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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis.
Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture ___________________________________________________________
De 2015 a 2016
Me voici dans une nouvelle ville que je ne connais pas pour deux années d'études, je n'ai réussi qu'à me faire une copine, je ne me suis pas très bien intégrée mais cela m'importe peu.
Je vis dans un petit appartement assez miteux, j'ai une cuisine qui fait le strict minimum, une douche dans laquelle je me sens bien trop a l'étroite pour apprécier m'y laver, un salon qui ne contient qu'un petit bureau pour réviser ou être sur mon PC portable et un lit qui est la seule véritable chose dans laquelle j'ai pu investir afin de bien dormir !
Les premiers mois furent très compliqués, je n'avais jamais vécue seule donc j'avais beaucoup de mal a trouver du temps pour les tâches ménagères, faire la cuisine, réviser mes cours et me détendre ...
Je passe tout mon temps en cours ou a bosser dans un Mac Donald, je suis fatiguée et plutôt démoralisée car ma mère, mes amis et mon ex me manquent mais surtout je me sens seule comme je l'ai jamais été dans une ville où je ne connais personne. Il m'arrive souvent de craquer et pleurer avant de dormir, il n'y a qu'en me masturbant que je m'échappe de mon quotidien et que je ressens un peu de plaisir à vivre ...
Je tombe assez vite en dépression mais je le cache à mes amis et ma mère, je prétends que tout va bien. Je prends rapidement du poids entre les Mac Do que je mange au taff et la bouffe rapide que je me cuisine, faute de temps !
Mes notes font une chute libre bien que j'essaie de m'accrocher et réviser dès que j'ai du temps mais je n'en dégage pas assez ... Mon moral est constamment à zéro, j'ai l'impression d'être une incapable et de ne plus valoir grand-chose.
Disons que j'avais espéré mieux comme nouveau départ ...
Je repense souvent à Thomas, il me manque mais il va de l'avant de son côté donc je ne le recontacte pas !
Il m'arrive régulièrement de me reprocher ce que j'ai fait, de ruminer notre histoire et de m'en vouloir de l'avoir fait souffrir, de regretter de l'avoir quitté, je cogite énormément sur la fin de notre relation et comment il se comportait avec moi, je me convaincs que je le méritais et que d'ailleurs je méritais bien pire.
N'être plus que son vide-couilles n'était-ce pas déjà un trop grand honneur pour moi ?
J'avais envie de le redevenir, de pouvoir sucer de nouveau sa queue, qu'il me l'enfonce profondément en moi et me fasse jouir de toute sa hargne ! Je me touchais souvent en pensant a lui, a nous et j'avais envie qu'il me maltraite, m'humilie, me fasse payer, me détruise ...
Thomas avait fait de moi une dépravée, une nymphomane qui ne pouvait plus se passer de sexe ...
S'il y'a bien une chose pour laquelle je prenais du temps c'était me masturber ! Au réveil, en rentrant du taff, entre deux cours, avant de dormir ... C'était ce qui me réconfortait mais c'était aussi l'une des rares choses pour laquelle vivre seule était plaisant, je pouvais le faire quand je voulais et sans me soucier du bruit que j'allais faire ! Mon premier salaire fut dépensé en partie dans l'achat de mes premiers sextoys, un vibro violet et un godemichet à ventouse beige avec de grosses veines ... Ma nymphomanie passa un cap quand je pris goût à m'enfoncer ces jouets dans la chatte tous les jours, j'adorais me pénétrer avec le vibrant devant du porno, le faire aller et venir dans ma chatte en manque sur des vidéos de plus en plus hard mais mon préféré c'était celui avec la ventouse que je pouvais faire adhérer à un mur pour y mimer une levrette en tapant mon cul contre le mur ou le clouer au sol pour venir m'empaler dessus ...
Je jouissais de cette liberté, celle de pouvoir me goder ou me caresser où je voulais chez moi, de pouvoir posséder des sextoys (je me l'étais interdit avant de peur que ma mère tombe dessus), de ne pas effacer l'historique de mon ordinateur et mettre du porno dans mes favoris, de pouvoir me balader à poil chez moi ...
Je reconnais avoir porté un regard assez dur sur celle que j'étais devenue et m'être énormément déçue mais avoir aussi aimé devenir cette nympho pathétique qui n'éprouvait plus que de l'intérêt pour du porno et se goder ! J'aimais m'avilir ainsi et parfois ça m'excitait c'était comme si je voulais toucher le fond et n'être plus qu'une sombre pute, j'avais conscience d'être dans une spirale autodestructrice et de ne pas réussir à gérer les choses mais je n'avais pas la force pour me confronter à ce gouffre en moi alors je le fuyais en prenant du plaisir comme je pouvais étant même à ce stade trop lâche pour rencontrer un homme et avoir du vrai sexe.
J'avais peur de me lier de nouveau à quelqu'un, de m'attacher et souffrir par la suite, être abandonnée ...
J'avais peur d'avoir un coup d'un soir et de voir comment je réagirais entre les mains d'un nouvel homme, s'il me traitait mal est-ce que je pourrais le supporter ?
A l'inverse s'il me traitait avec douceur et me faisait l'amour passionnément, le méritais-je ?
J'avais la certitude que j'allais fondre en larmes pendant le sexe avec un autre homme et j'avais peur d'avoir par la suite un traumatisme à l'idée de coucher pourtant j'étais sacrément en manque et ma chatte en voulait ...
Quand je ne me touchais pas en m'imaginant être malmenée par mon ex, quand je ne me godais pas devant des gang-bangs, gorges profondes abusives ou des vidéos bdsm et bien je me connectais sur Chatroulette pour y exhiber ma chatte et tomber sur des mâles en rut qui me stimulerait !
J'avais découvert ce site avec Clara, il nous arrivait quand je dormais chez elle qu'on passe des nuits toutes les deux à interagir avec des inconnus ne sachant jamais sur qui ou quoi nous allions tomber !
J'imagine que tout le monde a connu ce site où le principe est de connecter deux inconnus par webcams pour discuter jusqu'à ce que l'un des deux appuie sur un bouton qui expulse la personne pour une nouvelle.
Sur ce site il y'a de tout, des gens seuls pour discuter, des hurluberlus qui vont vous faire rigoler, des groupes d'amis qui veulent se moquer mais surtout tout un lot d'exhibitionnistes qui veulent se branler devant des gens. Clara et moi passions des nuits dans son lit sur son PC portable connectées sur ce site à taper des barres sur les inconnus que le site nous amenait.
Si la personne semblait ennuyante on swapait direct, si c'était un groupe de potes, on discutait un peu avec eux, si c'était un beau gosse, on le chauffait pour rigoler par écrit et dans de rares cas si c'était une belle queue, on la regardait se branler et on lui disait de faire des trucs ... Je confesse qu'on a bavées quelques fois sur de gros chibres mais la plupart du temps on était plutôt dans le mood de se moquer des gens et délirer donc on swapait directement les zgegs sauvages ...
Toujours est-il que je savais qu'il y'avait sur ce type de sites, des queues prêtes à se branler et discuter avec une salope en manque comme je l'étais, j'y retourna donc seule et du coté exhib cette fois-ci pour offrir en gros plan une vue sur ma vulve avec mes jouets à portée de main si je tombais sur un gars intéressant. Je ne montrais jamais mon visage mais j'aimais que diverses personnes voient mon intimité, une fille, un garçon, un groupe de potes, deux copines, des jeunes, des vieux, je ne swapais jamais attendant leurs réactions ou commentaires devant mon sexe ...
Il y'avait ceux qui écarquillaient leurs yeux dans les premières secondes, sans doute peu habitués à voir une fille faire comme tous les pervers habituels, ceux qui swapaient sans aucune réaction, les queues en érection qui entamaient instantanément leurs masturbations et ceux qui rigolaient avant de swaper ou discuter !
Mes deux réactions préférées étaient celles où une ou plusieurs personnes en appellait d'autres à venir voir comme si ma chatte était un événement et quand des filles me complimentait instantanément du style "Jolie chatte" avant de swaper ou rester discuter. Je me fixais pour principe de ne pas swaper et faire ce que mon interlocuteur/trice souhaitait, il n'y a que si je voyais quelqu'un essayer de filmer ou devenir insultant que j'appuyais de moi-même sur Next !
Ces exhibitions virtuelles m'aidaient à reprendre confiance en moi, n'étant pas épanouie psychologiquement et détestant mes nouvelles formes, mon corps me dégoutait, je me sentais grosse, pas désirable alors j'aimais qu'on me complimente ou exprime du désir envers moi ou du moins ma chatte.
Mes sessions Chatroulette étaient une manière d'avoir de l'attention, de me stimuler, de prendre du plaisir, de faire des rencontres et pouvoir discuter en tout anonymat, j'aimais être docile et obéir aux souhaits de mon/ma voyeur(e), certaines conversations étaient enrichissantes et me permettaient d'avancer sur le deuil de ma précédente relation ...
Les mois passèrent, les kilos restèrent, la dépression et l'addiction à la masturbation aussi.
En cours, je commence a remonter la pente mais je suis encore loin du nécessaire, je traine toujours avec la même fille qui est une nana très studieuse. Certains garçons m'ont plusieurs fois approchés mais mes soucis persos me poussaient à fuir toute relation avec eux, ils abandonnèrent tous l'idée d'être amis avec moi devant la distance que je mettais entre eux et moi.
Au boulot, je me lie pourtant d'amitié avec un gars et une fille, à force de trimer ensemble et se voir autant d'heures par semaine, rien d'étonnant, je commence a fumer avec le garçon pendant nos pauses, il me paie des clopes et m'allume parfois un petit joint quand on débauche. Mon argent durement gagné passe dans mon loyer, ma bouffe, diverses charges, des fringues ou chaussures (mon péché mignon) et dorénavant pas mal la clope ...
La cigarette j'y deviens assez vite accroc, déjà parce que c'est un exutoire au boulot quand on peut prendre une pause clope mais surtout parce que ce sont les moments où je peux rigoler avec mes collègues, ça a un effet déstressant plutôt fort sur moi. La weed en revanche c'est plus occasionnel, c'est quand Adrien en a sur lui, quelques taffes et cela me perche, je plane, je suis ailleurs et souvent cela me détends aussi, je me sens moins triste et relativise plus sur ma situation, on part aussi souvent dans des délires avec Adrien et ce sont des moments assez chouettes, ça fait du bien d'être un peu proche de quelqu'un.
A l'appart, je bosse mes cours, je fais ma lessive, mon ménage et j'y dors.
Mon activité principale quand j'ai un moment reste la masturbation, je consomme toujours à haute dose du porno très hard et dégradant pour la femme, je fantasme comme une chienne en chaleur sur des gang-bangs, des bukkakes, j'aime voir ces filles se faire défoncer par tous les orifices, ces hommes les souiller. Je ne me lasse pas des vidéos de gorges profondes où je peux admirer de belles bites utiliser la bouche d'une femme pour leur plaisir, j'aimerais moi aussi qu'on m'étouffe de la sorte, qu'on me manque de respect, qu'on me force a sucer de la bite comme si je n'avais que cette fonction ...
Je tombe de plus en plus dans les vidéos BDSM où le corps de la femme est objectifier, voir ces soumises n'être plus qu'un jouet sexuel ou une esclave pour les hommes qui prennent d'elles ce qu'ils souhaitent me rappelle ma place, cela m'excite quand je m'imagine aux pieds de Thomas, j'ai envie qu'il m'utilise comme il lui plaira ...
Je me surprends au fil du temps a consommer de plus en plus de porno interracial et aimer voir de grosses queues noires dilatées des chattes blanches, je n'ai jamais été attirée par les blacks mais plus j'en regarde et plus j'ai envie d'essayer un jour, tenter de confirmer si la légende est vraie et qu'ils sont tous mieux membrés que les blancs ...
J'ai envie de trahir ma race, de servir de vide-couilles à ceux qu'on appelait "sauvages" il y'a pas si longtemps, qu'il fasse de moi sa chose et venge son peuple a coup de bite dans ma chatte.
Je m'égare aussi de plus en plus pour voir des jolies filles coucher avec des veilliards ou des gros lards, j'ai là encore envie de m'abaisser à ça, qu'un gars qui ne devrait pas me baiser puisse se défouler sur moi, l'immoral et la perversion m'excite, je tiens ça de Thomas ...
J'ai conscience d'etre dangereusement excitée par des situations où je cherche à mettre a mal le peu d'égo qu'il me reste, je vois la spirale autodestructrice dans laquelle je suis mais je n'y peux rien, on ne commande pas ses pulsions et je fantasme sur des choses où je serais malmenée, rabaissée, souillée. Quand je ne suis pas sur Chatroulette a exhiber ma chatte ou sur des vidéos de Seniors qui sautent des petites jeunes, je me touche à l'ancienne d'une façon plus normale, avec des scénarios ou idées en tête et là, il n'y a que trois acteurs, Thomas, Kévin ou mon père.
Je me caresse en repensant a d'anciennes baises avec mon ex, à la soumise que je serais s'il m'ordonnait de revenir le servir. Je me touche en repensant a la bite de mon meilleur ami, quand je l'avais en bouche plus jeune ou face a moi il y'a pas si longtemps, à comment nous baiserions comme des animaux si nous l'osions, à sa queue en moi et ce que ça me ferait si c'était lui ! Je me tripote en m'inventant des plans imaginaires dans des clubs libertins avec des quarantenaires et l'idée de sucer mon géniteur sans le savoir ou qu'il déverse son sperme dans mes entrailles ...
Plus cochonne que jamais et pourtant mal a l'aise avec son nouveau corps et son rapport aux hommes, je n'ose franchir le pas et chercher un plan cul, ça fait des mois que je sombre mais je n'ai toujours pas eu le déclic pour me reprendre ...
Après la fermeture du restaurant le soir (la nuit), nous avions pour habitude de boire quelques bières entre collègues sur le parking avec un peu de musique devant nos voitures, il arrivait qu'Adrien fasse tourner un joint à ceux qui le souhaite mais c'est en tête a tête, une fois que tout le monde partait que nous avions pour habitude de nous en fumer un petit "pour la route" entre nous. C'était quelque-chose de très idiot, je conduisais après souvent défoncée et je mettais potentiellement ma vie en danger ainsi que celle des autres, je ne compte plus le nombre de fois où je me suis réveillée chez moi sans me souvenir de comment j'étais rentrée !
J'ai toujours été très sensible aux effets de la weed, cela amusait beaucoup Adrien qui me disait qu'en deux taffes, j'étais déjà sur une autre planète ...
Adrien avait deux ans de plus que moi, il avait un charisme particulier, c'était un garçon très grand et maigre, au regard magnétique, on voyait tout de suite a son attitude et sa façon de parler qu'il était un fumeur de cannabis mais pourtant il avait une aura ou une prestance plutot intimidante.
Je ne me rappelle pas très bien des événements car nous étions complétement défoncés mais il passa ses mains sous mon sweet un soir alors que je planais dans sa voiture en écoutant de la musique, je me souviens avoir trouver ça trop entreprenant et direct dans sa façon de faire mais étant bien perchée, je l'avais laissée faire sans doute trop contente de ne pas avoir eu plus que ça un blocage grâce a la beuh. C'est assez flou mais je crois qu'il m'a bouffer les seins dans sa voiture cette nuit-là et que nous nous sommes embrassés, j'étais fatiguée par la fin du taff, l'alcool et la weed donc dans un état second. Que je sache, nous nous en sommes tenus à du tripotage de nibards, de la succion de mamelons et quelques roulages de pelles avant qu'on ne rentre chacun de notre coté.
Nous avions faits comme si rien ne s'était passé pendant quelques jours jusqu'à ce qu'il m'invite chez lui pour fumer et rester dormir un samedi soir, j'accepta sans d'autres arrières pensées que la fumette gratuite et une fin de soirée sympa avec mon collègue/pote ! On picola et fuma pas mal, de nouveau dans un état second, je ne me souviens pas bien de comment cela démarra mais je me retrouva a me faire lécher par Adrien sur son canapé devant des clips musicaux a la TV ! Je coucha avec lui sans trop de soucis de mémoire, mes peurs ne se justifièrent pas et je ne fonda pas en larmes durant l'acte même si je ne m'en souviens pas suffisamment pour dire si c'était le pied tant attendue ou non. Je crois d'ailleurs que je n'ai pas fait grand chose, il m'a prise en missionnaire sur son canapé et je pense que je me suis juste laisser faire.
On baisa une seconde fois au réveil le dimanche matin mais d'une manière plus douce et romantique, il m'embrassa partout et fit monter le désir en moi puis il me prit avec passion et délicatesse, je me revois en cuillière en train de jouir pendant qu'il m'embrasse dans le cou avec une main sur mon sein et l'autre sur mon clito.
C'était bon de sentir les mains d'un homme sur mon corps et son sexe en moi, je me sentais de nouveau complète.
Adrien devint le plan cul que je n'osais concrétiser, si nous fermions ensemble ou débauchions à des horaires proches, je finissais chez lui où on se défonçait puis baisait ! Nous baisions même parfois dans sa voiture sur le parking en journée comme à la fermeture et je le suçais parfois dans les chiottes des mecs.
Adrien n'avait pas une bonne influence sur moi, il m'avait faites commencer a fumer du cannabis comme la cigarette, nous étions souvent ivres chez lui en plus d'être défoncés et nous baisions donc la plupart du temps dans des états seconds, j'aimais me mettre minable avec lui et qu'il me saute mais je savais qu'il représentait parfaitement toute cette autodestruction que j'avais inconsciemment souhaitée ...
Le samedi soir, il m'emmenait dans des raves partys ou des "afters" chez des potes à lui où il m'encouragea à prendre des drogues plus dures, je n'essaya que la coke ... Mes notes en prirent un sacré coup quand je tomba vraiment dans la drogue et l'alcool sous son emprise, nous commencions même a cumuler des retards ou absences au taff car nous étions trop fatigués pour tenir la cadence, ma moyenne scolaire que j'avais peiner a remonter se vit pulvériser en un mois et demi. J'étais constamment épuisée, des poches sous les yeux, le cerveau au ralenti, je commençais a ne pas me reconnaitre dans le miroir en plus de me trouver encore plus grosse qu'avant, j'avais l'impression que la vie me mettait une grande claque et que j'allais jamais m'en remettre physiquement mais je me sentais plus heureuse avec lui et avec ce train de vie que les mois précédents, quand j'étais seule ! J'avais conscience que j'y laisserais mon année mais il me semblait être la voie de la guérison, celui qui apaiserait mon coeur ou consummerait mon âme, j'avais la sensation de vivre ce que j'étais censée vivre.
Ma relation avec Adrien qui n'en était pas vraiment une dans le sens où nous n'avions jamais mis d'autres mots sur ce que nous étions l'un pour l'autre que des "collègues" prit un tournant à l'arrivée de Said dans l'équipe ! Said était un petit rebeu plutôt fougueux et très drole, en seulement un mois il était devenu le collègue qui dynamisait l'equipe et que tout le monde appréciait, celui qui faisait rire les autres et s'intégrait admirablement bien. Il fumait régulièrement avec nous du cannabis après le taff et la fille avec qui j'étais copine et lui commencèrent à nous suivre en soirée le samedi.
J'étais contente d'avoir pu retrouver une bande d'amis.
L'appart d'Adrien devint un QG où plusieurs collègues faisaient des Afters et quand ce n'était pas avec les collègues du Mac Do, c'était des potes à lui qui squattaient. Attachée a Adrien et ayant l'impression de vivre ma jeunesse à fond, heureuse de rencontrer du monde et faire tout le temps la fête, noyer mes problemes dans l'alcool et les oublier dans la drogue, je mis du temps a me rendre compte que nous faisions dorénavant des soirées 4/5 soirs par semaine et que son appart était constamment une porcherie où trainait des déchets et bouteiles vides.
Un jeudi soir après le taff, nous nous mimes une énorme race avec le quatuor des débuts.
Notre amie prit une énorme cuite alors Adrien alla la coucher dans son lit, je continua de fumer et boire avec Said et Adrien dans le salon, ce soir-là je trouva que mon "copain" avait la main plus lourde que d'habitude pour me resservir a boire, il remplissait constamment mon verre et vantait mon endurance a l'alcool. Alors que je planais devant la TV complètement ailleurs, les garçons sortirent sur le balcon quelques minutes, je rigola toute seule un moment en pensant aux cours que j'allais rater demain et que j'étais vraiment en train de planter mon année.
Je commença à m'endormir sur le canapé lorsqu'Adrien me réveilla, il m'embrassa tendrement sur le front puis la joue, il me chuchotta des mots doux et commença a glisser ses mains sous mes vêtements.
Il fit voler mes fringues une par une et commença à me lécher, le réveil était agréable, il me redressa et m'embrassa avec fougue puis me demanda de le sucer, il baissa son pantalon et m'offrit sa verge fièrement, je me mis à le pomper mais sans grande conviction étant trop ivre et défoncée pour bien sucer.
J'étais nue et à quattre pattes en train de branler dans ma bouche Adrien qui s'allumait une clope confortablement assis dans le canapé lorsqu'il demanda "Tu veux une taffe ?" ce a quoi la voix de Said répondit "Non merci, ça va" !
Je me redressa en panique, cela me fit comme un élétrochoc, je poussa un cri et tomba a la renverse !
Les garçons se précipitèrent sur moi pour m'aggriper et me calmer
" Ho, ho, du calme !
- Qu'est-ce qui te prends Charlotte ?
- Said ... Il était encore là ? Je ... je l'avais oubliée ... Je pensais qu'il était parti quand tu m'as réveillée ... Je ...
- Hahaha, c'est pour ça que tu as hurlée comme ça ? C'est rien, détends-toi ..."
Said me caresse tendrement le bras avec lequel je cache ma poitrine, je serre mes cuisses pour dissimuler mon sexe ...
Adrien est la bite à l'air en train de me cajoler et me dire que Said a déjà tout vu et qu'il n'y a plus rien à cacher, il me dit de me détendre et me laisser aller tout en écartant mes bras, je suis a la limite du bad trip et la crise de panique mais aussi très excitée par ce qui se passe, mon cerveau a comme disjoncté.
J'obéis sans trop m'en rendre compte et laisse Adrien dévoiler de nouveau ma poitrine à Said, il plonge ensuite sa main entre mes cuisses qu'il force à s'ouvrir pendant qu'il m'embrasse et commence a me masturber, Said recule et nous regarde.
"Tu sais, il a vu la chienne que tu es tout a l'heure alors y'a plus rien à lui cacher, c'est nôtre pote alors on va le régaler un peu."
Adrien me dit une phrase qui fit écho en moi, cela résonna sur plusieurs de mes fantasmes et mon envie d'être rabaissée, Adrien prit la main de Said et la posa sur mon sein, "Laisse-le en profiter" me dit-il alors que notre compère commençait à malaxer ma poitrine.
Said complimenta mes seins alors qu'Adrien se redressait pour venir mettre sa queue dans ma bouche, il me baisa la bouche en se cramponnant à ma tete pendant que Said glissait entre mes jambes pour me caresser, les doigts de mon collègue rentrèrent en moi pendant que mon autre collègue, celui que je considérais comme mon "copain" me baisait la bouche. Cela m'excitait, j'avais l'impression de ne plus etre la spectatrice des vidéos que j'aimais mais l'actrice !
Adrien demanda à passer sur le canapé, il s'y installa et me dit de venir le sucer, je suivis son ordre avançant à quattre pattes vers la queue raide qui se tenait devant moi, Said suivit mon cul et y plongea son visage, il me lécha les trous sans retenue pendant que je m'efforçais de combler le pervers qui avait l'air d'avoir planifier tout ça.
Un simple "va-y" d'Adrien et sans qu'on me demande mon avis, Said entra en moi, sa queue me fit l'effet d'un pieu qui me transperça, j'étais chaude bouillante pour ça mais je n'aurais jamais pensée qu'il me pénétrerait en premier et sans me demander si j'étais prête, je bava longuement sur la queue d'Adrien pendant que Said découvrait et labourait ma chatte.
Quelques fessées sans retenue de Said qui ne me respectait plus s'abatte sur mon cul, quelques insultes fusent, les deux males commentent ce qu'ils me font et s'encouragent à me défoncer, je me sens inférieure à eux, je suis leur chose et les coups de reins que je reçois me font fondre.
J'ai deux bites qui se relaient dans ma chatte et ma bouche, je découvre à quoi ressemble le sexe de Said, il y'a une bite que je connais très bien et une autre que je découvre pour la première fois, je suce cette queue arabe dans tous les recoins ! Je compare ces deux verges, leurs goûts, leurs tailles, les sensations qu'elles me font quand elles me remplissent et la manière dont leurs propriétaires les utilisent !
Je me régale d'être leur chienne et m'emploie à les satisfaires, je me souviens qu'ils voulaient me faire boire leur sperme, qu'il ne fallait pas "salir ma chatte pour l'autre". Said fût le premier a exploser dans ma bouche pendant que je le suçais, Adrien le second qui s'écria "Switch" avant de courrir pour me remplir la bouche pendant que Said retournait dans ma chatte pour un second tour après qu'il ai repris de la vigueur sous mes caresses buccales.
Je me revois le visage contre le canapé à regarder Adrien sortir le cul a l'air se griller une clope sur le balcon pendant qu'il me laisse entre les mains de nôtre pote qui donnait tout ce qu'il avait contre mon cul. Said profita de moi en solo pour son second tour, je me rapelle de son sperme chaud qui coule sur ma joue alors que je reste inerte à le laisser se vider une seconde fois grâce à moi pendant qu'Adrien ne nous calcule même plus. Que suis-je réellement pour ce mec ?
J'en parla le lendemain avec Adrien qui m'expliqua que j'étais son plan cul, sa sexfriend et je lui cacha ma déception.
Nous passions tout notre temps libre ensemble, de collègues à amis nous étions devenus amants et presque collocataires tant je passais tout mon temps chez lui, je me considérais comme sa petite-amie quand il me présentait a ses potes.
Dans les jours qui suivirent, mon manager me réprimanda sur l'un de mes retards en me disant que si je ne me faisais pas baiser par toute l'équipe, je serais peut-être plus ponctuelle, je fut tétanisée par ses propos et lui demanda pourquoi il disait ça. Il m'expliqua que Said et Adrien s'était vantés tous les deux de m'avoir sautée et que la fille qui comatait dans le lit d'Adrien avait confirmée leurs dires ...
Je démissionna instantanément, je me sentais trahie par Adrien, celui que j'avais pu considérer comme un "petit-ami", par Said celui que j'avais pu considérer comme un "ami" et par ma collègue qui avait enfoncer le clou. Je passa quelques jours a pleurer et ne répondit pas aux multiples appels d'Adrien, un soir je débarqua tout de même chez lui étant en manque (pas sexuellement) et ne sachant pas où me fournir ...
Il m'expliqua que c'était la fille qui en avait parlé et que Said avait tout confirmé donc qu'il pouvait pas mentir dérrière, j'avais deux versions différentes et je m'en fichais dans le fond tant j'étais humiliée et trahie dans tous les cas. Me sentant trop mal pour rester seule, je me défonça avec lui ce soir-là et nous fimes l'amour, je passa une semaine chez lui a boire, fumer et comater; nous baisions comme toujours dans des états seconds et j'avais conscience d'avoir enfin toucher le fond, des jours sans aller en cours, plus de taff, plus rien.
Cela faisait 10/12 jours que je squattait chez Adrien, lui sortait pour aller travailler, moi uniquement pour le suivre chez des potes à lui quand il y'avait une soirée ou m'acheter des clopes. Un soir nous partimes chez des amis à lui, on picola et fuma toute la nuit, nous passions une bonne soirée jusqu'à ce que je me réveille le lendemain après un énorme trou noir.
Je me réveilla avec l'impression qu'un camion m'avait roulée dessus, le plafond tournait, mon crane implosait et j'avais envie de vomir, je me redressa pour aller gerber aux toilettes lorsque je prit conscience que je ne connaissais pas la chambre dans laquelle j'étais.
Je regarde autour de moi et découvre un gars dans le lit à coté de moi, je ne le connais pas, il est torse nu.
Je sors du lit et découvre que je ne porte plus que mon T-shirt, je m'écroule ...
Je sors de la chambre le cul a l'air, je trouve les toilettes dans le couloir et part y vomir.
Je reprends mes esprits, je m'asseois sur la cuvette des chiottes pour pisser et constate qu'en plus d'avoir la chatte a l'air, j'ai du sperme séché sur ma cuisse droite, je glisse instantanément un doigt en moi et constate que ma chatte est visqueuse, j'en suis certaine, quelqu'un a éjaculer en moi !
Je pisse, pleure un coup ne comprenant plus trop ce qui se passe et retourne dans la chambre, le type dort toujours.
Je cherche ma culotte, je ne la trouve pas mais je retrouve ma jupe.
Je me rhabille et réveille le mec, il me regarde avec un grand sourire et me demande si j'ai bien dormi, je lui explique que je ne me souviens de rien et qu'il faut qu'il m'explique !
Le gars se redresse, le drap descends et je constate qu'il est entièrement nu sous la couette, cela confirme mes craintes avant meme qu'il ouvre la bouche.
"Sérieux, rien de rien ?
- RIEN JE TE DIS, je sais meme pas ce que je fous là !
- Hey, du calme ma belle, on a juste coucher ensemble hier soir, c'est tout, dit-il en tentant de me prendre le bras
- C'est tout ? Gars je sais meme pas qui tu es, on est plus dans l'appart des potes d'Adrien, hurlais-je en repoussant sa main
- Oh tu te détends ! Je suis un pote à Yohan, tu sais l'un des collocs chez qui était la soirée, t'as fini la soirée chez moi, c'est tout !
- Arrete, c'est loin d'etre normal, comment t'as pu me faire rentrer avec toi sans qu'Adrien le remarque ...
- Tu rigoles ? Non, sérieux, tu rigoles ?
- J'ai l'air de plaisanter, t'as abusée de moi et sans capote, enfoiré !
- Charlotte, c'est Adrien qui t'a mise dans ma caisse, il nous a chauffer pour qu'on baise ensemble, il te disait de bien t'amuser !
- Tu mens ! Je ... peux pas te croire ...
- T'étais complétement bourrée, tu te foutais a poil toute seule dans la bagnole, Adrien était pas en état de te ramener chez lui et voulait rester a la soirée, quand j'ai voulu me rentrer, il m'a dit que tu voulais finir la soirée avec moi et que t'étais chaude comme la braise, il t"a dit de bien t'amuser et tu lui disais qu'il fallait pas en douter. On est rentrés, on s'est embrassés, je t'ai doigtée dans le salon directement, tu m'as dit de te baiser comme une salope, c'est ce que j'ai fait !
- Aide-moi à retrouver ma culotte, je file et je vais voir ça avec Adrien mais t'es un bel enfoiré de te taper une meuf complètement bourrée !
- Ouais bah tu disais pas ça hier soir, tu t'en souviens peut-être pas mais moi je me souviens de comment tu kiffais !"
J'ai envie de mettre une patate à ce connard mais il y'a plus important, je prends mes affaires et fonçe à l'appartement d'Adrien pour avoir des explications. Sur le trajet, je me sens salie, je suis en colère contre ce mec, Adrien et surtout moi-même. Lorsque j'arrrive chez Adrien, une fille dormait encore dans son lit, une scène de ménage éclate, je lui reproche d'avoir coucher avec cette fille et de m'avoir offerte en pature à un gars alors que je n'étais pas en pleine possession de mes moyens, il m'insulte et me dit que je ne suis pas sa meuf, qu'il se tape qui il veut et que je suis assez grande pour me gérer, je lui dit que je vais porter plainte pour viol, il me dit que j'étais consentante vu comme j'allumais le mec dans la voiture, je le frappe, il me frappe ...
Adrien me jette à la porte, je suis en miettes, je le déteste, je me déteste, je rentre chez moi.
Je me haissais pour celle que j'étais devenue, je passa quelques jours avec des idées très noires, je faisais le point sur ma vie, sur ces derniers mois et je pincais mes bourlets nue devant mon mirroir, je m'en voulais physiquement et mentalement pour tout ce que j'avais pu faire depuis mon arrivée dans cette ville. J'avais fait un test de dépistage pour le VIH et tout autre MST ayant de toute évidence couché avec un parfait inconnu et ayant également envie de me rassurer vis a vis d'Adrien et Said qui m'ont également prise sans capotes. Le fait de faire cette démarche et m'en inquiéter me fit prendre conscience que je voulais vivre, je chassa mes idées noires et je pris la décision de me sevrer, d'arrêter les drogues, la clope et même l'alcool quelques temps, je reconnu mon problème et demanda de l'aide, je me fit suivre quelques temps par un psychologue.
Je raconta tout ce qui m'était arrivé et alla chercher du réconfort aurpès de Clara et Kévin, je décida de combattre mon surpoids en allant à la salle de sport 4 fois par semaine pour récupérer mon corps, j'avais la haine et une envie de redevenir celle que je voulais !
Mon année fût jetée la poubelle mais je soigna mon âme aurprès de ma mère et mes amis, Kévin et Clara m'ont probablement sauvés la vie mais nous ne rentrerons pas dans les détails, tout ce qu'il faut en dire c'est que je combattis mes démons quelques mois et entama ma guérison. Je me fis la promesse de ne plus jamais vouloir vivre à travers un homme, d'avoir plus d'estime pour moi et de vivre avant tout pour moi, j'avais envie de m'aimer, de me souhaiter du bon et j'avais appris à me détacher du regard des gens.
Je fit ma rentrée l'année suivante dans une autre ville, je pris une collocation cette fois avec deux inconnues pour me répartir les tâches ménagères et j'étais bien résolue à me concentrer sur mes études et tout déchirer.
C'est cette année là qu'une véritable pute a pris son envol.
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4 ans… 4 ans entre ces deux écrits… Pourquoi ? D’abord la frustration, cela fait plus de 4 ans que je n’aie pas évolué niveau BDSM. Je n’ai pas trouvé de partenaire, puisqu’étant un homme et que, dans ce milieu, c’est une tare, l’offre et la demande, sans doute. Ma première histoire (Episode 1 - elle s’appelait Géraldine) que vous trouverez sur ce même site (si vous voulez lire l’épisode qui précède et explique celui-ci), avait sans doute été un exutoire afin de mieux gérer ces pulsions.
4 ans après, j’ai encore besoin d’écrire, de partager et surtout d’espérer que les rares femmes sur ce forum apprennent que tous les hommes ne sont pas des pervers recherchant du sexe à tout prix et que cette pratique qui, bien que perçue comme perverse, ne l'ai absolument pas : le respect en étant le maître mot.
J'ai commencé à me confier à quelqu'un, qui, à priori, n'est pas intéressée par le BDSM mais par mon histoire, à suivre... mais cela m'a immédiatement donné envie de réécrire. Voici donc la suite : Épisode 2 - Elle s'appelait Géraldine, et l'autre Caroline.
La fin de l'épisode 1 se terminait pas "je ne savais pas que j'allais la revoir plus tard, mais ce fût le cas" et, oui, ce fût le cas.
Nous sommes quelques semaines après... Géraldine et moi n'avions pas échangé nos numéros de téléphone. Nous pensions tous les deux avoir vécu une aventure d'un soir, ce qui m'allait parfaitement, le risque d'attachement sentimental, à cette époque, n'étant pas ma priorité.
Seulement voilà, si vous vous souvenez du premier épisode, nous étions partis en groupe, en trip de fin de formation, à Disneyland Paris et Géraldine n'avait pas fait connaissance qu'avec moi, seule la fin de la soirée nous avait offert l'intimité espérée. Elle avait aussi fait connaissance avec Caroline (le prénom a aussi été changé) et ces deux comparses s'étaient construit une petite relation d'amitié les semaines suivantes ledit voyage. Tant mieux, c'est le but des relations humaines.
N'étant pas au courant de cette relation, je tombe sur Caroline lors d'une visite sur notre ex-lieu de formation où nous avions chacun un rendez-vous administratif (les derniers papiers de fin de formation). La voyant, je la salue et elle me propose aussitôt sortie de l'établissement d'aller boire un café ensemble. Ce qui me surpris mais, après tout, nous avions fini notre diplôme et pas encore trouvé de travail alors, pourquoi pas ?
Je dis surpris car Caroline ne faisait pas partie des "amies" de formation. Comme dans chaque groupe humain, des "clans" se forment toujours et nous n'étions pas dans le même. Sans s'ignorer foncièrement, nous nous contentions des conventions habituelles : Bonjour, bonsoir, à demain.
Nous voilà donc au café Georges V, à Lille, afin de commander nos boissons chaudes et je m'attendais à une discussion, certes classique mais dénuée d'intérêt profond. Je me trompais.
Dès le départ, je sentis dans son regard une interrogation, comme une envie de me poser une question mais une certaine gêne à l'édicter. Je lui demandai si tout allait bien car je la trouvais différente de d'habitude, 2 ans de formation commune créent une certaine connaissance de l’autre.
"Tu connais bien, Géraldine, non ?!?", me dit-elle sur un ton qui, visiblement, n'attendais pas de réponse, mon regard surpris ayant suffi.
Géraldine ? Pourquoi ce prénom s'immisce-t-il dans nos cafés de milieu de matinée ?
Je tente, maladroitement, une réponse du type : "on a sympathisé et on a fini la soirée ensemble", sans trop donner d'indice. A ce moment précis, j'ai vu son regard changer. Un coup d’œil à droite et à gauche pour s'enquérir de notre solitude et la voilà partie dans une réplique immortelle : "Et tu fouettes souvent le cul de celles avec qui tu finis tes soirées ?"
(Silence). Géraldine avait parlé. Certes, nous n'avions pas convenu de secret autour de cette nuit magique mais en parler à une personne que je connais, qui sait sans doute où je compte travailler plus tard, me sembla tout à coup un poil désobligeant.
Caroline m'en dit plus :
« Je t'explique, Géraldine et moi avons sympathisé après Disneyland. Avant qu'elle ne te rejoigne dans le taxi, nous nous sommes échangé nos numéros (Note pour moi-même : cela explique pourquoi elle ne m'a pas rejoint immédiatement après la descente du bus - cf. Épisode 1).
Elle m'a appelé le lendemain après-midi et je lui ai demandé si elle avait passé une bonne soirée avec toi. Elle m'a répondu immédiatement « oui, c'était génial » sans en dire plus. Cela m'a rapidement intrigué car, d'habitude, les femmes ont tendance à raconter leur nuit d'ivresse avec moulte détails et autres ressentis. Je me suis dit : « calme-toi, tu la connais à peine, c'est normal ». Nous nous sommes revus le week-end suivant et avons très vite lié une amitié sincère, mais ça ne s'arrête pas là… »
J'étais médusé. Une femme avait trouvé notre nuit ensemble géniale. Je suis conscient qu'au milieu de ces informations, là n'était pas l'essentiel mais je fus touché par ce détail, le reste demeurant du domaine de l'anecdotique... pour le moment. Mon regard bovin devant l'histoire qui se déroulait devant mes yeux n'a pas dû m'aider dans cette aventure, car cela allait en devenir une.
Elle continua : "Il y a une semaine environ, Géraldine appris que je faisais partie d'un groupe de pratiquants BDSM. Pour être honnête, je le lui ai dit car je refusai certaines soirées sans qu'elle ne sache pourquoi. J'ai crevé l'abcès et Géraldine m'avoua, en conséquence, la teneur de votre soirée post-Disneyland."
Faisons le point : une femme que je connais à peine avec qui j'ai eu une aventure BDSM a dévoilé à une autre femme que je ne connais guère plus la teneur de mes fantasmes les plus intimes. De plus, le diplôme que nous venions d'obtenir étant très spécialisé, nous risquions donc, Caroline et moi, d'être amené à travailler ensemble sur des dossiers communs. Garçon, un deuxième café, s'il vous plait !
Caroline approfondit son explication : « il y a quelques années, j'ai découvert que mon ex-petit ami aimait le BDSM. Il ne m'en avait jamais parlé. Lorsque je l'ai su, je lui ai demandé pourquoi »
Et son explication coulait de source : pas de sentiment dans le BDSM, donc il fallait que Caroline sorte de sa vie pour que l'aveu se fasse. Ce fût la porte d'entrée de Caroline dans ce milieu. Elle franchit le pas et fût présentée, par son ex, à un groupe de pratiquants, tous lillois ou proche métropole. Ce groupe était particulier : il possédait un rite d'initiation, basée sur deux soirées où la - ou le - novice, ne peut participer à rien, est attaché(e) à un poteau, en petite tenue (slip pour les hommes et petite culotte, soutien-gorge pour les filles). Il ne se passe rien d'autre, aucune interaction, le novice regarde et, au bout de deux séances, choisit d'intégrer le groupe ou non.
Elle n'était plus novice, et ce depuis quelques années. L'initiation s'était bien passée et elle avait décidé d'intégrer ce groupe. N'étant pas un novice en BDSM, une question me vint aussitôt à l'esprit : "Quid des dominant(e)s ?"
Sa réponse me surpris, les dominants devaient aussi passer par cette initiation.
Petit aparté : je sais que nous sommes sur un forum spécialisé mais, afin que nous soyons au clair question vocabulaire et pour faire très simple, il y a trois types de profil chez les adeptes du SM : les soumis, les dominants et les switchs (qui acceptent de jouer les deux rôles, c'est mon cas, vous allez vous en rendre compte dans la suite de ce récit). Si, pour les soumis et les switchs, cette initiation ne présente à priori aucun problème, il me semble difficile à vivre pour un dominant mais, bon, ce sont les règles de ce groupe.
Cette première mise au point étant faite, je me doutais de la suite de la discussion. Caroline allait me proposer d'intégrer ce groupe : je refusai net !
D'abord à cause de cette initiation peu respectueuse des particularités de chacun et, ensuite, parce que, pour paraphraser le Général de Gaulle : "Vive le SM libre !"
Si je ne suis pas allergique aux pratiques de groupes en BDSM (si un épisode 3 arrive un jour, vous le comprendrez) mais hors de question de le faire dans un cadre organisé, prévu, dirigé. L'improvisation est mère de connivence.
Caroline me demanda pourquoi je refusai aussi vite. Je lui donnai mes arguments. Elle comprit. Cela sentait la fin de notre entretien... jusqu'à ce que ses yeux prissent une autre tournure, plus enjouée.
« Tu sais que je pratique aussi de manière personnelle ? » - Seconde phrase que je retiendrai de cette journée ! Comme dirait Jean-Claude DUSSE, j'y vois comme une ouverture.
En effet, Caroline pratiquait de chez elle. En fait, elle avait gardé la maison de ses parents, aujourd'hui retraités et partis pour des cieux plus ensoleillés. La famille a les moyens : proche banlieue de Lille, maison individuelle, 4 chambres... et Caroline qui y vit seule. On est presque dans la situation idéale.
Et c'est là que Géraldine revint dans la discussion. Elle hésitait, à l'époque, à intégrer le groupe auquel Caroline appartenait. Apparemment, les deux séances d'initiation la dérangeaient, elle voulait pratiquer, mais sans taxe...
Alors, Caroline lui avait proposé de l'initier à sa manière, de chez elle, afin de pas la frustrer. Cette dernière avait accepté et, ce soir, une deuxième séance de domination était prévue et il semblerait que je puisse en être la surprise.
Alors commence la discussion. Caroline me confirma son statut de dominante. J'en pris bonne note. Elle me demanda aussi si elle pensait que Géraldine apprécierait d'être dominée par deux personnes. Un petit "Tilt" me vint immédiatement en tête.
« Bon sang, mais c'est bien sûr, me dis-je à moi-même en avalant mon troisième café, aucune des deux femmes ne connait mon statut de switch. Si, dans l'épisode 1, Géraldine m'a clairement indiqué son identité de soumise et que, il y a quelques instants, Caroline assuma son rôle de maîtresse SM, mon identité n'avait jamais été évoquée. Il était temps de reprendre quelques respirations. Dois-je le révéler tout de suite ? »
Je n'ai même pas pris de temps de m'autorépondre que Caroline comprit qu'il y avait anguille sous roche, ou plutôt soumis sous ses yeux.
Elle me dit : "tu es Switch ?" - Ma réponse : "Oui, maitresse" finit par la convaincre de changer ses plans.
Nous voilà donc partis dans une discussion, obligatoire pour toute relation D/S, autour de ce que j'accepte de subir et ce qu'elle accepte de faire subir. Indispensable précaution, que je conseille à tous car la pratique du SM n'est pas sans danger.
La matinée touche à sa fin : je me sens vidé. J'ai donné une liste à une femme qui, en guise de réponse, m'a simplement dit : "ce soir, je ferai tout pour que ton corps n'oublie pas cette liste". Quelle promesse ! Trop hâte !
Je rentre chez moi et pense à Géraldine. Comment va-t-elle prendre cette surprise ? Je ne peux pas la joindre. Si elle le prend mal, je vais sans doute mal le vivre de mon côté. Tant pis : "Alea jacta est" pour paraphraser un autre général. Une sieste, vite, j'ai un rendez-vous ce soir et je ne veux pas le manquer.
Caroline a été très claire : « tu arrives à 20h, tu auras déjà mangé et je ne veux rien de difficile à enlever en termes de vêtements. » Je choisis donc un slip, un T-shirt, un pantalon en toile, des baskets et une petite veste pour la route. Nous sommes, certes, en été mais c'est le Noooooooooooord, comme disait le grand Michel.
19h50 : je suis devant la maison, la gorge serrée mais je ne peux pas faire demi-tour, l'excitation est trop grande. Je sonne. Je vois l'ombre de Caroline à travers la porte translucide. Apparemment, la tenue est noire, typique d'une maîtresse, sans doute son personnage. J'entends un rude "Ouvre, c'est ouvert !", sur un ton qui introduit parfaitement l'ambiance de la soirée. Je m'exécute.
Première surprise de la soirée : tout le matériel de domination est là. Menottes, cordes, bracelets en cuir (ou simili), chaines, fouets, martinets, pinces diverses et autres sex-toys.
Deuxième surprise : Géraldine est déjà là. En petite tenue, à genoux, mains sur la tête, comme punie.
Troisième surprise : Caroline me prend par les cheveux et me fait lire l'horloge du salon, un peu vieillotte, sans doute un héritage des parents. Il est 19h55 et j'avais rendez-vous à 20h. Elle me demande sèchement de retirer mes chaussures, mon pantalon et mon t-shirt. La soirée commence. Je suis déjà un vrai soumis. Je fais vite ce qu'elle me demande. Elle pose à terre une sorte de baguette, m'indique un coin du salon, me demande de m'y mettre à genoux... les mains sur la tête. Les genoux, reposant sur cette baguette, deviennent très vite douloureux. « Tu ne bouges pas tant que je ne te l'ai pas demandé, insista-t-elle, ceci est ta punition pour ne pas savoir lire l'heure ».
Je comprends donc la position de Géraldine, désormais. Elle aussi, a une baguette sous les genoux. Nous sommes chacun dans un coin, ou plutôt « au coin » et aucun des deux n'ose prononcer un mot. Nous avons donc eu le même problème horaire. Être en avance n'était pas une bonne idée (je me le note pour plus tard).
Derrière nous, ça s'affaire. Les préparatifs, à n'en point douter. On entend des bruits métalliques et des objets en déplacements. Ça promet. Notre imagination tourne à plein et cela engendre en nous une excitation non dissimulée, car non dissimulable (vous avez tous compris, ne faites pas semblants).
Un coup d’œil à l'horloge. Ça fait 15 minutes, mes bras s'engourdissent, mes genoux ont l'air d'avoir intégré la baguette directement sur mes os mais, surtout, ne pas bouger, accepter sa punition et entrer dans ce rôle car je l'ai accepté.
Caroline nous demande à tous les deux de nous lever. La baguette reste collée à mes genoux (qu'est-ce que je vous disais !). Je l'enlève et sourit intérieurement de cette baguette collante.
"Asseyez-vous !", ordonna-t-elle. Une vieille table et ses chaises assorties nous attendais. C’est l'heure des explications : Caroline repris un ton "normal" nous expliquant notre punition (ça, nous l'avions compris) et ce qui se passa après notre rendez-vous matinal. Elle avait pris le temps de prévenir Géraldine de ma venue, lui demanda si cela ne la dérangeait pas et établit avec elle un rendez-vous plus tôt, 19h30, afin de lui indiquer quelques règles supplémentaires, réservées aux soumises non expérimentées. Elle était arrivée à 19h20... vous connaissez la suite. Je n'avais pas fait attention mais il est vrai que ses genoux étaient beaucoup plus marqués que les miens, une bonne demi-heure de plus que moi. Ayant encore la douleur de ma session de punition, je ne pus que la plaindre.
Donc, puisque Géraldine n'avait pas respecté l'horaire, elle n'avait pas non plus reçu ces fameuses règles supplémentaires. Le temps était donc venu. Ce que j'en ai retenu est que Caroline connaissait son rôle. Chaque détail y passa : du code de sécurité (ou plutôt des codes de sécurité, car, pour une débutante, c'est plus prudent - Orange : continue mais moins fort - Rouge : arrête ce que tu fais - Noir : fin de séance) en précisant bien que le but d'une séance est d'aller au-delà de ses limites et que ces codes ne doivent être utilisés qu'en cas d'urgence, physique ou psychologique. Sans vous spoiler trop, nous ne les utiliserons pas lors de cette soirée. Elle présenta aussi les objets en sa possession, nous demandant à chaque fois si nous l'acceptions ou non. Pas de spoil, cette fois ci, la suite est là pour ça.
Elle termina sa rhétorique par la phrase rituelle : "acceptez-vous de vous soumettre à ma volonté ?" - Géraldine et moi avons répondu en chœur, et je sais que vous seriez déçu si nous avions dit non... alors, Caroline repris son ton inquisiteur : "Debout !" - Je croise le regard de Géraldine, un peu apeuré. Un mouvement de tête, se voulant rassurant, lui fit accepter sa condition. C'est parti !
Caroline pris une corde pour joindre les poignets de Géraldine, mains devant. Elle fit pareil pour moi. Une vraie dextérité, mes mains sont rapidement et solidement attachées, sans être serrées. Elle a de la pratique. Une autre corde va lui servir à nous tenir debout, attachés que nous sommes à la poutre en chêne du salon qui nous accueille.
Nous sommes, Géraldine et moi, droits comme des "I". Je ne puis m'empêcher de penser aux repas de famille qui ont eu lieu dans cette pièce, entre l'anniversaire de la grand-mère, la communion du petit dernier et les fiançailles de la cousine. S'ils avaient su qu'ils étaient en fait dans une salle de torture en puissance... Mon esprit revint vite à la scène actuelle, j'y fus forcé. Caroline s'attaquait à moi, à ma fragilité, à ma quasi-nudité et mon comportement parfaitement en adéquation avec ce qu'elle imaginait d'un soumis : les yeux baissés, le silence et l'acceptation de la situation de contrition (ça en fait des mots en "tion").
Positionnée derrière moi, elle commence à me griffer légèrement le dos offert à ses mains pourtant douces. Elle alterne entre caresse, griffures et petites tapes. Étant un habitué, je sais qu'il ne s'agit là que de l'échauffement. Elle me tape discrètement les fesses, les caresse aussi. Mon slip est de trop selon elle. Elle le retire, doucement, ça me chatouille et m'excite en même temps. Le moment de nudité est venu. Tous les soumis et toutes les soumises savent, comme moi, que ce moment est magique. Il veut dire : "je t'appartiens, fais de moi ce que tu veux". J'en profite à fond. Une fois nu, ma tortionnaire m'attache les chevilles, celle de gauche rejoint le bord d'un meuble, apparemment plus lourd que la table susnommée (je vous en prie). Bizarrement, ma jambe droite resta libre et Caroline pris la direction de ma voisine. Un bon mètre nous sépare. Elle reprit le même rituel qu'avec moi, fait de griffures, de caresses et autres petits claquements qui sonnent comme le début d'un accomplissement chez tout soumis qui se respecte. La culotte retirée, avec la même délicatesse, les chevilles de Géraldine se retrouvent elles aussi entravées mais, surprise, notre maîtresse décide de changer l'orientation de sa soumise. Nous sommes toujours, elle et moi, côte à côte, mais j'ai une vue sur le côté "cour" et ma consœur sur le jardin. Elle aura une meilleure vue que moi...
Sa jambe gauche rejoint une boucle de fer incrusté dans le mur, près de la cheminée. L'autre jambe demeure, elle aussi, libre. Pas longtemps. Notre tortionnaire joint nos deux chevilles ensemble, tant il est vrai que les salons bourgeois ont rarement un point d'ancrage au sol au milieu du salon. La situation est claire : nous voilà clairement limités dans nos mouvements et chacun des protagonistes a le loisir de voir les fesses de l'autre... et aussi son visage.
Nous sommes prêts. Géraldine peut voir en exclusivité les instruments. Caroline en choisit un, le martinet : instrument symbole, que Géraldine connait un peu (cf. épisode 1). Ça la rassure sûrement, mais je sens, vu le parcours de notre dominante, que je vais ouvrir le bal. La première volée me le confirme. On change d’envergure sans pour autant monter dans la douleur. Ça fait mal mais juste assez pour préparer le corps à la suite des événements. Entre deux coups, je cherche le regard de Géraldine qui doit sans doute avoir la même réflexion que moi : je serai, à chaque instrument, le mètre étalon de la souffrance. Ayant déjà été dans cette position, Caroline se sert de moi pour lui indiquer en live ce qui l’attend. Finement jouée, Madame, la jeune femme appréciera. Au bout de quelques minutes et une peau du dos et des fesses commençant à prendre la couleur d’un soleil couchant, Caroline me caresse l’entre-jambes, décidée sans doute à en vérifier l’élasticité, personne n’est déçu du voyage pourtant si court… C’est l’heure de Géraldine.
Elle tente de se libérer. Elle a peur. Caroline n’en tient absolument pas compte. Elle contemple sa prisonnière et se félicite d’avoir pris le temps d’apprendre à bien attacher ses amis lors des soirées lilloises. Ses mouvements de sursaut me font tressaillir également, nous avons une jambe en "commun". La maîtresse sonne la fin de la révolution d’un claquement de cuir qui, bien que faisant tressaillir ma compagne d’infortune, la calma aussitôt, prête qu’elle était à subir ce qu’elle était venue chercher. Elle ne fût pas déçue. Les lanières tombèrent sur l’arrière de son corps, à flots réguliers d’abord, puis à vitesse et intensité variable. Sa respiration pris le rythme d’un coureur de demi-fond et, sur la dernière salve, profita de la pause pour souffler un peu.
Caroline pris de la distance pour contempler son œuvre : Recto-verso aurait pu en être le titre. D’un côté, un homme, soumis régulier et profitant de l’instant et de l’autre, une novice redoutant le suivant.
« C’est bien, dit-elle d’un ton dégagé, on va pouvoir passer à la suite ». Des cordes, plus fines que celles qui nous contraignent et des pinces en métal. Elle s'approche de Géraldine, lui retire son soutien-gorge pour lui en fabriquer un autre, en cordage... Je ne peux qu'admirer la technique, le croisement d'ogives de chanvre à l'arrière de son dos forme une symétrie parfaite. Ses deux seins sont parfaitement soulignés par la couleur claire du cordage. Étant un novice en la matière, je prends des notes, sans stylo et sans main. Ma mémoire va me servir de calepin, vous en lisez le résultat, petits veinards...
L’œuvre est presque terminée : les seins de Géraldine sont pris entre deux fourreaux. Ça offre une prise de choix aux cordes plus petites. Caroline choisit un sein et commença à le malaxer fermement, à la limite du pincement, puis l'autre, puis les deux. Elle entoura aussitôt le premier d'entre eux pour le bonder très fermement. La poitrine est généreuse mais, avec ce traitement, ses seins se contractent et prennent, vus de profil, la forme d'une ampoule rougeâtre (car les vaisseaux sanguins, très présents à cet endroit, ne peuvent renvoyer le sang dans l'organisme). Géraldine souffre. Elle n'a apparemment jamais connu ça, mais aucun code de sécurité en vue, seuls quelques cris de douleur viennent perturber le silence de ce quartier tranquille. Une fois les deux ampoules en place, une série de caresse et de très légères griffures, suffisantes vue la situation, traversent la poitrine de la soumise désormais partie dans une extase que je lui souhaite longue.
Un regard noir me transperça alors. Ma dominante ne m'avait pas oublié. "Tu prends ton pied, là, non ?!?". Il est vrai que mon double statut de dominant/Soumis me permet de vivre cet instant… intensément.
« A ton tour ! », me lança-t-elle. Elle prit ses cordes : je n’ai pas la poitrine de Géraldine et nul doute que son œuvre sur mes seins n’aura pas du tout la même esthétique. Seulement voilà, si les femmes ont les seins qui ressortent, nous, les hommes, avons aussi un organe externe. Je le compris rapidement et à mes dépens. Un petit tabouret sur lequel reposait une plante même pas exotique lui servit d’assise afin d’être au bon niveau pour le travail qu’elle entreprit sur moi…
Lors de notre entretien matinal, nous avions convenu qu’il n’y aurait pas de Ballbusting mais Caroline insista pour que mon sexe fasse partie des organes « torturables » mais sans aucun coup. Ce qu’elle mettait en place respectait ce principe. Ce fût nouveau pour moi… elle encercla mes testicules et les serra assez fort pour que je puisse mentalement en imaginer les contours. Une autre ficelle vint les séparer, prenant ma verge comme point d’appui. Pour me faire souffrir un peu plus, ma maîtresse commença à ma tripoter de sorte que, l’érection en résultant participe naturellement à cet effet de serrage. Une fois bien tendue, un saucissonnage en règle de ma bite vint conclure cette partie. Mon organe le plus sensible, et de loin, ressent chaque cm² de fil. Géraldine regarde le tableau à son tour. Elle commence à s’habituer à sa douleur. Elle me voit sous un autre jour, un autre profil et regarde la scène se rappelant sans doute la dernière fois où elle avait vu ce sexe, dans un élan d’extase.
Les pinces ! Je les avais oubliées. Pas elle, elle me demanda par lequel commencer, désignant du bout du doigt mes mamelons. Sans parler, je lançai un regard sur le gauche, sans plus d’explication sur ce choix. L’excitation aidant, mes tétons pointent clairement et sont prêts à accueillir l’objet qui se rapproche dangereusement de la zone, c’est parti. Caroline commença par le pincer et posa délicatement la pince, métallique et froide, sur cette partie sensible. J’émis un cri car le pincement est terrible et je sais que ce dernier risque de durer. Je me prépare pour le second mais, curieusement, elle se dirigea vers Géraldine qui, vu l’état de ses seins, pensait être dispensée de ce sort. Elle avait tort. Le même type de pince que moi vint lui serrer le téton et le cri qui s’en suivit me fît croire qu’elle allait jeter l’éponge. Une larme, seul réflexe du corps encore libre, sonna à la porte de ses yeux. Caroline apprécia ce moment, non pas par sadisme mais bien par complicité. « Tu voulais une dominatrice et tu l’as », semblait-elle lui dire à travers ses yeux eux aussi humidifiés.
C’est ainsi que l’on reconnait les vraies maîtresses. Elles sont sans pitié mais pas sans cœur, ce qui peut sembler contradictoire mais, en fait, c’est cette amplitude que chacun recherche et plus le contraste est fort, plus le plaisir vient, tant que l’on reste dans les limites de chacun.
Nos deuxièmes tétons reçoivent chacun leur pince (et les cris qui vont avec). Mon cerveau joue avec le haut et le bas de mon corps afin de savoir où est l’urgence dans l’expression de la douleur. Je commence, moi aussi, à me débattre, espérant, en vain, délivrer mes mains pour que celles-ci interviennent et mettent fin à mon supplice. Après quelques instants, j’abandonne ma tentative d’évasion tant la prison qui me retient est bien ficelée. Caroline apprécie chaque instant de cette acceptation et nous annonce qu’elle part dans sa chambre prendre du matériel et que nous pouvons discuter entre soumis pendant ce temps.
L’image est cocasse. Géraldine souffre, moi aussi, et nous allons avoir le droit de parler, ce qui est rare dans une séance de SM. « Ça va ? », osai-je bien que connaissant la réponse. « J’ai mal », me répondit-elle aussitôt. Je ne lui ai pas répondu car elle savait que moi aussi. C’était sa troisième séance : je fus sans doute son initiateur mais Caroline l’avait clairement prise en main et son parcours venait sans doute de prendre une autre envergure. Les intensités et les douleurs avaient changé de niveau et il me fallut beaucoup de mots pour la rassurer, lui dire qu’elle avait dépassé ses premières limites et que cela lui serait bénéfique dans la vie de tous les jours, où nos limites sont sans cesse repoussées. Sans m’en rendre compte, je compris que je me parlais aussi à moi-même. De mon côté également, j’avais dépassé une limite.
Nous nous contentâmes d’un silence commun, sans doute 5 bonnes minutes (je ne vois plus l’horloge), pour nous concentrer sur cette douleur, désormais diffuse mais bien réelle. Tout en se demandant ce qui nous attendait.
Caroline refit son apparition, des chandelles dans les mains, blanches, immaculées et prêtes à servir. « Pourquoi des bougies ? », dû se dire Géraldine, décidemment très novice. Je compris assez rapidement à la vue de ces blocs de paraffine que nos positions allaient changer et que la jeune novice n’irait plus jamais déposer une chandelle à l’église sans avoir une pensée pour cette soirée.
Fin de l’épisode 2 – Partie 1 : si celui-ci vous a plu, merci de le mettre en commentaire, que je sache si je peux continuer.
Merci d’avance.
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Historiquement, le fétichisme des pieds remonte à l'Égypte ancienne. Les sandales étaient souvent gravées d'images érotiques et de nombreuses tombeaux contiennent des peintures murales intégrant des illustrations autour du pied. Au Japon, les Geishas se contraignaient parfois les pieds pour les faire paraître plus petits et plus délicats.
S'il fallait en donner une définition, un fétichiste des pieds est une personne qui est sexuellement excitée par les pieds. Le fétichisme des pieds est l'un des fétichismes les plus courants, et on le trouve autant chez les personnes dominantes (qui vont contraindre par exemple leur soumise à porter des talons hauts) que chez les personnes soumises (qui vont prendre plaisir à embrasser les pieds de leur Maîtresse ou de leur Maître). Les fétichistes des pieds peuvent aimer embrasser, lécher, sucer les orteils, masser ou sentir les pieds (l'odeur du pied fait partie des déclinaisons fétichistes autour du pied) . Certaines peuvent également aimer voir des pieds gainés dans un bas nylon, dans des chaussettes ou dans des chaussures ouvertes. On trouve également des fétichistes qui vont trouver leur plaisir dans la vénération du pied (ce qui peut prendre deux formes différentes, la vénération du pied de leur partenaire, ou l'adoration par leur partenaire de leur propre pied).
Le fétichisme des pieds est souvent considéré comme une déviance dans le monde vanille car les pieds sont considérés comme sales (car en contact avec le sol).
Quelles sont les causes du fétichisme des pieds ?
On dit souvent que les fétichismes se développent durant l'enfance. Si tel est le cas, le fétichisme des pieds pourrait trouver son origine dans vos jeunes années quand vous étiez chatouillé par les pieds ou que tout petit vous aimiez-vous que vos pieds soient frottés.
D'autres pensent que les personnes fétichistes des pieds pourraient s'intéresser aux pieds parce qu'ils symbolisent le pouvoir et l'autorité.
D'autres encore, suposent que les pieds provoque une excitation sexuelle car ils sont souvent cachés, ce qui peut les rendraot encore plus intrigants et désirables.
Comment savoir si vous êtes fétichiste des pieds ?
Si votre premier réflexe, l'été, quand les femmes sont courtes vêtues est de vous focaliser sur les pieds dénudés plutôt que tout autre partie du corps et de les regarder avec attention et en détail, spontanément, et d'en ressentir une excitation sexuelle c'est sans doute que vous êtes fétichiste du pied, à une échelle ou une autre. Si vous êtes un homme et que vous vous arrêtez devant les magasins de chaussures pour contempler les talons de stiletto féminins, c'est également un indice. Bien évidemment si la vue d'un pied vous procure de l'excitation ou du désir, il n'y a aucun doute. Mais si l'attrait est donc plus soft, ce peut être que vous faites un rejet de votre fétichisme (et de ses déclinaisons sexuelles). Beaucoup d' hommes sont donc fétichistes mais se refusent à se l'avouer à eux-mêmes. Il n'y a pourtant aucune honte à être fétichiste des pieds, regarder prioritairement les pieds d'une femme ou ses orteils n'est pas moins nobles que de regarder d'autres partie de son corps tels que ses seins, ses fesses ou ses parties génitales !
Si vous vous sentez fétichiste, il n'y a aucun mal à explorer davantage vos désirs, seul ou avec une partenaire consentante. Les femmes sont moins réfractaires qu'on ne le dit, et certaines adorent se faire masser les pieds ;-).
Le fétichisme du pied en bas nylon
Le fétichisme du pied en nylon est assez répandu et il se décline en plusieurs "sous catégorie" existe un certain nombre de sous-catégories différentes .
Il existe ainsi plusieurs types de fétichisme des pieds en nylon, notamment
-L'odeur des nylons : Certaines personnes sont attirées par l'odeur des nylons, qui peut varier en fonction du type de tissu utilisé,
-La sensation des bas nylon : La douceur du tissu quand elles caressent le pied de leur partenaire peut être considérée comme excitante pour certaines personnes,
-Le bruit des bas nylon : Le bruissement des bas nylon peut également être excitant pour certaines personnes,
-La vue des bas nylon : L'aspect des bas nylon sur un pied peut provoquer une excitation visuelle.
-Le goût des bas nylon sur le pied : Certaines personnes aiment lécher et goûter les bas nylon, souvent parce qu'ils ont un goût sucré ou sexy.
Le fétichisme axé uniquement sur les doigts de pieds
Une branche du fétichisme des pieds s'est développée pour devenir un fétichisme quasi à part entière.
Les personnes qui ont ce fétichisme particulier sont souvent appelées, non sans mépris parfois, "suceurs d'orteils". Bien que la succion des orteils puisse être intégrée au fétichisme traditionnel des pieds, elle constitue donc également un fétichisme distinct.
Les origines de la succion des orteils
Les origines de la succion des orteils remontent à l'Égypte ancienne. En fait, de nombreux historiens pensent que la succion des orteils était pratiquée dans le cadre d'une cérémonie rituelle au cours de laquelle la femme du pharaon baignait les pieds de son mari, puis lui suçait les orteils. Cette pratique était censée symboliser la soumission de la femme à son mari.
Bien que les origines spécifiques de la succion des orteils ne soient pas totalement connues, on pense que cette pratique a commencé à gagner en popularité au début du XXe siècle. À cette époque, de la littérature érotique incluant la succion des orteils comme acte sexuel a commencé à circuler. Ce phénomène, combiné au fait que les femmes portaient plus souvent des chaussures ouvertes (ce qui rendait leurs orteils plus accessibles), a probablement contribué au développement de cette perversion particulière.
Le fétichisme des ongles de pied vernis
Le fétichisme des ongles vernis est un intérêt sexuel pour les orteils qui ont été polis avec du vernis. Il peut s'agir d'un vernis à ongles transparent ou d'un vernis de couleur vive. Parfois les hommes fantasmes sur une couleur de vernis bien précise. L'excitation est provoqué par la vision d'ongles de pied de femme qui soient brillants et lisses.
Pourquoi les hommes sont-ils si excités par les ongles d'orteils vernis ?
Il existe plusieurs théories différentes sur les raisons pour lesquelles les hommes s'intéressent de plus en plus aux ongles vernis. L'une d'entre elles est que les ongles brillants sont considérés comme un signe de féminité et peuvent donc exciter les hommes qui sont attirés par les femmes très soignées, pour leur côté inaccessible.
Le fétichisme des talons hauts qui mettent en valeur le pied féminin
Dans l'histoire, Les premiers talons hauts ont été créés dans les années 1500 pour être portés par les hommes et les femmes. Cependant, ce n'est qu'au XVIIIe siècle que les talons hauts sont devenus populaires parmi les femmes de la noblesse européenne. Ces premiers talons hauts étaient constitués de fines bandes de métal ou de bois qui étaient fixées à la semelle des chaussures. Ces bandes permettaient d'élever le talon plus haut que le sol et rendaient la marche des femmes plus difficile, ce que beaucoup d'hommes trouvaient assez érotique. Ce qui s'exprime alors c'est une domination de l'homme et une soumission de la femme.
Au fil du temps, les talons hauts sont devenus de plus en plus populaires parmi les femmes de toutes les classes sociales. Au début du XXe siècle, des stars hollywoodiennes comme Marilyn Monroe ont contribué par leurs films à sexualiser davantage l'image de la femme à talons hauts. Et dans les années 1950, les talons aiguilles ont été inventés, ce qui a ajouté à la fascination des hommes pour les chaussures de femmes. Aujourd'hui, il existe toutes sortes de types de talons hauts parmi lesquels les femmes peuvent choisir - et les hommes en baver !
Le fétichisme du pied a ainsi basculé, le plus souvent, comme un fantasme de soumis pour sa maîtresse. D'une dévotion de l'homme soumis pour la féminité de la dominatrice.
Les fétichistes de l'odeur des pieds
Les fétiches des odeurs de pieds sont plus courants que vous ne le pensez. En fait, selon une étude, près de 5 % de la population a une sorte de fétichisme olfactif. Et même si cela peut sembler peu, cela représente tout de même un nombre important de personnes. Alors, qu'est-ce qui fait que certaines personnes trouvent l'odeur des pieds si attirante ?
Pour de nombreuses personnes fétichistes des odeurs de pieds, l'attrait réside dans la nature taboue de l'odeur elle-même. Il y a quelque chose d'excitant à savoir que quelqu'un trouve vos pieds si odorants qu'il en est excité. C'est la même raison pour laquelle certaines personnes sont fétichistes des odeurs corporelles ou même du léchage des aisselles, mais c'est un autre sujet.
Mais pour d'autres, c'est simplement l'odeur des pieds qui les excite. Certaines personnes trouvent l'odeur de la sueur et du fromage carrément enivrante. Le fait que les pieds sont souvent chauds et transpirants parce qu'ils sont enfermés dans des chaussures toute la journée, semble être déterminant dans l’excitation sexuelle de ces fétichistes.
Ce fétichisme de l'odeur des pieds est assez répandu dans les milieux gays. C'est même peut-être le principal fétichisme dans cette communauté.
Voir également le fétichisme des collants
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Rendez-vous à l'aveugle
Cette aventure chaude et épique s'est déroulée cet après-midi d'automne.
Il y a quelques jours j'ai échangé sur un tchat avec un gars , Pierre, lequel m'indique que je peux passer aujourd'hui chez lui pour une baise torride.
Ce matin, j'ouvre mon smartphone et constate qu'il m'a envoyé un SMS : "Bonjour toi! Quand tu arriveras à l'adresse tu verras la maison est au bord de la route. Tu te gareras dans la cour en gravier juste après la maison, il y aura ma voiture bleue sous l'appenti . Juste à côté la porte du garage. Elle sera ouverte, tu rentres par là et referme. Au fond à droite porte pour monter, arrivé en haut tu te déshabilles et tu te mets à genoux sur le coussin préparé à ton attention devant le banc..et tu m'attends mains derrière le dos. Est ce que ça te va jusque là?
J'oubliais, je te banderai les yeux pour cette premiere fois, à la fin je te laisserai , tu te rhabilleras et tu partiras par le même chemin sans me voir.Toujours ok?
Waouh! Mais quelle excitation. Nous étions à quelques heures du rendez-vous et mon cœur battait à sortir de ma poitrine.
Donc , j'arrive au lieu de rendez-vous avec ¼ d'heure d'avance et Pierre m'envoie un SMS disant qu'il est prêt â m'accueillir.
Comme indiqué dans son SMS, je me gare, entre dans le garage, la porte était ouverte, je monte, inquiet de savoir si je ne m'étais pas trompé de baraque. Arrivé en haut de l'escalier, devant la cheminée j'aperçois un banc avec un coussin à son pied.
Je scanne rapidement la pièce, elle est petite, sur ma droite un rideau séparant certainement cette pièce d'une autre.
Je me déshabille, m'agenouille à poil, et m'installe le mains derrière le dos et les yeux clos. A cet instant, mon cœur bat au de-là de sa capacité....inquiet et hyper excite de la situation , il me semble qui pourrait déchirer ma poitrine.
J'entends dans mon dos un rideau coulisser, un bruit de pas et immédiatement on me bande les yeux avec une étole. Une voix douce et directive m'ordonne de garder le morceau qui pend dans mes mains serré autour.
Je reste muet et obéis.
Il s'approche de moi et je sens son souffle court, son excitation est palpable. Il se frotte contre moi, attrape ma poitrine qu'il pétrit.
A ce moment précis, j'ai l'impression que sous la pression mon sexe rétréci au point de rentrer en moi et je sens la veine dorsale de mon pénis battre au rythme de mon cœur.
Mon hôte se penche sur moi pour attraper mon service 3 pièces afin de tirer dessus. Je sens que mon impression est fausse et que mon sexe est à demi dur. Je profite de sa position pour remonter mes mains le long de ma colonne pour tenter de toucher son sexe. Il se frotte et me laisse découvrir à l'aveugle. Je sens une belle paire de bourses et un gland énorme qui se tend entre mes doigts.
C'est étrange, privé d'un de mes cinq sens, la vue, tout le reste est hyper développé. J'ai un ressenti sensoriel exacerbé du toucher, odorat, goût, ouïe qui se décuple étonnamment.
Il m'attrape par le menton et me roule une mega pelle. Je sens sur mes lèvres que son menton est poilu, il est barbu comme moi. Il sent bon le savon et à une haleine fraîche. Cela paraît insignifiant dit comme ça, mais dans une situation où l'homme est un inconnu, que je suis en situation de fragilité soumis, privé de vue et vulnérable, ça met immédiat en confiance sur l'hygiène et le respect du partenaire.
Il m'embrasse puis tout en me tenant par le menton me fourré son énorme bite en bouche, je suce goulûment puis de façon phrénétique.. je deviens accro à sa bite en un claquement de doigts.
Puis il me relève, me palpe les fesses, et me tripote la queue pour la durcir. Il me pince très fermement les tétons, ce qui me fait lâcher un petit cri de douleur mélé à de l'extase. il recommence et me mordille les tétons et les lobes d'oreilles tout en me pelotant les couilles.
Il m'ordonne tout à coup à me pencher en avant en appui sur le banc et me prodigue un anulingus monumental d'une rare intensité. Tellement bien exécuté que j'ai l'impression de planer de plaisir.
Il me gobe les boules puis attrape mon penis devenu très dur.
Tout en le gardant en main, il m'ordonne de me retourner. Sans un mot je m'exécute. Il m'embrasse à pleine bouche, me pince les tetons et me branle fort, tellement que s'en est délicieusement douloureux. Lorsqu'il perçoit que j'ai trop mal il arrête et me suce . Il me suce au point que ça en devient douloureux . Quand il voit que ça devient intenable, il ralenti et me suce avec douceur. Il me relève ensuite les jambes , me bouffe les boules, la bite et me fouille la rondelle, en me suçant ... hummmm c'est bon à en tourner de l'œil.
Tout en me suçant, , il me met un doigt dans le cul, puis deux, ..et vu que je me laisse ainsi faire, ... 3 doigts.
Il me suce et voit que je prends mon pied.
Il me reserre les jambes et tire mes couilles de manières à ce qu'elles dépassent, puis il se remet à me sucer, je reprends mon pied, c'est douloureux car le rythme est soutenu mais c'est bon...
Puis il me calme en redevenant doux, suave, hum tellement bon... et là je prends un super pied, je me cambre, m'arc boute, il me suce de plus belle.
Il m'offre sa bouche, et en faux soumis, je prends les choses en main, enfin ... su hé puis dire, et avec des coups de reins, il me laisse lui baiser la bouche. Et lorsque je prend un rythme de croisière, il retire brusquement sa bouche et me tape fermement sur la rondelle. Les coups sont d'une précision chirurgicale et me donne une excitation étonnamment décuplée au lieu de me couper dans mon élan.
Il recommence et tape ma rondelle du bout des doigts, gifle en plus mes boules et je me surprends à adorer ça.
Il recommence, tape ma rondelle, encore, et encore et encore puis il fouette mes boules, ma rondelle et enfin ma bite.
Humm, je étrangement au bord de l'orgasme, moi qui n'ai jamais fait de SM.
Subitement, il arrête de maltraiter ma rondelle et mes couilles pour frotter son énorme gland sur ma rondelle . Il semble qu'il va me prendre, m'enculer bien en profondeur, et je le sens me pénétrer , humm .. Et je sens 2 doigts rentrer sans égard et faire des va et vient...
Cela m'incita à m'offrir en bonne chienne en chaleur, mes jambes écartées au maximum. Mais je comprends vite qu'il née pénètrera pas, il me baise divinement avec ses doigts et me glisse à l'oreille qu'aujourd'hui je n'aurai pas de bite au cul.
Il me suce à nouveau, me bouffe le cul, bat mes couilles, suce encore et encore.
Il augmente la fréquence et l'intensité de ses va-et-vient, il ralenti, alternant ainsi entre désir et plaisir.
Je n'en peux plus, je suis au bord de l'épanouissement...
Soudain il arrête , utilise ma bite comme un gode en frottant mon gland au bord de son trou. Il me semble qu'il est face à moi, il frotte sa rondelle sur ma queue et alterne en me fourrant sa queue dans ma bouche pour me faire taire, et revient sur ma queue, me rebourre la bouche, ainsi de suite...
Je n'en peux plus, mon souffle se raccourci, j'ai mal au gland puis j'ai envie que ça recommence, ainsi de suite , il me branle fort, me suce, me branle, me suce alternant douceur et douleur....
A un moment il a décidé que je devais jouir, il s'est mit à me lécher, sucer, pomper, pincer les tetons en prenant soin que j'ai du plaisir uniquement , sa bouche sur mon gland aspirait encore et toujours assurant une sucions continue. Je l'informai que mon ejaculation était imminente , il m'a répondu qu'il savais mais me l'interdit. Il me demandait si j'étais bien soumis et prêt à être présenté à sa partenaire, une maîtresse dominatrice qui manie la ceinture gode avec brio. Toujours sans un mot , je fis signe OUI de la tête. Il me répondit en m'ordonnant de jouir. Je n'en pouvais plus ma queue n'attendait que cet ordre, je deversais par sacade un flot impressionnant et discontinue de foutre aspergeant mon hôte, mon abdomen jusqu'à mon front, il y en avait tant qu'il étala mon sperme sur le ventre pour mieux le lécher , me sucer encore pendant que j'étais pris par des soubresauts duent à mon orgasme comme si j'étais entré en trans.
Puis il est venue me rouler une pelle avec mon sperme... humm le kiffe.
Il m'ordonna de me rhabiller toujours les yeux bandés et me dit qu'il me renverra un SMS pour me soumettre à nouveau pour un autre scénario observé par sa maîtresse dominatrice qui après nous avoir regardés me défoncerai à coup de gode ceinture. Si j'étais au niveau un autre rendez avec lui, elle et un maître actif dominateur sévère serait rapidement fixé.
Une fois habillé, il me dirigea devant les escaliers et m'ordonna de repartir comme j'étais venu après m'avoir retiré l'étole de sur mes yeux, puis il disparu derrière le rideau.
Retrouvant la vue, je descendais les escalier et reparti un peu en titubant sous l'effet de l'adrénaline due à mon puissant orgasme sans jamais avoir pu voir mon dominant. Mais finalement, privé du sens de la vue, était-ce important vu mon plaisir intense?
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Je pose mon regard sur ses fesses,
J'adore ce cul, sa forme et sa peau,
C'est un trésor digne d'une déesse.
Chaque fois c'est un emoi nouveau,
De voir ce bout de chair ensorceleur,
Tout comme ses seins provocateurs.
Elle est excitée, sans aucune crainte,
Ligotée par les techniques du shibari,
Art des cordes pour une solide étreinte.
Mise en position fœtale, Momo shibari
Les poignets avec un double column Tie
A genoux, ses bras entre ses jambes.
Expose son derrière et son entrejambe.
La vu de ce spectacle est un vrai delice,
Qui ne me laisse pas du tout indifférent.
Vient le moment où mes mains glissent,
Jouant des courbes de ce cul si troublant.
Obsèdé tout le temps par ses jolies fesses,
Des tentations et invitations aux caresses.
Elle est en attente du châtiment tant espéré,
Ses fesses offertes frémissent d’impatience
En attendant la claque cinglante immodérée.
Son corps s’agite, sa croupe dans l’indécence
Soumise à mes caresses toniques et subtiles,
Elle sait que ça va enfin commencer, elle jubile.
Ma main claque doucement ce charnu popotin
Son cul apprécie énormément et en redemande
Faire attendre, prendre son temps, je suis coquin.
Le cul en l'air, elle en veut plus, une gourmande,
Mes mains fermes gifles ces fesses à nouveau,
Ðes traces de doigts apparaissent sur la peau.
Mains vigoureuses tapant de plus belle par jeu
Ses fesses rougissent et deviennent ardentes
Douceur et douleurs mixent son derrière en feu.
Cette situation pour nous deux devient exaltante.
Au comble de l'excitation, elle en a des frissons,
Elle est aux anges, sexe trempé, je suis polisson...
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Limites à pousser,
une confiance accordée
Un grand respect,
une possession donnée
Prenez ce que moi je suis,
faite de moi votre souffre douleur
Je viens sans peur
Un chemin inconnu,
de Votre main affligée
Genoux pliés, tête cintrée
Une bonne volonté de servir,
un cadeau de soumission
je vous donne mon corps
venez saisir mon esprit
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Bonjour à tous,
J'ai pris du temps à prendre la parole, ou plutôt à prendre mon clavier, afin de vous soumettre une des mes histoires, qui a plus de 20 ans, certes, mais me définit bien. Pour être parfaitement honnête, je l'ai présenté sur un autre forum, il y a 4 ans... et le peu de réactions me laisse à penser que ce forum, qui a l'air beaucoup plus actif, facilitera la discussion car cela en est le but. Si je ne suis pas au bon endroit (ou si la section "cas vécus" n'existe pas), je présente mes excuses aux modérateurs et vous laisse gérer ce témoignage. Si ce dernier reste, bienvenu dans monde, c'est parti :
Cela se passe dans nom Nord natal, une jeune femme apprend par hasard, lors d'une soirée étudiante, que je suis attiré par les jeux de domination et de soumission (à cause d'un ami qui, étant au courant de mes tendances, s'est permis d'en parler sans prendre garde à l'auditoire : la jeune femme en question).
A l'époque, nous organisions un petit voyage à Disneyland avec ma promo étudiante, chacun d'entre nous avait la possibilité d'inviter une personne et devinez qui je pris ? La jeune femme pré-citée, que j'appellerai Géraldine (le prénom a été changé).
Je me retrouve donc en vadrouille à Marne la Vallée au milieu des décors en carton pâte et autre Mickey. Peu de monde, période de juin, nous profitons des attractions mais, la fatigue aidant, je décide, avec ma compagne d'un jour, d'aller voir un spectacle histoire de s'asseoir un peu. Le spectacle commençant dans une vingtaine de minutes, le discussion s'enclenche sur le BDSM, puisque son oreille avait glissé quelques jours plus tôt sur mes pratiques lors de la fameuse soirée.
Elle m'avoue (quoique je ne vois pas où soit l'aveu, je ne vois là aucune culpabilité) avoir envie de pratiquer le SM, en tant que soumise, et le plus vite possible !
Je vous refais la scène, je suis au milieu d'un parc à thèmes pour enfants et une jeune femme me demande de la dominer. Euh, comment dire ? Hors-sujet ? trop tôt ou trop tard ? Je me vois donc dans l'obligation de lui demander a minima d'attendre notre retour en terre flamande pour envisager quoique ce soit. Elle acquiesce, nous profitons du spectacle mais je dois avouer que quelques images de ma future soirée commencent à s'immiscer entre Minie, Donald et autre Mulan.... vision bizarre, mais que je dois bien assumer.
Je vous épargne le reste de la journée, mélange de poupées qui chantent "It's a small World after all" et mon imagination débordante faite de menottes, de martinet et de pinces sur tétons. Vous avez dit bizarre ? Comme c'est bizarre !
Le soir venue, Géraldine se prépare à rentrer chez elle une fois descendue du bus. Tout mon imaginaire s'effondre sur le champs ! Elle a dû changer d'avis, dommage ! Je cherche donc un taxi pour rejoindre Fives (un quartier de Lille) où se trouve mon appartement lorsqu'une voix me demande au moment où j'allais annoncer l'adresse à mon transporteur : "Je peux venir ?". Mon "oui" fût si rapide que Géraldine crût un instant que je m'adressais au chauffeur. Je lui tint la porte de notre carrosse (une Peugeot, si me souviens bien). Cela la rassura, je la pris par le bras comme pour l'introniser dans un bal où personne ne l'avais jamais invitée.
Je la sentis un peu frileuse pendant le trajet, je la pris par la main avec mon discours habituel (code de sécurité, pratique négociée avant et, surtout, mon appartement possède un lit d'appoint dans le cas où elle ferait marche-arrière). Arrivée à l'appartement, un verre, vite ! Nous avons tous les deux la gorge sèche, comment pourrait-il en être autrement ?
Je lui présente ensuite le matériel, menottes, cordes, pinces à linge, bougies, martinet. Lui expliquant chacun sans tabou. Je sens désormais que sa frilosité déguise en fait une véritable excitation, la soirée peu commencer...
Je lui fait d'abord essayer les menottes, les bas devant, tel un suspect au tribunal. Elle comprend désormais que les clés que je possède seront son seul salut, elle assume de statut de soumise et me demande de tout essayer.
Je commence donc par la libérer, lui demande ensuite de retirer ces vêtements, hormis sa culotte et son soutien gorge, elle s'exécute, tremblante, je lui retire moi-même les bretelles de son soutien-gorge, ses épaules son dénudées, tant mieux, je peux donc désormais l'attacher sur une chaise présente depuis le début de la scène, au milieu de ma chambre, et que je ne vous ai pas présenté : La chaise, je te présente Géraldine. Géraldine, je vous présente la chaise.
Assise et menottée, Géraldine me lance un "je te fais confiance" qui marque définitivement ma mémoire comme un acte fondateur de notre future relation. Je lui attache les pieds, les genoux afin de valider la contrition. Je relie ensuite le bas de ses chevilles aux menottes, pour que le mouvement soit très limité...
Et je pars dans mon salon... pour regarder un épisode de Friends, dont je suis fan, en version originale, s'il vous plaît (ça passait sur une chaine qui s'appelait Jimmy et qui état la seule, à l'époque, à les passer en VO). Pour être honnête, le salon et ma chambre sont dans la même pièce, Seule ma salle de bain, mes toilettes, ma cuisine et ma salle à manger sont à part. Je laisse donc Géraldine regarder l'épisode avec moi. Elle n'a pas l'air de comprendre, je lui explique donc que je lui laisse une demie-heure pour entrer dans son statut d'objet. Dix minutes après, c'est le cas, elle accepte sa condition, je peux donc maintenant lui faire accepter la mienne.
Un aller retour au frigo me fait sortir quelque glaçons que je pose directement dans les bonnets de son soutien-gorge. Frisson immédiat, avec cette impossibilité de les retirer rendant ce frisson plus... excitant. Ne prononçant aucun code de sécurité, je prends le martinet et lui frappe, doucement d'abord, puis plus fortement, les cuisses, cela commence à rosir doucement.
Au bout de cinq minutes, les glaçons ont fondu, le soutien-gorge n'est donc plus nécessaire, je lui retire avec, dans mes mains, une vingtaine de pinces à linge. La suite, elle l'a compris. Ses seins vont désormais souffrir, elle le comprend et ne bronche pas.
Je commence avec les contours, la poitrine est généreuse, les pinces y trouveront leur place. Je garde les 4 dernières pour les tétons, 2 chacun, la douleur devient intense mais toujours aucun code de sécurité, je continue après lui avoir donné un peu d'eau. Cela fait partie du jeu, une souffrance pour une récompense. Le contraste entre la chaleur interne de son corps et ses tremblements externes nous font comprendre à tous les deux que chacun a trouvé ce qu'il était venu cherché, un moment de complicité.
Nous avions atteint un seuil de complicité entre son acceptation de sa situation et ma volonté de maîtrise. Cet équilibre, quand il est atteint, est un colosse au pied d'argile, un détail peu tout gâcher, un acte déplacé, un bruit dehors, un changement de ton.
J'y prends garde, je la possède, elle aime ça mais je me dois d'être prudent. Je commence donc à changer de rythme pour sentir sa sensualité. Les pinces posées sur sa poitrine sont désormais toutes en place. un dizaine sur chaque sein, 2 sur chaque tétons. Elle se concentre, tente de s'éloigner de cette douleur. Je suis là pour la lui rappeler. Avec le martinet, je caresse délicatement les pinces qui, de fait, se mettent à bouger, pinçant ainsi un peu plus par un effet levier qu'Archimède n'aurait pas nié. Le hasard des lamelles de cuir se promenant sur sa poitrine transforme une douleur diffuse en vague nerveuse à intensité variable. Elle ferme les yeux comme pour s'éloigner de la pièce. Le martinet reprend son office, quelques coups un peu plus fort sur les cuisses, à intervalle irrégulier, Géraldine ne sait pas où le prochain coup va tomber.
Ses cuisses sont désormais rouges, sa position assise lui permet de constater l'étendu des dégâts, j'ai une soumise bicolore. Je lui laisse reprendre son souffle... pas longtemps, un petit cri de douleur vient lui rappeler son statut, je viens de lui retirer la première pince à linge et, si jamais vous ne le savez pas, cela est douloureux car la pince a pris le temps de faire corps avec la peau, la retirer engendre donc une douleur de faible durée, mais intense. Une à une, je lui demande de choisir la prochaine en lui interdisant les deux placées sur chaque tétons, je me les garde pour la fin. Cela dure cinq longues minutes, entre le temps de son choix et mon choix de technique pour les retirer.
Lorsque sa poitrine n'offre plus à mes yeux que deux tétons sertis de bouts de plastique, je décide d'utiliser une technique redoutable : le "retirer remiser" qui consiste a enlever la pince pour la remettre quasiment aussitôt, effet garanti. Ses cris me le confirment. Elle voulait un maître, elle l'a eut, je voulais une soumise, je la tiens au bout de mes pinces.
Petite pause, les pinces sont maintenant un souvenir, je lui sers un verre de vin blanc, elle l'accepte, cela lui donne une petite ivresse et des yeux merveilleux regardant son bourreau avec au fond une question : et maintenant, que fait-on ? Je n'oublierai jamais ce regard, jamais cet instant, nous avions passé un palier, ensemble, une osmose, ce sont des moments rares, je me permets donc de le partager avec vous.
Il est donc temps de passer à une autre étape, de la déshabiller entièrement car le lecteur attentif n'a sans doute pas oublié que Géraldine était encore vêtue de sa petite culotte. Une soumission totale engendre une nudité totale. Je la détache et prépare la scène suivante…
Géraldine se frotte les poignets, essayant d'effacer les marques de cordes. Elle sait que ses derniers vont encore être mis à contribution, mais ça la rassure. Je lui demande, sèchement, de rester debout les mains dans le dos. Elle s'exécute. J'installe la scène suivante. Mon appartement est vieux, rénové, certes, mais vieux, un tuyau en fonte qui jadis servait à irriguer l'eau, n'a pas été enlevé par mon propriétaire lors de ladite rénovation. Bien lui en a pris.
Cela se passe en deux temps : j'utilise trois cordes, une attachée à chaque poignée de Géraldine, c'est ce que j'appelle une corde de non-pression. C'est une technique de sécurité (encore) qui consiste à faire plusieurs tours de corde autour d'un même poignet et de lier les extrémités de la corde ensemble. La corde non-pression permet à Géraldine d'avoir le poignet maintenu mais avec une tension supportable. En effet, si je n'avais fait qu'un seul tour autour de son poignée, la pression au niveau de la jointure serait intolérable, voire dangereuse.
Une fois les deux poignets ainsi traités, ils se transforment donc en "bracelets" qui vont être attachés à la troisième corde elle même suspendue entre deux points d'attache. Géraldine se retrouve donc les bras en V, face au mur.
La petite culotte est toujours à sa place. Pas longtemps, je la lui retire en la faisant glisser délicatement, je veux que chaque molécules de peau de sa jambe soit en contact avec la dernière pièce de tissus encore présente sur elle. Elle est nue, de dos, ne sachant pas ce qui va lui arriver.
C'est une première dans notre relation, ses yeux ne lui sont plus utiles. Je prends donc la décision de surprendre, je lui caresse de dos, délicatement, descend lentement jusqu'à ses fesses, promenant ma main entre les deux, sans forcer, c'est trop tôt. je change soudain de direction, passe vers l'avant et commence ostensiblement à la caresser à l'endroit que la morale réprouve mais que le désir inonde, si j'en crois mes doigts.
Réflexe, elle resserre les jambes. Mauvaise idée, je me saisis de deux cordes et lui attache les chevilles une par une et attache la première corde au radiateur en fonte et la seconde au canapé servant de lit d'appoint pour mes invités. Ma soumise était en V, la voilà désormais en X.
Je reprends donc mes attouchements, elle se débat, crie un peu, j'aime ça. Les yeux, toujours les yeux, reflet de l'âme et parfait miroir du désir naissant en sa bouche offerte. Mes doigts rejoignent sa bouche. Elle les lèche, les tripote avec sa langue, seul organe libre de l'ensemble de ses mouvements. Ses yeux sont fermés, elle imagine, elle rêve, elle part. Il est donc l'heure de la réveiller. Mon martinet la fait sursauter ! La douleur aussi, sans doute. Son dos comprend vite. Nous en sommes à une phase avancée de la séance, les coups sont plus rudes, plus ciblés, plus insistants. Ma soumise devient torsion, tentant en vain de s'éloigner des lanières qui, inlassablement, tombe juste à chaque fois.
Je marque une pause pour voir le regard de Géraldine, légèrement crispé, un peu humide et pourtant soulagé, non pas parce que je me suis arrêté, mais parce que je prends soin d'elle. Je la soulage de ses larmes naissantes à l'aide d'un kleenex, lui donne un peu d'eau, pas trop. Je l'embrasse, délicatement, sur la bouche, elle opine, cela commence à devenir excitant. Pour être clair et cru, je bande. Mais, là aussi, c'est trop tôt. Il est donc l'heure de la fessée, donc de la fesser.
La fessée est un art, un concept, une autre approche de l'autre.
Les diverses méthodes pour l'infliger permettent d'être plus ou moins à l'aise pour la pratique.
En ce qui concerne Géraldine, après l'avoir dé-crucifier, je décide de lui attacher les mains vers l'avant, bien que je lui ai fait déjà fait essayer les menottes, je reste fidèle à mes cordes. Elle se laisse faire, a t-elle le choix ?
Je m'assied sur la chaise et lui demande de se poser à plat sur mes genoux. Elle comprend ce qui l'attend. Avant cela, j'ai attaché une autre corde autour de ses mains liés, un peu comme une laisse, mais pour les mains. Une fois en position, je saisis cette laisse, la fais passer sous la chaise pour la faire réapparaître de l'autre côté, au niveau des genoux de ma soumise. Je lui attache les genoux avec en tirant assez nettement de sorte que ses mains soient immobilisées, ça appuie un peu sur mes jambes mais, en échange, j'ai une femme offrant son postérieur à mes yeux et à mes mains qui n'en demandaient pas tant.
Je frappe, une fois, nettement, pour lui faire comprendre le standard de la fessée. Sa tête, pendante au dessus du vide, se redresse aussitôt. Seulement retenue par la tension de la corde, ce mouvement demeure assez réduit. Je recommence, sur l'autre fesse, même sursaut. Je continue avec une alternance de caresses très douces et de claquements violents. Son cul n'est plus que vibration tantôt guimauve, tantôt acide et rien dans mes mouvements n'est régulier, de sorte que la pauvre Géraldine ignore le type et la violence du coup suivant.
Je termine cette phase par une apothéose, le final d'un feu d'artifice, je claque violemment les zones pas assez rouges à mes yeux, ma soumise se débat, je ressent ça sur mes cuisses qui la supporte mais, peu importe, je continue, elle crie "Stop", je n'arrête pas, elle n'a pas dit le code de sécurité.
Soudain, tout s'arrête, le silence s'installe, à peine perturbé par son essoufflement. Le calme, après la tempête, je lui caresse les fesses, très délicatement, elle sursaute d'abord, pensant aux prémices d'un nouvel orage. Je continue, délicatement, tendrement, presque amoureusement. Elle se détend, je lui re-caresse la zone érogène ultime, des petits cris de contentements commencent à exhaler ma libido.
Elle s'en rend compte et décide de bouger son corps pour exciter son maître qui, si cela continue, ne pourra pas retenir indéfiniment les assaut de la bête excitée. Je la détache, à temps. Je prends les menottes et lui attache les mains dans le dos.
"Tu vas maintenant devenir une esclave sexuelle !, lui dis-je d'un ton proche d'un péplum de la 20th Century Fox, à genoux...". Je déplie mon canapé d'invité, je vais avoir besoin de lui. En effet, les nouveaux pieds de lit vont me servir à lui attaché les siens, lui forcer la position agenouillé et maintenir ses mains fixes sur le barreau en fer. Je prends mon temps, d'abord parce que c'est technique et surtout pour faire baisser ma pression interne. Hors de question de jouir trop tôt !
Je l'abandonne, un bon quart d'heure. La position, supportable au début, commence à devenir délicate, puis douloureuse, puis insupportable. J'entends des petits "Aïe" à chaque fois qu'elle cherche à mieux se positionner. Elle m'avouera, plus tard, que c'est la partie de notre séance qu'elle a préférée. Souffrir en l'absence (relative, j'étais dans la pièce à côté) de son maître. Elle m'a même dit que cette douleur ne ressemblait pas aux autres.
Après avoir regardé 15 minutes de reportage animalier, très efficace pour débander, je reviens dans la salle où ma soumise, crispée dans tous les sens, me supplie du regard d'achever ses souffrances. Évidement, je n'en fais rien. Je lui demande, car notre entretien préalable n'en avait pas fait état si, pardonnez moi du terme, elle avale.
Elle me dit n'avoir jamais essayé la fellation, je lui propose donc deux nouveautés : elle accepte. Je lui annonce donc que sa libération coïncidera avec ses deux nouvelles expériences. La scène suivante, sur laquelle je poserai un voile pudique, a été notre apothéose (en tout cas pour moi ), car chacun de ses allers-retours lui faisait de plus en plus mal mais, sans ces derniers, la douleur n'en serait que plus longue. Je ne sais pas combien de temps à duré cette fellation, à la fois maladroite (c'était sa première) et délicieuse, un sentiment de bien-être à tutoyer les anges au moment où mon âme, exalté au plus haut point, transforma l'essai en réussite et la réussite en Nirvana.
Je la remerciai, la détachai. Elle me dit "merci", j'en fîs de même, notre complicité s'est finie le lendemain matin, après un petit-déjeuner copieux. Elle repartit chez elle, dans son logement étudiant, je repris mon chemin. Ce n'était pas la dernière fois que nous nous voyons, mais nous ne le savions pas encore. Elle allait reprendre contact et changer les règles du jeu, et je ne savais pas à quel point cela aller me convenir…
Mais tout ceci est une autre histoire....
Frédéric (oui, c'est mon vrai prénom)
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Je l'ai vu et me suis presenté ,
avec timidité et respect en moi
jaillit un raz de marée
Et à coup sur que ça allait piquer
Je lui ai donné entiere confiance
Sans aucune mefiance
Carte blanche donné sans stress
Pour faire rougir mes fesses
Al'exces si elle le souhaites
j'etais sur que ce serait ma fete
Elle a su mettre mon corps en action
Me procurant nombre de réaction
En faisant attention a ne pas montrer mes émotions
Je me devais de rester sage
Afin qu'elle ne demeure pas que de passage
Merci @LaDame
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Sa jalousie ne la trompait pas. Il est vrai qu'elle était heureuse et mille fois vivante. Elle ne pouvait pourtant faire que ce bonheur ne se retourne aussitôt contre elle. La pierre aussi chante plus fort quand le sang est à l'aise et le corps enfin reposé. Ce n'est qu'aux moments où elle souffrait qu'elle se sentait sans danger. Il ne lui restait qu'à prendre goût aux larmes. Aussi longtemps et fort qu'elle la flagellait, elle n'était qu'amour pour Juliette. Elle en était là, à cette simple mais ferme conviction: une femme comme elle ne pouvait pas la faire endurer volontairement. Pas après avoir déjà pris la mesure de cette douleur. Elle ne pouvait y trouver ni plaisir ni intérêt. C'est donc qu'il y avait autre chose. Ce ne pouvait être que l'ultime scénario envisagé, celui qui aurait dû s'imposer en tout premier, n'eût été ce délire qui pousse tout amoureux à se croire le centre du monde de l'autre. Depuis, de Juliette, elle attendait tout mais n'espérait rien, du moins le croyait-elle. Le sujet avait été évacué. Il y aurait toujours cela entre eux. Puisqu'elle l'avait fait une fois, pourquoi n'en serait-elle pas capable à nouveau ? Son esprit et son corps la comblaient, mais elle nourrissait des doutes sur la qualité de son âme. Rien ne démentait en elle une mentalité de froide amante dominatrice. Après tout, leurs deux années de vie commune dans la clandestinité la plus opaque qui soit, non pour cacher mais pour protéger, les avaient fait passer maîtres dans l'art de la dissimulation. Charlotte était bien placé pour savoir que Juliette mentait avec aplomb, et vice versa. Elles s'adaptaient différemment à la déloyauté, et cloisonnaient secrètement leur existence avec plus ou moins de réussite.Mais jamais elles n'auraient songé à élever la trahison au rang des beaux arts. Puisqu'elle lui mentait, et par conséquent aussi au reste du monde. Charlotte pouvait supposer qu'elle lui mentait aussi. Juliette avait-elle échafaudé ce scénario pour s'évader de tout et de tous avec une autre.
Dans la chambre, il fallut bien se dévêtir. Elles n'allaient pas rester plus longtemps frustrées d'un désir commun. Juliette ôta prestement ses vêtements avec l'aisance coulée d'une femme qui aime assez son corps pour ne pas être inquiête de l'offrir à une autre femme. Allumant la seule lampe qui était encore éteinte, pour bien signifier qu'elle ne craignait plus la clarté, Charlotte laissa choir le bref paréo qui lui tenait de jupe, sans se hâter, de manière que chaque instant comptât double. En dévoilant sa chair meurtrie par le cuir, c'était le sentiment de sa beauté retrouvée qu'elle exhibait, pour la première fois de sa vie. L'amour impose le sacrifice et le privilège de l'être aimé. Il leur fallait se reconquérir, alors tous les matins seraient beaux, les lèvres dessinées en forme de baisers, frémir de la nuque, jusqu'au creux des reins, sentir le désir s'échapper de chaque pore de la peau, la tanner comme un soleil chaud de fin d'après-midi, et la blanchir fraîchement comme un halo de lune, que les draps deviennent dunes et que chaque nuit devienne tempête. L'indifférence prépare admirablement à la passion. Dans l'indifférence, rien ne compte. Dans la passion, rien ne compte non plus, sauf un seul être qui donne son sens à tout. Seul est pur l'élan qui jette les corps l'un contre l'autre, les peaux désireuses d'un irrésistible plaisir. Un lit où l'on s'engouffre, un rêve où l'on s'enfouit, des doigts soyeux, un arpège harmonieux. Refaire sa vie ailleurs, là où on est rien pour personne. Sans aller jusqu'à s'installer à Sydney, combien de fois n'avait-elle pas rêvé à voix haute de vivre dans un quartier de Paris ou une ville de France où elle ne connaîtrait absolument personne. Un lieu au cœur de la cité mais hors du monde. Un de ces Finistères ou Morbihans où elle ne représenterait rien socialement, n'aurait de sens pour personne, ni d'intérêt pour quiconque. Où elle ne serait pas précédée d'aucun de ces signes qui préméditent le jugement, vêtements, coiffure, langage, chat. Une parfaite étrangère jouissant de son anonymat. Ni passé, ni futur, sérénité de l'amnésique sans projet. N'était-ce pas une manière comme une autre de changer de contemporain ? Charlotte dénuda ensuite ses seins, cette parcelle de son corps dont l'effet de souffle était garanti, difficile à ne pas caresser ou le plus souvent à flageller. Juliette eut alors la faiblesse d'un toussotement de désir ou plutôt de remord.
Mais Charlotte les offrit avec un tel plaisir et une telle assurance de plaire que ce geste simple fut émerveillant, sataniquement féminin, à faire vibrer l'air épais d'humidité stagnante. Confiante, elle ne fut pas longue à être totalement nue, et radieuse de l'être, avec cette fierté jusqu'au bout des seins qui était comme un appel à la persécution. Charlotte fut dans ses secondes réellement aussi belle que la femme inaccessible dont Juliette s'était éprise en songe. Une fuite hors du monde qui la ferait échapper seule à la clandestinité. À tout ce qu'une double vie peut avoir de pesant, de contraignant, d'irrespirable. Vivre enfin à cœur ouvert. Ce devait être quelque chose comme cela le bonheur. Un lieu commun probablement, tout comme l'aventure intérieure qu'elle avait vécue avec elle. Mais souvent hélas, la vie ressemble à des lieux communs. Une mécanique perverse fait que le corps s'use durant la brève période d'une maturité dont nul n'ignore qu'elle est un état instable. Rien de plus menacé qu'un fruit mûr. Des mois précèdent cet instant de grâce. Des semaines accomplissent l'épanouissement. Entre ces deux évolutions lentes, le fruit se tient, l'espace d'un jour, à son point de perfection. C'est pourquoi la rencontre de deux corps accomplis est bouleversante. Juliette en était là. Charlotte aimait la retrouver parce que, en elle, elle se retrouvait. De ce qui n'était qu'un grand appartement sans âme, elle en avait fait un refuge à semblance: lumineux, paisible, harmonieux. Les chambres qu'habitèrent des générations de gens sans goût dont la vie morne avait déteint sur les murs, Juliette les avaient meublées de couleurs exactes et de formes harmonieuses. Le baroque engendre souvent la tristesse et le confort l'ennui lorsqu'il se résume à une accumulation de commodité. Chez elle, rien n'offensait ou n'agaçait. C'était un endroit pour états d'âme et étreintes joyeuses. Elle avait crée chez elle un microclimat privilégié fait d'un confort invisible qui se haussait à la dignité de bien-être et de cette forme supérieure du silence, le calme. Les yeux de Charlotte la voyaient telle qu'elle était. Juliette la dominait mais en réalité, c'est Charlotte qui devait veiller sur elle et la protéger sans cesse de ses frasques, de ses infidélités. Elle ne supportait mal d'être tenue à l'écart. Avec une patience d'entomologiste, elle avait fait l'inventaire du corps de Juliette et souhaitait chaque nuit s'en régaler.
Elle, si pudique jadis, dansait sans le tracas du doute sur sa beauté, devant cette femme qui voyait d'abord ses qualités physiques et pour qui ses imperfections avérées, elle y tenait toujours, était un agrément, une évidente source de trouble, bien qu'elle s'en défendit encore. Chaque signe de fléchissement du rétif fut pour Charlotte un triomphe, affermissant son bonheur émerveillé d'être possédée par Juliette. Elle s'arrêtait pas sur ce qui, dans le corps, atteignait la perfection. La ligne souple du contour de son visage, du cou très long et de l'attache de ses épaules, cette flexibilité qui fascinait tant Modigliani en peignant sa tendre compagne, Jeanne Hébuterne. Charlotte avait connu la révélation en pénétrant pour la première fois dans l'appartement de celle qui allait devenir sa Maîtresse et l'amour de sa vie. Elle n'avait ressenti aucune peur, elle si farouche, en découvrant dans une pièce aménagée les martinets pendus aux poutres, les photos en évidence sur la commode de sycomore, comme une provocation défiant son innocence et sa naïveté. Juliette était attentionnée, d'une courtoisie qu'elle n'avait jamais connue avec les jeunes femmes de son âge. Elle était très impressionnée à la vue de tous ces objets initiatiques dont elle ignorait, pour la plupart l'usage, mais desquels elle ne pouvait détacher son regard. Son imagination la transportait soudain dans un univers qu'elle appréhendait sans pouvoir cependant en cerner les subtilités. Ces nobles accessoires de cuir, d'acier ou de latex parlaient d'eux-mêmes. Ce n'était pas sans intention que Juliette lui faisait découvrir ses objets rituels. Elle savait qu'elle fuyait plus que tout la banalité. Elle avait pressenti en elle son sauvage et intime masochisme. Les accessoires de la domination peuvent paraître, quand on en ignore les dangers et les douceurs d'un goût douteux. Comment une femme agrégée en lettres classiques, aussi classique d'allure pouvait-elle oser ainsi décorer son cadre de vie d'objets de supplices ? L'exposition de ce matériel chirurgical, pinces, spéculums, anneaux auraient pu la terroriser et l'inciter à fuir. Mais bien au contraire, cet étalage la rassura et provoqua en elle un trouble profond. Juliette agissait telle qu'elle était dans la réalité, directement, sans détours. Instinctivement, Charlotte lui faisait confiance, cédant à la curiosité, recommandant son âme au diable et à elle.
Juliette lui passa autour de sa nuque un collier en acier ras-du-cou et ne put résister au plaisir de l'embrasser sur la bouche en lui mordillant les lèvres jusqu'au sang. Charlotte se sentait une fleur disposée à s'ouvrir malgré elle, traitée par une subtile botaniste qui l'aiderait à croître. Elle ne marchait plus seule dans la nuit éprouvant un véritable soulagement d'avoir enfin trouver la maîtresse qui la guiderait. Malgré le cuir, l'acier et le latex, elle est restée avec elle ce soir-là. Elle n'a plus quitté l'appartement et elle devenue l'attentive compagne de Juliette. Car, en vérité, si elle avait le goût de l'aventure, si elle recherchait l'inattendu, elle aimait avant tout se faire peur. Le jeu des situations insolites l'excitait et la séduisait. Le danger la grisait, la plongeait dans un état second où tout son être se dédoublait, oubliant ainsi toutes les contraintes dressées par une éducation trop sévère. Ce double jeu lui permettait de libérer certaines pulsions refoulées. De nature réservée, elle n'aurait jamais osé jouer le rôle de l'esclave jusqu'à sa rencontre avec Juliette. La fierté dans sa soumission lui procurait une exaltation proche de la jouissance. Était-ce seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou de se livrer sans condition à un tabou social et de le transgresser, avec l'alibi de plaire à son amante, d'agir sur son ordre. Elle apprit à crier haut et fort qu'elle était devenue une putain quand un inconnu la prenait sous les yeux de Juliette. Agir en phase avec son instinct de soumise la faisait infiniment jouir. Étant donné la manière dont sa Maîtresse l'avait livrée, elle aurait pu songer que faire appel à sa pitié, était le meilleur moyen pour qu'elle redoublât de cruauté tant elle prenait plaisir à lui arracher ou à lui faire arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Ce fut elle qui remarqua la première que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt. Elle ne souhaitait pas partir, mais si le supplice était le prix à payer pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle espéra seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi, et attendit, toute douce et muette, qu'on la ramenât vers elle. Sous le fouet qui la déchirait, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour. On s'étonna que Charlotte fût si changée. Elle se tenait plus droite, elle avait le regard plus clair, mais surtout, ce qui frappait était la perfection de son immobilité, et la mesure de ses gestes. Elle se sentait désormais, au cœur d'un rêve que l'on reconnaît et qui recommence. Elle avait enfin reconquis Juliette. Elle en fut bouleversée.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La Maison-Blanche, c'est grand ! Il y a beaucoup de gens partout. Je suis bien accueillie... mais, il y a deux choses qui me m'ennuient. Non, trois. D'abord, Summer n'est pas là... Oui, elle me manque. Je sais bien que c'est une garce et qu'elle peut m'obliger à faire des choses que je ne veux pas, mais en même temps, elle me rassure. Ensuite, je deviens la femme du Président, au moment où il y a une menace qu'ils ont l'air de prendre au sérieux. Enfin, il parait que je suis une "trophy wife", une épouse pour faire des la figuration. J'ai l'intention de m'informer, afin de tout faire pour que mon cher époux soit réélu... Pas pour lui, mais pour moi.
Je vais d'abord me renseigner sur son adversaire, Dany Prince (quel nom bidon !).
Dans une semaine, on part en voyage officiel chez nos alliés. On va à Paris et Bruxelles pour l'UE et ensuite, au Japon...
Ce qui me dérange aussi, c'est le personnel. À Malibu c'est clair et net : Madame Stone commande à tout le personnel. Ici, il y a des esclaves et des servantes libres. Plusieurs personnes leur donnent des ordres : une gouvernante, un majordome, la cuisinière... Et puis les chefs des différents services, aussi. Ça ne me plaît pas ! Je veux savoir qui sont les esclaves, m'en servir et... les punir. Si elles ont fait quelque chose de mal, bien sûr.
J'ai trois objectifs : réorganiser les esclaves et les servantes, me renseigner sur la politique et trouver un moyen d'éliminer l'adversaire.
On a des chambres séparées. Tant mieux je n'ai vraiment pas envie de dormir avec lui...
***
Le lendemain soir, le président veut que je le rejoigne pour manger. Il va sûrement me demander quelque chose. J'arrive dans la petite salle à manger. On commence par des banalités. Je lui demande :
— Tiens, à propos, je peux avoir une esclave dans mon lit ?
— Bien sûr, une esclave, c'est comme un sex toy.
Exactement ce que je pense. Je veux encore autre chose :
— Et si je veux sucer une bite ou me faire prendre en levrette ?
Je sais que cette façon de parler va l'exciter. Il aime l'idée que je me fasse baiser ! Il réfléchit et dit :
— Tu fais appeler Spencer, c'est le chef des gardes. Il va bien te baiser, petite salope !
Aussi simple que ça. Il ajoute :
— À ce sujet... euh...
— Oui ?
— On part bientôt en Europe et en Asie. Mais avant ça, je voudrais qu'on passe un petit week-end à Tijuana, pour... euh...
Ah, il est moins énergique, là... Je lui souffle :
— Pour s'amuser comme à Jackson ?
— Oui, c'est ça.
— D'accord, mais je voudrais aussi te demander quelque chose. À la villa de Malibu, les servantes sont très stylées et Madame Stone leur tient la laisse très courte. J'aimerais beaucoup qu'on l'engage pour qu'elle s'occupe du personnel. Tu verras la différence.
— D'accord. Vois ça avec Madame Conway.
Super ! Dès que j'ai fini de manger, je vais dans ma chambre et je téléphone à la villa de Malibu. C'est Madame Stone qui répond, en disant :
— Résidence de Mademoiselle Hunter.
Eh ! C'est chez moi, pas chez Summer. Enfin, si. Je lui dis :
— Bonjour Madame Stone, c'est Madame Birch.
— Qui ?
— Ashley.
— Ah oui, bonjour.
Toujours aussi peu protocolaire, mais je m'en fous, elle sait y faire avec les esclaves. Je lui dis :
— Je voudrais parler à Summer.
Je l'entends crier :
— Mademoiselle Summer, c'est Ashley.
Elle prend l'appareil et me dit :
— Bonjour Ashley. Alors, comment ça va ?
— Bonjour... Ça va, sauf que tu me manques trop. Tu viens ?
— Je viendrai... Tu voulais autre chose ?
— Oui. Ici les esclaves ne sont pas stylées. Tu me prêtes Madame Stone pour un mois ?
— Pourquoi pas... Je connais quelqu'un qui pourrait la remplacer.
— C'est gentil, ça me rappellera notre villa. Tu viendras, hein ?
— Oui ! Je te l'ai dit. Au sujet de Madame Stone, si tu te laisses faire comme à ton habitude, tu laveras bientôt ses culottes ! Bon, je te la passe... bises.
— Oui moi aussi, je....
— Allo ?
Elle a passé le téléphone à Madame Stone. Je lui dis :
— Comme vous le savez, je suis devenue la Première Dame et je suis à la Maison-Blanche. Ici, les esclaves et les servantes, c'est l'anarchie. Je voudrais vous charger de... remettre de l'ordre. Vous auriez tout le personnel sous votre contrôle... pour tout organiser comme à Malibu.
Il y a un blanc, puis elle me dit :
— Vous connaissez mon salaire ?
— ... Euh, oui...
— Je le fais pour le triple et je veux deux week-ends libres par mois.
— D'accord.
— Je prendrai l'avion demain
— Merci Madame Stone et...
— Je vous téléphonerai quand je serai là... Vous viendrez m'accueillir.
— D'accord... et...
— À demain.
Elle raccroche. Oui, on pourrait penser que... la façon dont elle me parle n'est pas correcte, mais elle est terriblement efficace. Elle va les mener à la baguette. Et puis, j'aurai un spectacle tous les matins... Je ne la laisserai pas être trop familière avec moi.
Ce soir, on mange avec les Krassing, les marchands de cochons. Je ne les aime pas et eux m'ignorent... Aussi, j'ai une migraine subite et je n'assiste pas au repas. Ça arrange mon mari. Ils vont parler politique et je n'y connais rien. Enfin, c'est ce qu'il pense.
***
Aujourd'hui, première chose : me faire baiser ! Ça fait un temps fou que je n'ai plus senti une bite en moi. Mon majeur a beau être de très bonne volonté, il ne remplace pas une vraie bite.
Je fais venir Spencer et je lui explique les raisons de la venue de Madame Stone. Rapidement, je me rends compte qu'il ne m'écoute plus. C'est pas très poli, ça. Il a l'air hypnotisé par quelque chose... Voyons... Je suis assise sur une chaise et j'ai croisé les jambes, ma jupe est remontée et je n'ai pas de culotte... Alors, il voit ma chatte et ça a l'air de lui plaire. Je lui demande :
— Vous regardez quoi avec tellement d'intensité, Spencer ?
— Vous, Madame la Présidente.
— Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour que vous ne soyez plus distrait ? Peut-être que si vous me baisiez, vous pourriez mieux vous concentrer ?
— Oui !
Je me lève et j'enlève ma robe. Je me retrouve nue devant lui...
Il hésite encore... un peu. Je vais m'asseoir sur ses cuisses, au risque de mouiller son pantalon et je l'embrasse en mettant mes bras autour de son cou. Ah ! Il se réveille et il m'embrasse aussi, tout en me caressant les seins. Je lui dis :
— Ne me baise pas comme si j'étais la Première Dame...
Il termine ma phrase :
— Mais, comme si tu étais une fille à partouze ?
— Ouiiii...
Voilà, c'est plus sympa, comme ça. Je me mets à genoux et je descends le zip de son pantalon. Oh ! Il n'a pas de slip et son sexe me bondit à la figure. Avant tout, il faut l'apprivoiser. Alors je le couvre de baisers, puis je tire sur la peau pour découvrir le gland. Oh qu'il est mignon : rose, dodu et luisant... Je le goûte du bout de la langue... Je joue un peu trop à son avis, car il me prend par la nuque et force ma bouche. Quand un client fait ça, il faut ouvrir la bouche pour mettre le sexe au chaud... Ce ne sont pas des souvenirs de Première Dame, mais de pensionnaire de "House of Pussies". Il a un goût un peu prononcé, mais comme je suis très excitée, ça passe. Je le suce... et ma tête va et vient sur son sexe... Son gland rose me caresse même les amygdales. Je dois avoir une bonne technique, parce qu'il me fait arrêter avant de repeindre ma bouche aux couleurs de son sperme. Il me lance :
— À quatre pattes !
D'accord, voilà qui est clair. Il a le gland voyageur et après ma bouche, voici qu'il viole ma petite chatte. Violer n'est peut-être pas le mot qui convient... Il me baise comme un lévrier baise sa levrette. Aujourd'hui, j'aime bien les images et les comparaisons. Il est bon, le gars, il me baise à grands coups de reins en me donnant quelques claques sur les fesses. Le Président a une très grande qualité, il est doué pour trouver des amants à sa femme. Il me manque... j'aimerais qu'il soit là pour voir comment baise un vrai homme... Je jouis bientôt, suivi par partenaire... J'imagine son sperme inondant les moindres recoins de mon vagin et pénétrant plus loin après avoir escaladé le col de la matrice. Putain ! que j'aime me faire baiser !! Il me donne une dernière claque sur les fesses en disant :
— Je serai toujours très heureux de vous rendre ce genre de service, Madame la Présidente.
L'après-midi, j'attends l'arrivée de Madame Stone. Enfin, vers cinq heures de l'après-midi, elle me téléphone :
— Je suis à l'entrée de service, Ashley
— J'arrive, Madame Stone.
J'appelle Spencer pour qu'il m'accompagne, je l'ai prévenu. Il nous faut un moment pour traverser la maison. Spencer ouvre et je dis :
— Bonjour Madame Stone,
— Bonjour madame la Présidente.
Ouf ! Elle a compris que devant les gens, elle devait montrer un minimum de déférence. Les gens dominants veulent vous dominer en toutes circonstances, c'est normal. Je l'amène dans le bureau de Madame Conway. Elle va lui montrer sa chambre et lui présenter le personnel.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Comme une bête sauvage qui rôdait dans ses fourrés, Juliette avait investi sa vie, comme un incendie qui met les arbres à terre. Chaude et torride, elle ne savait plus où la flamme allait prendre racine. Pourtant, il était doux à Charlotte que ce qui lui fut interdit, matériellement, comme la porte de la cellule interdit matériellement aux filles enfermées, de s'appartenir ou de s'échapper. Il s'agissait du meilleur partie qu'on pouvait alors tirer d'elle. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Allongée sur le dos, elle était captive, nue, écartelée. Comme les chaînes tiraient au plus court, vers l'arrière, pour les chevilles et les poignets, elle ressentait une interminable souffrance, proche du démembrement. L'humiliation était là. Se montrer ainsi dans cette position dégradante, alors que fouettée, prise ou sodomisée, sa vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Charlotte prenait conscience de l'orgueil réel de l'esclave qui motive et qui excuse tout. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait, ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en réalisant ses fantasmes. Si elle mimait la dérobade, c'était pour mieux en profiter. Elle ne s'habituerait jamais à toutes les bizarreries des fantasmes de son amante.
Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle aimait être surprise chaque jour. La sensualité sautait sur sa proie avait enthousisme, toujours au centre de ses émois et de ses passions. Ne rien prévoir, laisser tout au hasard. Ne jamais s'indigner de ses propres fantasmes. N'avait-t-elle pas elle-même avoué qu'elle avait en elle, jusqu'à l'obsession, des images de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvrit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la regardait d'un œil narquois. Elle s'assit sur le rebord du lit, nue, les mains sur les genoux. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Il semblait à Charlotte, comme si cela ne la concernait pas, qu'elle avait déjà vécu une scène analogue. Mais pour cette fois, la jeune fille lui était inconnue. Elle n'en était que l'occasion ou l'objet, on n'avait plus qu'à la soumettre. Juliette vit la jeune fille poser délicatement ses mains de part et d'autre de la vulve glacée de Charlotte. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Le contact, même s'il demeurait ferme, n'avait pas du tout la violence redoutée. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre un fruit, avec grand soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire, pour qu'elle puisse continuer. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de passivité, parviendrait-elle à exciter ses sens.
La divine impression de lui prendre un pucelage, d'être la première. Le plaisir sadique de l'humilier un peu, de lui faire mal, de l'inquiéter pour après la consoler. L'espoir de lui donner un nouveau plaisir. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où la jeune inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa bientôt dans ses chaînes et trembla encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, mais elle n'avait pas eu honte. La jeune fille habitait près de la place Saint-Sulpice. Charlotte avait cru, ou voulu croire, pour se donner du courage, qu'elle serait farouche. Elle fut détrompée. Les airs pudiques qu'elle prenait, étaient précisément destinés à l'aguicher. Elle l'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici introduite dans la pénombre du salon, par la jeune fille nue, organisatrice de la séance. En fond sonore, le "Boléro" de de Ravel. Doucement, pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, Charlotte se déshabilla lentement, une épaule après l'autre, la robe tombant alors sur le sol, pour écouter le clapotis de son sexe déjà ouvert. L'ivresse d'être pénétrée, de se sentir étroite et profonde.
La fierté trouble d'être à la fois initiatrice et bourreau, et surtout un peu mâle. La délicieuse ambilavence qui rend femme, parce que sillonnée. L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur humide que le désir enfiévrait. Sans tarder, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes. Charlotte devait lui être soumise et l'accueillir avec le même respect avec lequel elle l'accueillait, comme autant d'images de Juliette. Elle tenait d'autant plus à elle, qu'elle la livrait davantage. Le fait qu'elle la donnait était une preuve, et devait en être une pour elle, qu'elle lui appartenait. On ne donne que ce qui vous appartient. Mais Juliette la reprenait aussitôt. Tes yeux se retournent vers mon sourire. Le silence, nous l'avions décidé. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt par dessus la nuque passe le harnais de cuir serré, son corps supplie. Nue, de dos, debout devant moi. Bientôt mes doigts, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue.
La corde, le verrou, la clé. Une prison consentie. Avec des barreaux en fer. Tu t'évades, si je veux, et je reviens si je veux. Je veux être libre de ne pas être libre. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de te fouetter. Cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore. Tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de coups. Tout est évident. Tu es allongée, au-dessous de moi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance. Charlotte entrouvrait les lèvres et fermait à demi les yeux. Elle regardait la jeune fille à la dérobée, qui se leva brutalement du canapé. Charlotte n'attendit pas son ordre. Elle avait compris. "- Maintenant, je voudrais te fouetter, je te le demande. Acceptes-tu ?" Elle accepta. La jeune fille lui lia les poignets enserrés par des bracelets au-dessus de la tête, à un anneau chevillé au plafond. Jamais Charlotte ne l'accepta avec autant de joie. Elle attendit et le temps cessa d'être immobile. Sa douceur offerte appelait les blessures autant que les caresses. Elle n'eut jamais d'illusion. Elle était debout, et ses bras levés et joints, faisaient saillir ses seins. La jeune fille les caressa, puis l'embrassa sur la bouche. Quand elle lui eut mis un bâillon, et qu'elle eut saisi un fouet, elle la fouetta longuement.
Comme une clé luisante, polie, comme huilée par l'usage, et qui tourne sans bruit dans une serrure accueillante jusqu'au miracle, elle aimait autant la frapper que la voir se débattre. Charlotte se tordait, gémissait, pleurait sous le fouet. Seuls ses yeux pouvaient implorer sa grâce mais elle ne l'obtint pas. Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements de douleur ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incroyable bonheur masochiste. La jeune fille cessa de flageller Charlotte. Elle défit le collier et les bracelets qui la tenaient captive. En fut-elle délivrée ? Ses cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de Sa sensualité fouaillée. Elle est ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et blond. Elles basculèrent, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui les emplit de joie enfantine. Cessant de lutter, des gouttes de sueur perlant sur ses seins, elle s'abandonna aux désirs saphiques insatiables de la jeune fille. Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sous le fouet. Elle appartenait plus que jamais à Juliette. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur amour était scellé à jamais. Se laisser prendre à l'envi, fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi, distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs amoureuses confondues. Juliette entendrait, bientôt, encore une fois Charlotte, attachée nue au pied du lit mais heureuse, respirer dans la nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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bonjour à vous toutes et tous. A mon tour je me lance pour partager mes expériences qui sont assez réduites.
Très jeune, j'avais des fantasmes sexuels avec des garçons. J'étais à cette époque plutot gros avec une petite poitrine que certains de mes amis s'entrainaient, j'aimais mettre un maillot de bain féminin ce qui m'excitait grandement. j'allais jusqu'à me sodomiser avec un manche à balais que j'avais coupé et fixé sur une planchette ce qui me permettait de m'enfiler tout seul. Un peu plus tard, j'ai eu mes premières expériences avec un ami plus agé. Celui ci me traitait comme une fille. au début, sans pénétration sauf un doigt ou deux avec sa salive, des caresses, je prenais maladroitement son sexe en bouche, il m'a appris à bien sucer une verge. Lui aussi aimait me faire porter un maillot de bain et il a introduit peu à peu les liens et le martinet. Jusqu'au jour ou il m'a sodomisé pour la premiere fois. Bien qu'il ait été assez délicat, j'ai eu mal , il était plutot bien monté et je n'ai pas apprécié cette pénétration. Pourtant, peu à peu je me suis détendu puis ouver à sa queue et j'ai ressenti du plaisir à me faire sodomiser et enfin à en jouir. j'aimais qu'il me traite comme sa petite femelle, qu'il me fesse ou me donne le martinet. Notre relation a duré quelques années ou je lui étais totalement soumise. En rentrant du lycée, je le retrouvais chez lui pour le satisfaire comme il le voulait. Parfois il venait me chercher au lycée et je le sucais dans sa voiture dans un coin discret, la campagne est bien faite pour ça. j'ai passé de très nombreuses heures nu à ses pieds, attaché ou pas, attendant son bon vouloir. Quand notre relation a pris fin jétais devenue une bonne petite salope comme il aimait me dire et ce plaisir d'être traité ainsi, même s'il a un temps c'est mis en sommeil, ne m'a jamais vraiment quitté
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Ciel d’un bleu saphir sans le moindre nuage,
Sable blanc agate et galets gris sur la plage.
Eau vert jade, petit vent marin caresse la mer
Vagues, écume blanche s’affalent sur la terre.
Oiseaux pêchent, plongent, d'un vol gracieux,
Attrapent et emportent leurs butins précieux.
Bercé par le petit souffle et le bruit des vagues,
Somnolent, couché sur ma serviette, je divague.
Avec à mes côtés, femme brune, mince et élancée,
Ses cheveux cachent ses seins pulpeux et galbés.
Magnifique vallon au bois sacré complètement rasé,
Jambes divinement musclées, légèrement ecartées.
Sur la plage, pas d’ombre, il fait encore très chaud,
Nue dans le soleil à la Prévert, elle se lève et va à l’eau.1
Du sable est collé sur ses fesses en forme de cœur,
Elle les balances en marchant, l’image du bonheur.
Femme pensive, affichant sa nudité et qui flotte sur l’eau
Magnifique créature, beauté divine qui va au fil de l'eau.
Bras qui répètent les figures, jambes ecartées puis serrées,
Maintenant toute sa beauté est vaguement immergée.
Revenue vers la plage, allongée elle s'appuie sur ses mains,
Profitant des vagues, elle joue et affiche un sourire coquin
Ses seins lourds, larges et ronds, sont gentiment ballotés,
Clapotis plaisant entre les jambes qu'elle maintient écartées,
Chute de reins rêvée, fesses brunes affichant leurs rondeurs,
Superbe tableau, triomphe de la beauté, ode à la splendeur...
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J'avoue que cela faisait plusieurs fois que je m’intéressais à ce "mobilier" BDSM. Enfin, mobilier BDSM parce qu'aussitôt l'achat envisagé, j'y voyais sur tout un moyen de tester de nouvelles pratiques de D/s (celui qui est sur la balançoire est à la merci de son partenaire, voire en est l'objet sexuel, façon poupée gonflable presque !). Au final, super acquisition mais qui ne renouvelle pas tant que ça nos pratiques sexuelles et BDSM.
En creusant ce qui est porposé en matière de balançoire dans les boutiques, j'ai pu me rendre compte que c'était finalement moins simple qu'il n'y semblait que de faire son choix.
Les balançoires existent sous différentes formes et tailles, mais elles ont toutes un point commun : elles permettent à l'utilisateur d'être suspendu en l'air pendant vos ébats amoureux (ou pendant votre séance SM). Elles permettent ds variantes de positions sexuelles bien excitantes, dont la plupart peuvent être bien sûr obtenues en ayant recours aux cordes et au bondage, mais dans ce cas, 1- c'est plus compliqué 2- ca peut même être dangereux si vous vous y prenez mal.
La balançoire sexuelle de porte
Le premier type de balançoire sexuelle dont nous allons parler c'est la balançoire sexuelle de porte. (C'est la seule que nous ayons expérimenté en profondeur, hormis un autre test en club libertin)(enfin, c'est la seule pour le moment, car je suis très tentée par une de suspension).
Comme le nom l'indique, les balançoires de porte sont conçues pour être suspendues au-dessus d'un cadre de porte. Les balançoires de porte sont une excellente option pour les personnes qui veulent essayer une balançoire sexuelle mais ne veulent pas investir dans un meuble BDSM plus permanent. Elles sont également faciles à monter et à démonter, ce qui en fait un bon choix pour les personnes qui vivent dans de petits espaces ou qui veulent pouvoir ranger discrètement leur balançoire
L'un des inconvénients des balançoires de porte est qu'elles ne sont pas aussi solides que d'autres types de balançoires, elles peuvent donc ne pas être en mesure de supporter le poids de certains utilisateurs. De plus, les balançoires de porte peuvent endommager les cadres de porte si elles ne sont pas utilisées correctement, il est donc important de suivre attentivement les instructions si vous ne voulez pas faire des dégâts.
Le processus d'installation de la nôtre est assez simple, et il n'y a pas besoin ni outils ni marqueurs permanents ! Il y a 4 sangles réglables (2 pour chaque jambe) ainsi que 2 tubes qui se calent en haut de la porte quand elle est ouverte. Les tubes sont bloqué par la fermeture de la porte, et voilà, c'est prêt pour le jeu. Ca se monte vite, mais ca se démonte donc vite aussi, ce qui est très appréciable (si belle maman vient diner le dimanche midi).
La balançoire BDSM suspendue au plafond
Un autre type de balançoire sexuelle est celle qui s'accroche au plafond. Les balançoires suspendues au plafond sont assez similaires aux balançoires de porte, à ceci près qu'elles sont conçus pour pour être suspendues à un crochet ou un python, à une poutre de soutien (pour ceux qui ont la chance d'avoir une demeure qui en a) ou encore à une autre structure solide de votre chez vous. Avantage, dans l'absolue, c'est beaucoup plus solide (si le montage est fait correctement !) et peut donc supporter davantage de poids. On ne va pas se mentir, pour les personnes costauds, c'est probablement la solution à privilégier. C'est ce type de balançoire que l'on trouve dans les clubs libertins ou les clubs SM (et chez les dominatrices disposant d'un donjon).
Les balançoires de plafond offrent davantage de possibilités en matière de pratique de suspension et de sensation. Avec une balançoire au plafond, vous allez pouvoir explorer des positions sexuelles "ouaaah" (du genre tête en bas) et des sensations que vous ne pourrez pas avoir avec une balancoire de porte (être prise sur une balançoire de plafond c'est profiter d'une amplitude de balancement importante, qui rendra les pénétrations divines) ! La balançoire sexuelle de plafond, si elle est plus cher est un général un produit bien mieux fini : les matériaux sont en général de meilleur qualité (on en trouve en cuir alors que les balançoires de porte sont plutôt en nylon) et elles sont plus confortables car davantage rembourrés, là où les balançoires de porte sont plus "cheap".
Néanmoins, la balançoire BDSM de plafond ont un inconvénient majeur : ce peut être compliqué à monter (si on veut le faire bien et ne pas se casser la figure pendant les ébats). Installer un python qui tienne la route (et surtout le poids des membres du couple ...) demande du matériel et un minimum de savoir faire. De plus, cela implique de percer votre plafond : ça laisse des traces et ce n'est pas forcément très discret d'avoir un anneau fixé au plafond de sa salle à manger ! Pas simple d'expliquer à belle maman la présence d'une balançoire, ou à tout le moins d'un python d'accrochage !
L'apport de la balançoire sexuelle dans les pratiques BDSM
Nous avons pratiqué la balançoire une fois en club libertin (dans une relation sexuelle vanille donc, cela nous a permis de voir d'autres couples plus expérimentés faire l'amour en utilisant les possibilités de cet "accessoire"), et sommes équipés d'une balançoire de porte pour nos jeux BDSM à la maison.
L'intérêt de la balançoire BDSM est à découvrir par chacun par rapport à ses pratiques et à ses fantasmes, et une partie du plaisir offert par ce type de jeu est justement d'imaginer des supplices (doux ou durs) pour sa partenaire.
Nous avons aimé la balançoire comme alternative au bondage (que balançoire et bondage ne soit pas incompatibles, vous pouvez très bien utiliser les cordes et la balançoire conjointement !). Il y a un vrai plaisir pour le couple, telle (moi) de se sentir écartelée et offerte, et le cuni ou la pénétration (et les ondulations/balancements qui l'accompagnent) sont sublimes. Et celui ou celle qui est immobilisée va pouvoir être cravachée, fouettée, pincée à loisirs.
Le côté exhib de la position imposée à celle ou celui qui est suspendue pimente un peu plus ces instants. J'étais accrochée, jambes écartées et mains contraintes quand chouchou s'est mis dans la tête de faire des photos. Super excitant !!!
Scabreux mais nous avons pu tester des positions type tête en bas. Cela fait tourner la tête a plus d'un titre, mais on doit avouer que la partie de rigolade pour parvenir à prendre la position a un peu tuer l'excitation initiale ...
Nous avons adorés cumulés balançoire et bandeau. La sensation de balancement couplée à celle de la privation sensorielle du bandeau est particulièrement excitante. Même si avec une balançoire de porte, le balancement est très limité. C'est ce qui nous donne envie (peut être si nous changeons de logement et que nous avons un grenier ou une cave "fréquentable") d'acheter une balançoire de plafond. Si vous êtes tentées et que vous avez la place et que vous êtes un peu bricoleur/bricoleuse, achetez directement une balançoire qui se suspend. Ou bricoler la vous même en DIY...
Ces expériences autour de cet accessoire BDSM ne changent pas fondamentalement ni notre sexualité, ni nos sensations dans les jeux BDSM, on va dire que la balançoire permet de changer d'angles et de décliner des pratiques qu'on connaissaient déjà, et dont on a pu explorer des variantes. Une confidence, mon meilleur moment avec la balançoire n'est pas une excentricité, mais une sensation d'être pénétrée très très profond. Possédée. Alors qu'en fait, les cms du sexe de Chouchou, sont les mêmes que d'habitude. Ce doit être dans la tête (oui je sais, la tête, ce n'est pas là...).
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J'ai cru longtemps m'être trompée. Encore aujourd'hui. Sirène blonde, tu t'es dérobée des années, et puis des mois encore tu as joué avec mes rêves. Le rayon bleu de tes iris a passé sur nos jours, et le myosotis a fleuri dans ma vie quand je n'y croyais plus. Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau. - Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour. Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir. - Juliette ! - Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même ! Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine. - Je croyais que c'était un jeu, Juliette. - Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie. Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère. - Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment. - Comment tu le sais ? - J'ai un amant. - Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette. - Tu sais bien que non. - Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision. Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Bientôt Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes.
Et si elle avait cherché, elle aussi de son côté ? Et si elle avait haleté dans l'ombre en brandissant, pour une brune trop absente, une cravache ? Incertitude est beaucoup dire. Etonnement serait plus juste. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésitible. J’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien.
Que le comportement de Charlotte vint d'une autorité en dehors d'elle, et ne fut pas le résultat d'une élémentaire stratégie, Juliette était à mille lieux d'y songer. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction.
On ne pouvait pas dire que Charlotte se défendit, ni se méfia. Elle était à la fois provocante et fuyante, d'une incroyable habilité à l'esquive, s'arrangeant sans jamais une faute pour ne donner prise ni à à un geste, ni à un mot, ni même un regard quit permit de faire coïncider cette triomphante avec cette vaincue, et de faire croire qu'il était facile de forcer sa bouche. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inépanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme.
Avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus grande encore lorsque la demande prend la forme d'un ordre, par une espèce de langue de flamme, j'ai été atteinte et brûlée, je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées.
Elle se prête alors de son mieux, se décontracte et s'offre sans honte, en sentant que l'anneau de ses reins se serre autour de mes doigts. La forçant à peine, je la bascule brutalement sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis. Elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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TIRE AU SORT 2 ou La revanche :
Un soir je reçois un SMS de mon 'soumis d'occasion" : Il ne regrette rien mais se demande si je n'ai pas un peu triché pour le tirage au sort de la courte paille ?
En tous cas il veut bien me revoir mais cette fois-ci comme dominateur !
Donc patientez encore un peu pour la suite, je Vous dirai tout à mon retour !
Quelques jours plus tard !
J'avais donc décidé en attendant sa convocation de me présenter en salopette blanche destroy, en dessous mon string cuir préféré et aux pieds chaussettes et baskets blanches! Rasé ou pas rasé, j'attendais ses précisions !
Je n'avais aucune idée de la date de retour!
Même pas peur ou inquiet des représailles possibles. J'irai me livrer serein & tranquille librement & volontairement offert/soumis en sachant les risques encourus !
Au fond de moi, j'espérai bien aussi une seconde rencontre et +++
Un soir je reçu mon invitation ou plutôt ma "convocation"
pour le lendemain à 10h30 !
A l'arrivée je devais poser mon sac entre mes jambes, mettre mon dos contre la porte d'entrée et attendre!
Peut-être au dernier moment, avant de rentrer un collier avec une laisse ou une chaine autour du cou pour mieux signifier mon rôle de soumis cette fois !
Contenu de mon sac : une tenue de rechange ( on ne sait jamais!) 4 bracelets pour les poignets et les chevilles, bâillon, bandeau, lunettes de soudeur, pompes à seins avec lubrifiant, pinces à seins, baguettes chinoises, cage de chasteté, rasoir avec mousse à raser et diverses cordes de couleurs différentes.
J'attends donc après avoir sonné et entend une musique classique à l'intérieur.
Dans mon excitation, je commençais déjà à "bander" sous mon string cuir, je ne sais pas trop combien de temps j'ai ainsi attendu. La musique est devenu plus forte lorsqu'il a ouvert la porte, pris mon sac et aussitôt refermer la porte!
J'attendais de longues minutes à me donner envie de repartir, mais je ne pouvais plus repartir sans mon sac d'accessoires.
La porte s'ouvre à nouveau et je sens un bandeau sur les yeux et la pose de bracelets aux poignets pour me lier les mains dans le dos! Ensuite, le collier avec la laisse va me tirer à reculons à l'intérieur.
De nouveau un long temps d'attente, je n'y vois plus rien, ma salopette tombe sur mes chevilles et de suite une longue séance de fessées en cadence sur la musique du Boléro de Ravel!
Je sens mes fesses qui doivent commencer douloureusement à prendre des couleurs tandis que mon sexe doit probablement déborder de mon string cuir noir!
Les fessées s'arrêtent avec la musique et ses mains me caressent sensuellement et voluptueusement, de haut en bas, en insistant sur mes fesses et mon sexe, j'allais oublier aussi mes seins vigoureusement tripotés!
Les bracelets de mes poignets sont séparés et tendus fermement écartés, tandis que mes chevilles entravées se retrouvent aussi écartées!
Ainsi exposé, la situation m'excite un maximum lorsque la musique reprend avec les fessées en continu, puis enfin un temps de repos dans cette même position !
Mon Dominateur enlève facilement mon string et je suis désormais exposé en croix tout nu!
Mon sexe est trituré joyeusement et lubrifié, je sens que la cage de chasteté ne devrait guère tarder à prendre sa place favorite. En effet après plusieurs essais délicats, je sens bien l'emprise de mon sexe dans la cage que j'avais apportée!
Toujours pour bien signifier qui est désormais le MAÎTRE, je sens un mordillement voluptueux et bien sensuel sur un puis l'autre sein ! Sûrement ( puisque je ne vois rien!) je devine la pose de ces fameuses baguettes chinoises, de plus en plus serrées!
Toujours écartelé et totalement nu, salopette sur les chevilles, au bruit de la tondeuse je comprends que je vais être rasé, malgré le bandeau, remplacé momentanément par une main bien chaude!
Je sens tomber sur ma poitrine le peu de cheveux qui me restait et me retrouve désormais avec une cagoule cuir aveuglante et bien serrée sur la nuque qui a remplacé le bandeau rapidement !
Les bracelets aux chevilles sont un plus écartés et il me semble que Mon Dominateur enlève ma cage de chasteté pour probablement avec la mousse à raser trop excitante me rendre totalement imberbe de la tête aux pieds. Après le sexe, le derrière, mes aisselles sont aussi passées au rasoir !: c'est terriblement excitant !
Je trouve particulièrement beau un corps rasé de frais : c'est sensuel & sexy!
Pour nettoyer le reste de mousse, je sens une vaporisation générale sur tout mon corps et l'eau tiède coule sur mes jambes écartés et inonde ma salopette, puis mes baskets !
Tentative à nouveau bien délicate pour reposer ma cage de chasteté sur mon sexe en pleine érection. Je crie lorsque je sens la friction de glaçons sur mon sexe et mes seins : cela ramollit bien mon sexe mais excite encore plus mes seins encore bien pincés à la limite du supportable! ( mais n'est-ce pas ce que j'étais venu chercher ?)!
Combien de temps vais-je encore devoir supporter l'écrasement de mes deux seins ?
J'essaye de penser à notre première rencontre pour évacuer la douleur.
Comme si mon Nouveau MAÎTRE avait compris ma douleur, celui-ci desserre et enlève les baguettes chinoises de mes seins pour aussitôt être généreusement lubrifiés et palpés. Personnellement, la lubrification est un signe évident de la pose de pompes sur les seins!
Aucun doute sur la suite, généreusement massés les pompes commencent à aspirer lentement, surement et douloureusement mes seins déjà douloureux!
Toujours en croix, le sexe en feu dans sa cage, les seins qui ont du triplés de volume avec les pompes, je ressens à nouveau un liquide chaud qui part de la cagoule pour descendre remplir mes baskets : c'est à la fois agréable mais insuffisant pour oublier mon écartèlement, mon sexe en rut et mes seins en éruption !
Combien de temps, suis-je resté ainsi dégoulinant et muet de souffrance et de plaisirs de savoir que ma douleur est partagée et désirée, souhaitée par mon partenaire !
De temps en temps, un gémissement sort de ma cagoule et je ne sais plus trop si c'est de plaisir ou de douleur!
Une fois de plus, je me retrouve nu écartelé et le sexe en furie avec mes seins probablement triplés de volume.
La musique revient et je sais ce qui va suivre : fessées sensuelles à gogo !
Mes seins doivent remplir totalement les pompes et mon sexe aussi a bien envie d'une libération salutaire!
A nouveau, je sens un dégoulinement très sensuel d'eau chaude sur mon corps imberbe, et enfin avec précaution, je sens mes seins libérés de leur aspiration et mon sexe libéré de sa cage !
Mon nouveau Dominateur semble prendre un malin plaisir à me voir ainsi exposé et je ne sais pas trop combien de temps je ne pourrai retenir une éjaculation!
Cette fois ce n'était plus de l'eau qui suintait de ma cagoule, mais plutôt un genre d'huile de massage bien chaude, bien agréable qui descendait le long de mon corps jusqu'au chaussettes!
Presque aussitôt les mains de mon MAÎTRE parcourent sensuellement et vigoureusement l'ensemble de mon corps, toujours exposé nu, en croix!
Ses mains passent de mes seins encore bien gonflés, à mon anus, reviennent vers mon sexe en rut bien provocateur et parcourent ainsi la totalité sensuellement , perversement et virilement.
Mes fesses ne sont pas oubliées non plus comme mes seins encore sensibles.
Je n'en peu plus de douleur mélangée de plaisir avec une sensualité subtile.
Assez vite je sens mon sexe avalé et sa langue lécher mon bout de sexe en furie !
Puis sa bouche passe à la raie de mes fesses et je sens sa langue rentrer délicatement dans mon anus trempé, puis revient à mon sexe en alternance !
Je n'ai jamais pu, su, ni voulu résister à une fellation surtout si en même temps mes seins sont vigoureusement triturés !
Mon sexe se durcit dans sa bouche et je ne sais ni veux résister ni repousser mon éjaculation, tant attendue et souhaitée!
Sous l'excitation, je ne rappelle même plus avoir joui dans sa bouche ?
Cela sent la fin et je sens ses mains étaler mon sperme sur mon corps et plus particulièrement sur mes seins encore bien douloureux.
La séparation entre la douleur et le plaisir est parfois bien délicate!
Une fois de plus je viens d'en faire l'extraordinaire expérience !
Encore immobilisé nu en croix, cette fois ci je suis abondamment lavé, puis essuyé vigoureusement !
Enfin mon NOUVEAU MAÎTRE me détache de mes liens aux pieds et aux chevilles écartés, bien impossible désormais de remettre ma salopette : elle est trempée !
Mes seins sont encore très douloureux & sensibles !
Je remercie mon complice de cette formidable séance et lui rappelle que je suis toujours partant pour une troisième rencontre à définir !
Je lui redis Merci avant franchi la porte, j'entends "Au revoir" bien discret à mon gout!
Si je dois revenir ( je l'espère !) en MAÎTRE bien sur (même si je dois tricher au tirage au sort!) je lui réserve déjà dans ma tête bien des surprises : lavement interne, douche dorée, Humbler, bondage, momification, suspension, à genoux, écartèlement, etc ...
Bien sur, la prochaine fois, Mon SOUMIS une fois immobilisé et cagoulé, je devrais pouvoir visiter l'appartement pour trouver les opportunités multiples possibles à cette troisième séance !
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https://youtu.be/OZbagrROhn0
Je me languis déjà depuis plusieurs jours de participer à mon tout premier munch.
Je n'ai pas d'appréhension particulière. Au contraire je suis persuadée que cela va super bien se passer.
Maître a posé pleins de questions aux organisateurs. Je n'en n'ai pas le détail et je m'en fou. IL a l'expérience. IL a fait ce qu'il fallait. Donc j'ai pas à m'en poser.
Si IL etait au dessus de mon epaule à me lire, IL me dirait : "aphy, une soumise doit se poser des questions et ne doit pas obéir aveuglément..... et puis libre arbitre....consentement... premier munch"
Oui Maître bien sur que Vous avez raison. Mais quand je suis en confiance, je vais pas me poser des questions tout le temps. Je lâche l'affaire et ça fait du bien. C'est pas ça l'objectif d'une relation D/s ?
Et là IL doit être derrière son écran à s'embrasser le poing "c'est ma victoire✌️" et IL sourit.
Une heure de route, arrêt à la boulangerie pour avaler un truc. "Tiens, je prendrai bien une tarte au citron pour là bas. Ou deux, on va être nombreux" "Hey ma pauvre fille, t'es pas invité à un week end en famille. Maître a payé pour avoir les entrées. Tu vas pas au restaurant avec ta bouteille de vin. Ben là c'est pareil". "Mouai, la petite voix, sauf que là c'est pas un truc purement commercial."
Bref me voilà enfin avec mon Maître. IL me demande de marcher devant. IL le fera souvent dans la soirée alors que c'est pas du tout ce qu'IL m'a appris. Quand c'est pour mater mes fesses dans l'escalier, je comprends mais pour le reste... bof passons.
C'est parti mon clicli :
Je me présente aux personnes déjà là. Par mon prénom de baptême. "mais qu'elle idiote ! c'est mon nom de soumise qu'ils ont besoin de connaître." Je réalise, je suis encore en mode "Vanille". J'arrive direct du travail, avec ma tenue de ce matin. J'ai un métier de contact et de découverte de mon interlocuteur. Je suis encore dans ce mood là. Boh pas grave. Aphy dans le civil ne se fait pas appeler de la même façon mais n'est pas différente de la aphy soumise. Je vais finir de passer en mode soumise doucement. L'essentiel est de rester moi même et tant pis s'il y a des maladresses. Elles ne sont pas volontaires, pas connues. Je suis encore novice et mes maladresses jamais faites dans l'intention de faire du mal.
Quand à ceux qui jugent sur le strict protocole, si il y en a, et qui ne prendraient pas le temps de m'expliquer, ben voilà c'est réglé. Personne ne perdra son temps.
Des sourires sur tous les visages, c'est agréable. Je repère 2 ou 3 Dom. Rien qu'à leur facon d 'être assis dans le fauteuil, ils en imposent. On sait de quel côté ils sont. Je trouve ça dingue qu'on les devine Dom juste en les regardant. Ils occupent pleinement l'espace de leur fauteuil sans être avachi, tout en ayant une posture ouverte et une visage doux, serein.
Très vite j'entends des jeux de mots. Ah si en plus on peut jouer avec les sens des mots....ça va me plaire.
Quelques cartes de visite. Un book d'une soumise qui travaille le cuir. C'est très joli ce qu'elle réalise et très pro aussi. J'adore ce qui est artisanal et manuel. Et je reconnais que son travail a beaucoup de valeur.
Le Maître des lieux et sa soumise nous font visiter les deux gîtes, nous parlent de leurs projets, de leur parcours.
Je me sens bien là. J'entend sans écouter les conversations, regarde la lumière, les expressions de visage, les odeurs, dehors, les arbres, les oiseaux, des gens qui rient.
Je me sens à la fois indépendante, en autonomie et à la fois rassurée par la présence de mon Maître. Je sens bien qu’IL n est pas loin. IL me laisse faire au naturel et doit sûrement être en train de m'étudier.
C'est l'heure de la douche. Hhhhhhaaaaa j'adore ce moment. Ce moment où je lave mon Maître dans tous ses recoins. Hey hey, pas folle la guêpe, un bon prétexte pour le tripoter. Mais aussi parceque c’est le moment où mon quotidien se détache mon corps avec l'eau brûlante. C'est le moment où j'enfile la tenue de soumise choisie par mon Maître. Où je me maquille, me coiffe. Où je m'affirme comme soumise... Et au passage une petite fellation pour Mon Maître.
La nuit est tombée sans que je m'en aperçoive. En fait tout se passera dans cette soirée avec un naturel et une fluidité étonnante. Je suis bien là à discuter avec ce petit groupe d'une dizaine de personnes.
https://youtu.be/x9g7TJnJk48
Quelques uns jouent du fouet, sans soumis(e) au bout du cuir d'abord. Un fouet très très longs, apparemment difficile à manier. Mais il élague très bien les branchettes alentours.
Il y a aussi un martinet à ventouses. J'aime beaucoup l'idée. Si Cthulu avait un martinet, il en aurait un comme ça c'est sur. Fouet et martinet ont été réalisés, sur commande, par la soumise dont j'ai feuilleté le book tout à l'heure. Quel boulot. C'est toujours plus parlant quand l'objet à une histoire quand on sait qui l'a réalisé.
Un Dom teste le martinet ventouse sur sa soumise. Au bout d'un moment, Maître et moi entendons clairement le safe word de sa soumise. Bien sûr le Dom s'arrête aussitôt. "Tu as entendu aphy ?" "Oui Maître" comme pour me dire : "tu vois, tu peux l'utiliser ton Safe Word, c'est normal".
Pour l'instant je n'en n'ai pas eu besoin. Maître est suffisamment à l'écoute et dans l'observation pour s'arrêter quand il est temps. IL me questionne souvent pour savoir si ca va. Je pense que le fait de LUI dire simplement "j'y arrive plus" peu suffire pour l'instant. IL n'est vraiment pas du genre à abuser ou à se laisser emporter. Si c'est le cas, se sera vraiment pas intentionnel ni conscient. Je garde le safe word pour ce possible dérapage.
Les poignets des Dom sont échauffés. Ce nouveau long fouet intrigue tant les soumis(e)s que les Dom. Le Maître des lieux a l'air de s'y connaitre en fouet, et son nouveau jouet de plus de 2 metres n'a pas l'air si simple a manier. Sa soumise prend place. Une deuxième ne se fait pas prier pour s'enlacer avec la première. Il y a quelques grimaces de douleurs mais très peu. Le but de leur Maître est d'enrouler le fouet autour d'elles sans faire mal, comme une caresse presque. Y a bien eu un ou deux loupés mais très peu globalement, et puis c’est le jeux ma pauvre Lucette... hum Intéressant. Ça laisse à réfléchir. Ca demande au Maître une grande maîtrise de l'objet mais ça le dédiabolise. Et hop il sort de la trousse à outils de punition à côté de la badine et de la tige de kevlar et vient se ranger du côté des jouets pour plus tard quitte à morfler un peu.
....Je m'imagine quand je serai grande.... avec Maître qui apprend sur moi à jouer du fouet comme ça. Je pense qu'IL aimerait. Il en a déjà joué avec d'autres soumises. Si IL pouvait devenir encore plus Maître en s'exerçant sur moi.... IL l'est déjà mais au fur et à mesure qu'IL me fait progresser, IL doit bien évoluer lui aussi...non ?
Mouais je fais maline, mais quand j'aurais goûté de sa morsure, je risque de moins rêver.
Un gourmand demande à tester. On aurait dit qu'on autorisait un diabétique à manger une part de gâteau. Il en salivait du regard. Le voilà sous le fouet du Maître des lieux. La vache il encaisse ! C est pas tant à être enroulé qui lui plaît mais bel et bien la douleur du fouet. Le Maître y va crescendo. Et il encaisse toujours. Impressionnant. Et je suis pas la seule à être impressionnée.
Le Maître lui demande a plusieurs reprise si ça va. Oui il veut continuer. J'observe. Il kiffe.
C'est comme si chaque coup lui permettait de se reconnecter avec lui même. C est mon interprétation. Au final, de mémoire, c'est le Maître qui n y tiens plus. Pas par faiblesse, mais parceque le fouet est lourd et que ça fait un bon moment qu'il joue avec. Entre l'échauffement, les soumises, ce soumis. Et puis le soumis bientôt ne tiendra plus. Franche accolade entre les deux homme. Voir ces deux hommes dans les bras l'un de l'autre me fait penser à un mini aftercare. Une façon de se rappeler qu'on est copain et qu'on s aime bien. Comme deux potes qui se tapent dans le dos. Une façon de se dire "on a bien jouer, t'as été fort"
https://youtu.be/Xi2Mu9KKA_g
Nous discutons avec un couple charmant . Madame Domine, monsieur se soumet. Ils nous racontent une mauvaise d expérience d 'un munch. J'écoute, apprend, observe. Je me rends compte que beaucoup de Dom femme ou homme m'ont donné des conseils, m'ont expliqué à chaque fois que j ai dit. "Je ne sais pas ce que c'est, je ne connais pas." En fait tous... J'adore cette simplicité, cette fluidité.
Je me surprend à penser que ce couple là est bien assorti. Ils ont l'air de se compléter parfaitement. Les deux sont calme, serein. Chacun sait comment compléter et équilibrer l'autre. Plus tard le soumis reviendra avec le dos paré d'aiguilles de différentes couleurs. Comme un tableau. Comme le travail d'une dentellière. Elle explique qu'il y a deux étapes. La dépose compte autant que la pose. Et c est en écoutant son soumis qu'elle l'a compris.
J'aurais aimé les voir (sachant qu'ils ont pratiqué en presence d'autres personnes) mais je ne peux pas tout découvrir d'un coup. En tout cas j'aimerais les recroiser même sans aiguilles. Leur personnalité m'a beaucoup plu.
Pour changer des aiguilles mais toujours dans le dos, une autre soumise est apparue tout à l'heure. Son Dom lui avait posé des percings avec des petits anneaux dans le dos. Un fin ruban violet lacait les anneaux entre eux. C'est son regard à elle qui m'a plu surtout. Elle était fière d'être parée ainsi. A même la peau. Le regard brillant, encore un peu dans la lune. Elle explique qu'elle n'a pas réussi à supporter la douleur pour faire plus d'anneaux. Mais déjà comme ça c'est super beau. Il sera toujours temps d'en rajouter plus tard. .... je me trompais c'était de l'éphémère. Son Dom va s'occuper de la dépose aussi. Je crois comprendre que c'est son metier Tatoueur perceur. Il explique la cicatrisation. Elle explique la douleur.... et qu'elle en a qu'elle garde aussi. Elle nous montre les anneaux qu'elle porte sur son sexe.
Tiens ça m'interpelle. Impensable pour moi de faire un percing aux tetons mais à cet endroit.....
Maitre m'emmène dans le gîte. Rez de chaussée, à gauche. Madame se regale d'un cunilungus. Ca doit être une Domina. Un(e) Dom ne pratiquera pas ça sur son ou sa soumis(e). La scène reste intime, par respect je détourne mon regard qui s'est égaré là.
A doite, séance d'impacts d une soumise au pilori. La soumise au dos lacet. Elle exprime sa douleur. Enfin sa douleur ? Au fur et à mesure que les impacts s'enchaînent, on dirait qu'elle s'habitue. Qu'elle transforme la douleur en plaisir. Et elle prend beaucoup de plaisir. Elle l'exprime avec ses gémissements, ses râles. En se tortillant aussi.
Ah ben moi qui croyais qu'il fallait rester le plus immobile et silencieuse possible. Je constate l'inverse, et ça me rassure. Je suis plutôt expressive. Et ça aide justement à gérer la douleur.
Mais qu'est ce qui a bien pu me mettre cette idée de l'immobilisme et du silence en tête ? Ça n'a jamais été une consigne. Je me suis foutu ça dans le crâne toute seule. Mon premier "Dom" insistait beaucoup sur l'esthétique de la posture. Je me suis autoconditionnée pour ne pas gigoter et gâcher la position en exprimant ma douleur physiquement. Et par extension j'en ai conclu ne pas exprimer ma douleur tout court y compris à l'oral. Bref je me suis autoformatée de travers pour le coup. Bon ben voilà, c'est capté, y'a plus qu'à corriger.
Je repose mes yeux sur la facon dont elle exprime sa douleur-plaisir. Sur les mouvements de ses jambes. Son Maître prend une latte en bois, genre un bout de sommier ikea, et pause aussi un paddle clouté à côté. Je m'imagine à la place de la soumise qui se tortille deja bien. Ah non j'y arriverai pas, trop tôt, trop d'un coup. La badine me fait deja peur, je suis pas prête pour les planches sur mes fesses. Elle kiffe, il maîtrise. Mais je sens que ça m'angoisse. Je préfère sortir. Maître me suit. "Vous pouviez rester Maître" "non, je reste avec toi. Qu'est-ce ce qu'il y a aphy?" [....] "tu as bien fait de sortir. Viens maintenant, montes"
https://youtu.be/kFr8SdOS5ic
Me voilà au premier étage face à une croix de Saint André. Sourire au coin des lèvres. Je devine la suite, ravie. Maître commence à m'attacher les poignets, puis les chevilles. Je ne sais plus ce qu'IL a bien pu me dire, sûrement du "ça va?", du safe word, t es OK ?.... moi j'etais déjà prête à le laisser faire. En mode anti-reflechissure. J'apprends pas, observe pas, juste j'écoute mon corps. Cette fois c'est lui qui s'exprime, qui prime et pas mes neurones. Ca lui arrive tellement rarement que je lui laisse sa place.
Sentir la cravache qui me chauffe la peau. Le dos, les fesses.... puis arrive le martinet, enfin. Je l'adore cet instrument. Maitre le sait. Pas de douleur avec lui parceque Maître me prépare à le recevoir. Si c était direct à froid pas sûr que je réagirais pareil. Mais là, il chauffe, enveloppe, picote, il réveille mon corps qui se sent vivre. Enfin le cerveau se tait. Seul le corps est acteur. Et il a l’impression qu'il ne peut agit puisque pieds et poings liés. Alors il se laisse faire. Maître me parle. S'assure que tout va bien. Le cerveau répond en pilote automatique. Simplement. Une reponse reflechie demanderai trop d effort. La seule chose qui me rappelle à la réalité, c'est mes foutus escarpins. Ce n'est pas la douleur qu'ils me font aux pieds qui me gène. Mais j'ai l'impression de ne pas être ancrée au sol. Qu'il faut que je contrôle encore la position de mes pieds pour ne pas me tordre la cheville et tout envoyer valser.
Maitre me détache. IL veut me faire tester le pilori. Petit problème technique de l'instrument qui se déboite.
Ha crenon de non, c'est pas le materiel qui commande ! Maître veut tester le pilori, alors on va tester le pilori ! C'est bien ce qui se passe dans ma tête à ce moment là. Mais avec le recul, je dois bien avouer que moi aussi j'ai envie de tester. Hop me voila une corde à la main, deux noeuds, je m'enfile fissa les poignets et la tête dans le machin et voilà, on en parle plus du soucis technique. Manque plus que le petit bruit du micro-ondes qui annonce que le plat est chaud, y a plus qu'à ...
Revoilà mon pote martinet. Je réalise qu'entre temps j'ai demandé l'autorisation de lever mes escarpins. Je suis pieds nu et je kiffe pleinement.
Aucune notion du temps. Je m'apercois de ma jambe gauche tremble, sans raison. C'est curieux comme sensation. J'aime bien . Mon corps s'exprime. J'ai envie de le laisser faire. Et puis ca veut dire que les gestes de mon Maître lui font beaucoup d'effet. Mon Maître est bien. Je l'ai bien choisi et lui aussi, j'espere, ma bien choisi. MERCI. Maître décide qu'il faut s'arrêter. IL a raison, je sais pas si j'aurais fini par dire stop tellement j'étais déconnectée. J'aurais fini par capter qu'au moment où la douleur aurais été insoutenable. J'étais plus en capacité de pouvoir distinguer les nuances.
Mais je suis comme ça aussi dans le civil aussi. Un seuil de douleur assez haut. Ca va, ça va, ça va, hop ça va plus. Des seances comme ça vont peut-être me permettre d'enfin écouter mon corps et d essayer de le comprendre et repérer ses nuances.
Là il est temps de le reconnecter au cerveau.
La tête sur les genoux de Maître emmitouflée dans mon manteau. Le plaisir de la chaleur des impacts et du manteau. Le plaisir d entendre la voix de son Maître. Je n'écoute pas ce qu'il me dit. Juste le plaisir de sa voix, comme une musique. IL pourrait me lire le discours de le méthode, l'histoire d'ernest et célestine ou me raconter l'importance du charbon de bois pendant la guerre de 14 18...ça me ferait le même effet.
Je suis en boule, juste du chaud, une mélodie... je suis bien. Petit à petit les mots viennent se coller à la partition orale de mon Maître. Puis enfin le morceau qu'IL joue prend corps. Je reconnais des phrases, des sens. Les mots exact ? Aucune idée, j'étais trop dans le coton. En substance, quelque chose comme "c est bien. Je suis fier. Je pensais pas que tu irais aussi loin...et devant d'autres personne" un refrain qui revient plusieurs fois .
Maitre encourage un couple à se lancer. Ils nous ont observé et hésitent aussi sur la croix.
La main de Maître est sur mon dos, à l endroit des impacts. Ca rajoute de la chaleur, appuye légèrement. Le même plaisir que quand on joue avec sa langue sur un aphte. Je suis encore en boule et me déplie doucement.
Le couple se lance. C'est leur première. C'est beau. Mais je suis plus trop en état de capter.
Je regarde sans vraiment regarder. En fait je m imprègne de l'ambiance. Et réalise que je fais ça depuis le début de la soirée. Ca y est le cerveau se remet en route. Il n'y a de ma part ou de celle des participants aucun voyeurisme malsain. Oui on regarde, mais pas en se cachant, pas à l insu des principaux concernés. Pas dans le but de se satisfaire de la souffrance de l'autre ou de lui voler son intimité. Ce n'est pas un acte de profit égoïste et gratuit. C'est dans le partage. "Apprends en me regardant faire, réjouis toi dans les émotions que je transpire." C'est bizarre, j'ai l'impression de retrouver l'atmosphère des cours de catéchisme quand j'étais gamine. Ah si on faisait des messes BDSM.... je me fais rire. Ca y est le cerveau est à plein régime. Des croix, du partage, une communion, des bougies... il m'en fallait pas plus.
https://youtu.be/6NhkjW9DYLw
Maitre m'entraine dans la pièce d'à côté, pour me rafraichir à la salle de bain je suppose. La pièce est occupée Ils sont 4. Une little, son Daddy à sa droite, une Maîtresse et son soumis. Le Daddy fait signe à Maitre de rester. De ce que je comprend, Il prête sa little à une Maîtresse pour une séance de fessées. La little est enroulée sur un touret, les fesses déjà bien rouges. Je suis impressionnée par le geste de la Maîtresse. Je pensais pas qu une fessée pouvait être aussi technique. Le geste est précis, vif. La pression dosée. Il s'agit d'un roulement avec la tranche de chacune de ses deux mains. Cela pourrait ressembler limite à des carresses si la pression n'était pas suffisante. la Maîtresse veille à ce que sa reste une douleur plaisir. Et va crescendo sur la pression et la vitesse. Je sens bien qu'elle est à l écoute de la little. Elle regarde aussi régulièrement le Daddy pour valider d'un regard, d'un ochement de tête si c est ok. Le Daddy acquiesse content. "Quelle couleur baby...?" "Vert" repond une petite voix étouffée "ah si ça avait été moi, ça ferait un moment que tu aurais dit orange voir rouge." "C'est tellement insupportable ?" La petite voix amusée répond "oui Monsieur" "tu tends pourtant bien tes fesses pour quelques chose d'insupportable" et il fait signe en souriant à la Maîtresse de continuer.
Elle est d'un calme, d'une agilité. Chaque geste est fluide, précis même quand elle se déplace dans la pièce . Aucun mouvement inutile. Son soumis est là pour l'assister. D'un regard, il comprend sa Maîtresse. Quand elle lui demande les deux martinets...quand elle lui demande de les désinfecter...de les aérer. Aucune fausse note. Il est fier. Ces yeux brillent. Il transpire le bonheur d'être la. Il fait tourner consciencieusement les martinets. Avant de les tendre à sa Maîtresse.
Et moi je suis heureuse d'avoir vu ça. Ces expressions sur leurs visages à tous. Sauf celui de la little, cachée derrière le touret. Mais elle aussi on sentait qu elle était bien. J 'étais comme une petite souris autorisée à regarder l'envers du décor. Trop de la chance. La little ne pouvait, vu sa position, constater les échanges entre son Daddy et la Maîtresse. Et puis elle avait autre chose à profiter. Et ils ne voulaient pas justement qu'elle voit. Les Dom tout concentrés à ce qu'ils faisaient ne pouvaient profiter pleinement du visage rayonnant du soumis et de la minutie avec laquelle il assistait la Maîtresse. Moi j'ai eu cette chance de pouvoir voir et observer tous ces détails, toutes ces préparations qui font que les 4 étaient complices. Qui servait qui ?
https://youtu.be/bKUMaibnQKU
Maitre décide qu'il est temps de les laisser ensemble. Et que N/nous devons nous effacer.
N/nous revoilà en bas, dans la tanière. Séance de shibari. Grande curiosité pour moi.
La soumise est déjà bien encordee. N/nous arrivons presque au moment où son Dom veut la "suspendre". Les nœuds sont réguliers. Les cordes enlacées doucement minutieusement. C'est joli. Je ne sais pas ce qui me plairait le plus. Apprendre à faire les nœud ou me faire encoder ?
Je réalise qu'on est tous assis autour des protagonistes. A chuchoter. Un peu comme une communion .... encore ! L idée de la communion. Je suis pourtant pas croyante. Ranges ton eau bénite, tes osties et profites ! .... heu par contre un peu de vin, je suis pas contre. Dans l'idée de communier bien sûr.
Il range ses cordes méticuleusement.
Plus tard, N/nous verrons un deuxième couple faire du shibari. Dans un style totalement différent. Ce qui compte pour le Dom ce n'est pas l'esthétique, mais bien d'accompagner sa soumise pour lui permettre de lâcher prise.
IL nous explique la sciatique de sa soumise, sa peur de la suspension.... "je ne suis pas un oiseau. Mes pieds sont bien a terre " petit à petit IL la place dans un cocon de corde. L'oblige à prendre confiance dans les cordes et dans son corps. Ce n'est pas les cordes ou la volonté du Dom qui contraignent la soumise. Mais du fait de son dos et de ses peurs, c'est bien la soumise qui prend place dans ce cocon. Et son Dom prends bien soin de l'y accompagner. Je sens bien que si ça avait été quelqu'un d'autre, jamais elle ne se serait laissée faire. Je sens bien qu’Il a pour seul objectif de la faire se dépasser mais sans la blesser. Il teste, observe, defait, renoue. Il est un genoux au sol. Le premier pied de sa soumisse sur sa cuisse. Il gère la tension de la corde et la hauteur du buste de sa soumise d'une main. Il lui ordonne de prendre place dans la corde de laisser son corps aller. Elle obéi. Il lui prends l’autre pied. Le pose aussi sur sa cuisse à lui. Whaou. Finalement elle a levé les deux pieds du sol. C 'était pas gagné. Il le lui fait remarquer. Je suis admirative. Oui les nœuds étaient pas beaux mais on s’en fou. Il a réussi à l'amener là où Il voulait. Sans brusquer juste en accompagnant. Maitre m'a beaucoup expliqué ce rôle d'un Dom. Mais là ce n est pas qu'un concept. Je peux le voir, c'est concret. Les deux pieds retrouvent le sol. Leur séance continue. Lui a l'air de s'être détendu aussi. Pourtant il est arrivé stressé d'un après-midi perso compliqué et n'était pas sur d'arriver à faire quelque chose. Ben qu'est ce qu'il arrive à faire quand il est détendu alors ?
Une autre soumise dors dans un canapé. La couverture glisse. On peut pas la laisser comme ça. Me voilà partie lui rechercher une couverture.
En fait j ai envie de faire des câlins et de distribuer des couvertures à tout le monde.
Je sens encore la chaleur des impacts sur mon corps, celle de mon manteau et j'ai envie de donner du chaud à tout le monde.
https://youtu.be/g0_dyc4IrLg
La soirée à été dense. Riche en observations en apprentissages en découvertes.
Il est temps de remettre le cerveau en sommeil pour qu'il commence à classer, digerer tout ceci. Je me réveille sous les caresses et les gestes tendre de Maître.
Le souvenir de cette soirée ? J ai passé une superbe soirée. Fait de très belles rencontres. Je me suis liée un peu plus encore à Maître. J'avais découvert dans un club echangiste que la diversité des corps était belle, naturelle , rassurante. J'ai eu la confirmation de ceci . J'ai appris hier soir que la diversité des pratiques, des relations était encore plus belle et enrichissante. J'ai été surpris par le naturel des communications, par la simplicité des échanges humains. Pas la fluidité des relations. Des couples D/s se tutoient, d'autres se vouvoient mutuellement. On était tous différents mais on était tous à notre place, dans notre élément.
Le plaisir de savoir qu on a le droit d être soi-même. Ce sentiment de liberté, de partage.
En fait y en a d'autres comme N/nous mais pas tout à fait N/nous. Et c'est ce qui les rends si intéressant. J'ai encore tellement de choses à découvrir. Et je ne suis pas seule. Même si IL a de l'expérience, j'ai l'impression que N/ous avons à découvrir. et qu'à travers moi IL va aussi apprendre.
Merci Maître pour cette soirée et un grand merci à tous ceux que N/nous avons croisé , qui ont partagé avec N/nous et j'espère que N/nous recroiserons.
https://youtu.be/r-or9APQKPo
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Quelques danses plus tard, le Président nous dit :
— Chers amis... Il y a des chambres à votre disposition. La Première Dame et moi allons nous occuper de notre descendance.
Rires... justifiés. Moi, je pense : "Faudrait que tu bandes pour une femme, petit clown !" Mais, je ne le dis pas. Il me tend la main, on quitte la pièce sous les "Et bonne nuit, hein !"
Dans l'ascenseur, il me demande :
— Ça va, tu es en forme ?
— Oui, oui, ça va, je n'ai pas trop peur... Je dois vous avouer que j'ai déjà vu le loup... et sa queue.
On rit et on entre dans la chambre... Je ne m'attends pas vraiment à une nuit de folie. Le Président met CNN. Moi, je fais pipi et je me lave les dents. Putain, qu'est-ce qu'on va branler cette nuit ? Je reviens nue dans la pièce et je vois Ron... Aah ! Là, il y a des chances que ce soit quand même la fête à mon cul ! Il m'enlace, m'embrasse, on valse... enfin, non... il est moins romantique que ça. Il m’annonce :
— Oh toi, je vais te défoncer, petite salope !
Oh ! Devant le jeune marié ! Ron ajoute :
— Ça ne vous dérange pas que je baise cette petite pute, Monsieur le Président ?
— Je t'en prie, Ron. Je l'ai ramassée sur le trottoir, elle est là pour ça.
Aah ! D'accord : on joue. Je sais jouer aussi. Je dis à Ron :
— Si tu veux que je te suce la bite, c'est cinquante dollars, cow-boy.
Mon mari me regarde, très intéressé tout à coup. Ron répond :
— Une pipe et puis je t'encule, combien ?
— Cent dollars M'sieur...
Le président intervient :
— Et l'inverse, petite ? Il t'encule et puis tu le suces ?
— C'est sale, M'sieur.
— Deux cents dollars.
— Non.
— Mille dollars.
Il est fou ! Je peux avoir l'argent que je veux, je suis la femme de l'homme le plus puissant du monde, après le Président chinois. N'empêche... mille dollars ! Je dis :
— D'accord., mais je voudrais mon petit cadeau avant de commencer.
Le Président se lève, va chercher de l'argent dans son portefeuille et me donne 10 billets de 100 $. Eh ! Ma plus belle passe !
Je suis une fille accueillante de tous les côtés, heureusement. Je relève ma jupe sur les reins et je me mets à genoux sur un divan les fesses offertes à la première bite qui passe. Oh ! Y a un passant... Une bite vient me renifler le trou du cul... au point où on en est, appelons un chat, un chat. Je tourne la tête en disant :
— Soyez gentil de cracher dessus avant, M'sieur...
Heureusement, mon "client" est un gentleman, il me crache dessus... Et puis titille mon anus avec son gland mouillé et... il entre à fond jusqu'à ce que ses couilles claquent sur mes cuisses. Ouch !
Ça passe, mon anus a une élasticité insoupçonnée, il s'est étiré au maximum pour laisser passer ce visiteur. Ron, qui fait le client, est un vrai gentleman parce qu'il me caresse la chatte tandis qu'il va et vient entre mes reins, comme le dit une chanson du siècle passé, ou dans mon cul comme j'aurais tendance à le dire. Enculée d'un côté, titillée de l'autre, je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Il y a des choses auxquelles je ne dois surtout pas penser... Et puis, hélas, j'imagine la maison de Malibu et Madame Stone fouettant les esclaves de grand matin et... je jouis... Je pousse des gémissements pour plaire au Président. Quand mon anus relâche la queue de Don, il se retire et il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Maintenant, mets-toi à genoux, tu vas me sucer.
— Oui... sauf que le nettoyage, c'est le travail de mon esclave.
Je regarde le Président en disant :
— Jojo, aux pieds ! Lèche la bite de Monsieur...
Il a l'air tout con... Alors, j'ajoute :
— Tu as cinq secondes, ensuite c'est le fouet.
Et... là, il bondit et se met à genoux devant Ron. Je crie :
— Et qu'il soit impeccable, vermine !
Vermine ! Je suis dingue, moi... ou pas, car l'esclave Jojo lèche soigneusement le gland un peu souillé par sa fidèle épouse... euh... je veux dire par son épouse. En théorie, je devrais prendre le relais, sauf que mon mari va jusqu'au bout et avale tout ce que Ron lui déverse dans la bouche en jouissant ! Dès qu'il a avalé, il cesse de jouer et il me dit :
— Couche sur le lit, Ashley !
Moi, je suis une épouse soumise, j'obéis. Il se déshabille rapidement et vient se coucher sur moi dans la position du missionnaire. Je sens un tout petit sexe me pénétrer.
Il baise rapidement, un peu comme un lapin. D'ailleurs, je le sens à peine : non seulement il baise comme un lapin, mais en plus, il jouit aussi vite qu'un lapin.
Dès qu'il a fait sa petite affaire, il se lève et va dans le lit d'à côté en disant :
— Bonne nuit, les amoureux
— Bonne nuit, mon chéri.
— Bonne nuit, Monsieur le Président.
Je vais à la salle de bains, faire une mini toilette, puis je rejoins mon amant dans son lit et je me colle à ses muscles durs... Ça, c'est un homme.
***
Le lendemain, quand je me réveille, je suis seule. Je ne les ai pas entendus se lever. Est-ce que j'ai rêvé tout ça ? Première chose, je vérifie si l'argent est toujours dans mon sac. Oui : ouf ! Je sais, c'est bête, parce que je vais avoir une allocation en tant que Première Dame. Mais bon, je garde mes réflexes de pauvre. Je m'apprête et je descends dans la salle à manger. Mon mari est avec ses amis. Ils sont occupés à déjeuner autour d'une grande table. Je dis :
— Bonjour...
Ils me regardent et me répondent... mollement. C'est pas une façon d'accueillir la Première Dame, ça. Ah, le Président se lève et il m'embrasse sur la joue en disant :
— On doit discuter de choses ennuyeuses, va déjeuner avec Summer et les gardes.
Il me traite comme une gamine pour changer, mais je préfère 1.000 fois déjeuner avec Summer et les gardes qu'avec Madame Wolf et les marchands de cochons ! Eux, ils sont contents de me voir arriver, ils se lèvent et m'embrassent. Je m'assieds à côté de Summer et je lui dis :
— Je préfère 1.000 fois être avec toi, ils sont vraiment désinvoltes avec la Première Dame.
— Tu es une "trophy wife"...
— C'est quoi, ça ?
— Un trophée. Tu es là pour la galerie. Pour qu'il se refasse une réputation. Tout ça pour être réélu...
Pas très sympa le rôle de trophée. M'en fous, je vais en profiter un maximum, puis partir avec Summer.
Une serveuse esclave attend derrière moi que je me décide. Je lui dis :
— Je voudrais des œufs au bacon, des crêpes au sirop d'érable et du café.
— Certainement, Madame.
Elle file. Le service est bien fait quand il est assuré par des esclaves. Vous remarquerez que je ne prends plus de pommes de terre avec mes œufs. Suite à une réflexion et une claque sur mes fesses de la part de Summer. C'est vrai que je dois faire un peu attention.
Je pose la main sur ses cuisses... et je lui demande :
— Le Président a un problème ?
— Un opposant noir a créé un nouveau parti regroupant les Noirs, les Hispaniques et une partie des démocrates...
Ouch ! Ça fait beaucoup. Elle ajoute :
— Il ne faudrait pas que les Chinois le soutiennent.
Elle voit ma tête qui change et me dit :
— Les Républicains et la plupart des Démocrates blancs soutiennent ton mari et il a l'appui de l'Union Européenne et du Japon.
Ça fait beaucoup aussi, heureusement...
Quand on a fini, on va au bord de la piscine avec les gardes. On se déshabille et on nage... On est nus et on s’amuse tandis que les autres discutent de stratégie politique. Après avoir nagé, Summer plonge et moi je saute du bord, oui je sais le faire ! Je vais me mettre contre elle et je lui dis :
— Les histoires avec cet opposant, ça m'angoisse. Tu as déjà imaginé si... euh... le Président est renversé ou pire...
Elle lève les yeux au ciel, je continue :
— Je t'en prie, sérieux, si ça tourne mal, j'aurai le temps de m'enfuir ?
— Ce sera difficile.
— Et toi ?
— J'aurai sans doute le temps.
Je prends ses mains dans les miennes en disant :
— Tu me sauveras ?
— Oui, j'aurai besoin de toi pour laver mes culottes... Même s'il me faut un moment pour y arriver.
Et là, j'ai une idée. Oui, ça m'arrive. J'ai confiance en elle. Je sais que ça paraît fou, mais c'est comme ça. Je lui dis :
— Je vais te donner de l'argent, tu le mettras sur un compte à l'étranger et si j'ai des problèmes, tu t'en serviras.
— Et si je le garde pour moi ?
— Tu es la seule personne en qui j'ai confiance. J'ai 1 000 $ dans la chambre, je te les donnerai.
Elle ne me demande pas comment j'ai ça et d'un côté, tant mieux. Elle réfléchit et dit :
— On pourrait ouvrir un compte commun aux îles Cayman, il faudra être deux pour retirer l'argent.
— Toi seule, c'est mon assurance... je t'en prie.
— D'accord.
Ouf ! Je me sens mieux !
Vers une heure, on mange et puis on part pour Washington. Je vais découvrir la Maison-Blanche...
Summer ne vient pas avec nous, elle va s'installer à Malibu, dans notre villa pour un an.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins.
Nos 7 livres illustrés sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Ma Domina...
Ma Domina est la plus dur.
Elle m'a apprit la perte, le chagrin, la peine, la tristesse, le deuil, le renoncement, la douleurs psychique et physique, la déception, le désespoir, la mélancolie, l'oublie, le dénie, la colère, la rage, le silence, la solitude, le manque, le vide, la chute, la honte, la souillure, les plaies, les cicatrices, l'absence...
Elle me domine sans repos.
Elle me mets à genoux la face contre terre.
Elle me piétine, me gifles, me griffe, me mord, m'écrase, m'étouffe...
Elle ne tolère pas de safe word elle n'a pas de limite et ne respecte pas celle de ceux qui lui appartiennent.
Elle fait comme bon lui semble elle peut être douce elle offre aussi de beaux moment de beaux souvenirs elle peu sublimé illuminé et tout reprendre. Elle soumet tout le monde.
Ma Domina c'est .....La vie
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Lundi
Petit clin d’œil à la journée d’Halloween, une fois n’est pas coutume. Il y a d’autres rendez-vous que nous ne manquons jamais. Celui-ci n’avait jamais pris place dans notre agenda. Alors que mon collier était déjà en place depuis le matin, comme il se doit, tu me fais mettre la cagoule et tu commences par m’enfiler les manchons rouges. Je dois reconnaître que je les aime bien : ils sont le prétexte à diverses options de contrainte. Tu les serres bien au niveau des poignets, des fois que je chercherais à les enlever dans un moment d’égarement. Pour rester raccord, tu sélectionnes une corde rouge pour la suite. Tu me demandes de placer mes bras, enfin plutôt les manchons le long du corps. Tu commences alors un savant laçage en utilisant pour cela les différents anneaux fixés de part et d’autre des harnais. Bien évidemment, parvenue à proximité du sexe, tu ne peux t’empêcher d’y faire un ou deux boucles avant de remonter dans mon dos par le plus court chemin … comme d’habitude. D’autant plus que ces premiers moments ont déjà suscité une réaction certaine en moi. Ce n’est plus un sillon fessier mais un couloir à cordage ! Après une savante remontée de dos, tu poursuis de la même manière dans mon dos. Petit à petit, je sens que mes bras ne peuvent plus guère bouger. Tu conclues ton œuvre en venant relier les deux extrémités des harnais juste sous mon pénis. Tandis que je suis encore assis, tu apportes la fameuse touche « halloweenesque ». Et je dois reconnaitre que je la sens penser : les chauves-souris sont bien pinçantes lorsqu’elles atterrissent sur mes tétons. La grosse araignée est quant à elle bien plus douce, que ce soit en cache-sexe ou bien juchée sur mon épaule.
Après m’avoir immortalisé sous tous les angles, tu modifies légèrement tes nœuds pour immobiliser les harnais sur le devant m’obligeant quelque peu à incliner les épaules vers l’avant sous l’effet de la tension exercée sur les manchons via mon entrejambe. A ce rythme, un de ces jours, je risque de finir dans une position encore plus contraignante et inconfortable.
Mercredi
En ce début de soirée, tout a commencé par une simple présentation de mes derniers achats, en l’occurrence deux boxers « aérés » étant donné que le précédent a décidé de se dégrader à vue d’œil. Je les sors donc de ma valise pour te les montrer. Ton expression semble indiquer une certaine satisfaction en les manipulant. Néanmoins, tu en veux plus. C’est bien beau de les prendre en main mais cela serait encore mieux de les admirer en place sur un nounours.
On commence par le plus complexe, un ensemble en simili cuir doté de laçage sur les hanches, sur la poche avant et à l’arrière de la ceinture. Autant dire qu’il faut plus d’une paire de mains pour l’ajuster mais tu t’en sors évidemment à merveille, satisfaite du résultat une fois en place sur la « bête ». Aussitôt immortalisé sous toutes les coutures, aussitôt retiré. C’est vrai qu’il est sympa. Espérons qu’il durera dans le temps.
Tiens, tiens, tu insistes pour que j’enfile ensuite le second, beaucoup plus simple et très similaire à l’ancien modèle, à un détail près mais Ô combien intéressant pour toi, une fermeture éclair sur le devant pour avoir accès à tout moment à mon intimité. J’obtempère fissa. Je commence à comprendre que ce n’était qu’un avant-goût. Tu passes derrière moi pour nouer le petit tablier blanc qui s’accorde parfaitement au noir brillant de mon boxer. Mais tu me demandes aussi d’aller mettre mes talons. En voilà une tenue …. Là aussi, tu immortalises l’essayage.
Puis tu t’assoies sur le rebord du lit et tu m’invites à venir m’installer, non pas assis sur tes genoux mais couché en travers. Il faut reconnaitre qu’un fessier offert souligné de noir, cela doit être des plus tentant. Si j’ai bien compris, cela te manquait de m’infliger une fessée à mains nues. Visiblement tu sembles t’y éclater et moi, je n’y suis pas insensible. De temps en temps, tu reposes les paumes de tes augustes mains en laissant intervenir tes griffes, tantôt en mode « cueillette » de chair tendre, tantôt en mode griffures électrisantes qui me font tant réagir, jusqu’à un quasi ronronnement, et pas seulement sur les fesses. Mes épaules et mon dos sont à portée, ça aide pour les « cibler ».
Il est temps de laisser refroidir tes paumes en les dotant d’extensions tout aussi efficaces pour attendrir mes chairs, et éventuellement les marquer si mon corps le veut bien, sait-on jamais ! Quant à moi, je dois quitter tes genoux accueillants pour m’étendre directement en travers du lit, sur le ventre. Tu commences par harceler mes fesses avec la langue de dragon courte. Elle est étonnante dans sa variété ; tantôt elle mord dans un silence relatif, tantôt elle claque bruyamment sans trop mordre. Si, si ! En l’absence de commentaire, j’en déduis que je ne daigne pas marquer ce soir, on dirait ! Le jour où on aura compris le mécanisme, on aura fait un grand pas pour l’humanité du nounours.
Tu te saisis ensuite d’une de tes cravaches, baptisons la « classique ». J’ai bien l’impression que tu commences par en user avec la tige, si j’en crois les morsures qui se succèdent. Puis tu laisse agir la tête qui propose un contact un peu différent mais tout aussi efficace. Disons qu’il chauffe plus dans la durée. Tes assauts répétés ont fini par faire monter le thermostat. Malgré ma tenue plutôt légère, je ne risque plus le coup de froid.
Il est d’ailleurs temps de changer de face. Tu me fais pivoter pour me retrouver sur le dos, toujours en travers du lit. Je te vois venir t’asseoir à mes côtés, ce qui me surprend un peu mais je comprends assez rapidement le pourquoi du comment. D’autant plus que tu me demandes aussi de libérer le petit oiseau de sa protection, simplement en dézippant le boxer, te laissant ainsi libre accès à mon intimité. Tu viens d’attraper un élastique, chose rare, pour autant que je m’en souvienne. Ce n’est certes pas ton jouet le plus courant, n’empêche que tu le manies à merveille. Pfiou, je sens vite le contact mordant de ce bout de caoutchouc tout de même modeste par sa taille. Petit certes, mais lorsqu’il atteint sa cible, je le sens bien passer, que ce soit sur le téton ou encore un peu partout sur mon sexe. J’en gigote dans tous les sens sous tes assauts, lâchant par moment de petits cris. J’ai beau me tortiller, cela n’arrête pas tes assauts. C’est juste reculer pour mieux sauter. L’élastique a cette particularité d’agir un peu comme un moustique piquant ici ou là selon les envies de la sadico-perverse qui le manipule.
Toujours est-il que tes cibles de choix commencent à être sensibles à souhait. Ceci contribue à me rendre aussi réactif lorsque tu remplaces l’élastique par ton faisceau de paille. J’ai beau le connaître depuis longtemps maintenant, il a toujours cette apparence inoffensive … enfin tant qu’il n’entre pas en contact avec mon corps. Dès lors, dans tes mains, manié avec doigté sur une zone déjà bien sensibilisée, comment dire ? Il devient irrésistible ? J’y réagis au quart de tour, ne cessant de couiner et de gigoter. Décidément, je ne tiens pas en place ce soir. Et malgré tout, je ne m’échappe pas, je demeure bien installé sur ce lit qui nous sert d’aire de jeux.
Tu termines à mains nues, ou plutôt, devrais-je dire, à griffes nues. Celles-ci s’acharnent longuement, essentiellement sur mon sexe, couilles, pénis, tout y passe. Tous ces tourments provoquant alternativement couinements ou fous rires. … Dur, dur de conclure sérieusement cette soirée.
Jeudi
Tu me tends les bracelets que je place sur mes poignets et mes chevilles. Puis je te vois farfouiller dans ton placard « secret ». Tu en ressors un accessoire que je n’avais plus aperçu depuis bien longtemps. Limite j’avais oublié que je t’avais fabriqué cette barre d’écartement artisanale. Voici donc pourquoi tu as prévu les bracelets. En quelques minutes, tu relies mes chevilles, ou plutôt tu les forces à s’éloigner. Désormais, je suis contraint de maintenir les jambes bien écartées. Je pensais que cela se révèlerait plus inconfortable que cela. A ce stade, j’arrive encore à me relever du lit sans trop de difficulté. Positionnée dans mon dos, tu commences par relier mes poignets à l’aide d’une sangle sans trop les serrer. Puis tu t’escrimes à positionner une seconde sangle à mi-biceps. Cette fois, malgré la légère latitude laissée, mes mouvements se retrouvent drastiquement réduits. Et dire que tu imagines que je pourrais m’échapper : je ne sais pas vraiment comment je pourrais y parvenir ainsi équipé.
Me voilà paré pour affronter tes tourments du soir. Tu viens t’asseoir devant moi sur ton coffre à malices. Et ton sourire est à la hauteur de ton impatience. Il faut préciser que tu as égaré une boite de pinces depuis quelques jours sans que celles-ci ne soient réapparues malgré une fouille intensive de la maison. Aussi ce matin, tu en as déniché de nouvelles en faisant les courses et, cette fois, tu ne tardes pas à les essayer. Il ne faudrait pas qu’elles disparaissent elles-aussi.
Tu places la première sur mon téton gauche. Ouch, tu avais raison, elle pince bien. Encore une qui cache son jeu sous des apparences doucerettes. En plus, depuis quelques temps, j’ai l’impression que celui-ci est plus sensible que son alter ego. Je serre les dents le temps que la douleur initiale s’estompe, ou du moins, que je m’y habitue. En comparaison, la seconde est beaucoup plus facile à supporter. Tu poursuis ta décoration sur mon pénis, une rangée de chaque côté. Celles-ci passeraient presque inaperçues au contraire des deux dernières que tu viens placer au bout de manière à « boucler » cet orifice. Tu me laisses ainsi à ces pincements pendant quelques minutes. Comme toujours avec les pinces, quelle que soit leur nature, le pire est à venir lors de leur retrait. Toutes, sans exception, se font largement ressentir ; surtout que tu les enlèves par paires. Pour ainsi dire, tu génères un double effet kiss cool : un « lancement » de chaque côté. Je dois reconnaitre que la chaleur de tes mains vient avantageusement apaiser ces douleurs fugaces mais intenses.
Après un court moment de répit, le temps qu’elles se fassent oublier, tu reprends tes stimulations par le biais de ta cravache. Tu te concentres sur quelques zones bien précises, sans surprise celles que tu viens de sensibiliser. Ce sont donc alternativement mes tétons, mes couilles et mon pénis qui se voient « martyrisés ». Je me tortille dans tous les sens, essayant de limiter autant que possible les couinements. Rien qui ne t’arrête néanmoins. Bien au contraire. Tu changes juste « d’outil ». Place à la langue de dragon courte. Plus le temps passe et plus mes tétons virent à l’hypersensibilité. Son mordant en est démultiplié. Et mes réactions par la même occasion. Est-ce que c’est pour compenser ? Toujours est il que tu t’égares aussi sur mes cuisses, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Décidément je vais finir par être une boule de sensibilité. Malheureusement, pas la moindre marque ne daigne apparaître sur mes jambes. De dépit, tu passes dans mon dos pour vérifier ce qui se passe sur mes épaules. Et là, miracle, en quelques minutes, j’entends ta satisfaction, des triangles teintés de rouge, synonymes de marques à ton goût.
Ainsi « repue » à ta manière, tu abandonnes cette langue de cuir noir pour reprendre une autre cravache. Cette fois, tu as changé de technique. Fini les impacts, place à l’effleurement. Ecrit comme cela, on pourrait penser qu’il s’agit d’un moment de douceur. Sauf que ce n’est pas le cas du tout. Surtout que tu l’infliges sur des zones sensibles. Ces brefs et légers contacts génèrent comme une sorte de griffure qui finit par électriser le propriétaire des dites zones ! J’ai encore une fois l’impression que cette façon de faire t’amuse beaucoup, peut être parce qu’elle n’est pas classique.
Tu termines ta soirée de tourments en mode manuel, d’abord une série de pichenettes qui transforme tes doigts en de véritables engins de « torture ». Comment je pourrais résister et rester de marbre et silencieux. Il en va de même quand tu laisses entrer en action tes griffes, que tu les autorises à venir pincer encore et encore, augmentant encore un peu, s’il était nécessaire mon niveau de sensibilité. Par chance, celle-ci finira par s’apaiser largement pendant la nuit m’évitant le calvaire du drap ou du pyjama venant frotter, frotter, frotter …
A un moment de la soirée, à trop gigoter ou me plier pour échapper en vain à tes assauts, je me retrouve assis sur le lit les bras toujours coincés dans le dos mais tout de même encore capable de me relever malgré les contraintes.
Visiblement satisfaite de l’heure qui vient de s’écouler, tu finis par me libérer non sans faire un essai différent avec la barre, prélude possible à de futures nouvelles contraintes. Affaire à suivre dans un prochain épisode.
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j'ai été convoqué par mon fesseur habituel, ce lundi. Cela fait maintenant plusieurs mois que ce monsieur, ancien professeur dans une école catholique me donne des fessées. Chaque fois il me convoque, c'est à dire trois à quatre fois par mois et je dois me rendre chez lui vêtu d'un petit short, d'une culotte coton, d'un polo blanc, de longues chaussettes blanches et de tennis aux pieds. Il me demande chaque fois de lire le mail que je suis tenu de lui envoyer chaque semaine, avec mes bêtises ou manquements de la semaine. Je dois lire la liste à haute voix. Après, bien entendu, selon la gravité de mes fautes, la fessée est plus ou moins sévère.
Lundi, j'ai reçu de lui un mail me convoquant. J'avais oublié de lui envoyer ma liste de fautes hebdomadaires. Je savais que ce serait sévère, mais je m'y suis rendu, la peur au ventre, les larmes au bord des yeux.
A peine arrivé et entré dans son bureau, je constate qu'il n'est pas seul. Sa femme est là, et un de leurs amis aussi. C'est rare qu'il me reçoit en présence d'autres personnes. Come j'hésite à pénétrer plus dans son bureau, il me tire par l'oreille et m'amène devant son bureau. Il s'assoit derrière et commence à me reprocher bien sûr d'avoir oublié d'envoyer ma liste. Il me dit que je l'ai fait exprès. J'ai juste oublié, mais il ne veut pas me croire. Alors, sur le paper booard de son bureau je dois écrire la liste de mes fautes de la semaine, et il commente au fur et à mesure, prenant à témoin sa femme et son ami.
Quand j'ai eu fini, il me demande de lire à haute voix, ce que je m'empresse de faire. Il demande alors à sa femme ce qu'elle en pense et ce qque ça mérite. Sans hésitation, elle répond que ça mérite, les fautes et l'oubli, que je n'ai pas marqué sur le paper booard, une série de quatre fessées de plus en plus intenses. Son ami donne également son avis et il demande à ce que le martinet, la ceinture et le paddle me soit infligé aussi.
Je e rends compte alors que ça va vraiment chauffer pour moi. Je me sens pris d'une peur terrible, d'une appréhension. Pleurer sous la fessée quand il n'y a que mon fesseur et moi, ça passe, mais devant sa femme et son ami c'est autre chose. J'ai l'impression que ma tête tourne, que j'ai des vertiges, je n'entends qu'à travers un brouillard la discussion autour de moi jusqu'à ce qu'une gifle me ramène à la réalité. La réalité elle n'est pas belle, je viens de faire pipi à la culotte. A mes pieds une flaque, mon petit short en jeans est orné d'une large auréole. J'ai honte.
Sans attendre, le fesseur me ^rend le bras, me dirige vers le bureau, et me courbe dessus. Une pluie de claques s'abat sur mes cuisses et mes fesses. A travers le short je la ressens bien cette fessée mais ce n'est rien par rapport à ce qui m'attend. Il dégrafe mon short, qui tombe à mes pieds. Me voici en culotte blanche et rose, devant lui sa femme et son ami. Sa femme dit alors "mais c'est une culotte de fille" ! oui, je porte une culotte de fille, une grande culotte blanche et rose. Sauf que là, elle est trempée, pleine de pipi. Le fesseur me déculotte d'un coup sec, m'enlève entièrement la culotte et me la met dans la bouche. ça sent le pipi. je sais que j'ai dans la bouche mon propre pipi... j'ai honte, très honte, ce n'était pas prévu.
Le fesseur prend alors son temps, il me caresse un peu les fesses puis commence une magistrale fessée à la main. j'ai mal, je commence à gémir, à gigoter, mais il me tient fermement. Il arrête. Je l'entends dans mon dos, il se déplace, il revient, et un coup violent me frappe les fesses, il a pris une ceinture !
j'ai de plus en plus mal, les larmes perlent sur le bord de mes yeux, je crie, je supplie qu'il arrête, il me répond que je suis là pour expier mes fautes et qu'il est là pour me les faire expier. Alors il continue, il a troqué la ceinture pour un martinet, il me flagelle autant les fesses que les cuisses, je pense illico que je vais avoir des marques sur les cuisses, que ça va se voir, je le supplie d'arrêter. Peine perdue, il continue. Puis, il s'arrête et me conduit par l'oreille au coin.
je reste au coin mains sur la tête pendant un bon quart d'heure. Pendant ce temps je les entends commenter cette fessée. L'ami du fesseur lui dit "tu avais raison, c'est un sacré garnement, il en mérite des fessées et des cuisantes". Sa femme dit, "je vais lui faire essuyer le pipi par terre, et elle s'en va chercher une serpillère. Elle revient, viens me chercher par la main, et m'ordonne d'essuyer. Je le fais volontiers, je ne veux pas en rajouter, confus d'avoir fait pipi à la culotte sans m'en rendre compte.
Après, elle me relève et me conduit à la cuisine pour que je lave la serpillère. Elle me tient toujours par la main, je me sens redevenu un petit garçon.
Revenus dans le bureau, je découvre posés deux paddles, un en cuir, l'autre en bois. Je suffoque, je sais que mes fesses ne vont pas en supporter davantage, alors je supplie, je me mets à genoux, mais rien n'y fait. Je suis relevé, et à nous veau courbé sur le bureau. Mais cette fois, la femme du fesseur et son ami ont fait le tour du bureau et me tiennent chacun un bras, solidement. Il me fait écarter les jambes. Les coups commencent à pleuvoir, je pleure comme un gamin, je n'en peux plus, je crie, je pleure, mon nez coule, je ne peux pas me moucher, heureusement je n'ai plus la culotte dans la bouche je me serais étouffé.
Enfin la fessée s'arrête. S'ils me lâchent, je vais m'effondrer, mes jambes ne me portent plus.
le fesseur me prend alors par le bras, me relève et me ramène au coin, cette fois agenouillé. Les commentaires vont bon train, et ils regardent les photos qu'ils ont prises pendant mes fessées. Ils commentent, ils rient bien fort comme si je n'étais pas là. Ils prennent un thé, et moi je suis toujours au coin. Enfin ordre m'est donné de me relever et de venir devant le fesseur. Il me remet ma culotte trempée de pipi, et mon petit short, il me dit de m'asseoir, et sa femme me fait une leçon de morale, pendant que leur ami me caresse les cuisses, passant sa main sous le short et la culotte.
Enfin, le fesseur me ramène à la porte de chez lui. En passant devant le miroir de l'entrée, je constate que les zébrures du martinet sont bien visibles sous le short et je vais devoir revenir à ma voiture à pieds, faire les 800 mètres qui me séparent du parking. J'ai honte, à nouveau je me mets à pleurer. Il e met dehors, qu'importe mes larmes ! je marche sur le trottoir, je croise des gens, j'entends des rires derrière moi...
Je sais que je n'aurais pas du oublier d'envoyer la liste de mes fautes, je sais que ces fessées je les ai méritées car la liste des fautes hebdomadaires était longue... Oui, il fallait que je sois à nouveau corrigé, je l'ai été, je ne peux m'en prendre qu'à moi.
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Nous ne sommes pas spécialistes du bondage et encore moins du shibari (même si nous aimerions), mais nous nous interessons à ce sujet. Nous avons pas mal écumés le web et les forums pour essayer d'y voir plus clair. J'avais pris pas mal de notes, fais des copier/coller. J'ai essayé de synthétiser ce que j'ai lu et ce que j'ai compris. N'hesitez pas a commenter pour corriger une anerie ou pour faire valoir un avis différent (on se la jouera humble ;) ).
Bondage ou shibari ?
Le bondage est une version que l'on pourra appeler "grand public" de l'art japonais des cordes, qui s'appelle le shibari. Le bondage comme le shibari offre une expérience incroyablement sensuelle et érotique. Attacher ou se faire attacher permet d'explorer la soumission et la domination sous une forme plus apaisée (qui n’empêche pas l'extase) que les pratiques purement SM ou DS.
Si pour les jeux BDSM, on explore surtout le volet SM par l'utilisation de cravache, martinet ou fouet, et de pinces en tout genre, le shibari se pratique uniquement avec des cordes en jute. Si vous êtes moins puristes et que vous souhaitez tester l'attachement et l'immobilisation sans pratiquer l'art du Shibari, mais juste "jouer", vous pourrez vous faciliter une partie de la prise de contrôle de votre partenaire en utilisant des bracelets en cuir avec des anneaux où vous ferez passer les cordes. Ces bracelets en cuir permettent de facilement prendre accroche autour des poignets ou des chevilles.
L'autre point d'attache très prisé dans le bondage est le cou, là encore si vous n'êtes pas encore un pro du bondage, vous pourrez vous faciliter la vie en ayant recours à un collier en cuir, doté d'un ou plusieurs anneaux en inox dans lesquels vous pourrez faire passer votre corde. Il faut que les débutants soient très prudents. Passer la corde au cou de quelqu'un cela ne s'improvise pas... on devrait même dire que cela ne se fait pas, c'est autour des épaules, de la tête que cela se passera;
Débutant, commencer avec un peu de cordes et des colliers et bracelets, plus tard, quand vous serez plus expérimenté, vous pourrez vous en passer et pratiquer les immobilisation de votre partenaire justes avec les cordes.
Outre la simplicité des colliers et menottes (que les spécialistes du bondage trouveront regrettable), leur utilisation permet, pour les débutants, de ne pas prendre trop de risques en serrant à l'excès ou de manière inadéquate les poignets ou le cou de leur partenaire.
Avec ou sans bracelets, avec les cordes, vous pourrez donc attacher, à l'aide d'un anneau votre partenaire juste pour l'immobiliser (maintenir les bras dans le dos attachés au niveau des poignets, forcer à écarter les jambes ...) ou vous pourrez jouer avec votre environnement (l'attacher à un lit, l'encorder à une rampe d'escalier ...). La plupart des menottes sont avec une boucle en acier inoxydable, mais vous en trouverez aussi qui se fixe avec du velcro.
Dans les ersatz à disposition, on citera également les sangles (en général en nylon), prévues essentiellement pour les immobilisation sur un lit dans le cadre d'expérience de domination/soumission. Les remplace à la fois les cordes et les menottes puisqu'elles disposent en général de sorte de attaches en velcro pour attacher les chevilles et les poignées.
Les premiers accessoires pour commencer dans le bondage
Il vous faudra de la corde. Beaucoup de corde. Les puristes du shibari vous conseillerons souvent une corde de jute de 6-8 mm. La jute est une fibre naturelle qui est solide et durable, mais elle peut aussi être rugueuse pour la peau suivant la manière dont elle est préparée. En fonction de vos envies et celles de votre partenaire, vous pourrez jouer ou non avec la douleur en choisissant une corde plus ou moins douce et plus ou moins lisse.
Il vous faudra également disposer d'une paire de ciseaux ou mieux d'un sécateur ! Évidemment, on ne découpe pas les liens après chaque utilisation. Par contre, un moyen de découpe efficace et rapide est toujours à prévoir en cas d'urgence (malaise, personne en soumission qui panique ou qui fait un malaise ...). N'importe quels ciseaux ou sécateurs fera l'affaire pour peu qu'il puisse trancher la corde efficacement. Il faut toujours en avoir sous la main. C'est tout sauf accessoire pour mettre fin dans l'urgence un bondage.
Nous n'évoquerons pas dans cet article les accessoires BDSM qui n'ont rien avoir avec le bondage, stricto sensu. Certaines pratiquants aimeront s'adonner à des jeux et avoir recours à une cagoule pour la tête de la personne immobilisée pour la déshumaniser, d'autres mélangeront le bondage avec des pratiques SM (comme la pose de pinces sur les tétons ou sur le sexe de la personne soumise, le recours au masque pour les yeux, au collier de soumission, au bâillon pour la bouche...).
Les types de cordes pour le bondage et le shibari
Pour le shibari, il existe deux principaux types de cordes utilisées dans le shibari : hanayama et asanawa. Les cordes hanayama sont faites de jute tressé et mesurent généralement trois mètres de long. Les cordes asanawa sont faites de jute torsadé et mesurent généralement six mètres de long. Les deux types de cordes sont tout aussi efficaces pour le bondage, c'est donc vraiment une question de préférence personnelle de l'encordeur/encordeuse comme de l'encordé.e.
Si votre envie vous incite à plus de simplicité, vous pourrez opter pour des cordes plus simples et donc pas cher, comme les cordes en nylon. Mais cela se manipule moins bien, c'est moins confort sur la peau, et vous vous privez de l'odeur toute particulière des cordes en jute.
Quelle(s) longueur(s) pour les cordes de bondage ?
Vous aurez besoin de longueurs de corde différentes pour chaque personne, même si vous utilisez le même type de corde. Ne vous souciez donc pas d'obtenir la "bonne" longueur Concentrez-vous plutôt sur l'apprentissage de la manière d'utiliser l'excédent de corde éventuel.
A moins d'une exigence spécifique, la plupart des encordeurs travaillent avec un jeu qui contient 2 ou 3 longueurs standard :
3m : Parfait pour les poignets ou les chevilles, ou pour attacher les membres aux poteaux de lit, des choses comme ça. C'est ce qu'on appelle parfois une "corde courte".
4,5m : Cette corde est appelée "demi-corde" et peut être utilisée autour des cuisses ou des genoux, comme ceinture de taille ou lorsque vous devez tirer une corde.
9m : Très bien pour faire des harnais et les longues courses. On l'appelle parfois simplement "corde".
Quelle(s) épaisseurs pour les cordes de bondage ?
Cela dépend ! :). Chacun ses goûts, mais on peut préciser quand même que :
Le diamètre le plus prisé est de 6 mm,
La corde de 5 mm offre plus de finesse dans l’exécution et propose un esthétisme particulier.
Pour les suspensions on choisira souvent du 8mm, vous verrez de nombreuses personnes utiliser des suspentes de 6 mm également. Cela dépend aussi du gabarit de votre partenaire.
Si votre partenaire est plus grand, vous pouvez utiliser une corde de 8 ou 10 mm pour le travail au sol (bondage non suspendu). Cela répartit la force sur une zone plus large et peut être plus confortable. Le seul inconvénient des cordes plus épaisses est que les nœuds ont tendance à devenir encombrants rapidement...
Quelles cordes acheter des cordes pour le bondage et où ?
Il y a quelques éléments à prendre en compte lors de l'achat d'une corde de shibari ou de bondage. La première est le matériau dans lequel la corde est fabriquée. Les matériaux les plus courants sont les fibres naturelles comme le chanvre ou le jute. C'est le choix des puristes. Les pratiquants curieux pourront opter pour les fibres synthétiques comme le nylon ou le polyester.
Les cordes en chanvre et en jute sont à la fois solides et durables, mais elles peuvent être agressives pour la peau. Elles ne sont pas non plus très élastiques et cela va avoir tendance à compliquer le bondage en suspension. La corde en nylon est, c'est un avis personnel, moins facile à travailler et moins agréable au toucher. La corde en polyester se situe entre le nylon et le chanvre/jute en termes de résistance et d'élasticité, ce qui en fait une corde polyvalente. Mais seul le chanvre et la jute sont utilisés par les puristes
La deuxième chose à prendre en compte est le diamètre de la corde. Les diamètres les plus courants sont 6 mm, 8 mm, 10 mm comme on l'a vu et plus rarement le 12 mm. Là encore, chaque diamètre présente des avantages et des inconvénients. Les cordes plus fines sont plus faciles à nouer, mais elles ne sont pas aussi solides que les cordes plus épaisses. Les cordes plus épaisses sont plus adaptées aux jeux de bondage lourds, mais il peut être plus difficile de faire des nœuds complexes avec
La troisième chose à prendre en compte est la longueur de la corde. Les cordes de bondage sont généralement vendues en longueurs de 3 mètres (10 pieds), 7,6 mètres (25 pieds), 15 mètres (50 pieds) ou 30 mètres (100 pieds). Évidemment, plus la corde est longue, plus elle est polyvalente. Cependant, les grandes longueurs de corde peuvent aussi être plus difficiles à travailler, donc si vous débutez, il est préférable de s'en tenir à des longueurs plus courtes jusqu'à ce que vous ayez le coup de main .
Si vous êtes un pratiquant du BDSM qui cherche juste à tester le bondage, vous pouvez vous rabattre vers des cordes peu chères que vous trouverez par exemple dans les grandes surfaces (genre Leroy Merlin ou Castorama). Si vous souhaitez mettre plus de noblesse dans votre pratique, achetez des cordes en chanvre ou en jute. Nous vous conseillons de les acheter dans des boutiques spécialisées (ou sur leur site internet). Les cordes de boutiques BDSM ou Shibari ont subit des traitements compatibles avec leur utilisation.
Faire un stage de bondage (voir de shibari) ?
On trouve de plus en plus de formation ou de stage pour apprendre à jouer avec les cordes, avec plus ou moins de sophistication, des encordages simples à ceux plus artistiques des maîtres du shibari. Ce peut être une bonne idée de faire un stage, d'une part car cela permet de savoir si l'activité vous plait, mais cela vous permet vraiment de vous sensibiliser aux règles de sécurité, et au dela d'apprendre ce qu'il faut faire, une formation vous apprend ce qu'il ne faut pas faire, et à parer aux urgences, si votre bondage tourne à la catastrophe.
C'est important pour vous (pour apprendre) mais aussi et surtout pour votre partenaire qui vous fait confiance en vous laissant l'attacher.
Soyez prudents !
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Elle est arrivée avant nous, comme prévu. Elle s’est douchée puis elle à enfilé la tenue laissée par nos soins sur le lit… très simple, des bas, une paire de talon rien de plus.
Puis elle à attendu que son téléphone vibre, impatiente, déjà mouillée à l’idée de ce qui allait se passer bientôt dans cette chambre d’Hôtel…
Nous l’avons rencontré valentine et moi, par hasard presque, lors d’une soirée bien arrosée chez des amis. Nous ne la connaissions pas. Très vite, elle remarque le collier de valentine, il est discret mais évocateur. Une paire de menotte sert de fermoir. Mais elle n’ose pas venir à nous et nous parler.
Alcool aidant je pense, elle finit par lâcher un « joli collier ! » à valentine.
C’est pour signifier mon appartenance à mon Homme lui répondra t elle. A ton homme ou à ton Maître ? Sourit Hélène. De là en découla une discussion entre ces deux femmes qui se découvraient. Soumise toutes deux, aux envies multiples et au besoin d’abandon, de lâcher prise évident.
Ce n’est que trois jour plus tard que valentine me fit part de sa découverte et des envies d’Hélène.
Surpris je lui demande ce qu’elle en pense et elle me répond qu’elle l’attire et que nos pratiques lui plaisent mais qu’elle n’a jamais franchi le pas. Elle aimerai nous rencontrer pour en discuter.
Je réfléchi rapidement et je dis à valentine « non ! »
« elle veut du frisson ? Elle veut connaître l’excitation, de l’inconnu ? Alors voila ce qui va se passer. Tu la contacte, vous convenez d’un jour où nous sommes tous les trois disponibles et tu lui dit que si elle veut découvrir c’est à nos conditions ! Elle aura des instructions par sms. »
surprise valentine me dit mais tu vas lui faire peur ! Tant pis !
Il est un moment où il faut passer à l’acte !
Valentine s’exécute. Ce n’est que le surlendemain que la réponse arrive. « ok »
Satisfait nous réservons une chambre dans un hôtel sympa et nous lui donnons toutes les instructions nécessaires...
Son téléphone vibre, « enfile les boules quiès et le rosebud, bloque la porte à l’aide du verrou pour qu’on puisse entrer » bande toi les yeux. C’est debout jambes légèrement écartées les mains derrière la tête que nous te voulons à notre arrivée.
Ceci étant dit, je prend valentine par le bras et nous nous dirigeons vers le bar de l’hôtel.
Mais on monte pas ?? non ! Laisse la mariner un peu ! Elle va perdre la notion du temps et c’est bien cela que je cherche pour le moment.
Nous buvons un verre et c’est une quinzaine de minutes après que nous montons et que nous la trouvons installée exactement comme nous le lui avons demandé…
Elle est belle dans sa posture, déjà offerte, mais tremblante. Nous approchons sans bruit grâce à la moquette de la chambre et je dis a valentine touche la.
La caresse sur sa joue la fait sursauter vivement. Cependant le parfum de valentine la trahie. Un sourires se dessine sur les lèvres d’Hélène. Rassurer, elle se laisse aller aux douces caresses de valentine sur son corps.
Ne touche pas à son sexe ! Pas encore ! pas déjà !
Alors valentine caresse ses seins, en excite la pointe et les étire légèrement. Elle ne se prive pas de les mordiller et de les sucer non plus.
La chatte d’Hélène s’ouvre de plus en plus, elle est trempée et je vois bien que valentine n’a qu’une envie c’est de la posséder.
Je lui ôte les boules quiès et lui parle à l’oreille… tu es belle et tu as parfaitement exécuter nos instructions.
Elle est ravie et un large sourire naît sur son visage lorsque d’un coup une belle claque sur une fesse tombe. Rappel à la réalité. Tu es à nous. Tu le sais. Une autre fessée. « Oui je suis à vous »
Valentine passe à présent sa main sur l’intérieur des ses cuisses et commence à caresser son clito déjà tout enflé… elle réagi au quart de tour, son souffle s’accélère, son corps se cambre comme pour avaler ces doigts qui courent sur sa chatte…
Je veux savoir quand tu vas jouir lui dis je… ça vient déjà ! Ça vient déjà répète elle, je fais un signe à valentine qui arrête d’un coup… la tension redescend mais les caresses reprennent les mains veulent bouger.. non ! Lui dis je en les bloquant, jamais elles ne doivent quitter ta tête…
valentine accentue ses caresses et à nouveau Hélène va jouir. Stop ! Et le calme revient mais le corps parle, il bouge il cherche le plaisir les cuisses se ressent pour les sentir… une fessée tombe… reprise de la position…
deux autres fessées puis trois et valentine reprends les caresses en même tps ! Douleur douceur mêlée… mais la encore au bord de l’orgasme les caresses s’arrêtent…
la frustration est a son comble, alors je prends ses bras et la dirige sur le lit.
Allongée sur le dos toujours sans rien voir elle se laisse faire, docile a souhait…
Valentine s’approche et se mets à genoux devant sa chatte ouverte et trempée.
Elle la lèche, tout doucement de la pointe de sa langue, l’excite encore, puis d’un coup l’aspire, la mordille et agite son clito frénétiquement sous sa langue… je suis assis su r le lit et je maintiens les bras d’Hélène valentine peine a garder ses cuisses ouvertes et d’un coup la délivrance, la jouissance tant attendue… plaisir fort, profond, libérateur…, valentine ne cesses de la caresser et deux doigts s’agitent à présent dans sa chatte, deuxième orgasme… retour à la douceur des caresses des baisers sur la peau… j’ôte le bandeau, je souris, et prends Hélène dans mes bras… valentine nous rejoint.
J’embrase valentine puis me tourne vers Hélène et lui dit, tu a bon goût ; j’aime la mouille de ta chatte !
Mais ne crois pas que ce soit fini…
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TIRE AU SORT :
Un soir, je reçois un courriel d'un soumis qui serait tenté par une expérience de domination : je lui propose de tirer au sort le premier qui dominera et ensuite d'inverser les rôles !
Je me présente donc chez cet homme et en prenant un verre, je lui montre deux ficelles pour le tirage au sort : la plus longue désigne la MAÎTRE en premier !
Je tire la plus longue et lui demande aussitôt de se déshabiller lentement et sensuellement en se caressant. Il était entièrement rasé! Tout nu, je lui pose la cagoule cuir que j'avais pris soin d'apporter avec moi, ainsi que pas mal d'accessoires!
Je l'attache de mieux que je sais faire et assez serré, les bras fermement liés dans le dos, ensuite je lui pose un collier et déjà il se met à "bander sérieusement) !
J'avais pris soin lors de mon bondage de laisser les seins bien accessibles !
Faute de bâillon, je lui mets un foulard dans la bouche.
Il ne savait pas trop ce qui risquait de lui arriver et je pense que pour cette première partie, il n'a pas été déçu !
Debout, bien attaché, je commence à poser des baguettes chinoises autour de ses deux seins, peut-être aurais du commencer par la cage de chasteté que j'avais aussi apporté!
L'avantage des baguettes c'est que l'on peut régler le pincement jusqu'à la limite de l'insupportable ! Les seins sont bien pincés et j'augmente progressivement leur pression !
Difficile, vu son excitation sexuelle de poser ma cage de chasteté, mais après de nombreuses tentatives, j'y arrive enfin!
Je prends un pose de 5 minutes et contemple mon soumis ainsi exposé !
Je reviens au seins et les libère de leurs baguettes. Je mordille les seins mis à ma disposition charnellement et très sensuellement. je passe ma main dans sa bouche entravée et sens la salive qui commence à poindre comme également un perle de rosé suinte à la pointe de son sexe humide et bien rigide bien enfermé dans la cage !.
La suite va pour lui être terrible, puisque le sort a décider que je commençais à être le MAÎTRE et qu'il devait bien s'en rendre compte désormais! ( Je ne dois pas non plus être trop sévère, parce qu'ensuite je risque d'être son soumis !)
Je retrouve dans mes affaires un bâillon à boule qui remplace le foulard déjà trempé de salive!
Je masse voluptueusement un sein après l'avoir copieusement enduit de lubrifiant pour lui poser une magnifique pompe à seins de gros diamètre : lentement et précautionneusement j'aspire le premier sein sans remplir toutefois tout l'espace vide, ensuite je lubrifie généreusement l'autre sein avant de commencer l'aspiration.
Ses deux seins commencent à prendre des couleurs sous l'effet de l'aspiration que j'augmente à la limite de la possibilité des pompes !
Désormais la pointe de ses deux seins touche le haut des pompes et je m amuse ainsi à faire tournoyer de gauche à droite puis inversement les deux pompes!
J'ai un peu oublié dans le feu de l'action, je crois me rappeler qu'à un moment il a du hurler de douleur ou de plaisir ?
Je lui chuchote à l'oreille que sa douleur doit devenir son plaisir agréablement partagé, sans me soucier de ce qui pourrait alors m'arriver en retour de tirage au sort!
Il bande fort et remplit entièrement la cage de chasteté!
Je lui libère alors les mains dans le dos( toujours bien debout!) pour lui attacher les mains au dessus de la tête et ainsi augmenter sérieusement la traction sur ses seins qui deviennent de plus en plus rouges !
Je m'amuse à nouveau à faire tourner les pompes autour de ses seins, ce qui provoque un long et fort gémissement, de douleur ou de plaisir ?
Il y a déjà un bon moment que j'ai été désigné comme son MAÎTRE et j'essaye compléter ma panoplie de Dominateur temporel !
Bracelets aux chevilles, je lui écarte progressivement les chevilles avec une barre d'écartement et me permet délicatement d'introduire mon index dans son anus bien lubrifié !
Je reprends un pose de 5 minutes et contemple mon soumis ainsi exposé, que se passe-t-il dans sa tête : satisfait ? heureux ??
J'e n'ai jamais su s'il avait regretté le tirage au sort, car à cause du temps passé à le dominer, il m'avait demander d'être libre pour 18 h et j'avais bien envie de continuer cette première fois la séance jusqu'à 17h55! (cela dure depuis plus d'une heure trente !)
Avec peine et délicatesse, j'arrive à lui enlever la cage de chasteté outrageusement rempli de son sexe et me prépare à l'assaut final : lui enlever les pompes des seins et lui imposer une fellation inoubliable ( même si je n'aime pas sucer un sexe, l'inverse OUI!)
Son sexe est en totale explosion et tandis que mes mains massent vigoureusement ses deux seins bien gonflés, je sens monter l'éjaculation tant attendue et espérée comme une libération et un point final à notre première rencontre inoubliable!
J'ai juste le temps de sortir son sexe de ma bouche avant l'éjaculation!
Le sperme assez abondant inonde mon torse et le sol et après m'être bien essuyé.
Je profite d'une dernière pose de 5 minutes et contemple mon soumis ainsi exposé et soulagé !
Je me lève et libère enfin mon compagnon de ses liens pour voir son corps bien marqué pars les cordes serrées ! : il s'assied au sol pour se reposer un peu!
Depuis à mon grand regret, je n'ai plus eu de nouvelle ! Pourtant j'étais prêt à renouveler l'expérience dans l'autre sens !
Conclusion : un soumis fait souvent un excellent domi ! ! ! !
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