La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/08/20
Vous avez une envie de pimenter la soirée en dominant Monsieur mais voilà, vous ne savez pas par ou commencer et sans aller jusqu’aux extrêmes (BDSM) Voici quelques petits conseils. Introduction : Votre mari a-t-il des désirs cachés de soumission ? Une séance de domination est une période, plus ou moins longue, où votre mari devient votre serviteur corps et âme. Il doit oublier ses besoins et ses désirs pour se concentrer sur les vôtres. Il doit obéir sans discuter à vos ordres et si possible anticiper vos envies. Toute désobéissance doit être punie moralement ou physiquement. Votre soumis doit accepter sa punition comme une chose normale qui lui permet de progresser dans son rôle de soumis afin de mieux vous servir. Au début, les périodes ou votre mari acceptera d’être dominé seront sans doute limitées à l’acte sexuel. Le but étant de faire durée de plus en plus longtemps ces périodes. La chose la plus importante et de doser le dressage, selon l’humeur de votre mari. Si vous le sentez disponible à être dominé profitez-en pour avancer dans votre dressage, mais si vous le sentez, réfractaire, lâchez du leste… Vous ne transformerez jamais un homme en soumis sans son consentement. S’il montre des envies de se soumettre à vous Le plus facile est de commencer la période de soumission avant l’acte sexuel. Un mari excité est un mari obéissant ! Au fil du temps, vous arriverez à faire en sorte que votre mari ne jouisse pas pendant vos jeux sexuels. Vous pourrez ainsi très facilement faire durer les périodes de soumission en dehors de votre chambre à coucher. Votre mari sera soumis en permanence, pourvu que vous gériez bien sa libido et qu’il soit frustré sexuellement. Mais souvenez-vous que cela prendra sans doute beaucoup de temps pour en arriver là. Il y aura des progrès fulgurants et des périodes où il n’en fera qu’à sa tête, ne lâchez pas prise, relâchez simplement un peu votre domination pour la reprendre un peu plus tard. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine/       Voir également : Soumettre un homme Chasteté et contrôle d'orgasme Candaulisme BDSM en Couple
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Par : le 12/07/20
Jean Michel se travesti depuis tout petit. En cachette d'abord, puis ouvertement avec l'aide de sa mère. Celle ci l'avait découverte un jour en train d'essayer sa lingerie et l'avait trouvée très mimie. c'est elle qui lui a appris à s'épiler, se maquiller et à vivre en fille. Une parfaite complicité et entente. Sa mère y est allé au culot et a réussi à le faire inscrire comme une fille dans une école mixte et cela a très bien fonctionné. Jean Michel a disparu, si tant est qu'il ait existé un jour et a laissé place à Jemma. De toute façon son micropénis ne bande pas et même en sport il a fait parfaite illusion avec les filles. Devenue grande Jemma, qui est intelligente s'est trouvée un bon job comme cadre dans une grande société de commerce international. Seulement voilà, son chef de service la trouve fort jolie et semble dingue d'elle. Jemma a toujours réussi à éviter les aventures, de peur d'être découverte. Elle ne se sent bien qu'avec les garçons. Dans sa tête elle se sent femme et donc hétéro. Lucas, son chef de service parvient une fois à la coincer dans l'ascenseur. Il n'en peut plus, n'en dort plus. Il sait que Jemma est la femme de sa vie. Alors il lui vole un baiser. Il ne reçoit pas de gifle. Jemma est rouge, troublée. Son premier baiser....et Lucas qui recommence. C'est si doux, si bon. Suivent les premiers rendez vous, les premières sorties, les premiers restos. Lucas est sage. Il se contente de l'embrasser, de peloter un peu tendrement, mais reste très sage. Ils partent un week end ensemble. Jemma sait que cette fois elle va devoir y passer. Sa regrettée mère, lui a appris une chose: ne jamais avoir honte de ce que l'on est et assumer la différence. Elle se dit que si Lucas l'aime et la veut pour femme, il devra l'accepter comme elle est. La première nuit d'amour est un enchantement. Lucas la dépucelle en douceur. Il aime son micropénis qui ressemble à un gros clito et qui reste mou, juste gonfle t-il un peu sous les caresses. Il adore ses petits seins et ses fesses bien musclées. Il est encore plus fou d'amour. C'est là que Jemma se surprend. Lucas revient nu de la salle de bain et elle trouve ses fesses jolies. Elle le prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée. Lucas est un peu récalcitrant au début et pourtant très vite il adore. Il jouit même sur les jambes de Jemma. -pourquoi as tu fait cela? Dit Lucas en se massant les fesses. En plus tu m'as fait jouir très fort. -Je ne sais pas. J'ai eu envie. J'aimerai t’attacher aussi, Utiliser une cravache, un fouet, des pinces. Bref je sens cela en moi et c'est très fort? Je n'y peut rien. C'est comme mon besoin d'être en jupe depuis tout petit. -Tu es une dominatrice.... -Oui mon Lucas et tu aimes cela, regarde, cela te fait bander. Tu ne peux pas cacher ta nature. Tu as envie d'être totalement soumis à ta femme. Allons viens, je vais t'attacher et te punir un peu. A genoux mon chéri et obéis, c'est la place que tu souhaites près de moi. -Oui maîtresse - C'est bien, tu vas commencer par m'embrasser les pieds et bien les masser. Après tu me feras encore l'amour. J'ai adoré. Tu me rempliras bien de sperme; je sens que cela me fait beaucoup de bien.
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Par : le 10/07/20
Bruno possède un incroyable magnétisme animal. C'est ainsi depuis sa naissance. Déjà au berceau il était silencieux, mais il en imposait. Un pouvoir étrange et rare. Ado ce n'est pas les grands qui venaient l'emmerder. Il n'avait pas besoin de se battre. Tout le monde lui foutait la paix car il savait inspirer la peur. Un solitaire qui attirait déjà le plus jolies filles, car ces dernières adorent se faire peur. Sauf que en présence de Bruno elles devaient toutes baiser leurs culottes et se faire prendre de la façon dont il avait envie et quand il avait envie. C'est simple, en sa présence c'est comme si elles étaient complètement nues et sans la moindre volonté. Elle adoraient cela, sentir la peur dans le ventre. C'était déjà en soi presque un orgasme. Aucune barrière, aucune protection, aucune règle, le magnétisme animal est comme un champ de force. A l’intérieur, la proie se dissout dans une obéissance totale. On voit cela chez les loups, il suffit au mâle dominant de montrer les crocs et d'émettre un râle de gorge pour voir ses rivaux mâles se coucher et s'autocastrer chimiquement par la peur et voir les femelles écarter pour se faire prendre, elles aussi bien obéissantes par la peur. Seule la femelle dominante ne se couche pas, mais veille à voir les autres femelles bien obéir. Bruno est ainsi, il transpire cela et ses rivaux se couchent et se castrent eux-même chimiquement par la peur et les femelles se donnent sur un claquement de doigt. Ce n'est pas leurs corps qui sont à nus devant ce dominant, mais aussi leurs âmes. Bruno s’est mis en couple avec Nadia, une femme dominante et ils règnent sur un harem de soumis et de soumises. Ils aiment passer une soirée à l'improviste chez un couple de leur harem. Bruno, baise l'épouse devant son mari. Ce dernier est fouetté copieusement par Nadia et mis au piquet avec le cul rouge sang. Après l'épouse doit bien lécher Nadia pour la remercier. Bruno la fouette car il trouve toujours que c'est mal fait. L'épouse va  rejoindre son mari au piquet avec elle aussi un cul bien rouge sang. Un joli spectacle. Bruno et Nadia viennent de partir. Les deux soumis ont bien chaud aux reins. Ils sentent les marques des lanières en cuir brûler. Ils ont pour ordre de rester ainsi, culs nus, debout, au piquet, au silence pendant une heure, sans bouger. Ils font cela et la douleur se transforme doucement en plaisir. Ils ont besoin d’obéir et d'être bien disciplinés par le fouet. Ils aiment sentir la peur qui leur noue le ventre, c'est une forme de jouissance. La morale de cette histoire c'est que les dominants n'ont pas besoin de morale.
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Par : le 15/06/20
C’était une de ces soirées d’entreprise ou les directeurs avaient décidé de nous emmener au restaurant puis de fil en aiguille, l’heure avançant, nous nous étions retrouvés en boite de nuit. Pas tous et toutes, seulement ceux et celles qui avaient encore un peu d’énergie après une semaine épuisante. Nous étions une quinzaine, tout au plus. Il était minuit passé et l’alcool aidant, les conversations s’étaient forcément axés sur le sexe. Les collègues masculins étalaient leurs conquêtes allant même jusqu’à donner des détails intimes de soirées qu’ils avaient passées avec une femme. Si tenté que tous soient vrais. Moi, j’observais et ne disais rien. Les conversations d’adolescents du genre me passaient au-dessus de la tête. Certaines semblaient intriguées et curieuses et relançaient la machine à paroles et à fantasmes de ces messieurs présents. Ils décidèrent d’aller danser sur la piste, ce que je refusais. Je restais là, au fond de la table seul. Enfin, non, je vis que l’une de mes collègues était restée là. C’était Marine. Elle avait rejoint la boite il y a deux mois et je n’avais jamais eu l’occasion de discuter avec elle. C’était une très belle jeune femme de 28 ans à la peau mate, métisse avec des cheveux très fins, noirs et mi-longs. Elle attisait les convoitises de mes collègues masculins et ce soir, sa petite robe de soirée moulante noire ne les avait pas laissés de marbre. J’avoue que moi-même, j’étais assez charmé de sa présence. Elle scruta dans ma direction. Nous n’étions plus que tous les deux attablés pendant que les autres se trémoussaient sur la piste. Je ne dis rien et je la regardais aussi. – Pas d’anecdotes croustillantes sur l’une de tes conquêtes ? Me lança t’elle. – Vous semblez presque déçue, vous n’êtes donc pas rassasiée ? Lui répondis-je. Elle sembla interloquée. Je ne saurais dire si c’était à cause du vouvoiement ou du fait que je ne saute pas sur l’occasion pour la draguer ? C’était une femme sure de son physique. – Non j’ai…j’ai ma dose d’histoires cochonnes pour la soirée. Si tenter qu’elles soient vraies… – Là, je ne peux qu’acquiescer. – Je vous est déjà croisée plusieurs fois dans la boîte. Mais nous n’avions jamais discuté. – Oui. Souvent vous étiez avec ces mêmes collègues, souvent en train de rire d’ailleurs. – Je vois… Je reprends ma coupe et ne dis plus rien. L’un des collègues revient prendre une gorgée dans son verre et balance : – Oh ! Attention Marine ! Tu parles au plus mystérieux de nos collègues ! Puis il repart en dandinant sur la piste. J’esquisse un sourire amusé. Elle me regarde l’air intrigué. Lire le suite : https://comtedenoirceuil.com/soumise-dun-soir/
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Par : le 12/06/20
Le repas touchait à sa fin et nous prenions tous un digestif que nous avions depuis quelques années. Un bon Cognac de 30 ans d’âge que nous savourions dans le petit salon. Madame avait mis les petits plats dans les grands. Fine cuisinière, elle nous avait régalées et la convive ne manqua pas de la féliciter. Durant le repas les conversations allaient bon train. L’ambiance y était détendue. Ce fut préférable, car j’aime l’humour sans tabou. Humour noir, piquant et parfois un peu osé. Je n’avais pas de honte devant cette amie de longue date. Nous nous connaissions depuis le collège, mais ne nous étions pas revu depuis que ma femme et moi étions venus vivre dans sud de la France. Nous discutions régulièrement via les réseaux sociaux et connaissions nos vies, nos évolutions professionnelles et pour elle, ses nombreuses déceptions amoureuses. Elles ne s’étaient jamais rencontrées toutes les deux, mais entendait parler l’une de l’autre par mon intermédiaire. Ce fut lorsque Ludivine, mon amie, vint sur Toulouse pour y rencontrer je ne sais qui qu’elle profita de l’occasion pour nous rendre visite et rencontrer Vanessa, ma femme. J’avais vu quelques photos d’elle sur internet, mais je constatais que les photos ne reflétaient pas la vraie beauté qu’elle était devenue. Ses yeux bleus et ses longs cheveux noirs furent d’ailleurs un sujet de conversation à table. Ma femme ne tarit pas d’éloges d’ailleurs à ce sujet et de son physique en général. Je craignais d’ailleurs que ce ne soit pour me faire remarquer une pointe de jalousie. Les compliments, à ma grande surprise, rendirent les deux femmes assez complices. Ce fut moi qui ressentis une pointe de jalousie lorsque Ludivine me sembla plus intéressée par la conversation avec ma femme. Je tentais quelques blagues afin de m’immiscer dans la conversation. Elles souriaient par courtoisie, mais continuaient leurs discussions. Je prie alors soin de m’éclipser pour aller chercher des glaçons. Occupées par leurs points communs, je profitais pour scruter discrètement Ludivine qui portait une robe assez courte d’où je pouvais apercevoir le haut des ses bas en dépasser. Elle était chaussée de jolis talons aiguilles qui lui donnait un air très pin-up, très sexy. Mes yeux furent stoppés quand je compris que ma femme avait plongé ses yeux dans les miens. Un flagrant délit en bonne et dût forme. Je souris bêtement quand je compris que Ludivine avait tourné la tête et me regardais par-dessus son épaule en souriant aussi. J’étais un peu gêné, mais je fis l’air de rien et j’en profitais pour la complimenter de nouveau sur son physique et sa tenue très sexy me disant que la meilleure défense, c’est l’attaque. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/luduvine/
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Par : le 30/05/20
Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur. Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux. Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait. Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin. Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air. À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ? Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas. Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées. Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait. Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui. Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne. Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire. Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître. Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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Par : le 25/05/20
N'Golo a du quitter la brousse car il crevait de faim. N'Golo a du quitter son pays car il crevait de faim. Il s'est embarqué comme passager clandestin sur un gros bateau en partance. Il est arrivé dans une grande ville bruyante. N'Golo n'a ni papier ni argent mais c'est un malin qui sait se rendre invisible. Il s'est très vite intégré. Après des petits boulots il a monté sa propre affaire. Un jour il assiste à une rixte de rue. Trois loubards tabassent une vieille chinoise qui semble fort riche. -tes quatre fils n'ont pas payé la "protection". Vous savez bien que cette rue est à nous. Alors vous êtes à l'amende, il faut payer le double pour cette semaine. N'Golo est intervenu, les trois loubards se font exploser la tronche en quelques coups. Personne ne comprend comment il fait cela. Cela va si vite. Le premier surpri est N'Golo lui même. Il ignore tout de ce don exceptionnel au pire combat qui soit, celui de rue, où il n'existe aucune autre règle que celle de gagner. Les trois loubards se ressaisissent, sortent des armes mais il n'ont pas le temps d'en faire usage. Ils sont de nouveau fracassés par les poings et pieds redoutables de N'Golo. Il trouve de quoi fabriquer des liens solides et des lattes en bois dans le marché de cette rue du quartier chinois. Il immobilise les trois loubards, met leurs culs à nu et commence à les latter jusqu'au sang. La foule les entoure et leur crache dessus. Pour un temps les commerçants chinois n'ont plus peur. C'est là que N'Golo montre son sens des affaires. il se penche à l'oreille du chef des loubards et lui dit: - soit tu me payes dix fois l'amende de protection de la vieille et je vous évacue de cette rue, soit je vous y laisse et vous connaissez les chinois. Ils savent faire disparaître les choses.... Le chef a vite compris, les trois loubards ont été évacué et ils ont payé N'Golo grassement. Le bruit s'est répandu de l'existence d'un prodige en bastons. Des bandes rivales ont envoyé leurs champions. Aucun n'a résisté. N'Golo est insaisissable et plus rapide que le sirocco. Il n'a pas trouvé d'adversaire à sa mesure et les chinois du quartier l'ont payé fort cher pour qu'il assure la "protection".des rues et des commerces. L'ambassadeur de Chine a vent de cette affaire et ses services veulent recruter N'Golo. Ce dernier va voir le vieux sage de la communauté chinoise pour lui demander conseil. Une sage décision qui va lui rapporter beaucoup. C'est N'Golo qui pose ses conditions à son prix et il a obtient tout ce qu'il demande. Il va faire un long stage en chine est en revient avec le titre de "Dragon d'acier en feu". De retour dans la communauté chinoise, il rencontre liu, une vendeuse de nouilles et de soupes, orpheline et fort jolie. A présent qu'il a une identité et un passeport diplomatique, il décide de l'épouser. Liu accepte en baissant les yeux. N'Golo décide de marquer sa femme sur la fesse droite au fer rouge avec son emblème, celui du Dragon d'acier en feu. Ils sont très heureux. Liu se rend compte de l'incroyable vitalité de son époux au lit. Elle comprend qu'elle ne pourra pas le satisfaire. Elle lui cherche une deuxième épouse. Ce sera la belle libanaise Samira, aux gros seins fermes. N'Golo la marque au fer et en fait sa deuxième épouse. L'ambassadeur de Chine, lui dit que la polygamie n'est pas autorisée, mais....il existe une ancienne loi qui autorise jusqu'à onze épouse, et que....pour services rendus....une dérogation pourrait être accordée. Il n'en suffit pas plus pour que N'Golo parte à la recherche des neuf femmes qui lui manquent pour compléter son harem. Il choisit ce qu'il y a de mieux, que des femmes saines, soumises et bandantes. liu comme première épouse règne sur le Harem. Toutes doivent lui obéir. N'Golo recycle régulièrement ses épouses. De bonnes flagellations devant le harem avec des lattes en bois. cela fait horriblement mal mais si les coups sont bien portés cela ne laisse pas de traces. Toutes ses épouses filent au doigt et à l’œil. Mais allez savoir pourquoi? Elle craignent plus Liu qui parle si doucement que N'Golo et ses lattes.
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Par : le 17/05/20
Joe et Pam ont pris la route dans un 4x4 transformers de l'armée, équipé de 4 rotors intégrés et pouvant se déplacer au besoin comme un drone. Enfin des vacances. Fini pour quelques jours les recherches interminables, les lignes de codes, les heures à corriger des erreurs ou à les débusquer. C'est Pam qui conduit, enfin, qui tient le volant, car cet engin se conduit seul si besoin. il suffit de lui dire où l'on veut aller et il fait le reste. C'est Joe qui a voulu y aller de cette façon, en voiture, sur les interminables autoroutes où il ne faut pas dépasser le 80. Cela pourrait sembler d'un triste mais cela repose les cerveaux de nos deux chercheurs en implants cérébraux -Alors, c'était bien l'enterrement de ta vie de garçon avec Louisa? Joe ne répond pas de suite. Il regarde Pam. -tu as trouvé l'accès. C'est bien. J'ai les mêmes implants que toi dans la tête. C'est d'ailleurs par moi que j'ai commencé pour tester. Donc essayons....nous n'avons plus besoin de parler....tu me reçois? -parfaitement. Nous sommes les deux premiers humains connectés directement par nos implants cerebraux. Nous n'avons plus besoin de mots ni de paroles, je peux suivre tes pensées et toi les miennes. -Je vois que tu as compris et que je blaguais avec ma demande en mariage à Las Végas. Nous sommes déjà unis comme jamais des humains ne l'ont été. C'est pour cela que j'ai voulu que l'on parte de la base, pour explorer les possibilités incroyables qui s'offrent à nous au grand air. - C'est fou, j'arrive à voir à travers tes yeux. Je peux presque être toi.... -juste la partie mécanique....le reste est impossible à connecter pour l'instant. Je n'ai pas encore accès à tes mémoires akashiques par exemple. -Cela me donne envie de baiser ce truc. Viens on s’arrête pour faire l'amour. j'en ai besoin. - Moi aussi Pam, j'ai envie de baiser mais c'est pas d'aujourd'hui, c'est depuis le premier jour que je t'ai vu. -Et tu n'as pas osé te déclarer? Tu as préféré te taper Louisa. Bon, je m'en fou, je ne suis pas jalouse et je crois que je n'étais pas prête. Tu sais, je suis encore vierge. -Pas pour longtemps, sort de cette autoroute et arrêtons nous où tu voudras. Déclenche le vol dronique cela ira plus vite. Le 4X4 transformers s'est élevé doucement dans le ciel porté par ses 4 rotors. Pam s'est dirigé au milieu d'un champ de mais et s'est posée en douceur. Elle a été prise d'une frénésie. Elle a viré sa jupe et sa culotte, dégraffé le pantalon de Joe, sorti son membre au garde à vous et s'est embrochée d'un coup, elle dessus, à califourchon, sans le moindre préliminaire. Puis elle est restée fichée. Du sang coule sur ses cuisses. Elle n'a pas mal. -Viens on échange nos ressentis. Là, j'y suis. Je sens ta bite tendue et gonflée, ton envie de me bourrer et d'éjaculer. Tu es amusant Joe. Oui, je t'aime. Tu es le savant le plus fou de l'Arizona. Je t'aime.
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Par : le 18/04/20
Ivana n'aime que les femmes, les hommes cela pue, elle les a en horreur. Elle a facilement trouvé un poste de prof de lettres modernes, n'a eu aucun mal à réussir l'agreg, et à être une des mieux notées. Plus elle méprise les mâles et plus ils sont près à se jeter aux pieds de ses longues jambes sublimes. Elle adore s'habiller très classe pour faire baver les hommes comme des limaces. Ses yeux verts et or restent toujours glaciaux et implacables devant ces sous merdes, C'est ce qu'elle pense d'eux. Les plus riches et les plus puissants ont voulu l'épouser...c'est bien une idée d'hommes...penser la mettre sous cloche. Elle a joué à les rendre fous d'amour, mais ils n'ont pas eu droit même à lécher ses bottes. beurk des baves de mollusques mâles. Elle est devenue syndicaliste, militante, mlf, féministe, bref engagée en apparence. C'est dans ces milieux là qu'elle drague et chasse avec un succès fou. C'est une tueuse, les avocates enlèvent facile leur robe et plus devant elle. Elle claque des doigts et toutes ses conquêtes féminines obéissent. C'est fou même comme elles sont dévouées, amoureuses, serviables et corvéables à merci. La jalousie n'existe pas dans son harem de femelles. Toutes ont trop peur des griffes et des crocs, d'Ivana, la panthère. Dans l'Education Nationale elle est devenue hors cadre, hors de tout, sauf pour les rémunérations et avantages dus et plus. Tous ses supérieurs mâles sont terrorisés, tous savent qu'Ivana peut les faire castrer définitivement, réduire leurs coucougnettes en pâtée pour chat. Elle a fait plusieurs exemples. Depuis les mâles rasent le murs et changent de couloirs. Dominer est une passion pour la sublime ivana. Son MLF à elle est devenue une sorte de Mafia des Femmes Libres, une organisation secrète très efficace pour le bonheur de ses membres. En faire partie, être sous la protection d'ivana, c'est l'assurance d'une belle vie facile, c'est l'assurance de respect. Maitresse Ivana crée sa secte, uniquement des femmes libres, des lesbiennes pures et dures. Les spartiates s'appelaient eux même les Homoio, « les Égaux ». Les membres de sa secte sont les Femoio, les égales. Egales oui, mais dans une obéissance totale à maitresse Ivana. Elles ont acheté un très joli domaine, au calme et vivent nues le plus souvent possible. Elles cultivent bio légumes et céréales, le verger est luxuriant. Aucun homme, aucun enfant. Pourquoi faire ? Les hommes sont sales et les enfants sont trop nombreux de par le vaste monde. La secte glisse vers la spiritualité, la méditation, les exercices et arts. Les femoio sont les plus belles femmes, les plus saines et surtout les plus libres.
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Par : le 15/04/20
tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin.... Sauf qu'Ahmed, n'a que cela en tête, se troncher la boulangère, avec ses gros nichons bien lourds au balcon, son cul énorme. Ahmed adore les grosses, et sa boulangère est trop belle pour lui, avec tous ses bijoux en or, ses longs cheveux blonds. Elle est à la caisse et fait marcher le tiroir ou les biftons s'entassent. Jamais un regard pour Ahmed et ses yeux amoureux. Un petit con de flic de quartier, avec une paye de sous of, bref, pas assez pour la boulangère. Une belle garce qui tue son mari à la tache. Le pauvre, toujours à marner aux fourneaux, il doit plus bander beaucoup, trop épuisé. Et voilà le covid 19 est arrivé et Ahmed a de suite compris que c'était sa chance. Il s'est posté devant la boulangerie et a sorti son carnet de contredanses. -une seule baguette de pain, c'est pas conforme madame. 135 euros pour ne pas respecter la règlementation. -Mais c'est ma seule sortie de la journée, j'aime le pain frais; -circulez ou je vous verbalise encore, et directement pour rentrer chez vous. La boulangère sort outrée. -Mais à ce rythme nous allons crever de misère pas du covid 19. -adressez vous à votre député, moi j'applique la loi. La boulangère et son mari sont brisés, ils ont peur du lendemain. les charges s’accumulent. La propagande dans les médias fait croire qu'ils vont être aidés. Que de l'intox. C'est le moment pour ceux qui ne prennent aucun risques de se mettre en chasse aux bonnes affaires. La belle boulangère a du ravaler sa morgue et venir sucer Ahmed, puis se faire sodomiser. Et finalement elle a aimé cela et compris que c'est Ahmed qui tenait le bâton. Elle est devenue sa poule et le mari cocu, croulant sous les dettes a du fermer les yeux de crainte de contrôles à répétition. Ahmed a même poussé le bouchon jusqu'au ménage à trois. Il saute la boulangère chez elle où il a pris ses quartiers. Le mari a du se contenter d'une chambre de bonne sous l'escalier. Sa femme lui donne la fessée s'il ne bosse pas assez pour bien l'entretenir. Et finalement la boulangère prend son pied. Ne cherchez pas la morale de l'histoire, il n'y en a aucune, comme bien souvent.
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Par : le 15/04/20
L'avion perso de Billy survole l’Himalaya désert. Sous les ailes argentées de son super jet d'affaires privé, c'est un océan de cimes enneigées qui défile. Des milliards d'humains sont confinés pour soit disant les protéger d'un mal étrange. La nature reprend ses droits. Ce sera bientôt le domaine réservé des survivants de l'apocalypse. Les confinés sont eux en phase d'extermination douce. Ils ne le savent pas. Bientôt ils vont être marqués du signe de la bête, une puce liquide à l'intérieur d'un vaccin obligatoire pour les protéger. Une fois pucés et traçables, ...bah ils ne sentiront rien et ne s'en rendront même pas compte. Billy savoure. C'est beau la vie, c'est beau ce monde qui retrouve toute sa splendeur. C'est lui qui a eu l'idée et il a presque tout fait seul avec son cerveau. Ah combien les humains sont bêtes et prêts à gober les mensonges. Il boit un bourbon et admire les montagnes majestueuses. Il faudra qu'il vienne s'installer par là, une fois la dépopulation achevée. Amanda, s'est glissée à quatre pattes et commence à lui sucer la bite. Une jeune femme d'une beauté et d'une intelligence exceptionnelle. Amanda a bien compris que pour survivre elle devait obéir en tout et pour tout à son seigneur et maitre, Billy, l'homme au regard froid de serpent. Et Amanda ne fait pas que lui sucer la bite, elle fait tout ce que demande Billy, vraiment tout. Et ce serpent à sonnettes en a des fantasmes dans son cerveau malade. Pourvu qu'elle ne donne pas naissance à des lézards. Des fois elle se demande si Billy n'est pas un alien. On dirait qu'il lit toutes ses pensées. Il prend même plus de plaisir à lui trifouiller le cerveau que la chatte. Le serpent froid vient de gicler son sperme dans sa bouche. Amanda avale et finit d'astiquer le membre de son Maitre. Puis en bonne chienne elle se couche à ses pieds. Le jet survole les hauts plateaux du Tibet. Il glisse dans l'air glacé au dessus des pics enneigés. Billy est heureux. La terre est vraiment à ses pieds. ----------------------- PS: c'est mon article 74, il est donc marqué du signe de la bête...9 fois 74 égale 666....Rires
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Par : le 10/02/20
Les agences spatiales du monde entier étudient des voyages dans l'espace de plus en plus longs. Les voyages vers Mars se feront en trois ans, ceux vers les satellites de Jupiter ou Saturne se feront sur une ou deux décennies, avec les technologies actuelles. Bien sûr, avec les progrès, on ira plus vite, mais au mieux ce sera quelques mois. Et donc les spationautes devront baiser ou se faire du bien. Rires. C'est bien beau de faire pousser des germes de blé, des salades, des radis, d'étudier le comportement d'insectes ou de souris. Il existe des programmes secrets spécial X. Secrets parce que les contribuables prendraient cela très mal. -Oui, voilà, avec nos impôts on envoie des salopes se faire sauter dans l'espace. -Avec tout le chômage, la pauvreté dans le monde, ils ont rien d'autre à foutre que d'étudier le sexe dans l'espace. -Chaque tir de fusée pollue énormément. Tout cela pour des branleurs. etc, etc...Ces recherches sont donc secrètes mais les agences spatiales ne manquent ni de moyens, ni d'idées, ni de bon chercheurs ou chercheuses. Il existe même des clubs ultra fermés de spationautes lesbiennes ou gays. « La NASA aurait même été en rapport avec une scientifique américaine, Elaine Lerner, pour définir et adopter un système de harnais destiné à faciliter les rapports sexuels en gravité zéro. »... Ken Jenks, un ingénieur du Space Biomedical Research Institute, aurait signé un document intitulé Cosmic Love. « Il y décrit comment, en 1996, l’agence américaine aurait conduit une série d’expériences destinées à déterminer les meilleures positions à adopter pour un rapport sexuel dans le vide ». Rires. La Nasa ne reconnait pas tout cela. Alors c'est comment l'amour dans l'espace? Surement génial, sans la moindre apesanteur. Dimitri 120 kg peut se sauter Amanda 47 kg toute mouillée dans la position qu'il ou qu'elle veut, sans la moindre contrainte. Il ne risque plus de l'écraser sous sa graisse. En plus les va et vient sont plus ludiques. Les lesbiennes peuvent vraiment s'éclater en se broutant le gazon ou en s’emmanchent avec des gods. Les gays ou les hétéros doivent aussi bien prendre leur pieds, au propre comme au figuré. Il existe des précédents: la mission STS-47, en septembre 1992 avec Mark Lee et Jan Davis qui étaient jeunes mariés. Ou encore « en 1991, à bord de la station Mir, entre la jeune cosmonaute britannique, Helen Sharman, et l’un des deux cosmonautes russes qui l’accompagnaient ». Et les pratiques bdsm? Je pense que les agences spatiales dans leurs programmes X secrets ont du tout essayer. Pas facile de fouetter dans un module. Il faut un fouet spécial, adapté à apesanteur. Attacher ne pose pas de problèmes, des velcros suffisent. La cage de chasteté est amusante dans l'espace. Les scénarios de domination soumission doivent avoir soigneusement été étudiés. Surtout avec les grades. Qui commande qui à bord? En plus, comme les équipages sont parfois internationaux, la langue du cul à un avantage, elle est connue de tous. On sait vite dans des espaces aussi confinés qui est qui et quelle est sa sexualité. Des vidéos pornos ont probablement été tournées là haut, mais tout doit rester confidentiel. C'est domage, j'aurais aimé voir la belle Valentina passer un collier de chien à,George, le fouetter et le prendre au god ceinture en lui disant de faire ouaf, ouaf. Je pense que la belle jeune anglaise a du bien s'éclater dans Mir. Il existe toutefois un problème pour les hommes. La bandaison ne vient pas comme cela, cela demande une adaptation. Les flux sanguins ne sont pas les mêmes.
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