La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 27/07/25
Salope, ah tu voulais me jeter aux lions. Tu fais moins la maline maintenant avec ma bite dans ton cul. Prend ça et encore ça.  Salaud, tu me fais jouir.  Ferme la et jouis en mordant les coussins. Je veux pas t'entendre quand je prend mon pied. Quel beau cul tu as.  Aie tu fais mal avec tes claques  Ferme la ou je te bâillonne. Masse ton clito avec ta main pendant que je te defonce. Putain que c'est bon. Tu es un vrai salaud. Enculer ton imperatrice,  ta reine, ta Maîtresse.   J'ai encore le dos qui me brûle à cause de ton fouet amer. Alors ferme la et prend ça et encore ça. Putain ça vient je vais jouir. Trop bon. Putain que c'est bon.  Salaud j'ai joui aussi
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Par : le 24/07/25
Voilà,  je rentre dans ton histoire "esclave à Syracuse" . Magie des mots, des écritures automatiques. Je te vois près des bateaux en train de te laver les jambes. Tu es si belle, les marins te sifflent, j'enrage.  Tu es vraiment une salope de Syracusaine,  belle et fière  toujours le dos bien droit et ce défi permanent et très provocateur. Du style ;  Tu causes où tu me baises ?  C'est mon ressenti, ce côté libre chez toi. Tu es mon esclave, mon butin de guerre et pourtant tu me défies en permanence. Et cela m'excite et me fait bander. Tu mérites une bonne baffe pour te faire baisser les yeux et courber l'échine. Tu me résistes. Les marins se moquent de moi.  -Sort le fouet.  Ces syracusaines sont toutes des salopes. Il faut les dresser au fouet.  Je déteste te donner le fouet. Tu le sais, tu le sens. Tu sais aussi que je suis tombé amoureux. Tu es vraiment une belle salope. Cela t'amuse et tu t'en sert contre moi. Pas facile de t'imposer mon autorité. Et toujours cette envie de te troncher. Je te mène par les cheveux dans ma tente. La lutte commence. Tu résistes mais tu ne fait pas le poids. Je t'immobilise et remonte ta tunique. Quel beau cul tu as. Bombé, musclé, serré.  Je t'empale d'un coup. J'ai trop envie de toi. Je sens que tu te cabre, que je te fais mal. J'aime forcer tes reins, ma façon de te marquer. Je ne bouge plus. Je t'écrase de tout mon poids. Tu te défends, tu gemis. La douleur passe. Je commence à te troncher de toute ma puissance. Je sens que tu prend du plaisir. Mais tu ne veux pas me l'avouer. Ta chatte est complètement fermée.  Peut être une anomalie de naissance. Par contre ton petit clito est hyper sensible. Je passe ma grosse main sous toi et je le caresse doucement pendant que je t 'empale.  Tu jouis encore et encore. Tu enrage parce que tu jouis et que tu ne peux pas résister à ces vagues de plaisir qui te secouent et te submergent. Tu lâches enfin prise. Tu sens si bon la femme quand tu jouis. J'explose à mon tour dans ton cul. Je lâche tout. J'hurle un violent orgasme. Les autres soldats rigolent dehors près de la tente.  J'ai faim. Baiser me donne toujours très faim. Tu me prépares un bon repas. Tu me sers et reste debout derrière moi. Je mange avec plaisir. Le vin de Sicile est très bon. Je te laisse finir les restes.  Tu as très faim aussi. J'aime te voir manger. Tu respires la vitalité et la vie. Tu vas survivre à cette guerre. C'est un ressenti étrange. On sent qui va s'en sortir et qui va y rester. Je sais que je vais y rester. Il me reste si peu de temps à vivre. Tu sens mon inquiétude. Tu me proposes d'aller marcher. Je te prend par la main. Tu n'es plus mon esclave mais ma compagne. Oui, je sens que je t'aime très fort.  Parfois tu prend ma main et pose des baisers dessus. Tu n'es pas domptée,  je te sens toujours si fière et rebelle à toute autorité.  Nous nous asseyons. Tu viens entre mes jambes et tu te te loves dans mes bras.  Nous parlons de tout et de rien. Je sens combien nous sommes proches en esprit. Nous faisons bien partie du même groupe d’âmes.  Il n'est pas besoin de mots pour nous comprendre. Je te respire. J'aime ton odeur. Il est temps de rentrer. Nous avons fait l'amour tard dans la nuit. Comme si je voulais garder ta mémoire.  Au petit jour, je suis parti sans un bruit. Je me suis équipé dehors pour ne pas te réveiller. Adieu belle Syracusaine.  Je sens que c'est mon dernier jour. Une si belle journée pourtant. Le ciel se couvre de rose et de safran. Il me faut rejoindre les premières lignes, la bas, sur les epipoles. Les rangs sont formés.  En face les syracusains sont déjà alignés. Gylippe les passe en revue.  Ce général spartiate n'est pas du genre locace, c'est plutôt un adepte du bâton. Il est redoutable. Un soldat mal aligné et son bâton le frappe avec une  violence  incroyable.  Les Syracusains ont visiblement très peur de son bâton.   La bataille commence. Les Syracusains veulent nous empêcher de terminer notre mur pour encercler leur ville. Une bataille à mort. Surtout ne pas fléchir et perdre la ligne. Le choc est voilent. Boucliers contre boucliers.  Tuer ou être tué   Gylippe a repéré notre point faible. Il envoie ses meilleurs soldats à cet endroit là.  Notre stratège ne réagit pas assez vite. La ligne commence à se disloguer.  Nous reculons. Je n'ai pas vu la mort venir. Un coup de lance dans ma gorge, juste au dessus du bouclier. Je suis tombé avec fracas. Mes seules pensées,  ...ton si joli cul , tes yeux  de braise et ton odeur. Adieu...et qui sait dans une autre vie.  .../....   Mon ressenti après cet essai...je fais bien partie de ton groupe d'âmes. C'est pour cela que je peux entrer dans ta régression.   
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Par : le 21/07/25
C'est l'heure de la sieste.  C'est agréable la sieste, au frais, volets tirés. J'ai horreur des clims. Je somnole...je me retrouve sur une plage. C'est agité,  bruyant. De superbes bateaux de guerre, tout en bois, avec des rames. Des triremes.Des voiles aux couleurs vives. Des marins, des soldats en armes. Une régression...je viens de glisser dans une régression. Je touche mon sexe. Je suis une jeune femme. Je porte une tunique courte. Les hommes me regardent. Je lave mes jambes dans la mer. De très jolies jambes. Un marin me siffle de façon grivoise.  Qu'est ce que je fais ici?  Un soldat puissant s'approche. Il me prend par les cheveux et veut me coller une baffe. Je bloque son bras. Je le défie du regard.   - Salope, qu'est ce que tu fous là à montrer ton cul. File dans ma tente et bouge ou je te bastonne. Je vais te dresser esclave.  Il est visiblement très colère et jaloux. C'est un bel homme. Esclave ? J'ai régressé dans une vie où j'étais esclave? Il me traine jusqu'à sa tente. D'autres soldats se marrent.  -botte lui le cul, et baise là.  Cette salope de Syracuse ne mérite que cela.  A peine dans la tente,  j'ai morflé grave. Je ne fais pas le poids face à  ce guerrier qui cogne dur. Je me défend comme je peux.  - salope de rebelle, je vais t'enculer.  Tu feras moins la maline. Tu es mon esclave. Tu dois m'obeir.  - A part la violence tu n'es bon à rien. C'est moi qui vais t'enculer.  Obéir,  jamais.  Il se jette sur moi.  Il bande comme un malade. Plus je lui résiste et plus il me désire. J'ai beau lutter, je ne fais pas le poids.  Il me perfore.  Journée de douleur. Les soldats dehors éclatent de rire et font des commentaires salaces.  Le soldat jouit en moi. Ce salaud prend son pied. Je touche ma chatte. Elle est complètement fermée.  Il ne pourra jamais me violer par là.  Toujours vierge.    Il grogne sur moi. Il me caresse les seins.  - tu me violes et après tu cherches du réconfort. T'es vraiment minable.  -ta gueule esclave ! Je te viole quand je veux. Tu es à moi et t'as rien à dire. Alors ferme la ou je te donne le fouet devant les soldats dehors.  je la ferme. Inutile de résister. Je sens qu'il est amoureux et qu'il me désire. C'est ma seule arme contre lui.  - prépare moi un bon repas avec du bon vin, salope de Syracusaine.  je m'exécute. De toute façon j'ai faim moi aussi. Esclave dans le camp des Athèniens à Syracuse ? Je prépare une sorte de brouet  avec du porc, quelques légumes, de l'orge. Il mange d'abord, je finis les restes. Parfois je surprend son regard sur mes jambes, mon cul. Je sais qu'il me trouve jolie, que je le fais bander.  Syracuse....une régression étrange. Esclave dans le camp des Atheniens. Esclave d'un beau guerrier amoureux.  Le soir tombe. Demain mon guerrier doit repartir vers les premières lignes.  -Allons marcher un peu sur la plage.  il accepte. Je sens qu'il est inquiet. Un nouveau général venu de Sparte commande la garnison de Syracuse. Le fameux Gylippe. Je sens que les jours de mon beau guerrier sont désormais comptés.  Il ne reverra jamais Athènes.  Il va mourir ici bientôt,  dans cette expédition risquée.  Je prend sa main.  Il est surpris. Je dépose une bise sur ses doigts.  -viens rentrons, j'ai encore envie de toi.   Je vais encore prendre cher... la régression se termine. Dehors le chant des cigales.  Maso aussi fait la sieste tout nu. C'est un bel homme. J'aime le voir dormir. Syracuse est loin...qui sait, y aller un jour en vacances pour voir si je retrouve les lieux de ma régression? J'en parlerai à Maso. Je prend mon tel et regarde des images de cette côte.  Oui, c'est bien cela. Les constructions sur la côte ne sont pas un obstacle pour retrouver la plage. C'est vraiment étrange ces regressions. Faire comme si tout cela n'existait pas. Je sens l'odeur du guerrier grec. Je l'ai en mémoire...comme c'est étrange.  Nouvelle régression, cela ne prévient pas. Je suis de nouveau dans le camp des Atheniens. Mon beau guerrier est mort au combat. Son corps a été brûlé.  Ses biens obtenus lors de cette expédition ont été redistribués.  Je fais partie du butin. J'ai été donné à un autre guerrier pour lui servir d'esclave.  Heureusement, il me regarde à peine. Le moral n'y est plus. Gylippe est redoutable et rusé.  Les stratèges atheniens ne font pas le poids. Des esclaves et serviteurs me proposent de m'enfuir avec eux. J'accepte malgré les risques. Le plan réussit. Le camps des atheniens est désormais loin. Nous avons marché toute la nuit. Notre but est de rejoindre une cité alliée de Syracuse.. Après trois jours de marche, nous arrivons enfin. Nous ne parlons pas de notre fuite du camp des Athèniens.  Je ne parle pas de ma captivité.  J'explique que je souhaite rentrer chez moi après la guerre....je revois ma maison pas très loin du camp des Athèniens . J'ai tout perdu. Dans cette petite cité à l'intérieur des terres, on ne voit pas la mer. La Sicile est si belle. Le temps passe. Cette régression est comme un accélère d'images.  Gylippe a écrasé les Athèniens. Nous avons danse ce soir là. J'ai bu du vin. Je retrouve ma maison. Tout est saccagé.  Je suis seule. Il va me falloir tout reconstruire. Et si je prenais un esclave Athènien en train de pourrir dans les latomies.  Ma famille est connue à Syracuse. Cela m'est accordé.   Lorsque je reçois mon esclave, il est en piteux état. Il fait partie des rares survivants du corps expéditionnaire. Aussitôt je me surprend à être une dominatrice très exigeante. Mon esclave se remplume et bosse bien. Il a peur de moi. J'ai le fouet facile. Il obéit d'autant mieux qu'il semble très amoureux de moi. Finalement j'en fais mon compagnon pour ma couche le soir. Il est bel homme et bon amant. Je préfère avoir un esclave à mon service qu'un époux. Cela jase à Syracuse. J'entends parfois des quolibets du genre, les Athèniens l'ont eu dans le cul à Syracuse et pourtant ils continuent de baiser nos plus belles femmes. Je ne réponds jamais. J'ai la chatte fermée.  Il n'est pas possible de me pénétrer. Je ne peux pas avoir d'enfants.  Je serais vite cataloguée comme mauvaise épouse. Alors autant rester paisible avec mon esclave qui m'obeit en tout  et pour tout. Parfois je le fouette par pur plaisir. Je l'ai marqué au fer rouge et j'ai percé ses oreilles. C'est vraiment ma propriété.      
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Par : le 14/07/25
Jaba aime se faire enculer. Son Dom ne s'en prive pas. Putain que Jaba a un joli cul et un anus  très tonique. Cette salope sait prendre son pied de la sorte. Elle sait serrer quand il faut, relâcher en cadence. Elle adore être remplie de foutre epais. C'est bon pour pour sa santé.  Que du bon sperme bio dans le cul  c'est excellent pour sa peau et son équilibre. Elle est resplendissante. Jaba n'aime pas se faire prendre par la chatte, c'est moins jouissif pour elle. Elle se sent bobonne qui écarte les cuisses.  Non  elle préfère sentir la grosse bite de son Dom dans son cul. Là,  elle se sent vraiment soumise et prise comme il se doit. Si en plus son Dom lui claque bien les fesses quand il l'encule,  c'est le top. Putain que c'est jouissif pour Jaba. Ce qu'elle préfère c'est d'être quasiment violée de la sorte, dans la rue, sous une porte cochère,  dans un ascenseur, sur le capot encore chaud d'une voiture. Jzba est toujours prête. Jamais de culotte. Son Dom l'encule quand il veut  comme il veut. Elle est sa propriété.     
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Par : le 01/07/25
Elsa est féministe engagée,  une coupeuse de couilles de machos. Certaines personnes savent couper le feu 🔥,  Elsa, elle, sait couper les bites arrogantes. Non mais, y se prennent pour qui ces mâles avec leurs couilles qui pendent et leur tuyau qu'ils astiquent en cachette, leur sperme visqueux. Peut être faudrait-il tous les castrer! Pas besoin de mâles après tout. Et puis ils ne sentent pas bon. Réduire leur population. Une extrémiste qui rêve d'un monde de femmes où, avec les progrès de la science, les femmes n'auraient pas besoin des hommes pour se reproduire. Cela s'est vu chez certaines espèces ou les mâles ont disparu. Pour Elsa c'est la preuve qu'ils ne servent à rien, sauf à se battre, faire des guerres, polluer, casser, mentir.  Markus est tout l'inverse, c'est un pur macho. Pour lui une femelle c'est fait pour tenir propre la maison,  faire toutes les tâches ménagères et écarter les cuisses, et surtout la fermer. Les femelles sont pour lui inférieures et doivent obéir en tout et pour tout. Une bonne femelle doit toujours avoir le cul bien rouge pour être bien dans sa tête. Fesser les femelles sept fois par jour est un minima syndical pour lui.  Cupidon devait être complètement bourré ce soir là.  Il devait sortir d'une orgie chez Dyonisos où le vin avait coulé à flots. Complètement pété le Cupidon. Il a pris une flèche et l'a envoyée dans le cul d'Elsa pour qu'elle tombe amoureuse du premier mec rencontré.  Et ce fut Markus qui passait par là, mains dans les poches et clope au bec. La rue était déserte.  Il n'y avait que cette femme fort belle qui se tenait les fesses.  Cupidon n'avait pas fait semblant avec sa flèche invisible.  Les yeux d'Elsa et de Markus se sont accrochés. L'amour était là,  puissant, irrésistible, pas aveugle, non, démoniaque. Ils se sont parlé.  Ils se sont trouvés beaux. Ils se sont désirés. Markus qui habitait à deux pas invita Elsa chez lui, pour prendre un verre.  Et Elsa n'a pas pu dire non. Elle n'avait plus de jambes pour fuir. Son cœur battait dans sa poitrine en feu. Après le verre ils se sont retrouvés au pieux. Avec ses idées à la con, Elsa était encore vierge. Markus jugea bon de ne pas la depuceler par la chatte. Il savait qu'il venait de trouver sa femme et qu'il devrait l'épouser bientôt.  Il préfèra garder cela pour la nuit de noces. Il passa donc par derrière et encula profond son Elsa qui ne tarda pas à bramer des orgasmes en cascade. Markus n'avait pas une bite mais un gourdin entre les jambes. Ce n'est qu'après avoir empale, écartelé,  defonce, pilonne le cul somptueux d'Elsa qu'il lâcha son foutre en elle. Quelle jouissance incroyable! Le lendemain, Elsa fit le ménage tôt le matin et porta son café à  Markus qui était encore au lit. Elle avait trouvé sa juste place. A peine levé,  son homme l'a prit sur ses genoux et lui a flanqué sa première fessée.  Elsa a pleure de plaisir. Elle a joui sur les cuisses de Markus et a été mise au piquet, cul nu, bien rouge pour n'avoir pas demandé la permission de jouir.  Cupidon avait desaoule.  Il est venu voir. Il a admiré le somptueux cul bien rouge d'Elsa . Il a pensé avoir fait du bon boulot malgré sa cuite. Ces deux là s'aimaient comme des fous, ce n'était que trop visible. 
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Par : le 25/05/25
« Esclave du camp du bien. Tel est ton destin » Les moqueries de Microbite et Bitemicron résonnent dans ma tête comme la rengaine insupportable d’une chanson niaise. Au pilori devant l’entrée d’honneur du Ministère de la Vérité, je suis l’attraction du jour. Le camp du bien est très fier d’exposer sa prise, nue, humiliée. Deux gardes armés me protègent de la vindicte populaire, tout en se délectant des regards haineux qui m’entourent. Hier encore, j’étais libre – libre d’échapper à ce funeste destin [1]. Quelle est donc cette force étrange qui m’a poussée à franchir le seuil d’un obscur siège local des Brigades de Défense de la Démocratie, au cœur des Alpes Suisses ? La confiance ? L’espoir ? Le visage du jeune milicien de service s’est décomposé quand j’ai commencé à avouer mes crimes. Cette force de la nature semblait soudain écrasée par une affaire dont l’ampleur le dépassait. « Déshabillez-vous, je vais chercher mon chef ». C’est tout ce qu’il a réussi à me dire, après de multiples hésitations et bégaiements. Les ennemies de la démocratie ne sont pas autorisées à porter des vêtements – c’est la loi. J’avais préparé un scénario vaguement crédible pour expliquer comment je m’y étais prise pour détruire la Lune rouge de Davos [2], mais le milicien m’a à peine laissé le temps d’en esquisser les prémices. Est-ce que le chef sera plus avide de détails ? C’est un petit homme bedonnant qui fit son entrée. Dans un réflexe dérisoire je cachai ma chatte avec ma main droite. « Tsst... » fit-il, d’un air réprobateur. Pas besoin de mots… Pendant que je me résignais à adopter une attitude plus convenable, exposant ma fente épilée à tous les regards, comme la loi l’exige, un claquement sec me fit sursauter. Des émanations de fumée m’en indiquèrent l’origine : la caméra de surveillance du local venait de griller, dégageant une infâme odeur de plastique brûlé. « Nous n’avons pas beaucoup de temps, Ysideulte – Écoutez bien » me dit-il. « Quand je vous interrogerai, laissez-vous guider par mes questions. Soyez coopérative et saisissez les perches que je vous tendrai ». Je n’en croyais pas mes oreilles… Ca alors… Le pangolin fou aurait infiltré la milice ? On tambourina à la porte. « Tout va bien, chef ? La vidéo est HS. » « Oui, un court-circuit visiblement - remplacez-moi ça ». Il ne fallut que quelques minutes pour que le système soit de nouveau opérationnel. L’interrogatoire put commencer. Je ne saisis pas vraiment où le chef voulait en venir, tant ses questions paraissaient confuses, lubriques et sans intérêt, mais je m’employai à y répondre avec docilité. Toujours est-il qu’à l’issue de cet interrogatoire, je ne fus pas incarcérée en attendant mon exécution. Contre toute attente, je fus conduite à Bruxelles, au Ministère de la Vérité. Pas n’importe lequel : le Ministère fédéral, celui qui chapeaute tous les Ministères de la Vérité des nations composant la Suprême Alliance Démocratique. Le Saint des saints du narratif officiel. Le transfert des ennemies de la démocratie est toujours l’objet d’une mise en scène, pour donner l’exemple, dissuader les récalcitrants, et divertir les moutons en attisant leurs pulsions les plus malsaines. Une douzaine de femmes étaient pour l’occasion mes compagnes d’infortune. Après avoir reçu la fessée réglementaire, administrée par un Maître fesseur, c'est nues, enchaînées les unes aux autres, que nous traversâmes la moitié de la ville en file indienne, sous les huées et le regard complaisant des caméras de télévision. Autant il m'arrivait souvent d'éprouver de l'excitation lorsque j'étais fessée par mon Maître, autant je me suis sentie ridicule, profondément humiliée et blessée, d'être ainsi fessée en public comme une gamine, devant des millions de téléspectateurs. Le contexte change tout. Je pensais de surcroît à mes connaissances, mes collègues de travail, ma famille, qui seraient sans nul doute témoins un jour ou l'autre de ce spectacle dégradant, s'ils ne le suivaient pas déjà en direct, et la honte m'envahit. J’occupais la première position dans la file - un honneur lié à la gravité de mes crimes, sans nul doute. Un milicien à l’allure de racaille ouvrait fièrement la marche, tenant fermement la chaîne reliée à mon collier. En d’autres temps il aurait été dealer ou proxénète, aujourd’hui il est défenseur de la démocratie. La lourde chaîne qui reliait mon collier à celui de la suivante me passait entre les cuisses et me martyrisait la chatte à chaque fois que son pas ralentissait. C’était insupportable. « Putain ! Avance ! » lui hurlai-je à la figure en me retournant brusquement. La vue de son visage en larmes me fit immédiatement regretter mon emportement. Je ne connais rien de son histoire ni du destin qui l’attend. Au sein de la Suprême Alliance Démocratique, on peut connaître les pires tourments pour des raisons absurdes. Le totalitarisme progressiste ne s’embarrasse pas de logique ni d’humanité. La violente décharge d’un aiguillon électrique pour bétail me rappela à l’ordre. « Silence, femelle ! » L’arrivée sur le tarmac de l’aéroport et la montée à bord de l’Embraer 120 qui nous conduisit à Bruxelles marqua, pour un temps, la fin de notre supplice. Arrivées à destination, nous fûmes séparées. Je ne saurai sans doute jamais ce que mes compagnes d’infortune sont devenues. Pour ma part j’appris que j’avais été spécialement sélectionnée par le ministre de la Vérité et sa charmante épouse, pour devenir l’une des esclaves de leur couple. L’esclavage n’est pas officiel au sein de la Suprême Alliance Démocratique, mais les ardents défenseurs du camp du bien jouissent d’une impunité totale – jamais un journaliste ou un magistrat ne posera une question dérangeante – alors pourquoi s’en priver. Est-ce que les questions bizarres du chef avaient pour but de susciter des réponses qui attireraient l’attention de ce couple diabolique ? Est-ce dans cet objectif qu’il m’a amplement questionnée sur mon passé de femme soumise et d’esclave sexuelle, entièrement dévouée à mon Maître ? En tout cas, pour le moment cela me procure un sursis. Rien d’autre à faire que de me perdre dans mes pensées, d’occuper mon esprit, histoire de rendre plus supportable l’humiliation du pilori. Personne n’a pris la peine de m’interroger concrètement sur mon mode opératoire. L’incompétence a atteint son paroxysme. Visiblement le réel leur importe peu et seule la narration qu’ils pourront en faire a de l’importance. Le visage pervers du ministre me sort de l’évocation intérieure de ma journée d’hier. Ce type pue la perversion, à un point qui donne froid dans le dos. Ce n’est pas pour rien qu’il a été nommé ministre de la Vérité. La Suprême Alliance Démocratique met les psychopathes les plus incompétents et les plus tordus aux postes de haute responsabilité, tout en chargeant le système médiatique de les présenter comme des virtuoses dévoués au bien commun. Il me libère de mes entraves et m’aide à me redresser. Des heures au pilori, c’est terrible pour les reins. « Viens, on parle de toi à la télé » Comme toutes les personnes profondément perverses, il aime souffler le chaud et le froid, apparaître en sauveur pour résoudre des problèmes qu’il a lui-même créés. Il m’invite à m’installer dans un salon au décor atroce, aux côtés de sa charmante épouse. C’est la première fois que je la vois sans sa perruque. Elle aussi se révèle soudain mielleuse et avenante, mais je sais à quoi m’en tenir. Ce couple de pervers narcissiques transpire le mépris et les rictus fugaces sur leurs visages trahissent leur moi intérieur. La manière dont ils ont saccagé ce palais autrefois somptueux, en refaisant toute la décoration à leur goût, en dit long sur les personnages auxquels j’ai affaire. A la télévision, les journalistes sont surexcités. Il y a de quoi : on vient de capturer la responsable de la destruction de la Lune rouge de Davos. J’hallucine : les experts défilent sur le plateau pour expliquer les détails de l’incroyable enquête menée sous l’égide du ministre de la Vérité – enquête extraordinaire qui a conduit à ma capture. Tout est faux – je suis bien placée pour le savoir – mais je dois reconnaître que cette opération de communication à la gloire de Microbite est percutante. Le blabla glorificateur est entrecoupé d’interviews du ministre de la Vérité en personne – l’air grave – qui explique son combat contre les forces du mal.  Cette affaire tombe fort à propos. Bien que le Ministère de la Vérité et les hordes de censeurs et de fact checkers à sa botte lui permette de donner libre cours à son sadisme et à sa mégalomanie, il a de plus grandes ambitions. L’élection anticipée du prochain président de la Suprême Alliance Démocratique approche. Il est devenu nécessaire de remplacer la marionnette sénile dont la décrépitude mentale ne peut plus être masquée, malgré tout le zèle des journalistes. A la télévision le ministre de la Vérité profite de l’occasion pour faire son auto-promotion « Avec moi, un barrage infranchissable se dressera devant les ennemis de la démocratie. Je serai votre protecteur. Aidez-moi à faire barrage ! ». La vie démocratique est maintenant bien rodée au sein de la Suprême Alliance: l’heure venue, les castors assureront le résultat qui convient. « Merci à toi de nous aider à castoriser les pigeons, une fois de plus ! Ah ah ah ». Convaincus que je ne retrouverai jamais ma liberté, ils affichent sans complexe le mépris de leurs électeurs et jouissent ouvertement de ma contribution involontaire au succès de leur idéologie. J’espère que le pangolin fou sait ce qu’il fait, car pour l’heure j’ai le sentiment de marquer un but contre mon camp. « Il voit loin, il ne pense pas comme nous » m’avait dit mon Maître pour me rassurer. Cet intermède n’est que de courte durée. Ils appellent un gardien qui me conduit sans ménagement dans la cour intérieure du palais, au mur d’exposition contre lequel je passerai la nuit. D’autres esclaves y sont déjà exposés – de beaux gladiateurs au corps d’ébène. Certains arborent fièrement et bien malgré eux de belles bites épilées. D’autres ont été émasculés. D'autres encore ont de lourdes charges suspendues à leurs couilles, qui les étirent à un point que je n'imaginais même pas possible. Les gémissements des malheureux témoignent du supplice qu'ils subissent. Alignés en rang d’oignons, les poignets attachés au mur, au dessus de leurs têtes, ils forment un tableau vivant. Le gardien, jouissant visiblement de ma sidération, me laisse observer longuement ce tableau, tout en me laissant entendre qu’il s’agit des esclaves sexuels du couple. Ma présence déclenche quelques gonflements de bites. Cela doit faire un moment qu’ils n’ont pas vu une femme, a fortiori complètement nue. Ayant été placée en position d’honneur au milieu du tableau, je remarque une fenêtre éclairée derrière laquelle Microbite observe son cheptel. Je me risque à interroger mes voisins à voix basse, mais, visiblement terrifiés, ils ne me donnent que peu d’information. Épuisée, je finis par m’endormir, debout, malgré l’inconfort de la position. Au milieu de la nuit, des voix me réveillent. La Maîtresse des lieux, accompagnée de gardiens, est en train de sélectionner un esclave. Elle palpe les bites, soupèse les couilles, et en choisit un. « La femelle aussi ! » ordonne-t-elle aux gardiens, qui me libèrent à mon tour. Le ministre de la Vérité nous attend au salon, nu comme un vers. Un gardien me pousse si violemment que je m’étale à ses pieds. « Baise-la ! » lui ordonne son épouse. Microbite, l’air dégoûté, se résigne à obéir. C’est donc lui le soumis dans le couple. Je m’en doutais... Il ne bande pas. Les femmes, ce n’est vraiment pas son truc. Mais sa charmante épouse a la solution. Une grosse seringue et une injection massive d’Erector, directement dans la bite. Le dernier produit sûr et efficace de la Bill & Alvértos Fucking Corporation fait fureur au sein de l’élite mondialiste. Il me baise sans conviction, pressé d’en finir. « Aïe ! » hurle-t-il. « Qu’est-ce que tu m’as fait, salope ? ». Il se retire brutalement et examine sa bite avec inquiétude. Moi aussi je l’ai sentie cette douloureuse décharge électrique tout au fond de ma chatte. Une migration de zébralyvox gémellaires ? Quelle ironie, si celui qui a été un acteur zélé de l’extermination des zébralyvox contribuait maintenant contre son gré à la renaissance de l’espèce [3]. « Continue, chochotte ! ». Bitemicron est très fâchée de cette interruption qu’elle considère comme une désobéissance. Tout penaud, le ministre m’introduit à nouveau. « C’est bien » le félicite-t-elle, après qu’il m’ait baisée, et peu importe que ce fut avec un dégoût manifeste. « Maintenant tu as le droit de te faire enculer avant que je lui coupe la bite » ajoute-t-elle, en désignant le bel esclave au corps d’ébène qu’elle a choisi pour lui.  « Dans ma jeunesse, on m’appelait coupe-zizi » m’annonce-t-elle avec un rictus satanique. Obligée d’assister à ce spectacle obscène, l’espoir qu’il me restait encore est à deux doigts de se désagréger. « Tout est fichu » me dis-je. La société est profondément malade et ses « élites » dépravées et intouchables ne sont que le symptôme d’un mal profond. Il est trop tard pour redresser la barre. Incapable de supporter ce spectacle plus avant, je détourne le regard. Au loin, sur un écran d’ordinateur resté allumé, des motifs étranges apparaissent. Peu à peu, un pangolin se dessine, comme pour me donner tort. « Je ne sens rien ! »  s'écrie le ministre, affolé, pendant que l'esclave, pourtant superbement membré, l'encule vigoureusement. « C'est cette salope! Elle m'a fait quelque chose, je ne sais pas quoi ». Les zébralyvox ont déjà détourné l'influx nerveux. J'avais remarqué qu'ils étaient devenus incroyablement rapides ces derniers temps. Je m'approche discrètement du préservatif usagé, qu'il a utilisé pour me baiser et qu'il a déposé de manière dégueulasse sur le bureau. Suffisamment près pour deviner trois paires de petits trous à son extrémité. Trois paires de zébralyvox ont transpercé le préservatif simultanément... Heureusement que cet idiot est trop bête pour comprendre ce qui lui arrive et même s'il fait des examens il y a peu de risque - les zébralyvox gémellaires sont extrêmement difficiles à détecter m'avait assuré Satoshi et pour l'instant seule l'université Kitasato est équipée de têtes Doppler à couplage quantique [4]. Je réprime un sourire... Les plans du pangolin fou sont machiavéliques. à suivre   Contexte et références L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication) [1] Voir « Alea Jacta Est »   https://www.bdsm.fr/blog/10475/alea-jacta-est/ [2] Voir « Les Lunes de Davos »   https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/   [3] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/ [4] Voir « Attracteur étrange - l'ordre caché dans les profondeurs du chaos »,  https://www.bdsm.fr/blog/9106/Attracteur-%C3%A9trange-%E2%80%93-L%E2%80%99ordre-cach%C3%A9-dans-les-profondeurs-du-chaos/    
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Par : le 13/01/25
Le grincement de la serrure me transperce les oreilles. Lorsque la porte de la petite bibliothèque privée s’ouvre, mon Maître me trouve là, titubante, le regard dans le vide. « Ysideulte ! Que se passe-t-il ? » Les mots du pangolin fou m’ont secouée. Je m’agenouille, en signe de respect, mais aussi pour ne pas trébucher ou m’évanouir. Cuisses ouvertes, bien cambrée, yeux baissés, comme il me l’a appris. « Puis-je vous parler, Maître ? » Je lui relate la conversation que je viens d’avoir [1]. Il semble aussi surpris que moi. « Que décidez-vous, Maître ? » Un long silence s’ensuit. « Je ne peux pas décider cela à ta place, Ysideulte. Ce serait de l’abus de pouvoir ». Me voilà bien avancée. A quoi bon être esclave si mon Maître se défile quand il y a une décision grave à prendre ?  « Viens, le dîner est servi » me dit-il en m’aidant à me relever. « Maître, aviez-vous prévu de me marquer au fer ce soir ? Le pangolin fou a dit : Quand vous serez marquée, réfléchissez à ma demande » « Tu seras marquée au fer rouge, oui, mais pas ce soir ni demain » « Alors, je ne comprends pas la chronologie. Je dois décider avant demain 15h, mais il m’a demandé de décider une fois marquée » « Je ne sais pas Ysideulte, le pangolin fou ne pense pas comme nous » « L’avez-vous rencontré physiquement, Maître ? » « Non, et je ne connais personne qui l’ait rencontré. » « Je ne sais que penser, Maître. Est-ce un fou ou un génie ? Et s’il jouait avec nous et que tout cela n’avait aucun sens ? » « Peut-être que l’on ne comprend pas parce qu’il a plusieurs coups d’avance. Tu as vu ce qu’il a fait à Davos, semer la panique au cœur de la zone la plus sécurisée de la planète [2]. Et si le but principal n’était pas de te libérer mais de te montrer ce dont il est capable, pour que tu lui fasses confiance ? » « La liberté d’expression est l’ennemie de la démocratie ! » martèle un éditorialiste à la télévision, appelant à encore plus de censure et de contrôle de l’information. « En effet ! Il faut interdire les fausses opinions ! » renchérit une politicienne invitée sur le plateau. Clic ! Mon Maître leur coupe la chique. Une phrase qui m’emplit de bonheur met un terme à ce discours insupportable :  « Ce soir, exceptionnellement, tu pourras dormir dans le lit » La brosse à dents à ultrasons s’est avérée remarquablement efficace. Le mécanisme d’ancrage de l’obus vaginal n’a résisté qu’une dizaine de secondes avant de se rétracter. Le pangolin fou avait raison sur toute la ligne. Fou ou pas, ses conseils sont avisés.  Blottie dans les bras de mon Maître, je m’endors presque instantanément. Qu’elles sont apaisantes les douces caresses de ses mains sur mon dos, sur mes fesses ! Une gifle me réveille en sursaut. « Dépêche-toi, salope ! On n’a pas de temps à perdre » Mon Maître me saisit brutalement par les cheveux et me sort du lit. « A quatre pattes, chienne ! » La laisse est promptement attachée à mon collier et je suis traînée jusqu’au salon sans ménagement. Deux femelles complètement nues comme moi sont attachées, au milieu de la pièce, suspendues par les pieds. Un homme à l’aspect patibulaire, qui semble tout droit échappé du bagne, se tient près de la cheminée. Le gros Dobermann qu’il tient en laisse grogne, bave, montre les dents et s’agite, la bite en érection. J’en suis terrifiée. Mon Maître me fait mettre face et mamelles contre terre, cul en l’air, cuisses écartées. D’une claque cinglante sur les fesses, il m’intime l’ordre de les écarter avec les mains. Je reste ainsi exhibée, humiliée, attendant la saillie. Tellement obnubilée par cette anticipation que je ne me rends même pas compte que mes chevilles viennent d’être reliées au treuil qui me retourne et m’élève dans les airs tête en bas comme un morceau de viande. Mon Maître adore faire diversion et contrarier mes anticipations. Le chien s’est calmé. Le bagnard s’affaire autour du feu. Quand il se retourne, brandissant fièrement un fer rougi, mes deux compagnes d’infortune se mettent à hurler.  « Silence femelles ! » hurle le sale type, alors que le chien se montre menaçant à nouveau. C’est la première fois que j’assiste à un marquage au fer. Je m’étais renseignée bien sûr, tant j’espérais qu’un jour mon Maître me jugerait digne d’être marquée. J’avais entendu parler de cérémonie, de longue préparation. Le fer doit être chauffé par une flamme de type camping gaz ou chalumeau et non dans les braises pour ne pas laisser de résidu [3]. Je suis surprise que mon Maître n’ait pas exigé cette précaution élémentaire, lui qui est toujours si soucieux de ma santé. J’avais lu également qu’être solidement attachée est indispensable pour ne pas bouger pendant l’application. Que penser de cette position, suspendue par les pieds ? Mon Maître aurait privilégié l’humiliation en passant outre toutes les règles élémentaires ? Cela ne lui ressemble pas et m’inquiète au plus haut point. Deux ou trois secondes. C’est court pour celui qui applique, une éternité pour celle qui reçoit. Elle hurle de douleur. Puis c’est au tour de la deuxième. Du travail à la chaîne, bestial, dégradant. Jamais je n’aurais imaginé que mon Maître m’infligerait une telle humiliation. Marquée à la chaîne avec d’autres femelles, comme du bétail. Toute dignité s’étant évaporée, je me mets à hurler moi aussi avant même que le fer me brûle la chair. La douleur est violente mais disparaît en une fraction de seconde, bien avant le retrait du fer, comme si toute la zone venait de subir l’injection d’un anesthésique extraordinairement puissant. Je n’ai plus aucune sensation dans tout le bas du corps. Les zébralyvox gémellaires sont incroyablement efficaces [4]. « Il faut se dépêcher, ils vont arriver ! », crie mon Maître. Descendre mes deux congénères semble prendre une éternité. Je suis encore suspendue tête en bas quand la porte du chalet est défoncée. Une unité d’intervention des Brigades de Défense de la Démocratie, lourdement armée, entre en trombe. Mon Maître ronfle doucement à mes côtés. Je suis au bord de la tachycardie. Je passe la main sur le haut de ma fesse gauche. La peau semble lisse, sans irrégularité. Pourtant tout cela semblait tellement réel. Je soulève doucement la couette et saisis mon téléphone portable sur la table de nuit pour éclairer ma fesse. Rien, aucune marque… Les bruits de la nature, qui devraient m’apaiser, m’angoissent soudainement. Je suis à l’affut du moindre son suspect. Et si les Brigades de Défense de la Démocratie encerclaient déjà le chalet ? N’y tenant plus, je tente de me lever sans réveiller mon Maître, pour aller jeter un coup d’œil à l’extérieur, mais je m’écroule sur le sol, incapable de tenir en équilibre et de coordonner les muscles de mes jambes. Tout le bas de mon corps est anesthésié. Les zébralyvox gémellaires ont réagi à mon cauchemar. Plus aucun doute n’est permis, ils sont connectés à mon esprit, je ne sais comment. Le vacarme de ma chute réveille mon Maître. Je m’attendais à être giflée et punie, mais il m’aide délicatement à remonter sur le lit et me prend dans ses bras rassurants pendant que je lui raconte mes mésaventures oniriques. Tout devient clair tout à coup, comme si mon esprit avait travaillé pendant la nuit, comme si ce cauchemar était un message venant des profondeurs de mon inconscient. Je suis marquée au fer à présent. Pas réellement mais je l’ai vécu par l’esprit, je l’ai ressenti si intensément, avec tellement de réalisme que c’est tout comme. « Quand vous serez marquée, réfléchissez à ma demande. La décision vous appartient », avait dit le pangolin fou. Comment pouvait-il savoir ? Il suscite mon admiration et me fait peur à la fois. L’inconnu me fait peur. Ne pas comprendre me fait peur. « Nous ne pourrons jamais vivre librement, n’est-ce pas Maître ? » Après un moment d’hésitation, certainement surpris par ma question un peu soudaine : « Les choses ne vont aller qu’en empirant, malheureusement. C’est dans l’ADN du totalitarisme d’étendre son emprise tentaculaire sur nos vies, jusqu’à la folie, ou jusqu’à sa propre destruction ». « Alors il faut le détruire, et le plan incompréhensible du pangolin fou est notre seul espoir » dis-je en chuchotant, comme effrayée par ma propre audace. « C’est ce que dit la raison, mais pas le cœur. Je ne peux pas te conseiller de te mettre en danger. Est-ce que tu comprends cela ? Si je dois décider à ta place, je t’interdirai de te rendre. » Malgré l’apaisement procuré par mon Maître, blottie contre lui, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Cogitations inutiles, je le sais très bien. Ma décision est déjà prise mais j’ai du mal à me l’avouer. Mon Maître me réveille en douceur. Le soleil est déjà levé depuis un bon moment. J’ai retrouvé mes sensations dans le bas du corps.  « Je vais te présenter à des personnes que tu seras heureuse de revoir » me dit-il en me mettant la laisse au cou. Sonia ! Ah ça oui ! Qu’est-ce que ça me fait plaisir ! Sonia et son esclave, la bite à l’air ! Le pauvre. Visiblement il a encore été durement fouetté. Sonia est décidément sans pitié. Sa bite se dresse sans délai pendant que je m’approche, nue, tenue en laisse, pour le saluer. J’adore voir un homme bander et savoir que j’en suis la cause. Cela me rassure et m’emplit de frissons de fierté qui m’envahissent le corps. « Arrête de mater sa bite, salope ! » me glisse mon Maître à l’oreille. « Je vais vous préparer le déjeuner » dit l’esclave, avec un charmant accent anglais. « Ah non, pitié ! » m’exclame-je, avant de devenir toute rouge en prenant conscience de la gaffe. Cela m’a échappé. Le souvenir de la bouillie fadasse qu’il nous avait préparée à Bornholm est gravé dans mon esprit. Ma réaction épidermique déclenche un fou rire généralisé. Apparemment je ne suis pas la seule à avoir un mauvais souvenir de ses talents culinaires. Il est convenu que les deux esclaves prépareront le déjeuner ensemble pendant que les Maîtres discuteront au coin du feu. Je m’attendais à l’honneur de partager, une fois de plus, la table des Maîtres, mais ils en ont décidé autrement. « Vous allez nous divertir en copulant tous les deux comme des bêtes pendant que nous déjeunerons, esclaves ! Si le spectacle n’est pas suffisamment excitant, vous serez punis.» La voix de mon Maître est dure. Il ne plaisante pas. L’esclave de Sonia n’a pas bien compris. Je lui traduis en anglais, en rougissant. Me voilà actrice porno chargée d’improviser un spectacle privé. Je n’ai jamais fait cela, évidemment, et je ne sais trop comment faire pour que le spectacle soit le plus agréable possible. Je m’inquiète surtout pour mon partenaire. C’est dur pour un homme de baiser comme une bête en se contrôlant pendant toute la durée d’un repas, et de ne pas se laisser impressionner par les regards dirigés sur lui. Il y a des situations dans lesquelles je suis bien contente d’être une femelle. Notre spectacle bien maladroit n’arrive pas à la cheville d’une prestation professionnelle, mais cela semble bien amuser nos Maîtres si j’en juge par leurs éclats de rires et leurs commentaires humiliants. Par compassion, probablement, ils abrègent notre humiliation et nous autorisent à rejoindre leur table. « Est-ce que Sonia est au courant, Maître ? ». Je le questionne à voix basse. « Oui, le pangolin fou l’a informé de ses intentions il y a deux jours. C’est pour cela qu’elle est venue » A peine le repas est-il terminé que, sous mes yeux stupéfaits, mon Maître commence à dévêtir Sonia. Elle se laisse faire docilement. En moins de deux, la voilà complètement nue, comme moi. Ma jalousie maladive me met presque en colère. Il ne va quand même pas oser la baiser devant moi ? Qu’est-ce que c’est que cette Dominatrice à la noix ? Pourquoi ne lui met-elle pas une baffe ? Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’elle se retrouve les bras en l’air, poignets attachés à des anneaux opportunément présents au plafond. Puis c’est mon tour. J’ai l’impression de revivre à la virgule près cette expérience qui m’avait profondément troublée lors de mon premier séjour chez mon Maître : « Face à face, mamelles contre mamelles, je ressens le souffle de Sonia sur mon épaule, les pointes de ses tétons saillants parcourant mes mamelles au gré de nos mouvements, heurtant parfois les miens, tout aussi saillants. C’est terriblement érotique. Je sens une excitation sexuelle irrépressible m’envahir». Non décidément, je ne suis pas 100% hétéro comme je le croyais et Sonia me fait un effet démentiel ! Le premier coup de fouet est cinglant ! Ah, putain ! Qu’est ce que ça fait mal ! « Embrassez-vous, femelles ! Qu’est-ce que vous attendez ? » Les coups de fouet sont espacés, mais terriblement douloureux, comme pour nous inciter à laisser toute pudeur de côté dans nos plaisirs saphiques. L’esclave de Sonia se tient à l’écart, jetant de temps à autre des coups d’œil sur la scène, puis baissant immédiatement les yeux comme ébranlé par ce qu’il voit. « Il y a certains tabous, universels ou propres à chacun, dont nous avons conscience. D'autres se révèlent par l'expérience et viennent nous mettre face à nos limites. » [5] Mon Maître n'arrête que lorsque nous sommes en larmes, épuisées, criant grâce. « Une seule de vous deux aura l’honneur de recevoir la bite dans le cul. Mettez-vous d’accord entre vous, femelles ! ». « Ysideulte ! » hurle Sonia Ah zut ! Elle a été plus rapide ce coup-ci. Mais je lui en sais grée. C’est peut-être la dernière fois que j’aurai l’honneur de recevoir la bite de mon Maître dans le cul. Qu’est-ce que c’est humiliant de se faire enculer ainsi en public ! Et pourtant j’en ressens du plaisir, moi qui habituellement déteste la sodomie. La dernière fois, peut-être ? Je ne pense qu’à ça et je veux profiter de chaque seconde. Une fois délivrée, j’ai à peine le temps de me refaire une beauté que l’on frappe à la porte. C’est déjà l’heure. Les adieux sont rapides. Je préfère abréger pour ne pas fondre en larmes, et mon Maître l’a bien compris. Lui aussi a énormément de mal à contenir ses émotions – je le vois bien. « Qu’avez-vous décidé ? » demande l’un des deux gendarmes à mon Maître. Il a bien compris que c’est à lui qu’il faut poser les questions. Je ne suis qu’une esclave, après tout. Je devrais peut-être me sentir humiliée de la situation, et pourtant j’en suis fière. Oui, c’est à mon Maître de répondre, même s’il m’a laissée décider. Sonia m’a apporté des vêtements. Je n’allais quand même pas me livrer à la milice toute nue ! Les gendarmes se chargeront de me déposer à bonne distance, dans une zone encore dépourvue de caméras de surveillance, et je continuerai à pied. Un bâtiment tout neuf à l’architecture futuriste. Le siège local des Brigades de Défense de la Démocratie est impressionnant. Rien n’est trop beau ni trop coûteux pour ces parasites. La colère m’envahit et contribue à me donner du courage. Peu importe ce qui arrivera, moi la fille effacée qui avais l’impression de traverser ce monde sans vraiment en faire partie, invisible, insignifiante, j’aurai fait de mon mieux pour porter un coup à la Suprême Alliance Démocratique. Un coup qui s’avèrera peut-être fatal, ou qui ne sera qu’un coup d’épée dans l’eau. Peu importe, il est trop tard pour avoir des états d’âme. Si le pangolin fou est vraiment timbré, il m’aura au moins donné de l’espoir, et ce n’est pas rien. alea jacta est à suivre Contexte et références L’histoire d’Ysideulte se situe dans un futur proche, au sein d’une société qui est une extrapolation d’évolutions sociétales récentes. Si cet article a éveillé votre curiosité, vous pourrez découvrir le monde d’Ysideulte à travers mes articles précédents, dont la liste est ici https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication) [1] Voir « NewBrain – Conversation intime avec la pangolin fou »,  https://www.bdsm.fr/blog/10456/NewBrain-%E2%80%93-Conversation-intime-avec-le-pangolin-fou/ [2] Voir « Les Lunes de Davos »   https://www.bdsm.fr/blog/9856/Les-Lunes-de-Davos/ [3] Je ne saurais que trop conseiller la lecture de l’article fort bien fait de Lady Spencer à ce sujet : https://www.bdsm.fr/blog/3873/Marquage-au-Fer-(=-Branding)/ [4] Voir « Zébralyvox gémellaire – l’étonnant passager », https://www.bdsm.fr/blog/8393/Z%C3%A9bralyvox-g%C3%A9mellaire,-l'%C3%A9tonnant-passager/  [5] J’ai repris les mots de Carpo, qui relate, bien mieux que je ne saurais le faire, le choc ressenti dans une telle situation. Voir  https://www.bdsm.fr/blog/8479/La-premi%C3%A8re-fois-o%C3%B9-j'ai-vu-ma-Ma%C3%AEtresse-sous-l%E2%80%99impact%C2%A0/  et https://www.bdsm.fr/forum/thread/8080/Voir-sa-ma%C3%AEtresse-ou-son-ma%C3%AEtre-en-position-de-soumission/      
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Par : le 12/11/24
Bisous mon mael pour ces beaux voyages qui tu m'as permis de découvrir. Tenter de faire des recessions, tenter d'explorer nos vies anterieures,  c'est si amusant et si joli à faire. On ne pourra jamais savoir si c'est vrai, mais c'est tout comme. Se relaxer, méditer dans le calme, entrer dans un état modifié de conscience, laisser les images venir seules.... Je suis dans un palais absolument splendide, je n'ai jamais rien vu d'aussi beau et luxueux. Un palais de vie ou l'on se sent bien. Tout est lumineux, chaleureux, accueillant. Des fontaines, des bassins d'eau claire, des arbres et toutes sortes de plantes que je ne connais pas. Des palmiers, des fleurs odorantes partout. Ou suis je donc arrivé cette fois ci ? Je caresse mon ventre. Mon premier réflexe est de toucher mon sexe. Ouf, je suis bien une femme. Je caresse mes petits seins. Je touche mon visage, mes cheveux. Je suis toute vêtue de blanc, avec un pantalon léger et comme une grande chemise blanche qui descend jusqu'au haut de mes cuisses. Aucun bijoux. Je souris, encore ce style garçonne qui me poursuit. Espérons que cette fois je ne souffrirais pas de vaginisme et que quelque beau garçon pourra enfin me donner du plaisir avec ma chatte que je devine bien coquine. J'ai le cœur léger et en joie, comme une envie de danser avec mes jolies babouches dorées.  Cela se précise  je suis dans le palais du grand Calife Haroun Al Rashid. Je travaille dans le service littéraire de la jolie princesse Zubayda, son épouse. Notre rôle est de faire la propagande du régime mais de façon fort subtile, en racontant des histoires que le peuple aimera écouter et qu'il retiendra.  Aujourd'hui, la princesse ma chargé de raconter une histoire pour montrer la supériorité de l'Islam sur les autres religions  mais de façon poétique  en suggérant sans rien affirmer. Je n'ai pas d'idées. Je m'assois au bord d'un bassin. A l'intérieur, une multitude de petits poissons de toutes les couleurs.  Un beau garçon vient me voir en souriant.  Un jardinier. Je l'adore. Il me fait rire. Il est toujours si joyeux et souriant. Il me sert de modèle pour certaines histoires. Rien ne semble jamais l'atteindre. Je souris. C'est comme un canard. Tout glisse sur ses plumes.  -Alors ma jolie, encore en mal d'inspiration ? -Oui, je dois écrire un truc sur les religions et je n'ai pas d'idées. - Regarde donc ces jolis poissons me dit Ali, c'est le nom de ce jardinier. Imagine. Les bleus sont les chrétiens  les rouges les adorateurs du feu, les jaunes les juifs, les oranges, les païens grecs, et ainsi de suite. Les blancs sont les musulmans.  - Tu es génial mon Ali, que ferais je donc sans toi. Oui parler des religions par leurs couleurs. Notre Princesse devrait aimer.  - Aï je droit à une petite recompense ?  - Oui mais pas ici. Allons discrètement chez toi. La chambre d'Ali est minuscule mais très confortable. Ce garçon a bon goût.  Il baisse mon pantalon et commence par me manger la chatte. Je jouis plusieurs fois dans sa bouche. Puis il me demande de me mettre à quatre pattes sur son lit. Il sait que j'ai une chatte si étroite que sa penetration est impossible. Reste mon si joli petit  cul bien bombé. Il ne s'en prive pas et me donne beaucoup de plaisir. Il est très endurant et fort bien doté.  C'est un très bon amant.  Je le laisse exsangue.  Il n'a plus une seule goutte de sperme à me donner. J'adore être remplie par mon homme. Je ne sais pas mais cela me donne plein d'énergie. -Bisous mon Ali chéri, je file. Je dois écrire. Bisous. A ce soir. Reprend des forces. J'aurai encore très envie de toi et de ton sexe si dur qui me defonce si bien. Bisous.  Lorsque j'arrive chez la Princesse Zubayda, celle ci m'accueille avec un sourire malicieux.  Elle sait tout de mes aventures sexuelkes avec Ali. Elle compte me marier un de ces jours avec lui.  -Alors tu es encore allé chercher l'inspiration dans les jardins ?  Nous avons bien ri toutes les deux.       
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Par : le 11/11/24
Depuis que mael m'a montré des techniques pour essayer de retrouver la mémoire sur des vies anterieures, je m'amuse beaucoup et les images viennent en cascade. Mael doit être sorcier ou il a du l'être dans une ancienne vie. Tout cela n'est peut être que les fruits de l'imagination mais qu'importe puisqu'il s'agit de voyages avant tout.  Je me retrouve encore dans un corps de garçonne. Je me touche le bas ventre. J'ai bien une chatte cette fois ci. Cela me rassure. Je touche mes seins, ils sont petits et fermes, bien formés.  Je touches mes fesses. Que du muscle. Elles doivent très belles et bien galbées.  Je souris en pensant que mon petit cul va encore faire des ravages.  Je touche mon visage. Je dois être jolie. Je ne sais pas où je suis. Je porte une simple tunique grossière d'une seule pièce et rien dessous.  Autour de moi le paysage est à couper le souffle. De belles montagnes enneigées au loin, des forêts, un petit fleuve paisible, la mer toute proche. Je garde un troupeau de chèvres et de moutons. J'ai un gros bâton à la main. Tiens  un beau garçon vient vers moi tout sourire. Il m'apporte une gourde d'eau bien fraîche.  Il est vraiment tres beau.  Il me prend dans ses bras. Il cherche mes lèvres.  J'ai très envie de lui. Il me prend par la main et me conduit sous un grand arbre. L'herbe est douce et fraîche.  Nous nous asseyons. Il m'embrasse encore. Me caresse les jambes, les seins. Je sens que je suis en train de m'ouvrir.   Il s'allonge sur moi. J'ecarte les jambes. Je sens son gros sexe très dur sur mon ventre chaud. Il veut me pénétrer.  Il a beau essayer encore et encore, ma chatte est vraiment trop serrée.  Il me fait mal. Je gémis. Il est vraiment très déçu de ne pouvoir me depuceler.  Je me blotti contre lui.  Il me retourne. Caresse mes fesses. Il s'allonge à nouveau sur moi. Je sens son gros membre qui veut forcer mes reins. Je le laisse faire. Je n'ai pas mal. Même par là, je suis très serrée. Il grogne de plaisir.  Je sens qu'il en a beaucoup, que sa sève monte. Il explose en moi. Il n'a pas pu se retenir. Il ressort et m'embrasse à nouveau. Il est tout rouge et tout moite.  Je suis un peu frustrée.  Je n'ai pas eu ma dose de plaisir. J'attends qu'il soit parti pour me donner seule des orgasmes. Mon bourgeon est si sensible.  Le jour est en train de s'éteindre. Le ciel devient orange et violet. Il est temps de rentrer. Je sifflé les chiens pour regrouper le troupeau.  Ce n'est pas en faisant l'amour par les fesses que je risque d'avoir des enfants.   
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Par : le 08/11/24
Je me regarde devant une glace. Je me trouve fatiguée.  Toute la nuit mon homme a eu envie de me labourer les reins. Je me suis donnée et j'ai hurle de plaisir bien des fois. Lui s'est endormi d'un coup. Il a ronflé.  Puis juste avant l'aube,  il était deja debout. Ses amis l'ont sifflé.  Il sont partis pour la chasse. Mes jambes tremblent encore. Mon homme m'avait defonce le cul. J'ai la chatte trop serrée.  Il ne peut pas me prendre par la. Son sexe est trop gros. Alors il a su prendre son plaisir autrement  il adore mon petit cul bien bombé et bien musclé.  Il se vide en moi par là.  Cela nous va très bien à tous les deux. Je sais qu'il baise aussi ma servante mais je m'en moque.  Elle me donne le bain justement, me frotte le dos. Elle m'envie.  Elle aimerait être à ma place pour se faire bien bourrer toutes les nuits. Elle doit se contenter de se toucher dans sa petite chambre solitaire pendant que j'enchaîne les orgzsmes en cascade.  Nous partageons un homme monte comme un âne qui a besoin de se vider très souvent. Me voilà propre et bien mise. C'est moi qui dirige le domaine. Ce matin c'est jour d'audience. Je suis assise confortablement . J'écoute les doléances de mes paysans. Je prend des décisions rapides. Je suis souvent très juste. Je suis aimée et respectée pour cela. Personne n'ose me contester. Je suis une femme très autoritaire. Mes paysans sont quasiment mes esclaves. Les récalcitrants je les fait bastonner.  Mon homme revient de la chasse. Il est grand et fort. Il mange avec ses amis. Ils parlent et boivent beaucoup. Mon homme a sommeil à présent. Une sieste s'impose.  La servante s'agenouille et dégage son membre epais. Elle le suce goulument. Il grogne. Il me demande. Je m'allonge sur le ventre. Il relève ma robe et mes jupons. Je ne porte jamais rien dessous. Il caresse mon petit cul. Je tremble. Il s'allonge sur moi et s'enfonce d'un coup. Je le laisse prendre son plaisir. Je caresse mon délicat clito si sensible. La jouissance est là.  Mon petit cul se serre. Il explose en moi. Il s'endort avec son pieux planté dans mes reins. Je ne bouge plus. Il m'a cloué comme un papillon. Je m'endors moi aussi  
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Par : le 31/10/24
Wolfie est raide dingue amoureux de Maîtresse Caroline. Il n'y peut rien. Des qu'il est avec elle, il bande à mort pour elle. Il a le poil qui se hérisse, le cœur qui bat a 140, et les jambes qui flageollent. C'est con l'amour   Au début Maîtresse Caroline s'est amusé de cela. Elle a fait ce qu'elle a voulu de Wolfie, qui a tout accepté,  tout subi. Les cages acier, le fouet, les canes anglaises, la chasteté imposée,  les gifles, les insultes pour l'humilier, ...j'en oublie beaucoup. Plus Wolfie était raide dingue amoureux, plus il bandait pour Maîtresse Caroline et plus il morflait.  Le pire pour lui, porter une cage de chasteté,  être travesti en sissy et se faire defoncer le cul à grands coups de gode ceinture. Wolfie avait en horreur de servir de poupée sexuelle .  Un soir, allez savoir pourquoi, Wolfie s'est rebelle.  Il a arraché ses vêtements de pute sissifiee. Il a hurle. -Salope, cela fait des mois et des mois que tu te moques de mon amour, que tu m'humilies, me violentes. J'en ai marre , c'est ton tour. Et une baffe bien sonore à sifflé.  Maîtresse Caroline a vite été ligottee solidement et bâillonnee.  Elle était vraiment colère.  - Tu baisses les yeux salope. Non plutôt salop. Tu mouillais de me travestir en pute sissy, ben moi je vais te travestir en mec et je vais te troncher par le cul.  Et wolfie à habillé Maîtresse Caroline en garçon. Bon il a fallu des baffes et des coups de cravaches.  - tu sais que t'es vraiment pas mal en mec. Juste je vais chercher la tondeuse et te faire la coupe qui va avec.  Aussitôt dit, aussitôt fait. Adieu les longs cheveux de Maîtresse Caroline. Pas la boule à zéro mais un coupe bien courte.  - putain tu me fait vraiment bander ansi. Allez viens mon Carl,  je vais te depuceler le cul. T'es en manque mon chéri.  L'amour gay, c'est le top tu verras  Et Wolfie a sodomise son Carl jusqu'à plus soif. Putain le pied. Et visiblement Carl à bien mouille du cul et pris du plaisir.  - je veux être ton mec a dit Carl .  Ensemble ils ont foutu à la poubelle tous les habits de sissy et toutes les fringues de femmes de l'ex Caroline.  Wolf et Carl ont pu enfin vivre une belle histoire d'amour et de sexe ou tous les deux ont pris leur pied. Caroline avait toujours rêvé d'être un garçon et Wolf de se taper le si joli cul de Caroline.  Bref en amour, il n'y a pas de problèmes, juste que des solutions.     
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Par : le 16/08/24
Awena est une championne de MMA,  c'est ainsi qu'elle a été repérée et recrutée par la redoutable milice privé Stalin du Général Valeri. Pas de place pour les mauviettes chez ces mercenaires.  Le job lui a de suite plu, sans compter qu'il est très bien payé.  La politique, Mawena s'en fout. Aucun état d'âme,  juste faire les jobs de façon efficace et pro. Elle est habituée aux combats de rue, aux castagne dans les bas fond de Dublin. Elle a très vite appris à se servir de toutes les armes de guerre de façon précise. Une championne la aussi. Elle adore partir en missions. Elle se sent bien avec tous ces mercenaires qui ont leur code d'honneur bien à eux. C'est une lesbienne qui adore sodomiser d'autres femmes. C'est pour cette raison que Valeri a pensé à elle pour Mary, la femme qui possède une puce quantique greffée dans son cerveau. Un cadeau de son amant, le celebrissime Elon, l'homme le plus riche et le plus inventif au monde.  - Tu files à  Chypre et tu vas devenir le mari d'une femme au cul vraiment superbe. Tu pourras la sodomiser tant que tu voudras. Elle adore jouir par là depuis que nous lui avons depucele le cul. -Ok mon Général.  - Tu trouveras toutes les instructions dans cette pochette.  Prend en bien soin. C'est la chef de la CIA, pour toute l' Ukraine.  Mawena est partie pour Chypre dans un des jets privés de la milice Stalin, qui dispose d'énormes moyens. Elle a récupéré son colis, la très belle Mary, à l'aéroport de Larnaca. Un coup de foudre immédiat. L'intuition du Général Valéri était très juste. Une envie de baiser immédiate entre les deux.  Mary aime donner son cul à son mari. Elle est sexuellement entièrement soumise à Mawena qui adore la defoncer avec son feeldoe. L'amour entre ces deux femmes est là,  aussi irrésistible que leur envie permanente de baiser.  Dans les instructions, figure le fait que Mawena ne doit absolument pas prendre la chatte de Mary. C'est la propriété exclusive d'Elon. Ce dernier veut lui faire de beaux gamins. C'est son truc. Chaque multimilliardaire a ses lubies.  Valeri à prévu de faire poser des anneaux et un cadenas sur cette chatte réservée.  Toutes les instructions et le matos sont aussi dans la pochette. Mawena se fait un plaisir de réaliser cela.  - T'es toute belle ma chérie avec ton cadenas de chasteté vaginale. Tu donneras les clés à ton Elon, lui seul pourras te prendre la chatte. Par contre c'est parfait, ton cul est exclusivement à moi.  -J'ai envie de me marier avec toi. Je n'ai aucun mal pour te créer une nouvelle identité comme homme avec un look andro. Comme cela on pourra élever ensemble les enfants d'Elon qui deviendront les nôtres. - Super. Allez tournes toi. J'ai  une grosse envie.  -Moi aussi. Je mouille déjà.    
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Par : le 17/07/24
Lorsque Mary, la chef de toutes les agences de la CIA et autres officines de barbouzes US en Ukraine finit sa prise de connaissance des dossiers, elle blemit.  - merde, salopards de ruskofs. Ils sont en train de nous la foutre bien profond. Et notre endormi de Président qui est tombé à pieds joints dedans.  Oublié son désir de vengeance contre le général Valeri. Elle aurait bien donné ses couilles à bouffer aux rats des égouts de kiev. Même si ces derniers sont déjà bien gras. Valeri et ses coups tordus ne sont que des diversions. Mary est encore plus blanche de rage. Rien à foutre de l'assassinat de cette pute lesbienne de général Jennifer. Pendant que les services veulent flinguer la milice privé stalin, les russes avancent leurs vrais pions mortels. Mary appelle son maître et son amant, Elon, l'homme le plus riche du monde avec ses fusées, ses voitures, et ses entreprises. Avec sa puce neuralink de dernière generation, elle communique directement par la pensée avec son Maître.   - j'ai compris le plan des russes.  C'est tout de même bizarre qu'ils avancent si lentement. Ils nous prennent pour des cons. Leur plan est le même que celui de Ben Laden, faire tomber la France !!! - Avec sa dette astronomique, ce n'est plus qu'une salope à sodomiser. Elon et son sens des images..... -Le problème c'est que la France, ce n'est pas la Grèce.....c'est tout l'occident qui va suivre. -Pas grave, nous les milliardaires on va gagner encore plus. Ça te dirait un château discret en bord de Loire. Et puis Vladimir est un pote. S'il gagne, je gagne aussi.  - putain ta puce me fait mouiller. Je sens la crise d'orgasmie arriver. ....ahhhh.... Mary a joui de façon incroyable et en série. Son cœur va finir par lâcher à ce rythme....Elon a participé....il veut découvrir tous les secrets des orgasmes cérébraux. De toute façon tout est enregistré via la puce. Encore une idée pour gagner des billiards de $.  Mary s'en fout. Elle est bien. Elle aime son Elon, même si elle sait qu'elle n'est qu'une des femmes de son Harem. Lui au moins a su aimer son gros cul, son intelligence hors normes, et ses taches de rousseur...  
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Par : le 03/07/24
La cage est propre. Tu as bien travaillé. J'inspecte les barreaux et je ne trouve rien à redire. Le sol n'est pas nickel mais, si je devais être honnête, c'était mission impossible. - Ok, c'est acceptable. Tu as mérité une douche avant  extinction des feux - Merci Maître ! Je ne suis pas complètement convaincu que tu doives me remercier mais je reste silencieux. J'ouvre la porte de la cage, je reprends la laisse et je te regarde marcher à 4 pattes. Je réalise que je n'ai qu'une envie. - Arrête toi là ! Offre-moi ton cul tout de suite. Tu sais ce que tu as à faire. Tu places la joue contre le sol. Tu surélèves ton cul, jambes ouvertes pour qu'il soit à parfaite hauteur. J'enlève le plug qui s'y trouve, je baisse jean et boxer. Je regarde ton cul bien dilaté. Je crache plusieurs fois dedans et je te pénètre avec impatience. Je ne m'étais pas rendu compte que j'étais à ce point excité. En même temps que je t'encule sans ménagement, mes fessées font rougir ton cul. J'attrape tes hanches, je m'y accroche fort et je commence à exploser sans m'arrêter de te prendre, vite et fort. J'explose longtemps et mon sperme commence à couler le long de tes cuisses. Je me retire et j'essuie ma queue sur le bas de ton dos. Je regarde tes cuisses qui ruissellent. - En avant chienne, tu as vraiment besoin d'une douche ! Tu remercies ton Maître en te mettant en avant. Je t'installe dans le réceptacle de la douche. À genoux. Je commence à faire couler la douche. - Ne bouge pas ! Regarde vers le bas, esclave ! Je me déshabille et me dirige vers toi. - Tu n'as pas demandé quel était le prix pour la douche. Et, en même temps, tu sens ce jet chaud qui se dirige vers tes seins puis ton ventre. - Tu peux exploser maintenant chienne ! Aussitôt tes mains se dirigent vers ton sexe et commencent à jouer frénétiquement. Il te faut seulement quelques instants et, alors que le jet de la douche efface urine, faux et vrai sperme, tu exploses bruyamment et ton corps réagit en convulsant. - Allez, tu te sèches, tu passeras un coup de serpillère dans ta cage et tu t'enfermeras dedans pour la nuit. À demain, esclave. - À demain Maître. Merci pour ce début de week-end ! Si vous n'avez pas détesté ou baillé, je suis vraiment preneur d'un like. C'est bon pour ma motivation et mon ego (est-ce que mon ego en a besoin, c'est une autre question mais je pense que oui) ! Cette série concerne à la fois le dressage de mon esclave et l'aménagement, en parallèle, d'une pièce spéciale (vous pourriez l'appeler un donjon, mais je n'aime pas trop ce terme). Il faut imaginer une pièce complètement vide, et, chaque récit verra apparaître un nouvel objet. Partie 1: Un sofa Partie 2: Grande table en bois Partie 3: Liens d'attache Partie 4 : Un set de godes Partie 5 : une cage Partie 6: Un set de plugs Partie 7: Bol en inox
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Par : le 03/03/24
Il est 8h30, je vais passer à la douche. Dans la salle de bains, j'ai rendez-vous avec J. et J; c'est le surnom que j'ai donné à deux plugs qui chaque jour, par la volonté de mon dom virtuel, visitent mon anus et m'entraînent à la sodomie. L'un est en silicone noir avec une bille à l'intérieur; il est orné d'un cristal rose; le second est en verre un peu plus gros que le premier, il est transparent ce qui permet lorsqu'il est en place de voir l'intérieur de l'anus ouvert... c'est assez troublant de s'exposer ainsi. Depuis un mois environ, mon dom virtuel me demande de m'entraîner à la sodomie régulièrement chaque jour; je ne sais pas comment cela est venu, j'étais auparavant soumis à la sodomie de temps en temps mais c'est devenu maintenant un entrainement régulier que je dois faire chaque jour en vue d'être plus "salope" ou "garage à bites" comme dirait mon dom en langage fleuri, en tous les cas le but de l'opération est que je sois prêt et entraîné à être sodomisé à n'importe quel moment. J'avoue que je ne pensais pas réussir cet entrainement car j'imaginais qu'il serait trop douloureux pour moi, surtout en le répétant chaque jour. J'ai commencé, les premiers jours, avec un troisième plug, moins large que les deux autres mais plus long, en verre permettant un coté très visuel qui me plait beaucoup. J'envoyais chaque jour des photos à mon dom virtuel qui m'encourageait à continuer. Je suis ensuite passé au plug noir, et je me fixais des petits défis personnels comme le rentrer en une seule fois, à la première poussée, ou encore le faire entrer et sortir plusieurs fois le plus librement possible comme si je recevais des coups de bite. Pour faire cela, je dois me forcer à m'ouvrir pour accueillir le visiteur et la sensation de s'ouvrir est très troublante. J'y prends goût. Je suis ensuite passé au troisième plug, le plus large, et là il faut vraiment que je m'ouvre pour le laisser passer. C'est un peu douloureux mais tellement jouissif cérébralement de réaliser cet exercice pour mon dom, me sentir devenir de plus en plus "salope"... accepter d'être appelé ainsi: salope. Cet étrange plaisir d'être soumis. Je continue vaillament l'exercice journalier. Mon dom aimerait que je m'entraîne autrement qu'avec mes plugs, en trouvant un(e) partenaire régulier(e); je vais parfois, de façon très épisodique, au sauna gay où j'arrive pluggé et encagé... il faut que je sois très excité pour me forcer à faire cela et sur place je rencontre diverses fortunes pour satisfaire les demandes sodomites de mon dom virtuel. En attendant  je continue l'entrainement :) A suivre...  
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Par : le 02/01/24
Partie 1 (sofa) - Partie 2 (grande et belle table en bois) - Partie 3 (liens d'attache) Tu peux entrer esclave. Et te voici qui entre à 4 pattes dans notre pièce. Je suis assis sur le sofa avec une belle surprise pour toi. - Viens ici sale chienne ! Et tu obéis avec un oui Maître clairement articulé. Tu apprends et ça me remplit de fierté. Quand tu arrives, je t'ordonne de te lever et de te déshabiller pour moi. Souvenir d'Exotica, la musique en fond est du Leonard Cohen. Tu fais un strip sensuel. Je te prends par les hanches, te retournes et te force à continuer à danser alors que je positionne ton cul contre mon érection. Plus une ondulation qu'une danse mais tu me fais bander et j'ai envie de te prendre. Mais un Maître doit savoir se retenir. - A genoux esclave. - oui Maître - Voici notre nouveau jouet Et je te tends un gode de taille très raisonnable. Je ne saurais dire exactement si ton regard, à ce moment-là, est un regard de soulagement ou de dépit. - Suce-le salope comme si c'était ma queue. Tu le prends en baissant la tête. Comme une esclave emplie de déférence pour son Maître. Tu me regardes dans les yeux en même temps que tu commences à le branler entre tes seins. Tu te mords les lèvres. Tu laisses ta salive couler sur le haut du gode et tu l'engouffres dans ta bouche comme si tu n'avais pas avalé une queue depuis un mois. Suce salope. Lèche, crache, suce. Fous le toi jusqu'à la gorge. Je te regarde en me touchant pendant quelques minutes. - Fixe la ventouse au sol. Prends le dans ton cul. Pas besoin de le redire. 10 secondes plus tard, le gode est à l'intérieur et tu commences à aller et venir. Je sors le deuxième gode du set. Plus gros. Tu n'avais pas vu qu'il n'y en avait pas qu'un semble-t-il. Cette fois-ci ton regard semble agréablement surpris. - Lèche sale chienne. Jusqu'à ce qu'il soit bien lubrifié. Je vois que c'est déjà plus dur quand je te force à le mettre tout entier dans ta bouche. Tu y arrives mais au prix de quelques larmes qui naissent dans tes yeux. Mais tu sais à quel point j'aime voir ton visage ruiné, couvert de crachat, salive, sperme ou mascara. - Dans ton cul maintenant que tu es échauffée. Je te regarde aller et venir en tenant ta laisse. Tu vas exploser et je vois tes mains qui se dirigent vers ton sexe. - Arrête tout de suite esclave. Si tu exploses, c'est plusieurs heures dans la cage. Lève toi doucement et laisse le gode. Couchée sur le ventre ! Tout de suite ! Je pose mon pied sur ta joue. Tu as interdiction d'exploser. Pour qui tu te prends ?? Je sors le dernier gode. D'une taille qui commence à être moins raisonnable. Je le fixe au sol juste devant ta tête. - Je veux le voir disparaître. Tu as une minute pour t'échauffer. Et tu ne perds pas une seconde pour le lécher comme une chienne, pour le sucer de plus en plus profond. - 5 ... 4 ... Pas besoin d'aller plus loin je le vois disparaître et je te vois lutter. Tu te relèves et tu craches et tousses. - Encore sale chienne ! Et je te fais aller et venir sur le gode qui devient luisant. Le sol aussi qui reçoit ta salive. - Encore Et, quand tu as le gode tout entier dans la bouche, je pose le pied sur ta nuque. Tu essayes de te débattre Mais je maintiens ta tête fermement quelques secondes. Quand je te relâche tu as besoin de quelques secondes pour laisser la salive couler, pour reprendre ton souffle mais tu repars la bouche ouverte et tu l'engloutis encore. - J'espérais que ça te serve de leçon pour vouloir exploser sans autorisation. Mais tu es tellement une salope que rien ne peut te ralentir on dirait. Prends le dans le cul ! - Oui Maître ! Je sens l'hésitation. Que les mots que tu aurais aimé pouvoir prononcer sont il est trop gros Maître. Des larmes coulent le long de tes joues depuis l'épreuve précédente. Le gode est bien fixé, bien lubrifié semble-t-il aussi. Tu te positionnes et tu gémis quand le gode ouvre ton cul. - Continue. Les chiennes comme toi doivent pouvoir prendre n'importe quel gode dans le cul. Tu commences à aller et venir. Je tourne autour de toi. - Je veux le voir complètement à l'intérieur de toi, tu le sais. Je vais commencer à perdre patience. Nouveaux gémissements et cette fois je vois que tu l'as complètement pris. - Good girl ! Gentille chienne ! Je te vois aller et venir et je sais que seule la douleur t'empêche d'exploser. - Continue. Prends-le mais retiens-toi. Je te donne ce dernier ordre à quelques centimètres de ton visage. 2 claques - Oui Maître. Pardon Maître. - Ouvre la bouche. - Oui Maître, crachez dans la bouche ! Tu continues à aller et venir, plus vite sur le gode. Je passe dans ton dos  et je presse sur tes épaules. Jusqu'à ce que ton cul touche le sol. Je continue à presser, à pousser et je te maintiens comme ça. - Merci Maître. Je saisis la laisse et je t'amène jusqu'à la table. Je te prends par les cheveux et je t'oblige à te lever. Je glisse tes mains dans les lanières. Ta tête est posée sur la table. Tu es pliée en 2, le cul offert. Je me déshabille. Je regarde ton cul bien bien dilaté. Je positionne mon sexe et je te pénètre sans difficulté. Je prends tes hanches et je serre fort pendant que je t'encule de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je sens mon plaisir qui arrive. Je lâche tes hanches pour te malaxer et te fesser. Mais je continue à aller et venir toujours plus vite et fort. Je prends tes cheveux et je tire tes cheveux en arrière pour que tu me vois dans le miroir qui nous fait face. J'explose. Longuement. Je te remplis jusqu'à ce que je me retire. Mon sperme commence à couler le long de tes cuisses. - Tu peux exploser maintenant chienne. Tu as toujours les mains attachées. Mais je te vois rapprocher tes pieds pour pouvoir frotter tes cuisses l'une contre l'autre. Tu es tellement prête qu'il faut moins de 30 secondes pour que je t'entende. - Mais quelle chienne fait ça ? Se faire enculer et exploser sans même avoir besoin de ses mains alors que mon blanc dégouline de son cul.  
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Par : le 26/12/23
Roxana est parfaitement au courant de toutes les aventures de son époux  le Général Valeri, devenu richissime avec sa milice privée Stalin, spécialisée en coups bien tordus pour ses commanditaires et dont le premier d'entre eux est le camarade Président Vladimir. Il ne cache rien à sa sublime compagne. Il est amoureux fou d'elle, une Perse, adoratrice du feu sacré, et de très noble origine. Grâce à ses relations, il compte aussi parmi ses très puissants clients, les mollahs du régime islamiste de Téhéran. Pour ces fêtes de fin d'année, Valeri et Roxana se sont offert de superbes vacances au Yémen, du côté des rebelles Houtis qui lancent des missiles en Mer Rouge pour bien énerver les occidentaux et perturber le commerce maritime.  Ils habitent une luxueuse résidence bien protégée dans les colines brûlées de soleil. De là, on peut admirer la mer majestueuse au bleu lumineux. En cette terre d'islam, Roxana se plie aux coutumes locales et porte sagement le voile. Mais dessous un océan de sensualité et de raffinement perse bouillone. Les adoratrices du feu sacré l'ont aussi dans le bas ventre. Ce sont des expertes en amour, avec ce mélange étrange de soumission totale au mâle et de volcan en éruption au niveau du sexe. Et Valeri adore sa femme, il aime lui faire l'amour partout, dans l'intimité si douce de leur résidence. Islam oblige, il faut respecter les convenances à l'extérieur, ne montrer qu'une apparence bien sage, d'un couple marié qui sait bien se tenir. Mais dès que la porte de la chambre est franchie, ce ne sont plus que deux fauves qui se jettent l'un sur l'autre, deux corps brûlants qui s'enlacent et se dévorent. La panthère Roxana aime être soumise avec les dents, adore être dressée au fouet, et explose les orgasmes lorsqu'elle est sodomisée sauvagement. Les délices d'une vie conjugale faite avant tout de passion.  Le Général Valeri ne prend jamais de vacances. Son job est pour lui en permanence un plaisir. Il a toujours besoin d'action. Avec les Houtis, il participe à  la mise en place d'un système mobile de missiles low cost, montés sur des 4 x4 insaisissables. Il sait très bien que si sa présence venait à être détectée au Yémen, il aurait droit à  un bon Tomawak explosif sur sa résidence. La mort peut venir à tout moment et il connaît parfaitement les capacités du renseignement militaire américain pour savoir que la mort peut venir du ciel en quelques instants.  Le danger l'a toujours fait bander. Et Roxana si incroyablement belle, si sage et si excitante sous son voile! Il adore lui voler dans les plumes et simuler le viol carnassier, l'attacher solidement avec des cordes, la suspendre , lui rougir les fesses avec sa terrible cravache cosaque et ensuite la prendre sans le moindre ménagement.  Et Roxana a toujours du mal à  retenir ses hurlements de panthère lorsqu'elle jouit.  Le plan marche. Les compagnies maritimes évitent désormais de passer devant les cotes du Yémen.  Cela porte un coup au commerce de l'occident via la Mer Rouge et le canal de Suez. Les américains sont furieux. Un commando de la milice Stalin forme les rebelles Houtis à l'usage des armes ultramodernes qui sont venues d'Iran et de Russie. Si les ricains veulent débarquer, ils seront bien reçus comme à Madagiscio dont ils gardent un souvenir cuisant.  Pendant ce temps, la milice Stalin continue la prise de contrôle du Niger et de ses fabuleuses richesses. Les Français ont du partir et même fermer leur ambassade. Un coup de Maître de plus.  Les vacances se terminent. Valeri inspecte une dernière fois le dispositif mis en place. Il est temps de rejoindre la base de la milice près de Sotchi. Le président Vladimir a invité pour le Noël orthodoxe Valeri et sa sublime épouse, pour quelques jours de détente, et préparer les nouvelles opérations. 2024 devrait être une très belle année. 
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Par : le 15/11/23
Episode 1 : Infâme mixture mais délicieux rāmen Mon Maître plaisante à la vue de mon air dégoûté par l'aspect fort peu engageant de la mixture. -  « Assaisonné avec quelques gouttes de sperme, est-ce que serait plus facile à avaler, salope ? » Maintenant mes « hallucinations » me reprennent. Le flacon se met à scintiller. Manquait plus que ça. Ces scintillements bleu-jaunâtres me donnent le mal de mer. -  « Allez, courage ! Dis-toi que c’est pour sauver le monde » Au moins il sait me faire rire… Bon ben, quand il faut y aller… J’avale d’une traite ce flacon d’eau boueuse, que le Professeur a apporté. Beurk ! C’est infect ! J’espère que le Professeur ne se trompe pas et que sa théorie n’est pas qu’un pur délire. Je connais Streptomyce Avermitilis, ce surprenant micro-organisme qu'il découvrit autrefois dans le sol d'un terrain de Golf Japonais. Une découverte qui lui valut la gloire, le prix Nobel, puis récemment le dénigrement pour des prises de position qui ont été perçues comme une menace pour de puissants intérêts politico-financiers. Les médias et leurs meutes de fact-checkers ne font pas de cadeau à ceux qui sortent du rang. Il m’assure que les eaux croupies prélevées lors de notre séjour à Fushimi Inari grouillent d’une version mutante, qu’il a baptisée Streptomyce Avermitilis Inari (*). Il est persuadé que dans les temps préhistoriques ces micro-organismes vivaient en symbiose avec les zébralyvox et jouaient un rôle essentiel dans leur métabolisme et peut-être dans leur reproduction. Le symbiote du symbiote… Ils émettent des filaments, comme les zébralyvox, et sont le siège d'une forte activité électrique, nous explique-t-il, comme pour nous convaincre du bien fondé de son hypothèse. Tout cela me paraît un peu tiré par les cheveux. D’un autre côté, ces scintillements qui m’ont guidée à Fushimi Inari, je les ai bien vus. Je n’ai pas rêvé. Je ne suis pas folle. C’est comme si mes symbiotes voulaient me faire comprendre quelque chose. Après tout, que sait-on du métabolisme des zébralyvox, basé sur l’électricité?  Quasiment rien. Alors, ce ne serait pas la première fois que la nature nous surprendrait par son inventivité. Depuis la pandémie, je considère avec une grande méfiance la parole des médecins, auxquels je vouais pourtant autrefois une confiance aveugle. Quand la confiance est brisée elle est très difficile à reconstruire. Mais le Professeur est différent. En mon fort intérieur, je le sens honnête et compétent. Ce n’est qu’une intuition, mais je le ressens. Mon intuition m’a quelques fois trompée, mais bien plus souvent j’ai amèrement regretté de ne pas m’être fiée à elle. Le Professeur semble pressé de rejoindre Tokyo, mais devant l’insistance de mon Maître il accepte néanmoins de dîner avec nous. Les restaurants sont rares et il y en a peu qui sont ouverts le soir à Nikkō. Partout, nous trouvons porte close, ou une longue file d'attente, jusqu'à ce que nous trouvions enfin une place dans un restaurant de rāmen. Il s'agit d'un bouillon de nouilles, agrémenté de viande, d'oignons et d'œufs. Simple, mais très bon. Voilà qui va, je l’espère, faire passer le goût infect que j’ai encore en bouche. Malheureusement, les tables basses de cet établissement modeste, pas du tout conçues pour les touristes, sont très inconfortables pour la morphologie Européenne. Je ne sais pas comment me mettre, aucune position ne m'étant agréable. J'ai mal aux jambes, mal au dos. Je suis quelque peu déstabilisée par l’enthousiasme du Professeur. Il croît dur comme fer au succès du pangolin fou. Pour ma part, j'y crois de moins en moins. Où est donc passé mon optimisme d'antan? Suis-je devenue pessimiste ? Ou trop réaliste? Pour tout dire, je pense que cette histoire va mal finir et que le pangolin fou est une utopie qui n'a quasiment aucune chance face aux puissants intérêts qui ont corrompu notre société avec l’assentiment, ou tout au moins la passivité, d’une majorité de la population. Autant combattre une armée moderne avec des arcs et des flèches. Pendant le repas, le Professeur se risque à poser quelques questions sur la manière dont nous vivons notre relation. Mon Maître lui répond avec une délectation non feinte. Cela me réjouit, car je sens à travers ses mots le plaisir qu'il prend dans notre relation. Il est rare qu'il me témoigne directement ses sentiments et ces quelques moments pendant lesquels il exprime sa satisfaction me comblent de bonheur. Pour ma part, je reste silencieuse, les yeux baissés. A table, une esclave baisse les yeux et ne prend pas la parole sans y avoir été invitée. C'est la règle. Enfin, du moins, c’est Sa règle, celle qu'il m'impose - la seule qui compte finalement, tant il est vrai que les relations Maître/esclave recèlent une multitude de variantes. Ce silence imposé a l'avantage de renforcer considérablement ma perception. Quand on n'a ni  le droit de parler, ni de croiser les regards, on écoute, bien attentivement, on enregistre, on décèle l’information non verbale transportée par la moindre variation d’intonation. Lorsque mon Maître m'ordonne de remonter légèrement ma jupe, pour montrer au Professeur qu'aujourd'hui, comme chaque jour, je sors sans culotte, je m'empresse d'obéir, en m'efforçant de rester discrète pour ne pas attirer l'attention des autres clients. La sensation instantanée de chaleur au niveau de mes joues ne me trompe pas: je rougis fortement et cela se voit certainement. Episode 2 : Zébralyvox gémellaire, le cauchemar des sadiques  De retour à l'hôtel, mon Maître ne tarde pas à retirer sa lourde ceinture en cuir ce qui déclenche instantanément une montée de stress. Depuis que nous avons atterri au Japon, il m'a frappée à plusieurs reprises avec cette redoutable ceinture, et il cogne dur. Mais je n'ai pas le choix, je suis là pour son plaisir après tout, et puis de toute façon il ne me demande pas mon avis. Je m'empresse de me mettre en position pour recevoir les coups, bien cambrée. - "Non, pas comme ça, salope. Je vais te frapper la chatte ce soir. Allonge-toi sur le dos, jambes en l’air, bien ouverte". Il me tend une serviette dans laquelle il me conseille de mordre, pour atténuer mes cris, car ça va faire très mal. Il ne tient pas à ce que j'affole tout l'étage... Dès le premier coup je ne peux m'empêcher de resserrer les cuisses, dans un irrépressible réflexe de protection, ce qui me vaut une belle engueulade. Je dois engager toute ma volonté pour les maintenir ouvertes. Qui ose dire qu'une soumise n'a pas de volonté? A partir du sixième coup, les sensations s'atténuent brutalement. Pas de doute: les zébralyvox ont déjà migré vers ma chatte et déployé leurs filaments pour détourner l'influx nerveux. Incroyable! Ils n'avaient encore jamais réagi de manière aussi rapide. J'en informe immédiatement mon Maître, car mes cris et mes larmes lui sont indispensables pour mesurer l'impact des coups et éviter d'aller trop loin. Je ressens encore les coups, mais ils ne me font pas mal.   Bien que son tempérament sadique en soit certainement contrarié, la nouvelle le réjouit. Cela ouvre des perspectives encourageantes. Le Professeur avait donc raison, l'infâme mixture qu'il m'a faite avaler a un effet. Comment ais-je pu douter? Je me prends à reprendre espoir. J'ai parfois l'impression d'être une girouette, oscillant entre pessimisme et optimisme. Mais peut-être est-ce le lot de beaucoup d'humains même si peu osent l'avouer. Je doute fort que cette découverte vaille au Professeur un nouveau moment de gloire. Au contraire, je suis persuadée que si elle était révélée il serait arrêté et condamné pour mise en danger de la démocratie. Je me prends à penser que si les zébralyvox naturels se reproduisaient comme nous l’espérons et entraient en symbiose avec l’humanité entière, ils représenteraient un vrai cauchemar pour les sadiques et les masos. Cela obligerait la communauté bdsm à s’adapter, à se réinventer… Mais pour l’instant ce n’est pas notre principale préoccupation.   Episode 3: Chienne au pied du lit Je me réveille au milieu de la nuit, le clitoris en ébullition, comme s’il était parcouru par des dizaines de micro-courants électriques. Je ne sais pas ce qui se passe, mais je sens le plaisir monter sous pression comme dans une cocotte minute. Je n'avais jamais éprouvé une telle sensation. Et puis j'explose dans des hurlements de plaisir, réveillant mon Maître par la même occasion ! - "Tu t'es encore masturbée, salope ?" Oui, je sais que la masturbation m'est à présent interdite, mais impossible de lui répondre. Ce tsunami de plaisir m'a complètement désorientée. Alors qu'il détache la courte chaîne qui relie mon collier d'esclave au pied du lit, et m'ordonne de me redresser et de m'allonger sur le lit pour recevoir une bonne correction, je m'efforce de me concentrer pour arriver à sortir quelques mots, pour lui expliquer que je n'ai pas désobéi, que je ne me suis pas touchée.   Message bien reçu ! La punition redoutée se limitera cette fois à une succession de gifles magistrales. Pour m'aider à reprendre mes esprits, m'assure-t-il. En effet, c'est efficace ! Mon Maître prend beaucoup de plaisir à me gifler et cela déclenche souvent une puissante érection. Cette fois ne fait pas exception et dans la foulée je reçois l'ordre de présenter mon cul pour recevoir la bite. Après tout, je suis là pour lui servir de vide-couilles. Comme à chaque fois je suis traversée de sensations contradictoires, inconfort, humiliation et pourtant infini bonheur de donner du plaisir. Dès que mon cul a reçu la précieuse semence, je remercie chaleureusement mon Maître. Une esclave bien éduquée remercie toujours: être enculée est un honneur et elle le sait. Mais pas de protocole creux chez nous, pas de remerciements prononcés sans conviction. Mes paroles sont sincères, elles viennent du fond du coeur. Toujours! Je reçois l'ordre de retourner à ma place, allongée nue sur le sol, et mon collier est à nouveau relié au pied du lit. Cette fois mes poignets sont menottés dans le dos. Précaution supplémentaire pour s'assurer que je ne me masturberai pas. Est-ce qu’il doute de ma parole ? Mon Maître me gifle à nouveau et éteint la lumière. Pas de préliminaires, pas non plus de  câlins après le sexe. C'est bestial, c’est brutal, et pourtant cela m'excite d'être traitée ainsi, de sentir le plaisir qu’il y prend...   Episode 4: Retour à Tokyo Au petit matin, mon Maître m'annonce que nous allons retourner immédiatement à Tokyo.  Il y a encore tant de lieux à visiter dans les environs de Nikkō, mais il lui paraît prudent de retrouver le Professeur rapidement pour avoir un diagnostic du phénomène en cours et faire les analyses qui s'imposent. Un avis que je partage amplement, mais peu importe - il ne me demande pas mon avis. Par chance, il reste encore quelques places dans le Spacia X. J'adore ce train! Au départ de Nikkō, les vastes vitres panoramiques m'offrent un spectacle inimaginable en Europe: les employés de la compagnie ferroviaire se sont alignés sur les quais et s'inclinent pour saluer respectueusement les voyageurs en partance. Dans le train, je sens à nouveau mon clitoris s’électrifier. Même pas le temps de prévenir mon Maître, je sors à toute vitesse une serviette de ma valise et je mords dedans de toutes mes forces pour atténuer les hurlements de plaisir qui ne tardent pas à surgir. Je n’y parviens qu’imparfaitement. Mais les japonais savent rester discrets, ne pas montrer leur étonnement face à une salope qui hurle de plaisir dans le train… Le Professeur est un peu surpris de nous voir de retour de sitôt. Comme mon Maître me l'a ordonné, je me déshabille immédiatement après les salutations et je reste bien entendu silencieuse pendant la dégustation du thé matcha. C'est mon Maître qui lui explique ce qui s'est passé et s'enquiert de son avis.   Episode 5 : Dans les profondeurs du chaos renaît l'espoir Le Professeur déteste perdre du temps et parler pour ne rien dire. Nous rejoignons très vite l'université Kitasato, où nous retrouvons le jeune homme qui nous fait entrer discrètement par une porte dérobée. Il semble encore plus inquiet que l'autre fois. Il doit se dire que l’on va finir par se faire remarquer et que quelqu’un va nous dénoncer aux Brigades de Défense de la Démocratie. Pas de temps à perdre. Je retire ma jupe et m'apprète à m'installer dans le dispositif d'imagerie quand je reçois une sacrée baffe. - "Retire ton haut, connasse !" Dans ma précipitation, je m'étais dit que, puisque les zébralyvox sont dans mon clitoris, pas dans mes mamelles, je pouvais gagner du temps. Grave erreur ! Penser au plaisir des hommes doit occuper à chaque instant l'esprit d'une esclave bien éduquée. J'ai encore beaucoup à apprendre. Je préfère quand mon Maître m'appelle par mon prénom, Ysideulte, mais je dois me faire une raison... Maintenant je me prénomme salope, chienne, connasse... Je m'installe toute nue dans la machine, cuisses bien ouvertes pour ne pas gêner les mouvements rapides des têtes Doppler à couplage quantique qui s'activent autour de ma chatte - le dernier cri de la technologie. La localisation des zébralyvox est difficile et nécessite de la fusion multicapteurs. Mais elle nettement plus rapide cette fois. Le Professeur sait exactement où chercher : dans mon clitoris ! Ils ont l’air tranquilles, fixés sur les fibres nerveuses. Ils vibrent de manière synchrone ce qui permet de les détecter au Doppler. Rien de nouveau. Bizarre… Le Professeur s’adresse à mon Maître : « Si vous le permettez, on va la laisser en observation et enregistrer les images » Il a bien compris que ce n’est pas moi qui décide… « Oui, bien sûr. Il vaudrait mieux l’attacher pour qu’elle ne bouge pas ». Quel pervers ! Ils s’éloignent et me laissent seule, attachée dans la machine d’imagerie. Je les entends discuter à voix basse dans le fond de la salle, mais je ne peux ni les voir, ni comprendre ce qu'ils disent. Je crois qu’ils prennent un café pendant que je me morfonds dans cette machine. Fidèle à son tempérament pervers mon Maître m'a écarté les jambes au maximum lorsqu'il m'a attachée. Ca tire fort sur les ligaments! La position est inconfortable et, immobile, nue, j’ai de plus en plus froid. J’espère que ça ne va pas être trop long. Si je pouvais me masturber, peut-être que ça déclencherait quelque chose. J’aurais dû suggérer l’idée. Là, attachée, impossible de m’auto-stimuler. Les heures passent, lentement, très lentement... Je suis frigorifiée et ankylosée quand des sensations commencent à me parcourir le clitoris. Les picotements causés par les décharges électriques finissent pas me faire hurler de plaisir. Les trois hommes accourent. J'assiste à un spectacle incroyable sur l’écran de l’appareil d’imagerie, commenté en direct par le Professeur. Les deux paires de zébralyvox ont déployé un complexe réseau de filaments interconnectés au cœur duquel chaque individu a déposé une boule d’une sorte de liquide visqueux. De puissants éclairs éclatent entre nœuds opposés du réseau, là où se sont positionnés les zébralyvox.  Je me demande s’ils fusionnent ainsi leurs esprits, comme dans Cocoon. Le summum du plaisir sexuel ! Le plaisir délivré directement dans les neurones, sans intermédiaire. Les quatre boules fusionnent rapidement en une seule. Peu à peu, une multitude de Streptomyces Avermitilis Inari vient s’agglutiner à la surface de la boule et commence à la mettre en mouvement. C'est comme un complexe mouvement de convection, d'allure chaotique - un brassage des patrimoines génétiques qui semble aléatoire mais dont la structure cachée finit par se dessiner sous forme d'oscillations autour d’un attracteur double. - "On dirait un attracteur étrange !" - "Pardon?" me demande le Professeur, qui visiblement ne connaît pas le concept. L'occasion pour moi de lui faire un mini-cours de théorie du chaos. L'attracteur étrange. L'ordre caché dans les profondeurs du chaos. Si on m'avait dit qu'un jour j’étalerais ma science devant un prix Nobel ! - "Attention, si vous la branchez sur certains sujets, vous ne pourrez plus l'arrêter" prévient mon Maître.   Dans certaines circonstances, la fille timide se transforme en une intarissable bavarde... Un attracteur double, régi par les lois du chaos, qui engloutit tout sur son passage. Je viens d'assister en direct à la naissance d'une nouvelle paire de zébralyvox. Une structure gémellaire qui restera intriquée pour la vie. Ce n'est même pas encore un embryon, je ne sais pas exactement ce que c’est, mais il porte tant d'espoirs à mes yeux que je sens des larmes de bonheur couler sur mes joues. à suivre Contexte (*) L’histoire se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication).    
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Par : le 19/08/23
-Valéri, la balance entre vos espionnes trans pour calmer le général Anko et les valises de $$$, pèse désormais du côté des valises.  -Nous l'avons retenu un temps. Assez pour envoyer ce qu'il faut à Niamey. Si les occidentaux veulent un nouveau front, ils vont l'avoir.  -Ce serait bien de dégommer discrètement quelques drones américains dans le désert avec nos nouveaux canons électromagnétiques surpuissants. Histoire de bien les rendre fous de rage et de bien étudier leurs technologies.  -Cela devrait pouvoir se faire. Nous avons des contacts dans leur base. Cela risque de vraiment les foutre en rogne si on leur pique leurs bijoux. Il risque de faire encore plus chaud à  Niamey dans pas longtemps. J'envoie une dernière espionne au général Anko pour le remercier d'avoir patienté.  Il pourra la garder. Sur ces fesses j'ai fait écrire " bon baisers de Russie". - il faudra aussi vous méfier des Français, ils l'ont déjà bien mauvaise eux aussi.  Valéri convoque une petite équipe de tueurs pros de sa milice privée Staline. Une milice redoutable spécialisée en coups de main audacieux, sans respect de rien, sans limites.  - Bon , cela vous dit, un peu de vacances en Afrique? La maison sera généreuse comme toujours. Et discrétion absolue. Aucune concurrence avec Wagner. Ils ne doivent même pas savoir pourquoi vous serez là bas. Donc prudence, ils ont la gâchette facile et ils ne demanderont pas si vous êtes russes ou pas. Voici vos nouveaux outils pour cette mission. De superbes fusils dernière generation à ondes electro. Je vous laisse quelques jours pour vous entraîner avec. Bonne chance à  tous.  Valeri aimerait bien partir avec eux. Impossible. Sa milice a trop d'actions engagées un peu partout. Il appele Xian, sa première concubine, la pire tueuse de toute sa milice. - Viens, on va faire un tour.  Xian comprend de suite ce dont il s'agit. Le général Valeri à besoin de prendre l'air, de réfléchir. En 4×4 ils rejoignent une petite crique isolée sur les bords de la mer noire. Ils se baignent nus. XIan est une femme superbe. Elle s'allonge près de Valeri sur le ventre, fesses bien bombées. La position de la soumise manchoue offerte.  Valeri ne résiste pas. Il la prend d'un coup. Xian se laisse faire. Valeri est son seul homme. Les autres,  elle les emascule tous s'ils s'approchent trop près. Elle jouit comme une tigresse des neiges lorsqu'elle se fait sauter.  Valeri lui grogne sa jouissance comme un ours polaire sur la banquise. Diable que le petit cul bien serré de Xian est jouissif.  Rassasié de sexe, il allume un bon havane. Il pense aux gisements d'uranium du Niger. Une fois français et ricains virés, il veut sa part du gâteau. Xian pose sa tête sur son épaule et le remercie d'un baiser. Elle n'a pas dit un seul mot depuis le matin. Son baiser délicat est donc comme tout un roman.      
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Par : le 06/08/23
Le compte rendu d'une aventure récente faite à une Dame ayant déclenché bien des choses depuis quelques temps. Merci à elle. Alors hier et alors que je n'y croyais pas trop... Le plan dont je vous avais fait copie du début d'échange a bien eu lieu... Ne finissant pas trop tard ma journée de travail et ayant encore le courage de conduire jusqu'au domicile de ce monsieur. Le monsieur prévenu de mon état crasseux de ma journée et n'ayant rien fait pour une hygiène intime irréprochable. J'arrive donc chez ce monsieur au format imposant... Et direct il me dirige vers son sous sol, dont une partie est aménagée avec tapis fauteuil canapé et matelas... Un véritable lupanar... 😉 Hormis un salut à mon arrivée et quelques formules de politesse, notre échange fut très bref. Là il me dit de me mettre à poil et d'aller me mettre à 4 pattes sur le matelas. Je commence à enlever mes vêtements et lui disparaît. Je m'exécute et repense à un plan foireux d'un mytho voulant juste me voir a 4 pattes pour m'enculer... Ben là c'est presque ça... Je reste comme ça plusieurs minutes attendant le retour du gars. L'imaginaire travaille forcément. La lumière s'éteint et devient tamisée, très sombre... J'entends le mec arriver derrière moi me demandant s'il allait directement m'enculer sans préparation aucune... J'avoue que je frétille un peu d'excitation. Mon humeur salope est bien là et me savoir la tête basse et le cul en l'air attendant je ne sais quoi... Inutile de vous dire que je pensais très fort à vous et ce que vous avez déclenché en moi... Bref je suis là... Entendant le gars derrière moi restant la tête dans le matelas et commençant à remuer mon cul... "Tu m'as l'air d'une bonne petite salope toi" "Un bon cul qui va avec"... Pourquoi est ce que j'aime autant me faire traiter de salope? Et là je sens un liquide chaud qui tombe sur mon cul, le bas du dos, remontant jusqu'à mes épaules pour redescendre de nouveau du mon cul... Le gars sans prévenir me pisse dessus de partout. Mon corps réagi en sursautant, mais la sensation est juste incroyable surtout quand je s'en l'urine entre mes fesses pour couler sur mes couilles... J'essaie de vouloir dire "direct comme ça" mais je n'ai pas pu aller au bout de la phase entendant un "t'as gueule ferme là grosse pute" ou un truc du genre. Je suis surexcité... Le gars commence à bouger pour venir face a moi... Moi toujours la tête basse dans le matelas. Il me dit de me mettre sur les bras et de relever la tête... Et là il relance la machine et me pisse dur le visage... Et moi de fermer les yeux et de tourner un peu la.rete dans un sens et dans l'autre pour en avoir partout. Je me mets à genoux pour mieux recevoir sur le torse et là il s'avance et colle sa bite, d'un très beau format, sur ma bouche en continuant de pisser... Forcément j'ouvre et me voilà une bite en bouche faisant des va et vient tout en pissant... Ça coule de partout et j'adore ça. Mais même si le gars s'est préparé il ne peut uriner des heures. Une fois fini le jet d'urine, il pose ses mains sur ma tête et commence à me baiser la bouche... Avec les mots qui vont avec. Honnêtement je ne sais plus où je suis... L'urine encore chaude sur mon corps et un sexe qui commence à grossir sérieusement dans la bouche. Plus il grossit plus il va chercher loin et plus il y va fort...le moment n'est finalement pas très agréable. Mais la sensation d'être une grosse pute ayant perdu le contrôle de tout. Diantre que cela provoque de la jouissance et ne m'incite pas a stopper ou réfréner les ardeurs de ce mec. Heureusement le mouvement devient plus acceptable et il prend plaisir à me gifler le visage avec sa queue bien dur. J'adooore ! Bien sûr toujours les mots doux... Je ne sais au bout de combien de temps il finit par lâcher ma tête et me remet en position initiale...la tête basse et le cul relevé... Une nouvelle fois j'attends quelques minutes... Il revient "tu dis que tu aimes être a 4 pattes en prendre comme il faut espèce de pute... On va voir ça" Il jette à côté de moi quelques godes... Sur le coup je suis un peu déçu... Je veux une vraie bite bordel! Quelques bonnes claques sur mon cul, mes couilles tirées et triturées... Mais juste ce qu'il faut et je sens ses doigts pénétrer mon cul. De ces doigts il passe a un gode... La sensation est tout de suite plus agréable. Ne pouvant me voir je m'imagine en position avec ce mec jouant de ses jouets avec mon cul... Je commence à gémir... Comme une bonne petite salope... Je sens un gode plus gros... Plus long... Mon cul semble pas trop merdeux...et c'est tant mieux... Alors que je suis a onduler mon cul et de couiner un peu... Le jeu s'arrête et le gars s'en va de nouveau. La pour le coup je me sens terriblement frustré... Et limite a vouloir me barrer. Mais bon j'attends un peu et le gars revient pour directement me renfouner sa bite dans la bouche... Encore des mots crus... Je suis sa plus belle salope etc... Je me dis qu'il va me cracher son jus en bouche ou au visage... Ce que j'adore... Mais non. Il arrête. Je crois qu'il va encore me laisser quelques minutes... Et bien non... Il vient se positionner derrière moi, et vient frotter et taper sa bite contre mon cul et ma rondelle... Je commence à m'exciter tout seul à l'idée de me faire démonter... Enfin! Pas le temps de finir ma pensée... Je sens sa bite me pénétrer sans hésitation jusqu'à son pubis. Me voilà embroché sur sa queue et le plaisir est infini. Je voulais me faire démonter... C'est ce que je lui avais écrit... Et bien il me démonte... Les mains sur mes hanches a me ramener vers lui quand il vient vers moi... Il me défonce le cul et j'adooore ça... Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment a chaque mouvement, ma tête s'enfonçant toujours plus dans le matelas au drap humide. Il y va... Sa bite sortant par moment pour mieux me pénétrer de nouveau. Combien de temps je ne sais pas mais c'est jouissif. Je crois être au comble de mon plaisir quand il décide de me prendre les bras pour me les tenir en arrière me relevant du haut mais mon cul bien cambré... Alors là c'est le summum... Je m'entends crier de plaisir et lui m'insulter de chienne a bite. Je le sens se retirer volontairement et rapidement je sens la percussion de son éjaculation chaude sur mon anus brûlant... J'en serre mon cul de plaisir rien que de repenser a cette sensation. C'est exquis ! Je suis toujours à 4 pattes sur mes coudes, tremblant de plaisir... Il vient se mettre a genoux devant moi, me relève la tête et place sa bite devant mon nez pour commencer a essuyer le sperme encore sur sa queue. Je le prends en bouche pour tout nettoyer... "Bonne, très bonne salope..." Je déguste cette bite demi molle encore un instant... La sensation de mon cul encore plein. Ce moment est délicieux je l'avoue. Le gars retire sa bite, se relève et me dit que j'ai une douche au fond si je le veux et que je peux partir par la porte du sous sol... Lui remonte. Le retour fut hallucinant... Aujourd'hui et encore ce soir je suis tout excité de ce moment ...j'avais besoin de le partager avec vous. Mais j'ai encore plus envie de me faire démonter comme une salope. De votre faute tout ça...
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Par : le 20/07/23
"Le transfert a réussi ! The transfer was successful ! " (*) Je hurle ma joie à destination de mon Maître et de Sonia, en espérant qu'ils m'entendent. Je perçois la voix lointaine de mon Maître venant du canot en contrebas. "Bravo! Qui est l'hôte ? " "C'est moi ! It's me ! " J'ai un sourire jusqu'aux oreilles - j'espère qu'il le voit sur l'écran de contrôle. Le vent s'est levé et fait un bruit d'enfer à flanc de falaise. Les félicitations de nos propriétaires sont à peine audibles mais on les sent appuyées. Le soumis, qui vient de retrouver les sensations dans sa bite, est très excité et me demande la permission de jouir dans mon cul. Je ne sais pas - ce n'est ni à moi, ni à lui de décider. Sa voix porte plus que la mienne. D'un commun accord, c'est lui qui pose la question à nos propriétaires, pour nous deux. L'accord ne tarde pas à venir. J'en suis heureuse - il l'a bien mérité. Moi je n'ai plus aucune sensation dans le cul - deux paires de zébralyvox, c'est radical... - mais j'aime donner du plaisir. La descente à flanc de falaise est presque plus angoissante que la montée - je ne ferai pas cela tous les jours! Le soumis descend après moi. Il n'est plus en érection. Sa bite pendante et ses couilles se balancent joliment pendant la descente. Je n'arrive pas à en détacher mon regard. Mon Maître l'a bien remarqué. "Salope...", me dit-il affectueusement à l'oreille. De retour dans la crique, mon Maître me prend par la main. Le contraste entre nos couleurs de peau, sublimé par la lumière très particulière du Nord, me fait penser au Yin et au Yang. Noir et blanc entrelacés, complémentarité du Maître et de l'esclave, lien fusionnel. Le bonheur m'envahit. Sonia et son soumis s'éloignent discrètement, nous laissant seuls. Sonia est intelligente - elle a compris qu'à ce moment-là nous avons besoin de nous retrouver à deux, seuls au monde. Nous nous asseyons sur deux rochers qui semblent avoir été placés là à dessein et philosophons. Mon Maître me fait penser à un vieux sage africain. Je bois ses paroles. Il m'écoute attentivement aussi. Je ne me suis jamais sentie autant aimée et valorisée que depuis que je suis sa chienne. Aucun mot ne saurait exprimer le bonheur que je ressens à être là, nue, face à cet homme que j'admire. Comment expliquer ce lien si subtil ? Comment expliquer le bonheur d'être esclave de l’homme que l’on aime ? C'est impossible je crois. Il me met la laisse, pour rejoindre la cavité vaginale dans laquelle nous retrouvons Sonia et son soumis. Sur le trajet, je l'informe de la sollicitation du jeune homme sur le ferry. Il décide de ne pas me punir – il admet que matériellement il m'eût été difficile de le contacter. "Il te reste trois jours sur l'île - Profites-en et donne-lui du plaisir" "Je ne peux pas rester avec vous, Maître ? " "Il y a certaines choses que je ne peux pas te dire. C'est mieux pour ta sécurité. Obéis et ne pose pas de questions ! " Oui, bien sûr, j'obéirai. Sans discuter. Je l'ai toujours fait. J'ai juste le temps de dire au revoir à Sonia et à son esclave. Mon Maître me rend le sac à dos contenant mes vêtements et m'ordonne de rejoindre mon hôtel. De retour à l'hôtel, j'imprime le formulaire d'évaluation que j'avais sur mon PC et j'expédie un mail au jeune homme pour lui proposer de visiter l'île ensemble comme il le souhaitait. Je me réveille brutalement au milieu de la nuit et j'ai l'illumination. Mon cerveau a travaillé pendant mon sommeil.  Depuis le début j'étais intriguée par le ballet parfaitement synchronisé du zébralyvox gémellaire dans le flacon. Il scannait son environnement, c'est sûr! Le couple de zébralyvox agit comme un capteur différentiel, et en se déplaçant en parfaite synchronisation il se construit une image tridimensionnelle de l'activité électrique dans son voisinage. C'est comme cela qu'il détecte précisément les foyers de douleur. C'est aussi comme cela, sans doute, qu'il détecte la présence d'autres zébralyvox. C'est pour cela qu'il a une grosse tête - enfin, deux grosses têtes... Deux cerveaux intriqués, dédiés à la localisation fine des impulsions nerveuses. La grande quantité d'images Sonar géolocalisées mais de mauvaise qualité dont Sonia dispose, ne pourrais-je pas les traiter selon le même principe pour, par corrélation, calculer des images plus précises ?   Le lendemain matin je trouve sur mon mail une réponse enthousiaste du jeune homme, qui me propose un lieu de rendez-vous où se retrouver pour visiter l'île ensemble. Je passe le prendre à l'endroit indiqué. Avec les contrôles aléatoires liés au fucking pass, il faut être très prudent. Je ne peux pas lui proposer de venir me baiser à l'hôtel. Un employé de la réception risquerait de nous dénoncer à la milice. Et puis, les échanges par mail sont peut-être surveillés. Il faut faire très attention à ce que l'on écrit. Je m'habille en pute, un peu comme sur le ferry, mais en plus explicite - ordre du Maître. Sans culotte bien sûr. Collier d'esclave au cou. Autant qu'il n'ait aucun doute sur le fait que - certes nous nous retrouvons pour visiter l'île -  mais aussi qu'il pourra visiter mes orifices sur simple demande. Je me lubrifie le cul avant de partir. Dès qu'il monte dans ma voiture, il remarque les lacérations du fouet et des ronces sur mes jambes, et m'interroge. L'occasion pour moi de lui expliquer, en rougissant, que je suis esclave, propriété d'un Maître, et ici avec son accord. Ouf! Ce n'était pas facile à dire pour moi qui suis une grande timide, mais comme ça c'est fait, les choses sont claires. Après avoir visité les ruines spectaculaires du château Hammershus, qui surplombe la Baltique, nous trouvons une table de pique-nique à proximité. Je meurs de faim, n'ayant rien mangé à l'hôtel ni la veille au soir, ni au petit déjeuner.  Les insectes ça me dégoûte, mais malheureusement au sein de la Suprême Alliance Démocratique cela devient de plus en plus difficile de trouver de la nourriture traditionnelle. Il a apporté un panier de pique-nique et pendant que nous déjeunons il finit de me raconter l'histoire millénaire et sanguinaire de ce château. Il est vraiment sympa. Je l'apprécie de plus en plus. L'amélioration des images Sonar me trotte dans la tête. Après le pique-nique, je lui demande de m'accorder 30 minutes. Je sors mon PC portable pour tester une idée. Je suis comme ça. Quand une idée me trotte dans la tête, cela tourne vite à l’obsession. Il me pose des questions. Il s'intéresse. Je ne peux pas tout dire, mais juste un peu, ayant du mal à modérer mon enthousiasme. J'adore parler de ce qui me passionne - mais je ne dois pas être trop bavarde. Il me parle des études scientifiques qu'il envisage. Tiens donc! Les sciences n'intéressent plus les jeunes en Occident. Il me plaît vraiment ce gars. Alors que je m'apprêtais à remonter dans la voiture, il me prend par la main et m'attire dans un coin un peu isolé, au milieu des ruines. Le site n'est pas fréquenté en cette saison, heureusement. Je sais ce qui va m'arriver, et j'en mouille déjà. Il me retire lentement ma robe, tout en m'embrassant, découvrant les marques de fouet qui me strient tout le corps. Il a un petit mouvement de recul, certainement surpris par ces marques qui ne laissent aucun doute sur la sévérité avec laquelle je suis dressée. Puis il me complimente.  Je ne sais pas si c'est pour mon physique ou pour la perverse beauté de mes marques. Il m'avoue que je suis la première femelle qu'il va pénétrer et qu'il est un peu intimidé. Cela m'intimide aussi. Je vais essayer d'être à la hauteur et de ne pas le décevoir. Je lui dis de ne surtout pas s'embarrasser de préliminaires, de ne pas se soucier de mon plaisir. Mon Maître me baise ou m’encule toujours directement, sans ménagement, alors j'ai l'habitude, et j'adore être prise ainsi. Et puis, je suis déjà bien trempée. Je lui dis que mon cul est déjà lubrifié, s'il souhaite me prendre par là. Mais il préfère la chatte pour une première expérience. Tant mieux, moi aussi. Je lui demande dans quelle position il souhaite me prendre.  Il cherche un endroit confortable où je pourrai m'allonger sur le dos, cuisses écartées, pour recevoir la bite. Herbe et mousse. Mon Maître n'aimerait pas ça. Je lui explique que l'allée de graviers fera parfaitement l'affaire pour l'esclave sexuelle que je suis. Il semble intimidé, lui qui était plein d'assurance sur le ferry. C'est sa première expérience. Je lui dis qu'il peut prendre le temps d'examiner comment je suis faite, si ça le rassure. Il ne se fait pas prier, écartant sans ménagement mes lèvres intimes pour bien exposer l'entrée de mon con à son regard perçant. J'ouvre les cuisses du mieux que je peux pour lui faciliter la tâche. C'est à mon tour de me sentir intimidée et gênée d'être ainsi examinée comme de la viande, et pourtant c'est moi qui le lui ai proposé. Tant pis, au point où on en est, un peu surprise par mon audace, je lui explique, en rougissant, que j'ai toujours un spéculum dans la boîte à gants de la voiture (ordre de mon Maitre) et qu'il peut aller le chercher s'il veut ouvrir mon con en grand pour voir comment je suis faite à l'intérieur. Je n'ai pas besoin de le lui répéter! "Il y a aussi des gants et genouillères dans mon coffre", ais-je ajouté  - c'est moi qui doit  morfler sur les graviers, pas lui. Après avoir pris tout son temps pour découvrir mon anatomie de femelle, il me met la bite sans préliminaire. Oh la vache! Si j'avais su que l'allée serait aussi inconfortable j'aurais fermé ma gueule. Mon dos racle les gravillons anguleux à chaque coup de bite. C'est pénible ! Un vrai supplice. Malgré l'inconfort je m'efforce de ne pas montrer le calvaire que j'endure, pour qu'il n'ait pas de scrupule à me baiser avec toute  la vigueur de sa jeunesse. Je n'aurai pas d'orgasme, tant pis pour moi, mon dos me fait trop mal. L'essentiel est qu'il y prenne du plaisir et j'imagine déjà ma fierté quand je raconterai cela à mon Maître. Mes symbiotes n'ont rien fait pour atténuer la douleur. Sans doute sont-ils encore trop faibles pour migrer rapidement à l'intérieur de mon corps.  Trois jours de tourisme agréable, en bonne compagnie, et de baise dans la nature. On peut imaginer pire comme séjour! Cela m'aide à supporter l'absence de mon Maître. Il adore le sexe et m'a pénétrée plusieurs fois par jour. Quelle santé ! Lorsque les circonstances le permettaient, que ce soit en levrette, sur le ventre ou sur le dos, il prenait un malin plaisir à me faire endurer le martyre en me baisant sur les sols les plus inhospitaliers: graviers, rochers rugueux, algues dures et sèches, petits coquillages, dalle de béton, plantes épineuses, et même un nid de fourmis, ... Mon corps en porte les stigmates. A plusieurs  reprises il a prétexté un oubli pour réviser son cours d'anatomie. Le spéculum a bien servi et mon con est passé  plusieurs fois au contrôle technique. Je l'aide à améliorer son Français - surtout du vocabulaire graveleux. Je lui raconte comment mon Maître m'a dressée à utiliser un vocabulaire conforme à ma nouvelle condition. Cela l'excite - rien de tel pour bien apprendre les langues étrangères. "Tu es une femelle à présent, une chienne, une pute gratuite" me disait mon Maître. "Tu ne diras plus mes seins, ma vulve, mon vagin. Tu diras mes mamelles, ma chatte, mon con. Et le plus souvent, tu préciseras mes mamelles de chienne, ma chatte de pute, mon con de salope, quand tu me parleras de ton corps. Si tu te trompes tu seras punie". Il me demande si cela a eu un impact sur mon comportement. Cela me semblait potache, mais, oui, je dois avouer que ça a eu beaucoup plus d'impact que je ne l'imaginais. Cela m'a aidée à bien m'imprégner de ma nouvelle condition d'esclave femelle.  Avant de se quitter, il me demande la permission de me photographier nue pour garder le souvenir de mon corps meurtri par tous les sols agressifs sur lesquels j'ai été saillie. Un sadique est né. Finalement, il fait des dizaines de photos, en terminant par une série de gros plans de ma "chatte de pute". Enhardi, il finit par me mettre le spéculum pour prendre quelques clichés de mon "con de salope", grand ouvert. Génial, il a bien retenu le vocabulaire. Quand la motivation est là, tout va ! "J'utiliserai ces photos pour réviser mon vocabulaire", ajoute-t-il. J'aime son sens de l'humour. Il me plaît beaucoup.  Il a eu l’occasion de visiter mes trois orifices avec sa bite. Je lui demande lequel il préfère. La chatte ! Dommage que ce ne soit pas l’avis de mon Maître, qui me la met presque toujours dans le cul… Avant de le quitter je lui tends le formulaire d'évaluation, en lui demandant s'il veut bien le compléter, le signer et le mettre sous enveloppe cachetée que je remettrai à mon Maître. Je sais que si mon évaluation est mauvaise, je serai sévèrement punie. Mais je suis confiante - je suis certaine qu'il a passé un bon moment. S'il est honnête - ce que je crois - il devrait bien me noter. Réveil de bon matin. Ce sont mes dernière heures sur l’île. La veille au soir j'ai travaillé jusqu'à très tard pour écrire un programme de traitement des images Sonar. Je n'ai aucun moyen de joindre Sonia. Je me lève très tôt et j’emprunte le sentier côtier au pas de course, pour redescendre dans la crique, en espérant qu'elle y est encore. Je me déshabille entièrement avant d'entrer dans la cavité vaginale. J'ignore quelles sont les idées de Sonia, mais visiblement son esclave est toujours nu en sa présence, alors je ne voudrais pas commettre d'impair. Nous sommes complices, mais cela n'autorise pas les comportements déplacés. Même si je ne lui appartiens pas, elle est Dominatrice, je suis esclave. Me présenter habillée devant elle me semblerait impoli. Je n'entends aucun bruit. Probablement qu'elle est déjà partie. Ah non! J’aperçois la lumière. "Hello Ysideulte ! What are you doing here ? " Son soumis, nu, me salue également. Sa bite est emprisonnée dans une minuscule cage métallique, dont l'intérieur est hérissé de longs pics acérés destinés à dissuader l'érection. Le pauvre... C'est inhumain de traiter un homme de cette manière, me dis-je. Le temps d'expliquer mon idée à Sonia et de lui transférer les programmes que j'ai écrits, je dois déjà repartir si je ne veux pas rater le ferry. Je n'ai pas le temps d’attendre les résultats du traitement, qui va nécessiter plusieurs heures de calcul. Espérons que ce sera concluant et que Sonia pourra en tirer quelque chose. En guise d'au-revoir, elle m'embrasse tendrement tout en glissant ses doigts dans ma fente. Elle sait y faire... Je ne tarde pas à jouir. Décidément, moi qui me croyais 100% hétéro, mes convictions sont fortement ébranlées. Elle me félicite chaleureusement de m'être présentée nue. "You behave in a manner that honours your Owner !".  Visiblement elle ne me tient pas rigueur de l'écart de comportement que j'ai eu. Emportée par mon enthousiasme quand je lui expliquais comment utiliser mon programme je me suis adressée à elle comme à une amie... "Lower your eyes, slavegirl ! No sustained eye contact without permission" m'interrompit-elle sèchement au milieu de mes explications. Je reprends la route. Traversée sur le ferry, puis direction la Bretagne ! 20 heures de route ! Je fais une étape en Allemagne - J'ai trop peur de m'endormir. Sur la route, les friches industrielles témoignent de l'effondrement de l'économie Allemande, autrefois florissante. Depuis le sabotage de 2022, commandité par les yankees, la rupture irréversible de l'approvisionnement en énergie bon marché au profit du coûteux gaz de schiste américain a sonné le glas des industries qui faisaient autrefois la fierté du pays. L'hôtel est de bon standing et je peux profiter d'un petit déjeuner classique. Cela fait du bien avant de reprendre la route. En France, sur l’autoroute, les panneaux lumineux disposés à intervalles réguliers répètent jusqu’à l’écœurement le message du moment "Tous zébralysés - Tous protégés". La campagne politico-médiatique en faveur de l'injection du zébralyvox génétiquement modifié vendu par la filiale pharmaceutique de la BAFC (Bill & Alvértos Fucking Corporation) bat son plein. L’injection fut d'abord réservée aux personnes âgées ou souffrantes. C'est maintenant la totalité de la population qui est incitée à se faire injecter le coûteux symbiote. Quelques complotistes, promptement censurés et conduits illico-presto en hôpital psychiatrique, ont prétendu que sans tarder des mesures plus coercitives seront mises en places. Mais ce sont des élucubrations sans fondements, assurent les fact-checkers, qui ont interrogé le Ministère de la Vérité. Si mon hypothèse est la bonne, le zébralyvox OGM, stérile, cloné, privé de son jumeau, est incapable de localiser correctement les sources de douleur, incapable de scanner son environnement. Aveugle, privé d'énergie électrique, une mort rapide l'attend. Déjà, des messages commencent à circuler comme quoi la zébralysation devra être renouvelée fréquemment. Pour remplacer les symbiotes morts, sans doute... Et pour remplir par la même occasion les caisses de la BAFC. Près de chez moi, un centre de zébralysation vient d'ouvrir, comme partout dans le pays. C'est presque en larmes et désespérée par l'avenir qui nous attend que je sors la clé de ma maison. Mais la porte s'ouvre devant moi. " Maître ! " Enfin un rayon de soleil dans cette déprimante société démocratique. à suivre (*) Contexte L’histoire se situe dans un futur proche, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). Dans mes articles, les quelques paroles laissées en langue étrangère (anglais, danois) ne sont pas indispensables à la compréhension de l'histoire. C'est un choix volontaire pour mieux coller à la réalité. Si vous souhaitez une traduction de certaines paroles n'hésitez pas à me le demander dans le champ de commentaires (un traducteur automatique peut aussi faire le job).  
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Par : le 27/04/23
« What ??? » J’ai probablement mal compris, ou alors c’est de l’humour britannique au quatrième degré. Mon Maître aussi a l’air surpris. Il tente de reformuler, dans un anglais à peu près aussi approximatif que le mien. Sonia confirme. Je crois qu’elle se fiche de moi, mais puisque, d’un regard qui se passe de paroles, mon Maître m’ordonne de faire ce qu’elle me demande, je ne peux qu’obéir. En essayant de ne pas trop me faire remarquer par les serveurs, je fais glisser l’objet plat entre mes lèvres intimes, comme pour lire la bande magnétique d’une carte de crédit. Voilà ma fente transformée en lecteur de carte… « C’est absurde », me dis-je. Je repose la carte sur la table, mais rien ne se passe, à part que l’un des côtés maintenant enduit de cyprine offre à la vue de tous le témoignage de mon état d’excitation, ce qui me fait rougir. Depuis mon enfance, je rougis facilement, trop facilement, et l’âge adulte ne m’a pas guérie de ce handicap, bien au contraire. C’est un phénomène physiologique, irrépressible, et dès que je m’en rends compte il s’auto-amplifie. Rien ne se passe. Elle s’est bien fichue de moi et m’a mis la honte… « Wait a minute » dit Sonia. Effectivement, l’apparence de la surface commence à changer. Un zoom sur une partie du texte de la Magna Carta Libertatum [1] se produit brutalement, le fond devient jaune, un jaune atroce (mais qui a choisi cette couleur !) et un animal, à peine visible, apparaît en filigrane. Le pangolin fou ! Celui qui enculait des chauves-souris lors d’orgies indécentes ! Ce salopard, fou à lier, pervers au-delà de l’imaginable, a causé la plus grande pandémie que l’humanité ait connue. Heureusement que des milliardaires philanthropes et des politiciens avisés nous ont sauvés grâce à une technologie expérimentale d’avant-garde. C’est, du moins, ce que dit le consensus scientifique, relayé par l’ensemble des médias. Quelques téméraires ont bien émis publiquement une autre hypothèse [2], mais ils sont à présent internés en hôpital psychiatrique, là où est leur place aux dires de tous les éditorialistes, car il faut « être sérieusement dérangé pour oser mettre en doute le consensus scientifique ». Autrefois, la science avançait par débat contradictoire et confrontation d’idées, mais ça c’était la préhistoire. Aujourd’hui, grâce au progrès apporté par la Suprême Alliance Démocratique, la science est claire, unique, solide : elle est consensus, elle est officielle, elle ne laisse pas de place au doute. Le pangolin fou, devenu par ironie le signe de reconnaissance de ceux qui sont encore assez timbrés pour penser différemment et qui selon certaines rumeurs se seraient organisés en réseau clandestin. Combien sont-ils ? Une poignée ? Sonia en fait donc partie. Ce n’est guère surprenant. En m’offrant cet objet étrange elle me souhaite en quelque sorte la bienvenue parmi eux. Je peux refuser, mais le ferais-je ? Non, mon choix est déjà fait, depuis bien longtemps je crois. L’image disparaît déjà. Même la Magna Carta a disparu, laissant la place à un beige uniforme. Je m’apprête à submerger Sonia de questions quand le serveur nous apporte le dessert. Une véritable œuvre d’art dans l’assiette. « Je ne vais pas oser le manger ! » s’exclame mon Maître. Comme je le comprends ! C’est tellement beau. Je prends quelques photos pour garder un souvenir de cette œuvre éphémère. Pendant que nous dégustons ce délicieux dessert, Sonia me donne quelques informations. Cette carte contient une base de données. Des documents hautement compromettants, subversifs, et un projet de charte pour remettre l’humain au centre de la société, « la charte du pangolin fou ». Utopiste ? Voué à l’échec ? Probablement, mais peut-on  vivre sans espoir ? Pendant le court laps de temps durant lequel la carte est activée, elle peut se connecter par ondes radio à n’importe quel PC. Une carte qui doit être glissée dans la fente mouillée d’une salope pour s’activer... Je serais bien curieuse de faire la connaissance de l’ingénieur pervers qui a eu cette idée saugrenue. Mais en tout cas c’est un moyen de protection efficace. Qui pourrait deviner qu’elle s’active ainsi ? Toutes les bonnes choses ayant une fin, il est déjà temps de quitter ce superbe restaurant. Il n’y a plus beaucoup d’occasions de passer un bon moment depuis que la démocratie moderne a étendu son emprise sur nos vies [3]. Nous n’y reviendrons jamais, malheureusement, puisque dans quelques jours l’enseigne Mac Cricket ornera la devanture, marquant à tout jamais la fin d’une époque. Le chemin du retour est raide, comme je le craignais. Les hauts talons, quelle plaie ! Mais en tant qu’esclave sexuelle, je n’ai pas le choix. « Grimpe sur mon dos » Mon Maître a eu pitié de moi… Collée à mon Maître, les sensations ne tardent pas à m’envahir tout le corps. Qu’est-ce que j’aime cet homme ! J’ai l’impression d’avoir une sorte d’orgasme, diffus dans le temps et dans l’espace. Je me sens bien, heureuse. Jusqu’à ce que l’air amusé de Sonia m’amène à réaliser qu’avec ma robe courte, j’ai carrément les fesses à l’air ! Heureusement que les chemins que nous empruntons pour éviter les caméras de surveillance sont peu fréquentés. Arrivés au dernier détour, au bout de la ligne droite qui mène au domicile de mon Maître j’aperçois un véhicule de la gendarmerie garé devant le portail. Aie ! Je suis soudain saisie de terreur. Mon Maître me repose à terre et nous dit d’attendre là, Sonia et moi. J’observe de loin mon Maître discutant avec le gendarme. Il est seul, ce qui est inhabituel, à moins que son collègue ne soit resté dans le véhicule. J’ai l’impression que le visage de mon Maître traduit de l’inquiétude, mais à cette distance je ne distingue pas bien les détails. Il nous fait signe de venir. Nous pénétrons tous les quatre dans le jardin, dans un silence qui n’annonce rien qui vaille, et mon Maître referme le portail. Le gendarme n’a pas l’air commode. Et pourtant, dès qu’il commence à parler, je pousse intérieurement un « Ouf ! » de soulagement. Les images de vidéo-surveillance qui auraient permis d’identifier l’Aston Martin lors de la course-poursuite avec les miliciens ont été effacées par l’un de ses collègues de confiance, mais il n’est pas prudent que Sonia reste là trop longtemps, nous explique-t-il. Je m’improvise traductrice. Sonia acquiesce et un rendez-vous pour son évacuation est convenu. Il faut qu’elle quitte l’Europe, devenue trop dangereuse pour elle. Si on m’avait dit qu’un jour j’aurais contribué à une exfiltration ! C’est donc la dernière journée que j’aurai le plaisir de passer en compagnie de Sonia, cette femme que j’admire et que je n’aurais jamais imaginé rencontrer.  J’ai de la peine pour elle. Peut-être qu’elle ne pourra jamais revoir les îles britanniques, sa terre natale. Dès que le gendarme est ressorti, nous regagnons la maison et je ne tarde pas à me prendre une gifle. Zut ! J’ai oublié. Je m’empresse de retirer ma robe. « Toujours nue dans la maison ! J’espère que tu ne m’obligeras pas à te le répéter » m’avait-il pourtant bien indiqué lorsque nous échangions par mail avant notre rencontre. Je pensais que ce serait une consigne que je n’oublierais pas, et puis… Dès qu’il y a des circonstances imprévues, le cerveau zappe. Me voilà de corvée de ménage. Je déteste cela… Pourtant c’était le lot des femmes il n’y a pas si longtemps. Ma corvée terminée, mon Maître me met la laisse et me conduit à la cave. Je sursaute en apercevant Sonia. Elle est nue, debout, les bras en l’air, poignets attachés aux anneaux du plafond. Sa chatte est intégralement épilée, comme la mienne. Pendant que je m’affairais aux tâches ménagères, elle s’est visiblement coiffée et maquillée. Elle est jolie ! Se faire belle pour recevoir le fouet. Voilà une marque de respect et de politesse que mon Maître a certainement appréciée à sa juste valeur.  « Elle voulait essayer » me dit mon Maître à l’oreille. Curieuse… Irrépressiblement curieuse… Voilà un point commun que j’ai avec elle. Pas surprenant finalement. On ne peut pas être journaliste d’investigation sans être animé par une curiosité viscérale. La même curiosité qui moi m’a fait m’orienter vers les sciences. Apprendre, découvrir, comprendre, questionner, … Des métiers bien différents, en apparence du moins, et pourtant le même moteur psychologique. Sonia est l’une des dernières, la profession étant maintenant remplacée par les fact-checkers, chargés de défendre coûte que coûte la ligne officielle, de discréditer toute pensée dissidente et de tuer dans l’œuf tout questionnement. Je m’attendais à observer, en spectatrice, l’initiation de Sonia, et j’en ressentais déjà de pervers frissons de plaisir, mais voilà que mon Maître m’attache à mon tour. Face à face, mamelles contre mamelles, je ressens le souffle de Sonia sur mon épaule, les pointes de ses tétons saillants parcourant mes mamelles au gré de nos mouvements, heurtant parfois les miens, tout aussi saillants. C’est terriblement érotique. Je sens une excitation sexuelle irrépressible m’envahir. Pour moi qui me croyais 100% hétéro, c’est très troublant [4]. Elle me sourit et rougit… Ah, elle aussi ? Etrange. S’il y a une femme que j’imaginais incapable de rougir, c’est bien elle. Le premier coup de fouet me rappelle à la dure réalité. Ah, la vache ! Qu’est-ce que ça fait mal ! Mon Maître ne fait pas semblant. J’essaie de tenir le coup, mais au bout d’un moment je craque. Je crie, je pleure. Les larmes coulent à flot. Sonia aussi. Mon Maître ne s’arrête que lorsque nous sommes à bout de forces toutes les deux, épuisées d’avoir tant crié et pleuré. Mon Maître lubrifie l’anus de Sonia, sans ménagement si j’en juge par ses grimaces, puis le mien. Instant humiliant s’il en est, mais qui présume bien de ce qui nous attend. Il nous laisse ainsi, seules, face à face, mamelles contre mamelles, … Nos larmes coulent encore et se mélangent parfois. C’est la première fois que je suis fouettée et je n’imaginais pas cela aussi douloureux. Sonia sanglote. Moi aussi. Je ne sais pas ce qui me prend, mais voilà que je l’embrasse sur les lèvres. Je n’ai pas pu résister. Une nécessité. J’en avais envie. J’en avais besoin. Elle ne me repousse pas, au contraire. Je suis tellement absorbée par mon audace que je n’ai même pas réalisé que mon Maître était revenu et nous observait. « Une seule de vous deux aura l’honneur de recevoir la bite dans le cul. Mettez-vous d’accord entre vous, femelles ! ». La version anglaise suit dans la foulée. Ca je ne m’y attendais pas ! « Sonia ! » Je n’ai même pas réfléchi. Cela m’est venu comme une évidence. Tirer profit de mon empathie pour neutraliser ma jalousie. Bien joué, Maître ! La bite dans le cul après le fouet... Je n’aime pas être enculée, mais pourtant à cet instant j’en avais terriblement envie. Tant pis. Sonia se prend une sacrée claque sur les fesses pour lui faire comprendre qu’il faut présenter son cul mieux que ça pour la sodomie. Elle redouble d’efforts pour se cambrer correctement. Pas facile quand on est attachée. Elle a voulu essayer, elle en a pour son compte maintenant. C’est avec une grande frustration, et sentant ma jalousie maladive remonter à la surface, que j’assiste, impuissante, à la sodomie de Sonia. Je me remets à l’embrasser, comme pour partager un peu de ce moment et apaiser ma frustration. Difficile, car elle bouge beaucoup et crie sous les coups de boutoir de mon Maître. Visiblement elle n’a pas plus que moi l’habitude de se faire enculer. C’est peut-être même sa première fois. Est-ce que je lui ai fait un cadeau empoisonné quand j’ai prononcé son nom ? à suivre…   Références : [1] « Comment osez-vous ! », article publié sur bdsm.fr le 18/04/2023  https://www.bdsm.fr/blog/8535/Comment-osez-vous-!/ [2] Rapport du Sénat US sur l’origine de la pandémie (version préliminaire, courte)  https://www.help.senate.gov/imo/media/doc/report_an_analysis_of_the_origins_of_covid-19_102722.pdf [3] L’histoire de cette relation Maître/esclave naissante se situe dans la seconde moitié de notre décennie, la France étant à présent membre de la Suprême Alliance Démocratique, une puissante fédération de démocraties modernes et progressistes, dont le pouvoir central se situe à Pékin. Chaque Etat membre conserve une certaine autonomie sous réserve de se conformer aux grands principes de la démocratie moderne. Pour en savoir plus sur le contexte social, humain, et technologique, la liste de mes articles précédents se trouve ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). [4] ajout du 6/8/2024: malices du hasard, je tombe ce jour sur ce beau dessin de Bruce Morgan (https://www.bdsm.fr/photo/1075954/) posté par Mia Michael - la scène est très proche de l'image que j'avais en tête en écrivant. J'en profite pour faire un peu de pub pour Mia Michael, ce qu'elle écrit est délicieusement pervers (très très pervers), sans prise de tête, souvent déjanté et agréable à lire.  
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Par : le 07/02/23
Avant propos Cet article peut être lu isolément. Cependant, pour en comprendre pleinement le sens, certains éléments de contexte apportés par mes articles précédents sont incontournables. La liste est ici : https://www.bdsm.fr/sylvie35/blog/ (à lire de préférence dans l’ordre chronologique de leur publication). L'article étant assez long (désolée...), je l'ai découpé en cinq épisodes pour vous permettre, si vous le souhaitez, d'en interrompre la lecture pour la reprendre plus tard. Je vous souhaite une bonne lecture, en espérant qu'elle vous sera plaisante.   ************************************************** --- Episode 1:  Redoutable gravitation   Des barreaux pour seul horizon, des minutes qui semblent des heures, des questions sans réponse, ... J’en ai assez de moisir dans cette cage! Je me suis masturbée jusqu'à épuisement et maintenant je me languis dans le noir. C'est long, très long... J'ai l'impression qu'une bonne partie de la nuit est déjà écoulée. Mais que fait mon Maître?  Il est passé en coup de vent pour me retirer cet objet qu’il m’avait mis dans le cul et relier mon collier à l'un des barreaux par une courte chaîne.  Pourquoi ne m'a-t-il pas baisée?  Pourquoi me laisse-t-il seule, enfermée, au lieu de profiter de mes orifices?  Est-ce que je ne lui plais pas? Est-ce qu'il est en train de baiser Sonia ? Je me console en me disant qu'au moins j'ai eu l’un des plus puissants orgasmes de ma vie dans cette cage. La situation, l'enfermement, l’incertitude, ... C'était trop excitant. Mais maintenant j'en ai marre !!! Mes pensées ne sont pas celles de la soumise dans l'âme que je croyais être. Je me déçois moi-même. J'essaie de me raisonner mais ces pensées de gamine capricieuse me reviennent sans cesse dans la tête. J'ai envie de piquer ma crise et de hurler, d'appeler mon Maître: "Eh, je suis là! J'existe!" Et puis je redeviens rationnelle, avant de sombrer à nouveau dans l'énervement. Un cycle sans fin. Et si j'étais tombée sur un psychopathe ? Est-ce qu'il va me laisser mourir de faim et de soif dans cette cage ? A peine ces pensées m'ont-elles traversé l'esprit que je me sens ridicule, honteuse de les avoir eues. Est-ce qu'il est encore dans la maison? Suis-je totalement seule? Et s'il y avait le feu? Je secoue les barreaux, mais ils ne bougent pas. Ils sont solides et la cage est bien verrouillée. Aucune possibilité d'en sortir, même en y mettant toutes mes forces. J'examine la lourde chaîne reliant mon collier à l'un des barreaux. Il faudrait s'appeler Hercule pour la briser. J'ignore pourquoi mon Maitre a pris autant de précautions. Là c'est sûr que je ne risque pas de m'échapper ! Je me sentais déjà à l'étroit dans cette cage, maintenant la chaîne restreint encore davantage mes possibilités de mouvement. Elle est courte mais extrêmement lourde. Son poids et son inertie rendent chaque mouvement laborieux, pénible, épuisant. Par son intermédiaire, la pesanteur exerce une forte tension sur mon collier, même lorsque je reste tranquille: impossible de me sortir cette sensation désagréable de l'esprit. Impossible d'oublier que je suis esclave à présent. Le mince éclairage lunaire qui filtre à travers les volets me laisse apercevoir une enveloppe. Je la saisis en passant la main à travers les barreaux. "à n'ouvrir qu'en cas d'urgence", est-il écrit. La clé de la cage ? La clé de mon collier ? Les deux ? Je n'en sais rien, mais cette idée me rassure. J'essaie de sentir ce qu'il y a à l'intérieur, mais c'est impossible. Enveloppe à bulles contenant une autre enveloppe à bulles apparemment. Tant pis. Je la remets à sa place. L'ouverture des volets me réveille brutalement. Je m'étais endormie. Comment ais-je pu m'endormir alors que j'étais tellement énervée ? Je n'en ai aucune idée. Dès mon réveil, toutes les sensations désagréables reviennent. Je tente de me redresser un peu et je pousse un cri, surprise par l'énorme masse inertielle de la chaîne, qui se rappelle à mon bon souvenir. Mon Maître s'approche de la cage et m’observe, amusé. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" Il se fiche de moi, visiblement. J'ai bien envie de lui faire part de ma frustration, de mon agacement, de lui dire que je ne supporte plus cette chaîne, mais mon cerveau rationnel me rappelle à l'ordre et je me contente de faire la moue, sans vraiment répondre. Cela le fait rire. "Ouvre la bouche!" Pendant une fraction de seconde je crois comprendre que cela signifie "Répond!", et puis non, il m'ordonne de fermer les yeux et de pencher la tête en arrière. Pas facile de me positionner comme il l'entend avec la chaîne au cou, mais j'y arrive plus ou moins. J'attends ainsi, intriguée, mais rien ne se passe. J'ai l'impression qu'il est parti. La position est difficile à tenir, mais je n'ose pas entrouvrir les yeux pour en avoir le cœur net. Un liquide froid, presque glacé,  me coule sur la langue. Je le bloque avant qu'il s'infiltre dans ma gorge.  C'est inhabituel, mais il ne me faut qu'une fraction de seconde pour reconnaître le goût du sperme.  Sans doute qu'il en a congelé et l'a ressorti pour moi. Quelle idée bizarre. Mais c'est excitant. Le goût est tellement différent quand il est glacé. "Tu peux rouvrir les yeux et refermer la bouche, mais n'avale pas!" J'ai juste le temps d'apercevoir le sourire amusé de mon Maître, avant de m'empresser de baisser les yeux. Baisser les yeux face au Maître. Tellement simple à dire et si compliqué à faire. Il faut y penser tout le temps. Est-ce qu'un jour cela deviendra un réflexe? J’aime quand mon Maître me sourit. Ses dents blanches qui contrastent si joliment avec sa peau noire. Qu’est-ce qu’il est beau ! « Mais bien sûr qu’il est beau, idiote, puisqu’il est ton Maître ! », me dis-je à moi-même.  « La beauté est dans les yeux de celui qui regarde », m’a dit un jour un grand sage. Me voilà seule à nouveau. Vais-je passer toutes mes journées ainsi, seule, en cage? Je dois reprendre le travail mercredi, à l'issue de ce week-end prolongé. Est-ce qu'au moins il me laissera sortir? Moi qui pensais venir ici pour être baisée, fessée, fouettée, ... Je ne m’attendais pas à passer du bon temps, je m'y étais préparée psychologiquement, mais jamais je n'aurais imaginé que mon séjour allait se dérouler ainsi. C'est terriblement frustrant ! J'adore le sperme, mais le garder en bouche pendant une éternité cela finit par devenir vraiment pénible. A mesure qu'il se réchauffe dans ma bouche, le goût change. C'est surprenant. Je me demande quand mon Maître va revenir et m'autoriser à avaler. Il m'en a mis des quantités et j'ai les joues presque gonflées. Initialement excitée par le fait de goûter pour la première fois le sperme de mon Maître, j'ai maintenant de plus en plus de mal à me retenir d'avaler. Voilà Sonia qui entre. "Hello Ysideulte! Nice day, isn't it ?" Elle se fout de ma gueule ou quoi ? C’est de l’humour britannique ? Impossible de lui répondre avec la bouche remplie de sperme, à part "humm, humm". Moi qui rêvais de harceler de questions cette femme que j'admire : entrevoir les coulisses de ses enquêtes, savoir comment elle fait pour se procurer de tels documents compromettants, comprendre d'où elle tire son courage et sa clairvoyance... Mais non, me voilà nue, en cage, la bouche remplie de sperme, sans possibilité de lui parler. Difficile de faire plus frustrant ! Elle ressort presque aussitôt en me faisant un grand sourire. Au moins, elle a l'air d'aller mieux, même si son visage a été salement amoché par les coups de matraque des défenseurs de la démocratie. Elle s’en fiche, on dirait. Quelle femme étrange… --- Episode 2: Une gifle bien méritée   Encore de longues minutes à attendre. Je n'en peux plus. Je crois que je vais finir par avaler, quitte à être punie. Heureusement, voilà enfin mon Maître de retour, et la permission tant attendue d'avaler. Il me demande de lui faire part de mes impressions, ce que je m'empresse de faire. Je lui témoigne l'honneur que j'ai ressenti à pouvoir goûter son sperme. Il s'éloigne. Zut! Il va encore me laisser seule dans ma cage. Tant pis, j'ose demander: "Est-ce que je vais rester longtemps dans la cage, Maître?" Au lieu de me répondre, il déverrouille la chaîne. Oh mon Dieu ! Quelle sensation incroyable d'être soudain débarrassée de cette masse pesante qui était devenue un vrai fardeau, comme si j'avais une tonne suspendue à mon collier. Je me sens légère tout à coup. Mon Maître ouvre la grille et m'ordonne de sortir. Ouf, ça fait du bien, je suis toute ankylosée. Je suis heureuse et soulagée d'être enfin dehors. J'ai le sourire aux lèvres, je m'apprête à dire un grand Merci et... je reçois une gifle magistrale. Je ne l'avais pas vue venir celle-là. Mon Maître me montre la cage du doigt et je m'empresse d'y retourner. C'était sa réponse... Sans doute était-ce nécessaire pour que je prenne conscience de l'insolence de ma question. Il me remet la chaîne, en la raccourcissant. C'est ma punition, certainement, pour avoir été insolente. Mon séjour en cage va être encore plus contraint, plus inconfortable. Je ne vois plus personne de la journée. Au moins, la lumière du jour me permet d'avoir une vague idée de l'écoulement du temps. J'ai une bouteille d'eau à portée de main, atteignable à travers les barreaux, un pot pour mes besoins, mais rien à manger, rien à lire, rien à faire ... C'est long ! C'est humiliant ! L'utilisation du pot est très très compliquée avec si peu de liberté de mouvement. Je fais extrêmement attention car lorsque nous échangions pas mail, mon Maître a de nombreuses fois insisté sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour. Je pensais qu'il voulait parler de mon hygiène intime et j'étais un peu vexée qu'il insiste autant car pour moi c'était une évidence de me présenter propre devant mon Maître. C'est seulement maintenant que je comprends vraiment de quoi il voulait parler. La lumière décroît et je sens que me voilà partie pour passer une nouvelle nuit en cage. Je vais essayer de dormir et de ne pas trop m'énerver cette fois. Je n'avais pas du tout imaginé ma vie de soumise comme ça. Est-ce que cela fait partie de mon dressage? S'agit-il de me faire bien comprendre que ce n'est pas moi qui décide? Mon Maître a dit que je peux mettre fin à cette relation à tout moment. Je n'ai pas de raison de ne pas continuer à lui faire confiance, même si je suis perturbée par l'écart entre ce que j'avais anticipé et ce que je vis. Il suffirait que je l'appelle et que je lui dise que c'est fini, que je veux partir. Mais non, il faut que je tienne bon. Je ne vais pas renoncer maintenant. Ce serait trop bête. Cette enveloppe qui contient très probablement des clés - du moins ais-je envie de le croire - me rassure. Il suffirait que je l'ouvre et... Je me suis endormie tôt cette fois, et facilement, même si je me suis réveillée plusieurs fois dans la nuit à cause de rêves érotiques intenses. Le clitoris en feu à chaque fois. A chaque réveil, les sensations désagréables reviennent, me rappelant brutalement ma condition d'esclave. Et pourtant, cela n'appaise en rien mon excitation sexuelle, bien au contraire. Au moins je peux me masturber pour me soulager. Il ne me l'a pas interdit. Il ne me l'a pas explicitement autorisé non plus. Est-ce que j'aurais dû demander la permission? Le doute m'assaille, mais je ne peux me retenir de crier de plaisir à chaque orgasme. La crainte qu'il m'entende et vienne me mettre une bonne raclée n'y change rien - le plaisir qui m'envahit est trop puissant, irrépressible, animal. Comment se fait-il qu'il ne m'ait pas encore baisée? C'est bizarre quand même. A l'aéroport il m'avait dit que je le faisais bander, et puis maintenant j'ai l'impression de ne lui faire aucun effet. Réveillée par l'ouverture de volets. La présence de mon Maître déclenche des frissons de plaisir qui me parcourent tout le corps, telle la chienne qui retrouve son Maître après une longue absence. C'est étrange, mais je me sens bien, apaisée, comme si l'énervement, la frustration, s'étaient envolés. "Tu as passé une bonne nuit, salope ?" "Oui Maître". Je me rends compte que je souris en lui répondant. Je me sens bien. "Voilà qui est mieux", me dit-il, d'une voix douce. Mieux que quoi? Mieux qu'hier matin sans doute, où mon énervement se lisait certainement sur mon visage. C'est donc comme cela que l'on dresse une chienne? En tout cas, c'est efficace. Je me sens heureuse, à ma place. Il me retire la chaîne. Je crois que c'est une récompense. « Ouvre la bouche ! »  Pas besoin d'explication cette fois. Je ferme les yeux, je penche la tête en arrière, bouche grande ouverte, avide de recevoir la précieuse semence, ... "Quand je reviendrai, je veux te voir en position, prête à accueillir ton Maître dans le cul". Et puis je me retrouve seule, avec le sperme en bouche. Je vois qu'il m'a laissé de quoi me préparer, me lubrifier le cul, me bander les yeux, ...   Je m'empresse de me préparer du mieux possible, n'ayant aucune idée du temps dont je dispose. J'ai tout le matériel à portée de main, mais c'est vraiment difficile de se préparer à la sodomie quand on est en cage. Les possibilités de mouvement sont restreintes. Je fais au mieux. Un semblant de toilette, un semblant de lavement, un rapide passage de rasoir, ... C'est loin d'être parfait, mais difficile de faire mieux dans ces circonstances. J'allais commencer à me lubrifier, et puis, je me ravise. Les multiples mails de mon Maître dans lesquels il insistait lourdement sur le fait que sa chienne devra être parfaitement propre dès le premier jour viennent de défiler dans ma tête en accéléré. Je suis terrifiée à l'idée de le décevoir. Je recommence tout en m'appliquant du mieux que je peux: toilette, lavement, rasoir, ... Je me lubrifie copieusement l’anus. Je n’aime pas la sodomie. Je n’ai été enculée qu’une fois dans ma vie et j’ai tellement détesté que je n’ai jamais remis ça. Mais pouvais-je me porter candidate à la soumission et refuser à mon Maître l’accès à l’un de mes orifices ? L’aurait-il accepté ? Peu importe, de toute façon, c’était inenvisageable pour moi : j’ai besoin de cohérence, de logique, sinon je ne comprends plus rien à ma propre démarche. Je me sens un peu agacée à nouveau. "C'est vraiment n'importe quoi", me dis-je. Et dire que je m'étais parfaitement préparée avant de prendre l'avion ! Moi qui pensais être baisée tout de suite à mon arrivée. Je m'étais même examinée à la loupe pour m'assurer qu'aucun poil n'avait échappé au rasoir. La chatte parfaitement lisse, la raie des fesses parfaitement lisse, ... Quel gâchis ! Et pourtant je me sens excitée par la manière dont je suis traitée. Je crois que je perds mes repères. Ou bien suis-je en train de m'en recréer d'autres, plus conformes à mon nouveau statut ? Pas facile de trouver la meilleure position. J'essaie différentes possibilités. Il faut que je m'imagine du point de vue de mon Maître. Quelle position lui faciliterait au mieux l'accès à mon cul, à travers les barreaux? Quelle drôle d'idée quand même de m'enculer ainsi, en cage. Mais ce n'est pas moi qui décide... J'attends encore une éternité, en position, le bandeau sur les yeux... Dommage, si j'avais su j'aurais pris davantage de temps pour me préparer. Tant pis, maintenant il vaut mieux que je reste en position car il peut débarquer d'un moment à l'autre. S'il ne me trouve pas en position, il ne sera vraiment pas content, ça j'en suis sûre. Et Sonia, où est-elle? J'espère qu'elle ne va pas assister à ma sodomie ? Je me suis fermement plaquée le cul contre les barreaux après m’être bien écarté les fesses. Bien centrée, cambrée au maximum. J’ai bloqué mes tibias entre les barreaux du côté, ce qui par la même occasion me maintient bien ouverte. C’est très inconfortable, mais peu importe, la seule chose qui m’occupe l’esprit est que mon Maître y prenne du plaisir. Ma poitrine est plaquée au sol, mes mains tiennent fermement les barreaux. J’espère ainsi pouvoir tenir bon, ne pas trop bouger pendant qu’il s’enfoncera en moi. J’appréhende la sodomie. La seule que j’ai connue m’a laissé un souvenir amer, et je suis saisie d’angoisse quand j’entends mon Maître. Je m’attendais à une pénétration brutale, mais mon Maître y va lentement. Très lentement. « Ouh là ! Il va falloir travailler ce cul » me dit-il. « On est comme dans un étau là dedans. » Puis il accélère la cadence et je mets toutes mes forces en œuvre pour ne pas être projetée en avant sous ses coups de boutoir, tenant les barreaux le plus fermement possible. Mes muscles commençaient à tétaniser quand je l’ai entendu gémir de plaisir. Heureusement car j’aurai difficilement tenu plus longtemps. Je dois avoir les marques des barreaux sur les fesses, tellement j’ai poussé en arrière de toutes mes forces pour rester bien plaquée. Malheureusement, il m’a été impossible de garder tout le sperme en bouche. J’en ai laissé échapper pendant qu’il me sodomisait, j’ai bavé, je crois que j’en ai mis un peu partout mais avec le bandeau je ne peux pas voir… « Tu seras punie », me dit-il. Je remercie mon Maître, après qu’il m’ait autorisée à avaler le peu que j’avais réussi à garder en bouche. Je sais que cela se fait quand on est soumise, mais je n'y ai pas réfléchi :  les remerciements me sont venus spontanément. "La bite, ça se mérite" m'a-t-il écrit à plusieurs reprises lorsque nous échangions par mail. Je crois que je viens de vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.  J'ai tenu bon, je n'ai pas renoncé, malgré l'incertitude, malgré l'inconfort, malgré mes doutes, seule dans ma cage. J'ai mérité la bite. Enfin, je crois que c'est ce qu'il faut comprendre. "Tu es une bonne chienne" me dit-il pendant que je lui nettoie la bite avec ma langue. C'est tout ce qu'il m'a dit. Mais quel compliment !  Qu'est-ce que c'est bon de se faire enculer par son Maître ! Je n'aime pas être sodomisée, et pourtant, malgré l'inconfort, j'étais au bord de l'extase... Rien de physique, non, tout se passe dans ma tête, et c'est vraiment puissant. Mon cul déteste, mais mon cerveau adore. Je dois être un peu cinglée, me dis-je... --- Episode 3: Visite guidée Après avoir été autorisée à retirer mon bandeau et avoir soigneusement léché le sperme que j'avais laissé échapper, je suis enfin libérée de ma cage. Des douleurs aux articulations et quelques vertiges – j’ai repris trop vite la position debout. Mais rien de grave. C'est bon la liberté ! C'est quand on en a été privée que l'on s'en rend vraiment compte. Mon Maître m'autorise à utiliser les toilettes et la salle de bain. Il me suit et m'observe... Bonjour l’intimité… La douche à l'eau froide n'est pas des plus agréables, mais après presque deux jours en cage, on relativise... De toute façon, les règles sont claires: "pas d'eau chaude pour les chiennes". « J’aime bien tes mamelles », me dit-il, quand je sors de la douche. C’est la première fois qu’il me fait un compliment sur mon anatomie. L’eau était glaciale : j’ai la chair de poule et les tétons hyper saillants. C’est spécial… Mais plutôt joli. Maître accroche une laisse à mon collier et me fait visiter sa maison, puis son jardin. Nue, complètement nue... Heureusement qu'il n'y a pas de vis-à-vis... J’ai une bouffée d’émotions quand il me fait visiter sa chambre. Est-ce que je serai autorisée à partager son lit, une fois dressée ? Ou bien est-ce que je passerai mes nuits en cage ? Je cherche des yeux des affaires appartenant à Sonia, mais je n’en vois pas. Est-ce qu’il l’a baisée ? Je n’en sais toujours rien. Rien de visible. De toute façon, cela ne prouve rien, me dis-je. Elle n’aurait pas forcément laissé traîner sa culotte… Mais je regarde partout à la recherche du moindre détail. Une boucle d’oreille, un mouchoir, une plaquette de pilules, n’importe quoi… « Tu as perdu quelque chose ? » me demande mon Maître, l’air amusé. « Euh, non Maître, j’observe simplement ». La jalousie est un très vilain défaut, surtout quand on est esclave sexuelle… Dans la pièce voisine, un fauteuil d’examen gynéco, avec tout le matériel. Je savais qu’il en avait un, il me l’avait dit. Je m’attendais à être examinée très intimement dès mon arrivée, mais je ne l’ai pas été. Pourquoi ? Mystère. Je pensais qu’examiner le vagin de son esclave était une des premières choses qu’un Maître faisait. "Installe-toi pendant que je vais chercher Sonia. Elle souhaitait voir ton clitoris." Ces paroles me glacent le sang. "Rassure-toi, c'est purement professionnel. Elle ne te touchera pas. Tu comprendras plus tard." Qu'est-ce que c'est que cette histoire? Je n'y comprends rien, mais j'obéis. J'ai à peine le temps de m'installer que mon Maître est de retour, accompagné de Sonia, et je me fais immédiatement engueuler: "Décapuchonne-le correctement! Comment veux-tu qu'elle l'évalue?" "Do you think her clit is well suited for your needs ?" lui demande mon Maître "Perfect! It is far beyond my expectations", dit Sonia en me souriant. "Thank you so much, Ysideulte, and so sorry to have asked you that". Elle ressort aussitôt. J'apprécie la délicatesse qu'elle a eue de ne pas prolonger inutilement mon humiliation. Je m'attendais à ce que mon Maître poursuive mon examen et me mette le spéculum, mais il m'ordonne de redescendre. Je ne sais pas s'il fait exprès de contrarier mes anticipations. C'est très perturbant pour moi qui aime tout planifier. Certaines pièces ne font pas partie de la visite. Peut-être que Sonia a dormi dans l’une d’elles et que je me fais du souci pour rien. « C’est ici que tu seras attachée et fouettée », me dit mon Maître, en me montrant des anneaux au plafond de la cave. « Tu pourras hurler, personne ne t’entendra ». Ces mots me font frémir de crainte et d’excitation à la fois. C’est très désagréable de marcher pieds nus sur les gravillons qui tapissent l’allée, mais je m’efforce de ne pas me plaindre et de marcher à la cadence de mon Maître pour qu'il ne soit pas obligé de tirer sur la laisse. Sur la pelouse ça va mieux. Je me sens fière d’être ainsi promenée en laisse pour une visite guidée. Par chance, il ne me demande pas de marcher à 4 pattes. J’aime cet homme. Malgré mon énervement dans la cage, je sens que j’ai fait le bon choix, que j’ai viscéralement envie d’être sa chienne. Je sens sa bonté intérieure, malgré la manière dont il me traite. "Est-ce que tu étais consciente de ton érection quand Sonia t'a examinée ? J'ai vu ton clitoris gonfler dès que tu l'as décapuchonné.", me demande mon Maître. Non, pas vraiment. J'étais tellement perturbée que j'ai un peu déconnecté de la réalité. C'est que que je tente d'expliquer à mon Maître. "En tout cas, je suis extrêmement fier de toi. Tu lui as montré que tu es une salope, même si c'était involontaire". Alors là ! S'il savait l'effet que ces mots me font ! J’admire une nouvelle fois l’Aston Martin garée au fond du jardin. Je meurs d’envie de la conduire, mais malheureusement mon permis m’a été retiré. --- Episode 4: Plaisir d'un repas partagé Sonia nous rejoint pendant que l’on fait le tour du jardin. J'avais tellement de questions à lui poser et puis je me borne à quelques banalités. J'ignore pourquoi. Suis-je intimidée? Certainement. J'ai honte d'être nue, en laisse, en présence d’une autre femme. Et puis, elle m'impressionne. Un mental d'acier derrière une apparence toute douce. Je le ressens de plus en plus. Elle me fait presque peur parfois. Celui qui la fera plier n’est pas encore né. Elle nous annonce que le déjeuner est servi. Ah bon? Je croyais que c'était moi l'esclave ici. Mais je ne vais pas m'en plaindre. C'est tellement agréable de se faire servir. Je meurs de faim et sans même m'en rendre compte je me jette sur la nourriture, à peine servie. "Tu manges comme une truie ! Où as-tu été éduquée ?" me dit mon Maître, sur un ton proche de l'engueulade. Je me confonds en excuses, ne sachant plus où me mettre. Je viens de me rendre compte du ridicule de mon comportement. Sonia me demande ce que cela me fait de déjeuner nue en présence de deux personnes habillées, ce qui me fait rougir. Elle m'interroge au sujet de mon expérience en cage. Nous échangeons en anglais. Pas facile pour exprimer le fond de ma pensée mais, moi, la grande timide, j'ose m'exprimer. Il faut dire que les félicitations appuyées de mon Maître, pendant que l'on faisait le tour du jardin, m'ont vraiment dopée. Ces deux nuits en cages ont été très dures, mais quelle récompense à la clé! Rien à faire, ma curiosité dépasse ma timidité. Que faisait-elle sur le lieu de cette manifestation? Quel intérêt?  La population est en large majorité favorable aux miliciens et hostile aux manifestants : une bande d’ignorants, anti-vax, anti-science, racistes, fascistes, ... La lie de l’humanité, à en croire les journalistes. Ce n'est pas une vidéo montrant la brutalité des Brigades de Défense de la Démocratie qui y changera quelque chose. Que faisait-elle donc là? Pourquoi prendre le risque de se faire capturer par les défenseurs de la démocratie? Cela n'a aucun sens. Elle était certainement là pour une autre raison, mais laquelle? Et pourquoi s'inquiétait-elle autant de l'état de sa caméra? Il y a des éléments qui m'échappent. Je tente de lui poser quelques questions, mais je comprends vite que je n'en saurai pas plus. Après le dessert, mon Maître pose un petit flacon sur la table et me demande si je sais ce que c'est. Aucune idée... A part une forme un peu originale, je ne vois pas ce que ce flacon représente ni ce qu'il contient. Du verre tout ce qu'il y a de plus classique. A l'intérieur, un liquide transparent, qui a toute l'apparence de l'eau, quoiqu’un peu plus opaque. Sonia place une puissante loupe devant le flacon. Mais je ne vois rien de plus. Ah si! Je viens d'apercevoir deux formes bizarres qui nagent de concert dans le liquide. On dirait qu'ils sont liés l'un à l'autre tellement leurs mouvements sont parfaitement synchrones. Ils ont une tête, on distingue presque un visage très étrange, à la fois doux et inquiétant. Qu'est-ce que c'est que ce truc? C'est Sonia qui me donne l'explication. Un zébralyvox gémellaire, être improbable surgi de la préhistoire. Ils sont toujours par deux mais ne semblent faire qu'un: synchrones alors qu'ils ne sont pas matériellement reliés, incapables de survivre l'un sans l'autre. Intrication quantique? Non, je délire... Je me prends à rêver de ce lien impalpable mais pourtant tellement puissant qui, je l'espère, m'unira un jour à mon Maître. Les premiers spécimens ont été découverts dans la région du Nuvavut, au Canada, lors d'un sondage, dans la calotte glaciaire. Mais l'on a de bonnes raisons de penser que le gisement principal se situait dans le grand glacier de l’île Komsomolets, au Nord de la Sibérie. Comment a-t-elle pu se procurer ce spécimen ? Mystère. J'ose le lui demander mais elle me fait comprendre que cela fait partie des informations qu'elle ne peut pas divulguer. Le zébralyvox gémellaire est le plus remarquable anti-douleur qui soit. Il se fixe sur un faisceau de fibres nerveuses et émet une multitude de filaments pour établir des ponts électriques entre les points d'interruption de la gaine de myéline, prenant par la même occasion le contrôle total de la transmission de l'influx nerveux, qu'il détourne à son profit. L'électricité humaine ou animale lui fournit l'énergie essentielle à son métabolisme. S'il en est privé, il ne peut survivre plus d'une quinzaine de jours, d'où l'importance pour lui de trouver rapidement un hôte. Pendant des millions d’années, il a vécu en parfaite symbiose avec les vertébrés, apaisant leurs souffrances en échange de la précieuse énergie électrique. Puis il a disparu, on ne sait pourquoi. Enfin, pas totalement, puisque quelques spécimens ont traversé les âges, emprisonnés dans les glaces. Comment se fait-il que cette découverte ne soit pas connue du grand public? Ce serait une magnifique alternative pour apaiser les souffrances des malades, sans l'effet assommant, voire toxique, des analgésiques chimiques. Le marché des soins palliatifs est énorme et a explosé en raison de la forte dégradation de la santé de la population que l’on observe depuis quelques années. Ce n'est pas si simple. La Bill&Alvértos Fucking Corporation vise le monopole de la distribution de ce nouvel anti-douleur, m'explique Sonia. Ils sont en train de mettre au point une version génétiquement modifiée, stérile, qu’ils reproduiront dans leurs laboratoires par clonage. Parallèlement, ils cherchent à détruire les spécimens naturels, pour tuer dans l’œuf tout risque de concurrence. Ainsi, la BAFC pourra vendre à prix d'or ce remède miracle contre la douleur. Une magnifique invention de la nature détournée au profit de politiciens et de financiers véreux. Je comprends maintenant les motivations profondes de l'opération militaire massive menée par la Suprême Alliance Démocratique en Sibérie, qui me semblait absurde quand elle a été relatée. Pourquoi un tel déchaînement de violence dans une région qui ne me semblait pas spécialement stratégique ? Pourquoi raser l’île Komsomolets au point de faire fondre une grande partie du glacier sous un déluge ininterrompu de bombes thermobariques ? La Suprême Alliance Démocratique a perdu 53 bombardiers stratégiques dans l’opération, interceptés par les S-500 et les forces aérospatiales ennemies. Pourquoi assumer de telles pertes pour un enjeu qui me semblait dérisoire ? « Mais enfin ! On ne doit reculer devant aucun sacrifice quand il s’agit d’apporter la démocratie aux peuples opprimés. C’est ce qui fait la grandeur de la Suprême Alliance et la noblesse des valeurs que nous défendons », martelaient les journalistes… C’est cela, oui… J’y vois plus clair à présent. Quelle est l’idée de Sonia? Je ne vois pas ce que l'on peut y faire. Révéler l'affaire? Neuf citoyens sur dix n’en croiront pas un mot. Ils se laisseront facilement convaincre que tout cela n'est que « fake news ». Il suffit de lâcher la meute des fact-checkers, avec si besoin le soutien de quelques experts de plateaux, et le tour est joué. Je ne sais pas ce qu’elle a en tête, mais je comprends qu'elle veut absolument préserver ce spécimen et qu'il lui faut donc un hôte. Visiblement elle pensait à se l’implanter et maintenant elle pense à moi. Mais pourquoi moi? Qu'est-ce que j'ai de spécial? Et si j'accepte, qu'est-ce que je risque? Mon esprit fourmille de questions, mais ma curiosité est brutalement interrompue par mon Maître. "En cage!" Oui, Maître. Je m'empresse d'y aller et de refermer la grille, qui se verrouille automatiquement. Mon Maître a le don de me frustrer comme c'est pas possible. J'avais tellement de questions à poser. C'est bête. C’est énervant. Je suis en train de bouillir intérieurement. Et puis j’explose. Je secoue les barreaux de ma cage, de rage, mais ils ne bougent presque pas. C’est du solide. --- Episode 5: Décision difficile ? ... ou évidence ? Cette fois, je ne reste pas seule bien longtemps. Mon Maître me rejoint et sourit. Je me rends compte que la rage doit se voir sur mon visage et que, bien que je sois totalement nue, je transpire, je dégouline, tellement je me suis acharnée sur les barreaux comme une furie. « Vous, les femelles, vous possédez un organe dont l’unique fonction est de procurer du plaisir. Plus de dix mille terminaisons nerveuses dans un minuscule volume. Imagine l’énergie électrique que le symbiote pourrait récupérer sur ton nerf dorsal. Le paradis pour lui. »  « Et toi en particulier, tu semble exceptionnellement bien dotée, d'après ce que j'ai pu observer », rajoute-t-il en rigolant. Il m'observait donc les nuits passées quand je me masturbais. Comment? Caméra infra-rouge? Entrebâillement de la porte ? La honte... « Tu es intelligente, je suppose que tu as compris. Je te laisse réfléchir, Ysideulte. Appelle-moi quand tu auras décidé. » Tiens, il m’appelle par mon prénom maintenant. Je commençais à penser que je me prénomme « salope ». "S'il vous plait, Maître". Je l'interpelle avant qu'il ne me laisse seule. "Est-ce que Sonia vous a expliqué comment je devrai procéder, si j’accepte ?" "Tu ouvres le flacon et tu verses le contenu très délicatement sur ta chatte. Ne t'inquiète pas, le symbiote trouvera tout seul son chemin. Il a parasité des mammouths, alors ce n’est pas ta peau qui lui fera obstacle. Mais si tu veux lui faciliter la tâche, attends d'être bien excitée et décapuchonne soigneusement ton clitoris en érection". "Et si je perds une goutte et qu’il est dedans?" "C'est un liquide nutritif, légèrement visqueux. Si tu fais attention, tu n’en perdras pas. Et puis je serai à tes côtés pour te surveiller. Je ne tiens pas à rater ça» "Je risque de ne plus avoir d'orgasmes tant qu'il sera en moi ?" "Peut-être. Peut-être pas. Mais est-ce important ? N'es-tu pas esclave sexuelle à présent ?" Je me retrouve seule à nouveau. Cette fois je ne vois pas le temps passer. Les questions, les pensées, me traversent l'esprit dans tous les sens. Peser le pour et le contre. Méditer. C'est ce que voulait mon Maître, certainement. Il aurait pu m'imposer de servir d'hôte. J'aurais obéi. Mais il ne l'a pas fait. Pourquoi? Sans doute parce qu'il estime que ce serait de l'abus de pouvoir. C'est donc à moi de décider... Je sais ce qu’il veut, mais il me laisse le choix. Mes yeux restent fixés sur le flacon, que mon Maître m’a laissé à portée de vue, derrière la loupe. J'observe l'élégant ballet de ce duo impeccablement synchronisé. Il me devient presque familier. Je finis par éprouver une sorte d'affection pour cet être étrange surgi du fond des âges. Si j’accepte, est-ce que je devrai passer les prochains mois, ou peut-être même les prochaines années, avec un passager clandestin dans mon clitoris ? Quel étonnant passager ! Son double visage a presque l'air humain. On a envie de le protéger. Est-ce que je vais souffrir quand il percera ma délicate chair pour se frayer un chemin jusqu’au nerf dorsal de mon clitoris ? Et comment est-ce que l'on me le retirera? Est-ce qu’il ne risque pas de me grignoter peu à peu le clitoris de l’intérieur? L’influx nerveux lui fournit l’énergie, mais il doit bien manger un peu, non ? Il a une bouche – non, deux bouches. Je vais finir par péter les plombs à force de réfléchir. Le temps passe sans que j'arrive à y voir clair. Ma réflexion tourne en rond. Je me fais une liste de questions importantes, que j'essaie de mémoriser. Sonia y répondra. Mon Maître ne peut pas me refuser cela. Et puis je me ravise, je me dis que je ne prends pas le problème par le bon bout. Qu'y-a-t'il de plus important que d'aider Sonia dans sa démarche, quoi qu'elle ait en tête et même si elle ne peut pas me le dire? Qu'y-a-t'il de plus important que de montrer à cet homme - mon Maître - dont je suis en train de tomber éperdument amoureuse que cette relation compte vraiment pour moi, que ses souhaits, même s'ils ne sont pas des ordres, comptent plus que tout pour moi ? Ma liste de questions pratiques semble dérisoire en comparaison. Je suis à nouveau prise d'une folle envie de me masturber. Et si c'était l'un de mes derniers orgasmes? Cette seule pensée me fait hurler de plaisir à peine me suis-je effleurée. Bon sang, il était fort celui-là ! J'éprouve soudain un sentiment de honte en réalisant que Sonia, où qu'elle soit en ce moment dans la maison, m'a certainement entendue hurler de plaisir. Je dois être une sacrée salope à ses yeux... C’est pour cela qu’elle a pensé à moi, sans doute. à suivre...  
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Par : le 08/01/23
-Ah Colonel Valeri, cela fait plaisir de vous revoir. Nous avons tous cru que vous ne parviendriez pas à vous arracher aux charmes de votre sublime épouse perse, Roxana aux yeux de feu.  -L'action me manque et Roxana vient d'une famille de nobles guerriers, elle sait cela. Qu'avez vous donc à me proposer mon général. J'ai vraiment envie d'aller botter le cul de ces forces spéciales de l'otan présentes en Ukraine, c'est à dire chez nous en Russie.  - Le quartier général nous envoie la capitaine Tacha, du GRU, une experte en arts martiaux comme vous et qui désire de l'action elle aussi. Voilà, je l'appelle. Tacha se présente et claque ses belles bottes en cuir. On ne dirait pas une militaire mais une top modèle. Elle est belle à couper le souffle. Le colonel Valéri devine aussitôt un cul de rêve et le minou le plus délicieux du monde slave, avec  ce gout délicat des baies rouges que l'on trouve dans l'Oural. Il sent son sexe se gonfler et durcir.  -Votre mission sera d'aller inspecter les premières lignes à Bakhmout et vous trouverez tous les détails dans ce dossier. Bonne chance.  Valeri invite Tacha dans sa tanière de loup. Ils étudient tout et mémorisent dans les moindres détails. Ils parlent très peu. Ils sont mentalement connectés à présent. Le pénis de Valéri s'est transformé en manche de pioche. Tacha sent la cyprine couler sur ses cuisses. Ils baisent toute la nuit. Ils ne font plus qu'un.  C'est dans la vieille moskva de collection de Valeri, avec un grand Z sur le toit qu'ils rejoignent le front. Un bras d'honneur aux satellites US. Les missiles ne tardent pas à arriver. Encore loupé. Le danger donne envie de baiser, c'est bien connu. Valéri cache sa Moskva sous des sapins et sodomise Tacha qui offre ses fesses si bien galbées avec plaisir. L'envie de forniquer à tout va dans les services action, ce n'est pas que de la légende. Il pose un collier de chienne avec un bel anneau acier sur le cou de la sublime capitaine qui mouille très fort lorsqu'il fait cela. Elle lui baise les mains.  Dans les tranchées de Bakhmout, les miliciens de Wagner restent bouche bée devant la beauté de Tacha. Ils sont sortis des prisons pour se retrouver aussitôt dans cet enfer de boue et de bombes. Certes, ils ont droit à des putes de temps en temps, mais là, Tacha, pue la femme de grande classe et ils sont presque intimidés. Ils devinent aussi la tueuse pro. Elle a cela dans les yeux. Ce regard froid et bleu acier qui ne trompe pas.  Et lorsque Valeri et Tacha partent vers les lignes adverses pour casser de l'étranger, ces mercenaires qui se font passer pour des ukrainiens, ils suivent tous. Aucun milicien ne manque. Mourrir en suivant le sublime cul d'une meuf qui n'a peur de rien et surtout pas de la mort. Cela leur parle. Et chaque fois c'est carnage et cela finit souvent au corps à corps.  C'est repos dans les tranchées. Une bonne vodka glacée. Valeri baise sa chienne Tacha. Parfois il l'attache et la fouette avec son ceinturon. Tacha fait profiter de ses orgasmes violents toute la troupe. Les miliciens ont droit à une pute dans les abris pour se consoler de ne pouvoir se taper Tacha. C'est la loi du loup dominant Valeri. Il montre les crocs si l'on approche trop près de sa chienne. Dehors rien de nouveau, c'est toujours boue et pluie d'obus.       
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