La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 06/05/24
Entrée en matière... Je possède tous les attributs d'une mère de famille rangée. En couple depuis 25 ans et heureuse maman de charmants enfants, je pourrais aisément être qualifiée de petite bourgeoise, qualificatif que je ne renie d'ailleurs pas. Physiquement, je fais beaucoup plus jeune que mon âge. Mon minois est agréable, d'après les compliments que je reçois régulièrement de la part de personnes des deux sexes. Brune à la peau matte, j'ai les cheveux très longs. Je suis plutôt petite, mais bien proportionnée. Mes formes sont généreuses et attirent le regard. Ma poitrine affichant naturellement un arrogant 85D, j'ai longtemps eu l'impression qu'elle était beaucoup trop grosse... mais à une époque où certaines dépensent des fortunes en implants mammaires, j'apprécie aujourd'hui, bien plus qu'à vingt ans, les atouts dont j'ai été dotée.  Perchées au sommet de jambes bien galbées, mes fesses sont rondes, rebondies et, je crois, appétissantes. Mes pieds sont petits et fins et apprécient les sandales qui les mettent bien en valeur. Vous l'aurez compris, je suis assez coquette et soigne toujours ma tenue lorsque je sors. Même en mode "décontracté", je choisis des vêtements qui se combinent parfaitement. J'aime les bijoux et les accessoires féminins.  Après être passée par tous les stades vestimentaires (fashionista, classique, chic, casual...) je m'amuse à présent à jongler entre les styles et peux porter dans la même journée un tailleur strict puis un short en jean... Ma vie intime est également contrastée voire paradoxale. En quête d'affection et de tendresse, j'ai connu des relations cahotiques avant de me "caser". Ayant du mal à assumer mes errements passés,  j'ai cherché à composer un personnage "bien sous tous rapports", ce qui a longtemps entravé mon épanouissement car je bridais ma sensualité et refoulais mes désirs. Jusqu'à ce que la crise de la quarantaine nous plonge dans une remise à plat de notre vie de couple, je me cantonnais dans les rôles de la bonne épouse et de la bonne mère,  feignant de n'avoir ni désirs ni fantasmes... Mais des événements ont fait éclater ces apparences trop sages. J'ai dû reconnaître que j'étais moi aussi tiraillée par mes instincts, mes pulsions, mes besoins et que la séductrice que j'avais été sommeillait en moi et ne demandait qu'à se réveiller. Ainsi, à la quarantaine bien tassée,  j'ai ré-appris à laisser ma sensualité s'exprimer, à assumer la part animale de ma féminité et à jouer ostensiblement de mes appâts pour satisfaire mon envie de plaire. Encouragée par un mari qui voyait là le moyen de sauver notre couple en reconstruisant notre relation sur des bases plus saines, plus sincères, plus complices, j'ai petit à petit entrepris de concilier ma soif d'érotisme et mes obligations sociales et familiales. Ce ne fut pas facile tous les jours, car la tentation de me replier et de retourner dans mon jardin secret revient parfois. Mais je suis motivée et je m'efforce de m'assumer de plus en plus. ...à suivre.
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Par : le 05/05/24
. Sentir l'étirement, le pincement, la pression.. Du léger picotement, à la douleur stridente.. De la respiration haletante, à la retenue de ne pouvoir hurler.. Jamais plaisir plus grand ne m'a permis de me sentir aussi bien, possédée par la vie qui m'étreint. Calomniés par l'effleurement des caresses des hommes, évoquant en eux ma douceur, et honorer un idéal de noblesse qui les incombe.. Ces mamelons, ne sont auréolés que par la disgrace d'être triturés et malmenés. Me sentant frustrée d'être à chaque instant responsable de veiller sur eux, seules mes pinces, mes ongles, et la douce vision horrifique des poids lourdement portés par des inconnues sur internet, instiguent encore en moi un sentiment de réconfort.. Face à l'incompréhension d'une femme qui n'obtient pas ce qu'elle a envie et besoin. En soi : Pas grand chose. Un quotidien qui tourne à l'obsession, de s'infliger une punition à s'exploiter soi-même, Et ne prétendre qu'à l'espoir qu'ils servent sans ménagement les pulsions d'un mâle, aiguisés par ses instincts apte à les utiliser naturellement. Une ferme prise en main de ma poitrine, compressée à l'extrême, voulant sentir mes tétons se tordent, se contorsionner, devenir vulnérables.. sous l'exercice de doigts habiles et sévères. Contraindre ce barrage, et le soumettre à la pression de pouvoir enfin céder.. Dans un geyser hors de contrôle, jaillissant de mes paupières gonflées, honteuse d'obscénités et de redevabilité, de pouvoir libérer dans des spasmes grotesques et inarrêtables, ce canal onctueux et généreux d'entre mes jambes. M'arracher une complainte lancinante, où la douleur et le plaisir ne font plus qu'un, et où je ne m'appartiens plus.   La suite à vivre sous mon appartenance, ChatMOnYou. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/9393/Esclave-Domestique-:-3-R%C3%A9veils-ordinaires -> Esclave Domestique : 3 Réveils ordinaires.
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Par : le 04/05/24
Je veux te voir lâcher ce rôle que tu tiens devant tous et qui te coûte tant. Je veux te voir abandonner ce fardeau que la société t’as mis sur les épaules. Que ton corps se réveille, et que ton cerveau lâche le contrôle, au moins pour un instant. Que sous les coups de ceinture, ton corps se tende, tes fesses se dandinent, ta peau frissonne, appelant à plus, toujours plus. Que ta tête se redressant d’un coup et ton souffle saccadé m’indiquent quand je m’approche du but. Pour que finalement tu lâches et tu t’écroules sur la table, des larmes dans les yeux, mais le sourire aux lèvres. Heureuse d’avoir pu enfin t’abandonner, lâcher prise un instant, un court instant, cet instant qui sublime tous les autres... (image du net)
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Par : le 04/05/24
Cette nuit. Douceur absolue. J'ai le bonheur de faire la rencontre d'une personne qui me touche. Je me refais nos échanges en boucle dans ma tête. Son imagination m'a émoustillé. Je me refais le film, je m'endors. Rêve incroyable!! Mon imagination a très bien travailler. Mes rêves sont la continuité de nos échanges!! Douceur !!😇 Chaleur! Me voilà sorti de mes songes dur!! Très dur! Haletant et déboussolé ! Un peu humide même... Je reprend mes esprits et me rend compte que ce n'est pas mon lit, pas chez moi... Je regarde auprès de moi, j'y trouve des pieds divins. Je suis donc aux pieds de quelqu'un... Ma curiosité me pousse à découvrir à qui appartiennent ces pieds. Je remonte donc délicatement toujours très dur... Je découvre avec délice un long corps. Des jambes interminables d'une douceur que je ne peux me retenir de carresser de ma joue, mes lèvres. Mes lèvres carressent ce corps de plus en plus haut. Une fleur que je préfère laisser tranquille. Je ne sais toujours pas qui j'ai le bonheur de goûter. Un nombril mignon me fait un clin d'œil sur mon passage. Une jolie petite poitrine dont les tetons sont fièrement dressés. Ce doit être la fraîcheur nocturne... Voilà que mes lèvres rencontrent un cou que je me suis plu à imaginer mordre. Je commence à comprendre. Je me redresse et devine dans la semi obscurité un magnifique sourire dont je connais la malice. Un œil s'ouvre légèrement sur un iris perçant. Me voilà figé par cet œil! Une voix magnifique, suave... JOUJOU! Au pied!!!!! Je gémis. Cet ordre... Je m'entend répondre : Dame, j'ai rêver de vous. On me retorque: Tu es dur?? Ma réponse ne fut qu'un gémissement acquiesseur... Le second œil apparaît avec une lueur d'envie dans le fond du regard. J'explique: Dame, j'ai rêver de vous et c'était bon. Je suis humide de désir... Cet œil se durci, l'ordre fuse ! ALLONGE TOI!!! Cette voix suave qui claque dans la nuit ne me laisse pas le choix. Je m'allonge donc avec soumission. Je crois que l'être divin que j'ai réveiller tiens à reprendre le plaisir que je lui ai voler dans mes songes. Je sent du cuir froid autour de mes poignets... Il se réchauffe très vite tellement ils sont serrés. Ce même cuir sur mes chevilles. Douleur chaude et prometteuse. Ma Déesse passe ensuite une lanière de lin avec minutie dans chaque anneaux de mes liens. Je me délecte de sentir son parfum de fleur à chacun de ses passages prêt de mon visage. Sa voie suave me demande si je suis prêt. J'acquiece en gemissant. Cette domination si douce m'enlève tout les mots de la bouche. D'un geste habile et grâce à la minutieuse préparation de ma Dame, tout mes membres se retrouvent liés entre eux. J'attrape donc mes chevilles avec les mains, c'est tout ce que je peux faire. Ce sourire de contentement de ma déesse me rempli de fierté. Elle est fière d'elle et me glisse à l'oreille.. Bon Jouet! Je fond!! Elle me crache au visage pour me faire comprendre que je vais servir. "Tu n'as pas le droit de jouir sans moi!!! Tu es donc puni pour ça!!" La violence de ces propos contraste avec la douceur de cette voix dans laquelle j'entends de l'amusement. Je ressens un nouveau sentiment indescriptible... Mélange de fierté, d'appartenance... Mon corps est tremblant. Nouvelle pluie de salive sur mes lèvres. C'est bon!!! Voilà maintenant une fleur qui s'offre à mes lèvres. Ma Dame veut jouir. Elle m'ordonne de lui rendre l'orgasme que j'ai pris dans mes songes. Je m'y attele avec toute mon âme. Ma langue est en émoi. C'est si bon, chaud, floral. Je sens avec délice le corps de cette déesse faire des vas et viens sur mon visage. Je suis dur c'est intenable... ma Dame le sent et gifle mon intimité en m'ordonnant de me retenir! Ses mouvements divins se font de plus en plus intenses. Me coupant le souffle par moment. Dame gémis. Moi aussi! Nouvelle gifle sur mon sexe. Ses mouvements s'amplifiant, ses gemissements se transformant en cris... Mon bonheur est total! Ma Déesse jouie !!! Me voilà humide de son bonheur!!! Délicieuse pluie odorante sur mon visage! La fierté d'un devoir de jouet accompli. ma Dame se repose sur le côté. J'aperçois avec délice ses yeux gratifiants. Je bratte en lui demandant si je peux lui en offrir un autre avec mon sexe... Elle rit! Qu'il est beau ce rire!!!! Elle s'en va me laissant attaché, dur, souillé de son plaisir. J'entends sa douce voix : Pour ta prétention, j'en veux un autre, mais ton sexe restera inutile!! Je le prend comme je le veux!!! dit elle en me bâillonnant avec un sexe en plastique... Je gémis. Je gémis. Je ne peux faire que ça. Je m'abandonne à ses désirs si doux qui me transcende ! La voilà de nouveau assise sur mon visage!! Cette fois ci elle se fait pénétrer par un jouet qui prend naissance dans la bouche de son autre jouet. MOI!!! Quel délice de faire équipe!! Ses vas et viens incessants avec cette fleur si proche de mon regard me rendent fou... Elle le sent et me gifle de nouveau le sexe. Ses courbes idylliques se mouvant tel les vagues qui frappent une plage.... Ses gemissements doux comme des nuages... Sa peau habillée de la fraîcheur nocturne... Ses vas et viens sont pour moi le rythme de l'amour pour son jouet sur une symphonie de plaisir partagé! Sa main frappant mon sexe avec plus de vigueur, sa fleur frappant mes lèvres avec plus d'intensité. Mes joues se remplissent à nouveau de sa pluie d'amour. Ses cris se mêlant à mes gemissements. Son amour me coule dans la nuque... Elle continue de plus en plus fort, et avec ses hanches, et avec ses gifles si bien jetées sur mon sexe... Quel bonheur d'être le jouet d'une déesse ! Elle hurle de plaisir!!! Me voilà inondé!!! Son bonheur étant le mien, je jouis à mon tour... Elle cris de plus belle. Je gémis encore plus fort. Nos bonheur partagés, j'entends un doux "merci Joujou" tu as bien travailler. Fierté non dissimulé !! Elle défait doucement mes liens pour se blottir au creux de mon épaule. Elle s'endort avec douceur, son souffle dans ma nuque. Ses paroles résonnent dans mon esprit "merci joujou" je m'endors donc à mon tour avec le sentiment d'appartenance si doux... Mais mon réveil sonne... Je viens bel et bien de rêver... Douce frustration... Mes draps s'en souviennent... J'espère m'en souvenir longtemps…
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Par : le 03/05/24
Bonjour Mesdames, bonjour Messieurs, Que fais-je pour me sentir soumis sans appartenir à quiconque ? Hier après-midi je suis allé au sauna libertin de Brive-la-Gaillarde. C’est un sauna assez petit mais très propre dans lequel il est extrêmement rare de voir une Femme. Il est considéré comme un sauna gay par les habitués dont je fais parti. je portais mon ballstretcher pour la cinquième journée consécutive. Une fois arrivé, je prends une douche et me dirige vers le hammam devant lequel des serviettes aux portes manteaux laissaient supposer de la présence. Quatre Hommes étaient là. Deux mâles alpha assis jambes écartées et deux lopettes à genoux en train de les sucer. lopette, c’est ce que je suis lorsque je veux me sentir soumis au sauna. Je m’assaillais entre les deux Hommes et regardais tour à tour à droite et à gauche les lopettes sucer avec gourmandise. j’étais un peu jaloux car la fréquentation était faible. Assez rapidement la suceuse à ma droite s’est relevée pour sortir du hammam, il n’est pas toujours facile de sucer dans cette atmosphère. je posais donc ma main droite sur le genoux de l’Homme délaissé, puis en l’absence de signe contradictoire prenais la place à genoux devant lui. Il avait une belle queue comme je les aime, un beau diamètre sans être excessif et environ 15 à 16 cm de long. J’aime sucer lentement en promenant ma langue le long du chibre en même temps que mes lèvres serrées entament un va et vient. Manifestement ma façon de faire plaisait à mon partenaire qui poussait de petits soupirs, posait Ses mains sur ma tête en de délicates caresses et m’affligeait de compliments tels que « c’est bon salope continue ». je ne risquais pas de m’arrêter tellement les balancements du ballstretcher au rythme de mes sucions me faisait du bien entre jambes. La porte s’ouvrit deux fois pendant que j’étais occupé à donner du plaisir. Je me cambrais alors un peu plus à chaque fois pour que le nouveau venu voit bien la chienne que je suis en plein travail. Je commençais à souffrir de l’atmosphère chaude et humide mais résistais du mieux que je pouvais lorsque l’Homme assis devant moi se leva et interrompit la fellation que je lui prodiguais. Je sortais moi aussi du hammam pour aller prendre une douche rafraichissante. Il y avait peu de monde, je faisais un tour du côté des cabines et de la salle vidéo qui étaient tristement vides. Je me décidais à rejoindre dans le jacuzzi un Homme manifestement de plus de cinquante ans aux traits longilignes. Je prenais soin avant de poser ma serviette, de lui demander si je pouvais le rejoindre. Je m’installais en face de lui décalé sur sa gauche, une jambe posée au fond du jacuzzi au plus prêt possible de lui, l’autre écartée au maximum de ce qu’il était possible de faire. J’aime, lorsque je suis au jacuzzi, montrer que je suis une femelle en chaleur. Je restais un petit moment dans cette position sans rien faire, profitant des jets d’eau les yeux fermés. Mon compagnon de baignade ne bougeait pas, je posais une main sur sa jambe, sur son mollet, sur sa cuisse. Je le caressais très sensuellement un petit moment avant de venir effleurer sa bite qui était déjà bien dure et fièrement dressée. Il ne bougeait pas, il n’y avait pas de réciprocité dans les caresses. Je me sentais alors véritablement pute en train d’essayer d’amener un client à moi. Mes efforts finirent par être récompensés lorsque je senti ses doigts se poser sur ma cuisse. J’écartais les jambes au maximum et poussais mon bassin en avant en même temps que je soupirais de bonheur. mon ballstretcher tirait mes couilles vers le bas, Ses doigts s’agitaient sur mon clitoris qui avait du mal à durcir. Il s’aventurait sur mon périnée, j’avais peur que le contact du ballstretcher le stoppe comme c’est quelquefois le cas. Non, Ses mains se posaient sur la peau tendue de mes noisettes et je balançais mon bassin d’avant en arrière en espérant qu’Il pousse Ses caresses jusqu’à l’ouverture de ma grotte intime. Ce ne fut pas le cas. Ses caresses et les miennes nous prodiguaient à tous deux un plaisir bien visible jusqu’au moment où il se leva et sorti du jacuzzi sans mot dire. J’attendais quelques minutes et faisais de même. Quelques clients étaient entrés mais ce n’était pas vraiment la foule. Je m’installais dans une cabine face à la porte grande ouverte, adossé au mur les jambes grandes écartées en attendant le client. mes mains caressaient délicatement ma poitrine et mes cuisses, ma langue se promenait sur mes lèvres lorsque quelqu’un passait devant la cabine, je mettais le bout du doigt sur ma tige molle et l’amenais à la bouche en une sucions provocante. j’étais pute tout simplement mais le client ne venait pas. Les mêmes têtes passaient dans un sens puis dans l’autre sans aucune touche. Deux Hommes regardaient un porno gay en se masturbant. Ils arrêtaient leur mouvement lorsque je m’approchais. je commençais à croire que ce n’était pas mon jour d’autant que les quelques aller retour que je faisais entre la hammam, la sauna, le jacuzzi et les cabines restaient stériles. je m’accordais donc un moment de détente et ne me consacrais plus qu’à moi-même. j’étais au sauna lorsqu’un beau brun, jeune, un peu ventru est passé devant la porte vitrée pour aller au hammam. Toutes les salopes du sauna étaient derrière Lui. j’en profitais pour m’installer seul dans le jacuzzi et profitais des différents jets pour me faire masser. Les yeux fermés, jambes largement écartées, je profitais. C’est alors que le beau brun est venu me rejoindre. je Lui ai fait une place et nous nous sommes installé tous deux jambes allongées en croix, les miennes au dessus des Siennes. Comme à mon habitude, j’attendis quelques courts instant avant d’effleurer sa cuise de la paume de la main, puis sans réaction de Sa part je me lançais dans de délicates caresses sur Sa cuisse, Ses testicules et Son sexe qui devint vite bien dure. Il ne bougeait pas profitant des caresses de la pute qui était dans le jacuzzi avec Lui. je massais avec application le membre viril, en décalottant lentement le gland, en titillant du bout des doigt le mea urinaire et le frein au prépuce. j’avais toujours les jambes largement ouvertes quand sa main s’immisça sur ma nouille toute molle. Il me caressait la peau tendu des couilles qui supportaient le ballstretcher, je poussais des soupirs de bien être. Sa main se balada un long moment de mon clitos à mes couilles avant de descendre un peu plus bas, à l’entrée de mon cul que je tendais pour l’offrir dès le premier effleurement. Il me fit mijoter de longues minutes à m’exciter de la sorte avant que je ne sente un doigt forcer l’entrée. j’étais totalement offert. Son index fut rejoint par son majeur et je me suis fait labourer le fondement de cette manière un long moment pendant lequel mon corps se crispait sous les jouissances prostatiques. je n’étais plus que plaisir à chaque fois que Ses doigts entraient et sortaient de mon petit trou d’amour. Il me proposa d’aller en cabine. je le suivis. Il s’assit sur la banquette de la cabine vouée aux exhibitionnistes, sans porte et avec une fenêtre de l’autre côté. je m’installais en face de lui et Ses doigts reprirent leur place au plus profond de moi. j’ondulais, je me cambrais, je criais, je chancelais sur mes jambes tremblantes, excité encore plus par les quelques mâles voyeurs qui se branlaient en profitant du spectacles. Sur une explosion de jouissance plus forte que les précédentes, mon partenaire se retira après m’avoir demandé si ça allait. je le remerciais et allais m’étendre dans une autre cabine pour me reposer un moment. j’étais allongé sur le ventre, jambes écartées et je récupérais de mes orgasmes successifs quand une main se posa sur mes couilles pour les tirer en arrière. Quel pied ! Quelqu’un qui voulait me traiter comme je le méritais. je tournais la tête et reconnu le beau brun revenu me tourmenter. Deux doigts enfoncés en moins en train de faire des va et viens, son autre main qui me tirait les couilles, j’étais aux anges. Mes spasmes reprirent de plus belle. La main qui torturait mes testicules les lâcha. Du coin de l’œil je vis qu’il mettait une capote. Sa bite se pointa à l’entrée de mon cul, il poussa et pénétra en même temps que je criais. Il me ramona un long moment à des cadences variées, avec de grands coups de boutoir et quelques claques sur mes fesses. Il se retira soudain sans avoir poussé le moindre cri de jouissance et déposa sa capote dans la poubelle avant de partir. Encore une fois je le remerciais avant de récupérer Son sperme et de me l’étaler sur le visage en masque de beauté. Je restais un moment à récupérer avant d’aller prendre la douche et rentrer chez moi. Merci encore une fois à Vous beau brun !
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Par : le 03/05/24
J'ai écrit pour toi pendant 3 mois. Après chaque séance. Je voulais écrire une dernière fois. Cela fait 1 semaine que j'attends ce moment. Il est 11h, je l'attends impatiemment.  Celui qui était mon Maitre il y a encore 9 jours. Mon bon Maître. Depuis 9 jours j'avance seule. Funambule sur un fil sans filet pour adoucir la chute. Je peux tomber à tout moment. Mais je m'en sors bien. Ce matin en me réveillant, j'ai senti que j'allais mieux, que je serais capable de le voir, de parler avec lui, sans larme. Enfin il arrive, à peine a t'il franchi la porte que je me jette dans ses bras. Je ne veux plus jamais en sortir. Plus jamais. Je ne veux pas les quitter. Je respire son odeur comme pour la capturer et la garder pour toujours. Les larmes montent.  Je lutte, résiste, les retiens.  Je ne veux pas pleurer. Je tiens. Plus ou moins. A l'endroit exact où il m'a embrassé la première fois. Cette fois où j'étais terrorisée que cet homme s'approche de moi. Maintenant je ne veux plus le quitter. Je cesse le combat. Je pourrais pleurer des heures. Tout revient à ma mémoire.  Et plein d'autres choses encore. Je pleure pour tout ce que j'ai perdu, contre lui, dans ses bras, où je me suis toujours sentie protégée. Est ce que je retrouverai un jour un tel sentiment de sécurité ? Quelques minutes plus tard, un café,  un thé,  sur le canapé je retourne dans ses bras. A la fois si proche et si inaccessible.  Comment exprimer tout ce que je voudrais lui dire ? Mais en fait il n'y a plus grand chose à dire. Il me conseille de trouver quelqu'un.  Quelle erreur. Rien ne saurait me desservir plus que ça.  Il s'inquiète pour moi. Alors qu'il revienne! "Tu mets trop d'énergie dans cette relation ". Je n'ai pas compris cette phrase. Il a fait de moi sa soumise. Il était mon Maitre, celui qui décidait de tout. Celui qui avait ma vie entre ses mains lors de nos séances.  Comment pouvais-je mettre trop d'énergie? C'est justement parce que  l'énergie me quittait que je l'ai perdu. Non, vraiment je ne comprend pas ce que cela signifie. Dans ses bras, je finis par lâcher qu'il n'avait pas le droit.  Pas le droit de changer d'avis comme il a fait. Petit con ! Je me sens alors mieux. Beaucoup mieux.  Il faut croire que j'avais vraiment besoin d'exprimer cela à haute voix. De lui dire en face. Je me relève,  il me suit.  A nouveau debouts dans l'entrée,  je retourne dans ses bras. Il attrape et tire mes cheveux. Geste réflexe qui ne dure pas, mais tellement ancré, tellement normal, qu'à cet instant je trouve absurde et incohérent que la suite ne vienne pas.  Je veux une dernière fois. Il trouve cela inutile, insensé. J'obtiens un dernier baiser. Pour la dernière fois je peux goûter ses lèvres, sentir sa langue, sa main dans mes cheveux. Dernier baiser. Tellement incompréhensible. Mon cerveau ne comprend toujours pas. N'intègre pas. Pourtant je le sais, j'ai perdu mon Maitre. Il me dit de le détester si cela peut m'aider. Quelle horreur! Jamais je ne pourrai détester mon Maitre ! Il m'a initié,  m'a éduqué, m'a faite évoluer. Qu'il le veuille ou non, il sera toujours mon Maitre. Je reviendrai toujours s'il me le demande. Si un jour la danse reprend. Mais aujourd'hui la musique s'est éteinte,  la danse s'est arrêtée.  Je dois réapprendre à marcher. Sans tournoyer,  sans valser. Juste marcher. De manière si conventionnelle,  si ennuyeuse, sans lui pour égayer,  alléger le quotidien. Sans mon Maitre pour me guider dans la ronde. 
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Par : le 03/05/24
Les jours suivants, une espèce d'écrin s'est installé, tendre, doux, comme un grand voile de soie. Dès que nous étions libre de nos obligations, à la sortie du travail et moi du lycée, une seule idée, être ensemble, je ne pensais même plus à trainer avec les copines, aux sorties du samedi, d'ailleurs je n'ai pas échappé aux commentaires du genres " on ne te vois plus, tu réponds pas aux messages, t'es amoureuse, il est comment, tu l'a déjà fait avec lui, tu peux bien nous raconter, c'est ça, t'es toute rouge, hahaha ! " je n'avais qu'une envie c'était de rentrer. Bien avant eux à la maison, je sautais sur mes cours pour terminer au plus vite. Un petit maquillage, un peu de parfum, j'adorais celui de Julien "Eau Sauvage" je recherchais le sourire, le commentaire, tous les soirs ne se ressemblent pas et parfois, un peu triste. Difficile à cet âge, tout change, le corps, les envies, la vie de chaque jour, parce qu'on a évolué et sauté quelques étapes mais j'étais encore un gamine, juste une ado  avec un peu d'avance , qui avait encore beaucoup à apprendre. C'était un de ces soirs où je rêvais du "Prince charmant " bien plus entreprenant que dans le comte, que ma sœurette se glisse sous ma couette, comme souvent, blottie dans mon dos, des frissons partout, à voix basse, Lydia me demande un coup de main pour le cadeau de St Valentin de Julien, en vrai,  " j'aimerais lui faire la surprise de sa vie et je pense avoir trouvé la merveille, qui en a envie aussi depuis longtemps" je suis passée de la douce chaleur de nos corps à la sueur de la trouille d'avoir compris qui était le cadeau 🎁 surprise. Jusque-là les caresses, les baisers et les doigts inquisiteurs suffisaient à ma curiosité mais là... Il faisait très chaud sous ce duvet, wouha. Je laissais échapper un "oh non" . Attends je t'explique: " nous allons souper au restaurant tous les trois, j'ai réservé, aussi au cabaret, après la soirée, on rentre à la maison, je préparerais les petits 📦 sur la table du salon à ouvrir après la soirée. On rentrent, comme d'habitude, on se déshabillent, on passent à la douche. J'ai achetais du ruban 🎀 en velour rouge, il est dans le tiroir des strings, je viendrais t'aider, pour faire de jolis nœuds à tes chevilles, aux poignets, autour de ta taille et à ton cou. Le reste sera noué au ruban à ton cou, dans son petit paquet cadeau il y aura un petit mot disant, qu'il lui faut trouver, le bout de ruban rouge au salon, il le trouvera près de la porte de ta chambre et devra le tirer, tu va sortir de ta chambre avec ta mine de petite souris et je lui dirais que mon cadeau de St Valentin c'est toi, j'aimerais que tu dises que nous lui offrons ta virginité en gage de notre 💘 que tu ne veux personne d'autre pour la première fois. On a un mois pour te préparer et je serais avec toi, je te tiendrais la main si tu as peur, je vais te montrer en détails ce que tu devra faire, Julien n'est pas un sauvage et tu sais qu'il t'adore, il a respecté sa parole quand vous étiez seul non? Je peux pas faire ça, il va se moquer de moi, je ne suis pas aussi jolie que toi, je n'y connais rien et je ne saurais pas quoi faire ni quand... Pas de panique, tu en as envie je le vois bien, on t'entend glousser le soir dans ton lit, depuis quelques semaines tes petits seins on prit du volume, tu es parti plusieurs fois au lycée sans culotte avec ta jupe plissée, j'espérais que tu n'avais pas un copain trop entreprenant... Non j'ai personne, juste exitée de sentir l'air sur ma vulve, je te jure rien de plus. Tu ne peux imaginer la peur et l'envie qui me brûle en même temps, tu sais, je vous aime mais suis complètement perdue, si j'ai mal ? Terrifiée ? Si je saigne et la honte de salir partout ? Je vais mourir. Non je te promets, on va tout voir ensemble, la seule chose que tu dois supporter c'est le passage de fille à femme, être déflorée, une minute de douleur avant un immense plaisir, je vais t'aider en préparant l'entrée pour limiter le côté pénible. Et d'ici là rien ne t'empêche de continuer avec 2 doigts... Même si je te tiens la main, tu dois lui appartenir entièrement toute la nuit et je te guiderai, penses y, pour nous trois, accepte ma Choupette 💋💝
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Par : le 02/05/24
Châtiée, à cru et à cuirs - partie III Toilettage canin de Luxe   Un bruit. De la lumière. Une cloison a coulissé.   Allongée, je fais semblant de dormir, les yeux clos, juste un rai de vision. Respiration lente.   Deux paires de sabots de bloc opératoire verts. Des pieds féminins. Un pantalon vert, des jambes nues.   " ... Le Setter irlandais est trop commun, trop gentil. Elle veut une chienne de garde et d'attaque. La bête est taillée pour. Belle bête. Peut-être un peu trop grande. Une vraie rousse. Faut choisir une race rouge. Faudra garder du pelage rouge aussi. Une chienne rouge de Hanovre ferait l'affaire. Mais celle-ci est vraiment puissante, athlétique, bien bâtie. Du muscle.  Une Chienne rouge de Bavière, elle est parfaite. Ce sont des chiennes obéissantes. Sa Maîtresse veut de l'Obéissance, une vraie obéissante. Physiquement, elle convient, au top du muscle! Le dressage sera intéressant. très intéressant. Fermeté, douceur et sanctions sèches. Il faudra pas mal de séances et de séjours ici. Allons-y. La Maîtresse sera contente. En attendant, tire la de là et fais un toilettage complet. Tu me l'amènes après."   La porte grillagée d'acier s'ouvre, silencieuse, la chaîne d'acier tire sur "mon collier". "Avance la chienne, à quatre pattes".   Obéissante, j'avance, maladroite, contractée sur mes mains et les genoux, sur le carrelage dur.   "Stop". Je m'arrête.   La femme s'agenouille et commence à me caresser. Des doigts longs, fins, secs. Des mains douces et chaudes.   Les doigts fouillent mes cheveux, longs, défaits. Les mains lissent à plat les muscles, dos, flancs, cuisses, bras. Elles dessinent le cou, le buste, les seins. Elles s'attardent sur le ventre.   "Aboie ma chienne". J'aboie. "Oui, continue". Je continue. Une main se glisse sous mon ventre, une main se glisse entre mes cuisses. Elles caressent la vulve, le pubis, les lèvres, le clitoris. Elles écartent les petites lèvres, les doigts pincent le clitoris. j'halète. Ma honte mouille mon sexe, ma vulve mouillée me rend écarlate.   "Aboie". J'aboie, les yeux fermés, le ventre mouillé, ouvert.   J'explose dans les aboiements, mes aboiements. Explosion d'un orgasme de chienne.    volcans de soleil explosion d'étoiles chaos de lumières    .../...   j'erre entre nuages et mers alanguie abandonnée nuages ivoire et gris ciel bleu pâle mers vert de jade violet et pourpre la douceur de la brosse étirant mes cheveux m'endort odeurs d'herbes et de lavande   Une main retire l'Oreiller d'herbe, ma tête mise délicatement sur le sol. Elle décroche rapidement mon lourd collier d'enchiennement ; défait les bracelets des chevilles et ceux des poignets.    Privée de mon collier, je me sens dénudée, je suis nue.   Les doigts griffent derrière mes oreilles, la nuque, le haut du dos, le bas de la colonne vertébrale. "Ca t'as fait du bien. Peut-être manques-tu de caresses. A voir".   "A quatre pattes, avance derrière moi. A la toilette".   J'avance, un panneau glisse : un large box carrelé du sol au plafond.   Les mains écartent mes cuisses, curieusement docile je me laisse faire. "Oui, bien ouverte, c'est bien". Les mains appuient sur mes reins "Bien cambrée ma chienne". Un bruit, un frottement, j'aperçois une bassine rose sous mon ventre, entre mes cuisses. "On ne bouge plus". La canule pénètre mes reins. "Doucement".  Le fluide tiède me prend, envahit mon ventre, mes intestins. Je suis tendue, inquiète.  Je gonfle, attiédie.  "Un bon énema, un bon lavement pour la chienne". La canule sort. Un claquement, un deuxième claquement. Deux mains gantées massent mon ventre. Lentement. Je me sens grossie, pleine. Les mains pressent. Vidée, brutalement, libérée. Mes yeux pleurent un peu.  Mes reins sont offerts, je me sens offerte, je me cambre. Inquiète mais désirante contre mon gré.   Le jet d'eau frappe mon corps et fait résonner ma peau, elle est chaude. "Le lavage pour commencer". L'eau s'arrête. Le savon liquide est froid. Il est étalé partout. Rapidement. Le rinçage est bref, il pénètre les recoins, même les plus intimes. Mon ventre ondule, discret, en silence. Je suis ravie, aux sens propre et figuré. Je me livre à ces soins, sans défense.   "Ferme les yeux". Le shampoing est rapide. Le rincage long, il se conclut à l'eau froide, je frissonne ; elle rit. "Beaux cheveux!". Je pense à ma Maîtresse, elle me manque.   Le peigne défait mes cheveux, lent, précis, ubiquitaire. Je tremble de plaisir. La brosse à cheveux descend, revient, un travail en finesse. Je suis disponible, mon ventre mouille, mes tétons pointent, mes joues chauffent, mes cuisses aussi.Le plaisir du brushing me domine, doux et puissant. La peeling avec une brosse en alufa m'échauffe, il est interminable, ma peau exfoliée, mise à vif, mon corps frotté, échauffé partout, comme impitoyablement, le dos, le ventre, les seins, devenus lourds et douloureux, les cuisses, les bras, les jambes, jusqu'aux talons. Je tremble, je gémis.  violentes, deux claques sur les fesses, étalée à plat ventre je jouis, une jouissance lente, répétée, répétée. "Aboie". J'aboie, aboiements signes de mon plaisir. Elle rit; Un rire fin. Je suis heureuse, libre.    J'attends, rassasiée, pleine d'un érotisme rare. Elle me retourne. Sa poitrine s'impose à moi, dans l'ouverture de sa blouse médicale verte. Petits seins, ronds, élégants, la peau ambrée, le grain très fin. Des tétons bruns sombres, courts, en érection, rehaussés d'auréoles étroites, plus claires. L'envie me surprend., fascinante. Je la désire. Son visage est beau, coréen sans doute. Elégant, sobre, cultivé aussi. Un maquillage sobre. "On va préparer les griffes." Elle coupe rapidement, avec sécheresse mes ongles, les mains, les pieds, presque à ras. Je surprends l'inscription "Jiwo, Dr vétérinaire", brodée en noir. Elle retire rapidement, le vernis, surprise, je m'affole un peu. Elle me regarde. L'ordre est immédiat: "A quatre pattes".   Un moteur rapide s'impose dans le silence. Une main remonte mes cheveux, le rasoir électrique brûle la nuque. Je crie "Non". Elle rie "Je rase ta nuque. Interdit de parler ; tu seras punie pour ça". Le rasage est haut sur la nuque, je le sens, inquiète et honteuse, ainsi : le rasage de ma nuque se remarquera. Ma servitude exposée sans fard aux "connaisseuses".    Le silence s'installe. "Cesare Beccaria l'a dit : la meilleure politique pénale de prévention consiste à appliquer des peines certaines et immédiates." "Cambre-toi".  Docile, je creuse mon dos, je pousse mes fesses. Je ferme les yeux. J'attends soumise ma punition "certaine et immédiate". "Ici tu fautes, tu es châtiée sur le champ. Proportionnellement. Si tu comprends, aboie deux fois." "Sur le champ", à quatre pattes, nue, la croupe offerte cambrée, j'aboie deux fois. Je n'ai ni honte, ni désir, je suis seulement obéissante. Ma fesse droite brûle, j'aboie. "Plus fort !" Une nouvelle brûlure, plus intense, les larmes me piquent les yeux, appliquée j'aboie le plus fort possible. "Bien. On va en rester là pour la première fois. La prochaine fois, en cas de récidive, ce sera, évidemment, une peine plus lourde. Aboie trois fois si tu comprends." Sans réfléchir, j'aboie trois fois. Sa main glisse entre mes cuisses, elle explore mes lèvres, mon clitoris, me pénètre de deux doigts, va-et-vient. Je tremble. "Et la punition te fait mouiller. Tu es de ces chiennes maso, ça confirme ta fiche".  Mon visage me brûle d'émotion, je redoute et j'ai besoin des châtiments corporels. La honte et le plaisir.  Mon ventre s'ouvre encore, chaud, liquide. Elle rit sans retenue : "Il faut intégrer ça à ton dressage".   Brusque, elle me retourne sur le dos. Excitée, j'envie sa beauté. Ses cheveux sont brillants, lisses, noirs, coupés au carré. "Pour les épilations, nous verrons là-haut ! " "Ce sont aussi des choix de transpéciations". Je suis intriguée.   Elle me retourne encore, à quatre pattes, lavée, brossée, exfoliée, baisée, docile. J'attends. Un mince collier emprisonne mon cou. Elle tire sur ma laisse. Je la découvre, assise sur le sol, cuisses écaté, sexe lisse offert. "Viens payer ton toilettage de Luxe". Obéissante, je m'approche, fascinée par la tête de jument qui orne son pubis, les deux étriers, l'un d'acier, l'autre en Or, qui ferrent ses lèvres intimes.   ma langue entrouvre ses pétales de  camélias grenat elle dresse son pistil des plaisirs je m'abreuve de ses miels mouillés de sa féminité  les jets de sa jouissance bruyante violente m'arrache un orgasme animal   à suivre   
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Par : le 01/05/24
La sonnette retentit dans l’entrée, je sursaute. Mon Maître s’interromps un instant, reprends quelques lents vas et viens dans ma bouche comme pour savourer encore un peu la sensation puis se retire et se rhabille. « Notre invité est arrivé ! » Sa voix est enjouée. « Je veux que tu termines ce que tu as à faire ici. Tu es toujours interdite d’accès au salon. Je te ferais venir quand je le déciderai. Quand tout sera prêt dans la cuisine, tu iras te doucher avec soin, tu mettras la tenue que j’ai choisie pour toi et tu patienteras à genoux dans l’entrée. C’est bien compris ?  Oui Mons… Maître ! Toutes mes excuses ! » J’ai encore failli l’appeler « Monsieur » ! Mon cœur bas la chamade et je n’ose plus lever le regard vers lui. « Je vais mettre ça sur le compte de la nervosité. File maintenant ! » Je risque un coup d’œil qui me confirme ce que me disais déjà le ton de sa voix : il est tout sourire. L’arrivée de notre invité semble le ravir au point de le rendre plus indulgent. Maître est déjà parti vers la porte d’entrée, je ne me fais pas prier pour galoper me cacher dans la salle de bain. Je referme la porte derrière moi et découvre la tenue que mon Maître a retenue pour cette soirée : ma robe noire moulante, celle qui dessine tous les contours de ma silhouette avant de l’abandonner à mi-cuisse et qui offre une perspective généreuse sur mes épaules et mon décolleté. Sur la robe, une paire de bas noirs autofixants avec un liseré de dentelles. Rien de plus, rien de moins. Au moment de me déshabiller, je prends conscience que le plug est toujours présent, délicieux intrus pour lequel je n’ai reçu aucune consigne. Le stress commence à sérieusement monter. Que dois-je faire ? Je l’enlève ? Je l’appelle pour lui demander ? Mais je ne peux pas le déranger pour ça… Je décide de prendre une grande inspiration et de reprendre le fil de ses consignes. Il ne m’a rien dit de spécifique vis-à-vis du plug. Donc il ne m’a pas autorisé à le retirer. Mais il m’a dit de me doucher avec soin… Le plus logique serait que je le retire le temps de me laver  et que je le remette en place. Oui, je vais faire ça. L’eau chaude qui s’écoule sur mon corps détends mes muscles et m’aide à reprendre un peu de contenance. J’essaie de me vider la tête au maximum et de me concentrer sur ma respiration pendant que je m’habille, me coiffe et me maquille à son goût. J’ai envie de trainer un peu dans la salle de bain pour retarder l’échéance, mais je sais que ce sera mal perçu par mon Maître alors je m’abstiens. Je dois faire bonne figure et me montrer digne de lui devant notre invité. Je sors de la salle de bain et m’en vais patienter dans l’entrée, à genoux. Ma robe est courte et mes jambes écartées dévoilent mon intimité qui déja se prépare. Mon ventre se serre, j’entends la voix de mon Maître et de notre invité qui discutent gaiement dans le salon. Ils semblent enthousiastes. La voix de l’autre homme me laisse supposer qu’il s’agit de quelqu’un de plutôt jeune, sans doute pas très éloigné de notre âge. Tant mieux ! Cela me rassure un peu. Maître sait que j’ai une appréhension à l’idée de rencontrer quelqu’un de plus âgé. Même s’il m’a bien prévenue qu’il attendait de moi que je puisse être baisée par absolument n’importe quel genre d’homme sur sa demande. Ce soir marquera le premier pas de mon éducation en ce sens… Maître ne me fait pas attendre très longtemps. Je sais que je dois conserver le regard vers le sol et je m’y oblige. J’aperçois tout juste la silhouette des mollets et des pieds de notre invité derrière ceux de mon Maître. Ne pas relever la tête ! « Oh elle est plus petite que je ne pensais ! Elle est mignonne. » Maître rit avec légèreté. « Haha c’est souvent trompeur les photos, c’est vrai. » Sa main se pose sur ma tête de chienne silencieuse et docile. Je savoure ce premier contact rassurant. Maître continue de parler de moi comme si je n’étais pas là : « C’est encore une jeune chienne, elle a beaucoup à apprendre, mais j’ai bon espoir qu’elle s’assagira avec le temps, l’éducation et l’expérience.  On est là pour ça ! La période de socialisation c’est primordial, plus tôt tu t’y prends, plus elle verra de mâles différents, et plus elle saura naturellement comment se comporter et sera sereine dans sa vie de chienne.  Exactement ! Je suis content que tu aies accepté d’être mon premier invité. J’ai envie que ça soit une bonne expérience. On va bien s’occuper d’elle. » J’assiste à leur dialogue en silence. Je suis malmenée par un flot d’émotions contradictoires. Me faire comparer à un chiot en période de sociabilisation me déstabilise profondément. J’ai l’impression de ne plus être humaine. Et en même temps, j’aime sentir cette main sur ma tête qui me rappelle que je suis sienne et qu’il est là pour moi. J’ai peur de ce que cette soirée me réserve, mais je me mentirais si je n’avouais pas aussi mon excitation. Excitation que mon corps ne sait cacher. Notre invité accompagne sa dernière phrase d’une caresse sur ma joue qui se termine sous mon menton, je frissonne. Je continue de regarder le sol. Maître ouvre un tiroir du meuble de l’entrée et en sort plusieurs objets que je ne vois pas. Un bandeau est passé sur mes yeux et noué derrière ma tête, coinçant une mèche de cheveux au passage. Je ne peux désormais plus voir à quoi ressemble notre invité ni ce qui m’attends. Paradoxalement, cela me rassure. Un sens en moins à gérer, c’est une quantité importante d’informations que mon mental n’aura pas le loisir d’analyser et de surexploiter. Il me semble que je me relâche un peu. Je sens ensuite que mon Maître me passe un collier autour du cou. C’est une sensation nouvelle. Je me sens tenue d’une manière que je n’avais jamais connu. Jusque-là, il n’avait jamais été question de collier entre nous, Maître considérant que la profondeur de la relation peut se mesurer autrement. Mais ça me fait quand même quelque chose. Je sens que l’on clipse quelque chose sur le collier puis une traction vers le haut m’intime de me relever. Je m’exécute. Je suis en laisse. Je suis vraiment en train d’être reléguée au rang de chienne…
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Par : le 30/04/24
Depuis que je suis née je suis soumise, oui ça peut être difficile à croire où pas mais c'est la réalité.  Je suis née dans une famille constitué d'un papa, d'une maman et d'un frère et une sœur. Une famille tout à fait normal en apparence, mais Mon père utilisait sont pouvoir d'homme de la maison pour faire du mal. J'ai mis beaucoup de temps à m'en rendre compte car j'étais une enfant, mais il pouvais s'énerver sans qu'il y ait vraiment une raison valable, à ces moment-là les coups fusées.  Je ne sais toujours pas comment exprimer ce que je ressentais à ces moment-là. La personne qui était censé me protéger était aussi la personne qui me faisait le plus de mal.  Pourtant j'ai essayé, j'ai tellement essayé d'être parfaite à ses yeux mais je n'ai jamais réussi.  Je n'ai jamais vraiment parlé de ce qui se passait quand la porte de la maison était fermée car à l'extérieur mon père était un homme parfait.  Beaucoup de gens l'aimaient, l'admirer car il avait une famille parfaite, oui je peux dire que ma famille était parfaite car les ordres étaient clairs quand on est à l'extérieur, on se tient bien, on parle correctement, on ne fait pas de vagues et nous l'avons fait ça toute notre enfance. À l'instant où nous mettrons un pied à l'extérieur, nous faisions tout pour cacher ce qui se passait à l'intérieur, tout le monde nous féliciter car dans les soirées où tous les enfants courent dans tous les sens, nous trois, nous étions gentiment assis à table sans bouger, sans rechigner, à attendre la permission de pouvoir faire comme les autres et ça m'a convenu car c'est très plaisant quand des personnes te disent que tu es bien élevé. Dans cette histoire, ma mère aussi était soumise elle ne le savait pas encore. Car elle était tellement sous son emprise qu'elle avait du mal à voir la réalité dans laquelle elle était. Moi de mon côté, j'ai grandi sous les coups. Je me suis forgée une carapace pour me protéger. Et avec le temps et l'adolescence qui est arrivé les coups on cessé.  À ce moment-là j'ai eu l'espoir de ne plus être soumise, mais après la soumission familiale a commencé la soumission sociale.  C'est celle qui dit qu'une jeune fille doit se comporter de telle ou telle manière, qu'elle doit être bonne à l'école, qu'elle doit penser à son avenir et qu'elle ne doit surtout pas faire honte à sa famille.  Pour cela je me suis efforcé durant de nombreuses années à essayer de rester dans la case qu'on avait dessiné autour de moi, j'ai parfois eu beaucoup de mal mais j'ai fini par y arriver.  Et je suis devenu une jeune adulte, à ce moment-là j'ai vraiment cru que la soumission allez enfin sortir complètement de ma vie, mais la réalité m'a rattrapé. On a commencé à me dire, si tu veux allé quelque part il faut avoir ton permis et je l'ai eu, après on m'a parlé de l'assurance et du gasoil pour cela très simple il te faut un travail, donc j'en ai trouvé un.  Et là je pensais avoir vraiment trouvé ma liberté mais je travaille, donc je suis libre mais que le weekend, et maintenant je dois travailler un weekend sur deux ce qui veut dire que je suis libre un weekend sur deux.  Mais quand je pense être libre c'est le moment de profiter pour faire ses courses, le ménage, voir les copines et passer du temps avec la famille. Le weekend se termine et je retourne travailler.  J'ai découvert la troisième soumission, la soumission de la vie d'adulte et du monde du travail.  J'ai rapidement compris que dans la vie la soumission est partout, tout le temps. Mais j'ai aussi compris que ça n'a jamais été ce que moi je voulais.  Plusieurs fois dans ma vie j'ai eu des pensées sur le style de relation que je voulais. Mais à chaque fois je m'efforçais d'oublier ses pensées car elles ne correspondaient pas à la société. J'ai essayé de m'informer et très vite les lettres BDSM on commençait à avoir du sens dans mon esprit, je suis tombé vers l'âge de 12,13 ans sur des vidéos assez explicite sur le sujet, à cette époque j'étais trop jeune et dans ma tête de petite fille je me suis sentie sale d'aimer regarder ce genre de chose j'ai donc arrêté. À l'âge de 15, 16 ans ses pensées ont persisté je me suis donc dit que ce n'était pas très grave je devais seulement en parler à personne pour pas que l'on puisse me juger. Et puis j'ai essayé, j'ai essayé d'oublier ses pensées là, de me convaincre que ce n'était pas ce que je voulais, et ses pensées venez repartait, pendant de nombreuses années et ça ne m'a pas dérangé.  Mais du haut de mes 22 ans je n'ai jamais réussi à être vraiment en couple, à trouver la bonne personne, la relation idéale pour moi. Quand je me pose la question, qu'est-ce que je veux pour moi, et qu'est-ce qui est bon pour moi, je ne trouve pas la réponse.  La seule chose que je sais c'est que j'ai essayé beaucoup de choses pour être heureuse, sur le moment ça me convient mais je me rendrai vite compte que ce n'est pas fait pour moi mais dans cette histoire, dans mon histoire il y a une chose que je n'ai jamais essayé et pourtant, c'est la chose qui me donne le plus envie. Le BDSM, le fait d'être qu'à une seule personne que j'aurais pris le soin de choisir, la seule et unique personne qui aura les pleins pouvoirs sur moi et sur ma vie, la personne qui me permettra d'explorer des parties de moi jamais explorer. Cette personne qui me fera lâcher prise. Alors oui aujourd'hui et pour la première fois de ma vie je choisis. Je choisis d'être une femme soumise.  
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Par : le 30/04/24
Je m'endors, mes dernières pensées vont vers mon Maître, je me réveille il en est de même. La nuit, je rêve de la vie qu'il me fait découvrir, et le jour je voudrais le satisfaire tout le temps. Cela pourrait être perçu comme de l'obsession.. en est-ce? Ou simplement l'excitation d'une rencontre aux saveurs inconnues, grisantes ? Prise de conscience de quelque chose de tellement complexe et en même temps si simple. Les règles sont prédéfinies, tout est clair dès le début. Pas de questions interminables concernant les sentiments. Respect et dévotion. 2 mots qui donnent le tempo, 2 mots qui suffisent à évaluer l'état de la relation. Alors que les lettres SM inspirent crainte et méfiance au 1er abord, il s'agit plus de sécurité et de limites infranchissables. Je  me suis déjà sentie bien moins respectée dans des relations vanille avec des hommes soit-disant attachés à moi. L'attachement. Ou privation de liberté non consentie, inconsciente. L'attachement qui incite à aliener l'autre pour assouvir son propre besoin de sécurité ; pour remplir son vide intérieur. L'attachement que l'on confond avec l'Amour alors qu'il nous en éloigne. Amour de soi, amour des autres. Fusion/confusion. "J'attends de toi que tu viennes combler mon manque, cicatriser mes blessures, le jour où tu ne remplis plus ce rôle, la relation se déchire. Viens me soigner, à tout prix. J'ai tellement besoin d'être sauvé que je peux bafouer tes propres besoins, tes valeurs,  involontairement, en te criant que je t'aime, en y croyant profondément." Ici plus d'attachement. Relation qui invite à aller explorer ses propres limites. Relation qui expose les blessures au grand jour. Plus d'autre choix que d'aller à leur rencontre. Personne pour y poser un pansement. Juste Soi, et sa propre conscience. Les ressentis sont exacerbés. Les traumas reviennent en force. Prétérisation. C'est depuis le présent de l'adulte que je suis que j'observe mon passé. Avec un regard nouveau, sous un angle nouveau. Le regard de la soumission, qui invite à lâcher prise, à changer le référentiel en place. Sortir de la dualité pour aller explorer les nuances. Les notions de bien et de mal sautent. Tout comme le jugement. Lâcher prise. Lâcher prise et explorer : limites, douleur, passé. Accompagnée par ces 2 mots : respect et dévotion. Exploitation de la force intérieure, pour dépasser. Dépasser la douleur du présent et affronter celle du passé. Force pour accepter de se guérir, sans chercher refuge chez un autre que soi-même. Se peut-il que domination / soumission soit une forme de relation plus honnête, plus claire, plus transparente qu'une relation vanille ? Peut-être suis-je juste entrain de trouver une excuse pour valider cette expérience. Si tel est le cas, est-ce grave? Suis je entrain de me mentir face à une situation parfaitement malsaine ? Ou est-ce que je réussis enfin à mettre du sens sur une expérience en sortant du jugement et de la dualité? Le jugement. Valeur humaine, qui n'existe que sur notre plan d'existence. Au niveau de l'âme, il n'y a ni bien, ni mal. Il n'y a que des expériences sources d'évolution. C'est pour cela que je cherche à mettre du sens dans mes actes. Pour cela que je tiens absolument à en mettre dans cette relation. Pour pouvoir plus facilement sortir du jugement. Pour pouvoir réduire ce vécu à ce qu'il est : une expérience. Qui dit expérience, dit observation des résultats. Expérimenter, ressentir, éprouver, exprimer. Sans jugement. Libéré des contraintes d'une relation sans règle pré-definie. Libéré de l'attachement. Relation dans laquelle cette notion d'attachement est clairement exposée et limitée dans ses contours. Comme un filet de sécurité. Combien de fois ai-je dit que je ne voulais plus de libre arbitre ! Que les guides et l'univers n'avaient qu'à se démerder, me mettre en pilote automatique et m'amener directement vers ma mission d'âme. Alors aujourd'hui, je ne sais pas si je suis ma mission d'âme, mais entout cas je n'ai plus de libre arbitre dans le cadre de cette relation. Encore une preuve qu'il faut vraiment faire attention à ce que l'on demande ! Ce n'était pas tout à fait ce à quoi je pensais. Mais après tout. Peut-être est-ce la meilleure voie pour moi pour réussir à lâcher prise, à lâcher mon libre arbitre. Peut être qu'avant de me mettre au service des guides et de mon âme je dois me mettre au service de mon Maître. Peut être ai-je besoin de cela pour prendre la mesure de ce que signifie réellement servir. Sans doute l'engagement est-il moins lourd de conséquences. Je commence à percevoir le sens de la danse...  
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Par : le 29/04/24
"Dans la danse sensuelle du BDSM, le lien est la mélodie qui unit le dominant et sa soumise. Comme une partition exigeante, il demande à la fois finesse et force pour créer une symphonie d'harmonie et de désir, où chaque corde tirée résonne avec l'âme." Dans l'univers complexe de mon  BDSM, le lien qui se construit, que l’on nourrit de façon quotidienne, transcende les frontières de la norme sociale pour plonger au cœur même de l'essence humaine. Il s'agit d'une alchimie subtile où la domination et la soumission se marient pour former une symphonie d'intensité, de profondeur, et de connexions émotionnelles inexplicables. Ce lien, comme une toile tissée avec les fils de la confiance, de la passion, et de la compréhension mutuelle, dépasse les limites du physique pour explorer les recoins les plus sombres et les plus lumineux de l'âme humaine. Il est le reflet d'une relation où chacun se dévoile sans retenue, où chaque geste est chargé de sens et de symbolisme, où chaque étreinte révèle un écho de son autre. Au cœur de cette relation réside un dialogue constant entre le pouvoir et la vulnérabilité, où le dominant guide avec fermeté et bienveillance, tandis que la soumise offre son obéissance avec confiance et dévotion.  C'est dans cet échange de contrôle consenti que naît un lien d'une intensité inouïe, où la frontière entre le soi et l'autre s'estompe pour laisser place à une fusion d'identités, discrètement imprégnée d'émotions indicibles. Ce lien, loin d'être figé dans le temps, est en perpétuelle évolution, façonné par les expériences partagées, les épreuves surmontées et les émotions vécues ensemble. Il est le fruit d'un engagement mutuel à explorer les profondeurs de l'âme humaine, à dépasser les limites des conventions pour atteindre des sommets d'intimité, de connexion, et d'émotions fugaces (que nous gardons en mémoire tel un trésor), mais puissantes. Dans cette relation, la douleur devient plaisir, la soumission devient liberté, et chaque instant devient une exploration de soi et de l'autre, empreinte d'une tendresse tacite et d'un amour non-dit. C'est dans cette union sacrée de l'esprit et du corps que le lien  trouve sa véritable essence : une communion d'âmes en quête de vérité, de passion, et de connexions profondes, dissimulées derrière un voile de mystère et de subtilité." LifeisLife        
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Par : le 28/04/24
Mon petit monde douillet déroulait ses heures, entre les études, Lydia et Julien. Une agréable sensation de calme, je demandais bien souvent, de quelle surprise elle avait parlé ? Mais silence. Nos petits jeux me semblaient plus hardis, plus épanouis, très ciblés, les caresses anal et les doigts, indifféremment, de Lydia ou Julien, me faisait grimper au ciel, au point que j'avais hâte d'arriver au journal de 20 h ... Je ne pouvais plus me passer de nos câlins du soir. Un de ces soirs justement, une main a prit la mienne pour la poser sur le sexe de Julien, je le voyais souvent se relever, devenir plus rose, là je le sentais, plus dur que je l'avais imaginé, je retirais la main, Lydia, pour montrer son accord me guida, sa main par-dessus la mienne, des allés retours qui découvraient le gland, de plus en plus rouge, très exitée, les larmes aux yeux, je tremblais, les doigts de Julien doucement frôlait mes petites lèvres, ma sœur appuyait sur mon cou pour que je me rapproche, je résistais un peu mais l'envie était trop forte, ma bouche s'est ouverte toute seule, toujours guidée dans ce va et vient, je n'en pouvais plus, envahie par la jouissance je me suis laissée aller à ce nouveau plaisir. Je finissais à peine de trembler, que la main ferme, ma sœur poussa ma tête, le sexe entrait dans ma gorge, en panique, des petits sursauts de cette verge, une chaleur dans ma bouche, un goût âcre, la sensation de devoir avaler, toute rouge et la bouche gluante je me suis redressée, les dernières gouttes couler du sexe, c'est Julien qui tremblait et Lydia qui léchait ma bouche et embrassait Julien... J'avais observé leur jeux, j'avais vu ma sœur sucer Julien mais j'imaginais pas, j'avais avalé le sperme de Julien à ma premières pipe. C'est une maladie chez moi chaque l'émotion me transforme en pleureuse honteuse. Dans ma chambre, sur mon lit, en sanglots, j'arrivais pas à réaliser, ma sœur qui m'encourage à sucer son chéri et qui appuie sur ma nuque jusqu'à ce que la semence coule dans ma gorge. Le summum de la honte, je surprenais le bout de ma langue à rechercher, dans ma bouche et sur mes lèvres le goût du sperme, je ne rêvais pas, toute rouge quand ils sont venus dans ma chambre, sort de ta couette Choupette, bravo on est surpris de voir que tu pleure mais c'est clair tu as aimé, arrête de pleurer, viens dans nos bras si tu veux te cacher mais c'est plus la peine sœurette, tu dois être certaine qu'avec Julien on t'adore, nous ne sommes plus qu'un. Tu passe ta langue sur tes lèvres, tu es comme moi, dis moi que tu as aimé, ne ment pas, je vois tes yeux... Oui, en vous regardant, j'étais un peu écœurée mais j'ai osé et très heureuse d'avoir fait ce pas, je crois que mon amour pour vous vient de changer, merci je rêve de ne plus avoir honte, un immense bisou à trois avant la douche. Je pensais dommage la douche est petite... (L'image est du net mais très ressemblante ou presque. ) À bientôt la suite.
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Par : le 27/04/24
 Alors on danse. La danse de la domination et de la soumission. Valse où chacun s’élance en suivant les mouvements de l’autre. Maitre mène la danse, serrant soumise contre lui. Il donne le rythme, guide soumise qui se plie au tempo, s’abandonne et accepte les directives. Ensemble ils ne font plus que trois : lui, elle et la confiance. Cette confiance issue de la connaissance parfaite de chacun, des désirs, des possibilités et des limites. Soumise sait qu’elle peut suivre Maitre les yeux fermés. Elle sait qu’il l’emmènera toujours plus loin, plus profondément en elle-même, et qu’il la retiendra sans jamais faillir. Elle ne pourra jamais se perdre ; quoi qu’il arrive, Maitre sera toujours là pour la rattraper. Ainsi accompagnée, sécurisée, soumise peut suivre les pas, elle peut tournoyer en répondant à toutes les exigences de Maitre. Soumise n’est pas faible, soumise est une Femme forte, qui fait face seule aux épreuves, sans jamais faiblir. Mais être Femme peut devenir épuisant, parfois ce pouvoir est si lourd que Femme oublie que ce n’est pas qu’un poids qu’elle traine derrière elle. Alors Elle décide de devenir soumise, de confier son pouvoir à Maitre, le temps d’une danse, le temps de tout oublier. Et c’est en virevoltant dirigée par Maitre que soumise revient à elle. C’est en suivant les pas de Maitre, qui ravive son pouvoir, que soumise se souvient. Elle se remémore qu’elle est Puissance, Invulnérable. C’est dans les bras de Maitre, au contact de sa souveraineté, qu’elle reprend contact avec ce qu’elle est : Divine. Soumise redevient Déesse, Grâce. En transcendant la danse, soumise retrouve le chemin, elle peut reprendre son pouvoir si précieusement choyé par Maitre. Maitre qui use de sa propre énergie pour encourager soumise. Maitre qui accepte la responsabilité de cette danse. Maitre qui offre le souffle salvateur, l’espace de vie nécessaire au réveil de la flamme, au ressourcement, à l’abandon. Parfois la danse est intense, souvent délicieusement douloureuse. Les pas devenant complexes peuvent faire peur à soumise. Une peur suave, qui invite à la réflexivité. Ainsi contrainte, dominée, soumise n’a plus d’autre luxe que de plonger en elle-même. Maitre lui offre ici cet espace de découverte de soi, au moment le plus important de toute vie : Maintenant. C’est dans ce précieux espace-temps que soumise va pouvoir, sous le regard bienveillant de Maitre, se découvrir, se gouter, reprendre contact avec son Féminin Sacré. Evoluer, danser dans l’ici et maintenant. Alors on danse...
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Par : le 27/04/24
Après cette mise en confiance, on a prit l'habitude de recevoir Julien de la même façon, Lydia et Julien ne se cachaient plus, sans participer, je ne perdais rien de leur jeux, j'essayais de copier les caresses, parfois j'entendais leur rire, parce que j'avais laissé échapper un petit gémissement, quelques mois de quiétude. Et un matin Lydia m'a annoncé que Julien viendrai habiter à la maison. Grande confusion, je savais,  que l'on allaient, inévitablement, se retrouver seul, sans ma sœur. J'aurais voulu être une souris pour me cacher au fond d'un trou. Je me suis réfugiée dans ma chambre, cachée sous la couette. Lydia se glisse contre moi, "pourquoi tu pleure, tu connais Julien depuis longtemps, qu'est-ce qui te donne tout ce chagrin, cela ne va pas changer grand chose s'il vit avec nous et j'en ai très envie " En sanglotant, j'ai fini par dire que j'étais terrorisée à l'idée de me trouver seul avec lui, que cela allait fatalement arriver, comme on est nue le plus souvent... "Tu ne dois pas avoir peur, on a un accord, il ne tentera rien, promis jurée. Léa fait le pour moi s'il te plaît. " Au chaud, dans ses bras sous la couette j'ai dit oui sœurette, j'accepte, mais j'ai très peur tout de même. Le vendredi soir et le week-end, on a déménagé les affaires de Julien, chaque nuits je fermais ma porte, je faisais des rêves étranges, je courrais sans fin, pour fuir une ombre qui me suivait, elle finissait par se jeter sur moi.... Et je me réveillais, en pleure, toute mouillée, avec une immense envie de me toucher, ce que je faisais, jusqu'à une petite jouissance. Même la journée, au lycée, je ne pouvais m'enlever ce rêve de la tête, une obsession.... J'ai fini par le dire à ma sœur, qui m'a expliqué que les doigts de Julien avaient fait leur job... Que j'étais une ado, une femme... Qu'elle avait prévue un cadeau pour moi, surprise... J'ai fait des pieds et des mains pour savoir mais elle n'a rien dit. Le soir devant la télé, sur le grand canapé, je me trouvais entre Julien et Lydia, de plus en plus souvent, après quelques interrogations, je laissais ma sœur me caresser, certains soirs jusqu'au frison final, la chaleur de Julien dans mon dos, décuplait l'effet des attouchements de Lydia. Insensiblement Julien a ajouté ses caresses, je ne pouvais plus stopper, l'envie était trop forte, rouge de honte je me suis retournée pour voler un baisé sur la bouche de Julien, puis je me suis enfuie dans ma chambre, rejoint par ma sœur, qui me demandait pourquoi je pleurais, pardon j'aurais jamais du faire un truc pareil, c'est ton chéri pas le mien " tout doux, Léa rien de grave, il a été surpris mais pas fâché au contraire, tu peux le refaire quand tu veux, Julien aimerait un supplément" Ahaha !! Allez ma chérie soit cool, il n'y a rien de grave entre nous trois... Je suis revenue au salon, entre Julien et Lydia, j'ai demandé pardon et en réponse, un long 💋 , mon premier vrai 💋... Bientôt la suite ?      
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Par : le 27/04/24
Je ne comprends pas pourquoi, je ne comprends pas comment. Une rencontre Tinder, quelques échanges et c'est arrivé. Je l'invite à venir chez moi. Sans même le connaître, sans même l'avoir vu ailleurs qu'en photo. Je ne connais pas son prénom, je ne sais pas si j'en ai envie. J'ai peur que son pseudo se rapproche de son prénom, auquel cas je ne pourrai que fuir. S'il avait le même prénom que toi ! Je ne veux pas savoir. Peur et excitation se mêlent, s'infusent dans mon esprit, dans mon corps. Cette nuit là, mon sommeil est agité. Il doit venir cet après midi. Le réveil est empreint d'une grosse montée de stress. Je veux tout arrêter ! Avant qu'il ne soit trop tard. J'ai l'intuition qu'il va se passer quelque chose d'irremediable. Suis-je en danger? Suis-je complètement folle pour oser faire une chose pareille? Jouer le rôle d'une soumise pendant 1h. Et s'il me viole? Me fait mal, me frappe? Si je ne revoyais jamais mes enfants ? Je dois tout annuler. Je m'apprête à le faire, mais cette part intuitive m'en dissuade, me dit d'avoir confiance, que tout est bien. Habituée à l'écouter je me recentre dans le coeur, demande protection et je prie ainsi dans la chaleur de ma douche pour me redonner du courage. Show Time! Il arrive. Je lui ouvre. Je suis pétrifiée. Pourtant, tout de suite, son regard me rassure, sa voix aussi, mais je suis figée sur place, je ne peux plus parler, plus bouger. Il m'embrasse. Il sent bon, une odeur que je connais, qui me plonge dans ma mémoire sans que j'arrive à en toucher le souvenir. Il me caresse, vérifie que je ne porte pas de sous vêtements comme il l'avait demandé. Nous nous dirigeons vers ma chambre, je passe devant lui mais il attrape mes cheveux, me tire vers lui et m'embrasse à nouveau. Il passe sa main sous ma robe, vérifie que je sois "libre et accessible" comme il me l'a demandé. Il fouille mon intimité avec ses doigts. Le plaisir est instantané. Pour autant je ne suis toujours pas moi-même. Moi qui contrôle, moi l'égale des hommes, indépendante et autonome. Qui suis-je à cet instant ? Dans ma chambre il m'intime de m'agenouiller, continue de m'embrasser. Il sait que j'ai peur, il est doux, précautionneux, attentif à mes ressentis. Il ôte ma robe et place mes mains derrière ma tête. C'est à ce moment là je pense que le point de non retour s'est amorcé. Il l'a fait. Il m'a installée dans une position de soumission. Doucement il continue de m'embrasser, masse mes seins puis pince les tetons. Et cela continue ainsi, lui me caressant avec ses doigts, les introduisant dans mon corps qui réagit à chaque mouvement. Je veux garder la position mais je sens tout mon corps qui s'effondre sur lui même. Je lutte, je résiste, mais le plaisir est intense. Le plaisir et autre chose, je ne sais pas exactement quoi. Cette séance est longue, agréable, il m'autorise à m'asseoir sur les talons. Je ne sais plus, j'ai perdu le fil du temps et des évènements. Je me souviens être allongée sur le dos, lui assis sur moi, enserrant ma gorge avec ses mains, posant mon bras sur le sien pour que je gère la pression. Il réagit à la moindre contraction de mes doigts sur son bras. J'ai l'impression qu'il lit dans mon regard, sait sans que j'ai besoin de parler. Cette fluidité est incroyable. Je n'ai rien à faire ou à dire pour être comprise. C'est tellement bon. Puis il me retourne sur le ventre, glisse ses doigts dans mon sexe, puis en introduit un dans mon cul. 1ere claque sur ma fesse. Il recommence, s'assure que j'aime ça et continue. Doux et violent, mélange de plaisir et douleur. Quand il a fini, il me remet sur le dos, allongée contre lui et me prend dans ses bras. J'ai alors l'impression que cet homme ne me fera jamais de mal. Que je peux avoir une totale confiance en lui. Nous finissons moi à genoux, lui dans ma bouche. Il prend son plaisir ainsi, bien profondément dans ma gorge. Puis à nouveau il m'intime de m'allonger et me prend dans ses bras. Ainsi en sécurité dans les bras de cet homme que je ne connais pas et qui vient de faire de moi sa soumise, je glisse dans un état second.
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Par : le 26/04/24
"La vérité est retrouvaille,  il faut du temps pour Re-devenir soi"   Le rapport à l'autre est la plus énigmatique des relations, je rajoute dans cette équation, la philosophie de mon BDSM. Ce qui m'est le plus intérieur est de l'ordre de l'âme, de ma conscience, de mon esprit. Je suis un animal social, j'ai besoin d'appartenir.  La question du comment de mon existence se confond avec la Sienne ; Je suis moi, au-dela de moi. Je vais briser ma coquille, en retirer la pulpe pour appartenir, pleinement consciente d'être son fragment de matière. Le meilleur usage que je puisse faire de ma liberté, c'est de la placer entre ses mains.  Lorsque je déclare lui appartenir,  j'accomplis un acte d'abdication total. Je le consens et le souhaite. J'ai le désir et le besoin d'être à lui, d'exposer mes passions, mes instants de grâce, mes forces mes faiblesses et autres émotions ; d'être sous son autorité. Il peut disposer de moi comme il l'entend, sa confiance est le miroir de la mienne. Aucune autre personne ne peut détenir l'ascendant qu'il a sur moi.  Nous sommes deux individus, dont l’identité est en perpétuelle construction, nous nous investissons dans un univers où nous fixons nos propres règles. Ma constante d'équilibre se stabilise dans cette appartenance ; Je t'appartiens, tu m'appartiens. Je respire ce sentiment d'appartenance, et ce qu'il  fait naître en moi est une conscience d’identité. J'ai le sentiment de dépendre de ce dont il fait partie. Chacun doit se soutenir et s'encourager mutuellement. Mon appartenance est invisbile à l'oeil nu mais totalement morale.   L’appartenance ne désigne pas seulement un lien, elle en fait partie intégrante LifeisLife
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Par : le 26/04/24
Châtiée, à cru et à cuirs - partie II le chenil de w324   La pièce est fraîche, carrelée, "clinique", propre, impeccable. Elle sent l'eau de javel. Le sol est carrelé, les murs aussi, sans doute une couleur claire, je l'imagine blanche.   Mes yeux s'habituent à la pénombre, le bandeau a été retiré. Les odeurs se mêlent : eau de javel, savon bon marché. Les sons ne reviennent pas : tout est silencieux ; c'est sans doute encore la nuit. J'ai soif. Un peu froid aussi. J'ai un peu mal au articulation, allongée sur le carrelage, de larges carreaux lisses. Mon cou est rigide, il est irrité, je le frotte, je découvre le cuir, épais, lourd, rugueux, des anneaux fixés au cuir, un collier. Une chaîne, épaisse elle aussi, fixée au collier. Froide. Des anneaux larges, lourds. Je tremble, effrayée.   J'essaye de me lever, je me cogne. Je roule à droite, c'est impossible. À gauche aussi. Je bute sur des barres en rampant. Une cage !   J'allonge les bras : un grillage de fers entrecroisés, assez fins, métalliques. Une paroi rigide, je m'aperçois que la vision est facile au travers, les barres sont distantes d'une dizaine de centimètres. La paroi est solide, un peu souple, elle expose, exhibe. J'ai peur. Je suis nue, la prise de conscience est soudaine, brutale, elle me pénètre. Exhibée à nue, offerte à l'observation.   Mes yeux cherchent dans la faible lumière, anxieux, rapides. Des éclairages sur les murs, en mode soft. Une inscription sur un mur : "Chenil des Fossées" en grandes lettres noires, majuscules, simples. En dessous en plus petit : " Saintes Maures". Intriguée, je peine à réfléchir. Où suis-je ? Enfermée dans un chenil ? Pourquoi ? Où ? J'ai un peu froid, soif, un peu peur.    J'écoute attentivement. Aucun bruit. Tout est silencieux. Un peu ankylosée, je frotte mes pieds pour les réchauffer, ils frottent des cuirs. Je comprends soudain, saisie : des bracelets entourent mes pieds ! Mes poignets ! Comme mes chevilles. Comment n'ai-je pas perçu ces anneaux, ils sont lourds, serrés, rugueux. Je suis vraiment sous le choc.    Je m'effondre sur le sol lisse, froid, dur. Sans volonté. Anéantie. Résignée.   Envie de pleurer.    Je tremble.   Lentement, j'émerge de ma paralysie.   Je parcours les grilles, elles sont solides, comme neuves. J'en perçois d'autres. Toutes fixées au sol. De diverses tailles. Vides.   Sans doute des caméras aux angles de la pièce. Ont-elles des micros ? Qui est derrière.   Je ressens fiévreusement l'enfermement de la cage. Doublée du contrôle du collier de cuir et de sa chaîne d'acier. Les bracelets de cheville et de poignet. Les murs sans ouvertures apparentes. Les caméras, les micros.   Ma première prison : un chenil. Ma deuxième prison : une cage.   Je l'explore. Elle est longue de plus de 2 mètres, j'y place allongée mon 1,84 m sans problème. Elle n'est pas large, environ un mètre. C'est aussi sa hauteur.   Surprise, je découvre une étiquette sur le haut de la paroi d'entrée. Comment m'a-t-elle échappé ?    Sa lecture est sans appel. Tout est dit.    Chenil des Fossées. Niche n° 7. Chienne w324. A dresser - fouet, électricité. Propriétaire : Lady Scarlett.
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Par : le 25/04/24
Je vis mon BDSM comme un voyage intérieur, le plus beau des voyages. "Le plus grand voyageur est celui qui a su faire une fois le tour de lui même"  Cette phrase m'invite à entamer ce voyage intime et personnel, celui de mon BDSM.  Une exploration périlleuse qui me conduit vers moi,  à la source de mes pensées. RéApprendre  à me connaitre, prendre conscience de cette dimension entre mon espace intérieur et extérieur, qui loin d'être donné, est le résultat d'une activité réfléchie, destinée à construire, nourrir et maintenir l'équilibre entre mes zones de lumières et d'ombres. Lovée au creux de mon être, je conserve des grands et des petits secrets vécus comme des trésors.  Dans cette intimité singulière règne l'invisible de mes désirs les plus profonds. Je trouve ma liberté et une joie véritable en cultivant mes désirs les plus personnels,  ceux qui me font grandir, qui donnent du sens à ma vie, qui me permettent de me réaliser pleinement.  Consciente que cette révélation puisse être puissament libératrice. Telle une alchimiste, je sais "me bousculer" et séparer le bon grain de livraie, toujours en quête d'authenticité et de vérité. Je re-trouve un alignement avec mes valeurs les plus profondes, cet équilibre, cette paix intérieure au milieu du chaos extérieur. Je me mets à nue et dépasse  mes limites, cérébrales, émotionnelles et physiques.  Je suis le premier et le plus naturel des instruments de musique. Un diamant brut. La philosophie de mon BDSM est impossible à définir, elle est évolutive et infinie et  au delà des évidences. Matérialiser la coincidence de nos désirs/besoins à la recherche de sens : Le lien... LifeisLife
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Par : le 24/04/24
De retour à la maison, je me déchausse et accroche mon manteau sur la patère. Ma peau nue imprime une chaire de poule alors qu’un frisson me parcours de la tête au pied. Le plug est toujours en place, les pinces aussi. Mes seins sont douloureux et mes tétons insensibilisés par la morsure prolongée. Maître transporte les sacs de courses jusque dans la cuisine. Je le dévore du regard, sa posture altière et ses omoplates visibles à travers son t-shirt. Mon imagination s’égare à la place de mes doigts qui rêvent de parcourir sa peau. Sans se retourner et comme pour faire taire la voix de mon mental, Maître m’enjoint : « Dépêche toi, tu as pris du retard. » Ses mots me ramènent instantanément dans l’ici et maintenant, et je m’empresse de le rejoindre dans la cuisine. « Voici le menu pour ce soir. Notre invité ne suit pas de régime alimentaire spécifique mais ce n’est pas une raison pour ne pas t’appliquer. Compris ? -Oui Monsieur. » Maître tire brusquement sur la chaîne qui relie les pinces à seins. Celles-ci étirent et relâchent mes tétons, m’arrachant un couinement de douleur accompagné d’une profonde vague d’excitation qui me liquéfie encore davantage. Je lance un regard outré à mon Maître, les yeux humides. « Je ne suis plus ton « Monsieur ». Tâche de ne plus l’oublier ! » Son ton est dur. Je serre les dents. L’habitude de l’appeler « Monsieur ». Mais c’est « Maître » désormais puisque j’ai accepté de quitter ma place de soumise pour être reléguée au rang de chienne, d’animal. Pour autant, une part de moi résiste à cette décision. Je n’arrive pas à desserrer les mâchoires. J’ai envie de m’indigner, de répondre. Je dois me contrôler ! Maître doit ressentir cette insurrection que je tente de contenir à l’intérieur de moi. Sa main se referme sur ma nuque, oblige mon regard à soutenir le sien tandis que son autre main s’abat violemment sur ma fesse gauche. Ma respiration se coupe un instant sous l’effet de la surprise, la fessée appuyée est douloureuse et ma fierté mal placée est en passe de se dissoudre. Un petit sourire en coin me signale sa satisfaction à me sentir peu à peu céder. Finalement, je baisse les yeux. C’est à la fois ce que j’admire et ce que je redoute chez lui. Il n’a pas besoin de « faire » grand-chose ou d’élever la voix pour obtenir ma soumission. Il émane de lui une assurance et une autorité naturelle qui suffisent à lui faire assoir sa supériorité. « Pardon Maître, je ferais attention désormais.  - Ça commence à faire beaucoup d’excuses pour une seule journée… Tu seras punie pour ton effronterie et tes étourderies. J’attends mieux de ta part. - Oui Maître, vous avez raison, je le mérite… » Mes mots s’éteignent à mesure que je les prononce. Je suis contrariée d’avoir déçu mon Maître, et je déteste être punie. Maître relâche la pression de ses doigts sur mon cou. « Dépêche toi de préparer le repas maintenant. - Oui Maître. » Pendant que je m’affaire en cuisine, je l'entends qui débouche une bouteille de vin et prépare les verres dans le salon. J’ai interdiction d’y pénétrer sans son autorisation, et ordre de le prévenir lorsque les préparatifs qui m’incombent seront réalisés. Mes tétons sont encore sensibles et pointent insolemment à travers le tissu de mon tablier de cuisine. Plus de bruits de vaisselle, Maître me rejoint dans la cuisine. « Tu as bientôt terminé ? Il me reste à couper les carottes Maître. Bien. Pose ton couteau, écarte les jambes et cambre-toi en t’appuyant sur le plan de travail. Je veux que tu me présente une belle croupe appétissante. » Mon cœur s’emballe et il me faut un instant pour obéir. Ses mains chaudes se posent sur le galbe de mes fesses, empoignant, caressant, malaxant mon cul offert. Ma culotte trempée m’est retirée, car je n’en ai manifestement plus besoin, et car mon Maître à envie de me posséder. « Tu mouilles tellement facilement… Et après tu doutes d’être une vraie chienne ? » J’entends le sourire moqueur dans sa voix qui accompagne son souffle brûlant à mon oreille et les deux doigts qui me fouillent sans ménagement. Je me trémousse et je geins. J’en veux plus. Tellement plus ! « Que veux-tu, là, maintenant, tout de suite ? -Je… j’aimerais sentir votre queue me prendre Maître… J’aimerais vous sentir me remplir encore et encore… J’aimerais jouir sur ce plan de travail.  - C’est bien. Tu es une bonne chienne qui ne cache pas ce qu’elle pense. A genoux, viens chercher ta récompense. » Il me félicite, mais son attitude est froide, je me sens intimidée, je m’exécute. Maître me présente d’abord ses doigts, ceux qui, quelques secondes auparavant, travaillaient ma chatte pour la rendre plus accueillante. Je sais ce que je dois faire. J’ouvre la bouche et je commence à lécher et à sucer, consciencieusement. Je me goûte et me déguste, délicatement salée. Je me découvre, amuse-bouche. Pour me signifier d’arrêter, Maître saisit ma langue de ses doigts couverts de ma salive et la maintient tirée hors de ma bouche. « Bien, garde la gueule grande ouverte petite chienne. » Rapidement, ma salive s’accumule et commence à dégouliner le long de mes lèvres, de mon menton, puis de mon cou. Je me sens gênée mais je m’efforce de continuer à regarder mon Maître. Il m’observe avec attention, s’amuse à prolonger mon inconfort pour tester ma docilité. Je suis tiraillée entre l’excitation de ne plus avoir de contrôle sur cette partie de mon corps et le désir de reprendre un peu de contenance. Alors que la bave commence à couler sur mon tablier, Maître relâche ma langue, ouvre son pantalon et libère l’objet de toutes mes convoitises. « Tu as dis que tu voulais sentir ma queue te prendre, te remplir, c’est ça ? - O… oui Maître, s’il vous plait. » Un sourire étire son visage. « Bien, alors ouvre grand la gueule petite chienne, que je t’offre ce que tu as demandé. » J’ai tout juste le temps d’obéir. Ses mains encadrent ma tête alors qu’il enfonce son membre dur dans ma bouche, me la baise, me remplit.
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Par : le 24/04/24
Dans la voiture, Maître m’ignore totalement sur une bonne moitié du trajet retour. Je suis prise entre l’excitation de cet affermissement de la domination de mon Maître, et la peur d’embrasser totalement cette place de chienne que je lui ai réclamé. Toujours sans un regard, Maître me demande, un début de sourire aux lèvres : « Toujours envie d’être une chienne Miss ? Ou ta place de soumise précieuse et capricieuse commence à te manquer ? » Il se moque de moi ! En temps normal, je lui aurais jeté un regard effronté et peut-être même que je lui aurais répondu dans l’attente de me faire remettre à ma place. Cette fois je n’en fais rien. La vérité, c’est que je ne suis plus sûre de rien. Devenir sa bonne chienne docile, le laisser approfondir sa domination sur moi, franchir une étape dans notre relation, j’en rêve chaque jour. Mais j’ai également encore beaucoup de mécanismes de défenses et de peurs. « Oui Maître, je le veux toujours… mais… » Je n’arrive pas à finir ma phrase. Maître enclenche son clignotant et engage la voiture sur une place le long de la rue. Pourtant nous ne sommes pas arrivés. Il coupe le moteur et se tourne vers moi, plantant son regard avec intensité dans le mien, attentif. « Mais… ? Je t’écoute. » Je me sens coincée, quelque chose me dit qu’il ne repartira pas tant que je n’aurai pas dit ce que j’ai sur le cœur. Il me faut un moment pour rassembler mes idées, mes mots et mon courage : « J’ai… peur. » Trois mots, c’est tout ce dont j’étais capable. Trois mots particulièrement difficiles à prononcer. « De quoi as-tu peur ? » Mon corps tremble, et cette fois, ce n’est pas d’excitation. « Je crois que j’ai peur de disparaître… Je sais, c’est débile. Mais c’est ce que je ressens. Et je crois que j’ai peur de découvrir de quoi je suis capable. » Maître me fixe, comme pour s’assurer que j’ai terminé de parler. « Moi je crois que c’est un mensonge. » décrète-t-il. « Un vilain mensonge que tu te raconte à toi-même. Tu n’as pas peur de disparaître, tu as peur de lâcher tes protections. Tu as peur de te découvrir toi. Tout du moins des parts de toi que tu refoules, parce que tu les juges. Tu as peur de te vivre, entièrement. » Il marque une pause, pour que j’intègre ses mots. « Tu as souhaité m’appartenir, alors je veux tout de toi. Le beau, le moche, le cassé, et même ce que tu ne sais pas encore être. Si tu choisis de continuer à m’appartenir, attends-toi à ce que je t’épluche, à ce que je te mette à nu corps, esprit et âme. Cela prendra le temps qu’il faut. Sachant cela, veux-tu toujours devenir ma chienne et explorer cette facette de toi à mes côtés ?» Je hoche la tête, impressionnée par cette prise de hauteur à laquelle je ne m’attendais pas. « Je veux t’entendre le dire. Maintenant. As-tu l’intention de me laisser faire de toi la chienne que je désire avoir et que tu sais être ? » « O… Oui Maître, je veux être cette chienne. » Je passe le reste du trajet à réfléchir à ce que Maître m’a dit et finalement la justesse de ses mots m’apaise.
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Par : le 24/04/24
  Châtiée, à cru et à cuirs - partie I   Pour fêter le 50e anniversaire de la Révolution des œillets, avec quelques avances, nous sommes allées, Scarlett et moi, le vendredi 19 avril au Théâtre : concert puis bal portugais. Beaucoup de joie, de rires, de danses. Une longue fête.  Rentrée à la maison, Scarlett m'a baisée, avec la tendresse d'une amoureuse, l'autorité d'une épouse ; sans la force et la dureté que j'aime aussi chez ma Maîtresse. Le lendemain matin, a commencé une punition dure et cruelle qui a duré 48 heures pleines. J'en suis encore époustouflée, rendue docile. Il n'est pas encore temps de raconter le pourquoi, le comment ; encore moins mes sentiments : j'en reste asservie totalement et dans des nuages de bonheurs contrastés et violents. Juste des touches poétiques pour me livrer sans me dévoiler.   Je cueille les roses de la douleur au pied d'Elle tremblante et sereine je contemple les Monts femmes   Dans la nuit et l'angoisse assise seule dans le mystère des cordes et des chaînes d'acier je joue de la cithare de ma vulve je récite mon plaisir longuement. Dans ma forêt profonde, où il n'y a jamais eu trace de mâle Le clair de Sa lune épanche ses rayons   Ecoute le son du fond de mon ventre le son est multiple mais mon ventre est l'Unique à Toi   il n'y a pas de refuge   Vent de printemps, vents des cuirs à tes Oreilles, comme avant, comme toujours ma sonate à Toi   Chant de tes fouets mes lèvres qui hurlent Ta soumise aux pleurs de printemps   le temps des fleurs le temps des pleurs
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Par : le 22/04/24
  Enveloppé dans les grandes lignes de ton film, tu projettes ton passé.  Des mots vides de sens et sans destination précise. Assis sur le pas de la porte, tu attends la nouvelle lune. Je suis le reflet dans ton miroir. Un nouveau matin se lève sur des rêves oubliés, faut-il reprendre l'initial pour retrouver ton chemin ? J'ai compté le nombre de tes faveurs trop tôt, oubliant tes rimes et tes raisons. Miroir, Miroir de l'éphémère accroché à ton mur, parfaite anamorphose de ta réalité qui se réfléchit. Prends la main que j'ose te tendre, croise mon regard, celui de nos âmes.  Fais de moi un instrument de ta paix. Qui a si peur de tomber ? LifeisLife #Texteperso #photoperso
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Par : le 21/04/24
Dimanche 7 Avril   9h, le réveil sonne, j’ai très peu et très mal dormi. J’aime Monsieur très fort en dépit de ses ronflements nocturnes, je n’avais qu’à pas oublier mes bouchons d’oreilles… Le petit déjeuné est bon, avec des mini viennoiserie, les jus, ainsi que le pain accompagné de de confiture maison, je prends deux cafés, je vais en avoir besoin pour rester éveillée. Monsieur prend du fromage et du jambon en plus, le salé dès le matin, très peu pour moi ! Une fois notre petit déjeuné fini, nous décidons de ne pas tarder et de reprendre la route, comme ça nous serons rentré avant midi. Je lutte pour ne pas m’endormir sur le trajet du retour, j’ai vraiment du mal à dormir en voiture. Je repense à notre journée et notre soirée d’hier, je suis a la fois contente et frustrée, malgré la fatigue, j’aurai aimé commencé la journée avec Monsieur me faisant l’amour, me retrouver entre ses jambes, à ma place, adorant son sexe avec ma bouche, pendant que mes doigts le caresse doucement, amoureusement. Cette idée réveille mon entrejambe, et c’est à ce moment que mon chéri me tire de ma rêverie en venant caresser ma cuisse en me regardant. Hier il a émis la possibilité d’une autre séance cet après-midi, tant pis si je suis épuisée, je suis en train de l’espérer. A notre arrivée, les chiennes nous font la fête comme à leur habitude, on s’installe dans le canapé. Je vais nous servir un apéritif, et c’est à genoux que je tends le verre de mon Maître, c’est un rituel qui a été instauré, et que j’apprécie. J’aime servir mon Maître. Nous regardons le replay de the Voice, puis, alors que je ne m’y attendais plus, je suis invitée, gentiment mais fermement, à me pencher sur le canapé, et à baisser mon pantalon. Il regarde les quelques bleus et les traces que j’ai récolté hier, rien de bien méchant, on a vu pire. Il prend le fouet pour m’en faire de nouvelles, la lumière est plus adaptée pour contrôler les impacts. Comme à mon habitude, j’en demande plus, mais contre toute attente, il s’arrête, pose le fouet sur mes fesses, il fait une photo. « Tu as voulu faire la maligne à en demander plus hein ? » Je vois qu’il prend l’instrument que j’aime le moins … la badine. Je fais définitivement moins la maligne, je me prépare mentalement, je couine au bout de quelques coups … la badine c’est pas ma copine. Son impact est trop vif, trop franc, troc sec. Maître m’attrape par les cheveux puis par le cou et me dirige vers le couloir, je pensais aller dans la chambre mais il m’emmène dans la salle de bain. Une pression sur mes épaules m’indique ce qu’il attend de moi. Je tombe à genoux, me lèche les lèvres par anticipation. J’humidifie mon objet de convoitise sur toute la longueur et commence à faire de va et vient, à mon rythme. Maître reprend le contrôle, ma bouche lui appartient, il s’y enfonce vite et fort, vient frapper ma gorge et maintient ma tête dans cette position. Mes yeux se remplissent de larmes, il me laisse reprendre mon souffle puis recommence. Je suis relevée de force, appuie sur le haut de mon dos, m’obligeant à me cambrer en avant. Il me pénètre d’un coup sec, il me pilonne, je suis comme désarticulée, bougeant d’avant en arrière au rythme de ses coups de reins. Je prends avec bonheur ce qu’il me donne, le regard fixé dans le miroir, mes yeux scellés aux siens. La baise brutale combiné à son regard, sa main sur ma nuque qui se ressert me décroche un orgasme puissant. Il se retire, amorce un mouvement pour me pousser à nettoyer. Merde… mes règles ont débarqué… je suis dépitée ! Il rince les traces de sang sous l’eau et calme en un instant ma frustration en s’enfonçant de nouveau de ma bouche. Une fois fini nous nous glissons sous la douche, mon sourire ne quitte pas mes lèvres. J’attends l’autorisation pour le rejoindre sous le jet d’eau. Maître me demande de le laver, ce que je fais avec grand plaisir, j’aime autant m’occuper de lui sous la douche que lui aime me laver. Nous sortons propre et frais, bizarrement, je ne ressens plus la fatigue… Il me dit de m’allonger sur le ventre dans le lit. Je lui avais demandé si j’aurais le droit aux griffes si cette séance avait lieu, il ne l’a pas oublié. « Tu as réclamé les griffes, tu ne les auras pas » Il s’assoit entre mes cuisses et mon cul. Je suis parcouru de frisson, de chair de poule quand la lame du couteau descend le long de mon dos jusqu’à mes fesses. Je ne frissonne pas de peur, je frissonne de plénitude. Comme les griffes, le couteau à se pouvoir de me transcender, je me laisse aller dans la détente, le plaisir, je suis au septième ciel ! Pour continuer à me faire du bien en me faisant du mal, Maître se saisit du martinet en cuir. Que la danse commence ! La cadence est parfaite, il alterne entre coup fort et coup plus léger. C’est de plus en plus fort, de plus en plus douloureux, je vais jouir, encore … C’est intense, je vois des étoiles, je ne veux plus redescendre, je suis tellement bien dans cet état de trans. Je me mets sur le côté, outch ça pique, je grimace, Maître rigole de son rire sadique. Il s’allonge à coté de moi, on se câline, emporté par le sommeil. On commence à s’endormir, mon téléphone vibre une première fois, je raccroche, je veux rester la blottie dans ses bras. Je replonge dans mes rêves, me refait le film de notre week-end, quand un nouvel appel fait vibrer mon téléphone, je coupe la sonnerie, agacée. Une dizaine de minutes plus tard, ça frappe à la porte, je regarde mon téléphone, c’est ma sœur. Il faut se lever, les enfants sont aussi sur le chemin du retour …Le week-end est fini, retour à la réalité. Joyeux week-end d’anniversaire Maître !  
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Par : le 18/04/24
 Pendant ces deux semaines, nous avons beaucoup échangés par téléphone avec Monsieur Gilles. Il m'appelait chaque jour, en, fonction de ses poses et des ses rendez-vous. J'attendais chaque jour ses appels avec impatience, seul les week-ends étaient longs sans nouvelles de Lui. Dès le lundi matin, j'avais posé mes jours, du lundi au jeudi. J'avais prévenu mon épouse que j'avais une formation pendant trois jours et que je ne serai pas joignable. Tout était en place et chaque jour j'avais une petite boule au ventre en attendant le lundi après-midi!!! Le jour venu, je suis préparé selon les ordres de Monsieur, avec et rasage complet de tout le corps. et suisparti largement en avance. Monsieur m'avait demandé d'aller dans un sex-shop acheter deux plugs, un petit et un moyen... Je me suis donc rendu dans un des sex-shop de la gare à Nantes...ce n'était pas le choix qui manquait !!! Je me suis porté vers des plugs en silicone noir, un bâillon boule en silicone noire également, et des bracelets en cuir pour les poignets et les chevilles...je devais avoir tout ce que Monsieur m'avait demandé! A 17h, j'étais comme convenu à la porte de son appartement. Je sonnai. Il est venu m'ouvrir, mais ne m'a pas laissé entrer. Après avoir regardé a droite et à gauche, il m'a ordonné de me déshabiller, là, sur le palier ! Mort de honte je me suis mis nu! Après m'avoir fait attendre quelques minutes, il m'a laissé entrer....heureusement, personne n'était passé sur le palier !!!!   Poses tes affaires et viens me rejoindre dans la salle. Tu as tout ce que je t'ai demandé? - Oui Monsieur j'ai les deux plugs, les bracelets, le bâillon  Parfait, donne-moi tout cela. Pour le moment c'est moi qui ait un cadeau pour toi.  Il me donne un petit paquet tout noir, avec un ruban rouge. Je l'ouvre devant lui et j'en sors un anneau en métal.... - Merci Monsieur...mais qu'est-ce que c'est?? - Ah tu ne connais pas ? C'est un cockring ... Tu vas le placer à la base de ton sexe, derrière tes couilles....allez exécution ! Ce n'est pas si simple de placer ce cockring quand on n'a pas l'habitude...J'ai du m'y reprendre à plusieurs fois ! Le fait de bander n'arrangeait rien... Mais tant bien que mal j'ai réussi à placer cet anneau. -Très Bien tu le porteras désormais tant que nous serons ensemble, je t'interdis de le retirer même s'il te fait un peu mal au début, tu t'y habitueras tu verras! -Bien Monsieur, mais je devrais le garder quand je serai à la maison, même pour travailler? - Bien sur, c'est la marque comme quoi tu m'appartiens ! Tu vas le porter en permanence! 24h sur24, 7 jours sur 7. Et pendant que tu seras avec moi tu porteras celui-ci. Et il me tend un anneau beaucoup plus petit.  La pose est beaucoup plus facile, même si mon gland se met à gonfler et à devenir foncé.... Approche toi, tend moi tes bras !      A genoux je lui tends les bras, il y attache les bracelets, puis c'est au tour des chevilles. Il termine en me mettant un collier de cuir noir, qu'il ferme d'un petit cadenas... Lui seul pourra me le retirer désormais...             - Bien tu vas aller à la cuisine, tu vas commencer par passer l'aspirateur, puis tu prépareras le diner.      - Bien, Monsieur  Comme je me dirigeai vers la cuisine, je l'entends dire:" à 4 pattes... Ici les soumis marchent à 4 pattes devant leur Maître !" Je mis à 4 pattes pour aller chercher l'aspirateur à traineau dans le placard.  Je le branchai et commençai à le passer, quand arrivant derrière moi il l'arrêta et me dit: "pas comme cela"       Il avait une cordelette à la main...il la passa dans le cockring et dans l'anneau à la base de mon gland... puis l'attacha à l'aspirateur.              -tu dois le trainer sans y toucher avec les mains... Tu peux te mettre debout pour le passer tu seras plus efficace... Chaque mouvement de l'aspirateur me tirait sur les couilles et le gland....au début cela me faisait un peu mal mais très vite cette petite douleur s'est transformée en un grand plaisir!!! Et je sentais que je mouillais de plus en plus la cordelette... ce "supplice" dura une  bonne vingtaine de minutes. Il a fallu que je passe et repasse pour que tout soit parfait! Bien maintenant tu nous prépare un repas léger.... un potage cela ira très bien pour moi Bien Monsieur..... ( Mais pourquoi, j'avais été lui dire que je savais cuisiner et que j'aimais cela????) Le diner préparer il a fallu le lui servir, mais monsieur voulait un service spéciale. Petit plateau attaché comme l'aspirateur et dessus le potage, un verre, assiette et les couverts…Je peux vous garantir que marcher avec un plateau entre les jambes ce n'est pas simple, mais quand en plus chaque pas vous tire sur le bas ventre cela devient vraiment une tâche compliquée !!! J'ai quand même réussi à ne pas faire tomber trop de potage sur le plateau !!! Malgré cela, comme il y avait quelques gouttes sur le plateau, j'ai eu le droit à une bonne fessée... C'était la première que je recevais depuis mon adolescence...Et je ne me souvenais pas que cela chauffait autant !!!!  Apres le diner de Monsieur, j'ai tout ramené à la cuisine sur le même plateau, mais c'était plus facile car il ne restait pas grand chose.... Vaisselle Monsieur, m'a dit habille toi nous sortons Pantalon, chemise, veste ... voila très bien, je veux que tout le monde voit bien ton collier, de toute façon là ou nous allons cela ne choquera personne! MAis......   Non rien Monsieur.... PArfait, alors en route Nous sommes partis près du château d'Anne de Bretagne à Nantes, un petit Bar qui s'appelait Plein Sud . Monsieur était visiblement bien connu dans ce Bar, il y avait surtout des hommes, et quelques femmes qui discutaient entre elles. On salua un groupe d'hommes, visiblement des copains de Monsieur....  Monsieur me présenta comme son soumis.... Il est mon soumis depuis peu, mais je t'assure qu'il est fait pour cela....Il,apprend vite et aime visiblement cela.... Jete l'amènerai demain on verra comment il réagira!!!   Je ne comprenais pas très bien ce qu'ils voulaient dire.... - Approche toi ... Je fis un pas vers l'homme qui venait de m'adresser la parole.... Sa main se dirigea directement vers mon entrejambe... - ne bouge pas !  Ecarte un peu les cuisses... Bien Monsieur , cet homme à ouvert ma braguette et à  sorti mon sexe ...bien tu portes déjà les marques de ton Maître....C'est parfait....  Rhabilles-toi! Tout en me rhabillant je les entendais parlé et piercing et de tatouage....Heureusement Monsieur refusa en disant que c'était beaucoup trop tôt... Monsieur s'est assis, je me suis placé derrière lui, entre lui et l'homme qui m'avait parlé.... - Quoiqu'il arrive tu ne bouges pas, compris? - Oui Monsieur Au début je n'ai pas compris le pourquoi de cet ordre, mais au bout d'un moment l'homme à côté de moi s'est mis à me caresser de façon de plus en plus explicite!... PAs question de déplaire à Monsieur... je me suis laissé faire, j'avais honte de ne pas réagir et en même temps je trouvais cela tellement bon.... Comme nous étions dans un recoin de la salle, l'homme qui visiblement commandait le groupe m'a ouvert la braguette, puis m'a sorti une nouvelle fois mon sexe.... je bandais terriblement, et le cockring et l'anneau rendaient mon sexe monstrueux...ce qui n'est pas le cas d'habitude, je ne suis pas fortement membré...loin delà!!!       - En plus, il aime cela...pourtant avec ton anneau il doit avoir mal...et pourtant regardez comme il bande la salope !   Par contre, tu l'amènera à Josiane, pour qu'elle lui fasse une vraie épilation.... Tu t'es rasé quand?       - Ce matin Monsieur       - Parfait, Tes poils commencent à repousser, donc jeudi matin ils seront à la bonne longueur.... Tu l'amènes jeudi matin à 10h au salon elle saura quoi lui faire!       - Mais jeudi je ne peux pas, je travaille...       - Je ne veux pas le savoir tu seras jeudi matin à 10h au salon, pour le reste tu te débrouilles...       - Bien Monsieur Nous sommes restés encore un peu, monsieur me caressait discrètement, tout en parlant avec les autres. Puis nous sommes rentrés à l'appartement.       - Tu dois être crevé... pour une première soirée tu as été gaté ... Il ne t'a même pas gifflé....tu dois lui avoir plû!!! tu seras bien le premier que je lui présente et qui ne se fait pas rabrouer aussi sec !  Tu es vraiment une belle petite lope tu sais !        Monsieur avait préparé un petit matelas, au pied de son lit, il m'a attaché les poignets dans le dos...       - Pas question que tu te touches cette nuit !  Je te mets le réveil à 6 h pour demain matin, le temps que tu prennes ta douche et que tu prépares mon petit -déjeuner pour 8h30...       - Bien Monsieur... Monsieur s'est couché et je suis resté un long moment a genoux sans trop savoir quoi faire, voulait-il que je le suce ? Comme il ne disait rien j'ai décidé de m'allonger sur le  petit matelas et d'essayer de dormir….    à suivre    .../...  
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Par : le 18/04/24
Bonjour, la petite foule des obsédé(e)s de la cravache, des boules de geishas et des plugs anaux! Etant féru d'histoire, je me suis permis de commettre la petite fantaisie ci-dessous, en espérant qu'elle aura l'heur de vous divertir un peu...    Madame de Montespan se sent un peu fébrile en ce chaud début d’après-midi de juin 1667. Etant la nouvelle favorite du souverain, elle arpente nerveusement les nombreuses pièces de l’appartement que lui a donné le Roy, sis au premier étage du château de Versailles encore en chantier. Cet avantage a donné lieu a bien des commérages malveillants, mais Madame n’en a cure car elle sait qu’elle est la plus belle de la Cour… Madame est seule entre ses 4 murs, elle a donné congé à la valetaille et aux dames de compagnie. A chaque fois qu’elle passe devant un miroir (et ils sont nombreux), elle ne peut s’empêcher de vérifier encore si sa perruque est bien poudrée, si la mouche collée sur sa joue fait bon effet, et si la robe à crinoline en vogue en cette période affine bien sa silhouette (la réponse est oui, sans aucune contestation !) Madame s’arrête enfin devant la grande fenêtre et regarde d’un air absent les courtisans et courtisanes qui s’égayent dans le grand parc. Puis elle sourit en pensant pourquoi elle se sent si troublée et elle se souvient… Elle se souvient qu’il y a quelques jours, Louis l’avait invitée à passer la journée et surtout la nuit au domaine de Marly. Etant au centre de toutes les attentions (et de toutes les jalousies), la journée avait été merveilleuse pour elle entre jeux divers, concerts de musique et dîner somptueux. Malheureusement, la nuit avec Louis qui aurait dû atteindre des sommets, a viré au fiasco…En effet, en cette nuit tiède et triste, et malgré des efforts méritoires, Louis n’avait pas été en mesure d’honorer Madame comme il se doit… Bref, on lui avait « noué l’aiguillette ! » Ceci aurait pu en rester là si le naturel de Madame n’avait pas repris le dessus sous la forme d’un rire sonore et humiliant. Cette sortie malheureuse avait irrité le Bourbon au plus haut point, et il s’était brusquement dressé dans le grand lit en pointant un doigt accusateur sur Madame, toujours secouée par son fou rire plutôt malvenu. « Il suffit, Madame ! Votre conduite est indigne de votre rang ! Puisque c’est ainsi, Nous viendrons ce mercredy et userons de la badine sur votre croupe insolente ! » (Louis utilisait toujours le « Nous » pour parler de “Lui” !) Il se savait libre cette journée, n’ayant pas d’impôt nouveau à lever ni de guerre à déclarer… Il s’était rhabillé et avait quitté la chambre royale en claquant la porte. Mauvais signe… Ainsi, devant sa grande fenêtre, Madame sait qu’elle va bientôt être fouettée par le plus grand souverain de son époque. Un sourire énigmatique anime ses lèvres pendant que, de façon instinctive, elle passe sa main vers l’arrière de la crinoline… Soudain, des bruits de pas qui approchent la font sursauter. Les pas (ceux de Louis et des huissiers) se sont arrêtés devant sa grande porte. Déjà, Louis frappe sur l’huis à trois reprises avec sa canne à pommeau d’argent. Docile, Madame s’approche lentement pour lui ouvrir. Lorsque la porte sera ouverte, elle sait que l’Histoire va s’écrire…
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Par : le 18/04/24
Je referme bien mon manteau pour aller jusqu’à la voiture, ma robe est vraiment courte, à chaque pas que je fais elle remonte, si bien qu’elle arrive au-dessus de mes fesses avant d’atteindre la voiture, heureusement que mon manteau m’arrive au mollet. Sur la route, l’excitation mais aussi le stress monte. Je ne sais pas pourquoi je suis stressée dans le fond… Les dix minutes de route passent vite. Arrivé devant l’Ambassade, nous sortant de la voiture, je regarde Monsieur, les yeux pétillants et je l’embrasse. C’est la dose de courage dont j’avais besoin. L’homme à l’accueil nous explique le fonctionnement du club étant donné que c’est la première fois que nous y allons. Il nous propose également une visite que nous refusons ; nous découvrirons par nous-même. Les portes s’ouvrent sur une salle avec un bar sur le côté, des cages, des bars de pole dance. Il y a des banquettes un peu partout autour de la pièce. Il n’y a pas encore beaucoup de monde. Nous prenons un soft pour nous mettre dans l’ambiance puis allons fumer une cigarette. On remarque une piscine à l’extérieur, ça doit être vraiment sympa l’été. Une fois terminé, on rejoint les escaliers qui mène ce pourquoi on est là, la red room. Un fauteuil tantrique est posé à l’entrée, suivi d’un grand coin câlin, au bout du couloir des cris se font entendre. Nous retrouvons un couple qui regarde deux femmes en train de se donner du plaisir. L’une d’elles est positionné sur un banc à fessée, pendant que son amie s’occupe de son anatomie. Je suis déçue que la salle soit prise … Maître décide alors de revenir vers le fauteuil tantrique. Je m’assoie dessus en lui exposant mon dos. Quoi de mieux pour commencer et me chauffer la peau que les griffes d’ours. Je me détends sur leur passage, je savoure les sensations. D’abord cette douleur légère lorsque qu’elle parcourt ma peau, puis les picotements qu’elles laissent sur leur route et la chaleur qui émane et se diffuse dans mon corps. Je ne sais pas combien de temps nous restons là dans cette position. Maître me relève et me dis à l’oreille « je vais t’énerver un peu plus ». Il attache la laisse à mon collier et me fait avancer jusqu’à la grille ouverte, là ou les 2 femmes se trouvent avec un homme. Il me fait mettre à genoux et je profite du spectacle. Je m’imagine avec ces magnifiques créatures, rajoutant des gémissements aux leurs, les mains de mon Maître me caresse les cheveux. L’une est maintenant a genoux offrant une fellation à l’homme présent pendant que l’autre l’embrasse. Ils ont tous les trois l’air de bien profiter du moment. Cependant je ne peux m’empecher de me dire qu’ils peuvent faire ça n’importe où plutôt qu’ici… ils se contentent d’essayer les divers meubles, c’est frustrant. L’homme part laissant les femmes s’amuser seule. La jolie brune s’applique à procurer un cuni en regardant sa complice avec un regard de braise. Un autre couple arrive et entre dans la pièce, la femme suce son mari pendant que celui-ci regarde les plaisirs saphiques de ces voisines. Je suis choquée qu’ils se soient incrusté comme ça, tous les spectateurs étant resté devant la porte pour leur laisser un semblant d’intimité. Mais bon, nous sommes dans un club libertain, la porte était ouverte, c’est leur droit. Les femmes ont décidé de quitter la pièce, je regarde Maître, c’est à notre tour. Mon pouls s’accélère. Je me mets en position nadu et j’attends les instructions, Maître s’installe, pose les accessoires, je demande la permission d’enlever mes talons. Mettre tire sur ma laisse et je me relève. Il saisit un de mes poignets et l’accroche à la menotte. Je lui demande s’il peut serrer un peu plus mais c’est au maximum. Zut … mes petits poignets n’ont jamais de chances avec les menottes. Il attache le deuxième, je dois me mettre sur la pointe des pieds pour pouvoir l’aider. Il détache ma laisse et me bande les yeux. Je le remercie intérieurement, me priver de la vue me permet de rentrer plus facilement dans ma bulle. La musique du club en bruit de fond ne m’empêche pas d’essayer de reconnaitre et deviner quel accessoire il prend. Je suis toujours trop curieuse. Il prend les griffes, parfait ! Je baisse la tête, profite, ma respiration est d’abord calme, puis de plus en plus rapide à mesure que la douleur fait grimper mon excitation, il passe sur mon dos, sur mes fesses, je me cambre pour ressentir encore plus. Il passe aux roulettes de Waternberg. Ces roulettes avec ces pointes sont délicieuses sur ma peau chauffée. Une fois que Maître a suffisamment préparer mon corps pour lui, il prend sa nouvelle acquisition, le martinet en cuir, il commence doucement, ne sachant pas comment je vais réagir à ce nouvel instrument. J’adore son impact lourd sur le haut de mon dos, sur mes fesses, ce n’est pas douloureux, je lui dis « vert » Il frappe alors plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus intensément, je gémis, je me rapproche de l’orgasme. Il s’arrête et vient caresser mon clitoris qui pulse, je vais jouir ! Mais il le sait, et je sais qu’il ne me laissera pas atteindre l’orgasme, pas tout de suite, c’est trop tôt. Il se pense à mon oreille « Je crois que tu fais peur aux gens » - « ah bon ? C’est pas grave ! » Il est temps pour lui d’essayer son cadeau d’anniversaire, nous en avions parler en amont, il m’a prévenu qu’il irait doucement. Il déplace le meuble qui le gène puis frappe fort dans le vide. J’entend le fouet frappé l’air, le claquement du crackers … ça m’émoustille ! Le prochain coup arrive sur le haut de mon dos, il me caresse, un coup a droite, puis à gauche, les fesses c’est agréable, je ressens des frissons dans tout mon corps. J’ai besoin que ce soit un peu plus fort, je le signal à Maître par un « vert ». Il appuie un peu plus les coups, sans pour autant me faire mal. Je sais qu’il faudra du temps pour s’accommoder à ce nouvel instrument. La cravache vient ensuite, sa morsure cinglante, piquante m’arrache quelques cris un peu plus fort. Maître me confie que le manche vient de casser, il reprend alors le nouveau martinet. Les lanières de cuir viennent effleurer, frapper, s’incruster sur ma croupe et sur mon dos. Toujours à l’affût de mon état, il me demande « et la c’est quelle couleur ? » Je réfléchi un instant, je n’approche pas de ma limite, la force, l’intensité et pile ce qu’il me faut, pour la première fois je dis « bleu ». Nous n’avions jamais utilisé ce code auparavant, mais il est sorti tout seul. Je pense que Maître a compris puisqu’il continue l’impact de la même manière. Je m’envole de plus en plus, je suis dans ma bulle partager entre douleur et plaisir. Un orgasme me saisit sans crier gare. Maître se rapproche de mon oreille, m’attrape par les cheveux et me dis « Est-ce que je t’avais donné l’autorisation de jouir, salope ? » - « Non, Maître. Pardon Maître » Il tire un peu plus fort sur mes cheveux pour me faire pencher la tête en arrière et m’embrasse. Pas un de ses baisers tendres, non, un baiser qui se veut possessif, brutal, qui m’enflamme. Il reprend la danse avec le martinet, je ne tarde pas à retourner dans ma bulle, toujours plus loin, je n’ai plus conscience de ce qu’il se passe autour de moi, je perds pieds, je m’abandonne totalement dans un cri. Mes jambes flanches sous-moi. Mon Maître me détache les poignets et me prends dans ses bras, je remonte peu a peu à la surface. Quelques minutes après, Maître me demande de prendre position sur la chaise. L’assise bouge, mes jambes sont maintenues relevées et écartées, et je vois mon Maître s’assoir sur le tabouret juste en face. Il me regarde dans les yeux, il doit y voir tout le désir que j’ai pour lui à ce moment. Son regard est perçant, enivrant, excitant et perturbant, je ne peux m’empêcher de baisse les yeux. C’est alors qu’il se penche en avant et commence à jouer avec mon bouton magique. Je m’arc-boute dans le fauteuil. Mes gémissements remplissent la pièce au rythme de sa langue qui me lèche, m’aspire, me mordille. J’essaie de retenir l’orgasme, je veux profiter encore de sa langue experte sur mon intimité sensible. Cependant, il me connaît par cœur, il sait que je suis au bord du précipice… C’est là qu’il choisit d’accélérer encore, il me regarde et je comprends, sans qu’il n’ait à parler. Je jouis fort, bruyamment, je suis essoufflée, mon cœur bas la chamade, j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine. Maître veut immortaliser le moment, il me demande de m’agenouiller devant la croix pour prendre une photo souvenir. La photo est magnifique ! Pendant qu’il range le matériel, je remets mes chaussures, je sais que je vais me souvenir de cette première séance en club pendant très longtemps. Nous redescendons dans la salle principale et commandons un verre de soft, j’ai soif d’avoir crié. Nous allons fumer une cigarette. Nous discutons de la séance, apparemment des personnes n’ont pas apprécié le spectacle, jugeant cela « malsain ». Je ne comprends pas le jugement, que ça ne leur plaise pas est une chose, et ils en ont le droit, mais de là à dire que c’est « malsain » … nous sommes quand même dans un club libertin, le lieu où les corps se rencontrent, avec un complice ou un inconnu. La soumission n’est pas malsaine, c’est une manière de vivre, un choix que j’ai fait qui me procure un cadre, un bien-être, un bonheur au quotidien. Je n’ai jamais été aussi heureuse et libre de ma vie, et tout cela, je le dois à mon Maître. Cette remarque à fait tiquer Monsieur aussi. Il a apprécié la séance même s’il aurait aimé pouvoir changer certain aspect. D’abord la musique, trop forte et pas le style qu’il nous arrive d’écouter pendant les séances. Ensuite le meuble trop proche de la croix qui l’a gênée plusieurs fois. Enfin la lumière rouge de la pièce qui était trop prononcé, il aime se fier aux couleurs de mes marques pour savoir ou taper, avec quelle force, la lumière l’en empêchait. Quand on est du côté du receveur, on imagine pas comment le cadre est important, la charge mentale qu’il faut pour à la fois penser au plaisir de sa partenaire mais aussi à sa sécurité, mais aussi à veiller aux spectateurs au alentours afin qu’ils ne prennent pas un coup par erreur. Au retour dans la salle, nous nous installons dans un canapé, une femme magnifique, aux cheveux court, commence à danser autour de la barre de pole dance. Je n’arrive pas a décrocher mon regard d’elle, je la trouve gracieuse, terriblement sexy. Elle retourne au bar auprès de la personne qui je pense est son conjoint, j’en profite pour aller la voir et lui dire que j’ai adoré son spectacle. Cette fois-ci, nous commandons une bière, elle retourne sur la barre et recommence ses acrobaties, attrape la barre, tourne autours, se balance en arrière… elle me donne chaud, surtout quand elle retire ses couches de vêtements au fur et à mesure. Je regarde l’heure, il est bientôt 1h, les bains vont bientôt ouvrir, j’ai envie de me prélasser dans l’eau chaude pour détendre mes muscles engourdis. Maître baille de plus en plus, il est fatigué de sa petite nuit par ma faute et de notre journée. Je lui demande s’il préfère rentrer à l’hôtel, même si moi j’aimerai rester encore un peu… Effectivement, la fatigue se fait de plus en plus forte, nous fumons une cigarette avant de partir. Nous allons récupérer le sac avec les accessoires dans le casier. Je jette un œil aux coins câlin, et ouvre la porte de la balnéo, mais il y a un couloir qui m’empêche de voir à quoi elle ressemble. Je suis quand même dessus de ne pas avoir pu profiter plus du lieu, mais le bien-être et les désirs de Monsieur passe avant les miens. J’ai passé une excellente journée, une merveilleuse séance avec l’amour de ma vie, c’est tout ce qui compte. Nous nous sommes couchés dans les bras l’un de l’autre un peu plus d’une heure après notre arrivé à l’hôtel, en ayant pris soin de mettre le réveil pour pouvoir profiter du petit déjeuner, la nuit va être courte.  
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Par : le 17/04/24
  A la demande de mon Maître, j'ai rédigé le récit de notre week-end anniversaire. Après l'avoir lu, il m'a dit de le publier. C'est la première fois que je fais ça, soyez indulgent svp😊   Joyeux Anniversaire Maître   Vendredi 5 Avril Il est 21h, je quitte le travail, à la fois excité, impatiente et stressé. Ça fait plusieurs jours que je stresse de lui offrir son cadeau. Va-t-il aimer ? Va-t-il se fâcher parce qu’il sait que j’ai fait des frais malgré notre manque de moyen ? Ce matin j’ai rangé le carton dans la bibliothèque, j’attendrais le bon moment pour le sortir. Lorsque j’arrive à la maison, comme d’habitude, je retire mon manteau et je vais embrasser mon Maître. On discute un peu de nos journées. Il est dans la cuisine et se prépare à manger. J’en profite pour aller aux toilettes mais surtout récupérer le carton, je le cache sous un coussin du canapé attendant le bon moment pour lui offrir. Après avoir terminé la préparation de sa flammenkueche, mon Amour va à son tour aux toilettes. C’est LE moment. Je récupère le carton, me met à genoux son cadeau dans les mains, tête baissée j’attends. Mon cœur s’accélère. Je l’entends arriver, il s’approche : « Joyeux anniversaire Maître ». Il prend le cadeau, le stresse monte de plus en plus… Il tente de deviner ce que c’est : « C’est trop gros pour un collier, trop petit pour une Senseo ou une moto » Je souris. Il n’arrive pas à l’ouvrir, part dans la cuisine chercher un couteau. Je veux voir sa réaction je me penche en avant, mais mon Maître revient devant moi. Il sort le papier qu’il y a dedans et reconnais le logo du fabriquant de fouet. Je vois son sourire, je suis soulagée, mon cadeau lui plaît. Même s’il fait une remarque concernant le prix, il ne me dispute pas. Ouf ! Je lui donne la petite carte que j’ai faite personnaliser, il la lit avec un sourire. « C’est trop mignon ! Merci Chérie ». Je le prend dans mes bras en l’embrassant amoureusement. Dans la soirée, il me demande de me positionner debout pour l’essayer, je sais qu’il ne connaît pas cet accessoire qui demande de l’entrainement avant de l’utiliser mais j’ai mes vêtements alors j’obéis et puis j’ai une confiance aveugle en lui. Je ne sens pas grand-chose par-dessus mes vêtements mais le bruit du fouet, le gouter, me procure du désir, j’en veux plus, j’en veux toujours plus … Nous retournons devant le canapé. Nous partageons sur Instagram le cadeau de Monsieur. Nous discutons, rigolons et finissons par aller nous coucher. La soirée a été calme, trop calme mais avant de m’endormir je lui dis « Même si ton anniversaire se termine dans 15 minutes, ce sera ton anniversaire tout le week-end. » Ce week-end que j’ai organisé pour fêter nos 2 ans de relations ainsi que son anniversaire. J’en frémit d’avance… Je m’endors en m’imaginant la journée de demain, notre première séance en club, j’ai hâte !
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Par : le 16/04/24
De temps à autre, mon esprit se laisse à vagabonder en des terres inconnues. Le célèbre "What If ?" qui sert de fondement à de nombreuses séries ou romans. Dernièrement, c'est ce dernier récit, un fantasme si j'ose dire, de ce qui arriverait si je trouvais la Domina qui me donnait le courage de l'essayer malgré mon engagement familial. Cette dernière phrase traduit tout sa réalité et toute sa contradiction à travers ce titre. Prospective, car ce n'est encore jamais survenu. Outre-rêve, car sait-on jamais. D'ici là, voici cette histoire, écrite à la première personne, en espérant qu'il plaira.   Le Grand Jour vient enfin. Vous m'attendez divinement habillée. À peine entré, vous me faites me déshabiller, m'encagez, mettez de menottes aux poignets et chevilles, un collier à mon cou avec une laisse pendante sur mon torse frêle. Vous me laissez comme ça pendantes plusieurs minutes, à m'inspecter, vous moquer. Puis, vous décidez de me "préparer". Vous m'épilez intégralement le pubis et le cul. Vous me faites un lavement anal également. Vous prenez un malin plaisir à m'humilier et à rendre cela, non pas douloureux, mais inconfortable. Vous jouez avec mon sexe encagé. Vous me faites m'agenouiller sur un coussin. Vous attachez mes poignets dans mon dos ainsi que mes chevilles, et m'ordonnez de vous lécher. Peut-être aurai-je de la chance, alors vous me présentez un sexe parfaitement entretenu. Peut-être souhaiterez-vous m'humilier davantage,et c'est alors à moi de l'entretenir pour vous avec ma langue. Cela dure longtemps, parfois vous me détachez pour que je puisse user de mes doigts également, parfois vous m'allongez pour entamer un facesitting. Vous exigez de jouir, plusieurs fois, sans que mon avis ne compte. Vous me présentez un gros plug et m'ordonnez de m'empaler dessus. Sans lubrifiant. J'ai une minutes. Si je n'y parviens pas, alors ce sera vous qui me casserez le cul. Évidemment j'échoue honteusement : le plug est trop gros et le temps trop court ; c'était fait exprès. Vous m'attachez sur le ventre, le cul bien en l'air, prêt à l'usage, les yeux bandés. Vous commencez à m'enculer sans ménagement, comme un vulgaire trou à disposition. Vous vous enfoncez jusqu'à la garde, avec des godes toujours plus longs et toujours plus gros. Avec vos poings, vous décidez de me fister. Un poing, deux poings, vous avez décidé de me détruire complètement l'anus. Cela dure toute la soirée, vous êtes décidée à me dilater le cul au maximum. De temps en temps, vos faites une pause pour que je vous lèche de nouveau. Malgré ma fatigue, je dois continuer, vous donner vous plaisir, vous prendre en moi, vous lécher et sentir mons sexe compressé dans sa cage sans pouvoir assouvir son désir orgasmique de grandeur. Quand finalement vous décider d'arrêter, je suis épuisé. Mon cul n'est plus qu'un trou, ma machoire est endolorie, je me sens tel un jouet qui a trop servi ... pour cette fois. Je n'ai pas eu mon mot à dire sur la durée, les formats et la vigueur de vos mouvements. Pour finir vous entamez une dernière phase . Cunnilingus d'abord, on ne change pas un plaisir qui plait, puis anulingus. Vous me libérez de ma cage ; vous me branlez de sorte que je jouisse le plus vite possible, mais ruinez mon orgasme. Le plaisir aura été bien court. Vous me forcez à nettoyer mon sperme avec ma langue, me laissez me rhabiller et me regardez partir sans m'adresser ni mot ni regard.  
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Par : le 15/04/24
2002, cela fait 4 jours que j'attends l'intervention du technicien de maintenance informatique de la petite société pour laquelle je travaille. Il est 18h, je suis fatigué et ce gars m'appelle pour me dire qu'il sera à la société dans un quart d'heure..... Encore au moins 1 heure de perdue! Je ne serai pas rentré avant 20h à ce rythme là! Bon point pour lui, i lest effectivement là un quart d'heure plus tard. Grand, élancé, musclé ....pour tout dire bel homme sensiblement de mon âge, entre 45 et 50 ans! Tout en se mettant au travail nous discutons de choses et d'autres....Je le regarde faire, tout en sachant bien, ce que je lui dis, que je n'y connais rien mais que j'ai besoin que cela fonctionne pour le lendemain ayant des rendez-vous importants et un besoin urgent d'accéder aux statistiques.... Il est marrant, ne s'affole pas, regarde tout autour de lui  et ses commentaires sont plutôt bien sentis et amusants. -"Ah vous aimez vous aussi les sites BDSM!"  Je rougis et ne sais plus trop quoi répondre??? Car oui j'aime cela et je rappelle d'un seul coup qu'en l'attendant je regardais justement une vidéo BDSM... - " Vous devriez fermer et effacer ce que vous regardez sur le net..... n'importe qui peut tomber sur vos historiques...  Que regardiez-vous? - j'ai bafouillé une vidéo, et comme un gamin pris en faute je regardais mes pieds ne sachant quelle attitude prendre! -" Ah Ouais.... c'est fort comme vidéo.....vous aussi vous aimez ce genre de relations?" Il semblait très à l'aise pour parler de cela...ce n'était pas mon cas -" Oui j'aime les regarder ...." je laissais la fin de phrase en silence -" Moi aussi j'aime bien les regarder, mais je préfère pratiquer!" -" Je n'ai jamais pratiqué.... Je suis marié....." -" Ben cela n'a pas grand chose à voir!  ....cela vous tenterait?" -" Je  je n'en sais rien.....  oui peut être,,,,avec quelqu'un en qui j'aurai confiance...." Il souriait tout en terminant son travail -"Va falloir me faire confiance, car je viens de copier tout l'historique de votre disque....Et si vous ne m'obéissez pas je l'envoi à votre patron!" -"Mais....vous êtes fou...s'il voit cela il me vire aussi sec!" -"Alors obéissez moi....  Je vous attends samedi chez moi à Nantes ....voila mon adresse....10 h samedi matin....Et je me prénomme Gilles...A samedi Nicolas" Je tremblais de rage, de peur et d'excitation..... En rentrant à la maison, je ne dis rien à ma femme,  pas envie de me battre à lui expliquer que je venais de me faire pièger comme un bleu.... et que non seulement je ne porterai pas plainte  mais que cela me tentait fort d'y aller. Je prétextait une rèunion importante avec mon patron pour le samedi!    
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Par : le 09/04/24
  Dès notre première rencontre, Maître J m’avait demandé si je souhaiterai avoir une relation sexuelle avec une femme. Cela faisait partie de ses fantasmes que d’avoir deux soumises à sa disposition. Je l’avais rassurée sur le fait que non seulement je n’étais pas contre, mais qu’en plus j’étais plutôt très intriguée de connaître une soirée ou plus dans les bras d’une femme et si cela se passait sous les ordres de mon maître, j’en serai encore plus heureuse. Il me teasait donc régulièrement sur cette possibilité et un soir, il me dit qu’il se pourrait qu’il me fasse rencontrer l’une de ses bonnes amies, une jeune femme lesbienne, qu’il connaissait depuis longtemps et avec qui il avait déjà évoqué ses soumises. Cela me mis dans une grande excitation et j’espérais que cela arrive un jour prochain.  Finalement, presque deux mois après nos retrouvailles, Maître J. m’indiqua que son amie Dame V. allait passer une soirée chez lui, qu’il lui avait dit que peut être, elle pourrait rencontrer sa soumise et qu’elle en était d’accord et intriguée. La pression monta d’un cran et je passais la semaine à me questionner sur cette soirée. Qu’allait-elle penser de moi ? Qu’est-ce que mon maître allait me demander ? Serais-je à la hauteur de ses attentes ?  Finalement, le dimanche soir tant attendu arriva. Les jours précédents, Maître J m’avait indiqué qu’il souhaitait que je porte une nouvelle tenue qu’il m’avait achetée et qui était très courte et échancrée, mon collier d’intérieur (le plus gros), et un plug. Je tiendrais mon rôle de soumise et les servirais pendant la soirée. J’étais donc arrivée un peu plus tôt pour aider à préparer le repas (une raclette, pas trop compliqué, heureusement), et j’étais dans un état d’excitation et de stress démesurés. J’avais enfilé pour venir un joli pull noir avec un décolleté sympa fait de liens sur la poitrine et une mini-jupe. Cela plut à mon Maître qui décida que je resterai ainsi au final. De même pour le collier, le petit était suffisant. Il s’agissait de ne pas faire fuir son amie dès les premières minutes, me dit-il en riant. Je me sentie un peu mieux et il me rassura en m’indiquant qu’il fallait surtout que l’on passe une bonne soirée et qu’il n’y avait pas besoin de stresser. Je lui demandais également, si Dame V. venait à poser des questions (et c’était sûr que cela serait le cas), devais-je y répondre de manière évasive, sincère, détaillée, avec des mots plutôt adaptés ou précis…? Quel était son souhait?  Il me dit qu’à son avis, son amie ne serait pas facile à choquer et que je pourrais donc lui répondre comme cela me plaisait.  J’étais dans la cuisine lorsqu’elle arriva, préparant les bols de biscuits apéritifs. Elle entra dans la cuisine, avec une énergie et une confiance qui me séduisit de suite. Elle me claqua une bise dynamique sur les joues et je me sentis immédiatement à l’aise. Nous passâmes dans le salon où mon maître oublia presque qu’il avait une soumise pour l’aider à servir et s’occuper d’eux. Pendant l’apéritif, nous nous sommes mis à parler de choses et d’autres, de ses loisirs et passions, de leur amitié et de leur loisir commun qui les avait amenés à se rencontrer.  Dame V. parlait, racontait, expliquait et j’étais en admiration devant elle. Elle semblait si bien dans ses baskets, si épanouie, si sincère. Elle avait aussi un langage assez fleuri, ce qui me rassura sur la suite de notre discussion. J’ai toujours aimé ce genre de femmes que rien ne peut arrêter. Elle avait eu mille vies et je me plaisais à l’écouter parler. Aussi, lorsque finalement, elle commença à poser des questions sur ma soumission, cela me prit un peu au dépourvu.  Nous avons donc commencé à lui expliquer quels étaient les tenants et les aboutissants de notre relation et petit à petit, j'ai pris conscience que je ne ressentais aucune honte à exprimer ma position. J’étais même fière d’être la soumise de mon maître et de le dire. Je sentais aussi qu’il n’y avait pas de jugement de la part de Dame V. même si elle ne comprenait pas forcément que j’accepte de me mettre dans cette relation de domination.  La soirée se passa de manière très sympathique et c’est bien tard que mon maître accepta de me libérer car je travaillais le lendemain. Je rentrais donc avec le cœur léger, mais plein de pensées dans la tête. Dame V. m’avait beaucoup plu et même si la soirée avait été très sage, je me sentais très attirée par elle. Peut-être que nous pourrions nous revoir lors d’une autre visite. Je l’espérais en tout cas.    Aussi, quelle ne fut ma surprise lorsque le lendemain matin, Maître J. m’envoya un message m’indiquant que nous nous retrouverons le soir même dans un club libertin humide de la capitale. Le même club dans lequel nous nous étions rencontrés, lui et moi, 10 ans auparavant. Dame V. était très impatiente de découvrir cet endroit dont nous avions parlé la veille. Par message, il me dit aussi qu’il ne fallait pas que je me mette à fantasmer de trop, V. était certes curieuse mais pas forcément de la partie échangiste de la boîte, plus de l’atmosphère, du jacuzzi et du sauna… Malgré tout, j’avoue que j’eu du mal à me concentrer au travail ce jour-là. Maître J. travaillant un peu tard dans la soirée, j’avais proposé que je puisse retrouver Dame V. un peu avant dans un bar du quartier afin qu’elle n’attende pas seule et je la rencontrais donc une petite heure avant notre rendez-vous devant le club. Ce fut une petite heure sympathique, pendant laquelle nous avons pu discuter de choses et d’autres. Mais aucun sujet en dessous de la ceinture ne fut abordé à ma grande déception.  A l’arrivée de mon maître, nous nous sommes donc dirigés tranquillement vers le club. J’en profitai pour rappeler quelques éléments qui me semblaient essentiels : un non veut dire non. Si quelqu’un est trop insistant, elle peut nous demander d’intervenir ou directement à l’entrée. Mais maître J se mit à rire en me disant qu’il avait plus peur pour ceux qui tenteraient quoi que ce soit avec Dame V. Cela détendit un peu tout le monde et nous nous sommes rapidement dirigés vers les vestiaires.  C’était très étrange de se retrouver de nouveau dans ce lieu si familier, qui à la fois n’avait pas changé, mais présentait de nombreuses nouveautés. J’eu la chance de pouvoir me préparer tranquillement car nous n’étions pas dans le même vestiaire et une fois, nus, avec nos paréos et nos serviettes, nous étions fin prêts à rejoindre la soirée.  Nous avons commencé par une petite visite, à la fois pour que V. puisse se repérer et également pour évaluer les changements depuis la dernière fois. Quelle surprise de voir le nombre de couples un lundi soir ! Nous pensions que le club serait vide et il n’en était rien.  Nous avons donc traversé le bar, le coin repas, passé devant un jacuzzi presque plein et qui semblait déjà bien “animé”. À l'étage, le hammam et le sauna était toujours aussi invitant et nous fîmes un rapide tour dans les coins câlins déjà bien investis. Je ne pus m’empêcher de jeter un œil à 2 couples en pleins ébats. J’ai toujours aimé admirer les corps amateurs en action. Mais Dame V. ne semblant pas très à l’aise et mon maître ne souhaitant pas rester, nous voilà repartis pour tester le jacuzzi.  Devant le bain, on se prépare à y rentrer. Les paréos tombent et je me retrouve pour la première fois nez à nez avec Dame V. totalement nue. Elle est superbe et j’en ai le souffle coupé. Ses tatouages révèlent encore plus la ligne de ses cuisses, ses seins sont magnifiques et je me retiens de la caresser. Nous prenons une douche rapide avant de nous laisser glisser dans l’eau chaude et bouillonnante. On trouve un petit coin encore dispo et on se retrouve tous les trois, assez proches car il est difficile de s’entendre. Autour de nous, plusieurs groupes sont déjà formés. Un homme et deux femmes à quelques centimètres de nous ont l’air d’avoir oublié les règles du jacuzzi (pas de sexe, masturbation, pénétration). Plus loin, ce sont 2 couples qui ont l’air d’être littéralement collés les uns aux autres. Cela m’excite terriblement et j’ai dû mal à les quitter des yeux. Entre nous, petit à petit, la discussion prend une tournure un peu sensuelle. On parle de nos expériences, de nos fantasmes, de nos souhaits. Parfois, par le contact de l’eau, nos jambes se frôlent mais cela reste chaste et j’hésite même à caresser mon Maître. A un moment, plusieurs personnes entrent et sortent et nous discutons du physique et de l’importance que cela revêt pour avoir envie d’une personne. Dame V. explique qu’elle doit se sentir attirée par le corps de celle avec qui elle va coucher et je me dis qu’au moins les choses sont claires et que cela n’ira pas plus loin. Mon physique me parait disgracieux comparé au sien et à plusieurs personnes présentes dans le jacuzzi. Le buffet est servi dans le coin bar et plusieurs personnes quittent les eaux tumultueuses pour aller se restaurer. Nous en profitons pour changer d’emplacement et je me glisse cette fois entre mon Maître et Dame V. Je commence à me rapprocher de lui, j’ai chaud, j’ai envie de le toucher, qu’il me touche et pendant un moment, sous l’eau, il joue un peu avec mes seins, me caresse et je lui rends la pareille. Par moment, je frôle V. avec ma jambe ou ma main, mais je ne la sens pas réactive. Je me concentre donc sur mon maître car je ne me vois pas quitter le club sans un peu de bon temps.  Au bout d’un moment où les discussions oscillent entre du très quotidien et des sujets un peu plus chauds, nous partons nous restaurer et il ne reste déjà presque plus rien sur les plateaux. Nous trouvons un coin un peu calme et je vais chercher une coupe de champagne, rappelant à mon Maître que je suis après tout, là pour les servir.  L’heure suivante s’est passée tranquillement, à discuter de choses et d’autres. Pendant une absence de V. pour ravitailler son assiette, je commence tranquillement à masser les épaules nues de mon maître. J’ai clairement envie de prendre un moment avec lui dans un coin câlin mais il m’indique que pour ce soir, à son avis, on va rester sur un sauna traditionnel, qu’il n’est pas trop dans cet esprit. Je comprends totalement car ce n’est pas évident d’être dans cette situation avec une amie proche mais je continue néanmoins à le masser au retour de V.  L’estomac bien rempli, Dame V. propose une visite au hammam et nous voilà partis dans les escaliers du club. La chaleur humide du hammam est très agréable et nous nous posons dans un petit coin. Je suis un peu gênée car une petite lumière est braquée sur moi et mes partenaires sont dans la pénombre. Nous rions car une dame dans un autre endroit du hammam émet de drôles de sons. Elle semble avoir la bouche bien pleine et je l’envie un peu. Je ne peux m’empêcher de jeter un regard complice à mon maître, ce qui le fait sourire. Un petit silence s’installe pendant quelques temps, puis, mon Maître propose à V. que je lui masse le dos, car elle s’est plainte de douleurs suite à des travaux manuels quelques jours auparavant. V. accepte et se tourne et je commence à la masser. Je ne suis pas très douée en massage et j’ai toujours peur de faire mal et de mal faire. J’ai très envie de prendre des cours un jour. Mais à ce moment-là, je m’applique du mieux que je peux, et je masse avec application chaque partie de son dos. Mes mains glissent parfois vers le bas de ces reins, mais je reste sage et concentrée. Elle m’indique parfois où appuyer et me dit que je peux y aller plus fort. Au bout d’un petit moment, elle me dit que c’est mon tour et qu’elle va me faire voir comment appuyer. Je me retourne donc et croise le regard très souriant de mon Maître. Il en profite aussi à sa manière. Dame V. pose ses mains sur moi et mon souffle se coupe instantanément, c’est électrique. Elle commence à me masser et ses mains sont dures, brutales, intransigeantes. Je souffre et en même temps, j’adore. Je me laisse totalement aller dans ce massage qui me détend et me maltraite en un même instant. Le temps semble s’être arrêté et lorsque Maître J. indique qu’il a trop chaud et qu’il sort, je m’en rends à peine compte. Je ne suis que sensations et plaisir à ce moment-là. Ses doigts glissent sur mes muscles, massent ma tête, mes côtes, et je suis en plein extase. Lorsque ses mains s’arrêtent finalement, je prends un temps pour respirer et me retourne pour la remercier. V. m’embrasse alors à pleine bouche. Sa langue force l’ouverture de mes lèvres, sa chaleur se répand en moi et son baiser est comme son massage, chaud, doux, fort. Mon ventre se tord de désir et j’essaie autant que possible de lui rendre son baiser.  Puis, on se relève. Je suis totalement essoufflée et j’entends V. proposer un sauna. Cela me ramène brutalement à la réalité. Mon maître est dehors, en train de nous attendre, depuis un temps indéfini. En sortant, je ressens un mélange d’émotions : l’excitation d’aller lui raconter ce qui vient de se passer et l'appréhension qu’il soit frustré d’avoir dû attendre ou déçu que je l’ai embrassé sans sa permission. Mais il me semble agréablement surpris et heureux de ma joie et de mon excitation. Je saute presque littéralement sur place. Moi, qui trouvait cette petite soirée un peu trop sage, je ne regrette pas le déplacement.  V. m’emmène dans le sauna mais Maître J préfère rester dans le couloir. On s’installe côte à côte, très proches, mais je me sens de nouveau un peu pudique. Dame V. me raconte alors qu’elle est dans une situation personnelle un peu compliquée actuellement. Elle me parle de ses maîtresses, de ses frustrations, de ses besoins. Elle me raconte comment elle aime faire jouir une femme, qu’il faut être à l’écoute car chaque femme est différente. Je bois ses paroles, mais la proximité de son corps nu n’invite pas à la concentration. Parfois, elle joint le geste à la parole, me caresse la cuisse ou me prends par le cou et chacun de ses gestes envoie des ondes électriques dans mon corps. Sur le moment, je reste plutôt statique, je ne veux pas brusquer les choses, aller trop vite, trop loin. Je profite juste de ce moment.  Lorsque la chaleur nous étouffe, nous sortons retrouver J. D’humeur joueuse, il me demande si lui aussi aurait droit à un massage et propose que l’on se pose dans un coin câlin. V. nous indique qu’elle va aller se balader un peu et je lui dis qu’elle est la bienvenue quand elle veut. Maître J cherche donc un coin câlin et comme on ne souhaite pas forcément être dérangés, on en choisit un avec une porte qu’on laisse légèrement entrebâillée pour Dame V. Pendant notre déambulation dans les coins câlins, j’en profite pour observer quelques couples en action pendant quelques instants. La chaleur dans mon bas ventre augmente. Dans notre petit coin câlin, mon Maître s’installe sur le ventre et je commence à le masser. Ce n’est pas très agréable sans huile de massage mais j’essaie de m’appliquer et de mettre en application les conseils de V. J’appuie plus fort, je suis plus dure dans mes gestes et mon maître semble apprécier. J’hésite à lui proposer une fellation car j’ai peur que cela fasse fuir V. si elle passe la tête. Et effectivement, elle arrive peu après et nous rejoint dans le petit coin. Un moment de flottement à son arrivée est vite dissipé lorsqu’elle pose son paréo s’installe à mes côtés et propose de masser “dignement” monsieur J. Il se retrouve donc masser à 4 mains et je sens qu’il prend son pied.  Elle commence à masser sa jambe droite et j’essaie tant bien que mal de faire la même chose sur la gauche. Je suis chaque mouvement en essayant de les reproduire à l’identique. Puis V. masse son dos, sa nuque et moi je m’occupe du bas du dos et des fesses. Chacune trouve sa place. Sa chaleur à mes côtés est très agréable et je ne peux m’empêcher de regarder ses seins, ses reins pendant qu’elle le masse. Désolée maître, je suis assez peu concentrée. Pendant le temps du massage, une femme partage avec tout le club le plaisir qu’elle est en train de recevoir avec de grands cris de plaisir. Cela me fait rire mais Dame V. se demande comment on peut crier si fort pour cela. Puis, Maître propose de se retourner et se place sur le dos. V. se retire un peu vers le fond du coin câlin et je commence à lui masser le ventre, le torse. Je ne m’approche pas trop de la zone sensible car j’ai senti une petite tension lorsqu’il s’est retourné. Je n’insiste donc pas. Je rigole en disant que j’ai vraiment du mal à trouver la bonne force dans mes mains et que j’ai l’impression d’être vraiment nulle en massage. V. me dit avec autorité qu’elle va me montrer. Elle se place derrière moi et cette fois, son massage est presque brutal. Ses mains sont dures, fermes et me font parfois pousser des gémissements. Mon côté maso se réveille, j’aime cette douleur. Elle me rassure. J’essaie de continuer à masser mon maître mais il m’est difficile de me concentrer sur la douleur, le plaisir, son plaisir. Mais je sens qu’il ne m’en veut pas et il me dira plus tard qu'il a profité du spectacle avec le miroir au plafond. Elle me masse avec autorité et j’apprécie cette sensation d’être à sa merci. Je rêve que ces mains glissent vers mes fesses, vers mes reins, vers mes seins. Mais elle reste dans des zones bien définies. J’arrive parfois à glisser quelques caresses sur les jambes et l'entrejambe de mon maître, mais à ma grande surprise, il ne réagit pas, très concentré sur la situation.  Au bout d’un certain temps, elle m’invite à me pencher légèrement sur elle et commence à masser le haut de ma poitrine, sur le sternum. Ça fait mal, c’est bon. Je vis à fond l’instant présent. Ses gestes sont précis et ne descendent jamais trop bas, ce qui me rend folle d’excitation.    N’y tenant plus, je décide de me tourner vers elle légèrement pour la remercier d’un baiser comme la dernière fois. Mais elle se penche en même temps sur mon oreille et me titille le lobe avec sa bouche. Son souffle dans mon oreille me rend folle et d’un coup, elle m’embrasse de nouveau, à pleine force. Je suis scotchée, surprise, mais totalement excitée. Ses mains descendent enfin vers mes seins et les massent quelques instants, je suis en extase. Ma bouche parcourt son cou, son torse pendant que sa bouche fait la même chose. On se découvre par nos baisers, de plus en plus envahissants. Petit à petit, ses mains descendent sur mon ventre et le caresse, puis se dirigent vers mes cuisses. Je suis toujours plus ou moins allongée contre elle, à moitié tournée vers elle. La position devenant inconfortable pour elle comme pour moi, elle me demande de me retourner, ce que je fais avec inquiétude, ayant peur de briser la magie du moment. Mais dès que je me retourne, elle reprend là où elle en était. On s’embrasse de nouveau, nos bouches explorent l’autre avec avidité. Je sens tout à coup les mains de mon Maître se poser sur mon dos et me caresser et cela me lance une décharge. Je suis prise en sandwich entre les deux et je sens mon corps s’embraser littéralement de désir. Je lève les yeux vers elle et lui demande si je peux, en montrant ses seins. Pour toute réponse, elle pousse ma tête vers le bas et je pose doucement mes lèvres sur ses seins. Quel bonheur pour moi de pouvoir enfin lui lécher le têton, le prendre en bouche, le titiller avec ma langue. Je profite à fond de ce délice quand soudainement, elle me redresse, me pousse en arrière et je bascule vers le fond du coin lit, tout contre mon Maître.  La situation a totalement dérapé en quelques secondes et je me retrouve allongée sur la banquette, ouverte, offerte. Je jette un œil à mon maître qui observe dame V. avec attention et je sens son excitation même s’il reste un peu en distance pour ne pas interrompre la scène en cours.  V. entreprend de parcourir mon corps. Je ne vois pas ce qui se passe, mais je sens sa bouche, ses mains, parfois les deux partout sur mon corps sauf sur mon bas ventre, là où je rêve plus que tout qu’elle vienne y déposer ses baisers. Mais elle évite soigneusement la zone. Et pourtant chacun de ses baisers, touchers provoque chez moi une décharge d’électricité, je me  tords de douleur,  de plaisir, de sensations totalement hors de mon contrôle.  Parfois, ses lèvres me mordillent, d'autres fois me lèchent. Mon Maître, de son côté, me triture par moment les seins, lorsque V. ne s’en occupe pas. Je suis tellement heureuse qu’il participe, j'essaie d’attraper sa queue mais je n’arrive pas à me concentrer.  Soudain, sa bouche se pose sur mon clito et je pars au 7ème ciel. Ses lèvres embrassent mon bouton, sa langue lèche, ses dents jouent avec mon intimité et je ne sais plus où j’en suis. Je caresse mon Maître par moment, tente de ne pas crier le reste du temps, ne sait plus où donner de la tête.  La pression monte dans mon ventre. Je sens ses doigts qui descendent vers mon vagin et je me fige. Nous avons discuté un peu plus tôt (au café) que j’étais en fin de période féminine et que par sécurité, je m’étais équipée à ce niveau-là. Elle ne pouvait donc pas mettre ses doigts. J’essayais de trouver les mots pour lui dire cela sans casser l’ambiance, sans que tout s’arrête mais elle commença tout doucement à parcourir le bord de mon vagin avec son doigt et je perdis toute raison. Je ne pouvais plus réfléchir à rien, mon corps ne me répondait plus. En insistant un peu, elle arriva à introduire son doigt légèrement et se mit à me caresser l’intérieur du vagin, tout en continuant à lécher et sucer mon clito. Je gémissais et retenais mes cris. Je ne voulais pas me laisser aller à une telle démonstration au vu de notre conversation quelques minutes auparavant et je me mordis durement la main droite, la gauche étant occupée avec mon Maître. Cela le fit rire et il m’enleva la main de la bouche, comme s’il souhaitait que je crie fort. Soudainement il m’embrassa avec force, à pleine bouche. C’était l’un de nos premiers baisers réels et j’en restais toute retournée.    Le plaisir monte en moi à grande vitesse et je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je suis en extase de sentir sa bouche sur mon clito, son doigt dans mon sexe, la main de mon maitre qui torture mon sein, son sexe dans ma main. Je murmure à mon maître que j’ai envie de jouir, lui demandant ainsi son autorisation. Son éducation se révèle de plus en plus ancrée en moi, même dans une telle situation. Il me donne la permission avec un petit sourire et je me laisse enfin aller. Je ne peux retenir un cri et cet orgasme est à la fois merveilleux et douloureux tellement il est fort. Mon corps brûle, se tord, crie. Je suis totalement déstabilisée. V. continue à me lécher, me sucer et mon corps ne peut plus le supporter. Chaque contact m’envoie une décharge entre l’effet d’une chatouille et celui d’un coup de fouet. Je me tords pour que cela s’arrête et part en fou-rire. Je ne peux plus me retenir, l’intensité est trop grande. V. se redresse le sourire aux lèvres. J’hésite à me tourner vers mon maître pour m’occuper de lui, mais l’ambiance a changé, le moment est passé. On se rhabille un peu maladroitement, je me sens extrêmement gênée et quelqu’un propose d’aller boire un verre. Je descends les escaliers sur un petit nuage, ne sachant si je viens de rêver ou si j’ai vraiment vécu l’un des plus incroyables orgasmes de toute ma vie. En arrivant près du jacuzzi, V. semble changer d’avis, prend une petite douche et se dirige vers celui-ci. Ravis, nous la suivons dans ce bain chaud. Cela me fait un bien fou car j’ai un peu froid après tant d’excitation et de sensations.  On s’installe de nouveau dans le coin du fond, moi toujours entre V. et J. Après quelques minutes un peu tranquilles, je commence à caresser doucement mon Maître qui devient rapidement très réactif. Je suis heureuse de sentir quelques secondes plus tard ses doigts sur mon clito, jouant avec lui. Mon corps est de nouveau parcouru de frissons, pas encore rassasié. Je sais que je suis moi aussi en train de dépasser les interdits du sauna, mais à ce moment-là, ça m’importe peu. Par moment, ma main frôle la jambe ou la cuisse de V. qui se laisse faire, ne dit rien. Mais je n’insiste pas vraiment. Au vu de la configuration du jacuzzi, ma jambe est posée sur le muret en face de moi, faisant une petite barrière entre mes 2 partenaires et par moment, je sens des mains qui se baladent sur elle. Je comprends assez rapidement, que non seulement mon maître me caresse mais également la somptueuse V. En effet, mon Maître a une main, posée sur mon sein et l’autre sur mon clito. Il ne peut donc me caresser la jambe en deux endroits.  Alors, je me permets petit à petit des caresses un peu plus appuyées sur sa jambe, sa cuisse et je commence à me rapprocher doucement de son entre-jambe. Je ne peux pas voir son visage car elle est assise à côté de moi, près de mon épaule et je n’ose me retourner pour l’observer, voir si elle est d’accord, j’y vais donc très en douceur, étape par étape, guettant la moindre crispation ou geste qui indiquerait que je doive retirer ma main. Je commence à caresser les doux poils de son pubis et là encore, je ne sens ni rejet ni rapprochement. J’hésite à continuer. Peut-être n'ose-t-elle pas me dire non ? Petit à petit, mon doigt descend le long de sa petite fente et touche puis masse son clitoris. Et finalement, je sens qu’elle repositionne légèrement ses jambes pour me permettre un meilleur accès. Je souris et mon Maître me regarde avec curiosité. Il n’a aucune idée de ce qui se passe sous la surface de l’eau et je continue à le caresser doucement. J’ai l’impression à ce moment-là de les posséder un peu tous les deux. Je m’occupe donc avec un doigt puis deux de son bouton et je le sens petit à petit qui gonfle, qui pousse les lèvres pour sortir et je suis toute émoustillée. L’un de mes doigts commence à se diriger vers son vagin et à le caresser. Mais je reste à l’extérieur, massant simplement la zone. Soudain, je sens sa main qui attrape la mienne et l’espace d’une seconde, je pense qu’elle va la retirer et me demander d’arrêter. Mais avec autorité, elle prend mon doigt et se l’enfonce dans son vagin. Mes yeux s'écarquillent et de nouveau, je sens le regard inquisiteur de mon maître. Je m’applique donc à lui pénétrer délicatement le vagin avec mon doigt. C’est une sensation extrêmement étrange que d’avoir le majeur à l’intérieur d’un sexe, chaud, humide, plein et creux en même temps. Quelques instants plus tard, V. appuie sur ma main pour m’indiquer que je peux aller plus en profondeur, plus fort. Je commence donc à la doigter un peu plus durement, à jouer avec son intérieur, sans trop savoir ce que je suis en train de faire. Je rajoute un 2ème doigt et je sens sa respiration qui s’intensifie. A ce moment-là, mon maître a compris qu’il se passe quelque chose et il s’occupe de ma chatte en même temps que de mes seins. Il fait très très chaud dans ce jacuzzi. V. respire de plus en plus fort, elle se cambre un peu.  Si ça continue comme ça, il va falloir qu’on retourne rapidement dans les coins câlins.  Est-ce une menace, une invitation? Je lui souris simplement et lui dis que je la suis avec plaisir. Elle se dirige en nageant vers la sortie du jacuzzi et je la suis en lui caressant les fesses, les jambes. Maître J. nous suit, totalement surpris. Un petit passage aux douches rapides et nous repartons dans l’escalier. Je m’assure que mon maître nous suit et je vois que V. prend le couloir du hammam plutôt que du coin câlin. Pourquoi pas après tout.  Mon maître étant un peu en arrière, je m’assure qu’il a vu notre destination et je rentre derrière elle. Je suis hésitante entre les deux et V le voit. Je lui demande si Maître J. peut venir et elle dit oui sans hésitation.  Elle s’est installée dans la salle principale du hammam cette fois, sur le banc en hauteur et lorsque je m’assois sur le banc du dessous, ma tête est pile à portée de son sexe. Maître J vient s'asseoir à côté de moi. Dame V. se penche pour m’embrasser, stoppant net les milles questionnements qui me passent dans la tête pour savoir où commencer. Comme plus tôt dans la soirée, ses baisers sont envahissants, puissants, chauds et humides. Je commence à y prendre vraiment goût et à lui rendre avec plus d’assurance. J’ai le souffle court. Timidement, je me dirige vers ses superbes seins et lui baise longuement. Maitre J. me caresse le dos doucement et cela m’excite énormément. Je commence à descendre mes baisers sur son ventre et lui dit que les préliminaires ayant déjà eu lieu, j’ai envie de descendre directement. En guise de réponse, elle appuie sur ma tête jusqu’à ce qu’elle atteigne son clitoris. J’imagine que cela veut dire oui, en souriant intérieurement.  Me voilà devant son pubis, joliment poilu, son clitoris apparaissant délicatement entre ses lèvres. J’ai déjà lécher une femme lors d’une soirée en club, mais cela avait durer un dixième de secondes et je n’avais pas ressenti grand chose. Là, je suis follement excitée mais également stressée. Vais-je savoir faire? Quel goût a sa mouille? Je suis en terrain totalement inconnu et le stress me gagne. Finalement, je me lance et commence à lécher avec ma langue. Instantanément, elle bascule légèrement en arrière et je suis heureuse de la voir réagir. Je sens avec ma langue qu’elle est très mouillée et cela me fait plaisir. Ma langue se fait plus envahissante et ses réactions s’intensifient. Elle gémit, se contracte, se rapproche, pousse sur ma tête. Je “kiffe” ce moment, j’aime cette sensation. Mon Maître en profite pour attraper mes seins à pleines mains et je suis aux anges. Je rapproche mes doigts de son vagin et commence à la pénétrer doucement. Je sens par moment la main de mon maître se promener sur mon clito et je rêve qu’il me prenne par derrière. Mais il reste sage et contribue seulement à mon plaisir du moment. De nouveau, elle attrape ma main pour que je la pénètre plus fort, plus profondément. Je lui enfonce donc deux doigts, fort, en faisant des vas et vient et elle gémit. Je la suce, je l’aspire, je la lèche, je suis totalement concentrée sur son plaisir. La sensation de ses muscles du vagin se crispant sur mes doigts est extraordinaire. Son orgasme est comme ses massages, puissant, soudain, violent. Elle se contracte en avant, emprisonnant mes doigts, avec un petit cri léger. Je suis totalement ébahie, heureuse, soulagée d’avoir pu, su la faire jouir. Je continue à la caresser quelques instants et elle m’indique à un moment de m’arrêter. Je me retourne d’un coup et me met à genoux devant mon maître pour le prendre en bouche. Cela les surprend tous les deux et les fait rire. Peu importe, j’ai envie de sa queue, je ne suis pas encore satisfaite. Je me mets à le sucer avec application, j’ai encore le goût de V. dans ma bouche, c’est totalement jouissif. Je m’applique sur sa queue, le gobant autant que possible. J’imagine que V. me regarde et cela m’excite. Mais V. ne se laisse pas intimider et se glisse derrière moi. Elle commence à jouer avec mon clito. Ses doigts le presse, le masse, le triture et elle joue avec le début de mon vagin. En quelques secondes, j’ai un orgasme puissant alors que je suis en train de sucer mon Maître et je crie sur sa queue pour ne pas hurler. Je n’ai pas pu lui demander l’autorisation de jouir, car j’ai été surprise et j’ai la bouche pleine :) . Au bout d’un moment, mon Maître me relève, il a trop chaud, et préfère que j’arrête pour l’instant. Ce soir, mon plaisir lui est prioritaire et j’en suis très heureuse. Je me retrouve donc assise par terre, entre leurs jambes nues. Je les caresse, les embrasse et je me sens totalement à ma place, dans une réelle position de soumise. Je suis totalement satisfaite de ce moment-là et c’est une image que je grave dans ma mémoire.    Au bout de quelques instants, J. décide de sortir car il a trop chaud dans ce hammam. Au fond de moi, j’espère qu’il ne m’en veux pas trop d’avoir joui de nouveau (parfois les idées d’une soumise sont un peu idiotes). Je me retrouve seule avec V., un peu ailleurs, dans un autre monde, et je continue à lui caresser doucement les jambes, les cuisses, à l’embrasser, la léchouiller.  Il va falloir que tu te calmes un peu, parce que si ça continue, il va falloir que tu recommences. Tes désirs sont des ordres Fais gaffe, il va t’arriver des bricoles.  Je prends cela comme une invitation et en un instant, je me retrouve de nouveau au niveau de son sexe. Lors de cette nouvelle session de cuni, elle est plus directive, m’indiquant comment la pénétrer, me demandant de mettre plus de doigts (j’en rajoute donc un 3ème puis un 4ème). Elle s’ouvre au fur et à mesure mais je ne force pas. Elle me demande d’arrêter les vas et vient et de simplement masser avec mes doigts à l’intérieur de son vagin. Je sens sa chatte qui pulse sur mes doigts, et je continue en même temps à m’occuper de son clito avec ma bouche. Elle jouit d’un coup, d’une seule pulsion vers l’avant, avec un cri un peu plus fort que la fois précédente. C’est fort et extrêmement satisfaisant. On reprend notre souffle toutes les deux et soudain, elle me pousse contre le dossier du banc, m’installe et se penche entre mes cuisses. De nouveau, cette sensation incroyable de sentir à peine ses lèvres sur mon clito, comme un souffle d’air, de douceur et d’un coup, une succion, un petit mordillement qui me portent aux bords de la jouissance. Elle pénètre mon vagin avec ses doigts un peu plus profondément et je suis incroyablement frustrée qu’elle ne puisse pas aller plus loin. C’est tellement bon que je ne peux me retenir de jouir dans un long cri qui la fait rire. On s’embrasse ensuite et on reste ainsi quelques instants. Je me dis qu’on a bien profité et que l’on va rejoindre mon maître, mais elle me dit qu’elle est insatiable, qu’elle pourrait baiser toute la nuit. Elle aussi est frustrée de ne pas pouvoir me prendre complètement. Je m’excuse de mon indisponibilité et que j’espère que l’idée de mes menstruations ne sont pas trop dérangeantes. Elle me dit de ne pas m’inquiéter. Cela ne la dérange pas, au contraire, elle aime le goût cuivré d’un vagin féminin et que si on était ailleurs, elle me demanderait de me rendre disponible quand même. Puis, pendant quelques minutes, elle m’explique comment s’assurer de faire jouir une femme, les signes à chercher pour savoir si cela lui convient, pour deviner ce qui la fait jouir. Nous sommes l’une contre l’autre et j’aime cette proximité, cette douceur. Je continue à la caresser doucement. Et finalement, elle attrape de nouveau ma tête et me penche sur son clito. Je me repositionne et repart à l'assaut de son mont de vénus. Je m’applique à suivre les consignes qu’elle vient de me donner, me concentre sur ses contractions, son souffle, ses soupirs. Je la pénètre de nouveau avec plusieurs doigts directement. Elle est toujours aussi mouillée, je ne sais plus si c’est l'excitation ou la moiteur du hammam. Tout à coup, un couple entre et s’installe un peu plus loin mais en face de nous. Je lui demande si elle veut qu’on arrête mais elle fait non de la tête, je me remets donc à la tâche avec application. Le couple ne nous quitte pas des yeux. De nouveau, elle jouit fort, se courbant sur moi comme après un choc électrique, mais cette fois, son orgasme se prolonge un peu en petits soubresauts.    Cette fois, nous sommes toutes les deux un peu fatiguées et l’on sort sans regret. J’ai vraiment besoin d’un verre et hâte de retrouver mon Maître. Je suis dans un nuage cotonneux et j’ai l’impression de flotter. On retrouve Maître J. à l’extérieur, il nous attend dans le couloir et je guette avec attention son ressenti. J’espère qu’il n’est pas frustré, ni déçu d’avoir dû attendre aussi longtemps. Je n’ai aucune idée du temps passé à l’intérieur, mais ça devait être long. Je sais qu’il était d’accord sur le principe, mais la réalité peut être différente. Pendant que V. prend une douche un peu plus longue que la mienne, je lui raconte en deux mots ce qui vient de se passer. Il m’indique qu’il faudra que je mette tout cela par écrit bien entendu, que je serai punie pour avoir joui sans autorisation (mais il le dit avec un grand sourire). Le club s’est vidé entre-temps, il est minuit passé. Ma soirée ne s’est définitivement pas terminée en citrouille et je suis heureuse. J’aimerai proposer à mon maître un temps tous les deux avant de partir, mais je sens qu’il est passé à autre chose et qu’il est un peu fatigué. On se pose un moment dans les canapés à l’entrée pour se remettre de nos émotions, avant de rejoindre les vestiaires. En sortant du club, j’ai l’impression de passer dans un univers totalement différent. Il fait froid, il pleut et j’ai l’impression d’être différente. Nous nous quittons sur le pas de la porte après un échange de baisers et je grimpe dans un uber. Je suis comblée, même si je reste un peu frustrée de n’avoir pu satisfaire mon maître, ou être pénétrée par l’un ou par l’autre. Mais cela laisse le champ libre pour d’autres soirées à venir. Quelques échanges de textos assez chauds avec V. avant de m’endormir me confirment qu’il y aura probablement une nouvelle session de découverte de ma bisexualité et j’en suis très impatiente. Je m’endors (très tard), le sourire aux lèvres.   
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Par : le 09/04/24
le plaisir du pied féminin, mais en tant que fétichiste ,encore plus d'excitation quand le pied de la femme est chaussé d'un bel escarpin talon aiguille .  je demande à ma maitresse de se mettre à nu ,j'ai besoin de voir son corps ,ses seins, son vagin rasé et ses belles jambes nues chaussées des escarpins. A cette vision, mon sexe se dresse presque droit ,bien dur ,le gland montre son bout rose ,mais je l'aide en le retroussant maximum ,jusqu'a sentir le frein soit tendu au maximum . Je fais plusieurs exercices de respirations, enfin de bien gonfler mon ventre et mes poumons ,Je demande à Martine , ma maitresse de carresser mon sexe avec son escarpin; mon pénis tréssaute en devenant de plus en plus raide ,je demande à Martine d'écraser mes testicules avec le bout de son escarpin, c'est très excitant, alors je lui demande d'enfoncer son talon sur mes couilles ;  elle hésite , de peur de me faire mal , je la supplie de faire ,elle enfonce son talon lentement entre les deux testiccule ,et quand elle m'entend un léger humm de ma part ,elle arrête la pénétration de son talon .  Je lui demande alors de passer à l'étape suivante , marcher avec ses talons sur mon corps , Je gonfle mon ventre ,elle pose le bout d'un escarpin sur mon nombril , mais comme l'autre est toujours au sol ,je ne sens presque rien , je lui demande donc de grimper entierment sur mon ventre . Elle se tient à la barre au mur ,et pause son deusième escarpin vers le milieu de mon vente ; je ressent véritablement les pointes s'enfoncer dans mon ventre , mon sexe se dresse comme un morceau de bois ,je pousse un léger gémissement de plaisir , Martine continue à avancer plus haut ,je pousse un second rale ,elle met un pied à terre . Elle m demande alors une faveur,  J'aimerais monter sur ton bas ventre ,au pied de ton joi pénis ,car je désirerais enfoncer ta véssie ; j'aimerais te déclencher un jet d'urine .  Je lui répond ,fait vite, j'adorerais uriner sur tes jolis pieds ,et ça tombe bien ,j'ai déjà envie. Martine pose la voute de l'escarpin sur l'os avanrt de mon périné , la pression de l'escarpin,plus la vue des fesses de Martiner ,me déclencha un premier jet d'urne , elle rappuie un peu plus fort ,et la, j'urine carrément assez abondamment, avec une sensation de picotement de mon urètre ,très agréable ,en sentant mon urine couler sur mes cuisses et sous mes fesse . Je demande alors à Martine de motiver mes tétons , je lui demande de remonter sur mon corps ,et de placer ses talons aiguilles sur mes tétons ,face avant de son corps vers moi .  Elle posa d'abord la voute de ses escarpins sur ma poitrine ,je gonfle bien mes poumon, elle pose alors son talon gauche sur le bouton de mon téton et elle place délicatement l'autre talon sur l'autre téton ,comme pour faire durer le plaisir . je ressent les talons pénétrer dans mes tétons comme des emporte pièce ,mon sexe déjà bien dréssé ,émet un susaut de redressement intense , Mes yeux sont fixé sur son vagin qui s'ouvre très légèrement ,et alors survint ce plaisir divin que j'attendais tant ,mon sexe émet un jet de crème blanche très puissant et très abondant, mes gouttes de lait ,tombent jusque sur la table du salon qui se trouve au bout de mes pieds et le reste coule sur mon ventre en mouillant la moquette au sol.  Martine se met à genoux entre mes jambes ,avec ses mamelles pendantes ,et lèche mon sperme sur mon ventre en l'avalant par gorgée et se couche sur moi de tout son corps nu et chaud . Elle m'embrasse en glissant sa langue chargée de mon lait dans ma bouche , nous restons un long moment dans cette position ,jusqu'à ce que mon sexe éprouve l'envie de se glisser dans son vagin si doux , et nous restames dans cette position indéfiniment ,comme si nous espérions toujours rester planté l'un dans l'autre
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Par : le 03/04/24
jce jour la j avais fini un chantier a quelques pas du sauna odessa m etant prepare avant de partir je decidais d une visite . apres avoir reglee l entree je sortait des vestiaires nu la serviette sur l epaule et je reclamais des gants a la caisse je montais m installer sur le sling installe les jambes en l air je metais la serviette sur mes yeux pour m aveugler et je tendais les gants entre mes jambes et j attendis dans cette position il se passa environ une demie heure qd j enttendis un mec dire :tu est encore plus salope que moi : il me saisi les gants et me demanda le lubrifiant qui est a dispo dans un reservoir au dessus des lingettes et toujours aveugle je sentis les doigts sur mon trou je n avais volontairement pas pris de poppers et le mec me dit detend toi et commenca sa poussee j avalait le poing relativement facilement et un voyeur est venu assister a la scene mon fisteur lui proposa de prendre c a place mais celui ci declina la proposition  le mec me ramona pendant quelques minites et finit par resoortir poing ferme j avais ete fiste par un inconnu en bonne lope dilatee que j etais  je retirai la seviette de yeuxx pour decouvrir et remercier mon fisteur  celui ci me laissa ne voulant pas de compensation et je retournai au vestiaire pour rentrer chez moi heueux de cette fantastique experience bien reelle et j ai eu beaucoup de chances de tomber sur ce type car je n ai plus jamais renouveller cette experience  
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Par : le 03/04/24
[Ceci est le troisième volet d'une histoire en plusieurs actes. Honnêtement, ça vaut la peine de commencer par les premiers épisodes ! Vous les trouverez ici: https://www.bdsm.fr/blog/8314/Canis-lupus-[1]/ et là: https://www.bdsm.fr/blog/8329/Canis-Lupus-[2]/  J'avais prévu que ça ne fasse que trois épisodes, et voilà que mon histoire n'est toujours pas finie, au contraire! Celui-ci est presque comme un petit intermède avant de revenir à un peu plus d'action... J'espère quand même qu'il vous plaira. Bonne lecture !] ​​​​​​​ Alors voilà, pendant presque trois ans, j’ai été sa chienne. Vraiment, je ne sais pas comment le dire autrement, j’étais son animal apprivoisé, son amoureuse domestique, une bête domptée. J’ai continué ma propre vie, bien sûr, mais en parallèle, petit à petit et de mon plein gré, je me suis mise à l’écoute des désirs de cet homme, de mon Homme, et j’ai cherché à les satisfaire pleinement. J’ai fini par venir habiter chez lui, ce qui a été beaucoup plus fluide que je le pensais sur le plan professionnel. Et j’étais sa servante, son amie soumise, son amante animale. Ce qui était précieux pour moi, c’est qu’il n’avait pas besoin d’esclave : il s’occupait très bien tout seul de son existence, aussi bien sur le plan matériel que dans son équilibre mental. Aussi, lorsqu’il me demandait quelque chose, quand il exigeait de moi un comportement, c’était presque plus dans mon intérêt : je sentais bien que les services que je lui rendais étaient superflus pour lui, et qu’ils étaient plutôt un prétexte à l’intensité de notre relation. Bien sûr, ma présence lui était précieuse, essentielle, ce qu’il ne manquait pas de me rappeler, et notre lien nous donnait du sens à tous les deux. Mais à aucun moment, aussi loin que je me souvienne, je n’ai eu le sentiment qu’il profitait de la situation, alors même que vu de l’extérieur, il en était clairement maître et bénéficiaire. Si je me suis soumise à lui de la sorte, c’est donc déjà parce qu’il en avait le pouvoir, la stature, parce que je comprenais qu’il serait un bon maître. Mais surtout, je l’ai fait à cause d’un désir qui brûlait au fond de moi, et que notre relation asymétrique venait attiser et canaliser. Je voulais sentir mon énergie bestiale, réhabiliter mes pulsions profondes, que j’avais appris à réprimer depuis ma petite enfance. Mais je souhaitais aussi les maîtriser, et m’en sentant initialement incapable, je trouvai incroyablement sécurisant de les remettre entre les mains d’une personne qui ne s’en laisserait pas effrayer, qui au contraire comprendrait la valeur de cette offrande. Et c’est exactement ce qui s’est passé pendant mon dressage, mon éducation. Car c’est bien ainsi qu’il faut appeler ce processus, en arrivant dans sa vie je n’étais qu’un amas de désirs et de comportements désordonnés. Il m’a appris, avec patience et intransigeance, à faire le tri dans tout ça, à sentir monter des actions instinctives, et à laisser un petit espace à l’intérieur de moi pour décider si je souhaitais ou pas m’y engager – pour vérifier aussi, si cela serait conforme aux règles qu’il avait établies pour moi. Ça a commencé par de toutes petites choses, des petits rituels qu’il a instaurés. Par exemple, je devais le regarder commencer à manger avant qu’il m’autorise à entamer mon repas, et ce petit décalage me mettait en contact avec mon désir de me rassasier, et ma capacité à me retenir – tout en réaffirmant l’autorité qu’il avait sur moi, sans avoir à rien forcer. Je peux même dire que, passée une réticence initiale, j’aurais aimé aller plus vite dans le processus de ma soumission. Ma position d’obéissance nourrissait en moi une libido insatiable, piquante, brutale. Le voyant se détendre sur le canapé après avoir travaillé, il pouvait m’arriver d’être soudainement prise de l’envie de me tortiller, nue à ses pieds, et de renifler l’odeur de son sexe avant de l’engouffrer dans ma bouche. Mais même cela m’était interdit : je devais attendre que l’initiative vienne de lui, toujours. Mon enthousiasme dans la sexualité était le bienvenu, mais son désir devait primer sur le mien. Lorsque je dérogeais à une règle, il ne se faisait pas prier pour me châtier cruellement, avec amour pourtant. C’est là peut-être la principale différence qu’il y eut entre mon éducation et celle de sa petite chienne, Allkö, qui m’avait laissé une si forte impression lors de notre première rencontre. Elle était douce, folle et affectueuse, et je l’ai vite considérée comme une compagne, une sœur d’apprentissage. J’ai aimé sa disponibilité indéfectible, son sérieux pendant les jeux. J’ai passé des nuits lovée nue contre ses poils, j’ai envié sa chaleur omniprésente et son odeur bestiale. Elle semblait pouvoir offrir bien plus que moi à l’homme que nous aimions toutes les deux. Avec elle, il faisait preuve d’une patience infinie, et lui dédiait un temps spécifique pour des apprentissages, éprouvants mais toujours atteignables. Surtout, il s’attachait beaucoup à la rassurer dans les situations stressantes et la récompenser pour ses bons comportements. On pourrait dire qu’il créait ainsi un conditionnement, qu’il ancrait des habitudes ou des réflexes, mais je pense au contraire qu’il l’amenait en quelque sorte à réfléchir, à prendre du recul vis-à-vis de ses instincts. Avec moi, même s’il employait des méthodes similaires, il usait aussi de la badine, du martinet et de la fessée. Il m’obligeait à me déshabiller et à l’attendre à genoux, jambes légèrement écartées et tête baissée. Si j’avais fauté, je devais porter un cilice sous ma jupe, pendant toute une journée de travail. Et même si je mis un peu de temps à le comprendre, je sais aujourd’hui que ces punitions, ces sévices, sont un honneur qu’il me faisait. Déjà, parce qu’il y prenait du plaisir, je sentais nettement son désir gonfler quand il me ligotait, me fouettait. J’ai souvent su me réjouir et me satisfaire simplement de ça : ma soumission et ma souffrance le faisaient bander, c’était plus qu’il n’en fallait pour me rendre heureuse de les endurer. Pourtant il y avait aussi autre chose : s’il maniait les impacts, les liens et l’humiliation, c’est aussi parce qu’il savait que j’étais capable de comprendre, de relier les punitions qu’il m’infligeait avec les comportements que j’avais eus, de dépasser la peur et la souffrance pour les transformer en obéissance, en connexion, en amour même. En cela, peut-être plus qu’en toute autre chose, j’étais humaine, et ses châtiments étaient une manière de reconnaître et d’honorer mon intelligence. Et puis il y avait le sexe. C’est peu dire que j’ai aimé baiser avec lui, me faire prendre, pénétrer, posséder. J’ai joui de la brûlure de son sexe dans le mien, après le feu des lanières de cuir. Le tréfonds de mon corps a vibré, alors que ma langue goulue sur ses tétons lui extorquait un râle. J’ai imploré qu’il daigne transpercer mon cul, après avoir hurlé de douleur au travers du bâillon. Il m’a laissé ruisselante, turgescente et frustrée, éprouvant mes liens les yeux bandés, sans savoir quand la délivrance d’un orgasme me serait offerte. Je sais que jamais personne ne me fera plus l’amour comme ça, comme un Maître, un Dieu, un amant miraculeux. Il m’a offert, par ce biais-là aussi, de connaître la puissance de mon corps, l’étendue de mon pouvoir physique et spirituel contenu dans ses cordes et suspendu à son dard.
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Par : le 02/04/24
Ton souffle s’accélère, ton corps se tend, tu es y presque. Tu me demandes “Est-ce que je peux jouir?”. “Pas tout de suite” je réponds, tout en continuant les va-et-vients qui sont en train de te faire décoller. Après quelques dizaines de secondes, je plonge mon regard dans le tien et je te lâches “Tu veux un orgasme?”. Evidemment que tu veux… Je m’interromps brutalement, j’attrape tes cheveux et tourne ta tête vers le coin de la pièce. “Si tu en as autant envie, alors montre le moi. Va te mettre dans ce coin, face au mur, et fais toi jouir toute seule”. Tu me regardes incrédule, alors je t’encourage “allez!”. Tu m’as longuement dit ce besoin de te faire humilier, alors aujourd’hui j’en joue. Cela fait déjà plusieurs fois que je te pousse au dernier moment à te donner toi même la libération, telle une droguée qui a besoin de son shoot, celui que tu as tant de mal à obtenir avec la personne qui partage ta vie “civile”. Alors toujours à quatre pattes, tu descends du lit, tu rejoins le coin de la pièce, et tu t’accroupis. J’ai du mal à distinguer maintenant, mais je vois que tu t’actives, et puis très vite, je l’entends. Ton souffle s’accélère de nouveau, ta main remue furieusement. Tu manques de perdre ton équilibre. Alors je décide de porter l’estocade qui va, je le sais, t’emporter: “Allez dépêche toi, montre moi comme tu es une bonne chienne en chaleur”. Ta main accélère, ta tête bascule en arrière, et le long râle qui accompagne toujours ton plaisir commence à monter dans la pièce. Le râle retombe, puis haletante, au bout de plusieurs minutes, tu reviens sur terre. Tu réalises ce que j’ai fait de toi un court instant: un animal conditionné à son propre plaisir. Des larmes montent à tes yeux, des larmes de honte, d’en être réduite à cet état de dépendance, auquel tu ne cède pas d'habitude, mais aussi des larmes de joie, d’avoir su t’abandonner, quitter le rôle de la mère de famille propre sur elle. Celle qui ne doit pas craquer. Sous aucun prétexte. Ici ce n’est pas toi qui t’occupe des autres, c’est moi qui m’occupe de toi. Alors je ne te laisse pas longtemps dans cet état, je te prends dans mes bras, tu t’accroches à mon cou, et nous restons là longtemps, savourant le moment que nous venons de nous offrir hors du monde... (image du net)
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Par : le 01/04/24
Bonjour Maîtresse reine, je vous écris cette lettre pour vous dire a quel point je vous suis dévoué et fidèle. Par la suite, je publierai cette lettre avec votre accord pour que les gens qui la liront sachent que ma soumission est totale en ver vous. Voilà quelques années, maintenant, que je suis votre soumis et cela me conviens très bien vous m'avez aidé pour trouver ma place au sein de notre couple, la place de l'homme est aux pieds de la femme, c'est ma conviction, j'aime vous voir et vous savoir supérieur à moi, moi l'esclave qui a mi ma vie entre vos mains le jour ou nous avons signé ce contrat qui nous lie. J'aime la manière que vous avez à me traiter à jouer avec moi, le ton autoritaire que vous prenez pour me dresser, votre sévérité pour corriger mes fautes. Je me plie à vos moindres désirs, je suis prêt à tout pour vous, je suis votre petite chienne en chaleur, j'aime quand vous me promenez en laisse dans le jardin ou dans des lieux insolites. J'aime quand je dois faire la pute pour vous quand vous m'exhibez en cam face à des gens que vous me dominez sauvagement devant eux. Vous me répétez sans cesse que j'ai un petit sexe et que ce n'est pas avec cette ridicule bite que je vous ferai jouir et que je ne suis pas digne d'avoir une érection en vous regardant sous peine de me faire torturer la chose qui me sert de sexe. Vous prenez votre pied chaque fois que vous me sodomisez avec votre god ceinture, je dois dire que moi aussi, j'aime quand vous me pénétrez sauvagement, je gémis je cris mes jambes trembles mon cul sert plus que mon sexe. J'adore sucer votre god ceinture après qui soit passé dans mon cul vous me le faite nettoyer et je le fais volontiers, tout comme je dois nettoyer avec ma langue vos pieds votre chatte et votre anus après une grosse journée de travail. J'apprécie également le fait que vous lâchez des pets dans ma bouche pendant que je vous leche l'anus. J'adore l'odeur que vous dégagez, j'aime vous renifler, c'est un parfum divin, je ne m'en lasse pas, c'est un réel plaisir de sentir vos odeurs. Cela fait un moment que je suis votre urinoir vous vous amusez à m'uriner dessus ou dans la bouche ou simplement que j'essuie votre chatte après pipi avec ma langue et j'apprécie aussi et depuis peu nous nous essayons a la scatologie, c'est moi qui vous ai demandé de me réduire un WC humain avec vos excréments. Bien que vous m'avez déjà réduit à esclave sexuel, je ne me sentais pas encore à ma place, je voulais être encore bien plus dégradé. Je vous ai alors soumis l'idée de faire vos besoins totalement sur moi, je vous ai même supplié de m'accorder cette faveur. Vous m'avez accordé seulement le droit de vous léchez le cul juste après que vous aillez fait vos besoins dans un WC sans vous essuyer, cela m'a bien plus oui, je l'avoue.Mais aujourd'hui, je vous le répète, je vous en supplie encore une fois, dégradez moi au plus haut point, souillez moi de vos excréments, je suis prêt a vous lécher même les pieds plein de votre caviar. Je me suis exercé seul dans la douche, j'en ai fait une vidéo, les photos sont publiées. Sur la vidéo, vous me verrez jouer avec mes excréments et tout étalé sur mon corps cela m'a beaucoup excité. merci Maîtresse Reine votre souis et esclave.       
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