La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/08/21
Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Juliette la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre fraîche du salon, par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais en cuir; son corps supplie; toujours nue, de dos sur mes genoux; bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts; ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Juliette n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée. Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse, fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Juliette ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Juliette entendrait, bientôt, encore une fois Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/08/21
Clara ne me disait presque rien de sa vie. Elle ne me posait aucune question sur la mienne. Sans doute par crainte d'apprendre des choses qui auraient pu lui déplaire. Aimer écrire, c'est coucher des mots sur le papier, et non pas partager le lit de Madame de Staël. Mon existence en dehors de la littérature ne méritait pas que je la fisse souffrir avec des passades sans importance. Elle ne pouvait être jalouse de ma méridienne. Je ne vivais que dans l'attente d'un prochain rendez-vous, de baisers volés, d'étreintes usurpées. Où aurait-il lieu ? En réalité je passais plus de temps à imaginer Clara qu'à la voir. Et quand je la retrouvais, c'était à travers la brume de ce songe que j'avais construit autour d'elle. Elle m'écrivait des lettres brèves, quelques phrases denses comme des aphorismes, datées avec précision. Elle indiquait toujours l'heure et le temps qu'il faisait. J'appris un jour qu'elle avait épousé un éleveur de chevaux. Elle était fière, aussi farouche que les pur-sang que son mari dressait dans sa propriété de l'Orne. Elle préférait ne pas s'interroger sur le moment de folie qui, contre tous ses principes l'avait jetée dans ses bras. Cela lui semblait un phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle avait construit autour d'elle un mur pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût des autres que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour soit comme un idéal impossible soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. La vie devint pour elle, droite, sans écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, faisant de la doctrine du Cadre noir de Saumur sa ligne de conduite. " En avant, calme et droit ", la citation du général L'Hotte l'inspira. Avait-elle lu le beau roman de François Nourissier ? Au milieu de la vie, elle voyait venir l'hiver. Elle acceptait avec courage la solitude qui de plus en plus l'envelopperait dans ses voiles glacés. Clara échappait à cette angoisse en demandant à la nature de lui offrir les plaisirs, les joies, les émotions qui lui manquaient. Cette liberté de l'instinct débridé, l'ardeur des saillies, les montées de la sève et l'allégresse reproductrice du monde végétal la fascinaient. Elle ne vivait plus que pour les chevaux, les arbres et les fleurs. Elle habillait sa sauvagerie nouvelle d'un masque de mondanité provincial. Bientôt elle m'invita chez elle et me présenta à son mari qui m'accueillit avec une diplomatique et rigoureuse politesse. Nous étions dans un monde où tout se joue sur les apparences, où le soupçon, les arrière-pensées étaient bannis. Un monde de civilité absolue où ce qui n'est pas montré pas plus que ce qui n'est pas dit n'avaient droit à l'existence. Il m'emmena faire le tour du parc ainsi que de manière immuable, il procédait avec ses hôtes et me tint les mêmes propos qu'il leur avait tenus à tous pendant leur visite, propos qui certainement devaient être à quelques nuances près, ceux de son père et de ses aïeux. Des chevaux gambadaient dans une prairie, d'autres travaillaient dans une carrière. Tout était dans un ordre parfait. La maison du jardinier rutilait. La serre semblait aussi propre et rangée qu'une salle d'opération. Un hommage digne à Monsieur de Buffon. Seul le cœur semblait ne pas avoir de place. On le considérait comme un intrus. J'allais monter à cheval avec Clara. Nous nous promenions dans les bois. Parfois nous rentrions avec le crépuscule, et cette demi-obscurité jetait sur nous des ombres coupables. Son mari nous attendait impavide sur le perron. Sa distance, son indifférence vis-à-vis d'une liaison qu'il ne voulait pas voir, étaient presque plus lourdes à supporter que s'il nous avait attendues un fusil chargé à la main. Ce silence du non-dit pesait sur nous comme une faute. Je regagnai ma chambre et dans cette atmosphère de crime, Clara se glissait contre moi. Elle repartait à l'aube. Alors, souvent, en m'éveillant dans le lit vide, je me demandais si je n'avais pas rêvé. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/08/21
Une soumise carpette, une bénie-oui-oui. Ta bonniche, une souillon à ton service. Une fille facile, une marie-couche-toi-là. _______________ Je persisterai toujours à te contredire. Si j’estime avoir raison. Pas pour le plaisir de m’opposer à toi. Mais pour faire valoir mon point de vue. Quitte à me ranger au tien, si tu parviens à me convaincre. A coups de cravache, si besoin :smile: Je déteste les tâches domestiques et suis une piètre ménagère. Mais j’aime m'occuper de tes sous vêtements. Les toucher, les caresser, les sentir. A cause de leur odeur. De ton odeur, dont j’aime à m’imprégner. J’ai couché avec nombre de mecs, parce que j’aime le sexe. Des mecs dont j’ai souvent oublié jusqu’aux prénoms, puisque leurs noms je ne les leur demandais pas. Parce qu’il n’étaient rien pour moi. Rien d'autre qu'un moment de plaisir fugace, immédiatement oublié à peine assouvi. Mais à toi, j’ai choisi de me donner. Tout le temps, tous les jours, toutes les nuit. Puisqu’il me suffit de te regarder, il suffit que tu me touches, pour me donner envie de toi. _______________ Je ne serais jamais une soumise carpette, une bénie-oui-oui. Ta bonniche, une souillon à ton service. Une fille facile, une marie-couche-toi-là. Mas bien cette femme, fière d’être tienne puisque tu la considères comme ton égale. Alors même qu'il te suffira toujours d’un mot, d’un regard, de mettre ta main entre mes cuisses pour que je passe du tu au vous, et que je m’agenouille devant toi. Redevenant cette femelle, qui te supplie de jouir d'elle, pour ton plaisir et mon plaisir à moi. Parce que si je me suis voulue ton esclave, ta chose, ta propriété, c’est pour que toi seul me possède jamais. _______________ Alors, merci à toi de me permettre d’être tout cela à la fois Ta femme. Ta femelle. Ton esclave. Pour toi. Pour moi. Pour nous. _______________ Je ne serais jamais une soumise carpette, une bénie-oui-oui. Ta bonniche, une souillon à ton service. Une fille facile, une marie-couche-toi-là. Puisque je ne le pourrais pas. Pas uniquement parce que je suis trop fière pour cela. Mais surtout parce toi tu ne le voudrais pas :smile:
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Par : le 07/08/21
Chapitre 2 : Présenté J’entends des voix, sans doute d’autres clients qui viennent au comptoir non loin de moi pour s’enregistrer et prendre leur clef. Ils s’étonnent de ce type nu qui est attaché au comptoir. Le réceptionniste leur dit que ce weekend, ils ont droit à un extra : un soumis à la disposition des clients pour tous les usages qu’il leur plaira. Ce chien qui est là devra se plier à toutes leurs demandes même les plus osées. Son corps tout entier est à leur disposition. Sur demande, sa propriétaire leur prêtera même la clef du cadenas qui tient la cage fermée entravant un sexe qu’on lui a dit être gros. « Intéressant » , dit madame , tandis que d’une main elle tire sur la cage et que d l’autre elle pince violemment mon têton . « Il est grassouillet mais cela lui permet d’avoir une solide poitrine » « Qu’en penses tu , mon chéri ? » elle me tient fermement par les couilles en agitante de plus en plus mon sexe enfermé dans sa cage de métal. « humm il faudra voir, peut être un petit massage pour s’échauffer ou une fellation » et il mets ses doigts dans ma bouche pour l’examiner. « On peut aussi l’enculer ? « « Mais bien sur Monsieur, quand et comme vous voulez, mais avec un préservatif bien sur »r « Bon, nous verrons cela plus tard, allons y maintenant » rajoute madame en tapotant ma cage Et je me retrouve seul, toujours enchainé au comptoir, entendant le bruit d’un employé qui semble taper sur un clavier. Puis de nouveaux arrivants dont l’homme apostrophe le réceptionniste - c’est quoi, ce gros chien tout nu , » - Un soumis à votre disposition et à celle de Madame , Monsieur » - Un tas de graisse vous voulez dire et il me palpe méchamment les seins après m’avoir frappé sur le ventre - un truc à me faire gerber, cela me donne envie de lui pisser dessus à ce tas de Merde - Cela doit pouvoir se faire , Monsieur » lui répond froidement le réceptionniste - tu es sur de vouloir faire cela mon chéri , lui dit sa femme » -Mais Oui , après la route , j’ai très envie de pisser , vous pouvez me l’emmener dehors pour ne pas salir le tapis ? Et je suis aussitôt emmené à la laisse dehors où je dois m’agenouiller pour que cet homme que je ne vois pas me pisse à la gueule : « enlevez lui cette fausse gueule pour qu’il prenne tout sur le visage -Ah , cela soulage !!! le jet violent balaye mon visage et l’urine chaude se répand sur mon ventre -Ça va peut être le faire maigrir et finalement, c’est marrant de pouvoir faire ce que l‘on veut avec un chien de ce type , même trop gros . Je sens que je vais m’amuser. -En attendant allons boire un cocktail dans notre chambre mon Amour et laissons ce souillon à ses délires » Je pue la pisse mais un seau d’eau froide versé sans ménagement diminue l’odeur et me voici ramené à ma position initiale dos au comptoir en rêvant aux cocktails que ce couple doit siroter. Et peut être aussi Dame Anna dont je n’ai aucune nouvelle Cela me fait furieusement envie, mais je suis soumis et je dois rester à ma place, obéir à Dame Anna qui m’a voulu ici offert à tous pour faire honneur à ma Maitresse. Je reste donc stoïque et ravale des rêves de cocktail bien frais. Avec la chaleur ambiante, je sèche rapidement même si le masque et le bandeau restent mouillés. J’entends à nouveau des pas qui se rapprochent et quelqu’un qui s’enregistre. « Et ça, c’est pourquoi faire ? » Je sens un doigt qui s’enfonce dans mon ventre ,, -Mais ce que vous voulez Messieurs . Ce chien est à votre disposition et à celle des autres clients pour le WE. Sa Maitresse vous le confirmera et vous prêtera même les clefs de sa cage si vous le lui demandez » Il a dit « Messieurs » , Un couple d’homos ? « Il suce, il encule et peut être enculé ? , dit l’un deux -Mais bien sur messieurs, tout ce que vous voudrez , comme vous voudrez -Sous la cage, elle est grosse ? Et son fond ? - Vous aurez le temps d’apprécier tout cela vous-mêmes Messieurs. N’oubliez pas de le réserver auprès de sa Maitresse Dame Anna, qui doit être au bar ou à la piscine » je n’ai jamais eu une expérience à 3 hommes, mais pourquoi pas ? Toujours cette référence au bar, alors que je suis exposé ici …à boire ma soumission
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Par : le 07/08/21
Au coin du feu Flammes dansantes Eclats de bois Satin et dentelle Tentation Flammes vives Tapis moelleux Corps lascifs Passion Flammes crépitantes Désir ardent Corps embrasés Extase 28 10 2020
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Par : le 07/08/21
D'où vient l'opinion que la beauté est féminine ? Plus belles, je n'en suis pas sûre mais plus discrètes en tout cas, moins apparentes, c'est une forme de beauté. Je ne songe pas à la décence, un peu fade et fausse, qui se contente de dissimuler, qui s'enfuit devant la pierre et nie l'avoir vue bouger. Il est une autre sorte de décence, irréductible et prompte à châtier qui humilie la chair pour la rendre à sa première intégrité et la renvoie par la force aux jours où le désir ne s'était pas déclaré encore et le rocher n'avait pas chanté. Une décence entre les mains desquelles il est dangereux de tomber. Car il faut pour la satisfaire des mains liées derrière le dos, des corps écartelés et des larmes. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait; mes cheveux étaient mouillés. Elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/08/21
Juliette était fière, aussi farouche que les chevaux qu'elle dressait avec passion dans sa propriété de l'Orne, près d'Argentan. Elle préférait ne pas s'interroger sur le moment de folie qui, contre tous ses principes, l'avait jetée dans mes bras. Cela lui semblait un phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle ne pensait pas qu'une telle catastrophe pût jamais lui arriver. Elle avait construit un mur autour d'elle pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût de l'aventure que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour saphique soit comme un idéal impossible, soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. Son intransigeance ne lui faisait jamais envisager les moyens termes ou les compromis. La vie devait être ainsi: droite, sans écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, la rigueur était sa religion. Mais l'amour meurt d'exister. La nature offre d'autres exemples de cette simultanéité de la naissance et de la mort. Les femmes lointaines échappent à ce destin. Leur immatérialité même les préserve des atteintes du temps. Quand je retrouvais Juliette, que j'aille à Rome ou qu'elle vînt me rejoindre à Paris, à Sauzon ou dans tout autre lieu, nous conservions intact cet élan que nous avions connu dans la chambre mauresque. Son caractère pudique, réservé, ajoutait une distance supplémentaire. La combustion de l'amour était sans cesse ravivée par l'attente, le doute, l'incertitude. Comment face à tant d'adversité et de menaces, n'aurions-nous pas connu l'angoisse. Chaque retrouvaille représentait une conquête. Nous gardions de notre rencontre, fruit de tant de hasards, une pure confiance dans la prédestination qui y avait présidé, mais en même temps ce destin qui avait instruit les conditions de ce rendez-vous mystérieux place Saint-Sulpice pouvait avoir décidé de façon brutale, l'instant de notre rupture. Nous sentions que notre volonté n'y pourrait rien. C'était ce lien avec l'angoisse qui donnait tant d'intensité et de force à nos étreintes. Elles avaient un goût de première et de dernière fois. Nous savions que l'instant serait bref. Cette perspective de la séparation jetait sur nous son ombre mais aussi elle exacerbait notre désir inépuisable de profiter du présent. Une exaltation inconnue aux couples établis qui n'ont pas d'obstacles à affronter. Juliette ne me disait presque rien de sa vie. Elle ne me posait aucune question sur la mienne. Sans doute par crainte d'apprendre des choses qui auraient pu lui déplaire. Aimer écrire, c'est coucher des mots sur le papier, et non pas partager le lit de Madame de Staël. Mon existence en dehors de la littérature ne méritait pas que je la fisse souffrir avec des passades sans importance. Elle ne pouvait être jalouse de ma méridienne. Je ne vivais que dans l'attente d'un prochain rendez-vous, de baisers volés, d'étreintes usurpées. Où aurait-il lieu ? En réalité je passais plus de temps à imaginer Juliette qu'à la voir. Et quand je la retrouvais, c'était à travers la brume de ce songe que j'avais construit autour d'elle. Elle m'écrivait des lettres brèves, quelques phrases denses comme des aphorismes, datées avec précision. Elle indiquait toujours l'heure et le temps qu'il faisait. J'appris un jour qu'elle avait épousé un éleveur de chevaux. Elle était fière, aussi farouche que les pur-sang que son mari dressait dans sa propriété de l'Orne. Elle préférait ne pas s'interroger sur le moment de folie qui, contre tous ses principes l'avait jetée dans ses bras. Cela lui semblait un phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle avait construit autour d'elle un mur pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût des autres que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour soit comme un idéal impossible soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. La vie devint pour elle, droite, sans écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, faisant de la doctrine du cadre noir de Saumur sa ligne de conduite. " En avant, calme et droit ", la citation du général L'Hotte l'inspira. Avait-elle lu le beau roman de François Nourissier ? Au milieu de la vie, elle voyait venir l'hiver. Elle acceptait avec courage la solitude qui de plus en plus l'envelopperait dans ses voiles glacés. Juliette échappait à cette angoisse en demandant à la nature de lui offrir les plaisirs, les joies, les émotions qui lui manquaient. Cette liberté de l'instinct débridé, l'ardeur des saillies, les montées de la sève et l'allégresse reproductrice du monde végétal la fascinaient. Elle ne vivait plus que pour les chevaux, les arbres et les fleurs. Elle habillait sa sauvagerie nouvelle d'un masque de mondanité provincial. Bientôt elle m'invita chez elle et me présenta à son mari qui m'accueillit avec une diplomatique et rigoureuse politesse. Nous étions dans un monde où tout se joue sur les apparences, où le soupçon, les arrière-pensées étaient bannis. Un monde de civilité absolue où ce qui n'est pas montré pas plus que ce qui n'est pas dit n'avaient droit à l'existence. Il m'emmena faire le tour du parc ainsi que de manière immuable, il procédait avec ses hôtes et me tint les mêmes propos qu'il leur avait tenus à tous pendant leur visite, propos qui certainement devaient être à quelques nuances près, ceux de son père et de ses aïeux. Des chevaux gambadaient dans une prairie, d'autres travaillaient dans une carrière. Tout était dans un ordre parfait. La maison du jardinier rutilait. La serre semblait aussi propre et rangée qu'une salle d'opération. Un hommage digne à Monsieur de Buffon. Seul le cœur semblait ne pas avoir de place. On le considérait comme un intrus. J'allais monter à cheval avec Juliette. Nous nous promenions dans les bois. Parfois nous rentrions avec le crépuscule, et cette demi-obscurité jetait sur nous des ombres coupables. Son mari nous attendait impavide sur le perron. Sa distance, son indifférence vis-à-vis d'une liaison qu'il ne voulait pas voir, étaient presque plus lourdes à supporter que s'il nous avait attendues un fusil chargé à la main. Ce silence du non-dit pesait sur nous comme une faute. Je regagnai ma chambre et dans cette atmosphère de crime, Juliette se glissait contre moi. Elle repartait à l'aube. Alors, souvent, en m'éveillant dans le lit vide, je me demandais si je n'avais pas rêvé. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/08/21
J'ai repris mon cahier J'aime, il m'est fidèle Il garde et amoncelle Mes mots sur son papier J'en aime la caresse Offerte à chaque ligne Lorsque je l'égratigne Il m'offre ses promesses De lendemains heureux D'oublis, d'amour d'antan Lorsque la vie d'avant Nous comblait tous les deux Parfois, j'ouvre les pages De poèmes anciens Dont tu es le gardien Blessures, apprentissage Je baise chaque lettre Que forme ton prénom Eteignant pour de bon L'écho de nos peut-être Je ferme le cahier Ses feuillets noircis Et je conserve ainsi Le secret de t'aimer Le 23 06 2020 Les écrits ne sont pas toujours vains. Ils donnent un sens à ce que l'on ressent. Conservent nos diverses émotions. L'encre inscrit des mots, des sentiments, de la tendresse, de la sensibilité, des colères parfois, tant de choses dont les cahiers sont les gardiens. Ils fixent l'instant d'une humeur, d'un amour, d'une douleur/épreuve, aucun computer ne les remplace. Des écrits dont on se détache pour ne garder que l'essence... Tourner les pages et en ouvrir d'autres.
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Par : le 06/08/21
Je t'imagine dormir Et mon esprit s'égare Aux limites interdites L'envie de te respirer De mon fondre en toi Me tiraille l'âme Sentir des sens S'éveiller à la douceur De mes caresses Découvrir ton corps Avec émerveillement Du bout de mes doigts Lentement, timidement Tout en effleurement Ne pas d'effaroucher Goûter à ta féminité Avec le recueillement D'un acte sacré T'offrir dans un écrin Des sensations divines Extases indicibles Seulement t'aimer Tout en volupté Face à toi, abdiquer Je t'imagine dormir Et mon esprit s'égare En ce doux fantasme. Le 21 05 2020
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Par : le 06/08/21
Elle n'avait nul besoin de travailler, elle avait su faire fructifier son héritage. Elle la dernière des O'Laren, Sandrine O'Laren, connu sous le nom de Ka-Sandra dans un monde dans lequel beaucoup de personnes fantasmaient d'entrer mais dont très peu osaient franchir le pas. Et encore moins la porte de son château. La cinquantaine assumée, elle se faisait régulièrement draguer par des inconnus de tout âge qui ne rêvaient que de la mettre dans leur lit, et par la même, de mettre la main sur sa fortune, il va sans dire. Elle préférait la compagnie des habitants de ses geôles, cellules et autres cages. Lorsque Chloé l'appela, elle était en train de promener son esclave du moment, un transsexuel prénommé Géraldine. Il etait là de son plein gré, sur les recommandations d'une bonne amie a elle a qui elle ne saurait rien refuser. Elle s'arrêta pour prendre l'appel, son IPod d'une main tandis que l'autre tenait la laisse en cuir tressé dont l'extrémité était fixée a la base de la minuscule cage de chasteté qui comprimait la verge de son propriétaire. Elle écouta en silence, fumant par à coups sa longue et fine cigarette, un plaisir qu'elle s'offrait une fois par jour. Elle jeta un regard agacé à sa cigarette, la tenant bien droite pour empêcher la cendre de tomber sur le sol. Géraldine a ouvert sa bouche La cendre se posa sur sa langue, qu'il n'avala pas, n'en ayant pas reçu l'ordre La conversation dura le temps pour sa cigarette de se consumer entièrement. Elle cracha sur la langue de son soumis et posa la cigarette dessus, qui s'éteignit dans un léger chuintement. Puis sans un regard pour l'être au bout de la laisse qui s'est tendu, elle reprit sa marche jusqu'à ses appartements. Elle portait une longue jupe rouge en cuir, fendue sur un coté, un chemisier en satin blanc au décolleté profond. Perchée sur des bottines en cuir noir, sa démarche chaloupée mettait en valeur sa croupe encore plus accentuée par le creux presque exagéré de ses reins. A chacun de ses pas, les bracelets qu'elle portait à ses poignets tintaient et faisaient écho aux clochettes fixées sur les pinces qui mordaient cruellement les tétons de Géraldine qui la suivait dans un sillage de parfum de luxe. Chloé est arrivée 2 heures après son coup de téléphone. Le temps de preparer la terrasse pour la recevoir. Elle était assise sur le dos de Géraldine qui s'était mise a quatre pattes pour recevoir sa maîtresse du moment. Elle portait toujours une cage de chasteté mais Ka-Sandra l'avait changée par une encore plus étroite et lui avait étranglé la base de ses testicules avec de fins bracelets eux même tendus par un poids en fonte reposant sur le sol carrelé. Elle aimait que ses "patients" se souviennent du pourquoi de leur présence dans son antre. Immobile Géraldine soutenait le poids de la dominatrice. Celle ci se tenait droite comme a son habitude, sa bottine droite reposant sur sa cuisse gauche, la droite parallèle au sol. -Qu'attends tu de moi Chloé demande t elle Entre elles deux, il y a une fascination réciproque. Pour qui, pourquoi, aucune ne saurait l'expliquer. Elle laisse Chloé lui expliquer le projet qu'elle mûrit pour sa patronne, l'écoute avec attention, l'interrompant de temps en temps pour se faire préciser un point. Lorsque Chloé eut fini, Ka-Sandra sourit. - Tu veux qu'elle soit prête pour ta soirée c'est bien çà, soirée au cours de laquelle elle doit d'elle même se comporter comme la dernière des traînées ? Elle bougea un peu, etira ses deux jambes, souleva legerement ses fesses avant de se rassoir sur le siège humain e Chloé acquiesce d'un hochement de tête - Tu me l'amenes ta patronne ou je vais la chercher ?
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Par : le 05/08/21
J'ai étouffé mes sentiments Pour ne plus souffrir Sur mes émotions J'ai posé l'oreiller Pour pouvoir dormir Tu es devenu Moja milosc Pour du bonheur et plaisir De nos corps De plus en plus ardents Qui se désirent Ma passion devenue addiction Est une descente aux enfers Transformée en calvaire Un poison délicieux Qui tue à petit feu Mais dans la chambre close Je sais que tu ne viendras pas J'ai les sens en éveil Les jambes gainées de bas Dans une tenue qui te plaira Qui peut être te titillera Je rêve que tu m'embrasses Que nos deux corps s'enlacent Le temps est suspendu De nos futurs ébats brûlants Ou jeux de soumission Ou je suis ta petite chienne Ce n'est qu'un songe Une rencontre manquée La distance, le silence Tant de regrets, de mots dits D'un second flashback, d'un repli Pour les sensibles que nous sommes Le 07 05 2020
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Par : le 05/08/21
LA LACTATION ÉROTIQUE, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les pratiques sexuelles, la lactation érotique est probablement l’une des plus méconnues, mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. Effectivement, cette pratique est tellement restreinte en France que très peu de personnes en ont entendu parler ou savent exactement de quoi cela traite. Il a pour but d’expliquer aux membres de ce blog, ainsi qu’à tout lecteur qu’est-ce que la lactation érotique, mais aussi pourquoi certaines personnes s’y intéressent et quelles sont les pratiques.  I- Qu’est-ce que la lactation érotique ? La lactation érotique est une attirance ou une excitation sexuelle pour la lactation. Elle consiste à procéder à un allaitement d’un partenaire adulte (après accouchement ou par le biais d’une lactation induite ou d’une relactation) ou en exhibant son lait, toujours dans un but érotique ou sensuelle ou, encore, en regardant tout simplement la femme en train allaiter ou exhiber sa lactation. Médicalement parlant, on appelle souvent cela « fétichisme du lait » ou « lactophilie » (termes pouvant susciter la controverse). La lactation érotique serait née au Japon – et est encore beaucoup pratiqué dans ce pays de nos jours. La lactation induite consiste à produire du lait « artificiellement » par stimulation en l’absence de grossesse. La relation consiste à relancer la production de lait par stimulation après interruption sur une période plus ou moins longue. Dès le Moyen Âge, une multitude de créations artistiques (littéraires ou picturales) évoquent le rôle érotique de la lactation, le plus souvent imprégnées de religion, car représentant la charité (on parle alors de « Charité romaine » ou Carità romana). II-Pourquoi cet intérêt de la lactation érotique ? Les humains (surtout les femmes) sont les seuls primates à avoir des seins élargis en permanence après la puberté (chez les autres espèces de primates, c’est uniquement après la grossesse). Une théorie suppose qu’au cours de l’évolution, les seins de la femme ont évolués par répondre à la fois à l’allaitement ainsi qu’au plaisir physique de la meilleure façon possible. De ce fait, les seins, et plus spécifiquement les tétons, sont alors devenus des zones fortement érogènes. Leur stimulation est universellement liée à la sexualité humaine dans la culture occidentale ou nordique (médicalement, il semblerait que cette stimulation réduirait les risques du cancer du sein). Puisque les seins et les mamelons féminins sont si souvent érotisés, il est donc courant que des couples procèdent à une stimulation orale. Stimulation renforcée par la caractéristique érogène des lèvres qui « embrassent » les mamelons tout aussi érogènes. Il n’est donc pas surprenant que des baisers ou succions intensifs puissent aboutir à un allaitement. "Jeux de lactation ? Tout genre d’activité sexuelle qui inclut le lait de la femme. après qu’une femme a donné naissance et expérimente un réflexe lorsqu’elle est sexuellement stimulée (Variétés de lactation érotique). Ce type d’activité sexuel est très répandu parmi les pratiques de la lactation érotique. Beaucoup de femmes l’adoptent quelque temps après la naissance de leur enfant par réflexe émotionnel tout en étant excitées sexuellement. Il arrive qu’à force de stimuler le mamelon (pendant ou après la grossesse), le partenaire masculin déclenche un flux involontaire de lait chez sa partenaire féminin (Galactorrhée). "Lactation induite et relactation ? Si l’ANR est très répandue chez les femmes déjà allaitantes, elle est très souvent employée afin de pratiquer une lactation induite ou une relactation, constituant une alternative au pompage. De nombreuses femmes ou hommes stimulent la lactation en tétant régulièrement leur partenaire féminin (plusieurs fois par jour et à chaque fois pour un allaitement d’une vingtaine de minutes), en massant et en pressant leurs seins, ou parfois avec l’aide de médicaments (comme la dopamine ou le dompéridone), d’herbes ou de tisanes d’allaitement. Occasionnellement, la femme peut faire sa propre induction en suçant seule ses mamelons. Il n'existe aucun âge limite à partir du moment que les seins sont développés, n'importe quelle femme peut induire à tout âge. " Pompage ? Beaucoup de femmes ressentent un plaisir sensuel à pomper le lait de leurs seins avec un tire-lait, ou une pompe mécanique, dans ce cas, elles ont recours à une trayeuse électrique (Photo ci-dessous ) en exprimant manuellement le lait avec ou sans son partenaire. En pompant leur lait, les femmes éprouvent non seulement un plaisir sensuel, mais elles se sentent aussi encore plus femmes, encore plus féminins. Et ce grâce à la stimulation de leurs seins ainsi que la production de leur lait. Par conséquent, certaines femmes continuent d’allaiter, même après avoir sevré leur bébé, pour des raisons émotionnelles ou sensuelles. Il existe quatre variétés de BDSM dans la lactation érotique : 1. L’infantilisme : Dans ce jeu de rôle parfaitement sexuel, le partenaire masculin (ou féminin) assume le rôle du bébé allaité par sa mère (rôle joué par son partenaire féminin). L’allaitement peut jouer un rôle secondaire dans ce type de relation par le fait d’être choyé(e) par la « maman » ou de porter des couches. 2. La récompense (ou plaisir de substitution) : L’allaitement du partenaire soumis peut servir de récompense pour sa soumission, par exemple dans le cadre d’une relation adultérine. Dans ce cas, l’allaitement maternel peut remplacer les rapports sexuels « normaux » refusés par le partenaire trompeur. 3. La traite : Ici, le partenaire dominant (homme ou femme) trait la femme soumise, ou lui ordonne de se traire elle-même ou de lui donner son lait. 4. Le gavage forcé : Dans ce cas de figure, la femme dominatrice force ou commande son partenaire à recevoir son lait. Des claques contre le partenaire suivi d'une prise forcé d'un sein illustre parfaitement ce "jeu". Conclusion. Il est difficile de faire une conclusion sur un sujet aussi tabou que la lactation érotique. Si, comme nous l’avons vu, il y a des éléments négatifs, comme l’assimilation à l’inceste, il existe quand même des côtés positifs (une intimité, de la tendresse, de l’érotisme, un sentiment de féminité, etc.). On pourrait donc voir là le principe du verre à moitié vide et le verre à moitié plein. Selon la culture, l’expérience et les affinités de chacun d’entre vous, certains verront la partie vide de ce verre, d’autres peut-être la moitié pleine. Même si, à l’heure actuelle, elle est toujours restreinte en France en raison de la force du tabou, les débats sur Internet (par exemple, à travers des forums de discussions), semblent permettre d’alléger progressivement les réserves. Pourquoi les Français se sentiraient-ils coupables contrairement aux Britanniques et aux Américains (y compris les Québécois) ? Ainsi, la lactation érotique paraît lentement, mais sûrement ancrer de plus en plus au sein de l’intimité des couples qui y voient, pour une partie d’entre eux, certains bienfaits. Ceci n’est, en réalité, qu’un début de conclusion. Il ne tient plus qu’à vous de la terminer à partir de votre opinion sur la question. "BEAST MASTER"
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Par : le 05/08/21
Il n'y a que le miroir qui me voit toute nue Que le fond de ma baignoire qui épouse mon cul La caresse rapeuse d'un gant de crin Massage aux huiles pour peau de satin Le peigne lisse mes cheveux fins La goutte glisse au creux de mes reins Immobile et sage Contentant leurs orages Le peignoir entrouvert Je me sers un verre Lait d'ivoire pour hydrater Mes lèvres privées de baisers Mon confinement Me lasse de mes fantasmes fous Mon con finement Ne se passe pas de tes mains, bisous Moja milosc Tu me manques tant là et maintenant Le 07 05 2020
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Par : le 05/08/21
A la cour des Geishas les cordes du Shamisen volent les fleurs de lotus. Le timbre de la voix darde le coeur du Obi au sentier des cerisiers. Kimono petit pas chante le chant du cygne Bourdonnent les éventails. Dévoilant la nuque la beauté joue les cordes volent les fleurs blanches gorgées au parfum de thé. ceci est un haïku le 16 01 2020
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Par : le 05/08/21
natacha suite Son heure de prostitution passée, la pute était remplie de foutres, sa chatte grande ouverte et son anus complètement dilaté. Du sperme il y en avait partout sur ses seins son corps et ses fesses. Son visage était méconnaissable les yeux collés par le foutre sec. De son menton s’écoulaient abondamment plusieurs filets épais mélangés de baves et de semences. Tout ce que la pute n’avait pu avaler se rependait sur le sol, mais le pire était ses orifices. Ce spectacle était parfaitement obscène. Sa mouille abondante mélangée au sperme montrait que cette salope jouissait de ce traitement humiliant. Un des actionnaires eu l’idée de faire une photo souvenir : un selfi avec la pute et tous les membres . L’idée avait enthousiasmé l’assemblée . On détacha la salope. On lui ordonna de se mettre à genoux et de présenter son cul. L’esclave obéit aussitôt de peur des représailles de ces malades mentaux . Avec un bâton on lui fit comprendre qu’elle devait poser sa joue sur le sol pour que ses fesses soient bien en l’air. Un nouveau petit coup sur les cuisses et elle écarta davantage ses genoux. Pas assez visiblement car elle reçut un coup plus fort sur son postérieur. Elle ouvrit alors largement. Sa chatte encore béante et son anus dilaté étaient parfaitement exhibés on ne voyait plus que ca. Mais l’humiliation ne s’arrêta pas là. On lui ordonna d’écarter ses fesses face à l’objectif. Chacun put prendre les clichés qu’il voulait de la pute ouverte, certains en gros plans d’autres avec des amis. Mais il fallait faire vite car bientôt les orifices de la truie allaient naturellement se refermer. Tout le groupe se rassembla derrière leur esclave toujours le cul en l’air et on fit un nouveau selfi. Le plus surprenant était de voir la pute qui jouissait toujours avec de la cyprine qui coulait fortement de sa chatte immonde puante et encore dilatée. Comment une truie pareille pouvait encore jouir de cette façon. Elle a été humiliée, traitée plus bas que terre, en public elle s’est fait fister le sexe et le cul, ont l'a fouetté, engodée. On lui a mis des inscriptions humiliantes des pinces à seins, les babines de son sexe ont été allongées par des poids. Elle s’est faites enculer, a subi des gorges profondes, on l’a prostitué. Elle a été filmée, photographiée pour le net dans cette longue déchéance, sous tous les angles en gros plan et cette salope a eu plusieurs orgasmes ! Quelle honte ! Mais cela fera de cette esclave une bonne pute parfaite pour les gang-bangs. On pourra continuer à travailler son esprit et son corps. C’est une parfaite candidate quand on pense qu’il y a quelques jours encore c’était une parfaite bourgeoise bon chic bon genre et que maintenant c’est devenue une parfaite pute à bordel, une vraie truie, une chienne en chaleur pour le plus grand plaisir de ses acheteurs. Mais sa formation ne va évidemment ne pas s’arrêter là. Pour commencer, demain, on va la transformer en parfaite lesbienne. Une bonne bouffeuse de chatte... et le pire c’est qu’elle aimera cela ! pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Par : le 05/08/21
Un Week-end très spécial Chapitre 1 l’arrivée Ma Maitresse m’a envoyé chez une amie qui va « prendre soin de moi ». J’arrive donc chez Dame Anna qui me fait me déshabiller, mettre une cage de chasteté et 2 bracelets Elle me met ensuite mon collier que je lui présente à genoux et m’enfile un gode queue dans le cul. Vêtu d’un simple imperméable, nous descendons au parking où je monte dans sa voiture. Après un temps certain, Elle s’arrête sur un parking apparemment peu fréquenté, me demande de mettre un masque de chien, de sortir nu de la voiture et de me diriger pieds nus vers son coffre où je me retrouve prestement enfermé pour les derniers kilomètres qui nous séparent du but . Effectivement après quelques minutes , je sens que la voiture s’est engagé sur un chemin de terre et pui s s’arrête . Sans doute le parking et la libération de ce coffre où je commence à faire de la claustrophobie. Mais j’entends sa portière se refermer et ses pas s’éloigner. Le silence. Me voici seul, livré à moi-même et j’ai du mal à réprimer mon angoisse. Le noir et le manque d’air m’oppressent. De longues minutes s’écoulent. J’entends une voiture qui s’arrête à coté de nous, des voix, apparemment un couple , mais je me retiens de me manifester . A nouveau le silence. Puis le coffre s’ouvre : « sors de là , chien » Devant moi un homme qui est visiblement un employé de la maison ayant reçu des instructions très nettes quant au « bagage » à prendre dans le coffre . Dès que je suis debout, il m’attache les 2 mains dans le dos et fixe une laisse sur mon collier. Je dois le suivre, pieds nus sur un sol caillouteux avant de rejoindre une allée bétonnée et de rentrer dans un genre d’hotel. Là il m’attache par les mais dans le dos à un comptoir de sorte que je me présente face à l’entrée, dos au comptoir. Après m’avoir ordonné de ne pas bouger, il me met un bandeau sur les yeux. Je me laisse faire bien sur comme Dame Anna me l’a ordonné mais je me dis que nous ne devons pas être dans un endroit ordinaire. Un hotel ou ne maison d’hôte BDSM , peut être simplement libertine , ou peut-être les deux ?
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Par : le 04/08/21
Je suis à toi. Mon corps est à toi. Mes trous sont à toi. J'aime le savoir et que tu le saches aussi. Mais la vie a ses contraintes, il y a le boulot, le tien, le mien, le quotidien qui font que je ne puis être à toi toujours, tout le temps. Nue, offerte, disponible pour toi. Alors, souvent, quand nous sortons ensemble, pour dîner, aller au théâtre, au ciné, voire déjeuner chez mes parents, j'aime à "m'équiper" de ces instruments qui me le rappellent. Ou les porter parfois quand tu n'es pas là, quand je bosse, lors de rendez-vous avec des clients. Parce qu'ils n'ont pas seulement leur utilité lorsque c'est toi qui me le impose, quand c'est toi qui t'en sert. Que ce n'est pas uniquement par plaisir que je les porte, même si ça ne me déplait pas :smile:. Mais aussi pour me rappeler que même dans mes actes de la vie courante, "normale", je demeure "à toi". _______________ Les autres n'ont pas à le savoir, ça ne regarde que nous. Mais toi tu le sais, et j'aime que tu le saches, parce que ça t'excite de le savoir. Et répondre à ton désir de me posséder répond en retour à mon envie de l'être par toi. Et seulement par toi :smile:. Alors, oui, ces instruments de contrainte, ces instruments symboles, j'aime aussi les porter dans la vie courante. Pour me rappeler que je suis à toi. Toujours.
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Par : le 04/08/21
La pièce est terriblement sombre. Seul une veilleuse au plafond diffuse une lumière blafarde. Je m’approche à 4 pattes de la gamelle d’Allan. La bouillie n’est pas très appétissante mais c’est mangeable et puis mon estomac vide crie famine. J’ai soif et je lape l’offrande de Maîtresse Célia avec réticence au début, puis le goût assez délicat aidant, je reviens boire avec plus d’entrain. Mieux vaut s’habituer rapidement si je ne veux pas me déshydrater avant la fin des jeux. Rassasié, je vais m’occuper de ma couche mais surprise, j’arrive bien à saisir la couverture laissée par Allan mais la chaîne trop courte m’interdit de m’allonger sur la couche. Je n’ai que la solution de m’envelopper dans la couverture et de m’allonger à même le sol. La nuit risque d’être longue ! Rapidement je suis éveillé par le froid du sol. Je ne peux que me lever et marcher pour me réchauffer. Le cliquetis de la chaîne rythme mon exercice. Après un petit quart d’heure, je tente un nouveau sommeil. C’est seulement une forte envie d’uriner qui vient interrompre mes rêves. Je ne peux uriner que dans cette gamelle comme l’a exigé Maîtresse Célia. Ma pisse vient se mélanger au reste de son urine. La gamelle est maintenant bien pleine. Plus grande envie de dormir. Le temps s’égrène lentement jusqu’à cinq heures. Je m’assoupis, le bruit de la porte me sort de ma torpeur. C’est toujours Allan qui me drive. Je lui montre qu’il m’est impossible de m’allonger sur la couche mais cela ne l’émeut pas plus que ça. Allan remplace vite la chaîne par une laisse à gros maillons argentés. Il me tend des bracelets de cuir que je m’empresse de mettre à mes poignets et mes chevilles. Les bracelets sont reliés par des chaînettes courtes qui me contraignent dans mes déplacements. Nous n’avons pas encore quitté la cellule. Allan en profite pour me faire un descriptif des lieux. C’est une ancienne champignonnière aux multiples tunnels. Ils en ont équipés quelques uns en logement avec donjon, cuisine, salon parfaitement équipés pour tous les petites misères de la pratique SM. Habituellement, ils les louent à des clients fortunés. C’est pour cela que je n’aurais que peu de contact avec les autres soumis. Je me retrouve sous la table de la cuisine et ma gamelle est déjà là. Aucun doute, c’est toujours l’urine de ma nuit agrémentée d’un pain qui a du être sec avant de tremper ici. - «Dépêche de finir ton petit déjeuner, il faut encore faire ta toilette et te préparer pour ta première Maîtresse. Si tu veux avoir une chance avec elle, il te faut être présentable» Allan me tire avec la laisse en me laissant à genoux et toujours entravé pieds et mains, alors c’est compliqué. Je me retrouve dans une sorte de grande douche à l’Italienne. Allan a saisi une lance et dirige un fort jet d’eau froide contre moi. Je suis saisi, grelottant et écraser dans l’angle de la douche tant le jet est puissant. Allan me relève brutalement. Je suis bleu et je tremble mais les serviettes sont en option ici et je sécherais sur place. Il me retourne et m’accroupis de force, le cul bien relevé. Il m’enfile un tuyau dans l’anus pour un lavement profond. Allan reprends le gros jet pour me nettoyer et évacuer mon lavement dans un petit caniveau. C’est toujours aussi froid. Allan me fait allonger sur une table métallique aussi froide que l’eau. Sur le dos il m’examine et malgré mon épilation, il me rasera encore un peu plus et m’installe une cage de chasteté avec des piquants qui ne m’annonce rien de bon en cas d’érection. Il me retourne sur la table, continue d’enlever tous les poils visibles. Après cela, il m’enfile un plug de bonne taille dans mon cul. La douleur est là car il ne s’embarrasse pas de lubrifier mon petit trou. Il se fait tard et Allan s’empresse de me tirer dans le salon où trône sur un mur une grande croix de Saint André. Il m’attache poignet s et chevilles, me passe un bâillon boule qu’il serre tellement qu’il m’est même difficile d’exprimer le moindre grognement. Allan s’en va en me souhaitant , sourire au lèvres, une bonne journée. - «Ta Maîtresse du jour va arriver» Il s’éclipse rapidement me laissant planté là sans pouvoir bouger. Le temps me semble une éternité. Mais bientôt, une jeune fille vêtue d’un vinyle rouge brillant et de talons qui prolonge de belle jambes très fines. Au premier regard elle m’apparaît fragile mais j’apprendrais vite que c’est moi qui casserais le premier. - «Humm, tu es le premier candidat alors je crois que je vais bien me défouler» me lance-t-elle» Je lui fais face sur la croix et je la vois prendre un fouet noir très fin. Elle me tourne autour en me passant le fouet sur mon corps pour une caresse d’échauffement. En s’éloignant un peu elle commence par quelques coups qui me cinglent le ventre, le pubis, les cuisses mais je la sens encore se retenir un peu. A chaque coup, un cri étouffé tente de traverser le bâillon boule. Abandonnant son fouet, elle prend une roulette et me laboure le ventre, passe sur ma cage en piquant mon sexe, mes testicules et l’intérieur de mes cuisses. Je me tortille pour lui échapper mais la croix me retiens fermement. Excédée par mes mouvements désordonnés, je reçois un grand coup de pied dans mes couilles. Je ne serais pas attaché, je me roulerais de douleur à ces pieds. Satisfaite de son effet, elle me détache, me fait me retourner et me rattache sur la croix face au mur. Je sens de nouveau la roulette me labourer le dos puis ces griffes m’arrachent des cris de douleurs qui restent prisonniers de mon bâillon. Maîtresse m’ayant arraché suffisamment de peau, elle reprend son fouet. Je reçois une vingtaine de coups partant du côté droit puis autant du côté gauche. Mon dos doit être bien zébré maintenant. Finalement, malgré sa jeunesse, cette jeune Maîtresse est déjà bien expérimentée et très sadique. Elle me détache de la croix et je glisse au sol comme une vulgaire serpillière. Le fouet m’a lessivé mais il a donné beaucoup d’entrain à Maîtresse et en plus, il lui a ouvert l’appétit. Elle m’indique où trouver une assiette de tapas et un tonic que je m’empresse de lui apporter. Je me retrouve à 4 pattes devant elle et c’est moi qui lui servirai de table. Je me tiens le plus droit possible et Maîtresse vient piquer fort ces tapas avec une fourchette qui me rentre dans la chair. Je sens bien son plaisir m’irriguer quand elle revient piquer un tapas et une bonne partie de mon dos. Je viens seulement de bouger un petit peu et je reçois une grosse gifle qui claque sur ma joue, et un crachat au visage pour rabattre ma fierté. Je resterais parfaitement immobile jusqu’à la fin de son repas malgré la tasse de café brûlante qu’elle se sert sur mes reins. Maîtresse allume une cigarette en consultant sa messagerie de téléphone. - «ouvre la bouche, relève la tête» Je suis maintenant son cendrier moi qui ne fume jamais. Le repas de Maîtresse s’achève. Elle étend ses fines jambe sur moi et se détend en appelant ces amies. - «J’ai une belle lope à mes pieds» dira-t-elle à l’une d’entre elles. Tu pourras l’utiliser si je retiens sa candidature mais je vais encore m’en occuper quelques jours avant de faire mon choix. Cela me promet donc encore d’intenses moments avec elle. L’après-midi risque d’être douloureux….. A suivre .... Tout est fiction, aucun fantasme, seulement le plaisir d’écrire en me servant de mon vécu et de mes lectures. Je le dédicace à ma Maîtresse qui nourrit mon inspiration de grands et beaux souvenirs
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Par : le 04/08/21
Dans une vie, il y a des rencontres ou une rencontre que l'on oublie pas ou ne peux pas oublier, celle qui marque une vie entière ou une partie de la vie. Celle que l'on garde dans l'écrin de son coeur. Cela peut être une personne qui a cru en nous, qui nous a aidé à grandir, à se construire. Parfois, il y a des jamais, et puis parce que c'est lui, on s'abandonne .. Parce que la confiance et le respect sont là. Parce que la dialogue et la complicité sont là. L'épanouissement est important Il faut vivre les instants présents Quelque fois le puits, ou le tunnel et puis la lumière au bout du chemin bien que parfois l'on croit que tout est noir ou gris, et une personne t'aide, tu fais surface, tu affrontes les épreuves, tu te sens pousser des ailes portés par certains sentiments divers. Tu as cette force de caractère, je le sais, bien que tu caches ta sensibilité Ton coeur n'est pas de pierre. Il y a des paroles qui blessent à petit feu, des paroles que l'on te martèlent comme si tu n'étais pas capable de comprendre, paroles culpabilisantes, paroles sous la colère, sous l'impulsivité, paroles que l'on regrette. Bien que certaines sont la vérité, nul n'est parfait. Des phrases que l'on garde en soi, pour toi une première fois dans l'amour. le vrai comme tu dis, ou pour toute une vie, on le croit parfois, ou aimerait le croire et puis les aléas, la maladie, et autre chose font que parfois, la distance se fait, reste le tendresse et rappel de certaines choses vécues en commun, on se soutient comme l'on peut. Inutile de faire changer la personne c'est peine perdue, et c'est bien ainsi, nous ne sommes pas des robots. Certaines paroles que personne ne te dira. Qui touchent ton âme et au delà, on s'en souvient toujours, elle imprime parfois une vie Le passé est le passé, il faut avancer et ne pas regarder derrière, facile me diras tu ? On ne peut revenir en arrière, il faut continuer et se dire que ce que l'on a vécu était beau, sans rancune et haine. Savoir se dire les mots, pas facile quelque fois, quand la personne n'est pas enclin au dialogue, on aime savoir cela permet de comprendre, on retient les erreurs ou autre. On apprend toujours des ses erreurs ... Les hommes parfois des couards ... Il prennent la fuite en avant, évitant le dialogue. Les pleurs sont salvateurs et quelque fois le trop plein qui déborde par l'émotion, le chagrin, la déception etc .. Il faut savoir couper la branche quand elle fait mal ou pourrie A quoi bon continuer quand l'amour n'est plus, à vouloir garder amitié comme pas mal de jeunes disent ...C'est la fin de l'histoire, il faut tourner la page, refermer le livre ou la porte Quand on a vécu quelque chose de beau, se contenter du médiocre, non On ne retient pas la personne qui veut partir, qui décide de partir, mots inutiles, vides de sens, ou chantage quelque fois .. La vie et ses choix à faire, toujours une question de choix, on écoute son coeur, son intuition Avec des si ... comme tu le dis si bien, on avance pas, garde en toi ces beaux souvenirs, entretient les dans l'écrin de ton coeur si cela te permet d'atténuer ta peine. Cela te grandit, après la pluie, le soleil.. Dans une histoire terminée, on n'en ressort pas indemne reste des traces, des souvenirs, des rires, sourires partagés. Reste positive, tu es mure pour ton age, c'est l'apanage des jeunes filles par rapport aux jeunes hommes. Il ne faut jamais se forcer, agir avec son coeur, et ne rien demander, je sais que tu es ainsi. Dis toi que la personne qui t'aime ou t'estime si elle est sincère, elle t'apprécie comme tu es, en ton entier et pas une partie de toi. J'apprécie ta positive attitude et j'aime à dire, il faut savoir se relever. 21 07 2011
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Par : le 04/08/21
Le temps s'écoule tranquillement, rigoureusement Je pense à Lui Les jours passent mais rien ne change, malheureusement Je n'attends que Lui Mon coeur ne s'égare pas dans les tentations Je ne veux que Lui Mon corps réclame le sien, douloureusement Me perdre en Lui La punition s'impose, le silence depuis des mois Il m'aime et je l'exaspère, il ne sait que faire de moi Ce que je peux lui dire, il s'en moque... Rien n'y fait, il n'a plus confiance en moi Besoin de lui dire ou m'abstenir de ne rien dire En fait, me taire et garder mon sourire 05 08 2020
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