant une journée dans un établissement spécialisé, pour y sucer des bites et donner du plaisir. Cela te fera du bien." Est-ce qu'il me fait marcher? Je pose néanmoins des questions. - "Ils ont un mur de bites, style glory hole. Tu y seras à l'œuvre toute la journée et si un client n'est pas satisfait, tu seras fouettée." Je pense à 99% qu'il me fait marcher, mais il me reste 1% de doutes... - "On va descendre au pont Shinkyo. Nous pourrons poursuivre jusqu'à l'hôtel à pied". Le pont sacré Shinkyo marque l’entrée du sanctuaire shintoïste de Nikkō. Durant l’époque Edo (1603-1868), seuls le shogun et les messagers de la cour impériale étaient autorisés à l’emprunter. Le pont en lui-même est modeste, mais la vue, avec la brume et la montagne en arrière-plan est tout simplement magnifique. Je suis affairée à prendre des photos de mon Maître sur le pont pour immortaliser notre passage en ce lieu historique, quand une voix dans mon dos me fait sursauter. - "Streptomyces Avermitilis Inari !" Je reconnais la voix du Professeur et le ton euphorique du scientifique qui vient de faire une immense découverte. Je me retourne instantanément et m’incline respectueusement. - "Bonjour Monsieur le Professeur. Euh, pardon, bonjour Satoshi. Que faites-vous là?" J'ai décidément du mal à l'appeler par son prénom, comme il me l'a demandé. - "Je les ai baptisés Streptomyces Avermitilis Inari, en hommage à la déesse de la montagne. Il y en avait des quantités dans les prélèvements. C'est incroyable !"   à suivre   Contexte (*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).  
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Par : le 13/11/23
Voilà c'est mon histoire, quand la réalité dépasse les fantasmes. Mon histoire ; Je suis née avec le spina bifida, et je me déplace soit en fauteuil roulant soit avec des attelles. De tous temps, j’avais l’impression de ne pas être vraiment ce que je suis, homme, mais pas au point de me sentir femme et j’ai toujours eu un sentiment de soumission. Je vivais seul malgré mon handicap, j’ai erré pour chercher un maître et finalement je suis tombé sur un couple. Homme femme dominants Le feeling est passé tout de suite et peu à peu je m’installais chez eux dans leur grande maison, jusqu’à finalement déménager. Nos jeux devenaient de plus en plus hard. Ils m’avaient fait des allusions à la castration, que ce serait mieux pour moi. J’étais de plus en plus féminisée, mais pas prêt à être castré. Lors d’une séance, j’étais attaché, portant mon masque de cuir et les trous pour la vue fermés. Ils m’avaient fait prendre un tranquillisant, mais j’ai senti des piqures dans mes boules, ensuite ça m’a brûlé. J’ai cru à un nouveau jeu.Ils ont recommencé quelques jours plus tard. Sur le moment ils ne m’ont rien dit, mais j’avais mal aux boules. Les semaines suivantes, ma libido à baissé, après deux mois j’étais devenu un eunuque avec des boules atrophiées. Ils m’ont avoué m’avoir castré avec du Neutersol, une substance qui s’injecte dans les boules pour castrer les animaux.. La suite une autre fois  
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