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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
ça commence par un doigt, deux doigts puis un objet.
On jouit puis on a honte mais peu de temps après on a envie de recommencé et on recommence.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
On utilise un gode ou Plug
On jouit puis on a honte mais peu de temps après on a envie de recommencer et on recommence.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
On achète des sous vêtement féminin.
On jouit puis on a honte mais peu de temps après on a envie de recommencer et on recommence.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
On commence à ce rasé des parties du corps
On jouit puis on la honte part petit a petit, on a envie de recommencer alors on recommence.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
On achète plus d’accessoires (perruque, robe, jupe, top, faux sein et maquillage…)
On jouit puis on la honte a disparue, on reste habiller comme cela puis on a envie de recommencer alors on recommence.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
On met plus de féminité dans notre quotidien on met des strings (tanga ou culotte) sous nos vêtement masculin.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
On saute le pas, on appel et on prend un rdv dans un institue pour ce faire épilé le corps.
On s’habille de plus en plus en femme en journée sans forcement qu’il y ait du sex à la clé.
Et le temps passe dans ce schéma… Puis peu à peu on a besoin de plus alors …
Cette transexualisation chez moi est un peu comme une drogue…
Jusque où cette évolution va emmenée ?
J’ai essayé de l’ignoré, de la stoppé car il y a des moments où j’arrête cela pendant un temps aléatoire et je retombe dedans toujours un peu plus.
Deux pas en avant un pas en arrière…
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Un fantasme inavoué...
J'aimerais goûter cette humiliation, avoir une relation avec un maître ou une maîtresse, et vous savez qu'un jour lors d'une séance cela peut vous arriver mais vous ne savez pas laquelle.
il/elle commencera par les ciseaux (avec l'espoir qu'il s'arrête là pour pouvoir récupérer les dégâts) puis la tondeuse (l'espoir disparaît peu à peu mais étrangement l'excitation est de plus en plus grande) suivi de la mousse rasée et du rasoir(là c'est sûr il n'y a plus d'espoir mais la sensation est si exquise ce mélange d'humiliation et de fierté d'être une bonne soumise).
Le tout filmé pour garder une trace de ce moment.
Pour enfin être offerte pour un gang bang bien hard où mes deux orifices ne seront pas de trop pour satisfaire cet ordre de males en rut.
Sous les yeux et la direction de mon maître/maîtresse je ferai tout pour le/la rendre fier de l’éducation donner.
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Je déteste l’écriture dite inclusive, comme la « déconstruction » de l’histoire, l’idéologie woke et l’intersectionnalité.
Qui malgré toutes les circulaires ministérielles continuent hélas de prospérer chaque jour davantage.
De même que le poids prépondérant que ces élucubrations fumeuses ont pris dans le discours ambiant, pour faire de la langue, de l’histoire, des combats légitimes pour l'égalité et les droits de chacun des outils idéologiques au service de théories fumeuses si ce n’est totalitaires, fondées sur le rejet de l’autre.
Je continuerai toujours d’écrire comme j’ai appris à le faire, de pratiquer les accords au masculin, de refuser la féminisation systématique des mots et les oukases de certaines féministes illettrées.
Alors quand deux linguistes, un homme, professeur d’université et une femme maître (et non pas « maîtresse » :smile:) de conférences « déconstruisent » de manière argumentée toutes ces élucubrations des néo-féministes, je suis ravie de de pourvoir désormais justifier ce qui n’était que mon ressenti.
Ca s’appelle la revue « Observables » dont le premier numéro vient de paraître.
Hélas en catimini.
Mais ça fait du bien quand même de me sentir confortée dans ce que j’ai toujours pensé.
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J’y ai aussi appris que l’homme, мужчина (muzchina) en russe, était du genre féminin.
J’ai trouvé ça amusant.
Heureusement ça ne rend pas le mien moins « viril » pour autant :smile:
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Mais bon, ça n'est jamais que mon point de vue.
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La bougie goutte à goutte, perle en larmes de cire.
La grande pièce est éclairée par un seul projecteur.
Cercle de lumière pour distiller la cire avec ferveur.
Comme une offrande, je suis votre point de mire.
Prosternée à genoux, seins écrasés au sol.
Mains écartant mes lombes, la croupe relevée.
J'offre mes orifices au feu du chandelier.
Qui petit à petit dispense son obole.
La bougie goutte...
Le 25 05 2018
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Dans la pièce déserte, pas un son, pas un bruit
Pas une rai de lumière pour en troubler la nuit
Qui y règne en despote. Sur la dalle de ciment
Brutal, froid et rugueux, je suis nue et j'attends.
J'attends les yeux bandés, les fesses face à la porte
Dans une posture de croupe haute que je supporte
Seins plaqués sur le sol comme pour ma joue droite
Bras tendus devant moi, exposée. Sexe moite.
Combien de temps, va-t-il encore s'écouler
Avant que derrière moi, j'entende enfin la clé
Qui débloquera le huis pour, dans la lumière crue
Apparaître dans cette position imprévue.
A celui auquel, conquise, je suis soumise
Pour des jeux interdits sans aucun artifice
Jusqu'au bout de la nuit
Parce que c'est Lui
Le 06 05 2018
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Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait.
Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les
enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches
mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers
le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse.
Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle
serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle
avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme
on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ?
Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime."
Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à
supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac.
Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son
succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait
pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse.
Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle.
Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les
pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir
quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait.
Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était
éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire
intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute
la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité
de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles
ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait.
Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame
d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des
femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre
à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te
heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus
triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le
cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et
toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble
qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée.
Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire,
le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge
y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle.
Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de
m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels.
Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir
et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du
charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans
doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur
de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée.
Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois
te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est
la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes
pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût.
Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir.
Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont
glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont
frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec
cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou.
Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son
corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée,
précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe.
Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur.
Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau
proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller
encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et
cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance.
Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet.
Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Quand baisser les armes ?
Quand prendre les armes ?
Est-ce une simple question de protection ou d’attaque ? Ou tout simplement une philosophie de vie, un chemin de vie.
Ces questions fondamentales conditionnent ma vie, ma personnalité, mes choix.
Je me suis souvent imaginée et espérée différente de celle que je suis.
Espérant ne plus être sur la défensive,
En apprenant à passer à l’offensive,
Et pourtant la défensive m’a toujours protégée, l’offensive aurait-elle vraiment fait de moi quelqu’un d’autre ?
Je suis bien armée pour les passages troubles de ma vie mais parfois si douloureusement désarmée.
J’ai pris des risques mais l'arme s’est retournée. Des risques non calculés. C’en est peut-être ma raison.
Et si finalement tout était question de combat intérieur avant tout. Trouver ce fragile équilibre qu’on accepte, qu’on assume, qu’on aime.
Je ne serai jamais cette femme de conquête(s), je ne serai jamais cette femme qui jettera son dévolu. Je l'imaginerai, parfois la fantasmerai ou l'envierai mais jamais je ne serai elle.
Ma défensive restera mon arme absolue.
Mon combat intérieur restera mon équilibre.
Mes balles à blanc.
Je m’aime...
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Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le
baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette
faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité
de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites
et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement
rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses
doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle.
Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme.
Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque.
L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant
avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire
légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte.
Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir.
Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller.
Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée
maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande
que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle.
Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine.
Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie
que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre.
J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous
ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce.
Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant:
- Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi.
Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis.
- Tu apprendras à me connaître.
Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de
mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis.
Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras.
Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur
la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche
et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact.
Un affectueux sourire se dessine sur sa figure.
- Tu es toujours trop pressée.
Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent.
Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma
langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle.
- J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ?
Son rire mélodieux me répond.
Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir,
de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inextinguible de plaisir et de passion. Son bras me
décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles.
Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille.
Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision
m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher.
Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu.
Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les
contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin.
Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual
remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille.
D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une
longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne.
Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements.
Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me
soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant
avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu.
Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent.
Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et
ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite.
Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit
ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton
tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente.
Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes
doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des
délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but:
le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser
ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et
retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée
chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis. Elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs.
Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je
la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant
une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi.
Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque
contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés.
Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale.
Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes.
Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et
m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps
amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise
à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon
clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle,
me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever.
D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage.
L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa
poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac
de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos
et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma
langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance.
Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Un trésor caché...
Par Hestia
Il y a des gens qui sont bien cachés, des personnes qu'on remarque à peine tant elles sont discrètes...
Et pourtant c'est l'une de ses personnes qui vient de me toucher, au plus haut point...
Nous échangeons de temps à autre, quand nous le pouvons. Nous nous connaissons peu et pourtant...
A travers mes écrits, mon histoire, et tout ce que mes textes dégagent, elle en sait bien plus sur moi, me voit bien mieux que bon nombre de personnes qui sont autour de moi...
Même les membres de ma famille me connaissent bien moins...
Je veux ici lui rendre hommage, la remercier d'être toujours là ou je ne l'attends pas, d'être dans l'ombre mais toujours présente...
Elle suit mon évolution avec sincérité et amour, elle est une Dame au grand cœur...
Merci, oui merci à Vous Arc-En-Ciel. Merci de prendre de mes nouvelles, merci de tous nos échanges remplis de douceur et de partage, Vous êtes une femme merveilleuse...
Je me permets de joindre ici Votre dernier message privé, il m'a valu de nombreuses larmes de joie et d'affection. Ainsi c'est ma façon de montrer la personne que Vous êtes à l'abri des yeux indiscret, mais aussi de Vous rendre hommage...
Je Vous embrasse fort....
Message privé reçu de @Arc-en-ciel :
Suis trop conne à pleurer à lecture de votre petit mot.
Voilà mon petit mot pour vous suite à votre récit qui m'a interpellé.
Hestia
Vous n'êtes pas laide, vous êtes-vous sincère, peut être mal dans votre peau comme beaucoup ici et ailleurs.
Mal de ne pouvoir vivre vos envies au grand jour.
Heureuse avec vos enfants, mais taisant la jolie femme en vous.
Puis un jour, un soir une Personne vous écoute avec bienveillance, vous vous sentez rassurée, appréciée, vous prenez confiance en vous.
Lui a su deviner celle que vous étiez, sans fard vous vous êtes confié.
Il a su apprivoiser la jolie chatte que vous êtes, sortant vos griffes avec raison.
Faire plier celle qui a du caractère quel honneur pour un Maître un Dominant.
Vous qui avez dépassé certaines de vos peurs, brusque et juste comme nous aimons, comme vous aimez.
Qui sait faire taire, sans hausser la voix, sans violence, vous mettre à ses pieds et vous abandonner.
Être marquée de diverses manières par Lui.
Le partage, la complicité, les sourires, les rires, les fous rires que vous avez parfois, tout simplement être soi, être vous.
Parfois se taire, puis les envies sont plus tenaces, alors vous avez brisé ce carcan.
Les mots, les gestes qu'on attend de vous et puis vous vous êtes oublié pour penser à eux comme le fait une Maman.
Vous avez décidé de bousculer votre vie, vous seule avez pris ce choix, terminer de penser aux autres avants vous, alors le carcan a éclaté, vous vous êtes libéré vous vivre vos envies et désirs.
Indépendante, une battante, je l'ai deviné à lire votre annonce et vos articles, un bon ressenti au travers de vos mots qui sont sincères.
Des hontes qui ne sont pas, mais venues de notre éducation.
Comme moi c'est quand vous avez voulu arrêter votre quête qu'Il est arrivé celui qui vous a fait vibrer, celui pour quoi vous avez tout quitté étant libre.
Lui a senti votre peur, votre désarroi, il s'est rapproché un peu plus de vous, il vous avait déjà deviné, il vous a réconforté puis petit à petit s'est rapproché, vous a écouté, entendu.
Votre joli sourire est revenu sur vos lèvres, un espoir une évidence se dessine.
Il y a sur la terre pour Nous tous, un homme ou une femme qui nous correspond, nous mettons parfois beaucoup de temps à le découvrir, le rencontrer et puis il y a des belles histoires, de joli conte avec des Personnes vraies, qui ne peuvent que mériter un tel conte en ce qui vous concerne.
Votre Maître est humble, respectueux, simple et vous avez construit à deux cette belle histoire qui vit depuis un an, elle durera vous vous êtes bien rencontré tous deux.
Quand les envies communes se partagent tout est idéal en la réciprocité, cette alchimie des sens en accords des deux corps et âmes, sans omettre le cœur.
Derrière un écran en étant sincère, de belles histoires sont, Vous en êtes la preuve.
Puis vient le temps de se voir, pour justement savoir si l'accord est présent en la réalité, nul doute quant à être vrai, à être soi.
Pas de Reine, pas de dragon, mais la distance, le manque, le manque qui fait mal, le manque qui ronge un peu, le manque de Lui, qui se fait plus présent, l'attente.
Après l'attente et de longs mois écouler, une décision qui vous enchante tous et un départ pour le rejoindre et vivre Tout le bonheur d'être auprès de Lui en cette connivence.
Vous n'aviez pas confiance en vous, vous n'êtes pas laide.
Toute femme et soumise est belle dans les yeux de celui qui l'a choisi et vice versa
Vous rayonnez, vous vibrez, vous vivez vos envies communes.
Il n'y a pas que le fouet, le martinet, il suffit d'être vrai.
arc en ciel
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Dernière retouche, actuelle
Coeur battant à tout rompre
Pour une première rencontre
Avec celui qui l'interpelle
Petite robe noire, ajustée
Talons aiguilles bien lustrés
Bas couture, haut en dentelle
Etre prête à l'heure indiquée
Elle n'en sera que sensuelle
Rouge à lèvres vermillon
Du haut de ses talons
Droite, cambrure affinée
Crinière relevée, épinglée
Relevant sa nuque, dénudée
Dernière retouche pour elle
Divin, exquis, frisson en corps
Sous un délicieux jeu d'accord
Elle lui fera don de son sort
Elle découvrira ses prunelles
A lui en faire baisser les yeux
Au premier regard, de ses bleus
Son corps, fera son premier aveu
Le 17 11 2017
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Ambiance musicale sur laquelle j'ai écrit... https://youtu.be/nz3I6OFXIIg
J'ai soif....
J’étais assise en petite culotte sur mon lit, un simple T Shirt bleu marine léger, laissant percevoir mes tétons libérés sous le tissu. Fièrement dressés
Je réfléchissais à la dispute que nous avions eu. Je savais que j’allais être punie de mon insolence, de ma désobéissance. Ce besoin intense de vouloir prendre l’ascendant était aussi fort de mon besoin de soumission. C’était animal. Je voulais qu’il me possède, qu’il me prenne, qu’il me domine sans me laisser le choix. Je voulais être sa poupée, sa chose, celle à qui il pouvait faire ce qu’il voulait mais de l'autre j'étais cette femme indépendante qui avait soif de s'exprimer.
Cette relation n’est possible qu’en réelle confiance, mais pouvais-je lui faire confiance ?
Cette volonté indépendante est venue au fil du temps où la vie nous oblige à être indépendante, pour ne pas être dépendante de qui que ce soit. C'est une ligne de vie que je me suis faite.
Ne jamais être dépendante..
Il pénétra la chambre, torse nu, avec son caleçon. Je ne voulais pas le voir.
- Je me demande sincèrement si tu as envie d’être soumise à moi. Tu testes toujours mes limites pour voir jusqu’ou je vais.
Je levais les yeux vers lui, perdue. Puis je baissais la tête, je ne voulais pas lui parler, ni lui répondre. Je ne voulais pas le voir tout simplement.
- Attache tes cheveux m’ordonna t il.
Je ne voulais rien lui céder.
- Attache tes cheveux répéta t- il en insistant sur chaque syllabe.
J’obéissais, malgré moi car au fond je voulais cela. Lui obéir . Cette dualité que je ne m’expliquais pas. Pouvions nous être les deux en même temps.. soumise, dominante?
Il s’approcha de moi en me caressant les cheveux puis me murmura à l’oreille.
- Voilà la bonne petite chienne que je veux que tu sois. Ma poupée.
Il caressa alors ma joue tout en tentant de m’embrasser.
Je détournais alors la tête. Je refusais qu’il m’embrasse.
- Regarde moi !
Il bougea son doigt devant moi me montrant le chemin pour le regarder.
J’étais toujours hésitante.
- Regarde ton corps, il appelle à cela. Tes seins qui pointent ( il s’en empara, les sous-pesaient)
Puis toujours de manière animale, il me respira.
- Ton odeur est si intense, je te mangerai bien là de suite ma louve.
- Ne me résiste pas. Ecarte tes cuisses !
Je le laissais faire, comme hypnotisée, incapable de lui résister. J’en avais plus qu’envie, il le savait. Ce besoin d’être traitée ainsi.
Tout le monde ne le comprend pas, c'est bien plus que sexuel.
Je sentais sa main s’enrouler autours de mon cou , m’agrandissant. Cette étreinte encerclante, ensorcelante me faisait défaillir. Il se mit derrière moi Tout en me maintenant contre lui. Je sentais sa respiration au creux de mon oreille. Son autre main en profitant pour s’occuper d’un de mes tétons en le pinçant fortement.
- Oui gémit ma chienne !
Je n’arrivais pas à répondre. Je me débattais.
- Tout doux ma belle effrontée, je vais te remettre dans le droit chemin. Je sais que c'est ce que tu veux au fond de toi.
Sa main se posa alors sur le dessus de ma culotte.
- Regarde combien tu es déjà trempée à travers le tissu.
Il prenait complètement possession de ma chatte avec sa grande main. Il commençait à la claquer de sa main. Je refermais alors mes cuisses
- OUVRE MOI CES CUISSES !
Il resserra davantage son étreinte autours de ma gorge. Son souffle était si animale. Je cédais.
Naturellement je les écartais, en voulant plus malgré moi. Je ne pouvais me défaire de cette emprise qu’il avait sur moi. Cette communion sexuelle et cérébrale. J’acceptais son emprise.
- Je sais que tu aimerais que je te fourre plusieurs doigts ou des queues ou des godes dans ta chatte, ou ton cul, mais tu ne me mérites pas petite salope.
Il relâcha sa main de mon cou, de mon sexe et se leva.
- Rejète moi autant que je peux te désirer ma douce.
- Mets toi à quatre pattes.
Son regard était pénétrant, perçant. Je savais que je devais lui obéir. Naturellement, je me soumettais à lui c"etait plus fort que moi, alors que mon autre voie me disait de ne rien faire. J’étais à quatre pattes, la tête vers le bout du lit.
Il plongea ses yeux dans les miens et appuya sur ma tête.
- Suce maintenant, montre moi tes talents.
Il remonta alors mon t -shirt et caressa mon dos. Puis il s’empara de ma culotte pour la resserrer dans sa main et tendre le tissu comme un string pour jouer avec.
- C’est ça excite toi dessus petite chienne.
Ma bouche glissa autours de son sexe. Je faisais des vas et vient et le contact du tissu sur ma chatte me rendait folle.
- C’est ça petite suceuse, applique toi, mange la.
Il me baisa la bouche, me laissant aucun répit. La bave commençait à couler. Puis il relâcha la culotte et appuya fortement sur ma tête.
- Hum bien au fond, chienne. Garde la. Hum bonne chienne de garde…
Il empoigna ma queue de cheval et pris en charge la cadence que je devais subir. Voila quelle était ma pénitence.
Il me griffait le dos, me fessait intensément et sauvagement la fesse droite. J’avais envie de lâcher un cri qui s’étouffa avec sa queue qui était au fond de ma bouche.
Il posa sa main sous ma gorge pour l’enfoncer davantage. J’avais presque envie de vomir.
- Au final tu n’es pas aussi bonne suceuse que tu le prétendais. Je vais t’apprendre à t’étouffer avec ma chienne.
Je rougissais de cette humiliation. Il se déchaînait. Je savais que c’était sa punition, celle de me mettre à un état de poupée destinée à m’occuper de lui. Sa poupée sexuelle.
Il me tenait par la queue de cheval pour me redresser.
J’étais face à lui.
- Branle moi !
Je m’emparais alors de son sexe pour le combler.
- C’est ça va y… hum ma petite salope.
- Enlève ton T shirt.
Je ne voulais pas obéir. Il me gifla.
- Continue de me défier ma chienne, je vais prendre plaisir à te mater à un tel point. Tu me rends fou.
J’esquissais un petit sourire. Il me gifla à nouveau.
Il prit dans chacune de ses mains mes seins puis glissa jusqu’à mes tétons. Il les pinça. Je retenais mon gémissement pour ne pas lui accorder ce plaisir.
Il le savait, je devinais un sourire caché. Je ne voulais toujours rien lui céder.
Je prenais ce malin plaisir à le masturber comme il l’aimait, je voulais le rendre fou, un peu comme se besoin d'avoir l'ascendant.
Au fond nous étions chacun le soumis de l’autre. Nous ne pouvions exister l’un sans l’autre dans cet univers qui nous est propre.
Il me repoussa, je tombais alors sur le lit.
- Recule. Reste assise sur tes genoux.
J’étais là obéissante, baissant la tête comme ne voulant pas croiser son regard. Comme si cela me permettait d’assumer la chienne qui était en moi.
Il s’allongea sur le dos.
- Viens a moi à quatre pattes.
Il me regardait avec cette intensité
Il tenait son sexe en main. Sans qu’il n’ait à me faire comprendre ce qu’il voulait, j’approchais ma bouche de son gland.
- Pas touche, admire le. Sors moi ta petite langue.
- Voilà qui est bon, je sais que tu aimes cela au fond de toi. Tu peux me rejeter, faire ce que tu veux, je sais qui tu es, je ne te juge pas.
Il me gifla la joue avec sa queue.
- Lèche moi mes couilles.
- Humm c’est bon ma chienne. Tu es si douée de ta langue.
Il se releva un peu pour mettre ses doigts dans ma bouche. Il me pénétrait avec comme pour combler un vide. Je bavais sur sa queue.
Il avança ma bouche à sa queue et avec ses deux mains sur ma tête me forcer à l’empaler dessus.
Il commença à me baiser si sauvagement. Je n’avais aucun répit. Je .bavais encore et encore.
Il pinça alors mon nez tout en maintenant ma tête avec sa main.
- Bonne putain.. hummmm. Je sais que tu aimes ça. J’aimerai tant te voir fourrer par derrière par une autre queue, je sais que tu le voudrais, mais tu n’assumeras pas de me le dire. N’est ce pas ma salope ?
Il relâcha son étreinte. Je me relevais, suffocante ; Cet assaut était si… Je n’arrivais plus à trouver mes mots, ni à savoir ce qui m’arrivait. Je me laissais faire. Je lâchais prise.
Il se releva et me regarda.
- Alors réponds ?
Je baisais les yeux comme un aveu mais ma pudeur m’empêchait de lui répondre.
Il me gifla et serra sa main sur ma bouche.
- Tu me l’écriras c’est cela ? sourit -il. Je sais ce que tu es, qui tu es.
Il me lécha alors le visage tout en me tenant la queue de cheval. Je savais que je lui appartenais dans ces moments là. C’était plus fort que nous..
Tout en me tenant ainsi, il me força à me lever. Une fois tous les deux debout, il me fessa encore et encore. Je ne tenais plus, admettre que je le voulais, j’étais bien trop fière pour lui dire. Je le défiais encore et encore.
Il me jeta au sol. Mon dos était presque contre le lit
- Reste à mes pieds, offerte.
Avec son pied, il m’obligea à ouvrir mes cuisses.
Il me tendit à nouveau son sexe.
- Tu as besoin d’un bon entrainement.
Ma mâchoire ne cessait de craquer depuis que je m’étais fait retirer mes dents de sagesse. J’avais du mal à tenir cette cadence.
- Je veux que tu aies des courbatures. Plus tu t’entraineras, moins tu en auras.
Il me tira par les cheveux et me baisa
- Reste ta bouche bien ouverte.
Je n’avais pas le temps de comprendre. J’étais son petit trou à pipe , comme il le disait sans ses moments d’humiliation.
Il me poussa la tête jusqu’au bord du lit. J’étais prisonnière de cet étreinte.
Il se retira.
- Ouvre ta bouche, salope, sors moi ta langue de putain.
- Tu sais que tu es ma putain ?
Je ne voulais toujours pas répondre. A la fois honteuse et fière.
- TU ne veux toujours pas me parler, ce n’est pas grave.
- Branle moi que j’éjacule dans ta bouche !
Il savait que jamais je ne voudrais.
Il tenait ma tête.
- Je t’ai dit de me branler.
Il me maintenant avec la queue de cheval. Je fermais les yeux. Craintive qu’il éjacule dans ma bouche. Jouait- il avec cette limite ? je lui avais toujours dit de ne jamais la franchir.
- C’est ça , continue bonne chienne. T’es bonne qu’à ça.
Je commençais presque à pleurer j’avais trop peur de cette situation. Je gémissais.
- j''aime te voir ainsi... suppliante.
Je pouvais toujours prononcer notre code d’alerte quand ça allait trop loin. J’étais à nouveau trop fière. Tant de question se posait en moi si je le laissais faire. Lui faire confiance ? vouloir contrôler ? Il me testait.
Je sentais son sexe se gonfler davantage. J’aimais ressentir ce moment où il ne pouvait plus rien contrôler, ou il se lâchait. De l’autre j’avais cette peur qu’il ne franchisse cette limite.
- C’est ça.. ohhhhh ohhhhhhhhhhh ohhhhhhhhhhhh petite vicieuse. Tiens moi bien les couilles.. hummmmm .. allez… s…ors cette ..Lan…gue. Apprécie mon jus.
Il tenait ma tête fermement et à ce moment là il prit sa queue en main et éjacula sur mes seins.
Le temps se figea comme une peinture laissant deviner la sutite.
Il me caressait le visage.
- Un jour tu baveras de mon sperme.. nous avons tout notre temps…
Il se recula et mis ses mains sur ses genoux.
- J’ai pour toi un réel profond respect. Sache que jamais je ne franchirais tes limites.
Il m’embrassa le front.
- Il m’aida à me relever. Il me jeta alors sur le lit et m’y attacha.
Je n’en ai pas fini avec toi. Je te laisse méditer à ta condition.
Je restais ainsi souillée à l’attendre comme une bonne chienne attend son maitre.
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De mon avis, l'un n'exclut pas l'autre, le coté sexuel n'étant à priori pas une souffrance ce n'est donc pas une pratique sadique en soit ? Tant qu'il ne comporte pas de "sadisme"
(Sadisme Perversion sexuelle dans laquelle le plaisir ne peut être obtenu que par la souffrance infligée à l'objet du désir.
Sadisme et masochisme.)
Le sexe peut être une pratique DS dans la domination, devenir ou être soumise à, ne comporte pas de restrictions dans les punitions ou récompenses d'ailleurs.
De mon avis (qui n'engage que moi) et c'est comme cela que je le pratique, il doit être scénarisé.
Les images que vous voyez peuvent en être l'aboutissement, la finalité étant purement cérébrale, le D/s "vanilla" est plus pour moi plus du ressort de la domination "tantrique" sous réserve du mot dans son sens réel.
Ceci dit effectivement, on voit depuis quelques années (l'apparition du sida entre autres) des versions plus ou moins édulcorée du D/s (On appelle aussi ça jouer à touche pipi avec un gant au bout d'une perche ou sans se mouiller les doigts. (l'image m'amuse.)
Pour exemple, des soumises de ma connaissance aiment être offertes comme objets et pour autant ne supportent pas la douleur.
Est-ce la pluralité masculine qui leur plaît ? Non pas vraiment, c'est uniquement le côté cérébral de la contrainte, devenir un objet ou cette espèce de peur qui les motive et les attirent, ce moment ou tout va basculer.
Alors la PEUR est elle DS ou SM, les soumloves connaissent toutes ce moment où la trouille est là, sorte de vertiges, jambes qui flagellent, mais ce petit quelques choses qui pousse à aller un peu plus loin. (lors des premiers sauts en parachute à l'armée, ils appellent ça le pipi de la peur.).
Dans tous les cas le seul but de ces pratiques (certaines) est le plaisir Partagé de la soummise et accessoirement celui du dominant, uniquement entre adultes consentant avec toutes les précautions d'usages.
Public disgrâce, exhiber une soumise (dans des lieux appropriés, car l'exib public tombe sous le coup de la loi en France)
Bound Gang Bangs, offrir une soumise attachée, avec un scénario, comme récompense après une privation d'orgasme ou comme punition.
Device Bondage, pratiqué de différentes manières, pinces bougies, etc...
Sadistic Rope ou shibari pour dominateurs très attachants et soumlove patientes
Water Bondage, ou jeux d'"O" évidemment l'utilisation d'un jet haute pression relève plus du SM à mon avis et peut être extrêmement dangereux
Fucking Machines, est il besoin d'expliquer ?
Whipped Ass , fouet, cravache, paddle, fessées tout est question de dosage et de matériel
Glory hole, À la base une pratique gay devenu plus courante de nos jours elle était une pratique DS avec un sac en papier ou une boite en carton troué sur la tête
Il existe bien d'autres pratiques D/s, l'humain de manque pas d'imagination en la matière.
Dogging, offerte en voiture, parking, routiers, garage
Pour ce qui est des gifs que je mets, ils représentent un panel très incomplet de ce que peut-être le DS, je ne posterais pas d'image "sadique ", car je ne suis pas plus fan de Sacher-Masoch que du divin Marquis.
Si un jour vous pratiquez ce genre de domination scénarisée (je vous donnerai plus de détail si vous voulez.) avec une soumise ou un soumis tentez l'expérience d'isolation sensorielle (bandeau) par exemple... Une fois, cette séance terminée demandé lui ce qu'elle ou il a imaginé (à condition d'avoir été sous le bandeau durant sans interruption), vous verrez ce que l'imaginaire peut faire dire, c'est assez impressionnant et édifiant, et ce retour vous donnera un excellent sujet pour une prochaine séance.
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Mes excuses une fois de plus à Méridienne.
Je n'avais pas vu son article sur Eluard avant d'écrire celui-ci.
Je l’avais déjà écrit quand j'ai réalisé qu'elle avait déjà parlé, mieux que moi, du même auteur.
Mais bon, tant pis.
Je ne retire rien. J'ai toujours aimé Eluard.
https://www.bdsm.fr/blog/5578/Un-jour,-un-%C3%A9crivain:-portrait-d'un-po%C3%A8te-engag%C3%A9:-Paul-%C3%89luard/
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Je ne sais pas si on enseigne encore Eluard dans les lycées.
En tout cas, pour ce qui me concerne, ce sont mes parents qui me l'ont fait découvrir et aimer.
Au travers de l'un des ses plus beaux poèmes, qui depuis ne cesse de me hanter et de guider mes pas.
Quand bien même par ta faute/grâce à toi, ceux-ci m'ont entraînée depuis sur des chemins "particuliers".
Mais sans me faire me sentir moins "libre" pour autant :smile:
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Certains ont pu le (re)découvrir dans l'hommage que quelques artistes ont rendu grâce à lui à Samuel PATY
Que j'ai préféré de très loin aux discours convenus de nos politiques.
https://www.youtube.com/watch?v=5h8gPRwedqM
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C’est en 1942, dans la clandestinité, que parut pour la première fois « Liberté » aux éditions de la Main à plume, en fait un collectif d'une trentaine de personnes, qui s'était donné pour objectif de maintenir actif le surréalisme sous l'Occupation, et dont faisaient notamment partie Picasso, Eluard, Magritte, Hans Arp ...
8 de ses membres ont été fusillés par les allemands ou sont morts dans les camps.
Le premier tirage a été confidentiel.
Le texte en a été repris ensuite par différents réseaux de résistance dans d'autres tirages clandestins avant d'être parachuté à des milliers d'exemplaires par les avions de la RAF au-dessus du sol français, publié dans la revue officielle gaulliste, "La France libre".
L'édition définitive est parue en 1945, dans le "rendez-vous allemand", sous l'égide des éditions de Minuit, fondées elles aussi dans la clandestinité par Vercors (« le silence de la mer ») et Pierre de Lescure.
Minuit, qui vient d’être rachetée par Gallimard.
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C’est aussi en 1942 qu’Eluard rejoignit à nouveau le Parti Communiste clandestin, lui qui avait été exclu du même parti en 1933.
Parce que pour pour lui, à ce moment là, c'est le Parti qui symbolisait le mieux cette liberté à laquelle il croyait tant.
Les liens entre le surréalisme et le Parti communiste durant tout l'entre deux guerres, ont toujours été compliqués.
Même s'il a toujours existé des passerelles, notamment autour de la revue Clarté fondée en 1919 par Henri BARBUSSE et Paul VAILLANT COUTURIER, dans laquelle Eluard avait déjà publié.
Le choix d'Eluard, en 1942, son engagement peut sembler étrange quand on connaît son passé avec l'organisation communiste.
Mais au temps de l’occupation, de Vichy, durant nos "années noires", de la part d'un homme épris de "Liberté" il allait de soi.
Il lui restera fidèle jusqu'à sa mort, mais sans jamais y exercer le moindre rôle politique.
Et, en ce qui me concerne, même si je sais que le communisme a eu plus que "sa part sombre", si je n'ai jamais adhéré à son idéologie, son fonctionnement totalitaire, j'ai toujours été admirative de ses militants du temps où il représentait le quart des électeurs français et des valeurs de fraternité qu'ils portaient en eux.
De leur foi en l'homme.
Surtout, je préfèrerai toujours ceux qui ont le courage de s’engager, de prendre des risques y compris celui de se tromper à la cohorte des conformistes bien pensants.
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Tu sais et tu partages mon goût des mots et de la littérature.
Puisque c’est avec des mots que tout a commencé entre nous.
Et je t’avais dit il y a longtemps déjà combien j’aimais les surréalistes, Eluard et ce poème en particulier.
Ce qu’il signifiait pour moi.
Alors je ne sais pas comment tu t’es débrouillé, où tu l’as déniché ni le prix que tu l’as payé.
Mais j’ai adoré ce cadeau que tu m'as fait.
L'édition originale de 1942 de "Poésie et vérité".
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Pour une fois, je n'ai pas osé gribouiller de ma plume malhabile cet opuscule de 13 cm sur 10 d'une quinzaine de feuilles qui a dû te coûter une blinde.
Je me suis contentée de glisser une carte en velin entre les pages de « Liberté »
Avec ces mots, évidement à toi dédiés, pour compléter à ma manière le poème d’Eluard :
"Sur ce corps qui t'appartient
A coups de cravache ou de fouet,
Sur mes seins, mes cuisses, mon sexe,
Nous écrivons ensemble son nom.
Avec ce corps qui est à toi,
Que tu possèdes grâce à ta queue,
Je crie son nom avec le tien,
Parce que, pour me sentir pleinement libre, pleinement moi
J’ai besoin de toi"
_______________
C'est vrai qu'en les relisant, mes mots sont quelques peu "crus".
Mais d'un autre côté, ce que j'ai aussi toujours aimé aussi chez les surréalistes, c'est la "liberté" de leur rapport au sexe.
Alors, finalement, je crois que peut-être, mes mots, ils me les auraient pardonnés.
En tout cas, ils ne t'ont pas déplus, à toi :smile:
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Je le vois, au loin, dans des effluves rouges, brûlantes.
Ses yeux brillent dans la pénombre, ses lèvres sensuelles me susurrent des mots que je ne comprends pas mais qui m’enivrent. Je me retrouve à genou, coincé, sans pouvoir bouger. Il est là, à côté de mon lit, il m’observe. Je voudrais qu’il vienne s’allonger sur moi si fort, que j’en ai le cœur qui accélère.
Les battements de mon cœur augmentent tellement qu’ils me font mal. Il se penche vers mon visage. Je sens sa main, froide contre ma joue, qui glisse contre mon cou. Qu’il serre et qu’il empoigne, fort. Je ne peux plus bouger. Je n’ai pas froid, bien au contraire. Aussitôt qu’il me touche, mon cœur s’apaise. Je plonge mes yeux dans les siens, je les vois, sombres, avec des éclats de braises rouges qui scintillent.
Je sens sa main glaciale, mais pourtant si agréable, elle caresse mes cheveux. J’entends sa voix, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Sa voix grave et basse m’ensorcelle. Il me parle dans une langue que je ne connais pas, et pourtant, cela me touche au plus profond de moi. Je vibre à chaque mot. Soudain, ses doigts s’enfoncent dans ma chevelure. Avec ses mots, encore, je suis paralysée, comme si ses phrases étaient de longues chaines qui m’entravent. J’essaye de me libérer mais les liens se resserrent. Il tire sur mes cheveux, ma tête bascule en arrière.
Son autre main caresse mon dos, puis je sens une douleur vive, ses ongles qui s’enfoncent dans ma peau.
Je sens son sexe, dur, contre mes fesses. J’entends sa respiration qui s’accélère. Je ne peux pas bouger. Sa main passe de mon dos sur ma poitrine. Va-t’il me prendre en levrette ? Me sodomiser ?
Je me réveille, il a disparu ! Reviens éphèbe ! Mon corps frémit de tant de délices inavouables. Ça ne m’était encore jamais arrivé. Je peine à sortir cette silhouette massive de ma tête. Je ferme les yeux, et tout de suite, je vois les points de braise dans son regard, qui me fixe, m’hypnotise, me fascine. J’ouvre les yeux, j’ai mal comme si j’avais fixé un brasier, mes joues sont rouges et chaudes. Mon front est couvert de sueur, mes mains sont moites, je respire vite.
Ma belle est à côté de moi, inquiète. « Tu vas bien ma chérie? Tu as rêvé de moi ? Tu as l’air tout émoustillée !
_ Oui...C’est ça…»
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C’était un matin d’hiver.
Cette aube naissante que j’admirais à travers la fenêtre. Les nappes de brouillard sur les champs dessinaient une toile vivante éphémère où les rayons du soleil essayer de se frayer un chemin pour colorer cette nature sauvage.
Chaque saison a sa beauté, mais l’hiver semble figer le temps. Je m’apprête à partir un voyage que j’ai toujours rêvé de faire. Ces mois difficiles passés, je voulais respirer. Après ce moment d’égarement, je retourne à la préparation de ma valise. C’est toujours un casse-tête. Je souris toujours tellement je prends d’affaires. On ne sait jamais ce que les événements nous réservent, les rencontres inattendues, l’envie de rester dans une ville..
Je descendais les escaliers avec cette valise bien trop lourde. Je me disais bien qu’avec mon regard, des hommes m’aideraient à porter mes bagages. Il est bon d’être une femme.
Je me rendis jusqu’à Paris, Gare de l’Est pour partir dans ce voyage fou, indécent que je m’offre.
Habillée chaudement avec un manteau long noir, avec ce col en fausse fourrure, des gants en cuir et une chabka blanche sur la tête et chaussée de mes petites salomés fatiches , je me rend sur le quai de la gare d’où partais mon train.
Ce train mythique, un voyage dans le temps. J’avais tant économisé. Quelle émotion de le découvrir. La teinte bleu, les lettres couleur or.. l’Orient Express
- Bienvenue pour ce voyage pour Venise, Madame, entendais-je de cet homme vêtu d'un uniforme bleu et or.
Je n’avais jamais goûté à tel luxe. J’avais ce regard d’enfant émerveillé.
Poser mon pied sur la marche de ce train mythique m’avait fait un effet. Je prenais mon temps pour en savourer chaque seconde.
On me conduit jusqu’à ma cabine. La cabine n° 11. Je n’en croyais pas mes yeux en découvrant l’intérieur de ce train. C’était plus beau que je n’avais pu l’imaginer.
- Madame, voici votre cabine. Le dîner sera servi à 20h. Je suis à votre disposition. Je me prénomme Danielo. Je serai votre assistant pour votre voyage. Vous pouvez aller vous rafraichir dans notre voiture piano bar. Une fois que vous partirez dîner, je m’occuperai de préparer votre cabine pour la nuit. Je vous souhaite une belle installation.
Mes mains ne purent s’empêcher de toucher les matières de cette chambre. C’était comme traverser le temps. Je commençais à m’installer et savourer chaque minute passée à bord.
Je commençais tout d’abord par sortir la robe que j’allais porter ce soir. J’étalais mes affaires sur la salle de bain si petite, mais bien pensée. Je prenais une grande inspiration, je ne réalisais pas.
Le train s’apprête à partir dans quelques minutes, il est 14h. J’ai prévu de quoi m’occuper durant le trajet. Ecriture et Lecture.
Je sortis de ma cabine pour partir à la découverte de cette majesté. Je ne pouvais l’appeler autrement. A peine je refermais la porte de ma cabine, je croisai un homme seul allant à sa cabine. Il venait d’arriver. Mon regard se porta en premier lieu sur son chapeau qui lui donnait cette allure folle. Je baissais assez rapidement mes yeux, ne voulant pas être surprise à l’admirer. Puis en marchant jusqu’à sa rencontre, nous nous croisons.
- Je vous en prie, Mademoiselle, passez.
- Je vous remercie, Monsieur.
Son regard pénétra le mien, en quelques secondes j’étais sous le charme. Ma timidité me poussa à rejoindre, avec une rapidité certaine ce fameux piano-bar. Mon cœur battait fort, je souriais. Son parfum était un véritable envoûtement.
Etait- il seul ?
- pourquoi est- ce que je suis partie si rapidement ? Pourquoi !!? me reprochai-je
Arrivée avec excitation dans le piano bar je découvrais une pièce d’une telle beauté. Il y avait déjà quelques personnes installées dans ces magnifiques canapés bleu. Je me retrouvais à cette belle époque que j’affectionnais.
Un serveur vint à ma rencontre, et me proposa de m’installer.
J’avais envie de me pincer. Ce dernier me tendit une coupe de Champagne rosé accompagné de framboises et de maras des bois.. mes fraises préférées.
Une atmosphère du passé régnait. Je me sentais tellement bien dans ce lieu. Mon esprit s’égara, mais je ne puis m’empêcher de repenser à cet homme que je venais de croiser.
Je mis quelques framboises dans ma coupe de champagne. Mon regard se noya à les observer. J’adore l’effet que cela fait, de voir cette effervescence.
Je savourais mon verre tout doucement.. Je scrutais la porte espérant secrètement l’apercevoir.. cet inconnu. Je ne devrais pas m’enthousiasmer ainsi. Un homme comme lui est forcément accompagné. Je ne devrais pas me réjouir autant.
j’étais déçue,hélas, je ne le revis pas. Un pincement au cœur me rendit, durant quelques secondes, mélancolique. Je suis restée une heure, reprenant un autre verre de champagne. Mais pas d’inconnu en vu.
Un brin nostalgique, je me levais pour rejoindre ma cabine et savourer son confort. Je déambule dans ce couloir fait de bois, matière si noble. Le train était parti il y a 30 min. Arrivée dans ma rame, Je pose ma main sur la clenche et rentre dans ma cabine.
Quand soudain confuse, je me retrouve nez à nez avec lui. Je réalisais soudainement mon erreur.
- Euh, désolée Monsieur, je me suis trompée de cabine. Quelle sotte je fais ! Veuillez me pardonner.
Je commençais à repartir aussi vite que j’étais rentrée.
- Cela arrive de se tromper, me dit-il avec un sourire taquin.
- Je suis si maladroite, je suis confuse voyez-vous. Pardonnez -moi de vous avoir dérangé.
- Oh mais vous ne m’avez aucunement dérangé. Au contraire.
Je rougissais. Il avait un charme incroyable. Je ne pus m’empêcher d’admirer cet homme si classe, vêtu d’un costume bleu, sans parler du détail qu’il avait mis dans sa tenue.
Puis il m’envoya un sourire si charmeur. Il était bien seul, pas accompagné. Avec mon regard malicieux, je lui renvoyais son sourire. J’étais envoûtée. Mon voyage prenait alors une autre dimension.
- On peut dire que vous êtes une femme directe et aventureuse. Pénétrer ainsi dans ma cabine, c’est une première, me dit-il d’un ton taquin.
- Oh… Vous êtes en train de vous jouer de moi. Cela est bien mérité.
- Sasha, Mademoiselle, enchanté de faire votre connaissance.
- Mademoiselle Lane.. Enchantée… ravie de faire votre connaissance.
- Vous allez peut-être me trouver un peu cavalier, Mademoiselle. Mais êtes-vous prise ce soir ?
- Eh bien, non.
- Dans ce cas, vous l'êtes à présent. 20h.
Je ne puis m’empêcher de sortir un oui plein d’enthousiasme. Il émanait de lui cette force, ce charisme du haut de sa stature. Il était grand. Je me sentais en sécurité sans comprendre pourquoi.
- Je vous dis à ce soir, je vais prendre congé et vous laisser profiter de votre après midi.
Je sortis honteuse de ma bêtise. Il a dû me prendre pour une cinglée. Je sortais en refermant la porte et j’émis un cri silencieux d’une adolescente qui a un rendez- vous. J’étais chipée, excitée. Ce soir, je me dis en plus de me faire belle pour moi, je me surprise à vouloir me faire belle pour lui.
Je décidais à ce moment- là de me détendre dans ma cabine. J’avais tant envie de savourer chaque instant et cette envie d’être déjà ce soir. Je m’assis contre la fenêtre, et je voyais le paysage défilé. Je pris mon carnet, avec ce besoin de poser mes émotions par des mots. Mon esprit vagabondait.
C’est alors que ne tenant plus, j’entrepris de commencer à me préparer pour la soirée exceptionnelle. J’aime beaucoup prendre le temps de me faire belle. Prendre le temps de me coiffer, de me maquiller, de mettre avec une certaine audace mes bas avec mes jarretelles, choisir une lingerie appropriée. Cela a toujours été pour moi un bijou caché. Mais ce soir, je le ferai pour lui.. peut-être qu’il ne le saura jamais.
Je regardais le résultat dans le miroir. Je me trouvais assez jolie. J’étais en retard. Mais quelle femme ne fait pas attendre un homme?. La dernière touche.. Le parfum. Quel choix cornélien ! J’hésitais entre deux. Mais je savais au fond de moi lequel porter. Idéal pour un premier rendez -vous. Ne jamais trop en faire.
Me voila prête. Juste avant de sortir, je m’emparais de mes gants en satin blanc. Mon cœur battait très fort.
Je m’apprête à ouvrir la porte pour accéder à la rame suivante. Soudain, le train saccada un peu. Je perdis légèrement l’équilibre sur mes chaussures pailletée d’argent.
Je sentis alors une main enlacée ma taille. Je sursautais.
- Mademoiselle, il serait dommage de vous blesser.
Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma robe. Quant à sa voix chaude et suave.. j’en perdais la tête. Que m’arrivai t-il ?
C’est alors qu’il passa devant moi pour m’ouvrir la porte.
- Mademoiselle, je vous en prie.
Je ne pouvais cacher mon trouble. C'était animal, cette envie d'être à lui.
- Prenons une coupe de champagne pour faire connaissance, qu’en pensez vous ?
- C’est avec plaisir.
Nous étions assis l’un en face de l’autre. Nous discutions de choses et d’autres. Tout était si simple, si naturel. Cette sensation de toujours se connaître. J’étais toujours en plein rêve totalement réel. La musique douce nous transportait. Nous n’arrêtions pas de rire, pendant tout le repas. Le temps défilé tout comme le train filait bien trop vite à mon goût.
Il était temps de retourner à nos cabines respectives. Le cœur palpitant, j’avais juste envie de prolonger la nuit avec cet homme. Juste parler, se connaître.
A mon grand regret, et très gentleman, il me raccompagna à ma cabine. Me baisa la main et me souhaita une très belle nuit. J’étais conquise devant ses manières, bien que j’eusse à ce moment une envie irrésistible de l’embrasser.
Une fois le seuil de ma cabine franchi, je découvris que la banquette lit avait été mis en place. J’allumais cette lampe qui rendait une atmosphère chaleureuse à cette pièce.
Malheureusement je n’arrivais pas à tenir en place. J’avais juste envie de sortir et d’aller frapper à sa porte. Il était si difficile de se retenir.
C’est alors que j’entendis des bruits de pas à ma porte. Je vis un billet se glisser sous ma porte. Intriguée, je m’avançais pour le récupérer.
« Pour que cette nuit continue, accepteriez vous une danse ?
Vous savez où me trouver.
S.
Mon cœur battait encore plus. Je serai folle d’y aller, mais folle de ne pas y aller.
Profiter de la vie, de ce moment présent.
C’est alors que je pris mon courage à deux mains, serrant ce billet contre ma poitrine. Je passais rapidement me refaire une beauté, regarder si ma tenue est impeccable. Je me parfumais une dernière fois. J’étais toute tremblante en repassant le rouge à lèvres rouge, sur mes lèvres entre-ouvertes.
Je pris une grande respiration. Ajusta mes cheveux. Je toque trois coups à sa porte.
Il me donne un sourire tellement charmant. Son regard plonge dans le mien. La température monte tellement il me fait de l’effet. Il avait pris soin de mettre une musique de fond, qui nous transportait.
C’est alors qu’il me tendit sa main.
- Puis je ?
C’est alors que je lui tendis la mienne. Le temps s’arrêtait. Il se pencha pour y déposer un doux baiser. Avec assurance il me tira à lui. Je frissonnais. Comment cacher mon émoi ?
Ce fut le début de cette danse. Je sentais sa main en haut de mon dos. Sa joue se rapprochant de la mienne. Il était indéniable que le désir apportait une tension.
Soudain sa main caressa mon dos. Je frissonnais à sa caresse. C’est là que je sentis sa bouche s’approcher de mon oreille
- Vous êtes très séduisante, Mademoiselle Lane. Le savez-vous ?
- Je.. je peux vous retourner ce compliment Sasha.
Il remis une mèche de cheveux derrière mon oreille avec sa main droite, sa bouche douce sensuelle se perdit dans mon cou. J’aimais sentir son souffle. Puis son étreinte se fit plus intense et il m’empoigna avec fermeté les cheveux. Et d’une extrême sensualité m’embrassa Fougueusement. Je lui rendis son baiser. Mes jambes tremblaient.. intensément.
- Je vous veux. Terriblement, me confessa- t -il. Je doute de pouvoir rester un parfait gentleman à vos côtés.
- Vous êtes un parfait gentlemen, mais je ne vous garantis pas de ne pas être moi-même une Lady.
Quand il souriait.. je fondais.. sa bouche était un appel au crime.
Il se dirigiea vers le mini bar. Il se servit un whisky. Puis alla s’asseoir.
D’une voix ferme me dit
- Continuez à danser. Je suis si piètre danseur, je préfère vous admirer.
Il prit une gorgée. Je l’observai. Je continuai à danser seule, tout en le regardant.
J’étais là en train de danser, à me rendre lascive. Je promenai mes mains sur mon corps, d’une manière suggestive. J’imaginai que c’était ses mains qui me caressait. Je fermais les yeux pour apprécier ces caresses, puis je les ouvrais en le regardant droit dans son regard de velours.
Je voyais ses lèvres se pincer. Je m’avançais vers lui. De mon genou, j’écartais ses jambes qu’ils avaient croisé. Toujours son verre à la main, je lui pris pour y tremper mes lèvres. Je descendai à hauteur de ses lèvres pour tendre mes lèvres.. L’effleurer. Il allait rendre mon baiser quant il comprit que je le taquinais en me relevant.
- Petite joueuse, vous ne le paierez… me sourit il
- Ah oui ? je ne vois pas de quoi vous parlez…
Puis, de ma main j’entrepris de décroiser ses jambes. Mon genou se plaça entre pour jeter de part et d’autres ses jambes. Je me plaçais entre. Je me mis dos à lui et je descendais progressivement en m’ondulant avec sensualité. Je m’assis juste devant lui. Je sentais son désir entre ses jambes.
Il ne pouvait voir le sourire qui se dessinait sur mon visage. Je m’amusai à onduler, à l’exciter sans qu’il entreprît de me toucher. Je le sentais qu’il savourait son whisky sans rater une miette du spectacle.
C’est là qu’il me caressa les cheveux. Je sentais sa main me caresser le dos, puis remonter jusqu’à mon cou.. Sa main prenait possession de ma gorge. J’aimais sentir cette etreinte qui me rendait folle. Puis il m’attira en arrière et me dit à l’oreille
- Vous êtes une très.. très vilaine fille. Mademoiselle Lane. Vous savez ce qui arrive au très vilaine fille qui joue avec le grand méchant loup ?
- Non, dis-je avec une pointe de taquinerie.
- Eh bien vous allez le découvrir me dit il avoir un sourire presque machiavélique..
Tandis qu’il me maintenait la gorge, je sentis que de l’autre, il defaisait sa cravate.
- Vous allez être à moi, vous êtes à présent mon objet de désir. Je vais faire de vous ce que je veux. L’acceptez-vous ?
Je.. (mon cœur palpitant par tant d’érotisme).. Je veux être à vous. Faîtes de moi ce qui vous plaît.
- Vous m'appelez Monsieur.
Fermez vos yeux. A présent, je vous interdis de parler, sauf si je vous l’y autorise. Est-ce bien clair ?
- Oui, Monsieur, c’est très clair.
-Si vous n’obéissez pas je serai obligé de vous punir chère Mademoiselle Lane
Je.. (rougissante)… Oui Monsieur.
Je sentis qu’il me bandait les yeux avec sa cravate. Toujours en me maintenant par la nuque, il me releva. Il me fit marcher ainsi jusqu’à la porte. Il plaqua mes mains contre celle-ci, au dessus de ma tête.
- Ne bougez pas.
Je sentis ses mains inquisitrice partir à la découverte de mon corps. Tout d’abord sur mes chevilles, il remontait le galbe de mes mollets.
- Tenez votre robe ma chère. Je veux voir votre cul.
Je descendai alors mes mains dans les dos pour tenir le bas de ma robe et lui offrir la vue sur ma croupe.
Il continuait sa découverte. Arrivé à hauteur de mes bas, je sentais ses doigts pénétrer l’intérieur pour y caresser ma peau. Il me rendait folle. Ses mains si douces.
- J’ai envie de vous voir indécente.. très indécente.
- Je..
- Vous ai-je autoriser à me répondre ?
C’est là que je sentis sa main s’abattre sur mon fessier à plusieurs reprises.
- Restez dans cette position, vilaine petite provocatrice.
- J’aime punir l’insolence et vous n’attendez que cela. Être punie. N'est ce pas Mademoiselle Lane? Répondez.
Oui... Monsieur, avouais- je.
D’un geste rude, il déchira ma culotte. C’était si.. intense. Il m’hypnotisait.
- Cambrez-vous, penchez-vous. Je sais que vous attendez que cela.
J’allais lui offrir une vue sur mon sexe, Offerte à son regard unquisiteur.
- Quelle belle chienne vous faîtes. Vous remplir avec ma langue, ma queue sera un réel bonheur. Dîtes- moi que vous êtes ma chienne.
- Oui.. Je suis votre chienne, Monsieur.
- Je n'ai pas bien entendu me railla t il.
- Oui.. Monsieur, je suis votre chienne
D’un seul coup, je sentis deux doigts pénétrer la chatte, sans ménagement. Il effectuait des vas et vient.
Que vous êtes trempée. Je doute que ces deux doigts suffissent pour vous remplir comme vous le méritez. Je vais en rajouter autant que votre chatte dégouillante en souhaite.
Il s’approchait de mon oreille.
- J’aime vous baiser ainsi. Sentir votre chatte qui se dilate. Vos trous sont ma propriété.
J’étais honteuse de m’offrir ainsi à un inconnu rencontrer quelques heures plus tôt.. Il a ce côté animal qui me donne envie de lui appartenir.
- Retournez vous et agenouillez vous.
- Défaîtes tout de suite mon pantalon. Votre bouche a été un appel au crime durant cette soirée. Voyons quelle sont vos talents de petite suceuse.
Il était rude dans ses gestes et sa voix. Cela ne me faisait que mouiller encore plus.
Puis il pris mes mains pour les plaquer sur son sexe.
- Sentez dans quel état vous m’avez mis.
- Ouvrez votre bouche, Mademoiselle Lane.
Il y mis son sexe sans ménagement et me baisait par la bouche, me soumettant le rythme grâce à ses mains sur ma tête. C’était érotique car je sentais son sexe dur me prendre, grossir. J’entendais ses soupirs de plaisir.
J’aimais sentir son corps frémir. Avec la privation de ma vue, mes autres sens étaient plus en éveil. Dès qu’il me touchait cela ne faisait qu’augmenter mon excitation.
Puis il me releva, me plaqua contre la porte et m’embrassa fougueusement tout en tirant mes cheveux en arrière.
Il passa sa main sur ma joue, sur mes lèvres, sur mon cou avec une telle douceur.
Il saisit mes seins à travers ma robe. Avec un geste assuré, il dégrafa ma robe pour la faire tomber à mes pieds.
J’avançais dans le noir, il était mon guide. Je sentais sa bienveillance. Il m’assit sur son fauteuil.
- Relèvez tes jambes .. voila.. ainsi c’est parfait. Ne bougez pas.
Ma respiration était saccadée. Je me sentais à la fois honteuse d’avoir cédée si facilement à cet homme et si excitée par qu’ il était.
Quand soudain, je sentis sa langue se poser sur mon clitoris. Je poussais alors un long soupir. Sa langue joueuse, aventureuse.. Je gémissais de plaisir, comme une bonne petite chienne.
- Cessez de bouger. Je ne veux pas entendre un seul son, sinon je serai obligé de vous baîllonner.
D’un seul coup, je sentais ses doigts s’insérer en moi tout en continuant à me lécher. Je ne m’appartenais plus. Je mouillais tellement.
Il était fougueux, habile de son langue, de ses doigts. J’étais au bord de la jouissance quand il s’arrêta. Je poussais un cri de protestation.
Il fît alors descendre sa cravate sur mon cou. Puis me releva en la tenant à la main.
l avait ce côté animal… Mâle, dominant, qui m’avait tout de suite plu. Cela ne s’explique pas. Un sentiment d’appartenance, de désir, de passion dès notre premier regard.
Il prit fermement en main la cravate et l’enroula dans sa main. Il me forca ainsi à le suivre vers la petite salle de bain.
- Posez vos mains sur le rebord. Tendez bien vos fesses.
- Regardez vous Mademoiselle Lane ! Tellement belle, tellement élégante, tellement putain. Demandez moi de vous prendre sur le champ.
Je me sentais interdite de le faire, presque honteuse et pourtant j’en mourrai d’envie.
D’un seul coup il me fessa comme une mauvaise élève. Un cri s’échappa. Puis une seconde fessée.. une troisième..
Alors, Mademoiselle ?
Il passait sa main sur mon fessier rouge. C’était d’une douceur.
C'est alors qu'il était derrière moi, tenant ma tête par les cheveux, me forçant a le regarder à travers le miroir.
- Regardez moi dans le miroir, et demandez moi de vous prendre. J’attend !
- Monsieur.. Prenez-moi, maintenant, je ne tiens plus.
Il me regardait, fixement, satisfait de me voir soumise à lui. Il placa son sexe à l’entrée du mien. Il me releva et me regarda dans le miroir. Il me pénétra avec une telle douceur, il me calma, me caressa le dos. Un peu comme un cheval qui se fait dresser, à comprendre qui est le maître.
Il me chevauchait, me tenant par les cheveux à me pilonner avec une grande fermeté.
Il prenait dans ses mains fermes mes seins. Il les serraient fort, il s’amusait avec mes tétons. Je sentis alors ses dents se planter sur mon épaule. Il ne me laissa aucun répit.
C’est alors qu’il mit sa main sur ma bouche. Et il devient alors sauvage.
- Regardez vous vous faire prendre, ainsi. Petite chienne. Si bonne à baiser.Quelle chatte ouverte. Puis il se retira.
- Retournez vous, m'ordonna t il.
- A genou tout de suite!restez ainsi. vous ne bougerez que lorsque je vous y autoriserai.
- Quelle docilité! vous êtes si facile à prendre en main, Mademoiselle Lane.
Il prit une gorgée de son verre et se dirigea vers le peignoir suspendu à côté de la salle de bain. Il en tira la ceinture.
- Donnez moi vos mains.
Je me retrouvais ainsi attachée,à ses pieds.
C’est alors qu’il se positionna au dessus de moi.
- Sortez votre langue. Léchez avec délicatesse mon gland, savourez-le. Petite putain.
Ma langue se delectait de son sexe quand tout à coup, il planta son sexe au plus profond de ma gorge, tout en maintenant ma tête avec ses mains.
J’avais envie de protester mais je ne pouvais pas. Il me baisa par la bouche puis se stoppa tout en remplissant ma bouche de son sexe. J'étais ainsi impuissante.
Il se retira alors d'un geste brusque.
Il me mena par la cravate qui faisait office de laisse jusqu'au fauteuil.
Je me retrouvais alors à moitié allongé. Il fixa mes mains à la tringle des rideaux et m'écarta les jambes.
- Quelle belle position, Mademoiselle Lane.
Gardez bien vos jambes relevez sinon je serai obligé de vous punir.
Il passa sa main sur mon sexe. Et découvrant le flot de mouille qu’il y avait, il sourit.
- Je vois que vous aimez être traitée ainsi ma chère, n'est ce pas?
- Avec un certain sourire, je ne pouvais qu'approuver.
Je sens que je vais rentrer soit dans votre petite chatte ou dans votre fion, comme dans du beurre. Toute cette mouille..
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La messe, par SoeurClo et Monseigneur Softail
Voilà t-y pas que Sainte (on peut toujours y croire) Kate et Jésus (il doit être d'origine latine) Phoenix nous demandent à Soeur Clo et moi-même une messe spéciale. Rien que ça. Bon j'en veux aussi un peu à Loic33 qui a force de m'appeler Monseigneur (titre certes usurpé mais que je déteste point au demeurant), a du contribuer à faire germer cette idée saugrenue dans leur esprit déjà fécond. Ceci dit il s'est largement rattrapé depuis en commettant notre notre photo du jour, il donc -presque- absous. Merci donc frère Loic,
Un sermon spécial passe encore. Eddy Mitchel en a bien trouvé un remarquable. Mais m'imposer l'assistance de SoeurClo ! Bah comme tout serviteur de notre seigneur qui se respecte, c'est que je les aime bien moi mes jeunes enfants de cœur... En plus c'est une vraie chaudasse la Clo sous ses airs de sainte qui touche, spécialiste des tenues outrancières sous sa chasuble de nonne ; son corset de cuir et bas résilles n'avaient pas laissé Moral indifférent la dernière fois qu'elle s'était changée dans la sacristie. Difficile de ne pas éclater de rire non plus quand elle m'expliqua que son ordre religieux intimait les voeux de pauvreté (passe encore), chasteté (et la marmotte...), ainsi que d'obéissance (Jésus Phoenix lui même a des doutes sur le sujet, c'est dire).
Elle m'avait parlé de son ordre pendant que fidèle à son habitude, après s'être copieusement plugé le cul, elle enfilait ses boules de geisha avant la messe, sans cela elle n'était pas concentrée et ne disait et faisait que des conneries parait-il. Bon perso, je n'ai pas vu de grandes différences sur ce sujet avant, pendant et après, bref. Donc notre moniale avait rejoint l'ordre des cisterciens. Chemin faisant elle s'étaient arrêtée voir la veille, les frères, les purs, de l'abbaye fondatrice à Citeaux justement (pardon pour cette parenthèse aussi véridique qu'historique pour ceux qui n'espéraient que du BDSM), à côté de notre sainte paroisse dijonnaise. Ses yeux cernés, ses traits tirés (eux aussi), témoignaient certainement d'une soirée contemplative, signe de leur ordre. Quand je lui fit subtilement remarquer (« j'taurais bien dis que ta la tête dans le cul poulette ce matin, mais même mon cul à l'air plus frais que toi »), elle argua que c'était le planning quotidien de l'ordre, dimanche compris évidemment, de se lever à 4h30 pour la première prière. Je venais de comprendre d'où venait le non de l'ordre de Citeaux (oubliez l'autre explication donnée par Wilkipédia).
Bon comment passionner mes ouailles passablement perverties du forum ? En leur disant la vérité pardi, et en faisant appel à leurs plus bas instincts (heureusement pas besoin d'aller chercher très loin).
_ SoeurClo ...
_ Oui Monseigneur ?
_ Raccourcissez votre chasuble, mi cuisses disons . Voilà à la limite de votre jarretière.
_ Mais...
_ Oui bah on voit vos crocs, c'est pas grave. Pareil pour le haut.
_ A mi cuisses aussi ?
… Soupir... Saint Phoenix ouais.
_ Allez, aérez moi un peu cette par ailleurs jolie paire de nichons. Voilà que ça déborde un peu du corset. Ah oui une dernière directive : pendant l'office, ne dites rien, ne faites rien, je suis déjà assez dans la merde comme ça. Pour vous occuper vous tiendrez le cierge, il paraît que vous faites ça très bien. Et puis arrêtez de vous trémousser!
_ C'est que... Ce sont mes boules Monseigneur qui font effet...
_ Oui bah moi aussi j'en ai et je reste sobre non ? Ah si une dernière chose : la musique. Quand vous enverrez les cantiques, ne confondez pas cette fois. Je vous rappelle vos choix discutables lors de nos dernières visites de charité : « allumez le feu » au crématorium , « alors on danse » au centre pour handicapés, « Papaoutai » à l'orphelinat, « où sont les femmes » au bar gay de la gare, « et tu tapes, tapes, tapes c'est ta façon d'aimer » au centre pour femmes battues...
C'est pas le tout mais que vais-je leur dire moi à cette bande de mécréants dépravés ? L'évangile selon Sainte Kate sûrement. Verset 69.
Mes bien chères soeurs, mes bien chers frères (tu parles d'une famille...),
Ce matin comme chaque dimanche en vous levant après avoir dignement honoré votre évidemment légitime épouse, n'est-ce pas (note pour moi-même : je me demande bien pourquoi on les appelle les fidèles), les moins croyants de notre petite communauté de la Chapelle Fistine ont du se dire : mais à quoi bon aller entendre toujours le même genre de sermon ? Et bien je vais vous le dire : le Christ est sexe, et même adepte du BDSM !
Je vois à votre mine dubitative que le doute vous habite. Je vous invite à ouvrir votre esprit autant que Soeur Clo ses cuisses. L'évangile est truffé de clin d'oeil pour qui sait les voir. Déjà le mot pieux revêt bien des sens n'est-il pas ? De même le Seigneur de prônait-il pas l'amour ? Qui a dit qu'il devait être uniquement spirituel ? Aimez-vous les uns les autres est bien évidemment une divine incitation à la partouze ! La mer rouge qui s'ouvre est bien entendu une allégorie aux cuisses de votre bien aimée. Et passons sur l'exhibitionnisme du Christ qui se promenait en pagne.
Soeur Clo, cessez de vous trémousser s'il vous plait.
Pour en venir au sujet préféré des pervers que vous êtes, oui, évidemment le Christ est BDSM. D'ailleurs pour certains d'entre vous le BDSM EST une religion à part entière. Son chemin de croix, la flagellation et le reste nous montrait évidemment non seulement la voix mais aussi ses penchants pour les sensations fortes que nous affectionnons tant. Saviez-vous qu'avant d'être crucifié, il fut attaché à la croix ? Hymne au bondage évidemment. Certes la couronne d'épines est couramment remplacée de nos jours par les orties, mais là encore ne s'agissait-il pas d'utiliser les ressources de dame nature pour satisfaire à notre passion, En parlant de cela, la passion du Christ, ne viendrait-elle pas de là ???
D'ailleurs l'église catholique a su lire entre les lignes et suivre ce chemin : l'inquisition et ses pratiques délicieuses n'en sont que la suite logique. Certes de nos jours on a remplacé le bûcher par la cire, un peu moins définitif...
Mais revenons à notre Seigneur, connaissiez-vous son prénom secret, André ? La croix, vous faites enfin le lien ? Vous allez me dire , celle chrétienne est droite ! N'avez-vous jamais vu d'icônes représentant la chute du Christ, Croix toujours sur l'épaule ? Et oui elle était bien inclinée. Quand on vous attache à la croix de Saint André, ce n'est dans d'autre but que d'atteindre la rédemption via la douleur. Que vous faut-il le plus devant cette évidence bande de mécréants ?
Soeur Clo, allez-vous cessez oui, vous me déconcentrez !
Et la vierge Marie dans tout cela ? Sa Domina voyons ! Inaccessible, ce qui explique sa virginité ? Elle toujours debout alors que lui était souvent à genoux. Une évidence vous dis-je !
Qu'ajouter ? La grande partouze finale, immortalisée dans la Céne par léonard de Vinci est l'ancêtre du bukkake : prenez et mangez-en tous ! La multiplication des pains (dans la gueule ou ailleurs), bref n'en jetez plus la cour est pleine.
Alors mes chères ouailles, je vous attends fervents pratiquants de notre belle religion, et pas seulement le dimanche s'il vous plaît. Allez en pets (et oui même cet déviance ci vous avait échappé malgré son évidence), Jésus Phoenix et Sainte Kate vous bénissent. Vous pouvez jouir Soeur Clo.
Amen.
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1) Je suis issus d’une fratrie de 4 enfants je suis la seule fille je me plais à dire que je suis fille unique ben oui tout les autres on eu un zizi 🤣🤣🤣
2) Je suis parfaite 🤩😏😌😊 parfaitement imparfaite 🙄🙄🙄 et oui au moins j’ai le mérite de le savoir
3) Un humour décaper et décapant j’aime l’autodérision les jeux de mots qui permettent les sous entendus bien placé 😏😏😏 sous la ceinture bien évidement je suis lubrique.
4) Je suis têtu, fier, j’ai un ego un peu mégalo et je suis orgueilleuse 😅😅😅pourtant pour faire plaisir à mon Maître je suis capable de mettre tout ça de coter☺️☺️☺️
5) J’ai portez la vie 4 fois et mis au monde 3 garçons et oui hein je suis toujours entouré de beaux gosses 😜😜😜 j’ai très mal vécu ma fausse couche ça reste un sujet délicat
6) Je suis quelqu’un de sérieux dans mes engagements mon maitre me dit binaire c’est tout ou rien noir ou blanc
7) Je suis souvent dans l’introspection j’ai souvent peur d’avoir blessé par maladresse les mots peuvent parfois être tellement violent j’ai absolument rien d’une sadique.
8) j’ai grandis avec un sentiment de culpabilité ma mère est croyante et j’ai été bercé dans la religion Jesus est mort pour moi pour un enfant binaire c’est très culpabilisant je pense que c’est rester au fond de moi je me sens coupable facilement. Par contre le petit Jesus je le préfère qu’on me le mets dans la crèche 😜😜😜
9) A 18 ans j’ai ma meilleure amie d’enfance qui c’est suicidé en voiture elle a foncer dans un arbre sur une ligne droite. Depuis je suis incapable de noué des liens qui dure dans le temps je ne passe que dans la vie des gens j’ai qu’une amie dont l’amitié perdure c’est elle qui m’a aidé à tenir bon à cette époque même si j’ai été dure avec elle un animal blessé c’est rarement tendre quand ça a la chaire à vif.
10) Je travaille dans le médico social j’ai aimé mon métier et je lui ai beaucoup donner depuis le Covid et ma fausse couche je me suis mis en réserve je suis dans un lieu de vie où il y a de l’agressivité quasi journalière et des gros troubles du comportements l’autisme est un univers à part et plus particulièrement quand les conditions institutionnelle ne sont pas ou top
11) Autant engage je suis un ange autant sans engagement je suis un 😈 j’évite de rester trop longtemps seule j’ai bien compris que j’ai besoin d’un ancrage sinon je fais vraiment n’importe quoi une vrais boule de flipper.
12) j’étais une vrais tête brûler j’ai traverser plusieurs fois la France pour rejoindre des hommes pour qui j’avais un coup de coeur je suis revenu déçus à chaque fois quand on s’attend à être tenus et qu’au final personne ne tiens rien….
13) J’aime ma relation avec mon maitre elle me permet de lâcher prise et faut dire que ce début d’année m’a pas fait de cadeau l’annonce du cancer de mon père la c’est le mari à ma mère à qui on vient d’annoncer une leucémie … je pensais avoir un peu de repris la génération de mes grands parents c’est éteinte il y a juste 2 ans
14) Je suis souvent dans un monde alternatif lunaire je vois pas le temps passez quand je suis en mode vianney t’es ou pas la …🎶🎶🎶
15) Parfois ne pas être pour moi est un soulagement en même temps j’ai peur de plus pouvoir vouloir revenir.
16) J’ai un rapport particulière avec la douleur physique je crains les marques mais pas de souffrir je pense que là douleurs du corps et quantifiable celle du psychique ne l’es pas
17) Mes frères on eu une période de sadisme vis à vis de moi quand j’avais environ 10 ans ils se mettaient ensemble pour me chatouiller jusqu’à se que je me pisse dessus parfois plusieurs fois dans la même journée ils finissaient par se moquer et moi je pleurais 🙄🙄🙄 avec le recule je me dis que j’aurais du leurs pisser dessus 😂 ça les auraient calmer
18) On jouaient aussi à des jeux que je retrouve maintenant se balancez dans les orties se courser avec des tiges de noisetiers pour se frapper avec courrir dans les champs de maïs vive les micros coupures 😅😅😅
19) Une famille de Fou j’ai pris de la distance quand je suis devenu maman l’instinct maternelle et de protège de la folie
20) Je suis grosse mon imc me classe en obésité morbide mais entre nous je m’en fous royale je me coupe mes ongles des doigts de pieds toute seule donc tout vas bien 😂😂😂
21) J’aime pas le mensonge et les gens faux cul
22) pour moi la confiance est la chose la plus importante j’estime que quand il y a confiance on peut tout se dire pas de mensonge pas d’omission on n’a confiance dans la capacité de l’autre de nous comprendre.
23) j’aime m’ouvrir pour mon maitre même si au début j’ai crus plusieurs fois que j’allais pas y arriver j’ai même pleuré
24) Et oui je pleure rarement mais quand ça vient c’est pas un peu en plus j’alterne avec le rire parce que je me trouve complètement pathétique de pleurer et après je pleure parce que je suis pathétique enfin c’est un joyeux bordelle tout ça 😂😂😂
25) la vie n’est pas une longue fleuve tranquille mais p…. qu’elle est belle!
26) je regrette rien je suis toujours pour allez à fond et au font même du trou 🤣🤣🤣
27) c’est mon numéro préférée je suis née un 27 bon j’étais pas chaude pour sortir ils on dû allez me chercher avec une ventouse j’avais déjà besoin d’accessoire 😅😅😅
28) J’aimerais bien découvrir le sexe avec une femme et qui sait peut être crée une relation
29) je suis juste moi avec mes mille et une facette
RAPPEL DES REGLES DU JEU:
Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife.
Si vous cliquer sur "j'aime", je vous donnerais un nombre entre 1 et 50.
Vous devrez alors:
1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné
2 me dédicacer le titre de la manière suivante" X choses sur moi pour soumise x le trou
3 le publier dans la section article
4 me le faire savoir
Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
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Des mains sur une peau douce comme un trésor
Descendant lentement sur tout le long du corps
Des mains longues, fines et affectives
Délicates, caressantes, imaginatives
Des mains découvrant avec délectation
Des courbes soyeuses en appréciation
Des creux, des arrondis, des dénivelés
Divins, voluptueux, sensuels et bombés
Des mains qui s'aventurent en sensualité
Vont et viennent vers ce mont adoré
Délicat renflement généreux, goûteux
Découvrant un corps offert, harmonieux
Des mains qui explorent tout en douceur
Dévorant avec ferveur cette offrande
Dessinant des ronds sur cette amande
Délivrant ainsi un plaisir dévastateur
Le 20 08 2017
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A la pointe de ses seins
A la cambrure de ses reins
Que l'on accorde à ses désirs
Les plus exquis de ses soupirs
A la pointe de sa langue
A ses hanches qui se tanguent
Que l'on sublime ses envies
Pour un délice d'une nuit
A son beau visage, diablesse
A ce sourire plein de finesse
Que l'on joue de cet accord
A frisson du coeur-à-corps
A la pointe de ses seins
A ses courbes, à ses reins
Qui se cambrent et pas sages
Qui enchantent et vous ragent
A ce derme qui se dévoile
A ses yeux, retirer son voile
Que l'on succombe à sa peau
Qui frissonne à bien des maux
A ce corps hot, enflammé
A cette femme, sensualité
Que l'on désire passionnée
Qu'elle s'offre en toute liberté
Vêtue de ses dentelles, sensuelle
Elle se love délicieuse, amoureuse
Du bout de ses doigts, déesse
Elle entraine jusqu'à l'ivresse
Le 27 07 2017
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Patricia n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules
de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Après quelques hésitations et l'accord de Monsieur X, je me lance et vous partage... selon mes mots...
Je ne suis pas une artiste des mots comme certaines ou certains d'entre vous, que j'admire! (je pense à une personne en particulier qui se reconnaîtra ;) )
Je suis plutôt une femme qui parle en image mais parfois, il faut sortir de sa bulle de confort et se lancer.
Mon écrit n'est pas récent, mais qu'importe, le but est d'échanger ^^
Belle lecture.
#### Après avoir déposé mes clés et mon sac sur la table, je me dirige dans la pièce peinture, là où se trouve une de des garde-robes et l’étagère à chaussures. Sur celle-ci je dépose ma paire d’escarpins brune que je portais lors de mon rendez-vous avec Monsieur X. Je les adore ! Simple et sexy, idéale pour une première rencontre. Je continue à me déshabiller en enlevant ce joli gilet noir qui s’adapte à toutes les tenues… et puis d’abord, pourquoi porter quelque chose en dessous, j’y penserai la prochaine fois. Puis vient ce pantalon noir à taille haute, très classique que je ne manquerais pas de reporter. Je défais les boutons un à un pour ensuite le laisser tomber sur mes chevilles. Je finis par enlever ce superbe body transparent à dentelle noir, qu’est-ce qu’il a du succès ! J’aime entrevoir entre la dentelle la silhouette de mes seins, c’est une des parties de mon corps que j’apprécie le plus.
Nue, je me dirige vers la cuisine, me sers un verre de vin rouge et en bois une première gorgée que je savoure posée contre le meuble de la cuisine, de l’autre main je me caresse la fesse droite. Elle est chaude et me brûle un peu, ça me plait. Je regarde par-dessus mon épaule droite pour voir celle-ci, elle est rouge, je distingue les marques. Je décide de me rendre dans la salle de bain et m’observe avec attention dans le miroir… Mmm mais qu’est ce que j’aime ses marques sur mes fesses, c’est beau, c’est magnifique ! Une certaine forme d’art, de création. Dans ce miroir, j’admire ses marques… ça me plait.
Quel plaisir de se faire accueillir de telles façons ! Le lieu, le cadre, lui…
Peur ? Non. Anxieuse ? Un peu. Curieuse ? Enormément. Excitée ? A la folie !
« M’imaginer encore attachée, les yeux bandés, debout le haut de mes escarpins, vous me regardant, m’examinant, me caressant, me pinçant…. Mmm vous entendre prendre vos accessoires de « torture » ou de « plaisir » ? Les deux me conviennent… quelle excitation j’ai éprouvé et le tourment de devoir dire stop…
Me faire fouetter, pincer, fesser, me donner l’honneur de vous occuper de chaque partie de mon corps, a été une extase partagée avec vous, Monsieur.
Malheureusement mon trou, trop petit pour vous convenir, pour l’instant, ne demande qu’à être mieux préparé pour vous être présenté au prochain rendez-vous. Mais… pour ma défense, celui-ci est ma partie la plus délicate et à besoin d’un peu plus de soin et de compréhension.
Mais en contrepartie, sachez que tout mon corps vous est offert Monsieur.
Oui Monsieur, la Soumise que je suis souhaite en connaitre davantage sous vos mains entrainées et votre regard vigilant ». #####
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Je crois en cet amour
Qui nous lie l'un et l'autre
Constante chaque jour
Alors que la relation est autre
Je crois en l'évidence
De l'union de nos coeurs
Nous mesurons la chance
D'avoir vécu un tel bonheur
Je crois en cet émoi
Auquel je m'abandonne
Nous guidant, Vous et moi
Au 'plaisir' que l'on se donne
Je crois en la passion
Qui demeure constante
Même au gré des saisons
Et nous rend, rassurant
Je crois en cette force
Que l'on puise en Nos yeux
Et qu'un dialogue s'amorce
Pour nous fait sentir mieux
Je crois au temps qui passe
N'altérant que le corps
Mais bien inefficace
Sur les sentiments forts
Je crois en Votre signature
Qui défiera les années
Indélébile est cette écriture
Gravée pour l'éternité
Le 25 juin 2015
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Tu me regardes très complice
Attendant mes doux supplices
Ma badine caresse tes cuisses
Habillée de dentelles et cuir
Je t'attache et tu me souris
Je vais pourtant te punir
Une main dévouée à sévir
Te fesse, attise mes désirs
Jusqu'à te faire rougir
Te sentant bien mouillée
Vers ton sexe, je me suis penché
Pour aller vérifier cette humidité
Tes lèvres bien écartées
Je commence à flatter
Les contours du point G
Tu gémis et te tortille
Là, je saisis la torpille
Le gros gode qui t'émoustille
Entravée, à ma merci
Je suis plein d'envie
Alors que je te l'introduis
Avec douceur dans ta faille
Ce phallus de fort belle taille
Te remplit jusqu'aux entrailles
Je le laisse en toi planté
Je m'occupe avec doigté
De ton autre intimité
L'anneau est doux au toucher
Mon majeur vient le boucher
S'attarde à s'y enfoncer
Je vais, viens, te voilà prise
Toi la soumise si expressive
Tu excites ma gourmandise
Je te lime, tu prends plaisir
J'aime ainsi te faire jouir
Jusqu'à en hurler de délice
Le 27 03 2017
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l’envie était trop forte aux acheteurs de baiser cette salope et de s’occuper de ses trous encore ouverts .
au moins une dizaine ,voire quinze hommes leurs queues dressées, car natacha ne put les compter , entourèrent la femelle,
en soumission complète l’esclave s’est laissé faire de peur d’être sévèrement puni.
la douleur du fouet sur son cul lui rappela cette acceptation forcer .
de bourgeoise arrogante elle était passée en salope docile et humilier
elle commençait à comprendre qu’elle était devenu une vraie esclave sexuelle
qu’elle avait joui en public de cet état pour sa plus grande honte.
elle fut mise à genoux
« suce salope »
impressionner et effrayer par tant de membres érigés elle eut un moment d’hésitation .
malheurs à elle ,là ou on l’attendait se précipitant sur la queue comme une vorace une vraie salope qu’elle est
cette hésitation allait lui coûta cher .elle fut prisse brutalement pour les cheveux une bite lui força la bouche
avec violence pour arrive directement en gorge profonde . ce fut un choc une humiliation supplémentaire.
mais le plus bandant était son expression d’étonnement de douleur ,avec des cries étouffés des gargouillis obscènes.
la honte en public de cette introduction violente lui a été insupportable ,elle faillit vomir.
mais bien vite elle comprit qu’elle n’avait pas le choix d’aussitôt en sucer une autre puis une autre et encore, encore de passé de bite en bite
le spectacle devient vite de plus en plus hard des filets de bave se mélangeaient aux fluides des queues.
soudain comme convenu le plus gros des sexes se présenta devant ces lèvres, il était énorme et long devant la dimension natacha eut un mouvement
de recul bien vite ressaisi elle ouvrit la bouche en grand pensant uniquement sucer le gland déjà la vision de sa bouche écartelée sur celui-ci qui lui défigurait le visage
était très obscène tous regardaient le tortionnaire la saisi par les cheveux d’autres les bras l’esclave comprit ce qui allait lui arriver elle ne put rien faire
le membre pénétré sans aucun management forçant le passage de la bouche trop petite la masse de chair lui remplissant complètement la bouche
il poussa encore les yeux de la salope avaient une expression de panique ce qui excitait tous les pervers autour d’elle le membre continua
le corps de l’esclave se raidit mais elle était bien tenue des crie étouffés avec des bruits de sucions ajoutait au tableau particulièrement hard de la scène
c’était une gorge profonde très profonde car bientôt on vit la forme de son gland au niveau de son cou malheureusement l’homme ne put faire les
va et vient prévu dans sa gueule de chienne en chaleur les dents de l’esclave avec sa mâchoire écartelée au maximum risquaient de le blesser .
la future pute ne pouvait plus respirer et avait une grande envie de vomir ces réactions de désespoir se sentait sur le membre épais ce qui
excitait énormément son propriétaire qui n’en pouvant plus déchargea abondamment et fortement au fond de sa gorge . la pression du sperme était forte
c’est par le nez que celui-ci s’échappa cette scène répugnante et vulgaire réjouie l’assemblé de pervers mais l’esclave ne pensait plus qu’à sauver sa peau.
heureusement que l’homme retira sa queue ce qui permit à la pauvre salope de vomir et de cracher dans des sanglots tous les liquides qu’elle avait dans gorge.
à quatre pates avec des filets de baves qui allaient de sa bouche au sol l’esclave ressenti alors une immense humiliation et honte de ce qu’elle venait de vivre.
mais le pire pour elle était que son con que tout le monde voyait était trempée car elle avait joui de cette situation honteuse vraiment elle mérite bien son inscription
sur ses siens salope on devrait même lui tatouer définitivement son état pour tout le monde sache ce qu’elle est sa véritable nature .
comme déjà une scène rodée un des hommes se coucha par terre le dos sur le sol le membre érigé on ordonna à l’esclave de se placer à quatre pates au-dessus de lui
ce que fit aussitôt celle-ci de peur que ces malades mentaux ne lui fassent subir des dérivés extrêmes.
puis on lui demanda de s’empaler la chatte ce qu’elle fit sans problème mouillée et ouverte comme elle est .
cette chienne en chaleur était sans plus attendre elle fut aussitôt enculée et la bouche ne tarda pas à être aussi rempli.
voila elle était prise par les trois trous une triple pénétration elle n’avait jamais été prise comme ça elle criait de douleur d’humiliation et jouissances.
aussitôt que l’un se retirait un autre venait prendre sa place il y avait quinze hommes chacun voulait la prendre par la bouche la chatte et le cul
elle eu droit a toute les positions et situations
ils voulaient visiter chacun de ses orifices ils l’avait acheté aussi pour cela bientôt les trous de l’esclave débordèrent de foudres son corps son visage coulait de sperme abondant
le spectacle de cette bourge devenu objet sexuel était affligeant comment une femme pouvait devenir cette chose répugnante cette larve qui rampe pour des queues et du sperme
elle était digne de ses inscriptions sur son corps.
c’était vraiment devenu un sac à jus comme le méritait cette esclave bien salope. sa décadence était totale mais pas suffisant
il fallait maintenant la transformer en véritable pute .
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise.
Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues.
En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante.
J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette.
Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation.
Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles.
une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier
même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer !
Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente.
Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire.
J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi.
Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse.
J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela !
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J'essayais de contrôler ma nervosité tandis que je me maquillais devant la
glace de la loge. Si j'étais une telle boule de nerfs, c'est que ma partenaire
de spectacle habituelle s'était brisé le bras la veille, et qu'une remplaçante
devait aujourd'hui prendre sa place au pied levé. Il ne restait que quinze
minutes avant le début du spectacle et la jeune fille que l'agence avait
trouvée en catastrophe n'était toujours pas arrivée. J'entendais les
hommes crier et siffler dans la salle adjacente alors que Béatrice dansait
sensuellement pour eux. La porte de la loge s'ouvrit et une grande brune
aux cheveux très courts fit son apparition.
- Charlotte ?
- Tu es la remplaçante
Elle portait un court short en jean, dévoilant habilement des jambes interminables et hâlées. Ses pieds
étaient chaussés de sandales blanches à talons et dont les sangles s'enroulaient autour de ses chevilles.
Son t-shirt noir moulait des seins modestes et hauts placés. Les lunettes de soleil remontées sur sa tête
tenaient en place ses cheveux de jais. Elle avait un visage fin et gracieux dévoré par de grands yeux verts.
- Je m'appelle Juliette.
Elle me serra la main, ses longs doigts touchèrent mes poignets. Elle me dominait d'une bonne tête, et je me
demandais aussitôt de quoi nous aurions l'air sur scène. Je profitais du moment où Charlotte se débarrassait de
tous ses vêtements pour la contempler dans la glace; elle avait un corps magnifique, des seins durs et naturels,
un pubis lisse, et des fesses musclées. Un symbole chinois était tatoué au creux de ses reins. Ses aréoles très
roses ressortiraient sous l'assaut des stroboscopes et plairaient aux clients, car les hommes n'aimaient pas en
général les aréoles trop brunes. Je l'avais souvent remarqué.
Je me raclais la gorge, et je lui tendis son costume que j'avais pris la peine de sortir du placard. Il s'agissait un
déshabillé blanc, qui s'illuminait dans la pénombre.
- Pendant que tu te maquilles, je vais t'expliquer le déroulement du spectacle.
Charlotte prit place devant la coiffeuse. Elle n'avait pas encore revêtu le costume et elle se maquillait totalement nue,
en se penchant vers le miroir. Ses seins étaient de marbre; ils restaient obstinément collés contre sa cage thoracique.
- Ça débute sous la douche.
Elle levait les yeux vers moi, et je remarquai ses pupilles d'un vert incandescent.
- Ne t'en fais pas, l'eau est juste assez chaude. Puis, on fait mine de s'embrasser, sans contact avec la langue. Toutefois,
de leur point de vue, les clients n'y voient que du feu. Lentement, on se déshabille. Quand commencent les premières
notes de "Justify my love", on doit être totalement nues. On fait semblant de se lécher et mordiller les seins, puis on glisse
sur le plancher pour simuler un soixante-neuf. Les mecs adorent voir deux femmes se gouiner !
Charlotte termina son maquillage et se leva pour mettre son costume. Elle enfila d'abord ses longues jambes bronzées
dans le déshabillé, avant de remonter les bretelles sur ses épaules.
- Pour la finale, je jouis en me cabrant sur toi. Ça va ? Tu as compris ?
Charlotte se regardait dans la glace tandis qu'elle ajustait ses seins nobles dans les bonnets souples du costume de scène.
Devant son mutisme, je commença à m'inquiéter.
- Dis-moi que ce n'est pas ta première fois ... ?
Elle sourit franchement.
- Ne t'inquiètes pas, je vais très bien me débrouiller.
Quelques minutes plus tard, nous nous tenons derrière le rideau de velours, entassées dans une douche de verre.
Charlotte serrait ma main dans la sienne au moment où le rideau se leva et que le cri des hommes commençait à
enfler. Au son de la musique, l'eau de la douche ruisselait sur nos corps, plaquant nos déshabillés sur notre peau.
En utilisant des mouvements lancinants, l'une déshabillant l'autre très lentement, en balançant les hanches contre
la paroi de verre. Les clients étaient euphoriques; ce numéro était toujours très populaire.
Avant la fin de la première chanson, nous étions nues et nous utilisions deux pains de savon pour nous frictionner,
pour caresser nos parties intimes et nous recouvrir d'une mousse que l'eau se chargeait de rincer par la suite.
Charlotte était habile pour une débutante; elle avait le sens du spectacle. Ses yeux étaient rivés aux miens, refusant
de les lâcher. Elle s'avançait, me coinçant contre la paroi et prit mes joues dans ses mains. Puis, on se prépara à
simuler notre premier baiser. Mais, surprise, elle posa sa bouche sur la mienne avec détermination. Le rouge à lèvres
rendait nos lèvres glissantes, très douces. Sa langue toucha la mienne. J'ouvris les yeux; les siens étaient assurés,
enflammés. Je décidai de ne pas lui retourner son baiser, j'avais bien spécifié que nous devions feindre tout cela.
De mon visage, ses mains glissèrent sur mes épaules. Nos seins se touchaient, nos pointes s'unissaient. L'eau coulait
sur notre corps, sur nos sexes. Puis elle se tarit et les parois de la douche s'abattit sur le sol, nous laissant toutes deux
debout au centre de la scène. Je descendis la première, en posant mes lèvres pincées sur ses mamelons. Charlotte fit
mine d'avoir du plaisir en saisissant ma tête, en la pressant contre sa poitrine. Elle me prit par les coudes, elle me
releva et, à son tour, sa bouche se referma sur mes aréoles deux fois plus larges que les siennes. Je sentis d'abord la
succion de ses lèvres sur mes pointes, puis les petits chocs électriques du plaisir. Mais que faisait-elle donc ?
Nous devions simuler, nous devions ... Mes pensées s'embrouillaient, car sa bouche se déchaînait sur mes seins, ses
mains se faufilaient entre mes cuisses. J'étais moins consciente des cris enthousiastes autour de nous, mes seins
sensibles ont toujours été mon point faible. Comme si elle connaissait parfaitement cette faille dans mon armure, elle
passa à mon autre sein, en faisant tournoyer sa langue autour de mon mamelon enflé. Même si je me laissais tomber
à genoux, sa bouche ne lâchait pas prise. Puis, je m'allongeai sur le sol et Charlotte se plaça au dessus de moi pour le
soixante-neuf prévu. Je ne savais pas si c'était Madonna qui chantait, je n'avais plus conscience de ce qui m'entourait,
tellement absorbée par mon plaisir et ma partenaire. Sa bouche recouvrait ma vulve, sa langue me pénétrait, bientôt
imitée par deux de ses doigts. Je saisis mes pieds dans ses jambes bien hautes, totalement livrée à elle.
Je faisais l'amour devant deux cents personnes; je ne les entendais plus, je ne les voyais plus, je ne faisais que ressentir
cette langue qui roulait sur mon clitoris, ses doigts qui me fouillaient tranquillement sans hâte. Je mouillais abondamment,
ma cyprine barbouillait son menton. Sa vulve était à quelques centimètres de ma bouche, mais je ne pouvais me résigner
à la lécher, je mordillais ses cuisses, en caressant ses fesses parfaites du bout des doigts, appréciant leur douceur, avant
de glisser mon index sur sa fente soyeuse et mystérieuse.
Cependant, je ne pouvais me concentrer sur ma tâche, car les manœuvres habiles de ma partenaire eurent tôt fait de
me déstabiliser. La jouissance grondait en moi, merveilleuse, euphorique, diffuse et inconcevable. Je poussai sur mes
talons, tellement fort que mes fesses se décolèrent du sol mouillé. Ma vision s'embrouilla de larmes. Je saisis Charlotte à
bras-le-corps, en pressant ma vulve contre sa bouche, savourant la pénétration profonde de sa langue; je vibrai, je
tremblai, je m'ébrouai violemment. Puis, peu à peu, les sons et les images revinrent. L'assistance se leva et nous acclama
bruyamment. Je me levai, les jambes flageolantes, le cœur trépidant. Je tournai mon visage vers Charlotte, qui me sourit
et me prit par la main. Le tonnerre d'applaudissement ne sembla pas vouloir s'arrêter. Le rideau s'abattit devant nous.
Le Directeur de l'établissement, se précipita vers nous avec deux peignoirs, nous en tendant un à chacune. Je me drapai
dans le mien. L'entrejambe liquéfié, le simple fait de marcher provoquait un frottement très agréable mais dérangeant.
- "Juliette, C'était le meilleur spectacle que j'ai vu ... Vous étiez si enthousiastes, ça semblait tellement réel.
- Je suis heureuse que ça vous ait plus.
- Peut-elle revenir demain ?
- Je vais voir avec elle. "
En réalité, je tenais à ce qu'elle revienne, non seulement ici sur scène, mais surtout dans mon lit.
Jusqu'à ce jour, l'idée de faire véritablement l'amour à une femme ne m'avait même jamais effleuré
l'esprit. Tout ce que je désirais maintenant, c'était de dévorer Charlotte à mon tour, de goûter au sexe
féminin sans faire semblant. Je voulais qu'elle m'initie à l'amour lesbien. Toute étourdie et haletante
de bonheur, qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à son parfum intime âpre et fin.
Serait-elle hautaine et inlassable dans ses exigences ? Était-ce la soumission qui me tentait ?
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise.
Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues.
En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante.
J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette.
Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation.
Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles.
une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier
même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer !
Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente.
Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire.
J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi.
Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse.
J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela !
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Comme je l'ai exposé précédemment, la distance est à la fois une faiblesse et un atout dans la relation BDSM. Mais l'enjeu majeur pour la faire durer est de combattre le doute. Il y a de nombreux facteurs qui viennent entamer le lien qui unit Maître et soumise et suivant l'importance qu'on veut bien leur donner, ils peuvent parfois en venir à bout. Il convient de savoir les reconnaître et y faire face ensemble. Car une relation BDSM à distance, ce n'est pas deux individus éloignés l'un de l'autre, c'est la somme des raisons qui poussent ces deux personnes à se faire mutuellement confiance.
1 - D'où vient le doute et à quoi ça sert ?
Avant tout, il convient de s'interroger sur l'origine du doute en lui-même. Qu'est-ce qui pousse deux personnes parfaitement heureuses dans leur relation à s'interroger sur le bien fondé de celle-ci ?
Le doute est humain, il vient de notre capacité à nous remettre en cause en permanence. Contrairement à la grande question sur la vie, l'univers et le reste dont on connaît la réponse : 42 ; on se pose toujours un nombre incommensurable de questions existentielles, auxquelles des générations de philosophes n'ont pas encore trouvé de réponse simple. Le doute est l'ennemi de la D/s à distance quand on s'interroge sur le bien fondé de sa propre condition et que l'on se demande si l'on doit poursuivre dans cette voie. Après tout, pourquoi obéir à quelqu'un qui ne peut pas me toucher, dont je suis séparée par un écran (et plusieurs kilomètres) ? Pourquoi ne pas l'abandonner et en trouver un plus près qui pourra mettre de vraies fessées ?
Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la réponse c'est le doute. Une soumise rechigne à quitter son Maître parce qu'elle sait ce qu'elle a avec son Maître mais ignore ce qu'elle trouvera ailleurs. Et si mon Maître était parfait pour moi, malgré la distance ? Et oui, le doute et la distance ont un point commun, ils sont à double tranchant. Autant ils peuvent facilement couper les liens qui unissent une soumise à son Maître, autant ils peuvent se planter dans l'âme et la chair pour y laisser des marques indélébiles. Car le doute, c'est aussi ce qui permet à la soumise de s'améliorer : Suis-je dans la bonne position ? Ai-je bien compris les ordres ? Mon Maître sera-t-il satisfait ? Autant d'interrogations qui font progresser la soumise. Pour elle, petit à petit, le doute va se lever et se muer en certitudes.
Celle d'avoir bien choisi son Maître, celle de vouloir le servir à tout prix. Et pour conjurer ses doutes, la soumise peut toujours se reposer sur son Maître, sur sa force, sa volonté... et son absence apparente de doute.
2 - Les pressions extérieures
Le doute est donc un questionnement personnel permanent, inhérent à chacun de nous. Si ses racines sont profondément ancrées en nous, des facteurs extérieurs peuvent favoriser sa croissance tels l'engrais ou une pluie printanière. Il s'agît essentiellement de pressions sociales, familiales ou amicales.
Trop peu d'entre nous ont la chance d'avoir des parents adeptes du cuir et du fouet et d'avoir reçu de leur part, en cadeau d'anniversaire, des menottes qui ne soient pas accompagnées d'un pistolet en plastique et de son étoile de shérif. Pour l'immense majorité, la première pression est familiale. Mais que vont penser mes parents ou enfants s'ils me surprennent lors d'une séance ? Et comment leur expliquer que j'aime fouetter ma partenaire ? Me faire attacher ? Porter une cage dont quelqu'un d'autre a la clé ?
Par contre, pour vous faire douter, rien de tel que le regard déçu de papa/maman. Vous savez, ce regard qui incarne tout à la fois tristesse, honte, incompréhension et culpabilité. Ce regard qui s'accompagne de cette petite phrase assassine : "non, pas mon enfant".
Pour les plupart des gens "vanille", nous sommes des déviants. Nous faisons fausse route et nous avons tort. Ils en sont tellement persuadés qu'entre leurs promesses d'opprobre et de colère divine, on pourrait succomber à leurs arguments. Et pourtant, lorsque l'on y réfléchit et que l'on discute avec ses parents et amis, ils finissent toujours par poser la même et invariable question : "mais est-ce que ça te rend heureux ?" Et la réponse est toute trouvée : oui ! Malgré toutes les pressions extérieures, l'expression de notre moi profond nous permet de nous libérer et par conséquent de goûter un bonheur qui échappe au commun des mortels.
3 - Le doute comme instrument de soumission
Comme je l'ai écrit précédemment, le doute est souvent un frein à la relation D/s à distance. Néanmoins, pour qui sait l'utiliser, il peut devenir un liant plus solide que des fondations en béton armé. Pour cela, il faut que le doute soit unilatéral. Comme je l'ai suggéré précédemment, le Dominant ne doit jamais "montrer" qu'il doute à sa soumise. Le Maître n'a pas le droit à la faiblesse. C'est de Sa solidité que vient l'envie de la soumise de se jeter à ses pieds. C'est parce qu'il est fort, qu'il impressionne. Et par opposition, c'est parce que la soumise a besoin de se sentir chancelante sous le regard de son Maître. Parce qu'Il la maintient sur le qui-vive, par sa rigueur, par ses corrections, par ses punitions. Toutes les soumises se posent toujours la même question : "Maître sera-t-il satisfait ?" Et comme dans toute question, il y a un doute. Et c'est justement ça qui pousse la soumise à se dépasser, à en faire toujours plus pour son Maître.
Un quelconque manque d'attention du Maître, fatigué par une longue journée de travail par exemple, et la soumise remet tout en question. "Il ne m'a pas corrigée ? Il ne me prête plus attention ? Il ne m'aime plus ? Il va me remplacer ?..." Et les questions peuvent ainsi s'enchaîner et le doute va faire le beau jeu d'un Maître qui a juste été distrait pendant un court instant. Le doute, tant craint, devient ainsi l'un des moyens de soumettre les plus efficaces. Que ce soit de façon volontaire ou non.
Et justement, c'est tout un art de le distiller et de l'infuser dans de subtils sous-entendus. On pourrait même présenter cela comme de la manipulation. Mais n'est-ce pas justement la dimension psychologique, la quintessence de la relation D/S ?
Bien que tout à fait naturel et faisant partie intégrante du mode de pensée de tout un chacun, le doute est omniprésent dans la relation D/s à distance comme dans nos relations sociales. S'il peut être à l'origine d'un malaise vis-à-vis de nos familles et amis, il peut également être la source et le ciment d'une relation D/s épanouie. Car une relation se construit à deux (ou plusieurs) et l'on ne peut jamais avoir la même certitude vis-à-vis de l'autre que par rapport à soi. Et ensemble, soudés par un lien de D/s, le doute fait partie des ingrédients nécessaires pour maintenir une relation durable.
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Samedi dernier, j'ai eu ma toute première expérience avec un soumis !
Et oui, depuis le temps, je n'avais jamais eu que des soumises ou des couples avec un homme spectateur. N'étant ni homo, ni bi, j'ai tout de même succombé aux avances d'un soumis pas tout jeune.
Depuis le temps que j'en parle, ma soumise s'est faite à l'idée qu'un larbin fasse partie des meubles (et les nettoie, en plus). Car si elle n'aime pas particulièrement les tâches ménagères, moi je les exècre, abhorre et déteste. Rien que ça !
J'ai donc trouvé un soumis sur un site concurrent, où il avait publié une fort belle annonce, particulièrement bien rédigée et dont le pseudo a attiré mon attention. Très axée sur le service et la vénération, son annonce a fait mouche. J'ai donc commencé à échanger quelques messages avec ce vieux soumis. Son français impeccable et la révérence dont il faisait preuve dans ses écrits étaient autant de points positifs qui allaient orienter mon choix de le rencontrer.
En effet, après quelques messages échangés sur quelques jours, je me suis laissé aller et me suis décidé à lui donner sa chance. Et en bon dominant que je suis, je me suis imposé sous court préavis ! Histoire de tester sa volonté et sa servilité.
Je lui fixe un lieu de rendez-vous (pas trop loin de chez moi) et lui dis de m'appeler quand il arrivera. Mon intention étant de monter dans sa voiture et d'aller directement chez lui. Pour une première rencontre, on ne fait pas mieux dans la catégorie "violer l'intimité" : la voiture est un espace des plus personnels qui en dit long sur le degré de maniaquerie du conducteur et s'inviter au pied levé chez les gens, c'est un peu pareil mais en pire.
Première déception : le soumis n'a plus de voiture. Moi qui voulais l'utiliser comme chauffeur, c'est raté.
Bon, me dis-je, c'est pas grave, je vais me rendre chez lui et on verra bien. Il me désigne donc l'arrêt de bus le plus proche de chez lui et je profite de mon abonnement, payé à moitié par le boulot, pour me rendre sur les lieux.
Mon vieux m'attend à l'heure dite et à l'endroit convenu et m'a sagement envoyé la photo des horaires pour le retour. Je disposais donc de l'après-midi pour jauger ce soumis.
À première vue, il était vieux ! Je le savais mais bon, je ne me l'imaginais pas à ce point. Tout de suite quelques détails ont attiré mon attention : son t-shirt était troué à plusieurs endroits. Pour une première rencontre, il ne s'était pas mis sur son 31. Nous allons donc en direction de chez lui, en échangeant très peu. Tout le long du trajet, il m'appelle "Maître" et se comporte avec une déférence exemplaire. Nous arrivons chez lui et je rentre dans son petit appartement.
Bien évidemment, c'est vieillot mais bourré d'étagères pleines de livres. Se côtoient Zola, Hugo, Conan Doyle et tant d'autres. Ce vieux soumis est un érudit, comme me l'avait déjà révélé son pseudo.
À peine le temps d'admirer la bibliothèque, que mon vieux est à genoux, prosterné à mes pieds qu'il commence à embrasser. Enfin mes espadrilles pour être plus précis. Pour couper court aux mauvais esprits : oui, les espadrilles c'est là classe dans le sud !
Ayant très rapidement compris que j'avais devant moi un fétichiste des pieds, je sors mes pieds de mes espadrilles et mon vieux s'épand en remerciements. En ayant marre d'être debout, je m'installe dans le canapé et pose mes pieds sur un tabouret. J'ordonne "Lèche !" et il s'exécute. Pour ceux qui n'ont jamais eu l'occasion de se faire nettoyer les pieds à coups de langue, sachez que c'est très plaisant, ça chatouille agréablement et vu le temps qu'il a passé à les lécher, je crois qu'ils n'ont jamais été aussi propres de toute ma vie !
Bon, je ne suis pas venu là pour cueillir du muguet, je décide de mettre mon soumis à l'épreuve. Je n'ai jamais eu de soumis mâle, je me dis que c'est l'occasion d'essayer des choses plus... sexuelles. Surtout que de sentir sa langue sur mes pieds m'a filé une demi-molle à la limite de l'érection : un homme parvient presque à me faire bander ? Je lui ordonne donc de me sucer.
Et bien, ce fut une déception monumentale ! Rien ! Il a bien réussi à me faire durcir le sexe mais c'est tout. Impossible de jouir. Je lui fais mettre des pinces à linge sur ses tétons, pour que ses grimaces m'excitent : toujours rien. Je remarque juste qu'il manque d'entrainement vu qu'il est incapable de supporter une pince sur chaque téton. Plan B : je lui ordonne de s'appliquer et lui donne un délai pour me faire jouir. Et ben, pas mieux. Je dois être purement et strictement hétérosexuel ?
Devant ce constat d'échec cuisant, je ne pouvais pas rester impassible. J'ordonne à mon soumis d'aller me chercher une ceinture. Je lui fais retirer pantalon et slip et le mets à plat ventre devant moi. Je marche sur sa main droite pour l'immobiliser et lui assène un bon coup de ceinture qui marque immédiatement ses fesses ramollies. Il me remercie de le remettre à sa place et je continue de lui mettre des coups de plus en plus forts jusqu'à ce qu'il me supplie de frapper moins fort. Notez bien : moins fort, pas d'arrêter ! Je continue donc à lui en mettre une paire, juste parce que je suis cruel quand je m'y mets (et surtout parce que ça se voit qu'il adore souffrir). Avant d'endommager irrémédiablement son postérieur, je le fais se relever et se rhabiller. Ensuite, je lui donne l'ordre de me rhabiller. Je vérifie que tout va bien, qu'il n'a pas trop mal, le récompense en le laissant lécher mes pieds une dernière fois et décide que c'est la fin de l'aventure pour aujourd'hui. Il me raccompagne bien sagement jusqu'à l'arrêt de bus, en ne tarissant pas d'éloge sur mon maniement de la ceinture et de mon attitude en général et ma virilité. Tout le long du chemin, il s'excuse de ne pas avoir réussi à me faire plaisir, me remercie pour l'avoir puni sévèrement et me supplie de l'accepter comme esclave.
Au final, cette journée n'aura pas été si mauvaise que ça. Mais malheureusement, je n'aurais pas trouvé l'esclave de mes rêves. Mais bon, dans la vie, il ne faut pas désespérer. Je finirais bien par le trouver, mon larbin parfait.
En mon âme et conscience, j'avais décidé de laisser une chance à mon vieux lécheur. J'était prêt à le prendre à mon service comme larbin. Et oui, même s'il n'avait pas de voiture, même s'il ne me fait pas jouir et même s'il aurait fallu adapter mes horaires pour le dominer en fonction des transports en commun. Mais voilà, si je ne suis pas homo, mon vieux est misogyne et il m'annonce par mail qu'il ne supportera pas l'arrivée de ma soumise. Du coup, je pense que je ne vais pas le prendre à mon service. Par contre, sa servilité et sa soumission m'ont profondément touchés. Et comme il est sans Maître depuis 3 ans, son besoin est palpable. Du coup, j'ai décidé d'écrire cet article pour lui faire un peu de pub et donner envie à un Toulonnais de le prendre à service. C'est un esclave idéal pour un étudiant : il vous fera économiser des heures de ménage et a besoin de faire des offrandes à son Maître (faire les courses, etc.)
Avis aux Toulonnais célibataires ou homosexuels qui auraient besoin d'un esclave : n'hésitez pas à me contacter pour que je vous mette en relation.
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Et si ? Et si je publiais mon premier article ?
J'ai eu envie de partager avec vous ce petit et joli moment de grâce.
Il me semble qu'on y parle d'un certain nombre de sujets qui feront échos chez certain.e.s d'entre vous.
Ma prof de philosophie en Terminale avait coutume de répéter « la vie est au risque » et je tache de vivre selon cet adage.
Oser faire. Oser vivre. Se sentir libre.
Pour avoir une vie digne d’en porter le nom.
***********
« Et si ? »
Nous sortons du bar. Une paillotte sur la plage en vérité.
Derniers éclats de rire échangés. Ils partent, leur voiture disparait dans la nuit.
Je me dirige vers la mienne. Y dépose mes affaires.
Mais je n’ai pas envie de rentrer tout de suite.
Voilà des semaines que je me plains de ne pouvoir voir les étoiles depuis chez moi, la nuit étant trop éclairés de lumières artificielles.
J’attrape une serviette et me dirige vers la plage.
Je cherche un endroit dans l’ombre. M’allonge après avoir rapidement disposé ma serviette.
Mais la paillotte projette beaucoup trop de lumière, et de toutes façons, la lune sera pleine dans quelques jours…
Alors je me redresse et me plonge dans la contemplation du reflet de celle-ci, qui souligne en contre l’ombre des vagues.
Le bruit du ressac emplit tout l’espace sonore.
Le temps s’étire.
Je me sens la témoin privilégiée de ces nocturnes secrets.
Je me sens attirée par cette mer, calme sous la douce lumière.
Et si ?
Et si j’allais m’y baigner ?
La soirée est douce. L’eau est certainement agréable au regard de la température extérieur.
Et si ?
Et si j’osais y aller nue ?
Je regarde. A priori je suis seule sur cette plage… Mais si ?
Je n’hésite pas longtemps. Je me lève, passe ma robe par-dessus ma tête – mon seul vêtement, puisque je n’avais rien emmené pour me changer après le bain de cet après-midi – un sourire incrédule étirant le coin de mes lèvres à l’idée de ce que je suis entrain de faire.
Et je m’élance résolue vers le rivage, baignée par les rayons de l’astre.
J’ai conscience de mes formes vallonées qui se meuvent.
Si un impromptu indiscret est là, il doit bien se rincer l’œil.
J’entre sans ralentir dans l’eau
qui m’enveloppe, accueillante,
témoin réjouie de mon audace.
Et plonge dans l’élément ami.
Un léger rire s’échappe de mes lèvres, tandis que je barbotte, tranquille.
Tout comme la mer qui s’étale sous le regard paisible de la Lune. La scène est encore plus belle d’ici.
Je descends mon regard vers mon corps. Mes seins flottent dans l’eau. Voilà longtemps que je n’avais nagé nue ainsi. Moi qui pourtant aime tant cette sensation, je n’ai que quelques vagues souvenirs adulescents.
Je nage. Et admire mon corps qu’on devine parfaitement sous l’eau. Ris encore d’avoir osé.
Osé laisser mes affaires sur la plage. Osé enlever mon vêtement. Osé faire ces quelques mètres malgré un hypothétique témoin. Osé bravé l’interdit, l’indécent, le quand-dira-t-on. Osé aller dans l’eau, en plein nuit, alors que j’en ai peur. Osé passer outre cette dernière.
Je nage encore un peu.
Libre.
Je ne reste pas longtemps malgré tout, peu rassurée d’avoir laissé mes habits sur la plage, du risque d’une présence menaçante, sur terre comme dans la mer.
Je sors. Franchis, déterminée et fière, comme à l’aller, les quelques mètres qui me séparent de ma serviette, m’enveloppe dedans. Je ramasse mes affaires, me dirige vers ma voiture, et tandis que je frissonne, je souris.
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Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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Au risque de ne pas être dans l’air du temps, je préfère m'assumer «sexuée» plutôt que «genrée ».
Je suis « née » femme et m’en porte plutôt bien, merci.
Même si, sur le plan purement esthétique, je suis plus sensible à la beauté d’un entrejambe masculin qu’à ce dont la nature m’a pourvue.
Mais en la matière mes goûts sont moins importants que l’attrait que vous y trouvez vous, Messieurs.
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N’en déplaise à Freud et ses disciples, je n’ai jamais ressenti comme frustrant le fait de ne pas être dotée d’une queue.
Et le seul « manque » que j’ai pu éprouver à ce sujet, c’est lorsque je suis privée de celle d’un mec.
Plus vraiment d’actualité, heureusement 😀
Je ne me sens pas non plus, dans ma vie, « victime » des hommes.
Sauf quand je me « veux » la « victime » de mon Maitre.
Bien sûr, la société, nos histoires, nos parcours personnels, ont contribué à façonner une image de la femme (et des hommes) que nous portons avec nous et renvoyons aux autres.
Mais une image, n’en déplaise aux adeptes de la théorie des genres, qui n’est pas unique mais multiple.
Et propre à chacun de nous.
Alors, peu m’importent les « genres » des uns et des autres.
Hétéros, homos, lesbiennes, trans ou que sais-je.
Ce qui m’intéresse, c’est ce qu’ils sont.
Leur vérité.
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Certains de mes amis très proches sont homos.
Je les adore pour leur liberté, leur humour, leur façon de se vivre.
Mon seul regret, vis à vis de certains, c’est que leurs « préférences » excluent d’autres « proximités ».
Bon, c’est vrai qu’avec l’un d’eux au moins j’ai essayé.
Avec son accord quand même, un soir où nous avions un peu bu et fumé.
Ça n’a pas été de la tarte, mais comme je suis plutôt du "genre" obstinée, je suis quand même parvenue à mes fins.
Même si par la suite, il est retourné à ses anciennes amours 😀
J’ai aussi essayé les femmes.
Mais là, c’est moi qui n’était pas en phase.
Du coup, aujourd’hui, ayant fait le tour de la question, je me contente de leur amitié.
D’autant que pour le reste, je suis pourvue.
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Alors, oui, je préfèrerai toujours me dire sexuée que genrée.
Parce que, n'en déplaise à Beauvoir, j’aime "être née" femme et j’aime le sexe.
L’activité autant que l’instrument.
La queue de mon Maitre et l’usage qu’il en fait.
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Troublant, pressant
Ton corps me submergeant
M'envahit sans ménagement
Me rends agissant
Ardentes, brûlantes
Tes mains vives, caressantes
Chaudes et passionnées
Me font chavirer
Rouges, troublantes
Tes lèvres envahissantes
Baisent mon corps entier
Me font bien frissonner
Inquisitrice
Ta langue se glisse partout
S'invite avec malice
Dans tous mes interstices
Enfin lascive
Contre mon vît, salive
Ta bouche amatrice
M'avale et quel délice !
Provocatrice
Elle me délaisse, supplice !
Revient ensuite, complice
Sensuelle et protectrice
A mon plaisir
Elle se voue sans faiblir
Poursuivant son désir
Ainsi de me faire jouir
Oh ! c'est parti
La chaleur m'envahit
Et avec elle jaillit
Ma jouissance en sursis
Le 20 02 2017 fiction
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Elle garde au fond d'elle même des plaies à vif
Images très pénibles enfouies sur fond agressif
Les souffrances imposées ne s'effacent pas
Tapies à présent à l'abri, les blessures sont là
Les alertes éveil sont prêtes à crier
Attentives au moindre signe capté
Les antennes de son armure sont sensibles
Au souffle froid de ces maux inadmissibles
Son corps est attentif à toute tension
Prêt à bondir dans ses remparts bastion
Forteresse liée à ses jeunes années
Trou où la peur récurrente la poussée
Elle a vécu en marge du réel bonheur
Tenue à l'écart de l'amour splendeur
Ces hommes abjects ne l'ont pas épargné
Elle porte encore à ce jour la marque figée
Lui, il va lui dire, lui exprimer sans bagou
Que sa porte ne comporte pas de verrou
Il va l'aider à atténuer les orages de son passé
Place au bonheur après les blessures infligées
A elle (s) à toi à moi...Résilience
Le 23 01 2017
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