La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 23/04/24
Vous pouvez trouver ce livre dans les bonnes librairies ou sur Amazon Dans la masse des romans érotiques, "Pour me baiser, demandez-lui !" d'Edouard Offershare sort du lot son audace et son authenticité. Le livre plonge les lecteurs dans la vie intime de Lola et de son partenaire, explorant les thèmes du candaulisme, de la domination, et de lasoumission féminine avec une sincérité troublante. D'emblée, le livre interpelle par son titre provocateur et son contenu qui reflète les nuances complexes d'un couple qui explore des pratiques sexuelles hors normes. Le récit est se fait vrai et intense, c'est un témoignage qui oscille entre la fiction romancée et la réalité crue. Cette dualité captive et invite à la réflexion sur la nature des relations et des désirs humains. La prose d'Offershare est directe, parfois crue, parfois tendre. Elle peut être saluée pour son absence de clichés et sa capacité à immerger complètement le lecteur dans l'expérience des protagonistes. Le récit est un mélange d'introspections profondes et de descriptions explicites qui ne manquent pas de provoquer des réactions variées. Un autre lecteur souligne que le livre se "lit facilement sans marquer les esprits", ce qui pourrait suggérer une accessibilité qui peut soit plaire soit décevoir selon les attentes en matière de littérature érotique. Ce livre illustre également un amour peut-être inconditionnel, où voir son partenaire avec d'autres est perçu comme un acte d'amour ultime et sublime. Le candaulisme est traité non pas comme un simple fantasme, mais comme un véritable mode de vie qui défie les conventions sociales et personnelles. Avec "Pour me baiser, demandez-lui !", Offershare ne se contente pas de raconter une histoire; il invite ses lecteurs à questionner leurs propres perceptions de la fidélité, de l'amour et du désir. Ce roman, véritable fenêtre ouverte sur le monde souvent méconnu : le candaulisme, est un incontournable pour quiconque s'intéresse à l'évolution des relations amoureuses et des pratiques sexuelles dans la littérature contemporaine. Vous pouvez trouver ce livre dans les bonnes librairies ou sur Amazon (Livre découvert grace à Mme Angie)
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Par : le 09/04/24
Jerry et Fred étaient deux amis de 24 et 25 ans. Leur amitié durait depuis longtemps et ils passaient énormément de temps ensemble. Malgré leur affection l’un pour l’autre, leur relation était surtout marquée par la compétition et la rivalité. Tout était bon pour se mesurer l’un à l’autre : le sport, la carrière, mais surtout les filles…. Ces deux-là étaient obsédés par la gente féminine et tentaient toujours de surpasser l’autre en terme de conquêtes féminines. Dans une soirée typique, les deux amis se préparaient avec soin, et une fois arrivés dans un bar animé, ils repèrent rapidement un groupe de filles et s’approchent vers elles. A partir de là démarrait une véritable bataille de séduction. Chacun cherche à surpasser l’autre à chaque étape. A chaque sourire ou baiser obtenu, ils se lancent des regards plein de défi et de rivalité. Chacun tente de prouver sa supériorité. Un jour, les deux amis jetèrent leur dévolu sur la même fille, une dénommée Kelly. Ils tombèrent tous les deux sous le charme, bavant comme deux porcs à chacune de ses apparitions. Une lutte acharnée démarra, jusqu’au jour où elle les invita tous les deux dans son appartement. Incapable de choisir entre ses deux prétendants, elle leur lança un défi : "Puisque vous aimez vous mesurer l’un à l’autre, vous aller être départagés au bras de fer ! Le gagnant sera mon petit ami, et le perdant sera notre esclave, et devra nous masser les pieds. » Dans l’esprit des deux jeunes hommes, cela a fait l’effet d’une bombe : chacun désire se rapprocher de Kelly mais surtout, chacun espère assoir une bonne fois pour toute sa supériorité sur l’autre. Commence alors le bras de fer. Fred, pourtant sûr de sa victoire et même ayant nargué son ami sur sa certitude de gagner, perd finalement le duel. Le pauvre ne comprend pas ce qui lui arrive et se trouve humilié devant Kelly. Dans un élan de désespoir, il tombe à quatre pattes devant le couple nouvellement formé. « Je…je ne comprends pas ce qui m’arrive…j’étais pourtant sûr de gagner… » « et oui, c’est dur d’être un loser !! ha ha » lui répondit Jerry avec un rire victorieux. Après sa défaite, Fred, contraint par l'accord qu'ils avaient passé, se retrouve à devoir obéir à Jerry et à Kelly. Sa première tâche consiste à leur masser les pieds, un geste d'humiliation supplémentaire qui lui rappelle sa défaite cuisante. Avec réticence et amertume, Fred s'exécute, réalisant que sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette situation dégradante. Voilà Fred, pourtant fier et orgueilleux, à genoux devant son ancien rival, abandonnant toute dignité. En observant la façon dont Fred se soumet et exécute ses tâches, elle commence à ressentir du dégoût envers lui. Sa soumission totale et son comportement servile la font réaliser qu'il n'est pas l'homme qu'elle recherche. Elle se rend compte que sa compétition avec Jerry l'a conduit à un comportement pitoyable et dégradant. Dégoûtée, elle réalise que Fred n'est pas à la hauteur de ce qu'elle recherche chez un partenaire. Déçue par le comportement de Fred et impressionnée par la détermination et la force de caractère de Jerry, Kelly finit par tomber amoureuse de Jerry, le gagnant du duel. Jerry, ayant remporté la compétition et conquis son cœur, trouve un nouveau lien avec elle, basé sur le respect mutuel et la compréhension. Pendant ce temps, Fred, désormais soumis à Jerry et à Kelly, les vénère avec une dévotion presque fanatique. Il se laisse emporter par son adoration pour eux, espérant peut-être retrouver une once de dignité dans leur approbation. Fred supplie Jerry de lui laisser une seconde chance. « Je t’en supplie ! On recommence le bras de fer ! Je sais que je peux gagner !!! » Mais Jerry refuse. Désemparé et désespéré, Fred, réalisant la futilité de sa situation, tombe à genoux devant Jerry et lui embrasse les pieds, suppliant pour une seconde chance. Cependant, Jerry, impitoyable dans sa victoire, refuse catégoriquement. Il lui rappelle leur accord initial et la décision prise par Kelly. Malgré les supplications de Fred et son geste d'humiliation, Jerry reste inflexible, déterminé à maintenir sa position de pouvoir et de domination. C'est un moment de vérité pour Fred, qui réalise qu'il a perdu plus que la compétition, il a perdu son amitié avec Jerry et son respect de soi. Lorsqu'il est temps de servir à boire à Jerry, Fred s'incline humblement devant lui, le regard empli de soumission, et lui offre le verre en le désignant comme "maître", un mot chargé de symbolisme et d'humiliation pour lui. Ce geste marque un nouveau niveau de sa soumission, et Fred réalise qu'il est désormais relégué au rôle d'esclave, servant ceux qu'il avait autrefois considérés comme ses égaux. C'est un moment de vérité amer pour lui, confronté à la dure réalité de sa défaite et de sa condition de serviteur. Dans un acte ultime de soumission, Fred se retrouve contraint de servir de repose-pieds à Jerry et à Kelly. Il s'agenouille devant eux, incline sa tête et place son dos au niveau de leurs pieds, offrant ainsi un support pour qu'ils puissent y reposer leurs jambes. Fref réalise que sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette humiliation, et il se résigne à son sort, sachant qu'il est désormais relégué au rang de simple objet, utilisé à leur convenance. Avec un mélange de résignation et de soumission, Fred s'incline devant Jerry et, d'une voix tremblante, l'appelle "maître". Ce mot, chargé de connotations de servitude et de respect absolu, marque un point de non-retour dans leur relation, symbolisant la domination totale de Jerry sur Fred. Jerry savoure sa victoire et son pouvoir sur son ancien rival. Jerry ordonne à Fred de lécher non seulement ses pieds mais aussi ceux de Kelly. Contraint par son statut d'esclave et l'autorité incontestable de Jerry, Fred se résigne à exécuter cet ordre dégradant. Avec répugnance et humiliation, Fred s'agenouille devant Jerry et Kelly, et commence à lécher leurs pieds, chaque coup de langue représentant une autre couche de son propre déshonneur. Dans cette situation, Fred se retrouve alors dans un état de confusion émotionnelle intense. Bien qu'il soit humilié et dégradé par l'acte de lécher les pieds de Jerry et de Kelly, il ressent également une excitation inexplicable. Cette excitation peut provenir de divers facteurs, tels que le sentiment de soumission totale, le pouvoir que Jerry exerce sur lui, ou même une forme de masochisme latent. C'est une réaction complexe et troublante pour Fred, qui se trouve pris entre la honte de ses actions et la stimulation de ses propres désirs les plus profonds. Kelly embrasse son nouveau compagnon à pleine bouche avant de prendre congés. Elle ne jette même pas un regard à Fred, son ancien prétendant, désormais relégué au rang de larve. Malgré la honte et la dégradation ressenties lors de l'acte de lécher les pieds de Jerry et de Kelly, il ressent également une stimulation physique intense qui se manifeste par une érection. Quand Jerry s’en aperçois, c’est pour lui la victoire ultime, l’occasion d’humilier un peu plus son ancien ami. « Mais !?...c’est qu’il prend du plaisir, le pourri ! T’es vraiment un déchet, Fred. Être en train de lécher des pieds et bander comme un porc…la déchéance, ha ha » « je…je ne sais pas ce qui m’arrive… », répond Fred, tête baissé. Dans un moment de clarté, Fred réalise pleinement son infériorité dans cette situation. Il prend conscience de sa position de soumission totale à Jerry, reconnaissant qu'il est désormais relégué au rang d'esclave, sans aucun pouvoir ni contrôle sur sa propre vie. Cette prise de conscience est un moment poignant pour Fred, car il réalise à quel point sa rivalité avec Jerry l'a conduit à cette humiliation. Le lendemain, Jerry arrive chez Fred. « Salut esclave ! Bien dormi ? » Fred, humilié mais toujours excité de cette nouvelle situation, se met humblement à genoux devant son maître. Fred lui annonce alors sa nouvelle "rouvaille " :  il a décidé de prêter son esclave à ses potes pour qu'il leur lèche les pieds ! Dans un acte de domination supplémentaire, Jerry décide de prêter Fred à ses amis, afin qu'il leur lèche les pieds également. Cette décision renforce davantage la position de pouvoir de Jerry sur Fred, en le plaçant dans une situation de soumission non seulement envers lui, mais aussi envers ses amis. Pour Fred, cela représente un nouveau niveau d'humiliation et de dégradation, étant contraint de se plier aux désirs non seulement de Jerry, mais aussi de ses amis. Le nouveau quotidien de Fred ressemble à un cauchemar éveillé, mais bizarrement celui-ci en éprouve un plaisir sexuel grandissant. Dans une journée typique, il se trouve contraint de lécher les pieds de Jerry à plusieurs reprises. Il passe des heures à genoux devant lui, se soumettant à ses désirs et à sa domination. Pour Fred, chaque coup de langue est un rappel douloureux de sa défaite et de son statut d'esclave. Malgré la honte et le dégoût qu'il ressent, il continue à obéir, y trouvant une étrange satisfaction.  Fred ressent une excitation inexplicable en léchant les pieds de Jerry. Malgré la honte et le dégoût qu'il éprouve, il est également stimulé par le sentiment de soumission totale et le pouvoir exercé sur lui par Jerry. Un après-midi, Fred était à quatre pattes devant son maître, en train de lui lécher les pieds, quand soudain, dans une intensité émotionnelle et physique extrême, il ressent une telle excitation qu'il finit par éjaculer dans son pantalon. C'est un moment de honte et de gêne supplémentaire pour lui, qui réalise l'ampleur de son humiliation et de son contrôle par Jerry et sa petite amie. La sensation du liquide chaud sur sa cuisse, ainsi que la tache visible sur son pantalon beige finit de le convaincre de son statut d’inférieur. Il s’écrie : « je…je suis désolé maître, je ne suis qu’un porc…. » « ça on est d’accord… Quand je pense que je perdais mon temps à me mesurer à un déchet comme toi….tu es pathétique Fred ! » Jerry jubile secrètement. Pour lui, l'éjaculation accidentelle de Fred est une validation ultime de son pouvoir et de sa domination sur lui. Ayant abandonné toute dignité, Fred, Fred se rend compte de son acte et s'adresse à Jerry, son maître, avec une voix tremblante. Il exprime ses excuses sincères pour son manque de contrôle et son comportement inapproprié, reconnaissant sa faute et sa soumission totale à Jerry. Dans un acte de domination cruelle, Jerry se moque de Fred, le traitant de déchet et de larve. « Tu me dégoutes, espèce de déchet ! » « Je sais maître, je ne suis qu’une larve. Je suis excité par le fait de vous servir ! » Ses mots sont acérés et blessants, soulignant la supériorité de Jerry sur Fred et renforçant encore plus le contrôle qu'il exerce sur lui. Pour Fred, ces insultes sont comme des os à ronger, exacerbant sa honte et son excitation. Il continue à se soumettre, acceptant sa punition méritée pour sa défaite et sa soumission totale. Dans un acte de soumission totale et de désespoir, Fred se retrouve à aboyer, exprimant sa dévotion et son obéissance à Jerry, son maître. Cet aboiement symbolise sa volonté de se conformer à toutes les exigences de Jerry, même s'il se sent humilié et dégradé. C'est un geste de soumission extrême de la part de Fred, qui cherche à apaiser Jerry et à lui montrer sa loyauté sans réserve. Fred se plie aux désirs de Jerry et exécute un comportement de chien, comme "faire le beau" et tirer la langue. Ce gestes, bien que dégradants, sont un moyen pour lui de témoigner son obéissance totale à Jerry et de chercher à apaiser son maître. Fred se trouve contraint d'agir de manière dégradante pour satisfaire les désirs de celui qui détient le pouvoir sur lui. En faisant le beau, Fred montre sa soumission totale à Jerry et accepte son statut d'esclave sans réserve. Malgré tout, tombant toujours plus bas, Fred continuer d’avoir des érections. Jerry ne manque pas de torturer son rival : « mais regardez moi ce porc ! Pire qu’un chien en chaleur ! » ha ha Les érections que Fred ressent dans ces moments de soumission peuvent être dues à un mélange complexe d'émotions et de stimuli. Malgré la nature dégradante des situations dans lesquelles il se trouve, l'excitation et la stimulation physique peuvent survenir en raison du mélange de soumission, de contrôle et d'émotions intenses. Le lendrmain matin, lorsque Fred lèche les pieds de Jerry pour le réveiller en douceur, il est à quatre pattes au sol. Jerry le regarde, d’un air supérieur. C’est alors que Fred se contorsionne et pousse des gémissements, avant d’éjaculer lamentablement sur le sol. Fred se sent honteux et embarrassé par son manque de maîtrise, et tente maladroitement de s'excuser tandis que Jerry, tente de le rassurer. "Ce n'est pas grave, déchet. C'est juste une preuve supplémentaire de ton dévouement total envers moi. Nettoie ça et reprends-toi." C’est un jour de juillet que Fred, malgré sa servilité, trouve suffisamment de force pour essayer de se libérer de son emprise. « S’il te plait Jerry, laisse moi partir. Depuis que tu m’as soumis à ton pouvoir, je ne suis plus capable de vivre normalement ! » « Qu’est-ce qui t’arrive, déchet ? Tu ne veux plus être mon toutou ? » rétorque Jerry, amusé. « non Jerry, je veux ma liberté ! » Jerry soupire, agacé par la détermination de Fred à se rebeller. « Tres bien, Fred. Si c'est ainsi que tu veux jouer... mais sache que tu ne seras jamais libre de moi. Tu es à moi, corps et âme. Et tu le resteras pour toujours. » Fred se redresse, un feu déterminé dans les yeux, prêt à affronter les défis qui l'attendent. « Peut-être, Jerry. Mais je suis prêt à tout pour retrouver mon humanité. Même s'il me faut lutter seul contre toi, je suis prêt à le faire. Adieu » Sur ces mots, Fred se lève et quitte la pièce, laissant Jerry seul avec ses pensées et sa propre cruauté. C’est alors que Fred, toujours aussi soumis malgré son comportement, sent une ejaculation monter en lui, au moment ou il quitte la pièce. « oh non !...non, pas encore ! » La puissance de son plaisir le fait tomber à quatre pattes. Jerry, profitant de l’occasion, se place victorieusement devant lui : « Tu es mon esclave, Fred. Tu ne peux pas y échapper ! » Fred, abandonnant définitivement toute idée de liberté, est obligé de reconnaître que son corps a choisi de se soumettre à jamais. Il se jette sur les pieds de Jerry et les couvre de baisers : « Pardon maître ! Je sais que j’ai essayé de partir, mais je ne suis qu’un porc, un déchet ! Pitié, reprenez moi ! » La sentence est cruelle et implacable : Fred est condamné à passer sa vie à lécher les pieds de Jerry, soumis à son autorité et à sa domination pour l'éternité. C'est une existence de servitude perpétuelle, où Fred est réduit au rôle d'esclave, sans espoir de liberté ou de rédemption. Pour Fred, c'est un châtiment impitoyable, condamné à une vie de dégradation et d'humiliation constante, lui rappelant chaque jour sa défaite et sa soumission totale à celui qu'il avait autrefois considéré comme un ami.
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Par : le 02/04/24
Ton souffle s’accélère, ton corps se tend, tu es y presque. Tu me demandes “Est-ce que je peux jouir?”. “Pas tout de suite” je réponds, tout en continuant les va-et-vients qui sont en train de te faire décoller. Après quelques dizaines de secondes, je plonge mon regard dans le tien et je te lâches “Tu veux un orgasme?”. Evidemment que tu veux… Je m’interromps brutalement, j’attrape tes cheveux et tourne ta tête vers le coin de la pièce. “Si tu en as autant envie, alors montre le moi. Va te mettre dans ce coin, face au mur, et fais toi jouir toute seule”. Tu me regardes incrédule, alors je t’encourage “allez!”. Tu m’as longuement dit ce besoin de te faire humilier, alors aujourd’hui j’en joue. Cela fait déjà plusieurs fois que je te pousse au dernier moment à te donner toi même la libération, telle une droguée qui a besoin de son shoot, celui que tu as tant de mal à obtenir avec la personne qui partage ta vie “civile”. Alors toujours à quatre pattes, tu descends du lit, tu rejoins le coin de la pièce, et tu t’accroupis. J’ai du mal à distinguer maintenant, mais je vois que tu t’actives, et puis très vite, je l’entends. Ton souffle s’accélère de nouveau, ta main remue furieusement. Tu manques de perdre ton équilibre. Alors je décide de porter l’estocade qui va, je le sais, t’emporter: “Allez dépêche toi, montre moi comme tu es une bonne chienne en chaleur”. Ta main accélère, ta tête bascule en arrière, et le long râle qui accompagne toujours ton plaisir commence à monter dans la pièce. Le râle retombe, puis haletante, au bout de plusieurs minutes, tu reviens sur terre. Tu réalises ce que j’ai fait de toi un court instant: un animal conditionné à son propre plaisir. Des larmes montent à tes yeux, des larmes de honte, d’en être réduite à cet état de dépendance, auquel tu ne cède pas d'habitude, mais aussi des larmes de joie, d’avoir su t’abandonner, quitter le rôle de la mère de famille propre sur elle. Celle qui ne doit pas craquer. Sous aucun prétexte. Ici ce n’est pas toi qui t’occupe des autres, c’est moi qui m’occupe de toi. Alors je ne te laisse pas longtemps dans cet état, je te prends dans mes bras, tu t’accroches à mon cou, et nous restons là longtemps, savourant le moment que nous venons de nous offrir hors du monde... (image du net)
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Par : le 19/03/24
en savoir plus Pas toujours évident de s'y retrouver dans le BDSM quand on débute. La question de la relation Dominant/soumise (D/s) et de ses ressorts occupent une place centrale, témoignant d'une recherche constante d'équilibre entre pouvoir, plaisir, et consentement mutuel. Cette quête d'harmonie dans l'intimité repose sur des fondations de confiance, de respect, et d'une communication sans faille. La relation D/s, loin d'être une simple dynamique de domination, se révèle être un échange profondément intime et respectueux, où chaque partie trouve son épanouissement dans le rôle qui lui est dévolu. Cette exploration du BDSM, parfois perçue avec scepticisme par le grand public, mérite une attention particulière pour en dévoiler les aspects les plus enrichissants et les moins compris. "Comment débuter une relation D/s: BDSM - Domination - Soumission", d'Alexandre Contart, se présente comme un guide  pour les novices désireux de s'y retrouver dans ce qui ressemble parfois à des méandres. A.Contart, fort de son expérience personnelle et de son engagement quotidien , offre une perspective à la fois pédagogique et empathique sur la mise en place d'une relation D/s saine et épanouissante. L'ouvrage aborde avec délicatesse et précision les fondamentaux de cette dynamique, en soulignant l'importance de la communication, du consentement, et du respect mutuel. Idéal pour les couples cherchant à explorer de nouvelles dimensions de leur sexualité ou à vivre pleinement leur identité, ce livre se veut un compagnon de route pour ceux qui aspirent à une relation authentique et décomplexée. Ce livre ne manque pas de pertinence et constituera une bonne source d'information pour les personnes explorant le BDSM. Il est clair, accessible et plutôt juste en matière de conseils prodigués. La force de cet ouvrage réside dans sa capacité à démystifier la relation D/s, en la débarrassant des idées reçues pour révéler sa véritable nature : une connexion profonde, basée sur la confiance et le respect mutuels. Le livre est a  salué pour son approche réaliste et sa qualité rédactionnelle, rendant les concepts accessibles sans jamais simplifier outre mesure la complexité des dynamiques D/s. Il apparaît comme une bonne introduction pour ceux qui, débutants ou curieux, aspirent à comprendre et à intégrer les principes du BDSM dans leur vie . "Comment débuter une relation D/s" se révèle donc être une lecture bien utile, offrant des clés pour un épanouissement personnel et partagé dans le cadre d'une relation D/s, soulignant l'importance de l'authenticité, de l'amour et du respect dans toute démarche BDSM. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 11/03/24
Acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Dans la quête de compréhension et d'acceptation des diverses expressions de la sexualité humaine, le BDSM occupe une place à part, qui si elle a l'attrait du mystère a à souffrir aussi de bien des préjugés. Historiquement marginalisées et mal interprétées, les pratiques  BDSM  ont longtemps été bien mal considérées (dans tous les sens du terme). Pourtant, au-delà des apparences et des idées reçues, ces pratiques révèlent une complexité et une profondeur qui méritent d'être explorées et comprises dans leur intégralité. Le BDSM, dans son essence, est un échange de pouvoir consensuel, où les participants négocient des dynamiques de domination et de soumission dans un cadre sécurisé et respectueux. Cette négociation repose sur une communication ouverte, le consentement éclairé et une confiance mutuelle, éléments fondamentaux pour une expérience satisfaisante et enrichissante pour toutes les parties impliquées. Contrairement aux perceptions courantes, le BDSM n'est pas uniquement axé sur la douleur ou la domination, mais sur l'exploration des limites physiques, émotionnelles et psychologiques, dans le but de renforcer les liens entre partenaires et de favoriser une plus grande intimité. Cette exploration des limites et de la dynamique de pouvoir nécessite une compréhension approfondie des besoins, désirs, et limites de chacun. Elle demande également une capacité à naviguer dans ces espaces avec soin, éthique et responsabilité. C'est dans ce contexte que "L'art de dominer" de Dossie Easton prend toute son importance. L'ouvrage propose un cadre réfléchi et éclairé pour aborder les relations de pouvoir érotiques, en mettant en lumière les nuances et les complexités du BDSM. Il s'adresse à ceux qui sont curieux de cette pratique, ainsi qu'à ceux qui cherchent à approfondir leurs connaissances et à affiner leurs compétences dans l'art de la domination et de la soumission. L'art de dominer" de Dossie Easton constitue une excellente approche. L'auteure ne se contente pas de tracer les contours d'une pratique  ; elle plonge au cœur de la complexité et de la beauté inhérente aux relations de domination et de soumission, offrant aux lecteurs un guide à la fois philosophique et pratique. Ce premier volet est destiné entièrement à à la domination (le second ouvrage "L'art de se soumettre" est lui, ça alors, dédié à la soumission)  Le livre dépasse les stéréotypes et les simplifications excessives. Easton démystifie l'idée réductrice selon laquelle la domination serait synonyme de tyrannie ou la soumission de faiblesse. Au contraire, elle révèle comment ces rôles peuvent être source d'empowerment et de croissance personnelle, soulignant la distinction cruciale entre "prendre" le pouvoir et "se voir confier" le pouvoir dans un cadre de confiance et de respect mutuel. Au fil des pages, "L'art de dominer" aborde avec clarté et profondeur les différents aspects qui constituent la base d'une relation BDSM saine : la communication, le consentement, la négociation des limites, et l'importance du debriefing après les sessions. Easton insiste sur le fait que ces éléments ne sont pas seulement des prérequis à une pratique sécuritaire du BDSM, mais qu'ils sont également fondamentaux pour renforcer la connexion émotionnelle et psychologique entre les partenaires. L'ouvrage se distingue par son approche pédagogique, guidant les novices à travers les premiers pas dans l'univers du BDSM, tout en offrant aux adeptes plus expérimentés des réflexions et des techniques avancées pour enrichir leur pratique. Que ce soit à travers la discussion des jeux de rôle, des scénarios de domination et soumission, ou encore de l'importance des aftercare, "L'art de dominer" se révèle être une ressource précieuse, soulignant la diversité et la richesse des expériences que le BDSM peut offrir. Enfin, l'auteure ne néglige pas les aspects éthiques et moraux inhérents au BDSM, confrontant les lecteurs aux questions de responsabilité, d'éthique du consentement et du respect des limites. Ce faisant, elle positionne "L'art de dominer" non seulement comme un guide pratique mais aussi comme une réflexion morale sur la nature du pouvoir, de l'amour et de la confiance dans les relations humaines. Avec "L'art de dominer", Dossie Easton livre donc bien plus qu'un simple manuel ; elle offre une invitation à repenser la manière dont nous comprenons et engageons les relations de pouvoir dans un contexte érotique, en mettant en lumière le potentiel de croissance, de découverte et d'intimité qu'elles recèlent. C'est un ouvrage indispensable pour tous ceux qui aspirent à explorer les profondeurs de leurs désirs et à tisser des liens plus authentiques et épanouissants avec leurs partenaires. Après une lecture approfondie, il est manifeste que cet ouvrage se démarque car il se fait véritable ressource pour quiconque s'intéresse à la dynamique de la domination et de la soumission dans le cadre du BDSM. À travers ses pages, Dossie Easton transcende la simple explication des pratiques BDSM pour toucher à l'essence même des relations humaines, enrichies par un échange de pouvoir consensuel et réfléchi. L'auteur parvient à déconstruire les mythes et préjugés qui entourent souvent le BDSM, le présentant non pas comme un ensemble de pratiques marginales ou déviantes, mais comme une forme riche et variée d'expression relationnelle et érotique. Sa capacité à rendre ces concepts accessibles sans jamais simplifier à l'excès témoigne d'une réelle maîtrise du sujet. Un aspect particulièrement appréciable de l'ouvrage est d'insister sur l'importance du consentement, de la communication et du respect mutuel. L'auteure souligne régulièrement par l'exemple que ces principes ne sont pas uniquement cruciaux pour la sécurité et le bien-être des participants, mais qu'ils constituent également le fondement d'une relation BDSM épanouissante. En mettant l'accent sur le consentement éclairé et la négociation des limites, l'auteure encourage une pratique du BDSM qui est non seulement sûre mais aussi profondément connectée aux besoins et désirs de chaque partenaire. Le livre brille également par son approche inclusive, reconnaissant la diversité des expériences et des identités au sein de la communauté BDSM. L'auteure parvient à ne pas sombrer dans  une vision monolithique de la domination ou de la soumission, mais explore plutôt la richesse et la variabilité des rôles, des pratiques et des désirs qui caractérisent la communauté. Cette approche permettra à bien des lecteurs de se retroiuver dans les mots de l'autrice, qu'ils soient novices curieux ou pratiquants expérimentés cherchant à approfondir leur compréhension. L'acheter chez votre libraire (de préférence) ou à l'acheter en ligne (à défaut) Si vous avez lu ce livre, n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires ci dessous.
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Par : le 03/09/23
C'est un peu par hasard que nous sommes tombés sur un article concernant le Free use. On s'est rendu compte que la manière de percevoir le freeuse variait pas mal d'une personne à l'autre, et que la pornographie était assez réductrice quant à cette pratique. Le freeuse repose sur une séparation entre un partenaire utilisateur et un partenaire objet. Les videos pornos mettent souvent en scène des femmes qui servent les hommes, souvent dans des relations où la pluralité improbable. On essaie dans cet article de vous proposer une synthèse de ce que nous semble être la pratique du Freeuse en synthétisant ce que l'on a pu lire sur le sujet. Mais on ne détient pas la vérité. C'est une vision parmi d'autres. N'hésitez pas à commenter pour partager votre perception différente, si vous en avez une. Bonne lecture !!! :) --- Le terme "freeuse" (l'espace entre les deux a fini sur certains sites par disparaitre aboutissant à créer un mot presqu'à part !)  a récemment gagné en popularité dans les alcoves comme dans les médias, suscitant à la fois curiosité, débat voire controverses (notamment sur certains réseaux sociaux).. Mais qu'est-ce que le freeuse exactement ? Et comment se positionne-t-il par rapport à d'autres pratiques ( est-ce du BDSM ? du fétichisme ?) ou ce que beaucoup considèrent comme le sexe "normal" ? Vous avez dit "freeuse" ?!? Le terme "free use" provient de l'anglais, on pourrait le traduire littéralement par "usage libre", ou en se rapprochant de la réalité de la pratique "en livre service". Dans le contexte sexuel, il fait référence à une dynamique où un ou une partenaire est disponible pour l'autre à des fins sexuelles, souvent sur pulsion de la première (la personne "utilisatrice") et sans nécessité de séduction ou de préliminaires prolongés pour entamer la relation. C'est toujours plutôt bestial. Cette disponibilité de la personne "objet" est basée sur un consentement préalable, où le/la partenaire "utilisé(e)" accepte d'être disponible pour l'autre. Il est crucial de noter que, bien que cette dynamique puisse sembler unilatérale, elle repose sur le consentement mutuel et une communication ouverte entre les partenaires. Le freeuse peut prendre différente formes, allant de simples attouchements ou caresses à des actes sexuels plus hardcore. La clé est que le partenaire "utilisé" a accepté cette dynamique et est d'accord pour être "utilisé" de cette manière. Au cours des dernières années, le concept de "freeuse" a gagné en visibilité, notamment du sait de sa mise en lumière par Internet et les médias sociaux. Des forums de discussion aux plateformes de partage de vidéos, en passant par des récits érotiques, le freeuse est devenu un sujet de curiosité pour beaucoup et d'attirance parfois.. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette montée en popularité. Tout d'abord, la nature même du freeuse, qui joue avec les dynamiques de pouvoir et les tabous, peut être intrinsèquement intrigante pour certains couples. Dans une société où la sexualité est de plus en plus débattue ouvertement, de nouvelles formes d'expression sexuelle émergent et sont explorées. Cependant, il est important de noter que, comme pour toute tendance ou phénomène culturel, ce qui est représenté dans les médias ne reflète pas toujours la réalité ou la complexité des relations réelles basées sur le freeuse. Les représentations dans les vidéos (du genre Youporn/Pornhub) peuvent souvent être exagérées ou scénarisées pour l'effet "dramatique". Pour comprendre le "freeuse" et l'intégrer dans vos pratique, il est essentiel de bien distinguer la fiction de la réalité. Le free use, avec sa dynamique unique de consentement et d'utilisation, soulève de nombreuses questions quant à sa classification dans le vaste spectre des pratiques sexuelles. Est-ce une forme de BDSM, compte tenu de ses évidentes dynamiques de pouvoir ? Peut-on le considérer comme un fétichisme, étant donné que l'acte d'"utiliser" un partenaire peut être attirant et source d'excitation ? Ou est-ce simplement une autre facette de ce que l'on pourrait qualifier de sexe "normal", une variante parmi tant d'autres dans la diversité des relations intimes ? Ces questions ne sont pas seulement académiques ou théoriques. Elles ont des implications réelles pour ceux qui envisage de pratiquer le freeuse ou ont deja franchi le pas. Comprendre où se situe le freeuse peut aider à décomplexer r la pratique, à établir des limites claires et à assurer une expérience positive et consensuelle pour toutes les parties impliquées. En fait, le "freeuse" peut prospérer dans un cadre le BDSM, dans le fétichisme ou tout simplement dans le sexe vanille, et dans la pratique, explorer l'une ou l'autre de ces facettes, ou un peu toute.   Comprendre le concept de "freeuse" Le concept de "freeuse", bien que relativement récent comme on l'a vu, trouve ses racines dans des dynamiques plus anciennes de relations et de sexualité. Pour comprendre pleinement son émergence, il est essentiel de retracer son histoire et ses origines. Précurseurs historiques À travers les âges, différentes cultures et sociétés ont eu des pratiques où un partenaire était à la disposition de l'autre, souvent dans des contextes de hiérarchie ou de pouvoir. Bien que ces situations ne soient pas directement comparables au freeuse moderne basé sur le consentement, elles montrent que l'idée d'une disponibilité sexuelle n'est pas nouvelle. Dans nos sociétés patriarchales, il s'agissait surtout d'une mise à disposition du corps de la femme pour le mâle dominant. Émergence dans la culture érotique Avec l'avènement d'Internet et la démocratisation de la pornographie et de la littérature érotique, de nouveaux genres et niches ont vu le jour. Le free use, en tant que concept, a commencé à gagner en popularité dans ces cercles, souvent présenté comme une pratique où un partenaire est constamment (dans des intervalles de temps convenus, tout de même) disponible pour l'autre. Apparition du mot "freeuse" Le terme "freeuse" lui-même semble avoir émergé au début des années 2010, principalement sur des forums et des plateformes de partage de contenus pour adultes. Sa popularité a augmenté à mesure que la pratique gagnait en visibilité (en s'invitant dans la presse grand public) et que les discussions autour de celui-ci se multipliaient Le rôle et l'influence des réseaux sociaux Avec l'essor des médias sociaux, le freeuse a trouvé une plateforme pour une discussion plus large. Des communautés dédiées ont vu le jour, permettant aux adeptes d'échanger des expériences, des conseils et des réflexions, contribuant ainsi à façonner et à définir davantage le concept. Le freeuse et le BDSM Free use et BDSM ont des points communs À première vue, le freeuse et le BDSM peuvent sembler partager de nombreuses similitudes. Freeuse et BDSM ont des différences Bien que le freeuse et le BDSM partagent donc certaines similitudes, ils diffèrent également à plusieurs égards. Ces différences se manifestent principalement dans les objectifs poursuivis, les pratiques spécifiques et les limites établies. Le free use et le fétichisme Le fétichisme est un terme qui englobe une vaste gamme de fanstames sexuels. Pour certains, il s'agit d'une fascination pour un objet spécifique (example, fétichisme des escarpins), pour d'autres, d'une partie du corps (fétichisme du pied par exemple), et pour d'autres encore, d'une situation ou d'un scénario particulier (fantasme de l'infirmière par exempleà. Mais comment le freeuse s'inscrit-il dans le cadre du fétichisme ? Définition du fétichisme Dynamiques de pouvoir : Au cœur du BDSM et du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir. Dans le BDSM, cela peut se manifester par la domination et la soumission, tandis que dans le freeuse, cela se traduit par la disponibilité d'un partenaire pour l'autre. Dans les deux cas, un partenaire assume un rôle plus "actif" ou "dominant", tandis que l'autre adopte un rôle plus "passif" ou "soumis". Consentement : Le consentement est fondamental dans les deux pratiques. Sans consentement, ni le BDSM ni le freeuse ne sont considérés comme acceptable. Dans le BDSM, le consentement est souvent formalisé à travers des discussions préalables, des contrats et des safewords (mots de sécurité). Dans le freeuse, bien que les modalités puissent varier, le consentement est tout aussi crucial, garantissant que les deux parties sont à l'aise avec la dynamique, et revêtir, là encore, une formalisation..   Négociation : Avant d'explorer le BDSM ou une relation basée sur le freeuse, une négociation est souvent nécessaire. Cela permet aux partenaires de définir leurs limites, leurs désirs et leurs préoccupations. La négociation assure que les deux parties sont sur la même longueur d'onde et qu'elles ont une compréhension claire de ce à quoi s'attendre. Dans le freeuse, cela pourrait inclure des discussions sur quand et comment la "disponibilité" s'applique, ou quelles sont les limites à ne pas franchir. Objectifs : BDSM : Les adeptes du BDSM cherchent souvent à explorer des dynamiques de pouvoir, à repousser leurs limites physiques ou émotionnelles, ou à vivre des scénarios spécifiques. Il peut s'agir d'une exploration profonde de soi, d'une catharsis émotionnelle ou d'un jeu de rôle. Freeuse : L'objectif principal du freeuse est la disponibilité constante d'un partenaire pour l'autre. Il s'agit moins d'une exploration des limites que d'une immersion dans une dynamique spécifique de disponibilité et d'utilisation. Pratiques : BDSM : Le BDSM englobe une vaste gamme de pratiques, allant du bondage à la discipline, en passant par la douleur, la domination et la soumission. Ces activités peuvent nécessiter des outils, des équipements et une formation spécifique. Freeuse : Le freeuse est généralement plus centré sur l'acte sexuel lui-même, sans nécessiter d'équipement ou de préparation spécifique. Il s'agit davantage d'une disponibilité spontanée que d'une mise en scène élaborée. Limites : BDSM : Dans le BDSM, les limites sont souvent clairement définies avant une session. Les partenaires peuvent utiliser des "safewords" pour signaler leur inconfort ou leur désir d'arrêter. Les limites peuvent concerner des actes spécifiques, des zones du corps ou des scénarios. Freeuse : Bien que le consentement soit toujours primordial, les limites du freeuse peuvent être plus fluides. Par exemple, la disponibilité peut être constante, mais avec des exceptions spécifiques. Les limites peuvent également évoluer avec le temps, en fonction du niveau de confort des partenaires. Bien que parfois contractualiser, le freeuse est plus "souple" dans sa pratique. Le fétichisme se réfère à une attirance sexuelle intense pour un objet non vivant, une partie du corps non génitale, ou une situation spécifique qui n'est pas typiquement considérée comme sexuellement stimulante pour la majorité des individus. Cette attirance peut être si intense qu'elle est nécessaire pour la satisfaction sexuelle de l'individu.   Le free use comme fétichisme Objetification : Au cœur du freeuse se trouve l'idée d'objetification consensuelle. Un(e) partenaire est "utilisé" par l'autre, souvent sans les préliminaires ou la phase de séduction traditionnelle. Cette objetification peut être perçue comme un fétichisme en soi, où l'acte d'utiliser ou d'être utilisé est la principale source d'excitation. Le rôle : Dans le freeuse, les rôles sont clairement définis : un partenaire est l'utilisateur, l'autre est celui qui est utilisé. Pour certains pratiquants, c'est cette dynamique de rôle qui est la principale source d'excitation. De la même manière que certains fétichistes peuvent être attirés par des rôles spécifiques, les adeptes du freeuse peuvent être attirés par le rôle d'utilisateur ou d'utilisé. La situation : Le free use est souvent basé sur des situations spécifiques : un partenaire est toujours disponible pour l'autre, quelles que soient les circonstances. Cette constante disponibilité, et les situations qui en découlent, peut être le fétiche en soi. Que ce soit la spontanéité, l'absence de préliminaires, ou la nature "à la demande" du freeuse, la situation elle-même peut être la principale source d'excitation. Le fétichisme est-il toujours présent dans le freeuse Le freeuse, avec sa dynamique unique d'utilisation et de disponibilité, peut certainement présenter des éléments qui rappellent le fétichisme. Cependant, tous les actes ou relations basés sur le freeuse ne sont pas nécessairement fétichistes : Diversité des motivations : Tandis que certains peuvent être attirés par le freeuse en raison d'un fétichisme spécifique (comme l'objetification ou une certaine dynamique de pouvoir comme on vient de le voir), d'autres peuvent être attirés par le freeuse pour des raisons complètement différentes. Par exemple, certains peuvent voir le freeuse comme une expression de confiance et d'intimité profonde, sans nécessairement avoir une fixation fétichiste. La centralité de l'attirance : Dans le fétichisme, l'objet, la partie du corps ou la situation spécifique est souvent central pour l'excitation ou la satisfaction sexuelle de l'individu. Dans le freeuse, bien que la dynamique d'utilisation soit centrale, elle n'est pas toujours la principale source d'excitation. Pour certains, le freeuse peut être une partie d'une relation sexuelle plus vaste, et non la seule source d'intérêt. Fluidité des rôles : Alors que le fétichisme peut souvent être centré sur un intérêt ou une fixation spécifique, le freeuse peut être plus fluide. Par exemple, bien que le freeuse puisse souvent impliquer une dynamique unilatérale, les rôles peuvent parfois être inversés ou adaptés en fonction des désirs et des besoins des partenaires. Contexte culturel et social : Il est également important de reconnaître que la perception du freeuse comme fétichisme peut être influencée par des contextes culturels et sociaux. Dans certaines cultures ou communautés, le freeuse peut être vu comme une pratique marginale ou fétichiste, tandis que dans d'autres, il peut être perçu comme une expression normale et acceptable de la sexualité. Et si le "freeuse" était en fait l'antichambre de la Domination/soumission ? Le freeuse, avec sa dynamique d'utilisation et de disponibilité, a souvent été comparé à d'autres pratiques sexuelles, notamment le BDSM. Mais pourrait-on aller plus loin et suggérer que le freeuse est en réalité une introduction, ou une "antichambre", à la Domination ? Ou du D/s light. Le freeuse : une initiation aux dynamiques de pouvoir Au cœur du freeuse se trouve une dynamique de pouvoir claire : un partenaire est disponible pour l'autre, souvent à la demande. Cette disponibilité, basée sur le consentement, introduit une asymétrie dans la relation. Pour certains, cette première expérience de dynamique de pouvoir peut éveiller un intérêt pour des jeux de domination/smoussion plus poussés.   Des rôles clairement définis Tout comme dans la Domination, le freeuse repose sur des rôles clairement définis. L'utilisateur/utilisatrice et l'utilisé(e) ont des responsabilités et des attentes spécifiques. Cette clarté peut préparer le terrain à des rôles plus élaborés, comme ceux de dominant(e) et de soumis(e), présents dans les relations BDSM.   La communication et le consentement comme fondements Le freeuse, lorsqu'il est pratiqué de manière éthique, repose sur une communication ouverte et un consentement mutuel. Ces compétences sont essentielles dans toute relation de domination. Ainsi, le freeuse peut servir de terrain d'entraînement pour développer ces compétences cruciales.   Limites et exploration : Le freeuse encourage les partenaires à définir leurs limites et à les communiquer clairement. Cette exploration des limites peut naturellement évoluer vers une exploration plus approfondie des désirs, des dantasmes et des dynamiques de pouvoir, conduisant potentiellement à la Domination. Les 7 obligations sexuels de la "personne objet" dans une relation "freeuse" Disponibilité : Être prêt et disponible pour des activités sexuelles selon les termes convenus, cela peut aller d'être réceptif à tout moment ou seulement pendant des périodes spécifiées à l'avance (exemple : pas durant le sommeil). Réceptivité : Répondre aux avances de la personne utilisatrice avec volontarisme et entrain,, en se conformant aux désirs et aux scénarios préalablement convenus. Préparation : Selon les préférences du couple, cela peut signifier s'assurer que le corps est propre, rasé, ou préparé d'une manière spécifique pour l'acte. Utilisation de protections : Si nécessaire, s'assurer que des protections comme des préservatifs ou d'autres méthodes contraceptives sont utilisées pour garantir la sécurité des deux partenaires. Participation active : Même si la personne "objet" est dans un rôle plus "passif", elle doit s'assurer de participer activement pour le plaisir de l'utilisateur, que cela signifie répondre aux stimulations Respect des scénarios : Si un scénario spécifique a été convenu (par exemple, jouer un rôle particulier ou adopter une certaine attitude), la personne "objet" doit s'y conformer. Utilisation de jouets ou d'accessoires : Si cela fait partie de l'accord, être prêt à utiliser ou à être utilisé avec des jouets ou des accessoires sexuels. Les 5 droits fondamentaux de la "personne utilisatrice" sur la "personne objet" Dans le cadre du freeuse, la personne "utilisatrice" est encouragée à embrasser pleinement son rôle, profitant de la dynamique unique offerte par cette relation. Ces droits, toujours basés sur le consentement mutuel, sont conçus pour maximiser le plaisir et l'expérience de l'utilisateur. Voici une liste incitative des droits de l'utilisateur, spécifiquement axée sur la dimension sexuelle de la relation. Droit à l'initiative : En tant qu'utilisateur, vous avez le droit de guider l'interaction sexuelle selon vos désirs, sans vous poser de questions sur le consentement (puisqu'il a été établi en amont). C'est où vous voulez, quand vous voulez, à la fréquence que vous voulez (plusieurs fois par jour, ou deux fois par an, c'est vous qui décidez). Droit à la disponibilité : Votre partenaire "objet" est là pour votre plaisir. Aucune autre considération ne compte. Vous avez le droit de vous attendre à ce qu'il/elle soit prêt(e) et réceptif/ve à vos avances, dans les limites que vous avez définies ensemble en amont. Exemple : Si une envie vous prend en pleine nuit, votre "objet" devrait être prêt à faire ce que vous lui demandez pour satisfaire pleinement vos désirs. Droit à l'exploration : Vous avez le droit d'explorer vos fantasmes et vos désirs, en utilisant votre partenaire "objet" comme instrument de votre plaisir. Droit à la satisfaction : Votre plaisir est au cœur de cette relation. Vous avez le droit de chercher à être pleinement satisfait à chaque interaction. Exemple : Si vous n'avez pas atteint l'orgasme, vous êtes en droit de guider votre "objet" jusqu'à ce que vous y parveniez, y compris en lui indiquant en quoi il/elle s'y prend mal.. Droit à la communication : Bien que vous soyez dans le rôle dominant, vous avez le droit d'exprimer vos besoins, vos désirs et vos limites clairement. Vous avez le droit d'arrêter un rapport en plein milieu si vous avez changez d'avis ,sans justification.  
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Par : le 03/09/23
Pour les pressés : Accepter de se faire hypnotiser prouve une grande confiance en l'hypnotiseur. Ce dernier ne peut pas vous faire de mal mais peut vous donner les moyens de vous dépasser. Cela fait longtemps que j'hypnotise des gens pour plein de raisons différentes. Ne l'ayant pas inscrit sur mon front et n'en ayant pas fait ma profession, j'ai souvent droit au mêmes réactions : je ne te crois pas, de toute façon ça marche pas sur moi, ou encore, j'ai trop peur de ce que tu pourrais faire, etc. Poutant la plupart des gens finissent par se laisser hypnotiser et en ressortent toujours, soit satisfaits, soit persuadés que ça n'a pas marché. Pour les seconds, c'est très marrant de voir leur tête quand je leur fais écouter l'enregistrement audio de la séance. Car l'hypnose ça marche ! Et en ce qui nous concerne, c'est un puissant levier dans les relations basées sur la domination puisque la soumise commence par donner son consentement à l'hypnotiseur. Et ça c'est le début de toute relation D/s. Explication. L'hypnose, c'est quoi et comment ça marche ? Oubliez tout de suite les films américains et les séries télé. L'hypnose ce n'est pas un pouvoir magique digne de Harry Potter. C'est un état de conscience modifié très bien documenté et enseigné à l'université, au profit des professions médicales, car il permet de mieux gérer la douleur et les traumatismes. C'est logique quand on sait que l'un des pionners de l'hypnose est James Esdaile, un chirurgien écossais qui opérait ses patients sous hypnose en Inde. À l'époque, le chloroforme n'avait pas encore été découvert et une opération consistait souvent à amputer un membre. Et oui, James Esdaile découpait les jambes de ses patients après les avoir hypnotisés pour supporter la douleur. Effectivement, on pourrait croire que c'est de la magie mais c'est beaucoup plus simple que ça : c'est une suggestion qui fait du bien et donc on l'accepte. L'hypnose ce n'est rien d'autre que des suggestions que l'hypnotisé accepte ou pas en fonction de sa conception du monde (éducation, croyances, etc.). On dit que l'idée est congruente avec son système de valeiurs.  En pratique, on commence par "hypnotiser" ou plutôt induire la personne dans cet état de conscience modiifé. C'est un état entre rêve et conscience, celui-là même que l'on ressent quand on se laisse aller et qu'on fait un rêve éveillé. Souvent, le praticien commence par vous inviter à vous relaxer et à vous laisser aller, presque vous endormir. Félicitations, vous venez d'expérimenter votre premier phénomène hypnotique ! L'hypnose est une série de suggestions, il n'y a pas besoin de vous "endormir" pour cela. C'est juste que c'est rassurant pour les gens et ça les persuade qu'ils sont sous hypnose et rend la suite plus facile. Car au fond "vos paupières sont lourdes, vous êtes de plus en plus relaxés, etc." ce sont des suggestions que vous acceptez parce que c'est plus agréable d'être relaxé que tendu comme un string. L'hypnose, ça commence au moment où vous acceptez ce que l'hypnotiseur vous dit. Vous savez, la phrase après bonjour : "Asseyez-vous" ou "Alongez-vous"... Et ça s'arrête à l'instant où l'hypnotiseur dit quelque chose qui vous perturbe. Car si c'est facile de créer un environnement propice aux suggestions positives, il est encore plus facile de briser cette dynamique par une suggestion ratée comme : "vous flottez sur un nuage" à quelqu'un qui souffre de vertige ou "vous nagez dans un océan de douceur" à quelqu'un qui ne sait pas nager. Donc oui, l'hypnose c'est facilement réalisable mais c'est un équilibre très fragile. Et ça Hollywood l'a complètement oublié. La notion de consentement face à l'impossible Comme je viens de l'expliquer, pour hypnotiser quelqu'un il faut son consentement. Et ça va même plus loin, il faut son consentement conscient et inconscient. Avec l'hypnose, on va explorer ce que veut réellement la personne hypnotisée. Il n'y a pas de triche possible. La moindre incohérence ou mauvaise intention va gêner l'hypnotisée et la faire sortir de cette dynamique. Mais alors comment font les hypnotiseurs de spectacle pour vous faire oublier votre prénom ou faire le canard ? Parce que c'est ce que veut la personne hypnotisée. Dans une salle de 300 spectateurs, il y en a toujours une vingtaine qui aimerait bien être sur scène, être le centre d'attention, la star du moment ! Et la volonté de se donner en spectacle est plus forte que la peur du ridicule. Parce qu'après tout, durant un spectacle, il ne peut rien vous arriver de grave et tout le monde le sait. Même s'il vous fait sauter dans le vide, vous savez pertinemment que c'est sans danger et que vous allez atterrir sur un matelas ou être retenu par un elastique. C'est cette notion de sécurité absolue qui sera prédominante et permettra à l'hypnotiseur de faire tout ce qu'il veut avec vous. Ou plutôt, ce que vous lui autorisez à vous faire faire. Car quoi qu'on en pense, on ne cède jamais le contrôle absolu. L'instinct de survie et de protection veille au grain. Mais alors, comment s'envoyer en l'air sur un petit nuage sous hypnose ? Mon inconscient sait bien que ce n'est pas possible ? En effet, tout le monde sait qu'on ne peut s'allonger sur un nuage, sans risquer une chute vertigineuse et d'un gros boum. Mais l'idée de pouvoir le faire est séduisante. Elle ne dérange en rien mon instinct de survie. Elle n'est pas néfaste. Et elle est surtout super agréable ! Alors à la suggestion "imaginez vous flotter sur un nuage..." la plupart des gens vont se dire "ah ouais... c'est bien..." et voilà comment l'impossible devient possible. Voyager à Tokyo en moins de temps qu'il n'en faut pour réserver un billet d'avion, c'est possible. Retrouver la vigueur de ses vingt ans, c'est possible. Ressentir plus de plaisir que jamais... ça s'appelle l'hypnose érotique ! L'hypnose ne va pas changer le monde qui vous entoure mais guider votre imagination là où vous le voulez. Par contre, si vous voulez aller Tokyo, les élans et les pancakes au sirop d'érable ça ne va pas fonctionner. Le consentement et la congruence sont les clés de tout ! Même de l'impossible. L'hypnose et le dépassement de soi Depuis le début de cet article, j'insiste sur l'importance du consentement qu'il soit conscient ou insconscient. Et c'est ce même mécanisme qui définit la relation D/s : la soumise donne sa soumission et donc son consentement à son Maître. Elle accepte de lui obéir en échange de la possibilité de se laisser aller en toute confiance, de pouvoir s'en remettre complètement et totallement à Lui. Et grâce à l'hypnose son Maître peut créer l'environnement parfait pour la faire évoluer. Il peut guider son imagination dans le plus beau des donjons. Transformer le clic clac d'une chambre de bonne en un palais vénitien qui embaume le plaisir et la luxure. Le remplir de personnages célèbres et lui faire croiser le Divin Marquis en plein débat avec Pauline Réage. Juste en distillant quelques suggestions que la soumise va faire grandir, telle que "des nombreux auteurs d'oeuvres érotiques fréquentent ce donjon". Tout est dans sa tête et elle cherchera ce qui est le plus en adéquation avec sa conception du monde. Attention, cela ne signifie pas forcément quelque chose d'agréable. Une masochiste aime la douleur et acceptera la souffrance sans aucun problème sous hypnose. Mais peut-être pas notre soumise... Et si on ne peut faire que des choses que l'on accepte sous hypnose, comment se dépasser ? C'est là que vont intervenir le savoir-faire et le talent de l'hypnotiseur. Comme dans le monde réel, il va faire progresser sa soumise petit-à-petit. En s'armant de patience et d'attention. Sauf que sous hypnose, le temps est relatif. Avancer ou reculer dans le temps c'est comme faire un pas devant ou derrière car l'imagination n'a pas de limite. Ainsi, on peut facilement suggérer un futur dans lequel la soumise a déjà largement dépassé une certaine limite.Lui montrer à quel point elle est heureuse dans ce futur. Et  qu'elle est la fierté de son Maître qui ne parle que de sa soumise capable de faire ce qu'elle cherche à réaliser dans le présent. Que pensez-vous qu'il se passe quand la soumise revient à la réalité avec le sentiment de déjà-vu quand on lui demande de faire cette chose qui lui était jusque-là impossible ? Et les possibilités sont infinies. Elles n'ont comme limite que l'imagination de l'hypnotiseur  Avec l'hypnose, le Maître détient un outil supplémentaire pour dominer sa soumise. L'hypnose a trois avantages majeurs : elle n'est pas dangereuse ; il n'a aucun effet si elle est incongrue ; et pourtant c'est l'un des outils les plus puissant de tous. En conclusion, l'hypnose est une technique qui permet de suggérer des idées et de les faire germer et grandir en un temps record dans l'esprit d'une soumise. Cependant, par la nature même d'une idée, elle sera rejetée immédiatement si elle ne s'accorde pas avec le système de valeurs de la personne hypnotisée. Ce mécanisme inconscient d'auto-défense permet d'offrir la plus parfaite des protections pour la soumise qui peut avoir l'assurance qu'elle peut se laisser aller complètement. Et c'est en toute sécurité qu'on peut lui ouvrir les portes des possibilités infinies de l'imagination et les mettre au profit d'une soumission bien réelle. Car comme le dit mon profil : "Les plus belles chaînes sont dans la tête..."
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Par : le 16/08/23
Pénis, mon beau Pénis ! Dresse toi et deviens dur et fort.  Pénis, mon beau Pénis ! Honore la femme! Retiens ta semence et fais moi jouir! Ce sont les paroles que j'ai apprises à  Clara pour se servir de la superbe verge de Maso. Il a les yeux bandes, les mains liées dans le dos, son gros penis au gland bien rouge et gonflé de désirs pointe bien droit devant. Clara est en manque. Comme toutes les femmes trop belles et trop intelligentes, elle vit seule. Elle a du mal à  se trouver un homme pour vivre avec. Alors comme elle souhaité devenir mon esclave, je lui prête Maso comme je lui prêterais un sex toy.  Maso est debout, il ne peut rien voir. Clara appuie ses coudes sur la table du salon et offre son superbe fessier. Elle mouille et dégouline, la chatte en feu. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas fait l'amour.  La quarantaine, pas d'enfants. Tout pour sa carrière de militaire et son job qu'elle adore. Elle sent bon la cyprine.  Je lui ecarte ses petites lèvres et attire le splendide penis de Maso. Lui aussi, cela fait longtemps qu'il n'a plus pénétré une femme  depuis que je refuse de faire l'amour avec lui. Je suis sa Domina, plus du tout son amante.  Son gros gland a un peu de mal à  entrer tellement Clara est étroite.  Voilà  ça y est! Il est bien au fond. Le vagin serré doit être incroyablement jouissif pour les deux. Une vague de plaisir semble les tétaniser. Penis  mon beau Pénis,  jouissance tu n'auras que lorsque je te l' ordonnerai ! Je les laisse à  présent. Clara sait ce qui lui reste à  faire pour arriver aux orgadmes à répétition. C'est elle qui mène le jeu et les va et viens comme elle en a envie. Je vais me servir un verre et ferme la porte pour les laisser seuls.  ....un récit que je vais continuer. Il n'est pas fini. En attendant la suite  un petit rappel sur la fête du Penis au Japon.  Au Japon, Kanamara Matsuri est un festival annuel organisé dans la ville de Kawasaki Kanamara Matsuri se traduit littéralement par "Festival du pénis d'acier en érection".Il s'agit d'une tradition exprimant la reconnaissance pour le don de la création de cet organe corporel important Après cette parenthèse,  reprenons ce récit. Une demi heure après, j'ouvre la porte du Salon. Maso et Clara sont toujours en train de forniquer. Le carrelage, sous eux, est couvert de sécrétions vaginales et autres et de sperme. Maso n'a pas pu se retenir. La chatte étroite et qui a peu servi doit être incroyablement jouissive. Maso s'excuse aussitôt.  Il est trop tard. Un ordre non respecté mérite la plus sévère correction. Je les prends par l'oreille tous les deux, pince très fort et les mène ainsi à la salle de torture. Ils ont très peur de moi à présent. Même Clara n'en mène pas large. Je les attache à  côté  l'un de l'autre sur le chevalet. Deux belles paires de fesses bien offertes. Je prend un outil de frappe en bois que j'ai fait faire par un ébéniste. Un fort bel objet, avec une surface de frappe très large qui couvre tout le fessier. Cela fait horriblement mal. Au bout de trois frappes la douleur est insupportable.  Maso en prend cinq d'entrée. Il n'a pas le droit de hurler sa douleur. Il est tétanisé et débranche.  C'est au tour de Clara. A la troisième frappe elle supplie. L'erreur a ne pas faire avec moi. - tu veux être mon esclave alors tu la fermes et tu assures. Et elle prend trois frappes de plus. Elle débranche à son tour. j'éteins la lumière et les laisse récupérer dans le noir. Une heure après, je viens les libérer. D'un geste  sans un mot  je leur fait comprendre d'aller nettoyer le salon. Mzso le fait avec la langue. Clara l' imite. J'ai toujours mon terrible instrument de torture à la main. Cela a intérêt de briller.  Je saisi Clara par les cheveux et lui flanque deux gifles hallucinantes de jet kune do. Les gifles à la Bruce Lee. Clara ne s'étendait pas à  une telle douleur. Maso à fait une faute, il paie. Il sait pourquoi. Toi c'est pour le plaisir.  -Maîtresse  je vous aime.   -Veux tu m'épouser ? -Oui, je le veux Je tire ses cheveux en arrière et l'embrasse à pleine bouche. La langue de Clara est si douce.  -Ok, tu repères ton engagement devant mon témoin et toi le tien, qui choisi tu?  Clara répond Maso sans hésiter.  Ce dernier en est tout fier. Il n'ose pas lever la tête. Pourtant je sens qu'il est complètement détendu, parfaitement bien  comme un homme après avoir fait l'amour. Je devine qu'il doit être devenu complètement dingue de la chatte si étroite et si jouissive de Clara.  -on fera cette cérémonie ce soir. En attendant je vais aller faire un jogging en forêt. J'ai besoin de prendre l'air. Toi Clara  tu files t'acheter ce qu'il faut pour être toute en blanc ce soir. Et pas de chichis et frous frous. Du très simple et classe. Et toi Maso tu files préparer les anneaux. Il en faut trois. Tu sais pourquoi.   
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Par : le 14/08/23
Une voiture de gendarmerie se gare devant chez moi. Une superbe femme en sort, athletique, bronzée, en tenue civile, élégante et pleine de charme. Surprise, je reconnais mon adjudante préférée, celle qui aime me contrôler chaque fois que je la croise et qui s'amuse avec mes papiers où il est marqué "sexe masculin", ce qui ne correspondant pas du tout à ce que je suis, une femme trans. Elle tape. Maso est tout nu, il fait le ménage. Je l'envoi ouvrir la porte. L'adjudante rit en le voyant. Maso baisse les yeux et la fait entrer.  -Bonjour, fait l'adjudante. Alors vous m'adressez des bisous de la main au carrefour. Cela la fout mal devant mes hommes. J'apprécie pas beaucoup.  -Bienvenue, vous prendrez bien un thé ou un café. Veuillez m'excuser, mais c'est plus fort que moi lorsque je vous vois.  Je vous trouve si belle. J'ai adressé un bisou à la vie. Comment vous appelez vous? Moi c'est Toinette pour les intimes.  -Clara. J'accepte volontiers un café. J'ai eu une rude journée.  Nous papotons comme deux amies. Maso fait le service, toujours tout nu. Clara s'en amuse de plus en plus, surtout qu'il n'a pas le droit de regarder plus haut que nos genoux. Un service impeccable. Je l'envoie au piquet, mains sur la tête. Il nous montre ses superbes fesses bien musclées.  -Je suis domina Clara. C'est mon homme qui a voulu cela. Au debut j'ai fait cela pour lui faire plaisir et maintenant c'est notre quotidien.  Clara me regarde troublée. Elle est vraiment très belle, avec de tres belles formes. Je croyais que c'était une femme phallique. Non, pas du tout, sans son uniforme, c'est une femme tout court. Je devine qu'elle est celibataire et en manque de calins. Ce doit pas etre facile de diriger une brigade. Beaucoup de stress, des heures et des heures de boulot.  -Tu as envie de te détendre et d'essayer.  Clara est de plus en plus troublée. elle écarte doucement les jambes. Je lui empoigne les cheveux et je l'embrasse à pleine bouche. Ses lèvres sont si douces. Mes mains descendent sur ses beaux seins biens lourds. Elle se déshabille. Elle est encore plus belle nue. Je lui ecarte les jambes  et lui empiogne ses belles fesses charnues. Sa chatte est offerte. Je lui mange le clitoris. Elle jouit très fort dans ma bouche plusieurs fois. Je masse ses seins.  Et puis voilà, l'instinct de la domination ressort. Je la retourne et commence à lui claquer les fesses. Je sais faire très très mal. elle gémit. -plus fort, c'est trop bon. -une gourmande je vois. Allez zou, à coté de Maso et mains sur la tête.  Je vais chercher un tube de pvc. Un truc que m'a montré mon amant, Mael, et qui fait horriblement mal sans laisser de traces. Une vraie torture ce truc.  J'attache clara sur la table de la cuisine. Je devine que Maso est hyper excité de tout ce qu'il entend. Je vais donc le voir et lui flanque quelques coups de tube. il se contorsione aussitôt sous la douleur. -On ne bande pas quand Maitresse reçoit ! compris !.  Cela rassure Clara que Maso ne puisse pas la voir,  ni etre en erection pour elle. Elle n'est pas lesbienne, juste célibataire en manque.  -Tu n'aimes pas trop les hommes, je vois et tu trouves les femmes casse couilles. Je me trompe. -Non Maitresse. -Tu as des fesses superbes tu sais. Je vais bien te faire circuler le sang. Mais avant un baillon car tu vas hurler. Ici, il faut hurler en silence et pas me demander d'arreter. Tu es toujours ok, Clara. Elle tend les fesses. Elle meurt d'envie. Je commence par la caresser. Sa chatte dégouiline de douce cyprine qui sent très bon. Les coups pleuvent à présent. Clara se tord de douleur. C'est dingue ce truc de Mael pour faire si mal sans marquer. Juste de superbes rougeurs. Clara pleure. Larmes ou plaisir ? Ca y est, elle est prête pour la deconnection, lorsque le cerveau débranche pour ne plus sentir la douleur. Je vais toujours au bout. inutile de m'implorer. c'est ce moment là que je guette.  J'arrete enfin et laisse Clara récupérer. Elle tremble. elle est secouée de vagues ou douleurs et plaisirs s'emmelent. Une maso. et moi qui ne voulait plus prendre de nouveau partenaire de jeu. Je suis très fidele. Je ne cherche pas d'aventures. Mais là, comment refuser cette femme si belle et qui s'offre d'elle même. Je vais voir Maso. -Tu vois, avec une femme c'est pas te tromper. Avec mon unique amant non plus. Allez tu vas nous servir des rafraichissements. De bons jus de fruits ou de légumes. Zou ! Je détache Clara qui se love aussitôt dans mes bras. je lui caresse la nuque. Elle se rhabille. Nous papotons à nouveau comme de vielles amies en dégustant de délicieuses boissons, très vegan, très saines.  Je propose à Clara de rester pour dîner. Elle accepte. Maso fait le service, nu, debout derrière nous,  très heureux de son sort. C'est un excellent cuisinier. Un bip. Clara décroche. Elle doit partir. Son boulot et son devoir qui l'appele.  Je la racompagne  à sa voiture. -repasse quand tu veux ma chérie. tu seras toujours la bienvenue chez nous.  Elle doit repartir, très préssée, les yeux humides. Je souris en pensant qu'elle va avoir mal aux fesses toute la nuit. -ok, plus de bisous de la main au carrefour. Discrétion totale de rigueur à présent.  Clara apprécie beaucoup ma remarque. Je la sens heureuse et en confiance. Il n'y a pas de mal à prendre son pied dans les douleurs bien cuisantes.  Je garde mon bisou dans ma main.       
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Par : le 11/08/23
Premier contact   Il m'avait répondu si rapidement... Après dix années de vie commune, interrompues par ce qui est devenu la fatalité, j'avais proposé de partager le quotidien et les fantasmes d'un senior qui m'accueillerait durablement. Tout de suite, j'ai eu l'impression d'être considéré, ce qui m'était devenu étranger, occupé à des tâches de plus en plus fastidieuses au fil de la dégradation de mon conjoint. Je n'avais jamais utilisé de webcam, ce fut fait naturellement comme lors de mes rares séances bdsm, je me déshabillai dès qu'il le demanda et me laissai examiner longuement, découvrant mon gland, écartant les fesses, me pinçant les seins. Bien que déjà âgé, mon physique n'est pas déplaisant sinon une peau ingrate qui ne lui disconvint pas. Dès le lendemain, il est venu me chercher et le sentiment de confiance ne m'avait pas quitté. Ne connaissant pas beaucoup la ville, je ne sais pas exactement où se situait le garage au sous-sol d'un pavillon que j'entrevis à peine. Il ne parlait pas, moi aussi étant de nature taiseux. Arrivés à l'étage, il me fit signe de me déshabiller, ce que je fis aussitôt, puis je le suivis en espadrilles, dans l'escalier. Dans une pièce ressemblant à une salle de sport, il m'attacha avec des menottes à une poutre et m'entrava les pieds avec une barre. Puis il partit. Je ne sais pas combien de temps j'ai attendu. Il passait de temps à autre, me donnait de légères tapes, excitait ma verge puis repartait. À un moment, il l'enduisit d'un liquide qui accentua l'érection. Il revint vêtu d'une culotte en cuir qui mettait en valeur son corps harmonieux et musclé, équipé d'un martinet qu'il utilisa avec parcimonie me faisant apprécier et désirer ces légères brûlures, il me cingla ensuite avec une baguette souple. Sentant mon excitation, il entreprit ensuite de me tâter en me pinçant tout le long du corps particulièrement entre les jambes. Et je sentis sa main enduire mon anus d'un liquide visqueux avant de procéder à ce qui ressemblait à un examen de la prostate. Il me couvrit d'une capuche de pénitent descendant sur les épaules et légèrement resserrée au niveau du cou, avec l'unique ouverture ovale au niveau de la bouche, et reprit l'usage du martinet et de la baguette y compris sur la verge. Le plaisir m'envahit de ne pouvoir prévoir ses gestes. Quand il me détacha les bras, je m'appuyai sur un meuble bas, une table d'examen, devant moi ce qui lui permit de me sodomiser immédiatement me semble-t-il avec un gode. Moment de jouissance indescriptible. Il me fit m'agenouiller malgré la barre qui maintenait mes pieds et je le suçai avec avidité, sa capote sentait l'orange... Et me sodomisa directement avec force et intensité. Ma verge étant toujours dressée, il me rattacha à la poutre. Ne voyant toujours rien, je me sentais rempli d'une chaleur intense. Je ne sais au bout de combien de temps, il revint pour me masturber jusqu'à l'éjaculation, mais était-il parti ? Mon érection n'ayant pas cessé, il recommença plus tard. Quand il me détacha, j'éprouvai du regret mais aussi une immense gratitude. Puis il parla.   L'installation   "Voici ta chambre." Dans une pièce à côté, un lit une place, un petit bureau, une armoire. Dans celle-ci une série de shorts courts colorés et transparents, des chemisettes à pressions très faciles à retirer, ainsi que quelques nuisettes. Pas de sous-vêtements. "Tu me donneras tes affaires actuelles en attendant que tu en aies besoin." Comme précédemment, je ne pose aucune question. Sur le bureau, un ordinateur "qui ne sera connecté à internet qu'à certaines heures et sous surveillance directe comme l'ensemble de la maison". Dans la salle d'eau attenante, un WC, une douche, un lavabo. Aucune possibilité de fermer les portes à clé, "je contrôle tout à distance". "Tu devras faire le ménage complet de cet étage. À mon étage, un robot nettoie les sols, tu t'occuperas du reste". Découvrant l'équipement électroménager, je me rends compte que cela ne sera pas fastidieux. "Les appareils étant connectés, un livreur vient deux fois par semaine apporter les commandes directement dans le réfrigérateur et le congélateur. Tu ne te montreras pas." "Tu porteras toujours cette montre, tu seras ainsi averti de mes messages et je surveillerai tes déplacements et tes constantes. Pas d'utilisation du téléphone sans mon autorisation. Pas de télévision. Tu peux écouter ces CD de musique classique". Cela ne me gêne pas, je suis si solitaire... "Tu recevras sans être prévenu des visites de personnes qui s'occuperont de toi en mon absence, ce qui sera fréquent." Je n'ai posé aucune question et je n'ai jamais cherché à connaître la nature de ses activités ni les motifs de ses déplacements. Un jour où je gémissais, il me confia (ce qui était extrêmement rare) faire partie d'un groupe d'hommes très visibles médiatiquement qui pour décompresser de la pression constante et de leurs responsabilités exigeaient des pratiques de plus en plus hard. En ce qui me concerne, je pense qu'il tenait compte de mon âge. Étant manifestement très expérimenté, il m'utilisait comme un homme de compagnie, un robot qu'il fallait garder en bon état de fonctionnement. Sa jouissance était de parvenir à me contrôler, à me rendre complètement dépendant sans violence physique ou morale, ce que je ne pouvais qu'apprécier. Deux jours après, j'arrivais dans ce logis avec mes deux valises qui comme convenu, restèrent dans un placard.   Le médicastre   Le premier à venir me surprendre, celui que j'appelle le médicastre, était certainement un (ancien) médecin tant il m'a paru professionnel, un médecin qui se permettait des pratiques bien singulières. Il est arrivé derrière moi sans que je l'entende, alors que j'époussetais, non sans trouble, l'impressionnante collection d'Apollon de mon maître. Sans parler, il m'a fait signe de monter dans ce que je nommais maintenant le donjon, m'a enlevé la chemisette pour attacher mes mains puis mon short pour entraver les pieds, toujours bien écarté. Après s'être connecté à mes relevés de pouls qu'il consultait sur sa tablette, il passa une sorte de stylo sur mon corps même aux endroits très sensibles, ce qui déclenchait des décharges fort désagréables et lui permettait de voir les variations de mes constantes. J'éprouvais une réelle souffrance et mon érection commença. Il m'examina ensuite sous toutes les coutures et corrigea certaines imperfections sans ménagement. Pour ensuite m'asperger de ce qui m'a semblé être un antiseptique. Il enduisit ensuite mon gland bien décalotté et mon anus d'une crème qui me chauffa terriblement. Puis il pinça mes tétons jusqu'à ce que je bouge pour tenter de lui échapper. Détaché, je dus m'allonger sur la table d'examen où il procéda à un examen approfondi de mon anus. Il me délaça pour me retourner et m'attacher à nouveau sur le dos, les jambes ballantes, pendant qu'il me palpait particulièrement sur le ventre, il me posa des questions sur mes pratiques sexuelles, étonné par le peu de réponses que je pouvais lui apporter. Enfin il me branla avec brutalité jusqu'à ce que mon sperme jaillit, il en recueillit sur son gant et le sentit. Ce médicastre est revenu pratiquement chaque semaine toujours en me surprenant. Je n'ai jamais su s'il ressentait de l'animosité envers moi ou s'il me considérait comme un animal de laboratoire. Cela me fait penser à la médecine, il n'y a pas si longtemps, qui considérait la souffrance comme nécessaire à la guérison.   Le délaideur   La première fois, il me surprit quand je marchais sur le tapis pour mon exercice quotidien. Il sentit ma sueur et devina ma fatigue passagère. Je ne savais pas pourquoi il était là. Il commença par s'assoir, me fit signe de venir et de me placer sur ses genoux, évidemment pour une fessée que par la suite je compris pour s'assurer de ma soumission. Il frappa d'abord lègèrement, abaissa le short, tritura mes fesses et mes cuisses, puis commença à asséner des frappes de plus en plus fortes avec une telle régularité que je sentais mes fesses rougir. Puis accoudé sur la table d'examen, je dus subir le martinet qui me fit gémir. Le rasage intégral qui s'en suivit alors que j'étais à nouveau entravé, fut renouvelé chaque semaine, alors que je commençais à peine à m'habituer au duvet qui réapparaissait. C'est avec la peau à vif qu'il me conduisit à la douche où je dus garder les mains sur la tête. Après avoir bien amplifié les irritations avec l'eau, il prit un gant jetable et me frotta de la tête au pied jusqu'à ce que je sois couvert de mousse. Évidemment, il insista sur la verge puis profondément sur l'anus. Après m'avoir abondamment rincé, il me reconduisit sans m'essuyer pour m'entraver comme j'en avais maintenant l'habitude. Il revint avec une préparation verte (de l'argile ?) dont il me couvrit une bonne partie du corps. Avant de me laisser avec cette boue qui commençait à sécher, il m'attacha le pénis à la table d'examen pour m'empêcher de bouger. Après un long temps, il réapparut avec un appareil, détacha mes pieds pour les poser sur la table d'examen et me sodomisa avec le gode vibrateur. Complètement vaincu, je le laissai m'entraîner vers la douche pour un décapage au jet d'eau. Ce délaideur est venu plusieurs fois chaque semaine toujours d'une manière imprévisible.   Le vidoyeur   Je découvris très vite que le vidoyeur venait me préparer. Il me suspendit les bras à une poutre et les pieds à l'endroit habituel pour les mains. Mon sexe étant alors à sa disposition, il l'équipa de la pompe à sperme ce qui après quelques instants et des coups de baguette sur les fesses provoqua son gonflement. J'étais à son entière disposition. Il me stimula sur tout le corps par des caresses et des pincements provoquant une extase au bord de l'évanouissement et ne fut satisfait que lorsque j'éjaculai abondamment. De retour sur la table d'examen, il sortit une pompe à lavement cette fois qu'il utilisa plusieurs fois m'obligeant à de grands efforts pour ne pas me laisser aller jusqu'à ce qu'il m'ordonne d'utiliser le seau à moitié rempli d'eau pour m'assouvir. Bien éprouvé, je me remis sur le dos, jambes ballantes, mes mains étant aussitôt attachées. La canule que je découvris alors, je ne l'avais jamais subie, il la glissa avec ses mains expertes dans mon pénis où je ressentis la progression jusqu'à ce qu'un jet d'urine jaillisse. Ce fut une nouvelle sensation inimaginable jusqu'alors. Enfin satisfait, il m'ordonna de tout nettoyer, me conduisit à la douche pour un lavage à grandes eaux. Il veilla à ce que je me rince bien la bouche avant de procéder au brossage. L'interdiction de manger le soir m'intrigua mais je m'assoupis après de telles épreuves.   Première soirée   Le maître vint me réveiller alors que j'avais la sensation d'avoir peu dormi, m'enfila la capuche de pénitent pour seul vêtement et me fis descendre sans difficulté car j'étais maintenant accoutumé aux lieux. Les conversations étaient, elles, inhabituelles, peu de personnes venant le soir, et portaient sur la situation économique. Elles ne cessèrent pas quand je me sentis palpé comme on juge de la qualité d'un animal sur une foire. Je me laissai guider de main en main, la verge fermement tenue puis les fesses écartées pendant qu'une partie de poker commençait déclenchant des gestes plus nerveux et des pincements au fur et à mesure des enjeux. Je devinai qu'il ne s'agissait pas d'argent mais que j'en étais l'enjeu. À un moment, on m'appuya sur la tête pour me pousser sous la table et je me retrouvai coincé entre les jambes d'un joueur qui sortit son sexe et me le mit dans la bouche pour que je le suce pendant qu'il appuyait sur ma tête. Quand ce joueur attint une bandaison qu'il jugeait satisfaisante, il me poussa entre les jambes du joueur suivant. Je découvris alors qu'ils étaient trois. L'exclamation montra que la partie était terminée, on me poussa à coups de pied en dehors de la table. Deux joueurs me saisirent par les bras pour m'appuyer sur la table pendant que le troisième lubrifiait déjà mon anus puis s'excita en me frappant sèchement sur les fesses jusqu'à ce que la douleur me fit gémir. Il s'empara alors de moi avec sauvagerie et puissance pendant de longues minutes pendant que j'étais fermement maintenu. Cette pénétration fut reproduite par les autres joueurs. Je fus alors amené à l'extérieur et attaché à une palissade où je restai seul. De nombreuses sensations me titillèrent. Était-ce des insectes, des courants d'air, un animal ? Peut-être une heure après, je sentis qu'on crémait ma verge qui durcit comme à la première rencontre et restai avec un besoin impérieux mais inassouvi. Finissant quand même par m'assoupir, je fus réveillé par quelqu'un qui utilisait mon braquemard entre ses fesses alors que je ne pouvais que subir. Au petit matin, mon maître vint me détacher sans un mot et tout reprit son cours.
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Par : le 06/08/23
Le compte rendu d'une aventure récente faite à une Dame ayant déclenché bien des choses depuis quelques temps. Merci à elle. Alors hier et alors que je n'y croyais pas trop... Le plan dont je vous avais fait copie du début d'échange a bien eu lieu... Ne finissant pas trop tard ma journée de travail et ayant encore le courage de conduire jusqu'au domicile de ce monsieur. Le monsieur prévenu de mon état crasseux de ma journée et n'ayant rien fait pour une hygiène intime irréprochable. J'arrive donc chez ce monsieur au format imposant... Et direct il me dirige vers son sous sol, dont une partie est aménagée avec tapis fauteuil canapé et matelas... Un véritable lupanar... 😉 Hormis un salut à mon arrivée et quelques formules de politesse, notre échange fut très bref. Là il me dit de me mettre à poil et d'aller me mettre à 4 pattes sur le matelas. Je commence à enlever mes vêtements et lui disparaît. Je m'exécute et repense à un plan foireux d'un mytho voulant juste me voir a 4 pattes pour m'enculer... Ben là c'est presque ça... Je reste comme ça plusieurs minutes attendant le retour du gars. L'imaginaire travaille forcément. La lumière s'éteint et devient tamisée, très sombre... J'entends le mec arriver derrière moi me demandant s'il allait directement m'enculer sans préparation aucune... J'avoue que je frétille un peu d'excitation. Mon humeur salope est bien là et me savoir la tête basse et le cul en l'air attendant je ne sais quoi... Inutile de vous dire que je pensais très fort à vous et ce que vous avez déclenché en moi... Bref je suis là... Entendant le gars derrière moi restant la tête dans le matelas et commençant à remuer mon cul... "Tu m'as l'air d'une bonne petite salope toi" "Un bon cul qui va avec"... Pourquoi est ce que j'aime autant me faire traiter de salope? Et là je sens un liquide chaud qui tombe sur mon cul, le bas du dos, remontant jusqu'à mes épaules pour redescendre de nouveau du mon cul... Le gars sans prévenir me pisse dessus de partout. Mon corps réagi en sursautant, mais la sensation est juste incroyable surtout quand je s'en l'urine entre mes fesses pour couler sur mes couilles... J'essaie de vouloir dire "direct comme ça" mais je n'ai pas pu aller au bout de la phase entendant un "t'as gueule ferme là grosse pute" ou un truc du genre. Je suis surexcité... Le gars commence à bouger pour venir face a moi... Moi toujours la tête basse dans le matelas. Il me dit de me mettre sur les bras et de relever la tête... Et là il relance la machine et me pisse dur le visage... Et moi de fermer les yeux et de tourner un peu la.rete dans un sens et dans l'autre pour en avoir partout. Je me mets à genoux pour mieux recevoir sur le torse et là il s'avance et colle sa bite, d'un très beau format, sur ma bouche en continuant de pisser... Forcément j'ouvre et me voilà une bite en bouche faisant des va et vient tout en pissant... Ça coule de partout et j'adore ça. Mais même si le gars s'est préparé il ne peut uriner des heures. Une fois fini le jet d'urine, il pose ses mains sur ma tête et commence à me baiser la bouche... Avec les mots qui vont avec. Honnêtement je ne sais plus où je suis... L'urine encore chaude sur mon corps et un sexe qui commence à grossir sérieusement dans la bouche. Plus il grossit plus il va chercher loin et plus il y va fort...le moment n'est finalement pas très agréable. Mais la sensation d'être une grosse pute ayant perdu le contrôle de tout. Diantre que cela provoque de la jouissance et ne m'incite pas a stopper ou réfréner les ardeurs de ce mec. Heureusement le mouvement devient plus acceptable et il prend plaisir à me gifler le visage avec sa queue bien dur. J'adooore ! Bien sûr toujours les mots doux... Je ne sais au bout de combien de temps il finit par lâcher ma tête et me remet en position initiale...la tête basse et le cul relevé... Une nouvelle fois j'attends quelques minutes... Il revient "tu dis que tu aimes être a 4 pattes en prendre comme il faut espèce de pute... On va voir ça" Il jette à côté de moi quelques godes... Sur le coup je suis un peu déçu... Je veux une vraie bite bordel! Quelques bonnes claques sur mon cul, mes couilles tirées et triturées... Mais juste ce qu'il faut et je sens ses doigts pénétrer mon cul. De ces doigts il passe a un gode... La sensation est tout de suite plus agréable. Ne pouvant me voir je m'imagine en position avec ce mec jouant de ses jouets avec mon cul... Je commence à gémir... Comme une bonne petite salope... Je sens un gode plus gros... Plus long... Mon cul semble pas trop merdeux...et c'est tant mieux... Alors que je suis a onduler mon cul et de couiner un peu... Le jeu s'arrête et le gars s'en va de nouveau. La pour le coup je me sens terriblement frustré... Et limite a vouloir me barrer. Mais bon j'attends un peu et le gars revient pour directement me renfouner sa bite dans la bouche... Encore des mots crus... Je suis sa plus belle salope etc... Je me dis qu'il va me cracher son jus en bouche ou au visage... Ce que j'adore... Mais non. Il arrête. Je crois qu'il va encore me laisser quelques minutes... Et bien non... Il vient se positionner derrière moi, et vient frotter et taper sa bite contre mon cul et ma rondelle... Je commence à m'exciter tout seul à l'idée de me faire démonter... Enfin! Pas le temps de finir ma pensée... Je sens sa bite me pénétrer sans hésitation jusqu'à son pubis. Me voilà embroché sur sa queue et le plaisir est infini. Je voulais me faire démonter... C'est ce que je lui avais écrit... Et bien il me démonte... Les mains sur mes hanches a me ramener vers lui quand il vient vers moi... Il me défonce le cul et j'adooore ça... Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment a chaque mouvement, ma tête s'enfonçant toujours plus dans le matelas au drap humide. Il y va... Sa bite sortant par moment pour mieux me pénétrer de nouveau. Combien de temps je ne sais pas mais c'est jouissif. Je crois être au comble de mon plaisir quand il décide de me prendre les bras pour me les tenir en arrière me relevant du haut mais mon cul bien cambré... Alors là c'est le summum... Je m'entends crier de plaisir et lui m'insulter de chienne a bite. Je le sens se retirer volontairement et rapidement je sens la percussion de son éjaculation chaude sur mon anus brûlant... J'en serre mon cul de plaisir rien que de repenser a cette sensation. C'est exquis ! Je suis toujours à 4 pattes sur mes coudes, tremblant de plaisir... Il vient se mettre a genoux devant moi, me relève la tête et place sa bite devant mon nez pour commencer a essuyer le sperme encore sur sa queue. Je le prends en bouche pour tout nettoyer... "Bonne, très bonne salope..." Je déguste cette bite demi molle encore un instant... La sensation de mon cul encore plein. Ce moment est délicieux je l'avoue. Le gars retire sa bite, se relève et me dit que j'ai une douche au fond si je le veux et que je peux partir par la porte du sous sol... Lui remonte. Le retour fut hallucinant... Aujourd'hui et encore ce soir je suis tout excité de ce moment ...j'avais besoin de le partager avec vous. Mais j'ai encore plus envie de me faire démonter comme une salope. De votre faute tout ça...
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Par : le 01/08/23
Je me souviens d’une réflexion dont tu m’as fait part juste avant de partir lors d’une soirée conviviale : « je me demande qu’elle est la plus grande frustration ? Le clito ou le vagin ». Bien sûr je me sens d’humeur clémente et veux te faire vivre la réponse à ta question. Les premières lumières dominicales sont là, on entend le vent par la fenêtre donnant sur le jardin. Et toi, nue, allongée sur le ventre dans notre lit, l’huile de massage chaude coulante entre tes omoplates. Mes mains caressent le haut de ton dos pour étaler ce premier liquide chaud. Assis sur le bas de tes fesses, je commence à délasser tes épaules. Tes premiers gémissements viennent de mes mains qui soulagent ces omoplates endoloris par la fatigue. Comme tous bons massages, celui-ci fait autant plaisir à celui qui le reçoit que celui qui le donne. A force d’être caressé par ton séant, mon troisième membre s’introduit progressivement entre tes lèvres. Ton humidité déjà bien accueillante, te voilà massée en toute synchronisation de l’extérieur comme de l’intérieur. Rapidement, tes gémissements proviennent principalement du bas de ton être. Tes bras écartés le long de ton corps, mes mains te plaquent contre le matelas. Une contre ton visage exprimant ton plaisir et l’autre contraignant ton bras. Les va et vient continuent de masser ton intérieur sans que tu ne puisses t’échapper. Je sens ton vagin se contracter contre moi, il s’apprête à jouir et je le laisse venir. Seulement, je me retire et te vois te contorsionner de frustration, d’un plaisir que je t’ai seulement laissé apercevoir. Le supplice de ta privation amène mon plaisir. L’impact de ma première giclée sur la peau de ton dos te fait gémir. Je suis assouvi… contrairement à toi. Sans ma queue, tu sens encore les va et viens dans ton sexe. Sensation de ce moment inachevé. « Dorénavant, tu m’exprimera ta gratitude pour chaque frustration. Alors, qu’est-ce qu’on dit petite chienne ? ». Après une fraction de seconde à ravaler ta contestation, tu me réponds « Merci Monsieur ». Après nous être assoupi, je recommence à caresser ta vulve. Quel plaisir de jouer avec ton sexe frustré et trempé ! Mon terrain de jeu oscillera entre ton urètre et ton clito. A peine je pose mon doigt sur ton gland que tu te cambres et pousse un fort gémissement. Je tourne autour, je le fait durcir progressivement sous mon doigt. J’écarte tes lèvres avec mon autre main pour appuyer plus fortement sur la surface de ton gland. Une fois bien bandé, je passe mon doigt sur le tout bout de ton bouton. Ces changements de rythme te rendent folle ! Je descends le long de ta vulve pour retrouver ton tout petit orifice, la source de ton jus abondant. Je joue avec, l’excite. Tu n’arrêtes plus de gémir, tu es sur le point de jouir mais tu ne peux pas car je remonte sur ton gland pour redescendre ensuite. En remontant une dernière fois sur ton clito, j’y reste et te pousse. Tu sais si bien m’obéir et jouir sous mon ordre, je te l’ordonne : « Jouis ! ». Quelle fierté j’ai en te voyant braver tes doutes de savoir si je vais te laisser jouir, tu ouvres l’accès à ton orgasme. Une convulsion naissante envahit ton corps. C’est là que je retire mon doigt de ton être et te laisse te battre avec cette vague intense de frustration. Je profite du spectacle. Les larmes perlent aux coins de tes yeux. Je viens te prendre dans mes bras pour profiter au maximum de ta dépossession de plaisir. Tu plantes tes griffes dans mon ventre pour espérer gérer ta frustration. Dépouillée de ton plaisir, il te faut quelques minutes pour pouvoir reparler et me dire « Merci Monsieur ». L’orgasme masculin est bien fade face au plaisir que j’éprouve à te voir. Ton supplice ne fait que commencer car mon projet n’est pas de te laisser dans cet état mais bien de le pousser à bout. Un total de cinq « Merci Monsieur » rythme ta journée aux moments où tu n’y attends aucunement pas. Tu m’as supplié tout le long de la journée de te libérer de tes envies, de te faire jouir. Tu n’es plus que vices et chienne quand je te retrouve pendant ta sieste. En me couchant près de toi, ma main se glisse dans ta culotte trempée de la journée. Et je recommence cette dance entre ton clito et ton urètre. Connaissant ton attirance pour le plaisir saphique, je laisse gémir des femmes sur mon portable. Ton vagin se contracte à en faire exploser ta vessie. Tu les vois se répandre, ton envie les rejoint en te vidant sur ma main. Tu exploses, tu t’abandonnes et mets par terre toutes barrières sociétales à ton plaisir. Ta récompense approche, je veux te faire jouir, tu n’as pas besoin de me le demander cette fois-ci, je te libère et tu hurles ton plaisir. Satisfaite de découverte, tu me confies la réponse à ta question.
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Par : le 16/07/23
Confortablement assi dans son jet privé, le dernier falcon de Dassault aviation, copieusement subventionné par son ami, le Président Vladimir, le général Valeri, qui ne lesigne plus sur les moyens, consulte le dossier en sirotant un excellent cognac du Causase. Il a un peu de mal a  se concentrer. Il pense au délicieux depucelage de Valentina, sa seconde épouse, à son cul de rêve et à sa chatte anale de sportive bien serrée. Un délice. Il serait bien reste une semaine de plus, chez lui, à  s'envoyer en l'air avec ses deux femmes. Il vient juste de les quitter et c'est déjà si loin. Une mission hard et très  dangereuse. Exfiltrer un connard d'oligarque russe qui pensait faire de juteuses affaires au Soudan dans le dos du Président Vladimir. Ce con est à  présent retenu comme otage par un groupe d'enrages armes jusqu'aux dents. Pas facile. Et comme toujours le danger donne envie de baiser. A ses côtés, Xian, la terrifiante tueuse manchoue semble dormir. Rien à  foutre. Valeri la retourne, lui baisse son pantalon, pas de culotte, et s'enfonce dans son anus serré. La manchoue se laisse faire. Elle a l'habitude avec Valéri. C'est son seul homme. Aucune aventure. Elle n'aime pas le sexe. Pourtant elle jouit chaque fois. Valeri lui caresse son délicat clitotis de la main pendant qu'il la pilonne. Ils jouissent tous les deux en même temps. C'est une de ses concubines  attitrée et cela va très bien pour Xian qui ne supporterait pas d'avoir un homme à la maison en permanence. Il faut dire qu elle a été violée par un oncle lorsqu'elle était gamine et que le traumatisme est toujours là. Les hommes qui s'approchent trop près  elle les castre et pas seulement psychologiquement. Avec Valeri c'est pas pareil, elle accepte ce rôle de soumise sexuelle totale. Il peut la prendre comme il veut et il est bien le seul. Et puis le sexe permet à ces deux tueurs de ne faire plus qu'un dans l'action.  -putain de merdier que le Soudan, lâche Valeri. Un bon terrain pour nos milices et faire de bons plans.  Xian ne dit rien. Elle médite. De toute façon Xian ne dit jamais rien. C'est à se demander si elle a une langue. Elle adore les missions avec Valeri. Elle prend plus de plaisir à "nettoyer" qu'à baiser. Surtout que cette fois ils vont tester les nouvelles armes expédiées par Kim qui a pris un contrôle quasi total sur le milliardaire chinois Lio et son épouse. Drones électriques ultra-légèrs et furtifs, fusils à  tirs corrigés par intelligence artificielle et bien d'autres choses encore. Elle a hâte d'essayer ce nouveau matos, ce qui se fait de mieux dans le monde.  L'emplacement où l'oligarque russe est retenu est vite repéré et observé. Avec les fusils de très haute précision, Valeri et Xian font un carnage à distance. Plus personne n'ose pionter le bout de son nez. Il partent finir le reste au couteau. Deux ombres qui se glissent dans la nuit. Un autre carnage. Ils coincent le chef et ses trois femmes dans une pièce. Xian ne peut résister au plaisir de l'emasculer avant de le liquider. Ils retrouvent l'oligarque dans une pièce verrouillée,  tout piteux et sale, avec des doigts en moins,  sans doute pour le faire parler.  Valeri l'embarque dans un pic up des rebelles avec les trois femmes, les seules survivantes du carnage. Il compte les offrir en récompense aux policiers corrompus qui ont aidé pour faire le job. Elles sont superbes. Ils vont apprécier, même si une femme vaut moins qu'un bon chameau.  Retour dans le jet avec l'oligarque qui est menotte sur son siège. - tu as des comptes à  rendre  connard.   Pendant le vol retour  Valeri à besoin d'évacuer le stress de la mission. Les jolies petites fesses de Xian sont là pour cela. Mais cette fois il préfère sa petite chatte si délicate. Xian jouit très fort, mais en silence. Elle aussi a besoin.de se détendre un peu.  Valeri ne pense déjà plus qu'à la chatte de Roxana et au cul serré de Valentina. Il s'endort d'un coup au dessus de l'océan. Encore une mission réussie.   
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Par : le 10/07/23
Au début le milliardaire chinois lio avait souri. Il pensait faire une belle séance au pied de sa sublime maîtresse, la nord coréenne Kim. Lio, la cinquantaine, bien marié, bon père de famille, riche à milliards  avait cru au début à une simple aventure. C'est Kim qui l'avait viole dans son bureau. Un rdv qu'il croyait facile avec une militaire qui voulait lui acheter pour une milice privée russe des drones dernière generation. D'habitude c'est lui qui violait la fille avant toute discussion. Le vagin plein de sperme facilitait les négociations. Mais là, il n'avait rien pu faire. Kim l'avait neutralise comme s'il n'était qu une mince feuille de papier et l'avait broyé.  Elle l'avait ensuite empale sur un énorme god ceinture. Il n'avait même pas pu hurler. Kim savait agir sur ses points vitaux pour le paralyser. Et lio avait jouit du cul comme jamais il n'aurait pensé cela possible. Des orgasmes de la prostate à répétition. Son sperme avait coule et Il avait du tout nettoyer.  Depuis cette salope de Kim le tenait par les couilles. Il était devenu accro complet de cette folle qui le battait, le giflait, l'humiliait sans cesse, le fouettant jusqu'au sang. Après elle le baisait et il jouissait toujours très fort, très vite et en cascades. Cette salope de Kim l'avait cocufie en allant sauter sa femme devant lui. Depuis il portait et les cornes et une cage de chasteté.   Il ne s'était pas méfié ce jour là.  Un énorme gode en porcelaine. Avec comme des tores toujours plus gros jusqu'à la base. Et Kim l'avait empale dessus. Les premiers tores étaient rentrés faciles. Il avait jouit fort. Mais à présent il avait peur. Et cette folle de Kim qui semblait l'ignorer.  Il voudrait hurler. La peur cela ouvre le cul, c'est bien connu. Un tore de plus!!! Largeur ballon de rugby 🏉.  Le prochain c'est largeur ballon de football ⚽️.  Une horreur. Il a le cul tellement ouvert à présent que cela se déchire à  l'intérieur.  Et celle folle de Kim qui l'ignore. Il voudrait hurler. Maudit points vitaux bloqués par cette salope. La trouille terrible est la. La peur de mourir.  Et zou le ballon de foot est entre.  Kim s'approche et lui tire une paire de baffes bien sonores. - Non, tu vas pas mourir connard. Mais tu vas racker des milliards. Notre chef Valeri en réclame. On va juste te mettre à contribution. Tu veux bien faire plaisir à ta maîtresse et dire merci ?  Lio a dit oui des yeux. Cela l'a fait jouir. Et merde...un tore de plus dans le cul. Kim l'arnache avec des cordes pour stopper l'empalement.  Cette salope va le laisser comme cela longtemps. Elle eteind la lumière et le laisse dans le noir avec son cul explose et defonce.  -A demain, connard. Je file au resto avec ta femme et je vais bien la baiser après. Un de ces jours on mangera tes couilles grillées devant toi.  Une folle!!! Et rien que d'y penser lio a encore jouit très fort. 
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Par : le 30/06/23
Ce n'est que très récemment que j'ai pris conscience de son emprise sur moi. Son petit sourire narquois a le don de me faire chavirer. À flots dans les limbes du désir, je rassemble les quelques pans de bois restant de mon ego pour me construire un radeau. Je n'ai que peu d'espace afin de me maintenir hors de ces eaux troubles. Seul sur cette Méduse, face à moi-même, je dérive et m'enfonce dans les ténèbres. L'obscurité a quelque chose de rassurant. La quiétude qui y règne me permet de m'abandonner et de dépasser mes peurs. Perdre certains sens en décuple d'autres. Plus ma vue se trouble, plus mon toucher s'étend. J'ai l'impression que mon corps est aussi sensible qu'une digitale. Je m'ouvre par défaut et me referme dès que l'on m'effleure. Dans ce mouvement incessant entre tension et relâchement, j'y laisse un pétale. Ce n'est que dans sa chute qu'il raconte l'histoire de mon tourment. Lorsqu'il tombe, je me sens dans le plus simple apparat. Maintenant, que je suis dénué de tout artifice, que la beauté n'est plus sublimé par l'emballage, je me sens bien. Je ressens toute cette sève accumulée dans la tige tendue. Elle ne demande qu'à jaillir. Pourtant, c'est elle qui me maintient : moi, la fleur.  Ce n'est qu'au moment où le pétale touche les eaux que l'onde se multiplie. Les forces qui s'exercent me dépassent. Est-ce bien un simple pétale qui entraîne la création de ces arcs infinis ? Comment d'une simple moue, peut-elle m'atteindre si profondément ? Je ne souhaite pas le savoir par peur d'en briser la mystique. Qu'adviendrait-il si je trouvais la réponse ? J'y perdrai sans doute mes racines, celles qui me permettent de m'abreuver de Son essence. Elle est ma terre, mon socle, mon terreau, Je serai la chair, Patrocle, un héros, Lumière surgit, m'ôtant le bandeau, Pour elle, je vis, jusqu'à mon tombeau.
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Par : le 23/06/23
À mesure que l'aurore chatouille la rosée, la roseraie du jardin de ma Dame dévoile ses couleurs chatoyantes.  Cette humidité perlée s'ajoute à celle déjà présente sur l'épiderme de mes cuisses. Le contraste de température des deux fluides provoque en moi un excès d'excitation. Pourtant raisonné par cet habitacle métallique que ma Dame m'oblige à porter, je ne peux m'empêcher de gémir tant mes sens sont stimulés. Seul au milieu des plantes, agenouillé dans ce gazon recouvrant l'humus, je suis une statue. Mes bras sont tendus par des liens raccrochés à la structure métallique de la roseraie. Je donne à ma Dame la vue qu'elle désire en lui faisant dos. Pendant qu'elle sirote son Nicaragua dans la véranda, elle s'amuse de mon isolement.  Je dois bien en convenir; ce lever de soleil est magnifique.  La chaleur recommence à monter en moi tant la lumière caresse mon corps nu. Les épines de roses logées entre mes omoplates me rappellent à l'ordre comme ma Dame sait le faire. C'est ainsi qu'elle me marque de son sceau. La douleur se calque sur le battement de mon cœur qui ralentit de plus en plus depuis qu'elle est partie. Pendant que la lumière révèle le reste de la flore, c'est la faune qui se réveille. Les oiseaux gazouillent, s'abreuvent et jouent dans une des vasques du jardin. J'aimerais aussi pouvoir me libérer de cette étreinte et m'envoler... "- Tu les envie n'est-ce pas ? À quoi te servirait cette liberté à toi ? Et pour aller où ? Dit fermement la Dame aux Roses, qui s'était rapprochée à pas feutrés. - Nulle part, Madame, dis-je piteusement en cachant ma surprise. Que ferais-je sans vous ? - Tu n'irais pas bien loin, c'est certain, dit-elle sèchement. Au moins, tu as le mérite de le reconnaître. Décidément, mes chéries ont vraiment un bon effet sur toi." Au même moment, je sens comme une pression sous ma nuque. La Dame appuie avec la semelle de sa botte sur les épines restées ancrées dans le haut de mon échine. Je ne puis m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure afin d'étouffer la moindre plainte. Plus elle appuie, plus les épines déchirent ma chaire laissant couler de légers filets vermillons que je sens rouler jusqu'à mon bassin. Après que mon cou se soit contracté de douleur, me faisant lever la tête et contempler le ciel, ma tête retombe. Je ne vois plus que mon torse suintant et cette cage entre mes deux jambes. Après un rictus sonore, appuyant un peu plus son emprise, la Dame s'en retourne dans sa véranda. Éreinté, je ferme les yeux et m'assoupis peu après.
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Par : le 03/05/23
On a tous une première fois, je pensais déjà avoir eu la mienne, mais là je revivais une première fois. Première fois que j’allais pénétrer une femme, enfin pénétrer avec un gode, pas mon propre corps bien sûr. Le sexe de Madame semblait bouillonner d’excitation autant que le mien. Je voyais ce gros sexe rigide mais qui pendait s’approcher de son entrejambe, j’étais un peu perdue et tentais de me rappeler comment faisaient mes partenaires. D’une main je vins caresser son sexe, non seulement pour l’exciter encore plus, mais pour récupérer sa mouille aussi. Le gode en fut recouvert, luisant à présent. Je posais une main contre son aine, de l’autre je saisi le gode, mon cerveau tentais de comprendre, et le dirigeait vers cette fente qui semblait n’attendre que ça. Plus il s’approchait, plus j’avais des flashs de ce que j’étais habituée à voir et il me semblait être un avatar d’un jeu. Il glissa lentement en elle, son corps semblait se tendre, peut-être la fraîcheur de l’objet, et un gémissement de plaisir accompagnait ce mouvement. Mon bassin vint s’appuyer contre le sien. Une fois au fond, comme si c’était naturel, mon bassin se cambra en arrière, ressortant une partie du gode. Mais mains saisirent ses hanches et j’enfonçai d’un coup sec le gode, la prenant par surprise et la faisant plus crier que gémir. Je commençais à sourire, prenant un certain plaisir à avoir ce rôle opposé à celui que je connaissais jusque-là. Tout en la tenant, je continuais mes aller-retours, lentement, plus rapidement. Et je commençais à gémir aussi, je me rappelais d’un coup. Mon gode-ceinture était bien muni de deux godes interne et le tout bougeait lors des mes aller-retours. Je me baisais en même temps que je la baisai. Cela me fit redoubler d’ardeur et réveilla une sorte de bête assoiffée de sexe du plus profond de moi. Je me couchais sur elle, continuant de la pénétrer, jouait avec ses seins offerts, les embrassaient, léchaient, claquaient. Mes mains allaient faire rougir ses cuisses également, ma bouche embrassait son bâillon plus que ses lèvres. Je vins la saisir à la gorge, pendant que je m’appliquais à donner de violent coup de butoir. Je voyais ses bras se tendre, entre le manque d’air et la jouissance, tout son corps également restait crispé. Je la lâchais, elle reprit de grandes bouffées d’air, comme elle le pouvait. Qu’est-ce qu’on dit ? Elle continuait de reprendre ses esprits et sa respiration. Je n’ai pas entendu, qu’est-ce qu’on dit ? Puis à ma plus grande surprise, je vins la claquer. Un moi Dominatrice, semblait s’être réveillé, un moi inconnu que je découvrais en même temps qu’elle. Heri Adahe Je préfère Et collant à nouveau mon bassin à elle, tout en la pénétrant, nos seins s’écrasèrent les uns contre les autres. Je me saisis de sa tête et tout en douceur je la caressai, l’embrassai sur le front, le bâillon. Elle semblait revenir d’un bel orgasme, respirait fortement. J’étais essoufflée, de part l’exercice que je venais de faire, mais aussi l’excitation constante et grandissante que je ressentais. Mes yeux devaient pétiller, plus rien autour de nous n’existait. Son corps semblait être un petit nuage où je m’évadais, nous sommes restées ainsi jusqu’à ce que : C’est bon stop, en position.
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Par : le 24/04/23
Azhara a lancé il y a quelques semaines une discussion sur le forum qui interrogeait la communauté : dominer est-ce manipuler ? Comme chacun sait, la domination et la soumission sont deux piliers essentiels du BDSM. Les pratiques sexuelles et érotiques consensuelles impliquent une dynamique de pouvoir, où l'un des partenaires assume le rôle de dominant et l'autre celui de soumis. Toutefois, la question de savoir si la domination implique la manipulation a donc été soulevée dans dans cette discussion du forum (dans la continuitié d'un échange sur le Mur Général). Certains membres du forum estiment que la domination peut facilement se transformer en manipulation si l'on utilise son pouvoir pour son propre bénéfice sans prendre en compte le consentement de l'autre. Pour ces personnes, la frontière entre la domination et la manipulation est mince, et il est facile de tomber dans la manipulation lorsqu'on exerce un pouvoir sur l'autre. D'autres membres, en revanche, affirment que la domination et la manipulation sont deux concepts différents. Selon eux, la domination est un échange mutuel de pouvoir et de contrôle qui est décidé à l'avance, tandis que la manipulation est l'utilisation délibérée et trompeuse de l'influence pour obtenir quelque chose de l'autre. Faut-il le rappeler, la domination dans le BDSM ne doit jamais être abusive ou violente. Elle doit être exercée de manière responsable et éthique, avec le consentement de l'autre partie. La domination peut être une pratique saine et consensuelle dans le BDSM si elle est faite dans le respect des limites et des besoins de l'autre. La communication est un élément clé dans toute relation BDSM, et la domination ne fait pas exception. Les partenaires doivent discuter de leurs limites, de leurs désirs et de leurs besoins avant de s'engager dans toute pratique BDSM. Il est également important que les partenaires comprennent clairement ce que la domination implique pour eux et comment cela peut affecter leur relation. Les membres du forum ont également souligné que la manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM. La manipulation peut être nocive et abusive, et elle n'est pas une pratique consensuelle. Dans une relation BDSM, la communication doit être claire et les partenaires doivent être respectueux les uns envers les autres. En fin de compte, la domination peut être une pratique saine et éthique dans le BDSM si elle est faite dans le respect du consentement et de la communication claire. Les partenaires doivent comprendre les limites de chacun et être conscients de leurs propres besoins et désirs. La manipulation n'a pas sa place dans les relations BDSM, et il est important que les partenaires soient respectueux les uns envers les autres à tout moment. Cliquez ici pour relire l'intégralité de la conversation du forum (ce résumé peut être perfectible !) et participez au débat !
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Par : le 11/04/23
Monsieur me saisi la tête et me l’enfonça à nouveau entre les jambes de Madame. Ma langue recommençait à s’occuper de l’entrejambe. Je n’osai enlever mes bras croisés dans le dos et m’appliquais au mieux. La pression sur ma tête se relâcha, cependant je continuais à m’occuper de ce succulent entrejambe. Il me délia les bras, je compris que j’en avais à nouveau l’usage, je me saisi des hanches et me plaqua encore plus contre. Monsieur fit le tour, à la réaction de Madame elle ne l’avait pas encore vu. Passé le moment de surprise elle semblait sourire à nouveau, semblant tenter de le charmer. La laisse fut libérée et Monsieur s’installa face à elle, ses jambes de part et d’autre. Vu qu’elle se redressait, je devais modifier mon angle d’attaque, inconfortable pendant un moment. Au bruit Monsieur devait jouer avec la chaîne entre ses seins et embrasser je ne sais quoi en même temps. Un temps calme et je devinais Monsieur enlever son pantalon et à voir la scène devait lui faire de l’effet. Madame repartie en avant et englouti ce membre, elle était bien obligée, la bouche tenue ouverte. Leurs gémissements s’unirent, me redonnant une nouvelle ardeur dans mon exploration, à la langue et aux doigts. Mon autre main partie vers mon entrejambe, mais ne tomba que sur l’anneau métallique et la ceinture de cuir. Cela dura un moment, Madame fut redressée, à ma plus grande surprise. Je fus obligée de m’interrompre, il y avait juste mes mains l’enlaçant et m’occupant du haut de ses grandes lèvres. Monsieur se leva, se saisi de la laisse et partit en direction de la porte avec Madame, qui marchait difficilement avec la barre d’écartement. Je restais à genoux à côté du lit et me remis les bras dans le dos en attendant d’autre instructions. Reste là je reviens. Oui Monsieur La porte se referma et les bruits de pas s’éloignèrent. Je redescendais de mon nuage de Domination, me surprenant de ma manière d’agir, je ne me reconnaissais pas. Mais qu’est-ce que j’avais aimé ça et cela devait être encore mieux avec la pleine jouissance de son corps. Devant moi restai la tache de bave laissé par Madame sur ma couette, je la devinais encore là à genou. Je ne sais combien de temps j’étais là à l’attendre, quand la porte s’ouvrit à nouveau il y avait juste Monsieur. Il me saisi par l’anneau du collier, et me faisant me relever m’emmena en direction d’une pièce déjà visitée, j’en frémi. Lorsque la porte s’ouvrit je reconnu cette planche où il avait voulu m’attacher pour ma première nuit, cette planche où j’utilisai mon Safeword de panique. Mais cette planche n’était pas vide. Dessus se trouvait Madame, attachée, sans défense, toujours bâillonnée un bandeau sur les yeux en plus. Monsieur en fit le tour, jusqu’à se trouver derrière sa tête, laissant glisser sa main sur son corps, elle frémit d’abord puis soupira ou gémit de plaisir. Apparemment cette planche n’avait pas le même effet sur elle que sur moi. Il me fit signe d’approcher, me pointant l’espace entre ses jambes écartées. J’approchais, il se tourna pris un objet et se rapprocha de moi. Mes yeux s’écarquillèrent quand je reconnu un gode d’une belle taille. Sans trop de difficulté il me l’installa à l’anneau métallique, comme s’il faisait ça souvent. Les préliminaires sont déjà bien entamés, passons à l’étape suivante. Et d’après ce qu’elle m’a dit, tu te débrouilles très bien dans ce rôle. Euh.. Merci Monsieur, comme vous le voudrez. Je voyais cet appendice, rouge translucide suivait mes mouvements, balançant si je bougeais trop rapidement. Alors que j’étais obnubilé par ce jouet je reçu un coup de cravache sur les fesses. Monsieur me regardait sévèrement. Je ne devais pas faire attendre ses ordres. M’approchant de Madame je vis son sexe dégoulinant. Fais comme si je n’étais pas là.
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Par : le 10/04/23
De sa position je ne l’entendais que gémir, gémissement étouffé par la couette. Bien entendu je faisais attention si elle essayait de dire « Sunstone » ou la réaction de son corps. Plus ça allait, plus je me rendais compte que de Dominer n’était pas juste jouer avec l’autre, c’était prêter attention à lui, prendre soin de sa personne, être à l’écoute de ses réactions involontaire et volontaire. Bref ce n’est pas de tout repos. Comprenant que tout allait bien pour elle, je pris le martinet et commençais à le faire glisser le long de ses fesses ainsi misent en valeur. Elle comprit rapidement de quoi il s’agissait, son petit rire me fit comprendre qu’elle ne craignait pas sa morsure. Je commençais par des frappes légère et de plus en plus forte sur une fesse. Voir la peau se chauffer et virer au rouge était magnifique et impressionnant. Je fis de même avec l’autre, voilà 2 belles demi-lune bien rouge et chaude pour moi. Mes mains les caressèrent et effectivement elles chauffaient bien. Je les embrassaient lentement, les serrant l’une contre l’autre, les écartant. Je faisais bien attention de ne pas partir dans le sillon, c’était trop tôt. Quand je vis que mes doigts laissaient des marques blanches à leurs passages je souris de plus belle. Le bout de mes doigts laissa la place aux ongles et griffèrent légèrement cette peau à vif. Le résultat ne se fit pas attendre. Elle commença à se dandiner sous mes doigts, gémir de plus belle. Je l’avais en mon pouvoir, ne pouvant me retenir je vins lui mordre une fesse, assez pour y laisser la marque de mes dents, sans lui arracher de peau bien sûr. Elle cria de plus belle, entre la surprise et la douleur. Mes dents la lâchèrent et laissèrent la place à un baiser au même endroit. Reprenant le martinet, je donnais un nouveau coup de chauffe à ce fessier qui s’était légèrement refroidit. Elle se dandina encore plus fort, gémissant de plus belle. A la fin de ces jeux de frappes, je me couchais à ses côtés la regardant. Malgré le bâillon, je devinais un sourire, malgré les yeux humides de larmes. Découvrant son visage des cheveux venu s’y collé, je lui embrassais la tempe et plongeant mon regard dans le sien je fis un petit oui de la tête, qu’elle me rendit. Elle était prête à continuer. Je m’arrangeai pour lui tirer le bassin en arrière, afin d’avoir un bel accès à ses fesses, sans que le lit ou la barre ne me gêne. Je laissai glisse mon indexe le long de son sillon, elle gémit de plaisir. Je jouais à passer d’un trou à l’autre, juste en surface, en caresse, en douceur. Elle ondulait son bassin, gémissant de plus en plus fort, commençant à haleter. Je continuais à l’exciter et la frustrer, ne la pénétrant jamais. Plus ça allait, plus je sentais qu’elle en demandait plus, cherchant à donner des coups de fesses sur mon doigt au moment opportun. Au bout d’un bon quart d’heure, je m’arrêtai sans prévenir et donna une belle claque sur chacune de ses fesses, ce qui calma ses ardeurs. Je l’aidais à se déplacer sur le lit, pour me permettre de m’asseoir sur ses jambes. Ainsi en place, je faisais dos à la porte, ne m’occupant que de ma soumise du jour. Lui écartant les fesses, je plongeai mon visage dedans, me servant de ma langue pour l’exciter à nouveau. Mes mains laissèrent son postérieur et partirent le long de son corps, la caresser, découvrir sa douce peau. Et finalement elles arrivèrent aux seins, toujours tenu par les pinces. Je récupérai la chaine et commençait à jouer avec, mêlant plaisir et douleur. Cela semblait décupler ses gémissements. Pendant qu’une main jouait avec la chaîne, l’autre était retournée à son entrejambe et jouait avec son clitoris. La zone était humide, entre ma bave et sa cyprine. Je me délectais de ce moment, de cette position de donner du plaisir par mon choix de la manière dont je voulais. J’arrive au bon moment j’ai l’impression. Monsieur S. je ne l’avais pas entendu rentrer, mais depuis quand était-il là ? Ne sachant que faire, je décidais de rester sur le lit et me mettre en position, abandonnant toute stimulation sur Madame. Ne l’ayant peut-être pas entendu, elle gémit de plainte, prenant cet arrêt juste pour une de mes facéties.
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Par : le 09/04/23
Mes doigts parcoururent l’ensemble de son corps, passant d’une partie recouverte de latex à de la peau nue. Je soupesais ses seins, volumineux, lourds, ses aréoles finirent rapidement entres mes doigts. Je m’excitais toute seule à découvrir et jouer avec, comme une gamine, c’était ma poupée à moi. Elle ne disait rien, gémissait au pire des cas, mais ne bougeait pas. Je me saisi de sa tête, la redressa et vint l’embrasser sur la bouche. Le baiser continuât, de plus en plus intense et profond. Mes mains exploraient son dos, ses fesses, les malaxaient, la collant à moi, écrasant sa poitrine contre la mienne, situation des plus excitante. Puis je la lâchais, la repoussa dans son coin, jubilant de ce pouvoir. Me tournant je partis vers la commode, les talons me faisaient déjà onduler des fesses, mais je prenais un réel plaisir à amplifier la chose. Je me sentais belle, supérieur, désirable. Dans les tiroirs, laisses, menottes, mousquetons, martinets, bâillons, une belle collection de jouets mais rien pour pénétrer ou faire jouir. J’allais devoir m’occuper de cet aspect de façon artisanal. De retour vers ma soumise, je lui accrochai la laisse et la tira d’un coup sec en direction de la table, j’avais faim moi. Ses poignets furent attachés ensemble tout comme les bracelets qu’elle portait aux biceps, tendant sa poitrine vers l’avant. Avant d’aller m’asseoir de l’autre coté de la table, une tension sur la laisse la mit à genoux. En m’asseyant je senti les godes, à l’intérieur de ma ceinture, bouger et venir encor plus profondément. C’était surprenant et bon, je jouais à onduler du bassin sur ma chaise, pour amplifier le mouvement. Je voyais juste ses yeux me fixant, se demandant ce que j’allais faire d’elle. Je fini par récupérer la laisse sous la table et la tirai vers moi, l’obligeant à avancer à genou de manière maladroite. Quand elle fut à mon niveau je lui attachai des pinces à seins, reliée par une chaine, à ses grimaces cela lui faisait de l’effet. Lui relevant la tête, je fis quelque chose que je n’aurais jamais pensé faire, une chose que j’avais vu sur le net, je lui crachais à la figure. A sa réaction cela la surprit, mais sans savoir pourquoi je jubilais encore plus. Cette secrétaire, hyper sexy, sure d’elle, sans doute Dominatrice à ses heures aussi, était là à ma merci. Faisant passer la laisse sous mon pied je l’obligeais à se pencher près de celui-ci. Embrasse et lèche, chaussure et pied. C’est tout ce que tu auras comme repas. Oui Madame. Je l’avoue c’était une pure revanche par rapport à son arrivée. Mais le « Oui Madame », me prit par surprise et me fit bien plus d’effet que tout le reste. Ne pouvant me toucher, j’ondulais encore plus fort sur ma chaise. C’était bon, je mangeai plus lentement qu’à l’accoutumée, tellement j’étais prise par des sensation nouvelles et étranges. Ses coups de langues et baiser occupaient tout mon esprit au début, mais plus le temps passait, moins j’y prêtais attention. Une fois fini de manger, je me relevais, elle ne bougeait pas à genoux sous la table, pliée en deux. J’en fis le tour, son postérieur était magnifique ainsi présenté. Debout et va te mettre dans la même position sur le lit, jambes encore plus écartées. Bien Madame Pendant qu’elle se déplaçait, j’observait à nouveau le contenu des tiroirs, pire qu’une gamine à Noël. Je fis mon choix dans les jouets et vins les poser à ses côtés. La barre d’écartement, fut rapidement installée entre ses chevilles, l’obligeant à les maintenir bien ouverte. Tirant sur le collier elle fut obligée de se redresser, je pu facilement lui installer le bâillon-O, l’obligeant à garder la bouche grande ouverte et disponible. Je l’embrassais sur le coins et lèvres et la repoussais sans ménagement elle s’écrasa sur le lit, dans un cri gémissement le temps de sa chute. Faisans le tour du lit, j’attachais la laisse à une des attaches qui m’avait maintenue cette nuit, impossible pour elle de se relever. Elle était tout à moi, offerte sans défense, j’allais pouvoir commencer à m’amuser. Chose étrange dans cette situation, c’était la soumise qui pouvait jouir, tandis que moi j’étais toujours interdite d’accès à mon entrejambe.
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Par : le 07/04/23
Je ne sais combien de temps s’est écoulé, surtout que la lumière fût éteinte lors de leur sortie de la cave. Entre la fatigue des émotions et de la positions j’avais beaucoup de mal à tenir cette position d’étoile contre le mur. Je somnolais, sentant mon poids qui tirait sur mes épaules, ma tête pendait en avant sans énergie. Lorsque j’ouvris les yeux j’était dans les bras de Monsieur, étais-ce un rêve ou la réalité, je n’avais rien sentis. Lorsque nos 2 regards se croisèrent il me sourit et m’embrassa sur le front. Chhhhh, rendors toi, tu as tenu bien plus longtemps que je ne le pensais tu mérite de te reposer dans ton lit un moment. Et tu es si belle quand tu dors. Je souris à mon tour, c’était la réalité, je devais dormir tellement profondément que je n’avais rien senti. Mais dans ce bref instant de lucidité je sentais quelque chose d’étrange entre mes jambes, m’aurait-il remis la ceinture de chasteté ? Au moins je pourrais me reposer convenablement, c’était déjà ça. Je percevais la douceur et le moelleux du lit, la chaleur de la couette qui était installée sur moi, sans plus réfléchir je repartais dans les bras de Morphée. A mon réveil, la lumière du jour commençait à se faire de plus en plus faible et je semblais ne pas me reconnaître. La cagoule était toujours présente, me transformant en quelque sorte, les bracelets aux poignets et chevilles aussi, me rappelant ma condition. Ces chaussures solidement attachée et … mais qu’est-ce que j’avais à l’entrejambe ? Je me levais et découvrais une autre ceinture, plus large sur le devant munie d’un anneau métallique, bien serrée et également cadenassée. Et d’après ce que je ressentais elle était munie de 2 godes, depuis tout ce temps j’était pleine sans m’en rendre compte la fatigue sûrement. Alors que j’explorais cette ceinture la porte s’ouvrit. Je me mis rapidement en position, Madame rentra avec un plateau. Son attitude était différente, moins sur d’elle, regard fuyant, tête basse, étrange. Elle posa le plateau sur une table et recula, regardant ses pieds, s’arrêta dans un coin et se mit dans la même position que moi. J’aime jouer avec les rôles et rappeler que chez moi, il n’y a qu’un seul Maître. Monsieur rentrait en prononçant ces paroles, en ignorant Madame. Je ne comprenais plus rien, je n’osai bouger, attendant un ordre, une autorisation. Monsieur s’approcha du plateau, pris un morceau de gâteau, qui semblait être une sorte de goûter. Dès à présent et jusqu’à ce que je le décide tu peux disposer de ta soumise comme il te souhaite. Elle est à toi. Cependant vous devrez rester dans cette pièce, examine les tiroirs tu as de quoi t’amuser rassure toi. J’étais encore plus perdue, je passai du rang de soumise à Dominatrice. Je pouvais diriger une autre femme, une grande première pour moi, même Dominer était une nouveauté, je sentais comme une pointe de stress monter. Je pris une grande inspiration, ferma les yeux. Merci Monsieur Tu n’as pas perdu les bons reflexe, sache que son SafeWord est Sunstone et que je ne suis pas loin non plus. Je vous laisse vous amuser entre fille. Partant il fermât la porte et d’après le bruit ce fût à clef. Je regardais Madame, qui n’avait pas bougé. D’un pas lent je m’approchait d’elle et profitais pour l’examiner encore mieux, son habillement n’avait pas changé et c’était vraiment une magnifique femme, de longues jambes, poitrine volumineuse. Je pense que je vais m’amuser.
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Par : le 31/03/23
Monsieur fit glisser ses mains le long des hanches de Madame. Elle ne se fit pas prier et se cambra encore plus pour venir frotter ses fesses contre l’entrejambe de Monsieur. Je les voyais entamer cette sorte de danse langoureuse, lascive étant une sorte de spectatrice malheureuse et fortement frustrée. Monsieur tira sur l’anneau au collier de Madame, pour l’embrasser amoureusement et profondément. Elle a mérité sa récompense ? Je pense, elle ne s’est pas plainte, gémi débattue. Je savais qu’elle allait apprécier ce moment avec toi. A ces mots il sortit de petites clefs de sa poche et s’approcha de moi. Fit glisser ses mains le long de mon ventre et me plaqua contre lui, me fixa d’un regard profond et supérieur, rapidement je baissais les yeux, me délectant de son odeur. Pendant ce temps ses mains s’affairaient autour de ma taille et ouvraient ces petits cadenas et finalement laissait tomber cette ceinture au sol. Le frais de la pièce semblait ne se concentrer que sur mon entrejambe, humide, tenue chaude. Ma récompense ? Allait-il me prendre là comme ça, je sentais à nouveau mon bas ventre s’enflammer. Sans que je ne l’aie vu il avait sorti un bandeau et venait de m’aveugler, cela eu le même effet que de jeter de l’huile sur le feu. Et finalement il recula, me laissant totalement offerte, sans défense. Madame était restée de côté, observant, souriant. Dans le silence de la pièce, j’entendais des bruits de tissus, ceinture et je sursautai quand Madame revint me caresser de ses mains latexée. Je ne souhaitai qu’une chose, qu’elle les descende et vienne s’occuper de mon bassin. Mais non, à nouveau elle s’occupait de tout mon corps sauf cette zone. Rapidement je sentais que ses gestes étaient plus saccadés, ondulant. Lorsque je l’entendis soupirer de plaisir je compris, Monsieur la prenait là devant moi, pendant qu’elle me caressait. Les anneaux de ses bracelets et collier tintaient sous les va et viens de Monsieur. Je coulai littéralement, ne souhaitant que quelqu’un vienne me faire jouir. Et finalement, je senti une main glisser sur mes grandes lèvres, elles s’y glissèrent sans souci. Je ne pouvais gémir, ma bouche étant bâillonnée par celle de Madame. Enfin mon sexe était stimulé, et mon corps prenait le même rythme que celui de Madame. Je me retins de gémir quand elle se détacha de moi, tant de sa bouche que de sa main. Mais rapidement je senti sa bouche se poser sur ma chatte et elle semblait s’abreuver de ma mouille et finalement venir me fouiller de sa langue. Je ne pouvais m’empêcher de me cambrer, tirer sur mes chaînes sous le plaisir. Le spectacle devait plaire à Monsieur, car je sentais son rythme s’accélérer. Les coups de langue de Madame, devinrent moins précis et moins soutenu. Et finalement elle s’arrêta, là le nez planté dans mon entrejambe, je sentais son souffle chaud, profond, ses gémissements étouffés en moi. Le bruit de leur corps s’entrechoquant emplissait la pièce, les gémissements de l’un et de l’autre devenaient de plus en plus fort. Et finalement ils jouirent ensemble, là devant moi, me laissant encore plus affamée qu’avant. La bouche de Madame, revint sur ma bouche, son goût avait changé. Je compris rapidement que je goûtai ma mouille, la sensation était très bizarre. Vient, on va la laisser se remettre de ses émotions. Je lui réserve encore une surprise. Aucuns autres mots ne furent échangés, un simple dernier smack sur mes lèvres et une main glissant le long d’un de mes seins en s’éloignant. Les bruits de pas s’éloignaient, me voilà à nouveau seule, dans le noir, nue. Je voulais jouir moi aussi, être prise, m’abandonner à ce plaisir. Mais à nouveau je me retrouvai privée de ce plaisir, quand j’ai accepté d’être soumise, je ne pensais pas que le plus dur serait cette privation.
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Par : le 29/03/23
Peut de temps après la porte s’ouvrait de nouveau, au bruit la personne portait des talons, sûrement Madame. En effet je vis rapidement apparaître sa silhouette dans la lumière provenant de l’étage et quand elle arriva devant la cellule et la seule lumière du sous-sol je fut très surprise. Ses habits de secrétaire strict et sexy avaient disparu, elle était presque nue aussi. Ce que je prenais pour des cuissardes devait sûrement être des escarpins à talon haut et des bas en latex, car le porte-jarretelle s’accrochait à ceux-ci, son sexe était à l’air libre, tout comme sa poitrine. Elle portait de long gant, style opéra qui remonte pratiquement jusqu’au coude et tout comme moi elle portait une cagoule en latex. Mais ce qui attira mon regard était ces bracelets, aux poignets, chevilles et biceps, contrairement aux miens ils étaient en métal, l’anneau tintait quand elle bougeait. Un collier en métal ornait son coup, il semblait large et lourd, mais ces accessoires semblaient être des bijoux sur elle et non pas un signe de soumission. Elle s’approcha de moi, je n’osai bouger. Enfin me débattre plus que de bouger, étant attaché en croix contre le mur. Ses mains vinrent se poser sur les miennes et elle les fit glisser le long de mes bras, qu’elle sensation merveilleuse. Elle continua de ses 2 mains sur un jambe, avant de remonter et faire de même à l’autre jambe. Je me cambrais de plaisir et en voulais encore plus. Elle s’arrêta à la ceinture que je portais, la secoua quelque peu, je sentais ses doigts effleurer les seules parties visible de mon entrejambe. Ça, seul ton Maître en a les clefs et pourra l’enlever, quand il voudra. Tu devras être sage et le mériter. L’espace d’un instant j’espérait qu’elle m’enlève cette ceinture et me fasse jouir encore et encore. L’instant suivant, je me rendais compte que je n’avais jamais eu de rapport avec une femme, mais que cela ne me dérangeait pas. Se relevant, elle posa son front contre le mien, son regard était sublimé par la cagoule, ses mains se posèrent sur mes temps, pour bloquer ma tête. Tu as entendu ton Maître, tu es mienne également et tu m’appartiens. Je peux donc t’utiliser comme je le souhaite. Tu n’y vois pas d’objection ? Non, Madame. Je suis votre soumise, comme Monsieur S. me l’a dit. Un sourire apparut, elle m’embrassa sur la bouche. D’abord surprise, je lui rendis son baiser, tendre, délicat, sucré. Et sa bouche partis en direction de mon torse, embrasser et mordiller mes tétons. Ses mains malaxaient, soutenais mes seins, ou elles m’enlaçaient, venant la coller complètement à moi. Mes bras se crispèrent sous ces caresses, sous ce plaisir de tendresse. Je voulais qu’elle continue, m’enlève cette ceinture et me fasse un cuni dont je me souviendrais toute ma vie. Mais non, elle ne le pouvait pas et s’occupait de toutes les parties visibles de mon corps. Soudain sa main vint pénétrer ma bouche, le goût était surprenant, un peut salé. Tiens goût, m’occuper de toi me fait mouiller, je l’espère toi aussi. Ayant sa main dans ma bouche impossible de répondre. Ma seule réponse fut de lui lécher et sucer les doigts comme si ma vie en dépendait. Et en plus avec le latex, cela glissait tout seul. Nous étions là dans cette bulle de tendresse et douceur, j’en oubliait que j’étais immobilisée contre le mur. Vous êtes magnifique à regarder. Monsieur était là, depuis quand ? Sa remarque me bloqua un moment, mais Madame elle continua, comme si de rien n’était. La surprise passée et les caresses de Madame, me firent rapidement repartir. Monsieur s’avança dans la lumière, tout habillé en costard. Il en profita pour caresser Madame, ses fesses, ses seins. Je la sentais se trémousser, sourire et cela semblait lui redonner de la vigueur à la tâche. Je regardais Monsieur avec envie, mais aussi en tentant de le supplier de me libérer. J’avais l’impression que mon entrejambe allait exploser de désirs et de manque.
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Par : le 27/03/23
L’ordre venait de Madame, son doigt pointait ses bottes, plus précisément l’extrémité de cette-ci. Me voilà à quatre pattes, devant lécher et embrasser les bottes d’une inconnue, à nouveau mon entrejambe s’enflammait. Oui, Madame. Je n’entendis qu’un rire comme réponse, puis ils semblaient m’ignorer et parler d’autre sujet. Je m’évertuais à couvrir ses bottes de mes baisers, du dessus du pied, jusqu’au haut de la botte au mollet. C’était de magnifiques bottes, en véritable cuir, l’odeur de celui-ci chauffé par Madame commençait à me remplir les narines, je découvrais et aimais de plus en plus cette odeur, prenant un plaisir à inspirer fortement. Je dû me glisser sous la table pour atteindre les 2 facilement, ne laissant que mon cul offert à l’air libre. Je sentais et voyais cette chaîne pendre et devais trouver un moyen de ne pas m’y emmêler. D’un coup un piqûre et griffure de mes fesses jusqu’à mon dos, heureusement que je ne suis pas relever d’un coup sec, mais ce n’était pas loin. Bien, tu te débrouille très bien avec ta langue. Va t’occuper de celle de ton Maître. Je rougissais d’une telle remarque et me tournais pour me retrouver aux pieds de Monsieur. Ses chaussures étaient plus petites bien évidemment, mais moins pratique avec ses lacets. La chaîne passait sous mon torse et venait par moment frapper contre mes seins, elle était froide et ce contact me surprenait à chaque fois. Je m’associait de plus en plus à une chienne, aux pieds de ses Maître, juste là pour obéir et cette pensée m’excitait encore plus. Apparemment leur repas était fini, car ils jouaient plus de la fourchette sur moi que dans leurs assiettes, tout en éclatant de rire en me voyant me trémousser. La chaîne fût tirée en arrière et décrochée de mon collier, Monsieur prit la parole. Débarrasse et mange ton repas. Quand tout sera propre tu m’attendras en position en bas des escaliers. Quant à nous, nous avons quelque chose à faire. Et ils partirent à l’intérieur, m’ignorant totalement. Rapidement je ramassais les assiettes, il faudra encore que je vienne nettoyer la table. Je rentrais, mangeais et m’occupais de la vaisselle. Impossible de savoir quand Monsieur allait redescendre, mais je pense que si je ne suis pas en bas de l’escalier cela ne lui conviendra pas. La cuisine est propre, la terrasse et sa table aussi. Direction le bas de l’escalier et me mettre en position. Et l’attente, une attente qui me semble interminable, n’ayant aucun moyen de voir le temps passer. Par moment j’entends des rires et son de discussion, puis enfin des pas dans le couloir et Monsieur apparaissant en haut. Dans sa main une laisse, où allait-il m’amener ? Accrochée à mon collier il tira dessus, je me mis debout, toujours bras croisé dans le dos et nous descendons à la cave. Endroit que je n’avais visité qu’aveuglée. Nous descendons les escaliers et arrivons vers cette cellule, elle me semblait plus grande quand j’étais aveuglée. La porte s’ouvre et plutôt que de me pousser dedans, il rentre avec moi et accroche chacun de mes bracelets à un anneau dédié. Me voilà totalement vulnérable, offerte à lui. Il me prend la tête entre ses mains, m’embrasse le front et me regarde dans les yeux. Tout va bien ? Sache que tu es impressionnante. Oui Monsieur, un peu surprise de l’arrivée de Madame. Merci pour le compliment. Il sourit, m’embrasse à nouveau et sa main descend vers mon entrejambe. Je n’avais même pas cherché à me toucher depuis qu’il me l’avait installée. Il semblait satisfait et je n’avais rien sentit, si ce n’est une pression. La porte se referma, seule une lumière sur moi restait allumée et lui remontait tranquillement les marches.
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Par : le 26/03/23
Monsieur S. ouvre la porte et laisse passer son invité, quoi son invitée ! Je me sens honteuse, presque mal à l’aise de me retrouver ainsi face à une femme. Etrangement je ne saurais dire pourquoi, face à 6 hommes cela ne me dérangeait pas, mais là face à cette femme ce n’était pas la même chose. Elle rentrait, de magnifique botte en cuir mat, lui tenaient ses mollets, une jupe crayon ne laissait que ses genoux visible et manifestement des collant ou bas couleur chair les recouvrait. Je tentais de regarder plus haut, une chemise blanche, un veston, veston visible quand elle enleva son trench, le profil d’une magnifique secrétaire, surtout avec ses lunettes encadrées par sa chevelure couleur châtain. Oh je vois que tu en as trouvé une nouvelle. Elle te plaît ? Ecoute jusqu’à présent je n’ai rien eu à redire. Reste à voir si elle sait obéir en mon absence. Ils discutaient, comme si je n’était pas là, même si elle me regardait d’une étrange façon, avec son petit sourire. Un sourire entre le soulagement de me voir et l’envie de me rencontrer. Je ne savais comment le prendre. Leur sac et veste furent posé au sol, sans qu’ils s’en soucient. Ils passèrent à mes côtés, sans un regard, me toucher, je n’étais apparemment qu’un meuble pour eux. Quand ils eurent atteint l’autre côté de la pièce Monsieur S. s’adressa de loin à moi. Tu sais ce qu’il te reste à faire. Et nous mangerons dehors. Bien Monsieur. Je me surpris à répondre aussi rapidement et fort, malgré une matinée seule, cette réponse était devenue une habitude. J’entendais la femme rire et parler avec Monsieur. Ce que j’avais à faire ? Surement ranger leurs affaires abandonnées dans le vestiaire. Les vestes suspendues, le magnifique sac à main de luxe de la femme, posé soigneusement sur une commode, tout comme ce dossier qu’elle portait. Rapidement, je me dirigeais vers la cuisine, les plats n’était pas froid et pas brûlant parfait. Cela me faisait étrange d’entendre mes talons claquer ainsi, ça ne me ressemblait pas, mais m’excitait toujours autant. Je sors avec les assiettes, les déposes devant eux. Reste ! A genoux ! Oui Monsieur. Impressionnant, elle est obéissante comme ça depuis le début ? Oui, même si elle oublie de répondre intelligiblement parfois, cela va en diminuant. J’espère que c’est la bonne et qu’elle voudra rester. Je peux ? Oui bien sûr. Plusieurs information se bousculaient dans ma tête, c’était la 2ème fois qu’on disait de moi que j’était peut-être la bonne, mais rester, où, quand, comment ? J’avais ma vie à côté moi. Et elle peut ? Manger, même elle serait soumise ? Pendant que je me questionnais, je ne l’avais pas vu prendre une chaîne accrochée à la cage. Mon collier fût tiré en avant et accroché, mais pas par la main de Monsieur, par celle de la femme. Elle n’était pas soumise apparemment. Jusqu’à nouvel ordre, tu obéiras à Madame également, tout comme si c’était moi qui te parle. Bi.. bien Monsieur J’étais hésitante, me voilà soumise à une femme, sensation nouvelle, étrange, excitante. Je sentais le regard de Madame sur moi, comme un feu de désire m’observer. La chaîne fut tirée, me projetant en avant. Occupe-t-en !
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Par : le 22/03/23
La porte se ferma et le cliquetis des clefs me fit comprendre qu’elle était verrouillée. Je restais là sans bouger quelques secondes, me voilà seule, avec des tâches à accomplir. Mais au fait il me restait combien de temps jusqu’à midi ? Je n’avais pas fait attention, mais je n’avais pas forcément vu d’horloge. Et qu’avait fait Monsieur S. à mes pieds ? Après un rapide examen, je compris rapidement. Il avait cadenassé des chaînes à mes bracelets de chevilles, mais pas entre elle non. Chaque chaîne passait sous la chaussure et allait se cadenasser de l’autre côté, impossible d’enlever les chaussures à présent. Me voilà entièrement nue, seulement habillée, d’un collier en cuir, de menottes en cuir aux poignets et chevilles et de talon haut. Le tout cadenassé et impossible à enlever. Bon il faut que j’arrête de perdre du temps, j’ai des choses à faire. Je voulu partir mais failli tomber. Ces talons étaient vraiment haut, je longeais les murs un moment histoire de m’y habituer sans tomber. Je fini par réussir à me tenir droite, les fesses légèrement en arrière, la démarche féline. Entendre ces talons claquer dans la petite pièce centrale me donna des frissons et m’excitait. Je prenais un réel plaisir à me promener, tel un chat, imaginant la vision que je pouvais donner. Le salon de réception où était-il au fait ? Dans mes souvenir, je suis remonté de la cave je pense et pas plus. Il devrait donc se trouver à cet étage. J’explorai rapidement du regard, pas énormément de porte inconnue. Je me retrouvais rapidement dans la pièce, mais rapidement mon entrejambe s’humidifia. Même si je ne l’avais jamais vu, c’est comme si je la connaissais par cœur. Là devant moi tout les endroits où je m’étais trouvé hier soir, le poteau, là où je me suis retrouvé à 4 pattes, apparemment une table et le panier. Par contre je ne savais pas qu’il y avait une table, avec des couverts pour 6 personnes, tout était laissé là en vrac. Et les paroles de Monsieur S. prennent encore plus de sens « Voici le dessert » c’était au sens littéral. Je devrais commencer à ranger, nettoyer, mais je ne peux m’empêcher de retourner vers mes lieux de plaisir d’hier. Mes doigts glissent sur la caisse où je m’étais affalée de fatigue alors que je n’étais que ce trou à bite. Mon désir remonte encore plus fort, j’ai envie de me toucher, mais cela m’est interdit et impossible de toute façon. Je grimpa à nouveau sur cette table, prenant la même posture qu’hier, avec les talons je sentait les courbes de mon corps comme encore plus amplifiées. Plus loin la barre, une barre de pole dance. Mais le moment n’était pas aux plaisirs, peut-être après si j’ai encore du temps. Enfin je vois une horloge dans cette pièces, déjà 10h30, plus qu’une heure trente pour tout faire il ne faut pas que je traine. En revanche je ne m’étais pas rendu compte que de transporter de la vaisselle et faire les aller-retours en talon serait si difficile. Le temps passait, la vaisselle diminuait lentement. Avant de commencer le nettoyage et rangement du salon, je regardais le repas à faire. Bien je pouvais mettre à chauffer, bouillir le temps de nettoyer. Je me démenais pour tout finir à temps. 11h55 tout était propre, rangé, comme si rien ne s’était passé hier. Le repas est déjà servi dans les assiettes, je ne sais pas où ils voudront manger, donc je le laisse à la cuisine. Qu’est-ce j’oublie ? La cagoule ! Il ne me reste que peu de temps vite. Je montais le plus rapidement possible les escaliers, ma chambre, la commode, même s’il y avait quelque jouets et accessoires, mon esprit était occupé que par cette cagoule. Là, une cagoule en latex, je l’attrape et descend rapidement me placer à genoux, jambe ouverte face à la porte. Et en attendant d’entendre la porte s’ouvrir j’enfile la cagoule. Elle est parfaitement adaptée, me colle à la peau, semble pousser mes lèvres en avant, j’y glisse tout mes cheveux, je ne suis plus qu’une tête lisse impersonnelle. J’aime cette sensation de glisse, à nouveau mon entrejambe est en feu. Des bruits de moteurs, je me met en position et attends. La porte s’ouvre.
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Par : le 20/03/23
J’ai l’impression que cela fait un bon quart d’heure que je suis posée là, devant mon plateau. Je vois mon café refroidir petit à petit, tout comme mes toasts. Je tente de jeter de bref coup d’œil à Monsieur S. comme pour lui rappeler que j’existe, mais sans émettre un bruit. J’ai l’impression qu’il m’observe par moment également, encore un test ? Il répond à un appel, j’écoute d’une oreille distraite, n’ayant rien d’autre à faire. Apparemment il a un rendez-vous ce matin, mais je n’ai pas bien compris pour qu’elle travail. Il raccroche, fini son café et jette un rapide coup d’œil à son téléphone : Déjà ! Allez dépêche-toi ! Il te reste 5 minutes pour déjeuner. J’allais répondre, comme par réflexe. Heureusement j’ai réussi à retenir mes premières réclamations : Bien Monsieur, merci à vous. Et je me dépêchais de manger et boire mon déjeuner froid maintenant. Etais-ce 5 minutes réel ou une expression, mieux valait ne pas tenter et manger le plus vite possible. Dès que j’eu fini il m’indiqua que je pouvais me lever et partir faire la vaisselle. Rapidement je partis en direction de la cuisine et nettoyer, tant la vaisselle, que le plan de travail. Il était là sur la fin, me regardant, je l’espère se délectant du spectacle. A peine le rangement fini qu’il m’accrocha à nouveau la laisse, me regarda, semblant attendre quelque chose. Il ne m’avait rien demandé, donc pas de réponse, ah oui la position. Je me redressais et croisa les bras dans le dos, il acquiesça de la tête et me conduisit vers une porte sous l’escalier. A l’intérieur, chiffons, produits, aspirateur, plumeau, bref tout ce qu’il fallait pour nettoyer : Comme tu le pense je n’ai pas rangé hier soir, cela te revient. Tu sais où est la cuisine, maintenant tu sais où se trouve le local pour le nettoyage. Quand je reviens, à midi, je veux le salon de réception rangé et propre, ainsi que mon repas prêt. Prépare pour 3 personnes, même si tu ne mange pas avec nous, tu as le droit de manger. 3 personnes, quelqu’un va venir ? Devant ma réaction surprise il sourit et tout en me conduisant à l’entrée il continuât : Je vois que tu es surprise que je reçoive quelqu’un chez moi. Il y a un problème ? C’est que je n’ai jamais été présenté ainsi à une inconnue, hier soir j’étais cagoulée ça me rassurait. Je comprends, dans la commode de la chambre tu trouveras une cagoule en latex, tu pourras la porter. Merci à vous Monsieur. En arrivant vers le vestibule de l’entrée il s’arrêta et pris une paire d’escarpin à talon très haut. Je me doutais qu’il n’allait pas les mettre et évidemment il me les tendit. Même si j’avais l’habitude des talons, ceux-ci étaient vraiment haut et il me faudra un moment pour m’y habituer. De son côté il mettait ses chaussures, prenait sa veste. Une fois les talons mit, j’avais l’impression que mon corps était mis en valeur, mais je me remit bien vite en position sans plus trop y penser. Il me regarda encore, apparemment le spectacle devait lui plaire vu le temps qu’il passait à m’observer. Il se mit à genou devant moi et des *clic* de 4 cadenas se firent entendre. J’aurait tout le temps d’observer à quoi ils servaient après son départ. Se levant il m’embrassa le front : A midi je reviens, je te veux à genoux face à la porte, jambe écartée. Puis il partis, fermant la porte à clef.
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Par : le 19/03/23
Je me retiens de baisser la tête, bouger mes bras pour bien comprendre ce qui vient de m’être installé. La fraîcheur de l’objet diminue et prend gentiment la température de mon corps. Je le vois qui repasse dans mon champ de vision, semble prendre quelque chose dans la commode, semblant hésiter. Et il repasse derrière moi, noue mes cheveux en une queue de cheval, bien serrée, il semble avoir l’habitude de l’exercice. Et un objet passe devant mes yeux et vient s’appuyer contre mon coup, un collier apparemment en cuir rembourré et un nouveau *clic*. Je sens mon entrejambe devenir en feu, je me sens lui appartenir encore plus, j’ai envie de me toucher, caresser pour calmer cette ardeur. Je me retiens, mais de plus en plus difficilement. Il vient se place devant moi, à 2 mètre pour avoir une belle vue d’ensemble. Il m’observe, longuement, tourne légèrement autour de moi, bouge légèrement cet objet autour de ma taille, une sorte de ceinture apparemment, en haut, en bas. Revient devant, me sourit et sort une laisse dorée de sa poche de pantalon : Parfait, je pense que tu as faim, suis-moi et garde tes bras dans cette position. A ces mots il attache la laisse à mon collier et tire dessus pour m’amener où il le souhaite. Je marche difficilement, ce n’est pas si évident les bras croisés dans le dos. Mes jambes se resserrant je les sent frotter contre quelque chose à l’entrejambe, mais je n’ose baisser la tête. Entre les bras dans le dos et la tension sur la laisse, ce serait le meilleur moyen pour partir en avant. La descente des escaliers est périlleuse, mais Monsieur ralenti le pas, prévenant. Je profite de découvrir la maison, elle semble grande, décorée avec goût, mais pas de manière ostentatoire. Nous finissons par arriver dans une belle cuisine : Voilà un de tes postes de travail, tu vas préparer le déjeuner pour moi, ce que je prends est sur une liste, et pour toi et apportera tout dehors par cette porte. Il indique la porte donnant sur l’extérieur au fond de la cuisine. Puis reste là à me regarder, ôte la laisse et continue à me regarder. Il finit par me fesser avec la poignée de la laisse : Tu ne réponds rien ? Oui, pardon Monsieur. Je m’exécute tout de suite, pardonnez-moi. Et sans rien dire il part en direction de l’intérieur de la maison. Je ne pense plus à cette ceinture, ces bracelets, ce collier, je cherche cette liste et ne pense même pas à ce que je vais manger. Sur la table une feuille plastifiée, avec une liste comportant tout ce que Monsieur prend à son déjeuner. Je m’affaire, place tout sur un plateau au fur et à mesure. Finalement je pense à moi et me prépare un déjeuner simple mais nourrissant. Dans la cuisine aucun miroir, impossible de me voir et surtout cette ceinture étrange. Je l’explore de mes mains, une sangle large fait le tour de mon bassin, un cadenas se trouve sous mon nombril, retenant les 2 extrémités ainsi qu’une autre sangle, de taille plus fine passant entre mes jambes. D’une main je suis sont trajet et découvre qu’il met impossible de me toucher. Mais je ne veux pas perdre trop de temps et portant le plateau sort pour découvrir Monsieur assis à une table de jardin sur la terrasse. Je m’approche et lorsque je vais poser le plateau, il le remonte en me faisant comprendre que cela ne se faisait pas. Je dépose donc un par un les différents éléments de son déjeuner. Quand il ne resta que le miens sur le plateau il me désigna un coussin au sol à ses côtés. Je n’étais plus digne de manger avec lui à table. Je pose le plateau devant le coussin m’y agenouille et attends. Il commence à manger, boire, regarder son téléphone, je n’ose commencer, n’en ayant pas reçu l’ordre.
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Par : le 18/03/23
Le matin arrive déjà, une lumière légère traverse la fenêtre. Cette soirée était-elle un rêve éveillé, une facétie de mon esprit ? Voulant bouger mon bras, je me rends comte que non, je suis toujours attaché en croix sur le lit, j’ai étrangement bien dormi pour être resté dans cette position. En même temps avec cette soirée riche en émotions forte, j’ai de quoi être fatiguée. La couette est toujours sur moi, me gardant au chaud, mais il y a un changement, Monsieur S. n’est plus là. Je tourne la tête, seul mouvement qu’il me reste, de ce que je vois la chambre est vide, je tire un peu plus sur les attaches, aux poignets, aux chevilles, rien ne bouge. Autant ne pas me fatiguer encore plus, je ne sais pas ce qu’il m’attend aujourd’hui. Je me détends du mieux possible, essayant de trouver la position la plus agréable. Evidemment et malgré la soirée d’hier, cette situation m’excite à nouveau, c’est comme si mon corps réclamait cette position et ces attaches et en effet je me sens bien, à ma place et en sécurité. Je somnole un peu, la lumière devient plus forte, je sens l’air se réchauffer, combien de temps a passé, impossible à dire. Des flashs de ma soirée me reviennent, lors de mes petits moments de somnolence. Augmentant par la même, mon excitation. Je m’imagine me voyant attachée, offerte, ressent à nouveau ces mains me caresser, me fesser. Cette expérience à comme allumé un feu dans mon esprit, qui demande encore et toujours plus ce genre de sensation ou qui les revit si rien ne se passe. Je ne pensais pas que j’aimerai autant être offerte à plusieurs personnes, n’être qu’un objet. Heureusement que Monsieur S. m’en a fait la surprise, sinon je lui aurai répondu non directement. Mais là, j’ai juste envie de vivre encore et toujours ces sensations. La porte finie par s’ouvrir, sans savoir pourquoi je n’ose bouger. La couette est retirée d’un coup, laissant un air frais venir s’attaquer à mon corps chaud et surtout mon entrejambe très humide. Je tente de redresser la tête pour savoir si c’est bien Monsieur S. , mais il sait où se placer pour être hors de mon champs de vision. Soudain je sens des doigts, venir caresser mon entrejambe, une sensation entre la surprise et la satisfaction. Ils pénètrent légèrement, je me cambre par reflexe, cherchant à les faires pénétrer encore plus. Ils se retire rapidement et une main s’abat sur ces lèvres avides de sensation. Je me tends, crispe, crie de surprise plus que de douleurs : Ne prend aucunes décisions ou ne fait aucune anticipation. Je te dirais quoi faire et quand. Compris ? Oui Monsieur. La surprise est redescendue, j’ai quelques larmes, entre joies et frustrations. Je le sens me libérer les chevilles et poignets, mais je reste dans la même position attendant l’ordre de bouger. Ne l’ayant pas dans mon champ de vision impossible de savoir ce qu’il fait après, car je ne l’entends pas, ressent aucun contact. Est-il en train de me regarder, voir si je vais me lever ou me prépare-t-il autre chose ? A ce que j’ai vu la soirée d’hier soir ne t’a pas suffi, tu mouille toujours autant. Heureusement j’ai apporté ce qu’il te faut. Je me retiens de réagir, tourner la tête pour voir ce qu’il entend par « ce qu’il te faut ». Debout en position ! Sans répondre, je me lève et me place bras croisé dans le dos et jambes écartée, regardant droit devant moi. Il est habillé en costard cravate, se tenant droit, semblant cacher quelque chose dans son dos. S’approchant il se met à genoux et m’embrasse ma chatte dégoulinante, je dois me retenir de bouger, gémir, mais il s’applique avec sa langue c’est un supplice plus qu’un délice. Se relevant il me contourne et je sens une lanière froide venir faire le tour de mon bassin, ainsi qu’une autre à mon entrejambe et finalement un *clic*
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Par : le 15/03/23
Sans attendre nous nous dirigeons vers ce qui ressemble à une grande planche inclinable, recouverte de cuir rouge et rembourré. Il y a de larges sangles en cuir épais stratégiquement placée, 2 à chaque bras et 2 au jambes. Je sens qu'une fois attachée sur cette planche impossible de bouger et faire quoi que ce soit. Il me force à m’y étendre, je suis perdue, encore un peu dans les vapes et en train de me remettre de mes émotions. Rapidement, je me retrouve couchée sur le dos, je sens les sangles se resserrer autour de mes poignets et biceps, puis de mes chevilles et cuisses, me voilà immobilisée, bras et jambes écartées. Je commence à paniquer, me débattre, des larmes coulent sur mes joues. Lui s’approche d’un pas tranquille de ma tête, effleurant ce qui s’offre à lui sur son chemin. Je retiens mes larmes, mes cris, mes pleurs, je ne m’attendais pas à ça, pas maintenant, pas comme cela. Il arrive près de mon visage, caresse mes cheveux, et c’est quand je croise son regard que j’ose crier : Tracteur ! Et sans dire un mot ou demander quoi que ce soit, il va rapidement me délivrer de ces sangles, m’aide à me relever. Je lui tombe dans les bras. Il me prend contre lui, me rassure, me console, laisse sortir toute mes émotions, mes pleurs. Je n’arrive pas à parler, ma bouche est déformée par les pleurs, mon visage recouvert de larmes. Moi-même, je ne comprends pas pourquoi je réagis comme cela, peut-être une accumulation de toutes ces émotions depuis que je suis arrivée. Je commence à me calmer, seuls quelques spasmes de sanglots me font encore bouger. Je suis dans ses bras, je m’y sens bien, en sécurité, mais je me déçois, j’ai dit stop. Quand j’arrive enfin à me calmer complètement, reprendre mes esprits, rassembler mes idées. Je sens sa main dans mes cheveux, l’autre m’entourant et sans me serrer me tenir près de lui. Je m’y blotti encore plus, j’entends son cœur battre calmement, mes bras l’enserrent tel un gros doudou. Ma respiration se calme, mes yeux se ferment rassurés de se sentir en sécurité. Dans ce demi-sommeil, je romps le silence qui s’est installé depuis quelque temps : Pardon Monsieur. Pourquoi pardon ? Tu as été impressionnante. Oui, mais je n’ai pas pu aller jusqu’au bout de la punition, j’ai utilisé le SafeWord. Mais s’il y en a un, c’est pour qu’il soit utilisé et vu t’as réaction, tu as bien fait. C’est ton droit quand tu ne te sens pas d’aller plus loin. Une bonne soumise sait quand dire stop, tout comme dans la vie normal. Je préfère une esclave qui sache dire stop au bon moment, qu’une qui se force et se détruise intérieurement. Vous ne m’en voulez pas alors ? Pas du tout, pour être honnête je te sentais arriver à ta limite et allais te demander si tu te sentais de continuer. Tu m'as simplement prise de vitesse. Mais tu vas bien devoir être punie pour t’être touchée, tu le sais ? Oui Monsieur. Il me prend dans les bras, je reste accroché à lui, déplace mes bras autour de son cou, pose ma tête contre son omoplate. Nous retournons dans la première chambre. Il me pose sur le lit puis va chercher quelque chose dans l’armoire. Lentement, accompagné de caresse, je sens qu’il m’installe des bracelets en cuir aux chevilles et poignets. Il attend regarde ma réaction, je les examine, ils sont cadenassés, rembourrés. Je le sens prendre mes chevilles les tirer vers les bas du lit, un bruit métallique et les voilà reliées à la base du lit par des cordes je dirais, une par coins. Je me débats légèrement comme pour tester, impossible de les remonter. Il s’approche de mes poignets, je croise son regard, il s’arrête et d’un petit hochement de tête, je comprends qu’il me demande si tout va bien et peut continuer, je prends une grande inspiration, j’hoche aussi la tête. Mes bras sont tendus vers la tête du lit et attachés, eux aussi à chaque coin, impossible de trop bouger. Je me contiens, et le sens revenir se coucher à mes côtés, cela me rassure, m’aide à m’apaiser. Il me couvre éteint la lumière, ma fin de nuit sera difficile. Mais le sentir contre moi, me surveillant, me protégant, cela m'aide à fermer les yeux et m'endormir lentement.
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Par : le 12/03/23
Je ne savais pas quelle heure je vivais, j’étais arrivée dans l’après-midi puis plus aucun repère vu que je n’avais pas vu grand-chose depuis. Je suis toujours dans ce grand lit, Monsieur S. est à mes côtés, il dort profondément, mon plateau repas est toujours là, de la fenêtre aucune lumière externe. Je profite de ce moment de calme et de normalité pour réfléchir à ce qu’il vient de m’arriver. Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais pensé vivre cela un jour. J’essaie d’imaginer à quoi je devais ressembler, à quoi ressemblait ces inconnus, leur nombre exact et à quoi ressemble les pièces où j’étais. Je revivais ces sensations de plaisirs, jouissance, perte de tout contrôle, de n’être qu’un objet. Et ma main descendit entre mes jambes, oui, j’avais joui toute la soirée, mais là, c’était un autre style de jouissance, plus tendre, sensuel. Me déplaçant lentement, je me mis sur le dos, écartai mes jambes et commençai à me caresser. Que c’était bon, je ressentais encore tous ces sexes rentrer en moi, venir glisser contre mes lèvres, mes doigts paraissaient bien fin à côté, mais bien plus précis. Mon souffle devenait de plus en plus profond, je me retenais de trop soupirer ou gémir. Je m’arrêtais par moments quand je sentais Monsieur S. bouger. La reprise des caresses était encore plus forte qu’avant quelques gémissements s’échappaient, mon corps semblait bouger tout seul par moment. Mon autre main s’occupait de mes seins, les malaxait, caressait, fortement puis en douceur. Elle torturait quelque peu mes tétons également. Je voulais jouir encore, là, toujours plus, mon pouce se posa sur mon clitoris et l’excita le plus possible. Je ne pus retenir un râle de plaisir, faisant fi de l’endroit et avec qui j’étais, une jouissance, mais de caresses et tendresse cela fait du bien. Je me laisse à nouveau m’enfoncer de tout mon poids dans le lit, comme pour me laisser redescendre de ce sommet d’excitation. Je reprends mon souffle, mes esprits et sens la fatigue m’envahir à nouveau. Je tourne la tête et vois Monsieur S. me regardant tout en souriant. Je me fige, je ne pensais pas l’avoir réveillé, je lui souris à mon tour, et me sens comme un enfant qu’on aurait pris en train de voler des bonbons. Sa main caresse ma joue, je lui embrasse la paume quand je le peux. Qu’est-ce qui était convenu ? Que je ne me touche pas sans votre autorisation Monsieur. Et qu’as-tu fait ? Je me touchée et masturbée Monsieur. Au moins, tu le reconnais. Je baisse la tête, fuis son regard. Je n’arrive pas à lire son langage corporel, est-il fâché, heureux, impossible à dire. Je profite de ses caresses pour le moment. Je me rends compte que c’est peut-être la première fois qu’il me touche réellement depuis que je suis arrivée. Que cela fait du bien et est agréable, nous plongeons nos regards dans celui de l’autre, un moment hors du temps. Mais une question reste sous-jacente, je n’ai pas le droit de me toucher et je l’ai fait, va-t-il y avoir une punition ou un simple rappel à l’ordre vu que c’est la première fois. D’un coup son regard devient plus dur et noir, sa main caressant mes cheveux s’y agrippe, il se lève me traînant derrière lui, je lui emboîte le pas comme je peux, nous allons vers une chambre adjacente : Je vais te montrer ce qu’il en coûte d’enfreindre les règles avec moi. Tu ne peux te retenir et tu te caresses, j’ai le lit qu’il te faut pour refréner tes ardeurs. Et il ouvre la porte, mes yeux s’écarquille en découvrant l’intérieur.
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Par : le 11/03/23
Je suis dans un autre monde, de plaisirs, d’orgasme et d’émotions pur. Je n’étais pas encore totalement remise de mes émotions sur le poteau, toutes remontent rapidement. Je veux jouir, je veux que ce moment ne s’arrête pas. Je sens que les queues ne sont plus les mêmes, mais rien ne s’arrête vraiment, ils doivent changer en alternance. Rapidement, je sens mes bras et jambes se dérober sous moi, je lutte pour tenir ma position, les mains me tenant les fesses et la tête m’aident, mais cela en devient douloureux. Je sens une sorte de grosse caisse posée sous mon torse, je m’y laisse tomber. Ma position n’a pas beaucoup changé et dit vulgairement, je ne suis qu’un trou à bite en ce moment. Ma mâchoire me fait mal, tout comme mon cul. Heureusement, je sens que ma bouche est laissée tranquille. Ma tête penche en avant, tirant sur mes cheveux, mais je n’ai plus de force pour la retenir, je bave abondamment. Tout mon corps ondule aux coups de reins que je reçois, je le sens se finir en moi, enfin dans sa capote, et ressortir. Je sombre dans une sorte de sommeil, n’étant plus réellement consciente de ce qui se passe autour de moi. Je sens juste quelques mains glisser sur mes fesses misent en valeur de par ma position. J’entends quelques bribes de conversations, des au revoir ? Les bruits deviennent de plus en plus faibles, suis-je réellement seule ? Je n’ai pas la force et l’envie de tenter de rentrer en contact, je préfère profiter de ce moment de calme. Il me semble entendre des bruits de pas se rapprochant, la personne semble être devant moi. Une main sur ma joue, la caresse, on m’embrasse le front puis la bouche, je rends ce baiser si tendre. L’inconnue ne semble pas vouloir jouer de mon corps, juste me donner de la tendresse, de la douceur, chose très agréable. Mes chaînes bougent à nouveau, puis on me tire les épaules en arrière, tout doucement. Je me redresse, mon dos me tire, mes bras balancent le long de mon corps. Je me laisse faire, n’ayant plus assez d’énergie pour réagir, mon cerveau étant en mode off. Puis je sens les bras me prendre sous les genoux et les épaules, me voilà soulevée. Tel un gros bébé, je me laisse transportée, ayant confiance dans cette personne, que je soupçonne d’être Monsieur S.. On se déplace, tourne, monte des escaliers. Je suis déposée sur ce qui semble être un lit, un drap me recouvre, un dernier baiser sur la joue et je sombre dans un profond sommeil. Impossible de dire combien de temps, j’ai dormi, mais je me réveille difficilement, les muscles me tirent, je me retourne profitant de cette douceur des draps. Il me faut un moment pour m’en rendre compte, je vois, ma cagoule m’a été enlevée. J’observe ce qui m’entoure, une chambre standard, dans la pénombre. Rien de bien extraordinaire dans l’ameublement. La porte s’ouvre, Monsieur S. arrive portant un plateau qu’il pose sur la table de chevet. Quelques petites choses à grignoter et de l’eau à boire surtout. Il me regarde, souris et viens poser un baiser sur ma tempe. Tu as été magnifique ce soir, mes invités ont beaucoup apprécié ta prestation. Merci à vous Monsieur. Avec tout ce que tu as vécu, je pense que tu voudrais récupérer des forces, ne te gêne pas. Merci Et je commençai à boire, manger quelque peu, je sentais mon corps me remercier de lui donner cette nourriture. Quand je sentis le lit bouger. S. était en train de s’y coucher, mais ne me toucha pas, il attendit que je finisse. Je ne finis pas tout ce qui me fût amené et je me tournais vers lui. Il me prit dans ses bras, me colla contre son corps, juste un gros câlin, juste unir nos 2 corps l’un contre l’autre, juste un cocon de douceur. Que cela était différent et me faisait du bien par rapport à ce que j’avais vécu avant. Nous finissons par nous endormir ensemble
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Par : le 10/03/23
L’anneau du collier est saisi, on me dirige vers un grand panier. Je rentre à tâtons, un grand coussin le garnis, je cherche le piège ou l’arnaque, mais rien, juste l’osier du panier. Repose-toi un moment, on en a pas fini avec toi. Cette voix, ce n’est pas Monsieur S., je réalise en prenant la vérité en face. N’importe qui peut m’utiliser, me diriger, je ne suis qu’un objet et jouet pour eux. En même temps je suis impersonnel, mon visage étant masqué en grande partie, je ne suis qu’une bouche, chatte et cul sur pattes. Un objet de plaisir, dont il faut quand même prendre soin. Tel une chienne, je malaxe le coussin avant de m’y coucher. Les personnes présentent ne se soucie plus de moi, ils parlent de tout et de rien. Une chose est sûr il n’y a que des hommes. Certains parlent de leur travail, ils semblent occuper des postes haut placé dans certaines entreprises. Mais au ton des conversations, cela ressemble plus à une bande de potes discutant entre eux que des collègues. Le temps passe, je somnole, récupérant de l’énergie et surtout reposant mes muscles. On me saisit par la queue de cheval et la tire pour me redresser. Je me lève tant bien que mal, essayant de garder mon équilibre sur le coussin, encore endormie de ma micro-sieste. Je n’ai plus aucune orientation, tout ce que je sais c’est que j’avance car la personne derrière moi pousse ma tête en avant. On s’arrête et on me plie en deux, je tend mes bras et touche une surface plane au-dessus du sol, la claque sur mes fesses me fait comprendre que je dois y monter. Me voilà à quatre pattes, sans savoir exactement où je suis. La chaîne entre mes main est saisie, tirée, j’avance jusqu’à ce qu’une main m’arrête. Je sens que mes chaînes sont bougées, tirées légèrement. Une large ceinture en cuir m’est attachée autour des hanches, très serrée limitant ma respiration. Mes cheveux sont attachés avec une corde, puis tiré en arrière apparemment attaché à la ceinture. Je suis maintenu la tête tirée en arrière, le bassin rétréci et mettant mon postérieur en valeur. Une main parcours mon corps, je suis parcouru d’un frisson ne sachant de qui il s’agit. La voilà à mon épaule, elle vérifie la solidité de l’attache de mes cheveux, puis glisse vers ma joue : Tout va bien, on peut continuer ? Oui Monsieur. Je suis soulagé d’entendre Monsieur S., mais ce soulagement est brisé par une gifle que je reçois. Mes invités n’ont pas bien entendu. On peut continuer ? Oui Monsieur je suis prête à continuer. Bien Et un baiser est posé là ou devrait se trouver mon front puis plus rien. Des mains sont de retours, 2 au niveau de mes fesses et 2 vers mon visage. Quand je sens une queue à l’entrée de mon cul et une à l’orée de ma bouche je comprend ce qu’on attends de moi. L’excitation remonte en flèche, aillant mon image et ma situation en tête. J’ouvre la bouche, accueille ce visiteur inconnu, je suis rassuré en ne sentant pas directement la queue mais une capote, la sécurité est de mise. De l’autre côté je suis visitée également, en douceur, je sens la fraîcheur du lubrifiant. Les hommes s’occupent chacun de leur côté, je ne suis plus que des trous à remplir. Mais j’ai envie de jouir. D’instinct je veux aller chercher mon clitoris, mais mes mains son bloquée, la chaîne semble avoir été attachée.
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Par : le 10/03/23
Il ne faut que peu de temps pour sentir des mains me parcourir, 2, 4, 10, mais ils sont combien en tout ? Seuls mes bras semblent épargnés, tout le reste est caressé, tapoter, griffé, excité. Dans un sens, c’est une libération pour moi, depuis le temps que j’attendais cela, ma réaction est rapide, je souffle plus fort, me dandine, plie mes jambes tant bien que mal. Heureusement que ma bouche est dégagée, je peux respirer librement, mais pas sans difficulté tellement le désir monte vite, amplifié par toutes ces caresses conjointes. Puis toutes les mains disparaissent d’un coup, me laissant là au bord de l’orgasme sans possibilité de l’atteindre. Je sens tout mon corps en feu, chaque parcelle de ma peau désirant un contact, je veux juste jouir, calmer cette explosion sous-jacente entre mes jambes. D’un coup, je frissonne, je sens un souffle frais sur mon dos, il descend, mes fesses, mes jambes, puis remonte et s’arrête à mon entrejambe. Aucun autre contact que ce flux d’air, il tourne autour de moi, se met face à mon sexe. Il est doux, apaisant. Mais ce simple contact crée en moi 2 sensations, d’abord, il apaise, mais il suffit à m’exciter encore et toujours. Je gémis, soupirs d’impatience, j’entends les rires dans la salle. L’air remonte sur mes seins, fait encore plus pointer mes tétons, qui semblent prêts à exploser, mon cou, ma bouche. Un interlude de calme et d’apaisement, que je n’ai pas su apprécier à sa juste valeur. Pourquoi ? Je sens mes cheveux saisi tiré en arrière, une voix juste à côté de mon oreille, c’est S. : Tout va bien où on arrête ? On ne change pas les limites ? Non Monsieur, je suis prête à continuer comme convenu. Brave soumise. Je vais pouvoir finir de te préparer. Et un baiser est déposé sur le coin de ma bouche. Et là une douleur à mon téton gauche, rapidement suivie par une nouvelle douleur à celui de droite. Je me dandine et gesticule comme je peux, mais je les sens reliés entre eux, la chaîne passant de l’autre côté du poteau. J’ai intérêt à ne pas trop bouger le torse. Très bien Messieurs, comme convenu, n’utilisez que ce que vous avez annoncé et mettez-vous dans l’ordre prévu. De ma position, je ne comprenais pas vraiment de quoi il était question et là, une paire de mains, larges, forte, me saisit les fesses, les tirs en arrière. Je sens un membre tendu glisser entres elles, et il disparaît dans mon sexe. Mouillée comme je suis, il pénètre sans soucis, les va-et-vient sont rapides, rapidement, je jouis, enfin. Mais cela n’arrête pas cet inconnu, je sens une nouvelle envie monter, mais c’est à son tour de jouir, je sens son membre se tendre, grossir légèrement, mais pas de liquide chaud en moi, la capote est de mise. Et le voilà qui disparaît et je sens un doux baiser sur mes fesses. D’autres mains me saisissent, plus petites, des doigts plus longs et fin, ils fouillent mon sillon, du lubrifiant y est glissé, il ne va tout de même pas…. oui, je retiens un cri de surprise et plaisir, le voilà avec sa bite dans mon cul. La sensation est différente, mais toute aussi bonne, l’excitation précédente continue à monter, mais un autre style d’orgasme me fait jouir, tout comme lui. Je dirais qu’environ 5 hommes ont joui en moi, en alternant mon sexe et mon cul. Je suis lessivée. - Tu as été magnifique, prête pour l’acte final ? L’acte final ? Comment ça l’acte final ? J’ai un début de réponse quand je sens de multiple lanière me caresser le bas du dos. Une main se pose sur mon épaule, comme pour me rassurer et sentir ma tension et mon excitation. Elle disparaît, puis les lanières reviennent, mais bien plus vite et fort qu’avant. Les coups se suivent, la force et la rapidité de ceux-ci change. Je me tiens à mes chaînes, mes muscles se crispent, mon dos se cambre tout autant qu’il devient rouge. Puis plus rien, je tends l’oreille, plus énormément de bruit, comme si j’étais un spectacle vivant qu’on observait. Une main caresse mon dos, mes fesses, évidemment tout est plus sensible qu’avant même le léger air frais du mouvement de la main me fait de l’effet. Je me retiens de bouger, soupirer. Les caresses changent, maintenant, je sens le bout des doigts bien appuyé contre moi, la douleur monte d’un cran. Je me crispe encore plus, me concentre sur ce que je peux pour ne pas craquer. Les doigts se changent en ongles, qui viennent gratter, griffer légèrement ma peau. Suivant les zones, il m’est impossible de retenir un petit cri que j’essaie d’étouffer, tout comme il m’est impossible de contrôler les réactions de mon corps. J’entends quelques rires et ricanements, comme si quelque chose était en jeu. Et enfin un baiser sur chaque fesse, comme pour me féliciter, me rassurer, en fait, je n’en sais rien. Puis à nouveau plus rien. Et une douleurs vive sur les fesses, sortant de nulle part, inattendue, vive et précise. Elle traverse les deux fesses en une fine bande étroite. Je ne peux m’empêcher de crier, contracter mes bras qui me font me soulever, je m’écrase contre ce poteau. La douleur vive disparaît pour se propager légèrement autour du point d’impact. Et là, je reçois des petits coups, qui ne font pas mal, juste pour que je fasse connaissance avec cet accessoire. Au milieu de ces coups un nouveau violent me refait grimper au poteau. Les rires alentours emplissent la salle pendant que je reprends mes esprits. Ce petit manège de coup se poursuit un certain moment, mais je commence à sérieusement fatiguer. Les bras tenus levé au ciel n’arrivent pas à se reposer après les contractions musculaires. La main revient se poser sur mon épaule, puis un corps contre mon dos. À la sensation, il n’est pas nu, pantalon, pull ou chemise. L’autre de ses mains descend vers mon pubis qu’elle découvre encore bien mouillée. L’autre main descend vers mes seins et commence à jouer avec la chaînette. Je retiens des gémissements de douleur. Tu as été magnifique, félicitation à toi. On continue ? Oui Monsieur, je n’ai plus de force dans mes bras par contre. C’était prévu de te détacher ne t’inquiète pas. Un bref baiser vers la bouche et il disparaît. Je sens mes mains et bras bouger, on me les détache du poteau, ils retombent tel un poids mort. Je retiens la chaîne, comme je peux, pour qu’elle ne vienne pas taper les seins et leurs pinces. Mes pieds sont également libérés, la seule chose qui me retienne au poteau est mes seins. Je n’ose pas bouger et tirer sur mes tétons déjà bien endoloris. Ça va piquer un peu. Avant que je ne comprenne qui me disait ça, une pince est enlevée, et là, c’est comme si des milliers d’épingles venaient se planter dans mon téton. Deux doigts viennent le serrer, et le relâcher en douceur. Mais rapidement, la même chose se produit de l’autre côté. Au moins, je suis libre du poteau.
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Par : le 08/03/23
Le repas fut bon et rassasiant. Je me remet de mes émotions et retrouve mes esprits. Je sens un mouvement supplémentaire au-dessus de ma tête, j’explore et découvre que la queue de cheval à été passée dans un trou de la cagoule. Je dois avoir un look étrange, juste la bouche et le menton visible et la queue de cheval sortant au-dessus. Le cuir de la cagoule est épais, odorant, il crisse quelque peu suivant mes mouvement, que c’est excitant. Des pas se rapproche, j’arrête de bouger, la porte s’ouvre, on me saisit par l’anneau et me lève violemment. Tiens prend ça ! Et je sens la chaîne entre mes pieds tirée et posée dans mes mains. L’anneau est tiré, je suis le mouvement comme je peux. Je fais un bruit terrible en me déplaçant, je manque de tomber plusieurs fois. Les escaliers sont montés maladroitement, je ne peux que faire confiance à celui qui me tient l’anneau. Des bruits de discussions au loin qui s’intensifie. Ahhhhh voilà le dessert ! Et des éclats de rire de tous ceux présent. Je ne reconnais pas cette voix, ni le nombre de personnes présente. Je sens la boule au ventre apparaître de nouveau, je stress et je me retrouve livrée à moi-même quand l’anneau est lâché. J’ai l’impression d’être une proie sans aucune défense au milieu d’une meute de loup. Il me semble sentir des déplacement autour de moi, on me hume, je sens des regards me scrutant telle une pièce de boucherie. Soudain j’ai l’image de moi, nue, enchaînée, aveuglée au milieu d’hommes. Je suis toujours entre l’effroi et l’excitation. Je veux bien présenter, je me redresse comme je peux, tire mes épaules en arrière, tend légèrement mon cul en arrière. Je veux montrer que je n’ai pas peur, que je sais rester forte, en fait cela m’aide plus moi à me rassurer et me sentir moins offerte. Avance ! Il me faut bien 2 secondes pour réaliser que je dois avancer dans une pièce inconnue entièrement nue. Je décide de faire confiance à S. et avance timidement, utilisant mes pieds pour tâter où je vais. Je fini par arriver contre un meuble je m’arrête. Une main viens se poser contre ma nuque et la sert, je n’ose bouger. Un souffle chaud sur mon épaule, un baiser tendrement posé. Tu sais que tu m’a impressionnée ainsi que les autres présent ? Merci Monsieur. Passons à la suite. C’est S. je me détend légèrement, encore plus quand il déposa un tendre baiser dans le creux de ma nuque. Mes poignets sont saisis, la chaîne surélevée puis accrochée, me voilà les bras tendus en l’air. On me décroche une cheville puis la raccroche rapidement, j’essaie de bouger mais la chaîne semble être passée autour d’un axe ou poteau, peut-être ce que j’ai touché avant. Durant ce temps, je sentais la main de S. qui était toujours posée sur moi, les deux par moment, plus dans l’esprit de me rassurer que de m’exciter. Puis sa main glissa de ma nuque à mes fesses, glissa dans le sillon et titilla ma rondelle. Je tendis immédiatement mon cul en arrière le plus possible. Elle se retira et une claque s’abattit sur mes fesses tendue, un petit cri m’échappa et des rires parvinrent tout autour de moi. Messieurs, le dessert est servi. Régalez-vous.
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