La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/04/24
Récit qui m’a été envoyé par une coquine du nom de S. il y a quelque temps. Bonne lecture. Monsieugigi.   J’étais seule dans mon bureau, tous mes collègues étaient partis. La journée avait été longue, je n’avais pas encore fini tout mon travail mais j’avais une petite baisse de motivation. Profitant de ma solitude, je me mis à surfer sur le net à la recherche de sites ayant attrait à un de mes plaisirs secret favoris … la fessée. Les sites défilaient, les images aussi ainsi que quelques vidéos. Lentement, une envie me pris, une envie que j’aurais dû refreiner, déjà que j’allais sur des sites peu conseillés au boulot … l’envie de me caresser. Ma main droite descendit lentement vers mon entre-jambe, entra dans mon pantalon et se posa sur mon sexe recouvert de coton. Le frottement léger fit petit à petit son effet. Je m’abandonnais à la caresse, mon écran d’ordinateur affichant l’image d’une jeune fille nue, les fesses rouges, au coin, tenant l’instrument qui venait de lui chauffer le derrière. Trop absorbée, je n’entendis pas la porte du bureau s’ouvrir. Mon chef n’était pas encore parti et venait me voir pour discuter de mon projet. Il me surprit donc, une main dans mon pantalon, mon écran affichant une image pornographique. ” – Mais S. ! qu’est-ce que vous faites ! Vous n’avez pas honte ! Arrêtez tout de suite !” Le retour à la réalité fut brutal, je m’arrangeais rapidement et rouge je baissais la tête pour ne pas croiser son regard. Je bredouillais ” – Euh …. Je … euh ... Je suis désolée … ce n’est pas … euh – ça suffit S., je crois que vous ne vous rendez pas compte de ce que vous avez fait ! Dans mon bureau immédiatement.” Je me levais, les joues toujours rouges et brulantes et le suivit jusqu’à son bureau. Plus le bureau se rapprochait, plus mon estomac se nouait. J’entrai dans bureau, il referma la porte derrière moi. Le bruit de la porte qui claque et de la serrure qui joue me fit sursauter. Il fit le tour de son bureau et se posa derrière. Je regardai mes chaussures, mes fesses me picotaient bizarrement. Mon chef me fixa durement et dit : ” – S., ce que vous avez fait est inqualifiable ! C’est honteux ! Vous vous êtes comportée comme une petite fille pas sage ! Et vous méritez d’être punie aussi comme une petite fille pas sage ! Savez-vous comment on punit une petite fille pas sage dans votre genre ?” Je restais silencieuse, j’avais trop honte pour parler. “- Hé bien S. vous avez perdu votre langue ! vous qui êtes si bavarde d’habitude ! allons j’attends ! Répondez-moi voyons ! je vous déconseille de me faire attendre ” Je déglutis difficilement, ma situation n’était pas très bonne et je savais que je ne devais pas la rendre pire. Je bégayai ” – je … je ... Euh … une … – allons, je ne comprends rien à ce que vous dites, articulez S. ! et ne faites pas celle qui ne sait pas, d’après ce que j’ai vu vous êtes bien au courant – une … une fe…. Une fessée … déculottée Monsieur – Et bien ça a été dur ! oui tout à fait UNE FESSEE DECULOTTEE ! c’est ce que vous méritez pour avoir eu un comportement aussi honteux sur votre lieu de travail. Allons venez ici” Il s’assit sur son fauteuil et l’orienta de façon à avoir de la place devant lui. Il tapota ces genoux. Lentement je fis le tour de son bureau et me mise devant lui. Je lui lançai un regard suppliant mais il me renvoya son regard dur. Alors lentement je me penchais pour m’allonger en travers de ces genoux. Je sentis sa main se poser sur le bas de mon dos tandis que son autre main prenait quelque chose sur son bureau. L’instant d’après 4 lignes de feu s’abattirent sur mes fesses encore habillées. Bien qu’amorti les coups me firent pousser de petits cris “- Il me semblait vous avoir entendu parler de fessée DECULOTTEE vilaine fille ! allez mettez-vous en tenue et plus vite que ça ! Je veux voir tout à vos chevilles ! et vite sinon … ” Je me relevais rapidement et déboutonnai mon jean qui dégringola à mes chevilles. Mes mains sur l’élastique de ma petite culotte de coton blanc, j’hésitais. WHACK WHACK, la règle en bois qui frappa me fesse trancha mon dilemme. Je baissai ma culotte aux chevilles. ” – Donnez-la-moi plutôt S., j’aimerai vérifier quelque chose” La mort dans l’âme je m’exécutai. Mon jean trainait par terre alors que je lui tendais ma petite culotte. J’étais à présent à moitié nue devant mon chef, mes mains cachant mon intimité, le visage rouge baissé vers le sol, mon postérieur légèrement rosé. Il prit ma culotte et l’examina à la lumière de sa lampe de bureau. ” – Vos mains derrière votre tête jeune fille” J’obéis. Il termina son examen et posa ma culotte sur son bureau. ” – Vous n’êtes qu’une sale gamine vous savez, vous avez souillé votre petite culotte ! c’est inacceptable ! vous allez être sévèrement fessée pour cela ! allez sur mes genoux immédiatement ! J’obéis et je me retrouvais allongée à moitié nue sur les genoux de mon chef, ma culotte posée sur son bureau. Mes fesses étaient bien tendues et offertes à son courroux. Je sentis sa main se poser sur le milieu de mon postérieur. ” – Vous savez que vous l’avez méritée S., maintenant demandez la ! ” Je déglutis et dit : ” – S’il vous plait Monsieur, j’ai été une vilaine fille, punissez-moi, fessez-moi ! ” – Mais bien évidemment ” Une avalanche de claques s’abattit sur mon fessier. Mon chef avait de la poigne et une large main, un vrai battoir. Il frappait avec une haute fréquence, en alternant à gauche, au milieu à droite. La chaleur qui envahit mes fesses fut rapidement peu supportable et je me débattis et gémit. Mais son autre main me maintenait fermement sur ses genoux. La fessée dura un temps que je ne pus déterminer. Lorsque mon chef s’arrêta, un intense feu brulait mes fesses et je sanglotais. Il me saisit par le bras et me remit debout. Il me fit me tourner pour contempler son œuvre puis me remit fasse à lui. ” – Très bien S., j’espère que cela vous servira de leçon, vous le saviez pourtant qu’il est interdit de surfer sur des sites pornographiques et surtout de vous masturber au travail ! J’espère qu’à l’avenir vous vous rappellerez ce qui arrive aux vilaines filles qui désobéissent ! ” En sanglotant je répondis ” – sniff …. Oui … sniff ... Monsieur …. Sniff je vous le …. Promets – bonne fille mais cela ne suffit pas, j’ai bien envie de vraiment faire rentrer le message – oh non … snif … je vous en prie …. J’ai compris la leçon ” dis-je alors qu’il se levait de son siège, me prenant par le bras. Il me fit contourner son bureau et me fit mettre mes mains sur celui-ci. ” – Ecartez vos jambes vilaine fille ” J’obéis, il saisit sa règle en bois, se posta derrière moi, une main toujours sur le bas de mon dos ” – Je vais vous donner 6 coups de règle, entre chacun je veux vous entendre dire que vous ne vous masturberez plus devant des sites pornographiques au travail. Vous avez compris S. ? – oui Monsieur, c’est promis je ne le ferai plus … hum”   Je sentis sa règle froide se poser sur mon cul tout chaud puis s’en éloigner. Je serrais les fesses en attendant l’impact. Ouche ! le coup fut dur, mes fesses déjà chaudes et endolories étaient soumises au martyr. Je criai sous le coup puis entre mes sanglots je répétai ce qu’il m’avait demandé de dire. 5 fois encore la règle s’abattit, la douleur étant de plus en plus dure. Enfin le 6éme et dernière coup. Il posa sa règle et je sentis sa main sur mes fesses. Elle descendit lentement vers mon entre-jambe. Sanglotant, je ne dis rien. Sa main se posa sur mon sexe un instant et se retira. ” – hé bien on dirait que cela ne vous a pas laissée de marbre … hum je devrais peut-être … – non je vous en prie ! non ne me fessez plus Monsieur ! je vous assure j’ai compris ma leçon – il semblerait oui ! et bien pour terminer vous allez au coin avec vos mains sur votre tête vilaine fille pendant 15 minutes. Cela vous fera réfléchir ensuite vous pourrez partir. Je m’exécutai, toujours en sanglotant. Ces 15 minutes me parurent durer une éternité. A la fin, mon chef me dit que je pouvais me revêtir et partir. Lorsque je tentais de reprendre ma culotte, il me dit que je viendrais la récupérer demain soir à la fin de la journée si et seulement si je ne m’étais pas mal comportée. Je dus donc rentrer chez moi sans culotte, le tissu de mon jean plaqué directement sur mes fesses chaudes. En chemin, je me jurai que jamais on ne m’y reprendrait ! Ou pas…
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Par : le 23/03/24
Né en Italie en 1945, Milo Manara est un artiste dont le nom est synonyme de souffre dans l'univers de la bande dessinée. Quatrième d'une fratrie de six, il grandit dans une petite ville italienne, Luson, nichée entre les montagnes et imprégnée d'Histoire, non loin de la frontière autrichienne. C'est un monde où l'art rencontre l'histoire, et où Manara, dès son plus jeune âge, se découvre une passion dévorante pour le neuvième art. Sa rencontre avec la bande dessinée s'effectue dans l'atelier du sculpteur espagnol Berrocal, où les œuvres de Barbarella et Jodelle lui ouvrent les portes d'un monde nouveau. Rapidement, sa vocation se précise et, dès 1968, il finance ses études d'architecture à Venise en publiant ses premières planches, des récits érotiques qui marquent le début d'une carrière qui allait s'avérer exceptionnelle. De Genius à Jolanda, de l'adaptation du Décaméron de Boccace à Le Singe, Manara ne cesse d'explorer et de repousser les limites de son art. En 1978, il lance les aventures de Giuseppe Bergman, personnage emblématique qui traverse des récits à la fois oniriques et profondément humains. Mais c'est en 1983, avec la publication du Déclic, que Manara devient un maître incontesté de la bande dessinée érotique. Cette œuvre, devenue culte, illustre à la perfection l'audace, la sensibilité, et l'élégance de son trait, captivant un public international. Sa collaboration avec Hugo Pratt pour Un été indien, puis El Gaucho, ainsi que ses travaux avec le grand Federico Fellini, témoignent de son incroyable capacité à fusionner les univers, à dialoguer avec les grands esprits de son temps, pour créer des œuvres immortelles. Toujours avide de nouveaux défis, Manara ne s'est pas contenté de régner sur le monde de la bande dessinée érotique. Son talent d'illustrateur s'est exprimé dans de nombreux projets, du diptyque consacré au Caravage à ses collaborations avec Alejandro Jodorowsky pour la série Borgia. Sans oublier sa passion pour la sculpture, illustrée par sa création à l'effigie de Brigitte Bardot. La reconnaissance de son œuvre est mondiale : prix, expositions, et même une monographie, "Sublimer le réel", célébrant cinquante ans de carrière. Mais ce qui frappe le plus chez Manara, c'est sa capacité à rester profondément humain, à toucher à l'universalité à travers l'érotisme, à célébrer la beauté sous toutes ses formes. Milo Manara, avec sa maîtrise incontestée du dessin et sa capacité à explorer les profondeurs de la psyché humaine, a su aborder les thèmes du fétichisme et du BDSM, de ci delà. Son œuvre, souvent empreinte d'une sensualité érotique et d'une exploration audacieuse des désirs, offre un regard nuancé et artistiquement riche sur ces aspects de la sexualité. Dans les univers créés par Manara, le fétichisme dépasse l'obsession autour d'un objet ou d'une partie du corps. Le fétichisme est souvent là en filigrane, du moins les adeptes savent le trouver dans la manière dont Manara l'intègre comm élément narratif, capable de révéler la complexité des relations et des désirs de ses personnages. Ses illustrations, d'une précision et d'une beauté captivantes, invitent le lecteur à explorer des fantasmes souvent inavoués, rendant le fétichisme non seulement esthétiquement séduisant mais aussi psychologiquement profond. Manara dépeint le fétichisme avec un respect et une délicatesse qui en valorisent l'aspect humain et relationnel, offrant une vision à la fois sensuelle et introspective. Quant au BDSM, il se glisse parfois discrètement dans ses œuvres les plus provocatrices, Manara le traite avec une habileté narrative qui transcende le sensationnel pour sonder les dynamiques de pouvoir, de contrôle et de libération. . Le BDSM, dans l'univers de Manara, est loin d'être un simple motif érotique ; il devient un moyen d'explorer les limites de l'expérience humaine, les frontières entre douleur et plaisir, domination et soumission, toujours avec une élégance graphique et une profondeur narrative. Les œuvres de Manara ne se contentent pas de représenter le fétichisme et le BDSM ; elles invitent à une réflexion sur la nature du désir et sur la recherche de l'épanouissement personnel à travers la découverte de soi et de l'autre. En cela, Manara ne se limite pas à illustrer ces thèmes ; il les intègre dans des récits complexes où la beauté artistique se mêle à une exploration sans jugement des aspects les plus intimes de l'âme humaine. Quarante ans après Le Déclic, Manara regarde son parcours avec une pointe de nostalgie, conscient des changements dans la perception de l'érotisme, mais toujours philosophe. Sa contribution à la bande dessinée ne se limite pas à ses créations ; il a ouvert des chemins, inspiré des générations d'artistes et de lecteurs. Milo Manara, c'est malgré tout une forme de candeur, d'ingénuité, le plaisir de l'art. Dans un monde où les saisons de la liberté semblent parfois incertaines, son œuvre reste un phare, illuminant la beauté éternelle de l'imagination et du désir. Il est plus qu'un artiste ; il est un voyageur entre les mondes de l'éros et du papier, un pont entre les rêves et la réalité. Et son voyage, à travers le neuvième art, continue de nous fasciner, de nous émouvoir, et surtout, de nous inspirer. Quelques albums cultes : L'art de la fessée Noirs desseins Le déclic : l'intégral  
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Par : le 24/01/24
C'est il y a bien 2 ans maintenant, je pense. Je navigue sur le site et je découvre un profil d'un couple où Madame est l'esclave sexuelle de son mari. Ils fonf des rencontres de temps à autre en extérieur. Sa femme est vraiment jolie et sexy. Je les contacte. Elle est en charge du profil et comme indiqué sur son profil elle transfère mon MP a son homme. Je lui donne mon email et qqes jours ensuite il me contacte. On échange, on fait connaissance. Le courant passe. Et après qqes jours de plus, on s'accorde sur une date, lieu et scénario. RDV pris, vers 22h, entre Nice et Cagnes sur mer, proche d'un parc. Je devais juste prendre une serviette pour etre plus confortable, nature oblige. Je me gare en avance comme prévu. Ils se garent à qqes mètres. Il sort. Elle est dans la voiture, collier et laisse accrochée au retroviseur. Elle porte un mini-jupe, un bustier, talons-aiguilles et un bandeau sur les yeux. Il me dit qu'elle ne sait rien. Je ne dois pas faire de bruit, il la fera sortir et l'emmènera un peu plus loin, tjrs les yeux bandés. Je devrais les rejoindre qqes minutes après... Il ouvre la portière, prend sa laisse et la sort. Elle est super sexy. Blonde, la quarantaine, très féminine, grande, de jolies courbes: faites pour le plaisir! Il commence à partir et il remonte sa jupe pour me laisser voir son cul... il l'emmène donc plus loin. Cinq minutes ensuite, je les rejoins doucement. La nuit arrive et je les distingue. Il a allume la lumiee de son telephone pour mieux voir. Je les découvre: elle est a genoux à le sucer, il la tient en laisse. Il force sa bouche sans restriction. Elle ne bronche pas, elle s'éxécute. Ses mains sur les cuisses de son homme. Il me voit, et me fait signe d'approcher... "Bonsoir, approchez. Venir la voir. Elle suce bien" me dit-il Elle ne s'arrête pas. Il la force de sa main. A peine arrivé à leur niveau, il me donne la laisse. "Tenez, prenez ma salope." Il se dégage et m'offre le visage de sa femme. Les yeux bandés. '"Vous voulez qu'elle vous suce" comment refuser... A tatons, elle m'ouvre mon pantalon, et glisse sa main dans mon caleçon pour en sortir avec delicatesse mon sexe deja dur. Et sans hesiter, elle m'engloutit profondement. Sa bouche est humide, ses levres douces et sa langue un délice. Elle s'active avec envie, visiblement. Un vrai moment de bonheur, cette bouche. Elle est hyper sexy. Je tire sa laisse. J'aime ce sentiment de la tenir, lui faire sentir qu'elle est chienne en ce moment. '' Montre nous tes seins" lui dit-il en sortant sa poitrine de son bustier. Ses seins sont vraiment beaux. Elle est là : à genoux dans la nature, en jupe qui ne cache rien, talons aiguilles, bustier et seins offerts, sucant un homme qu'elle n'a jamais vu. Elle me suce depuis qqes minutes, son Maitre lui rappellle qu'il est là aussi. Tjrs a tatons, elle reprend le sexe de son maitre en main et alterne sa fellation entre lui et moi. Elle nous branle, nous gobe, nous lèche, nous suce, nous avale au plus profond de sa gorge.... A ce rythme, je ne tiens plus et me lache dans sa bouche. Elle m'avale avec envie et n'en laisse pas une goutte. Elle aime ce moment autant que moi. Chacun à son plaisir. Il lui retire son bandeau et elle me regarde avec un large sourire. Je reprend mes esprots pendant que son maitre nous regarde en souriant de complicité. Nous l'aidons a se relever et il me demande la laisse. Il l'emmene alors a une petite barriere a quelques metres qu'il avait du reperer avant. Il la penche en avant et attache la laisse a la barriere. "Cambre toi" elle obéit et sans attendre, il la prend avec fermeté. Elle gemit. Ses seins pendent, allant d'avant en arriere, suivant les coups de butoir. Je glisse mes mains sur ses seins. De beaux seins. Elle gemit de plus en plus fort, son maitre la defonce. Il m'invite a le remplacer mais mère nature doit m'aider a recouvrer la force :-) Je prend la main de sa femme. "Branle moi pour que je te prenne" lui dis-je La nuit tombe et c'est avec la lumiere de nos portables que nous voyons maintenant, chaucn eclairant l'autre comme il peut. Pas facile lorsque nos mains sont prises sur le corps de la belle :-) Elle s'execute, toujour sous les coups de son mari et maitre. Mon sex se durcit enfin. Et je mets une capote. Il se pousse et m'offre la croupe de sa femme. Elle attend. Je me glisse en elle et la prend fermement aussi, sans restriction. Je m'amuse a accelerer, ralentir, la fesse, elle sursaute, il aime et me fait signe de continuer. Je la prend durement. Clairement, c'est ce qu'ils recherchaient. Je lui fais signe de me remplacer. Il ecarte ses fesses et, sans menagement, la sodomise. Elle etouffe un petit cri, gémi et subit son maitre. Elle est belle ainsi... Il ne jouit pas, me cède de nouveau sa place. J'ecarte ses fesses et m'introduis en elle. Son cul est etroit mais son maitre l'a bien entrainé auparavant. Comme avant, je joue avec son cul. Sans menagement non plus. Quelques fessees aussi. Nous alternons chacun en elle. Puis il la detache de la barriere et me demande comment je la veux. "A quatre pattes, tête au sol". Je prends la serviette que j'avais amenée et l'etale. "Regarde comme il prend soin de toi" dit-il a sa femme. Il l'amene a cette serviette et la mets en place en lui tenant les cheveux fermement. La voici, jambes écartées, ses deux orifices offerts, la tête au sol sur la serviette, les mains sur le coté, attendant notre bon vouloir. La nuit est bien tombée. Et avec la lumiere de nos portables, nous illuminons la scéne. Son cul est dans la lumiere. Il me fait signe. Je me place derriere elle et la sodomise de nouveau. Elle gémit encore. J'empoigne ses fesses, ses hanches et je la prends avec force. Toujours sans menagement. Elle gemit de plus en plus. Il m'eclaire, lui parle, lui dit qu'elle aime ca, que c'est ce qu'elle voulait, qu'elle est faiteour ça. Elle ne dit pas un mot mais gémit... Puis je viens, je me lache. Je suis lessivé :-) J'ote ma capote et reprend mon souffle. Il me dit qu'il est temps de rentrer maintenant. Nous l'aidons a se lever, elle attend pendant que lui et moi bavardons un peu, rassemblons nos affaires... "Avance et montre nous ton cul" lui dit-il en lui montrant le chemin avec la lumiere de son telephone. Sa laisse lui a été retirée. Nous retournons aux voitures. Elle est devant nous, il eclaire son cul, et nous la fessons pendant qu'elle marche, elle dandine pour nous exciter. Elle est super sexy avec ses talons aiguilles. Dommage qu'il fasse si noir... Nous arrivons a sa voiture. "Ne bouge pas" lui dit-il et vient vers moi. Nous nous ecartons pour discuter et echanger nos premieres impressions. Il me dit qu'il me rappelera, le feeling etait bon :-) Puis il repart vers elle. Je vais pour entrer dans ma voiture quand elle vient vers moi et me souhaite une bonne nuit avec un large sourire. Je suis vraiment bien en ce moment espérant une amitié avec ce couple. Il est vraiment sympa, le courant passe ensemble et elle, est superbe, souriante. Je crois que je lui ai plu aussi. Puis nous nous quittons. Le lendemain nous reprenons contact, lui et moi, pour planifier un autre RDV. Mais qui ne s'est jamais réalisé. Ils ont fermé leur compte sur le site et plus de nouvelles :-( Un excellent moment avec ce couple. Dommage que nous n'avons pas été plus complice par la suite. Je leur souhaite le meilleur.
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Par : le 15/01/24
La peau se colore… De délicieuses sensations… Excitantes fessées…
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Par : le 19/07/23
Dans notre couple, nous pratiquons la discipline domestique comme d’autres font du libertinage ou du BDSM. A chacun son mode de vie, ses peines et ses plaisirs. Pour moi, la fessée est utile dans le sens où j’ai besoin de cadre, cela me permet de m’épanouir, de me sentir aimée aussi. Et comme je suis un peu bordélique, un peu tête en l’air et parfois un brin feignante, je zappe beaucoup de choses et fais pas mal de bêtises. La dernière en date c’est d’avoir voulu vérifier mon maquillage en reculant la voiture. J’ai fracassé sa voiture de société et bien abîmé la nôtre. Ce qui l’a rendu le plus furieux c’est qu’en reculant j’ai aussi failli percuter le fils du voisin sur son vélo. Ça, c’est quelque choses que je ne ferai plus et pour cause, entre la franchise et la très sévère fessée que j’ai prise, sur ce coup là, j’ai compris la leçon. Mes fesses étaient quasiment bleues et j’en ai gardé le cuisant souvenir pendant une semaine chaque fois que je me suis assise. Technicien commercial dans une grosse entreprise internationale, mon mari part souvent en déplacement pour des durées pouvant aller jusqu’à quinze jours. Cela n’est pas incompatible avec la vie de couple, il m’appelle quasiment tous les jours et bien souvent on se fait le bisou du soir en visio. Plusieurs fois, j’ai eu la surprise de le trouver à la maison en arrivant de travailler. Et comme je suis bordélique, autant dire clairement qu’à chaque fois je me suis faites déculotter et tanner les fesses. C’est toujours la même rengaine : « et si j’étais venu avec un collègue, j’aurai eu honte de ma maison ». Depuis il a trouvé une solution ennuyeuse en installant une webcam wifi sur batterie et parfois, me demande à visiter la maison. Sauf que, j’arrive encore à me faire piéger. Je sais pourtant qu’il risque de me le demander, mais bon.... Tout cela m’a valu des kilomètres de ligne qui ne me pose plus de souci, j’arrive sans ennui à les faire en regardant la télé. Le jour où il a appris ça, il est passé au carnet de punition. Le souci est qu’il y a beaucoup de fessées en retard dans le carnet, parce qu’après 15 jours d’absence, il ne peut pas toutes les donner en deux jours. C’est là qu’un vendredi soir, il est arrivé avec une machine à fessée ! Et moi, provocatrice comme d’habitude, je lui ai demandé si il avait mal à la main et comme il a 15 ans de plus que moi, si il sentait déjà arriver le poids des années. Je peux vous affirmer que ce n’était ni un souci avec sa main, ni le poids des années, parce qu’à peine avais-je fini ma tirade de chipie, qu’une main m’a happée, couchée sur ses genoux pour une sévère déculottée. Envoyée au coin avec interdiction de me retourner, je l’ai entendu déballer et installer la machine à fessée. Ayant un peu triché, j’ai pu constater qu’il l’avait fixée sur la table du salon face à l’ordinateur. Viens te mettre à genoux sur cette chaise en regardant l’ordinateur, ce n’est pas la peine de remonter ta culotte, on va l’essayer ! M’a ordonnée mon daddy. Il avait placé une canne droite et fine, celle que je déteste car plus elles sont fines, plus cela fait mal. Au début, j’ai cru qu’il s’était fait avoir avec sa machine à fessée car les coups étaient des caresses. Oui mais ça, ce n’était qu’au début ! ! ! En effet, il testait les niveaux des puissances proposées. Quand il est arrivé au niveau 6, j’ai commencé à serrer les dents et sur 7, je les ai serrées pour de bon ! Bien ma puce, il faut que tu la démontes et que tu la remontes puis que tu la testes seule ! Autant dire que j’ai trouvé que c’était compliqué et nul comme idée ! N’ayant pas ma langue dans ma poche, cela m’a value de prendre deux minutes de fessée à la machine sur le niveau 7 qui pique vraiment avec une canne fine. Bien, à partir de maintenant, en mon absence elle sera mon allié pour te discipliner et te rappeler tes devoirs ! On mange quoi ce soir ? A conclu mon mari en démontant la machine. J’ai bien failli lui répondre, « de la soupe à la grimace » mais avec ce que j’avais déjà pris comme fessée et celles en retard, pour une fois, j’ai réussi à me taire. Pendant le week-end, j’ai pris deux fessées en retard et donc indiquées sur le carnet, plus une petite juste avant d’aller au lit le dimanche soir. La dernière était plus un prétexte, une envie de sa part de me rougir un peu les fesses avant de me faire l’amour. Au dodo, mon mari hummmm alors pour la petite fessée en préambule, j’étais plus que d’accord ! Il était partie une semaine aux Londres, quand il m’a appelée. Pendant la discussion il m’a demandée si je n’oubliai rien. Sur le coup, j’ai répondu « non » avant de me rappeler que j’avais été en retard de trente minutes au travail. Et oui, c’est ça l’amour, on se met des traceurs sur le téléphone pour savoir où on est, si tout va bien sauf que, ces saloperies peuvent cafter si la personne regarde où on est sur son mobile... Il m’a donc demandée d’aller chercher la machine à fessée et de la fixer sur la table du salon puis d’y installer la chaise comme quand nous l’avons testée. Ensuite, il a exigé que nous passions en visio pour contrôler que je m’étais bien la machine comme il faut et sur niveau 6. Ce méchant a tenu à ce que je place la webcam sur la table face à mon visage. Et là, après m’être déculottée, j’ai du programmer cinq minutes de fessée avec le niveau 6 et cette saloperie de canne. Dès les premiers coups, j’ai bien senti que cela allait être long... et horriblement désagréable surtout qu’il n’arrêtait pas de commenter. J’adore les expressions de ton visage. Tu ne regrettes pas d’avoir été en retard ? Tu sais que tes seins ballottent pendant la fessée. Pourquoi tu fais la grimace ? Ce qu’il y a de génial avec cette machine, c’est que je ne me ferai plus mal à la main, tu te souviens de ta provocation, et puis quand je serai vieux, cela sera très pratique. Il n’avait pas oublié mes provocations le soir où il a déballé sa machine. J’avais vraiment les fesses en feu lorsque la machine à fessée s’est enfin arrêtée et les larmes n’étaient pas loin. Tu vois, nous allons pouvoir rattraper le retard que nous avons dans ton carnet de punition. Mais avant, je veux voir l’état de tes fesses, lèves-toi que je les vois ! Ah oui quand même ! Elles sont bien rouges, tu auras sûrement quelques marques cette semaine. Et moi comme une conne, je lui ai demandé si cela l’avait amusé ! Sa réponse n’a pas tardé ! Oui parce que franchement j’ai tellement savouré la beauté de ma femme pendant une fessée que je doute de pouvoir me passer des expressions de ton visage dans ces moments là ! Tu étais si désirable que je suis ultra excité. Par contre, comme tu étais encore en mode provocatrice, tu vas reprendre ta place nous allons rajouter deux minutes ! Je l’ai supplié, il m’a demandé si je voulais qu’on programme quatre minutes. J’ai abdiqué et repris place pour deux minutes de fessée supplémentaire. A la fin, il m’a demandée de tout ranger fesses à l’air afin de pouvoir se sustenter de la vue du corps de sa « sublime femme » avec les fesses bien rouges. Comme j’avais oublié de dire « merci daddy » j’ai du m’asseoir sur le paillasson dédié aux punitions pendant la fin de notre conversation. J’avais hâte qu’elle se termine parce que le paillasson c’était devenu hard pour mon popotin. Après le bisou du soir et avoir coupé la visio, j’ai senti comme un grand vide, il me manquait déjà. Ce rappel à l’ordre avec la machine à fessée n’a aucun rapport avec les lignes, quand il est loin de la maison, c’est un peu comme si il était là juste le temps de la fessée. Faudra que j’écrive à *** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) *** pour leur demander comment mettre la machine en panne. Quoi que, grâce à elle, mon mari s’est occupé de moi même à distance. Et puis il m'a dit que nous pourrions jouer avec aux dès ce qui pourrait être amusant puisque je suis aussi très joueuse. Fin TSM Acheter une machine à fessée pour votre little ou pour vous même
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Par : le 15/07/23
Agée de 30 ans, Léa est une lesbienne dans l’âme. Elle compte Julie comme amie intime de longue date, une jeune hétéro adepte de jeux de bondage. Si elles se font des confidences sur leurs plaisirs respectifs, elles n’ont jamais fait quoi que ce soit entre elles. Ce ne sont pourtant pas les occasions qui ont manqués puisqu’il leur arrive de dormir ensemble lorsqu’elles partent en vacances entre femmes pour de longues randonnées en montagne. Tu as vu la publicité pour le gîte fétichiste en Espagne ? Cela à l’air sympa, qu’en penses-tu ? Demande Julie à sa copine. Oui, mais cela me semble loin et il doit y faire horriblement chaud ! Lui répond Léa. Avec la nouvelle ligne de TVG espagnole, ce n’est qu’à quatre heures de train ! En plus, ce n’est pas au sud de l’Espagne et hors périodes estivales, cela doit être sympa. Lui rétorque Julie avant de continuer de lui vanter ce gîte. Et si tu me disais ce que tu as derrière la tête ? Finit par lui dire Léa. Ben, heu, comment dire ? Allez, je me lance. Tu sais que j’adore le bondage et que je fais parfois du selfbondage. Ce site se propose d’accueillir des célibataires et de les sécuriser dans leurs selfbondages en intérieur et en extérieur. Même si cela me semble sérieux, j’ai un peu peur d’y aller toute seule. Cela te dirait que l’on y aille toutes les deux ? En plus, il y a plein de randonnées à faire autour du gîte. Lui explique Julie. Pourquoi pas, cela serait sympa ! Lui répond Léa en surfant sur le site ***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** en plus, cela me plairait bien de te voir ramper nue dans le parc en plein soleil. Je n’en doute pas, espèce de perverse. Il leur reste de la place fin septembre, si tu veux, je m’occupe des réservations, tu me rembourseras après ! Propose Julie. Je regarde mon planning, fin septembre cela doit être possible, en plus, il fera moins chaud ! ..................... Trois mois plus tard, les filles arrivent à la gare de Saragosse avec leurs bagages. Elles récupèrent la voiture louée à la gare au tiers du prix de la France puis prennent la route pour se rendre au gîte. A leur arrivée, si l’accueil chaleureux leur est agréable, c’est la visite des lieux fétichistes qui met le feu aux poudres de leur libido respective. Léa flashe sur la chambre Love et Julie sur le donjon puis le matériel mis à leur disposition. La piscine couverte mais s’ouvrant sur le côté, leur fait également de l’oeil, si bien qu’après une douche, elles ne tardent pas à aller se prélasser nues dans une eau à 28 degrés. Le gîte étant également naturiste, elles ne se gênent pas pour parfaire un peu leur bronzage. La faim se fait sentir, elles n’ont pas à attendre puisque Julie avait commandé les repas à 9,50€ livrés dans le réfrigérateur du gîte. Ce repas inclut en principe une entrée et un plat mais un plateau de fruits du verger leur a été offert avec deux roses, autant dire que les filles apprécient. Pendant que Léa étudie le classeur réservé aux touristes vanilles, Julie s’excite toute seule en lisant « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées » réservé aux coquins. Elle ne peut s’empêcher de commenter ce qu’elle y découvre, ce qui finit par donner des envies à son amie. Tu comptes uniquement lire ou t’amuser un peu au donjon ? Parce que là, on dirait juste une fille qui fantasme..... ! Lui demande Léa en se moquant d’elle. Oh, ça va, laisse-moi le temps de me mettre dans l’ambiance ! Et puis, je n’ai pas eu le temps de préparer un ice-timer ou de demander une serrure de selfbondage. Si tu veux, je t’accompagne, comme ça on découvre ensemble et je peux même t’aider à t’attacher ! Lui propose Léa. Julie réfute un peu pour la forme avant d’accepter. Elles se rendent donc au donjon où, uniquement vêtue de son bas de maillot de bain, Julie teste les entraves du lit de la chambre Love. Léa participe activement en l’aidant à faire les réglages en lui demandant si cela ne serait pas mieux avec quelques sextoys ou un vibro bien placé. Devant les yeux brillants de son amie, Léa va chercher un magic wand massager puis un gode qu’elle désinfecte avant de revenir s’occuper de son amie. Julie refuse que Léa lui mette le gode dans la chatte, elle est trop gênée. Son amie lui libère donc un de ses poignets avec regret pour la laisser faire et se le mettre sans aucune difficulté. Et bien, on voit que les lieux t’excitent grave ma belle ! Se moque Léa en rattachant le poignet de Julie se retrouvant attachée bras et jambes en croix. Non sans une certaine excitation, Léa lui place le magic wand massager dans le bas du maillot pile poil au bon endroit, le savoir faire d’une femme se fait donc sentir. Julie ronronne quasiment dès cet instant en fermant les yeux de plaisir. Putain tu m’excites toi, je vais te laisser seule pour ne pas te croquer, je viens te libérer dans combien de temps ? Lui demande Léa. Oh une petite demi-heure, cela devrait être bien pour ce soir ! Lui répond Julie. Attends, je vais compléter un peu, il te manque des choses ! Sans demander l’avis de son amie, Léa lui rajoute des pinces à sein, lui impose un bâillon puis lui pose un bandeau sur les yeux. Pour Julie, c’est une première que d’être prisonnière du plaisir et d’être entravée par quelqu’un. Elle tire sur les entraves par principe et pour en tester la solidité, bien qu’elle n’ait aucune envie de s’échapper ! Léa s’installe sur la confortable chaise de Maîtresse pour s’accorder elle aussi un moment de plaisir. La musique « humaine » en fond est pour elle un puissant vecteur d’excitation. Quelques instant plus tard, la vision de son amie se débattant dans les jouissances à répétition la fait jouir à son tour. N’y tenant plus, elle monte sur le lit de la chambre love pour venir caresser et griffer la poitrine offerte à ses monstrueuses envies. Même si Julie est en plein délire, elle a bien conscience que les doigts taquins sont ceux de son amie mais le plaisir est si fort dans les entraves, qu’elle ne réfute pas, ni ne cherche à les fuir. Le concerto des gémissements ne tarde pas à se muer en un concert de rock métal ! C’est à ce moment là que Léa lui retire les pinces à sein, elle sait par expérience que c’est le meilleur moment pour que la douleur soit agréable. Comment résister à deux beaux tétons féminins pointant fièrement sur une belle poitrine quand on est lesbienne ? Léa résiste à son envie de lui sauter dessus et se contente de goûter les deux belles fraises épanouies. Cette dégustation se déroule encore une fois sans réfutations Julie semble même dire « encore » dans ses gémissements. Après de multiples jouissance, Julie demande grâce, elle n’en peut plus. C’est là que Léa commence réellement à s’amuser en lui disant qu’une soumise fait ce que sa Maîtresse désire et qu’elle ne s’arrêtera que quand l’envie lui viendra. En guise de pause, elle lui dévore à présent les tétons en s’acharnant sur le clitoris de son amie avec le magic wand massager. Son jeu de Maîtresse n’ira pas beaucoup plus loin, Léa avait décidé qu’une jouissance supplémentaire serait bien. Exténuée, la pauvre Julie ressemble à présent à un légume lorsque son amie la libère. Lorsque Léa la prend dans ses bras pour l’aider à revenir sur terre, Léa l’enlace et la serre fort contre elle en murmurant des « merci ». Quelques instants plus tard, la piscine leur fait de l’oeil lorsqu’elles quittent le donjon. Elles y piquent une tête pour se remettre de leurs émotions. LE LENDEMAIN Le tourisme classique et une randonnée sont au programme. Elles s’étonnent de la courtoisie espagnole lorsqu’elles croisent des anciens de la région comme ce vieux paysan comme sorti de nulle part avec une bêche à la main. Il leur a demandé si elles étaient perdues et voulaient de l’aide. Ce n’est qu’avec le traducteur du téléphone qu’elles ont pu discuter avec lui. Et là, le gag, c’est que le papy a sorti son mobile pour faire google map et leur faire voir leur chemin ! Après la douche salutaire prise immédiatement arrivée au gîte, les filles se rendent à la piscine pour prendre un bain. Julie est surprise de voir que le pilori a été sorti. Tiens, ils ont sorti le pilori ! Oui, c’est moi qui l’ai demandé à Marc ! Lui répond Léa. Il faut bien que tu profites des installations non ? A la sortie du bain, pris intégralement nue, nous dirons que chacune trouve sa place, Julie entravée dans le pilori et Léa sur un transat pour parfaire son bronzage. Pour s’amuser un peu avec son amie, lorsque Léa va chercher de, quoi se désaltérer, elle prend son temps en la laissant mariner seule entravée nue au pilori. A son retour une négociation voit le jour, lorsque Julie demande à être délivrée. Tu me donnes quoi en échange de ta libération ? Demande Léa. Je te masse le dos et les jambes, la randonnée était difficile, je pense que cela te fera du bien ! Propose Julie. D’accord mais avant je te masse les fesses au martinet, tu as été vilaine ! Lui répond Léa en se rendant au donjon prendre le nécessaire. A son retour, elle n’a pas que le martinet dans les mains, mais également des pinces à sein avec des clochettes. Malgré les réfutations de Julie, ayant très peur que Marc ou sa compagne viennent prendre un bain et les voient, les pinces trouvent leur place sur les tétons un peu étirés pour la circonstance. Léa claque ensuite les fesses de son amie gesticulant par réflexe sous les lanières. J’aime beaucoup le bruit de ces clochettes, cela donne envie de taper plus fort ! La fessée au martinet dure un peu, et pour cause, Léa a constaté que le sexe de son amie s’humidifie grandement pendant qu’elle la martyrise. Je découvre que tu es maso, tu m’avais cachée ça, salope ! Ce n’est pas vrai ! Tu exagères ! Ah bon ! Lui répond Léa en caressant le sexe trempé de son amie avant de lui faire voir ses doigts couverts de mouille. Et ça, c’est quoi ? De la transpiration salope ? Lèche-les, cela t’apprendra à me mentir ! Se sentant comme obligée, Julie s’exécute et se laisse même fouiller la bouche par les doigts parfumés de ses effluves. Être entravée et un peu malmenée l’excite vraiment comme le constate Léa en retournant voir le fessier légèrement rougi. Mais tu coules, toi tu as tout d’une soumise, je crois que je vais devenir ta Maîtresse et t’apprendre à ne plus mentir ou me cacher des choses ! Ponctue Léa en claquant à la main et de bon coeur, les fesses de son amie. De plus en plus excitée elle aussi, son sexe s’est grandement humidifié. Elle se caresse la moune avant d’aller lui faire déguster ses doigts. Perdue dans son monde de soumise, Julie ne se rend pas compte du subterfuge jusqu’au moment où Léa lui demande si elle a bon goût ! Salope !!!!! On ne parle pas comme ça à sa Maîtresse, tu seras punie pour ça, d’ailleurs, je vais demander à Marc de me donner des conseils ! Oh non, pas ça, j’ai trop honte ! Ok, alors en plus du massage, tu me boufferas les seins pendant que je me branle parce qu’il n’y a que toi qui a du plaisir depuis qu’on est arrivées ! Non.... Je vais donc expliquer tout cela à Marc et lui demander de te punir, je suis sûre que tu apprécieras son expertise en la matière ! Bon d’accord, mais juste une fois ! Lui répond Julie. ................... Lors du repas, cette fois offert et pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires, les filles apprécient l’ambiance ultra décontractée, si bien, que les confidences commencent à se faire. Elles constatent qu’en ces lieux, on peut parler de tout, de tourisme, de jardinage, de produits bios et surtout « de cul » sans être jugé. A priori, qu’elles soient entre femmes et ce qu’elles peuvent faire entre elles, ils s’en moquent éperdument. Lors de la conversation, la venue des célibataires au gîte est abordée. Ayant trop envie de savoir ce qu’ils font Julie pose des questions. Les réponses sont simples, ils fonctionnent sur le principe du selfbondage et de la self servitude en bénéficiant de conseils et d’assistance en cas de besoin. C’est là que Marc aborde le principe de l’espace game pouvant être adapté aux fétichismes de chacun. Léa saute sur l’occasion pour lui demander d’en préparer un pour « sa soumise ». Julie plonge aussitôt son nez dans son assiette, que son amie ait dévoilé ses fantasmes la gêne horriblement. Pas de problème, dites-moi ce dont vous avez besoin, je vous le prépare, je vous explique si besoin puis vous laisserai jouer tranquilles entre vous ! Répond Marc comme si elle lui avait demandé un café ! Ma soumise est timide mais très cochonne, avez-vous des idées ? Oui, ce n’est pas les idées tordues qui lui manque ! Intervient son épouse amusée. L’espace game peut être en chienne, pour cela il faut lui attacher les pattes pliées et lui mettre un plug queue de chienne avant de l’envoyer chercher les clés. Cela peut être intégralement nue avec des fers aux pieds et des menottes puis ce que vous déciderez de lui ajouter. Dans ce cas, l’espace game se fera également dans le verger. Cela peut être en couche si ce fétichisme compte des vôtres ou vêtue si elle a très envie de faire pipi. Dites-moi ce qui vous fait vibrer, je vous trouverai des idées ! J’aime beaucoup l’idée de la chienne, vous pourrez m’aider car je n’ai jamais fait de bondage ? Demande Léa avant d’aller lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Avec plaisir, quand voulez-vous que je vous prépare ça ? Demande Marc Pour demain soir si cela ne vous dérange pas ! .............. Arrivées dans leur gîte, Julie est un peu furieuse que son amie ait dévoilé des choses sur leur intimité. Mais ma belle, si on est ici c’est pour s’amuser, ou alors il fallait choisir Disney ! Franchement, avec tout ce qu’ils voient et font, ils n’en ont rien à faire de nos jeux. Et puis il serait temps que tu grandisses un peu et que tu t’assumes, tu aurais bien plus de plaisir si tu ne jouais pas la coincée ! Lui répond son amie un peu en colère. D’ailleurs, tu me dois un massage que tu vas me faire de suite dans la chambre Love. Allez, on bouge ! Un peu perturbée, Julie suit donc son amie qui prend une serviette de bain et de l’huile de massage. Elles traversent le donjon où Léa prend une paire de menottes au passage. Après s’être couchée intégralement nue, elle lui tend le flacon d’huile de massage en lui ordonnant de s’appliquer si elle ne veut pas recevoir une vraie fessée ! C’est donc un peu contrariée qu’elle masse son amie tout en se demandant à quoi vont servir les menottes. Bien, j’ai envie de me faire plaisir, attrape-moi le magic wand massager et grignote doucement mes tétons pendant que je me branle, j’adore ça ! Ordonne Léa. Julie est assez perturbée lorsqu’elle prend un des tétons de son amie entre ses lèvres. Bon gré mal gré, elle essaye de lui donner du plaisir. Le bon dieu t’a donné des mains, ce n’est pas que pour travailler ou pour faire joli, caresse-moi en même temps ! Fais des efforts pour donner du plaisir à ta Maîtresse. Petit à petit, Julie prend elle aussi du plaisir à en donner. Tout en titillant un téton, elle fait courir ses doigts sur la poitrine de son amie commençant à gémir. Contribuer dans cet acte en principe intime, lui donne l’impression d’être voyeuse et l’excite un peu. Allez, prend le magic et occupe-toi de ma chatte, elle ne te griffera pas ! Julie s’exécute et finalement ne trouve pas cela déplaisant de s’occuper de son amie. Elle s'engaillardit même un peu en osant insinuer ses doigts dans le temple de l’amour. Quelques instant plus tard, ressentir les premières contractions la surprend agréablement, tout comme le bouquet final quand les cuisses de Léa emprisonnent sa main. Lèche-moi la chatte, j’ai encore envie ! Ordonne Léa. Non, désolée, je ne fais pas ça ! Répond aussitôt Julie. Refuser de donner du plaisir à sa Maîtresse, cela mérite une fessée parce que là, tu fais la gamine ! Donne-moi tes poignets ! Julie n’ose pas refuser, Léa ne lui laissant pas réellement le choix, elle se laisse menotter mains devant. Basculée prestement sur ses jambes et déculottée, la vilaine ne tarde pas à goûter à la fessée se disant « punitive ». Se sentir entravée et ainsi obligée de subir sa « punition » l’excite car les claques sont très modérées et un peu comme des caresses piquantes. Ces sensations forts agréables la pousse même à tendre un peu les fesses pour aller à la rencontre de la main. Après le prélude il y a parfois un postlude qui est, son contraire dans le domaine de la composition musicale. La puissance de la fessée monte donc d’un ton, les claques sont de plus en plus appuyées et deviennent bruyantes. Le fessier de Julie s’embrase rapidement, elle aimerait modérer un peu son amie, se protéger mais les menottes l’en empêchent, mais en même temps, l’aident à entrer dans la bulle de l’abandon. Lorsque Léa s’arrête de la fesser, son épiderme semble recouvert de fourmis décidées à la grignoter. Il n’y a pas que cette partie de son anatomie qui la démange, entre ses cuisses, l’humidité est généreuse. Mais ce n’est pas une punition ça pour toi, tu mouilles espèce de maso ! Déclare soudain Léa lorsqu’elle s’en rend compte. On va changer de registre, couche-toi sur le lit et retire ta culotte, j’ai une surprise pour toi ! Pendant que son amie s’exécute, Léa passe derrière le coin bar pour aller chercher une couche. En la voyant, Julie réfute, l’ABDL ce n’est pas du tout son trip, la couche lui rappelle celles de sa pauvre mère. Sa Maîtresse lui explique que ce ne sera qu’une précaution pour la suite et qu’elle n’est pas obligée de l’utiliser. Sans lui laisser le choix, elle l’oblige à soulever ses fesses rouges pour glisser la protection sous ses reins avant de terminer de la langer. Prise par l’oreille comme une gamine effrontée, Julie est guidée aux pieds du lit où Léa ouvre la porte de la cage. Allez, tu rentres dans la cage et tu ne mouftes pas ou tu te reprends une deuxième fessée mais avec un de leurs instruments, cela doit faire vraiment mal ! Julie abdique mais fait voir que les menottes sont toujours à ses poignets. Une fois retirées, elle entre donc dans la cage située sous le lit. Si elle est réellement perturbée par tout ce qu’il lui arrive, l’expérience de la cage ne la laisse pas de marbre. Après avoir verrouillée la porte, Léa va éteindre la lumière pour venir se coucher dans le lit, juste au dessus de son amie. Entre la randonnée, la piscine et les jouissances, la Maîtresse d’opportunité, et appréciant de l’être, ne tarde pas à s’endormir contrairement à Julie. Elle revit mentalement les évènements de la journée, son expérience au pilori, sa fessée puis les câlins qu’elle a du faire à son amie. Ce n’est pas l’envie qui lui manque de se caresser mais elle n’ose pas et se limite à « explorer » secrètement l’intérieur de la couche. Elle constate que c’est toujours bien humide et se pose des questions sur toutes ses envies, ses fantasmes. Si sa nuit est un peu perturbée par l’étroitesse du lit cage, elle est également peuplée de rêves très érotiques. Elle s’imagine même entravée sous la chaise percé et obligée de lécher son amie, c’est dire si tout cela la perturbe puisqu’elle est hétéro. Ce n’est que lorsque le soleil se lève, qu’elle est rattrapée par les choses naturelles de la vie : l’envie de faire pipi ! Absolument pas décidée à se faire dessus, même avec une couche, elle se retient. Se retenir ne l’aide pas à retrouver le sommeil et rend le temps fort long. Au environs de huit heures, elle est au bord de l’implosion et appelle Léa pour qu’elle lui ouvre la porte de la cage. Elle sait que la réveiller n’est pas une bonne idée, mais c’est plus fort qu’elle, la couche ce n’est vraiment pas son truc. Effectivement, ayant un réveil difficile Léa est furieuse. Elle commence par l’envoyer paître et devant l’insistance de son amie, décide qu’une réelle punition s’impose. Elle lui donne les menottes à travers les barreaux de la cage et lui demande de se les mettre pour aller faire pisser « la chienne soumise ». Convaincue d’être libérée de la protection, Julie abdique, ce n’est pas de pisser devant son amie qui la traumatisera. C’est une fois sortie de la cage en la remerciant, qu’elle est guidée vers la sortie. Un arrêt brutal la surprend au moment où elles passe sous le treuil. Léa lui remonte les poignets et bloque la chaîne des menottes dans le crochet. Malgré ses bruyantes réfutations, c’est en voyant ses poignets monter vers le plafond que le piège lui saute aux yeux. Debout et quasiment sur la pointe des pieds, elle n’a aucune chance de s’échapper. Léa lui enfile une culotte et bloque le magic wand entre la couche et la dite culotte servant de maintien sextoy. Après l’avoir mis en route, Léa la laisse accrochée ainsi au donjon pour aller se faire un café sans tenir compte des cris de la révoltée. Désespérée, Julie comprend rapidement qu’elle ne pourra pas se retenir. Entre l’envie devenue ultra pressante et les vibrations sur son bas ventre juste au dessus de sa vessie, il est impossible de résister. Un moment plus tard, c’est en criant de désespoir qu’elle finit par abdiquer et à se lâcher un peu pour libérer, partiellement, la pression devenant douloureuse. Si cet acte ne lui a pas plus du tout, par contre, se retrouver menottée debout toute seule dans le donjon avec un magic wand presque en bonne place ne lui déplait pas. Bien au contraire, elle essaye même de le faire glisser et descendre un peu avec une de ses cuisses. Dans sa tête, elle devient la victime d’un beau sadique bien membré ayant prévu de la mâter avant de la sauter. Elle l’imagine derrière elle en train de jouer avec ses seins puis ses tétons qu’il martyrise un peu. Les yeux fermés et en plein dans ses fantasmes puis les agréables sensations du magic wand sur la couche, elle ne voit pas son amie Léa entrer dans le donjon. Ce n’est que lorsqu’une bouche se colle contre la sienne et qu’en même temps le magic est appuyé sur le devant de sa couche, qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus seule. La langue de son amie fouille sa bouche avec une certaine virilité pendant que ses mains s’attaquent à ses tétons sans défense. En pleine perdition dans les sensations diaboliques et perdue dans ses émotions, Julie ne fuit pas le baiser sauvage imposé. Au contraire, devenant fusionnel, elle y trouve presque une sorte « d’échappatoire » à sa pudeur. A la fois désiré et redoutée, l’explosion fatale pour sa pudeur lamine toute forme de résistance psychologique. Dans sa jouissance paroxystique, Julie hurle à plein poumons, pendant ses contractions et sa jouissance, elle finit de vider sa vessie dans la couche sans rien ne pouvoir contrôler. A bout de souffle, elle pend quasiment dans les menottes lorsque Léa fait descendre le treuil. Libéré du crochet, elle se couche en chien de fusil à même le sol pour se remettre de ses émotions et de cette jouissance d’une puissance jamais éprouvée jusqu’à présent. Léa s’est aussi assise par terre, elle a pris la tête de Julie pour la poser sur sa cuisse en guise d’oreiller. C’est avec une extrême douceur qu’elle la caresse comme si c’était un bébé qu’il faut consoler. Tu veux ma mort ! Indique Julie à son amie au bout d’un moment. Non, je veux que tu vives tes passions, tes fantasmes et, à priori, vu ce que je viens de voir, tu ne devrais pas t’en plaindre. Mais tu sais, cela ne me déplait pas du tout de m’occuper de toi comme ça. Je prends réellement du plaisir à t’en donner même si mon truc à moi, c’est plus doux et plus sensuel. .......... Les tourterelles en vacances partent à l’assaut des montagnes locales dans le parc naturel Moncayo. Il s’agit d’une chaîne de montagnes de 15 km de long et d'environ 7 km de large qui donne son nom à la comarque Tarazona y el Moncayo. Lors de la balade, Léa propose à Julie de devenir sa Maîtresse pour lui permettre de vivre réellement ses fantasmes. Elle lui précise que si c’est par amitié, l’idée ne lui déplait pas même si elle manque cruellement d’expérience et de savoir faire. Après une petite discussion Julie accepte, sous la condition qu’elle ne soit pas trop dure avec elle. A leur retour au gîte, après une douche salutaire, elles prennent un bain dans la piscine. A la suite de quoi, Julie part à la recherche de Marc pour savoir comment se déroule l’espace game. Je vous ai préparé un des classiques dans le verger mais vous ne m’avez pas précisé si vous voulez jouer Pets-play dans le parc ou un jeu plus grand. A la limite, vous pouvez faire les deux, ce soir le Pets-play et demain celui qui se fait dans le verger, les indices sont dans des boites en plastique lestées, ils ne s’envoleront pas. Je vais suivre vos idées mais il faudrait m’aider, je débute en BDSM ! Lui répond Léa. Pas de souci, je vais vous chercher le nécessaire pendant que vous emmenez votre amie, de préférence nue, sur la terrasse ! Lorsqu’elle va chercher Julie et lui ordonne de se dévêtir pour l’espace game, celle-ci réfute et souhaite conserver au minimum son bas de maillot. Pendant ce temps, Marc a préparé des cordes, une paire de menotte, une chaînette et un cadenas pour lui faire un collier. Sur la table, un plug queue de chienne fait aussitôt rougir le futur « caniche » ravi d’avoir gardé son bas de maillot. Mettez-vous à quatre pattes, je vais faire voir à votre amie comment réaliser ce bondage finalement assez simple ! Demande Marc au « modèle » dont la gorge vient de se serrer. Le bondage est finalement assez simple et rapide. Marc fait plier une des jambes de Julie qu’il enroule de corde en version shibari en expliquant à Léa comment faire la même chose avec l’autre jambe. Sans leur demander leur avis, il fait un collier à Julie avec la chaînette qu’il ferme avec un cadenas. A la suite de quoi, il ferme une des menottes sur son poignet, fait passer l’autre dans le collier avent de la fermer sur le poignet encore libre. Dans le carton qui est sur la table, il y a des boites en plastique, ce sont les indices qu’il faudrait aller cacher dans le parc. Mais pour cela, il faudrait occulter sa vue sinon elle n’aura qu’à vous regarder les placer. Si vous le souhaitez, je vais les cacher pour vous pendant que vous l’aveuglez avec une serviette de bain par exemple. Dans le carton vous trouverez une laisse et un petit martinet en cas de besoin puis un bâillon os, à vous de décider ce que vous utiliserez. Pour le plug queue de chienne, je vous laisse vous en occuper, je suppose que vous savez où il va ! Indique Marc en partant avec les indices. Immédiatement aveuglée par une serviette de bain, la respiration de Julie s’est emballée. Elle transpire même un peu, non pas de la chaleur mais parce qu’elle est émue, gênée, excitée, perturbée par sa Maîtresse transformant son bas de maillot en string. Léa mouille généreusement l’anus de son amie puis le petit plug qu’elle entreprend de lui introduire malgré ses réfutations. Le premier indice se situe aux pieds de la petite statue. Leur indique Marc à son retour. Si vous désirez déplacer un transat et le mettre dans le parc pendant qu’elle cherche n’hésitez pas ! Ajoute Marc à l’attention de Léa. Je vais vous laisser tranquille, amusez-vous, vous êtes là pour ça ! Pendant ces indications, Julie était ravie d’être aveuglée, c’était un peu comme si la serviette diminuait un peu sa honte. Le tissu retiré, c’est avec une grande claque sur ses fesses que le top départ lui est donné. La chienne humaine prend rapidement conscience que le jeu risque de durer car se déplacer sur les genoux et les coudes n’est pas aussi facile qu’on ne l’imagine. La seule chose qui l’amuse pour l’instant, c’est qu’à chaque mouvement la queue du plug caresse ses cuisses. Il n’y a pas qu’elle qui trouve cela amusant, Léa apprécie énormément les effets de son petit cul s’agitant ainsi. Elle se saisit du martinet pour aller motiver sa « chienne » en lui disant qu’elle est vraiment très belle comme ça avant d’ajouter : « je vais chercher mon portable et faire quelques photos ». Que Julie réfute n’y change rien, elle est abandonnée seule entravée en chienne dans le parc. Les caresses du vent l’accompagnent dans cette expérience troublante, être entravée quasiment nue, seule avec un plug queue de chienne commencent réellement à la troubler. Devenue une Maîtresse perverse par opportunité, c’est après avoir pris quelques photos que Léa va retrouver sa soumise en prenant avec elle la laisse et le martinet. En la voyant arriver, Julie comprend immédiatement qu’elle va devenir le jouet de sa Maîtresse, et elle ne se trompe pas. Entre femmes, quand on s’amuse ainsi, la perversité prend tout son sens. Une fois la laisse posée, Léa s’amuse à faire « marcher » son amie, à la faire asseoir, à faire la belle sans se priver de la motiver avec le martinet. Mais tu es en chaleur ! Déclare Léa en voyant que le maillot est mouillé à l’entrejambe ! Il faudrait que je trouve un beau mâle pour te faire couvrir ! Salope ! Un coup de martinet très appuyé s’abat aussitôt sur ses fesses ! Une chienne ça ne parle pas et en plus, une soumise n’insulte pas sa Maîtresse, ton dressage laisse à désirer ! Embrasse mes pieds et vite pour te faire pardonner ou je récupère les clés et te laisse comme ça pour la nuit ! Ordonne Léa. Julie abdique aussitôt sous la menace. Elle fait donc de petits bisous bruyants sur les pieds de sa Maîtresse avant que la laisse l’oblige à faire la belle. Par surprise Léa plaque le visage de la chienne au creux de ses cuisses en mourrant d’envie de se faire brouter le minou. Fais aussi des bisous là, allez chienne ! Lui ordonne Léa en claquant les fesses de son amie avec le martinet. Tenue fermement par les cheveux avec son visage plaqué contre le sexe de sa Maîtresse, Julie ne tente pas de fuir, les entraves libérant des carcans de ses interdits, elle lèche de bon coeur. Léa sent bien que sa chienne apprécie d’avoir la tête logée entre ses cuisses, cela lui fait prendre conscience que par le BDSM, son amie pourrait au moins devenir bi à défaut d’être lesbienne. Gardant cette idée en mémoire, elle libère sa « chienne » en lui disant « cherche, aller cherche ». Tout aussi perturbée, Julie prend à présent son rôle très à coeur. C’est avec quelques douleurs aux coudes et aux genoux qu’un moment plus tard, elle rapporte les clés des menottes avec ses dents. C’est trop bien ce jeu, j’ai bien aimé. La prochaine fois, je te ferai boire en gamelle et t’attacherai peut-être à la niche, cela serait amusant de t’y laisser un moment ! Ponctue Léa en serrant son amie dans ses bras après l’avoir libérée. Après avoir dîner en tête à tête, elles surfent sur leur téléphone avant de décider de se coucher. Oh, j’ai une idée, je vais t’attacher pour la nuit ! Déclare soudain Léa. Elle sort du gîte pour aller récupérer les cordes, la chaîne, le cadenas et les menottes puis le martinet. Dix minutes plus tard, après avoir eu le droit d’aller faire pipi, Julie se retrouve entravée nue jambes écartées sur le lit du haut. Ses poignets menottés sont fixés à la tête du lit avec la chaînette. Voir les tétons de son amie pointer fièrement donne des ailes à la lesbienne en manque de câlins. Après avoir éteint la lumière, elle rejoint la « captive » pour d’énormes câlins de plus en plus fusionnels. Caressée, embrassée, fouillée par des doigts experts, Julie est au bord de l’implosion, Lorsque Léa entreprend de brouter le chaton sans défense, elle est obligée de refreiner ses ardeurs, sa « victime » est sur le point d’exploser. Après un énorme baiser, Léa lui murmure que si elle ne lui bouffe pas la chatte, c’est la sienne qui sera fouettée au martinet. Lorsqu’elle enjambe la tête de son amie, Léa s’étonne de n’avoir aucune réfutation. Avec douceur, elle frotte son sexe sur le nez de son amie tout en caressant sa poitrine, en titillant ses tétons et n’a aucune réaction négative. Elle prend donc le martinet qu’elle fait tomber doucement sur le sexe de Julie avant de faire glisser lentement les lanières sur les lèvres trempées. Léa comprend que son amie est prête à sauter le pas. Elle recommence le petit jeu avec le martinet et s’assoie doucement sur son visage rencontrant aussitôt une langue peu expérimentée mais très motivée. Le facesitting ne tarde pas à évoluer en 69, Julie n’a plus besoin d’être menacée pour donner du plaisir avec sa langue, ni pour en prendre avec celle de l’experte lutinant sa perle clitoridienne. Ces échanges « linguistiques » portent leurs fruits plusieurs fois dans un concert mélodieux de gémissements de plaisir. Enfin rassasiée, la lesbienne devenue dominatrice ne libère pas sa soumise, non pas pour lui faire des misères mais pour se lover contre elle et la câliner. Les bisous sont forts tendres avant que le sommeil les rattrape dans ce grand lit king size. Libérée au milieu de la nuit pour un besoin naturel, Julie revient aussitôt se lover contre son amie, contre sa Maîtresse. Ce besoin de contact est soudainement plus fort qu’elle, par peur de la réveiller et de se faire gronder, elle n’ose pas lui faire des câlins. ............. Le lendemain, en revenant de visiter la gigantesque et sublime (abbaye appelée le Monastère de pierres]( https://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/fr/sex-toys/739-baillon-os.html?search_query=baillon+os&results=39), Léa demande à Julie d’où lui viens cette passion pour le bondage, les contraintes, la soumission. En fait, lorsque je suis attachée je ne me libère que mieux. Grâce aux entraves, je suis moins pudique et surtout moins timide. En fait, le gros paradoxe c’est que je me sens sécurisée, ce n’est pas ma faute, je suis obligée. Je sais que c’est complètement fou et illogique. En plus, mes jouissances sont dix fois plus fortes. Et toi, cela te plait de me dominer ? Initialement ce n’est pas ma tasse de thé. Je suis beaucoup plus portée sur la sensualité, les câlins mais j’avoue que je me découvre. Ce n’est pas déplaisant du tout. Ce qui m’amuse particulièrement avec toi c’est de t’obliger à te faire plaisir, à sauter des pas, à faire des choses que tu t’interdisais. Et puis avec une soumise aussi belle que toi, cela n’est pas déplaisant du tout, si tu vois ce que je veux dire. Lui répond Léa. Cela me gêne que tu m’appelles soumise, cela n’est pas du tout ma nature de me laisser marcher sur les pieds ! Là encore tu confonds tout. Tu peux être dominante dans la vie et aimer lâcher prise et donnant le contrôle à quelqu’un sous la couette. En amour tout comme pour le sexe, les interdits sont castrateurs de plaisir. De toute façon, nous sommes toutes des soumises ! Tu es soumise parfois ? Demande Julie. Non, quoi que me laisser attacher et dévorer à coups de langues par trois ou quatre filles ne me déplairait pas. Je disais que nous sommes toutes soumises à une autorité. Le pire est que l’on n’a pas le choix. Par exemple, quand un flic t’arrête pour contrôler tes papiers, tu obtempères, quand tu fais le chèque pour tes impôts, tu n’as pas le choix, tout comme quand ton chef de service te donne un ordre. La différence est que en amour, c’est toi qui décide de t’offrir, d’offrir le contrôle de ton corps. Arrivées au gîte, les filles prennent une douche et vont prendre un bain à la piscine. Léa s’allonge sur le matelas pneumatique avant d’ordonner à Julie de venir faire des bisous à son chaton. Julie refuse par peur d’être vue par Marc jusqu’au moment où Léa lui rappelle qu’un espace game l’attend, et cela en précisant qu’il pourrait se corser si elle ne s’exécute pas immédiatement. Ultra gênée, Julie s’exécute mais sans grande conviction, son regard étant en permanence tourné vers la porte de la piscine. Ne t’habille pas, va chercher les menottes, tu les mets puis tu les accroches au crochet du treuil de façon à être sur la pointe des pieds ! Lui ordonne Léa lorsqu’elle sortent de la piscine. Léa souhaite pousser un peu son amie dans la soumission. Après avoir fait monter un peu le crochet du treuil, pour être sûre que sa soumise ne s’enfuit pas, elle va demander à Marc de venir la conseiller. Réellement généreux dans l’âme et pas que pas intérêt, il se rend donc au donjon et découvre Julie nue en mauvaise posture. Étant débutante en BDSM, j’avoue ne pas savoir comment lui organiser l’espace game. Pouvez-vous m’aider ? Bien sûr, que désirez-vous comme jeu ? Quelque chose de très gênant pour une nana pudique et trop coincée ? En entendant ça, Julie a des envies de meurtre, en plus d’être exposée nue, son amie cherche à l’humilier. Oh il faut donc jouer sur le plaisir sexuel en même temps que le bondage. Vous pouvez par exemple combler ses orifices, bloquer ensuite le magic wand sur son sexe, ajouter des pinces à sein à grelot avant de l’envoyer chercher les clés ! Lui répond Marc comme si on lui avait demandé la recette de la sauce de ses aubergines grillées. Génial, mais je ne sais pas comment attacher le magic ni même comment faire tenir le plug et le gode, pouvez-vous m’aider au moins pour ça ? Pas de problème je vous laisse « combler » votre soumise pendant que je vais chercher ce qu’il vous faut ! Furieuse et morte de honte, Julie tente d’échapper à l’emprise de son amie. En vain, cette dernière ne lâche pas prise et s’acharne pour placer le gode et le plug entre les cuisses s’agitant. A son retour, Marc réalise un string de chaîne en faisant plusieurs passage entre les cuisses de Julie. Cette dernière est blême de honte, le sadique de la maison qu’elle trouvait sympa est soudainement détesté. Il ne loupe rien de son intimité comblée, au contraire, au passage des chaînes, il appuie même sur les sextoys pour bien les bloquer. A la suite de quoi, il propose à Léa de placer elle même les pinces à sein. Pendant ce temps, accroupi derrière les fesses comblées, et donc avec une vue imprenable, il lui pose des fers de bagnard. Vous pouvez descendre le treuil et passer les menottes derrière dans le string de chaîne, ainsi, elle ne pourra pas retirer ses pinces à sein. Consciencieux dans ses actes, Marc réalise un second string mais cette fois avec une corde de shibari. Ce string spécial ressemble à un petit harnais avec en son centre, le magic wand bloqué dans le triangle devenant comme celui des Bermudes pour la pauvre Julie. Je vais vous aider à la sortir, car avec les fers de bagnard aux chevilles, elle risque de tomber et se blesser. Vous pourriez peut-être lui poser le bâillon ouvert, sera nous fera un peu de silence car votre soumise râle beaucoup ! Propose Marc très provocateur. Attrapée à bras le corps, Julie se retrouve rapidement dehors près de la piscine. Marc lui indique où se trouve le premier indice avant de leur souhaiter « bon jeu » puis de quitter les lieux. Bâillonnée, la pauvre Julie sait qu’elle n’a pas d’autres choix que de partir ainsi « équipée » et pire que nue à la recherche des indices qui la conduiront aux clés. Si ce jeu l’amusait au départ, elle le trouve soudainement moins amusant. Léa ayant démarré le magic wand, entre les grelots de ces pinces à sein et le bruit du sextoy vibrant, il lui est impossible d’être discrète. C’est avec la rage au ventre qu’elle entreprend le parcours tant bien que mal. Obligée de se baisser au premier indice facile à trouver dans sa boite en plastique, Julie constate comme elle s’y attendait que le prochain se situe dans le verger. Sauf que pour s’y rendre, elle est obligée de passer le long du potager qui est complètement à découvert. Un quart d’heure plus tard, Julie découvre la petite statue aux pieds d’un plaqueminier. Encore une fois obligée de se baisser, sans le vouloir elle replace au bon endroit de son anatomie le magic wand qui avait bougé pendant ses déplacements difficiles. Enfin à l’abri des regards dans le verger, être ainsi entravée, caressée par le vent venant de se lever et avec le magic en bonne place, Julie commence à savourer les plaisirs de ce jeu. Au lieu de partir de suite jusqu’au fond du verger chercher les clés, elle s’accorde un moment de plaisir par peur de déplacer le vibro. Jouir ainsi, comblée, entravée, nue en pleine nature va être divin. Avec prudence, Julie va s’appuyer contre l’arbre pour ne pas tomber quand elle va exploser dans cette jouissance s’annonçant torride. Si de nature elle est discrète dans ses jouissances, entre la puissance de l’orgasme qui la terrasse et le bâillon bouche ouverte, elle en arrive à faire peur aux oiseaux venus assister au spectacle. Sa jouissance dure un peu, le magic ne lui accordant aucune pause. Si elle ne s’était pas appuyée contre l’arbre, elle se serait sûrement écroulée dans l’herbe. Si en d’autre temps, Julie apprécie ce sextoys, le fait de ne pas pouvoir l’arrêter un moment le rend soudainement moins agréable. Elle reprend donc le parcours en bavant sur sa poitrine, la jouissance paroxystique lui a donné si chaud qu’il lui est difficile de déglutir correctement. Léa l’attend à l’arrivée. Assise sur la chaise située sous la cabane naturelle, elle joue avec la ficelle reliant les clés ensemble. Elle en profite pour faire quelques photos au grand dam de son amie un peu honteuse. Regarde ce que Marc m’a prêtée ? Indique Léa en faisant voir une corde. Il m’a dit que je pouvais l’accrocher à l’arbre et te laisser mariner un peu avant le repas. oonnn en eu us ! Supplie Julie. Comprenant que son amie voulait dire « non, j’en peux plus » dans sa grande gentillesse, Léa lui retire les fers de bagnard puis le magic avant de lui passer la corde autour du cou comme pour ramener une esclave. Arrivées à la terrasse couverte située avant la piscine et le donjon, Léa lui donne à boire, essuie son visage trempé de transpiration et exige un bisou. Pendant ce bisou, Léa trouve que son amie mérite de prendre un bain. Sans lui retirer les menottes et les chaînes, elle la conduit à la piscine avant de la pousser sous la douche solaire. Puis, elle la fait dans l’eau. Aussitôt rejointe dans cette piscine où l’on a pied, c’est la fête à la grenouille, caresses, bisous et câlins sont au rendez-vous. Libérée des menottes un peu plus tard, Julie peut enfin prendre son amie dans ses bras pour une étreinte très câline. L’étreinte est associée de quelques mots « d’amour » du type salope, t’es malade, t’es folle » et d’un « je t’aime ». ................ Lors du repas du soir, offert par Julie, Léa demande à Marc si il pourrait lui donner un cours de bondage et quelques idées à faire lorsque son amie sera attachée. Julie sent aussitôt ses joues s’empourprer. Même si elle sait à présent qu’il ne la touchera pas et ne la jugera pas, se faire attacher quasiment nue ou peut-être pire par lui, la gêne énormément. Étant en pleine forme, il leur propose de le faire juste après le dîner. Si bien qu’une heure plus tard, il les rejoint au donjon. Toujours aussi zen, Marc apprend à Léa à faire un harnais. Pendant son cours, il lui donne des idées perverses du type, « cela peut être pratique pour bloquer des choses dans les orifices, entraver rapidement les poignets par surprise, l’envoyer faire des courses avec le harnais sous ses vêtements, ou se servir du harnais pour rebondir et faire autre chose ». Je peux aussi vous faire voir comment faire un Hogtied ! Volontiers ! Répond Léa très motivée. Comme c’est beaucoup plus contraignant, Julie pourrait s’allonger sur le lit de la chambre Love, ce sera plus confortable pour elle ! La proposition est actée. Le modèle peu rassurée s’allonge donc sur le ventre. Marc la fait descendre un peu sur le lit afin de proposer plus tard, une idée de jeu à Léa. En un rien de temps, les bras de Julie sont entravés dans son dos, puis reliés aux pieds de cette dernière dont les jambes sont également attachées et repliées. Vous pouvez également le compléter avec le cochet anal de bondage et une petite corde à fixer, soit à un bâillon, soit dans sa queue de cheval. Cela rajoute une touche de BDSM et impose au modèle de garder la tête haute. Et si j’osais, je vous dirai bien quelque chose de plus..... Osez chez Marc, oser, ma soumise fait semblant de ne pas apprécier vos idées, après elle coule comme une fontaine ! Répond Léa curieuse. Si vous y mettez le cochet de bondage dans les fesses, je vous fais voir pour les noeuds et vous donnerai l’astuce ! La pauvre Julie ! Ses joues s’empourprent alors qu’elle détourne le regard, essayant de préserver sa timidité face à l’idée que l’on insère quelque chose dans ses fesses devant quelqu’un ! Sa jolie petite culotte est donc transformée en string, ses petites fesses écartées pour l’insertion du crochet anal de bondage. Pendant que Marc y fixe la corde, malgré la gêne, elle est particulièrement troublée en sentant son anus profondément pénétré surtout lorsqu’il attache ensuite la corde à sa queue de cheval en relevant sa tête. Voilà qui est fait, il ne vous reste plus qu’à la laisser mariner ou vous amuser avec elle par exemple, en vous allongeant jambes écartées sous son visage pour une dégustation de minette ou dans l’autre sens si vous aimer que l’on lèche votre petite rose. Et puis, si elle ne s’applique pas et ne vous donne pas pleinement satisfaction, demain je vous prête la machine à fessée ! En entendant ça, la pauvre Julie se décompose. Il sait donc qu’elles câlinent ensemble. Après leur avoir souhaité une bonne soirée, Marc se retire afin de les laisser s’amuser en toute intimité. J’adore ce mec, il est aussi pervers que respectueux, qu’en penses-tu ? Demande Léa. J’en pense que j’ai horriblement honte ! Pourquoi, il fait tout pour nous mettre à l’aise et que l’on s’amuse. Et encore, à mon avis, là il doit faire dans le soft.... Bien, passons aux choses sérieuses, j’ai envie d’une minette pour commencer et puis, après on verra..... Ni une ni deux, Léa se dévêtit, ajuste les lumières et démarre la musique avant de se coucher sur le lit en offrant son chaton à la dégustation. Tu as intérêt à t’appliquer, regarde j’ai aussi pris la cravache et le magic, au cas où... En plongeant le nez entre les cuisses fusées de son amie, Julie constate qu’à chaque mouvement de tête qu’elle fait, elle masturbe son anus légèrement en tirant sur la corde. Ses petits mouvements cumulés au bondage qu’elle adore, la belle petite soumise gravit peu à peu les échelons de l’excitation. Pour le jeu, Léa donne de temps en temps quelques petits coups de cravache, rien de bien méchant mais simplement pour pousser son amie dans ses retranchements. Soudain, l’idée proposée par Marc de se faire « bouffer le fion » lui vient à l’esprit. Tu ne t’appliques pas, je vais être obligée de prendre le magic si je veux jouir. Puisque tu es mauvaise avec mon clito, peut-être seras-tu meilleure avec mon petit, comment a t’il dit déjà ? Ah oui, ma petite rose ! Julie est un peu en perdition quand son amie se tourne et descend un peu sur le lit en écartant les fesses. Si elle n’avait pas été sous bondage, elle ne serait pas parvenue à lécher « un trou du cul ». Petit à petit, sa langue ne lui rapportant rien de particulier hormis une autre forme de contact charnel, cet acte ne lui déplait pas tant que ça. Si bien qu’elle met du coeur à l’ouvrage et va même jusqu’à se servir de sa langue comme un petit sexe. De l’autre côté de l’anatomie de son amie, le magic ronronne contre le clitoris. Sous ces si agréables sensations le cratère étoilé semble se mettre à « convulser », exposant ainsi que sa propriétaire apprécie. Après plusieurs orgasmes, Léa coupe le magic pour s’accorder une pause syndicale pendant que dans la hiérarchie, sa subalterne continue d’oeuvrer. Le patron serait furieux si il apprenait que Léa s’est endormie ainsi jusqu’au moment où, elle est réveillée par une morsure. Aie ! T’es folle ou quoi ? Ben quoi, tu dormais en me délaissant complètement comme si j’étais un simple sextoy ! Tu m’as fait réellement mal et puis il y a façon et façon de réveiller les gens. La tienne va te coûter cher demain ! Répond Léa sur le ton de la colère. Libérée des cordes, Julie n’est pas invitée à se coucher avec son amie mais mise au coin du gîte mains sur la tête comme une gamine punie. La pauvre Julie ne sait plus où elle en est. Particulièrement triste d’avoir fait mal à Léa, elle se morfond en se demandant également si elle l’a déçue. Les yeux pleins de larmes, elle finit par se retourner (sans permission) pour demander pardon. Tu ne vas pas me faire une dépression parce que tu t’es faites engueuler ! Mais oui tu es pardonnée mais demain, tu ne couperas pas à la machine à fessée. Allez, viens te coucher contre moi mais sèche tes larmes de crocodile ! Cette réponse éveille en elle des sentiments qu’elle ne peut ni ignorer ni comprendre pleinement. Dans un sens elle est rassurée, dans l’autre elle a peur de la fessée, tout en se sentant coupable mais heureuse de savoir que son amie devenue sa Maîtresse la punirait et donc, qu’elle l’aime encore. A L’ATTENTION DES LECTEURS Quand l’amitié devient Amour, le risque de voir exploser la relation amie et sexfriend est grande. Ah cela se rajoute que si à cet amour s’ajoute le BDSM, l’affect de la personne soumise est si décuplé qu’une rupture ou un simple écueil peut être vécu comme un traumatisme. Il est donc sage de le savoir afin d’être prudent dans ce type de relation parfois si belle, si magique. DERNIER JOUR DE VACANCES Le lendemain, il est décidé de se rendre à Saragosse pour faire du tourisme et du shopping. Avant de partir, les filles ont demandé à Marc si elles pourraient utiliser le service « Eco tourisme » proposé par le gîte. Ce service gratuit permet aux touristes de faire des achats sans trop se soucier de la place dans leurs valises. Il leur permet également de faire de sérieuses économies puisque beaucoup de produits sont nettement moins chers en Espagne. http://***LIEN PROMOTIONNEL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo ***/eco.html A leur retour, Marc leur donne un assez gros carton afin qu’elles puissent y ranger tous leurs achats. A la suite de quoi il le pèse puis les installe devant un ordinateur pour qu’elles puissent réaliser leur expédition puis payer les frais de port. Le colis avec toutes les folies réalisées dans les magasins ne sera expédié que le lundi après leur départ. Est-ce que vous pouvez nous prêter la machine à fessée, ma soumise a osé hier soir mordre mes parties charnues. Cela mérite donc une punition mais comme je ne me sens pas capable de la lui donner, la machine à fessée pourrait le faire à ma place ! Demande Léa La pauvre Julie pique un far de honte, sa gorge se serre aussitôt car elle se doute que Léa demandera de lui faire une démonstration qui aura lieu où ? Sur ses pauvres fesses évidemment ! Elle ne se trompe pas puisque Marc répond qu’il prête volontiers sa machine à fessée, mais qu’il y a une petite formation préalable afin d’éviter de casser les accessoires ou pire de faire tomber sa machine. Ils se rendent donc au donjon où il installe la machine en la fixant sur la chaise d’inquisition, une sorte de chaise haute pour adulte avec des possibilités autres que de nourrir un bébé ! Il précise à ce moment là qu’il est parfois intéressant d’y faire asseoir la personne punie juste après la fessée. Il suffit d’y déposer une sorte de paillasson plastifié avec de nombreux picots. La personne entravée dessus apprécie moins cette chaise que d’être au coin comme une gamine. Autant dire que Julie s’imagine bel et bien installée nue avec les fesses rouges sur cette maudite chaise. Après avoir installé le banc à fessée contre la fameuse chaise, Marc propose à Léa d’installer la fautive et surtout de bien serrer les entraves. En effet, si par réflexe elle mettait ses mains sur ses fesses au mauvais moment, elle aurait extrêmement mal aux doigts. Léa n’hésite pas un instant à relever la jupe et déculotter son amie pendant que Marc lui explique comment fonctionne la machine. Vous pouvez régler ici la puissance de un à dix, et sur la télécommande la durée de la fessée, le mode aléatoire ou programmé ! Explique Marc. Puissance maximum, cette vilaine mérite une bonne fessée ! Je vous le déconseille pour plusieurs raisons. La première est que puissance maximum avec une canne, ce sera extrêmement douloureux. La deuxième est qu’il est bien de « chauffer » un peu les fesses en démarrant progressivement, un peu pour faire chauffer un moteur avant de lui demander pleine puissance. Cela permet de jouer plus longtemps et surtout, d’inscrire dans le délicat fessier une punition qui se prolonge dans le temps. En clair, demain elle trouvera tous les sièges inconfortables et se rappellera de sa punition. Démarrez doucement, vous pourrez toujours augmenter la puissance. Je vous laisse entre vous gérer la suite, punition ou plaisir ou les deux ! Leur indique Marc avec un grand sourire juste avant de les laisser tranquilles. Si Léa était bien décidée à aller au bout de sa promesse, l’idée de faire réellement mal à son amie la perturbe En effet sa tirade précédente indiquant « puissance maximum » était juste pour s’amuser à faire peur à sa soumise. Elle démarre donc la machine à fessée avec prudence en mode « puissance 2 » et règle la durée sur trois minutes. Si son intention n’était pas de réellement punir par la douleur, elle constate rapidement que puissance deux, la fessée ressemble plus à des caresses qu’une punition. Julie semble même très apprécier, le comble de la déception pour une Maîtresse. Ça c’était pour t’échauffer les fesses, nous allons donc passer à la puissance supérieure ! Indique Léa en passant à « la puissance 4 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller s’installer sur le fauteuil de Maîtresse. Son but est de savourer les expressions du visage de cette amie et soumise que secrètement elle commence à aimer d’Amour. Lorsqu’elle lance la machine, Léa peut constater que Julie se pince les lèvres de douleur, en réalité ce n’est que de surprise. Pendant que les minutes de fessée mécanique s’égrainent, elle s’étonne de voir le visage de Julie s’épanouir comme si elle prenait du plaisir. En effet, elle entrouvre régulièrement les lèvres, affiche même le visage d’une fille « satisfaite ». Pour Julie, c’est une réelle découverte. Si être attachée et « contrainte » compte de ses principaux fantasmes, elle découvre lors de cette deuxième série, le plaisir que procurer la fessée. La deuxième série de fessée terminée, Léa se lève pour aller voir l’état des fesses de son amie. Les stries rouges qu’elle découvre lui pince le coeur. Ça va tu as compris que tu ne dois pas mordre ta Maîtresse ? Demande Léa pour jouer son rôle. Non Maîtresse, je n’ai pas compris et il est fort probable que je recommence de vous mordre ! Répond Julie. « ??????? » (Résumé des premières pensées de Léa) En effet, elle ne comprend pas qu’après avoir eu mal et les fesses marquées son amie en redemande en la provocant de la sorte. Pour en avoir le coeur net, elle laisse glisser ses doigts sur les fesses chaudes et striée en générant des frisons et un gémissement de satisfaction. Bien décidée à pousser ses investigations, le meilleur (doigt communément appelé le majeur) glisse dans la vallée pour aller mesurer l’hydrométrie du temple des plaisirs féminins. Elle s’étonne et s’émeut de découvrir un véritable « marécage ». Mais tu es maso des fesses toi ! Oui Maîtresse, ai-je droit à une autre série un peu plus forte ? En guise de réponse, Léa passe la machine à « la puissance 5 » et en réglant la durée sur cinq minutes avant d’aller chercher une chaise et le magic wand. Elle lance la machine qui, régulièrement fait son office en claquant les fesses avec la régularité d’un métronome. En évitant les coups de canne, Léa allume le gros vibro qu’elle pose sur le clitoris de son amie. Moins d’une minute plus tard, Julie se met à chanter puis crier son plaisir sans aucune pudeur. Léa s’étonne même de l’intensité de cette mélodie. Noyée dans le plaisir des contraintes, ses fantasmes, la douleur devenant plaisir grâce aux endomorphines et ses jouissances à répétition, Julie en arrive à espérer que cela ne s’arrête jamais. Par contre, en voyant le fessier se marquer sérieusement, Léa se demande si elle doit poursuivre ou pas. Lorsque la machine s’arrête, elle la débranche aussitôt, estimant devant l’état des fesses que cela suffirait. C’est lorsqu’elle la délivre des entraves que Julie craque et se met à pleurer. Ultra perturbée, Léa l’aide à se relever pour la guider vers le lit de la chambre Love pour un gros câlin consolateur. Désolée ma puce, je ne comptais pas aller si loin ! Lui murmure Léa entre deux bisous doux et sages. Ne soit pas désolée, je pleure de bonheur, de trop de sensations ! Répond Julie en plongeant son visage dans la poitrine de son amie comme si ses seins devenaient un refuge. Un gros quart d’heure plus tard, enfin remise de ses émotions, Julie demande dans quel état sont ses fesses. Elles virent au bleu à certains endroits ma puce. Je m’en moque, c’était vraiment trop bon ! Je peux en acheter une ? Demande Julie. Si tu veux, ce sont tes finances mais à condition que je sois ton « garde folle » car tu risques de finir par te blesser. Maintenant c’est ton tour ! Déclare Julie spontanément. Jamais, il est hors de question que je prenne une fessée ! Mais non, ce n’est pas de ça que je parle, j’ai envie de te faire l’amour, de te rendre heureuse. Laisse-toi faire, tu ne le regretteras pas ! Léa se laisse donc entraver nue bras et jambes en croix sur le lit de la chambre Love. Le but de Julie étant de la rendre « chèvre » de plaisir, elle s’investit totalement dans cette mission impérieuse en semblant se fondre harmonieusement dans des étreintes passionnées. Pas un pore de la peau de sa Maîtresse n’est épargnée par les lèvres avides et la langue goulue de l’amoureuse. Ses doigts, ses ongles et les sextoys font aussi cause commune dans cette « monstrueuse vengeance » visant à combler de bonheur celle qui lui a appris qu’entre femmes, le plaisir pouvait être divin. Nos amoureuses sont quasiment à l’état de légume sur pattes lorsqu’elles se rendent au gîte pour se coucher. Elles sont si épuisées que l’idée d’une douche ne les a même pas effleurées. Toutes deux, elles quitte le lendemain le gîte fétichistes avec le coeur gros tant ces vacances ont été merveilleuses. EPILOGUE Depuis ces vacances au gîte fétichistes, elles ne sont plus quittées et se sont décidées à emménager ensemble. Léa n’est toujours pas une vraie Maîtresse, elle ne pratique la domination et le bondage que par jeu et surtout par amour. Julie s’est mise aux plaisirs saphiques, elle n’a plus envie de quoi que ce soit avec la gente masculine, avec Léa elle a trouvé le bonheur et son épanouissement personnel. FIN TSM Note de l’auteur • Si Marc existe réellement • Si le gîte fétichistes existe réellement • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes. Visiter le SITE du gîte fétichistes en cliquant ICI Visiter le gîte fétichistes en vidéo sur Youtube
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Par : le 08/05/23
Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm Comment débuter une relation BDSM ? Vous vous sentez attiré par le BDSM, mais vous ne savez pas comment débuter une relation BDSM ? Cette page est faite pour vous ! Après avoir répondu à de nombreux lecteurs, je vais mettre ici quelques-unes des questions les plus posées et y apporter mes réponses. Si vous avez d’autres questions  venez sur le forum ou contactez-moi via ce formulaire. Je ferai souvent référence à notre jeu pour soumise, pas forcément parce que je pense que c’est la meilleure solution mais parce que les conseils que je donne je les ai intégré à notre jeu. Comment dresser une soumise ! Cette page évolue au fur et à mesure des questions. Elle peut s’appliquer quel que soit le sexe de la personne dominante et de la personne soumise. Afin d’éviter les lourdeurs dans le texte, je ne mettrai pas systématiquement toutes les versions de “le” ; “la” “soumis” dominatrice etc. Attention Les conseils prodigués ici ont pour but d’amener deux personnes consentantes à avoir une relation BDSM (ou Maître(sse) / esclave ou Dominant(e) / soumise) pour le plus grand plaisir des deux. Si votre question est “comment faire pour que ma femme soit mon esclave” mais sans s’occuper d’elle ni s’intéresser à ce qui lui plaît, vous pouvez d’ors et déjà fermer cette page. Ça doit rester ludique et amusant pour vous deux. Bon, oui, il y aura des moments un peu difficile, ça peut chauffer durement une fessée… De quoi parle-t-on exactement ? BDSM sont les initiales de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme. Il s’agit d’un ensemble de pratiques sexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission. C’est un jeu sexuel où chacun décide de prendre une position définie. Il y a plusieurs types de relations BDSM, en fait il y en a autant que de couples (ou de groupes…). C’est a vous de créer ce qui vous ressemble, ne vous intéressez pas à “ce qui se fait” ou “ce qui doit être fait”. On peut être masochiste ou pas, sadique ou pas, aimer l’humiliation ou pas, être libertin ou exclusif… Tout est possible. Vous pouvez tout de même jeter un œil à une référence “les 9 niveaux de soumissions dans le cadre BDSM” Comment trouver une soumise / Comment trouver un soumis ? Dans la vie de tout les jours ! Et oui, parfois on trouve juste un(e) partenaire et on se dirige lentement vers une relation dominant(e) / soumis(e). Les forums et sites dédiés au BDSM. Attention si vous allez sur des forums, ne postez PAS de petite annonce, en plus d’être parfaitement inutile c’est souvent mal pris. Ces lieux sont des communautés, vous ne pouvez pas demander quelque chose d’aussi intime à un groupe 15 minutes après vous y être inscrit. Je suis sur quelques forums / sites : Sur notre forum BDSM, ici www.bdsm.fr https://fetlife.com/ Les munchs Il s’agit de rencontres réelles de gens intéressés par le BDSM. Lors de ces réunions on discute, parfois on boit et on mange. Généralement, ces échanges se font dans des lieux tout public : il faut être habillé normalement, pas de relation sexuelle, bref comme on fait dans un bar. C’est plus rassurant pour tous, d’ailleurs ! Rien n’empêche après, si des affinités se créent, d’aller finir la soirée ailleurs. Comment trouver une Maîtresse ? Comment trouver un Maître ? (Ou un(e) dominant(e). Voir réponse ci-dessus ! J’ai trouvé un soumis / une soumise / un dominant / une dominante sur internet, et ça a l’air d’être une perle rare. Attention. C’est peut être tout à faire vrai, et la personne est peut être totalement honnête. Ou pas. Il y a beaucoup de ce qu’on appelle des “fantasmeurs”, ce sont des gens qui vont se projeter, pour un temps dans un jeu de rôle qui les excite. Cela agit pour eux comme un jeu de rôle (RolePlay BDSM). De votre côté, vous vous investissez beaucoup : soit à créer des scénarios, des ordres, établir et entretenir un lien. Soit en étant obéissant, en montrant votre dévotion. Dans les deux cas en vous rendant disponible. Sauf que, d’une part, du jour au lendemain l’autre personne peut tout plaquet. D’autre part, êtes vous certain que la personne à qui vous écrivez est celle qu’elle prétend être ? J’ai déjà un(e) partenaire, comment lui faire savoir mes penchants ? Et oui, c’est compliqué ! Peur d’être honteux, rejeté, moqué… Surtout si on est jeune et qu’on craint que ça ne se répande dans le cercle d’amis ou de connaissances. Si vous êtes dans ce dernier cas, faites très attention, car le harcèlement peut prendre des proportions énormes en un rien de temps. En cas de catastrophe ne restez pas seul(e), parlez avec un(e) ami(e) sûr(e), ou parlez en sur un forum ou ici, je ferme la parenthèse. Si vous êtes un peu anxieux(se), pour en parler à votre partenaire optez pour une solution qui ne laisse pas de trace : l’oral, des exemples sur votre téléphone ou ordinateur, mais rien d’écrits que vous envoyez. Ensuite, vous pouvez opter pour plusieurs choses :  Un SMS, si comme moi vous avez du mal à parler directement, “tu connais le BDSM ? Je découvre quelques photos que j’aime bien” et ajoutez en une ou deux pour amorcer la discussion. C’est un peu bateau mais ça peut se mêler dans la vie de tout les jours. Une lettre manuscrite ou écrite à l’ordinateur et imprimée ou envoyée par courriel. Il faut se poser et l’écrire, la relire, peut être attendre un peu… Et envoyer ! Ça permet de bien choisir ses mots et son moment. Lui parler, lui expliquer, pendant un repas, un RDV ou un apéro. Mais qu’est ce que je lui dit ? Ce que vous ressentez, pour elle / lui, ce que vous aimeriez lui faire, ou qu’elle vous fasse. Ce que vous aimeriez en plus, ce que vous avez déjà fait et que vous avez apprécié. Vous pouvez ajouter des photos et / ou vidéos, ou des liens vers des photos et vidéos qui vous plaisent. Essayez de savoir un peu ce que vous voulez avant d’aborder le sujet avec l’autre. Est-ce que la personne va refuser ou accepter ? Ça je ne peux pas le savoir. Mais honnêtement, aucune des personnes avec qui j’ai parlé est revenu me dire “bon, elle n’a pas voulu”. Et si mon (ma) conjoint(e) décide de me quitter ? Concrètement, si vous ne pouvez pas parler de sujets comme celui-ci à votre partenaire… Avez vous vraiment un partenaire ? Autant ne pas perdre de temps, si vous vous rendez compte que ça vous est “vital” et que c’est hors de question avec votre conjoint(e), l’un, l’autre, ou les deux risquez d’être malheureux et de vous abîmer. Elle semble partante pour essayer et elle voudrait en savoir plus, que faire ? Discuter, encore. Échanger vos préférences. Pourquoi ne pas lui indiquer ce site ? La personne pourra lire des questions réponses, et poser toutes celles qu’elle veut ! Je pourrais également transmettre les questions à ma soumise qui répondra directement. Mon conjoint semblait partant, mais tarde à prendre des initiatives pour me soumettre. Déjà un homme très excité (ça marche aussi pour les femmes…) aura probablement beaucoup plus tendance à se lâcher et à aller vers ce que vous souhaitez. Vous pouvez essayez de créer un scénario, même des grandes lignes, et  lui présenter afin de le réaliser. Sinon essayez de savoir ce dont vous avez envie, puis pendant une partie de jambe en l’air bien chaude, lui dire de vous fesser, de vous baiser bien fort à 4 pattes. Vous pouvez essayer de bien l’exciter : en le suçant à genoux, en écartant votre cul, votre chatte pour le mettre dans l’ambiance. Attention, si le but est d’avoir un(e) partenaire soumise, le vous déconseille de bien l’exciter pour ensuite le / la soumettre par surprise : c’est de l’abus. Comment savoir ce qu’on aime, il y a une liste ? Hé bien… Oui, j’ai une page dédiée à cette liste : Liste de préférence sexuelle (Checklist BDSM, questionnaire bdsm) je vous conseille de la remplir chacun de votre côté et de mettre en commun ensuite. Il faut clairement poser vos limites, l’un comme l’autre. Allez, on se lance ! Faut-il du matériel en particulier ? Absolument aucun. Ça viendra avec le temps ! Pour démarrer, vous avez déjà vos mains pour fesser, pourquoi pas une spatule de cuisine. A-t-on besoin de quelque chose pour se mettre à genoux ? Au gré des envies, des cadeaux, des promos, vous ferez votre stock d’accessoires et de tenues. Le but est de prendre du plaisir à deux : votre corps suffit. Je manque d’idée… Qu’est-ce que je peux faire ? C’est précisément pour cette question que je partage notre jeu : allez voir sa page ou celle de la version vanille. Il y a au total plus de 200 idées pour soumettre sa femme, ou pour se soumettre. Une version pour homme soumis devrait arriver. Mademoiselle (ou Madame, ou autre) accepte d’être ma soumise une soirée, qu’est ce que je fais ? C’est toujours compliqué de répondre à ce type de question, car elle dépend vraiment de vous, du couple que vous formez et de vos préférences. Parmi les idées que je propose, c’est à vous de créer votre projet. En revanche je vous conseille de créer un SafeWord (mot de sécurité, mot de secours, vous ci-dessous). Respectez ses limites et son consentement. Comment débuter une séance ? Il y a mille manières ! Mais si on est ensemble, je conseil de la mettre à genoux, de lui mettre un collier (voir plus bas), ou autre signe distinctif et de lui demander “qu’est ce que tu es ?”, elle répond alors “Je suis ta chienne” ou quelque chose comme ça. Plusieurs propositions sont intégrées dans les règles de notre jeu. Qu’est-ce que le SafeWord ? Il s’agit d’un ou plusieurs mot, qui, lorsqu’ils sont prononcés, font baisser l’intensité du jeu, ou arrête tout. Soit le temps de reprendre ses esprits et de ce mettre d’accord, soit complètement jusqu’à un prochain jeu. Dans notre contrat nous en avons plusieurs : « Orange » on calme un peu. « Rouge » on arrête tout et on discute. « Câlin », tu te mets contre moi et je te câline, tu me redis quand tu te sens prête à continuer. Lorsque le safeword est prononcé faites ce qui est prévu : calmez-vous ou arrêtez-vous immédiatement. Vraiment, sinon vous torpillez la confiance de votre partenaire -et à juste titre- vous ne la méritez pas. Pour les premiers jeux, évitez les baillons pour que votre partenaire puisse s’exprimer librement. Faut-il créer un scénario complet ? Vous pouvez, mais je vous conseille de faire quelque chose de vague : quelques idées notées, quelques pratiques, un déroulement schématique. Sachez inviter l’inattendu ! Sur le moment vous aurez probablement d’autres envies, d’autres idées. Vous pouvez également créer un scénario très précis et essayer de le respecter à la lettre, c’est autre chose et ça peut rassurer de savoir à l’avance ce qui est prévu. Quelque chose ne se passe pas comme prévu, je fais quoi ? Il faut savoir s’adapter : il y aura des bonnes et des mauvaises surprises. Ne vous vexez pas et avancez. Vous trouverez d’ailleurs des exemples de mes “échecs” sur ce blog, nous sommes humains et je tiens à montrer que nous ne sommes pas différents, quel que soit le côté du fouet où on est. Elle refuse un truc, je la punis ? C’est très excitant, on est bien lancé… Mais elle n’agit pas comme prévu. Clairement, surtout au début, je vous déconseille de la punir si ça ne va pas comme vous voulez, ça braquerait encore plus. Vous êtes dans la vraie vie : prenez soin l’un de l’autre. Attention à l’effet que ça peut avoir sur elle, restez bien à l’écoute. S’il s’agit d’un jeu entre vous, qu’elle vous teste, vous pouvez insistez en restant dans le cadre définit au départ. Si vous avez essayé de faire quelque chose alors qu’elle vous avait dit que c’était en dehors de ces limites, vous êtes fautif, présentez vos excuses et rassurez votre partenaire. Si vous avez juste proposé pour voir si elle pouvait aller plus loin, revenez en arrière. Mais, ma compagne n’est pas forcément prête en même temps que moi. Je suis personnellement parti du principe que le dominant serait toujours plus ou moins prêt et que c’est à la personne soumise de définir lorsqu’elle est prête. C’est pour ça que dans notre jeu, la soumise ou l’apprentie pioche deux actions par mois et les réalise quand elle veut dans le mois. Ça permet qu’elle se sente bien, prête, et qu’elle ait pu faire tout ce qui lui semble nécessaire pour le bon déroulement de l’action et du jeu. Cette article peut également aider : Je suis soumise mais je n’ai pas envie, que faire ? Est-il possible de lui imposer un moment où elle est soumise ? C’est à vous de voir. Surtout, ne vous précipitez pas. Dans une situation comme la notre, à mon avis il peut être nécessaire à un dominant de choisir un moment ou Mlle ou Mme DOIT être soumise quoi qu’elle en pense -à partir du moment où elle a accepté cette possibilité-. Dans le cadre de notre jeu, ma soumise l’est : pendant ses actions, pendant 96h à la suite une fois par an (la date est choisie ensemble), 3 fois 24h répartie dans l’année quand je veux. Je lui envoie ou lui dis simplement quelque chose du type “à partir de maintenant et pour 24h tu es ma soumise”, elle signe son contrat et débute sa période de soumission. Lorsque l’ordre est donné par SMS le contrat est signé plus tard. Un contrat est-il obligatoire ? Absolument pas. Alors pourquoi on en fait un ? Déjà, pour entrer dans le rôle, ça a un côté solennel, comme le collier. Ensuite, parce que ça peut permettre de mettre noir sur blanc les limites, les obligations, les rôles de chacun. Dans le BDSM, tout est souvent du spectacle ! Si vous en faites un, ne signez pas ce avec quoi vous ne seriez pas d’accord. Nous proposons un grand nombre de contrats BDSM ici. Comment être guidé ? Il y a plusieurs solutions, les forums, les réseaux sociaux, vous connaissez tout ça. Il y a aussi le mentorat BDSM : il s’agit de choisir un mentor, un compagnon de route a qui poser nos questions, construire avec lui le cheminement. Les personnes dominantes et les personnes soumises peuvent demander ceci, et à mon sens même si le mentor est souvent un dominant pour un autre dominant : il n’y a pas de règle. J’ai moi même conseillé plusieurs soumises, qui se posaient des questions sur le chemin que prenait leur relation. Vous pouvez me contacter via le formulaire, via instagram,  Le collier est-il obligatoire ? Ma femme refuse de porter un collier. Absolument pas. Si elle refuse, elle refuse, point. Elle trouve peut être cela trop dégradant. La situation changera sûrement si elle comprend, ou plutôt lorsque vous lui aurez montré que devenir “une chienne” ne ternit pas son image à vos yeux, mais au contraire vous rend fier. Pourquoi ne pas lui proposer de porter un joli ruban au départ ? Ou un petit bracelet, ou une petite chaîne de cou, sans connotation autre que pour vous. Ça peut être l’occasion d’un petit cadeau ! Par ailleurs certains dominants estiment que le collier doit se mériter et s’obtenir après un certain temps. Est-ce qu’on peut inverser les rôles ? Absolument ! Dans le milieu ça s’appelle “switcher”, on appelle “switch” ceux qui inversent régulièrement. Je trouve que c’est très positif : ça permet à celui / celle qui prend le rôle de dominant de se rendre compte de la responsabilité, de savoir à quoi il faut penser, de préparer des choses, de prendre soin de l’autre. Pour celui / celle qui devient soumise, ça permet de savoir la difficulté d’obéir en tout, voir de souffrir pour son / sa dominant(e). Je souhaite faire du Shibari / bondage, ligoter mon / ma partenaire ? Tant mieux ! Renseignez vous bien sur les consignes de sécurité avant de vous lancer. Vous trouverez quelques tutoriels de bondage simple ici: https://*** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) ***/tag/tutoriel Mon / Ma conjoint(e) veux me soumettre, est ce qu’il m’aime ? Je ne connais pas votre couple, je ne peux pas être catégorique. Pour savoir s’il / elle vous aime : il faut lui demander. En revanche, est-ce qu’on peut être fou amoureux de quelqu’un et vouloir la soumettre ? Oui, c’est mon cas. Est-ce pour me punir, j’ai fais quelque chose de mal ? Non. Si d’ailleurs vous devez prendre une punition violente parce que vous “avez raté quelque chose” dans la vie de tous les jours, vous êtes probablement victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. On trouve d’ailleurs souvent des soumis(e)s qui disent “fauter” exprès pour que leur dominant(e) sen occupe. Mon mari veut me faire porter un collier en public, je ne veux pas ou Mon mari veut me prêter à d’autres hommes, je ne veux pas. D’une manière générale : mon (ma) conjoint(e) veut m’imposer quelque chose que je ne veux pas. Hé bien, ne le faites pas ! Si vous pensez qu’il / elle risque de vous quitter : avez vous envie de rester avec quelqu’un qui vous dit “soit tu fais ça soit je te quitte ?” ça finirai comment ? Après, oui, ça peut demander quelques efforts. Ne faites pas ce qui n’est pas tolérable pour vous, mais si un petit effort fait de gros effets ? J’essayerai bien, mais j’ai vu des photos de choses terrifiantes. Voir réponse ci-dessus : ne faites que ce que vous voulez. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Je n’y arriverai jamais ! Les soumis(es) sur internet font des choses extraordinaires, je vais forcément être une déception. Ayez confiance en vous ! Parlez avec votre partenaire, énoncez-lui vos craintes, vos limites, vos efforts. À chaque progrès il / elle sera comblé(e), promis. De nouveau, ne faites que ce que vous voulez, et que ce que vous pouvez assumer. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Il n’a peut être pas prévu de vous percer les seins à l’agrafeuse, il veut peut être juste vous contempler à genoux avec un beau collier. Mais si je me mets à ses genoux, si je me soumets… Il ne va plus me voir que comme une chienne ?! Si c’est quelqu’un de bien dans une relation équilibrée, non. Si ce n’est pas quelqu’un de bien : il vous voit déjà comme un trou. Personnellement, plus ma soumise accepte volontairement d’être soumise, humiliée, baisée… Plus elle est grande et merveilleuse à mes yeux. Il / elle veut me rabaisser en dehors des séances de BDSM Alors ce n’est pas un jeu, vous êtes juste victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM sain, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. Personnellement, je pense que plus la soumise est forte dans tous les aspects de sa vie, plus sa soumission volontaire et joyeuse à de la valeur. Le rôle du (de la) dominant(e) est de soutenir son (sa) conjointe dans la vie de tous les jours, de le (la) rendre fort(e) et autonome. Voir cet article : BDSM sain ou violences. Que faire pour ne pas avoir de marque ? (Pour les enfants, le sport, l’été…) Privilégier les techniques qui ne laissent pas de marque : pincement de tétons et de lèvres, jeux d’humiliation, doigts dans la gorge, dilatation, déni d’orgasme… Plus les objets sont larges, moins ils marquent facilement : le paddle, la main sont donc à privilégier. Bien entendu, ne pas utiliser d’objet qui laissent des marques ou les utiliser doucement. Avec l’habitude, la peau durcit et on marque moins. Nous, nous pratiquons peu la douleur la peau est donc sensible en permanence.   Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm
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Par : le 14/04/23
Bonjour à tous et à toute. Avant de vous narrer mon histoire je vais commencer par contextualiser celle ci.   Dans mon pays le système scolaire est un peu différent du votre. Je m'explique après le lycée deux options s'offre à nous, la première intégrer une école vous formant à votre futur métier ou intégrer L'institution Elistique qui forme les prochaines générations de décideurs. Autant vous dire que cette seconde option est réservé à l'élite du pays et que le quidam lambda a peu de chance d'y entrer. Soit vous êtes fils ou fille de cette caste soit vous avez la chance d'être sponsorisé par une famille. Dans le cas contraire aucune chance de faire partie d'intégrer L'institution.   Ce système a été instauré après la révolte des grandes familles de 1827. Les grandes familles reprochait au roi de concentrer le pouvoir en son seul sein et prenait son aristocratie pour des pions corvéable a souhait. Afin d'apaiser son aristocratie, le Roi décida de créer un sénat dans lequel 201 sénateurs seront chargé de représenter le peuple en fonction de chaque castes, avec une grosse majorité de sièges réservés aux puissantes familles et les miettes aux représentant des classes populaires. En complément du sénat il ordonna de créer l'institution qui a pour charge de former les futurs représentant du pays (au sénat, ainsi que dans les différentes institutions du pays sans oublier les entreprises privées). La seconde différence, l’hygiène elle devint une des plus grande préoccupation du Roi après l'épidémie de 1831. Celle ci ayant fait de gros ravage au sein du peuple, prés d'un tiers des classes populaires disparut, créant une grande crise au sein des différentes manufactures du pays.. Le manque d’hygiène fut à l'origine de cette catastrophe. Il exigea donc de ses sujets de développer et créer un système qui permettrait de répondre à cette préoccupation. Ainsi dans les résidences aristocratique les premières salle de bain firent leur apparitions et pour le peuple les bains publiques et latrines firent leur apparitions, réduisant la mortalité du peuple.   Ah et pour répondre à la question, non je ne fais pas partie de cette élite, après la mort de mes parents lors de l'attentat de L'express en 1887 reliant la capitale Aleris à Belleris. Les extrémistes firent sauter l'aqueduc Beltéore, cet attentat fit 80 morts. La raison de cet attentat fait suite a la capture par l'armée royale d'un des chefs de cette organisation terroriste.   Je fus recueilli par une amie de ma mère et celle vint s'installer avec sa fille dans la maison qu'occupait mes parents. Cette maison était en réalité le logement de fonction de mon père, la compagnie des chemins de fer avaient créé autour de son usine des quartiers entier. Suite à l'attentat, la compagnie m'a offert en « compensation » cette maison, j'en ferai une description plus détaillé dans le chapitre UN.   Je vais me présenter, je suis né en 1877 et mes parents me donnère le nom d'Alex. A l'age de 10 ans mes parents disparurent dans l'attentat du train Express et ma tante fut chargé de mon éducation. Mes parents étaient plutôt permissif tout l'inverse de ma tante qui ne supportait pas le moindre écart et son martinet nous le rappelait très régulièrement.   Ma tante, une charmante femme de 45 ans, vivant de la pension de guerre de son défunt mari, mort au combat lors de la bataille de Wicrick en 1886 laissant derrière lui une fille, ma cousine, Morgane (changer de nom avec un truc d'époque). Bien que vivant avec cette pension, ma tante occupe de manière ponctuelle certains emploi de bonne de remplacement dans différentes familles. Avec ma cousine nous avons le même age (seule 3 mois nous sépare, elle adore me le rappeler) elle a elle aussi suivi une scolarité normale, le roi ayant imposé la mixités des classes, officiellement pour favoriser les échanges et la socialisation entre les deux sexes, officieusement réduire les coûts éducatifs. Ma cousine a un tempérament excentrique et adore vivre dans l’excès, ce qui lui vaut de longues et douloureuse discussion avec ma tante.   Maintenant que j'ai posé les premières base de mon récit, je vais vous parler du soir où ma vie a réellement changé. Nous sommes en 1897 et je viens d'obtenir mon certificat de fin d'étude et je pensais que ma destiné était toute tracé. En effet un ami de ma mère lui a proposé de me former au métier de charpentier et pour en parler elle l'a invité à dîner à la maison. Cela devait être un simple dîner et celui ci fut tous sauf simple. Je vous laisse découvrir ce qu'il c'est passé.
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Par : le 07/04/23
Il y a quelques mois j ai été contacté par une jeune soumise de 19 ans .. elle souhaitait connaître les sévices de la fessee, se faire strier les fesses, le sexe et les seins .. J'ai hésité avant de donner suite, du fait surtout de son jeune âge, je voulais être sûr de ce qu'elle voulait .. après avoir longuement discuté avec elle, rdv fut pris à l'hôtel .. une jolie jeune femme brune se présenta à moi, petits seins fermes, sexe épilé, portant de beaux dessous (string, porte jarretelles) à ma demande... intimidée au début, je l'a mis rapidement a l'aise et me suis assuré qu'elle était bien consentante.. nous avons convenu d'un safe word au cas où elle voudrait arrêter avant ..je la fis se déshabiller, en dessous .. et non nue, soutient gorge retiré, assise sur une chaise, son fessier face à moi, et je pût commencer mon œuvre.. après lui avoir strié son magnifique fessier et entendu ses sanglots, je la fis se relever, cette fois ci son buste face à moi .. je fis se promener là canne de bambou le long des petites lèvres de sa délicieuse chatte, puis le long de ses seins en m'attardant sur ses tétons .. ils pointaient sous l'effet de l'excitation.. je me suis attaché à les canner, juste sur le bout, je la voyais se dandiner sous la douleur que cela lui procurait, et cela me plaisait.. puis ce fut au tour de sa petite chatte a recevoir les coups de canne, j ai donc écarté d'une main son petit string, y ai enfoncé un doigt pour vérifier son etat d'excitation (elle était trempée de mouille) juste quelques coup de cannes.. j'ai terminé par ses jolis petits seins qui s'en sont trouvés eux aussi tout striés.. elle a terminé la session les larmes aux yeux mais heureuse de cette expérience... et moi aussi ..(sans les larmes ..)
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Par : le 30/11/22
Je pose mon regard sur ses fesses, J'adore ce cul, sa forme et sa peau, C'est un trésor digne d'une déesse. Chaque fois c'est un emoi nouveau, De voir ce bout de chair ensorceleur, Tout comme ses seins provocateurs. Elle est excitée, sans aucune crainte, Ligotée par les techniques du shibari, Art des cordes pour une solide étreinte. Mise en position fœtale, Momo shibari Les poignets avec un double column Tie A genoux, ses bras entre ses jambes. Expose son derrière et son entrejambe. La vu de ce spectacle est un vrai delice, Qui ne me laisse pas du tout indifférent. Vient le moment où mes mains glissent, Jouant des courbes de ce cul si troublant. Obsèdé tout le temps par ses jolies fesses, Des tentations et invitations aux caresses. Elle est en attente du châtiment tant espéré, Ses fesses offertes frémissent d’impatience En attendant la claque cinglante immodérée. Son corps s’agite, sa croupe dans l’indécence Soumise à mes caresses toniques et subtiles, Elle sait que ça va enfin commencer, elle jubile. Ma main claque doucement ce charnu popotin Son cul apprécie énormément et en redemande Faire attendre, prendre son temps, je suis coquin. Le cul en l'air, elle en veut plus, une gourmande, Mes mains fermes gifles ces fesses à nouveau, Ðes traces de doigts apparaissent sur la peau. Mains vigoureuses tapant de plus belle par jeu Ses fesses rougissent et deviennent ardentes Douceur et douleurs mixent son derrière en feu. Cette situation pour nous deux devient exaltante. Au comble de l'excitation,  elle en a des frissons, Elle est aux anges, sexe trempé, je suis polisson...
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Par : le 07/11/22
Elle est arrivée avant nous, comme prévu. Elle s’est douchée puis elle à enfilé la tenue laissée par nos soins sur le lit… très simple, des bas, une paire de talon rien de plus. Puis elle à attendu que son téléphone vibre, impatiente, déjà mouillée à l’idée de ce qui allait se passer bientôt dans cette chambre d’Hôtel… Nous l’avons rencontré valentine et moi, par hasard presque, lors d’une soirée bien arrosée chez des amis. Nous ne la connaissions pas. Très vite, elle remarque le collier de valentine, il est discret mais évocateur. Une paire de menotte sert de fermoir. Mais elle n’ose pas venir à nous et nous parler. Alcool aidant je pense, elle finit par lâcher un « joli collier ! » à valentine. C’est pour signifier mon appartenance à mon Homme lui répondra t elle. A ton homme ou à ton Maître ? Sourit Hélène. De là en découla une discussion entre ces deux femmes qui se découvraient. Soumise toutes deux, aux envies multiples et au besoin d’abandon, de lâcher prise évident. Ce n’est que trois jour plus tard que valentine me fit part de sa découverte et des envies d’Hélène. Surpris je lui demande ce qu’elle en pense et elle me répond qu’elle l’attire et que nos pratiques lui plaisent mais qu’elle n’a jamais franchi le pas. Elle aimerai nous rencontrer pour en discuter. Je réfléchi rapidement et je dis à valentine « non ! » « elle veut du frisson ? Elle veut connaître l’excitation, de l’inconnu ? Alors voila ce qui va se passer. Tu la contacte, vous convenez d’un jour où nous sommes tous les trois disponibles et tu lui dit que si elle veut découvrir c’est à nos conditions ! Elle aura des instructions par sms. » surprise valentine me dit mais tu vas lui faire peur ! Tant pis ! Il est un moment où il faut passer à l’acte ! Valentine s’exécute. Ce n’est que le surlendemain que la réponse arrive. « ok » Satisfait nous réservons une chambre dans un hôtel sympa et nous lui donnons toutes les instructions nécessaires... Son téléphone vibre, « enfile les boules quiès et le rosebud, bloque la porte à l’aide du verrou pour qu’on puisse entrer » bande toi les yeux. C’est debout jambes légèrement écartées les mains derrière la tête que nous te voulons à notre arrivée. Ceci étant dit, je prend valentine par le bras et nous nous dirigeons vers le bar de l’hôtel. Mais on monte pas ?? non ! Laisse la mariner un peu ! Elle va perdre la notion du temps et c’est bien cela que je cherche pour le moment. Nous buvons un verre et c’est une quinzaine de minutes après que nous montons et que nous la trouvons installée exactement comme nous le lui avons demandé… Elle est belle dans sa posture, déjà offerte, mais tremblante. Nous approchons sans bruit grâce à la moquette de la chambre et je dis a valentine touche la. La caresse sur sa joue la fait sursauter vivement. Cependant le parfum de valentine la trahie. Un sourires se dessine sur les lèvres d’Hélène. Rassurer, elle se laisse aller aux douces caresses de valentine sur son corps. Ne touche pas à son sexe ! Pas encore ! pas déjà ! Alors valentine caresse ses seins, en excite la pointe et les étire légèrement. Elle ne se prive pas de les mordiller et de les sucer non plus. La chatte d’Hélène s’ouvre de plus en plus, elle est trempée et je vois bien que valentine n’a qu’une envie c’est de la posséder. Je lui ôte les boules quiès et lui parle à l’oreille… tu es belle et tu as parfaitement exécuter nos instructions. Elle est ravie et un large sourire naît sur son visage lorsque d’un coup une belle claque sur une fesse tombe. Rappel à la réalité. Tu es à nous. Tu le sais. Une autre fessée. « Oui je suis à vous » Valentine passe à présent sa main sur l’intérieur des ses cuisses et commence à caresser son clito déjà tout enflé… elle réagi au quart de tour, son souffle s’accélère, son corps se cambre comme pour avaler ces doigts qui courent sur sa chatte… Je veux savoir quand tu vas jouir lui dis je… ça vient déjà ! Ça vient déjà répète elle, je fais un signe à valentine qui arrête d’un coup… la tension redescend mais les caresses reprennent les mains veulent bouger.. non ! Lui dis je en les bloquant, jamais elles ne doivent quitter ta tête… valentine accentue ses caresses et à nouveau Hélène va jouir. Stop ! Et le calme revient mais le corps parle, il bouge il cherche le plaisir les cuisses se ressent pour les sentir… une fessée tombe… reprise de la position… deux autres fessées puis trois et valentine reprends les caresses en même tps ! Douleur douceur mêlée… mais la encore au bord de l’orgasme les caresses s’arrêtent… la frustration est a son comble, alors je prends ses bras et la dirige sur le lit. Allongée sur le dos toujours sans rien voir elle se laisse faire, docile a souhait… Valentine s’approche et se mets à genoux devant sa chatte ouverte et trempée. Elle la lèche, tout doucement de la pointe de sa langue, l’excite encore, puis d’un coup l’aspire, la mordille et agite son clito frénétiquement sous sa langue… je suis assis su r le lit et je maintiens les bras d’Hélène valentine peine a garder ses cuisses ouvertes et d’un coup la délivrance, la jouissance tant attendue… plaisir fort, profond, libérateur…, valentine ne cesses de la caresser et deux doigts s’agitent à présent dans sa chatte, deuxième orgasme… retour à la douceur des caresses des baisers sur la peau… j’ôte le bandeau, je souris, et prends Hélène dans mes bras… valentine nous rejoint. J’embrase valentine puis me tourne vers Hélène et lui dit, tu a bon goût ; j’aime la mouille de ta chatte ! Mais ne crois pas que ce soit fini…
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Par : le 02/11/22
J'avais 20 ans, je sortais avec une fille, et j'allais souvent chez elle, on jouait ensemble.... sa mère était veuve et très autoritaire, elle me faisait un peu peur et elle menaçait souvent ses filles, devant moi, de leur donner la fessée... alors j'ai demandé à ma copine si c'était vrai que leur mère les fessait sa soeur et elle. Elle me répondit que oui, et qu'en général les fessées étaient données lorsqu'il y avait du monde à a maison afin que ce soit plus humiliant. Elle s'y était faite et supportait sans trop rien dire...je n'en revenais pas, mais elle me disait qu'elle n'avait pas le choix. Un jour, en fin d'après midi, je ne sais plus pourquoi, on était dans le garage et j'ai soulevé sa jupe et lui ai donné deux claques sur sa culotte... En fait je devais être venu la chercher pour sortir, c'était l'été, et on devait aller faire un match de tennis tous les deux.. Elle était en famille, sa mère, sa grand mère, une de ses tantes et ses enfants (un garçon et une fille, des jumeaux)... Nous n'avions pas vu que sa mère était aussi au fond du garage occupée à chercher du vin... Mais elle m'a vu soulever la jupe est claquer les fesses de sa fille..... Elle nous a demandé de la suivre au salon. Il ya avait toute la famille.... et la mère a annoncé à tout le monde ce que j'avais fait... j'ai compris tout de suite que ça allait barder pour moi. Mais c'est d'abord vers ma copine qu'elle est allée. Elle l'a saisi et courbé sous son bras gauche, a relevé sa jupe et lui a administré une cuisante fessée d'une trentaine de claques sans s'arrêter, remontant sa culotte entre ses fesses pour bien les dégager.... Françoise s'est laissé faire alors que ses cousins et cousines se moquaient d'elle "la grande fifille qui reçoit la fessée " etc etc... La mère de Françoise a cessé la fessée, a coincé la jupe de ma copine dans l'élastique de sa culotte pour bien montrer les fesses rougies et l'a mise au coin. Puis elle s'est retournée vers moi.... je n'en menais pas large, et j'ai tout se suite compris quand elle a pris une chaise pour s'y asseoir en m'indiquant de venir la rejoindre. j'ai dit non, j'ai protesté... Elle s'est levée, m'a flanqué une claque sur la joue et m'a agrippé le bras me le tordant pour me faire allonger en travers de ses genoux. et elle a commencé à me fesser sur le short, et sur les cuisses, je ne supportais pas ... ni cette fessée devant tout le monde ni même l'idée de me faire fesser à on âge. et elle a continué malgré mes protestations et mes grossièretés envers elle. Puis elle a pris le haut de mon short et a entrepris de me le baisser, ce qu'elle parvint à faire malgré mes tentatives pour l'en empêcher. J'étais là, en slip blanc, devant toute la famille de ma copine, en train de montrer ma culotte et de recevoir la fessée, !!!! elle a tout de suite pris l'élastique de mon slip et avant que je comprenne elle m'a déculotté devant tout le monde.... comme n gamin ! et la fessée a repris de plus belle... j'ai vu que ma copine ds'était retourné et profitait elle aussi du spectacle.... quand elle eut fini de me fesser la mère m'a relevé, je tenais à peine debout, je me suis reculotté en hate et elle nous a dit à Françoise et à moi qu'on pouvait maintenant partir jouer au tennis ! avant de monter dans la voiture, ma copine me dit alors "on voit sur tes cuisses malgré ton short que tu as pris la fessée il y a les marques des doigts de ma mère !"... j'ai été pris d'un frisson et j'ai pleuré.... on a quand même été faire notre partie de tennis et je me disais que les gens devaient deviner ce qui m'étais arrivé, c'était troublant....
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Par : le 02/11/22
J’ai connu ce fesseur il y a quelques années maintenant et chaque fois qu’il vient dans ma région, il me contacte et me fixe rendez-vous. Cet après midi là, nous avions convenu de nous retrouver sur une aire de repos de la RN 10. J’y suis arrivé en avance ne voulant pas le fâcher par un quelconque retard. Je vis arriver sa voiture, toujours la même, un long break noir. Nous étions en juin, il faisait beau et les touristes faisaient des pauses sur l’aire de repos tout comme des routiers. Je vis le fesseur descendre de voiture et venir vers moi. Je sortis alors de ma voiture et attendais près du capot. Il arriva, me regarda, et me retourna d’un bras énergique et puissant. Il me força à me courber sur mon capot puis commença à ma frapper les fesses, là, sur l’aire de repos. Deux voitures sont passées près de nous et ont klaxonné !!! mais surtout, des routiers, attirés sans doute par le bruit de la fessée se sont rapprochés et ont commencé à venir vraiment tout à côté de nous. Je ne comprenais pas ce qu’ils se disaient, ils devaient parler espagnol ou portugais ou aune autre langue mais ils riaient beaucoup et fort …. Voyant que le « spectacle » plaisait à son public, le fesseur m’a déculotté d’un coup sec, dévoilant mes fesses déjà un peu rouge au regard de tous… les rires sont devenus plus forts, plus gras… j’ai entendu aussi une voiture s’approcher et s’arrêter derrière nous, j’étais mal, très mal qu’un public non averti puisse assister à la fessée que je recevais cul nu, mais le fesseur lui, fidèle à ses habitudes n’en moquait complètement et ça devait même lui plaire beaucoup . Après une vingtaine de minutes de fessée retentissante, je gémis et commençais à sentir les larmes arriver à mes yeux, je suppliais qu’il arrête, ce qu’il ne fit pas augmentant la puissance de la fessée en cours…. Puis il me releva, mais pour me courber sous son bras, montrant par cette position mon sexe épilé à tout le monde. Il me fit écarter bien les jambes et me courba un peu plus. A chaque claque qu’il me donnait, je sentais mon sexe qui se balançait entre mes cuisses… j’avais honte et peur que ça aille plus loin que la fessée, avec tous ces routiers ! mais heureusement il n’y eu que la fessée. Quand ce fut fini, le fesseur me tordit le bras pour m’obliger à me relever et à lui obéir, il me fit tourner sur moi-même pour bien montrer à tout le monde mon sexe et mes fesses rougies par cette magistrale fessée. Je découvris alors qu’outre les routiers aperçus, il y avait aussi un couple de femmes d’une cinquantaine d’années qui riaient à n’en plus finir et qui me montraient du doigt… j’en fus tellement humilié que j’en fis pipi…. Ma culotte sur mes chevilles finit trempée de mon pipi, mais je la remontais ainsi que mon short pour cacher ma rubiconde nudité…. Je partis très vite après et le soir même, le fesseur m’appela pour me fixer un rendez vous le lendemain, à Royan, dans les dunes d’une plage naturiste, lieu de drague bien connu là bas…
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Par : le 10/10/22
La chambre, par le pâle clair de lune éclairée, Elle soumise par l’art des cordes est entravée, Sur le parquet en levrette, magnifique djembé. Fessées suivi d’encourageant gémissements, En silence, claqua plusieurs fois sèchement Savoureux châtiments emplit de sensualité. Sa lune pleine, rouge, excitée, brûlée de désir, Effervescence, flots de liqueur, parfum de plaisir. Et dans la clarté obscure, alanguie sur le sol, Sans un mot, dénoue les nœuds et cajole....
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Par : le 15/09/22
Doc's, Bretelles et Porte-jarretelles... Elle jaillit hors de la douche, si pressée de redevenir la salope qu’elle a toujours été. Après avoir consommé le temps dont elle avait besoin pour s’apprêter, je ne le visualise pas encore. Mais je le sais, au bruit que je n'entends plus depuis 45 min, elle s'est préparée pour aller dans la pièce secrète, elle ne s'habille jamais dans cette pièce, à part quand elle a prémédité quelque chose. Quand je l’aperçois sortir de la salle de bain, je découvre qu’elle s’est remise dans ses habits de petite salope,ceux que je n’avais pas revus depuis que nous avions quitté l’appartement, on dirait une skinhead girl un peu perverse sur les bords. Elle porte ses Doc's à talons de couleur bourgogne, des bas résilles ténébreux surmontés d’un porte-jarretelle en dentelle noirâtre. Pour cacher ses mamelons, elle a enfilé une chemise à petit carreau rouge et noir, nouée au niveau de sa poitrine sur laquelle ses bretelles sont mises de façon à faire ressortir ses seins en les compressant, comme si elle exigeait que je les attache tout de suite. Une micro-jupe en jean bleu qui oblige son cul pulpeux à rester dehors, qui ne couvre même pas la moitié de son cul, c’est vraiment ça qu’on appelle ras la chatte, ce tout qui a le don de m’exciter. Je la regarde passer en me demandant comment je vais m’occuper de cette godinette… Mon cerveau fuse, et heureusement que nous existons dans une société compréhensive, que la fornication, la sodomie et le libertinage ne figurent plus dans la liste des délits de luxure, sans ça, je finirai au cachot pour de longues années. Elle, par contre, va terminer dans mon donjon pour mon profit et pour me divertir. Elle réclame de me servir ou elle utilise mes pulsions pour assouvir les siennes, dans tous les cas, elle a été trop loin dans la provocation, pour que je ne lui fasse pas vénérer mon phallus et mes coups de trique. Je lui impose de venir m’offrir à boire pour que je la scrute d’un peu plus près, elle se penche sur mon bureau pour récupérer mon verre. C’est à ce moment-là que je l’examine vraiment. Elle en profite également pour se cambrer, je lui mets une première fessée et lui demande d’un ton grave. « Que cherches tu as accompli dans cette tenue, et surtout dans cette position ? » Elle se penche encore plus et j’aperçois son nouveau plug…enfin, un dont l'existence m'était inconnue. Je lui remets une déculottée sur ce postérieur magnifique. Elle se cambre même un peu plus, je peux observer à quel point tout son corps a envie que je profite d’elle, voire pire que j’en abuse comme je sais si bien le faire avec elle. Après une troisième et dernière fessée bien plus puissante que les deux précédentes, je mets ma main sur sa fesse qui est devenue chaude et commence à être rosée. Je lui demande si elle sait que ses faits et gestes vont engager des conséquences. Toujours sans dire un mot, elle se contente juste de hocher la tête et de dandiner ses meules, de la même manière qu’une vulgaire chatte capricieuse, ce qui conduit à faire sonner les grelots de son bijou anal que je n’avais pas vu. Je l’attrape, l’examine et lui réclame de s’agenouiller entre mes pattes, et lui dit « comme tu ne veux pas parler, je faire en sorte que tu le fasse pas ! » Comprenant ce qui lui arrive, elle s’exécute d’un mouvement, elle se retrouve entre mes jambes en totale soumission, en total don de soi-même, son collier entre ses mains et sa langue tendue. Je m’approche avec son plug de sa gueule, pour l’arrêter à quelques centimètres de sa bouche dont le rouge à lèvres fait ressortir le côté pulpeux. Hésitante, elle finit par s’avancer, et je lui annonce. « Arrête-toi là, tu ne vas pas seulement le lécher. Je veux que tu le suces en me regardant dans les yeux ». Je récupère son collier et la regarde sucer son plug, comme si c’était ma bite, ce qui finit de m’exciter. Elle l’a pris sans que le contrat ou le rituel du collier soit fini, elle pouvait refuser, mais voulait tellement servir qu’elle l’a fait, et a accepté. Maintenant, je lui donne une série d’ordres à exécuter d’un ton sec. « Garde-le dans la bouche et lève-toi… » « Retourne-toi ! » Je lui applique une énième fessée avant de commencer à lui mettre son collier en lui disant : « Si tu désires revenir en arrière, c’est maintenant ! Ce qui va suivre le verrouillage de cette boucle risque de te laisser des marques » Elle me répond. « Non, Maître, j’ai confiance en vous, je suis votre chose, votre chienne, votre bagasse  ! Faites ce que vous voulez de moi ! » J’achève de fermer le collier, pour y accrocher une belle chaine en inox doré et tout brillant. « J’exige que tu sois à quatre pattes entre mes jambes sous mon bureau, le temps que je finisse mon projet et que je me retrouve à plein-temps sur le dressage de la petite salope que tu es ! » Je la vois commencer à s’agiter, je tire une fois sur sa laisse ce qui l’a conduit à tomber à portée de bouche de ma verge encore enfermée dans mon pantalon. Elle relève un peu la tête et entame de me déshabiller, tout du moins elle a essayé de descendre ma braguette. Je l’arrête, ce qui l’a fruste, je l’analyse, son visage, on dirait qu’elle est pressée d’exister en tant que centre de mon attention, elle le sait que ce qu’elle a accompli a le don de me déplaire et je lui dis. « Tu sais, je n’avais pas l’intention de t’emmener dans le donjon ! Je travaillais sur un projet, alors laisse-moi finir ! Ou ça ne va vraiment pas te plaire, ce que je vais faire de toi et de ton petit cul ! » Au bout de 15 min, je sens qu’elle veut vraiment que je m’occupe que d’elle, ça tombe bien, j’ai fini, je vais pouvoir m’occuper de cette bagasse. Je me lève, tire la laisse et lui demande de se tourner, mais avant, je lui arrache le plug sur lequel elle a bavé au moins 20 min. Elle se retourne et se présente en position de la chienne soumise, les mains loin devant elle, les pieds au sol et les miches bien hautes. Son cul nous ferait presque croire qu'il essaye de toucher le ciel . Je lui remets son plug déjà tout lubrifié par sa salive. « la petite chienne ! » pensais-je. Par la suite, je tire la laisse pour qu’elle me suive, je lui mets la poignée dans la bouche, on marche, elle reste à 4 pattes presque à mes pieds. Elle est cambrée presque au maximum, épaules surélevées, ventre très bas et cul très haut comme toujours. Elle veut vraiment s’identifier à la petite chienne que j’aurais adoptée. Même si parfois ça change, elle a plus des allures de chatte en chaleur. Entre petite chatte et grosse chienne, son cœur balance. On arrive au pied de l’escalier qui mène à la pièce qu’on a aménagée en authentique donjon, une espèce de salle de torture ou véritable paradis, tout dépend de mes envies. Et là, j’apparais dans une humeur de diablotin. Je veux m’amuser un peu avec cette salope de skinhead girl ! ...
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Par : le 10/09/22
Je serai une sorte d'araignée, Les cordes seront mes toiles, Et toi tu seras attachée, ligotée, Pour ce jeu entre nous cérébral. Je placerai les cordes une à une, Tournant, virant sur ton corps , Et toi dans ta plaisante infortune Tu me demanderas "encore"... Et ainsi attachée dans ces liens, Tu ne pourras pas te protéger, Ton désir sera identique au mien, Prendre du plaisir et apprécier... De ton corps je pourrais profiter, Alterner caresses et fessées, Pincer tes tetons boursoufflés, Et t'offrir mon sexe à sucer...
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Par : le 06/09/22
Nous sommes en route pour rentrer à la maison. Nous sommes sorti pour voir des amis. Je suis habillée de ma robe rouge et de mon colier d'appartenance noir. Sur le chemin, il y a un homme qui fait du stop. Il va en direction de notre maison. Nous arrêtons sur le bord de la route pour lui proposer de monter. -On peut vous enmener non loin d'où vous voulez aller. Dis-je après avoir ouvert ma fenêtre. Il me regarde et s'attarde sur mon colier. Il hésite puis me dit -Avec plaisir Il monte derrière. -Merci de vous être arrêté, dit notre passager, je m'appelle Alex et vous? - Moi je m'appelle Jessica et le monsieur d'à côté s'appelle Nicolas. Tu fais quoi dans la vie? - Je suis ingénieur dans une grande boîte, me répondit Alex Au cours de la discussion Alex nous confie que son travail lui met beaucoup de pression. Et qu'en ce moment il fait du stop pour voyager et rencontrer de nouvelles personnes. Au fil de la discussion Alex nous pose cette question. -J'ai vue ton collier et je me demandais s'il avait une signification particulière. A ses mots je rougis -Vas y je t'en pris répond lui, dit mon Maître sans lâcher la route des yeux. -Il a un sens pour nous oui, c'est un colier d'appartenance. lui répondis- je timidement. Je prend la main de mon Maitre. Et je complète en disant. - Il signifie que j'appartiens à mon Maître. -Tu es alors soumise comme moi, dit Alex avec un grand sourire. Je suis surprise de sa réponse mais je lui réponds avec un sourire sadique. - Pas exactement je suis plutôt Switch Nous continuons alors la discussion sur le sujet. Le feeling passe bien avec lui. - J'aimerais bien le soumettre, dis-je à voix basse à mon Maître Mon Maître dit alors à Alex -Souhaite tu passer à la maison boire un coup? -Allez pourquoi pas, répondit Alex après avoir hésité. Nous arrivons à la maison. Nous le faisons rentrer -Souhaite tu qu'on te montre la maison, lui dit-je. Nous lui montrons le salon, la salle de bain et enfin notre chambre qui nous sert de donjon. Au mur est accroché une cravache, un paddle, un martinet et plein d'autre instruments de torture. Dans la pièce sont disposés divers sextoys. Ça va du lapin au wand. Il y a aussi des plugs qui sont avec une queue ou un bijoux et qui sont de diverses taille. Il a l'air émerveillé en voyant nos jouets. Il regarde ensuite la cage qui se trouve au pied du lit. -on l'utilise pour garder nos prisonniers captif On voit ces yeux briller avec envie Maître et moi on se regarde avec complicité. On se dit qu'on a trouvé notre nouveau jouet. On a déjà discuté avec Maître de mon envie d'avoir un homme sous mon jout Je me dis que c'est peut être l'occasion. Nous lui proposons à boire sans alcool car nous voulons qu'il soit lucide pour accepter ou non notre proposition. Nous discutons un peu puis une fois que l'atmosphère est détendue mon Maître lui dit. - Ma soumise a une question à te poser Alors je me lance et lui demande - Accepterais-tu de faire une séance avec nous. C'est moi qui te dominerait sous l'obéissance de Maître Il nous regarde en hésitant. Maître prend la parole - On t'a vu regarder la cage avec envie tout a l'heure. A ces mots, il baisse la tête de honte et acquiesce. - Il faut que tu le verbalises. répondis Maître - J'accepte de faire un séance avec vous. Répondis Alex. - Très bien. Nous allons alors discuter de tes envies et de tes limites. Maître et lui discute. J'écoute avec attention mais aussi avec envie. Après cette grande discussion Maître nous demande à Alex et à moi de nous déshabiller et de nous mettre à genoux. Lui hésite, moi j'obéis immédiatement. Maître lui redonne l'ordre de façon plus ferme. Alors il me regarde et il me voit à genoux nue alors Alex fait de même. Je le trouve beau et encore plus beau à genoux. J'ai hâte que mon Maître m'autorise à le torturer - Je reviens ne bougez pas. Dit Maître avant de.partir dans la chambre. Il n'est plus dans mon champs de vision. Alors j'écoute chaque bruit. J'imagine ce que je vais lui faire. Ma respiration s'accélère d'excitation Soudain j'entend un claquement ce qui me fait sortir de ma torpeur. Maître a apporté une ceinture. Mon jouet favori. Et il le sait au vue de tous nos jeux Il demande à notre invité de se mettre à 4 pattes. Il obéit. -Lève toi ma sluty. Je te donne cette ceinture. Et je t'offre cet homme en jouets. Fais en ce que tu veux. Je prend la ceinture. J'ai mon grand sourire sadique. J'ai hâte de l'entendre crier de plaisir et de douleur mélangé. Je ne vois pas son visage mais j'imagine bien sa crainte. Je tend la ceinture, la première claque tombe sur ses fesses. Il crie de surprise. Puis ensuite de nouveau coup tombe. Pour ne pas l'épuiser, j'alterne entre coups et caresses. Il crie de douleur à chaque coup mais soupire de soulagement à chaque carresses. Sa respiration se fait plus allaitante. Ses fesses se tendent à chaque coups. Il crit de douleur mais en demande encore et encore. Je prend mon pied à le torturé ainsi Ses fesses rougissent sous mes coups. Quand Monsieur trouve cela satisfaisant, il me demande de lui donner la ceinture. Je la lui rend. N/notre soumis reprend alors sa respiration. Monsieur me dit -Je t'en pris continue à jouer avec ton jouet. Et il me confie, j'aime te voir prendre autant de plaisir - Merci, Monsieur. Je t'en suis reconnaissante. Je me dirige alors vers sa tête. Je lui présente mes pieds et lui demande de les embrasser. Je fais cela en connaissant son fétichisme de pied. Mon jouet se baisse puis embrasse mes pieds. Je prends plaisir à l'humilier ainsi. - C'est bien ma chienne. Le felicitais-je en retournant derrière lui. Je lui carresse les couilles gentillement. Puis, je lui assène un coup dans le couilles. Il crit et se tord de douleur. D'un ton sec je lui dit -replace toi bien Il se remet alors vite en place malgré la douleur - bon garçon, lui dit-je en lui caressant son dos. Je lui carresses les couilles avec mon pied pour ensuite lui asséné un nouveau coup. Il crit mais ne bouge pas cette fois. Je lui carresses le dos pour le récompenser. Je constate qu'il bande. - Maitre regarde il bande, la salope aime ce que je lui ai fait. Rigolais-je avec Maître - ahah je vois ça, répondit Maître. A nos mot il baisse la tête et rougis. - Monsieur, tu pense que je peux le faire jouir ainsi? - Demandons à N/notre salope. Tu penses que tu peux? Dit il a notre soumis. -Je, je ne sais pas, bégaie t-il Je lui donne une fessée et tous de suite son sexe réagie. Sa respiration c'est accélérer. - Et maintenant tu sais ? Lui Répète Maître. - Oui, je pense pouvoir, répondit-il timidement. - Allonge- toi sur le dos. Il suit les ordre de Maître sans broncher. Le voilà allongé sur le dos avec son sexe lever. Je lui écarte les jambes pour avoir accès à ses couilles. Je commence à griffer son corps. Il se tord sous mes griffures. Sa respiration est rapide et forte. Je lui bloque ensuite sa respiration en mettant la main sur son nez et sa bouche. Avec mon pied je viens lui taper les couilles. Son sexe réagie à chaque coup. J'aime le voir souffrir mais surtout que cela lui plaît. Je sens ma mouille couler de plaisir le long de ma jambe. Mes coups s'accélèrent, je lui laisse de moins de temps pour respirer. Je le sens monter en pression. Et là sans prévenir, je le griffe. Alors il n'arrive pas à ce retenir et éjacule sur son ventre. Il tombe ensuite de fatigue. Je viens placer sa tête sur mes jambes et je lui carresse la tête et le corps. Je carresses ses blessures. Il est totalement détendu. Nous attendons qu'il redescende. Une fois qu'il est descendu, Maître nous demande de nous mettre à genoux devant lui. Je lui obéit. Il nous met une laisse. Il nous fait marcher à 4 pattes jusqu'à la chambre. - Met toi sur le tapis, met toi à genoux et n'en bouge pas, dit il à notre soumis. Docilement il va s'installer. - Tu va me voir baiser ta Maîtresse du soir. Je veux que que tu comprenne ta place se soir, lui dit Maître Il me fait monter sur le lit. Il me met à 4 pattes de façon à ce que notre soumis ne loupe pas une miette. On peut voir ma mouille couler le long de ma jambe. Maître touche à peine mon sexe que je bouge dans ton les sens. Mon sexe est comme électrifier. Les préliminaires sont inutiles. Alors il me plaque la tête contre le matelas. - A toi aussi je vais te montrer ta place, dit Maître avec une voix féroce. Il me fesse puis sans prévenir il entre sont sexe en moi. Je cris de supprise et de plaisir Il me baise avec force. Il me bloque, je suis incapable de bouger. Je crie mon plaisir. Être ainsi à sa merci m'excite tellement. - Ma belle se soir tu n'as pas le droit de jouir. Tu as déjà eu ton plaisir. Je vais juste me faire plaisir en t'utilisant, me grogne mon Maître Il se retire. Et sans prévenir il pénètre mon anus. Je cri de douleur et de surprise à son entrée. Il me possède totalement. Soudain je le sens se contracter et il jouit en moi. Nous nous écronlons tous les deux de plaisir. Notre soumis n'a rien loupé de la scène. Il bande à nouveau. Je suis contente de l'effet qu'on lui produits. Maître le regarde et dit. - Ce soir tu vas dormir sur le tapis au sol. Demain nous discuterons de ce qui c'est passé. Lui dit mon Maître. Nous ne sommes tous endormie dans un bonheur certain. Le lendemain nous prime le petit déjeuner ensemble. Il nous dit avous avoir pris son pied . Et qu'il n'avait jamais connu autant de plaisir. Il nous en remercie. Et nous dis qu'il souhaite renouveler l'expérience et qu'il aimerait dans le future devenir notre soumis. Nous lui répondit, qu'on a nous aussi beaucoup aimer nos jeux et que nous aimerions aussi qu'il devienne notre soumis. Nous le ramenons chez lui avec le sourire aux oreilles. Une fois déposée, on se dit à très vite.
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Par : le 04/09/22
Elle était comme une figure peinte dont la bouche était trop souvent docile. Elle gardait les yeux toujours fermés. Dire que la jeune femme, dès la seconde où sa Maîtresse l'eut quittée, commença de l'attendre est peu dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit. Ce fut pourquoi sans doute, on la maltraita davantage. Charlotte lui adressa un regard sournois et elles se comprirent. Juliette la poussa vers la table branlante qui occupait un des coins de la pièce et la força à se pencher dessus. Elle retroussa la jupe de Charlotte, caressa du bout des doigts la culotte de dentelle noire de sa soumise. C'était de la soie. Sur l'ordre de l'homme d'affaires, la jeune esclave avait confisqué tous ses anciens dessous, les jugeant indignes d'elle. Juliette traita Charlotte de petite pute. Elle donna quelques claques sur la culotte avant de la descendre sur les genoux de Charlotte. "- Si tu as le cul qui te démange, tu vas sentir comment je vais te guérir !" Elle frappa à plusieurs reprises. Charlotte se trémoussait en geignant, mais elle avait goûté à la fessée avec un homme dont la main était bien plus dure que celle de sa Maîtresse. Celle-ci, réalisant qu'elle ne causait pas grand dommage, ramassa une vieille pelle à poussière en plastique, qui traînait parmi les objets du débarras. Elle en assena plusieurs coups sur les fesses de Charlotte, qui cria et protesta, mais il y avait plus de bruit que de mal. D'ailleurs, Juliette ne frappait pas très fort, et elle cessa très vite. Sa Maîtresse l'avait-elle laissée pour que d'autres femmes se sentissent plus libres de disposer d'elle ? Il lui sembla que Charlotte, sans se l'avouer, le regrettait. Elle pensa qu'elle aurait aimé jouir sous les coups. Poussée au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique, il lui suffisait de la regarder pour prendre conscience de son plaisir et cela lui suffisait alors à décupler ses forces, à la limite de la rupture. Après lui avoir fait demi-tour, elle s'agenouilla aux pieds de sa soumise: "- Si tu voyais ta fente, salope ! Une vraie fontaine ! J'ai connu plus d'une fille chaude, mais j'ai l'impression que tu les surpasses toutes !" Sa jupe était retombée, Charlotte n'apercevait pas le visage de Juliette, mais elle sentit sa langue quand elle lui lécha les lèvres de son sexe. Elle se cambra, écartant les jambes autant que le lui permettait la culotte qui la bloquait aux genoux. En lesbienne raffinée, Juliette prenait son temps. D'abord elle lécha d'une extrémité à l'autre les bords de la vulve, avant de descendre plus bas entre les cuisses puis de remonter enfin dans la fente béante. Charlotte ne put retenir un long gémissement. En un éclair, elle se demanda s'il y avait quelqu'un dans la chambre voisine. Si c'était le cas, il ne pouvait les voir. La porte du placard entre les deux pièces se trouvait dans le débarras et elle était fermée. Cependant, on pouvait l'entendre. Elle oublia vite de détail. La langue de Juliette faisait des ravages dans son sexe, elle allait et venait à une cadence diabolique. Le résultat ne tarda pas. Charlotte jouit sans se soucier si le voisinage pouvait être alerté par ses cris. Elles quittèrent le débarras. Juliette n'avait pas eu sa part, mais n'émit aucune revendication. Elle dit seulement d'un ton innocent: -"C'est curieux, j'ai trouvé que ta chatte avait moins de goût aujourd'hui." Charlotte alors feignant une déception évidente eut un sourire contraint. Mais elle trouva la force de lui dire qu'elle l'aimait. Alors, Juliette embrassa sa bouche haletante et la délia. Mais il lui était interdit de se plaindre, de montrer une désapprobation ou de formuler le moindre reproche. Le jeu s'installait autour de cet exceptionnel rapport de force. Se soumettre, désobéir, endurer sans cesse. "-Maintenant, je vais te faire couler un bain", annonça-t-elle en ouvrant la porte de la salle de bain contiguë à la chambre. Elle enfila une courte blouse de coton blanche qui dévoilait ses longues jambes bronzées. Charlotte se déshabilla. La première fois que la jeune esclave l'avait aidée à se laver, elle avait ressentie de la gêne, mais peu à peu, elle s'y habituait. Ce soir-là, comme les autres fois précédentes, Juliette évita, en lui faisant sa toilette, de donner un tour érotique à ses attouchements. Cependant, après avoir séché sa soumise, elle invita celle-ci à prendre place sur la table de massage toute neuve installée dans un coin du local. L'homme d'affaires, précisa-t-elle, veut que ce dîner soit une petite fête. Alors, il faut soigner de près ta préparation. Suivant les indications de la jeune esclave, Charlotte s'allongea à plat ventre sur la table rembourrée. Le menton calé sur ses mains croisées, elle épia, vaguement inquiète celle qu'elle n'arrivait pas encore à considérer comme une suivante en dépit des exhortations de l'intéressée et des encouragements de Juliette. Mais tous ces préparatifs ne lui disaient rien de bon, mais la jeune esclave se contenta de sortir de l'armoire à toilette un grand flacon rempli d'un liquide doré. La jeune fille expliqua que c'était de l'huile d'amande douce macérée avec des herbes. "- Après avoir été massée avec cette huile, vous vous sentirez très belle. Il n'y a rien de plus relaxant." Charlotte ne demandait qu'à la croire. Pourtant elle gardait encore une certaine méfiance vis à vis de l'homme d'affaires et de sa complice. Elle eut un frisson quand la jeune fille lui versa une bonne dose d'huile au creux des reins. C'était doux et cela sentait bon. Dans un premier temps, l'esclave qui s'était déshabillée lui étala le liquide odorant de la nuque aux talons, et sur les cuisses. La jeune femme ne dit alors rien, osant à peine passer ses mains sur son sexe et au creux de ses reins. Anxieuse mais brulante d'impatience, elle se résigna à s'abandonner pour ne pas mécontenter Juliette. La tension ne cessait de monter. Son rôle était de toujours de se donner à fond, quelle que soit l'épreuve. Puis elle entreprit le massage proprement dit, en commençant par les épaules. Charlotte se laissait aller. C'était effectivement très relaxant. La jeune esclave lui pinçait la peau et les muscles sans violence, mais avec fermeté. C'était strictement fonctionnel. Mais bientôt, une douce chaleur envahit son corps, surtout son ventre. Une pensée, alors, la traversa sous forme de question. Si les doigts de la jeune fille ne cherchaient pas à l'exciter, qu'en était-il de l'huile de massage ? Les herbes qui avaient macéré dedans ne possédaient-ils pas des effets aphrodisiaques ? Ce soupçon se précisa quand elle sentit les lèvres de son sexe se séparer. Le trouble qu'elle ressentait n'était pas très fort, mais il persistait. Elle remua nerveusement sur la table. Les pointes de ses seins devenues dures, frottaient sur le rembourrage, entretenant son émoi et la laissant frustrée. L'idée que tout cela était fait exprès pour la maintenir alors excitée sans qu'elle puisse se soulager s'imposait à son esprit. Charlotte réprima l'envie de se masturber en se massant le ventre contre la table. Elle attendait. Tout d'un coup, le temps cessa d'être immobile, elle avait les mains libres et les yeux ouverts. Elle n'ignorait pas que Juliette lui reprocherait de s'abandonner à ce plaisir solitaire sans son consentement. Son grand bonheur était d'avoir trouvé une Maîtresse à sa mesure, qui attendait ce qu'elle pouvait donner. Impassible, la jeune esclave poursuivait son travail sans paraître remarquer les réactions de Charlotte. Elle avait atteint ses fesses. Elle les massa longuement et très langoureusement. Quand ses doigts s'attardèrent sur le pourtour de l'anus, Charlotte se cabra. "- Pas là! - Il faut détendre ça comme le reste." La jeune fille ajouta que l'orifice avait besoin d'être élargi pour rendre ce passage plus commode si on décidait un jour de la prostituer. Charlotte serrait volontairement les fesses; cependant, bon gré mal gré, sous les doigts habiles, elle se relâcha. L'esclave en profita pour lui masser de nouveau les bords de l'anus. Ce fut un soulagement pour Charlotte quand elle descendit enfin sur les cuisses. Son émoi était tel que le moindre attouchement sur une zone sensible l'excitait, la rendait malade de frustration. La trêve fut de courte durée. Car l'esclave, non sans plaisir, avait reçu des instructions strictes. Elle était trop étroite, il fallait l'élargir. Il lui faudrait s'habituer à porter au creux de ses reins, un olisbos à l'imitation d'un sexe dressé, attaché à une ceinture de cuir autour de ses hanches fixée par trois chaînettes de façon que le mouvement de ses muscles ne pût jamais le rejeter. Sur sa peau, la brume alors fondait et coulait, sur le glabre des aisselles et du ventre, se fixait en gouttelettes. Juliette avait donné des instructions strictes. Charlotte devait accepter d'être prise par sa voie la plus intime. Elle n'avait pas le droit de se laisser à la peur, même si ce rituel sexuel lui semblait parfois insupportable. Ainsi écartelée, et chaque jour davantage, on veillerait à ce que l'olisbos, qui s'élargissait à la base, pour qu'on fût certain qu'il ne remonterait pas à l'intérieur du corps, ce qui aurait risqué de laisser se resserrer l'anneau de chair qu'il devait forcer et distendre, soit toujours plus épais. La jeune esclave versa de l'huile dans le rectum de Charlotte, qui bien malgré elle, lui présentait sa croupe en se cambrant, accentuant la courbe de ses reins. Elle enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore tout à fait détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion humiliante. De son côté, Charlotte avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche, elle était dans cet état second où l’appréhension des gestes de l'esclave conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnante, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus. La chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Disposant également des seins et du sexe de Charlotte, la jeune esclave ne se priva pas de les exploiter. Après lui avoir pétri la poitrine, elle descendit vers le bas-ventre. L'essentiel n'était pas de jouir mais de mobiliser son énergie vitale. Pour y parvenir, la meilleure façon était de la retenir afin de la concentrer avant de la libérer. Quand enfin, la jeune fille la fit descendre de la table de massage, Charlotte tenait à peine sur ses jambes. Passive, elle se laissa habiller et coiffer. Elle portait une robe échancrée au milieu du dos libérant les reins. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 31/08/22
Quelques jours de vacances auprès de ma Maitresse sont toujours les bienvenus, quel que soit le programme de chaque journée, vanille ou pas. Nous nous ressourçons mutuellement. Cela n’empêche pas de ponctuer le séjour d’évènements moins ordinaires. Et ce premier week-end en fut l’occasion, certes pas improvisé puisque la date en avait été fixée quelques semaines auparavant. Un soumis cobaye était requis à tes côtés pour contribuer à une rencontre d’initiation aux nœuds entre un de tes amis, shibariste éclairé (il refuse le titre d’expert ;-) ), et une de tes amies dominatrices qui souhaite en savoir plus sur l’art des cordes Evidemment que je n’allais pas refuser une telle proposition. Quoi que, trois dominants autour de moi, j’aurais peut-être dû ! Néanmoins ma confiance en toi est totale, donc aucune raison de m’inquiéter. Déjà, une tenue minimaliste m’a été imposée dès la sortie de la douche. La seule entorse au dress code concerne les sorties pour préparer et gérer le barbecue. Il n’aurait pas fallu choquer le voisinage. Car, pour faire honneur à ton invitée et à notre visiteur du jour, tu as souhaité que je sois apprêté seulement avec le shorty noir laissant mes fesses à l’air libre et le collier. Histoire de calmer d’éventuelles ardeurs, tu m’as aussi demandé de mettre ma cage de chasteté. Une fois n’est pas coutume, calée par mon seul vêtement, elle reste silencieuse ! Voici une tenue peu commune en ce qui me concerne pour recevoir des visiteurs. Mais grâce à toi et tes années « d’éducation », je n’ai plus aucune pudeur pour ce genre de chose. C’est devenu presque naturel. Après quelques heures de découverte mutuelle avant et pendant le déjeuner, nous passons aux choses sérieuses en début d’après J’ai vraiment l’impression de servir comme les pros, chacun avec sa spécialité (qui modèle de pied, qui modèle de bouche, qui modèle de fesses, …) sauf que selon le sujet à expliquer je dois mettre à disposition soit mon bras, soit ma jambe, voir même mon torse, et même les deux bras au bout d’un moment. C’est un coup à finir « noué » toutes ces leçons de choses … L’essentiel est que le moment soit pédagogique. Après tout, il s’agit d’un premier contact pour assimiler les principes de base. Après, tout n’est qu’une histoire d’entrainement et de répétitions … comme les gammes ! Après un inventaire de ton « arsenal » (on aurait dit trois enfants dans un magasin de jouets !), sans que j’ai bien compris comment c’était arrivé, toujours est-il que je me retrouve à devenir cobaye pour lanières. Protégé par ma cagoule, je me mets en place « au centre de la piste ». A partir de là, je ne saurais dire qui se trouve au bout du manche à un instant précis. La seule certitude que j’ai, c’est que chacun y prend part, soit avec la langue de dragon, soit avec le fouet court. L’un comme l’autre viennent me procurer des frissons toujours aussi bons. De manière inattendue, un miracle se produit ! A priori des marques apparaissent et semblent persister, suscitant d’ailleurs une ruée sur l’appareil photo pour immortaliser ce moment. Il faut dire que cela faisait presque un an depuis la dernière fois que j’avais ainsi réagi. Reste à identifier la formule magique. J’ai bien une petite idée, mais elle n’a rien de cartésien ;-). Quoi qu’il en soit il semblerait que tout le monde s’amuse moi y compris. Pour une première rencontre, c’était plutôt réussi. Ma foi, c’est tout de même plaisant d’être au centre des préoccupations tout autant que d’être à la hauteur de tes attentes et de ta « formation ». Après le cours de remise à niveau, il fallait bien que tu te remettes à l’ouvrage. C’est donc une soirée cordes qui nous occupe en ce mercredi soir. Une fois n’est pas coutume, la parure de cordes se transforme petit à petit en contrainte au fur et à mesure que les nœuds se multiplient autour de mon corps. En effet, tout commençait simplement par une sorte de parure de poitrine, genre soutien-gorge très revisité. Sauf que petit à petit, mon intimité se retrouve enserrée à la base puis c’est le tour des bras. A la suite de cet embellissement de couleur rouge, tu souhaites poursuivre avec la corde en chanvre brut pour « habiller » mes jambes. Après quelques tentatives infructueuses, ou qui ne te satisfont pas, tu passes au plan B (ou C ?). Mes membres inférieurs resteront libres de leurs mouvements pour cette fois. En revanche, mon torse s’en retrouve encore plus enserré et contraint. Rien pour me déplaire, au contraire. C’est si bon de se retrouver ainsi à ta merci. A partir de la nuit de vendredi et jusqu’à celle de dimanche, tu décides que je passerai mes nuits paré de la dernière nuisette que tu as acquise. Satinée et violette, elle est du plus bel effet. Il suffit pour cela de regarder tes yeux briller une fois que je la porte. Sans compter que celle-ci s’accompagne d’un déshabillé noir. Quelle différence néanmoins avec la précédente. Ce modèle descend jusqu’au-dessus des genoux. Limite je me sentirais habillé … Si, si, c’est le jour et la nuit. Mais est-ce que cela va durer ? Mystère. Cela te ressemble peu de couvrir ton soumis avec excès. Quoi qu’il en soit, je reconnais que cette étoffe satinée est des plus agréables à porter. Cela tombe bien : trois nuits consécutives à en profiter. En ce samedi soir, et encore dimanche, je suis en pleine interrogation interne. Suis-je en train d’affronter une période de griffes impactantes ou bien d’impacts griffants? Si je me pose la question, c’est qu’une fois n’est pas coutume tes griffes sont extrêmement présentes tout au long de la soirée, sorte de fil rouge à moins qu’il ne s’agisse d’une ponctuation inédite qui te serait propre. Mon addiction est plus que satisfaite, voir même au-delà de mes espérances les plus secrètes. Des cuisses jusqu’à la nuque, elles me font toujours autant d’effet, des frissons de plaisir au quasi ronronnement de plénitude. Malgré tout, tu ne te limites pas à tes seules « armes » au bout des doigts. Ce serait mal te connaître ! D’ailleurs tu me surprends (encore une fois et certainement pas la dernière!) en me mordant la fesse gauche. J’ignore pourquoi soudain ce soir t’est venue cette envie. Depuis toutes ces années, tu as pu avoir de multiples opportunités. Visiblement mon naturel est revenu au galop : tu viens mordre une deuxième fois pour que quelques marques fugaces apparaissent. La morsure, un grand classique que je découvre ce soir. Un tantinet de notre nature bestiale qui remonte à surface ? Ou alors une façon de marquer son « territoire » ? Au poids sur mon dos, je comprends qu’une fessée devrait suivre. C’est, je crois, les seuls cas où tu viens ainsi me « chevaucher ». Mon instinct ne m’a pas trompé sur ce coup-là, une volée de claques à mains nues vient s’abattre sur mon postérieur. Mais néanmoins, j’ai le sentiment que tu y vas doucement. Ce serait plutôt un tour de chauffe pour me faire monter progressivement en température. Je commence aussi à déceler une nouvelle « méthode » de ta part. Il semblerait que tu commences par déposer l’objet qui va sévir sur mes fesses ou mon dos avant d’en user, le temps d’un déclic photo. Là encore, j’ai le sentiment que tu y vas crescendo. Je crois reconnaitre en premier la petite languette en cuir qui est plus stimulante que vraiment impactante. C’est déjà bien différent avec la suite. Sans hésitation, tu es en train de me « cuisiner » avec ta spatule en bois. Son contact si reconnaissable ne trompe pas et se fait bien sentir. J’ai désormais l’impression de chauffer sérieusement. Et ce n’est pas la brosse plastique qui vient me rafraichir bien au contraire. Si son contact est moins « heurtant » il n’en reste pas moins lourd. Les sensations à l’impact différent mais les effets se ressemblent étrangement. Mon postérieur aurait tendance à commencer à picoter. La cuisson se poursuit… Désormais, il me semble qu’une baguette vient sévir en mode stries mordantes. Difficile de dire laquelle tu as en main, peut-être la branche de seringa recyclée, peut-être une seconde derrière. Dans ma position, je ne peux pas en juger, quand bien même tu ne m’as pas aveuglé. J’ai même le sentiment d’avoir perdu le fil de tes divers sévices. Ma seule certitude, c’est que je ressens de plus en plus mon postérieur. Je l’imagine bien rouge à ce stade. Une cravache a dû faire son passage mais c’est un objet bien reconnaissable qui ramène mes neurones sur terre. La morsure triangulaire ne trompe pas et comme je te sens proche, c’est sans aucun doute la petite langue de dragon qui vient cracher son souffle enflammé sur mon postérieur avant de s’attarder sur mes épaules. J’ai bien l’impression une fois encore que me corps est plus conciliant avec les dragons : je crois comprendre que des marques triangulaires viennent d’apparaitre, je suis ravi que mon corps t’apporte cette satisfaction tout comme je suis ravi que tu m’infliges ces sensations si stimulantes quand bien même elles sont mordantes. Mais j’aime ça …. Tout comme toi ! Je suppose qu’une raquette de ping pong a dû faire son œuvre, malgré tout, je n’arrive pas en être certain. Elle a pourtant un contact des plus larges. Mais où étais-je donc ce samedi soir ? Plutôt où était ma tête ? Pour le tout dernier instrument, je dois avouer que tu m’as aider quand je t’ai entendu parler d’un cœur marqué sur mon dos. Y en a que deux dans ta collection : c’était la conclusion de la cravache cœur. Mais le véritable point final tu l’as consacré à tes griffes qui avaient déjà ponctué toute la soirée. C’est un florilège sur presque chaque surface de mon dos, sous toutes formes. Simplement électrisantes en parcourant mon épiderme, taquinantes quand elles se transforment en salade de griffes (du genre chatouilles mais en beaucoup beaucoup mieux), ou en encore lacérantes quand elles semblent vouloir se planter dans mes chairs, laissant au passage de belles lignes rouges. Quelle que soit la forme, j’adore, c’est ça les addictions. Et je ne peux pas m’en cacher : ces frissons me font onduler sous leur passage, je ne peux m’empêcher de grogner ou de ronronner. Tu clôtures la séance en m’expliquant que demain tu t’occuperas de mon autre face. La journée se termine par une seconde nuit en nuisette. Elle me permet de me rendre compte que le satin est une matière glissante, tant sur mon corps que sur les draps. Le lendemain matin, tu me fais même ajouter les chaussures à talons. Pas commun du tout comme tenue pour le lever. En revanche, je ne devrais pas attraper froid avec la nuisette qui couvre mes épaules et mes bras. Ma Maitresse est trop bonne avec son soumis ! Tes yeux brillants en me découvrant en bas de l’escalier suffisent à mon plaisir. Tu es visiblement ravie de ta décision. Pendant que je sirote mon chocolat chaud dans cette tenue légère, tu m’indiques que tu me verrais bien avec le shorty rouge pour la journée. Par chance, il ne fait pas trop chaud. Sinon j’aurais eu droit à un sauna portatif. Décidément, tu sembles commencer à prendre goût à « habiller » mes journées et mes nuits. La seule exception à cette tenue minimaliste concerne les sorties en dehors de la maison. Une fois vêtu d’une tenue classique, il est impossible de soupçonner la présence de ce sous-vêtement rouge en-dessous. J’ai quand même l’impression qu’il me couvre un peu trop à ton goût. Moi je l’aime bien tant qu’il ne tient pas trop chaud et que je ne m’y coince pas dans la fermeture éclair. Sinon il est parfait même sur toute une journée. Chose promise, chose due, en ce dimanche soir, comme tu me l’avais laisser entendre, tu me fais installer sur le dos, non sans avoir d’abord recouvert le lit avec mon désormais compagnon d’(in)fortune, le drap en vinyle violet. Ma face avant doit être un tantinet jalouse étant donné qu’elle n’a eu le bonheur de subir tes assauts hier soir. Une fois encore, tu me laisses profiter du spectacle. Il ne faudrait peut être pas que je m’y habitue. A peine étendu tu me fais redresser et m’approcher de toi sur le rebord du lit. Les cliquettements métalliques annoncent une paire de pinces. Surprise, ce sera les pires qui soient pour ce soir. Par pire, je veux dire celles qui se terminent par trois fines griffes rétractables. Pendant longtemps, les japonaises ont trusté le haut du podium, désormais elles sont descendues d’une marche. Mais revenons à mon premier tourment du soir. La première me donne l’impression de transpercer le têton gauche : une sensation vive et intense, encore plus fulgurante lorsque que tu laisses délicatement pendre la chainette sur ma poitrine. Tu mets en places la seconde sans insister. J’ai bien l’impression qu’il va falloir de l’entrainement pour accepter la première morsure avant que ma poitrine s’habitue et tolère leur présence, d’autant plus qu’ailleurs, elles finissent par être supportables, enfin façon de parler, c’est un maso qui s’exprime. Bien décidé à les laisser en place un peu plus longtemps tu cibles une zone située un peu plus bas et tout aussi sensible, me semble-t-il. Elles vont donc faire leur office sur mes couilles. Elles y sont tout aussi transperçantes à la mise en place ce qui doit m’arracher un gémissement mais je dois reconnaitre que je finis par les supporter après les premières secondes fulgurantes … Evidemment, je ne risque pas de les oublier : elles se font bien sentir tout au long de leur séjour, se transformant en un lancinant pincement, assurément stimulant. Mes sens ainsi mis en éveil, tu poursuis ton œuvre en titillant mon sexe avec la petite languette en cuir, plus que mordante, elle est surtout surprenante, me faisant inévitablement sursauter, entrainant aussi la chainette qui elle-même titille les pinces. Perverse Maitresse que tu es ! Comme toutes les pinces, l’effet n’est jamais terminé tant qu’elles n’ont pas été retirées, et encore après quelques secondes de récupération. Etonnamment, celles-ci me semblent finalement plus « douces » quand tu les enlèves. Après cette « mise en bouche », tu m’invites à m’étendre à nouveau et tu montes d’un cran avec la petite cravache cœur, peut-être pour exprimer tes sentiments à mon égard. Elle aussi a les mêmes effets sur moi, stimulante sans être mordante. Claquement de gants latex, tintement métallique, je pense que je sais ce qui va arriver. Dire que la première fois, j’étais particulièrement inquiet et ne voulait pas regarder. Cette fois, je ne regarde pas plus, simplement pour concentrer mon esprit sur les sensations. Etant donné que tu te saisis de mon pénis de ta main gantée, délivrant ainsi un contact tout doux, presque chaud, j’attends que se présente la sonde urétrale. Limite je l’attends. Etonnant renversement des choses en quelques mois. Passé le premier picotement aux premiers millimètres d’introduction, ce n’est que plénitude ensuite. Dans un premier temps, tu l’aides à avancer. Mais, à t’écouter, elle s’enfonce lentement toute seule, tu n’as pas besoin de l’aider, juste de surveiller et de profiter du spectacle. De mon côté, je ressens à la fois une chaleur interne pas du tout désagréable et aussi cette sensation bien étrange que je suis en train de me vider. J’ai beau savoir que ce n’est pas possible avec la sonde en place mais mon cerveau n’a pas l’air d’accord. Pour résumé, c’est un sentiment de totalement perdre le contrôle, très, très étrange et aussi excitant. Une fois arrivée à la longueur que tu souhaitais, tu t’amuses alors à la faire coulisser : tu es tout simplement (et crûment) en train de me « baiser » la queue. Déroutant mais si planant. Une main gantée l’enserrant, une tige métallique la comblant, que demander de plus ? Toutes les bonnes choses ont une fin : tu retires cette intruse pour passer à quelque chose de différent. Là encore, je fais confiance à mon ouïe. Etrangement je ne cherche pas vraiment à regarder pour anticiper ce qui va se passer, je me laisse guider par les sons. Cette fois, c’est le frottement d’une pierre à briquet, suivi de quelques minutes où je ne sens rien venir. Cela doit être une bougie en train de lentement se liquéfier. Bingo, la première goutte chaude à atterrir confirme mes prévisions. Toujours aussi « brûlant » ce premier impact, tandis que les suivants tiennent plus de la piqure rapide. Les gouttelettes tombent sur tout mon pénis mais je finis par comprendre que tu cherches à viser mon gland, sadique que tu es. Un petit cri de satisfaction vient accompagner la réussite de ton objectif. Néanmoins tu poursuis ton œuvre pendant quelques minutes encore, histoire d’en mettre un peu partout. Comme le printemps succède à l’hiver, le décirage fait suite au cirage. Il semblerait que la cravache (une des grandes cette fois) ne réussisse pas à en faire sauter beaucoup. Oups ! Pourtant il n’y a plus le moindre poil à cet endroit où elle aurait pu s’agripper. Je vais avoir du boulot en fin de soirée. Tu me gratifies alors d’une salade de griffes gantées sur tout le sexe en insistant particulièrement sur les couilles. Cela n’arrive pas souvent mais mon Dieu que c’est stimulant ! C’est un mélange de chatouilles (qui me font m’exclamer de manière irrépressible) et de je ne sais quoi d’excitant. Les stimulations se multiplient : tu en viens même à saisir mon membre, en y exerçant une série de pressions tout en me titillant les couilles avec l’autre main. Je ne peux que gémir et couiner sous tes assauts, mais uniquement de plaisir. Encore et toujours. Je pensais finir la soirée sur le dos, mais tu m’as réservé une petite surprise. Une fois installé à genoux sur le bord du lit, tu reprends ta cravache et tu passes à l’attaque. Avec mon intimité ainsi offerte et accessible tu t’en donne à cœur joie en essayant de frôler au plus près, mixant effet ventilateur et frottement stimulant. Comment puis-je rester immobile sous un tel traitement ? C’est tout bonnement impossible. Retour au calme pour le clou de la soirée, ou plutôt la conclusion. Un gel froid commence à couler dans mon sillon fessier, prémisse certain à une pénétration anale. Pendant quelques instants, j’ai la fâcheuse impression que tu vises à côté. Pourtant, je t’entends me dire que je serais réfractaire. Je reconnais que j’en ai peut être perdu l’habitude depuis quelques temps, mais je ne peux pas être contre une telle offrande de ta part. Finalement avec un peu de patience, tout rentre dans l’ordre … et pas queue. Ton gode noir finit par bien me pénétrer, jusqu’à la garde, les couilles noires de latex venant buter contre mes fesses. Tu t’évertues alors à me sodomiser avec application faisant coulisser en avant et en arrière cet appendice, d’une main experte. J’en gémis de satisfaction. Sans le savoir, tu as comblé un léger manque ;-) Si cette sodomie était le point d’orgue de cette belle soirée, tu conclues avec un dernier assaut de tes griffes, cette fois à nu, sur mes fesses et mon sexe. Je suis aux anges, après avoir été comblé successivement par deux orifices … Il ne reste plus qu’à enfiler ma tenue choisie pour cette dernière nuit. Je vais finir par m’habituer à cette nuisette.
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Par : le 18/08/22
mélodie en sous-sol : Un soir, je reçois un coup de fil d'un voisin me demandant de venir dépanner l'éclairage de sa cave de l'immeuble ! Au garage, je prends donc ma caisse à outils et attend mon voisin. Dans les couloirs et méandres des caves, je suis tranquillement, lorsque tout à coup la minuterie coupe l'éclairage et j'entends une voix inconnu me dire de ne pas bouger qu'il va rallumer! Je pose donc ma caisse au sol et sans m'y attendre, je suis invité par le poignet à entrer dans une cave toujours dans le noir Le tout dans un silence assez inquiétant! Pour avoir déjà un peu pratiqué des relations dominatrices autrefois, je comprends bien vite la pose de bracelets sur mes poignets. Un bras est tiré légèrement écarté vers le haut, puis l'autre: je me retrouve prisonnier mais je ne reconnais pas la voix de mon voisin et de plus il me semble qu'il y a au moins deux personnes ! Je sens une main descendre mon bonnet sur le visage tandis qu'une autre main puissante desserre ma ceinture et enlève mon pantalon, mes chaussures et chaussettes, heureusement il me reste mon tee-shirt! L'éclairage semble être revenu puisque j'entrevoie une raie de lumière à travers mon bonnet de laine! je n'y vois plus rien et ne peut plus bouger les bras, ensuite pose de bracelets aux chevilles et les pieds sont justes écartés de manière à me retrouver sur la pointe des orteils! J'entends un bruit d'échelle et le bruit lourd de fermeture d'une porte ! Désormais à part onduler du nombril, je ne peux plus bouger et assez bizarrement je sens mon sexe durcir sous mon slip! La situation m'excite beaucoup et mes protagonistes ont bien du s'en rendre compte ! Tandis qu'une main caresse mon slip tendu, une autre me titille vigoureusement les seins. Je sens un liquide chaud couler sur mon bonnet et dégouliner sur mon tee-shirt et le reste de mon corps: l'odeur est assez forte et l'urine tiède est bien généreuse ! On est entrain de déchirer mon tee-shirt et d'arracher mon slip! Nu comme un vers offert, je sens poser un lien autour de mes testicules et de mon sexe en érection! Cette fois ci c'est de l'eau tiède qui me rince de l'urine en m'enlève cette odeur assez désagréable et une traction de plus en plus forte sur mon sexe, tandis qu'un petit gode bien lubrifié vient pénétrer délicatement mon anus, sans que je ne puisse m'y opposer! L'au coule lentement, surement et sensuellement sur mon corps prisonnier ! Des mains baladeuses parcourent l'ensemble de mon corps en insistant plus particulièrement sur mes seins, mes fesses et mon sexe en feu! Soudainement, une ou deux mains me fessent sous l'eau toujours ruisselante et cela fait un drôle de bruit ! La cave semble bien chauffée et mes dominateurs pratiquent en silence cette séance totalement inattendue sans être désagréable, bien au contraire au vu de mon excitation sexuelle bien évidente ! Les fessées s'arrêtent et font un transfert sur mes seins qui commencent à être douloureux! J'ai l'impression d'avoir le sexe en feu lorsque je sens un liquide chaud me pénétrer l'arrière train! La question est pour moi de savoir combien de temps je vais pouvoir résister à ce lavement interne avant de devoir me vider violemment ? L'eau dégoulinante semble s'être arrêtée, et de ce fait je ne sais plus trop où j'en suis de cette merveilleuse surprise! Probablement pour détourner mon attention de ce "remplissage forcé" je sens des mains lubrifier généreusement mes seins et je subis bien ensuite une très forte traction de pompes à seins! Les liens autour de mon sexe semble à la limite du supportable lorsque jambes bien écartées je me vide bruyamment de mon lavement interne! Depuis combien de temps suis-je ainsi suspendu, trituré et lavé extérieur et intérieur ! Sous la pression, l'insert de lavement a été éjecté et assez rapidement remis en place ainsi que le ruissèlement qui part de ma tête cagoulé sous mon bonnet! Mes seins deviennent douloureux sous l'effet des pompes, comme si mes "dominateurs" connaissaient mes limites, les pompes sont enlevées, les seins virilement essuyés et pincés trop fortement à mon goût! A nouveau j'éjecte la poire de lavement et cette fois-ci je sens un liquide couler sur mes jambes écartées ! La traction sur mes seins semblent insupportable lorsque en plus je sens un doigt et ou une bouche titiller mon anus! Les mains me semblent de plus en plus baladeuses sur l'ensemble de mon corps toujours ruisselant!, tandis que mon sexe en feu ne demande qu'à jouir! A cause de mon érection, je sens une certaine difficulté à la pose d'une cage de chasteté. Depuis combien de temps a duré dans cette soumission bien imprévue! Le ruissèlement tiède s'est arrêté ! Les pinces des seins sont violemment enlevées et je sens uns sorte de momification à partir de bras qui descend jusqu'au chevilles. C'était en été et la température de la cave était fraiche, mais je commençais à transpirer sous la momification! Mes seins et mon sexe en cage sont dégagés de la momification et je sens alors l'introduction d'un sceptre princier dans mon sexe par le petit orifice de la cage de chasteté et malgré mon opposition, je ne peux m'y refuser : je n'en ai pas la capacité! Il me tarde de pouvoir enfin jouir, mais mon ou mes " dominateurs " semblent ne pas être de mon avis et je commence à sentir mon corps douloureusement prisonnier! Combien de temps suis-je resté ainsi immobilisé, je n'en sais rien, mais il commencer à me tarder de retrouver ma liberté ! J'ai bien envie d'uriner avec beaucoup de difficulté, un petit jet d'urine arrive à passer par le sceptre princier probablement creux. Tandis que je suis libéré de la cage de chasteté avec sa sonde, non sans difficulté, mes seins sont alors triturés à la limite du supportable et ma respiration de vient de plus en plus forte, à ce moment une main "branle" mon sexe qui ne tarde guère à éjecter ma semence! Je soupire de ce soulagement et suis enfin débarrassé de la momification trop serré! La lumière revient dans la cave et je me retrouve bien seul avec ma pauvre caisse à outils. Je prends mes vêtements et cherche la sortie dans ce labyrinthe . Revenu dans mon logement, je prends une douche et vais me coucher en me disant que la prochaine fois, je serais plus attentif à un éventuel dépannage électrique, même si je n'ai aucun regret de cette rencontre bien au contraire! Bonne nuit à mes lecteurs !
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Par : le 16/08/22
Incroyable mais vrai : J'arrive tranquillement en voiture devant le portail ouvert : je me gare devant l'entrée du garage : je suis juste à l'heure demandée ! Comme convenu au préalable, je porte une salopette et juste un string cuir dessous. Avec moi, un sac de petit matériel et une tenue de rechange comme demandée! Je monte les escaliers du perron et me met dos à la porte d'entrée avec mon sac à coté. J'entends une musique à l'intérieur! La musique devient plus forte et je comprends que la porte d'entrée est alors ouverte : Mon nouveau MAÎTRE me pose un bandeau sur les yeux, un collier et me menottes les mains dans le dos ! Cela commence vraiment à m'exciter et je suis curieux de la suite des événements! Aveuglé, Mon MAÎTRE me prend par les hanches et me fait parcourir quelques pas, ensuite mes menottes sont remplacées par des bracelets et je sens que mes poignets sont tirés vers le haut ! La musique devient plus forte et j'ai du rester plusieurs minutes dans cette position. Un moment de silence et j'entends à nouveau des pas qui s'approche de moi en légère extension verticale. Je sens la pose de bracelets à mes chevilles qui sont forcées à s'écarter, à la limite d'être sur la pointe des pieds ! Une nouvelle musique et je comprends bien que désormais, je ne pourrais plus bouger ni me refuser aux envies de mon nouveau MAÎTRE ! Il me semble qu'il y a au moins deux personnes autour de moi ? En effet des mains parcourent mon modeste corps ainsi exposé et arrachent mes vêtements, désormais je suis entièrement nu et palpé généreusement un peu partout de manière très sensuelle ! Une insistance toute particulière sur mes seins bien sensibles accompagnés par une longue fessée à mains nues! Mon sexe est en pleine érection, ce qui ne semble guère inquiéter les dominants que j'entends discuter à voix basse ! Ce qui devait arriver arriva et j'ai senti mon corps asperger d'un liquide chaud et dégoulinant généreusement. J'ai vite compris que j'étais préparé pour un rasage intégral de la tête aux pieds. La mousse à raser était appliqué généreusement sur tout mon modeste corps ainsi exposé, pour sentir ensuite le passage du rasoir y compris dans mes parties les plus intimes de mon anatomie! Léger changement de position pour les bras qui n'étaient plus suspendus mais vigoureusement écartelés. Je sentais mon sexe en folie, surtout lorsque le rasoir parcourait mes bourses bien tendues par une ou des mains vigoureuses ! Toujours dans cette position, j'ai senti un jet d'eau froide dans le but de rincer mon corps : résultat immédiat je ne bandais plus ! Je m'inquiétais alors de la possible déception de Mon MAÎTRE ! Mon sexe bien mou, fut vite tripoter et je sentais la pose d'une cage de chasteté bien contraignante, vite suivi de pompes sur mes seins! Mon sexe s'est mis à remplir la cage et mes seins gonfler douloureusement sous la très forte aspiration ! Combien de temps suis-je ainsi resté, mes seins devenant de plus douloureux, tandis qu'une fois encore plusieurs mains me semble-t-il parcouraient vigoureusement mon corps exposé sans défense ! Enfin mes seins sont libérés de l'aspiration et essuyés sans trop d'attention à leurs nouvelle sensibilité ! Hélas, ce repos tant attendu fut vite remplacé par la pose de pinces sur mes deux seins, joyeusement accompagné par une fessée bien bruyante! Probablement de nouvelles pinces car je ne reconnaissais pas cette tension. Les pinces étaient manipulés par un expert qui devait maitriser cette pratique! J'avais demandé et prévenu mon futur MAÎTRE que je ne pratiquais ni la sodomie et encore moins le Fist ! Quelle fut ma surprise tandis qu'une main manipulait la cage de chasteté, un doigt titillait mon anus pour le pénétrer délicatement ! A nouveau une douche cette fois tiède qui coulait lentement de ma tête sur le reste de mon corps! Je ne saurais dire combien de temps je suis resté ainsi exposé en croix, offert aux regards et aux diverses manipulations bien excitantes ! Avec plaisirs, j'ai senti enfin mon sexe libéré de la cage et mes seins reprendre leur liberté! Je ne m'attendais guère à la suite qui fut extraordinaire probablement pour tout le monde de la rencontre ( avec le bandeau serré, je ne pouvais rien voir, mais j'entendais bien ) Une bouche goulue s'empara de mon sexe tandis que des mains tripotaient de plus en plus violemment mes seins ! La douche ou plutôt le filet d'eau s'était arrêté, pas complètement toutefois ! je sentais toujours un ruissellement sur mes jambes L'alternance de repos, de sensualité, de douceur et de vigueur sans équivoque ont fait que j'ai joui bien trop tôt à mon goût : j'aurais bien aimé que la séance dure encore et encore! Libéré de mes entraves, je me suis retrouvé seul dans une pièce et j'ai pu m'habiller pour pouvoir rentrer heureux et épanoui de la séance! La prochaine rencontre, j'essayerai d'être un peu moins excité !
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Par : le 14/08/22
La boulangère Elle est appétissante la boulangère ! Fantasmes et désirs… boulangère, crémière, bouchère… Ces femmes m’ont toujours fait… bander ! J’ose le dire : quand je fais mes courses : je trique ! Trônant derrière leur comptoir, s’activant pour servir le client : le sourire est obligatoire. La bouchère ne fait qu’encaisser… rendre la monnaie. Elle se tient toujours très droite, sur son haut tabouret. La crémière s’active. Au milieu de sa boutique. On papote parfois. On échange quelques mots en faisant la queue. Cette expression, aussi, me fait bander ! Faire la queue… J’imagine parfois un gang-bang ! Tous les clients faisant la queue… pour enfiler la commerçante… Mais la boulangère : c’est autre chose… Elle est appétissante la boulangère ! Des formes pleines. Des fesses. Des seins. Des joues ! Et cette bouche charnue, pulpeuse… La boulangère est une gourmande ! Je lui achète mon pain tous les jours. – Bonjour, une baguette à l’ancienne, s’il vous plaît. – 1 euro 10. Vous désirez autre chose ? Elle m’énerve la boulangère ! Appétissante, mais énervante ! Tous les soirs, comme à tous les clients, elle me pose la même éternelle question : vous désirez autre chose ? C’est l’heure de la fermeture. Je l’ai interrompue dans son activité de balayage. Il n’y a pas de client derrière moi. Je lui souris. Ne lui réponds pas. Je ne prends ni la baguette à l’ancienne qui m’attend sur le comptoir. Ni la monnaie de mon billet : 3 euros 90. – Vous désirez autre chose ? Elle insiste ! Mais le sourire coquin qui s’esquisse aux coins des lèvres ne me trompe pas. – Oui, vous ! – Oh ! Vous alors ! Les dés sont jetés. Les mots, les désirs, les regards, les sourires. Les sous-entendus. Qu’a-t-elle dessous sa robe et son tablier blanc, la boulangère ? Alors je lui jette : – Vous êtes appétissante… mais énervante… Son visage change. Elle ne comprend pas. J’étais là à plaisanter, poussant la gaudriole, et soudain cette remarque. Qui la saisit de plein fouet. Elle s’est raidie, crispée. Reste la bouche ouverte. Sans plus savoir que dire. – Vous m’énervez et méritez une bonne fessée ! Ai-je rêvé ? La boulangère a-t-elle rougi ? Aucun doute : ses joues s’empourprent. Et elle me regarde avec un autre œil maintenant. – Oui, une bonne fessée ! – Mais monsieur… – C’est ça… appelez-moi monsieur… c’est l’heure de la fermeture… une correction s’impose… Elle file doux. Les yeux baissés, elle trottine jusqu’au mur pour appuyer sur le bouton : et le rideau métallique s’abaisse. Elle a confiance, la boulangère ! Elle me connaît : depuis trois ans que je lui achète gâteaux et pain. On se voit presque tous les jours… Elle tortille ses mains. Ses mains croisées sur son tablier. Qui n’est plus vraiment blanc. En fin de journée… Appétissante et excitante… Les yeux baissés, elle n’a même pas demandé pourquoi elle mérite d’être fessée. Docile. Soumise. Attendrissante. Elle donne envie de la battre… et de la consoler… Mais il n’est pas l’heure de s’attendrir. Mon œil est sévère, et ma main est chaude. Je l’attrape par la nuque. Pauvre boulangère ! Pauvre petite chose ! Elle a un si joli cou… Les cheveux mi-longs, réunis en queue de cheval par un élastique. Je la tiens par la nuque. Elle ne proteste pas. Ne tente aucun geste pour se dégager… Allons, la prise est bonne. Tenue, muette, contrite : elle sera fessée ! Derrière le comptoir. Là où elle opère. Toute la journée. Penchée. Troussée. Je remonte sa robe. Je dénude son cul. Oh ! L’admirable culotte de coton blanc ! Si émouvante ! Cette culotte, vite la baisser ! Et ce cul ! Son cul ! Ample et large et rebondi ! La boulangère a les fesses pleines… – Je vais te fesser… Tu l’as méritée… Sais-tu au moins pourquoi ?... – Non, monsieur. La voix est au bord des larmes. Elle se sent coupable… Rien de plus excitant, que de voir et d’entendre cette belle fille tendre ses fesses pour être punie… Accepter, comme il se doit : la punition. Je la tutoie avant de la rudoyer. Et lui explique pourquoi elle doit être fessée. – Oui, monsieur. Trop, elle est trop ! Penchée sur le comptoir, la robe remontée sur le dos, m’offrant son postérieur… dans cette pose indécente… elle attend ma main… – Je vais te corriger. – Oui, monsieur. Et la première claque tombe. Franche, forte et sonore. La première claque qui la saisit. Le premier cri. Les autres suivent. Elle glapit. Elle tressaute. Sous chaque claque, tout son corps tressaille. J’ai la main leste ! Elle le mérite, la boulangère ! Trois ans qu’elle me bassine avec son sempiternel « vous désirez autre chose ? » Trois ans ! Trois fois 365 jours ! Approximativement… cela fait bien… un millier de fois… Un millier de claques que je lui dois ! La punition va durer… Peut-être faudra-t-il m’y reprendre à plusieurs fois ? C’est qu’elle y prend goût, la boulangère… ses cris sont devenus des gémissements… – Mais tu aimes ça ?! – Oh ! Non, monsieur ! Vous frappez si fort… ! Mais mon doigt inquisiteur entre ses cuisses se glisse. Et il ressort de ce voyage, de cette exploration : trempé ! – Tu mouilles ! – Pardon, monsieur ! Pardon ! Je n’y peux rien… mais vous fessez si fort !... Qu’elle est émouvante ! Elle halète sous les coups. Elle peut à peine parler. Elle agite sa tête et sa queue de cheval. Ses doigts croisés sur le comptoir se crispent… Elle tend la croupe, se cambre… – Mais tu vas jouir ? – Oh ! Non, monsieur… j’aurais trop honte… Mais ses cris, son agitation, ne me trompent pas… Je la fesse plus sauvagement plus fort : et elle jouit, la boulangère ! Elle jouit en criant, en hurlant, en giclant ! Un jet chaud inonde ma main qui enveloppe sa vulve… La boulangère est une fontaine ! Ecroulée sur le comptoir, les fesses rougies : la boulangère a joui. Elle en tressaille encore. Tout son corps secoué de spasmes. A l’abandon. – Maintenant, il va te falloir vraiment nettoyer. – Oui, monsieur. Je la regarde faire. Le visage brouillé par les cheveux : la queue de cheval s’est détachée… l’élastique s’est envolé… Je ramasse mon pain, ma monnaie. Et m’éclipse par l’arrière-boutique.
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Par : le 01/08/22
Sandra lui dit : — Je suis un peu surprise de te voir jouer les nounous. — C'est un service que je rends à Monsieur Sam et il me paye en conséquence. Voilà, grâce à moi, elle se fait des couilles en or ! Oui, quand il s'agit de Summer, on peut parler de couilles. Sandra lui dit : — Avec moi, elle a été sage... — Je lui ai fait la leçon, sinon, on pourrait croire qu'elle a 6 ans. Je dois tout lui dire, comme à un enfant : apprends ton texte, lave-toi les dents, change de tee-shirt, va faire pipi, on part... Sandra rigole. Non, pire, elle prend des notes dans un petit cahier. Summer ajoute en me regardant : — Arrête de bouder, sinon je te donne une fessée et tu ne pourras pas t'asseoir pendant trois jours. Les deux filles me regardent, je fais un grand sourire forcé. Sandra lui dit : — Qu'est-ce qu'elle fait bien ? — Elle fait bien la salope. Elle se fait baiser par n'importe qui, elle séduit, elle lèche bien... Tu veux l'essayer ? Non, mais elle dépasse les bornes, là ! Je vais lui dire... rien, bien sûr. Sandra répond : — Pas ce soir... mais je viendrai volontiers pour te présenter mes nouvelles esclaves : des sœurs jumelles. On fera une compétition, "qui lèche le mieux". Ce qui est troublant, c'est qu'elles sont cathos et...  Je dois demander quelque chose à Sandra : — Des vraies sœurs ? Mais c'est Summer qui répond : — Tu coupes la parole aux gens ? — Mais... euh... — Mets-toi à genoux, embrasse les chevilles de Sandra, ensuite excuse-toi. Je partirais bien, mais il y a l'ascenseur. Non, pas que ça. Summer est tellement... décidée... que ça m'excite. Et puis : on joue !! On joue Maîtresse et esclave. Summer est payée pour être à mon service... Alors... euh... je me mets à genoux et j'embrasse la cheville de Sandra, puis je me mets à genoux devant... non, contre elle, parce qu'elle a écarté les jambes et je lui dis : — Pardon de vous avoir interrompue... — Oh, putain, j'adore la façon dont tu l'as dressée, Summer... J'accepte ta proposition... Enlève ma culotte, petite.... Elle se soulève de son siège pour que je puisse la lui enlever, puis elle met un pied sur la table. Ensuite, elle pousse ma tête avec son pied et j'atterris contre sa chatte mouillée. Je le fais parce que j'aime lécher une chatte., sinon je partirais, si j'avais pas envie de le faire... Oui, même seule en ascenseur : il m'a l'air solide après tout. Bon, je lèche sa chatte trempée, elle sent la fille excitée qui a pris sa douche la veille, un peu fort mais pas trop... Je la lèche soigneusement, je mélange ses sécrétions à ma salive... Elle gémit et son bassin vient au-devant de ma langue. J'ai jamais léché une fille aussi réceptive... Elle est peut-être la fille de "Speedy Gonzales" ? Bon, ça m'arrange, le bout de ma langue tourne autour de son clito et ça y est, elle jouit en serrant mon visage entre ses cuisses.... Mais lâchez-moi, Madame ! Elle doit faire de l'équitation, la garce, ses cuisses me serrent comme un étau... Ouf, ça y est, progressivement, elle desserre son étreinte. Je reprends mon souffle, elle, aussi. Puis elle se redresse, prend mon visage entre ses mains... Non, pas serrer ! Non, elle m'embrasse sur la bouche, puis elle dit : — Tu es une formidable lécheuse, petite... — Ah... euh... merci... — Tu me plais, je vais te pousser. Pousser où ça ? Summer lui dit : — On doit y aller. La petite doit encore apprendre son texte pour demain. On prend l'ascenseur à trois, moi collée à Summer qui explique : — Ashley a peur parce qu'il paraît que l'ascenseur s'est déjà écrasé deux ou trois fois. Ça les fait rire... Je m'en fous, on n'en peut rien si on a le vertige. On quitte Sandra, qui m'embrasse avec fougue, peut-être parce que je suis parfumée à sa chatte. Par contre, en rentrant, Summer me dit : — Lave-toi le visage, tu pues plus qu'un congrès de gouines. Oui, ça, c'est Summer tout en délicatesse. Elle ajoute : — N'empêche que tu lui as plu, elle va te pousser. Qu'elle me pousse ! *** Ce matin, Lee a une autre fournisseuse, une fille... comment dire ? Genre hard-rockeuse : jeans et tee-shirt déchirés, cheveux rasés sur un côté, baskets trouvés dans une poubelle. Si elle s'assied sur son visage après avoir pissé, il va prendre un méga-pied  ! Aujourd'hui, on tourne une scène très importante. La reine décide de punir ses esclaves. Pas moi, donc, mais mon personnage. Elle estime que les esclaves sont moins attentives depuis un moment ou alors ça l'amuse de les fouetter. Des esclaves punies régulièrement sont beaucoup plus attentives à obéir servilement à n'import quel ordre, aussi humiliant soit-il. Les esclaves fouettées n'ont pas de fierté. Pour cette scène, Lee et Madame Wolf ont vu grand. Un garde arrive avec une camionnette bourrée d'esclaves. C'est d'ailleurs indiqué en grand sur la camionnette. Il y a une esclave enchaînée, sous la mention "Slave Paradise". Il y a d'autres indictions : "Vente d'esclaves tous les jours à partir de 11 h." À l'arrière de la camionnette, il est indiqué "Transport d'esclaves". Je connais le garde, on a mangé avec lui à Venice. Surpris de me voir en reine d'Égypte, il ose à peine me caresser les fesses en m'embrassant. Il me fait beaucoup de compliments. Je l'aime bien, lui. Il m'apprend le maniement du fouet. Ce n'est pas évident, il faut un petit mouvement du poignet à la fin, pour que le fouet ait le maximum de vitesse quand il atteint la cible. Je m'exerce sur... des pastèques. C'est marrant. Enfin, pas pour les pastèques, mais ce sont des pastèques esclaves ! J'apprends vite et Lee qui a assisté à la scène me dit : — Tu vas t'exercer sur les deux esclaves du studio. On ne les utilise pas pour la scène, car elles sont colorées. Pour le film, il faut des fesses bien blanches pour qu'on voie les marques rouges. De plus, ces filles ont certainement besoin d'être punies régulièrement. Lee leur dit de se mettre à 4 pattes et je m'exerce, le fouet siffle et claque sur les fesses tandis que les esclaves piaillent. Je vise de mieux en mieux et je suis grisée par les cris plus intenses quand je fais le mouvement correctement. J'arrêterais bien pour ménager leurs derrières, mais il "faut" que je m'exerce. Quand je m'arrête, les fesses des filles sont couvertes de jolies marques rouges. Le fouet se termine par une partie de cuir large, le but est que ça fasse mal, mais sans blesser. Attirés par les cris des filles, beaucoup de gens sont venus admirer le spectacle. On m'applaudit... Il paraît que je suis une bonne fouetteuse. On va passer à la scène. Pour ça, on va dans un joli jardin qui a servi pour un péplum. Les esclaves sont déjà en position. Je marche entre les rangées en parlant avec Jules César. Il me dit : — Ma chère Cléopâtre, venez à Rome avec moi, vous deviendrez la reine du monde. Cléopâtre envoie deux coups de fouet sur les fesses d'une blonde, faite pour être fouettée. Comme elle crie un peu fort, elle reçoit deux autres coups de fouet. Je réponds à César : — Seigneur, c'est mon rêve de vous accompagner à Rome... et de devenir Impératrice. Il y a un petit silence, ce qui agace Cléopâtre. Elle envoie plusieurs coups de fouet sur les fesses d'une rousse qui est à sa droite, puis d'une brune à gauche. Un centurion arrive, courbé en deux. Il donne un parchemin à César et part en reculant. César lui dit : — Un problème urgent à régler, ma chère Cléopâtre, j'en ai pour peu de temps... Il sort. Encore plus agacée, Cléopâtre fouette les filles alternativement. Elle donne une dizaine de coups de fouet à chacune... Elle s'arrête en sueur, jette son fouet et va s'asseoir sur un trône. Deux esclaves agitent des palmes à toute allure pour l'éventer. — Coupez ! Lee me dit : — Bravo Ashley, excellente scène. — Merci, c'est gentil. Pour dire vrai, je suis un peu déçue, j'espérais recommencer la scène plusieurs fois. Pas parce que j'aime fouetter les esclaves, mais pour des raisons... professionnelles. Les esclaves quittent le jardin en gémissant et en se frottant les fesses. Quelles pleurnicheuses ! On va manger... puis on tourne des scènes beaucoup moins amusantes. On finit tôt et Summer vient me chercher à 17 h pour aller au "Slave Paradise". Elle me dépose, Tex me reconduira. Elle me dit : — Ne picole pas. Je vais à la petite porte secrète, vous savez celle qu'on a prise la dernière fois. Je téléphone à Tex et je lui dis : — Je suis là. Un garde ouvre, on s'embrasse et il me dit : — Tu viens te vendre ? — J'ai déjà un acheteur. On rigole... Je vous ferais remarquer que je n'ai plus peur. Tex vient à notre rencontre. Il est grand, costaud et il a une grosse bite. On s'embrasse mais bien... Ensuite on va voir les esclaves, ce sont les familles qui m'intéressent. On va dans le hangar où elles sont en cages. Il me montre deux sœurs dans une cage. Les pauvres, elles ont l'air affolées. Mais ce sont des délinquantes, donc elles sont mieux ici qu'en prison. Ici elles seront vendues et elles rapporteront de l'argent à l'Etat, au lieu d'en coûter en prison. D'accord, elles vont se faire fouetter. Ce sont des fouets qui font mal mais ne blessent pas. D'ailleurs, elles ne sont fouettées que si elles sont maladroites, insolentes... ou si leur maître est énervé, c'est vrai. Tex me montre des jumelles serrées l'une contre l'autre. Je les prendrais bien pour jouer, mais Tex me dit : — Viens, je suis ici tout le temps et ça pue. C'est vrai que ça sent un peu la ménagerie. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 25/07/22
Un petit souvenir d un moment avec mon ancienne maitresse, celle qui m a initiée. A l époque, j avais environ trente ans. Nous étions chez elle. C était l été, il faisait très chaud et elle m avait reçu pour l après-midi. Notre rendez-vous avait très vite dégénéré en véritable séance de dressage. J étais en dessous féminins à quatre pattes sur le canapé et elle avait longuement joué avec moi : fessée, cravache, martinet, puis sodomie avec un gode ceinture. A un moment, elle m'a fait me retourner et j'ai découvert deux de ses amies qui nous regardaient depuis la cuisine , en buvant leur café ! Elles nous avaient observé silencieusement depuis presque une heure. Ma maitresse et elles se sont moquées de moi, de ma tenue. Elles ne se sont pas gênées pour faire divers commentaires sur ma tenue, la taille de mon sexe, disant que je n'étais qu une bonne salope, etc... Ma maitresse leur a proposé de profiter de mes services. L une d elles a voulu que je lui fasse un cunnilingus, ce que je me suis empressé de faire. L autre s est contentee de se masturber en nous regardant. Au final, ma maitresse m'a de nouveau sodomisé devant elles. Ce moment constitue un de mes plus beaux souvenirs de soumission. D autant plus, que j'ai été amené à recroiser ces deux femmes à plusieurs reprises par la suite, dans la vie de tous les jours. Elles m'ont toujours regardé avec un grand sourire, s'amusant de mon malaise. Je croise l une d elles de temps en temps encore aujourd'hui. Du coup, ça me rappelle à chaque fois ce moment très excitant pour moi. Marc ---
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Par : le 09/07/22
Cette série de récits autobiographique retranscrira les faits et événements par ordre chronologique, elle est a l'initiative de mon Maitre et Femto qui connaissent déjà toutes ces histoires mais m'encourage a livrer mon parcours afin de révéler aux autres la salope que je suis. Je m'engage a faire une introspection sincère et vous partager mon vécu sans en travestir les faits. Bonne lecture :wink: ___________________________________________________________ De 2012 a 2015 Je suis en terminale, fraichement célibataire et plutôt déçue du sexe, je ne suis plus autant en quête d'un pénis pour combler ma vie ... Je me réfugie auprès de mes copines et dans mes loisirs choisissant de me concentrer sur mes études pour le BAC en fin d'année ! Il y'a pourtant dans ma nouvelle classe un garçon qui ne me laisse pas indifférente, il a des yeux bleus à tomber, de beaux cheveux mi-longs blonds et il me fait beaucoup rire mais je ne me projette pas dans une quelconque relation pour le moment. Plusieurs garçons me tournent autour ayant appris ma rupture durant l'été et certains se montrent assez grossier en se comparant à Clément, ils sont d'emblés à mes yeux inintéressants en s'y prenant de la sorte mais pensent avoir une chance. Mon Crush discute de plus en plus avec moi par messages, nous avons beaucoup de points communs et une complicité rare, il flirte de plus en plus ouvertement, me complimente souvent le soir sur ma tenue du jour, me dit qu'il va rêver de moi quand il va dormir ... Je m'amuse en retour a lui dire que je suis en pyjama dans mon lit quand je lui parle ou bien que je sors juste de la douche (alors que souvent ce n'est pas vrai), je fais en sorte de lui mettre des images plus ou moins sexy de moi dans la tête pour attiser son désir et voir comment il réagit dans ses messages suivants. Je me caresse régulièrement avant de dormir en l'imaginant se branler en pensant à moi, un soir alors que je me touche pendant que nous échangeons par messages, il me dit le plus spontanément du monde, qu'il me laisse-là car il doit aller se branler avant de dormir et qu'il est tard ! J'hésite entre lui répondre un simple "d'accord, bonne nuit, à demain" ou le chauffer mais ma chatte qui supplie que je continue de jouer avec elle me pousse à choisir la seconde option, je lui réponds alors "c'est moi qui te mets dans cet état ?" Son texto mets quelques instants a tomber ... "Truc de mecs ma belle, faut faire sortir le venin pour bien dormir, n'y voit pas là un rapport avec toi, tu n'es pas le centre du monde" Je le prends un peu mal car il refroidit l'ambiance mais je sais qu'il cherche a me taquiner et me faire parler de sexe ou manifester par écrit une quelconque déception, je m'amuse alors de cet affront et décide de surenchérir ! "Je parie que t'as déjà la main dans le calbar pourtant puisque t'as mis un peu de temps a répondre, pas joli-joli de m'envoyer un message alors que tu secoues Popol !" " J'avoue que j'ai peut-être commencé mon affaire, après-tout je te l'ai dit, il se fait tard et on se lève tôt demain ..." " Ah tu vois, bon garçon j'aime quand tu es honnête, du coup ça se branle sur quoi ?" (Je me frotte le clito comme une folle sur notre conversation quand je ne lui réponds pas et attends son message) " Qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est un peu gênant en plus; tu trouves pas ?" " Oh voilà qu'il fait le timide maintenant, je sais pas, je pensais que t'assumerais puisque c'est toi qu'a commencé a parler branlette !" " Je regarde une scène porno, t'es contente ?" " Ok, quelle genre, petit cochon ?" " Pourquoi tu veux en regarder un aussi peut-être, petite cochonne ?" (Je mouille comme une folle depuis plusieurs messages, il m'excite carrément trop, j'ai envie de lui, de le voir se branler ...) " Qui sait ? Peut-être que je vais m'en faire un petit avant de dormir aussi ..." " Ah ouais, tu regardes des pornos toi ?" " Moi aussi je me caresse souvent avant de dormir pour ta gouverne !" " Charlotte ... T'es en train de carrément m'exciter là, faut pas me dire des choses pareilles !" " De ? Savoir que je me frotte la chatte ça te rends fou ? Y'a pas que les mecs qui aiment le porno et prendre du plaisir avant de dormir" " C'était pas le moment pour me dire des choses comme ça, je me branlais petite idiote, maintenant je t'imagine le faire ..." " Bah justement si je peux aider, je vois pas où est le problème ..." " Ah ça te dérange pas de savoir que je suis en train de me branler en discutant de ça avec toi ? Que tu m'excites ..." " Non au contraire surtout de savoir que ça t'excite est flatteur et puis je fais peut-être la même chose ..." " Jure ?! Tu te touches là ?" " Peut-être, peut-être pas, en tout cas, je t'imagine t'acharner sur ta queue mon cher et ça m'amuse" " Bordel, je viens de finir, tu m'as complétement fait vriller, j'en ai mis partout, je me sens un peu honteux " " Faut pas, ça restera notre petit secret, j'espère que c'était bon en tout cas" " Ok, on fait ça, je te promets d'en parler a personne, j'ai kiffé mais a la fois je me dis qu'on a dérapé, allez bonne nuit la miss" " Yep a demain et y'a pas de mal a se faire du bien, dors bien" Je me caressa encore quelques instants totalement en transe avant de m'endormir avec un peu de remords d'avoir été aussi cru. Le lendemain matin, Thomas arrive dans la cour du lycée, me prends par la main, m'entraine avec lui en me disant qu'il faut qu'il me parle, il me plaque contre le mur derrière les toilettes, me regarde fixement dans les yeux "Je t'aime, petite cochonne" me dit-t-il avec aplomb, je rigole et lui réponds "moi aussi petit cochon", il me roule une pelle des plus intenses en me prenant dans ses bras, je fonds littéralement et tombe inéluctablement folle amoureuse de lui. Thomas et moi étions un couple très fusionnel, il était beau garçon, populaire et très apprécié, je l'étais aussi donc nous devînmes l'un de ses couples stars d'un bahut. Plusieurs de mes copines m'enviait notre relation, plusieurs de ses copains jalousait celui qui profitait de mon corps et ça, pour en profiter, il en profitait ... Thomas fut une révélation, il répara les dégâts de Clément (le précoce) avec lui je redécouvris cette passion que j'avais pour la queue, j'adorais sa bite, l'avoir dans ma main, dans ma bouche, dans ma chatte ! Thomas était endurant, mieux membré, plus sauvage, plus pervers, il me prenait dans toutes les positions, dans plusieurs pièces de nos maisons, à l'extérieur, il avait toujours envie de moi et c'était à chaque fois un réel plaisir que de satisfaire ses besoins ! Le sexe était un fondement de notre relation, on baisait tout le temps, on parlait de cul tout le temps, on était des animaux en ruts qui se découvrent une sexualité et la consume a toute vitesse ! J'adorais le voir en érection, savoir qu'il bande pour moi. J'adorais embrasser son gland, couvrir ses boules de baisers et dévorer son chibre de longues minutes en l'écoutant gémir de plaisir. J'adorais quand il dévorait ma poitrine, bouffait ma chatte et me léchait le cul, sentir son envie pour mon corps. J'adorais par dessus-tout ses coups de reins violents, sa bite raide qui tapait si fort et profondément en moi, la fougue qui le caractérisait et nos parties de jambes en l'air digne des pornos que nous regardions ! Thomas réveilla de nouveau la salope qui dormait en moi, il me rendit accroc a sa bite, au sexe et me déprava ! Totalement en confiance avec ce garçon qui me témoignait tout son amour et tous ses désirs, je me laissais aller et oubliait petit a petit la conception de pudeur, tabous ou limites. Thomas avait instauré une règle dans notre couple, nous devions toujours tout faire pour le plaisir de l'autre et ne rien lui demander que nous ne pourrions faire nous-même ! Si tu m'aimes, pourquoi m'empêcher de prendre du plaisir ou faire ce que j'aime ? C'était un peu son crédo et dans le fond ça se tenait. Je me dévouais a le faire prendre son pied et m'assurer qu'il exprime toutes ses envies et en retour il s'assurait également que je jouisse avant lui et communique sur mon ressenti ou ce dont j'avais envie. Thomas me fit découvrir le véritable plaisir, il m'emmena aux portes de l'orgasme que je ne franchissais pas mais nous n'étions pas loin, il savait me faire jouir et je vénérais sa queue. Il fut le premier garçon que je présenta a ma mère, elle l'appréciait beaucoup. Quelques semaines après avoir officialisé mon couple auprès de ma Maman elle m'offrit mon premier string en me disant que maintenant j'avais l'âge d'en avoir un, elle se doutait que j'étais devenue sexuellement active avec mon petit-copain alors elle me posa la question, je lui confirma que je couchais avec Thomas. Monsieur souhaitait que je prenne la pilule pour que l'on se passe du préservatif, j'en parla a ma mère en lui disant que je souhaiterais avoir une contraception plus sûre, elle m'encouragea a prendre en effet la pilule. Les premières baises sans capotes furent incroyables, la sensation du peau contre peau me fit redécouvrir sa queue ou la bite de manière plus générale, tout était plus doux, sensuel, meilleur et le sentir jouir en moi était une satisfaction totale, les jets chauds qui se déversaient dans mes entrailles me donnait l'impression de servir de vide-couilles, accomplir ma fonction jusqu'au bout. Au fil des mois, Thomas me baisait de manière plus brutale et j'aimais cela, ces mots devenaient plus crus, il parlait de mon corps de manière obscène, de moi en des termes peu élogieux mais dans les situations que nous vivions, il disait toujours vrai ... Comment contester le fait que j'étais une salope ? Moi qui adorait le sucer, m'étouffer sur sa queue raide pleine de salive, m'empaler dessus pour m'y remuer sans pudeur, gémir sans honte sous ses coups de bites, me faire remplir de sperme ... Comment contester le fait que j'étais une chienne ? Moi qui voulait toujours me faire baiser, qui en prenait plein la chatte tout le week-end, qui cambrait mon cul à m'en déboiter le dos et écartait mes deux fesses pour lui offrir la meilleure vue sur mes trous ... Comment contester le fait que j'étais une pute ? Moi qui obéissait à toutes ses envies, me faisait baiser en extérieur avec le risque d'être surpris, jouissait avec ses parents dans la pièce d'à coté, lui gobait les deux boules en même temps pendant qu'il se branle, lui léchait le cul s'il me le demandait, avalait son sperme ou le laissait me recouvrir le visage ... Au lycée et devant nos amis, j'étais sa petite amie. A la maison ou chez ses parents, j'étais sa copine. Entre nous, j'étais sa femme, sa meilleure amie, sa confidente, sa partenaire mais au lit quand les vêtements tombaient je n'étais plus qu'une salope bonne qu'à se faire défoncer la chatte, une chienne docile vouée a lui vider les couilles et une pute dépravée qui ferait tout pour satisfaire sa queue ... J'aimais cela, j'aimais être cette salope, j'aimais le sexe, la bite, sa bite et j'aimais ce qu'on était, c'était parfait ainsi ! Durant l'année de mes 18 ans, j'ai discuté un jour a cœur ouvert avec ma mère sur l'abandon de mon paternel, elle me raconta qu'ils ne s'entendaient plus du tout, qu'elle ne le comblait pas assez sexuellement selon lui mais aussi qu'elle savait qu'il avait une maitresse, fréquentait des établissement libertins et avait une double vie. Les révélations de ma mère me poussèrent a m'investir encore plus sexuellement avec Thomas, à le combler et ne rien lui refuser. Avec le recul, je pense que ma soumission trouve ses origines dans cet instant, mon rapport aux hommes a toujours été influencé par l'absence d'une figure paternelle dans ma vie mais mon rapport au sexe a aussi toujours été influencé par ce besoin d'affection et cette volonté de combler l'autre pour m'assurer qu'il reste a mes cotés. Savoir que mon géniteur était un salaud infidèle a la libido insatiable qui faisait passer ses besoins sexuels avant tout le reste m'aida a le détester encore plus mais je releva aussi les points communs que nous commencions à avoir ... Pire encore, parfois quand je me masturbais, j'imaginais cet homme qui baisait autrefois ma mère, elle qui m'a éduqué de façon plutôt stricte, que je ne vois jamais se relâcher, qui n'a jamais refait sa vie et que je ne peux imaginer avoir eu ne serait-ce qu'une aventure depuis leur séparation. A quoi pouvait bien ressembler leurs parties de jambes en l'air ? Un fantasme commença à germer en moi, celui d'un jour aller en club libertin ! Je m'informais régulièrement sur le milieu, ses codes, son fonctionnement et consommait de temps en temps du porno en lien avec le libertinage, l'échangisme ou les glory-holes. Quand je me caressais, Il m'arrivait de fantasmer sur une soirée dans un club avec Thomas, de voir des gens en train de baiser, de nous joindre à eux mais je n'en étais pas capable, ce n'était que des pensées obscènes quand j'étais trop excitée ... Pourquoi cela m'excitait autant d'ailleurs ? Est-ce que j'avais réellement envie de sexe a plusieurs ? Que Thomas me voit coucher avec un autre homme sous ses yeux ? De sucer la bite d'un parfait inconnu sans savoir à quoi il ressemble physiquement en le pompant à travers le trou d'un mur ? Un soir, je pris conscience que ce qui m'attirait autant dans ce fantasme du club libertin ce n'était pas tant le milieu décomplexé sexuellement et tout ce qui va avec mais plutôt l'idée de marcher sur les traces de mon paternel, que ce qui m'excitait c'était de me dire que je pourrais tomber sur lui, que je ne le reconnaitrais pas et lui encore moins, que je pourrais me faire baiser par mon propre père ou sucer sa queue sans le savoir ... Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis faites du bien avec des pensées pareilles dans la tête ... Je fantasmais sur le fait d'entrer dans un club, de voir une femme se faire prendre sous mes yeux et de me dire que c'est peut-être mon père qui est en train de la baiser. Je fantasmais sur le fait de me faire baiser par Thomas devant des voyeurs et que mon paternel serait peut-être dans le groupe d'hommes qui me regarde, qu'il constate la chienne que je suis sans que lui ou moi ne le sachions. Je fantasmais sur le fait de sucer des bites dont je ne sais rien, d'en voir de toutes les tailles et diverses formes, de m'atteler à en vidanger plusieurs sans avoir la moindre idée de la beauté de l'homme derrière le mur, sa corpulence ou son âge. J''étais excitée par l'idée de sucer des mecs repoussants, qu'ils soient moches, gros ou vieux mais que je n'en sache rien. Que je sois en train de pomper un gars de mon bahut, un de mes profs, le père d'une amie mais que je n'en sache rien. Que je sois en train de vider les couilles de mon propre père dans ma bouche mais que je n'en sache rien. Je fantasmais sur le fait de me faire prendre par de parfaits inconnus, que Thomas m'offre à des mâles en rut, m'échange à un gars contre sa copine, de n'être qu'un corps dont des hommes dont je ne sais rien disposent pour leurs besoins. Il y'avait de la perversion en moi qui aimait l'idée que mon père soit un jour l'un d'eux, qu'il pénètre dans la chatte de sa propre fille, celle qu'il a abandonnée dont il ne connait rien et surtout pas le manque dont elle a souffert, qu'il profite de ce qu'il a engendré, que son égoïsme et ses vices comme ma dépendance aux hommes et ma dépravation nous conduisent a baiser ensemble comme les obsédés maudits que nous sommes. Ce fantasme était irréalisable et bien trop immoral, il se manifestait dans un coin de ma tête quand j'étais très excitée et perdait le sens des réalités avant de jouir, je ne pouvais pas en parler à Thomas tant il était obscène, difficile a comprendre sans une parfaite connaissance de mes blessures psychiques et je ne voulais pas que mon petit-ami voit cet aspect de moi ... La vie suivait son cours, j'étais épanouie tant socialement, émotionnellement que sexuellement ! Depuis les révélations de ma mère et ma décision de m'offrir sans aucune limites a mon petit-ami, je ne faisais plus l'amour, je me faisais baiser. Je ne suçais plus simplement une bite, je m'exerçais a la gorge profonde. Je ne recrachais plus le sperme après une pipe, j'avalais son foutre, le laissait venir sur mon visage, ma poitrine, mon cul ou la plupart du temps, au fond de ma chatte ! Thomas était un conquérant, celui qui annexait mon corps, lui faisait vivre diverses premières fois mais surtout celui qui me ferait tout faire, tout vivre, tout essayer ne serait-ce qu'une fois juste pour voir ! Il ne cachait plus sa part d'ombre et me délivrait toutes ses envies, à chaque fois que nous repoussions nos limites ou faisions quelque chose de nouveau, il se tournait instantanément vers la prochaine étape, c'était comme une liste de pratiques, perversions, situations, jeux de rôles qu'il voulait cocher comme pour se dire, on l'a fait ! Mon obsédé de petit-ami m'avait convaincu de me laisser prendre en photos totalement nue et filmer en plein acte pour qu'il se branle sur moi/nous plutôt que du porno pendant la semaine. Il vouait un tel culte a mon corps que j'avais acceptée par amour de lui faire confiance pour garder ça pour lui. Je me disais que si ça l'aidait à rester focus sur moi même dans ses moments solitaires, il n'en serait que plus bouillant le week-end lorsqu'il retrouverait "la came" sur laquelle il se branlait toute la semaine ! Je me fis violence au départ pour lui offrir le contenu qu'il recherchait pour ses branlettes, les premiers shootings furent éprouvants et gênant mais quand il me filmait en train de le sucer c'était excitant de me dire que je devais fournir une belle prestation car elle était enregistrée et qu'il allait la revivre en solo. Au fil des mois, je me pris finalement au jeu et il amassa plusieurs centaines de photos allant de shootings complets dédiés a une tenue ou un ensemble de lingerie a des photos prises a la va-vite pendant nos ébats. Une baise sur deux, il sortait dorénavant son téléphone pour me filmer, il se filmait en train de se faire sucer, de me baiser et d'éjaculer sur mon visage ou mon corps. Déjà bien dépravée et sans pudeur, le fait de savoir qu'il détenait autant de photos/vidéos compromettantes sur moi où il avait la preuve que j'étais bel et bien une salope fit voler en éclats ma capacité a garder encore quelques limites ou lui refuser quelque-chose ... J'étais déjà soumise à cet homme sans le dire, nous ne mettions pas de mots sur cela mais dans les faits ma dévotion était totale depuis des mois, mes tabous presque tous envolés et la notion de limites, il savait la faire disparaitre. La semaine nous avions maintenant du sexe virtuellement, allant des sextos/appels cochons où on se touchent avant de dormir aux échanges de nudes, il n'y avait plus de temps morts avec le week-end où nous passions aux rapports plus concrets. J'aimais envoyer des photos de mon corps a mon mec, qu'il me réponde avec une photo de sa queue en érection ou me dise que si j'étais face a lui, il boufferait la chatte que je venais de lui envoyer ! J'aimais qu'il me promette "de me détruire" ce soir quand je lui envoyais une photo de moi dans mon bain m'épilant la chatte pour lui. J'aimais me réveiller et avoir une photo de ses jets de sperme sur le parquet de sa chambre où il me disait que c'était le résultat de sa masturbation devant notre vidéo du week-end dernier ! J'aimais aussi me toucher sur nos vidéos, parfois je lui demandais de m'en envoyer certaines quand j'avais trouver le moment génial pour pouvoir me masturber devant. Je ne m'en suis pas rendue compte à cette époque mais je pense que c'est à cette période que je suis devenue nymphomane, le sexe était présent chaque jour. Ma dévotion totale à mon petit ami, sa recherche constante de nouveautés et notre volonté de tout essayer nous poussèrent à aller très loin pour des jeunes de nos âges. Lorsqu'il m'avait demandé de lui faire un anulingus par exemple, j'avais au départ émis des réticences mais il avait argumenté en me disant qu'il me le faisait bien lui, alors pourquoi pas l'inverse ? J'avais rétorqué le fait de n'avoir rien demandé mais avec le couplet sur le fait de donner du plaisir à la personne qu'on aime en veillant a son épanouissement, j'y étais allé ! Les premiers coups de langues furent fébriles mais il s'était entièrement épilé pour l'occasion alors je lécha le pourtour de son anus et appuya légèrement sur son entrée, les gémissements de plaisir de mon copain m'encouragèrent a poursuivre cette mascarade. Dans les minutes qui suivirent, je recevais des ordres clairs et autoritaires me disant d'embrasser ses fesses, de lécher plus vite, de remuer de haut en bas ma langue, de la laisser sortie et de ne bouger que ma tête, de lui limer la raie dans son ensemble ! Son cul était baveux, le bas de mon visage recouvert de salive, j'étouffais parfois entre ses fesses, cherchant a reprendre une respiration contre son cul, il se branlait lui-même en me regardant et appuyais parfois sur ma tête pour me maintenir entre ses fesses. Il m'ordonna de rentrer ma langue dans son cul, je ne voulais pas le faire, lécher l'extérieur était une chose mais j'avais peur du goût ou d'un accident ... En exprimant un refus, il argumenta aussitôt sur le fait qu'il me le faisait, qu'il rentrait sa langue dans mon cul mais aussi dans ma chatte alors il prit ma tête et l'enfonça entre ses fesses en m'ordonnant de lécher, "mets-la dedans" me dit-il plusieurs fois alors que je léchais l'entrée puis j'obéis et pénétra son anus de la pointe de la langue ! "Fais des vas et viens, je veux te sentir entrer et sortir en moi" me dit-il en m'agrippant les cheveux. "Plus loin s'il te plait" me dit-il en appuyant derrière mon crâne pour m'enfoncer le visage dans ses fesses alors que ma langue était en lui. "Encule-moi avec ta langue" me dit-il pendant que je gardais ses fesses écartées et que j'y mettais des hochements de tête la langue enroulée pour en faire une pointe qui le gode ... Voici comment je suis passée en moins de dix minutes de quelqu'un qui ne s'était jamais approchée d'un anus a quelqu'un qui raclais l'intérieur d'un trou de balle avec sa langue ! Après cette première fois, je lui léchais le cul un week-end sur deux pendant nos préliminaires et cela ne me dérangeait plus. L'anus de mon mec était copieusement léché s'il soulevait ses jambes pour m'y laisser l'accès et j'aimais que ma langue remonte en continu de sa raie à ses couilles pour revenir à sa queue. L'anus de mon mec était habilement sollicité s'il se mettait à quatre pattes, je lui écartais bien les fesses et l'enculait avec ma langue tout en masturbant sa queue qui pendait dans le vide. L'anus de mon mec était violemment frotté contre ma langue et sur mon visage quand il s'asseyait sur moi pour que j'étouffe entre ses fesses alors qu'il se remuait sur la pointe de ma langue tout en se branlant et m'agrippant parfois par les cheveux pour enfouir mon visage dans son cul. Nous avions 18 ans et je bouffais le fion de mon petit-copain comme une actrice de gonzos ! Je pense que le plus hors du commun ou inavouable c'est quand nous nous sommes mutuellement pissés dessus ... Thomas m'avait plusieurs fois fait part de son envie de m'uriner dessus, sur le visage plus précisément mais j'avais évidemment tout de suite décliner la proposition et bien qu'il en reparle parfois sur ce sujet il ne me forçait pas la main sachant que c'était bien plus hardcore. Je lui avais demandé ce qu'il cherchait là dedans et il m'avait expliqué vouloir voir jusqu'où je pourrais aller pour lui, si ma dévotion était réelle et que c'était une façon de se sentir supérieur à moi sur l'instant, une envie d'humiliation, de dominer. Un soir après une bonne baise chez lui, nous avions tous les deux envie d'aller aux toilettes pour pisser puis a la douche, nous venions de passer un bon moment et lorsqu'on se chamaillait pour la première place aux WC, il me dit que je n'avais qu'à pisser dans la douche puisque je devais y aller, je lui concéda alors les toilettes en acceptant de le faire sous l'eau de la douche. Alors que je déclenchais l'eau, Thomas s'engouffra dans la salle de bain, la ferma a clé et me chuchota (parents dans le salon au rez de chaussée) que si j'étais capable de me pisser dessus moi-même dans la douche et bien nous n'avions qu'a nous pisser dessus à tour de rôles dans la douche. Je lui demanda pourquoi ça et il me rappela qu'il ne me demanderait jamais de subir quelque-chose qu'il n'est pas prêt à faire aussi donc que s'il me pissait dessus, il subirait l'expérience en retour ! Je ne sais pas si c'est l'euphorie de la soirée sympa que nous passions ou le fait que j'avais trop envie de pisser pour que l'on débatte mais j'accepta si c'était juste sur le corps. Thomas coupa l'eau, se positionna dans le bac de la douche et me dit de mettre un pied sur son épaule puis de me laisser aller, je fis ce qu'il dit et commença à uriner. Au début je me pissa plus le long de la jambe qui me servait d'appui que sur lui, je me retins alors de nouveau pendant qu'il se positionnait davantage sous moi bien collé à ma cuisse alors qu'il maintenait mon autre jambe sur son épaule. La seconde tentative fut aussi calamiteuse mais fonctionna, ma pisse coulait sur lui, sur son bras, une partie de son ventre et ses cuisses, il me demanda d'orienter ma chatte de la main alors je tira dessus pour tenter de viser avec le jet et lui en mettre un maximum dessus, on rigola énormément lorsqu'il me dit que "c'était très bizarre la sensation, chaud et que ça puait" alors que j'arrosais son torse et savourait ses grimaces. Monsieur se rinça puis m'invita a prendre place. C'était mon tour, je m'accroupis jambes écartés en étant bien appuyé sur mes talons, il me demanda de tenir et écraser mes seins l'un contre l'autre puis il débuta, c'était tout de suite bien plus facile pour un homme de viser ... Il s'amusa à pisser sur mes seins, mes épaules, mes cuisses, c'était brulant et ça démangeait, l'odeur était forte, je puais la pisse ! Il me fit me retourner a quatre pattes pendant qu'il retenait ses derniers jets puis il urina sur mes fesses et mon dos. Je me mis debout, puante avec des relents de dégout devant l'odeur de l'urine, on prit un fou rire en concédant tous les deux que ça puait et que c'était n'importe quoi ce qu'on venait de faire puis je me rinça en vitesse à grand renfort de gel douche ! Il est difficile de vous conter toutes les parties de jambes en l'air et diverses pratiques que nous avons vécues au sein de cette relation mais si je devais encore vous partager quelques anecdotes, je vous parlerais de notre penchant pour le sexe en extérieur ! Déjà c'était pratique, deux adolescents/jeunes adultes chez leurs parents c'est pas toujours simple pour baiser discrètement chez nous donc le faire à l'extérieur était un bon plan en plus de terriblement nous exciter avec le risque d'être surpris. Il y avait un petit bosquet derrière le quartier de Thomas, je ne sais pas combien de fois je me suis faites baiser contre un arbre ... Au lycée, nous nous éclipsions parfois le midi pour faire nos affaires entre les buissons d'un parc à coté du bahut ou dans une ruelle. Chez moi, nous partions nous promener dans les champs et mes premières exhibitions furent devant un troupeau de vaches. Il y'a aussi une anecdote honteuse, un week-end où les parents de Thomas n'étaient pas a la maison, il me fit part d'une découverte ! Monsieur avait trouvé dans l'un des placards de sa mère, un gode vibromasseur et il voulait que l'on essaie ... J'ai au départ comme souvent tenté de refuser en lui expliquant que c'était à sa mère, qu'elle se l'enfonçait dans la chatte et qu'il était hors de question que je fasse de même avec son jouet a elle ! "N'importe quoi, y'a rien de sale, je vais le passer sous l'eau avant de toute façon et on le nettoiera aussi après ! C'est qu'un jouet et puis tu faisais pas toutes ces manières quand on a baisé dans le lit de mes parents le mois dernier !" Thomas continua de me forcer la main en m'expliquant qu'on avait l'occasion d'essayer et de voir ce que ça me ferait, il alluma le sex-toy qui commença a vibrer et en regardant ce jouet en forme de pénis fuchsia vibrer, j'eue en effet envie de savoir ce que ça faisait. Mon pervers de petit-copain enleva ma culotte et me fit me coucher sur le dos, les jambes bien écartées, il frotta la tête du jouet contre mon sexe, les vibrations étaient agréables et stimulaient bien mon clitoris, je mouillais sur le sex-toy de ma belle-mère ! Thomas commença alors à me lécher, à insérer ses doigts puis fit entrer le gode en moi, au début il me pénétra avec le sex-toy à l'arrêt, il faisait des vas et viens en moi, j'étais trempée et très excitée. Thomas me goda de longues minutes avant de me défoncer littéralement la chatte à la force de son avant-bras, si le jouet n'était pas aussi bon que sa queue en sensations, la vitesse de pénétration et la cadence des vas et viens qu'il pouvait imposer à ce pénis par la force de sa main était bien supérieur à celle de ses coups de reins ! Je serra les cuisses et voulu interrompre la folle cadence ne tenant plus devant tant d'intensité, il me retourna, suréleva mes fesses et reprit de plus belle bien agrippé a mon postérieur qu'il tenait coincée entre son torse et ses bras ! Il alluma le vibromasseur qui commença alors à vibrer et résonner en moi, mes parois étaient chatouillées mais c'est plutôt la pénétration effrénée que reprit vite Thomas qui me faisait péter un plomb, trop de plaisir se mêlaient en moi. "Je croyais que t'en voulais pas ? Ecoute les bruits obscènes que fait ta chatte maintenant ! T'aimes te faire goder ma salope, regarde comment tu mouilles sur le sex-toy de ta belle-mère, tu vois que t'es qu'une pute ! - Oui, je suis qu'une pute qui aime s'en prendre plein la chatte !" Je gémis comme une chienne en chaleur, plusieurs fois je tente de fuir l'intensité de ma jouissance mais mon masturbateur ne me laisse pas bouger, je ne peux qu'encaisser sa fougue tant que son poignet en a sous le coude ! Thomas cessera ce divin supplice après d'intenses minutes, relâchant mon cul et me laissant inerte avec le sex-toy éteint mais encore plantée dans la chatte c'est un ordre qui me fit revenir a moi. "Allez maintenant, je veux que tu le suces bien fort et nettoie toute la mouille que t'as mis dessus" Thomas retire le jouet de ma chatte dilatée, il l'approche de ma bouche et je l'avale, il le remue entre mes lèvres et me demande de bien le lécher, je m'exécute et goute à de la mouille tout sauf délicieuse, il sort alors sa queue et me dit de manger de la vraie bite. Je me souviens que je l'ai sucé avec application, qu'à un moment j'ai repris le sex-toy de sa mère pour me goder moi-même pendant que je le suçais ... J'avais conscience d'être une dépravée mais j'ai eu du mal a regarder sa mère dans les yeux quelques temps après cet épisode. La dernière anecdote qui sort du lot et mérite d'être racontée serait qu'on se racontait des histoires de culs fictives avec des potes à nous dedans pour nous exciter ... Thomas fantasmait sur un plan a trois avec deux filles, moi sur mon club libertin donc souvent nous aimions nous masturber en écoutant l'autre nous raconter des obscénités sur nous et quelqu'un qui nous excite mais cet aspect sera plus amplement évoquer dans un chapitre bonus. Thomas était un pervers insatiable et moi j'étais devenue une salope dévergondée, nous nous comblions tellement ! Le seul point noir dans notre sexualité était le sexe anal, lui en raffolait et en regardait énormément en vidéos, moi pas plus que ça. Il avait forcé de longues semaines pour que je le laisse me sodomiser, j'avais fini par accepter d'essayer ! De longs préliminaires, beaucoup de lubrifiant et une pénétration patiente et progressive n'avait pas réussit à me détendre suffisamment pour que j'y prenne du plaisir, la sodomie avait été douloureuse et déplaisante. Une seconde tentative avait eu lieu le mois suivant de mémoire et c'était encore moins bien passée, il m'avait enculée jusqu'à se finir alors que je n'en pouvais plus et j'avais pris sur moi pour le laisser finir en me cramponnant au matelas de longues minutes ... Depuis ce jour, la sodomie avait été proscrite de nos ébats et si j'autorisais le doigt dans le cul, je lui refusais dorénavant l'accès à ce trou avec sa queue qui était synonyme pour moi de mauvais quart d'heure ! On ne pouvait pas dire que j'avais peur de la douleur ou que je ne laissais pas mon mec me violenter, les fessées franches en levrette, le tirage de cheveux pendant la pénétration, les claques pendant la pipe ou la baise, les étranglements et les jeux de salives étaient monnaies courantes après notre première année de couple mais l'anal restait a l'écart. Alors que nous approchions de nos deux ans de relation, je commis une grave erreur, toujours folle amoureuse de mon copain et épanouie, je ressentais néanmoins qu'une routine s'installait entre nous et passant tout mon temps avec lui, je ne me sentais plus que comme la copine DE alors je me demandais si je plaisais encore aux autres hommes ... Comme un besoin de séduire, de me rassurer ou de braver un interdit, j'alla flirter par messages avec un garçon qui prenait mon bus et que je trouvais pas mal, nous discutions de temps en temps et je le chauffait légèrement pour m'attirer ses compliments. Thomas le découvrit un jour en fouillant dans mon portable (chose qu'il ne faisait jamais mais il avait senti que quelque-chose se tramait) s'en suivit une dispute dévastatrice où je m'excusa à ses pieds et le supplia de ne pas me quitter, que je ne faisais que jouer pour me rassurer, que je ne l'aurais jamais trompé, il ne l'entendait pas ainsi et considérait que je l'avais trahi, il me quitta ... Ce fut un week-end à pleurer, m'en vouloir et tenter de le reconquérir, il était blessé, trahi et vexé. Mes déclarations d'amour, mes excuses, mes promesses de me racheter ne changeaient rien et alors que je le pensais perdu a jamais, il me donna rendez-vous chez lui le week-end suivant en me disant de venir que si j'étais prête à tout pour le récupérer ... Je rejoignis mon petit-copain blessé qui me faisait la gueule depuis plus d'une semaine, nous sauvâmes les apparences devant ses parents et montèrent vite à l'étage pour nous enfermer dans sa chambre et discuter. Thomas affichait toujours une mine grave, je le prit dans mes bras en m'excusant et lui rappelant que je l'aimais plus que tout, il me rassura en me disant que lui aussi et qu'il avait énormément de mal à vivre sans moi, que cette séparation le dévastait mais qu'il n'en était pas la cause, juste la victime suite a ma trahison, que si je voulais regagner sa confiance, je devrais lui prouver que je suis prête a tout pour lui et que je lui appartiens ! Je lui confirma être folle de lui et ne pas vouloir le perdre, que je saurais me racheter alors il me répondit d'un ton froid et autoritaire "on va voir ça, enlève ta culotte" ... Je m'exécuta avec un peu d'appréhension mais en me disant qu'il voulait sûrement se réconcilier par le sexe. "Voilà" dis-je les fesses à l'air devant lui, il me positionna a quatre pattes sur le matelas, baissa son jogging, cracha sur son sexe, sur mon anus et commença à y engouffrer un doigt, "Non pas ça ..." suppliais-je, notre dernière sodomie remontait a plus d'un an ... "Ta gueule, t'as pas le choix ! T'as dit être prête à tout ! Vouloir prouver que tu m'aimes ! C'est une bien maigre punition vu que ce que t'as osée faire, salope !" sa voix était différente, agressive, en colère, pleine de rancune ! "Alors j'entends rien ? Tu veux te faire pardonner ?" "Oui mais tu sais que je vais avoir mal, que j'aime pas ..." sa bite s'enfonce en moi, il me la mets sans prévenir et plus franchement que d'habitude, son gland entier entre d'un coup et il continue de la plonger dans mon anus sans aucune forme de retenue. Je pousse un cri et tente de faire ressortir sa bite, il m'agrippe le cul et les bras avec fermeté ! "J'espère bien que tu vas avoir mal, tu crois pas que j'ai eu mal, moi, hein ?" J'hurle de douleur, sa bite vient d'enflammer mon cul, d'habitude déjà, j'ai du mal a encaisser mais alors sans préliminaires ni lubrifiant, je dérouille ... Il me bouche la bouche, me dit de "fermer ma gueule", je me mets à pleurer ... "C'est ça, chiale pour une bonne raison, c'est facile de pleurer quand on se fait chopper a draguer un autre mec, là au moins t'as une bonne raison de pleurer" me dit-il revanchard et culpabilisateur ! Sa bite va et viens dans mon cul sans pitié, il me baise par ce trou si difficile pour moi comme si c'était ma chatte, je suis en larmes et pleure bruyamment ... "Allez mords donc dans l'oreiller, je veux pas t'entendre Charlotte, souffre en silence, a chaque fois que t'as mal, dis-toi que c'est rien comparé à ce que tu m'as fait et comment moi j'ai mal de découvrir que ma copine est une sale pute infidèle" Je pleure dans l'oreiller, mords dans le tissu et étouffe mes cris pendant qu'il m'encule sans la moindre retenue, pitié ou tendresse ! Je comprends ce qu'il me dit, je ne nie pas l'avoir blessé et devoir faire amende honorable, s'il a choisit mon cul pour cela, alors soit ... Je sens sa haine pour moi sur l'instant, que je n'ai surement que ce que je mérite, il me dit que ça lui fait du bien et qu'au moins après ça, il pourra sûrement me pardonner si je le laisse m'enculer à fond comme il en rêve depuis toujours, il ira mieux ! Il m'encule avec vigueur, se cramponne à mes hanches et mes fesses, me demande parfois d'écarter mes fesses, il filme la scène en commentant des obscénités très humiliantes du genre "Voilà ce qu'une chienne en chaleur mérite, ça t'apprendra à allez remuer du cul auprès d'un autre", "Sale pute t'as que ce tu mérites", "Dis moi merci de te punir et te pardonner, je devrais même pas t'enculer, tu mérites même plus d'avoir un gars comme moi" les minutes passent, la colère de Thomas redescends, je baigne dans mes larmes et ma salive avec le visage enfoui dans l'oreiller, je ne suis plus là depuis plusieurs minutes, mon cul me brule, il est en feu mais je ne sens même plus sa bite qui se déchaine. Il est désormais couché sur moi; il se termine avec des coups violents et profonds, je sens une éruption de lave coulée en moi, se mêler au brasier qu'est mon anus, Thomas se retire, prends en photo la destruction de mon fion et me laisse pleurer quelques minutes en me regardant. Je suis détruite psychologiquement comme physiquement, ma culpabilité me dévore et m'empêche de le détester pourtant je ressens bien de la haine et de la colère pour lui, mon anus me lance et son sperme qui en coule me fait me sentir encore plus souillée, je me sens sale, abusée, meurtrie. Je me tiens les fesses et pleure de nouveau à chaudes larmes maintenant que c'est enfin fini, je réalise a quel point cela a été éprouvant. "Voilà ce que ça fait, la trahison, la souffrance, je pense qu'on est a peu près quittes" a-t-il osé me dire pour briser le silence. "T'es qu'un connard" lui lançais-je haineuse a mon tour ! "Ouais c'est bien le minimum pour être avec une pute comme toi, maintenant soit on se pardonne, soit on va se faire foutre mais au moins, on est quittes" Je quitte la chambre part prendre une douche, expulser son sperme qui coule de mon cul en feu, j'ai mal, je pleure encore une fois sous la douche partagée entre les remords de l'avoir autant blessé pour l'avoir rendu aussi méchant lui qui était un amour et la honte de ce qu'il vient de me faire subir ... En sortant de la salle de bain, il me prends dans ses bras, m'embrasse et me demande si on est quittes, je lui dit qu'on l'est, il me réponds que dans ce cas, nous allons aller de l'avant. Les semaines suivantes je retrouva mon Thomas, le petit ami doux et amusant, l'amant sauvage et super bon coup mais dans les mois qui suivirent plusieurs choses dans son comportement changèrent au lit ... Adepte des jeux de soumissions et du sexe plutôt hard, Thomas était assez dominant et plutôt brutal au lit mais depuis cette "tromperie" je le trouvais plus dur dans sa manière d'être et plus tourné sur son plaisir dans les pratiques que nous faisions ! En bonne chienne docile que j'étais, j'obéissais et comblait toutes ses envies mais moi qui aimait particulièrement sucer je me retrouvais presque exclusivement à me faire baiser la bouche, la gorge profonde ou le baisage de gueule étaient quelque-chose que j'avais appris à maitriser et qui parfois me reposait (rien a faire, juste laisser monsieur aller et venir dans ma bouche) mais quand cela représente 90% de vos rapports buccaux ce n'est plus la même chose ... Thomas m'insultait constamment au lit alors qu'autrefois c'était une manière de pimenter nos ébats qui se manifestait ponctuellement, il n'éjaculait plus que sur mon visage ou dans ma bouche, il marquait au Stabilo sur mon corps des injures ou "Propriété de Thomas", "Sac a foutre de Thomas", "Pute de Thomas", nos rapports contenaient maintenant toujours une part d'humiliation ou de violence qui autrefois étaient des événements irréguliers et donc appréciables, cela devenait malsain et dégradant ... J'aimais toujours le sexe, j'aimais toujours qu'il me baise, j'aimais toujours le hard mais je n'aimais pas la façon qu'il avait de parler de moi au lit, l'image que je me renvoyais à moi-même dans le miroir, je perdais petit a petit confiance en moi et commençais a subir mon couple au point de ne plus me sentir à l'aise avec lui ... Quand nous baisions, j'incarnais mon personnage et remplissais ma fonction avec brio mais quand nous étions le reste du temps simplement nous, un couple, Charlotte et Thomas, j'avais l'impression qu'il ne restait plus grand chose ... N''étais-je pas devenue qu'une salope, une pute, une chienne, un sex-toy, un vide-couilles à ses yeux ? Après presque 3 ans de relations, je décida de le quitter formulant mes envies de profiter un peu plus de ma jeunesse, la sensation d'avoir perdu nos sentiments l'un pour l'autre et de n'être plus que des partenaires attachés l'un a l'autre, il confirma moins m'aimer et n'avoir jamais vraiment réussit à pardonner mon faux-pas mais me témoigna son attachement et sa reconnaissance pour notre histoire. Je quitta Thomas quelques semaines avant de partir étudiée dans une autre ville, je fis le choix d'un nouveau départ, je venais d'avoir 19 ans, j'allais avoir mon premier appartement, je devrais me trouver un petit job étudiant, prendre ma vie en main et c'est une Charlotte dépravée mais amochée par sa précédente histoire qui allait devoir se reconstruire seule afin de devenir celle qu'elle voulait être ... A suivre ...
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Par : le 06/07/22
Parce qu’il y a ses fesses, et son désir de punition… Ses fesses, son cul, son derrière, son postérieur, son derche, sa lune… Elle vient. Ou je cours pour la retrouver. Elle vient en train. Je l’accueille à la gare. Je la prends dans le parking en sous-sol de la gare, derrière le pilier, contre lequel j’ai garé mon véhicule à moteur (il m’arrive parfois de penser à tout). La première fois que nous nous sommes vus, dix minutes après l’avoir accueillie : j’étais en elle. Appuyée contre ce pilier de béton, troussée, le cul nu. Fourrée. Baisée. Mais elle n’aime pas risquer d’être vue, surprise. Elle peut parfois en frôler la crise de nerfs : lorsque je l’ai attachée, à moitié nue, contre un arbre en montagne, pour la fouetter… mais si près d’un chemin… Je cours vers elle. Je roule : plus de 600 km pour la rejoindre. Passer dix jours avec elle. Je roule. La nuit. Pour la rejoindre le temps d’un week-end. Je la réveille à 3 heures du matin. Son visage plein de sommeil. Elle. Dans mes bras. * Parce qu’il y a ses fesses et son désir de punition : je la corrige. Je la corrige… je corrige la « vilaine fille ». Accroupie sur le lit, le cul tendu – ou allongée en travers de mes cuisses : je la fesse. Son cul nu. Ou avec sa culotte. Elle porte une culotte sous sa robe. Ou n’en porte pas. Quand elle vient, elle la retire toujours dans le train. Je l’accueille : le cul nu. Quand nous nous promenons : c’est selon mon désir. Mais quand nous rentrons, chez moi : elle sait qu’elle doit retirer soutien-gorge et culotte si elle en porte. Elle sait qu’elle doit être «accessible », disponible… Je veux pouvoir, quand je le désire, caresser ses fesses nues, voir et empoigner ses seins… elle est ma putain… elle est ma putain pour moi… * Ses fesses, son derrière, son cul… Là où tend mon regard, où se dirige ma main… Fessée rituelle… pour la préparer… Fessée pour la faire avouer… la préparer à subir : d’autres sévices… supplices… La voir se coucher en travers de mes cuisses… Son désir, son acceptation… de cette posture… elle m’offre son postérieur… son impudeur… Sa face cachée… elle s’offre… elle me fait confiance… elle s’en remet à moi… entre mes mains… C’est comme ça. La fesser, la caresser, l’ouvrir. Caresser ses fesses… son sexe… vérifier si elle est trempée… ouverte… bonne à prendre… La fesser… plus ou moins fort… plus ou moins vite… ou lentement… Sur quelle fesse frapper ? Où ? Comment ? Frapper au même endroit ?... là où ça fait si mal… La fesser pour la marquer… Et si elle tente de mettre sa main, elle sait qu’elle sera reprise, tenue… et que je frapperai encore… au même endroit… Je le lui dois. * La fesser. La corriger. La châtier. La battre. « punition physique », « châtiment corporel » : je cite ses mots. * Je frappe fort avec la badine ou la cravache. Nous allons « cueillir des verges » : des branches fraîches de noisetier que je « vole » dans un bois, effeuille, prépare… elle en a pleuré… * Il y a eu ce jour, chez elle, sur sa terrasse, où le l’ai « collée contre le mur ». Soudain il y a ce mur. Le mur de sa maison. En crépi blanc. Alors que nous buvons un verre sur la terrasse. Soudain ce désir : le mur existe. Alors vite : remonter sa robe, dénuder ses seins, baisser sa culotte sur ses cuisses. Refermer le volet qui gêne. Et la coller face au mur. Contre. Le crépi griffe. Et je soulève ses seins pour qu’ils soient bien contre. J’appuie sur sa nuque, ses reins. Et je la fesse. Là dehors. Face à la vallée en contrebas de la terrasse. Face aux montagnes. Les claques résonnent. Je la fesse. Je voudrais qu’elle s’incruste dans le mur. Chaque claque un peu plus. Ensuite, la mener par la main, sa démarche entravée par la culotte, la mener jusqu’au bureau sous le toit. La faire avancer. Et dans la pièce, la dénuder. Quand je reviens, après être allé chercher dans la chambre « le matos », elle tient la poutre, les bras levés au-dessus de la tête. Inutile de l’attacher. Je la frappe avec la badine en bambou. Je la baise. Je la fous. Et elle m’annonce : « 55 coups ». Elle les a comptés dans sa tête. Sans me le dire. Plus tard, le soir, je la fesse et la cravache. Elle compte encore mentalement les coups. * Combien de coups donnés, reçus… Des dizaines, des centaines, des milliers… Je pense à ce titre du roman d’Apollinaire : « Les onze mille verges »… * Parce qu’il y a ses fesses, son cul… Il y a les orties, la badine, la cravache, le fouet… et tous ces objets que j’ai détournés : en cuir : une patte d’épaule, une sangle, la spatule, la règle en plastique… les martinets que j’ai fabriqués, bien sûr… Je la travaille au corps… Corrections, punitions, plaisirs et jouissances. Parce qu’elle est une vilaine fille. Je la baise. Je baise la vilaine fille qu’elle est. Je la corrige. C’est très compliqué. * Perversité. * Quand nos voix changent. Quand elle fait silence au téléphone et que je lui parle, lui reproche son comportement, ses manques, ses fautes… elle m’écoute… elle se tait… sa voix change… Elle redevient la petite fille… contrite, fautive… Elle écoute… elle imagine… elle attend… * Ses fesses, son derrière, son cul… Je l’encule. Je l’encule à vif. Je l’encule. « Tu me fais mal ». Je passe outre. Je l’encule. * Nous nous sommes trouvés. La sodomie a longtemps été, pour moi, un trou noir. Un point aveugle. Un fantasme. Puis une banalité. J’encule. Avec elle : c’est différent. Parce que nous savons tout ça. Parce qu’elle adore être enculée. Nous nous sommes trouvés. * Alors, je la fesse, je la punis, je la corrige. D’une main ferme. Fermeté. Sévérité. Autorité. Rires. Nous rions, nous nous amusons beaucoup… Mais il y a ces mots : fermeté, sévérité, autorité. Et leur réalité. * C’est très compliqué… * Dire, écrire, lui parler publiquement… publier ce texte, ces mots… alors que je sais qu’elle déteste ça… Et pourtant… Il le faut. * Parce qu’il y a son sourire… elle doit être corrigée… C’est un paradoxe. Son sourire me fait tout oublier. Son sourire : mignonne à croquer. Et pourtant : la vilaine fille qu’elle est parfois sera corrigée. Il le faut. C’est comme ça. Il y a cette évidence de ce que nous sommes, de ce que nous vivons. C’est comme ça.
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Par : le 04/07/22
En pension dans un collège catholique, l'éducation des garçons et des filles était le prolongement de ce que l'on avait connu à l'école primaire : châtiments corporels, humiliations, punitions diverses. Je me souviens de ce printemps, j'étais en 3ème et les copains et moi étions joueurs ! dans les escaliers nous nous amusions à soulever la jupe des filles pour voir leur culotte... les filles râlaient bien sur mais bon, dans l'ensemble ça se passait pas trop mal, quelques gifles des fois, par une fille qui se rebellait, des fois aussi on était dénoncé et les fessées dans le bureau de Madame le Censeur pleuvaient. Mais ce jour là, allez savoir pourquoi, on a fait des paris à celui qui soulèverait le plus de jupe et montrerait le plus de culotte possible... A la fin d'une récréation, mes copains derrière moi pour bien voir les culottes, je me suis mis à soulever des jupes, découvrant des culottes plus ou moins jolies, plus ou moins ajustées, bref la routine pour nous, petits garnements que nous étions. Devant moi, je vois une fille, enfin je vois juste sa jupe légère et évasée, et suivant mon instinct, j'ai soulevé en grand la jupe devant moi, découvrant uen magnifique et grande culotte blanche avec des fleurs roses. j'avais encore le bas de la jupe dans la main quand la fille s'est retournée, et là, avec stupeur j'ai vu qu'il s'agissait de l'assistante d'espagnol qui venait en renfort de notre professeur. Je suis devenu tout rouge, la jeune femme, étudiante, m'a demandé mon nom et ma classe. En bégayant je lui ai répondu et elle est partie en sens contraire, dévalant les escaliers. Mes copains et moi on ne savait plus quoi faire alors on est monté en classe et le cours a commencé. Au bout d'un moment, Madame le Censeur est arrivée et est entrée sans frapper dans la classe, suivie de l'assistante d'espagnol, qui de suite m'a désigné du doigt. Je me suis suis recroquevillé sur ma chaise pendant que les copains et copines de la classe chuchotaient entre eux car bien sur ce que j'avais fait avait fait le tour de la classe .   Madame le Censeur m'a alors demandé de me mettre debout, et elle m'a demandé de lui raconter ce que j'avais fait. Je me suis expliqué autant que je le pouvais, j'ai dit que je ne savais pas que c'était l'assistante d'espagnol mais que je croyais que c'était une fille du collège, je dis que je m'excusais, que je ne recommencerais plus jamais. Madame le Censeur m'a fait venir sur l'estrade, et là, les jambes tremblantes, je l'ai vu prendre une chaise, la poser au milieu de l'estrade devant le grand tableau noir, et elle s'est assise. Etrangement elle ne s'est pas assise face à la classe mais face à la porte. Puis elle m'a demandé de m'approcher. J'ai compris ce qui 'arrivait. je me suis mis à supplier, et je me suis mis à pleurer. je savais que dans ce collège on donnait la fessée, j'en avais reçu tellement depuis la 6ème, mais toujours dans son bureau. Elle m'agrippa, défit ma ceinture, descendit la fermeture éclair et fit descendre mon pantalon sur mes chevilles. Je me retrouvais en culotte devant toute la classe, j'entendais les filles glousser, les garçons se moquer, je pleurais à chaudes larmes quand Madame le Censeur me coucha sur ses genoux, les fesses face à la classe. Et elle se mit à e fesser à la main, d'une main puissante, sèche, et je criais, suppliait, et elle continuait accélérant le mouvement. Au bout d'une quarantaine de claques sur mes fesses brulantes, elle s'arrêta et demanda à l'assistante d'espagnol de prendre sa place et de finir le travail ! Celle ci me coucha sur ses genoux et avant que je comprenne quoi que ce soit, elle me baissa la culotte d'un geste vif et me dit "tu voulais voir ma culotte, et bien maintenant toi, tu vas montrer tes fesses !" et elle m'a fessé rageusement, se vengeant de l'offense subie. La fessée a duré dix minutes, pas plus, mais quelle humiliation ! Puis, la Censeur m'a relevé, j'étais tout tremblant, et elle m'a fait retourné vers la classe qui non seulement avait vu mes fesses passer du blanc au rouge mais qui maintenant voyait mon petit sexe tout rabougri. Je fus conduit au coin, la culotte et le pantalon aux chevilles et j'y suis resté jusqu'à la fin du cours. Madame le Censeur m'a dit en quittant la classe suivie de l'assistante 'à tout à l'heure pour la suite de ta punition"...
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Par : le 02/06/22
Comme souvent quand je viens passer une semaine à tes côtés, nous commençons tranquillement avant d’en venir à nos jeux préférés. Jeudi matin, alors que je suis en train de ranger quelques bricoles dans la chambre, tu débarques par surprise derrière moi avec le nouveau collier en acier et tu commences à le mettre en place. Surprise. Puis à le verrouiller. Pas si simple, si près du cou. Mais tu t’en sors bien avec un peu de patience. La bête est belle …. Et pesante. Je ne risque pas de l’oublier avec son poids. Quel contraste avec les autres : plus encombrant, plus pesant, mais tellement chouette aussi. On pourrait presque croire qu’il a été fait sur mesure pour moi. Tu m’annonces aussi que je vais le porter jusqu’à la fin de mon séjour. Pour une première, tu commences fort. Par chance, j’arrive à le supporter sans encombre. Les premières heures se passent bien et tu sembles apprécier de me voir ainsi paré. A croire que ce collier a quelque chose de spécial. Je suis curieux de savoir. En tout cas, c’est une initiative bienvenue que l’acquisition de ce collier. Tu attends la soirée pour me « passer à la casserole ». A ma parure de cou qui n’a pas quitté sa place (difficile de la retirer sur un simple claquement de doigts), tu me fais d’abord ajouter les bracelets, à la fois aux poignets et aux chevilles pour un meilleur équilibre esthétique, et enfin, la cagoule en cuir. Me voilà déjà « habillé » pour la soirée. Il suffit d’un rien … Pourtant si, il manquait une dernière touche, la patte colorée. Et pour cela, tu as l’objet idéal : le bâillon-nonos rose. Pas facile à mettre avec la cagoule, mais nous y parvenons et tu boucles la fermeture sur ma nuque. Je suis désormais prêt pour présenter ce nouveau collier à mon cou, comme il se doit : agenouillé devant toi (sur un coussin confortable bienvenu, merciiiii), bras posés le long des cuisses, paumes tournées vers le haut en guise d’offrande. D’ailleurs tu les mets rapidement à contribution pour y déposer le strap à cœur qui illustre si bien nos liens, notre relation. Evidemment, celui-ci ne pouvait pas rester inactif bien longtemps. Tu flattes mon postérieur avec. Je qualifierai cette introduction de « caresses ». Il faut commencer doucement, tranquillement, paisiblement. Puis tu me fais enlever la cagoule pour mieux mettre en valeur le collier. Toujours confortablement agenouillé, tu me fais désormais pencher le buste en avant pour reposer sur le bord du lit. Ainsi, tu vas pouvoir abuser de moi tout en t’assurant que je suis le mieux installé possible. Cette fois, le strap « amoureux » se fait plus pressant et plus claquant. Galant, il finit par laisser sa place à la tapette main qui m’avait échappé. Tu fais monter la température graduellement, histoire d’éviter tout claquage. Tiens, ne viendrais-tu pas d’inventer le traitement anti-claque à base de claquements ?  Toujours est-il que la suite me semble plus mordante bien tu y ailles crescendo. C’est d’abord un sentiment de léger mais régulier battement que je ressens avant que les impacts s’espacent et se fassent plus mordant. Il me semble bien que tu dois être en train de strier mes fesses avec une baguette. Cette fois, le thermostat est réglé sur la position « chaud ». Tu te hasardes à flâner jusque sur les cuisses, presque plus sensibles à cette stimulation que les fesses. Petite surprise de sensation. C’est alors que je reconnais (enfin j’espère …) le baiser de la langue de dragon, probablement la petite. Etonnamment, elle se fait plus bruyante que mordante sur le fessier et vice-versa sur le dos. Bizarre, bizarre tout cela. Du coup, tu alternes entre les deux cibles qui te sont offertes. Mais c’est encore mieux de la remplacer par la grande. Là, tu sembles t’évertuer à bien viser le milieu de mon dos …. Au début …. Avant que tout le dos soit visé, d’une épaule à l’autre. A en croire tes propos, tu serais en train de me marquer en forme d’éventail. C’est nouveau ça. Néanmoins, ce modèle n’est pas des plus pratiques à manipuler quand on veut se rafraichir ! Après cette première partie impactante, tu as décidé de faire une pause toujours à visée réchauffante. Mais pas tout de suite. Je comprends que tu essaies de coincer une bougie entre mes fesses. Pourquoi ai-je donc la sensation qu’elle va tomber dans quelques secondes ? Peut-être n’est ce qu’une fausse impression puisqu’elle semble tenir, tant qu’elle n’est pas allumée. Le craquement caractéristique du briquet m’indique que je vais désormais avoir le « feu au cul ». J’essaie de me concentrer pour bien la maintenir en place. Les premiers impacts de cire chaude sur mes mollets me surprennent mais ne me perturbent pas : elle reste en place le temps que tu puisses immortaliser cette première. Y a plus qu’à trouver une mise en place plus pérenne si jamais nous voulions faire durer. Pour cette fois, tu récupères la dite bougie de son bougeoir humain pour en user sur le bas de mon dos et les fesses. Il me semble que tu vas et tu viens de part et d’autre sans insister à un endroit précis. Et pour cause, tu me parles de me transformer en coccinelle (encore un nouvel animal dans ta ménagerie personnelle). Moi je songe plutôt à une espèce hybride : la noursinelle. Mais ce sont là de simples détails. Toujours est-il que les petites pastilles de cire commencent à consteller mon arrière-train. Une fois satisfaite de la quantité pour la suite, je t’entends souffler la flamme. Maintenant il faut nettoyer ce nounours tout taché de noir. Le « décirage » est incontournable. J’ai d’abord l’impression que tu emploies une cravache en mode ventilateur frôlant, une technique que tu te plais à user et abuser. Malgré tout, il semblerait qu’elle ne donne pas beaucoup de résultat ce soir, si ce n’est de me faire frétiller du croupion. Cette tentative étant vaine, tu te sers de quelque chose de plus « lourd », probablement le flogger puis un des martinets, en tout cas, des jouets aux multiples lanières. Si leur contact se fait bien présent sur mon corps, ce qui n’est ni négligeable ni désagréable, la cire noire semble vraiment s’accrocher à sa cible. Décidément … Finalement tu décides d’appliquer la cravache de la manière la plus classique qui soit : mon postérieur chauffe bien sous les impacts mais pas suffisamment pour faire fondre et couler les pastilles de cire. Il ne reste plus qu’une seule option : les laisser en place et me laisser me débrouiller tout seul quand la soirée sera terminée. Le fait que tu viennes ensuite t’asseoir à ma gauche ne me dit rien qui vaille pour la suite. Je sens d’abord le doux contact du mini martinet sur mon intimité. Sauf qu’à cet endroit-là, nul besoin de mordant pour me faire réagir. Je crois que je commence à légèrement couiner. Mais ce n’est rien comparé à la suite. Etant donné que je suis passé en mode « hibernation », tu décides de prendre la chose en main avec tes griffes acérées. Ouille …. Et surtout j’invente une nouvelle technique de marche avant ce qui a le don de t’arracher un franc éclat de rire. Bien évidemment, ta curiosité te conduit à vouloir en savoir plus. Donc tu reviens à la charge. Est-ce que ton nounours aurait aussi la marche arrière : réponse positive. Ca fonctionne presque aussi bien. Et voilà que tu retentes une marche avant. Je vais finir par devenir fou sous ce genre d’assaut. Si tu avances, si tu recules, comment veux-tu ? Comment veux-tu ? (oui mais non, ce n’était pas au programme ce soir) Histoire de redescendre tranquillement, tu me fais étendre sur le lit à plat ventre. Tu commences par quelques griffettes sur les fesses avant de venir t’asseoir à califourchon sur mon dos non sans t’être assurée de mon confort. Comment dire ? Je ne risque plus de bouger : sa Maitresse sur son dos est une contrainte très simple, et Ô combien efficace. Ainsi installée, tu peux t’en donner à cœur joie pour une bonne séance de fessée. Les grands classiques, ça a du bon. Toujours bon d’y revenir. Ma foi, j’aime bien aussi cette variété d’impacts. A priori, tu ne sembles pas bouder ton plaisir non plus. Quand la contrainte se fait moindre, je pense que tu en as fini. Mais non ! Ce n’était qu’un changement de position, genre un demi-tour sur place pour désormais pouvoir te concentrer sur mon dos. Là, on oublie la paume des mains : ce sont les griffes qui rentrent en action. Et tu connais d’avance le résultat de mon péché mignon : frissons, ondulations, ronronnements … la totale. Un nounours satisfait…Surtout que tu fais durer un bon moment le plaisir, y compris une fois que tu as quitté mon dos pour t’installer à mes côtés. Salade de griffes finale au menu pour terminer cette agréable soirée. Terminée ? Pas tout à fait. Je découvre la surprise que tu m’as réservée en rejoignant ma chambre. Pas besoin de mot, ni de consigne. Ton souhait est très clair. La nuit qui vient me verra paré de la nuisette noire que tu avais eu l’occasion de m’imposer il y a quelques temps déjà. Vendredi, Avec une telle tenue si « inadaptée » à ma morphologie, on va dire que je n’ai pas dormi très couvert. C’est d’ailleurs le détail qui te satisfait au plus haut point. Il n’y a qu’à voir ton large sourire de satisfaction quand tu me vois descendre l’escalier en ce vendredi. Tu te régales de la situation alors que j’essaie en vain de la faire descendre le plus bas possible. Oui, je dois sembler naïf sur ce coup-là. Tu lèves les contraintes et consignes pour le reste de la matinée. Néanmoins, j’ai déjà une mission dès après le repas : mettre en place ma cage de chasteté. Une fois reposée après une bonne sieste, nous montons nous amuser à nouveau. La cage et le collier étant déjà en place, il faut songer à me vêtir un peu pour ce que tu as en tête. Tu me demandes donc d’enfiler une paire de bas, avant de passer la robe rouge. J’avais oublié qu’elle était si courte. D’ailleurs, en la voyant dans le placard, je ne la reconnaissais pas du tout. Heureusement que tu étais là pour me guider. Tout compte fait, en la faisant bien tomber sur les bras, elle ressemble bien à une robe, même sur moi. Certes, elle reste courte : tout à fait adaptée à ton programme. La cagoule garantit mon anonymat tandis que les escarpins finalisent mon look de l’après-midi. Je comprends vite que tu as bien l’intention de faire ressortir mon côté impudique, très impudique. Me voici transformé en nounourse (oursonne) bien (vile) exhibitionniste. Je me demande encore pourquoi j’ai essayé de mettre en place la robe sur mes cuisses étant donné que tu me demandes tout du long de la relever, histoire de montrer tantôt ma chasteté, tantôt mon popotin. J’exagère un peu. Au tout début, perché que je suis sur le nouveau tabouret haut, tu me fais croiser les jambes comme le recommande toute bonne éducation et on devine juste le haut des bas. Mais cela ne dure pas. Il faut bien que je commence à écarter les cuisses pour révéler ma cage à ton regard (et accessoirement à ton objectif). Plus ça va, moins elle est dissimulée … Si bien que je finis par me retrouver avec la robe remontée au-dessus des fesses (à se demander pourquoi je m’habille…). A ce stade, tu te dois d’en profiter. Je descends de mon perchoir pour m’y accouder t’offrant ainsi ma croupe que tu t’empresses de flatter avec une baguette naturelle de noisetier. La sadique en toi n’est jamais bien loin ! Et ne serait-ce pas possible d’exploiter ton coffre à malices dans le même but ? Aussitôt dit, aussitôt essayé … et validé. Je remets de l’ordre dans ma tenue pour quelques poses aussi suggestives que possible, étendu sur ce même coffre, ou encore de retour près du tabouret. Il est temps de m’agenouiller devant toi pour honorer le divin pied que tu me présentes. Après la récompense, l’obligation : tu me fais coucher à tes pieds avant que ton talon acéré vienne peser d’abord sur ma cuisse puis sur mes couilles. Je suis douillet dans cette zone ! Tu as le don de m’imaginer dans des situations auxquelles je ne penserais pas moi-même, et que je prends plaisir à vivre sous ta direction. Tout ceci nous aurait presque donné faim. Il est temps d’aller se restaurer avant de clôturer la journée et mon séjour à tes côtés. Toujours équipé de mes extensions en métal, tu me fais enfiler la combinaison noire. Une fois n’est pas coutume, tu me demandes de l’ouvrir à l’entrejambe. Initialement, tu avais l’intention d’exploiter cet accès pour me glisser un crochet anal mais cela se révèle incompatible. Qu’à cela ne tienne, ce sera a minima la cage qui sera à l’air libre et exposé à ton regard et à tes liens. Tu commences par « tisser » ce qu’on pourrait assimiler à une cravate rouge qui va de mon collier à ma cage. De cette base, tu peux réaliser une parure qui enserre tout mon buste. Puis, en changeant de couleur, tu fais de même pour mon bras gauche et ma jambe droite. Le style, toujours le style. Néanmoins, je vois que tu cherches de l’inspiration pour la touche finale. Visiblement, la maturation prend du temps. Avant que tu viennes t’asseoir devant moi pour farfouiller la pointe de ma cage. Aie, ça pince ! Tu t’évertues de passer une cordelette à cet endroit histoire de pouvoir l’arrimer comme bon te semble. Je n’avais pas vu venir l’option coffre. En quelques minutes, je me retrouve relié à ses deux poignées par l’intermédiaire de mon pénis enfermé et enserré. On dirait que tu as fixé un « antivol » sur ton nounours. Pervers à souhait, mais effet réussi. Tout autant que d’utiliser la même cordelette comme pseudo-laisse à queue. Tu as vraiment l’esprit tordu. Tu me libères enfin de presque toute ma panoplie. Mon cou devient soudain plus léger. J’ai fini par m’habituer à cette surcharge cervicale, à tel point que je me suis même surpris à sortir dans le jardin sans même imaginer qu’il pourrait être aperçu… Presque car tu décides que vu que le collier a retrouvé son écrin, il faut bien que je conserve un peu de métal sur moi pour ma dernière nuit. Aussi ce sera une nouvelle nuit en nuisette mais encagé. Perverse que tu es jusqu’au dernier moment. Samedi matin, ton regard est tout aussi illuminé quoi qu’un peu plus endormi que la veille en me voyant descendre dans cette tenue que tu as voulue pour moi. A se demander tout ce que cela t’inspire de me voir ainsi. Vivement notre prochaine rencontre.
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Par : le 26/04/22
Deux semaines passèrent avant que Gabrielle n’ait de nouveau des nouvelles de Max. Elle était toujours distraite avec ses amis et devait leur avouer qu’elle fréquentait quelqu’un. Le genre de relation qu’ils avaient, elle garda le silence bien sûr. Lorsque Max lui a envoyé un texto l’invitant à dîner, elle a immédiatement répondu qu’elle pouvait. D’une certaine manière, elle était reconnaissante qu’il l’ait invitée chez lui. Le sien était un peu en désordre et elle savait d’après ses histoires qu’il considérait cela comme une raison suffisante pour donner à une jeune femme un derrière très rouge. Le soir de son rendez-vous, elle a fait de son mieux pour s’habiller aussi sexy que possible.  Elle portait une courte robe jaune, sachant que Max adorerait les bas qu’elle portait en dessous. Elle a choisi de la lingerie noire, sachant qu’elle contrastait joliment avec la robe claire. Se préparant ainsi, elle se rappela qu’ils avaient accepté d’avoir des relations sexuelles lors de leur deuxième rendez-vous.  C’était un peu bizarre d’aller à un rendez-vous en ayant déjà accepté cela ;  mais pas aussi bizarre que d’être fessée pour l’avoir voulu le premier. Quand elle est arrivée, Max portait un jean à la coupe nette et une chemise propre.  En plus de cela, il portait un tablier.  “Bonsoir madame, entrez s’il vous plait.”  Il a dit. Gaby rougit, se sentant trop habillé pour l’occasion.  Max préparait évidemment le dîner pour elle lui-même et n’avait pas l’intention de l’emmener. “Veuillez m’excuser un instant.”  dit Max après l’avoir guidée jusqu’à son salon.  « Le repas a besoin de quelques retouches supplémentaires, puis je vous rejoindrai. Seule dans la pièce, Gaby regarda autour d’elle pour voir ce qu’elle pouvait découvrir sur lui.  La chambre était propre et le mobilier était moderne.  Il y avait beaucoup de livres, ce qui signifiait que Max n’écrivait pas seulement, mais lisait aussi.  Aucun de ceux-ci n’était érotique du tout. Elle pouvait l’entendre dans la cuisine et plus tard quelque part plus loin dans la maison monter des escaliers.  À son retour, le tablier avait disparu et le jean et la chemise avaient été remplacés par un costume. “Excusez mon apparition plus tôt.”  dit Max.  “Je ne vous avais pas attendu si tôt.” Gaby rougit.  “Non Monsieur, excusez-moi de vous avoir embarrassé en arrivant tôt.”  Elle avait pratiqué une attitude de soumission appropriée en lisant autant de ses histoires qu’elle le pouvait. Max sourit largement.  « Je vous pardonnerai, jeune fille, mais seulement cette fois.  Maintenant, s’il vous plaît, rejoignez-moi à table pour le dîner. Gaby sourit largement en laissant Max l’aider avec sa chaise.  Elle nota mentalement de ne pas arriver trop tôt la prochaine fois ;  car Max pouvait sembler enjoué, rien ne disait qu’elle ne finirait pas sur ses genoux la prochaine fois qu’elle le surprendrait pas prêt pour leur rendez-vous. Max lui a servi un steak parfaitement préparé avec des légumes cuits à la vapeur et des pommes de terre au four.  C’était un repas simple mais délicieux.  Il lui a également offert un verre de vin, mais lui a fait promettre de ne pas en boire plus d’un afin qu’elle soit suffisamment sobre pour consentir à ses souhaits lorsqu’il l’a emmenée dans sa chambre. Gaby n’a bu que la moitié de son verre et a dû se forcer à toucher le repas.  Elle était trop distraite par l’anticipation des choses qu’il pourrait lui faire. Quand elle a finalement débarrassé son assiette, elle a lancé à Max un regard provocateur.  “Assez de préliminaires.”  Dit-elle. Max se leva de sa chaise et se déplaça vivement autour de la table. Il la saisit par les poignets et la souleva si brusquement que sa chaise tomba à la renverse. Gaby haleta de surprise quand Max l’attira contre lui. Son désir pour elle était immense et elle réalisa qu’il le voulait autant qu’elle. “Un tel sourire déviant pour une dame.”  dit Max. “Je pensais que vous seriez plus doux, comme le gentleman que vous êtes.”  taquina Gaby. “Alors je vais te montrer à quel point je peux être doux.”  dit Max. Sa main qui la tenait par la nuque lâcha ses cheveux et glissa le long de son dos.  Il reposait juste au-dessus de ses fesses. « Voudriez-vous me suivre en haut, ma dame ?  Max lui a demandé. “Oui monsieur.”  Gaby respira. Il la guida jusqu’à sa chambre.  C’était aussi propre que le reste de sa maison et le lit soigneusement fait.  Il l’a arrêtée quand elle a voulu s’allonger dessus. Lentement, Max défit la fermeture éclair de son dos.  Ses mains massaient ses épaules alors qu’il écartait sa robe.  Il tomba jusqu’à ses hanches.  Le doigt de Max a tracé sa colonne vertébrale, puis a doucement baissé sa robe jusqu’à ce que ses fesses sortent par l’ouverture confortable. Il laissa ses doigts errer sur son corps, la caressant doucement le long de ses sous-vêtements.  Lentement, prudemment, il la déshabilla, jusqu’à ce qu’elle se retrouve nue dans sa chambre. Gabrielle n’a pas parlé ni discuté.  Même en étant aussi doux, il était indéniable que Max était en charge.  Lorsqu’elle fut complètement nue, elle suivit ses instructions muettes de s’allonger sur le lit. Elle croisa les jambes et plaça sa main sur ses seins, sentant que sa nudité en laiton ne correspondait pas aux actions douces de Max. Lentement, il se déshabilla.  Gaby aimait le regarder dénuder son corps pour elle.  Quand elle vit enfin sa grande érection lancinante, elle eut envie de le sentir en elle. Max s’agenouilla à côté d’elle sur le lit.  Doucement, ses doigts sondèrent l’intérieur de ses cuisses, lui faisant écarter les jambes.  Il se déplaça vers ses pieds, plaçant sa tête près de sa chatte gonflée et humide.  Sa langue la lécha sur toute la longueur de ses lèvres. Gaby gémit profondément. Doux et sans aucune force, Max la lécha.  Sa langue fit lentement son chemin entre ses lèvres et sur son clitoris. Gaby arqua le dos, aspirant à plus, mais Max n’offrit pas plus de force qu’il n’en avait déjà. Atrocement lent, sa langue la rendait folle. Son corps en demandait plus, mais quand Gaby attrapa ses propres seins, les serrant brutalement, Max s’arrêta.  Il lui prit les poignets et poussa ses mains sous l’oreiller sous sa tête. « Gardez-les là.  Il a dit.  « Tu voulais que je sois gentil, tu te souviens ? Gaby gémit profondément mais garda ses mains derrière sa tête. Max a continué son jeu lent et tortueux avec sa langue.  Il a semblé prendre une éternité à Gaby pour atteindre un point culminant et encore une fois, elle a utilisé ses mains pour l’aider un peu. “Les mains derrière la tête.”  dit Max, arrêtant son plaisir une fois de plus.  “Ne m’oblige pas à t’attacher.” Gaby rougit et plaça ses mains derrière sa tête une fois de plus.  Il ferait si chaud d’être ligoté ;  mais pour une raison quelconque, elle se sentait encore plus excitée d’être retenue uniquement par ses paroles. Max s’est déplacé sur le lit, n’utilisant plus sa langue pour lui faire plaisir, mais juste un doigt.  Il le plaça entre ses lèvres, juste au-dessus de son clitoris, et poussa doucement. “Est-ce assez doux, Gabrielle?”  demanda-t-il alors qu’elle gémissait. “Oui monsieur.”  Elle répondit. “Et ça?”  demanda-t-il en se penchant en avant pour lécher son mamelon. “Hnng-oui.”  dit Gaby. “Voulez-vous jouir?”  Max a demandé, pressant un peu plus son clitoris. “Oui s’il vous plaît.”  dit Gaby.  Son corps a commencé à convulser.  Elle avait pensé qu’elle était encore loin de l’orgasme après ce jeu doux, mais ses paroles l’avaient poussée jusqu’au bout. “Pas encore.”  dit Max en relâchant la pression.  “Demande-moi d’abord et gentiment cette fois.” Gaby rougit, mais Max n’allait plus la toucher jusqu’à ce qu’elle le lui demande.  “S’il vous plaît monsieur, puis-je jouir?”  Elle l’a supplié. “Bonne fille.”  dit Max, son doigt jouant à nouveau avec son clitoris.  “Tu peux jouir maintenant.” Le corps de Gaby tremblait de façon incontrôlable, elle gémissait et haletait alors que l’orgasme arrivait dès qu’elle en avait la permission. Quand ça s’est arrêté et qu’elle a vu Max la regarder, elle a rougi profondément.  Elle vit son érection à côté de sa cuisse et ne put plus attendre.  Elle retira ses mains de derrière l’oreiller et l’attrapa doucement. “S’il vous plaît, baisez-moi, monsieur.”  Dit-elle. Max prit ses mains par les poignets et les poussa sur le lit à côté de l’oreiller.  “Je pensais t’avoir dit de garder ça pour toi.”  Il a dit.  Il se pencha en avant, son attente sur ses bras épinglés et l’embrassa rudement, mordant sa lèvre inférieure avant de lâcher prise. “Oww, Monsieur, ce n’était pas très gentil.”  protesta Gaby. “J’ai été assez doux.”  dit Max.  “Si tu ne peux pas faire ce qu’on te dit, je vais juste devoir être un peu brutal.” Gaby gémit profondément.  Oui, rude était exactement ce qu’elle voulait en ce moment. Max se pencha sur elle alors qu’il l’embrassait à nouveau, la gardant coincée contre le lit. Les poignets de Gaby lui faisaient mal sous sa prise ferme, mais elle adorait la douleur. « Reste ici, je vais chercher un préservatif.  Max a dit Il se retourna pour attraper une boîte sur la table de chevet.  Pendant qu’il le mettait, Gaby s’agenouilla derrière lui, enroulant ses bras autour de lui pour presser ses seins contre son dos et frotter sa poitrine avec ses bras. Avec le préservatif bien en place, Max se retourna.  “Je t’ai dit de rester en bas.”  Il a dit. Gaby sourit malicieusement. Max attrapa brutalement ses épaules et la retourna, la poussant face contre terre sur le lit.  De sa main ouverte, il lui frappa brutalement les fesses. Gaby gémit profondément. Après quelques bons coups et un cul rose, Max l’a attrapée par les hanches et l’a tirée sur ses genoux.  Il a poussé son érection contre sa chatte et l’a glissée à l’intérieur. Max l’a baisée brutalement par derrière, utilisant une main sur le bas de son dos pour la pousser vers le bas et l’autre pour lui donner quelques bonnes claques. Quand il vint enfin, il s’accrocha à ses hanches à deux mains, ses doigts s’enfonçant profondément dans sa peau.  Puis, il l’a attrapée par les cheveux et l’a tirée vers le haut.  Il posa une main sur sa poitrine, l’autre sur sa gorge juste en dessous de son menton. “Alors.”  Il murmura.  « Qu’est-ce qui t’as le plus plu, doux ou brutal ? » “Je ne suis pas sûr.”  Gaby a répondu.  « Pouvons-nous recommencer pour que je puisse décider ? » Max grogna et la lâcha. “Ne sois pas gourmand.” Dit-il en nettoyant le préservatif usagé. « Ou je devrais peut-être te donner une fessée. “Cela pourrait être amusant aussi.” Gaby a répondu. “Gardons ça pour une autre fois.” dit Max. “De cette façon, t’as encore quelque chose à espérer.” Gaby fit la moue, mais réalisa que Max avait peut-être besoin d’une pause. Elle n’irait nulle part, ils pourraient encore s’amuser plus tard ce soir. Après que Max se soit levé du lit, Gaby est resté derrière, fixant le plafond de sa chambre. Même si elle en voulait plus, elle s’était vraiment sentie satisfaite. En vouloir plus prouvait à quel point cela avait été bon. Son sentiment de vouloir s’envoyer en l’air était certainement satisfait. Quand elle s’est levée et a suivi Max en bas, elle s’est sentie vraiment satisfaite de ne pas s’être contentée d’une aventure d’un soir pour satisfaire ses envies. Ce n’était que leur deuxième rendez-vous, mais elle se sentait déjà comme Max et elle pourrait être bien plus. Max, vêtu d’un peignoir, se reposait dans le canapé de son salon. “Pas encore habillé?” Il lui a demandé. Gaby rougit, se balançant légèrement alors qu’elle se dirigeait vers lui, montrant son corps nu. « Je pensais que je resterais la nuit. Si ce n’est pas trop présumer. “Pas du tout.” Max a répondu. « En fait, j’insiste pour que tu restes. Il est beaucoup trop tard pour qu’une jeune fille comme toi soit seule dans le noir. Gaby sourit. « Dans ce cas, je ne pensais pas avoir besoin de mes vêtements. À moins bien sûr que tu pensais que ce ne serait pas très féminin de ma part de me promener ainsi déshabillée. Elle a fait un clin d’œil. “Au contraire.”  dit Max.  « Tu devrais porter quelque chose de sexy ou rien du tout quand tu es ici.  Une gentille fille ne voudrait pas priver son petit ami de la vue de son corps magnifique. “Eh bien, je suppose que je vais me déshabiller dès que j’aurai franchi ta porte d’entrée, la prochaine fois que je serai là.”  dit Gaby d’un ton taquin. Elle s’assit à côté de lui sur le canapé, posant ses pieds sur ses genoux.  Distraitement, Max a commencé à les masser pendant qu’ils parlaient d’autres sujets de tous les jours. Après s’être lavé, Gaby retourna dans la chambre de Max.  Après le sexe sauvage qu’ils avaient eu auparavant, le rejoindre au lit comme ça était un peu étrange;  comme un couple qui est ensemble depuis un moment, partageant un lit comme ils le font tous les jours. Max était déjà sous les draps quand elle est arrivée.  Elle supposa qu’il était nu, comme elle l’était toujours. « Puis-je vous rejoindre dans votre lit, Monsieur ?  Elle a demandé. “Vous pouvez.”  Max a répondu. Gaby rampa sous les couvertures et rougit d’avoir demandé la permission de le faire.  Elle l’avait lu dans l’une de ses histoires et c’était aussi sexy de le faire pour de vrai que de lire à ce sujet. Une fois sous les couvertures, elle a atteint le corps de Max et a senti qu’il était en effet nu.  Elle attrapa son entrejambe. “Hmm, fille gourmande.”  dit Max. Gaby rougit, mais sentit qu’il avait déjà mis un préservatif, il était prêt pour elle.  Elle rampa sur lui, à cheval sur ses jambes.  Elle pouvait sentir son érection entre eux, le bout de son pénis contre son clitoris.  C’était incroyable de se frotter contre lui. Max plaça ses mains sur ses hanches et guida ses mouvements, l’exhortant à le chevaucher lentement, augmentant la chaleur entre eux. Quand Gaby gémit bruyamment, il se pencha et l’aida à mettre sa queue en elle. Il plaça son pouce entre ses lèvres et pressa son clitoris pendant qu’elle le chevauchait. Sa main libre lâcha sa hanche et frappa une fois ses fesses. Libéré de son contrôle, Gaby prit de la vitesse. Elle le chevaucha fort et vite, sa bite au fond d’elle et son pouce appuyant sur son point le plus sensible. Avec un gémissement bruyant, Max est venu; mais Gaby ne pouvait pas s’arrêter. Max lui a claqué les fesses, l’encourageant à jouir pendant qu’elle le chevauchait, son pouce appuyant fort, jusqu’à ce qu’elle atteigne également son orgasme, son corps tremblant, gémissant profondément alors qu’elle s’effondrait sur lui. « Dors bien, ma fille gourmande. dit Max en la repoussant. Gaby n’avait pas encore fini cependant. Alors qu’elle dormait au début, elle se réveillait souvent, distraite par le corps masculin à côté d’elle dans le lit. Elle n’avait pas eu à partager un matelas depuis longtemps. Un peu après minuit, elle était réveillée et elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle tâta le corps de Max et découvrit qu’il dormait sur le dos. Elle se pencha et trouva sa queue, elle était molle dans ses mains. Au fur et à mesure qu’elle jouait avec, il s’animait lentement. C’était une sensation étrange, comment elle devenait lentement plus grosse et plus dure, résistant à sa force jusqu’à ce qu’elle soit incapable de la plier comme la première. “Si tu continues à jouer avec ça, je vais te faire finir ce que tu as commencé.” dit soudain Max. Gaby rougit, se sentant pris en flagrant délit. « Cela ne me dérange pas de le finir pour vous, monsieur. Dit-elle timidement, avant de rouler sur lui. “Attends, nous avons besoin d’un autre préservatif.” dit Max alors qu’elle le chevauchait déjà. Gaby pouvait le sentir atteindre sa table de chevet, tâtonnant dans le noir.  “Attends.”  dit-elle, roulant à nouveau sur lui.  “Viens t’allonger contre mon dos.”  Elle ne voulait pas perdre de temps ou allumer la lumière au milieu de la nuit. Max se retourna, se pressant contre elle.  Elle pouvait sentir son érection presser contre ses fesses. Gaby a tordu ses hanches, attrapant sa queue entre ses fesses, quand Max a poussé en avant, il a été poussé fermement entre elles. Elle gémit profondément alors que Max lui baisait les fesses, sans la pénétrer.  Il a atteint autour d’elle avec sa main libre, trouvant sa chatte humide et attendant. Coincé entre sa queue entre ses fesses et ses doigts entre ses lèvres, Gaby frissonna alors que les doigts de Max provoquaient un autre orgasme.  Elle poussa contre ses hanches poussées, jusqu’à ce qu’il jouisse également, son jus chaud se répandant dans le bas de son dos. Quand Gaby s’est réveillé le lendemain matin.  Elle pouvait encore sentir le désordre collant sur son dos, ils n’avaient pas pris la peine de nettoyer au milieu de la nuit.  Elle tendit la main vers Max et, à sa grande surprise, découvrit qu’il était toujours dur.  Ou encore dur, avec le matin, supposa-t-elle. En repensant à ses histoires, elle se demanda comment une fille vraiment soumise réveillerait son petit ami.  La réponse était évidente, alors elle rampa sous les draps et le prit dans sa bouche. Max ne s’est réveillé que juste avant de venir. Gaby était fière de la rapidité avec laquelle elle avait réussi à le faire jouir en utilisant uniquement sa bouche. Elle avala tout ce qu’il lui offrait, ne pensant qu’un instant que cette fois elle avait oublié le préservatif. Max écarta les couvertures et la regarda avec un sourire. “Une petite amie si gourmande.” Il a dit. Gaby rougit. Comment avait-elle été gourmande ? Elle avait fait ça pour lui, n’est-ce pas ? “Je veux nous faire tester tous les deux pour les MST.” Dit-elle. “Pas la salutation matinale la plus romantique.” Max a répondu. “Je ne veux tout simplement pas continuer à m’embêter avec ces préservatifs à chaque fois.” dit Gaby. “Je prends la pilule, donc si nous sommes tous les deux propres, nous pouvons nous amuser davantage sans ces choses.” Max hocha la tête. « Je pensais la même chose hier soir, même si je ne savais pas trop comment te le dire. Je suppose que te donner l’oral en premier aurait peut-être marché. Gaby gloussa. A la table du petit déjeuner, ils parlaient peu. Ils ne pouvaient pas prolonger ce deuxième rendez-vous beaucoup plus longtemps; mais pendant que Gaby prenait une douche, elle sentait qu’elle pouvait le séduire une fois de plus. Elle n’avait pas encore reçu la fessée de cette gentille fille après tout. De retour en bas, Max ne portait toujours qu’une robe de chambre, alors qu’elle portait la lingerie et les bas d’hier. Elle portait sa robe, pliée dans ses bras. “Tu sais que tu ne peux pas sortir comme ça.” dit Max. “Je pensais juste que tu voulais me dire au revoir comme il faut.” dit Gaby. Max soupira. “Qu’est-ce que je t’ai dit sur le fait d’être cupide, Gabrielle ?” Il a demandé Gaby rougit. Il n’avait pas semblé s’en soucier quand elle le réveillait au milieu de la nuit, ou le matin avec sa bouche. “Mais je n’ai pas eu de fessée.” Elle a fait la moue. “J’avais tellement hâte d’y être.” « Je t’ai dit hier que tu devrais attendre encore un peu. Tu n’es pas obligé de tout obtenir en même temps dit Max. Gaby fit la moue et mit ses plus beaux yeux de chiot. “Je vais compter jusqu’à cinq et ensuite tu vas mettre cette robe, jeune fille.” dit Max. “Une.” Gaby lécha ses lèvres. “Deux.” Il était hors de question qu’elle le laisse lui faire peur pour qu’elle le mette. “Trois.” De plus, s’il allait lui donner une fessée, elle obtiendrait exactement ce qu’elle voulait. “Quatre”. Bien que… Ce premier rendez-vous fessé n’était pas quelque chose qu’elle voulait voir répété, n’est-ce pas ? “Cinq!” Merde!  Trop tard. « C’est ça jeune fille.  Tu as été une bonne fille pendant tout ce rendez-vous ;  mais maintenant je vais devoir te renvoyer chez toi avec un derrière rouge.  dit Max. Gaby rougit, mais ne protesta pas. Max lui prit le poignet et la guida vers le canapé.  Il lui prit sa robe et la posa sur la table basse avant de la mettre sur ses genoux. Sa main atterrit violemment sur son derrière. Gaby gémit doucement.  “Attends.”  Dit-elle.  « Je suis désolé, je ne voulais pas être méchant.  Je pensais que tu me donnerais une fessée amusante. Max lui a encore donné une fessée.  « Je t’ai dit deux fois que je n’allais pas le faire.  Ne prétend pas que tu ne savais pas que tu allais avoir des ennuis si tu continuais à désobéir. Gaby se mordit la lèvre.  Elle avait su, alors pourquoi avait-elle continué à agir comme elle l’avait fait ? Max lui frappa les fesses à nouveau.  “Si tu vas agir comme un gosse cupide, c’est comme ça que je vais te traiter, Gabrielle.”  Il a dit. Gabt rougit.  Elle ne s’était jamais considérée comme une gamine ;  mais la façon dont elle l’avait défié pendant son compte à rebours était un comportement évident de bratty. Elle couina quand Max la frappa fort et vite.  “Eh bien, as-tu autre chose à dire?”  Il a demandé. Gaby secoua la tête.  “Non monsieur.”  Elle a répondu, en s’avouant qu’elle avait ceci à venir. La main de Max se posa encore et encore sur ses fesses.  Envoyant des chocs de douleur à travers sa peau et ses fesses.  Il a baissé sa culotte à mi-chemin et a décroché la prochaine volée de claques sur ses fesses nues. Gaby gémit et se tortilla.  Cela ne ressemblait en rien à la fessée sensuelle qu’elle voulait, mais elle se sentait toujours excitée d’être fessée. Lorsque Max s’est arrêté pour lui frotter les fesses, elle a su que l’échauffement était terminé.  Ses fesses lui piquaient déjà.  Quand il leva à nouveau la main, elle sut qu’il était sérieux au sujet de cette fessée. Ses fesses rebondirent sous sa main.  Gaby donna des coups de pied et couina, ses fesses étaient en feu.  Elle a promis de bien se comporter, l’a supplié d’arrêter et a juré de ne pas être aussi gourmande lors de leur prochain rendez-vous. Max ne s’est pas arrêté jusqu’à ce qu’elle sanglote et gémisse, les larmes sur son visage et son corps flasque après que tout le combat soit sorti d’elle. Quand il la laissa se lever, il la serra fort contre lui. “Merci Monsieur, je suis désolé d’avoir été un gamin si gourmand.”  dit Gaby. « J’espère que tu feras mieux la prochaine fois, Gabrielle.  C’est deux rendez-vous d’affilée que tu te retrouve avec des fesses rouges et douloureuses.  Maintenant, mets ta robe.  dit Max. Gaby rougit en enfilant sa robe.  Quand elle a remonté sa culotte, elle était douloureusement serrée autour de ses fesses. Lorsque Max lui a montré la porte, elle s’est demandée pourquoi elle attendait déjà avec impatience leur prochain rendez-vous.  Certes, elle s’était amusée aux deux rendez-vous, jusqu’à ce qu’elle ait mérité cette fessée vers la fin.  Elle réalisa alors qu’elle voulait ces fessées disciplinaires strictes autant qu’elle avait voulu le sexe auparavant.  Elle n’est pas sortie avec cet homme malgré sa fessée, elle est sortie avec lui à cause de cela. “Je suis désolé d’être une si mauvaise fille, monsieur.”  dit-elle à la porte.  “J’essaierai plus fort la prochaine fois.” Max l’a embrassée au revoir.  “Assure-toi de le faire, tes fesses auront besoin de repos après ces deux premiers rendez-vous.” Gaby fit un signe de la main et s’éloigna.  Désolé monsieur.  Elle pensait.  Mais tu vas juste devoir me fesser encore.  Je suis ton sale gosse après tout
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Par : le 14/04/22
Cela fait un peu plus d’une semaine que Gaby a découvert le site Web de Max et ses histoires. Après avoir lu ce premier qui semblait s’être inspiré d’elle, elle en a lu beaucoup d’autres. Chacune a entraîné la même extase chaleureuse et écrasante car elle ne pouvait s’empêcher de se masturber devant les fantasmes pervers et bien écrits de Max. Gaby ne s’était jamais considérée comme coquine auparavant, elle n’avait pas accordé plus qu’une pensée passagère à de tels désirs. Mais au cours de la dernière semaine, elle avait été incapable de penser au sexe sans que de tels fantasmes s’immiscent et sa libido avait explosé, ce qui signifiait qu’elle jouait avec elle-même presque deux fois plus souvent que d’habitude. Même ses rêves n’avaient pas été sûrs. Gaby était célibataire depuis assez longtemps et elle commençait à voir que cela devait changer. En d’autres termes, elle avait besoin de s’envoyer en l’air. Maintenant, Gaby n’est pas le genre de fille qui va dans un club juste pour rencontrer quelqu’un et elle n’aime pas l’idée d’un copain de baise.  Les expériences sexuelles de Gaby sont toujours allées de pair avec une relation émotionnelle forte.  Le problème est qu’il n’y a personne qui a attiré son attention depuis un moment.  Sauf peut-être Max, même s’ils n’ont parlé qu’une demi-heure.  Tout ce qu’elle sait de lui, c’est qu’il écrit des histoires coquines pour le plaisir et qu’il a plusieurs années de plus qu’elle.  Gaby n’est jamais sortie avec un homme beaucoup plus âgé qu’elle, mais combiné avec ce qu’elle sait de lui, son âge semblait en fait le rendre plus intéressant pour elle.  Gaby ne l’admettrait pas elle-même, mais elle avait le béguin pour un homme qu’elle connaissait à peine.  Ce n’est que lorsque ses amis ont commencé à le remarquer, la surprenant en train de rêver et de sourire à rien, qu’elle a cédé à l’impulsion et a décidé de recontacter Max. Rencontrer à nouveau Max dans le train semblerait être un harceleur limite, pensa Gaby, alors elle décida de lui écrire un e-mail à la place, elle trouva ses coordonnées sur son site Web. Cher Max Il y a peu de temps, je vous ai rencontré dans le train et vous m’avez parlé de votre site Web.  J’ai apprécié beaucoup de vos histoires depuis. J’espère que vous ne me trouvez pas trop pressé quand je vous dis que j’aimerais vous revoir. J’aimerais connaître la personne derrière ces histoires.  Il semble être un homme très intéressant. On pourrait peut-être prendre un verre un jour?  Ce serait beaucoup plus amusant que le trajet du matin en train. Juste une rencontre décontractée bien sûr, rien de tel dans aucune de vos histoires. En attente de votre réponse avec impatience. Gaby La réponse n’est pas venue aussi rapidement que Gaby l’aurait souhaité.  En fait, il a fallu plusieurs jours avant que Max réponde et Gaby commençait à se demander si elle avait fait une erreur en le contactant.  Peut-être qu’il n’était tout simplement pas intéressé par une jeune fille inexpérimentée comme elle.  Heureusement, lorsque la réponse est venue, elle a fait disparaître ces craintes. Chère Gabrielle Pardonnez-moi de ne pas avoir répondu plus tôt, je vérifie rarement cette adresse e-mail car elle n’est utilisée que pour mon site Web et ne reçoit généralement que du spam indésirable. Votre courrier a cependant été le bienvenu. Je mettrai mon e-mail personnel et mon numéro de téléphone en bas afin que vous puissiez me contacter directement. Je dois dire que j’aimerais aussi vous revoir. Je ne sors pas souvent boire un verre, alors que diriez-vous si je vous emmènerai dîner à la place ? Je suis un peu démodé comme ça. Je vais tout vous dire sur moi et à votre tour vous pourrez me dire laquelle de mes histoires vous a le plus plu. Et le week-end prochain, êtes-vous libre vendredi ? Max Quelques autres textos allaient et venaient et Gaby avait un rendez-vous ce vendredi. Elle était plus nerveuse que d’habitude, c’était le premier rendez-vous qu’elle avait avec quelqu’un qu’elle ne connaissait pas comme amie auparavant. Max arrivait pour la chercher à tout moment pendant qu’elle était encore en train de choisir sa tenue. Elle avait une idée de ce qu’il aimait en lisant ses histoires. Une robe était le choix évident, quelque chose de court qui mettrait en valeur ses longues jambes, combiné avec des bas pour qu’ils attirent le regard tout en étant décemment couverts. Elle a opté pour une robe bleue à la fin, bien ajustée autour des hanches tout en s’évasant sur le haut lacé de ses bas. Les strings qui sillonnaient son décolleté lui donnaient une belle touche presque coquine. Les bas resteraient en place tout seuls, mais Gaby a déterré le porte-jarretelles qu’elle n’a jamais porté de toute façon. Ce n’était qu’un premier rendez-vous et Max ne le verrait pas, mais le caractère sexy de l’attribut lui a donné un regain de confiance. Elle portait des escarpins bleus brillants et avait juste le temps de se maquiller quand la sonnette retentit. Max avait fière allure, de ses chaussures noires brillantes et de son pantalon à rayures à sa chemise blanche propre et sa cravate bleu vif. Cela rendit Gaby heureuse d’avoir choisi une robe. “Ma dame.” dit Max en lui offrant son bras. “Tu es absolument magnifique.” Il a dit quand Gaby l’a pris et l’a laissé la conduire à sa voiture. “Tu as l’air tout à fait ravissant toi-même.” Gaby a répondu. Elle dut réprimer un petit rire quand Max lui ouvrit la portière de la voiture ; il était trop chevaleresque mais Gaby appréciait le changement par rapport au genre de rendez-vous qu’elle avait normalement. Max n’a pas dit grand-chose pendant le trajet, se concentrant plutôt sur le trafic. C’était étrange pour Gaby que leur silence mutuel ne soit pas aussi inconfortable qu’on aurait pu s’y attendre. Le restaurant où il l’avait emmenée était le genre d’endroit qui réussissait à être chic, sans être trop cher. L’attitude de gentleman de Max est restée d’actualité alors qu’il lui ouvrait la porte et reculait sa chaise pour elle avant de s’asseoir lui-même. Il la laissa faire son propre choix dans le menu, mais passa sa commande au serveur lui-même. Il a fait tout cela avec un sourire qui signifiait qu’il ne pensait pas qu’elle ne pouvait pas le faire elle-même, mais parce qu’il voulait le faire pour elle. Lorsque les rafraîchissements sont arrivés et qu’ils ont attendu que leurs commandes arrivent, ils ont parlé de travail, de famille et de loisirs. Max a répondu librement à ses questions et semblait également intéressé par elle. Il n’a jamais mentionné ses histoires, malgré ce qu’il avait dit dans son e-mail. Quand Gaby lui a posé des questions à ce sujet, il a dit qu’il ne faisait que la taquiner et qu’ils ne fourniraient pas de sujet approprié lors d’un premier rendez-vous. À la fin de la soirée, Max l’a ramenée à la maison et l’a rejointe devant la porte d’entrée. “J’ai passé un bon moment.” Il a dit. “J’espère que tu ne t’ennuyais pas avec un vieil homme comme moi.” Gaby sourit en tournant les clés dans la serrure et le regarda par-dessus son épaule. “Bien sûr que non.” Dit-elle. “C’était le meilleur rendez-vous que j’ai eu depuis des années.” Elle se retourna et lui sourit. «Malgré, tu n’es pas si vieux, tu as quoi? Huit, neuf ans sur moi? Max a ri. “Ce serait à peu près exact.” Il semblait hésiter à partir. Ne sachant pas quoi dire elle-même, Gaby se tenait devant la porte ouverte. Ils n’avaient pas parlé de quoi que ce soit de sexuel ou coquin de toute la nuit, mais un baiser à la fin d’un premier rendez-vous ne serait pas inapproprié, n’est-ce pas ? Au lieu de cela, pour couvrir son hésitation, elle lui a demandé : « Tu veux entrer prendre un café ? Elle rougit profondément en réalisant ce qu’elle venait de dire. Inviter un homme à prendre un café signifiait généralement quelque chose de très différent. “Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée.” Max a répondu, arrivant à la même conclusion. “Juste du café.” dit Gaby. “Je promets.” Après avoir montré son rendez-vous au salon, Gaby se retira dans la salle de bain pour se rafraîchir. Elle était soudainement nerveuse d’avoir un homme chez elle. L’insistance de Max pour qu’ils aient un vrai premier rendez-vous venait d’augmenter l’excitation qu’elle ressentait. En ne parlant pas des histoires qu’il avait écrites et qu’elle avait lues, il s’était en fait assuré qu’elles étaient tout ce à quoi elle pensait maintenant. Toutes ces fois, elle s’était touchée en pensant à lui après avoir lu une de ces histoires et maintenant il l’attendait dans son salon. Gaby n’aurait jamais eu de relations sexuelles lors d’un premier rendez-vous, mais maintenant ce principe s’effondrait. Qui a décidé ce qui était bon ou mauvais de toute façon, qui a établi ces règles ? “Max oui.” Une voix dans sa tête dit, se souvenant de ses histoires. Mais ceux-ci décrivaient également ce qui se passait lorsque quelqu’un enfreignait ces règles, et n’en avait-elle pas rêvé si souvent ces derniers temps ? Une fois sa décision prise, Gaby retourna dans son salon. Sa robe qu’elle avait laissée dans la salle de bain. Elle avait pensé à porter une chemise de nuit sexy, mais cela pouvait toujours être excusé comme se préparant pour la nuit. Maintenant, elle ne portait que ses sous-vêtements et ses chaussures ; des bas retenus par le porte-jarretelles et un ensemble de lingerie noire en dentelle. Cela ne pouvait que donner un message clair de ses attentions. Max était assis dans son canapé, paraissant incroyablement beau dans sa tenue. “Cela ne ressemble pas à tu veux juste prendre un café.” Il a dit. Gaby sourit, elle marcha droit vers lui et s’assit à califourchon sur ses genoux. “Est-ce un problème?” demanda-t-elle en rapprochant son visage de lui. “Il est.” Max a répondu. « Tu as fait une promesse, Gabrielle. Si tu ne veux pas te retrouver sur mes genoux dans une position très différente de celle-ci, tu ferais mieux de la garder. « Et si je ne veux pas le garder ? » demanda Gaby, traçant sa joue avec un doigt. Max sourit. “Alors tu découvrirais à quel point je suis sérieux.” Se mordant la lèvre, Gaby le regarda dans les yeux, puis murmura : “Ok.” Avec ce simple aveu de consentement, Max enroula ses bras autour d’elle, et avant qu’elle ne s’en rende compte, Gaby s’allongea face contre terre sur ses genoux. “Très bien.” dit-il et sa main atterrit avec une forte claque sur ses fesses. Gaby gémit, savourant la sensation de picotement qui se répandit dans son derrière. Max ne lui a cependant pas laissé beaucoup de temps pour le chérir, car la prochaine claque est arrivée peu de temps après et une autre après cela. Rapides et fermes, ils pleuvaient sur ses fesses. Gaby couina et donna un coup de pied à la douleur inattendue et à la force derrière la fessée. La perte de contrôle, la réalisation d’être réellement fessée l’ont fait paniquer et l’ont supplié d’arrêter. Lorsque la douleur s’arrêta immédiatement, Gaby fut surpris de sa soudaineté. Ses fesses piquaient, mais pas trop même si la fessée avait été plus dure qu’elle ne l’avait imaginé, du moins pour la première fois. « As-tu déjà des doutes ? » Max a demandé. “Ou es-tu prête à être une bonne fille maintenant?” Gaby rougit, “Je ne m’attendais pas à ce que tu me fesses si fort.” Elle a admis. Max plaça sa main sur ses fesses et lui caressa les joues, les serrant doucement. “Les fessées douces et sensuelles sont réservées aux bonnes filles.” Il a dit. «Pas pour ceux qui brisent leurs promesses. Mais tu n’a pas répondu à ma question. Gaby se mordit la lèvre. La douleur n’était pas si grave en fait, elle avait juste été surprise, c’est tout. “Je n’ai pas changé d’avis.” Dit-elle. “Et je ne me sens pas désolé d’avoir enlevé ma robe.” Max a levé la main. “Oh, mais tu le seras.” Les claques sont venues fort et vite. Gaby se tortilla et gémit, mais Max ne céda pas. Ses fesses rebondirent sous sa main, ses jambes battant en l’air car elle ne pouvait rien faire d’autre pour empêcher la douleur cuisante qui lui était infligée par derrière. “Ok, j’en ai assez maintenant.” Dit-elle. Mais Max n’a pas ralenti. La douleur continuait à monter alors que la couleur de ses fesses s’intensifiait. “Je serai une bonne fille.” Elle a essayé. Et “Je ne briserai plus jamais ma promesse.” Mais Max n’était pas satisfait. Ses fesses flamboyaient et ses gémissements s’étaient transformés en couinements lorsqu’elle se rappela assez de ses histoires pour savoir quoi dire. “Je suis désolé.” Elle gémit. “Je vais te donner un peu de temps pour réfléchir à ce qui vient de se passer.” dit Max alors qu’il la faisait se tenir debout dans le coin de son propre salon. “Quand tu seras prêt à en parler, viens t’asseoir avec moi.” Avec ses mains sur sa tête, Gaby se tenait dans le coin. Ses fesses étaient en feu. Tout ce qu’elle ressentait était de la douleur et de l’embarras, mais d’une certaine manière, c’était la chose la plus sexy qu’elle ait jamais faite ou qu’elle lui ait faite. Son désir pour Max était tout aussi grand, sinon plus qu’avant. Elle se sentait satisfaite, mais en même temps elle en voulait plus. Pourtant, elle a mis beaucoup de temps à réfléchir à ses sentiments avant de parler à son rendez-vous, l’homme qui l’avait fessée. “Puis-je sortir du coin maintenant?” Elle a demandé. “Bien sûr.” Max a répondu. “Viens t’asseoir ici.” Gaby le rejoignit dans le canapé, grimaçant lorsqu’elle s’assit à côté de lui. « Alors, que vient-il de se passer ? » Max lui a demandé. “J’ai été puni parce que j’ai fait quelque chose de mal.” Gaby a répondu. “Pas seulement puni.” Max a répondu. “Puni par moi.” Il a souri. “C’est quelque chose que vous devez savoir. Tant que tu agis comme une dame, je te traiterai comme telle. Mais si tu agis comme une fille, je te punirai comme telle. C’est bien sûr, si ce premier rendez-vous n’est pas notre dernier. Gaby rougit. “J’aimerais ça.” Dit-elle. “Plus de dates, je veux dire.” “Es-tu sûr?” Max a demandé avec un sourire. “Ce que tu a maintenant ne serait qu’un échauffement. Tu dois réaliser que tu ne vas pas seulement recevoir une fessée quand tu en a envie. La décision reviendra à moi et tant que nous sortirons ensemble, je serai en charge. Il fit une pause pour un moment. “Je vais te donner une fessée pour le plaisir quand tu te comportes bien, mais quand tu te conduis mal, ça va faire mal.” “Je suis sûr.” dit Gaby, effrayée d’en dire plus alors que ses désirs contradictoires se battaient dans son esprit. Max lui prit la main. « Très bien, dit-il. Ensuite, tu reviendras sur mes genoux tout de suite. Gaby se figea. “Quoi, pourquoi ?” “Je t’ai dit.” dit Max. «Ce que tu a eu avant n’était qu’un échauffement. Je pense que c’est en fait une bonne chose que tu te sois mal comporté lors de notre premier rendez-vous, au moins maintenant tu sauras dans quoi tu t’embarque. Gaby rougit, mais se laissa à nouveau tirer sur ses genoux. Si je ne peux pas supporter ça, se dit-elle, je devrais juste arrêter de fantasmer sur les fessées. “Ton mot de sécurité est rouge.” dit Max en passant ses pouces derrière sa culotte. Il n’avait pas besoin de l’expliquer davantage et Gaby se promit qu’elle n’en aurait pas besoin. Pourtant, elle était contente de l’avoir quand même. Max baissa lentement sa culotte, révélant ses fesses nues et rouges, encadrées par ses bas et son porte-jarretelles. L’air était frais contre sa peau et la zone humide entre ses jambes. Son excitation était évidente pour Max, mais la sienne l’était aussi car elle le sentait allongé sur ses genoux. Gaby se rappela immédiatement à quel point cette fessée aurait pu être amusante, si seulement elle avait été une gentille fille. Au lieu des touchers doux et taquins et des claques douces, Max l’a fessée fort. La douleur dans ses fesses a été renouvelée alors que la main de Max se connectait à sa peau maintenant nue. Gaby donna des coups de pied dans ses jambes, gémit et se tortilla alors qu’elle ne cachait pas son inconfort. Le contraste entre la fessée sensuelle imaginée et la douleur réelle a fait comprendre qu’elle était punie. Avec la douleur brûlante et piquante est venu un sentiment de honte. Honte pour ses actions, non seulement pour avoir rompu sa promesse, mais pour son comportement inapproprié, montrant sans vergogne sa quasi-nudité à l’homme qu’elle connaissait à peine, cédant à ses désirs lors de ce qui n’était que leur premier rendez-vous. Avec la honte vinrent les larmes, elle les sentit couler sur ses joues. Pourtant, elle savait qu’elle était assez forte pour supporter ça, peu importe à quel point ça faisait mal ou à quel point elle couinait. Elle pouvait prouver, non seulement à elle-même, mais aussi à Max, qu’elle était une femme assez forte pour accepter sa punition. Les larmes sont devenues un insigne d’honneur, des signes que la punition a fonctionné et son acceptation qu’elle ne méritait rien de moins. Cette fois, elle n’a pas supplié Max d’arrêter, mais elle n’a pas pu s’empêcher de promettre qu’elle serait une bonne fille, jurant de ne plus jamais recommencer. Elle sanglotait et gémissait, criait et hurlait quand Max la frappait sans relâche en rouge, palpitant derrière. Il a fallu un certain temps à Gaby pour réaliser que l’épreuve était terminée. Elle était allongée sur les genoux de Max, sa main massait doucement ses fesses douloureuses, la douleur ne diminuait pas malgré son toucher doux. Quand elle réalisa finalement qu’il n’y avait plus de gifles et que ses sanglots cessèrent, elle regarda par-dessus son épaule son bourreau. “Bonne fille.” Il a dit. “Tu as vraiment bien fait.” Gaby rougit. Elle avait réussi, elle avait prouvé qu’elle en était capable, qu’elle pouvait accepter sa punition. En fait, elle se sentait bien, merveilleusement même. Max la laissa se lever et la serra contre lui. Gaby ne s’était jamais sentie aussi pardonnée pour quelque chose qu’elle avait fait de mal. “Alors, tu penses que tu pourrais continuer à sortir avec quelqu’un comme moi, sachant le risque que tu courrais ?” Max lui a demandé. Gaby sourit en le regardant, elle n’avait aucun doute. “Ce ne serait pas un risque”, a-t-elle déclaré. “Si tu le veux.” Max sourit mais haussa un sourcil. « Voulais-tu être puni ? Il a demandé. Gaby a ri. “Je ne me suis pas mal comporté pour que tu puisse me punir.” Elle a expliqué. « Et je ne vais pas me conduire mal intentionnellement. Mais quand je me conduis mal, je veux que tu me punisses. Soudain, les bras de Max l’entourèrent et l’attirèrent contre lui, ses lèvres pressées contre les siennes et sa langue glissa dans sa bouche alors qu’il l’embrassait profondément. “Un baiser au premier rendez-vous devrait être acceptable.” Il a dit. Gaby laissa Max la tenir jusqu’à ce qu’il rompe leur étreinte, craignant qu’elle n’aille encore trop loin et le laissant ainsi prendre les devants à la place. Quand il a lâché prise, elle aspirait à plus, mais s’est sentie satisfaite de lui céder le contrôle. “Tu ferais mieux d’aller te rafraîchir.” dit Max. Gaby ramassa sa culotte en descendant du canapé. Elle les avait perdus quelque temps en donnant des coups de pied et était soudainement très consciente de sa nudité. Malgré tout son comportement chevaleresque, Max ne détourna pas les yeux alors qu’elle contournait le canapé et se dirigeait vers la salle de bain. Une fois seul, Gaby soupira profondément. Dans le miroir, elle pouvait voir que son maquillage avait laissé des traces sombres sur ses joues, il était étrange que ces signes d’inconfort l’excitaient énormément. Elle passa une brosse dans ses cheveux et attrapa une robe de chambre. Elle a laissé sa culotte car elle était trop serrée contre ses fesses douloureuses et piquantes. Elle lava son visage en dernier, profitant le plus longtemps possible de la vue de ses joues tachées de larmes. Quand elle eut l’air fraîche et propre, la seule preuve de sa récente punition – un bas rouge vif – caché sous la robe, elle retourna vers Max. Gaby passa devant la cuisine la première, gagnant du temps en préparant le café qu'elle avait promis avant de devoir s'asseoir à nouveau sur son pauvre derrière. Max sourit alors qu'elle lui offrait une tasse et sourit encore plus profondément lorsqu'elle se tortilla doucement en s'asseyant. « Puis-je poser des questions ? » Elle a demandé. "Bien sûr." Max a répondu. "Si nous continuons à sortir ensemble, quelles choses dois-je garder à l'esprit ? Quel genre de comportement me causera des ennuis ? » Max sourit. "Je pense que ce serait beaucoup plus amusant si je ne te le disais pas, mais laisse-toi le découvrir par toi-même." Gaby rougit. "Mais je suis sûr que si vous utilisez votre bon sens et faites de votre mieux pour vous comporter comme une dame, vous n'aurez aucun problème. Si vous avez besoin de plus que cela, je vous suggère de lire d'autres de mes histoires. Gabt sourit. En fait, elle aimait qu'il ne lui ait pas fixé de règles, cela montrait qu'il la respectait suffisamment pour s'attendre à ce qu'elle sache ce qui était bien et ce qui était mal. Cela lui laissait aussi l'occasion, bien sûr, de lui donner une nouvelle fessée. "A quel moment, pensez-vous, est-il approprié pour une fille de demander à son rendez-vous de la rejoindre dans sa chambre?" Elle a posé sa question suivante. "Normalement, j'attendrais au moins le troisième rendez-vous." Max a répondu. "Mais dans les relations, vous devez parfois faire des compromis, alors pour vous, je serais prêt à laisser faire le second." "J'aimerais ça." dit Gaby. Elle rougit, car Max donnait l'impression qu'il lui rendait service, alors qu'elle était sûre qu'il la désirait autant qu'elle le désirait. "Dans ce cas, j'attends avec impatience notre prochain rendez-vous." dit Max. "Mais peut-être que pour ce soir, il vaut mieux que je parte." Gaby ne voulait pas qu'il parte, mais la douleur cuisante dans ses fesses l'a encouragée à être une bonne fille et à accepter sa décision. Elle le suivit jusqu'à la porte et l'embrassa une dernière fois. "Ne tardez pas à me demander à ce deuxième rendez-vous." Dit-elle. "Je suis curieux de savoir à quoi ressemble une bonne fille fessée."
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Par : le 09/04/22
Les autres jours, Gaby n’aurait pas réfléchi à deux fois à la rencontre. C’était une journée normale au printemps et tôt le matin. La ville faisait la promotion d’une journée sans voiture en faveur de l’environnement et Gaby avait décidé de participer et de prendre le train pour se rendre au travail. Une amie lui avait donné un billet de dix trajets, il lui suffisait de renseigner la date, son lieu de départ et sa destination. Ayant oublié d’apporter un stylo, Gaby dut en demander un à l’un des autres qui attendaient sur le quai. L’homme qui lui a donné le sien était un peu plus âgé qu’elle ; Gaby avait une trentaine d’années et il devait en avoir une quarantaine. Elle l’aurait normalement considéré comme trop vieux pour capter son intérêt même s’il était assez beau. Les autres jours, elle l’aurait immédiatement oublié. Gaby n’avait jamais pris le train pour se rendre au travail auparavant et n’avait pas prévu à quel point le trajet d’une demi-heure serait ennuyeux sans rien pour la divertir. Devant elle et dans l’autre allée, l’homme qui lui avait prêté son stylo tapait quelque chose sur un ordinateur portable. Elle essaya de lire en même temps, mais le texte était trop petit à cette distance. Curieuse comme elle l’était, elle envisagea un instant de s’asseoir à côté de lui, mais elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était intéressée par une conversation. De plus, elle le dérangerait probablement dans son travail. C’était à cause de cette curiosité insatisfaite, que Gaby était incapable d’oublier leur rencontre, aussi brève fût-elle. Les jours passèrent sans que Gaby ne revoie l’homme, mais elle ne l’avait pas oublié. Son esprit avait transformé ce qui aurait dû être un simple souvenir en un mystère intrigant. Finalement, quand elle ne put plus supporter ses pensées émerveillées, elle décida de le chercher ; ne serait-ce que pour se prouver qu’elle rêvait de lui était ridicule. Elle ne savait pas si c’était de la chance, ou si cet homme se rendait au travail en train tous les jours, mais elle l’a retrouvé dès le lendemain lorsqu’elle a pris le train pour se rendre au travail. Gaby se sentit un peu stupide quand elle le vit. Elle avait traversé tous ces ennuis juste pour voir un homme à qui elle avait à peine dit cinq mots. Pourtant, elle savait qu’elle devrait passer par là maintenant ou les choses ne feraient qu’empirer. Elle attendit que l’homme s’asseye puis se déplaça pour s’asseoir dans l’allée en face de lui. Lorsqu’il a sorti son ordinateur portable, Gaby s’est tourné vers lui et lui a demandé : « Je suis désolé, j’espère que je ne vous dérange pas, mais puis-je vous demander ce que vous écrivez ? Je t’ai déjà vu dans ce train et il semble que tu travailles souvent sur quelque chose. L’homme se tourna vers elle avec un sourire conquérant.  « Juste quelques histoires », dit-il. Gaby ne voulait pas trop le déranger ;  elle ne s’adressait généralement pas à un étranger sans raison apparente.  Mais sa curiosité n’était pas si facilement satisfaite.  “Quel genre d’histoires?”  Elle a demandé. L’homme hésita, une légère couleur – cela aurait pu être un rougissement – apparut sur son visage.  “Ce sont des histoires érotiques.”  Il a fini par admettre. En rougissant, Gaby chercha ses mots, mais ne trouva rien à dire.  “Oh.”  Elle a réussi.  Après avoir regardé devant elle pendant un moment, elle a remarqué que l’homme avait rangé son ordinateur portable et prenait des notes dans un petit carnet.  Il supposa probablement qu’il l’avait chassée avec sa réponse.  Qui dans son bon sens a écrit des histoires érotiques dans le train de toute façon ?  pensa Gaby.  Trop gênée pour relancer la conversation, elle l’ignora pendant le reste du trajet. Rencontrer l’homme n’avait fait qu’empirer les choses.  La curiosité de Gaby n’était pas satisfaite de savoir le genre d’histoires qu’il écrivait;  il voulait maintenant savoir exactement ce qui s’était passé dans ces histoires.  Elle rêvait toujours de l’homme, et maintenant plus souvent ces fantasmes s’accompagnaient d’une touche érotique, tout comme elle imaginait ses histoires.  Gaby n’avait pas lu beaucoup d’érotisme, bien qu’elle en ait essayé quelques-uns.  Elle avait une bonne idée de ce que pourraient être ses histoires.  Elle n’a pas trouvé qu’il y avait quoi que ce soit d’inapproprié ou de mal dans la fiction érotique et il était logique que quelqu’un l’écrive.  Si elle était normale pour le lire, la personne qui l’écrivait n’était pas moins normale qu’elle.  Alors la prochaine fois que Gaby a pris le train pour se rendre au travail, elle s’est dit que ce n’était pas parce qu’elle était curieuse, mais parce qu’elle souhaitait s’excuser pour sa réaction à sa découverte. Comme elle l’avait espéré, ce n’était pas la chance qui les avait réunis la dernière fois.  L’homme et son ordinateur portable étaient présents lors de son trajet vers le travail, comme il l’était probablement tous les jours.  Il leva les yeux et sourit quand Gaby s’assit à nouveau dans l’allée à côté de lui.  “Bonjour.”  dit Gaby.  “Nous nous sommes déjà rencontrés une fois.”  Parce qu’elle ne pensait pas qu’il se souviendrait de lui avoir prêté son stylo il y a quelques semaines. “Deux fois en fait.”  L’homme répondit.  “Tu avais besoin d’un stylo et je n’oublie jamais un joli visage.” Gaby rougit.  Elle n’avait pas prévu son ton coquin.  Cela n’aurait pas dû la surprendre, sinon, comment aurait-il dû réagir quand elle continuait à l’approcher comme ça ?  Surtout après le sujet de leur dernière conversation rabougrie.  “Je voulais juste m’excuser pour la façon abrupte dont notre dernière conversation s’est terminée.”  Dit-elle.  “J’étais un peu surpris.” L’homme sourit à nouveau, c’était le genre de sourire qui faisait oublier ces années qu’il avait sur toi.  “Je comprends.  Nous pouvons continuer là où nous nous sommes arrêtés si vous le souhaitez. Gabrielle rougit légèrement, elle n’avait pas vraiment pensé à s’excuser. “Oh, je ne voudrais plus te déranger pendant que tu travailles sur tes histoires.” “Pas du tout.” L’homme a dit. “Je n’écris ceux-là que lorsqu’il n’y a rien de plus intéressant à faire.” Gabrielle se mordit la lèvre, mais elle ne pouvait pas nier le sentiment heureux qu’elle ressentait d’être considérée comme plus intéressante que tout ce sur quoi il travaillait. Elle a décidé de vaincre sa timidité. Un trajet en train, une demi-heure de maladresse ou d’embarras possible, puis sa curiosité serait satisfaite et ils ne se reverraient jamais si elle ne le voulait pas. « Alors, de quoi parlent exactement vos histoires ? » Elle a demandé. L’homme sourit, mais il y avait aussi un peu de surprise dans ses yeux. Comme s’il ne s’était pas attendu à ce qu’elle approfondisse le sujet. “Plusieurs choses.” Il a dit. « Je m’appelle Max, au fait. Quel est ton?” Gaby rougit profondément, réalisant à quel point sa curiosité devait être évidente puisqu’elle ne s’était même pas présentée. “Je suis Gabrielle.” Dit-elle. “Mais mes amis m’appellent Gaby.” “Eh bien, Gabrielle.” L’homme a dit, comme s’il essayait le son de son nom complet. « La plupart de mes histoires parlent de BDSM. Sais-tu ce que c’est?” Gaby hocha la tête. “Maintenant, n’imaginez pas des dominatrices en cuir, des combinaisons intégrales en latex ou ces pauvres femmes fouettées en sang. Mes histoires sont érotiques, des rencontres entre des gens normaux comme nous, avec juste une touche de perversité en plus. Gabrielle devait admettre qu’elle avait imaginé de telles images à la mention du BDSM, mais elle comprenait qu’il y avait bien plus que cela. Certaines des histoires qu’elle avait lues dans le passé étaient en fait exactement le genre qu’il voulait dire, érotiques, sensuelles parfois même sur l’amour. “Quel genre de choses coquines se produisent dans vos histoires alors?” Elle lui a demandé. Heureusement, il n’y avait pas beaucoup d’autres voyageurs dans le train, car Gaby n’aurait pas pu avoir cette conversation si elle craignait que quelqu’un ne l’entende. Elle avait encore du mal à croire qu’elle avouait sa curiosité à cet étranger. C’était seulement à cause de son propre intérêt évident pour la question qu’elle sentait qu’elle le pouvait. “La plupart d’entre eux contiennent une forme de fessée.” Max lui a dit. “Généralement sous la forme d’une expérience sur le genou pour la femme qui se conduit mal avec rien de plus que la main de l’homme ou un seul outil. Cela procure à la coquine autant de plaisir que de douleur. J’inclus parfois du bondage, des simples menottes aux cordes et aux bandeaux. Et enfin, j’inclus souvent un thème d’exhibitionnisme, soit la nudité intentionnelle, soit la peur d’être vu ou attrapé. Gaby était assise sur le bord de son siège, craignant de paraître agitée. Elle ne savait pas pourquoi la simple description du contenu de ses histoires l’avait autant excitée. Elle n’avait jamais rien fait de vraiment pervers dans son passé et tout ce qu’elle savait venait de ces quelques histoires qu’elle avait lues. “Vous devez avoir beaucoup d’expérience avec de telles choses, pour pouvoir écrire à leur sujet.” Dit-elle. L’homme éclata de rire. “Pas vraiment.” Il a dit. “Je veux dire, j’ai eu quelques femmes prêtes à expérimenter, mais je me qualifierais à peine d’expérimentée. La plupart d’entre elles me viennent directement à l’esprit. Il fit une pause pour un moment. “Alors et toi? Des anecdotes qui ne vous dérangeraient pas de se retrouver dans l’une de mes histoires ? » Gaby rougit. “Non, pas du tout.” Dit-elle. La conversation s’interrompit un instant. L’homme semblait vouloir lui demander quelque chose. Peut-être si elle était intéressée à créer une telle anecdote. Gaby rougit à nouveau, mais l’homme se contenta de dire : « Eh bien, c’était un plaisir de te rencontrer Gabrielle. J’espère que nous pourrons nous reparler un jour. Le train ralentissait pour le prochain arrêt. “Ravi de te rencontrer également.” dit Gaby, puis sa curiosité lui donna ce dernier petit coup de pouce. “Peut-être que je pourrais lire une de vos histoires un jour.” En réponse, l’homme sortit le carnet de sa valise et nota rapidement quelque chose. “J’ai un site web.” Il a dit. “Vous pouvez les lire là-bas.” Il arracha la page sur laquelle il avait écrit l’adresse et la lui tendit juste au moment où le train s’arrêtait. Il lui dit au revoir et descendit. Gaby avait laissé la note dans sa poche toute la journée, mais à la maison après le travail, elle a déplié le morceau de papier et s’est demandé quoi faire. C’était un peu comme visiter un site porno, pensa-t-elle, sauf qu’au lieu de vidéos, il y aurait des histoires. Gaby n’était pas le genre de fille qui méprisait le porno, mais les quelques fois où elle avait essayé d’en regarder un, elle n’avait pas vraiment compris l’attrait. Les histoires érotiques seraient bien sûr très différentes. Lorsqu’elle a démarré son ordinateur et surfé sur le site Web, elle a été surprise de voir beaucoup d’images et de photographies érotiques. Elle rougit et regarda par-dessus son épaule, même si elle savait qu’elle était seule. Chaque histoire avait un titre et une image correspondante, probablement pour vous inciter à la lire et attirer plus de visiteurs. Les photos étaient très sensuelles, mais pas aussi explicites que sur un vrai site porno, plus érotiques et moins basiques. L’histoire la plus récente, affichée en haut, montrait une femme dans une gare, un train passait en arrière-plan et le vent soulevait sa jupe pour découvrir ses fesses. Il s’intitulait: “Le trajet en train”. Ayant rencontré l’auteur dans le train elle-même, Gabrielle a décidé qu’il convenait de lire celui-ci. L’histoire raconte l’histoire d’une jeune femme attendant son train. Il la décrivait en détail, de ses longs cheveux bruns, ses yeux sombres et sa peau pâle. Gaby se demanda si c’était le genre de fille que Max – l’auteur de l’histoire – aimait. Elle réalisa que la fille lui ressemblait un peu, même la robe qu’elle portait et les sous-vêtements décrits en détail ressemblaient à ce qu’elle-même aimait porter. Dans cette histoire, le train était presque vide d’autres voyageurs et la jeune femme avait un wagon à elle toute seule, le décor parfait pour une histoire érotique semi-publique. L’intrigue est rapidement apparue lorsque le conducteur du train est venu vérifier son billet. La femme en avait apporté un, mais elle avait omis de le remplir, ayant oublié un stylo. Ceci, combiné aux similitudes dans leur apparence, fit rougir profondément Gaby, car elle était sûre d’avoir elle-même été l’inspiration de cette histoire lorsqu’elle avait emprunté la plume de l’auteur. Son rythme cardiaque a augmenté et son excitation a augmenté au fur et à mesure qu’elle lisait. Elle a découvert comment l’homme qu’elle avait rencontré avait fantasmé qu’elle réagirait s’il ne lui avait pas donné ce stylo. La femme – qui était elle – a été confrontée à la réaction froide et stricte du chef de train et à une amende qu’elle ne pouvait pas payer car elle n’avait pas assez d’argent sur elle. La sécurité serait contactée et les attendrait dans la station suivante, à moins que… la jeune femme ne paye son amende d’une autre manière ? Le rougissement de Gaby a été remplacé par une excitation profonde et nostalgique alors qu’elle lisait comment elle – la fille – se déshabillait dans le wagon de train vide jusqu’à ce qu’il ne reste plus que ses sous-vêtements. L’histoire décrivait son corps en détail et comment l’auteur avait imaginé qu’elle aurait l’air nue. Même ses sous-vêtements étaient étrangement précis, même s’il n’y avait aucun moyen qu’il ait pu savoir de telles choses. Lorsque la fille de l’histoire a été penchée sur l’un des sièges du train et que ses fesses ont été écrasées par la main ferme et inflexible du conducteur, la propre robe de Gaby a été soulevée et sa main a frotté le tissu de sa culotte. Elle ne s’était jamais masturbée devant le porno auparavant, mais lorsque la fille de l’histoire a baissé sa culotte pour que sa fessée continue sur un fond nu, Gaby a baissé la sienne pour laisser ses doigts atteindre sa chatte humide et gonflée. L’histoire s’est terminée avant qu’elle ne puisse se terminer, avec une fin atrocement ouverte où la fille à fond rouge et cruellement punie a dû se demander comment elle devrait montrer sa gratitude pour avoir reçu cette punition alternative au lieu d’une amende. Forcée d’utiliser sa propre imagination à la fin, Gaby s’imagina elle-même – la fille – à genoux d’abord dans une position de soumission appropriée, puis recula, penchée sur les sièges pour prendre la bite dure du chef d’orchestre par derrière. Sauf que le chef d’orchestre était désormais Max, l’homme qu’elle avait rencontré et qui avait écrit cette histoire
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Par : le 05/04/22
Ils discutent de la version érotique du film. Ah ? Ils font deux versions ? Madame Wolf dit à sa chérie : — Je voudrais voir ce qu'elle vaut dans les scènes de sexe... Est-ce que ça te dirait de la tester ? Quoi, une esclave va me tester ??? Et pourquoi pas un clochard ? La chérie répond : — Summer et elle sont aussi négligées l'une que l'autre. Si elles faisaient ça entre elles ? Là, Summer va lui arracher la gorge avec les dents ! Non ! Elle regarde Sam qui fait "oui" de la tête. J'ai compris : la chérie est la grande patronne des studios et elle se déguise comme ça pour s'amuser. Elle me dit : — Je dis ça pour ton bien, petite. Je pense que tu as pris une douche ce matin... ou plutôt hier, mais tu devrais mettre du déodorant. Je vais lui dire... rien ! Comment ça "dégonflée" ? Elle me regarde dans les yeux et... je baisse le regard, oui, vous avez raison "dégonflée". Bon... Summer enlève son jean et son tee-shirt. Elle me dit : — Déshabille-toi et viens te mettre à genoux devant moi. ... Euh... avec elle, d'accord. J'enlève ma robe et au passage, je renifle mes aisselles. J'ai une légère odeur de transpiration, c'est tout. Quelle garce, cette fille ! Je suis sûre que son but était juste de m'humilier. Je me mets à genoux devant Summer, le nez dans sa chatte en friche. Les mercenaires, ça ne se rase pas la chatte. Elle a une odeur forte, elle, mais j'aime son odeur. Je me cambre bien pour faire apprécier la minceur de ma taille et la rondeur de mes fesses aux autres, puis je glisse mon visage entre ses cuisses et je lèche sa chatte. J'entends la "chérie" dire : — Maintenant, lèche-lui le cul. Encore elle !! Le cul de Summer est mille fois plus appétissant que ta face de singe d'esclave de... Summer se retourne et se penche en avant tandis que j'écarte ses fesses et que j'enfonce ma langue dans son anus, pour appeler une chatte, une chatte. Sam nous dit : — C'est bon les filles, rhabillez vous. Alors, chers amis, vous en pensez quoi ? Ils sont tous d'accord pour dire que je suis "la" fille qu'il faut pour ce rôle... Dans ces conditions, j'ose interrompre la conversation pour dire à Madame Wolf : — Dites, Madame, je pourrais vous demander pourquoi c'est cette fille qui me dit ce que je dois faire ? — Ce n'est pas tes affaires. De plus, quand les grandes personnes parlent, les gamines se taisent. La chérie me fait un grand sourire. Là, j'en ai marre ! Je me lève en disant : — Très bien. Je vais me taire ailleurs. Je me lève et je reprends le sentier qui nous a amenés ici. Summer me suit et me rattrape. Aïe ! Je sens qu'elle va me passer un savon. Alors, je me mets à pleurer. Elle me dit : — Ashley ! Bordel ! Ils te donnent un rôle en or et toi tu fais des caprices. — Ils n'ont aucune... bouh... hou... aucune considération pour moi. — Tu veux une bonne fessée pour te remettre les idées en place ? — NON !! — Alors tu vas t'excuser, ensuite, tu te mets près de moi et tu la fermes ! D'accord ? — Oui.... On retourne près d'eux. Summer dit : — Ashley a quelque chose à vous dire... — Je vous prie de m'excuser, je viens d'une petite ville de Georgie et je ne suis pas habituée... à... La chérie répond : — On t'excuse, mais n'intervient plus dans la conversation. D'accord ? Petit coup de coude de Summer... aïe ! Je réponds : — Oui, Mademoiselle. Ils se remettent à discuter. Je m'assois et je boude. Je voudrais un minimum de considération et ne plus me faire engueuler par une vraie ou fausse esclave. J'ai enlevé mes chaussures et je regarde mes pieds. Oh ! Y a des fourmis sur le toit de ce building, je les observe. C'est beaucoup plus intéressant que leur discussion... et là j'entends quand même le metteur en scène dire : — Pour moi, c'est la fille idéale pour le rôle, mais il faudrait quelqu'un pour la surveiller. Summer, ce serait bien. Madame Wolf est du même avis, elle dit : — Summer ce serait parfait, même si elle est chère. Elle la regarde et ajoute : — Un mois de tournage plus un mois de promo, combien ? Summer me regarde, réfléchit, puis tape sur son téléphone. Madame Wolf et Sam regardent leurs tablettes. Puis ils se regardent tous les deux. Qu'est-ce qui se passe, on ne parle plus ?? Ils se regardent. Ah, j'ai compris, ils sont télépathes. Oh, après tout je m'en fous de leur petit jeu. J'ai vu un papillon ! Sur le toit de ce building, vous imaginez ? Ah ! Sam me parle : — Fais ce que te dira Summer. Vous pouvez y aller, les filles. On leur dit "au revoir", pas de réponses, ils parlent entre eux. Dorénavant, plus de bisous, ils sont pas assez sympas. On entre dans la forêt tropicale et on reprend l'ascenseur, mais on s'arrête en chemin. Je suis Samia jusqu'à un bureau sur lequel il est écrit «comptabilité». Sur une table, il y a le script « 7 ans de réflexions, remake » et une carte de crédit. Elle prend le tout. Pourquoi c'est elle qui a la carte ? Summer voit tout de suite à ma tête que ça ne me plaît pas, elle me dit : — Y a un problème Ashley ? — Non... enfin si, ils auraient pu me donner une avance. — Monsieur Sam préfère que tu dépendes entièrement de moi. Un genre d'esclave, quoi. Mais moi, je veux une esclave souriante, sinon... Je lui fais un grand sourire. On reprend l'ascenseur. A nouveau, je vois le vide sous mes pieds. C'est ridicule mais je prends à nouveau la main de Summer. On arrive saines et sauves en bas et on reprend sa voiture. Je lui dis : — Et maintenant, où qu'on va ? — Tu veux sans doute dire "où va-t-on ?" — Où va-t-on, Mademoiselle Summer ? — On va prendre une chambre près d'ici. Ensuite, tu apprends les cinq premières pages de ton rôle par cœur. Quand c'est fait, on va manger. — Et si je n'y arrive pas aussi vite ? — Tu manges pas ! C'est Summer, ça ! Je lui demande encore : — On fera des courses ? — Oui, dès que tu connais ton rôle. C'est une obsession ! Elle entre dans le parking d'un motel, mais rien à voir avec celui où elle logeait dans Watts. Ici, ce sont des bungalows entourés de palmiers et de plantes à fleurs... On se gare et on va au bureau. Une réceptionniste nous regarde d'un air un peu dégoûté. Il faut dire que nos vêtements sont un peu défraîchis. Summer va la secouer ! Non, elle lui dit : — On voudrait un bungalow à côté de la piscine. — C'est que... — C'est Monsieur Sam Boizano qui m'a conseillé de venir ici. Elle lui tend la carte de crédit. Le nom de Sam plus la carte, c'est magique ! Aussitôt, la fille lui dit : — Certainement Mademoiselle. J'ai un bungalow juste à côté de la piscine. Elle prend la carte, la scanne et lui donne la clé, sous forme de carte aussi. Bizarre ! La fille ajoute : — Si vous voulez aller à la cafeteria, ce sera mis sur la note et si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas. — Merci. On reprend la voiture et on va se garer devant un bungalow. On a une petite terrasse qui donne sur la piscine. C'est super beau... Seul petit problème, dès qu'on est entrées, Summer coupe l'air conditionné et se déshabille. Elle me dit : — J'aime pas ça. Moi, j'aime bien ! Elle me donne cinq feuilles du script en disant : — Apprends ça. — Tout ? Elle me regarde et je dis très vite : — Je prends à boire et je m'y mets. Elle tape sur sa tablette et me montre un texte en disant : — Tu dois au moins savoir de quoi il s'agit. Je lis : *** Richard Sherman, un employé dans une maison d'édition spécialisée dans les livres avec des couvertures aguichantes, a accompagné sa femme Helen et son fils Ricky à la gare pour les vacances. Il rentre chez lui et fait la connaissance d'une nouvelle voisine, une jeune femme belle et sexy, qui a emménagé dans l'appartement des voisins du dessus. Elle vient se présenter à lui et il est subjugué par sa beauté. De fil en aiguille, d'un premier rendez-vous au suivant, une relation avec la belle voisine va commencer. *** Pas mal, ça me plaît. Summer a mis un maillot et elle me dit : — Je vais nager, étudie. Oui, mais... heuuu !! Et moi ? Je lis le texte, le relis... J'observe un peu deux mouches pratiquant la sodomie. Elle est déjà de retour et me dit : — Alors, tu connais ? Récite ton texte ! Je commence les premiers dialogues et je cale. Elle ouvre un tiroir et me donne des feuilles de papier à lettres en disant : — Copie-le. Elle repart... ppppffff... je recopie tout... Elle revient 15 minutes plus tard. Je récite le texte et je cale, mais nettement plus loin. C'est quand même mieux, non ? Non, elle me dit : — Recopie-le. J'en ai les larmes aux yeux. Je lui dis : — C'est parce que j'ai trop faim... — Non, c'est parce que tu ne t'appliques pas. Recopie ! Je recopie tout le texte à nouveau. Quand j'ai presque fini, elle revient avec une énorme glace, avec du chocolat, de la chantilly et des petits parasols. Elle s'assied devant moi et mange bruyamment en m'expliquant à quel point c'est bon. Je lui arracherais bien sa glace... Tout en mangeant, elle me dit : — Il y a aussi une autre façon de te stimuler. Je prends ma sandale, je te couche sur mes genoux et je tape sur tes fesses jusqu'à ce qu'elles soient aussi rouges qu'une tomate bien mûre. Je me lève pour la gifler... ou je prends mes feuilles et je vais dans la salle de bain m'installer dans la baignoire. Là, je lis et je retiens. Dix minutes plus tard, je reviens dans la chambre. Summer a arrêté de manger et l'énorme glace est là, occupée de fondre. Je lui dis : — Je connais. — Bien... je te donne la réplique. On joue et je n'oublie rien, pas une virgule, pas un point sur un i. C'est une image. Elle me dit : — Tu peux manger ce qui reste. Je mange la glace avec un tel plaisir que j'ai presque un orgasme. Quand il ne reste plus un microgramme de glace, de chantilly ou de caramel, je lui dis : — Merci. — Pour la glace ou pour t'avoir stimulée ? — Les deux. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 03/03/22
Je suis debout, face au soumis de Maîtresse Rachelle. Les Reines de la soirée sont assises autour de nous et ont fait silence. Ennia et la soumise s'activent pour remplir les verres vides. Je ne sais pourquoi, mais cela me soulage qu'Ennia ait autre chose à faire que d'assister à mon supplice. Je me sens meurtri, ce soir. Je ne me l'explique pas. Particulièrement humilié, comme s'il restait en moi une part de mâle, fier, dominant. Une part qui refuse encore son état, sa soumission. Et cette part masculine rebute à donner du plaisir à un homme, à devenir sa femelle. Je croyais cette part effacée, à jamais. Enterrée sous le plaisir d'obéir, de servir mes Déesses, de vivre mes fantasmes aussi, aussi loin que possible. Mais ce soir, cette part se réveille et Maîtresse Caroline le perçoit. Je ne sais comment. Peut-être possède t-elle un sixième sens ou bien me connaît-elle bien mieux que je ne me connais. Ma divine Maîtresse se lève, empoigne ma cage de chasteté et me tire vers mon "amant" avant de me murmurer à l'oreille "excite moi, je veux être fière de toi ma chienne... laisse une fois de plus la femelle s'exprimer, se libérer... je sais qu'elle est en toi. Et je veux la voir se déchaîner". Ses mots ont un effet immédiat. Je me sens libéré, libre d'être ce que ma Reine désire. Une femelle amoureuse, avide de plaisir, avide de se donner, avide de se sentir un instrument de plaisir pour le mâle qui me fait face. La honte que je ressentais s'évanoui. Je sais qu'Ennia s'est agenouillée aux pieds de Maîtresse Caroline et qu'elle me regarde. Je sais qu'elle sera fière elle aussi. Je sais que me voir me donner, être prise par ce soumis va la rendre folle de désir. Et je me sens protégé derrière ma tenue de latex, ma cagoule qui me rend anonyme et m'affranchit de devoir assumer à visage découvert. Cette sensation de protection achève de briser mes barrières, mes derniers tabous. Maîtresse Rachelle se lève à son tour et vient murmurer à l'oreille de son serviteur "Baise la, c'est ta pute, ton esclave sexuelle. Amuse-toi... et amuse-nous !" Mon mâle m'attire à lui et me plaque contre son torse. Je sens sa queue, dure, contre mon ventre. Sa bouche vient à rencontre de la mienne et sa langue ouvre mes lèvres. Je lui rends son baiser, profond, et nous nous embrassons à pleine bouche. Ses mains pétrissent mes fesses, les ouvrent, un doigt vient caresser mon anneau. Je caresse son corps, comme je ne l'ai jamais encore fait avec un homme. Je lui offre ma bouche sans retenue, ma langue, je l'embrasse dans le cou, je lèche... ma bouche descend sur ses tétons et mon mâle semble apprécier ma caresse. Il m'encourage même. "hmmmm vas-y, occupe toi de me seins j'adore ça... montre moi que tu en as envie...je vais te baiser, te faire hurler ma petite pute...". Je continue ma descente, embrasse, lèche son ventre plat et musclé, sans cesser de le regarder. Je tombe à genoux et mon regard se fixe sur sa hampe. Grosse, dure... je l'avoue, j'ai envie de cette queue. Envie de lui donner du plaisir, de la sentir vibrer sous mes doigts, sous ma langue. Envie qu'elle me prenne aussi. Oui, en cet instant, je suis une femelle amoureuse, dévouée au plaisir de son mâle. Baisers le long de sa hampe, effleurements de mes lèvres sur son gland, mes doigts qui l'enserrent doucement, caressent ses couilles... j'entends mes Maîtresses commenter, sans vraiment comprendre leurs mots, je les entends applaudir et rire. Je suis ailleurs, dans un autre monde, où seul le plaisir et la jouissance de la queue qui coulisse entre mes lèvres m'importe. La jouissance de mon mâle. Celui-ci a posé une main sur ma nuque, et me presse contre lui. Il me pilonne de plus en plus fort, s'enfonçant au maximum ce qui m'arrache des hauts le coeur mais semble beaucoup faire rire mes Déesses qui l'encouragent : "Vas-y, gave le bien... baise lui la bouche plus fort... allez la chienne, avale-le...". J'ai les yeux noyés de larmes, et je ne suis plus qu'un instrument de plaisir, totalement déshumanisé. J'avais envie de prendre mon temps, de montrer mon désir de faire jouir cette queue, lui montrer ma dévotion de femelle amoureuse. J'avais juste oubliée que je suis sa femelle, sa soumise, son esclave... et que lui est mon Dominant. Et il est déterminé à me le faire sentir. Il se retire de ma bouche et me gifle "Petite pute, c'est tout ce que tu sais faire ???" Je ressens une profonde humiliation, incontrôlable. Mais je n'ai pas le temps de m'y appesantir. Lécher ses couilles, sucer, le masturber, le sentir de nouveau pilonner le fond de ma gorge... le temps n'existe plus. Il quitte ma bouche pour me forcer de nouveau à l'embrasser, pendant qu'il claque mon cul et m'ouvre avec ses doigts, sans aucun ménagement. Il me retourne et me pousse à quatre pattes avant de s'enfoncer d'un coup dans mes reins ce qui m'arrache un hurlement, aussitôt puni par une fessée musclée. Je le sens se retirer plus replonger en moi, m'ouvrir. Mes Maîtresses rythment ses coups de reins en tapant dans leurs mains. Je subis ses assauts, sans aucun plaisir. Je ne suis qu'un objet, un instrument qu'on utilise. Position différente, pénétration brutale, sa langue dans ma bouche, ses seins sous ma langue. Puis mon mâle s'allonge et m'ordonne de venir m'empaler sur sa hampe. Je me sens vulnérable à le chevaucher ainsi. D'ailleurs je le suis. Et Maîtresse Christelle ne se prive de jouer avec sa cravache sur mes reins. Je gémis de douleur à chaque coup, mais je me surprends aussi à gémir de plaisir en m'empalant sur cette queue toujours aussi dure et grosse. Maîtresse Rachelle a dû lui faire prendre du viagra pour qu'il soit aussi endurant. Je me sens observé, totalement nu malgré ma peau de latex rose. Je traverse ce moment comme une épreuve supplémentaire, presque un défi que je dois relever pour l'honneur de Maîtresse Caroline. Je veux qu'elle soit fière, et je me lâche totalement. Le rythme s'accélère, et mes gémissements, mes suppliques de plaisir redoublent. Je stimule mon amant pour qu'il me baise encore plus fort...Je ressens son plaisir qui monte, sa queue qui vibre de désir.. ses halètements me grisent. Il est prêt à jouir, je le sens. Sa Maîtresse aussi le sait. "Retire toi, je veux que tu te vides dans sa bouche, que ta petite salope puisse te déguster... nourris la ! " Je suis à genoux. Mon mâle se masturbe frénétiquement pendant que je lèche ses couilles. Râles de plaisir, langue sortie, il se vide dans ma bouche, me nourrit de son fluide, épais, abondant. Mes Maîtresses se sont levées et nous entourent. Maîtresse Caroline s'adresse à moi : "N'avale pas ! Garde le bien en bouche.... Ennia ma pute, approche ! Un nectar pareil, ça se partage ! Allez, on déguste !" J'échange un long baiser gluant avec mon amour, nous jouons avec son sperme, elle l'aspire dans sa bouche avec de le faire de nouveau couler sur ma langue puis de m'embrasser profondément. Je presse son corps contre moi. Enfin, enfin je peux de nouveau la prendre dans mes bras, caresser ses courbes, me nourrir de sa chaleur. Elle me fait tout oublier. Comme elle l'a toujours fait. Dans ses bras plus rien ne peut m'atteindre. J'y suis heureux, simplement. Nous jouons ainsi de longues minutes, puis nous nettoyons la hampe de mon mâle, toujours dressée. Sa jouissance ne l'a pas fait débander et Maîtresse Caroline a encore envie de jouer... "Puisque tu bandes encore, tu peux encore baiser. Mon autre pute aime la queue elle aussi, tu vas voir ! Et elle adore être enculée ! Vas-y, fais la souffrir un peu... ça m'excite !" "Toi viens là, j'ai envie". C'est Maîtresse Chloé qui a parlé. Elle plaque ma bouche contre son sexe et ne me donne qu'un ordre : "Avale !" Et elle se soulage dans ma bouche. Son champagne est abondant, et je manque de m'étouffer. J'avale comme je le peux, en laissant une partie s'écouler sur moi. "Tiens, moi aussi j'ai envie !" Maîtresse Christelle prend aussitôt sa place pour continuer à m'abreuver. Je n'arrive plus à avaler. Maîtresse Sophie s'est approchée et patiente jusqu'à ce que Maîtresse Christelle est fini de se soulager. "Moi aussi j'ai envie.... mais de jouir ! Ce spectacle m'a fait mouiller comme une folle ! Allonge toi le chien !" Je m'exécute et Maîtresse Sophie vient aussitôt s'asseoir sur mon visage. Elle coule littéralement et se frotte sans ménagement sur ma bouche. Je lèche, aspire, respire son parfum, goûte son divin nectar. Elle jouit rapidement, remplacée aussitôt par Maîtresse Céline. "Moi aussi je veux jouir ! Allez, on lèche bien sa Maîtresse !" La tête enserrée entre les cuisses de Maîtresse Sophie, j'entends vaguement des gémissements. Plus de douleur que de plaisir. Et des voix qui haranguent : "défonce-la, fais rougir son cul, encule-la plus fort, fais-la hurler !" Maîtresse Cécile met plus de temps à jouir. Elle a envie de faire durer le jeu du plaisir. M'ordonne de me consacrer à son anneau, avant de m'offrir à nouveau son calice délicieux, puis de m'abreuver de sa liqueur. Je sens des mains qui me redressent, et je suis à genoux. Devant mes yeux, mon amour se fait prendre, violemment. La queue du soumis enfoncée dans sa bouche, et Maîtresse Rachelle, harnachée d'un énorme god-ceinture, ouvrant ses reins au rythme de la cravache qui vient frapper le cul d'Ennia. Je vois les marques rouges qui se croisent. J'entends les cris d'Ennia, étouffés par la colonne de chair qui la bâillonne. J'entends le cri de libération, de jouissance du mâle qui se vide dans sa bouche. Et le god qui se retire de ses reins. Mon amour s'effondre au sol, ravagée. Je ne sais si c'est de douleur ou de plaisir. Mais le doute ne subsiste pas longtemps. Le sourire de bonheur qui irradie son visage et son regard qui accroche le mien répondent à mon interrogation. Je l'aime. Et ce soir, nous sommes fiancés.
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Par : le 14/01/22
Voici venu le temps de nos traditionnelles retrouvailles pour changer d’année côte à côte. Après les préparatifs puis les incontournables, quoi que raisonnables, agapes, nous passons ces premiers jours de 2022 à prendre quelques plaisirs. Pendant ma douche dominicale, je t’aperçois changer quelque chose sur le rebord du lavabo. En sortant de la cabine, je découvre un shorty noir qui m’attend, le wetlook percé de trous. Le message est assez clair : je l’enfile … Dans la chambre, c’est un collier et un corset qui m’attendent sur le lit … On dirait bien que tu as préparé le « jeu de piste » que nous avions évoqué. Malgré tout, je n’ai rien vu venir, mes sens seraient-ils au ralenti ? Ou bien anesthésiés ? … au palier intermédiaire de l’escalier, c’est une paire de bas qui a pris place sur la colonne. Pas pratique de les enfiler en faisant le pied de grue. Tant bien que mal, je parviens à les enfiler sans tomber. Mais je dois reconnaitre que la situation se révèle « stimulante » … Enfin, au pied de l’escalier, je tombe sur une tenue un peu plus « couvrante » : un sweat-shirt. Il faut atteindre le salon pour dénicher la dernière étape de ta piste : tu y as laissé à mon intention un pantalon de survêtement et des chaussettes. Vanille à l’extérieur, mais dissimulant des atours plus adaptés à ma condition de soumis. Je suis donc probablement parti pour porter cette tenue toute la journée. Pourquoi n’y a-t-il donc pas de jarretelles sur le shorty ? Les bas n’ont cessé de tomber toute la journée. Dure, dure la vie de porteur de bas ! Le soir venu, il est temps de préparer notre présentation de vœux. Dans l’absolu, je suis presque déjà prêt: il suffit de changer la paire de bas pour une plus photogénique, chausser mes talons et le tour est joué. Enfin presque ! C’était sans compter la touche spéciale que tu avais imaginée depuis plusieurs mois déjà pour ce jour particulier. Tu as imaginé agrémenter mon popotin d’une série de plumes d’autruches, de quoi réaliser la toile de fond idéale pour commencer à souhaiter tes vœux. Mon dos et mes fesses reçoivent donc tes écrits. Mais ceci n’était qu’une première version. Une fois n’est pas coutume, tu décides de recommencer avec une légère adaptation, après avoir toi-même effacer tes traces. Pour la deuxième tenue, tu me fais changer de shorty. Cette fois, tu me demandes de mettre celui qui laisse visible mon postérieur, et d’enfiler la cagoule en cuir. Tu peux alors recommencer mon plumage, bien évidemment tout autour de mon arrière-train mais aussi quelques plumes dans ma bouche. Il ne te reste qu’à écrire sur ta nouvelle toile pour une seconde salve de vœux. A nouveau tu te charges de me laver les fesses : il ne faudrait pas que j’en prenne l’habitude. Une fois « propre », tu me fais étendre sur le drap en vinyle pour terminer avec une des toutes dernières cordelettes que tu as dénichées. Ces brins rouges à liseré noir viennent rehausser à merveille mes jambes parées de bas noirs. Simple mais diablement efficace. Le lendemain soir, il est temps de passer aux choses plus sérieuses, ou pour l’exprimer plus précisément, aux choses plus marquantes, plus impactantes. Après un dimanche plutôt couvert, assez éloigné des standards que tu m’imposes habituellement, ce lundi soir me voit simplement paré du collier, de la cagoule et des bracelets aux poignets et chevilles. Difficile de faire plus minimaliste. Un peu plus et je pourrais avoir froid … Si tu as opté pour si peu, c’est peut être parce que tu as prévu d’essayer les sangles que tu avais acquises il y a quelques semaines déjà. Tu commences par les chevilles que tu souhaites relier aux pieds du lit. Je crois que tu avais légèrement surestimé mes capacités de grand écart, ma souplesse légendaire n’est pas totalement d’accord avec tes attentes. Malgré tout, moyennant quelques adaptations, tu parviens à tes fins. Tout comme tu réussis beaucoup plus aisément à mettre en place de nouvelles sangles au niveau des cuisses, grâce auxquelles tu viens immobiliser les poignets. Je me trouve soudainement plus restreint malgré les apparences. Surtout, je ne risque ni de m’échapper, ni de tenter de me protéger ; au mieux, je pourrais éventuellement me plier dans une vaine tentative d’échapper à un impact. Le simple fait de penser à ma situation a tendance à faire monter l’excitation que la suite va petit à petit faire retomber ;-) Quand au risque de prendre froid, tu as déjà pensé à ta façon comment m’en préserver … A priori tu commences doucement avec la mini tapette souple, autant elle n’a presque pas d’effet sur mon postérieur, autant elle se révèle stimulante sur la poitrine histoire de faire monter la tension, et que dire au niveau de mon intimité où sa taille réduite lui permet de s’immiscer sans contrainte pour me tirer les premiers couinements. Si ce n’était pas elle, c’est assurément une cravache que je subis juste après : l’insistance sous et sur mon intimité, mélange de frôlements et d’impacts, me rappelle quelque chose de connu. Et les morsures qui suivent au niveau de mes globes fessiers ne laissent plus le moindre doute. Après quelques années de faible utilisation, tu as trouvé un regain d’intérêt certain pour ce grand classique ! En guise d’interlude, tu gratifies tout mon dos et mes épaules d’une petite séance de griffes : premiers frissons de satisfaction. Même en 2022, je reste encore et toujours réceptif à ce traitement. Je ne suis pas près de me défaire de cette plaisante addiction. Trop de douceur serait une faute de goût … C’est donc la lourde tapette à clous que je crois reconnaitre à la fois sur mes épaules et sur mes fesses, et encore je pense que tu ne l’appliques que du côté lisse … Néanmoins la température est désormais à un niveau raisonnable. J’ai la sensation que mon postérieur commence à chauffer. Le martinet clair vient se joindre à la danse ciblant plus particulièrement la partie supérieure de mon dos. Si ses lanières sont individuellement assez peu mordantes, réunies, elles infligent un caractéristique impact lourd à souhait, de quoi bien stimuler les chairs réceptrices. Je dois probablement être prêt pour les suites plus mordantes encore. Du moins c’est la déduction que je fais en reconnaissant la morsure de ta langue de dragon qui vient à plusieurs reprises claquer au creux de mon dos, de quoi me faire creuser l’échine quand bien même cela n’apaise en rien l’impact. En revanche, les verticales rouges commencent à s’aligner derrière moi. Pour des traces plus horizontales, et plus enveloppantes, tu termines avec un des fouets … qui s’égare parfois sur mon ventre … ouch. Mais dans l’immense majorité des cas, il atteint a priori sa cible. Après ces tourments accessoirisés, tu t’attardes longuement sur mon intimité que tu taquines d’abord avec la cravache vite remplacée par tes mains. Tu ne résistes pas à mes réactions dès que cette zone qui m’est si chère est approchée. D’ailleurs, tu insistes lourdement en attaquant directement et longuement à coups de griffes. Je ne peux que gigoter, gémir, rire, … Comment puis je rester insensible à un tel assaut de tes serres. On dirait une rapace qui s’attaque à sa proie. J’ai l’impression que tu ne vas pas cesser et y passer toute la nuit. Par moment, je me demande même si tu ne serais pas en train d’essayer d’arracher tout ça. Mais quelle furie tu es ce soir ! Accessoirement, tous ces traitements et les effets qu’ils produisent sur moi finissent par me faire glisser : j’ai de plus en plus le sentiment de m’étirer dangereusement. Nous n’avions pas songé à prévoir des cales. Tu m’aides à plusieurs reprises à reprendre un écartement acceptable et supportable avant de reprendre ton œuvre. Tu termines avec une fessée à mains nues de quelques minutes avant de me libérer de ma contrainte. Cela fait du bien de reprendre une position plus naturelle. Avant que mon séjour se termine, nous terminons par une touche bien plus contraignante pour toi que moi. Car finalement, une fois paré, je suis confortablement étendu sur le lit tandis que tu ne comptes pas ton temps à compléter les tableaux du soir. La combinaison est ressortie du placard où elle était enfermée depuis un bon moment. Je reconnais qu’elle restreint grandement les accès. Par-dessus, tu me fais enfiler le corset, a priori pour mieux souligner mon buste. Tant que j’arrive encore à me mouvoir, tu me fais installer sur le drap violet pour mettre en place les derniers éléments de ma parure, en l’occurrence les cuissardes. Sans ton aide, j’aurais difficilement pu les mettre et lacer correctement. Il ne te reste qu’à me fixer le gros collier histoire de bien marquer le côté contraignant de ma situation nocturne. On dirait bien que tout cela ne laisse déjà pas insensible, ce qui va devenir « perturbant » par la suite. J’allais presque oublier la cagoule en cuir qui est venu finir de recouvrir les dernières parcelles de peau encore à l’air libre. Tiens, il semblerait que quelque chose manquait : je sens que tu viens rajouter un bâillon par-dessus. Par élimination, cela doit sûrement être le rose en forme d’os. Désormais, je crois que tu as fini les préparatifs. Tu me demandes de bien écarter jambes et bras, en croix, histoire de pouvoir fixer chacun de mes membres à un pied du lit. Désormais, je ne fais plus qu’un avec lui. Elle est pas belle la vie de nounours de Maitresse Samantha ? Même elle n’abuse de la situation, respectueuse encore et toujours. Une fois libéré de la cagoule et du corset, non sans difficulté pour ce dernier, tu entreprends de te lancer dans un dernier exercice de cordes sur fond noir. Je sens bien que tu galères à me ficeler allongé. Mais fidèle à tes principes, tu tiens à finir ce que tu as commencé, quitte à adapter partiellement ton idée d’origine. C’est là que je ne t’aide pas, la combi ne canalisant pas vraiment mes tensions naturelles, il faut intervenir pour caser la « marchandise » au bon endroit parmi tes liens …La touche finale se révèle une étoffe rouge en guise de masque, tout juste sortie de ton tiroir de sous-vêtements ….
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Par : le 07/01/22
A défaut de pratiquer à nouveau et d'être en attente, voici ce qui m'est arrivé lors d'une soirée. Surement banal mais vécu intensément. Je suis aussi somme toute banal, agréable, début cinquantaine, comportement toujours correct. Jai des relations "vanilles" avec les femmes, bon amant, et parfois des fessées données et des exib imposées, car j aime dominer dans les ébats si la partenaire est demandeuse. Donc j arrive à une soirée, qui se dit libertine sans définir de limite ni de thèmes. Je connais l'hôte et la propriété est grande. De la musique, des femmes superbes, souriantes et accessibles, le tout dans la bonne humeur, une trentaine de personnes, une dizaines d hommes. Des couples s'embrassent, des femmes entres elles, quelques hommes aussi et du cuir dans une partie de la pièce principale. Je flâne dans cette partie et là je vois une femme plus jeune que moi, assise sur un fauteuil, en cuissarde, cravache à la ceinture, elle me regarde et me sourit. Je suis attiré comme un aimant. C est la première fois que j ai une érection à la simple vue d'une personne et j approche en sentant mes mains devenir moite. Je suis debout près d'elle, elle me regarde puis jette son regard sur ses pieds et me regarde à nouveau sans le sourire. J ai toujours été excité à l idée de ponctuellement me soumettre sans avoir osé passé à l acte. Je ne me sent plus maitre de moi et me jette à ces pieds, le sexe plus dur que jamais et mon palpitant qui bat des records. Une sensation nouvelle. Elle m ignore puis met sa main sur ma tête, s'approche de mon oreille et me dit "novice?". Je dit oui. Elle me dit qu'elle adore les novices, qu'elle est soft, dominante, humiliante, sexuelle et prend son pied à dresser les débutants. Elle m attire dans un coin plus intime en m amenant par les cheveux mais sans me faire mal, cela devant l assemblée qui regarde, et seule son amie qui était à coté d'elle nous suit. Je dois marcher à quatre pattes autour d'elle . Puis, elle me plaque contre le mur, me demande de me mettre nu et de cambrer mes fesses. Je reçois une fessée magistrale, je suis en érection nu face au mur et son amie s'est assise et à rapprocher la chaise près de moi. Puis elle me retourne et me cravache légèrement sur le corps et le sexe. Elle me retourne à nouveau, mets ses gants me masturbe. je sent que son amie mets du lubrifiant sur mon anus, elle aussi gantée. Elle me pénètre avec un, puis deux, puis trois doigts. Je n aurai jamais pensé aimé cela. Je vais imploser,exploser de désir. Je suis bien dilaté. Ma soumission dure depuis plus d'une heure, j'en suis sûr. Elle me retourne. Je dois me mettre à genou et lécher les pieds de son amie qui rit. Un jeune homme de leur connaissance arrive. Il embrasse son amie. Elle lui ôte son pantalon et son slip. Je ne suis pas Bi et n ai jamais eu ce genre de situation et je me demande inquiet mais excité ce qui va m arriver. Elle me relève et me branle, puis me demande de branler le jeune homme qui embrasse et caresse toujours son amie. C est la première fois que je touche une queue, je suis conquis par cette maitresse, douce, sensuelle mais perverse et autoritaire dominatrice. Je branle le jeune homme et je sent un sexe chaud entre mes mains. 10 minutes de râles, de cris étouffés, puis elle dit" laissez nous" et je me retrouve seul avec elle. Elle me gifle, me pince les tétons, se doigte et enfonce durement ses mains souillées et mouillées dans ma bouche. Elle me dit " j ai aimé, tu te branlera à l idée que j aurai pu te faire sucer la queue que tu as branlé, j aurai pu te travailler au god ceinture aussi". Elle me tire la tête en arrière par les cheveux et me gifle à plusieurs reprises, puis m emballe en m'écrasant le sexe. Elle me dit pour finir," tu repart nu avec tes habits à la main et te rhabille dehors". Ce que je fis, toujours en érection. Voilà, il était tard, plutôt tôt dans la matinée et je prenais mon service professionnel tôt. Je suis directement allé au travail, me suis branler dans la douche de service, douché puis pris mon service. La soumission n est pas un mode de vie pour moi, mais ponctuellement j ai pris un plaisir jamais égalé à ce jour, j ai branlé un mec, incroyable, et j attend comme jamais, de rencontrer à nouveau une femme aimant dominer pour revivre, poursuivre et découvrir. Je me suis branlé chaque soir pendant deux semaines revivant les scènes. De récrire mon aventure m' a excité, j'espère que vous prendrez plaisir à lire. Bien à vous.
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Par : le 03/01/22
Ma Maîtresse m’a fait un grand honneur. Elle me convoque à Ses Pieds pour ce réveillon façon Munch and Play. Elle m’annonce également un cadeau ; la pression monte d’un cran ! La place que m’accorde Ma Maîtresse est déjà un cadeau que j’apprécie à sa juste valeur alors qu’a-t-Elle pu imaginer de plus ? Le timing de Maîtresse est parfait. Elle me fait composer le code de la porte à pile 20 heures. Elle entre parfaitement à l’aise avec nos hôtes et les convives déjà présents. Il faut dire que la plupart sont les habitués des Munchs de l’année et que c’est un plaisir de se retrouver. C’est là que Ma Maîtresse m’annonce mon cadeau avec un grand sourire : "Rnby, pour ce dernier jour de l’année, je t’autorise à manger à table avec tous le monde" Pas de gamelle, de regards baissés, d’interdiction de parler, rien de ma condition de soumis …. Waouh, c’est un vrai cadeau ! Malgré ma petite liberté, je réussis à enchaîner les erreurs qui ont le don d’excéder Ma Maîtresse. J’ai un peu progressé, compris ma place et pourtant, je gaffe toujours beaucoup trop. Ma liberté du jour devrait me rassurer mais je suis complètement déstabilisé. Je met un temps fou à profiter du beau buffet préparé par nos hôtes. Assez parlé de mes états d’âme qui ne sont qu’accessoires. L’ambiance est détendue tout le long de cette première partie et les rires vont bon train. Pas de jugement, que du partage sans arrière pensée. Chaque convive apporte sa pierre à l’édifice de la convivialité. Il faut dire que c’est la première fois que je suis à hauteur des participants. Merci Maîtresse, par Votre bienveillance, de me faire participer à ces moments festifs. Je reste attentif aux besoins de Ma Maîtresse et je suis heureux de pouvoir lui donner satisfaction. La nuit s’avance et V-----, soumise enthousiaste, ne manque pas de chauffer l’ambiance par sa spontanéité. Aucun tabou et son sourire communicatif lance la soirée «jeux». Le temps s’accélère seulement interrompu par les cris, les jouissances… Il y aura des fessées, des cordes, des badines, des fouets, des aiguilles, des marques dans des scènes toutes plus passionnantes les unes que les autres. Ma Maîtresse a une présence toujours aussi impressionnante. Je redeviens son assistant l’espace de quelques jeux avant qu’Elle me rappelle à Ses Pieds pour la satisfaire. Elle prend une badine et me demande d’en choisir une autre ainsi que la zone du corps à fouetter. Elle choisira la sienne. Je dois présenter tour à tour la partie de mon corps qu’Elle me dicte pour recevoir les badines. C’est de plus en plus fort de plus en plus rapide. J’avais déjà repoussé mes limites à ce qui me paraissait être un butoir infranchissable mais Ma Maîtresse me pousse encore plus loin. Son Sadisme assumé la pousse à aller chercher Sa jouissance sur mon corps, au plus profond de mon âme. Rien ne saurait l’arrêter sur ce chemin et surtout pas mes peu convaincants «Pitié Maîtresse» qui se perdent sous les claquements des badines. Ses ordres font passer la douleur au second plan. Priorité au plaisir de Ma Maîtresse. L’environnement m’échappe, je suis exclusivement la chose de Ma Maîtresse. J’aime ressentir Son plaisir, Ses vibrations. Au bout du bout, Elle me console, des larmes ont mouillées mes yeux, Elle me fait rire et je quitte à regret son emprise. Cet épisode m’a fortement marqué aussi bien sur la peau que dans ma tête; Je suis Sa marionnette et je n’ai qu’un but, suivre Ses fils imaginaires qui me dirigent. Je ne suis plus moi, seulement Le prolongement de Ma Maîtresse. Le don de moi est largement dépassé. Elle est venue tout simplement prendre ce qui lui appartient. Il y aura encore beaucoup de moments intenses qui laisseront de beaux souvenirs dans toutes les têtes. La nuit s’est écoulée hors du temps et nous fêtons la nouvelle année au dessert. Je prépare deux assiettes des délicieux gâteaux de S----- que j’apporte à Ma Maîtresse. Nous sommes le premier jour de l’année et Son Sourire me ramène à ma place. C’est à terre, mes mains sous Ses Pieds, que je lape le dessert. Je retrouve cette place avec soulagement, indescriptible bonheur qui s’amplifie quand Ma Maîtresse me gratifie de Ses restes. J’ai apprécié Son cadeau car j’ai pu plus facilement échanger avec tout le monde. Et pourtant je reviens à la place que m’accorde généreusement Ma Maîtresse comme le plongeur en apnée qui viens reprendre sa respiration après une longue plongée. Je revis ! Ma Maîtresse décide de terminer ce beau réveillon. Saluer les invités m’est de nouveau interdit, C’est Ma Maîtresse qui s’en charge. V----- a quand même profité d’un moment d’inattention de Ma Maîtresse pour contourner l’interdiction dans un grand sourire ! Chut, surtout ne le répétez pas, hi, hi. La parenthèse est bien refermée. Je fini la soirée par une belle bêtise en regagnant la voiture. J’ai tellement honte que je vais la garder en moi pour qu’elle soit l’ortie qui viennent me rappeler mes obligations vis à vis de Ma Merveilleuse Maîtresse.
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Par : le 27/12/21
La Checklist BDSM est un outil d’expression pour connaître les possibilités du dominé Accessoire indispensable au Maitre ou à la Domina, la Checklist BDSM est un outil de travail à mettre en place dans toutes relations sexuelles SM et BDSM. Elle permet de se connaître mutuellement et de jouer en respectant les envies, les désirs et les limites de chacun. Chaque protagoniste a des fantasmes et des possibilités qui lui sont propres. Il a également des devoirs et obligations afin que la relation D/s soit aussi enivrante qu’enrichissante. Plus qu’une lecture coquine, cette check list est le recueil des envies et possibilités de l’esclave. C’est le seul moyen connu pour laisser libre expression à la soumise ou au soumis en ce qui concerne ses goûts et dégoûts pour toutes les activités sexuelles qui peuvent entrer dans une relation Dominant /soumis. Aussi indispensable que le contrat BDSM, cette liste non exhaustive est mise en place simultannément au modèle de contrat BDSM afin d’asseoir toutes les pratiques pouvant être effectuées avec la personne dominée. En cas de pluralité d’esclave, chacun a la sienne qui lui reste propre. La future partenaire s‘oblige à remplir le plus honnêtement possible chacune des colonnes en gardant l’esprit libre de ses réponses. Le Maitre n’est pas autorisé à juger, il prend simplement note des indications pour concrétiser les jeux érotiques en fonction de celles-ci. Parfaite pour mettre à nu les sentiments profonds vis-à-vis de certaines pratiques SM et sexuelles, le partenaire répond au questionnaire avec franchise et rigueur en ayant pleine conscience de ce qui lui est demandé. Checklist BDSM, un accessoire intime évolutif et ludique Essentielle, la Checklist BDSM reste un pilier majeur de la relation erotique liant la Maitresse et son esclave. Souvent, le Dominant remplit lui aussi le même document pour dévoiler ses envies et attentes, mais certaines soumises attestent que cela enlève parfois un peu de piment et de mystère à la relation. Associée à un univers sexuel empli de confiance, elle n’a de reste d’être en constante évolution avec l’âge, les mœurs et la pratique. Bien entendu, une fois remplie, la checklist BDSM ne doit pas être prise comme une liste de pratiques à faire immédiatement, les unes après les autres. Elle ponctue plutôt le chemin de l'évolution de la personne dominée. Une soumise peut toujours, avec l’accord de son Dom, ajouter ou exclure des agissements contenus dans la liste initialement mise en place. Celle-ci n'est jamais figée ou statique mais évolutive pour le plaisir des partenaires. La Checklist BDSM doit être mise à l’étude pendant des moments de repos où l’élève prend son temps pour répondre et analyser. Une fois terminée, elle est relue autant que nécessaire pour s’assurer de ses choix et apporter les corrections voulues. Une fois dans les mains du Dominant, elle lui ouvre cérébralement toutes les portes du désir pour mettre en place lors de séances ou de jeux extrêmes propices à la satisfaction de la soumise. La Checklist BDSM est le lien direct entre la soumise et son Maitre La Checklist BDSM se doit d’être simple et compréhensible de tous. Si un doute survient, le soumis doit demander conseil à sa Maitresse. La check est bien entendu rédigée dans la langue de l’esclave. Elle est le lien direct entre les participants et sa présence rassure afin que les pratiques choisies par le Dom soient en adéquation avec le plaisir du dominé. Un document unique et personnel qui vous suit dans toute votre sexualité BDSM. Une façon de se dévoiler qui à prendre au sérieux et qu’il faut éditer avec attention. Le Maître et la Maîtresse sont guidés par cette liste dans toute approche, démarche et choix BDSM. Pour vous aider dans votre démarche notre magasin, vous propose une checklist BDSM et son mode d'emploi. Il va de soi que chacun doit l'adapter en fonction du contexte. Pour un BDSM soft certains paragraphes sont à supprimer. Pour des jeux plus extrêmes, chaque ligne à son importance. L'usage et toute utilisation de cette checklist BDSM gratuite ne saurait en aucun cas relever de la responsabilité du sexshop ilxelle. Elle s'adresse à des personnes majeures, responsables et consentantes qui peuvent l'utiliser en usage privé. Checklist BDSM mode d’emploi Pour remplir votre check-list, notre sexshop BDSM vous conseille d’apporter les annotations nécessaires à chaque colonne. 1. Dans la première colonne, se trouve la mention "Essayé". Vous annotez : • O comme Oui si vous avez déjà essayé • N comme Non si vous n’avez jamais essayé • SO comme Sans Objet si vous estimez ne pas être concerné. 2. La seconde colonne de la Checklist BDSM est une ressource pour connaître votre degré d’envie. Une notation de 0 à 5 permet à votre Maitre ou Domina de vous situer dans votre désir. Vous annotez : • 0 - vous n’en avez pas envie • 1 - la pratique vous indiffère • 2 – vous avez une envie faible • 3 – vous aimez • 4- vous aimez beaucoup • 5 – vous ne pouvez vous en passer 3. La troisième colonne est un indicateur de difficultés. La graduation de 0 à 5 permet à la Maitresse ou au Maître de connaître votre réticence à effectuer une pratique sexuelle. Vous annotez pour cette colonne : • 0 – trop difficile. Impossibilité pour l’instant. A revoir ultérieurement avec plus de pratique ou jamais. • 1 – très difficile mais faisable avec progression, pas d’un seul coup • 2 – difficile mais réalisable • 3 – assez facile • 4 – facile • 5 – ne pose aucun problème Prévoyez un long moment de tranquilité avant de commencer et bonne analyse de vos désirs ! ;) Exemple de checlist BDSM Essayé Envie Difficulté Observations Abrasion de la peau Adoration de la chatte Adoration des bottes Adoration des mains Adoration des pieds Adoration des talons hauts Adoration du pénis Agacement sexuel ou teasing Anuslingus Asphyxie Attache bras dans le dos levés Attache debout bras écartés Attache debout bras levés Attache sur tréteau Baguette ou badine Bâillon Bâillon avec tape bondage Bâillon Ball Gag ou harnais Bâillon en tissus (linge ou sous vetement) Bandeau sur les yeux Barre d'écartement Bestialité Bondage avec barre Bondage avec cordes Bondage avec sangles Bondage difficile Bondage léger Bondage Shibari Bondage sur longue période Boule Quiès Brosse à cheveux Brûlure au fer rouge Cage Cage de chasteté Cagoule Camisole de force Canne rigide Canne souple Carcan stocks Ceinture de chasteté Chaîne Changement de nom Chatouilles Chiot humain Cire chaude Claques au visage Claques aux seins Collier en cercle privé Collier porté en public Contrôle orgasmique Correction douce Correction dure Corset Corvée domestique Cravache Crochet anal Dilatation Domestique ou bonniche Dormir attaché Échangisme Égratignures Electrosexe Emprisonnement Enfantilisme Épilation à la cire Épilation complète Épingle à linge Etirement des testicules ou ball stretching Étouffement Étranglement Examens medicaux Exercice physique forcé et obligé Exhibitionnisme Exhibitionnisme avec des amis Fantasme de viol Fantasme de viol par un groupe Féminisation forcée Fessée Fessée avec accessoires Fessée avec martinet Fessée sur les genoux Fétichisme Fisting Fouet à lanière Fouet de dressage Fouet single tail Fouettage de la chatte Fouettage des seins Fouetter le corps entier Fouetter le dos Fouetter le penis Fouetter le ventre Fouetter les cuisses Fouetter les fesses Fouetter les mollets Gifle Glaçon Gode ceinture Harems servitude avec d'autres soumises Harnais cuir Harnais d'orgasme forcé Harnais en corde Hommage avec la langue Homosexualité forcée Huiles érotiques Humiliation Humiliation en privé Humiliation en public Humiliation verbale Injection Interrogatoire Jeu de groupe Jeu de rôle Jeu d'urine Kidnapping Lavement anal Ligotage des seins Ligotage japonais Ligotage léger Ligotage par Sarah wrap Lutte Marquage au fer rouge Massage Masturbation avec les seins Masturbation forcée Menottes cuir Menottes en sangle Menottes métal Menottes pour pouces Mise au coin Mise aux enchères Model pour photo érotique Mors de cheval Morsure Nudité forcée Nudité partielle ou complète imposée Obéir aux ordres Orgie Pénétration double Pénétration triple Perçage temporaire Piercing Pilori Pinces à linge sur le corps Pinces aux seins Plug anal Poids pour seins Pose de cathéters Position à genou Privation de sommeil Privation sensorielle Privation sexuelle Prostitution fantaisiste ou réelle Rasage Restriction de parole Restriction des contacts visuels Rites d'initiations Scarification Scatophilie Scène de prison Scène extérieure Scène filmée Scène médicale Scène religieuse Se faire battre doucement Se faire battre durement Se faire battre par une canne Se faire choisir la nourriture Se faire choisir les vêtements Se faire donner à une autre personne dominante Se faire donner la morale Se faire imposer de la nourriture Se faire imposer des vêtements/sous-vêtements Se faire mordre Se faire servir sexuellement Se faire vendre à une autre personne dominante Sermon, leçon en cas de mauvaise conduite Servir comme mobilier, pièce d'art Servir comme toilette Servir comme un poney servir oralement Servitude forcée Servitude imposée Sexe anal Sexe génital Sexe par téléphone Spéculum Strapping Suspension Suspension bras attachés derrière Suspension en position debout Tatouage Tenue en laisse en cercle restreint Tenue en laisse en privé Tirer les cheveux Tirer ou tordre les parties génitales Tirer ou tordre les tétons Uniforme Vêtement de latex Vêtement de lycra Vêtement érotique Vêtements osés en cercle restreint Vêtements osés en privé Voyeurisme
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Par : le 23/11/21
Nous avons attendu que les vacances scolaires passent pour nous retrouver quelques jours à une période de l’année où l’arrivée du froid incite à rester dedans, voire même d’inventer d’originales manières de se réchauffer, ou du moins des peu banales méthodes pour le commun des mortels. Oui mais voilà, nous ne sommes pas ainsi… En ce mercredi soir, tu décides de commencer en douceur avec des cordes. Aujourd’hui ce sera les rouges et seulement elles. Du coup, je troque mon collier personnalisé pour le petit et simple rouge, bien mieux coordonné. Tu te lances dans une sorte de harnais de bras dans le dos, délicatement organisé autour d’un axe central « tressé » le long de ma colonne vertébrale. Tu réussis un savant équilibre entre esthétisme et contrainte modérée. Bien sûr, le résultat s’est un peu éloigné de l’inspiration de départ. Mais après tout, c’est ta touche personnelle qui ressort ainsi. Après cette prise en main tout en douceur, tu me débarrasses des nœuds et liens pour la suite. Les nouveaux bracelets de poignets et de chevilles constituent ma nouvelle parure, finalisée par la cagoule épaisse en cuir. Tu termines tes préparatifs en me fourrant le bâillon gode dans la bouche. Bien que la cagoule ne s’y prête pas trop, tu arrives à tes fins et le boucle derrière ma tête. Tout ceci pourrait laisser présager la visite prochaine de lanières et une cagoule humide à la fin. En attendant, tu me fais prendre position à quatre pattes sur le lit recouvert de notre désormais traditionnel drap violet en vinyle, le croupion tendu vers toi. Une fois n’est pas coutume, tu ne t’arrêtes pas là. Les bracelets n’étaient pas là que pour la décoration. Tu me tires la main droite vers le pied du lit le plus proche. Une corde va assurer que je ne puisse plus trop la bouger. La main gauche subit le même traitement : je ne risque pas de beaucoup me déplacer ainsi arrimé au lit. En revanche, il faut que je trouve une position pour ma tête qui me permette de respirer sans mal, sans me noyer dans une salive qui s’annonce abondante avec ce bâillon aux conséquences si perverses. J’ai dû oublier de cocher la case « confort » avant de monter. J’entends que tu « bricoles » dans mon dos. A quoi m’attendre ? Mystère ! Je sens bien que tu viens insérer quelque chose dans mon fondement. Mais impossible de dire quoi. Je ne reconnais rien de connu. Un « ne bouge plus » accompagné du crissement caractéristique d’un briquet me fournit un indice. Tu dois être en train de m’allumer ;-) ….à ta façon … C’est ce qu’on appelle avoir le feu au cul …. mais l’allumage n’est que fugace. Il ne faudrait pas non plus enflammer son jouet. En revanche, tu ne tardes pas à la rallumer histoire de consteller mon dos d’une modeste mais néanmoins remarquable constellation dite du nounours. J’ai beau connaitre cette sensation, les impacts me picotent et m’arrachent de petits couinements, au moins au début, avant que je ne profite à fond. De la profondeur, voilà que tu en reprends, et sans prendre de gants … une fois n’est pas coutume. Tu tentes une introduction sans douceur. Malgré la présence du préservatif et d’une dose de lubrifiant, ce manche de martinet peine à pénétrer. Il faut dire qu’il est plus gros que ton habituel gode. La première boule m’arrache un cri, la deuxième aussi d’ailleurs. Je ne te connaissais pas brutale. J’ai l’impression d’avoir le fondement en feu. A posteriori, je découvre que cela me fait néanmoins une amusante queue de cheval ! La douleur initiale baisse très légèrement, mais pas suffisamment avant que tu ne retires rapidement l’intrus. Néanmoins, j’ai pendant plusieurs minutes la sensation de toujours être possédé par cet envahisseur. C’est troublant comme sensation quoi que temporaire. Tandis que celle-ci se dissipe lentement, ce sont deux pincements sur les couilles qui mobilisent mes sens. Je suppose que cela doit être l’effet de ta toute dernière acquisition. Bizarrement, je ne les trouve pas aussi douloureuses que ce que tes propos avaient pu me laisser imaginer. Méfiance quand même … Affaire à suivre. Le contact qui vient claquer à de multiples reprises sur mon dos, mes épaules, mes flancs, et mes fesses ne peut être que l’œuvre de ta nouvelle langue de dragon à tige courte. Tu sembles t’éclater avec. Et, si j’en crois tes marmonnements de satisfaction, tu dois même être en train de laisser des marques. Et après, on va encore dire que je ne marque pas. Comme quoi, cela tient plutôt de la légende urbaine. Comme nous semblons tous deux en phase, tu fais durer le plaisir. Je crois que cette nouvelle acquisition est validée par les faits ;-) Pratique, efficace … sauf pour faire sauter la cire. Elle s’accroche sur mon dos malgré les multiples allées et venues de ta langue de feu. Tu me laisses perplexe avec tes derniers impacts. Je peux simplement dire que cela claque fort sur mes fesses sans pouvoir dire quoi. Mais là encore, je perçois ta satisfaction, comme si tu avais de nouveau réussi à laisser ta marque. Deux fois dans la même heure, ce serait une grande première. Et a posteriori, je découvre que c’était bien le cas. Et tout ça naturellement, sans substance « illicite » ! Pour la petite histoire, la photo des marques me révèlent la coupable : une bien traditionnelle cravache. La soirée se termine avec une douce séance de griffes qui me font toujours autant d’effet. Mais avant de conclure, tu souhaites faire un essai de tes nouvelles pinces sur mes têtons. Comme tu l’avais identifié, l’une d’elles est particulièrement transperçante à cet endroit-là. L’autre doit être supportable un poil plus longtemps ;-) Le lendemain matin, j’avais comme consigne de revêtir ma dernière parure, un ensemble boxer et bas en wetlook, tout de noir vêtu. Et rien d’autre bien évidemment si ce n’est mon collier. Visiblement, ma nouvelle tenue semble te plaire. Surprise quand je débarque dans la cuisine, la pièce a légèrement été réaménagée. Deux chaises sont ficelées dos à dos au milieu de la pièce. Sans aucun doute, elles sont là pour moi. Tu me demandes de m’agenouiller sur la première tout en prenant appui avec mes coudes sur la seconde, le ventre reposant sur les deux dossiers. Au cas où l’envie me prendrait de fuir mon trône d’un jour, tu viens nouer le bas de mes cuisses au dossier. De la même manière, mes poignets se retrouvent noués. J’ai un peu l’impression d’être sur un prie-Dieu revisité par tes soins ! Ma tenue, bien que réduite, semble néanmoins ne pas être totalement adaptée pour la suite. Je suppose que l’accès à mon fessier est incontournable vu que tu descends le boxer sur mes cuisses. Cela se confirme quand une des baguettes naturelles vient flageller à plusieurs reprises mon postérieur. Finalement, ce n’est pas si mal cette position, limite confortable, selon les standards qu’on retient ;-) Je me demande si cette mise en bouche avait pour but de m’ouvrir l’appétit. Si c’est le cas, je risque d’en redemander ;-) L’après-midi je reprends ponctuellement la main pour t’immortaliser dans cette délicieuse tenue qui te va de mieux en mieux à chaque mois qui passe. Le chapeau noir dissimule subtilement ton regard, mais celui-ci parvient si nécessaire à bien accrocher l’objectif, et moi avec, par conséquence. Le corset noir, souligné de dentelle met avantageusement en valeur ta poitrine. Des longs gants noirs viennent souligner un standing certain. Vient ensuite cette magnifique jupe noire, si longue qu’elle dissimule tout autant qu’elle révèle tandis que tu te déplaces. En particulier, elle me laisse apercevoir de temps en temps de bien alléchantes plateformes rouges sang qui apporte la touche de couleur indispensable pour compléter ta tenue de parade. Ta canne à pommeau rappelle ton côté autoritaire et majestueux. Le photographe que je suis devenu pendant quelques minutes ne peut pas rester insensible : je prends un plaisir certain à te « mitrailler » sans idée préconçue. Je mesure la chance que j’ai d’avoir un modèle comme toi. En ce vendredi soir, après ta longue journée de travail, je ne m’attendais pas à passer à la casserole une dernière fois avant de repartir pour quelques semaines. C’est une bien agréable surprise quand tu m’invites à te suivre jusqu’à l’étage. Après quelques préparatifs pour tout avoir sous la main dans le feu de l’action, tu m’invites à te rejoindre non sans m’avoir fait mettre les bracelets de cheville. Hop, à quatre pattes sur le lit, toujours paré de violet. La première épreuve consiste à mettre en place le humbler. On a beau avoir identifié un semblant de méthode, cela reste tout sauf facile. Malgré tout, tu parviens à me le mettre en place. Désormais mes mouvements sont plutôt restreints. Je ne risque pas de quitter la position du pénitent. Je perçois un serrement certain au niveau de mon intimité. Suis-je bête, c’est un des buts recherchés ! Ce soir, tu as enfilé des gants pour apporter un peu de douceur à ce qui suit. Je sens un liquide frais couler entre mes fesses, un puis deux doigts s’évertuent à préparer mon fondement, de l’assouplir un minimum. Merci pour cette attention. Malgré tout, l’envahisseur d’avant-hier reste toujours aussi envahissant ce soir. Mais j’ai l’impression de moins gémir sous la pression de la première puis de la deuxième boule. Cette nouvelle douleur me fait oublier la pression du humbler, non pas qu’il ne soit plus là, mais son étreinte se fait moins mordante. Puis c’est le manche du martinet qui, petit à petit, se fait accepter. J’ai juste un manche planté dans le cul. Quoi de plus normal ? Me voici de nouveau avec cette apparence quasi chevaline. Ainsi équipé, je devine à certains contacts fugaces, ou certains cliquetis que tu es en train de mettre en scène une nouvelle aventure de mininours à mes dépens, ou plutôt avec moi comme toile de fond contrainte. J’ai l’impression que cette boule de poils prend son temps, histoire de faire durer mes tourments. Jusqu’à ce que je sente la mine d’un feutre sur le bas de mon dos. C’est vrai que tu avais une idée en tête. Une fois encore, je sers volontiers d’écriteau. Certes dans ma situation, je n’avais pas grande latitude pour m’y opposer, des fois que l’envie me serait venue par un improbable mystère. Une fois ton œuvre terminée, voilà que tu m’administres une dernière fessée avec la main de cuir. Astucieuse façon de détourner mon attention pendant que tu me libères de mon gode improvisé. Etonnamment, cette fois, je n’ai pas l’impression de l’avoir encore en moi une fois libéré. J’ai dû finir par m’y habituer avec le temps qu’a duré ta distraction peluchée ;-)
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Par : le 03/11/21
Que faire lorsqu'on est loin de l'objet de son désir ? Comment pratiquer une relation D/s à distance ? Dans cet article, je vais répondre à quelques questions que vous vous posez certainement. Je vais commencer par analyser les besoins de chacun et comment y répondre au mieux. Et oui, dans une relation D/s chacun a un rôle à jouer. Accepter ce rôle, c'est s'engager dans une relation qui apporte bien plus que du plaisir sexuel. Je ne vais pas vous livrer un guide pratique à suivre pas-à-pas vu que chaque relation est différente. Par contre, je vais vous aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête et le corps des protagonistes. Et cela vous permettra de mieux vivre votre relation à distance. 1 - Chacun ses besoins ! Que l'on soit le D ou le s de la relation D/s, le S ou le M du mot SM, l'exhibitionniste ou le voyeur, chacun a des désirs différents. On en connaît la plupart, on s'imagine les autres mais quoi qu'il en soit, les voir en vidéo sur le net ou imaginer la scène nous met en émoi. Si certains signes physiques sont immédiatement reconnaissables (bander ou mouiller), c'est parfois plus discret et subtil, comme le fait de se mordre la lèvre inférieure. Mais attention, une excitation ne signifie pas forcément que l'on a le désir de concrétiser cette pratique. On peut être excité à regarder une personne attachée, suspendue dans le vide alors qu'on est soi-même sujet au vertige. On peut se masturber devant des vidéos de couples "jouant" avec des aiguilles et en avoir un peur bleue au point de s'évanouir à la vue d'un vaccin anti-CoVid. Il ne faut pas confondre fantasme, désir et envie. Je vais simplifier à l'extrême alors inutile de venir lancer un troll sur l'emploi que je fais de ces trois mots, on s'en fout, ce n'est pas le sujet de l'article. Et comme je n'ai pas la prétention de savoir parler français mieux que vous, je vais utiliser des gros copier-coller du dictionnaire de l'Académie Française. - Le fantasme : Issu de la psychanalyse de Freud, c'est une construction imaginaire, consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s'y met en scène, d'exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse. Le mot clé, c'est imaginaire. Ce n'est pas réel ! C'est comme un rêve, éveillé ou pas. On s'imagine dans une situation et le cerveau sachant très mal faire la différence entre le réel et l'imaginaire, prend son pied comme si on vivait vraiment la situation. Et comme ça vient de Freud, le fantasme a forcément une connotation sexuelle. Le fantasme : c'est sexuel et dans la tête. (Non, c'est pas une fellation !!!) - Le désir : C'est l'aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente. L'aspiration instinctive de l'être à combler le sentiment d'un manque, d'une incomplétude. Tendance consciente de l'être vers un objet ou un acte déterminé qui comble une aspiration profonde (bonne ou mauvaise) de l'âme, du cœur ou de l'esprit. Instinct physique qui pousse l'homme au plaisir sexuel, aux satisfactions des ardeurs de l'amour; convoitise qui pousse à la possession charnelle. Ici, on se rend compte que l'on sort de l'imaginaire pour y associer la notion de manque et surtout le besoin de le combler. Le désir : c'est le besoin de combler un manque sexuel. - L'envie : Petit filet de peau à la racine des ongles (si, si, c'est dans le dico). Plus sérieusement, l'envie est un besoin, désir plus ou moins violent. C'est éprouver le désir sexuel pour une personne. Le désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Dans l'envie apparaît la notion d'appropriation, de propriété et aussi une notion péjorative, celle de faire du mal à quelqu'un. L'envie : c'est le besoin de prendre du plaisir. Au final, une relation D/s, ce sont d'abord des fantasmes. Quelque chose qu'on a en soi et qui demande à s'exprimer. Puis on se focalise sur ses désirs, on cherche à combler un manque et on finit par éprouver du plaisir et avoir l'envie d'en avoir toujours plus. Et cette définition s'applique pour les deux parties, que l'on donne ou reçoive, que l'on prenne ou subisse, que l'on s'offre ou reçoive. Nous n'avons pas les mêmes besoins que les vanilles. Nous avons d'autres fantasmes, d'autres désirs et d'autres envies. Nous cherchons à répondre à d'autres besoins. Et pourtant il y a un besoin commun dans tout ça : celui d'être en accord avec soi-même. 2 - Les inconvénients de la distance Il y a plein de choses totalement impossibles à distance : attacher, fesser et tout simplement, le contact physique. C'est particulièrement ennuyeux pour une soumise qui aime se laisser aller. Elle peut attendre tant qu'elle veut à côté de sa corde, elle ne va pas s'attacher toute seule ! Mais le pire reste tout de même le manque de proximité. La seule présence de son Maître rend la soumise docile. Son aura se manifeste par sa présence physique à proximité de sa soumise. Il est là et occupe un espace, à une distance socialement inacceptable pour toute autre personne. Il est là à portée de main, il est visible, son odeur est perceptible, sa voix relaie ses ordres. Ce n'est pas un fantasme, il est là, en chair et en os. Où est le plaisir de la caresse sensuelle, du claquement sec du fouet contre la peau, le contact de la peau, la souplesse d'une paire de fesses qu'une main raide vient frapper ? Où est la chaleur du ventre de ma partenaire, qui réchauffe mes cuisses quand je lui donne une fessée ? Où est la joie d'être chatouillée par une plume et de ne pas savoir la direction qu'elle va prendre ? Et puis, c'est affreusement impersonnel. Il manque le regard. Les yeux en disent bien plus long que n'importe quel roman quand on parle des choses du cœur. Ils sont le reflet de l'âme, dit-on. Une larme chaude fait basculer le monde durant une session intense. Bref, la distance, c'est nul, on ne peut rien faire. Il manque tout ce qui fait une relation D/s. Il n'y a ni proximité ni toucher. L'abandon et la surprise sont aux abonnés absents, quand c'est pas les parties prenantes qui ont toujours la mauvaise idée de passer sous un tunnel au mauvais moment (surtout avec l'internet fixe de la maison). Et pourtant malgré tous ces inconvénients, on peut initier une relation à distance avant de la concrétiser par une rencontre. Ou maintenir une relation en cas d'éloignement temporaire pour raison professionnelle, par exemple. Ou même s'en contenter car elle apporte juste ce qu'il faut à notre vie. 3 - Faire de la distance un atout J'ai déjà entendu que "de nos jours, dominer à distance, c'est facile : une application d'appel vidéo et c'est parti, mon kiki !" C'est con, mais c'est vrai. Ce n'est pas la distance qui va faire qu'une relation est pourrie, c'est le manque de communication. Et de nos jours, grâce à internet, la communication est immédiate. Vous vous rappelez que dans ma première partie, je vous ai dit que le cerveau avait du mal à faire la différence entre le réel et l'imaginaire ? Et si on en faisait un as dans notre manche ? a - Démarrer ou poursuivre une relation à distance Quand on débute, la distance, c'est super sécurisant ! On peut rester anonyme, ne jamais montrer sa tête, se cacher derrière un pseudo : "Maître Dominant" ou "Soumise Obéissante". C'est très pratique pour changer de sexe sans avoir à subir ni l'opération ni les frais qui en découlent. Et c'est ultra sécurisant, vu qu'une simple pression sur le bouton off met fin à toute conversation un peu trop chiante. Ca permet de discuter avec des fous ou des gens biens et d'avoir le temps de se rendre compte s'ils sont de la 1ère ou 2ème catégorie avant de penser caresser l'espoir d'une hypothétique rencontre. Et oui, la distance : c'est la sécurité ultime ! Et c'est aussi le meilleur moyen de découvrir quelque chose de nouveau. Que l'on soit dans une relation depuis 30 ans ou complétement novice, il y a toujours une pratique que l'on ne connaît pas, mais que l'on désire essayer. On a fantasmé beaucoup dessus et maintenant, il est temps de passer à l'acte. Ou plutôt de se renseigner avant de prendre une telle décision et ne pas la prendre à la légère. La distance, ça permet d'aller à son rythme, de s'apprivoiser et de se rassurer. Attention, il faut savoir ce que votre partenaire désire profondément. En apparence, c'est facile, surtout quand on lit un profil ou une annonce. Mais en fait pas du tout. Examinons un échange de message avec une soumise qui aime être insultée et humiliée : - "Salut sale chienne, prosterne-toi devant ton Maître" - "Va chier connard, chuis pas ta pute !" Et oui, elles sont loin mes premières expériences, mais je m'en rappelle encore ;-) Pendant longtemps, j'ai ressassé cet échec cuisant sans comprendre : je l'ai insultée et humiliée direct ! Qu'est-ce qu'elle voulait de plus ? Simplement qu'elle légitime la personne qui la rabaisse. b - La valeur variable de l'engagement La distance permet la consommation de masse et éviter l'attachement. On peut se trouver un partenaire pour une session rapide en quelques minutes sur certains sites de chat spécialisés. Deux ou trois ordres et deux orgasmes plus tard, on se quitte bons amis et on se promet de recommencer, en sachant pertinemment que non. Ben ouais, physiquement c'est pas mon genre mais pour dépanner, ça le fait. Et bien entendu, une relation à distance, ça permet d'éviter l'adultère tout en ayant une vie sexuelle épanouie ! Obéir à quelqu'un qui n'est pas là, c'est avoir la volonté de lui obéir. Car il ne faut pas se leurrer : la soumise est bien consciente que le dominant ne peut pas se lever, l'attraper par les cheveux et la forcer à quoi que ce soit. La soumise obéit donc à son besoin de soumission. C'est la réponse à un désir. Cela vient combler un manque. Dès lors, il n'est pas étonnant qu'elle accepte de faire des choses aussi dégradantes ou aussi douloureuses pour son Maître. Qui lui assouvit son envie de dominer. La fessée a distance c'est complètement absurde quand on y pense. Se taper dessus, soi-même, pour se punir de n'avoir pas respectée une règle édictée par quelqu'un qui n'est pas présent... bienvenue dans le monde de Pierre Dac (ou des Monty Python pour ceux qui ne connaissent pas leur mentor). Et pourtant, dans presque toutes les religions, il y a des exemples d'auto flagellation pour expier ses fautes devant sa divinité. Serait-ce une marque de soumission ultime ? c - Comment faire durer une relation à distance : Parlez-vous ! Dans notre monde de télécommunication instantanée, on a la possibilité de se parler à l'autre bout de la planète... et pourtant, les échanges sont souvent stériles. Un D ou un s, c'est une personne ! Et il n'y en n'a pas deux identiques sur la planète. Même les jumeaux ont des goûts différents ! Dès lors, on ne doit avoir aucune certitude envers sa partenaire. Et puis les gens ont des humeurs en fonction du pied par lequel on se lève. Je peux avoir une envie terrible de fellation le lundi mais pas le mardi. La communication, c'est la base. Il faut se comprendre mutuellement pour que ça marche. Prendre des décisions pour sa soumise, c'est bien mais prendre de bonnes décisions qui vont la faire progresser, c'est mieux. Par exemple : la priver de dessert, c'est utile. Elle déteste le fait de ne pas pouvoir manger son délicieux gâteau mais dans le fond, elle sait que c'est pour son bien et le fera avec plaisir et surtout avec fierté. Et l'obliger à faire des choses qu'elle affectionne particulièrement, c'est la cerise sur le gâteau. Imaginez maintenant l'effet d'un ordre comme : obligée de se masturber tous les soirs à 22h17 ! Pour que ça marche, il faut pouvoir apporter à l'autre ce que personne d'autre ne lui apporte. Et pour cela il n'y a pas de secret, il faut connaître l'autre comme sa poche, mieux que cette personne ne se connaît elle-même. La communication est le seul moyen d'apprendre à se connaître, de s'apprivoiser et de gagner sa confiance. Cette analyse de la relation D/s à distance m'a permis de montrer qu'elle répond essentiellement aux besoins des protagonistes, aussi différents soient-ils. Et que si la distance peut-être vue comme un inconvénient majeur, elle peut également devenir un atout par la sécurité qu'elle apporte, par l'intensité de l'engagement qu'elle engendre et par les infinies possibilités de communiquer qui existent aujourd'hui.
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Par : le 30/10/21
Tes yeux fulminent, les tendons de ton cou saillent tant ils sont contractés et ta bouche est tordue en un rictus tandis que les insultent fusent en dehors d’elle. « Connasse » est la pire insulte pour ma sensibilité personnelle. La connasse, celle qui fait chier, pas celle qui excite comme la salope. La connasse ne peut pas être aimée d’aucune façon. Et ce ton qui profère ces insultes, qui hante et réveille en sursaut mes assoupissements le soir encore. Chaque onde haïssante de ce son me traverse comme des pointes sous ton regard glacé de haine. Tétanisée par la peur et l’incompréhension, le cerveau complétement vide, mes yeux te contemplent hébétés ce qui attise ta colère, ta violence. Je tente de me recroqueviller, baisse les yeux, voudrais disparaitre, juste me rouler en boule sur un coin du carrelage et poser mon visage sur sa surface glacée et y laisser couler mes larmes. Je n’attends que le temps béni où je pourrais enfin le faire quand tu te seras lassé de mon absence de réaction. Mais loin de te lasser, tu es bien lancé, tu t’approches brutalement et m’arrache le bras droit, que je tords nerveusement dans mon bras gauche, en le tirant vers toi et en m’invectivant. « Réagis au moins ! J’en peux plus... T’aimes ça hein me faire monter, tu veux me faire péter la pile c’est ça !? T’es une CONNASSE. » Je pleurs, je supplie : « mais non, je t’assure, j’ai pas fait exprès… » Lui : « tu le comprends au moins que je suis pas méchant, que c’est pour ton bien. C’est toi qui me pousse à me comporter comme un tyran en agissant comme une gamine. Tu le comprends ? » Et en martelant ces 3 derniers mots il secoue violemment mon bras qu’il serre toujours. Le rappel de la sensation de ce bras bloqué et douloureux me fait reprendre un peu mes esprits et dans un vain espoir puéril je me débats pour tenter de récupérer difficilement mon bras de cet étau avec un reniflement de colère. Mais il le maintient serré et m’oblige à le regarder dans les yeux en agrippant mon menton de son autre main : « Est-ce que tu comprends, [E-li-sa-beth] ? » prononce t-il lentement les yeux rivés au fond des miens. Au fond de moi l’excitation se répand sous son regard qui me remplit. [Mon vrai prénom me fend comme un long fouet qui s’abat. Il ne l’utilise jamais au quotidien, nous avons nos surnoms. Je me sens pétrifiée par ce son inentendu depuis longtemps. Mes yeux deviennent ceux de mes 8 ans, la voix qui prononce ce prénom devient celle de ma mère. Je suis glacée de honte.] Je ne suis pas d’accord, je n’ai rien fait, c’est pas de ma faute, tout mon cerveau rationnel se révolte comme un poulain qui se cabre mais, calmée, je m’exécute, mon corps tendu se relâchant avec mollesse : « oui je comprends. » « Regarde-moi ! -il agrippe plus fermement mon menton- Qu’est-ce que tu comprends, E-li-za-beth ? » Je répète bêtement et docilement les arguments qu’il m’a présentés furieux peu avant, tandis que mon cerveau continue à refuser de se plier. Que ne voudrais-je être fessée solidement rivée à tes genoux, que tu m’assènes les gifles que je mérite, sentir tes mains m’étrangler et ton souffle emplir ma gorge dans un baiser haineux. Que n’aimerais-je sentir une torture physique accompagner les douleurs de l’âme et de l’esprit, conforter celles du cœur ? Pour qu’il y ait le double dialogue, verbe et acte, qui conduit à la jouissance et à l’apaisement des corps et des esprits. Mais la sensation de devoir plier, admettre, sans même passer par un débat des corps, est si dégradante intellectuellement que je commence à me sentir excitée malgré ma détresse. Foulant ma révolte de mes propres pieds, je la brise du mieux que je peux pour tenter de te calmer. Mon excitation me rappelle que non, je resterais frustrée comme toutes ces années, comme si je ne méritais même pas d’être une chienne à ton service, et la honte que j’en ressens m’inonde le bas ventre de plus belle dans une onde d’excitation fulgurante. Tu t’éloignes dans une autre pièce pour tenter de te calmer et je profite de ce moment où tu ne me vois pas pour enfin me laisser tomber en boule sur le carrelage. La sensation d’être à ma place me réconforte tandis que l’onde de chaleur dans mon bassin grossit et que celui-ci commence à onduler instinctivement. Mais me rappelant ma condition de celle qui ne suscite même pas l’envie d’être utilisée, je cesse de moi-même pour me priver de ce soulagement que je ne mérite pas. Une vague de honte m’enveloppe, accentuant mon excitation. Je ferme les yeux et m’endors dedans. Moralité : Est-ce que, THEORIQUEMENT, une abstinence totale (AUCUN contact) et prolongée (sur plusieurs mois/années), qui serait forcée, non désirée, est-elle l’archétype du fantasme ultime pour une soumise obsédée par la frustration, le tease and deny, le contrôle des orgasmes… ?
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Par : le 28/10/21
C'était en 2012. j'ai rencontre un Maitre sur le net qui proposait de rencontrer sa copine soumise. je lui envoie un mail et sans hesitation il accepte ! RDV dans 15jours je lui envoie mon envie: rencontrer sa soumise, les yeux bandés alors qu'il est a qqes metres de nous. le RDV est fixé dans le parc de Vaugrenier, pres d'antibes un soir vers 19h30 le soir venu, je me gare au fond d'une allée et j'attend. qqes minutes plus tard, un gros 4x4 se gare derriere mois et en sort un homme. on se salue et rapidement me dit que sa soumise m'attend. je rentre dans son 4x4: sa soumise est assise les yx bandés et porte un long manteau. je lui demande d'ouvrir son manteau pour la voir :elle est nue sous le manteau. juste des bas et talons aiguilles. je lui caresse les seins, la chatte. elle ne se refuse pas et mordille ses lèvres. En accord avec son maitre, celui-ci lui a laisse une lettre. je lui enleve son bandeau mais elle n'a pas le droit de me regarder. elle lit la lettre: elle doit se donner a moi sans retenue, obeir a mes ordres. je lui remet son bandeau et comme convenu avec son maitre, je lui enfile sa laisse et je l'entraine dehors pour qu'il puisse prendre des photos. Il mitraille. je la balade dans le parc et ensuite l'appuie sur le capot du 4x4: je la fesse, lui caresse les fesses, la doigte et ensuite je la fouette. son maitre prend les photos puis apres qqes minutes, je la ramene a l'arriere de la voiture tjrs yx bandés (balade un peu perilleuse, ne pouvant pas voir et en talons). Je lui donne l'ordre d'enlever son manteau. elle se deshabille completement, et s'allonge. Je la regarde, tellement féminine , sexy ainsi. Je lui dis à quel point elle est belle. Elle sourit gênée. Je pose mes mains sur ses cuisses, ses bas, remonte sur son ventre et ses seins qui pointent fièrement. Sa peau est douce.  Elle sent bon... Doucement je reviens vers sa charte lisse, parfaite. Et je m'y introduis : un doigt, deux doigts, trois doigts.  je la doigte de plus en plus vite pour qu'elle prenne son plaisir: j'aime entendre les femmes gémir, se tortiller... Après qqes minutes ainsi, elle est entièrement trempée.  Sa ciprine coule entre ses jambes. Doucement je remonte ma main humide le long de son corps jusqu'à sa bouche. Et lui donne mes doigts humides à lécher. Elle les avale sans hésiter,  sans perdre un instant. Je la regarde sucer, lécher mes doigts... Je me penche vers elle et je gobe ses seins. Je lèche son corps, sa peau... puis je lui ordonne de se retourner, et je joue avec son plug: elle aime visiblement. qqes fessees lui coupent la respiration mais elle aime, moi aussi. Je lui retire tout doucement ce bijou de soumission et ses fesses sont libérées... Elle sursaute à l'extraction de celui-ci. Je lui écarte ses deux belles fesses et admire le spectacle. Puis je lui ordonne de remettre son plug. Je veux la voir s'introduire ce bijou devant moi. Je n'ai pas le droit de la pénétrer en accord avec son maître,  mais qu'elle le fasse pour moi n'est pas interdit ;-) Enfin je la remets devant moi. je deboutonne mon pantalon et lui ordonne de me sucer: elle obeit avec appetit. elle garde mon sexe en bouche, quelle douce langue ! Elle s'active entre profondeur et baiser de ses lèvres. Au bout de qqes minutes  je jouis mais pas dans sa bouche (volonté de son maitre). puis je lui ordonne de me sucer les couilles: elle a du mal a rester sur mes couilles car elle remonte pour prendre les dernieres gouttes de sperme. visiblement elle en raffole alors que je ne lui ai pas demande !! puis je la redresse et continue de la caresser. enfin son maitre vient frapper a la porte du 4x4 pour finir la seance. Je sors et discute avec lui: un homme charmant. puis je remonte dans ma voiture et pars. elle ne m'aura pas vu une seule fois: j'adore savoir qu'elle se demandera toujours qui a pu profiter d'elle et quel homme elle a sucé. Une superbe seance avec une femme a la peau douce, une bouche humide et accueillante et un maitre fort sympathique. J'apprendrai plus tard de sa part qu'elle fut surexcitée ensuite...
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Par : le 10/10/21
Nous avions passé la journée ensemble. Nous étions sortis nous aérer. Je sentais encore sur mon fessier la marque de la ceinture. J’avais quelques petites douleurs. Mon dos me faisait un peu mal. Il se montrait si doux. J’adorais sa tendresse, quand il me prenait dans ses bras. Ces petits moments simples qui sont précieux. Nous étions revenus à Deadalus. Cassandra était toujours aussi belle. - Bonsoir Mademoiselle Lane, comment allez-vous ? - Bien Cassandra, je vous remercie. - Cassandra, puis-je vous voir? demanda Monsieur. - Oui bien sur. - Allez à votre chambre Mademoiselle, Cassandra viendra vous donner les instructions pour ce soir. - Mickaël va venir vous chercher. Ne bougez pas. Quelques minutes après, Mickael se présenta. Il m’adressa son sourire. - Comment va la petite malade, son traitement lui a-t-il plu ? Je baissais les yeux, si intimidée. Monsieur m’avait interrogé sur tous les ressentis, mes sentiments, mes interrogations. - Comment se porte votre fessier ? Votre maître m’avait demandé d’y mettre du cœur à l’ouvrage se vanta-t-il. - Il est quelque peu douloureux je dois le reconnaitre. - Humm, vous allez garder en tête ces instants, ça me rend tout dur voyez-vous. - Je… - Vous êtes une sacrée chienne. De l’autorité, de la contrainte et vous mouillez et écartez vos cuisses pour être prise. Assumez-vous. Je n’osai pas répondre. J’avais toujours ce sentiment de culpabilité même si cela avait été exécuté sous les ordres de Monsieur. - Je m’en veux Mickaël. - D’avoir aimé tout ce que vous m’avez fait. - Ne culpabilisez pas. Soyez toujours honnête avec vous-même. Un homme qui fait tout pour réaliser vos désirs, il s’abandonne aussi. Il vit aussi dans la crainte de vous perdre aussi, mais c’est ce qui rend ces moments intenses et précieux. Toujours à la recherche de se surpasser et de rester vrai. Peu de gens en son capable. - Je ne sais pas, vous avez peut être raison. Je culpabilise car je m’autorise des choses et je lui en impose des limites.. - Nous en avons tous, après certaines de vos limites sont celles que vous ne voulez pas franchir car vous vous enfermez dans votre confort, à ne pas chercher à voir au-delà de votre forteresse. - Vous êtes bien surprenant ! comment vous êtes arrivé ici ? - Ah ça c’est un secret ma chère. Bonne soirée. Il me laissa dans ma chambre. Je rêvassais. Tous ces moments passés si intense émotionnellement. Tout était remis en question. Mes questionnements, la femme que j’étais. J’étais à fleur de peau. Je ne pensais qu’à lui, à notre connexion. Je prenais ma douche, brulante pour apaiser mes tensions. J’en profitais pour mettre ensuite de l’Arnica sur mes fesses. En sortant de la salle de bain Cassandra était dans ma chambre. Elle se rapprocha de moi. J’étais en serviette. Son visage proche du mien, elle chuchota à mon oreille - Monsieur souhaite vous voir à 20h. Voici votre tenue pour ce soir et ses instructions. Elle avait déposé sur le lit une robe noire presque vulgaire ultra moulante , des bas et un manteau. Allions-nous sortir ? Il m’avait demandé de rapporter ma brosse à cheveux, je trouvais cela bien étrange. Je toquais à sa porte. - Entrez. Il était assis sur le canapé tenant dans sa main un verre. - Bonsoir Monsieur. - Bonsoir Mademoiselle. - Venez face à moi. Il me montra du doigt où je devais me mettre. Ce doigt autoritaire. - Tenez Monsieur. Je lui tendais ma brosse à cheveux. - Posez là sur la table. Je portais le long manteau noir. IL me regarda et me dit. - Voyons à quoi vous ressemblez ce soir. Ôtez votre manteau. - Hum parfait. Nous allons avoir une petite conversation. A genou. Il releva mon menton avec sa main. - Humm très sexy dans cette robe noire. - Relevez-vous. Ses mains passaient entre mes seins, caressant ma poitrine redescendant sur mes hanches, mes fesses. Il me tourna. D’une main ferme il défit la fermeture éclair de ma robe. Je me retrouvais ainsi seins nu en porte jarretelle bas et haut talons. Ma laisse tombante entre mes seins. - Retournez vous. Sans rien dire, il me caressa à nouveau entre les seins tout en se dirigeant vers mon ventre. Il baissa ma culotte juste assez pour découvrir ma chatte. Avec deux doigts il écarta mes lèvres pour libérer mon clitoris. - Déjà humide ? - Hum.. - Répondez ! - Oui… Monsieur. Déjà humide. Il saisit un ciseau posé sur la table et coupa ma culotte. - C’est mieux ainsi. Une putain est toujours mieux la chatte à l’air. Tournez vous. - Vos fesses ont été bien chauffées hier. Il passait ses doigts sur mes marques. Il les caressaient, les prenant de pleines mains, les claquant. - Aie…. - Humm oui je me doute combien c’est sensible, mais si je le juge nécessaire et selon votre attitude, je vous punirais et l’état de vos fesses ne regarde que vous. Vous avez mérité cette fessée. Mettez-vous à quatre pattes et présentez-moi vos trous je vous prie. Je m’exécutais, tremblante. - Avez-vous froid ? - Non Monsieur. - Pourquoi tremblez-vous ? - Je ne sais pas Monsieur, l’émotion je suppose. - Nous allons en parler. J’ai un petit cadeau pour vous ma chère. Je vous veux putain et chatte ce soir. J’étais là, à quatre pattes, lui présentant ma chatte et mon cul. - Cambrez vous. Il inséra un doigt dans mon petit trou. Je sentais son majeur faire des va et viens, parfois s’enfonçant bien au fond, me fouillant puis reprenant ses vas et viens. - Hummmm… merci Monsieur. - Je sais que vous aimeriez être plus fourrée, n’est ce pas ? - Je… Oui Monsieur. - Humm ma petite salope. Ouvrez votre bouche. Regardez ce que j’ai pour vous. Il tendit devant moi un plug avec une queue de chat. - Je vais vous le mettre sans ménagement dans votre fion. Je ne veux rien entendre. Je sentis la froideur du métal au bord de mon trou. Doucement mon cul cédait. Il exerçait une pression juste suffisante. Je forçais de mon coté pour le posséder. Soudain, mon cul s’ouvrit et le plug disparut. Il caressa alors la queue et la remonta sur mon fessier.. - Quelle jolie chatte vous faites. On va bien s’amuser ce soir. Mais avant nous allons parler de votre soirée d’hier. Mickael est venu me faire un rapport et me donner la vidéos de vos ébats. - Je.. - Vous ai-je autorisez à parler. Il me gifla. - Restez ainsi ! Il se leva et alla chercher un ipad. Il passa en me frôlant. - Asseyez-vous sur vos genoux je vous prie. Il plaça l’ipad devant moi sur la table. Il appuya sur lecture. La scène où j’étais dans les toilettes. Il saisit la brosse à cheveu et commença à me brosser les cheveux. Je sentais ses mains douces faire cette tache si intime. Je sentais son souffle dans le creux de mon cou quand il me murmura: - Regardez-vous, combien vous êtes belle quand on vous prend de forces, comment vous vous abandonnez. - Je. Il saisit mes cheveux fermement. - Vous ai-je autorisé à parler ? - Quand je vous vois prise ainsi, je ne désire que vous posséder à nouveau encore et encore. De vous combler de partout, de vous punir de vous être laissée prendre comme une petite putain. Je n'ai pas éprouvé de jalousie mais de la fierté à savoir que vous êtes à moi. Il se rapprocha de mon oreille et me dit. - Mon sexe est bien tendu ce soir. - Je.. J’aimerai dire quelque chose Monsieur. - Je vous écoute. - Je ne comprends pas pourquoi j’aime autant tout ce que vous faites pour moi et que de l’autre, je ne vous autorise pas l’inverse. J’ai peur de ma jalousie, de mes excès, de ma sensibilité. Il posa la brosse et me releva pour me faire asseoir entre ses cuisses. Il passa sa main à hauteur de poitrine et me plaqua contre lui. Il me murmura à l’oreille. - Tu sera toujours l’unique, celle qui me fait vibrer. Que tu te fasses défoncer par d’autres hommes c’est mon choix, j’aime ça. Il faut vivre ses fantasmes dans la mesure du possible, sinon tu le feras avec un autre n’osant pas parlé de tes désirs. Regarde, je t’offre ta liberté. Soudainement il saisit mes tétons et commença à les malaxer. - Regarde comme il t’a bien baisé. Je lui ai demandé de ne pas être tendre, de te contraindre car je sais que tu aimes être violenter. - Je… aiiiieeee Il pinçaient fermement mes seins, les malaxaient si fort. - Plus tu résistes, plus je te punirais. Sache une chose tu es pour moi mon essentielle. Il n’y en a pas d’autres. Vivons ensemble nos envies. Accepte de vivre aussi les miennes comme j’essaie de comprendre les tiennes. Tant que nous parlons et nous sommes sincères l’un envers l’autre, cette confiance ne peut être défaite. Cette fois-ci il tournaient davantage mes tétons. - Je vous remercie Monsieur pour tout ce que vous avez fait pour moi. - HUmmmmm ces seins.. je vais les orner. Une bonne chatte a ses petites clochettes. Donnez moi les pinces à téton sur la table je vous prie. Je sentais à nouveau son basculement. Je savais que cette soirée allait être plein de questionnement. Je me penchais pour les attraper quand soudain je sentis une fessée s’abattre sur mon postérieur. - Est-ce ainsi qu’une chatte cherche ses jouets ? - Non.. Monsieur. Je me mis alors à quatre pattes pour aller chercher avec ma bouche une pince à téton pour lui apporter dans la main, puis l’autre. Il m’installait, à genou devant lui. Il caressa mon visage. - Redressez vous. - Je vais vous punir ce soir, d’avoir été une si bonne chienne hier. - Me punir ? - Vous allez comprendre rapidement… Il commença à me gifler les seins puis fermement il saisit mon téton droit et y déposer la pince pour écraser mon téton. Je sentis cette brulure. J’avais les seins si fragiles. Il s’occupa ensuite du second. - Humm, voilà je vais toujours savoir où vous êtes maintenant. Voyez voir si ça fonctionne. Levez vous et sautez sur place. Je m’exécutais. Je sautais sur place, les clochettes faisant leur petits sons. Je sentis bien fermement le plug. - Parfaite. Il se leva et se dirigea vers moi. Il m’enlaça, m’embrassa avec une telle douceur. - Je suis si fière de vous, , des progrès que vous avez accompli. Chaque jour, chaque nuit, vous devenez celle je vois. Il se mit à genou. - Ecartez vos jambes. Il passa sa langue sur mon pubis, mon clitoris. Il inséra un doigt dans ma chatte et de son autre main, il jouait avec ma queue. - Humm si mouillée.. je vais vous dévorer ce soir. J’espère que j’aurai assez de force pour satisfaire - Je…. Il saisit ma laisse et me força à me mettre à quatre pattes. Il alla à la table et saisit ma brosse à cheveu. Je n’allais pas y échapper cette fois. - Vous ai-je autoriser à parler. Les coups de la brosse à cheveux étaient terribles, bien plus que ceux de la ceinture. Il prenait plaisir à frapper plusieurs fois au même endroit. Je tombais au sol, ne tenant plus ma position. - Quand je dis de ne pas parler, vous écouter ! Je hochais la tête. - Je vais vous donner une bonne correction ce soir. Pas celle que vous croyez. Il prit la laisse et me fit marcher à quatre pattes sans ménagement sur le lit. - Embrassez moi. Il devenait d’un seul coup réconfortant, doux. Il était d’une telle sensualité. Sa main de fer laissait place à une main de velours. Nos langues s’entremêlaient. Il caressait mes seins, jouant avec mes pinces à téton pour me donner la juste douleur qui m’excitais. - Je vous vous dégoulinante ma chère. Il sortit de sa poche un masque pour m’ôter la vue. J’étais là demandeuse. Il saisit mes mains pour les attacher et les encorder au lit. - Ecartez bien vos jambes et dites moi ce que vous avez aimé hier soir. J’écartais au mieux mes jambes pour lui montrer ma vulve. - Hier soir j’ai aimé être contrainte, Monsieur. Sentir la force m’obligeait à céder. Savoir que vous avez organisé cela. Je pensai à vous surtout pendant ma correction. J’ai aimé être un jouet sexuel. - Humm Je sais. Qu’êtes-vous? - Une - Putain… termina-t-il - Je.. je suis votre putain Monsieur - Humm oui ma putain, mon chef d’œuvre. Il m’embrassa avec une telle fougue, une telle sensualité. Je sentis sa main sur mon sexe… - Humm Monsieur. Je me dandinais, demandeuse de ses doigts. - Pas encore. Je sentis alors sa bouche se poser sur mon genou, m’embrasser, me caresser. Son autre main maintenir ma jambe contre le lit, la remonter, offrant ainsi ma vulve. - Hummmm…. Il caressait mon entrejambe. Le coup de grâce commença quand un premier coup de langue passa sur ma chatte déjà si humide. Puis un second coup de langue de bas vers le haut, un troisième se faisant plus marquante, inquisitrice voulant comme aspirer ma chatte. Sa bouche s’ouvraient grandement pour m’aspirer, me sucer. Puis elle relâchait, aspirait mes lèvres. Je couinais mon désir. Sa langue passait avec une infinie douceur me faisant perdre pied. Je tremblais. Je voulais tellement plus. Puis il reprit alors l’assaut de ma chatte, il léchait, aspirait, mordillait, doucement puis plus fortement. Ses coups de langue sur mon clitoris, la pression exercée par cette dernière juste dans ma chatte. Il aspirait mon jus. Je sentis alors qu’il bougeait sur le lit. Ses lèvres se déposant sur les miennes .C’est à cet instant que je compris. Qui était en train de me lécher la chatte ? qui était en train de m’embrasser? - Mais? questionnai-je? Je sentis un doigt sur ma bouche. - Chut petite chienne murmura-t-il. On ôta mes pinces à tétons. Je sentis une langue venir me soulager de la douleur. Quand soudain je sentis un doigt pénétrer ma chatte. L’autre bouche embrassait mon cou. Il tournait mon visage pour prendre possession de ma bouche. - Vous aimez ? - Je… Oui monsieur. Je me questionnais sur qui léchait ma chatte avec tant de savoir faire de douceur. Je m’en voulais d’adorer cela. Pendant qu’il m’embrassait et malaxait mes seins, un autre doigt me pénétra. Je sentais une telle dextérité. La main écarta mes lèvres. A nouveau cette langue donnant des coups, encore et encore. Les vas et viens étaient si fort avec les doigts.. je défaillais. - Vous avez -vu comment elle couine? L’autre personne ne parlait pas. - Ca vous plait petite chienne ? non.? Je gémissais. - Hum oui ça lui plait... Soudain, je sentis une seconde langue sur ma chatte, des doigts se mêler dans ma chatte. Un tas de question. Il n’était pas bi.. non ? cela ne pouvait être ça. Une main tenait toujours ma cuisse en l’air, une autre l’autre cuisse. La lumière m’aveugla. Il ôta mon bandeau. Il mit son pouce dans ma bouche pour que je le suce. - Regarde comment tu te fais bien nettoyer ta chatte ? C’est bon non ? deux langues.. En moi plusieurs sentiments se mêlèrent. Il mit sa main sur ma bouche et m’embrassa. - Lâchez prise. Cassandra était en train de me dévorer la chatte. Mon Maitre redescendit pour me caresser à nouveau. Elle releva la tête et me regarda droit dans les yeux pendant qu’elle insérait plusieurs doigts dans ma chatte. - Ta mouille est un régale ma chère. J’adore te dévorer. Je n’osait le regarder en train de me lécher lui aussi avec Cassandra à coté. Le coup de grâce fût quand ils s’embrassèrent pendant qu'il léchaient ma chatte. Je tentais de me défaire. Cassandra me dit - Doucement, ta mouille est trop bonne pour être gâchée. Puis elle engouffra ses doigts dans la chatte laissant son pouce dehors. Il s’approcha à nouveau de moi et m’embrassa. Je refusais ce baiser. Il me saisit par la gorge et m’embrassa de force. Il se leva, pied au sol, tête au dessus de moi. Il continuait à m’embrasser, à tenir mes seins. - Profitez de ce moment de désir intense. Laissez-vous aller, vous en mourrez d’envie. Je sais l’effet qu’à Cassandra sur vous. Regardez comme elle vous lèche. Elle adorent les petites vicieuses comme vous. Je veux vous voir ainsi baiser par cette femme. Votre leçon du jour. Acceptez aussi mes désirs et les combler. Il continua a me tenir par la gorge, son autre main était maintenant sur mon clitoris. Les coups de langue me rendait folle. Elle me rendait folle. Je tentais de me relever malgré mes liens. Ses doigts étaient bien au fond pendant qu’elle me léchait. Cherchant, encore et encore à me remplir. Elle commençait à me pilonner avec ses doigts. J’avais du mal à tenir en place. - Je… je… Je ne tenais plus, Je trempais de partout, j’en mettais partout. Cassandra avait placé sa bouche comme il faut pour ne pas en laisser une goutte. Je ne tenais plus je jouissais si fortement dans les bras de Monsieur, sous l’effet incroyable de Cassandra. Mon maitre se releva. Il me laissa ainsi attaché. Cassandra se mit à quatre pattes à coté de moi. Je le vis la posséder sous mes yeux. - Regardez comment je la baise. En moi un sentiment de colère si fort. Un sentiment aussi d’égoïsme aussi m’envahit. Le mien, car hier aussi j’en avais profité et pourtant mes ressentis à son égard son identique. Il claqua ses fesses tout en regardant chacune de mes réactions. Je voyais rouge. Il la pilonna si brutalement. Quand il se retira d’elle, il retira son préservatif. Elle s’était retournée. Il l’avait prise par les cheveux. Il enfonça sa queue dans sa bouche. Il l’avait empoigné avec une telle force. - Ouvre mieux que ça ! Il lui mettait jusqu’au fond. Ne lui laissant aucun répit. A chaque moment il me regardait. Je le vis sur le point de jouir. Il se mit au dessus de moi et éjacula sur mon corps. Je vis alors Cassandra s’empresser de venir lécher le sperme pour me nettoyer. Mon maitre n’en ratait pas une seule miette. Je me sentis prise par tant de sentiments contradictoires à la fois. Enervée, comblée, jalouse. Il me laissa attachée au lit. - Maintenant vous allez réfléchir si c’est Mickaël qui avait été là ? Cassandra et Monsieur se dirigèrent vers le canapé. Il commençait à discuter tout en regardant la vidéo avec Mickaël. - Ne t'inquiète pas ma chérie, on revient abuser de vous après. Reposez vous.
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Par : le 30/09/21
Après des semaines de communications téléphoniques et d'appels visio ..... EN-FIN, la rencontre arrive. Je précise aussi que je ne suis nullement traumatisée par ce qui s'est passé ce soir-là. Au point que je la partage. C'était une expérience. Le texte ci-dessous a été rédigé à la demande de ce dom, pour avoir un retour à froid de la soirée 48h après. *************************************************************************************** Mercredi soir. J’arrive au château avec un peu d’appréhension pour mon retard, car vous êtes militaire. Et aussi, pour le lavement que j’ai fait avant, je ne sais pas si je vais devoir aller aux toilettes ou pas, c’est déstabilisant, c’est mon premier lavement. Jolie tenue, chemisette et style classique pour vous. J’embrasse votre main à genoux, comme convenu. Comment tout cela va-t-il tourner ? Est-ce que je vais découvrir un monde inconnu, des plaisirs inconnus ….. à voir. Tour de la maison, je sens votre poigne rapidement, dès que je monte une marche de trop sur l’escalier. Je me dis que ça ne doit pas être facile de s’opposer à vous, et quelque part ça me rassure. Je vais probablement pouvoir me lâcher un peu. Jolie propriété, vos informations historiques sont intéressantes aussi, et je profite de la marche pour vous observer. Pas une once de doute ou de détente dans cette démarche. Un homme qui sait ce qu’il veut, et qui l’aura, quand et où il le souhaite. Apéritif à l’intérieur. J’apprécie que vous me demandiez si je crains les moustiques, j’aurai préféré en extérieur mais ma peau l’aurait payé très cher. Il faut que je me déshabille, pour vous, je n’ai pas l’habitude de faire ça pour un Maitre. C’est drôle de se faire observer, sans une once de frémissement. Je comprendrais plus tard que vous exprimez peu de choses, en mots ou en gestes. Difficile pour moi de « lire » et de savoir quand vous prenez du plaisir. A moins que le plaisir soit uniquement d’obéir à vos ordres ….. sans chercher de connexion. Apéritif moi nue, nous papotons de tout et de rien, avec du champagne. C’est bien plaisant. J’embrasse vos chaussures puis vos pieds nus, des ongles taillés auraient été mieux accueillis je crois. Puis déshabillage, c’est étonnant de voir votre sexe qui ne réagit pas à mes caresses diverses, assez déstabilisant aussi. Du plaisir avec mon cul vers vous, j’aime bien me caresser mais d’une main, je manque de tomber. Vous me commandez de me caresser, et de jouir, ce que je fais. Je ne sais pas si cela vous convient ou pas, je ne vous vois pas et ne vous ressens pas non plus. Par contre, je remarque qu’il n’y a pas de caresses sur mon corps, uniquement sexe et seins. Début du « travail mammaire », comme vous l’appelez. Apparemment mes seins ne sont pas très sensibles, alors chaque travail se fera avec beaucoup de force, et donc de douleur pour moi. C’est fort, ça pince et ça fait mal. Je sais que vous avez dans l’idée de me faire jouir par les seins. Une fessée aussi, et je fonds en larmes de douleur. Pas l’habitude d’avoir mal comme ça, un peu oui, mais là c’est carrément déplaisant et je n’ai pas dans l’idée de dire « je suis cap », vous le savez. Une fois que je suis en larmes, de façon très surprenante, vous me prenez contre vous et j’entends le mot « câlin », « donne-moi ta douleur », ça ne résonne pas en moi, et ne vous ressemble pas non plus. Alors je me blottis pour avoir un peu de réconfort, ce qui ne dure pas car apparemment cela ne vous convient pas, c’est « trop vanille ».
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Par : le 28/09/21
J’étais tendue cette après midi. Nous allions rendre visite à un de ces couples d’amis. Une après midi piscine. Isabelle et Jean avait une superbe maison en pleine campagne. Lui était architecte. Cela se voyait à leur maison. - Hey, salut Véronika. Comment vas-tu ? - Salut Isabelle. Ca va bien. - Ah tu n’as pas l’air en grande forme. Elle nous accueillait si chaleureusement. M. rejoignit son ami. Je discutais avec Isabelle dans la cuisine. J’étais fan de leur intérieur. - T’es sur que ça va ? tu as une petite mine. - Oh j’ai juste un début de névralgie. Je vais prendre un truc et ça passera. Ma semaine a été horrible. - Tu as ce qu’il faut ? - Oui je vais voir dans mon sac. Je me massais les cervicales. Elles me pourrissaient parfois la vie mais il fallait composer avec. Mes névralgies ne choisissaient jamais le bon moment. Les hommes étaient au bord de la piscine. - Champagne !!! Je souriais malgré moi. Le médicament semblait ne pas trop agir. Isabelle se leva vers moi et me dit - Viens, je ne peux pas te laisser en souffrance ! - Suis moi ! La suivant, elle se dirigea vers la porte d’entrée. - J’ai en bas une salle de soin. Je vais m’occuper de toi. Tu me peines de trop d’être en souffrance. Je ne comprenais où elle venait en venir. - Je ne le dis jamais car ça m’énerve quand les gens savent ce que je fais mais j’ai une formation de kiné, j’ai arrêté il y a quelques années mais j’aime toujours faire des soins de détente de temps à autre. Elle était comme une providence ! - déshabille toi ! - Je suis gênée Isa.. là - Mais non pas de ça avec moi, laisse moi de détendre, te faire du bien. On est entre filles! Elle s’était mise face à moi. Elle était si mince, grande. Elle avait ce naturel. Ses grands yeux bleus, sa blondeur. Elle en imposait. Elle commençait à installer la table de massage qu’elle avait. Elle tamisa la lumière et alluma quelques bougies. - Enlève tes vêtements et installe toi ! - Isa, je suis gênée! - Mais de quoi ? - Je.. Je n’ai pas de culotte sous ma robe. - Ce n’est pas grave ! mets toi nue M. m’avait demandé de ne pas en mettre. Cela m’excitait. Mais là pour le coup je me sentais prise en flagrant délit. Sur le ventre, installée sur la table de massage, je prenais de grande respiration. J’avais si mal, ça tambourinait. Le médicament avait légèrement agi mais je sentais cette contracture. - Bien à nous deux ma belle. - Je vais te bander les yeux pour que tu sois dans le noir. Je sais combien on n’est pas bien quand ça tape dans la tête. Profite maintenant. Elle commença par positionner mon corps. Elle m’installa sous le ventre une sorte d’oreiller remontant mon fessier. Cela me faisait du bien au dos. Elle écarta mes jambes, mis mes bras le long de mon corps. A la première pression qu’elle exerça sur mes pieds, je sentis ce contact qui allait me faire du bien. Cette main masseuse, je la ressentais. Elle avait les mains d’une douceur et d’une certaine fermeté. Je sentis alors l’huile, qu’elle avait chauffé, coulée sur mes jambes. Elle commença par un divin massage des pieds. - Tu aimes ? - Oh… c’est si… - Maintenant profite. Je vais te faire du bien. Tu as une peau si douce, c’est un plaisir de te masser. - Humm.. merci Je sentais ses mains danser sur mes mollets, mes cuisses. Elle devait avec une vue sur mon sexe, j’avais une certaine gène qui ne dura que quelques minutes. Le plaisir de ses mains me faisant un tel bien. Elle effleura mes fesses, puis plus naturellement elle vint les masser. - Isa… je.. - Il y a pas mal de tensions dans tes fesses, je le ressens, juste ici… Elle toucha un point qui me rendit folle sans que j’ose l’avouer, sur la partie haute de mes fesses. Elle continua de les masser, de les malaxer. Cela me faisait de l’effet malgré moi. Je sentais les effluves de son parfum. Bien que je ne sois pas du tout attirée par les femmes, isabelle dégageait quelque chose que je lui enviais. - Voilà détend toi… - Humm.. ca fait tellement du bien Isa… Elle continua son ascension vers mon dos. Je n’attendais que cela même si sentir ses mains masser mes fesses me manquaient. Je me dandinais presque. Pour une fois que j’abusais de quelqu’un.. me faire masser. Que du bonheur. Ses mains si douces m’effleuraient, cela me détendait mais je sentais la professionnelle masser comme il fallait. Quand elle arriva à ma nuque, elle rabattit mes cheveux vers l’avant. Ses griffes se posant dans mon cuir chevelu., mes cervicales. Elle me grattait la tête, c’était divin, cette partie des cervicales si sensible. - Oh oui.. J’adore ça… humm. Tu me fais un tel .. bien Isa. Ma voix se perdait, la détente m’envoutant. Elle tirait légèrement sur mes cheveux, revenait masser mes cervicales. Placée devant ma tête, je sentais son ventre juste au dessus de ma tête. Ses deux mains avançant jusqu’à mes fesses pour remonter à nouveau vers ma tête. Ses mains expertes savaient où elles devaient aller. - Quelle cicatrice tu as ! Harrington ? - Hum hum.. - Je vois… Puis elle se mit sur le coté et effleura avec la pulpe de ses doigts mon corps. C’était si relaxant. Elle redescendit vers mes mollets et s’attarda ensuite sur le creux de mes genoux. Elle provoquait en moi quelque chose d’indescriptible ; Je me sentais mouillée malgré moi. Je voulus resserrer mes jambes - Garde les ouvertes ! Elle avait pris un ton doux et autoritaire à la fois. - Je n’ai pas fini. Elle monta sur la table, se mettant sur ses genoux à hauteur de mes pieds. Chacune de ses mains sur chacune de mes jambes. Elle continuait à masser, à exercer des petites pressions, remontant jusqu’au bas de mes fesses. Mes lèvres s’étaient entre-ouverte, ma mâchoire complètement détendue. Elle fit couler à nouveau de l’huile sur le creux de mon dos entre mes salières. - Hummm c’est … - Chut…. Elle prit de pleine mains mes fesses pour les enduire d’huile. Parfois, elles les écartaient en me massant, offrant à sa vue, je l’imagine mon petit trou. Dans ma tête, étais-je en train de rêver ou Isa voulait plus ? Je me sentais intriguée. Cela est une sensation unique pour moi que de vivre cela. Je ne me considère pas bi. Je n’ai jamais eu cette attirance, mais j’avais juste là, à ce moment là l’envie de me laisser faire. Ses doigts faisaient plein de petite pressions sur mes fesses, ses pouces étaient entre mes cuisses sans toucher mon sexe. Elle faisait monter mon excitation incontrôlable. Elle ne cessait ainsi de jouer avec moi sans toucher mon sexe. Mais peut être que ce n’était que mon imagination qui me jouer des tours. Son massage était de plus en plus intime. Elle prenait un soin particulier à rester autours de mes cuisses, de mon entrejambe. Ecartant outrageusement mes fesses avec la paume de ses mains, je rougissais. Je n’osais plus bouger, je me laissais faire car c’était si bon. Et si M. me découvrait ainsi ! Je commençais à vouloir me relever. C’est là qu’elle commença à poser 4 de ses doigts sur ma chatte. - Ne bouge pas…chuchotat-t-elle. - Laisse moi continuer à te faire du bien. Je reposais ma tête Je n’osais plus rien dire tellement ses doigts fins et doux me rendaient folles. Je décidais de lâcher prise. Elle caressait avec légèreté mon intimité jouant avec la pulpe de ses doigts, sa main toute entière. Remontant de mon clitoris à mon anus. Elle écartait, mettait des petites pressions me rendant folle. Je me dandinais, expier mon désir par des râlements. Doucement, ses doigts tournoyaient autours de l’entrée de ma petite chatte.. Je sentais combien j’étais ouverte quand elle m’enfonça un premier doigt. Dans une infinie douceur, ce va et vient, puis ce second doigt. Son autre main caressait mes fesses. Elle descendit alors sur mon petit trou et elle s’amusait à en faire le tour avec la pulpe de ses doigts. Un troisième doigt disparu dans ma chatte. Mon corps ondulait. Elle entrait, sortait, entrait sortait, pour rajouter encore un quatrième doigt, ressortant pour ensuite caresser mon clitoris et prendre ma mouille dégoulinante. Elle continuait de me masser tout en gardant cette main ferme qui faisait que je ne pouvais que me laisser faire et garder mes jambes écartées. Quand je sentis son pouce voulant entrer dans ma chatte, je gémissais. J'avais toujours fantasmer sur cela. Je sentais sa petite main se frayer un chemin en moi. Ma chatte lui cédait, ouverte, chaude et accueillante. Elle prit son temps à me fister. - Humm tout doux ma belle... on y est presque.. regarde comme elle rentre. Une fois à l'intérieur, elle commença par des petites vibrations. des vas et vient doux. Je gémissais encore et encore. Sa main se fît plus possédante, plus profonde, plus ferme. Quand elle se retira, elle caressa ma chatte de pleine main, pleine de mouille, d'huiles.. Elle se releva, pour se placer à coté de moi, sans que nous disions mot elle glissa sa main sous mon ventre. Elle caressait mon clitoris et de l’autre me doigtait. Elle entrait ses doigts bien en profondeur, me fouillant. Je gémissais toujours. - Hummm.. ahhhh… ahhhh.. Chaque coups de doigts allait toujours plus au fond. Quand elle resta bien au fond pour me fouiller, me masser de l’intérieur. Elle se stoppa soudainement et m'ordonna de me mettre sur le dos. Une fois sur le dos, elle se mit au dessus de ma tête. Elle commença alors par me caresser le visage. Elle descendait ensuite sur mon décolleté et saisi mes seins. Elle les malaxait, les prenant de pleine main. J’étais complètement huilée mais aussi à sa merci, sous son emprise. Tout glissait naturellement. JE gémissais. Elle tournoyait autours de mes tétons, les attrapant, sentant combien ils étaient dressés, gonflés par le désir et le plaisir qu’elle me provoquait. Elle tournait autours de moi et attrapa mes jambes. elle me tira vers elle vers le bord de la table et remonta mes jambes sur mon ventre. - Hummmm… entendais-je… - Ne bouge pas… tu es si divine ainsi. Elle caressa alors mes fesses repassant à nouveau sur mon sexe et me pénétrant à nouveau avec ses doigts. Cette fois ci je sentis sa bouche se poser sur mon clitoris. Je sentais sa langue l’aspirer tout en appréciant son doigté. J’aspirais ses doigts en moi. Je me sentais honteuse de profiter ainsi. car je n'avais pas envie d'elle comme elle s'occupait de moi. J'avais la sensation d'abuser. Elle se plaça la tête entre mes jambes et écarta mes petites lèvres. Elle donna de gros coups de langue et me pénétra avec. Elle commença à lécher également mon anus remontant jusqu’à mon clitoris. Elle était en train de me dévorer. - Ahhhh… Ohhhhhhhhh… je gémissais si fortement. Elle me possédait totalement, elle eut raison de moi quand elle me prit par l’anus. Des doigts dans la chatte, dans l’anus. J’étais au nirvana. Ses doigts inquisiteurs me prenait fermement. Je sentais sa poigne, mes seins subir chaque coup, remontant et descendant comme lorsque me baisait. Je gémissais encore et encore. Je n’étais pas loin d’être au bord de l’extase. - C’est ça ma belle.. détends toi ! - Ahhhhh… ahhhhhhh…… - Oh oui gémis, tu m’excites.. continue de gémir ainsi … Elle insistait encore plus quand elle retira tous ses doigts. Elle effleura à nouveau mon sexe. Je tremblais de tant d’excitation. Je ne savais pas ce qu’elle faisait j’entendais quelques bruits. Je sentis alors la froideur au niveau de mon anus. - Hummmm… ça rentre comme dans du beurre, je t’ai bien dilatée.. Je vais t’orner d’un magnifique plus en cristal dans ton petit cul. Elle s’amusa à le faire entrer et sortir tout en me suçant le clitoris, de me doigter Je n’en pouvais plus. Elle me fit exploser . Je jouissais fortement. Elle tenait alors mon ventre, tout en lâchant pas mon clitoris. Je ne m’appartenais plus. Ma névralgie avait complètement disparue. - Je pense que tu es bien détendue. Elle s’approcha de moi, et à mon oreille me dit. - Maintenant, on va remonter. Tu vas garder ce plug dans ton petit cul. Dis toi que Jean va sentir que je l’ai léché quand je t’ai brouté ta petite chatte. Tu t’es bien laissé faire, je dois le reconnaitre. Je lui dirais combien que je t’ai doigté et de fister. Je lui murmurait tout ça à l’oreille. - Isa.. mais arrête. Elle mit sa main autours de mon cou et continua. - M. va se demander pourquoi tu as un plug dans ton cul. Repense au bien que je t’ai fait à l’instant. Jean lui sera excité et M.tout autant j’en suis certaine. J’imagine combien il va te baiser et de prendre la chatte avec ce plug dans le cul. Tu seras accueillante et si ouverte.. je regrette presque de ne pas être là pour le voir.. Je me relevais, me sentant fautive, honteuse. - Relève toi et réhabille toi. Je reste ici, je veux être certaine que tu le gardes bien en place. Elle ne ratait pas une miette. Elle me regardait remettre ma robe. Je me sentais terriblement mal d’etre si trempée. Elle ne me laissa même pas la possibilité d’essuyer toute ma mouille. - Isa, je me sens honteuse! je ne suis pas attirée par les femmes.. je.. - Tais toi, j'ai eu envie de te baiser dès que je t'ai vu. Ne t'inquiète pas Jean va bien me baiser après. Elle me regardait avec désir. Elle s'approcha pour plaquer contre le mur et saisir mon sein gauche. - Tu n'es pas attirée par les femmes, mais tu adore te faire prendre de partout, homme ou femme.. Eh bien la prochaine fois je te baiserais avec un gode ceinture. Elle relacha la pression, je me sentais honteuse d'avouer que l'idée m'excitait. Elle m'impressionnait. Nous remontions les escaliers. - Ejh bien vous êtes parties longtemps les filles. Je rejoignais M. - Oh tu as l’air détendu ma chérie.. - Humm.. oui.. je le suis, répondais-je en baisant les yeux. Je vis Isabelle murmurant à l’oreille de Jean. Elle l’embrassa sauvagement. Ce dernier me regardant. Je le voyais regarder mon entrejambe puis il me dit - Tu as l’air en effet si détendu. Isabelle a des doigts de fée et une main de velours, je le sais ! Je vis son sourire et son regard mêlé d’excitation. M. Lui me regardait. Isabelle s’adressa à M. - Je lui ai ouvert ses chakras. - Ah oui ? tu sais Isa je n’y connais pas grand-chose. Je ne savais quoi faire. Le repas se fit alors que j’avais son plug dans mes fesses. Je voulus allez aux toilettes mais Isabelle me surveillait du regard. Pourquoi l’écoutais-je ? Au fond j’étais terriblement excitée par la situation. Comment avouez à M. que je m’étais laissée faire par Isa. Nous avons l’un pour l’autre cette transparence. Une ligne de conduite de tout se dire, nos envies, nos fantasmes. Mais celui-ci nétait pas dans ma tête. En disant au regard à Jean et à Isabelle, cette dernière murmura quelque chose à M. Il me regardait, ses yeux complètement éclairés. - Passez une belle soirée nous disaient Jean et Isa en même temps. Sur le chemin du retour M il s’arrêta dans sur un chemin de forêt. - J’ai terriblement envie de te sauter là. Il agrippa mes cheveux et plaqua mon visage contre sa queue dure. - Regarde l’effet que tu me provoques.. . Il me redressa puis me tenant par le cou me dit. - Caresse toi maintenant et raconte moi ! Je… je baissais le regard. Je lui racontais dans les moindre détails ce qui s’était passé avec Isabelle. Je voyais ses yeux briller. - Quelle salope tu es. Te faire lécher ainsi, doigter, et surtout faire! Je ne savais pas s’il m’en voulait ou s’il était excité ou les deux. - Va ouvrir le coffre de la voiture, maintenant. Tu mettras ta tête à l’intérieur et tu me tendras mes fesses. Tu m'attendras ainsi. Je pense qu’avec ce que tu m’as dit, ta chatte et ton cul sont bien béants. Je m’exécutais. Je plaçais mes mains sur le coffre, ma tête à l’intérieur. Je lui tendais mon fessier. L'attendant, offerte et suppliante. Sans aucun ménagement il vient vers moi. Il déboutonna le haut de son jean et sortit son sexe. - Remonte ta robe sur ton cul. Il commença à me caresser les fesses. - Humm si douce… si huilée, si trempée.. Il me donna la fessées avec sa queue. - Continue de me parler, comment elle t’a fistée. Pendant que je remontais ma robe, je ne lui avais pas encore parler du plug. - Oh.. sacrée Isabelle… Puis il me prit sauvement par la chatte. Il agrippa ma hanche. Sa frénésie à me prendre. Je compris combien cela l’avait excité. - Ainsi.. Isa t’a fistée et tu ne me dis rien ma salope. - AHh… ahhhhh… oui.. elle .. m’a….. - Je demande à voir cela la prochaine fois petite chienne ! as-tu aimé ? - Je… ahhhh… ahh… ooouiiiii. - Tu aimes que je te prennes comme ça avec le cul rempli - Ahh…. Ahhhhh… ouiiiiiiiiii… ouiiiiiiii.. monsieur. Il ne se contenait plus. Ses coups de queues si fermes. Il se retira et éjacula sur mes fesses. - Reste comme ça … Je sentais le sperme couler sur les fesses. - Hummm… hummm tu m’as bien vidé là…. Il m’aida à me relever et m’embrassa avec une infinie tendresse. - Dire que j’ai raté ça ! Je lui souriais. Il m’avait ôté ce poids de culpabilité. è - Je savais qu’isa avait des tendances bi, elle m’a confié qu’elle te trouvait jolie. Ne t’inquièe pas je ne t’en veux pas, tant que tu es toujours sincère avec moi. - Je ne savais pas comment tout de dire. Elle m'a aussi dit que la prochaine fois qu'on se verrait qu'elle me baiserait avec un gode ceinture. - Qu'elle perverse. Je veux voir cela! Tout était si simple, on pouvait se parler. Nous avions établi nos règles et nos limites. - Et pour te punir, on va rentrer. Tu vas te doucher et tu garderas ton plug.. si jamais l’envie de te posséder me reprends cette nuit….
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Par : le 28/09/21
Mon premier dominant a rapidement prononcé une phrase au début de nos échanges qui ne m'a jamais quittée. Et qui constitue le socle de la réflexion que j'ai envie de vous proposer aujourd'hui. De cette fenêtre que j'ai envie de vous inviter à observer sur votre rapport à la domination et/ou la soumission. Qu'il s'agisse aujourd'hui pour vous d'une meurtrière, d'une lucarne, d'une fenêtre standardisée, d'une baie vitrée ou de l’hôtel des courants d'airs. Cette phrase c'est : "La soumission se vit en conscience". Et j'ai envie de vous proposer de faire le parallèle avec la domination : "La domination se fait en conscience". Cette phrase a résonné en moi, un peu la à manière des 4 Accords Toltèques de Miguel Ruiz. Pas au sens d'un accord en tant que tel, quoi que... Mais plutôt dans le sens où, comme ce livre, selon que notre expérience de vie évolue, lorsqu'on relit cet ouvrage (ou cette phrase), notre niveau de compréhension s'approfondit et s'élargit un peu plus à chaque fois. Aussi, j'ai eu l'occasion de décliner ma compréhension de cette phrase issue d'un début d'éducation à plusieurs reprises, à différents niveaux, en les expérimentant ou en les observants au cours de discussions. Le premier niveau de conscience que j'ai à la fois expérimenté et observé est un niveau plutôt instinctif, primal, et assez réducteur car basé uniquement sur l'hédonisme. Bien qu'en soit, savoir que l'on aime ou pas se soumettre ou dominer, c'est déjà un premier pas important et difficile pour certains. Et cela est sans jugement, chacun met le temps qui lui est propre et juste à poser ses compréhensions sur lui même, compréhensions qui évoluent avec le temps. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime dominer/me soumettre mais je ne sais pas pourquoi. J'apprécie les sensations physiques et cérébrales que ça me procure, mais je n'identifie pas clairement les stimuli en cause, ni pourquoi." Nous sommes dans la dimension du corps, peut-être commençons nous à entrer dans celle du mentale. A ce stade, nos désirs sont encore assez inconscients. Les limites peuvent être assez floues et difficiles à définir, ce qui peut impliquer une éventuelle mise en danger involontaire de soi ou son partenaire à différents niveaux. J'observe ensuite un second niveau de conscience, là encore basé sur l'hédonisme, mais qui permet de valider ou d'écarter les pratiques qui nous attirent ou non, et une première approche des limites qui s'y réfèrent. L'esprit critique s'allume, notre système de valeur commence à venir s'intégrer dans notre rapport à la domination/soumission et dans le choix de nos partenaires. La pratique et les expérimentations permettent d'ajuster les lignes et les contours de ce qui nous plait ou non, ainsi que de ce que l'on est prêt à accepter ou non. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime donner/recevoir la fessée, attacher/être attaché, etc." On est plus uniquement dans le corps, la dimension mentale s'intègre, et l'on peut même commencer à conscientiser un "pourquoi de surface" de ce qui nous plait ou non dans telle ou telle pratique. Par exemple : "J'aime être promené en laisse en extérieur car cela renforce mon sentiment d'humiliation/d'appartenance, etc." Il est intéressant de noter à ce stade que tout le monde ne met pas le même ressenti derrière une pratique commune. Là ou certains se sentent humiliés, d'autres peuvent ressentir une forme de fierté, voire de l'indifférence. Ce qui nous emmène au prochain stade de prise de conscience que j'ai pu observer. Celui où l'émotionnel commence à entrer en ligne de compte. Je ne parle pas ici de l'émotionnel au sens "du lien" entre partie dominante et soumise, même si cela en fait partie ; mais plutôt de l'émotionnel au sens strict des émotions ressenties. Ici la personne mesure l'impacte de sa psyché dans l'expérience qu'elle vit et partage avec son partenaire. A ce niveau, il est possible d'établir des "liens logiques" entre les émotions ressenties et des souvenirs d'expériences passées. Ou de faire le lien avec des besoins que la pratique vient combler ou équilibrer en nous. Par exemple : "J'aime dominer car j'aime la sensation de contrôle que cela me procure, et que je ne peux peut-être pas exprimer dans certains autres domaines de ma vie." "La soumission m'apporte un moment de décompression, une soupape, un lâcher prise, dans mon quotidien ou je dois sans cesse prendre des décisions". On commence à toucher aux motivations plus profondes que l'on porte en nous. Il y a une forme plus ou moins poussée de lucidité sur ce que la pratique nous apporte, en quoi elle peut venir équilibrer un autre domaine de notre vie, ou sur ce que l'on y recherche. Je discute régulièrement avec des personnes qui me disent que le bdsm, la domination, la soumission, ne sont qu'un aspect récréatif de leur vie. J'avoue avoir un peu de mal à le concevoir strictement, car pour moi, nous avons toujours d'excellentes raisons de choisir telle ou telle activité/loisir/compensation. Simplement nous n'avons pas toujours conscience de ces raisons car nous nous portons un jugement négatif (consciemment ou non) qui n'a pas lieu d'être. Mais ça, ce n'est que mon opinion très personnelle, subjective, et fort heureusement discutable ;) C'est aussi à ce niveau qu'une relation profonde peut commencer à s'établir entre les deux partenaires, et qui sera fonction de la vision que ces partenaire en ont, de la direction et du contenu affectif qu'ils choisissent d'y impliquer. Enfin un autre niveau de lecture, peut-être plus "spirituel", porte à la conscience le sens de ce que nous expérimentons à travers l'exploration du bdsm, de la domination et de la soumission. Qu'il s'agisse de revisiter nos archétypes blessés pour mettre en lumière les parties de nous qui ont besoin d'être apaisées (effet "thérapeutique" de la pratique, permettant une reprise de confiance en soi par exemple que certaines personnes relatent), de se connecter/libérer les mémoires du collectif qui s'y rattachent, ou encore de prendre conscience de schémas répétitifs de notre existence un peu à la manière d'une pièce de théâtre dans le grand jeu de l'incarnation. Ces dernières propositions parleront à certains, sembleront perchées pour d'autre, c'est bien normal, nous parlons ici de nos systèmes de croyance. Ceci étant, selon le caractère et l'expérience de vie de chacun, je remarque que ces différents niveaux de conscience peuvent s'acquérir ou se croiser dans un autre ordre, s'imbriquer les uns dans les autres, voire se contre-dire. Dans la description de ces différents niveaux de conscience, j'ai fait le choix de ne pas parler de la dualité qui peut-être ressentie vis à vis des pratiques bdsm. Qu'elle se matérialise sous la forme d'une culpabilité plus ou moins appuyée, témoin bruyant ou silencieux des conflits intérieurs que nous portons ; ou qu'elle ne se matérialise pas du tout, car on se sent dans son alignement. Ce point est propre à chacun, encore plus propice à la fluctuation que les prises de conscience évoquées précédemment et fait l'objet de nombreux écrits déjà en ces murs ;) Voilà là réflexion que je souhaitais ouvrir ici. Merci à tous d'être ce que vous êtes
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Par : le 28/09/21
Un peu plus de deux mètres me séparaient du canapé sur lequel Mademoiselle était assise. Elle se leva, cravache a la main. La peur commençait à monter en moi. Je n’avais jamais vécu cela, et ne savais pas du tout à quelle intensité de douleur m’attendre. Debout devant moi, elle commença par caresser ma peau avec l’extrémité de sa cravache. Les épaules, le coup, le torse, les jambes, elle passa partout, zig-zaggant entre les pinces positionnées sur mon corps. Au passage sur mes jambes, elle s’amusa à mettre des petits coups de cravache sur l’intérieur de mes cuisses, ainsi que sur ma verge emprisonnée. Elle pris un peu de recul, et me fixa du regard. Ses yeux persans sondaient les miens. Ces quelques secondes de silences furent magiques, tant l’intensité de notre échange était puissante. Mais cet instant fut vite oublié quand elle se mis à s’amuser à retirer les pinces, une a une, avec son outil. Son geste était précis. Chaque pince enlevée était accompagné d’une douleur vive. Je sentais qu’elle se retenait, pour ne pas les retirer trop vite. Elle voulait faire durer son plaisir. Mais au bout de quelques minutes seulement mon corps fut démuni de pinces, à l’exception de celles placées sur mes testicules ainsi que celle agrippée à ma langue. Elle se colla a moi. Elle avait posé sa cravache sur le canapé. Une main me caressait les cheveux, alors que l’autre passait sur chacune des marques faites par les pinces retirées. Elle appréciait observer son œuvre. Elle descendit sa main sur mes couilles, meurtries par les pinces. Elle me mis quelques tapes légères sur mes bourses pour les faire vibrer. Mon regard implorait du répit, mais ce ne semblait pas être dans ses plans. Mademoiselle passa derrière moi. Je ne voyais pas ce qu’il se passait. Mon corps se raidit. Les ongles de ma tortionnaire, se plantèrent dans mon dos. Elle se mit a me griffer. De haut en bas. Elle n’appuyer pas excessivement, le châtiment était donc presque supportable, voir même presque agréable après la session de pinces/cravache. Cette courte séance de gravure, fut rapidement conclu par une intense double fessées. Elle revint face a moi. La pince accrochée à ma langue me faisait baver excessivement, j’avais honte. Mademoiselle saisi mon t-shirt, pour essuyer mon torse couvert de bave, puis se blotti contre moi. Son parfum m’enivra. Ses deux mains dans mes cheveux, elle me regardait. Le temps était suspendu. Elle retira la pince de ma langue avec les dents, la laissa tomber, et m’embrassa langoureusement. Wow quel moment. La douleur de la pince me tranchait toujours la langue, alors que la douceur de la sienne essayait de me calmer. Ce baise dura quelques seconde. Je n’osa pas passer mes bras autour d’elle. De peur de la décevoir, je les garda croisé dans mon dos. Apres avoir retiré ses lèvres des miennes, elle recula un peu et m’observa. « Alors, ça t’a plus, petite chose ? » « Oui, Mademoiselle. Merci beaucoup, ce fut magique, Mademoiselle. » « Que dirais-tu de poursuivre ? » « Avec plaisir, Mademoiselle. » Je ne savais pas a quoi m’attendre pour la suite. Son sadisme me faisait peur, mais sa passion m’envoutait. « Va te mettre devant le bureau penché en avant, les mains sur le bureau, croupe offerte. » Enivré par ce qui venait de se passé, je m’exécuta sans attendre. « On va reprendre le travail de ta rondelle. » Je l’entendit fouiller la caisse. « Malheureusement, je n’ai pas de plug plus gros a te mettre dans le cul. » Elle se tut un instant, avant de reprendre. « Enfin si, j’en ai un mais il n’ai pas disponible pour l’instant. » Me dit-elle sur un ton espiègle. Je l’entendais s’agitait vers le canapé. De peur de reprendre des coups de fouets, je n’osais pas tourner la tête pour observer. Elle s’approcha de moi. Je senti un gode caresser mes fesses. « J’ai des godes plus gros pour t’élargir le fion, mais là, j’ai juste envi de t’enculer petite chose. » Elle s’amusait a taper le bout du gode sur mon cul. Sans prévenir, une fois de plus, elle abattit ses mains sur mes fesses. Je ne pus m’empêcher de lâcher un cri de douleur. « Oh, tu t’es cru ou la ? » me dit-elle en haussant la voix. « Tu crois que tu peux bramer comme un cerf, à ta guise ? » « Je vous présente mes excuse, Mademoiselle. J’ai été surpris, et ne suis pas parvenu a garder cette surprise pour moi. » « Je m’en branle de tes excuses petite chose. », me dit-elle en me tirant les cheveux pour que je la regarde. « Avant de t’enculer, je vais te corriger un peu. » me dit-elle après m’avoir craché au visage. Elle alla se saisir du martinet posé sur le canapé. « Tu as droit à huit coups de fouet. Je veux t’entendre les compter, sans nous faire part de ta sois disant surprise. » Les huit coups fut plus forts que ceux auxquelles j’avais eu droit plus tôt. Quatre d’entre eux fut dédiés a mes fesses. Les quatre autres se concentrèrent sur le milieu de mon dos. « J’aimerai te faire confiance et pensé que tu ne vas pas te remettre a exprimer ta "surprise" oralement, mais je n’y arrive pas. » Me dit-elle en contournant le bureau pour se diriger vers son téléphone. « Chloé, excuse-moi de te déranger. Est-ce je pourrais te demander un petit service ? » « Oui, merci. Est-ce que tu pourrais me monter un bâillon boule s’il te plait ? » « Oui » « N’importe lequel ferait l’affaire. » « Oui, t’inquiète. » « Merci Chloé. » Se coup de fil fut pour moi l’occasion de voir Mademoiselle équipé de son gode ceinture. Il faisait une bonne taille, mais n’étais pas démesuré. Il faisait 25 cm de long pour 4-5 cm de large, a vu d’œil. Sous le harnais du gode, je pus apercevoir une culotte en coton gris souris, ornementée d’un fin liseré de dentelle blanche sur les bords. On frappa à la porte du bureau. « J’arrive », dit Mademoiselle en se dirigeant vers l’entrée. « Voilà, celui-là te convient ? » « Oui très bien! Merci Chloé, t’es une cheffe ! » « Dis-dont je vois que ça s’amuse ici. » J’entendis la porte se fermer sans un mot de plus. J’étais couvert de honte. Cette Chloé avait dû me voir, penché sur le bureau, offert. Même si elle ne m’avait pas vu, ses derniers mots ne sortait pas de nulle part. Elle avait du voir le gode ceinture de Mademoiselle, et avait dû faire le rapprochement. Je nu pas le temps m’apitoyer sur mon sort. Mademoiselle m’équipa du bâillon. « Voila, petite chose. J’espère que ça calmera tes ardeurs. » Le plastique de la boule avait un gout vraiment désagréable, mais je n’imagina pas un instant m’en plaindre. Le bâillon me fit rapidement baver. Mademoiselle s’en rendit rapidement compte et disposa à l’aplomb de ma bouche, mon t-shirt, afin de ne pas baver sur le sol. Je senti ses mains se poser sur mes fesses. J’eu peur de recevoir une nouvelle volée de fessée. Mais ce ne fut pas le cas. Elle joua un peu avec le plug dilatant mon anus, en faisant quelques aller-retour. Puis le retira complètement et le posa sur le bureau, devant moi. Mademoiselle se positionna derrière moi. Je senti un filer de lubrifiant couler entre mes fesses. Puis, le gode de Mademoiselle se frayât un chemin en moi. Elle commença par de petit va et viens, délicats et prudents. Rapidement le plastique du gode se faufila plus profond. Quelques instant après m’avoir fourrer, Mademoiselle parvint à enfiler l’entièreté du gode dans mon anus. Elle resta comme ça quelques seconde, surement pour me préparer a la suite. Cette sensation d’être rempli, je la connaissais. Ce plaisir d’avoir un objet phallique dans le cul, qui le remplis, mais qui ne bouge pas. J’adore. Je n’eu pas le temps de vraiment en profiter. Mademoiselle se mit a faire de grand aller-retour avec son gode. Utilisant tout la course pour me pénétrer, je l’entendais gémir de bonheur. Pour ma part, c’était moins rose. Les grands coups de gode que je subissais n’étais pas des plus agréable. Certes je m’étais déjà godé ou fait enculé, mais pas avec ce combo taille/intensité. Un jour un homme m’avait pris en levrette part terre, et m’avait baiser comme un lapin. Mais son sexe n’était pas aussi gros que ce gode. Je luttais intérieurement pour encaisse les assauts de Mademoiselle, sans broncher. Après quelques minutes de sodomie intense, le rythme se calma. Les mains de mon enculeuse caressèrent mon dos. Son sexe était toujours en moi. Ses mouvements de hanches faisait aller et venir tendrement le gode dans mon anus. Ce répit fut de nouveau perturbé par une fessée. Elle enfonça son gode au fond de mon âme, et se mis a me griffer le dos, tout en reprenant de grand va et viens. Je ne savais plus ce qui étais le plus supportable, la sodomie intense, le griffage de dos, ou la fessée entre deux coup de gode. Je bavais énormément sans m’en rendre compte. J’étais en train de m’abandonner complétement a Mademoiselle, devenant son pantin. Voyant que je commençais à trembler et que mes jambes étaient à deux doigts de cesser tout support, elle cessa toute activité. Elle enfonça une dernière fois le gode au fond de mon cul et se pencha sur moi. Ses bras m’entourèrent. Elle me fit comprendre, sans un mot, qu’elle voulait que je me redresse. Son gode toujours en moi, je me mis debout devant elle. Ses bras m’enlaçaient. Elle me pressa contre elle. Je senti même ses lèvres déposer quelques baiser sur mon dos et mes épaules. L’extrême contraste entre ce moment de douceur et ce qu’elle m’avait fait subir juste avant, était incroyable. Je ne saurais décrire la sensation de bien-être qui me traversa, tant elle était unique. Je senti ses bras me lâcher. En reculant, Mademoiselle fit sortir le gode de mon antre. Elle me fit me retourner vers elle, et me dit : « C’est pas tout, mais avec ces conneries, j’en ai trempé ma culotte. » Suite au prochain épisode.
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Par : le 21/09/21
Fière comme Artaban d’arborer ma laisse, je parade au soleil sur le parking, et Ton œil me regarde hilare que je sois rendue si dingue par la simple sensation d’un bout de cuir. Nous franchissons les portes à tambours et pénétrons dans la galerie commerçante. Une longue, belle et large galerie surmontée d’une verrière et ponctuée d’ilots de détentes comprenant bancs en bois et jardinières hautes et étoffées. Je me régale d’avance, j’en bave. Je trottine à Tes pieds tandis que Tu presses le pas jusqu’à l’entrée du supermarché, et nous franchissons enfin les battants. L’allée principale s’offre à mes yeux, je marque une légère pause mais Tu tires sur ma laisse. Divers stands ponctuent l’allée centrale, Tu me mets debout sans ménagements et exerces de légères pressions sur mes tétons pour commencer à les titiller. Mon regard se trouble d’emblée et le remarquant, Tu attrapes mon menton pour le diriger vers le vendeur d’un stand en lui indiquant : « n’est-ce pas qu’elle est une bonne chienne, cette petite salope ? ». Je supplie du regard mais : « dis-le-lui que t’es une bonne chienne, ma salope… » et malgré la honte je lève les yeux pour les fixer dans ceux du vendeur comme Tu m’as appris à le faire : « je suis une bonne chienne Monsieur », « c’est bien petite pute » et Tu me craches doucement dans la bouche « bonne chienne ». Tu m’emmènes ensuite voir la boulangère en tirant doucement sur ma laisse. Tu lui commande notre pain et plaisantes avec elle tout en caressant toujours mes tétons qui sont maintenant durs et sensibles au point d’être presque douloureux, alternant les mouvements, effleurages, et pressions, voire pincements progressifs. Je ne peux m’empêcher de gémir comme une chienne devant la boulangère. Tu souris ironiquement et abrèges la conversation pour m’emmener voir le poissonnier. Les sensations offertes à mes seins m’ont rendue complétement trempée et je commence à perdre la tête tandis que nous marchons côte à côte, moi avec Tes mains sur mes seins, gémissant et trémoussant mon cul sous les regards des autres clients. J’ai honte… mais j’ai du mal à me contrôler. On arrive devant l’étal du poissonnier, à qui Tu commandes notre poisson de la même manière, en me faisant gémir. Le poissonnier me fait un grand sourire, tandis que Tes mains malaxent mes fesses, rentrent sous ma culotte, et vont jusqu’à mon antre sentir à quel point je suis mouillée : « elle est à point, elle n’en peut presque plus » puis ressortent : « t’en veux hein… » Tu m’embrasses avec fougue, Ta langue caresse longuement la mienne : « pas tout de suite, petite chienne, montre-lui comme t’es sage d’abord ». Tu m’imposes la position, debout jambes écartées, penchée en avant, le cul bien cambré en arrière et m’administres quelques fessées « c’est ça que tu veux hein… » tandis que le poissonnier se charge de caresser et pincer mes tétons. Mon excitation et ma frustration sont telles que j’oublie toute retenue et me frotte à même le sol contre lequel je me suis laissée choir à quatre pattes, oubliant toute gène au milieu des clients. Voyant cela Tu me pinces légèrement les chairs en murmurant « quelle salope tu fais là » puis Tu me redresses violemment pour m'installer à quatre pattes sur le haut comptoir d’un autre stand très ajouré et visible, celui qui prépare des smoothies frais. Tu baisses mon pantalon. De ma mouille coule sur le comptoir et alors que mon cul allait reprendre sa danse frénétique sur son bois Tu le maintiens en position haute et y frotte le bout d’un gode bien dimensionné : « dis à tous ces clients ce que tu veux… ». A nouveau je redresse le menton, fixe l’assemblée et prononce d’une voix qui a l’obligation d’être assez forte : « je veux… que Tu me baises ! ». Tes yeux viennent se plonger dans les miens « c’est bien ma salope, tu vas l’avoir ma queue, mais pas tout de suite… c’est trop tôt ! » (petit sourire narquois de ta part) et enfin je sens le gode pénétrer doucement mon antre. J’ai tant attendu qu’immédiatement je m’active dessus mais Ton autre main m’immobilise le bassin « tsss… tu sais que tu n’as pas le droit de gigoter… tu dois te laisser faire » (et toujours ce sourire…), « sinon j’arrête ». Je tâche de me calmer, de « redescendre » un peu, alors qu’une vendeuse lèche mes tétons et prend plaisir à mon dilemme. Ma respiration ralentit tout de même et Tu m’aplatis le ventre et le bassin contre le comptoir tout en poussant le gode « c’est bien, t’es très sage ma petite pute. On va pouvoir continuer dans ce cas ».
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Par : le 21/09/21
Apres avoir retirer mes vêtements et les avoir déposé pliés sur le bureau, comme demandé, je revins vers Mademoiselle. Je me présentas cul nu, devant elle. « Avec la petite bite que tu as, on dirait que tu as des couilles énormes, alors quelle ne remplirait même pas ma main » me dit-elle sur un ton moqueur. Malgré une taille satisfaisante en érection, ma verge était plutôt ridicule au repos, il est vrai…. « On va prendre le Small, ça suffira » continua-t-elle avec son air moqueur. Elle saisi l’une des cages de chasteté posé sur la table, la retira de son emballage et équipa mon sexe avec. L’anneau emprisonnant mes testicules les serrait juste comme il faut. La sensation était plutôt agréable. « Tu ne la rempli même pas, avec ta petite queue. » Ma verge avait légèrement gonfler lors de mise en place de la cage. La douceur des mains de Mademoiselle sur mon intimité me faisait de l’effet. Mais ce début d’érection fut vite passé lorsque ces même mains commencèrent à tirer sur mes couilles et à leur donner des « pichenettes ». « Dis voir, comme tu es en pleine recherche de nouvelles sensations, est-ce que tu as déjà envisagé de jouer avec ton anus ? » « Oui Mademoiselle » dis-je timidement. Un grand sourire habillât son visage. « Tu l’as simplement envisagé, ou tu l’as déjà fait ? » « Je l’ai déjà fait Mademoiselle... A plusieurs reprise. » « Voyez-vous ça. Dis m’en plus ! » « J’ai déjà introduit dans mon anus des doigts, des sextoys, des bananes, des concombres, et… » « Oui ??? » « Je… J’ai déjà eu des rapports sexuelles avec des hommes . » « Bingo !!! » S’écria-t-elle. « C’est que je suis tombé sur une vrai petite salope. Et tu fais ça souvent ? » « Non Mademoiselle. Cela fait plusieurs mois, que je n’ai rien mis dans mes fesses. » « J’aimerai beaucoup jouer avec ton cul. Qu’en dis-tu ? » « Avec plaisir, Mademoiselle. Vos désirs, sont les miens. » « Mais quelle bonne petite chienne » me dit-elle en me tapotant sur la joue. « Mets toi a quatre pates sur la table basse, le cul par ici ». Je me mis en position. Ma croupe était orienté vers son bureau. La table n’était pas très grande. La position n’était pas d’un grand confort. Elle s’éloignât vers son bureau. J’entendis une porte de placard s’ouvrir. Je tourna la tête pour jeter un coup d’œil, mais me fit reprendre instantanément. « Regarde la table petite chose !!! » lança-t-elle. Elle revint avec une caisse en plastique transparent, qu’elle posa sur le canapé. Je pu apercevoir du coin de l’œil qu’elle était rempli de sextoys. Elle farfouilla, et tira quelques objets de cette caisse. Alors que je m’attendais a recevoir un plug ou tout autre objet phallique dans le cul, je senti une vive douleur me bruler les fesses. « A chaque fois que tu me décevras, tu auras droit a quelques coups de martinet. Pour avoir regardé ce que j’allais cherché sans ma permission, tu n’auras que 5 coups. Je veux t’entendre compter a haute voix pour les quatre restant. » « Oui Mademoiselle. Hmmmm, deux ». « Aie, trois » « Sans se plaindre, s’il te plait ! Tu n’as que ce que tu mérites ! » « Oui Mademoiselle. Quatre. » « Cinq. » A la demande de Mademoiselle, je gardais toutes expressions de douleur pour moi. Apres cette courte séance de fouet, je sentis ses douces mains caresser mes fesses, les écarter, les pétrir, puis de tout son élan, elle abattit ses mêmes mains sur mes fesses. Dans un énorme claquant, je senti une vive douleur parcourir mon corps. Je failli tomber de la table. « Celle-ci, c’était par pur sadisme, petite chose. J’aime beaucoup tes fesses, elles appellent à la fessées. » « Merci pour le compliment Mademoiselle » lui dis-je d’une voix tremblante. « Revenons a nos moutons. Ce que tu vois dans la caisse est ma collection perso de sextoys. » Je pouvais apercevoir, des godes et plugs de toutes tailles, ainsi qu'un un gode ceinture. Cependant l’objet qui retenu le plus mon attention fut la raquette de ping-pong. « Quel rapport avec les godes et autres jouets sexuels ? Est-ce que c’est pour taper avec ? J’espère ne jamais avoir la réponse a ma question. »me dis-je intérieurement. « Tu vas avoir l’honneur d’accueillir dans ton cul, des objets qui sont passé par le mien ! » « Merci Mademoiselle. » Elle prit un petit plug, l’enduit de lubrifiant, et l’enfila dans mon cul. « Ca rentre comme dans du beurre ! Ca confirme ce que je pensais, t’aimes bien ça, te faire enfiler, hein ?! » « Oui Mademoiselle, celui-ci est rentré sans encombre. » « On va passer à la taille au-dessus. » Elle retira le premier plug et enfonça aussitôt un second sans ménagement. Ce dernier était plus gros, mais rentra sans trop d’effort. « Avec ta connerie de tout a l’heure j’ai failli oublié », s’exclama-t-elle. « Bouge pas. » Elle retourna a son bureau. Alors que ma position sur la table basse commençait a devenir inconfortable, je l’entendis décrocher son téléphone. « Chloé, je suis en rendez-vous avec un client, comment dire… qui a besoin de beaucoup d’explications, sur des sujets un peu délicats. Est-ce que je peux te demander de ne pas nous déranger ? » « mmhhh » « oui, enfin, si tu as besoin tu peux m’appeler, pas de problème. » « oui, c’est… je t’expliquerai plus tard. » « On verra, peut-être oui. Je te tiens au jus si jamais. » « Ouai. Ca marche, merci, à toute à l'heure. » Je n’avais pas la moindre idées de ce que sa collègue avait pu lui dire, mais le ton de l’appel semblait léger et taquin. A peine ma réflexion terminée, qu'elle était déjà revenu au canapé. J’eu a peine le temps de voir qu’elle avait caché quelque chose dernière le canapé, mais je ne pu voir ce que c’était. « Debout ». « Enlève ton t-shirt, va le déposer plié avec le reste de tes habits et vient te mettre à genoux devant moi. » Je m’exécuta. Une fois à ses pieds, elle prit un petit sac en tissu dans la caisse. En le secouant devant mon visage, elle me demanda : « Tu sais ce que c’est, petit chose ? » Je n’en étais pas sûr, alors dans le doute, je répondis : « Non Mademoiselle. » « Et bien ce sont des pinces a linges. » me dit-elle en me montrant le contenu. « Debout, bras dans le dos, jambes légèrement écartées. » Une fois en position, je pris conscience, l’espace d’un instant de ce qu'il était en train de se passer. «J’étais là, nu, devant une femme ravissante. Obéissant à ses ordres, sans réfléchir. Quel pied !! » « Allo, allo !! T’es la petite chose ? Si ca t’emmerde tu me le dis !! » « Pardon Mademoiselle. » « T’étais dans la lune. Je ne veux pas que ca se reproduise. C’est compris ? » « Oui Mademoiselle. En fait, j’étais entrain de réaliser la chance que j’avais d’être avec vous en ce moment Mademoiselle. » « Awww Comme c’est touchant. C’est que tu es romantique, petit chose. C’est mignon. » Le répit fut de courte durée, elle se mit debout devant moi. Prit une pince, me fit signe de tirer la langue et y accrocha la pince. Elle saisit une autre pince, qu’elle vint placer sur mon téton droit. Elle s’amusa pendant les minutes qui suivirent a parsemer le haut de mon corps de pinces a linge. La douleur bien que pas agréable, était plus que supportable. Mais j’avais entendu dire quelques fois que la douleur était plus fortes lorsque l’on enlevait les pinces. « On verra bien, pour le moment ça va » me dis-je intérieurement. J’allais vite changer d’avis lorsqu’elle se mit accroupit regardant mon intimité d’un air sadique. Elle posa le sac par terre. Pris une pince dans une main. De l’autre elle tira sur la peau de mes bourses, pour créer du mou sur lequel accrocher la première pince. La douleur passa un cran. Elle s’amusa à accrocher 6 pinces sur mes testicules. « C’est pas mal, ca. » dit-elle en s’asseyant sur le canapé. Son regard balayait mon corps couvert de pinces. Sa bouche esquissait un léger sourire de satisfaction. « Tu sais ce que j’aime dans les jeux de pinces ? » « Non Mademoiselle. » « C’est de les retirer. A ma manière. » Elle passa le bras derrière le canapé, pour y attraper l’objet qu’elle avait caché un peu plus tôt. « Ma manière, c’est la manière pas cool pour toi ! Recul un peu. On va voir si j’ai pas perdu la main. » Suite au prochain épisode.
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Par : le 06/09/21
Emma, la plus sublime descendante des vikings est une génie en mathématiques. Son cerveau étrange ne calcule rien, il voit les solutions et nage comme les orques carnassières dans le glacial océans des équations, des symboles, des nombres. C'est ainsi depuis toute petite, elle atomise les cours de maths. Son père l'a élevée seule. Un éboueur de Stockholm imbibé en permanence de vodka russe de contrebande frelatée. C'est simple il ne dessoule jamais. Il a recueilli Emma, bébé, dans une poubelle. Il n'a rien dit à personne et la prise chez lui et l'a sauvée en lui donnant des biberons de lait comme il aurait fait avec un petit chat ou un petit chien abandonné. Emma adore son père adoptif, qui ne parle pas mais grogne, ronchonne ou parle avec des mots d'une seule syllabe. Un jour, elle devait avoir quatre ans, son père lui ramène un carton qui contient un système de jeu vidéo complet, récupéré dans un poubelle du quartier et sans doute cassé par un caprice de jeune qui n'a pas été capable de s'en servir. Emma a su très vite le réparer et elle est vite devenue une championne en toucher de commandes et de consoles. Elle a vite su comment pirater des lignes téléphoniques pour se relier à internet et de là, comment apprendre seule à la maison. Son père ne l'a jamais déclarée, de toute façon, les formalités administratives et son taux d'alcoolémie sont incompatibles. A seize ans, Emma est une fille d'une beauté scandinave rare, de longs cheveux blonds qui lui descendent jusque dans les reins, d'interminables jambes fines et musclées, un corps très souple et tonique, une top canon modèle. C'est à ce moment là qu'elle a rencontré le gros Peter. Son père adoré vient de mourir, même son cercueil pue la mauvaise vodka frelatée. les autorités suédoises découvrent l'existence de cette jeune femme incroyablement belle, qui a vécu caché jusque là dans cette tanière d'ivrogne en marge de la grande ville. L'affaire est vite étouffée mais à des milliers de kilomètres de là, dans une secte mormone très stricte, qui délire à vouloir baptiser tout le monde, le gros Peter, avec ses grosses lunettes derrière son clavier a vite su l'existence de cette Emma trouvée dans une poubelle. Le gros Peter est à l'informatique ce qu'Emma est aux mathématiques, ce sont deux génies. Ils n'ont pas besoin de se perdre en d'interminables réflexions, ils savent de suite voir les solutions se matérialiser dans leurs esprits. Dès les premiers échanges, ils savent qu'ils sont faits l'un pour l'autre et le gros Peter a de suite pris un billet d'avion pour la froide Suède et venir chercher la femme de sa vie. Ce spécialiste du piratage informatique a su bidouiller tous les fichiers administratifs pour "régulariser" Emma, l'épouser sans aucune cérémonie et lui obtenir un passeport. Emma s'est de suite sentie bien avec Peter, ce gros nounours à lunette, très timide qui comme elle adore jouer avec des consoles. Elle s'est de suite donnée entièrement à lui et surprise son époux, complètement inexpérimenté et puceau est monté comme un âne avec un énorme pieu de 30 cm entre les jambes. un héritage de son père polygame dans cette secte mormone. Après s'etre occupée de son père ivrogne, Emma a su prendre les manettes en douceur dans son couple et conduire le gros Peter au nirvana. Quelle chance incroyable pour lui, le puceau à grosses lunettes, se taper une des plus belles femmes du monde et l'aimer à la folie et comble de tout cela être aimé et chéri en retour. C'est ainsi que tous deux ont rejoint la mission lunaire de ce milliardaire qui veut conquérir les étoiles. Ce dernier ne recrute que les meilleurs et gros Peter et Emma sont bien les meilleurs dans leur domaines respectifs. Comme le milliardaire, peut être un E.T. incarné, ne veut plus dépendre de ces gouffres d'incompétence et de dilapidation des impôts que sont toutes les administrations du monde, il faut financer cette mission lunaire de façon honnête, pas en volant les contribuables. Il existera bien l'exploitation des ressources minières sur les corps célestes, mais en attendant, l'idée c'est de faire de la téléréalité dans l'espace, de faire de l'audience et de vendre de la pub, histoire de gagner de l'argent pour payer des impôts. La mission lunaire ne doit pas couter, elle doit rapporter. C'est toute la différence entre le public et le privé. Et gros Peter et sa femme Emma sont en charge de cela, cette téléréalité dans l'espace, avec tout ce qu'il faut pour captiver des milliards de followers sur Terre. Et pas de programmes nuls à chier comme ceux des missions Apollo, non, des trucs qui donnent envie de rester scotchés devant un écran et de ne vouloir manquer aucun épisode. Le commandant Besov réuni tout l'équipage dans son bureau. Là se trouvent Anna, le gros Peter et Emma, Erika et son épouse la sissy encagée définitivement Mat devenue Mattie. Il commence par foutre une bonne fessée à Mattie et à la mettre au piquet, cul nu, brûlant et d'un beau rouge tomate avec interdiction de se retourner. Ensuite il sodomise sans ménagement Erika, Emma et Anna dans cet ordre et il demande à Peter de faire de même. Les présentations ainsi faites, il oblige Mattie à nettoyer les femmes avec sa langue à genoux. Après cela, Erika empoigne son gros god pour lesbiennes sans harnais, enfile une partie dans sa chatte et défonce avec l'autre Mattie qui se met à hurler de plaisir et couler en abondance. Tout est allé très vite comme toujours avec le commandant Besov et personne n'a moufté un mot. -Voilà, les présentations sont faites. A présent: objectif Lune ! Vous aurez compris que cette histoire de téléréalité et de pubs dans l'espace ne sont que des illusions, des façades pour duper toutes les administrations du monde et ce, même si cela cartonne. Tous les états de la planète ou presque sont en quasi état de faillite permanente avec leurs fonctionnaires pléthoriques et toutes ces règlementations pour justifier des emplois qui ne servent à rien ou presque. De plus toute liberté réelle a disparu, c'est le monde de la surveillance au motif de la sécurité. Pour faire tourner cela, les rotatives de planches à billets tournent en permanence. Un argent illusoire coule à flots. L'extraterrestre, je blague, le pdg des big fucking rockets a vite compris comment l'aspirer avec les cryptomonnaies. Il a su tout créer de façon invisible, mais chut... Emma avec ses talents de mathématicienne de génie est vite devenue multimilliardaire et peut être même la femme la plus riche du monde, un comble pour une fille abandonnée à la naissance dans une poubelle. Le monde des cryptomonnaies n'a plus de secrets pour elle. Une incroyable siphonneuse. Elle fait profiter de ses talents tout l'équipage et le commandant Besov sait comment la remercier, avec une copieuse fessée devant tout le monde, cul nu sur ses genoux. Elle adore cela, être bien punie lorsqu'elle fait tout bien. La morale de cette histoire c'est que tout travail mérite un bon salaire.
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Par : le 03/09/21
Le commandant Besov est un mélange génétique entre un grizzly du Yellowstone, un ours polaire du Spitzberg et un mammouth laineux de Sibérie. Il est de ces hommes dont la seule présence fait peur. Il faut dire que c'est un tueur professionnel. Colonel et pilote d'essai dans l'armée de l'air russe, il s'est vite ennuyé. Besov aime le risque et le combat. Il a demandé à rejoindre le service des actions spéciales et il a été affecté à l'ambassade de Russie en Corée du Nord. C'est là qu'il a tout appris, auprès des pires assassins et experts en arts martiaux interdits de la planète. C'est dans ce froid petit pays que se trouve les plus grands maitres, ceux qui terrorisent les dirigeants les plus puissants de la planète et n'hésitent pas à les faire chanter, à les mettre à l'amende, comme de simples putes de trottoirs. Même le Roi Soleil, Louis XIV, avait du payer pour ne pas être assassiné, et ce n'est pas son fameux d'Artagnan qui aurait pu le protéger. Comme le milliardaire américain qui construit les Big Fucking Rocket, cherche toujours les meilleurs en tout et pour tout, c'est ainsi qu'il a été engagé pour commander cette mission lunaire privé, celle qui ouvre la conquête du système solaire. Et toutes les portes se sont ouvertes devant le milliardaire américain pour réaliser ce projet fou, et ce grâce aux talents de "négociateur" du commandant Besov. Ce dernier a en outre été chargé de recruter l'équipage pour cette première mission test, très périlleuse. Un saut dans l'inconnu, même avec l'assistance des meilleurs ingénieurs du monde. C'est ainsi qu'il a désiré s'adjoindre la collaboration d'Anna, une superbe italienne, très racée, de la plus haute bourgeoisie de Milan. Une tronche cette Anna, trois doctorats, un en médecine, un en physique et un en robotique. Une femme d'une intelligence exceptionnelle et pour ne rien gâcher, toujours célibataire et vierge. Les mecs, c'est pas son truc, du moins elle le croyait avant de rencontrer ce timbré de Besov. Elle travaille dans une grande industrie familiale et son bureau est bien gardé. Pourtant, un jour, Besov est là devant elle et un frisson de peur l'envahit aussitôt. Comment est il entré? Elle ignore tout des techniques secrètes apprises en Corée du Nord. Elle veut crier mais elle sent une force qui la paralyse. Elle ne peut plus bouger. Elle est parfaitement consciente et elle sait aussitôt que ce tueur qui est devant elle va la violer. Besov la plaque sur son bureau, la trousse, lui arrache sa culotte et la sodomise d'un coup violent. Elle veut hurler sa douleur mais aucun son ne peut sortir de sa bouche. elle est terrifiée. Et ce timbré de Besov lui empoigne les poils de sa chatte et les tire à lui faire très mal par devant aussi. Il prend son temps, la pilonne en cadence. Et tout à coup Anna sent l'orgasme monter, son premier. C'est si violent qu'elle se met à pisser sur la grosse main qui lui empoigne la chatte. Elle jouit encore et encore, elle est en proie à une sorte de crise d'extase. Comment avait elle pu se passer de cela, pendant toutes ces années d'études. Et ce barge de Besov se répand dans son cul désormais tout ouvert et même offert. Anna jouit de nouveau, tétanisée, empalée, embrochée comme une oie sur une rôtissoire. C'est divin! Besov, se retire, la retourne et l'embrasse. Elle aime ses lèvres chaudes, sa langue qui caresse la sienne. Elle sent qu'elle est la femme de ce malade mental, qu'elle est devenue sienne pour toujours. Besov la demande en mariage et c'est folie, elle accepte aussitôt d'épouser son violeur. Sa famille, de richissimes industriels milanais s'y oppose catégoriquement. Alors elle plie bagage et part se marier avec lui à Las Vegas, là ou les formalités sont simplifiées. Besov , la bête de Sibérie se révèle d'une grande douceur. Il prend son temps pour la dépuceler. Son original de mari l'emmène camper dans le Wyoming pour leur voyage de noces. Ils passent leur temps à faire l'amour et Anna, la sublime et chic bourgeoise se révèle vite être une bombe sexuelle. Elle a envie partout et tout le temps. C'est aussi une femme fontaine, généreuse en cyprine odorante. Besov, s'il peut être tendre aime aussi dominer sa femme. Parfois il la prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée et il sait faire très mal. Après, il l'attache à un arbre et la laisse méditer. C'est un fou. il adore la suspendre nue à des branches pendant qu'il fait rôtir des viandes près du feu de camp. Cela fait longtemps qu'Anna a compris qu'elle devait lâcher prise et obéir en tout et pour tout à son homme. C'est ce qui la rend le plus heureuse. Elle est la totale propriété de son Maître. Anna a vitre trouvé sa place dans l'équipage. Elle est le médecin et la navigatrice. C'est déjà beaucoup. Et pour une mission de six mois, il faut savoir tout faire à bord du gigantesque vaisseau d'acier, le Starship. Anna déteste les combinaisons spatiales et ne renonce pas au chic de jolie bourge milanaise, aux bas de soie fine, aux robes élégantes, à la lingerie qui rend fou d'elle son primate d'époux caverneux. Besov l'aime en jupe. il adore voir ses longues et si belles jambes, alors elle lui fait plaisir et aime se faire belle pour lui. Même en apesanteur, elle se maquille légèrement et cela rend dingue d'amour tous ceux qui sur Terre suivent cette téléréalité dans l'espace, retransmise plusieurs fois par jour. La beauté d'Anna est sidérale. Pendant le vol vers la lune, elle adore se lover dans les bras de son homme, sentir son érection contre ses reins, flotter dans la cabine, être bien, ne penser à rien. Avec son dom de mari elle se sent en totale sécurité. C'est comme cela, il est des hommes qui savent se sortir de toutes les situations dangereuses et les femelles se sentent toujours bien avec eux. Peut être parce qu'ils sont plus calmes et sereins, d'un courage en acier trempé. Besov n'a pas besoin de commander, c'est naturel chez lui. Il ordonne et tout le monde obéit. Et chaque fois qu'Anna obéit à son homme, elle mouille. Recevoir des ordres est un plaisir, cela la repose. Lorsque son époux la corrige, ce n'est jamais pour asseoir son autorité, il n'en a pas besoin. Non, c'est juste par plaisir. Ils aiment faire cela tous les deux. Besov ne se sert que des ses mains puissantes, il n'a besoin d'aucun artifice et il sait faire très mal. Anna aime sentir la douleur devenir plaisir. Elle coule facilement, une vraie fontaine. C'est à ce moment là qu'elle adore se faire empaler sans ménagement. Cela glisse tout seul en elle. Le grand fauve de Sibérie peut la dévorer toute crue dans les grands vides de l'espace. Elle se donne complètement. Elle est sienne pour toujours. La morale de cette histoire, c'est que pour soumettre une femme, et le Marquis de Sade a raison sur ce point, il faut d'abord la sodomiser.
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Par : le 31/08/21
Ca y est, ces putains de ricains ont réussi à construire cette putain de plus grosse fusée du monde, la big fucking rocket, un monstre d'acier plus puisant que la fabuleuse Saturn V du génie Werner Von Braun, mieux conçu que les dangereuses navettes, moins ringard que la SLS, ce gouffre à pognon des contribuables. Sont fortichs ces fonctionnaires pour aspirer le fric et le dilapider pour nous faire croire qu'ils sont utiles. Que ce soit aux USA avec la Nasa, en Russie avec Roscomos, en Europe avec l'ESA ou en Chine, c'est un gaspillage d'argent public qui dépasse l'entendement. Là c'est un privé, et non seulement cela marche, mais cela rapporte beaucoup d'argent, même après impôts. Pour les cosmonautes ou spationautes, ces $@$££ de fonctionnaires croyaient qu'il fallait recruter des personnes paisibles, pères ou mères de familles, bien sages et bien comme il faut. Déjà Youri Gararine avait montré qu'il n'en était rien. A se demander si l'on ne la pas envoyé dans une mission dont on ne revient pas, à cause de cela. Cool, j'adore, vous l'aurez compris, les fake news. Non, Youri avait raison avant tout le monde, normal, il était le premier. Ce qui marche bien dans l'espace, c'est les baiseurs, ceux qui aiment le sexe et sont plein d'idées pour s'envoyer en l'air. Depuis, cela fait partie des programmes de sélection. C'est ainsi que le Commandant Besov a été promu. Avec sa capacité à se taper toutes les femelles de la base, il est vite devenu le numéro un. C'est la première mission vers la Lune, le premier retour sur la Lune depuis Apollo. Les fonctionnaires de la Nasa se sont perdus en route et les privés en ont eu marre, ils ont décidé de tout faire eux même. La big fuking roket est prête. Un équipage composé de trois gros niqueurs et de trois nymphomanes délurées. Tous des scientifiques et techniciens de haut niveau, la passion du sexe, n'empêche pas d'avoir des neurones, c'est même l'inverse. Voilà, c'est parti. Une poussée colossale, des vibrations. Les trois nymphos ont le clito qui se dresse et les chattes qui mouillent. L'apesanteur est vite là. Une petite partouze pour se soulager, en off, communications coupées et il est temps de se mettre au boulot. Recharger les réservoirs dans l'espace, préparer le départ depuis l'orbite vers la lune. Cela donne des idées à la superbe Erika, une femme musclée, avec des seins généreux, comme deux obus pointés droit devant, une belle chatte poilue. De toute façon Erika ne supporte pas les combinaisons et préfère rester nue dans le Vaisseau spatial. Toujours prète à se faire tringler. C'est une dominante. Elle adore jouer au garçon et pilonner les deux autres femelles, des soumises et le joli petit cul de mat, au gros god sans harnais. C'est une experte et mat adore se faire prendre comme une femme. Besov lui a tous les droits et le cul d'Erika c'est son favori. Il est bien serré et très jouissif. Pour lui, les nanas doivent être prise par le cul, histoire de bien leur faire comprendre, comme le pensait le Marquis de Sade, que là est leur lieu de plaisir. La Lune est déjà là. Il faut poser ce monstre d'acier. La belle Emma, une blonde suédoise capable de réveiller les morts et de les faire bander, est aux commandes. Une championne du clito, c'est rassurant. elle pose le mastodonte d'acier sans problème. Pour la récompenser, Besov lui flanque une bonne fessée et la met au piquet, cul nu bien rouge. Elle adore cela, être bien punie devant tout l'équipage. Elle ruisselle et donc il faut la soulager. Le gros Peter avec son 30 cm s'en charge avec plaisir. Emma hurle, histoire de bien marquer le retour des hommes sur la Lune. Six mois sur la lune. Histoire de construire la première base extraterrestre humaine. Pour Besov, c'est le premier lupanar et comme personne ne prend de capotes, les trois femelles ont été copieusement fécondées. Ce n'est plus de la fécondation in vitro mais sur luno. Voilà, la morale de cette histoire, c'est que pour aller loin et vivre longtemps, il faut baiser, encore et toujours, jusqu'au dernier jour. @+
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Par : le 25/08/21
Charlotte se planta devant la glace de la salle de bain. Son visage était gracieux. Ses courts cheveux bruns et ses cils retroussés lui donnaient du charme. Elle était grande, mince avec des hanches étroites, des seins qui n'étaient pas imposants mais qui comblaient les mains d'un homme. Elle affleura les mamelons. Le mystère de leur épaisseur par rapport aux aréoles étroites l'intriguait depuis l'adolescence, mais ne lui causait aucun complexe. Leur sensibilité exacerbée était la source de bien des plaisirs. Ses mains étaient attirées par son ventre bombé. Elle ne résista pas, frôlant le nombril au passage. Du bout des doigts, elle lissa sa fine toison cuivrée avant de s'arrêter sur les lèvres de son sexe. Comme les mamelons, elles étaient longues et surtout épaisses, très sensibles aussi. Il s'agissait d'une caractéristique des hypersexuelles. Elle ne se considérait pas comme une nymphomane, mais comme une fille très sensuelle. Elle ne courait pas après tous les hommes qui passaient à portée. Elle parvenait sans grande difficulté à se satisfaire toute seule quand elle en avait envie. D'ailleurs, la dernière fois où elle avait baisé remontait déjà à une semaine. Elle amena ses mains sur ses cuisses fines, mais que la pratique de l'équitation avaient musclées. Elle se retourna, se tordit le cou en arrière pour examiner son cul dans la glace. Il était petit, mais rond et ferme. Il plaisait aux garçons. Juliette s'était certainement fait déjà enculer, alors qu'elle-même n'avait jamais essayé. Est-ce que cela lui plairait ? Probablement, mais elle n'osait pas tenter l'expérience. On disait que ça faisait mal la première fois. Elle se mit de nouveau face à la glace. Qu'attendait d'elle au juste l'homme d'affaires si elle acceptait sa proposition ? Qu'elle se comporte comme une pute, d'accord mais de quelle manière ? En traversant le VIIème arrondissement, le soir, elle voyait les voitures des filles qui tapinaient à la sortie des bureaux. Ce n'était sûrement pas ça qu'il voulait. Une telle pratique était bien trop vulgaire pour honorer la mémoire de son ancêtre courtisane. Elle songea qu'il lui avait raconté une belle histoire, mais qu'au fond elle ne savait pas si cela était vrai. Pourtant, son instinct lui souffla que l'homme était sincère. Charlotte se détourna du miroir. Elle inspira un grand coup. Ensuite, elle se dirigea vers la table de nuit pour prendre dans son sac à main son portable et la carte de visite qu'il lui avait remise. Elle commettait peut- être une bêtise, mais au moins celle-ci serait grandiose. Elle se demandait comment s'habiller pour se rendre chez lui. Après réflexion, elle opta pour un tailleur classique. Elle ne savait rien de ses goûts, mais il devait avoir l'habitude des secrétaires en tenue stricte. Quand elle arriva devant l'immeuble, elle eut un léger pincement au creux du ventre. C'était maintenant que tout se jouait: ou elle entrait, et son avenir était tracé, ou elle repartait et continuait sa vie comme avant. Elle fut tentée de faire demi-tour, mais elle se maîtrisa. Elle n'avait jamais reculé. Il y avait un interphone. Le samedi précédant, l'homme ne s'en était pas servi, mais lui avait la clef, elle non. Cependant, il devait y avoir aussi une caméra quelque part parce que quelques secondes à peine après qu'elle eut sonné, il y eut un déclic et aussitôt la porte pivota. L'appartement de l'homme d'affaires était un triplex, les chambres se trouvaient au second étage. Les tapis, la décoration, le revêtement capitonné des murs, tout était luxueux. Charlotte eut l'impression d'avoir mis les pieds dans une cage aux barreaux dorés. Une jeune fille les attendait dans la suite. La pièce devait faire quatre ou cinq fois la superficie de son modeste studio. Elle comportait en plus une salle de bain attenante. Après s'être inclinée, la jeune esclave ouvrit la grande armoire laquée. Les étagères étaient remplies de vêtements et de lingerie. Tous deux fixaient Charlotte qui eut le sentiment d'être une poupée aux prises avec deux êtres vicieux. Mais à sa propre surprise, ce n'était pas une sensation désagréable. Elle examinait les habits rangés dans l'armoire. Il y en avait trop, elle ne savait quoi choisir. Au hasard, elle prit un string, un soutien-gorge, un porte-jarretelle et une paire de bas noirs. Elle laissa la jeune fille la déshabiller. Elle savait depuis très longtemps que se déshabiller avec élégance et sensualité était un art. Elle ne soupçonnait pas que cela pouvait être vrai aussi quand il s'agissait de se faire déshabiller par quelqu'un d'autre. Les mains fines de la jeune esclave voltigeaient avec grâce. Elles semblaient l'effleurer à peine. Bientôt Charlotte se retrouva nue. Ce fut l'occasion d'apprendre les rudiments du massage. Doucement, la jeune fille appuya sur ses épaules pour l'obliger à s'allonger à plat dos sur le lit. Les caresses tenaient plus de l'attouchement que d'autre chose. Charlotte sentait déjà une chaleur voluptueuse remonter le long de ses cuisses pour atteindre le ventre. Elle décolla ses fesses du lit. Les doigts de l'esclave avançaient lentement, mais sûrement. Ils avaient atteint les genoux. Leurs caresses le long des cuisses affolèrent la jeune femme qui crut jouir avant qu'ils arrivent à son sexe. Le plaisir, à ce stade-là se rapprocha de la souffrance. Arrivée à l'entrejambe, l'esclave marqua une pause pour examiner de près le sexe de Charlotte. Elle paraissait intriguée par les lèvres très développées et la grosseur du clitoris. Charlotte ne résista pas quand la jeune fille lui prit la main, la lui posa sur le sexe. Honteuse mais incapable de se retenir, elle pinça son clitoris entre pouce et index et l'étira. Ce qui mit l'homme d'affaires en joie. Le plaisir montait dans son ventre, irrésistible. Elle cria, son corps tendu en arc de cercle reposant sur la nuque et les talons, avant de retomber sur le lit, molle comme une poupée de chiffon. Elle ne pouvait le nier, Charlotte avait passé une excellente nuit dans sa nouvelle chambre. Malgré tout, elle ne se sentait pas encore à l'aise. Que la jeune esclave lui apporte le petit déjeuner au lit, passe encore, mais qu'elle insiste pour l'aider à faire sa toilette intime, c'était autre chose. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, elle s'était toujours lavée seule. Cependant, elle dut céder à l'insistance de la jeune esclave. Elle devait admettre qu'en quelques semaines, sa vie avait beaucoup changé. Cette nouvelle existence ne manquait pas d'avantage. Outre le confort matériel, elle lui assurait une complicité avec des personnes partageant son intérêt pour le sexe. Une nuit, elle se leva pour aller voir ce que contenait dans le bureau de l'homme d'affaires une mystérieuse boîte. Elle aperçut à l'intérieur un martinet au manche incrusté de nacre. Elle ne pouvait le nier, la flagellation et le bondage exacerbaient dorénavant son imagination. Cependant, elle considérait que ça dépassait de loin la fessée à main nue. Mais la jeune esclave qui l'avait suivie dans la pénombre se plaça derrière elle. Charlotte s'efforça de se rappeler le détail des images, quand elle sentit le martinet se lever. Le premier coup claqua en travers de ses fesses. Charlotte eut un soubresaut et laissa échapper un soupir. La jeune fille avait mesuré sa force, mais frappé assez fort pour laisser des marques rouges sur la peau bronzée des fesses. Elle savait que mieux valait ne pas tricher avec celle-ci et son mentor. Alors, elle croisa le second coup. Une suite d'images lui revenait en arrière. Elle savait qu'il ne fallait pas frapper toujours au même endroit, mais cingler tantôt à droite, tantôt à gauche, tantôt en haut, tantôt en bas. L'essentiel était de bien rougir toute la surface des fesses pour qu'alors celles-ci s'échauffent en totalité. Le plaisir, à la fin, devait surpasser la douleur. Elle s'appliquait, consciente que l'homme d'affaires les surveillait grâce à une caméra. Progressivement, les fesses de Charlotte prenaient une teinte homard cuit. Elle remuait lascivement son fessier, laissant échapper des soupirs qui n'avaient rien à voir avec une plainte de souffrance. Encouragée, la jeune esclave, désormais nue, passa à l'étape suivante en frappant tantôt le haut, tantôt à l'intérieur des cuisses, juste sous la vulve, là où la chair est la plus tendre. Au premier coup, Charlotte avait poussé un petit cri, mais sans doute plus de surprise que de douleur car elle gigotait de plus belle. N'en pouvant plus, elle se laissa aller sur le bureau et demanda à la jeune fille de la baiser. Interdite, l'esclave en sueur, cessa de frapper, ne sachant que faire. Charlotte lui désigna le manche du martinet. Elle s'en voulut de ne pas y avoir pensé. Retournant la tige, elle la glissa entre les cuisses de Charlotte, qui se cambra s'efforçant de s'empaler. L'esclave fit aller et venir le manche le long du périnée entre les lèvres béantes du sexe. Puis Charlotte se mit à quatre pattes en courbant ses reins au maximum, et l'esclave enfonça le manche dans son anus. La jeune fille, lui pinça un mamelon. Charlotte poussa un gémissement, repoussa sa main, et se remit debout. Elle n'avait jamais imaginé un instant dans sa vie que ce serait une femme qui la forcerait dans la voie la plus étroite de son intimité. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/08/21
Vendredi Après une idée totalement loufoque de détournement de mes cravates, tu souhaitais revenir à quelque chose de plus « sérieux ». Parce qu’à la base, ces accessoires vestimentaires sont tout de même destinés à être noués. Et qui dit nœud et soumis, dit il y a certainement matière à contraindre ! Tu fais donc ton choix dans le prolifique stock que j’ai apporté dans mes bagages. A priori, ce sera une soirée « bleue ». C’est la dernière chose que je distingue avant d’être étendu à plat ventre sur mon inséparable nouvel ami. Chevilles et base des cuisses pour le bas, poignets et biceps pour le haut : il n’en faut pas plus pour m’immobiliser. A part de rouler, je ne risque pas d’aller bien loin, des fois que l’envie m’en prendrait, ce qui reste hautement improbable ! Tout compte fait, tu as besoin d’avoir accès à mes fesses. Qu’à cela ne tienne, il suffit de renouer mes bras au-dessus de ma tête : en plus, la cravate permet de dissimuler mon visage. Ces cravates sont multi-fonctions. Tu peux désormais utiliser tes feutres. Une fois n’est pas coutume, j’arrive à suivre une partie des lettres que tu es en train de tracer : il faut dire que tu avais levé le voile sur une petite partie de ton message. Mais pour le reste, résultat de l’inspiration du moment, je reste bredouille. Il faut que j’attende de voir les photos pour savoir ce que tu as encore pu inventer à mon propos. Soudain, je sens comme une pression sur mon dos. Tu viens de t’y installer à califourchon pour être à portée afin de m’infliger une bonne fessée. Par instants, je pourrais presque croire que tu as été percussionniste dans une autre vie. Les mains restent quand même une excellente alternative à tous les accessoires de ta collection, tout en offrant une sensation bien spécifique que j’apprécie particulièrement. Petit à petit, la température monte. Quelques griffes s’égarent sur mon échine : des premiers frissons mais pas de quoi me refroidir ! Surtout que tu sembles décidée à poursuivre sur la même thématique. Ta nouvelle spatule fait déjà son retour. Qu’est ce qu’elle est électrisante, surtout quand tu l’utilises du côté bombé. Etonnante cette différence de sensation entre pile et face : encore matière à varier les plaisirs (ou les sévices selon de quel côté du manche on se trouve). Derrière un traitement aussi mordant, la pauvre mini-tapette de poche fait bien pâle figure. D’ailleurs, tu n’insistes pas bien longtemps. Mon dos n’y réagit même pas. Du coup, tu préfères te saisir de ta main « artificielle » : celle en cuir noir. Avec elle, les impacts sont bien plus marquants. Il semblerait même que ton surcroit d’énergie ait raison de son intégrité : nous sommes bons pour la recoller avant une prochaine utilisation. :-). Par abandon de la main à la troisième reprise, tu n’as pas d’autre choix que de passer à autre chose. Ce fin mais ô combien électrisant contact aurait presque l’effet de me réveiller, quand bien même je ne dormais pas. Difficile d’identifier laquelle tu as saisie, mais ce dont je suis certain, c’est qu’il s’agit d’une des dernières baguettes. La morsure est particulièrement intense mais heureusement de courte durée, laissant rapidement place à de belles marques rouges bien rectilignes. Une fois n’est pas coutume, tu t’aventures bien au-delà du bas des fesses que je pensais déjà bien sensibles : les mollets le sont tout autant voir plus … C’est quand même contradictoire d’apprécier une morsure pourtant si intense ! La suite égare un tantinet mes sens. Ce lourd contact sur mon épaule gauche me laisse penser que c’est le gros flogger. Il n’en est rien : seulement un des martinets à lanières noires qui essaierait de se faire passer pour plus massif qu’il n’est ! Voici de quoi finir d’attendrir mes chairs. Tous ces préliminaires viennent de te révéler que je semble être dans une soirée propice aux marques. Il ne faut pas perdre une minute : vite, la langue de dragon. Il faut tout de même que tu insistes particulièrement sur mes épaules et le haut du dos mais je comprends que tu parviens à tes fins. A priori, les V de ta victoire ont dû finir par apparaitre. Mais c’est désormais l’appareil photo qui semble rechigner : je sens que tu t’agites avant que je retrouve mes couleurs d’origine. Ce serait bêta ! Pour conclure cette série chauffante et impactante, tu as choisi ce qui est peut-être ma gourmandise préférée, que dis-je ma drogue dure, dont je suis depuis bien longtemps totalement accro. Tu m’avais promis une séance de griffes intégrale et tu tiens promesse : des chevilles jusqu’aux bras, tu les fais courir. Comme d’habitude, je n’y résiste pas, je frissonne de plaisir, je ronronne de satisfaction … elle n’est pas belle la vie entre tes mains ? Je suis si bien que je reste encore de longues minutes, seul sur mon drap violet, redescendant progressivement sur terre. Cela me laisse aussi le temps de m’en déventouser : c’est sympa le vinyle mais on finit par y resté scotché. Samedi Apothéose de ces deux merveilleuses semaines à tes côtés, tu as opté pour une dernière contrainte avant que nous nous séparions … provisoirement. C’est une mise en scène qui murissait depuis plusieurs mois déjà. Effectivement, elle laisse assez peu accessible la victime une fois réalisée. La première étape est probablement la plus compliquée. Si les bas résilles s’enfilent bien (avec les années, j’ai pris le coup), il en va différemment avec les cuissardes. Heureusement, tu viens à ma rescousse pour lacer la seconde. Jusque-là, ça va encore, je suis assis. Une fois debout, je constate que je suis toujours aussi malhabile ainsi perché. Tu trouves pourtant que j’ai fait quelques progrès. Soit ! Je n’en suis pas encore à me déplacer seul en toute sécurité. Direction ton antre où tu as déjà mis en place mon meilleur compagnon de vacances. Ouf, enfin posé, je ne risque plus rien. Au pire je vais subir tes contraintes ….. il se trouve que j’aime cela. Merci pour le coussin qui va assurer mon confort pour la suite. Il est bienvenu avant que je m’installe, non sans mal, à plat ventre : pas pratiques ces gaines de cuir serrées sur mes jambes. Rapidement tu m’enfiles un manchon à chaque bras. Tant que l’accès est encore possible, tu insères le crochet anal à boules dans mon fondement. Une corde vient le relier à mon collier. Je n’ai désormais plus la moindre marge de manœuvre de ce côté-là. Et il ne risque pas de s’échapper. Puis tu reviens aux bras. J’ignore encore comment mais je sens que tu les relies l’un à l’autre, le plus serré possible. Je ne peux plus guère que les lever légèrement vers le haut. Tu termines l’immobilisation en nouant bien serré mes cuissardes, des chevilles jusqu’au bout des talons aiguilles. Bien évidemment, par la même occasion tu m’as fait relevé les jambes vers le haut jusqu’à les relier au crochet. Belle réussite, je ne peux plus bouger le moins du monde. En revanche, tu te régales à immortaliser ta réalisation sous tous les angles. A la fois pénétré et contraint, quel sympathique mélange ! Et quel chouette point final à ce séjour.
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Par : le 20/08/21
"La pauvre Julie fut traitée avec une fureur qui n'a pas d'exemple, fouettée, nue et écartelée avec des verges, puis avec des martinets, dont chaque cinglement faisait jaillir le sang dans la chambre. La mère fut à son tour placée sur le bord du canapé, les cuisses dans le plus grand écartement possible, et cinglée dans l'intérieur du vagin." "Histoire de Juliette ou les prospérités du vice" (marquis de Sade 1797) Emblématique des cuisantes corrections d'enfance, le martinet éveille désormais des instincts de soumission, délicieux instants de jouissance partagée, prélude à d'autres tourments ou de simples ébats amoureux. Instrument traditionnel de correction né et utilisé autrefois en France et plus généralement en Europe, l'usage du martinet pour fesser un enfant est cependant tombé en désuétude, assimilé désormais à de la maltraitance. Le faisceau de lanières qui le compose, échauffe le corps tout entier: le dos, les bras, les fesses, les seins, même les parties génitales (vulve, pénis). Plus d'un tiers de la population francophone, en quête de cinglantes séances de soumission pratiquerait la flagellation. Le tabou persistant, au moment d’avouer ces fantaisies érotiques, rares sont les langues qui se délient aisément. Paradoxalement, elle figure toujours au titre des "troubles paraphiliques" dans la très sérieuse étude médicale américaine, la DSM5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), comme diagnostiqués chez "des individus éprouvant une excitation sexuelle en réponse à une douleur extrême, à l'humiliation, à la servitude ou à la torture". En réalité, les nombreux adeptes peuvent se rassurer sur l'état de leur équilibre psychique car les critères de diagnostic, exigent que la personne éprouve une détresse, telle que la honte, la culpabilité ou l’anxiété liée à un fantasme sexuel, à des pulsions ou à des expériences sexuelles. Autant dire les choses clairement, les formes les plus légères de SM pratiquées entre adultes consentants, ne sont pas classées parmi les troubles étudiés. Le manuel exploité par l'armée de terre des Etats Unis fait en outre l'objet de vives critiques. Goûtons alors sans rougir (ou presque), aux délices épicés d’une séance de martinet bien administrée, en conservant à l'esprit, toutefois que le S/M est avant tout une jouissance mentale, un plaisir cérébral. Comme un jeu sexuel, un scénario érotique préalablement choisi, et consenti entre adultes consentants, mieux encore, consentants et enthousiastes. Exploration impétueuse d'émotions sensorielles inédites et saisissantes, la flagellation est l’occasion d’affirmer symboliquement les rôles au sein d'une relation S/M entre une soumise et son Maître, combinée à l'érotisme mental des jeux de pouvoir sexuel, elle apporte à leurs ébats une saveur nouvelle. Pratiquée de manière sûre, saine, consensuelle et ludique, la flagellation revigore une relation engourdie par la routine. Le martinet est un petit fouet, constitué d'un manche en bois d'environ vingt-cinq centimètres, équipé de lanières, au nombre, d'une dizaine en général, en cuir. Le martinet est similaire au chat à neuf queues, instrument à neuf lanières ou cordes longues, utilisé autrefois, par les forces armées, les institutions pénitentiaires dans l'empire britannique, et au knout de l'Empire russe. Au Moyen Age, jusqu'au XVIIème siècle, la peine de mort était prononcée et appliquée avec une extrême rigueur. Il fallut attendre le règne de Louis XIV pour qu’un certain officier supérieur nommé Martinet adoucisse les peines, léguant son nom au célèbre accessoire, instrument de nos plaisirs. C'est en effet un lieutenant-colonel, Jean Martinet qui, indigné des cruautés dont il avait été souvent témoin, eut la philanthropique idée de faire remplacer le fouet par de petites lanières fixées à un manche, plus inoffensives pour la peau, tout en imposant toutefois d' interminables exercices aux troupes, exigeant d'elles un respect absolu du règlement. Le nouvel instrument prit le nom de son inventeur, qu’il porte toujours aujourd’hui. Officier contemporain du célèbre Charles de Folard (1669-1752), l'officier supérieur Martinet, commandant sous l’armée de Louis XIV, mérite toute sa place à côté du stratège écrivain, par les changements révolutionnaires qu’il introduisit dans les manœuvres de l’armée, en modernisant le recrutement (suppression des mercenaires). Il est cependant fort probable que, sans quelques lignes de Voltaire, il serait à ce jour un illustre inconnu. L'armée du Roi Soleil ne comportait pas à l'époque d’inspecteurs d’infanterie et de cavalerie mais deux officiers de valeur, le chevalier de Fourille pour la cavalerie, et le colonel Martinet, pour l'infanterie. Précurseur également de la baïonnette, Il se distingua lors du fameux passage du Rhin chanté par Boileau. Ses inventions furent précieuses et décisives pour le monarque français lors de la partition de la Hollande. Utilisé jusque dans les années 1980, l'objet tant redouté des enfants, les tribunaux le considère désormais, au même titre que la fessée comme un instrument prohibé, de pratique répréhensible, punie par les tribunaux. La mégère Madame Mac'Miche l'infligeant sur le bon petit diable, Charles, de la moraliste Comtesse de Ségur, fait désormais partie des images d’Épinal. Tout comme la légende enfantine du Père Fouettard, dans le Nord de la France, et en Alsace (appelé Hans Trapp). Dans le sadomasochisme, on échappe toujours au plaisir, que pour être repris par le plaisir. Le martinet est un instrument de précision frappant de ses lanières la partie du corps décidée. Pour la Dominatrice, ou le Dominateur, il est primordial de prendre conscience de l'impact sur la peau. D'utilisation plus aisée que le fouet, indispensable est également d'apprendre à en contrôler le mouvement. Les lanières sont le plus souvent en cuir, en nylon, en tissus, en peau de daim ou de chamois, ou en crinière de cheval. La liste étant loin d'être exhaustive. Lors d'une séance de flagellation, il est conseillé de commencer par glisser doucement les lanières sur la peau. C'est l'indispensable période d'échauffement. Ensuite, les coups doivent être espacés et entrecoupés de caresses à l’endroit fouetté, en demeurant toujours attentive (if) aux réactions du partenaire soumis aux délices. L’injonction d’arrêter par l'emploi d'un safeword (verbal ou gestuel) mettant immédiatement fin à la séance. La personne soumise, ayant librement consentie, emportée par l'excitation de la séance, ou par le désir de satisfaire la ou le Dominatrice (eur), peut perdre elle-même le sens de ses limites. La dominatrice ou le dominateur, constatant que le seuil de tolérance est alors atteint, doit mettre un terme aussitôt à la flagellation, évitant blessures physiques ou mentales parfois irrémédiables. Rappelons que le safeword en amont est essentiel. Un simple code, visuel ou sonore permet de mettre fin aussitôt à la séance. les marques définitives ne sont acceptables que dans un processus ritualisé mûrement réfléchi, et consenti. Un onguent ou une crème analgésique font disparaître plus rapidement les traces, et calment la douleur. Sauf désir contraire de la soumise souhaitant les conserver comme marques fières d'appartenance. Quel qu'en soit le mode, rappelons avec force que frapper un corps humain n'est jamais anodin. La flagellation doit être considérée comme dangereuse. Il est indispensable, pour la soumise, ou le soumis, ayant librement consenti, de s'assurer de la technicité de la Dominatrice ou du Dominateur évitant ainsi désillusions ou blessures. Elle ou lui doit s'assurer que les lanières sont très fermement fixées à l'extrémité du manche. Pour la même énergie, plus la surface de la peau flagellée est concentrée, plus le dommage potentiel causé est important. Les lanières fines cinglent, alors que les lanières larges provoquent une sensation sourde. Concernant les techniques basiques de flagellation, quatre se distinguent généralement: - Le mouvement du poignet peut induire des coups par des lanières à plat. - Il peut provoquer un mouvement de balayage simple ou elliptique. - Il peut également entraîner des figures de rotation (attention aux risques d'enroulement). - Enfin conduire par un mouvement puissant, les lanières à frapper de manière sourde au même endroit. Le plaisir partagé tient tout autant de la ritualisation de la séance, de la mise à nu de la soumise, et de la posture choisie. La flagellation est un acte symbolique fort dans la soumission, comme l'union mystique de deux désirs par un instrument. Si l'expertise de la Maîtresse ou du Maître est requise, l'attention des deux partenaires l'est tout autant. "Une seule abominable douleur la transperça, la jeta hurlante et raidie dans ses liens, elle ne sut jamais qui avait enfoncé dans la chair de ses fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix avait compté jusqu’à cinq, ni sur le geste de qui ils avaient été retirés." (Histoire d'O) Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/08/21
"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles que la pornographie se plaît à inventorier. Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et sadique des partenaires en les unissant par un instrument. La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur, de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais autonome dans le BDSM. Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent. Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM. Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses. Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences. Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer. Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation. Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM. Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers. Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir la douleur et la cruauté dans la soumission. On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur). La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté. Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie. Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs. Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé. Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques. Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit. L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables. Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle. Sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants. Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité. Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles. Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples. Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse. Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants, les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire. Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles. Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante. Les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies. Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville. Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris, à les flageller jusqu'au sang. Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards et obscènes sur le raffinement de leurs débauches. Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir. Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre. Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue de dompter les élans de leur chair. De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié. Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse. Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître. Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses pour les ordres féminins. En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation. Quant au trop fameux marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique. La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments. Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite. Pour autant, l'Histoire est trompeuse. Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire son implantation dans l’ordre des plaisirs. C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens. La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel, de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts, a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit. Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place. Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir. Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue, dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures de soumission. Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion, chevilles et poignets entravés sur une croix de saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité, comme une proie. La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus, le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine. Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est. Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance, ne doit pas occulter la sécurité. La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire. De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation. En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger et plus la sensation est douce. Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés, pour des raisons évidentes de sécurité. Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté. Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté. Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter. Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement. En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections. Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles. Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre. De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée. Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter. A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle. Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance. Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme DANGEREUX. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. "O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O." Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/08/21
"O était heureuse que René la fit fouetter parce que sa soumission passionnée donnerait à son amant la preuve de son appartenance, mais aussi parce que la douleur et la honte du fouet, lui semblaient le rachat de sa faute." (Histoire d'O) Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage. Un soupçon de plaisir dissimulé a toujours pesé sur la flagellation. Une lecture historique dénote une constante évolution, au cours des millénaires et des civilisations, de l'attrait pour la puissance symbolique et la beauté brutale d'une pratique devenue incontournable. Á la ritualisation du supplice, pratiquée à l'origine, par une caste aristocratique grecque, célébrant la pureté des sensations excessives, s'est jointe une volonté de transgresser des mœurs sexuels, l'imposant par sa force érotisante, comme une véritable discipline incontournable, autonome et idoine, dans la rhétorique du désir. Dans la Grèce antique, la vérité et le sexe étaient liés par la transmission d'une connaissance d'un corps à l'autre. Le sexe servant, avant tout d'initiation pédagogique et d'apprentissage à des enseignements sophistiqués et précieux. Le degré de complexité du savoir dépendait de la sagesse et de l'appartenance souvent à l'élite. Certaines relations étaient axées sur le rapport élève/enseignant, d'autres comme à Thèbes sur la survie. L'étude des comportements sexuels, dans l'Antiquité, s'est trop concentrée sur la comparaison avec la vision moderne. Les historiens ne se sont pas hélas suffisamment penchés sur la richesse du discours de ces éléments constitutifs. La flagellation se rattachait plus globalement à un art de vivre, ne se résumant pas à une simple pratique érotique. Plutarque a écrit de nombreux récits historiques et lyriques sur les compétitions sportives de fouet spartiates. "Les garçons de Sparte ont été fouettés pendant toute la journée à l'autel d'Artémis Orthia, souvent jusqu'à la mort, et ils l'ont courageusement enduré, joyeux et fier, se disputant la suprématie sur l'un d'entre eux, il pouvait supporter alors d'être battu plus longtemps et plus souvent, et celui qui était victorieux avait une réputation très particulière." Andromède, fille du roi Céphée et de la reine Cassiopée fut la première femme à entrer en servitude. Enchaînée nue à un rocher, ce fut Persée qui la sauva. Euripide décrit Aphrodite ordonnant à Thésée de supplicier son fils Hippolyte. Les auteurs grecs et romains comme, Theopompus de Chios et Platon, qualifiaient les Étrusques d'immoraux. Dans les cités d'Étrurie, les femmes esclaves, lubriquement extravagantes, attendaient alors les hommes, pour subir, en place publique, nues et enchaînées, le supplice du fouet, avant d'être possédées sauvagement. Tite-Live légitimait la prostitution et le viol de Lucrèce, idéalisant la fidèle et vertueuse romaine. Le mari avait des rapports sexuels avec sa femme, des courtisanes libérées, ou des prostituées avant de se livrer à des scènes de débauche avec de jeunes garçons, éphèbes qu'il sodomisait. Les Romains l'utilisaient comme châtiment corporel, comme sanction pour punir des actes criminels, à l'aide d'un fouet, le "flagrum", à l'encontre de suppliciés avant de les crucifier en place publique. La fonction sexuelle de la flagellation apparaît donc en filigrane tout au long de l'histoire, dès le Kâma-Sûtra. Elle constitue un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé historiquement depuis le XVIIème siècle. Au début du XIXème siècle, Sade fit de la flagellation son châtiment de prédilection, lors de scènes de tortures d'une extrême sauvagerie, mêlant cruauté et fantasmes sexuels, décrites dans "Justine", l'une de ses œuvres les plus célèbres. L'écrivain libertin ne se contentait pas hélas de son imagination. Frédéric II de Prusse fouettait avec vigueur de sa propre main les femmes de la cour, ses favorites, pendant que Marcel Proust fervent adepte, lui même, décrivait dans "À la recherche du temps perdu", un baron de Charlus, inverti cultivé et aux goûts raffinés, le postérieur souvent allègrement rougi. Chez les femmes de pouvoir, jetant hélas leur dévolu sur des sujets non-consentants, après Messaline et Cléopâtre, Marie de Médicis (Pierre de Brantôme l’évoque) fut une grande manieuse de fouet, de même que Catherine de Russie. L'Angleterre, avec le déclin de l'Eglise catholique au XVIIème siècle, laïcisa la pratique dans les maisons closes. Le Roi Georges VI appréciait tout particulièrement la chaise fessée en prêtant son siège aux délicieux tourments. De nombreuses conférences étaient consacrées sur l'utilité et l'agrément de la verge par de ferventes Ladies appartenant à la meilleure société de Londres, désirant s'instruire dans l'art de la flagellation, mais surtout s'adonner à ce piquant et aimable passe-temps, avec de très jeunes filles susceptibles de correction. Détaillant avec d'infinies précautions, les postures idéales promptes à déclencher la jouissance, lors de fustigations, avec une inclinaison naturelle pour la position gomorrhéenne, seule capable d'emporter la majorité des suffrages. La victime mise à nu, les pieds et les poignets liées, les yeux bandés, était meurtrie jusqu'au sang par une longue et fine verge. Les lanières de cuir se promenaient des épaules aux chevilles, cinglant les endroits intimes et sensibles, en s'arrangeant pour lacérer la chair sans la déchirer. Les contorsions voluptueuses sous l'ardente meurtrissure exacerbaient le plaisir de la fouetteuse la conduisant à un état extatique. On employait alors indifféremment le fouet, la canne, la cravache ou le fouet, exceptionnellement la main réservée à la seule fessée. Le mot fouet, du XIIIème siècle, vient du latin "fagus", le hêtre, et signifie verge de hêtre. Le fléau, instrument pour battre le blé, signifie également châtiment adressé par Dieu. La flagellation inclut l'idée d'instrument, de mouvement, et d'action. On peut donc flageller son partenaire avec toutes sortes d'instruments: fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, câble électrique, paddles, battes, etc. La liste n'est jamais exhaustive laissant libre cours à l'imagination. Le fouet est constitué d'un manche de cuir tressé muni d'une ou de plusieurs lanières de cuir, de longueur différente selon les usages. Ses usages sont liés à sa composition. La longueur de la lanière permet de frapper le corps avec une redoutable précision en le meurtrissant. Mais manié avec prudence et dextérité, il peut lui apporter de chaudes voluptés, après une attention persévérante et soutenue. Dans les relations BDSM, la flagellation par le fouet, véritable rite initiatique, constitue un symbole fort de domination pour celui qui soumet. Elle est presque toujours pratiquée de façon légère, de manière à ne pas blesser gravement la personne qui reçoit les coups. Son maniement spectaculaire exige une très grande technicité, et une indispensable modération. Un fouet mal utilisé, ou en mauvais état, peut très rapidement cisailler la peau. Un entraînement préalable sur un objet inanimé est vivement conseillé. En claquant le fouet, le bout de la lanière émet un bruit caractéristique en dépassant le mur du son, le claquement. Il est craint car il procure une intense douleur et peut laisser des traces durables. L'objet provoque à sa simple vue, chez la (e) soumise (s), excitation, émotion avant même le début de la séance. Promené sur les parties sensibles ou génitales, il provoque un sentiment d'abandon total de la part de la soumise et d'adoration à la Maîtresse ou au Maître. La soumise n'est plus que corps et volonté abandonnés dans la soumission à l'être aimé. C'est un instrument de précision exigeant beaucoup d'espace car le porteur du fouet doit se tenir loin de l'esclave pour le frapper. La personne fouettée est nue et attachée sur un cheval d'arçon ou le plus souvent sur une croix de saint André. Les yeux bandés, elle ignore l'emplacement de l'impact suivant, de la caresse cinglante et mordante. L'ambiance faisant partie intégrante de la séance, surtout lors de la préparation et la mise à nu. Les coups de fouet placés et répétés peuvent conduire à l'orgasme. La flagellation par le fouet exige expérience et entraînement pour des personnes consentantes, conscientes et responsables. Conseils d'utilisation, de prévention, de mise en garde, de sécurité lors de son utilisation, seront étudiés lors d'un prochain article. Le martinet s'apparente au fouet d'une longueur plus courte, doté de multiples lanières, en général en cuir. Les sensations qu'il produit varient en fonction de la matière dont elles sont constituées, chameau, soie, nylon, de leurs nombres, de leurs dimensions et de l'usage qu'en fait le fesseur. La flagellation peut-être légère ou énergique selon les endroits caressés, mais doit toujours être précédée d'un échauffement. Appliquée avec vigueur sur une zone érogène de la soumise, la douleur dissipée peut faire place à une fulgurante jouissance. Elle s'adresse également à des partenaires consentants, conscients et responsables. La canne anglaise semble être l'instrument qui fascine le plus dans les séances de flagellation. Généralement en rotin et plus rarement en bambou, elle mesure entre un mètre et un mètre-vingt de longueur, pour des diamètres variables. Réminiscence d'un passé punitif, très utilisée dans l'Angleterre Victorienne du XIXème siècle, elle représentait l'autorité professorale ou directoriale. Facile à se procurer et discrète, entre les mains d'un fesseur expérimenté, elle devient un redoutable instrument de correction. Les vibrations enregistrées dans les organes sexuels, lorsque la canne s'abat sur la partie inférieure des fesses, peut de la douleur au plaisir, conduire à l'orgasme. La cravache plus ou moins longue, plus ou moins épaisse, de couleurs différentes, peut être décorée. Elle possède des formes variées de poignée et de claquettes. Elles est constituée soit de cuir soit d'un matériau synthétique. Sa flexibilité la rapproche de la canne, mais possède une boucle de cuir à l'extrémité du manche. Le dominateur peut choisir de n'utiliser que cette partie de l'instrument, ou de se servir du manche également. L'instrument est d'une redoutable efficacité sur les cuisses ou les fessiers nus. Rien n’est comparable à la cravache quand elle est bien utilisée. Indispensable de commencer doucement par échauffer afin de créer une sensation de brûlure profonde et sensuelle. Notons qu'Il ne faut jamais utiliser la cravache et le fouet au cours de la même session de soumission. Les coups de la cravache (ou du fouet) peuvent devenir de plus en plus forts, seuls alors les supplications de la soumise, son orgasme ou bien entendu le mot d'arrêt (verbal ou corporel) peuvent arrêter la séance. La chaleur progressive envahissant les fesses offertes de la femme soumise se transforme peu à peu en ondes bienfaisantes. Elle peut atteindre rapidement l'orgasme, voire plusieurs orgasmes consécutifs lorsqu'elle est prise immédiatement après. La flagellation peut devenir un acte d'amour, les deux partenaires n'étant pas séparés mais reliés par l'instrument. Le savoir-faire et la sensibilité sont bien entendu indispensables, mais l'attention portée à l'autre l'est tout autant. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. Les techniques, les parties du corps à fouetter, à ne jamais fouetter, ainsi que des conseils de mise en garde et de sécurité, à respecter pour un plaisir partagé, au cours de chaque séance seront étudiés dans le prochain article. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 13/07/21
De mon avis, l'un n'exclut pas l'autre, le coté sexuel n'étant à priori pas une souffrance ce n'est donc pas une pratique sadique en soit ? Tant qu'il ne comporte pas de "sadisme" (Sadisme Perversion sexuelle dans laquelle le plaisir ne peut être obtenu que par la souffrance infligée à l'objet du désir. Sadisme et masochisme.) Le sexe peut être une pratique DS dans la domination, devenir ou être soumise à, ne comporte pas de restrictions dans les punitions ou récompenses d'ailleurs. De mon avis (qui n'engage que moi) et c'est comme cela que je le pratique, il doit être scénarisé. Les images que vous voyez peuvent en être l'aboutissement, la finalité étant purement cérébrale, le D/s "vanilla" est plus pour moi plus du ressort de la domination "tantrique" sous réserve du mot dans son sens réel. Ceci dit effectivement, on voit depuis quelques années (l'apparition du sida entre autres) des versions plus ou moins édulcorée du D/s (On appelle aussi ça jouer à touche pipi avec un gant au bout d'une perche ou sans se mouiller les doigts. (l'image m'amuse.) Pour exemple, des soumises de ma connaissance aiment être offertes comme objets et pour autant ne supportent pas la douleur. Est-ce la pluralité masculine qui leur plaît ? Non pas vraiment, c'est uniquement le côté cérébral de la contrainte, devenir un objet ou cette espèce de peur qui les motive et les attirent, ce moment ou tout va basculer. Alors la PEUR est elle DS ou SM, les soumloves connaissent toutes ce moment où la trouille est là, sorte de vertiges, jambes qui flagellent, mais ce petit quelques choses qui pousse à aller un peu plus loin. (lors des premiers sauts en parachute à l'armée, ils appellent ça le pipi de la peur.). Dans tous les cas le seul but de ces pratiques (certaines) est le plaisir Partagé de la soummise et accessoirement celui du dominant, uniquement entre adultes consentant avec toutes les précautions d'usages. Public disgrâce, exhiber une soumise (dans des lieux appropriés, car l'exib public tombe sous le coup de la loi en France) Bound Gang Bangs, offrir une soumise attachée, avec un scénario, comme récompense après une privation d'orgasme ou comme punition. Device Bondage, pratiqué de différentes manières, pinces bougies, etc... Sadistic Rope ou shibari pour dominateurs très attachants et soumlove patientes Water Bondage, ou jeux d'"O" évidemment l'utilisation d'un jet haute pression relève plus du SM à mon avis et peut être extrêmement dangereux Fucking Machines, est il besoin d'expliquer ? Whipped Ass , fouet, cravache, paddle, fessées tout est question de dosage et de matériel Glory hole, À la base une pratique gay devenu plus courante de nos jours elle était une pratique DS avec un sac en papier ou une boite en carton troué sur la tête Il existe bien d'autres pratiques D/s, l'humain de manque pas d'imagination en la matière. Dogging, offerte en voiture, parking, routiers, garage Pour ce qui est des gifs que je mets, ils représentent un panel très incomplet de ce que peut-être le DS, je ne posterais pas d'image "sadique ", car je ne suis pas plus fan de Sacher-Masoch que du divin Marquis. Si un jour vous pratiquez ce genre de domination scénarisée (je vous donnerai plus de détail si vous voulez.) avec une soumise ou un soumis tentez l'expérience d'isolation sensorielle (bandeau) par exemple... Une fois, cette séance terminée demandé lui ce qu'elle ou il a imaginé (à condition d'avoir été sous le bandeau durant sans interruption), vous verrez ce que l'imaginaire peut faire dire, c'est assez impressionnant et édifiant, et ce retour vous donnera un excellent sujet pour une prochaine séance.
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Par : le 12/07/21
C’était un matin d’hiver. Cette aube naissante que j’admirais à travers la fenêtre. Les nappes de brouillard sur les champs dessinaient une toile vivante éphémère où les rayons du soleil essayer de se frayer un chemin pour colorer cette nature sauvage. Chaque saison a sa beauté, mais l’hiver semble figer le temps. Je m’apprête à partir un voyage que j’ai toujours rêvé de faire. Ces mois difficiles passés, je voulais respirer. Après ce moment d’égarement, je retourne à la préparation de ma valise. C’est toujours un casse-tête. Je souris toujours tellement je prends d’affaires. On ne sait jamais ce que les événements nous réservent, les rencontres inattendues, l’envie de rester dans une ville.. Je descendais les escaliers avec cette valise bien trop lourde. Je me disais bien qu’avec mon regard, des hommes m’aideraient à porter mes bagages. Il est bon d’être une femme. Je me rendis jusqu’à Paris, Gare de l’Est pour partir dans ce voyage fou, indécent que je m’offre. Habillée chaudement avec un manteau long noir, avec ce col en fausse fourrure, des gants en cuir et une chabka blanche sur la tête et chaussée de mes petites salomés fatiches , je me rend sur le quai de la gare d’où partais mon train. Ce train mythique, un voyage dans le temps. J’avais tant économisé. Quelle émotion de le découvrir. La teinte bleu, les lettres couleur or.. l’Orient Express - Bienvenue pour ce voyage pour Venise, Madame, entendais-je de cet homme vêtu d'un uniforme bleu et or. Je n’avais jamais goûté à tel luxe. J’avais ce regard d’enfant émerveillé. Poser mon pied sur la marche de ce train mythique m’avait fait un effet. Je prenais mon temps pour en savourer chaque seconde. On me conduit jusqu’à ma cabine. La cabine n° 11. Je n’en croyais pas mes yeux en découvrant l’intérieur de ce train. C’était plus beau que je n’avais pu l’imaginer. - Madame, voici votre cabine. Le dîner sera servi à 20h. Je suis à votre disposition. Je me prénomme Danielo. Je serai votre assistant pour votre voyage. Vous pouvez aller vous rafraichir dans notre voiture piano bar. Une fois que vous partirez dîner, je m’occuperai de préparer votre cabine pour la nuit. Je vous souhaite une belle installation. Mes mains ne purent s’empêcher de toucher les matières de cette chambre. C’était comme traverser le temps. Je commençais à m’installer et savourer chaque minute passée à bord. Je commençais tout d’abord par sortir la robe que j’allais porter ce soir. J’étalais mes affaires sur la salle de bain si petite, mais bien pensée. Je prenais une grande inspiration, je ne réalisais pas. Le train s’apprête à partir dans quelques minutes, il est 14h. J’ai prévu de quoi m’occuper durant le trajet. Ecriture et Lecture. Je sortis de ma cabine pour partir à la découverte de cette majesté. Je ne pouvais l’appeler autrement. A peine je refermais la porte de ma cabine, je croisai un homme seul allant à sa cabine. Il venait d’arriver. Mon regard se porta en premier lieu sur son chapeau qui lui donnait cette allure folle. Je baissais assez rapidement mes yeux, ne voulant pas être surprise à l’admirer. Puis en marchant jusqu’à sa rencontre, nous nous croisons. - Je vous en prie, Mademoiselle, passez. - Je vous remercie, Monsieur. Son regard pénétra le mien, en quelques secondes j’étais sous le charme. Ma timidité me poussa à rejoindre, avec une rapidité certaine ce fameux piano-bar. Mon cœur battait fort, je souriais. Son parfum était un véritable envoûtement. Etait- il seul ? - pourquoi est- ce que je suis partie si rapidement ? Pourquoi !!? me reprochai-je Arrivée avec excitation dans le piano bar je découvrais une pièce d’une telle beauté. Il y avait déjà quelques personnes installées dans ces magnifiques canapés bleu. Je me retrouvais à cette belle époque que j’affectionnais. Un serveur vint à ma rencontre, et me proposa de m’installer. J’avais envie de me pincer. Ce dernier me tendit une coupe de Champagne rosé accompagné de framboises et de maras des bois.. mes fraises préférées. Une atmosphère du passé régnait. Je me sentais tellement bien dans ce lieu. Mon esprit s’égara, mais je ne puis m’empêcher de repenser à cet homme que je venais de croiser. Je mis quelques framboises dans ma coupe de champagne. Mon regard se noya à les observer. J’adore l’effet que cela fait, de voir cette effervescence. Je savourais mon verre tout doucement.. Je scrutais la porte espérant secrètement l’apercevoir.. cet inconnu. Je ne devrais pas m’enthousiasmer ainsi. Un homme comme lui est forcément accompagné. Je ne devrais pas me réjouir autant. j’étais déçue,hélas, je ne le revis pas. Un pincement au cœur me rendit, durant quelques secondes, mélancolique. Je suis restée une heure, reprenant un autre verre de champagne. Mais pas d’inconnu en vu. Un brin nostalgique, je me levais pour rejoindre ma cabine et savourer son confort. Je déambule dans ce couloir fait de bois, matière si noble. Le train était parti il y a 30 min. Arrivée dans ma rame, Je pose ma main sur la clenche et rentre dans ma cabine. Quand soudain confuse, je me retrouve nez à nez avec lui. Je réalisais soudainement mon erreur. - Euh, désolée Monsieur, je me suis trompée de cabine. Quelle sotte je fais ! Veuillez me pardonner. Je commençais à repartir aussi vite que j’étais rentrée. - Cela arrive de se tromper, me dit-il avec un sourire taquin. - Je suis si maladroite, je suis confuse voyez-vous. Pardonnez -moi de vous avoir dérangé. - Oh mais vous ne m’avez aucunement dérangé. Au contraire. Je rougissais. Il avait un charme incroyable. Je ne pus m’empêcher d’admirer cet homme si classe, vêtu d’un costume bleu, sans parler du détail qu’il avait mis dans sa tenue. Puis il m’envoya un sourire si charmeur. Il était bien seul, pas accompagné. Avec mon regard malicieux, je lui renvoyais son sourire. J’étais envoûtée. Mon voyage prenait alors une autre dimension. - On peut dire que vous êtes une femme directe et aventureuse. Pénétrer ainsi dans ma cabine, c’est une première, me dit-il d’un ton taquin. - Oh… Vous êtes en train de vous jouer de moi. Cela est bien mérité. - Sasha, Mademoiselle, enchanté de faire votre connaissance. - Mademoiselle Lane.. Enchantée… ravie de faire votre connaissance. - Vous allez peut-être me trouver un peu cavalier, Mademoiselle. Mais êtes-vous prise ce soir ? - Eh bien, non. - Dans ce cas, vous l'êtes à présent. 20h. Je ne puis m’empêcher de sortir un oui plein d’enthousiasme. Il émanait de lui cette force, ce charisme du haut de sa stature. Il était grand. Je me sentais en sécurité sans comprendre pourquoi. - Je vous dis à ce soir, je vais prendre congé et vous laisser profiter de votre après midi. Je sortis honteuse de ma bêtise. Il a dû me prendre pour une cinglée. Je sortais en refermant la porte et j’émis un cri silencieux d’une adolescente qui a un rendez- vous. J’étais chipée, excitée. Ce soir, je me dis en plus de me faire belle pour moi, je me surprise à vouloir me faire belle pour lui. Je décidais à ce moment- là de me détendre dans ma cabine. J’avais tant envie de savourer chaque instant et cette envie d’être déjà ce soir. Je m’assis contre la fenêtre, et je voyais le paysage défilé. Je pris mon carnet, avec ce besoin de poser mes émotions par des mots. Mon esprit vagabondait. C’est alors que ne tenant plus, j’entrepris de commencer à me préparer pour la soirée exceptionnelle. J’aime beaucoup prendre le temps de me faire belle. Prendre le temps de me coiffer, de me maquiller, de mettre avec une certaine audace mes bas avec mes jarretelles, choisir une lingerie appropriée. Cela a toujours été pour moi un bijou caché. Mais ce soir, je le ferai pour lui.. peut-être qu’il ne le saura jamais. Je regardais le résultat dans le miroir. Je me trouvais assez jolie. J’étais en retard. Mais quelle femme ne fait pas attendre un homme?. La dernière touche.. Le parfum. Quel choix cornélien ! J’hésitais entre deux. Mais je savais au fond de moi lequel porter. Idéal pour un premier rendez -vous. Ne jamais trop en faire. Me voila prête. Juste avant de sortir, je m’emparais de mes gants en satin blanc. Mon cœur battait très fort. Je m’apprête à ouvrir la porte pour accéder à la rame suivante. Soudain, le train saccada un peu. Je perdis légèrement l’équilibre sur mes chaussures pailletée d’argent. Je sentis alors une main enlacée ma taille. Je sursautais. - Mademoiselle, il serait dommage de vous blesser. Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma robe. Quant à sa voix chaude et suave.. j’en perdais la tête. Que m’arrivai t-il ? C’est alors qu’il passa devant moi pour m’ouvrir la porte. - Mademoiselle, je vous en prie. Je ne pouvais cacher mon trouble. C'était animal, cette envie d'être à lui. - Prenons une coupe de champagne pour faire connaissance, qu’en pensez vous ? - C’est avec plaisir. Nous étions assis l’un en face de l’autre. Nous discutions de choses et d’autres. Tout était si simple, si naturel. Cette sensation de toujours se connaître. J’étais toujours en plein rêve totalement réel. La musique douce nous transportait. Nous n’arrêtions pas de rire, pendant tout le repas. Le temps défilé tout comme le train filait bien trop vite à mon goût. Il était temps de retourner à nos cabines respectives. Le cœur palpitant, j’avais juste envie de prolonger la nuit avec cet homme. Juste parler, se connaître. A mon grand regret, et très gentleman, il me raccompagna à ma cabine. Me baisa la main et me souhaita une très belle nuit. J’étais conquise devant ses manières, bien que j’eusse à ce moment une envie irrésistible de l’embrasser. Une fois le seuil de ma cabine franchi, je découvris que la banquette lit avait été mis en place. J’allumais cette lampe qui rendait une atmosphère chaleureuse à cette pièce. Malheureusement je n’arrivais pas à tenir en place. J’avais juste envie de sortir et d’aller frapper à sa porte. Il était si difficile de se retenir. C’est alors que j’entendis des bruits de pas à ma porte. Je vis un billet se glisser sous ma porte. Intriguée, je m’avançais pour le récupérer. « Pour que cette nuit continue, accepteriez vous une danse ? Vous savez où me trouver. S. Mon cœur battait encore plus. Je serai folle d’y aller, mais folle de ne pas y aller. Profiter de la vie, de ce moment présent. C’est alors que je pris mon courage à deux mains, serrant ce billet contre ma poitrine. Je passais rapidement me refaire une beauté, regarder si ma tenue est impeccable. Je me parfumais une dernière fois. J’étais toute tremblante en repassant le rouge à lèvres rouge, sur mes lèvres entre-ouvertes. Je pris une grande respiration. Ajusta mes cheveux. Je toque trois coups à sa porte. Il me donne un sourire tellement charmant. Son regard plonge dans le mien. La température monte tellement il me fait de l’effet. Il avait pris soin de mettre une musique de fond, qui nous transportait. C’est alors qu’il me tendit sa main. - Puis je ? C’est alors que je lui tendis la mienne. Le temps s’arrêtait. Il se pencha pour y déposer un doux baiser. Avec assurance il me tira à lui. Je frissonnais. Comment cacher mon émoi ? Ce fut le début de cette danse. Je sentais sa main en haut de mon dos. Sa joue se rapprochant de la mienne. Il était indéniable que le désir apportait une tension. Soudain sa main caressa mon dos. Je frissonnais à sa caresse. C’est là que je sentis sa bouche s’approcher de mon oreille - Vous êtes très séduisante, Mademoiselle Lane. Le savez-vous ? - Je.. je peux vous retourner ce compliment Sasha. Il remis une mèche de cheveux derrière mon oreille avec sa main droite, sa bouche douce sensuelle se perdit dans mon cou. J’aimais sentir son souffle. Puis son étreinte se fit plus intense et il m’empoigna avec fermeté les cheveux. Et d’une extrême sensualité m’embrassa Fougueusement. Je lui rendis son baiser. Mes jambes tremblaient.. intensément. - Je vous veux. Terriblement, me confessa- t -il. Je doute de pouvoir rester un parfait gentleman à vos côtés. - Vous êtes un parfait gentlemen, mais je ne vous garantis pas de ne pas être moi-même une Lady. Quand il souriait.. je fondais.. sa bouche était un appel au crime. Il se dirigiea vers le mini bar. Il se servit un whisky. Puis alla s’asseoir. D’une voix ferme me dit - Continuez à danser. Je suis si piètre danseur, je préfère vous admirer. Il prit une gorgée. Je l’observai. Je continuai à danser seule, tout en le regardant. J’étais là en train de danser, à me rendre lascive. Je promenai mes mains sur mon corps, d’une manière suggestive. J’imaginai que c’était ses mains qui me caressait. Je fermais les yeux pour apprécier ces caresses, puis je les ouvrais en le regardant droit dans son regard de velours. Je voyais ses lèvres se pincer. Je m’avançais vers lui. De mon genou, j’écartais ses jambes qu’ils avaient croisé. Toujours son verre à la main, je lui pris pour y tremper mes lèvres. Je descendai à hauteur de ses lèvres pour tendre mes lèvres.. L’effleurer. Il allait rendre mon baiser quant il comprit que je le taquinais en me relevant. - Petite joueuse, vous ne le paierez… me sourit il - Ah oui ? je ne vois pas de quoi vous parlez… Puis, de ma main j’entrepris de décroiser ses jambes. Mon genou se plaça entre pour jeter de part et d’autres ses jambes. Je me plaçais entre. Je me mis dos à lui et je descendais progressivement en m’ondulant avec sensualité. Je m’assis juste devant lui. Je sentais son désir entre ses jambes. Il ne pouvait voir le sourire qui se dessinait sur mon visage. Je m’amusai à onduler, à l’exciter sans qu’il entreprît de me toucher. Je le sentais qu’il savourait son whisky sans rater une miette du spectacle. C’est là qu’il me caressa les cheveux. Je sentais sa main me caresser le dos, puis remonter jusqu’à mon cou.. Sa main prenait possession de ma gorge. J’aimais sentir cette etreinte qui me rendait folle. Puis il m’attira en arrière et me dit à l’oreille - Vous êtes une très.. très vilaine fille. Mademoiselle Lane. Vous savez ce qui arrive au très vilaine fille qui joue avec le grand méchant loup ? - Non, dis-je avec une pointe de taquinerie. - Eh bien vous allez le découvrir me dit il avoir un sourire presque machiavélique.. Tandis qu’il me maintenait la gorge, je sentis que de l’autre, il defaisait sa cravate. - Vous allez être à moi, vous êtes à présent mon objet de désir. Je vais faire de vous ce que je veux. L’acceptez-vous ? Je.. (mon cœur palpitant par tant d’érotisme).. Je veux être à vous. Faîtes de moi ce qui vous plaît. - Vous m'appelez Monsieur. Fermez vos yeux. A présent, je vous interdis de parler, sauf si je vous l’y autorise. Est-ce bien clair ? - Oui, Monsieur, c’est très clair. -Si vous n’obéissez pas je serai obligé de vous punir chère Mademoiselle Lane Je.. (rougissante)… Oui Monsieur. Je sentis qu’il me bandait les yeux avec sa cravate. Toujours en me maintenant par la nuque, il me releva. Il me fit marcher ainsi jusqu’à la porte. Il plaqua mes mains contre celle-ci, au dessus de ma tête. - Ne bougez pas. Je sentis ses mains inquisitrice partir à la découverte de mon corps. Tout d’abord sur mes chevilles, il remontait le galbe de mes mollets. - Tenez votre robe ma chère. Je veux voir votre cul. Je descendai alors mes mains dans les dos pour tenir le bas de ma robe et lui offrir la vue sur ma croupe. Il continuait sa découverte. Arrivé à hauteur de mes bas, je sentais ses doigts pénétrer l’intérieur pour y caresser ma peau. Il me rendait folle. Ses mains si douces. - J’ai envie de vous voir indécente.. très indécente. - Je.. - Vous ai-je autoriser à me répondre ? C’est là que je sentis sa main s’abattre sur mon fessier à plusieurs reprises. - Restez dans cette position, vilaine petite provocatrice. - J’aime punir l’insolence et vous n’attendez que cela. Être punie. N'est ce pas Mademoiselle Lane? Répondez. Oui... Monsieur, avouais- je. D’un geste rude, il déchira ma culotte. C’était si.. intense. Il m’hypnotisait. - Cambrez-vous, penchez-vous. Je sais que vous attendez que cela. J’allais lui offrir une vue sur mon sexe, Offerte à son regard unquisiteur. - Quelle belle chienne vous faîtes. Vous remplir avec ma langue, ma queue sera un réel bonheur. Dîtes- moi que vous êtes ma chienne. - Oui.. Je suis votre chienne, Monsieur. - Je n'ai pas bien entendu me railla t il. - Oui.. Monsieur, je suis votre chienne D’un seul coup, je sentis deux doigts pénétrer la chatte, sans ménagement. Il effectuait des vas et vient. Que vous êtes trempée. Je doute que ces deux doigts suffissent pour vous remplir comme vous le méritez. Je vais en rajouter autant que votre chatte dégouillante en souhaite. Il s’approchait de mon oreille. - J’aime vous baiser ainsi. Sentir votre chatte qui se dilate. Vos trous sont ma propriété. J’étais honteuse de m’offrir ainsi à un inconnu rencontrer quelques heures plus tôt.. Il a ce côté animal qui me donne envie de lui appartenir. - Retournez vous et agenouillez vous. - Défaîtes tout de suite mon pantalon. Votre bouche a été un appel au crime durant cette soirée. Voyons quelle sont vos talents de petite suceuse. Il était rude dans ses gestes et sa voix. Cela ne me faisait que mouiller encore plus. Puis il pris mes mains pour les plaquer sur son sexe. - Sentez dans quel état vous m’avez mis. - Ouvrez votre bouche, Mademoiselle Lane. Il y mis son sexe sans ménagement et me baisait par la bouche, me soumettant le rythme grâce à ses mains sur ma tête. C’était érotique car je sentais son sexe dur me prendre, grossir. J’entendais ses soupirs de plaisir. J’aimais sentir son corps frémir. Avec la privation de ma vue, mes autres sens étaient plus en éveil. Dès qu’il me touchait cela ne faisait qu’augmenter mon excitation. Puis il me releva, me plaqua contre la porte et m’embrassa fougueusement tout en tirant mes cheveux en arrière. Il passa sa main sur ma joue, sur mes lèvres, sur mon cou avec une telle douceur. Il saisit mes seins à travers ma robe. Avec un geste assuré, il dégrafa ma robe pour la faire tomber à mes pieds. J’avançais dans le noir, il était mon guide. Je sentais sa bienveillance. Il m’assit sur son fauteuil. - Relèvez tes jambes .. voila.. ainsi c’est parfait. Ne bougez pas. Ma respiration était saccadée. Je me sentais à la fois honteuse d’avoir cédée si facilement à cet homme et si excitée par qu’ il était. Quand soudain, je sentis sa langue se poser sur mon clitoris. Je poussais alors un long soupir. Sa langue joueuse, aventureuse.. Je gémissais de plaisir, comme une bonne petite chienne. - Cessez de bouger. Je ne veux pas entendre un seul son, sinon je serai obligé de vous baîllonner. D’un seul coup, je sentais ses doigts s’insérer en moi tout en continuant à me lécher. Je ne m’appartenais plus. Je mouillais tellement. Il était fougueux, habile de son langue, de ses doigts. J’étais au bord de la jouissance quand il s’arrêta. Je poussais un cri de protestation. Il fît alors descendre sa cravate sur mon cou. Puis me releva en la tenant à la main. l avait ce côté animal… Mâle, dominant, qui m’avait tout de suite plu. Cela ne s’explique pas. Un sentiment d’appartenance, de désir, de passion dès notre premier regard. Il prit fermement en main la cravate et l’enroula dans sa main. Il me forca ainsi à le suivre vers la petite salle de bain. - Posez vos mains sur le rebord. Tendez bien vos fesses. - Regardez vous Mademoiselle Lane ! Tellement belle, tellement élégante, tellement putain. Demandez moi de vous prendre sur le champ. Je me sentais interdite de le faire, presque honteuse et pourtant j’en mourrai d’envie. D’un seul coup il me fessa comme une mauvaise élève. Un cri s’échappa. Puis une seconde fessée.. une troisième.. Alors, Mademoiselle ? Il passait sa main sur mon fessier rouge. C’était d’une douceur. C'est alors qu'il était derrière moi, tenant ma tête par les cheveux, me forçant a le regarder à travers le miroir. - Regardez moi dans le miroir, et demandez moi de vous prendre. J’attend ! - Monsieur.. Prenez-moi, maintenant, je ne tiens plus. Il me regardait, fixement, satisfait de me voir soumise à lui. Il placa son sexe à l’entrée du mien. Il me releva et me regarda dans le miroir. Il me pénétra avec une telle douceur, il me calma, me caressa le dos. Un peu comme un cheval qui se fait dresser, à comprendre qui est le maître. Il me chevauchait, me tenant par les cheveux à me pilonner avec une grande fermeté. Il prenait dans ses mains fermes mes seins. Il les serraient fort, il s’amusait avec mes tétons. Je sentis alors ses dents se planter sur mon épaule. Il ne me laissa aucun répit. C’est alors qu’il mit sa main sur ma bouche. Et il devient alors sauvage. - Regardez vous vous faire prendre, ainsi. Petite chienne. Si bonne à baiser.Quelle chatte ouverte. Puis il se retira. - Retournez vous, m'ordonna t il. - A genou tout de suite!restez ainsi. vous ne bougerez que lorsque je vous y autoriserai. - Quelle docilité! vous êtes si facile à prendre en main, Mademoiselle Lane. Il prit une gorgée de son verre et se dirigea vers le peignoir suspendu à côté de la salle de bain. Il en tira la ceinture. - Donnez moi vos mains. Je me retrouvais ainsi attachée,à ses pieds. C’est alors qu’il se positionna au dessus de moi. - Sortez votre langue. Léchez avec délicatesse mon gland, savourez-le. Petite putain. Ma langue se delectait de son sexe quand tout à coup, il planta son sexe au plus profond de ma gorge, tout en maintenant ma tête avec ses mains. J’avais envie de protester mais je ne pouvais pas. Il me baisa par la bouche puis se stoppa tout en remplissant ma bouche de son sexe. J'étais ainsi impuissante. Il se retira alors d'un geste brusque. Il me mena par la cravate qui faisait office de laisse jusqu'au fauteuil. Je me retrouvais alors à moitié allongé. Il fixa mes mains à la tringle des rideaux et m'écarta les jambes. - Quelle belle position, Mademoiselle Lane. Gardez bien vos jambes relevez sinon je serai obligé de vous punir. Il passa sa main sur mon sexe. Et découvrant le flot de mouille qu’il y avait, il sourit. - Je vois que vous aimez être traitée ainsi ma chère, n'est ce pas? - Avec un certain sourire, je ne pouvais qu'approuver. Je sens que je vais rentrer soit dans votre petite chatte ou dans votre fion, comme dans du beurre. Toute cette mouille..
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Par : le 08/07/21
Comme je l'ai exposé précédemment, la distance est à la fois une faiblesse et un atout dans la relation BDSM. Mais l'enjeu majeur pour la faire durer est de combattre le doute. Il y a de nombreux facteurs qui viennent entamer le lien qui unit Maître et soumise et suivant l'importance qu'on veut bien leur donner, ils peuvent parfois en venir à bout. Il convient de savoir les reconnaître et y faire face ensemble. Car une relation BDSM à distance, ce n'est pas deux individus éloignés l'un de l'autre, c'est la somme des raisons qui poussent ces deux personnes à se faire mutuellement confiance. 1 - D'où vient le doute et à quoi ça sert ? Avant tout, il convient de s'interroger sur l'origine du doute en lui-même. Qu'est-ce qui pousse deux personnes parfaitement heureuses dans leur relation à s'interroger sur le bien fondé de celle-ci ? Le doute est humain, il vient de notre capacité à nous remettre en cause en permanence. Contrairement à la grande question sur la vie, l'univers et le reste dont on connaît la réponse : 42 ; on se pose toujours un nombre incommensurable de questions existentielles, auxquelles des générations de philosophes n'ont pas encore trouvé de réponse simple. Le doute est l'ennemi de la D/s à distance quand on s'interroge sur le bien fondé de sa propre condition et que l'on se demande si l'on doit poursuivre dans cette voie. Après tout, pourquoi obéir à quelqu'un qui ne peut pas me toucher, dont je suis séparée par un écran (et plusieurs kilomètres) ? Pourquoi ne pas l'abandonner et en trouver un plus près qui pourra mettre de vraies fessées ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la réponse c'est le doute. Une soumise rechigne à quitter son Maître parce qu'elle sait ce qu'elle a avec son Maître mais ignore ce qu'elle trouvera ailleurs. Et si mon Maître était parfait pour moi, malgré la distance ? Et oui, le doute et la distance ont un point commun, ils sont à double tranchant. Autant ils peuvent facilement couper les liens qui unissent une soumise à son Maître, autant ils peuvent se planter dans l'âme et la chair pour y laisser des marques indélébiles. Car le doute, c'est aussi ce qui permet à la soumise de s'améliorer : Suis-je dans la bonne position ? Ai-je bien compris les ordres ? Mon Maître sera-t-il satisfait ? Autant d'interrogations qui font progresser la soumise. Pour elle, petit à petit, le doute va se lever et se muer en certitudes. Celle d'avoir bien choisi son Maître, celle de vouloir le servir à tout prix. Et pour conjurer ses doutes, la soumise peut toujours se reposer sur son Maître, sur sa force, sa volonté... et son absence apparente de doute. 2 - Les pressions extérieures Le doute est donc un questionnement personnel permanent, inhérent à chacun de nous. Si ses racines sont profondément ancrées en nous, des facteurs extérieurs peuvent favoriser sa croissance tels l'engrais ou une pluie printanière. Il s'agît essentiellement de pressions sociales, familiales ou amicales. Trop peu d'entre nous ont la chance d'avoir des parents adeptes du cuir et du fouet et d'avoir reçu de leur part, en cadeau d'anniversaire, des menottes qui ne soient pas accompagnées d'un pistolet en plastique et de son étoile de shérif. Pour l'immense majorité, la première pression est familiale. Mais que vont penser mes parents ou enfants s'ils me surprennent lors d'une séance ? Et comment leur expliquer que j'aime fouetter ma partenaire ? Me faire attacher ? Porter une cage dont quelqu'un d'autre a la clé ? Par contre, pour vous faire douter, rien de tel que le regard déçu de papa/maman. Vous savez, ce regard qui incarne tout à la fois tristesse, honte, incompréhension et culpabilité. Ce regard qui s'accompagne de cette petite phrase assassine : "non, pas mon enfant". Pour les plupart des gens "vanille", nous sommes des déviants. Nous faisons fausse route et nous avons tort. Ils en sont tellement persuadés qu'entre leurs promesses d'opprobre et de colère divine, on pourrait succomber à leurs arguments. Et pourtant, lorsque l'on y réfléchit et que l'on discute avec ses parents et amis, ils finissent toujours par poser la même et invariable question : "mais est-ce que ça te rend heureux ?" Et la réponse est toute trouvée : oui ! Malgré toutes les pressions extérieures, l'expression de notre moi profond nous permet de nous libérer et par conséquent de goûter un bonheur qui échappe au commun des mortels. 3 - Le doute comme instrument de soumission Comme je l'ai écrit précédemment, le doute est souvent un frein à la relation D/s à distance. Néanmoins, pour qui sait l'utiliser, il peut devenir un liant plus solide que des fondations en béton armé. Pour cela, il faut que le doute soit unilatéral. Comme je l'ai suggéré précédemment, le Dominant ne doit jamais "montrer" qu'il doute à sa soumise. Le Maître n'a pas le droit à la faiblesse. C'est de Sa solidité que vient l'envie de la soumise de se jeter à ses pieds. C'est parce qu'il est fort, qu'il impressionne. Et par opposition, c'est parce que la soumise a besoin de se sentir chancelante sous le regard de son Maître. Parce qu'Il la maintient sur le qui-vive, par sa rigueur, par ses corrections, par ses punitions. Toutes les soumises se posent toujours la même question : "Maître sera-t-il satisfait ?" Et comme dans toute question, il y a un doute. Et c'est justement ça qui pousse la soumise à se dépasser, à en faire toujours plus pour son Maître. Un quelconque manque d'attention du Maître, fatigué par une longue journée de travail par exemple, et la soumise remet tout en question. "Il ne m'a pas corrigée ? Il ne me prête plus attention ? Il ne m'aime plus ? Il va me remplacer ?..." Et les questions peuvent ainsi s'enchaîner et le doute va faire le beau jeu d'un Maître qui a juste été distrait pendant un court instant. Le doute, tant craint, devient ainsi l'un des moyens de soumettre les plus efficaces. Que ce soit de façon volontaire ou non. Et justement, c'est tout un art de le distiller et de l'infuser dans de subtils sous-entendus. On pourrait même présenter cela comme de la manipulation. Mais n'est-ce pas justement la dimension psychologique, la quintessence de la relation D/S ? Bien que tout à fait naturel et faisant partie intégrante du mode de pensée de tout un chacun, le doute est omniprésent dans la relation D/s à distance comme dans nos relations sociales. S'il peut être à l'origine d'un malaise vis-à-vis de nos familles et amis, il peut également être la source et le ciment d'une relation D/s épanouie. Car une relation se construit à deux (ou plusieurs) et l'on ne peut jamais avoir la même certitude vis-à-vis de l'autre que par rapport à soi. Et ensemble, soudés par un lien de D/s, le doute fait partie des ingrédients nécessaires pour maintenir une relation durable.
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Par : le 29/06/21
Le sourire malicieux, les yeux courroucés L'allure rebelle, de la femme indomptée. La jeune femme trahit, son intime complicité. Un désir, une envie, d'une tendre fessée. Soudain basculée, sa jolie croupe offerte. La bouche refuse, mais ses pulsions se prêtent. La robe relevée, comme un rideau de scène. Les doigts font glisser, la culotte sans peine. Déjà la peau frissonne, de mille plaisirs. D'un désir infini, qu'elle ne peut contenir. Les tendres rondeurs, caressées par la fessée. S'offrent aux mains de son Dominant intéressé. Les gestes ébauchés, d'une lenteur pénétrante. Les fesses se tendent, devenant provocantes. La jeune femme gémit, le temps d'un délice. Lascive et ravie, de ces gracieux sévices. Le 7 12 2016
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Par : le 24/06/21
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est encore noire, avant l'aube, Juliette réapparut. Rares sont les soirées où elle n'éprouve pas l'irrésistible plaisir de maltraiter et d'user de sa jeune soumise. Elle alluma la lumière de la salle de bains, en prenant soin de laisser la porte ouverte, faisant ainsi un halo de lumière sur le milieu du lit, à l'endroit où le corps de Charlotte, nu et attaché, déformait les draps de soie, recroquevillé et contrainte. Comme elle était couchée sur la droite, le visage vers le mur, les genoux un peu remontés, elle offrait au regard sa croupe hâlée sur la soie grise. Tremblante de froid, elle avait attendu sans mot dire. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et fouettée afin qu'elle fut prête. Juliette eut soin à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui maintenant en pleine lumière pour qu'elle pût la voir en détail. Sur son ventre lisse, le tatouage portait en toutes lettres qu'elle était sa propriété. Charlotte gémit plus d'une heure sous les caresses de sa maîtresse. Enfin les seins dressés, elle commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Toute la résistance et le timide refus de son appréhension avaient disparu. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses dents, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un seul coup, moite de plaisir. Juliette était aussi attirante et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait, qu'inlassable dans ses exigences. Ni le plaisir qu'elle avait pu prendre la nuit ni le choix qu'elle avait fait la veille n'influaient sur la décision. Charlotte serait offerte, dans les pires conditions auxquelles elle serait confrontée. Elle ne survivrait que pour elle. Qu'à être offerte elle dût gagner en dignité l'étonnait; c'est pourtant de dignité qu'il s'agissait; sa bouche refermée sur des sexes anonymes, les pointes de ses seins que des doigts constamment maltraitaient, et entre ses reins écartés le chemin le plus étroit, sentier commun labouré à plaisir, elle en était éclairée comme par le dedans. Se soumettre, désobéir, endurer, alternances délicates auxquelles elle ne voulait plus se dérober. L'abnégation d'elle même qu'elle conservait constamment présente. Elle avait compris qu'il ne s'agissait plus seulement d'amour mais d'obéissance. Le lendemain, elle fut mise à rude épreuve. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Juliette expliqua seulement aux hôtes invisibles que sa bouche, ses seins et particulièrement les orifices de son corps pouvaient être fouillés à leur gré. Des hommes s'approchèrent d'elle, brusquement des dizaines de doigts commencèrent à s'insinuer en elle, à la palper, à la dilater. Juliette interrompit la séance qui lui parut trop douce. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Dans cette position infamante, elle attendit quelques minutes avant que des sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer. Sans trahir un quelconque sentiment, elle était ravalée au rang d'objet, muet et servile. Elle fut fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée. Elle était devenue une chose offerte et béante. Puis elle fut ramenée dans le salon où les hommes attendaient déjà son retour. Les yeux de nouveau bandés, nue droite et fière, Juliette la guida vers le cercle d'hommes excités et ce fut elle qui s'agenouilla pour prendre leur verge dans sa bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur son visage ou sa poitrine offerte. Souillée de sperme et de sueur, on l'envoya se laver. La salle de bain était vaste et claire. Juliette la rejoignit pour assister à sa toilette intime. Elle était accompagnée de deux hommes. Avant qu'elle ait eu le temps de se doucher, ils urinèrent sur elle en l'éclaboussant chacun d'un jet dru et tiède. Elle tourna sur elle-même afin que chaque parcelle de son corps reçoive leur ondée. L'excitation qui en résulta donna l'envie d'offrir le spectacle de sa soumission. Elle fut contrainte de se mettre à quatre pattes et de s'exhiber sans aucune pudeur, accroissant ainsi l'exposition des orifices les plus intimes de son corps. Après un minutieux nettoyage, sa maîtresse lui ordonna de s'habiller pour aller dîner. Elles allèrent dans un club échangiste pour achever la soirée. Outre son harnais et une ceinture de chasteté, Charlotte portait un bustier en cuir, des bas noirs et une veste en soie de la même couleur laissant entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse donnait à sa tenue un bel effet. Juliette l'amena en laisse jusqu'au bar. Elle la fit monter sur une table haute où lui fût administrée une violente fessée qui empourpra ses reins; un esclave mâle fut requis pour lécher et apaiser sa croupe; on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche de façon à ce qu'elle soit offerte; un homme lui baisa la bouche, sa gorge lui servant d'écrin; excité par le spectacle de la fellation, un autre décida brusquement d'utiliser ses reins. Il s'enfonça en elle sans préliminaire pour faire mal. Comment éprouver la satisfaction insane d'offrir son corps ? La seule raison d'être de Charlotte est de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne rien regretter, pour ne susciter aucun reproche et par fierté et par orgueil. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/06/21
En accord avec Mr X , voici mon recit de la soiree avec sa soumise, Mme X, il y a qques années maintenant. Mr X voulait que je donne le point de vue du Dom lors de notre rencontre. Mr X et Mme X ne sont pas leur vrai nom évidemment. Mais je n'ai pas leur autorisation pour les nommer ici donc ce sera Mr et Mme X. Apres plusieurs echanges avec Mr X , nous avons convenu d'une date de rencontre a mon hotel. J'étais en déplacement sur la région parisienne à l'époque. Nous avons echangé nos mobiles pour que je donne mon numéro de chambre afin qu'ils me retrouvent. Je lui envoie a 19h. Il m'annonce qu'ils seront là a 20h. Le temps que je prenne une douche, il me demande comment je veux qu'elle soit habillée. Body échancré. Merci pour cette attention, Mr X. Puis 5 min plus tard, il m'envoie une photo d'elle a 4 pattes. 'Nous serons là dans 20min". Qu'elles m'ont paru longues ces 20 minutes ... 20 minutes apres, il frappe a ma porte. Mr X me presente Mme X, sous un long manteau. Il lui ordonne de l'enlever. Elle est a moitie nue, talons hauts et collants. Elle est superbe, lui dis-je. Je commence a pas mal bander ! Mr X me la presente, il lui explique ce qu'elle fait là, qu'elle me sera offerte, qu'elle est timide mais obeissante. Bien qu'il faille peut-etre la forcer un peu. Il lui demande de remonter son body pour nous montrer sa chatte bien lisse. J'en peux plus Il lui met un bandeau sur les yeux, lui sort les seins du body, et la plaque contre le mur devant une glace. Elle se laisse faire. Mr X la caresse, seins et chatte. Et la fesses. Puis il me donne la laisse et nous quitte. Je lui donne un billet pour qu'il se desaltere au bar en attendant. Me voila donc seul avec Mme X, le cul offert, les yeux bandés et les seins debordant de son body. Je me plaque derriere elle, tirant sur sa laisse pour qu'elle sente qu'elle est 'contrainte'. Je caresse ses seins, pince ses tetons, me frotte contre ses fesses nues. Je bande deja pas mal ... Je passe ensuite mes mains sur ses fesses, alternant entre carresses et fessées plus ou moins fortes. Je tire sur sa laisse pour qu'elle se retourne face a moi. Je glisse mes doigts dans son entrejambe. Son sexe est lisse, doux. Je glisse un doigt dans sa fente doucement. Puis je l'attire toujours avec sa laisse pour qu'elle se mette a genoux. 'Enleve mon pantalon', elle s'execute pendant que j'enleve ma chemise. Me voici nu, debout devant elle, ses yeux bandés. Je la prend par les cheveux pour la mettre tête au sol. Elle est cul face a la glace, entierement soumise. Elle est belle, bandante, offerte et fragile. Je me baisse pour lui caresser les fesses. 'Releve-toi', 'ouvre ta bouche' Je glisse mon sexe sur ses levres et m'enfonce dans sa bouche. Un delice. 'Occupe-toi de moi, utilise tes mains aussi' Elle s'empare de mon sexe et me suce. Elle humidifie en crachant dessus, bave abondamment. Je suis aux anges. 'N'oublie pas mes boules', elle se glisse sans hesiter sous mon sexe et leche, gobe mes boules. Sa langue est humide et glisse. Mon dieu, que c'est bon! Puis je veux voir ses yeux, je lui enleve son bandeau. Elle continue de me sucer en me jetant des petits regards de temps a autre. Je la sens timide et en meme temps, excitée et avide de sexe. Je tire de temps a autre sur sa laisse pour qu'elle se sente toujours chienne. Superbe... 'Leve-toi et allonges-toi sur le lit, je veux te voir te caresser' Elle glisse ses doigts sur sa chatte et se caresse devant moi. Je la sens presque gênée mais je sais aussi qu'elle est là offerte par sa volonté. J'apprecie le spectacle. Puis je me place devant elle et commence à la lecher. Je souleve ses jambes, ses fesses et glisse ma langue dans sa fente, j'aspire ses levres, gobe tout son sexe. 'Continue de te caresser pendant que je te leche'. Elle ondule sur le lit. Quel plaisr de voir cette femme prendre du plaisir, cela decuple mon envie de la prendre. Je n'en peux plus. Je prend une capote. 'Leche mes les boules pendant que j'enfile la capote' elle s'execute sans mot dire. Je fais durer le plaisir. 'A quatre pattes sur le lit' je me place derriere elle, et la penetre doucement. Puis sans menagement j'accelere le rythme. Je suis en elle. Je vais et viens selon mon envie: doucement, vite, brutalement, avec lenteur ... Je claque ses fesses. Elle gémit. Elle se retient, timide. Mais ses gémissements s'accélèrent... Je jouis mais ne m'arrete pas, je me couche sur elle...jusqu'a ce que je n'en puisse plus. Je me retire. 'Allonges toi sur le dos' je retire ma capote, pleine. Je lui etale sur les seins. Elle sourit. Les tetons humides, je lui dirige sa tete sur mes boules pour me rafraichir Elle engloutit mes boules, je râle de plaisir. Elle me suce enfin. 'Caresse toi de nouveau, le temps que je rebande pour te prendre encore' Je tire sa laisse pour l'emmener au milieu du lit. Je la leche de nouveau. Lui ecarte les jambes, la maintient ainsi. Je glisse mes doigts dans sa fente. Au bout de qqes instants, je lui ordonne de me sucer de nouveau pour qu'elle me prepare. 'Fais moi bander pour que je te prenne'. Je m'assois sur le bord du lit, elle se mets a genoux. Elle reprend mon sexe en bouche. Sa bouche est humide, mon sexe glisse entre ses levres, sa langue. A un moment, je sens ses dents. 'Je sens tes dents, fais attention. Appliques-toi' elle repart en humidifiant encore plus. Mon sexe est couvert de sa salive, elle descend sur mes boules. Elle s'applique visiblement. Une femme incroyable ! Enfin je me sens prêt a la reprendre. Je tire sa laisse pour la monter sur le lit, en position du missionnaire. 'Caresse toi, le temps que j'enfile ma capote' Puis je lui monte dessus, lui ecarte les jambes et je m'introduis. Je la penetre, elle n'ose me regarder. 'Regarde-moi quand je te prend' lui dis-je. Elle me regarde mais elle est vraiment timide. Elle ne tient pas son regard, elle me regarde de temps a autre, detourne le regard pour voir mon sexe entrer en elle. J'adore cette sensation. Quelle belle femme. Elle reprend ses gemissements. Je suis aux anges: l'entendre prendre son pied me redonne plus de vigueur, j'accelere ... Je la mets sur le coté, je serre ses jambes, se petite fente a mon regard. Je le retourne completement. La voila, allongee sur le ventre, je serre ses jambes encore, lui donne qqes fessées et je continue de la pilloner. Je suis en sueur, fatigué. Je me retire. Enleve ma capote. 'Viens me sucer pour que je jouisse sur ton jolie visage' Je me place de nouveau sur le bord du lit, je tire sa laisse pour qu'elle s'agenouille. Elle me prend en bouche rapidement. Elle est super excitée. Autant que moi certainement. Mme X s'execute, elle me leche, suce, me prend au plus profond de sa gorge. Je la force mais je sens que ce n'est pas necessaire Je lui remet son bandeau sur les yeux, mon sexe en bouche. Et elle reprend de plus belle. Elle glisse sur mes boules, sans que je lui demande. Mon sexe est couvert de sa salive, ses mains me masturbent. A force je n'en peux plus, je me lève, face a elle. Reprend mon sexe en main et jouis sur son visage. Elle est couverte de ma semence: levres, nez, joues, menton. Je me lache sur elle sans retenue. Elle esquisse un sourire timide. Je lui ordonne de ne pas bouger et la regarde avec bienveillance. Mr X m'envoie un sms pour que je lui renvoie Mme X dans qqes minutes. Enfin je me dirige vers la salle de bain, prend une serviette pour m'essuyer, et reviens vers elle. Elle n'a pas bougé. Je prend mon temps. J'aime ce spectacle de cette femme couvert de ma semence. Puis je lui tend la serviette pour qu'elle se nettoie. 'Nettoie ton visage et retourne voir ton maitre' Elle nettoie mon sperme, se releve et doucement remet son manteau. Elle se tourne vers moi 'au revoir monsieur' Deux minutes plus tard, je recois un sms de son Maître : 'elle remonte te rendre ta monnaie des cocktails' Nous avions prevu ce scenario ensemble. 'Garde la 5 minutes et renvoie la moi' A peine le sms recu elle frappe a la porte et avec une petite voix me dit 'mon maitre vous rend la monnaie monsieur' Je suis avec ma serviette autour des hanches, nu. 'Puisque tu es là, entre pour que je profite encore un peu de toi' Elle entre, et enleve son manteau immediatement. Pas eu le temps de lui demander ... coquine !! Elle est debout devant le lit. Aussi je monte sur le lit, enleve ma serviette. 'Suce moi encore' Elle n'hesite pas et me prend en bouche. Mon dieu que c'est bon. Je la prend par les cheveux, la guide mais elle sait faire... Puis comme prévu au bout de 2/3minutes, je la stoppe. 'C'est bon maintenant tu peux partir' elle reprend son manteau, s'habille, se retourne 'au revoir monsieur' et elle part. Voila ma soirée avec Mr et Mme X J'ai vraiment apprécié cette soirée pour plusieurs raisons. 1 . Mx X m'a fait entierement confiance. Je me suis senti a l'aise tt de suite. 2.  Mme X est une belle femme. Timide d'apparence mais seulement d'apparence. 3. Notre scenario etait convenu d'avance donc tt etait clair entre nous 4. J'ai pris mon pied, soyons clair comme vous l'imaginez. 5. Mr X m'a renvoyé un sms plus tard: Mme X était surexcitée après ce scénario. Nous nous sommes revus par la suite.  Mme X est devenue ma soumise régulièrement avec l'accord de son Maître.  Nous étions en confiance tous les trois. Mr X avait trouvé un ami, pas qu'un Dom, pour sa femme. Mme X pouvait être ce qu'elle voulait : être la soumise d'un couple d'hommes Et moi, j'y ai trouvé un couple incroyable, des moments délicieux et un lâcher prise. Note: photo prise du net
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Par : le 02/06/21
Un gros homme est assis derrière un bureau. Il remplit des documents. On le salue en inclinant le buste, puis... on attend... longtemps. Est-ce que ces uniformes rendent invisible ? Non, tout à coup, il nous rappelle à l’ordre : — Ne vous appuyez pas contre le mur et gardez toujours les yeux baissés. Bienvenue en Chine. Je ne l’avais pourtant regardé qu’un instant... J’ai juste remarqué qu’il ressemble à Bouddha... Mais il n’a pas le côté bienveillant et un peu dans la vape du vrai Bouddha. Au contraire, dans son large visage, ses yeux ressemblent à ceux d’une mygale qui aperçoit un gros criquet distrait. À part, que cet homme n’a que deux yeux et pas huit. Je regarde mes pieds... Je les aime bien, mais ils n’ont pas beaucoup de conversations. Pour le moment, ils se plaignent parce qu’ils n’ont pas de chaussures. Je bouge mon pied pour toucher le pied de Inge qui est à côté de moi... Elle répond à ma légère pression. On se réconforte un peu via nos pieds. Ils peuvent discuter entre eux... C’est le genre de bêtise qui fait passer le temps. Soudain, l’homme me demande : — Toi, la brune, quel est ton nom ? — Samia de Préville, Monsieur. Il donne un coup de baguette sur son bureau en disant : — Ton vrai nom !! Et quand je te parle, tu dois me regarder. Faudrait savoir ! Je réponds : — Samia Sgorski, Monsieur. — Approche ! Je vais près de lui et il vérifie si le numéro sur le collier est le même que sur ses listes. Il fait la même chose pour Giulia et pour Inge. Ensuite, il donne à chacune une feuille de papier sur laquelle il est écrit : ****** Règlement concernant les ouvrières de 3e classe ****** Durant mon séjour ici, je devrai obéir à tout le monde, sauf aux ouvriers et ouvrières de 3e classe, à moins qu’un chef en décide autrement. Je travaillerai toujours du mieux que je peux afin de contribuer à mon humble échelon à la grandeur et à la prospérité de la Société. Si je manque à mes devoirs d’ouvrière de 3e classe, je serai punie. Si je suis maladroite, je recevrai 5 coups de la canne en bambou sur la paume des mains. Si je n’obéis pas assez vite, 5 coups sur les plantes des pieds ou les mollets. Si je suis insolente ou désobéissante, 10 coups sur les fesses. *** Organigramme : Le directeur général 5 directeurs de secteurs 50 contremaîtres 100 chefs 500 ouvriers et ouvrières de première classe 1500 ouvriers et ouvrières de seconde classe 10 chiens de garde un certain nombre d’ouvrières de 3e classe. ***** D’abord, je constate qu’on n’est pas très haut dans la hiérarchie, peut-être juste au-dessus des rats et des cancrelats ! Ensuite, ma gorge et mon vagin se sont serrés à la lecture des punitions. Le gros nous dit : — Apprenez par cœur. Il est malade l’autre ? Comment il veut qu’on apprenne ça ?   Giulia et Inge sont déjà occupées à lire attentivement... Je commence à lire aussi. Dix minutes plus tard, il me dit : — Toi, récite le règlement. Je commence : — Durant mon séjour, je.... Merde, j’ai déjà un trou de mémoire. Il se tourne vers Inge en disant : — À toi. Elle a visiblement la trouille, peut-être même plus que nous, mais elle a retenu beaucoup plus que moi. Ensuite, c’est au tour de Giulia qui a retenu lui aussi beaucoup plus de texte. Il aurait pu faire moins bien que moi, on en reparlera. Le méchant Bouddha se lèche les babines et il nous dit d’un ton faussement attristé : — Je vais être obligé de vous punir, estimées ouvrières. C’est ça, fous-toi bien de nos gueules ! On devine tout de suite que punir, c’est sa passion ! Il ajoute : — Enlevez toutes votre pantalon. On se retrouve toutes les trois les fesses à l’air et serrées par l’appréhension. Il caresse celles de Inge, puis celles de Giulia, joue un instant avec son petit zizi, décidément... Puis il caresse les miennes... longuement.... Il nous dit : — Si vous n’acceptez pas la punition, ce sera un défaut d’obéissance et c’est beaucoup plus grave. J’appellerai des ouvrières pour vous tenir. Vous acceptez ? J’incline le buste en disant : — Oui, Monsieur. Les deux autres disent la même chose. Il faut essayer de faire ce qu’il veut. Il se tourne vers Inge en disant : — Couche-toi sur le ventre, les jambes serrées, les pieds bien parallèles au sol. Dès qu’elle est en position, il prend son fouet rigide pour lui caresser la plante des pieds en disant : — Le premier coup sera ici. Deux coups si tu restes en position, cinq ou dix si tu bouges. Il lève le fouet et l’abat au milieu des deux pieds de Inge. Elle pousse un cri et remue un peu les pieds mais reste en position. Le deuxième coup atterrit exactement sur la marque rouge laissée par le premier. Elle crie plus fort. Ses pieds s’agitent dans tous les sens mais elle reste toujours en position. Il lui dit : — Maintenant, près des orteils. Il frappe et une marque apparaît sur l’avant de son pied. Elle pousse un nouveau cri, puis un deuxième quand il refrappe au même endroit. Le gros a l’air de se délecter de ses cris. Il caresse les marques rouges sur ses pieds, tandis qu’elle gémit. Il lui dit : — Plus que deux, mais hélas, ce sera sur les talons, l’endroit le plus douloureux. Il se tourne vers nous en disant : — Tenez ses chevilles. Si vous vous la lâchez, ce sont vos pieds qui vont souffrir. On obéit, bien sûr. On maintient fermement ses chevilles en nous reculant pour le laisser frapper. Premier coup, qui atteint le centre du talon... suivi instantanément d’un cri aigu de la fille. Il explique : — Sur le talon, ça fait très mal parce que la douleur se répercute dans toute la jambe. On s’en fout, ignoble brute ! Deuxième coup juste sur le premier. Nouveau cri de Inge. Il dit : — Lâchez-la et aidez-la à se lever. On la remet sur ses pieds. Le simple contact de ses pieds sur le sol la fait crier à nouveau. Elle danse d’un pied sur l’autre sur ses plantes de pieds meurtries. Le gros nous dit : — J’aime voir cette petite danse. Bon, maintenant on va faire danser... toi. Il désigne Giulia et ajoute : — Ce sera les mollets. Tu peux danser aussi mais pas te déplacer. Il prend une chaise s’assied et frappe les mollets de Giulia. Là, elle crie bien et elle danse aussi. Son petit sexe danse dans tous les sens. Il se prend une vingtaine de coups sur les mollets qui deviennent tout rouges. Quand il s’arrête, Giulia continue à gémir. Le gros nous dit : — Quel cinéma pour une petite punition. Ce sont des corrections pour les enfants. Dans deux jours, il n’y aura plus rien ou presque... Bon, toi, viens te mettre en travers de mes genoux. Je vais être clément et te donner une fessée à la place du fouet. Et c’est mieux ? Sans doute, oui... Il rentre un peu son ventre pour que je m’allonge sur ses cuisses. Ensuite il me bloque en passant une de ses jambes au-dessus des miennes. Puis il prend mon poignet droit avec sa main gauche et le maintient sur mes reins. Je suis complètement immobilisée. Il caresse mes fesses en disant. — J’adore les grosses fesses des Occidentales. Ici, les filles ont des petits culs. Je m’en fous, je veux descendre !! Paf ! Je reçois une bonne claque sur les fesses et puis une autre, puis des dizaines d’autres. Il frappe fort, ça fait mal, je crie, je pleure, je supplie.... Enfin, il s’arrête essoufflé... Il me lâche pour m’annoncer : — Ooh, c’est pressé, là. Viens vite te mettre à genoux entre mes jambes, sinon je prends le fouet. J’obéis, les fesses en feu. Il a sorti son sexe de son pantalon et me le met dans la bouche. Mes joues sont pleines de larmes et mon nez coule. Il me dit : — Ne bouge pas !! On reste comme ça quelques minutes, puis il fait une grimace et jouit dans ma bouche. Je n’ose pas faire autrement qu’avaler le sperme de ce gros salopard ! Il me repousse, range son engin et nous dit : — Remettez vos pantalons, prenez les feuilles et allez à côté. Il me caresse encore le derrière en disant : — Tu es très agréable à fesser. Je renifle et réponds : — Merci, Monsieur. Il tombe amoureux de moi, il enlève mon collier, on s’évade, il me donne une fessée et je le tue. Ensuite, je prends le million de $ qu’il a dans une mallette et j’achète une villa en Thaïlande. Je récupère Giulia qui redevient mon domestique Julien. Le problème vient que ce n’est pas moi qui écris mon destin. La brute me pousse dans la pièce d’à côté en me tapotant les fesses. Il est obsédé ! On entre dans un immense atelier, il y a des dizaines, non des centaines d’ouvrières qui travaillent. Elles sont assises derrière une petite table. Certaines ont des machines à coudre, d’autres cousent à la main. Elles ont des uniformes bleus ou gris. Il y a aussi beaucoup de filles en orange dont certaines n’ont pas de pantalon, mais par contre des marques de fouet sur les fesses. L’enfer doit ressembler à ça, surtout quand on est en uniforme orange. Une grande femme mince en vêtements de ville vient vers nous. On salue en s’inclinant toutes les trois. Elle non, je suppose qu’on ne salue ni les chiens de garde ni les ouvrières de 3e classe... Elle regarde un papier et nous dit : — Giulia, Inge et Samia. On s’incline à nouveau en répondant : — Oui, Madame. — Je suis Madame Liu. Vous êtes des ouvrières de 3e classe, c’est-à-dire qu’on peut vous demander n’importe quel travail. Vous allez avoir 3 jours d’écolage, on vous apprendra à coudre et à obéir à n’importe quel ordre. Suivez-moi. Toutes les ouvrières qui sont debout saluent. On passe dans un autre atelier, semblable à celui-ci. Enfin, tout au bout, il y a deux portes, au-dessus desquelles il y a des idéogrammes chinois et il est écrit, sur l’un « Cours accéléré d’anglais » et sur l’autre, « Formation accélérée d’ouvrières de 3e classe ». C'est dans cette pièce-là, qu'on entre. Des filles en orange sont assises par deux derrière une table, sur des bancs. Il y en a qui n’ont également pas de pantalon. Certaines sont assises comme ça sur le banc, d’autres sont à genoux. Toutes les filles se lèvent et s’inclinent sauf celles qui sont agenouillées. La femme qui s’y trouve est une très grosse matrone d’une cinquantaine d’années avec une longue tresse noire. Madame Liu lui dit : — Trois nouvelles pour vous, Madame Wang. — Merci Madame Liu, vous êtes très aimable. Elles sont très polies, on se croirait à la cour d’Angleterre, sauf que là, on ne fouette pas les filles... Enfin, je suppose. Madame Liu s’en va tandis que Madame Wang nous dit : — Asseyez-vous sur les deux bancs du fond... Voici comment ça se passe : une erreur et vous enlevez votre pantalon, une deuxième erreur, vous vous mettez à genoux sur le banc pour travailler penchée. Une troisième erreur, c’est le fouet ou toutes punitions que j’aurai décidées. C’est clair ? Toutes les trois, on répond : — Oui, Madame. Elle ajoute : — On fait de la couture, ensuite vous aurez un cours... d’obéissance. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search   Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 02/06/21
De retour de congés, je suis impatient d’être aux pieds de Ma Maîtresse qui a décidé  de me soumettre en extérieur.  Direction les bois où Elle a ses habitudes près de sa table de pierre. Elle avait tout prévu et m'a fait cueillir de très beaux orties bien piquantes. Maîtresse me fait préparer un  lit de feuilles d’orties où je dois m’allonger sur le ventre pendant qu'elle prépare ses cordes. Elle me ligote sur la pierre avec. Je ne peux plus bouger et Maîtresse prend possession de mon corps. Elle n’oubliera pas un centimètre carré de peau avec les orties. Les premiers instants sont piquants et je me donne pour que Maîtresse puisse extraire tous les plaisirs qu’Elle veut. Aux caresses urticantes des orties succèdent le sifflement du grand fouet que j’ai apporté à sa demande. Maîtresse le guide parfaitement et les coups s’abattent cinglant mes fesses, mon dos, mes cuisses. Je gémis rapidement de douleur et je sens que Maîtresse apprécie, Elle me transporte dans un lâcher prise rassurant et s’emballe de plus en plus. Maîtresse me débarrasse des orties avec le fouet.   Entre fouet, orties, sourire de Maîtresse et le  soleil, je ne sais plus bien qui me réchauffe le plus, mais j’ai chaud, très très chaud. La cuisson doit être égale de chaque côté alors Maîtresse me retourne en me libérant des cordes. Mon dos retrouve le lit d’orties et Ma Maîtresse me libère des orties du ventre avec le fouet. Entre temps, Elle m’a introduit un vibro dans mon anus. Je retrouve un grand plaisir car après 92 jours de chasteté, le vibro est mon premier plaisir anal. Maîtresse me traite de salope car je mouille comme une jeunette. J’ai encore droit a des belles séries de fouet et une fessée avec autant de claques que de jours de chasteté. Maîtresse se lâche de bon cœur et j’ai un peu de mal à suivre le décompte qu’Elle m’impose. Le fouet a bien souffert à tournoyer au dessus de mon corps  et Maîtresse l’achève en me fouettant avec ardeur ; il cède ! Un peu comme moi et je capitule car dans cet emballement final, la douleur m’irradie de plus en plus. Maîtresse termine en  venant chercher ce qu’elle  aime  obtenir de moi, des «Pitié, PITIÉ», le mot sacré qui me fait dépasser mes limites de plus en plus loin. Ma Maîtresse m’extrait ces «pitiés» du fond de mes entrailles car elles lui appartiennent. Le temps est encore passé trop vite. Vu son sourire, aucun doute, Maîtresse a apprécié. Je ressens ce plaisir qui m’imprègne également. Sur le chemin du retour, Maîtresse me dit que les orties me tiendraient compagnie cette nuit plus  quelques jours. Je confirme,  cette première nuit a été un enfer. Pas moyen de m’endormir sans des démangeaisons épuisantes. J’imagine le grand sourire de Maîtresse dans ces instants pénibles. Qu’est-ce que je ne supporterais pas pour Elle ?
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Par : le 02/06/21
Mes debuts dans la Domination avec Miss Pestouille Une journée  pas comme les autres écrite à quatre mains Beau souvenir Nous devons nous voir avec Miss Pestouille     Moi : Je suis dans le train. Je reçois un texto de la Miss Pestouille qui a loupé son train. Pffff,  Je ne suis pas étonnée,  elle va me faire attendre ENCORE UNE FOIS!!! Je lui promets une fessée, encore une. Je patiente en faisant les magasins et en la maudissant. Elle arrive vers moi, enfin!!! Toute mimi, en jupe, comme je lui ai demandé. La jupe est bien courte, on voit la lisière de ses bas....  Elle : (ben oui, quoi, jamais fichue d'être à l'heure, je sais, pardon ma Dame, mais je me suis dejà excusée plein de fois... comment ça, j'ai toujours des bonnes excuses?  mais non c'est pas pour avoir des fessées en rab... :p Elle :  cela faisait deux semaines que nous avions envisagées de nous voir, cela faisait un bon moment. ça nous changerait chacune les idées, on se fait toujours de ces parties de rigolade! nous deux dans un magasin bdsm, je me rappelle encore de la première chez D., on s'était faites repérées et disputées car ma Dame posait pour des photos salaces (avec le plus gros gode du rayon, impressionnant, c'est qui la gourmande?   et aussi elle essayait des martinets sur moi, me faisant cirer de... surprise, et bien rire un dom qui assistait à celà . je pensais venir en tenue décontractée, mais en discutant la veille avec ma Dame, elle m'interdit le jean :(, jupe obligatoire. En même temps, je lui ai confié vouloir un serre taille et quelques achats, un corset peut etre, si j'ai un coup de coeur! -après une nuit courte et agitée, ben oui, j'avais le trac, elle me fait un de ces effets, ma Dame! ça et les discussions sur le minou au soir, avec quelques filles, Msr L... toujours aussi agréable euh ronchon, K qui reclamait des photos, alors qu'Il ne veut meme pas faire honneur aux enchères!!  ;) et s'invitait presque au dejeuner, pour finir par se défiler (Il a affreusement peur du Maitre de ma Dame, je vois pas pourquoi!).  j'étais toute excitée moi. Lever difficile, je me suis préparée non sans mal, distraite par ma Dame qui me salue et papote sur le net. je me suis faite toute belle, vu que je La rencontrais de nouveau!!! lisse, crèmée, dessous sexy, ma jupe et mes bas, un pj, un top assorti, hésitant entre escarpins et bottes, je mets les dernières et emporte les autres! je fus chargée comme une bourrique, qu'elle blonde, ah non, la blonde c'est ma Dame, pardon faut pas que je dise cela :) ça m'a fait tout drole, frissonnant a un moment, on aurait cru que je me préparais pour aller voir mon Maitre, ben non marre des doms, qui tiennent pas le choc, je préfère me consacrer à ma Dame pour qui j'ai eu un vrai coup de coeur. l'heure tournant, je suis partie à la hâté, oubliant mon tel, pffff... j'arrive a la gare, le train part devant moi... aie, je m'étais promise de pas être en retard cette fois!) je préviens ma Dame et prend le suivant, pour enfin la rejoindre, toute embarrassée mais ravie. Qu'est ce que je vais encore ramasser^! Enfin, je la retrouve, la salue, l'embrasse. Ses levres me frolent , Ouf! j'ai cru que j'allais devoir m'excuser a genoux en public, mais elle a trop faim, elle m'en fait grâce... vite il faut contenter Madame. En marchant, ma jupe me pose souci, la doublure remonte, j'essaie maladroitement et genée, dans la rue, d'y remèdier. Dame Hydréane, ni une ni deux, passe sa main sous ma jupe pour tirer sur la doublure, oui tu parles. me voila surprise, toute rougissante! Moi : j'adore tu rougis si facillement Pestouille ...   Nous allons déjeuner dans une brasserie sympa où le serveur nous drague, nous disant qu'il nous a vues arriver , que l'on était classe ( ba oui les soumises sont classes, il croit quoi celui la). - Oui enfin surtout ma Dame, trop élégante et sexy, avec sa robe boutonnée de bas en haut, qui remonte quand elle marche, devoilant ses magnifiques jambes. Elle est toute appretée, faisant très naturelle en même temps, juste ce qu'il faut, très attirante, il a raison ce serveur^^ mais grrrr, pas touche! deja que je partage Madame avec Msr S ****** faut pas abuser! nous discutons de tout et de rien, confidences entre filles... dejeuner bref mais bon, Madame dit qu'on a pas que ça a faire, des achats surtout!  je suis, je n'ose La contredire.  Moi : Direction le magasin M. (merci le GPS intregré dans le téléphone de Pestouille qui nous a beaucoup aidées)...  - Elle : et oui, Madame a un sens de l'orientation aussi aiguisé que le mien, donc ni une ni deux, nous sommes arrivées au magasin repèré par ma Dame, après quelques détours. je regarde au passage les vitrines, les robes, mais d'un ton ferme, Madame me rappelle qu'on est pas venues pour cela, qu'il faut se hater, je ne la savais pas si autoritaire!!! j'en frémis encore^^ Moi : Nous nous glissons dans le magasin, qui est assez classe, il y a peu de" jouets " , certains en vitrine. Les murs sont en vielles pierres. nous regardons, touchons et admirons tout. Mais la ou j'emmène ma petite Pestouille c'est au sous-sol ... - Elle : j'étais déja venue, ma Dame me montre les engins de torture (roulette pleine de pics, baguettes et autres), qui la tentent ; non pitié, je la supplie du regard de ne pas essayer ceux là sur moi, cette fois en plein milieu de la boutique, ouf elle renonce quand nous trouvons au sous sol ce qui m'interressait. j'ai bien essayé de La conseiller en matière d'intruments pour chatier son taquin de Maitre, mais elle ne veut pas ..  Moi : Nous tombons sur les serre-tailles que Pestouille recherche... elle en trouve un qui lui plait, mais doit l'essayer! direction les cabines d'essayage... Elle : je me la joue discrète, furete, regarde, il y a tant de choses à voir, tentantes et quelques modèles qui me plaisent, certains peu abordables dommage. mais ma Dame en trouve un sobre, qui me plait beaucoup. Elle interpelle la vendeuse, alors que je file en cabine. ou je commence seule à me devetir. la vendeuse demande si elle doit aider, je decline l'offre car....   Moi : Evidemment, je rentre dans la cabine avec elle, pas question de la laisser seule, elle serait perdue sans moi^^ et mon Maître m'avait ordonné de l'aider ^^ je me suis pliée avec plaisir à Ses ordres......... Elle :  j'ai pas eu le temps de dire ouf que nous voilà a deux dans la cabine, je continue à enlever le haut, un peu embarrassée et essaie de mettre ce fichu machin sublime. "Bah faut enlever ta jupe pour l'essayer!" me dit-Elle... euh oui Ma Dame, bon me voilà en dessous.  Moi : Déshabillage de la belle. Oups, mince, elle est jolie en dessous noir et porte jarretelle assorti (je me pose la question si c'est pour moi qu'elle a mis ça).... Elle : -oh merki, encore a rougir, et oui en réel, je suis bien plus timorée et là, Madame est bien plus devergondée, qui aurait cru... oui c'est pour elle euhhhh et pour me sentir aussi bien, attirante.  Cette idée évoquée en plaisantant me tentait bien, excitante situation qui ne m'est pas commune!   Moi  : Je l'aide, non sans plaisir, à mettre le serre taille.. evidement que le frole et la pince , elle rougit encore ... Elle : aieeeeeeeeeeeeee! mais comment il se met ce truc, je me suis coincée la peau, pis y a des attaches qui partent en haut quand j'essaie de mettre celles du bas, et encore on a pas resserré! ah faut enlever le soutien gorge? bon en temps normal oui mais la bon, et puis non hé, la vendeuse elle vient pas s'en meler, bientot elles vont ouvrir le rideau. Il me faut essayer deux tailles différentes et voila Madame et le vendeuse qui s'affairent a me trouver le bon. Pas de corset dans le même genre dommage...  Moi : Il  faut être deux pour le mettre, personne ne Me dira le contraire. (voire trois !)  Je frôle sa douce peau... Hum, Je serre fort le cordon.... - Elle (mais euh je peux plus respirer, oui c'est joli, ça fait la taille fine, mais euh c'est toujours aussi serré, ah ouf, ça se détend a force de le mettre ok!)  Moi :  Hum sa taille est vraiment cambrée, elle est vraiment belle ainsi.. oups claque sur ses fesses, Je ne peux m’empêcher...  Elle : rhooo mais pas ici, remarque depuis le temps que j'attends Ses fameuses fessées, après Son entrainement par un certain Maitre S.  Mouais, un peut plus fort , ça m'étonne pas, vu le pas pro-fesseur^^ Moi : On ajuste le serre taille, ça lui va bien Je trouve, il lui manque le collier.... Je prends des photos d'elle,  normal non , je la trouve trés belle avec ses seins qui ressortent .. Elle : merci Ma Dame, je suis ecarlate déjà, Vous en rajoutez, c'est fait exprès ou quoi? ??? Ah oui, le collier, la laisse aussi pour pas que je me perde dans le métro ou les rues du quartier en cherchant les boutiques^^ Moi : si tu me le demande pourquoi pas charmante Pestouille ... Elle : me fait me devetir peu a peu, je sens Son regard sur moi, puis Elle me touche, m'effleure, replace ce serre taille, quant à mes seins , Madame les prends dans ses mains pour les remonter .., redescend, le centre par rapport a mes fesses... Ses gestes assurés, sensuels, me donnent soudain très chaud, je risque pas d'attrapper froid, je suis toute tendue et emoustillée, quand elle sort de la cabine, le souffle un peu mais regrette déjà qu'elle se soit éloignée. je dois me rhabiller, Elle m'aide a défaire le vetement, Ses mains comme Sa vois sont douces, sauf quand elle monte le ton. Son rire, si cristallin me transporte... quoi des photos? oui je Lui appartiens, Elle a le droit sauf de les montrer à n'importe qui .. nous choisissons de faire d'autres en boutiques avant de succomber devant ce modèle et je me rhabille pendant que ma Dame le remet en place  Moi : Nous repartons d'abord, sans rien, décidées à voir le magasin dont MONSIEUR L .. nous a parlé.... Nous marchons un moment, cherchons le magasin des yeux : pas de magasin à l'adresse indiquée!!!  MERCI MONSIEUR LE DINOSAURE , le magasin est fermé!!!  Je maudis L... et promets de le fouetter à la premiere occasion.. vous n'aurez pas les photos pour cela! Elle : ah j'aime quand ma Dame exerce son courroux sur quelqu'un d'autre, ça va morfler, le fouet en plus^^ mais Il va pas supporter à son age, Madame... Que nous avons marché et monté d'escalier, épuisant, mais ça fait de jolies jambes il parait... très déçues de trouver une vitrine vide, maudit soit ce Msr L. notre vengeance sera terrible... Moi : Nous traversons Paris pour un autre magasin , où j'avais vu des corsets et serre tailles vers Pigalle. Coup pour rien car ils n'ont plus ce que l'on cherchait, mais J'ai quand meme pris un palabe et en  ai donné quelques coups sur les fesses rebondies de la pestouille ..  qui a eu les yeux qui brillaient!  Je sais qu'elle aime ça et son air quand elle m'appele Ma Dame ne me trompe pas..... Cher lecteur, Je ne peux vous dire ce qui s'en est suivi mais c'etait divin. Elle : je ne connais pas ce quartier, pas très bien fréquenté, elle est folle ma Dame, mais avec quel pervers Ma Dame à t'elle osé y aller , je me doute de qui , ça m'étonne pas, ma pauvre Dame ^^ Elle me montre un hammam libertin qu'elle apprécie beaucoup, toute émue, elle est si touchante et si belle, je l'admire tant... Quel courage de subir ce pervers , vraiment. le lieu a l'air a l'interieur très joliment agencé et l'ambiance, agréable. C'est très chaud, il parait. j'avais défié ma Dame qui disait qu'elle m'y ferait entrer, alors que je n'ai pas très envie, ne me sentant pas très a l'aise dans ce genre de lieu, mais Elle n'a pas osé, par manque de temps paraiit il. la boutique recèle d'autres trésors mais pas ce qu'on desirait trouver... peu importe, ma Dame et moi sortons et reprenons les transports! Elle doit partir donc je La laisse tristement s'en aller et suis bien décidée a aller retrouver ce modèle vu et essayé, qu'elle a touché de ses mains, frolant mon dos, mes fesses, qui lui a devoilé mes formes, cette fois^^   Elle : chacune est rentrée, sagement, et nous voilà des souvenirs plein la tête, eclats de rire, vives émotions, que de rouge aux joues et vagues de chaleur pour moi^^ Moi : nous ne nous reverrons pas de suite, mais j'en ai deja très envie. gardons pour nous les choses plus intimes.. Lady H et MissPestouille ...
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Par : le 01/06/21
Ça me démange...  Déjà hier, j' avais cette envie et ce matin en me levant , elle est toujours là... Cette envie de fesser me démange les bouts des doigts... La matinée passe, l' envie reste...  Le confinement pèse dans la balance des restrictions.Fesser me manque...    Bon allez , c'est 13 h, mon taf est à jour,  je pars à la chasse... Je me connecte sur un certain  site BDSM,  j'adapte ma photo de profil à mon humeur, comme j'ai l' habitude de le faire . L' envie de fesser, ce n'est pas la plus simple à illustrer ... J'ai choisi de mettre une de mes  photos d'un fessier bien fessé .  Au moins j' annonce la couleur... En plus , je l' aime bien cette couleur violacée... Humm! j' ai les mains qui me démangent... Sur le chat, après avoir ignoré tous les "bonjour Madame" de l' autre bout de la France, mon attention se porte sur un message. Les mots clés : Annecy  et dispo  apparaissent dans les premières phrases. J'engage le dialogue, sonde ce jeune soumis qui  à tout du p' tit 4 heure. Joli  corps musclé qu'on en fait qu'une bouchée. Un plus fort agréable pour assouvir mon envie ...  Il est intéressé pour venir. Il questionne régulièrement sur l' usage du gode ceinture entre le où le , quand et le  comment...  Mes réponses sont on ne peut plus cash:  J'ai envie de te fesser dans les bois... C'est  un coin proche de chez moi... Oui, un peu de passage... Non,  je ne vais pas te baiser là-bas. (Comme si ça pouvait me gêner.  ) ... Non je ne reçois pas... Oui; je vais te fesser, et certainement un peu te griffer... Non, je ne prends pas mon stap-on ...  Je suis à peu près certaine que quelque part en lui, il garde l' espoir que. Peut-être... Je le laisse avec son espoir, moi c'est lui que je veux maintenant. En quelques minutes, le voilà ferré. L'heure du  rendez-vous  est basée sur l'horaire du bus qui  le  mène jusqu'à moi. Je suis contente, je me déconnecte et prépare mes affaires avec un sourire de satisfaction,..    Une heure passe et je sors de chez moi, mon petit sac à la main, un masque et mon attestation   dans la poche sur laquelle j'ai coché la case exercice physique à proximité du domicile .Je triche sur l'heure, peu probable que je sois contrôlée dans les bois ...  Hum! Ça me démange et ça m' excite de partir pour administrer une fessée...   J'arrive  près de l'endroit  indiqué. Je  le vois au loin. J'envoie un coup de sifflet, il tourne la tête vers moi. Je fais un signe de la main et il vient à ma rencontre...  Là , mon plaisir commence...   Je glisse une première fois ma main dans mon  petit sac... Il approche...  sur le boulevard il y a de la circulation... Je sors le collier... Les passants vont  autour de nous... Il est à ma hauteur quand je lui tends ... Il bafouille un bonjour, je lui fais un sourire: " Mets le! Son regard  balaie rapidement  les alentours... Je continue d'avancer... Il prend le collier et le met à son cou en me suivant...  Je plonge à nouveau ma main dans mon petit sac... J'en ressors  un  bracelet menotte.   Je lui tends   " Ça aussi! "  Tout en avançant , il s'exécute... je m'arrête au feu  et le dévisage en attendant que le p'tit bonhomme passe au vert. Il baisse la tête , essaie de dissimuler le bracelet sous sa manche... Une femme s'arrête à coté de nous... Je le sens gêné... Le bonhomme passe au vert en même temps que je sors le second bracelet de mon petit sac...  "Continue!" ... Il prend le bracelet  qu'il met en traversant la route... Je suis en jean noir avec mes bottes en cuir noires, une veste et un haut noirs et je sors de mon petit sac noir ma laisse en chrome... Humm!  Approche petite chose! Viens  te mettre au bout de ma laisse...  J'avance d'une bonne allure, mon soumis accroché à ma laisse. Je le tiens assez court  le temps qu'il se mette au pas puis je laisse pendre la chaîne. Il garde la cadence, veillant à ne pas laisser cette chaîne se tendre pour rester discret quand on croise des gens.  Le sentir  gêné me donne le sourire. Ça me plaît de le tenir ainsi jusqu'à mon petit coin en retrait. C'est  entre deux bosquets d'arbustes,  le long d'un petit chemin qu'emprunte de rare jogger. Nous y voilà!  Faut se faufiler entre les branches, bien lever les pieds à cause des ronces, Humm! Les ronces, "Ramasse Moi cette ronce!  Il se baisse et tire un coup sec sur la plante qui ne se fait pas prier pour participer à mon plaisir. Sourire jusqu'aux oreilles... Je lui indique sa place et prends la mienne.  J'ai la vue sur le chemin principal par lequel on est arrivé et celui d'en face. Ainsi, d'un simple mouvement de tête, je contrôle les aller venus sans être vu. Autre avantage de ce coin, et c'est pour ça que je l' ai choisi, il y a une branche solide qui surplombe un petit vide juste devant ses pieds. C'est à celle-ci que  j' accroche la laisse. A ma droite, il y en a une autre pour y mettre mon petit sac. Mais d'abord, je plonge ma main dedans et en ressors le bâillon boule." Mets ça!"  Il a un air un peu perplexe, me regarde,  regarde le bâillon, "Allez dépêche toi!  Tu es venu pour prendre une fessée, et bien voilà , tu y es! "  Il me réplique un dernier "oui Madame" puis se bâillonne. Je lui fait tenir la branche  et fixe les bracelets entre eux , autour.  Je profite de cette proximité pour le ressentir. Ce petit corps me plait bien. Il a bien une tête de plus que Moi mais quelle importance,  ses fesses restent à bonnes portées...   Encore une plongée dans mon petit sac pour prendre un bandeau.  En lui serrant  autour des yeux, je lui glisse quelques mots à l' oreille... Je fais descendre ensuite mes mains le long de ses bras jusqu'à sa taille. Je l' empoigne et tire ses hanches en arrière pour qu'il me soit bien offert. Mes mains s'affairent sur  l' ouverture de son pantalon. Je veux avoir accès à  ses fesses et son dos aussi. Je tourne son sweat vers le haut. Griffe en même temps... Redescends ... Fais glisser son pantalon au bas des cuisses... Il bande dur...   J'attrape ma jolie ronce fraîchement cueillie... Raye avec  ce joli fessier qui me donne envie... Fouette doucement ... Caresse, griffe et fouette à nouveau... Puis plus vite... Plus fort...  Continue en alternant avec des mots... Je lui parle de mon envie... Lui dit ô combien je suis contente qu'il soit venu jusqu'ici... La ronce s'effiloche rapidement et mes mains  ne veulent plus attendre... Je lâche le végétal , ajuste ma position et claque les deux fesses à l' unisson... Humm! Oui! Me voilà parti... Il s'ensuit des séries de claques sur ce cul rebondi... Mon  plaisir s'accroît en voyant rosir son derrière ... Les empreintes de mes doigts  se croisent ainsi que celles de mes griffes... Lui se met à gémir en aspirant la bave qui lui coule du bâillon... Je l' oblige à se  remettre cul tendu à chaque fin de série... J'augmente l' intensité , ça me fait mouiller. Ça me manquait tant...   Quand des gens s'approchent , je  plaque son cul contre moi et lui souffle" silence! " dans le creux de l' oreille. Il  fait bien moins de bruit que mes mains avec ses gémissements, c'est plus pour  rappeler à son cerveau   qu'il est  exposé à la vue des promeneurs. D'ailleurs, voilà un joggeur qui arrive...  je glisse mes mains sous ses vêtements, comme je le ferais avec un  amant.  Je plante mes griffes dans sa peau. Le gars passe un un mètre sans tourner la tête. Je griffe son dos jusqu'à la taille, ce qui le cambre magnifiquement bien. Du coup je recommence...  " Encore!" Je griffe, je claque.. Je claque, je griffe, mais surtout je le claque encore et encore... Il s'accroche à sa branche de toutes ses forces... Je ressens la tension de tout son corps... Il est dans un état de  soumission où sa volonté  est  de tenir pour que j' en prenne plaisir et c'est ce que je fais... Je me régale de le fesser... J'en avais vraiment trop  envie...  Il tremble, sa limite arrive... Je caresse entre de frappe... Sa peau est chaude... Rouge... Dure... Humm! j' ai besoin de le  toucher... Je m'approche  de lui... Plaque son cul encore une fois contre moi... Je l' aurais bien baisé  en fait! ... Humm! Encore une ou deux séries bien intenses... J'approche ma bouche de son cou... " 'j'aime te fesser, j' en suis toute mouillée... " En disant cela mes doigts ont trouvé le chemin pour atteindre ses tétons et ils les pincent  avec un plaisir non dissimulé...  Humm! Quel régal  de donner vie à ses envies... Doucement je le redresse... Lui retire le bandeau et le bâillon... J'attends un peu qu'il reprenne ses esprits. J'en profite pour faire ma photo souvenir, puis je lui décroche les menottes pour qu'il baisse les bras et les raccroche entre elles... Je lui fais lever la tête pour qu'il me regarde dans les yeux... "Maintenant , je te laisse deux minutes pour te faire gicler où je recommence tout!"  Sans perdre une seconde, il s'active sur sa queue avec frénésie et met à peine plus d'une minute pour gicler une grosse coulée de sperme ...  La fessée s'arrête donc là...  Je décroche la laisse, range le bâillon et le bandeau dans mon sac. Lui,  remet sa bite et ses fesses dans son pantalon et on  prend le chemin du retour...  50 mètres plus loin , on croise un groupe d'adultes. Il se rapproche vite de moi pour tenter de dissimuler la laisse. Les gens passent et il me dit : "Maintenant, vous pouvez peut-être  m' enlever la laisse. J'éclate de rire! " Bien Sûr que non!    Tu crois que ça y est, tu as éjaculé, c'est fini. ( RIRE) Allez! Avance!" " Dis toi que les gens s'en fiche que tu sois en laisse. La plupart ne le remarque même pas" .  Je le détache avant d'arriver sur le boulevard. Je fais un bout de route avec lui, histoire de le remettre dans la direction de la ville... Je récupère le collier, il me rappelle qu'il a encore les bracelets; Oup's!  Je les avais zappé ceux-là ...  Et voilà! Mes mains sont agréablement chaudes...  Mon esprit satisfait et serein...  Mon envie de fesser assouvie...  Je suis bien en rentrant chez moi et je reprends le cours de ma petite vie... Je n' ai plus eu de nouvelles de ce p'tit 4 heures... Plus jusqu'à il y a quelques jours... Ding!  SMS "Bonjour Madame! Vous vous souvenez peut-être de moi. Vous m' aviez fouetté avec des ronces et   fessé dans les bois.  J'ai mis longtemps à vous donner des nouvelles car j' ai beaucoup aimé vous servir ainsi mais j'étais  très gêné d'être exposé .. Etc... " Humm! En voilà une nouvelle qui me donne envie...  Il aura mis du temps à passer au-dessus de ses appréhensions... Le seul fait qu'il y soit parvenu et ose me recontacter 6 mois après  me plait...  Humm! Ça me démange à nouveau de le fesser...  
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Par : le 01/06/21
L’attente et le temps ont des vertus sur un soumis que la plupart des sévices ne peuvent qu’affleurer. C’est en tout cas ce que professaient mes premiers Maîtres. A leur service, je m’étais découvert des capacités insoupçonnées à rester à genou, accroupi, ou à rentrer serré dans la petite cage grillagée qu’ils me destinaient. Je devais leur être soumis depuis un peu plus d’un an. Étudiant, je passais la plupart de mes week-end chez eux, dans leur villa. Mes Maîtres n’étaient pas totalement débutants, ils avaient eu une soumise avant. Mais, ils aimaient à le répéter, j’étais leur “seconde création”. Ils voyaient d’ailleurs ce que nous vivions comme une sorte d’expérience artistique. Une sorte de happening dans la durée. J’étais la glaise et ils me sculptaient. J’adorais cette idée qu’en les servant, je devenais leur œuvre d’art. A chaque séjour chez eux, je m'apprêtais à découvrir quelle nouvelle idée de tourment ils avaient imaginé et, souvent, je découvrais combien mon imagination était limitée. Comme d’habitude, ils m’avaient récupéré en gare vêtu légèrement, et comme à chaque fois une halte entre la gare et leur villa avait permis que je termine le chemin nu, dans le coffre, une chaîne cadenassée au cou. La position était inconfortable: sous moi une roue de secours dont le métal brûlait ma peau et le caoutchouc la râpais venait ajouter à la chaleur étouffante de la fin d’été de la Côte d’Azur. Je n’étais pas lié, donc j’y recherchais vainement une position la moins inconfortable possible dans les cahots. Ce trajet, d’un quart d’heure peut être, était un sas qui me faisait passer d’humain soumis à jouet sans volonté propre. J’en sortit dans le garage et repris ma position d’attente appuyé sur le véhicule, membres écarté. Je devinais une agitation à l’extérieur sur la terrasse qui m’indiquait la présence de convives. Mais le temps d’apprécier la situation ne m’est pas laissé. Madame prends la chaîne autour de mon cou comme une poignée et me tire à sa suite. Je suis plié en deux, tête au niveau de sa taille, à moitié étranglé et je peine à suivre son pas. Mon champ visuel est réduit au carreaux et aux séduisants mollets de ma Maîtresse. Nous traversons la maison et allons vers la terrasse. Je ne sais pas combien de personnes sont autour de la table, je ne le saurais pas. Madame tire la chaîne qui enserre mon cou vers le haut. Je dois me mettre sur la pointe des pieds face au crépi pour suivre. Elle clippe un mousqueton et je me retrouve coincé: si je descends de la pointe des pieds les maillons viennent tirer douloureusement contre ma mâchoire. Autour de moi, des bruits de table, de discussion, quelques claquements de gifle ou fessées. Personne ne semble avoir remarqué mon arrivée. La chaîne est si tendue que si j’écarte la tête du mur, si je la tourne de côté, je perds de précieux millimètres qui accroissent la pression sur ma nuque et la mâchoire. Je vois quelques bribes en vision périphérique, mais aucun détail. De toute façon, l'inconfort de ma situation accapare toute mon attention. Je sens une main sur mes bourses. Quelqu’un les tire vers le bas, impossible de compenser en suivant des cuisses. La personne s’amuse à malaxer mes testicules, à les tirer. On m’y passe un parachute de cuir. Je sens son intérieur tapissé de petits piquants. Je ne connais pas encore l’instrument, mais j'appréhende les poids qui vont tirer dessus. J’avais raison, la personne qui joue de moi lâche brutalement un poids et j’ai d’abord l’impression que mes testicules vont s’arracher avant de sentir la piqûre de cent aiguilles autour du paquet. Malgré ma volonté de faire honneur à mes maîtres, un cri m’échappe et j’agite inutilement mes mains autour de moi comme pour me retenir à l’air. L’assistance s’en amuse. On commente sur mon côté douillet, je suis mortifié de ne pas avoir fait honneur à mes propriétaires. J’identifie à l’odeur la nouvelle présence derrière mon dos. Monsieur se saisit de mes poignets et guide mes mains au-dessus de ma tête. Je suis le mouvement sans résister. Avec un cordon mes deux coudes sont croisés, puis liés l’un à l’autre derrière ma nuque. La position presse ma tête vers le mur, tire douloureusement mes épaules et expose mon corps. Monsieur aime m’infliger cette posture à la fois simple et exigeante et qui enlève toute protection au corps. De contraignante, ma position devient vraiment douloureuse. Une main inconnue affleure mon dos. Je frissonne. Elle est remplacée par la brûlure de lanières de martinet. La surprise passée, ce n’est pas trop dur. Les coups tombent dru mais le martinet n’est pas trop méchant, même avec quelques mois d’expérience je les endure sans mal. En revanche, je dois contracter tous mes muscles pour éviter de bouger. Chaque mouvement fait balancer le poid qui tire sur mes couilles et glisse les gros maillons contre mon cou. Quelqu’un essaie de donner de la cravache sur mes testicules. Les coups me font peur, mais la plupart atterrissent sur le cuir du parachute ou les chaînettes des poids. Un ou deux touchent et me font crier. On me met un linge en bouche, un torchon ou une serviette. Je suis rempli de tissu et mes cris sont étouffés. Plusieurs se succèdent à jouer de moi et mon endurance est mise à rude épreuve. Dans les moments de pause, mes mollets tremblants de tétanie me tourmentent, ma nuque est raide et douloureuse, ma mâchoire meurtrie des frottements contre la chaîne. Mes mains sont gourdes d’être restées si longtemps au-dessus de ma tête. Je sens un corps chaud contre le mien, avant même qu’elle ne parle je reconnais ma Maîtresse. L’odeur, le toucher. Elle est très douce, chatte contre mes muscles tendus. Ses doigts sont caressants et ses ongles affleurent mon torse me donnant des frissons. “Je veux te faire crier, tu me donnerais ça ?” Elle connaît la réponse, je sais. Je suis à bout, mais je veux la satisfaire, je veux qu’elle fasse de moi, de ce corps son jouet, son plaisir. Elle me scrute en silence, toujours caressante. J 'hoche plus ou moins ma tête contrainte. Elle sautille joyeusement, “merci”, et m’embrasse en haut de la colonne avant de s’écarter. Le premier coup me fait bondir, oubliant la chaîne. Je connais cette morsure. C’est un martinet que j’ai tressé à la demande de mes Maîtres. Court, fait de cordelette synthétique noire terminée avec trois nœuds sur chacune des six queues. Ils m’avaient demandé de fabriquer un martinet qui me fasse peur, je m’étais surpassé. Cette cochonnerie était une horreur donc je n’avais testé l’efficacité qu’une paire de fois. Madame continue avec enthousiasme. Ses coups sont réguliers, tombant sur tout mon corps. Elle attend une ou deux secondes entre chaque coup pour me regarder encaisser. Je crie dans le baillon. Elle est enthousiaste, et accompagne la flagellation d’encouragement à danser d’un ton joyeux. J’ai l’impression que ma peau éclate en multiple endroits à chaque impact. Je ne sais plus ce que je fais, je lutte contre les liens, je sautille, je m’étouffe. Mais le supplice continue. Une crampe vient prendre mon mollet. Mais le supplice continue. A un moment, je pends au bout de la chaîne, ne luttant plus. Madame est collée contre moi, câline et me murmure “merci, merci”. Je n’arrive pas à interrompre mes sanglots. Monsieur vient aider Madame. Ensemble, ils détachent mes bras qui tombent sans force. La chaîne est détachée et sans leur soutien je m’écroulerai. Ils m’allongent au sol et me retirent le bâillon. Je sanglote encore. Ils me donnent un jus de fruit à boire avec une paille. Madame me parle doucement, me remercie. Mes mains reviennent à elles et piquent désagréablement. Je reprends un peu de vigueur. Je constate que mon corps est moucheté des traces du martinet, mais je ne vois qu’une ou deux petites plaies. Ce constat me rassure un peu. “Tu vas continuer” dit elle gentiment mais d’un ton sans appel. J’acquiesce silencieusement. Madame s’assoit sur une des chaises, écarte les jambes. Elle ne porte rien sous sa robe courte. J’obéis à l’appel sans qu’elle aie à formuler d’ordre. Tôt elle m’a entraîné à la satisfaire et je m’y emploie avec enthousiasme. Mon cou est raide, dur de l’immobilité subie. Mais j’y trouve une motivation supplémentaire à mon effort. Elle est très excitée, et elle vient vite plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. Monsieur est à coté, sexe sortit. Elle le branle et elle relève ma tête vers sa verge alors qu’il jouit après elle. J’en attrape le plus possible au vol. La encore, je connais mon role et j’embouche le sexe qui débande pour le nettoyer de ma langue et mes lèvres. Autour de nous une paire de convives applaudit. Une femme demande si je peux la nettoyer, et Madame m’y enjoint. Son sexe est poisseux de foutre et je le lape propre. Excitée par le traitement, elle jouit dans ma bouche. Les invités sont moins nombreux que je ne croyais, deux couples en plus de mes Maîtres. Un des couples, la cinquantaine, est clairement purement dominant et est accompagné d’une soumise qui malgré sa quarantaine affiche un corps superbe. Le second couple dont j’ai servit la femme est un peu plus jeunes, la même trentaine que mes Maitres sans dout. Madame me récupère et je finis la soirée à ses côtés. Elle encourage des ébats, me fait lécher les bourses et la verge de son cavalier pendant qu’elle s’offre à une sodomie. Je termine la soirée à quatre pattes servant de support à la soumise que Monsieur couvre de cire. Les convives partent, je suis épuisé, agenouillé au pied de ma Maîtresse. Monsieur revient et me flatte de sa main sur le crâne “tu as été bien”. Je me sens très fier de les avoir honorés. “Nous avons prévu une autre surprise pour toi” me dit-il. Je reste silencieux sachant qu’en général leurs surprises sont éprouvantes. Je rentre dans la villa suivant sa traction sur mon collier de chaîne. Monsieur s'arrête à l’angle du couloir. “Voilà” Je ne comprends pas. “Voilà ton nouveau coin de nuit” Les briques nues rejoignent un sol de dalles roses en terre cuite. Je ne vois pas trop en quoi c’est aménagé. “Tu vas voir, ne bouge pas” Je reste assis sur place pendant qu’il s’absente. Il revient avec une sorte de muselière de cuir. Il me l’enfile. La chose me couvre du menton à sous le nez avec une excroissance qui entre dans ma bouche. Ce n’est pas inconfortable, mais je ne peux ni ouvrir ni fermer ma mâchoire. Il y’a un côté protecteur dans la pression du demi masque, mais je reste perplexe de la suite. Monsieur prends mes cheveux en main et guide ma tête vers le sol. A peut être 20cm du sol, un anneau fait saillie du mur. Jumeau de l’instrument de supplice du début de soirée, il permet d’y accrocher l’anneau qui fait saillie de devant ma muselière. Monsieur clipse un cadenas entre les deux et fait un pas en arrière. Madame nous a rejoint et c’est elle qui parle en premier. “Ah tu as découvert ton petit coin. Je suis certaine que tu vas en apprécier la perversité.” Les quelques secondes m’ont permis de tester les mouvements possibles: impossible de poser la tête à terre, impossible de s’adosser au mur. Même si mes mains et mes jambes sont libres, je suis coincé face au mur. Mes Maîtres me laissent. Ils débarrassent, rangent. Ma position est franchement inconfortable, mais surement, ils vont me détacher pour me faire dormir au pied du lit. C’est la soumise, que je croyais partie, qui m’apporte une couverture. Madame repasse, “Ah Marie a pris soin de toi. Pense bien à nous, c’est elle qui est dans notre chambre cette nuit”. Je ressens un pic de jalousie féroce qui doit se voir dans mon regard. Madame caresse ma joue, “Tu souffres pour ton Maître et moi. C’est pour t’apprendre la patience, et aussi pour le plaisir que nous avons à te savoir là. Profites-en, cette nuit, tu peux te faire jouir autant que tu veux.” Je suis perdu un instant entre plaisir, désir de plaire, frustration, jalousie. Mais surtout je me retrouve seul, dans le noir, dans une position qui empèche tout sommeil récupérateur et les moustiques pour seule compagnie. Malgré l’inconfort et la fatigue, ma plus grande frustration est que le bruit des grillons couvre les ébats que je devine derrière la porte close au bout du couloir. C’est en l’imaginant que je me fais jouir.
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Par : le 16/05/21
Une soirée presque parfaite I Le télétravail a du bon. Quelques courses entre midi et deux, de la liberté pour organiser ma journée plus ou moins comme je l'entends. Aujourd'hui ce sera organiser, préparer, cuisiner. Je veux que la surprise soit totale. Et ma princesse aux anges. Même si c'est un Démon... Allez je m'étais dit 16 heures, aujourd'hui je tiendrai parole quoi qu'il arrive. Ou presque. Une rose rouge sur son oreiller. J'essaie d'imaginer son sourire quand elle la verra. Elle se déshabillera puis filera à la salle de bain attenante. Elle tombera sur les pétales de roses, multicolores, au sol. Avec les sels de bains à la rose, le visuel sera parfaitement complété par l'odeur. J'espère juste qu'elle sera ponctuelle. A quelle heure faire couler son bain pour qu'il soit à température idéale quand elle arrivera ? 18H30 est son heure et j'espère avoir habilement hier soir sondé sa journée pour ne pas être surpris. 18H15, ce sera bien. J'aère la chambre, le lit est impeccable tiré, rien ne traîne, nickel. J'essaie de penser à tout pour qu'elle soit bien. Bon cuisine. Les Saint Jacques du poissonnier étaient magnifiques. Je vais refaire le beurre au cerfeuil avec les noisettes concassées. Ca changera de la fondue de fenouil qu'elle adore aussi. Mais ça c'est fait depuis ce matin, au frais et hop. Les feuilletés aux baies et parmesan pour l'apéro, ce sera au dernier moment de les mettre au four, les servir chauds. Bon ça c'est une première, j'espère bien doser les épices. Le champagne est au frais, rosé millésimé, comme elle aime, le Corton Charlemagne, son blanc préféré également, parfait. Je préparerai le cocktail pendant qu'elle se détendra dans son bain : un fond de Grand Marnier, une framboise surgelée, champagne brut, elle va adorer. Bon mon dessert : une tarte citron meringuée déstructurée, c'est ce qui me demandera le plus de temps, en route. Balance, matériel, ingrédients, tout préparer, être organisé, se souvenir des cours... Pétard 17h45 et je termine juste de monter mes verrines. Allez zou, au frigo. Ce n'est pas ma spécialité mais faire une belle table : le service émaillé noir et or récemment acquis est superbe, un chandelier ornée de jolies bougies rouges, ne lésinons pas. De jolis verres. Voilà, parfait. Préparer les allumettes, pour le dernier barbecue je les ai cherché 10 minutes. Pour un peu on mangeait la côte de boeuf crue... Je vais cueillir quelques branches de houx dans le jardin, un peu de verdure manquait sur cette table. Bon récapitulons : repas, check ; table, check ; déco, check. 18H15, plus qu'à me changer, ma tenue de télétravail n'étant pas celle qui lui plaît le plus. Ce nœud pap là elle adore. L'image du miroir me convient pendant que je mets son bain à couler. Pas le choix, je dois bien faire avec. La voilà qui arrive déjà, elle a encore du faire péter tous les radars en revenant... Vite le four à préchauffer, lui ouvrir la porte quand j'entends ses pas sur les dalles de l'entrée. Son sourire m'indique qu'elle a vite compris en me voyant. Elle déjà habituée ou quoi? Il reste ma meilleure récompense ce visage qui change d'expression instantanément après la fatigue de la journée. Aucun mot superflu, un baiser, je prends son manteau et lui ouvre la porte de la chambre. Elle est de dos mais je sais qu'elle sourit. Je suis retourné en cuisine enfourner mes feuilletés après les avoir doré au jaune d'oeuf en l'imaginant sans grand risque de me tromper. Elle s'effeuille comme chaque soir, toujours un spectacle pour moi prend son bouquin du moment et se glisse dans la baignoire en appuyant sur le programme des bulles douces, accompagnées d'une lueur bleutée qui irradie dans toute la salle de bain. Je me demande juste ce qu'elle a mis en musique de fond. Voilà tout est prêt, je bous d'impatience : le plateau avec le seau à champagne et les coupes est prêt, j'espère que les feuilletés à peine tièdes lui plairont autrement que par leur aspect doré et croustillant. Pas de raison. J'entends du mouvement. Quelle tenue va-t-elle choisir ce soir? Ange ou Démon? Je baisse la lumière tamisée du salon donnant sur le lac où deux cygnes majestueux et indifférents passent tranquillement. J'entends ses talons qui claquent, la porte de la chambre s'ouvre. Ma princesse rentre en scène. Waouh. La soirée s'annonce... Je n'ai plus de mots tellement elle est magnifique. II Ses bottines noires brillantes aux talons aiguilles lui confèrent une démarche de Reine. Oui ma princesse est devenue Reine. De mon cœur. De mon corps. De mon âme. Mes yeux lubriques remontent le long de ses jambes magnifiquement mises en valeur par ces bas résilles auto-fixants à large maille jusqu'à son string en satin qui semble si doux. Je ne sais que trop combien son Mont de Vénus l'est plus encore. Noir c'est noir ce soir : le corset assorti qu'elle a du avoir du mal à fixer marque exagérément sa taille irréelle pour le coup et produit l'effet inverse un peu plus haut en faisant ressortir diaboliquement ses sublimes seins. Deux splendides collines naturelles surmontées de tétons roses dont l'un pointe le bout son nez. A croquer. Une autre fois, car ce soir, je suis sien. Seul son désir compte. La claquement de métronome de ses talons au sol me transporte déjà. J'avance avec un cocktail champenois de chaque main, mes yeux azur ne quittant pas ses yeux saphir. Comme un copié collé. Une pierre précieuse ma princesse. Nous trinquons à ce magnifique cadeau que la vie nous a fait. Que nous sommes allés chercher aussi. Rien n'arrive par hasard. Tandis qu'elle porte ses délicieuses lèvres à son breuvage préféré, mes mains sur ses hanches, je glisse le long de son corps de rêve. Des miens en tous cas. Et depuis le premier jour. Avant même de l'avoir vue. Comment est-ce possible... ? Déposant un chaste baiser sur la peau si douce de mes deux merveilles préférées, je me retrouve naturellement, presque sans m'en rendre compte à genoux devant elle. Cherchant ses yeux par gourmandise, puis collant ma tête contre son ventre satiné, comme à l'écoute, je l'enserre de mes bras. Je ferme les yeux. Caressant à peine, totalement involontairement bien sûr, ses fesses rondes et fermes, si douces... Elle ne bouge pas, m'accordant ce plaisir dont je ne saurais évaluer la durée. Mais même des heures seraient trop courtes. Un claquement de son talon au sol me rappelle que ce n'est qu'un début. Comme toujours aucun besoin de mot entre nous pour nous comprendre: j'embrasse le cuir de ses bottines, le lèche avec gourmandise, suçotant même l'aiguille qu'elle met à ma portée. Je sais que cela l'excite terriblement. Moins que moi. Elle me relève de mon acte d'allégeance d'un doigt sous mon menton, jusqu'à ce que nos regards fussent à nouveau à la même hauteur. Ses yeux me sondent, je me sens nu malgré son regard assuré autant que rassurant. Je suis sa chose. _ J'ai faim, me déclame-t-elle avant de se diriger vers le canapé en cuir blanc qui lui tend les bras pendant que je vais chercher notre plateau de feuilletés. Je le dépose cérémonieusement devant elle, avant de m'asseoir à ses pieds. Elle si belle ! Elle dévore deux canapés coup sur coup. En porte un ma bouche. Je lèche sa main, reconnaissant. _Masse mes pieds, ma journée fut éreintante. Je zipe délicatement pour ne risquer de pincement la fermeture éclair située sur le tendon d'Achille, dépose sa bottine. Je la regarde. _ Evidemment il faut enlever mon bas... Je l'adore. Elle sait comme personne allier nos plaisirs, penser au mien sans le moins du monde renoncer au sien. Mes mains glissent le long de ses jambes galbées de sportive, frôle le string dont je perçois la douceur soyeuse. Je me rends compte qu'il est déjà humide. Le bas descend, sans être roulé, et fini sa course sur mon épaule. Son adorable peton menu reposant sur ma cuisse j'étire chaque orteil, masse la voûte plantaire, sa cheville souple. Je suis toujours ébahi par la douceur de sa peau. Je remonte jusqu'au mollet, je sais qu'elle apprécie ; je prends mon temps, qui ne compte plus d'ailleurs. Je termine en déposant un baiser sur le dessus de son pied. Son sourire me montre sa satisfaction alors qu'elle me tend l'autre jambe. III Ses yeux mi clos pourraient donner à croire ma Princesse assoupie. Ses orteils curieux cherchant et trouvant aisément une certaine proéminence sur mon pantalon m'indiquent le contraire. _ J'ai faim, ça sent bon... _ Je vous abandonne 5 minutes Princesse et nous passons à table. Tandis que ma belle achève de se détendre je file mettre la touche finale à mon repas. _ Je vous invite à passer à table Princesse, tirant la chaise pour ma belle. _ Hop hop hop, pas si vite mon ange, tu reviens ici et tu te déshabilles, totalement. Durant mon effeuillage elle pose bruyamment sur la table basse un rosebud inconnu, bleu saphir. _ Assorti à tes yeux mon ange. Tu vois moi aussi j'ai mes petites surprises... Une tape sur ses genoux m'indique la position qu'elle attend de moi. Son doigt inquisiteur lubrifié par ma propre salive entreprend une exploration intime. _ Détend toi, accompagné d'une tape gentillette sur la fesse m'excite terriblement. J'adore quand elle me parle doucement, un murmure à peine audible, des pires pensées traversant son esprit aussi fécond que dévergondé, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Le rosebud rentre difficilement, faute d'habitude. Il ressort, revient, est remplacé par un doigt, puis deux, puis revient, comme pris d'une vie autonome. Enfin il semble en place, je souffle. _ Je vais décupler son efficacité, éveille mon inquiétude. Justifiée quand une sérieuse fessée commence. Je crispe mon postérieur, à broyer l'objet exogène qui ne se déformera pas lui, combat perdu d'avance. Quand les claques sur mon cul écarlate cessent enfin, je ne sens effectivement plus l'engin. Mais ma croupe oui ! Pétard elle n'y est pas allée de main morte. Comment savait-elle que je désirais cela, mieux que j'en avais besoin? Peut-être est-ce plus simple que cela, juste une envie subite coïncidant avec mon attente. Au diapason, comme d'habitude. Comme depuis le premier jour, la première minute, la première seconde. Nous sommes capables de finir les phrases l'un de l'autre. L'impression de s'être toujours connus. Aucune soumination, les envies de l'un coïncidant juste à la perfection avec les besoins de l'autre. Magique. Invraisemblable. Mais réel. Je me dandine une bonne partie du repas sur le siège que je trouve pourtant habituellement confortable. Ce qui l'amuse grandement. Le rosebud inhabituel n'y est pas pour rien non plus. Le dîner se déroule pour autant sans accrocs, ravissant ma belle, moins que moi. En connaisseuse elle a apprécié le grand cru blanc et le reste. Bon je n'aurais certes pas eu une attitude vatelienne en cas de critique, mon égo est au dessus de ça, mais pour elle, je voulais une soirée, et au premier chef un repas, en tous point inoubliable. En attendant la prochaine. Où j'essaierai de faire mieux. Ou différent. Parce que ma princesse mérite bien plus qu'un repas type Saint Valentin une fois l'an. C'est une de mes façons de lui signifier combien je suis heureux depuis qu'elle a changé le cours de mon existence. Nous sommes encore loin de la routine de toute façon en ce domaine comme en bien d'autres. Quelle magie que cette période bénie! _ Vient commencer ton dessert. Je glisse sous la table et découvre son string en satin noir déjà humide, ses cuisses fuselées écartées juste pour ma place. A peine en position, elle les resserre autour de moi, dans une prison dorée. Je ne fomente d'ailleurs pas la moindre tentative d'évasion. Détenu par elle jusqu'à la fin de mes jours est mon souhait. Ma langue la lèche à travers le tissus. Déjà imbibé de son goût délicieux que j'ai appris à reconnaître entre mille. J'allais l'écarter mais ma belle se prend au jeu. Mieux elle me guide, comme me fournissant un mode d'emploi. _ Plus haut, oui descend sur toute ma fente, encore... Ses mains caressent mes cheveux dans un geste tendre autant que possessif. _ Rentre là un peu, hummm Redescend. Oui encore comme ça; baise moi avec ta langue comme avec ta jolie queue mon ange... Sa voix change, puis s'éteint, au fur et à mesure que l'étreinte de ses cuisses se resserre sur mon cou, que ses doigts se crispent sur me crâne. Je m'applique, varie, accélère puis ce cris que je connais si bien déchire le silence de la salle. Animal, venant des tripes. J'ai à peine finit qu'elle me tire de sous la table et me redresse vers elle, m'embrassant sauvagement, puis léchant mon visage comme une chatte, comme récupérant chaque goutte de son élixir de ma jeunesse retrouvée. J'aime quand elle se laisse aller ainsi, naturellement, à ses instincts, ses pulsions, ses envies... IV _ j'ai cru voir mon dessert préféré mon ange ? Le sourire presque enfantin éclairant son doux visage me fait fondre, comme à chaque fois. Trop facile, pas sport. Mais si bon... Sa capacité à changer d'expression en un quart de seconde me sidèrera toujours. Je sers à mon élue sa verrine de tarte au citron meringuée destructurée, revisitée à ma façon. Un verre de vin de paille du Jura aux arômes exotiques se mariant à merveille. Elle ne pipe mot, tout à son plaisir. Hédoniste autant qu'épicurienne, elle est capable de ressentir un vrai plaisir dans son acte présent, bien au delà du sexe. Quasiment un plaisir physique. Elle aime ce moment sublimé par la musique douce qui nous accompagne, donnant un côté vaporeux à cet instant suspendu. Jouissif. _ Tu m'as gâtée mon ange, à mon tour. Pousse la table basse du salon et attends-moi à 4 pattes sur le tapis, tu regarderas le lac en face, interdiction de tourner la tête. En position, l'attente me semble longue. Puis interminable. Puis... La porte de la chambre s'ouvre et j'entends à nouveau le délicieux claquement de ses talons au sol. Tout à coup je suis moins pressé... Je ne peux m'empêcher de voir son reflet dans la baie vitrée et nous nous en rendons compte simultanément, partant de concert dans un éclat de rire coutumier. Les même délires, qui seraient déstabilisants pour d'autres. Pas pour elle. La surprise étant éventée elle se présente devant moi, harnachée d'un god ceinture dont j'ignorais jusqu'à l'existence dans son attirail. Je ne puis m'empêcher de la remercier intérieurement pour sa taille raisonnable. Elle dépose devant moi un single tail. Je frissonne devant le double inconnu. _ Tu préfères quoi ? Mais quelle question sadique ! Devoir choisir c'est en outre devoir avaliser ma peine. La peste ou le choléra ? Et en même temps les deux m'attirent. Elle le sait, le devine. Mon hésitation l'amuse et elle croit bon de piétiner son homme à terre à assénant : _ … En premier je veux dire! Mais elle pire que je croyais! Pire que moi c'est dire. Son rire cristallin m'achève. Je sais que cela l'amuse follement. Et par la même moi aussi, comme toujours. _ Gardons le meilleur pour la fin...? Une façon comme une autre de ne pas répondre, la forçant au choix, quitte à prendre un risque. Je n'aimerais pas finir par le fouet. Bon possible que je n'aimerais pas commencer par là non plus en fait! Je n'avais pas vu le foulard de soie posé négligemment sur son épaule, qu'elle noue délicatement autour de mes yeux. Je n'entendrai plus un mot non plus, ignorant jusqu'à la dernière seconde son choix. Un silence, des bruits que je suis incapable de déterminer, un peu perdu, En délicieuse perdition, mon attente. Un sens occulté, les autres décuplés paraît-il. Sous réserve d'une minimum de lucidité et d'un cœur qui ne bat pas à tout rompre à mon avis. Le claquement dans l'air, plutôt éloigné de moi m'indique son choix. _ Seulement 5 ce soir mon ange... Son murmure à mon oreille me transporte, comme toujours. Me rassure. J'y puise ma force. De toute façon désormais elle est source de tout pour moi. Etrangement je pense à ce qui sur le moment devrait n'être qu'un détail : je n'ai jamais eu de marques. J'en ai déjà fait. C'était la fierté de mes soumises. Décidément je ne comprendrai jamais. Ma réflexion philosophique à deux balles est interrompue par le premier coup, visiblement retenu. Je le ressens pourtant psychologiquement avec une extrême violence. Rien de négatif. Juste mon entrée dans un autre monde. Celui dont je cherche, plus ou moins inconsciemment, à pousser la porte depuis des années. Encore une chose que je dois à ma Princesse. La liste s'allonge. Puis un second, elle semble prendre ses marques. La douleur est déjà là, quelle mauviette je fais ! Trois. Outch, bon heureusement ce ne sera que 5. _ Au fait tu n'as pas compté? _ Vous ne m'aviez pas demandé Maîtresse Princesse. _ C'était une évidence. On repart donc à 0. Nan mais quelle mauvaise foi !!! Je suis vert. Et j'adore en même temps. Sa fraîcheur, comme une espièglerie enfantine. Mon bain de Jouvence. V Il est clair que les coups furent léger, pourtant … Quel engin diabolique. Je n'ai jamais été aussi soulagé de prononcer ce « 5 » dans un soupir de soulagement. Dans ce noir total, je ressens pleinement ces zones dans mon dos, chauffées à blanc, au rouge plutôt, et celle épargnées. La brûlure dure bien après que les coups aient cessés, une découverte. Sans vraiment les entendre je sens des pas sur le tapis, puis une caresse, douce apaisante. Puis des ongles ! Je la maudit sur mon épiderme à vif ou du moins me semblant tel. J'ai hâte de le voir en fait Regarder enfin ces fameuses traces. Puis des baisers sur mes chair meurtries. Elle est diabolique pour alterner le chaud et le froid avec une pertinente perversité. Ces mots susurrés à mon oreille m'emmènent loin, si loin. Je les entends à peine, les comprends encore moins. Toujours est-il qu'il me font un bien fou. Un baiser sur mes lèvres m'achève. _ Bien passons aux choses sérieuses. Ah bon, ce n'était pas sérieux là ? Si le but était d'augmenter mon angoisse, carton plein. J'ai beau savoir qu'elle joue, j'appréhende. Peur de la décevoir. Peur de me décevoir. Crainte de mesure la distance entre fantasme et réalité . Elle m'enlève mon bandeau, mes yeux se réhabituent vite à la lumière tamisée. Elle est là devant moi debout, impressionnante harnachée ainsi. Je me sens petit, aux pieds de ma princesse. _ Suce ! Quelle économie de mot. Elle joue le jeu à fond, j'aime ça. J'avais peur que notre complicité, nos sentiments ne bloquent certaines choses, nous empêchent de nous livrer à fond. C'est le contraire et j'en suis ravi. Au delà de l'acte qu'elle m'impose, même son ton sans appel me conforte. Obéir c'est aussi moins assumer, cela me facilite la chose. Qu'elle ne doute pas (ou affecte de le faire?) également. Je m'exécute donc, maladroitement. Quand je pense à la science, que dis-je son art à elle... Soupir. J'essaie de m'en inspirer. Je la regarde. Non pas du regard qu'elle me lance quand elle pratique, semblant me dire oui j'aime ça et j'assume mon ange. Non, un regard interrogateur, pour avoir un retour, savoir où j'en suis. A ma grande surprise elle ferme les yeux, comment semblant ressentir cette fellation factice. Elle n'est pas croyable. Si sensuelle, si dans son trip psychologique. Quand elle rouvre les yeux, un lumineux sourire éclaire son visage radieux, me confortant. Elle ne me juge pas, semble ravie de mon implication. Une fusion. _ Tu m'as terriblement excitée mon ange, tu es prêt ? _ Bah.... _ Ce n'était pas une question. _ Ah... Je la hais ! Et l'adore encore plus. Ca doit être ça un switch. Ceci dit quand je la sens se positionner dernière moi je n'en mène pas large. Je redoute. Et en même temps je suis demandeur. Ca doit être ça un indécis. Je le lui fais confiance, mais je crève d'envie de lui demander d'y aller doucement. Ca doit être ça un emmerdeur. Quand je la sens enlever mon rosebud je ne peux plus reculer. Ou plutôt si mais ce serait pire vu la protubérance que je sens positionnée contre mon fessier gauche pour l'instant. Elle tire à gauche... Elle remet du gel sur mon cul, l'étale, comme un massage, plutôt agréable d'ailleurs. Puis un doigt inquisiteur part à l'aventure. Pas longtemps seul, il devait s'ennuyer. Pas moi qui me concentre pour me détendre au maximum. Dire que quand c'est moi qui suis à la baguette cela paraît facile, naturel... Je la sens ajuster sa position derrière moi, se rapprochant, une main sur ma hanche. Bon en principe question musique on devrait passer de la petite musique de nuit à la chevauchée des valkyries. Au lieu de ça on reste sur une musique douce, hallucinant contraste avec la violence innommable de la scène que je vous épargnerai. Mozart et Wagner ayant baissés pavillon, votre serviteur également, reprenant sa respiration allongé sur le tapis, ma belle pour une fois fait comme tout le monde. Epuisée peut-être. Rassasiée sûrement pas, elle ne l'est jamais. Allongée contre moi, sa main bienfaisante caressant mon corps en sueur encore. Une douceur extrême dans un silence assourdissant. Deux sourires qui sans se voir se rejoignent, s'envolent, haut, très haut...
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Par : le 16/05/21
Je suis décidée à tout quitter : l’usine, mon beau père, Max, le Nord, la France et même l’Europe. Je veux du soleil, du neuf, de l’excitant... mais je ne veux pas partir sans rien. Eh ! J’ai Julien à ma charge. Et puis, je les mets tous à l’amende. Depuis quelque temps, j’ai les yeux qui furètent et les oreilles qui traînent. Il m’est même arrivé de fouiller la corbeille à papier de mon beau- père... et puis, j’interroge discrètement des gens sûrs, comme Diesel. Je suis super bonne en espionnage et je dois le dire, Julien aussi. En nettoyant les toilettes, il a surpris des bribes de conversations. Tout mis ensemble, voici ce qui va se passer : vendredi après-midi, mon beau-père va recevoir de l’argent de provenance inconnue, qui ne fera que transiter un week-end dans l’usine. Lundi ou mardi, il partira en Chine avec un diplomate. Là, cet argent servira à construire une nouvelle usine. Mais, j’en ai décidé autrement : cet argent me servira à faire la fête aux îles Caïmans. Je suis une fille du voyage, et cette fois-ci, je vais partir loin. Dimanche 4 h du matin... Oh, et puis non, j’ai pas envie d’écrire ça, ce sont de trop mauvais souvenirs. Ma voix intérieure, me souffle "Un peu de courage Samia ! Écris, puis oublie !" Oui... c’est vrai. Dimanche, 4 h du matin, une voiture se gare en bordure d’un terrain vague... Deux ombres se glissent à travers la végétation, jusqu’à une brèche dans le mur, cachée par un buisson. Julien jouait ici quand il était petit, il connaît tous les recoins, toutes les cachettes... J’accélère. On entre dans l’usine et on va jusqu’au bureau de mon beau père. Julien connaît la combinaison et moi, je sais où il cache la clé. On ouvre le coffre et j’éclaire l’intérieur avec ma lame torche. Il y a un gros paquet emballé dans du papier brun : l’argent ! Et, il y a aussi un papier sur lequel il est marqué "Souriez, vous êtes filmés". La lumière inonde la pièce ! Julien et moi on se regarde comme deux imbéciles piégés ! Mon beau-père entre dans la pièce. Avec lui, il y a Max, Lisa, un homme en costume et deux gardes. Voilà, voilà... que dire de plus ? Que mon beau-père nous a fourrés à sec et bien profond ? Oui et franchement, ça fait mal. Pas à mon cul, mais à mon ego ! Je le prenais pour un gros pervers qui se faisait sucer par sa belle-fille et son fils, mais ce n’est pas que ça : c’est un gros pervers intelligent et machiavélique... Je réalise que tous ceux qui m’ont donné des renseignements sont ses complices ! Il a un grand sourire quand il m'explique : — Tu n’étais pas de taille, Samia. Tu es sûrement très bonne quand tu fais croire aux passants que tu peux lire l’avenir dans les lignes de leurs mains, mais tu aurais dû te contenter des quelques pièces qu’ils te refilaient. Un casse, tu n’es pas de taille. Ce n’est pas que je sois un grand stratège, c’est que tu es tellement prévisible. Si tu savais le nombre de gens qui m’ont dit que tu préparais quelque chose ! Je me mords mes lèvres pour ne pas pleurer. Je suis peut-être la reine des idiotes, mais j’ai encore un tout petit peu de fierté. Enfin, pour le moment. Il a un auditoire ! Il poursuit : — Tu sais, je ne t’ai jamais fait confiance. J’ai compris très vite que tu attendais le bon moment pour me voler. — Je n’ai fait qu’essayer, Monsieur. — C’est vrai, mais il y a le garde que vous avez assommé. — Quel garde ? C’est faux, vous essayez de... Mon beau-père se tourne vers l’homme en costume en disant : — Cher maître, vous voulez bien lui expliquer. — Oui... Je suis maître Delmol, huissier, et j’ai interrogé le garde. Il a expliqué vous avoir surpris tandis que vous vous faufiliez. À votre demande, votre mari, Julien de Préville, lui aurait donné un coup sur la tête et il s’est évanoui. Et puis, le revolver. Pas la peine de nier, de crier... mon beau-père nous baise une fois de plus, Julien et moi, mais cette fois-ci, ça fait vraiment très mal. Il ne me reste qu’à reconnaître ma défaite avec le plus de classe possible, disons deux millimètres de classe. Je lui dis : — Je ferai ce que vous voulez, Monsieur. — Je sais bien Samia. Tu vas signer les documents que maître Delmol a dans sa serviette. Julien aussi, bien sûr. L’homme en costume dépose des documents sur la table, une série pour moi, une série pour Julien. Il nous dit : — Un paraphe sur chaque feuille et sur la dernière page vous écrivez "Lu et approuvé", vous datez et vous signez. Je commence à lire mais mon beau père m’arrête : — On t’a dit de signer, pas de lire. — Pas question de signer sans savoir ce que c’est. Et "PAF", je prends une gifle qui claque bien sur ma joue ! C’est cette sale garce de Lisa. J’essaye de lui envoyer mon poing sur le nez, mais Max me maintient les poignets dans le dos. Lisa me prend par les cheveux et me donne encore 6 gifles, aller-retour. Je vois des étoiles et ça me calme. Je dois faire ce qu’ils veulent. Les joues en feu, je dis : — Je vais signer ! Max me lâche, je paraphe et je signe. C’est quoi ? Je reconnais peut-être avoir assassiné Kennedy ! Julien signe aussi. Mon beau-père me dit : — Bien... alors, on part en Chine après demain... Julien et toi, vous serez du voyage.  Tu aimes voyager, non ? — Oui Monsieur Il se fout de moi le sale rat ! Vous avez déjà été dans un train fantôme ? Vous êtes assis dans le train qui roule rapidement. Soudain, un truc horrible vous bondit dans la figure, puis un autre et encore un autre... Je suis dans un train fantôme ! Mon beau-père m’annonce : — En Chine, il y a une usine, construite avec de l’argent propre. Nous avons des condamnés à une peine légère. Ils y font un travail de substitution et comme ils ne sont pas payés, c'est intéressant. Julien et toi, vous y resterez trois mois. C’est mieux que quelques années de prison, non ? Comme j’ai les joues en feu et que je ne veux pas me faire gifler à nouveau, je réponds : — Oui Monsieur, c’est beaucoup mieux. — Bien. Mais je te conseille de continuer à être aussi... conciliante. C’est votre punition pour avoir essayé de nous voler... Avant le départ, vous allez passer deux jours à la disposition de Max et de Lisa. Les ouvriers et les ouvrières qui en ont envie pourront se distraire avec vous. Il se tourne vers Lisa et Max et leur dit : — Maintenant, emmenez-les loin de moi. Pour le moment, je ne peux plus voir ces ingrats ! Non, mais je rêve : nous, des ingrats ? Qu’il en trouve d’autres qui se dévouent autant pour sa saloperie d’usine ! J’ai quand même aidé à décrocher des gros contrats en suçant ses clients ! Max lui demande : — Carte blanche pour leur donner une petite leçon ? — Absolument. — Bien, à poil, les voleurs. C’est quand même dur à entendre. On se déshabille. Lisa sort de sa serviette deux morceaux de cordes et Max nous attache les mains derrière le dos. Je lui dis : — On ne va pas s’enfuir. — Je m’en doute, mais c’est symbolique. Tu comprends ? Lisa prend deux laisses, le genre pour molosse avec des colliers étrangleur. Max ajoute : — Ça aussi, c’est symbolique. Salaud ! Lisa prend la laisse de Julien et Max la mienne et on les suit jusque... dans le premier atelier, celui des hommes ! Alors là, on a un franc succès : rires, insultes, sifflets, la totale ! On fait le tour de l’atelier. Des mains calleuses me caressent et me pincent les fesses au passage. Julien s’en sort mieux, c’est tout à fait injuste ! Ensuite, on va dans l’atelier des femmes. On a tout autant de succès, sauf qu’elles sont pires que les hommes. Plusieurs d’entre elles me crachent à la figure. Le crachat coule sur ma joue, impossible de me  frotter avec les mains attachées. Une jolie brune bien vulgaire dit : — S’ils ont une laisse, ils devraient faire un tour comme des chiens. Vous ne trouvez pas, Monsieur Max ? — Bonne idée ! À quatre pattes, les voleurs. Ils défont nos liens et on doit se mettre à quatre pattes. C’est pas du tout que je sois pudique, mais être à quatre pattes au milieu de gens hostiles, on se sent vraiment vulnérables.   Des filles me crachent sur les fesses, ce qui est quand même mieux que dans la figure. Julien, on lui crache à peine dessus. Il y a autre chose : on n’est pas fait pour marcher à 4 pattes sur du béton. C’est de loin pire quand une fille demande : — Je peux la monter, Monsieur Max ? Quoi ??? Elle est folle ! Ce salaud répond : — Oui, ce sera marrant. NON ! La fille saute sur mon dos et elle me donne une claque sur les fesses en disant "hue !" Heureusement, elle est légère, parce que mes genoux sont de plus en plus douloureux. Une grosse femme relève sa jupe et enfourche Julien. On s’occupe aussi de lui ! Il y a une fameuse ambiance. Plusieurs filles font un tour sur mon dos et celui de Julien. C’est très pénible. Les femmes se bousculent pour mieux voir. L’une d’elles vient avec deux baguettes en bambou, dans le genre des tuteurs pour les plantes et on reçoit des coups sur les fesses pour nous faire avancer plus vite. Je suis sur le point de m’écrouler, advienne que pourra, quand Max dit : — Camarades, ils seront tous les deux à votre disposition dans le garage. Il vous suffira de faire un petit don pour le syndicat et vous pourrez vous faire lécher la chatte et tout ce que vous voulez. — Le trou du cul, Monsieur Max ? — Oui, bien sûr. Les ânes, allez vers le fond, c’est l’heure de retourner à l’écurie. Rires, applaudissements... La grosse descend de sa monture : Julien. La mienne descend aussi, ouf ! On peut enfin se remettre debout, péniblement. J’ai mal aux genoux, aux reins et aux fesses. Mais on peut marcher, quel confort ! Je dis à Lisa : — Je dois faire pipi, Madame. — Serre les fesses ! Sale garce, je voudrais qu’elle se noie dans sa graisse ! On va dans le garage. Il y a deux matelas par terre. On a installé deux rangées avec des cordes, comme devant les bureaux des aéroports. Il y a deux files devant les matelas. Une trentaine de personnes pour moi et une vingtaine pour Julien ! Je pensais qu’il n’y aurait que des hommes, mais il y a aussi des femmes. Il y a un grand panneau sur lequel on a écrit : « En échange d’un don pour la caisse d’entraide du Syndicat, amusez-vous avec le fils du patron et sa femme ». Ce Max est vraiment un mac ! Seule chose positive, ils nous enlèvent les colliers, les laisses et les liens qui enserraient nos poignets. On les masse comme dans les films policiers quand on enlève les menottes à quelqu’un. Lisa nous interpelle : — Vous faire baiser, c’est censé être une punition, sauf pour des petites salopes comme vous deux ! Elle se tourne vers Max en disant : — Tu leur expliques ? — Vas-y, tu fais ça bien. Elle lui sourit, ils sont mignons... comme des rats d’égouts vecteurs du choléra. La rate nous explique : — Pour que tout le monde passe, vous lécherez un homme ou une femme pendant qu’un homme vous baisera. Vous comprenez bien ? — Ui... ame... — Pardon ? J’ai pas bien compris. — Oui madame ! — Alors, pour vous inciter à sourire et à bien tortiller du cul, ce que les camarades aiment bien, j’ai apporté ça. Elle ouvre un sac en papier brun et en sort un martinet ! Un vrai, manche en bois, lanières de cuir. Elle nous explique : — C’est un souvenir, il pendait dans notre cuisine, accroché à un clou, et je vous garantis que mes sœurs et moi, on filait droit ! C’est peut-être pour ça qu’elle est si méchante... Elle poursuit : — Il faudra avaler le sperme que les camarades daigneront mettre dans vos bouches de faux jetons. Il faudra tout avaler, une goutte qui tombe, un coup de martinet. Max a sorti un carnet, il fait un petit calcul, puis nous donne le résultat : — Ça fera environ un demi-litre, pour chacun de vous... Ça ne fait pas beaucoup de calories, mais vous aurez du pain sec et de l’eau en plus. Maintenant, on va quand même un peu vous réchauffer les miches ! Mais pourquoi ? Lisa et Max tournent autour de nous... Lui pose la main sur mes fesses en expliquant à Lisa : — Tu sais, les martinets, c’est pour les enfants. Avec le cul qu’elle a... il faudrait un instrument plus solide. En disant ça, il me donne une bonne claque sur la fesse, puis ajoute : — Elle ne sentira rien. — Ah mais si, je te jure, ça fait mal ! Tu vas voir... Elle vient du côté de ma tête pour me dire : — Ton cul va me servir pour une démonstration. Et puis, ça amusera les camarades de te voir fessée. Pour commencer, tu vas te mettre à 4 pattes. Si tu restes en position, ce ne sera que 5 coups. Si tu fais la conne, on te maintiendra et ce sera 10 ! D’accord ? Va en enfer ! — Oui Madame. Max lui dit : — Je la connais, elle va nous casser les oreilles. Il faut lui mettre quelque chose dans la bouche ! Un chiffon... — J’ai mieux. Elle se trousse et enlève sa culotte. Elle me dit : — Ouvre bien la bouche. Elle m’enfonce sa culotte pas propre dans la bouche. Berk ! Ensuite, les lanières sifflent dans l’air sans me toucher. Elle me dit : — Tu as bien compris ? C'est cinq coups si tu restes en position. Je secoue la tête pour dire oui et là j'entends : "Sssswwwwiiitchh ! ". Je crie dans sa culotte, mais ça fait seulement : — Mmmmfffff !  Les lanières m’ont frappée en plein milieu des fesses, ça fait maaal ! "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmffff ! Maintenant, c’est à la base de mes fesses, donc je m’aplatis pour essayer de diminuer l’ampleur de mon derrière ! "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmfffff ! En plein milieu des cuisses ! Ouch !! Je fais un énorme effort pour rester dans la position. "Sssswwwwiiitchh !" — Mmmmfffff ! Juste sur le pli de mes fesses !!! Elle dit en rigolant : — Pendant quelques jours, tu penseras à moi quand tu t’assiéras ! Elle s’arrête et retire la culotte de ma bouche. Max lui dit : — N’oublie pas l’autre petite salope. — Non, non... Elle va devant Julien et lui dit : — Demande ? — Vous voulez bien me donner cinq coups de martinets, Madame Lisa, s’il vous plaît... Quelle moule ! Je l’entends crier cinq fois. Je vois les marques rouges sur ses fesses. Ce n’est que justice !! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 05/05/21
Chapitre 4 : Les vacances d'un sérial Dominateur Ben oui quoi, on peut être très au dessus de la moyenne et avoir besoin de se reposer… Quitte à surprendre la lectrice (le lecteur peut davantage penser ce qu'il veut), je ne suis qu'un homme, Ou presque, Après tout grecs et romains avaient bien des demi-Dieux. Et puis ma copine Elohan m'avait donné de bonnes adresses dans le Sud (traduisez : bonne réserve de chair fraîche). Bien fréquentées de surcroît; peut-être même, avec un peu de chance - pour lui évidemment-, y croiserai-je mon pote Patcho… Mon carrosse ayant rendu l'âme, et le reste, depuis que j'avais emmené Huguette faire un tour… Cher lecteur , je dois faire une digression : vous vous souvenez de ma tendre amie Huguette, la grâce (j'ai failli faire une abominable mais compréhensible faute d'orthographe…) incarnée; cédant malencontreusement à ses demandes répétée de me revoir - comment ne pas la comprendre ?- , je lui accordai, un jour d'insigne faiblesse, ce plaisir. Rentrer 145 kg -elle venait de faire un régime efficace- sur le siège passager ne fut pas aisé. La sortir encore moins; heureusement des potes pompiers ont fait usage de leur matériel de désincarcération. Ce n'est pas qu'ensuite ma nouvelle décapotable ne me plaisait pas, mais les amortisseurs n'avaient pas résisté au quart d'heure de transport. D'un autre coté, sans toit, et la caisse surbaissée cela lui donnait un certain air sportif. Mais désormais inutilisable. … je décidai d'y aller en moto. En outre le coté biker, cuir, aventurier au regard bleu acier impénétrable, ne pouvait que mettre en évidence mon implacable coté dominateur, et sans doute, en faire rêver plus d'une. Les vendeurs de petite culotte auraient du depuis me longtemps me remercier pour la probable explosion des ventes depuis que je sévissais. Après une après-midi de spéléologie au fin fond du garage, je ramenai en surface un 103 Peugeot prometteur. La peinture écaillée, le chassis rouillé ? Quelques autocollants Ricard masqueraient tout cela rapidement, ajoutant de surcroît une touche de bon goût. Les amortisseurs grippés ? Un vrai biker se moque du confort. Le moteur hoquetant, fumant bleu ? Je mettrai un peu plus d'huile que d'essence et le tour sera joué. Un dominant de ma trempe n'a jamais de problème, juste des solutions. Tout se passait bien. Après 5 heures de route j'avais parcouru près de 100 kms, le rêve. Plus que 500 jusqu'à Marseille. Une station ratée… Une panne d'essence (avec un réservoir de 6 litres, l'autonomie n'est pas énorme…). Après une poussette de 40 minutes j'arrive au village suivant. Rien de tel pour rester en forme en ne pas se vautrer dans le confort(misme) bourgeois. Et là, telle une récompense divine, vision d'extase : dans son jardin, une femme sublime me fait signe. Un signe du destin… Rien n'arrive par hasard ici bas. Et si quelqu'un mérite, c'est bien moi! Grande, brune, mince, une mini-jupe en imitation skai… J'étais déjà presque amoureux (oui cher lectrice on peut avoir une bite de fer dans un gland de velours). Je m'arrête devant la porte de son jardin, tout sourire,  suant sang et eau , avec mon cuir sous cette chaleur accablante. On aurait dit que je sortais de la douche. Bien que je n'y entre jamais. Bref. Mon casque à demi enfoncé sur la tête me donnait certainement une certaine aura. Elle me détaillait, déshabillait littéralement du regard (une habitude quand je passe devant une femme) visiblement conquise. Comment ne point l'être ?Mes santiag (dans les lesquels mes arpions sans chaussettes marinaient, ben oui, j'avais pas prévu de marcher en poussant…), mon jean délavé ( façon de parler car il ne voyait jamais la lessive),  mon blouson style perfecto (en réalité de marque carrefour mais remarquablement imité) ouvert laissant deviner un Marcel des plus virils (surtout coté odeur) … Elle n'était ni la première, ni la dernière à légitimement succomber à mon incroyable sex-appeal. Je dois humblement admettre, qu'outre un look soigné, mon physique avantageux jouait comme toujours en ma faveur . Un café ? Heu, bah oui, pourquoi pas… J'aurais préféré une bière mais bon. Je sais trop que tout ceci n'est qu'artifice mon m'attirer chez elle, et l'issue connue. En suivant cette belle et grande brune , je remarqué ses belles jambes longues et fines quoique musclées, son cul bien rond dont je ne doutais point le visiter bientôt à loisir. Sa voix éraillée m'excitait aussi; fumeuse sans doute. Je l'imaginais déjà comme toutes les autres hurler son plaisir sous mes coups de boutoirs. Mon coup de rein meurtrier allait sans nul doute encore me servir, et contribuer à porter ma légende jusque dans les bourgs les plus reculés de notre beau pays.  Si je veux prends une douche? Ben ,c'est gentil mais pourquoi faire ??? Sont bizarre les femmes parfois. Assise en face de moi, me dévorant des yeux (comment ne pas la comprendre), je remarquai une poitrine menue : sans grande importance une fois qu'elle sera à 4 pattes la tête dans l'oreiller en train d'appeler sa mère me dis-je fort justement. Ses pommettes saillantes lui donnaient un certain air de Grâce Jones. Blanche. Ma fine compréhension de la psychologie féminine me fit soudainement comprendre la perche tendue : j'acquiesçai pour la douche.  Comme prévu – les femmes sont si prévisibles quand on a mon expérience… - , elle vint me rejoindre rapidement, dès que j'eus le dos tourné en fait, en plein shampoing. J'avais bien raison de ne jamais me servir de ce truc au nom anglo-saxon qui pique les yeux! Ces caresses dans mon dos d'une extrême douceur allaient vite contraster avec la fessée magistrale que j'avais l'intention de lui donner à peine sorti; j'adore posséder un cul bien rougi. Se faisant chienne, elle m'embrassait dans le cou, passant ses mains douces partout sur mon corps,  se collant contre mon dos. C'est là que le doute en moi s'immisça. Avant autre chose visiblement! Collée à moi, je sentais confusément une masse étrange contre mon postérieur. Un travesti ici ? Un transexuel non opéré ? Peu importe, pensant aux 12 heures de selle qui m'attendaient encore, au bas mot, je sortis en courant de la salle d'eau pour prendre mes fringues au passage que j'enfilai dans le jardin en hâte, sous le regard ébahit de 2 vieux revenant de courses. Je repris la poussette de ma mob presque avec soulagement; même la pancarte Leclerc / pompes 24h24 à 13 kms me sembla alors une bonne nouvelle.
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Par : le 25/04/21
La fessée devant toutes les ouvrières, ça ne passe pas ! Depuis, plus personne ne me respecte... Si je croise des ouvrières, il y en a toujours une qui va me balancer un truc du genre "Encore chaud aux fesses, Comtesse ?" ce qui les fait bien rigoler. Si ce sont des ouvriers, l'un d'eux va faire mine de me prendre sous son bras pour me fesser ! J’en ai plein le cul ! Lorsque je m’en suis plainte auprès de mon beau-père, il m’a répondu, agacé : — Difficile de renvoyer tout le monde. Connard ! Et il y a pire. Quand cet enfoiré de Max m’a fessée devant les ouvrières, l’une d’elles avait un appareil photo et elle a fait 36 vues de mes fesses et de la fessée. Les photos se vendent comme des petits pains et circulent dans toute l’usine ! Il y a même un atelier où il y a un agrandissement de mes fesses toutes rouges sur un mur ! Quand j’ai demandé à mon beau-père de faire enlever la photo, il m’a répondu : — C’est flatteur Samia. D’ailleurs, moi-même, j’aime beaucoup cette série... Double connard !! Il ajoute : — N’oublie pas, rendez-vous au restaurant à 7 h 30' avec Giulia... J’ai envie de faire la chieuse, alors je lui dis : — Ce soir, c’est pas possible Oh qu’il n’aime pas ça ! Il répond : — Pourquoi ? — Si vous ne faites pas enlever cette photo, c’est non pour les soirées... Ça, il aime encore moins, car il a vraiment besoin de nous pour ses clients et même pour lui. Alors, il me dit : — D’accord, je la ferai enlever. Yes !  *** En début de soirée, Giulia et moi, on arrive dans le bar de l’hôtel où mon beau-père reçoit ses clients. On est habillées classe mais sexy et normalement, les filles seules un peu trop séduisantes ne sont pas les bienvenues. Heureusement, le barman me connaît bien. Et puis, mon beau-père est un très bon client. Le barman vient m’embrasser en disant : — De plus en plus belle. — Merci, c’est gentil. — J’ai rêvé de toi... — C’était convenable ? — Non, pas du tout : on était tous les deux nus dans une prairie et, grisé par ton parfum, je bandais contre tes fesses chaque fois que tu te baissais pour cueillir des fleurs... et puis, on s'est déshabillés, on s'est embrassés... En tant que Comtesse de Préville, je devrais lui dire "Non mais, ça ne va pas jeune homme ? Restez à votre place !" Mais en tant que Samia qui joue les... escortes, je lui réponds : — Ça peut se faire... si tu sais où il y a une prairie. — Je suis un peu fauché, hélas. — Tu baises bien ? — Je te lécherai des pieds à la tête et je bande déjà comme un... âne. On rigole et puis, j'aime bien les ânes. Mon beau père arrive avec trois hommes et deux filles. Deux d’entre eux sont des gens importants de l’usine, qui doivent siéger au conseil d’administration. Ils sont sûrs d’eux comme les riches peuvent l’être. Le troisième est le commercial ayant fait le plus gros chiffre de ventes, lui est plus sympa. Je râle d’autant plus que, cette fois-ci, ma réputation... est morte et enterrée. Jusqu’à présent, on devait dire que j’étais une nympho, maintenant, ça va être nympho et pute... C’est beaucoup !  Je continue à flirter avec le barman, jusqu’à ce que mon beau-père vienne vers nous. Il me dit : — Et alors, Samia ? — Ah vous êtes là, je ne vous avais pas vu. — Tu mens ! — Ce n’est pas poli de dire ça, beau-papa. Et de votre côté, ce n’est pas sympa de ne pas m’avoir prévenue que... Il me prend fermement par le bras et me fait descendre du tabouret en disant : — Ton travail, c’est de baiser et avec le sourire, que ce soit avec des clients ou n’importe qui d’autre. — Ce sont des gens de l’usine, c’est très gênant. Il rit, puis dit d’un ton un peu trop méprisant à mon goût : — Gênant pour ta réputation ?? Ils ne te reconnaissent pas. Pour eux, tu es une petite pute, c’est tout. Allez, viens maintenant et en souriant ! On rejoint les autres qui sont déjà bien entamés. J’embrasse Lydia et Chloé, les escortes qui sont avec eux et avec qui j’ai déjà fait des câlins. Je fais un gros effort pour être sympa avec les hommes, car c’est à mon beau père que j’en veux et je lui fais bien sentir. Je le contredis systématiquement et je lui balance des piques, genre : — Je crois que vous avez encore perdu des cheveux, vous devriez utiliser du Petrole Hahn. Je l’entends presque grincer des dents. Bien fait !! Le repas se passe bien, je les amuse même en imitant mon beau père quand il est de mauvaise humeur. Tout le monde rit, sauf lui... Un homme s’occupe de Giulia et je laisse la grosse patte de mon voisin me faire un brin de cour. Le repas terminé, on monte dans la chambre. Mon beau-père dit : — Les filles, à poil ! Et faites un petit numéro pour nous faire bander. Julien me regarde et je lui fais « oui » de la tête. Il a beau expliquer qu’il n’est pas gay, ici, il fait la fille. Quand on est nues, je caresse Chloé qui est une jolie rousse... Les hommes ont déjà attrapé Julien-Giulia et ils jouent avec son petit sexe en riant. Mon beau père me dit : — Je t’ai déjà connue plus chatte avec Chloé, elle ne te plaît plus ? — J’aime beaucoup Chloé... Par contre, j’aime moins que vous me cachiez toujours quelque chose. Et puis, la montre Cartier que vous m’avez donnée retarde, elle serait pas made in China ? Je le regarde... non, je le défie ! Au lieu de péter un plomb, il me répond en souriant : — Tu es payée pour baiser et sourire. Mais au lien de ça, tu fais la gueule, tu es insolente et ingrate. Tu sais ce qu’on fait aux gamines insolentes ? Putain ! Qu’est-ce qu’il me prépare ? Il va ouvrir la porte de la chambre en disant : — Entrez, cher ami... Max Desallié apparaît en souriant. Je regarde autour de moi, comme une lapine qui se réveille au milieu d’un congrès de renards. Je suppose que tout était prévu. À part Giulia, ils me regardent en souriant, même les filles. Ils sont ravis de voir la lapine... acculée. Max m’annonce : — La fessée n’a pas suffi à te faire comprendre où est ta place, alors j’ai pris ceci ! Il sort un... martinet d’un sac en papier brun ! Un vrai, avec un manche en bois et des lanières de cuir, qu’il agite en m’expliquant : — Il était accroché à un clou dans notre cuisine et je t’assure que mes sœurs et moi, on filait droit ! Je crie : — Cette fois-ci, il y a des témoins qui ne sont pas sous votre coupe. Regardez... Je désigne la fenêtre du doigt, ils se retournent pour regarder et j’en profite pour bondir en direction de la porte de la chambre. Hélas, Max est plus rapide que moi et il m’attrape par le bras. J’essaye de lui donner un coup de pied dans les couilles, mais je les rate, malheureusement. Max me jette à plat ventre sur un lit en disant : — Les deux filles, vous tenez ses poignets et deux hommes s’occupent de ses chevilles. Ils me sautent dessus pour m’immobiliser, même les filles que je connais bien. Comme je continue de crier, Max ramasse ma culotte qui est par terre. Il me pince méchamment le bout d’un sein et, lorsque je crie, il me l’enfonce dans la bouche. Ça y est, la lapine l’a bien dans le cul ! Et pas dans le bon sens. Max leur demande : — Combien de coups de martinet ? Mon beau père répond : — Dix sur les fesses. Chloé : — Et dix sur les cuisses. Sale garce, dire qu’on s’est léché la chatte ! Un des hommes ajoute : — Et pour terminer, dix sur les mollets. Je fais "Mmuuff, mmuuuff" à travers ma culotte, ce qui signifie "Salauds, je déposerai plainte chez les flics et Julien est témoin !" Bon, d’accord il n’est pas très crédible en Giulia... Max tâte mes fesses en y allant d'un petit commentaire... amusant  : — J’adore fesser cette gamine. Regardez cette paire de fesses, elles sont faites pour ça ! Le martinet siffle et "Paf", les lanières mordent mes fesses. J’essaye de me libérer tout en faisant des "Mmmfff, mmmmfff" de douleur, mais même les femmes me tiennent solidement. Les lanières s’éparpillent dix fois sur mes fesses, elles prennent feu ! Après s’être arrêté, Max pose la main sur mon derrière brûlant en disant : — Maintenant, elle a vraiment le feu au cul... Rires ! Il me demande : — Au tour des cuisses, prête Samia ? — Mmmfff, mmmmffff ! Les lanières s’abattent sur mes cuisses, ça fait encore plus mal ! Je crie des "Mmmmfff" de douleur dans ma culotte. Après le dixième coup, il s’arrête. Une fille lui dit : — Tu la ménages, mon père frappait plus fort. — Mmmffff ! Ce qui veut dire "Va brûler en enfer, sorcière !" Pour terminer, je reçois dix coups sur les mollets et en fait, c’est le plus douloureux de tout. Je me tortille comme une anguille piégée, impossible de me dégager ! De la taille aux chevilles, ma peau est comme en fusion ! Il arrête et les autres me lâchent. Je retire tout de suite la culotte de ma bouche. Je me retourne, puis je me lève, les jambes tremblantes. Je passe les mains sur mes fesses et mes cuisses. Les lanières ont laissé des marques boursouflées. Je dis à Julien : — Sers-moi à boire. Il m’apporte une coupe de champagne, que je bois d’un coup, puis une autre. Vous croyez qu’il y a un malaise ? Même pas, ils jouent entre eux. Les hommes se font sucer par les deux garces qui m’ont tenue. Max s’allonge sur le lit, en m’annonçant : — Il paraît que tu as un numéro bien au point avec Julien, tu vas me montrer ça. Vraiment gonflé, le salaud : il veut que je le suce, alors que j’ai juste envie de lui sectionner la bite d’un coup de dents ! Je me couche quand même tête-bêche sur lui et relève ses jambes dans la position ridicule du bébé qu’on va talquer et langer. Je regarde Julien et il vient aussitôt enfoncer sa langue dans l’anus de ce salopard. Je me vengerai de Max ! Je ne sais pas encore comment, mais en ce qui concerne mon beau-père, je sais. Je vis cette soirée comme un douloureux rêve éveillé. Quand ils décident de partir, on se rhabille. Mon beau père me dit : — Tu ne vas quand même pas râler pour une petite fessée. — Vous voulez aussi prendre quelques bons coups de martinet sur les fesses, Monsieur ? Il rit, puis répond : — Tu l’as bien cherché. On est tous dans l’ascenseur. Je pousse sur le bouton rez-de-chaussée au lieu du sous-sol où sont les voitures. Mon beau père me demande : — Vous ne rentrez pas ? — Non, on va boire un verre au bar. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 18/04/21
349 - Julien est-il gay ? Il me pince une joue en disant : — Ouvre la bouche. Aïe ! J’obéis et un jet de pisse m’envahit la bouche, j’avale en faisant la grimace. Il s’assied sur les w.c. en disant  : — Regarde comme ça m’excite de te voir avaler ma pisse. Je baisse les yeux sur son sexe dressé, c’est vrai qu’il bande bien. Il ajoute : — Faut te faire un dessin ? — Non, m’sieur. Je voudrais faire une petite parenthèse, je ne suis pas gay, je fais ça pour obéir à Samia. Les sexes des hommes m’intéressent parce que je les imagine fouiller le sexe de Samia, mon amour. Je les imagine dans des endroits inaccessibles pour ma langue. Quand j’ai la bite d’un homme en bouche, j’imagine que je suis devenue le sexe de Samia et... *** — Mais qu’est-ce que c’est, ces conneries... — Je vais barrer tout ça, Samia ! Elle secoue la tête en levant les yeux au ciel, puis elle me demande : — Quand tu suces une bite, tu imagines que ta bouche est devenue ma vulve ? — Oui, mais... — Et quand tu as la bite d’un mec qui vient de m’enculer dans la bouche, tu t’imagines être mon trou du cul ? — Euh... oui Samia... Je vais supprimer ça et... — Non laisse, c’est marrant... Ça me plaît que tu t’identifies à mon trou du cul. Bon, continue ! *** Je me mets à genoux et, comme les lèvres de la vulve de Samia, je frotte ma bouche sur le membre dur de cet homme. Puis, je fais entrer le gland dans ma bouche/vagin... Comme ma femme quand elle va et vient sur un sexe dressé, ma tête va et vient sur le sexe... J’ai envie qu’il jouisse et arrose ma luette/col de la matrice et qu’il me... qu'il m’engrosse. *** — Pas mal, mon petit trou du cul, c’est complètement dingue mais assez poétique... lyrique, même. Maintenant, passe à des choses plus prosaïques. Par exemple, est-ce que son sperme est venu rejoindre sa pisse dans ton estomac ? — Euh... non, il m’a dit : "Debout et encule-toi sur ma bite !" Ouch ! Je vais la sentir passer, même si j’ai copieusement mouillé son sexe avec ma salive. Naïvement, je l’enfourche et pose délicatement son gland sur mon anus. Bien sûr, il me prend par les hanches et m’assied brutalement. Son membre me pénètre entièrement. Je me mords les lèvres pour ne pas crier... Ce type est vraiment costaud, il me fait aller et venir sur son sexe comme si j’étais une poupée Barbie. Je dois avouer que... ça me fait de l’effet, c’est... euh... mécanique. Il accélère le mouvement et jouit en moi. Je ne peux pas m’empêcher de jouir avec lui. Il me donne un claque sur les fesses en disant : — Allez, bouge ton cul. Je me relève avec précaution... une partie de son sperme sort de mon anus et coule par terre, entre ses jambes. Il me dit : — Lèche ! Heureusement, le sol est propre. J’aspire le sperme, puis je me redresse. Il sort de la toilette et s'habille. Ensuite il ouvre la porte en disant : — Au suivant ! Quoi ? Oh non, il y a deux autres types qui attendent leur tour ! Samia est revenue lire, elle dit : — Normal, si tu es mon trou du cul, tu peux facilement te prendre trois bites. Allez, c’est pas mal. Tu as un bon point, tu pourras le sortir pour supprimer une punition. En attendant, viens me lécher... Elle s’assied dans un fauteuil, une jambe sur un des accoudoirs et je redeviens une langue qui appartient à sa Maîtresse. Fin du journal de Julien... pour le moment. * Samia Ce matin, je suis dans le bureau de mon beau-père qui m’annonce : — Ton ami Max me fait chier. — Ce n’est pas du tout mon ami..."Monsieur". — C’est vrai que tous ceux à qui tu suces la bite ne sont pas tes amis. — Absolument, à commencer par vous... et les clients que vous me faites rencontrer, Monsieur ! Gros soupir excédé... Il pianote sur son bureau, c’est énervant, puis il me dit : — Il veut une augmentation de 5 % pour tous les ouvriers et la création d’une crèche. Tout ça me paraît très légitime, mais pas à lui : — C’est complètement délirant. Pour une fois, ouvre la bouche non pas pour y mettre sa bite, mais pour lui dire que j’en ai discuté avec l’avocat de la fédération et s’il persiste à nous menacer de grève, ce qui est quasiment un chantage, on pourrait le poursuivre en justice ! Ça, ça m’étonnerait... Mon beau-père poursuit : — Sois ferme ! On dirait vraiment que tu as peur de ce type. On dirait que Julien a déteint sur toi... Tu as l’intention de te laisser faire ? Tu as l’intention de sucer tous les ouvriers de l’usine pour leurs anniversaires ? Ah, merde, il sait ça ? Il a raison. Je suis folle de me laisser faire comme ça ! Je réponds : — Il se croit tout permis, c’est vrai, mais il se trompe. Je vais le lui dire. — C’est ce que j’attends de toi. On va boire à la nouvelle Samia. Il sort une bouteille de whisky, deux verres et nous sert. On fait "tchin" et on boit. Le whisky, ça pique la bouche, mais ça fait du bien. Il nous ressert ! Je lui dis : — Si vous avez envie de moi, pas besoin de me saouler, Monsieur. Il rit, c’est rare... Je bois ce deuxième verre. Je suis en mode guerrière, maintenant. Je vais dans l’atelier des femmes où Max passe son temps. Dès que je suis près de lui, je lui dis, en parlant un peu fort, c’est vrai : — Monsieur Max, cette fois-ci nous ne céderons pas à votre chantage ! — Très bien, vous voulez la grève, vous l’aurez. Je vais avertir les camarades ! — Et moi, je vais avertir l’avocat de la fédération. Vous vous croyez tout permis mais on va vous faire un procès qui vous coûtera la peau du cul. Je suis remontée... Au lieu de crier comme moi, il me sourit et me dit calmement : — Tu es une gamine insolente et tu sais ce qu’on leur fait aux gamines insolentes ? — Je... je vous préviens, si vous me touchez, je dépose plainte pour voies de fait. Les ouvrières se sont rapprochées et forment un cercle autour de nous. J’entends des filles dire « les gamines insolentes, on leur donne une fessée ». Je redis : — Je vous préviens... je... Et là, il m’attrape par l’oreille en disant : — Tu la veux ? Tu vas l’avoir ! — NOOOOOOONNNNN, lâchez-moi vous me faites mal ! Il me fait basculer en travers d'une table, relève ma jupe et descend ma culotte jusqu’à la pliure de mes genoux. Je me débats, mais je sens des mains me prendre par les chevilles pour me maintenir fermement. Max pose sa large main sur mes fesses et les tapote en disant : — Pas de risque de manquer la cible. Trop drôle ! Tout le monde rit, sauf moi. Il me demande : — Prête Samia ? Je ne réponds rien. Ça changerait quoi ? Sa paume quitte mes fesses et ça fait « PAF ! ». Le bruit ressemble à celui d’un gros pétard qui explose. Tandis que je fais : — Aaaaïïeee ! Il frappe mes fesses à toute allure ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! Je n’arrête pas crier : — Aaaaaiiiiieeeeeeeeeeee !! Tandis que je me tortille pour essayer d’échapper à cette volée de claques, une ouvrière lui dit : — Laisse-la un peu se reposer, Max, elle appréciera encore mieux les suivantes. Je sens que mes fesses continuent à monter et descendre comme sous les claques. Je reste quelques minutes à geindre sur ses genoux de Max, avant qu’il ne dise : — J'y vais. Faut pas qu’elle attrape froid. PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! — Aaaaaiiiiieeeeeeee.... C’est vrai que j’apprécie encore mieux la douleur ! Mes fesses sont en enfer et mon visage est plein de larmes... Quand il arrête, plusieurs mains viennent me tâter les fesses. Chacune y va de son petit commentaire comique, genre : — On pourrait faire cuire un œuf sur son cul ! Quand elles ont presque toutes tâté mes fesses, d’une façon plus ou moins brutale, Max me demande : — Tu as quelque chose à me dire ? — Pardon pour mon insolence, mais c’est mon beau-père qui... — Pour toi, cette fessée était méritée ? — Oui Monsieur Max. — Bien, laisse ta culotte à tes genoux et ta jupe relevée. Tu vas faire le tour de l’atelier pour montrer à toutes tes grosses fesses rouges. Il me remet sur mes pieds et je commence à faire ce honteux défilé en faisant bien la gueule, mais il ajoute : — Fais-nous un grand sourire, si tu ne veux pas une deuxième fessée. Je lui obéis du mieux que je peux. Pas facile quand on a les fesses brûlantes et douloureuses et qu’on a connu une des pires humiliations de sa vie. Je ne mettrai plus jamais un pied dans cet atelier ! *** Je l’encaisse mal, cette fessée ! Pas tellement pour la douleur, car ça passe... mais parce que j’ai subi ça devant toutes les ouvrières. J’en ai vraiment marre de l’usine ! Ça fait un moment que j’envisage de partir avec Julien sous le bras. Après tout, je peux le prostituer dans n’importe quel pays. Mais je ne veux pas partir sans rien et j’ai un début de plan... J’ai surpris des bribes de conversation téléphonique, mon beau-père disait : « Je réinvestirai la somme en... » Mais là, il a crié : — Gisèle, fermez la porte de mon bureau ! J’ai l’impression qu’il blanchit de l’argent en Malaisie ou en Chine... Tous les sens en éveil, j’attends plus d’informations... Ce matin j’arrive au bureau, Gisèle me dit : — Il vous attend. — Tu sais pourquoi ? — Parler de gros clients... Ah ouais, encore ! Ça fera trois fois cette semaine ! Il me prend vraiment pour une pute ! La seule chose qui m’intéresse, c’est qu’il devrait avoir un contact avec les gens qui vont lui remettre une grosse somme... mais on va aussi régler le problème de Max. — Madame de Préville... Samia !! — Oui ? C’est Gisèle qui m'appelle, j’étais perdue dans mes pensées. — Vous pouvez y aller. J’entre en disant : — Bonjour Monsieur. — Bonjour Samia... tes fesses vont mieux ? — Mes fesses oui, mais pas... ma fierté. Il y a même une ouvrière qui a fait des photos et... — Oui, je les ai vues. Tu as des fesses très photogéniques. — Amusant !! Sauf que je ne mettrai plus un pied dans cet atelier. — Tout ça pour une malheureuse fessée... Bon, on en reparlera. J’ai besoin de vous deux ce soir. — Ça fera trois fois cette semaine. J’accepte à condition de ne plus être obligée d’aller dans cet atelier... à moins que Diesel ne m’accompagne. Oh ! Il n'aime pas du tout que je me rebiffe ! Mais je sais qu’il est accro aux soirées qui mettent les clients dans de si bonnes dispositions tout en lui permettant de réaliser des fantasmes... inavouables. Il pousse un soupir tellement gros que j’en suis toute décoiffée, avant de me répondre : — On en parle demain. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 16/04/21
Il me pince une joue en disant : — Ouvre la bouche. Aïe ! J’obéis et un jet de pisse m’envahit la bouche, j’avale en faisant la grimace. Il s’assied sur les w.c. en disant  : — Regarde comme ça m’excite de te voir avaler ma pisse. Je baisse les yeux sur son sexe dressé, c’est vrai qu’il bande bien. Il ajoute : — Faut te faire un dessin ? — Non, m’sieur. Je voudrais faire une petite parenthèse, je ne suis pas gay, je fais ça pour obéir à Samia. Les sexes des hommes m’intéressent parce que je les imagine fouiller le sexe de Samia, mon amour. Je les imagine dans des endroits inaccessibles pour ma langue. Quand j’ai la bite d’un homme en bouche, j’imagine que je suis devenue le sexe de Samia et... *** — Mais qu’est-ce que c’est, ces conneries... — Je vais barrer tout ça, Samia ! Elle secoue la tête en levant les yeux au ciel, puis elle me demande : — Quand tu suces une bite, tu imagines que ta bouche est devenue ma vulve ? — Oui, mais... — Et quand tu as la bite d’un mec qui vient de m’enculer dans la bouche, tu t’imagines être mon trou du cul ? — Euh... oui Samia... Je vais supprimer ça et... — Non laisse, c’est marrant... Ça me plaît que tu t’identifies à mon trou du cul. Bon, continue ! *** Je me mets à genoux et, comme les lèvres de la vulve de Samia, je frotte ma bouche sur le membre dur de cet homme. Puis, je fais entrer le gland dans ma bouche/vagin... Comme ma femme quand elle va et vient sur un sexe dressé, ma tête va et vient sur le sexe... J’ai envie qu’il jouisse et arrose ma luette/col de la matrice et qu’il me... qu'il m’engrosse. *** — Pas mal, mon petit trou du cul, c’est complètement dingue mais assez poétique... lyrique, même. Maintenant, passe à des choses plus prosaïques. Par exemple, est-ce que son sperme est venu rejoindre sa pisse dans ton estomac ? — Euh... non, il m’a dit : "Debout et encule-toi sur ma bite !" Ouch ! Je vais la sentir passer, même si j’ai copieusement mouillé son sexe avec ma salive. Naïvement, je l’enfourche et pose délicatement son gland sur mon anus. Bien sûr, il me prend par les hanches et m’assied brutalement. Son membre me pénètre entièrement. Je me mords les lèvres pour ne pas crier... Ce type est vraiment costaud, il me fait aller et venir sur son sexe comme si j’étais une poupée Barbie. Je dois avouer que... ça me fait de l’effet, c’est... euh... mécanique. Il accélère le mouvement et jouit en moi. Je ne peux pas m’empêcher de jouir avec lui. Il me donne un claque sur les fesses en disant : — Allez, bouge ton cul. Je me relève avec précaution... une partie de son sperme sort de mon anus et coule par terre, entre ses jambes. Il me dit : — Lèche ! Heureusement, le sol est propre. J’aspire le sperme, puis je me redresse. Il sort de la toilette et s'habille. Ensuite il ouvre la porte en disant : — Au suivant ! Quoi ? Oh non, il y a deux autres types qui attendent leur tour ! Samia est revenue lire, elle dit : — Normal, si tu es mon trou du cul, tu peux facilement te prendre trois bites. Allez, c’est pas mal. Tu as un bon point, tu pourras le sortir pour supprimer une punition. En attendant, viens me lécher... Elle s’assied dans un fauteuil, une jambe sur un des accoudoirs et je redeviens une langue qui appartient à sa Maîtresse. Fin du journal de Julien... pour le moment. * Samia Ce matin, je suis dans le bureau de mon beau-père qui m’annonce : — Ton ami Max me fait chier. — Ce n’est pas du tout mon ami..."Monsieur". — C’est vrai que tous ceux à qui tu suces la bite ne sont pas tes amis. — Absolument, à commencer par vous... et les clients que vous me faites rencontrer, Monsieur ! Gros soupir excédé... Il pianote sur son bureau, c’est énervant, puis il me dit : — Il veut une augmentation de 5 % pour tous les ouvriers et la création d’une crèche. Tout ça me paraît très légitime, mais pas à lui : — C’est complètement délirant. Pour une fois, ouvre la bouche non pas pour y mettre sa bite, mais pour lui dire que j’en ai discuté avec l’avocat de la fédération et s’il persiste à nous menacer de grève, ce qui est quasiment un chantage, on pourrait le poursuivre en justice ! Ça, ça m’étonnerait... Mon beau-père poursuit : — Sois ferme ! On dirait vraiment que tu as peur de ce type. On dirait que Julien a déteint sur toi... Tu as l’intention de te laisser faire ? Tu as l’intention de sucer tous les ouvriers de l’usine pour leurs anniversaires ? Ah, merde, il sait ça ? Il a raison. Je suis folle de me laisser faire comme ça ! Je réponds : — Il se croit tout permis, c’est vrai, mais il se trompe. Je vais le lui dire. — C’est ce que j’attends de toi. On va boire à la nouvelle Samia. Il sort une bouteille de whisky, deux verres et nous sert. On fait "tchin" et on boit. Le whisky, ça pique la bouche, mais ça fait du bien. Il nous ressert ! Je lui dis : — Si vous avez envie de moi, pas besoin de me saouler, Monsieur. Il rit, c’est rare... Je bois ce deuxième verre. Je suis en mode guerrière, maintenant. Je vais dans l’atelier des femmes où Max passe son temps. Dès que je suis près de lui, je lui dis, en parlant un peu fort, c’est vrai : — Monsieur Max, cette fois-ci nous ne céderons pas à votre chantage ! — Très bien, vous voulez la grève, vous l’aurez. Je vais avertir les camarades ! — Et moi, je vais avertir l’avocat de la fédération. Vous vous croyez tout permis mais on va vous faire un procès qui vous coûtera la peau du cul. Je suis remontée... Au lieu de crier comme moi, il me sourit et me dit calmement : — Tu es une gamine insolente et tu sais ce qu’on leur fait aux gamines insolentes ? — Je... je vous préviens, si vous me touchez, je dépose plainte pour voies de fait. Les ouvrières se sont rapprochées et forment un cercle autour de nous. J’entends des filles dire « les gamines insolentes, on leur donne une fessée ». Je redis : — Je vous préviens... je... Et là, il m’attrape par l’oreille en disant : — Tu la veux ? Tu vas l’avoir ! — NOOOOOOONNNNN, lâchez-moi vous me faites mal ! Il me fait basculer en travers d'une table, relève ma jupe et descend ma culotte jusqu’à la pliure de mes genoux.   Je me débats, mais je sens des mains me prendre par les chevilles pour me maintenir fermement. Max pose sa large main sur mes fesses et les tapote en disant : — Pas de risque de manquer la cible. Trop drôle ! Tout le monde rit, sauf moi. Il me demande : — Prête Samia ? Je ne réponds rien. Ça changerait quoi ? Sa paume quitte mes fesses et ça fait « PAF ! ». Le bruit ressemble à celui d’un gros pétard qui explose. Tandis que je fais : — Aaaaïïeee ! Il frappe mes fesses à toute allure ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! Je n’arrête pas crier : — Aaaaaiiiiieeeeeeeeeeee !! Tandis que je me tortille pour essayer d’échapper à cette volée de claques, une ouvrière lui dit : — Laisse-la un peu se reposer, Max, elle appréciera encore mieux les suivantes. Je sens que mes fesses continuent à monter et descendre comme sous les claques. Je reste quelques minutes à geindre sur ses genoux de Max, avant qu’il ne dise : — J'y vais. Faut pas qu’elle attrape froid. PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! PAF ! — Aaaaaiiiiieeeeeeee.... C’est vrai que j’apprécie encore mieux la douleur ! Mes fesses sont en enfer et mon visage est plein de larmes... Quand il arrête, plusieurs mains viennent me tâter les fesses. Chacune y va de son petit commentaire comique, genre : — On pourrait faire cuire un œuf sur son cul ! Quand elles ont presque toutes tâté mes fesses, d’une façon plus ou moins brutale, Max me demande : — Tu as quelque chose à me dire ? — Pardon pour mon insolence, mais c’est mon beau-père qui... — Pour toi, cette fessée était méritée ? — Oui Monsieur Max. — Bien, laisse ta culotte à tes genoux et ta jupe relevée. Tu vas faire le tour de l’atelier pour montrer à toutes tes grosses fesses rouges. Il me remet sur mes pieds et je commence à faire ce honteux défilé en faisant bien la gueule, mais il ajoute : — Fais-nous un grand sourire, si tu ne veux pas une deuxième fessée. Je lui obéis du mieux que je peux. Pas facile quand on a les fesses brûlantes et douloureuses et qu’on a connu une des pires humiliations de sa vie. Je ne mettrai plus jamais un pied dans cet atelier ! *** Je l’encaisse mal, cette fessée ! Pas tellement pour la douleur, car ça passe... mais parce que j’ai subi ça devant toutes les ouvrières. J’en ai vraiment marre de l’usine ! Ça fait un moment que j’envisage de partir avec Julien sous le bras. Après tout, je peux le prostituer dans n’importe quel pays. Mais je ne veux pas partir sans rien et j’ai un début de plan... J’ai surpris des bribes de conversation téléphonique, mon beau-père disait : « Je réinvestirai la somme en... » Mais là, il a crié : — Gisèle, fermez la porte de mon bureau ! J’ai l’impression qu’il blanchit de l’argent en Malaisie ou en Chine... Tous les sens en éveil, j’attends plus d’informations... Ce matin j’arrive au bureau, Gisèle me dit : — Il vous attend. — Tu sais pourquoi ? — Parler de gros clients... Ah ouais, encore ! Ça fera trois fois cette semaine ! Il me prend vraiment pour une pute ! La seule chose qui m’intéresse, c’est qu’il devrait avoir un contact avec les gens qui vont lui remettre une grosse somme... mais on va aussi régler le problème de Max. — Madame de Préville... Samia !! — Oui ? C’est Gisèle qui m'appelle, j’étais perdue dans mes pensées. — Vous pouvez y aller. J’entre en disant : — Bonjour Monsieur. — Bonjour Samia... tes fesses vont mieux ? — Mes fesses oui, mais pas... ma fierté. Il y a même une ouvrière qui a fait des photos et... — Oui, je les ai vues. Tu as des fesses très photogéniques. — Amusant !! Sauf que je ne mettrai plus un pied dans cet atelier. — Tout ça pour une malheureuse fessée... Bon, on en reparlera. J’ai besoin de vous deux ce soir. — Ça fera trois fois cette semaine. J’accepte à condition de ne plus être obligée d’aller dans cet atelier... à moins que Diesel ne m’accompagne. Oh ! Il n'aime pas du tout que je me rebiffe ! Mais je sais qu’il est accro aux soirées qui mettent les clients dans de si bonnes dispositions tout en lui permettant de réaliser des fantasmes... inavouables. Il pousse un soupir tellement gros que j’en suis toute décoiffée, avant de me répondre : — On en parle demain. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.   Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 12/04/21
Il y a bien des années; j'étais un "DOM", puis j'ai débuté une relation "vanille" avec une femme de mon âge. Elle n'était pas bien jolie, mais elle m'avait bien manipulé et foutue une grosse pression émotionnelle. Du coup j'ai craqué et on a commencé une relation qui a durée 1an et quelques mois. Elle était maigre, 1m70 pour 48kg, pas de seins, des fesses plates à mourir, les dents pourries, et pleine de tatouages partout. La seule chose qu'il y avait de féminin était ses longs cheveux chatains clairs, trés longs, quasiment aux fesses. On était sur un corps androgyne, absolument pas glamour. Mais j'avais confiance en cette femme, et je voulais explorer mon coté soumis avec elle, je ne sais pas pourquoi, mais c'était elle qui m'attirait là dedans. Pourtant elle ne savait rien de mon penchant SM, et j'ai découvert plus tard qu'elle était soumise elle aussi à l'époque et avait un dom qui lui faisait découvrir son coté "domina". Mais ça je ne l'ai découvert que des années aprés. Pendant notre relation, sexuellement, c'était "vanille ". Elle avait une chatte dilattée, c'était le résultat du travail de son dom, mais je ne savais pas. J'avais du mal à rester en érection quand je la pénétrais tellement je ne ressentais rien, pas de sensation de pénétration, une horreur (merci les fists du dom). Son anus avait subit aussi de la dilatation, il était "baillant"...pas trés apétissant. On a rompu. Des années aprés, elle est revenue vers moi. j'avais découvert son coté " SM switch" mais elle ne le savais pas. Elle était encore plus laide qu'à l'époque, trés maigre, vieillie (elle avait 52 ans on lui en donnait 70). Elle avait abusé de toutes sortes de stupéfiants, de nuits sans fins, et de délires sexuels en tout genre , c'était devenue une épave. Mais elle me harcelait, elle voulait reprendre une relation avec moi, elle me poursuivait même sur mon lieu de travail. Plus personne ne voulait d'elle sauf quelques poivrots de son village qui voulaient juste se vider les choses... !. A force de me harceler, je lui ai dit un jour "mais regarde à quoi tu ressembles, tu es une épave, je n'ai envie de rien avec toi si ce n'est te foutre des claques dans la gueule !!". 3 jours aprés, elle me harcelait de sms, elle me reprochait ce que je lui avait dit. sur le ton de l'humour je lui ai écrit "bon ok, j'aurais dû dire une bonne grosse fessée". Là elle sauta sur l'occasion avec pleins de sous entendus, elle voulait que je lui mette des fessées. On a établit un scénario. Je devais être le maître d'école qui recevait une élève pénible pour un cours particulier. Une semaine aprés, elle arriva chez moi à 14h00. Elle était habillée avec des bas blancs, une mini jupe écossaise verte et jaune, et un chemisier blanc. Elle avait fait des couettes avec ses cheveux.. On aurait dit une grand mère qui faisait un bal masqué, mais bon, c'était le jeu. Elle avait un sac d'école avec tout les jouets dont elle voulait que je me serve, un cahier d'ecole, un petit carnet en guise de carnet de correspondance et des stylos. Tout était scénarisé entre nous. Je lui dis de s'assoir à la table du salon et de sortir ses cahiers et ses stylos. j'étais vétu d'un costume gris, chemise blanche et chaussures de ville . Là je pris son cahier de correspondance et elle avait marqué sur la première page ' j'ai été une vilaine fille à la récré". Je me mis en colère contre elle. elle était assise et moi debout à coté d'elle . Je lui ai tiré les cheveux en lui disant qu'elle serait punie pour ça. Puis on commença une dictée. A chaque faute elle serait punie. Dés la première phrase, elle en commie une énorme volontaire "je voeux au lieu de je veux". Je lui dit de se lever alors que je m'assayais à sa place. Là, je lui ordonnais de lever sa jupe, elle était face à moi. Elle s'exécutat, et je lui dit de se mettre sur mes genoux ventre sur mes jambes. Elle avait la jupe relevée, et par dessus sa culotte, je lui administrait une fessée monumentale (j'étais pas vraiment dans le sexuel, mais plus dans une colère du passé). Ma main était toute chaude de la violence des coups. Au bout d'une vingtaine de coups, elle repris sa place et moi la mienne. On repris la dictée. Pendant 5 mn pas de fautes. Pour la remercier, je lui ai carressé le bras.. Et là, bam, elle refait une autre faute, toujours énorme. Je me mis en colère, "enlève ta culotte et reviens sur mes genoux". Je lui administra une deuxième fessée bien puissante. Ses fesses étaient bien marquées. Puis je lui dit d'écarter ses fesses avec les mains pour que j'accéde à son anus. Là je pris une badine et je lui fouettait doucement l'anus, mais avec une certaine force. Au bout d'une vingtaine de coups environ, elle se cambra, et je pu accéder à son vagin. Il pris sa dose de badine aussi. Je lui dit de se relever, de se mettre debout. J'étais assis, et je commençais à lui carresser son pubis, elle était dégoulinante. Je lui mis un doigt, mais là ce fût l'horreur, pas de résistance. Elle avait le vagin complètement explosé. Si bien que je la fista sans précaution si ce n'est sa lubrification naturelle. il n'y a eu aucune résistance du vagin...HALLUCINANT !. Je fis quelques va et vient avec le poing, en ouvrant et fermant ma main à l'intérieur, elle était aux anges. Mais j'étais écoeuré . Alors je lui dit de se mettre toute nue en gardant sa jupe. Elle se déshabilla, je pris le martinet et je commençais à la fouetter debout. Elle tenait sa jupe relevée, je voyais ses fesses. Elle a été fouettée sur tout le corps, les seins, le ventre, les cuisses, les fesses, le vagin, partout. Je voyais son corps réagir à chaque coup, pris dans des soubressauts à chaque fois. Puis je me suis arrêté. Je lui carressait doucement le visage avec ma main, tendrement, et je descendait sur ses seins son ventre, ses bras, ses fesses. Là je lui pris brutalement le visage par la machoire et je lui dit "tu es vraiment vilaine, il faut que tu arrêtes, sinon ça va être pire". Franchement, je voulais que ça s'arrête là, elle m'écoeurait. Nous avions convenu que pour tout arrêter elle devait me dire "j'ai bien travaillé maître". Je 'attendais à entendre ces paroles. Rien du tout, au contraire, elle me dit "on termine la dictée" . ça , ça voulait dire qu'elle voulait aller plus loin plus fort , c'était un code établi. Alors elle remit son bustier, se rassit et me regarda avec un grand sourire, satisfaite. On a repris la dictée. 5mn sans faute et là elle se leva d'un coup et me dis "je sêche le court" . Encore un code. Tout ce qui s'est passé derrière était scénarisé, on allait dans de la violence et de la dilatation. Je devais lire ce qu'elle voulait en prétextant devoir lui mettre un "mot" sur la dernière page du cahier de correspondance. Elle y avait tout écrit... Elle était debout, face à moi, je pris le cahier de texte et commença à lire : un inventaire à la prévert, double fist vaginal, fist anal, fouet à 4 pattes, fessées fortes, etc etc. Il s'en ai suivi qu'elle a finit attachée sur la table à 4 pattes. je tournais autour d'elle, la fouettant, partout, j'alternait les coups avec un premier fist vaginal puis des coups de paddle, et un fist anal (HALLUCINANT là aussi comment elle était dilatée avant même que je ne commence). Elle gémissait, criait de plaisir, elle me disait qu'elle jouissait sans arrêts... et là je la détachait, la mis sur le dos, lui releva les jambes et entama le double fist anal... je n'avais jamais fait ça. Joignant mes deux mains l'une contre l'autre comme pour une prière, badigeonnées de lubrifiant, j'arrivais trés vite à enfoncer à hauteur de mes première phallanges des pouces. En écartant un peu les mains, j'essayais de lui ouvrir un peu plus le vagin. J'avais fait l'erreur de ne pas l'attacher. Et là, avec ses deux mains , elle me pris les poignets et s'enfonça mes mains toutes entières dans son vagin en faisant un mouvement du bassin. Elle hurla, elle bloquais mes mains dans son vagin et bougeait son bassin comme une hystérique... en fait je ne dominais plus rien, c'est elle qui avait pris le dessus. En trés peu de temps son corps était remplit de sueur. Les odeurs dans le salon devenaient oppressantes, trés fortes . Puis elle s'arrêta de bouger, elle halletait trés fort, poussait des râles. Je ressortit les mains de son vagin, je n'avais jamais vu un truc se dilatter comme ça, avec une telle facilité. Je m'essuyais les mains avec des lingettes, et je commençait à l'essuyer elle aussi. Elle était toujours allongée sur la table. Là, je lui tira les cheveux, les couettes avaient disparues. Je la tirait hors de la table, la força à se mettre à genoux devant moi et elle pris une gifle monumentale. "qui t'a autorisé à me toucher les mains ?". Je lui tenait la tête en arrière par les cheveux. Elle me regardait d'un air terrorisé, elle vait compris que je reprenais le dessus, et que j'étais en colère. Elle pris 3 ou 4 gifles et me demanda pardon plusieurs fois. Elle me demanda comment pouvait t'elle se faire pardonner . (c'était un code pour que je la pénétre, que je "lui fasse l'amour" comme elle avait écrit). Mais je ne m'en sentais pas capable, elle était tellement dilatée de partout que je ne voyais pas comment j'allais pouvoir prendre du plaisir. Alors je pris ma ceinture en cuir qui tenait mon pantalon (ça ce n'était pas dans le scénario). Je dégraffais mon pantalon et lui dit "suce moi, je vais te fouetter avec ma ceinture maintenant. là, elle fit de gros yeux et se mis à sourire. Je lui tirais les cheveux pour coller son visage sur mon pantalon. Elle le baissa et me pris le sex dans sa bouche. elle commença des vas et viens, mais elle n'aspirais pas assez à mon goût. Alors elle pris un premier coup de ceinture sur les fesses, assez fort. "aspire plus fort sale truie". (ça ça m'est venue comme ça ). elle me regarda d'un air satisfait et vicieux, elle avait aimé ce mot. Elle se mit à me sucer plus fort, beaucoup mieux, et je lui mettait des coups de ceinture de temps en temps. Puis je commençais à sentir monter le plaisir en moi, je la regardais, je lui appuyais la tête pour qu'elle prenne mon sex plus profondément en bouche, elle toussa mais reprit la fellation. Je lâcha la ceinture, la retourna, et je me mis à la sodomiser violemment. Je dis bien violemment car elle était tellement dilatée que je n'éprouvais aucune sensation de pénétration par là aussi. Je lui tirais les cheveux et lui ordonna de serrer son cul. Elle s'excuta, mais je vis que c'était compliqué pour elle, elle n'avait plus de muscles à cet endroit. j'arrivais finalement à caler mes coups de reins sur ses contractions pour avaoir des sensations de pénétration. je finis par exploser dans son anus, je me déchargeais en elle. J'étais en sueur moi aussi. ça faisait plus de 3 heures que celà durait. Je voulais en finir. Une fois avoir éjaculé en elle, je me remis debout, le sexe encore légérement en érection, elle à 4 pattes face à moi elle fixa ma verge. Je lui pris le visage par la machoire et lui dit "tu va me nettoyer de tes sécrétions de truie". Elle me fit un large sourire, et se mis à me sucer divinement bien... Tellement que je déchargeais une deuxième fois dans sa gorge... Je lui tendis une serviette et je lui dit "recrache, tu ne mérites pas de goûter à ma semence". Elle recracha. Nous avons arrété là dessus. Nous nous sommes douchés, avons discuté et pris un apéritif au champagne. il était 18h00 passé. Mais cette folle voulait reprendre une relation, pas moi. Elle me harcela pendant des semaines . Devant mon silence, elle s'est arrêtée finalement. Autant j'avais pû aimer cette femme et la respecter lors de notre relation vanille, autant là, je l'ai traité comme elle se traîte elle même , comme une merde, et c'est ce qu'elle voulait; Elle avait écris en grande partie ce scénario. Depuis, je suis devenu un DOM beaucoup plus soft, beaucoup moins dur, moins violent, plus respectueux; c'est ce que j'étais avant. Le plaisir de cette aventure n'était que psychologique, rien de physique au final. Mais il n'y a eu ce plaisir que parce que c'était elle, parce qu'il y avait des attentes psychologique des deux cotés. C'est assez malsain au final...mais purée que ce fût bon de la traiter ainsi !!!! RRAAAHH
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Par : le 23/03/21
Pique-nique du 10 et 11 août chez Mr TSM. Après une bonne nuit de sommeil réparateur Daniel et moi (Mon Maître m'avait accompagné vendredi 9 août vers 14 h 15 chez Maître Pierre pour repartir vers 17 heures) étions en forme pour nous rendre à Vauvert en compagnie de Maître Pierre. Nous avions rangé au frigidaire, les plats et boissons apportés pour le pique-nique, aider si besoin était. Puis saluer les Personnes présentes, Mr Mistral m'a présenté sa soumise Emeraude, j'ai été ravi de cette présentation. Sacherm, Antarés venu de Cambrai (qui a changé de speudo entre temps et qui est à présent Ossad) deux soumis agréables, Mr TSM bien sur ainsi que ses deux soumises KiO et Ginou, Mr Freddy, et l'invité de ce week end Monsieur Vich qui a la maîtrise du shibari, des suspensions et fouets divers... Nous étions arrivés en avance pour que la croix de St André soit montée, cela devait prendre une bonne heure avec Maud de Nadia, comme Toutes deux n'étaient pas encore présentes Sacherm un soumis, Mr Freddy dominateur et Mr Vich ont pris les choses en mains et en moins de trente minute la superbe croix était en place trônant dans la verdure chez Mr TSM. Ginou en cuisine avait fait des petites étiquettes pour soumis (es), pour apporter les plats divers, apéritifs, entrées, plats, fromages, cafés, débarrasser, amener, il est vrai qu'il faut de l'organisation et avec KiO, elles se partagent bien les tâches et que tout le monde aide, c'est appréciable. L'heure de l'apéritif commençait à poindre, nous avons installé quelques bouteilles sur la table. L'apéritif a duré, c'est ma pensée. Je vais encore me faire des ennemis tant pis... L'heure tournait, la chaleur était là, Maître Mark et sa soumise Saphyr accédaient à la maison de Mr TSM, je suis allée au-devant d'eux. Saphyr a de très belles fesses et un superbe tatouage aux creux de ses reins, j'ai un peu caressé ses seins quand son Maître l'avait attaché et qu'elle recevait le martinet au fond du jardin. Elle est curieuse, très souriante, et avait apporté des plats concoctés, cuisinés chez Elle. Partis de Monaco vers midi, ils avaient dormi chez des amis avant de rejoindre Vauvert, un peu avant midi, Belle harmonie avec son Maître qui est son mari, j'ai peu discuté avec eux en fait, beaucoup de monde, je pense savoir qu'ils reviennent pour le pique-nique de septembre. Rphdom (sa quiche, un délice, je l'ai savouré) et Insolence que j'ai trouvé super décontracté, gracieuse et aidant beaucoup en cuisine et ailleurs, elle me prenait la vaisselle pour l'essuyer au plus vite, la coquine. Tous deux étaient accompagnés par Melle Sweet (qui avait apporté et préparé de la pâtisserie faite maison) une soumise 'prise' sous leurs ailes. Rphdom la guide, une belle entente avec Insolence qui a son mot à dire bien sûr, entre tous trois l'harmonie et ce n'est pas évident quelque fois. Elles ont le même gabarit toutes deux et habillées un peu pareilles elles étaient, même pour les bas. Toutes deux jolis fessiers, j'ai vu Rphdom jouer avec ses martinets, puis à un moment donné Melle Sweet qui a les cheveux courts, a été rasé par lui, il restait des cheveux bien courts et une mèche sur le devant bien longue, le rendu était joli et l'éclat de ses yeux étaient plus mis en valeur à mon humble avis. Princesse ou Insolence, gracile soumise a été suspendu par Mr Vich, le rendu était de toute beauté, celui-ci était l'invité de ce pique-nique, un Homme qui sait manier le fouet comme j'aime, j'ai pu goûter au fouet corail et d'autres également. Maud et Dame Nadia sont arrivées, quel bonheur de les revoir, je me sens proche d'Elles et aiment leur compagnie. Maud certains jeux toujours prête à montrer son superbe fessier bien dur pour recevoir fouets, martinets, et autres ustensiles, Elle ne bronche pas et a un mental d'acier tout comme ses superbes fesses. Elle a changé de tenues quelque fois, et puis l'apercevoir déambuler avec ses hauts talons, j'aime. J'ai fait la connaissance de Dame Freya et son soumis Allain, ma plus belle rencontre de ce pique-nique et j'ai pensé à Mon Maître qui aurait été enchanté de faire la connaissance de cette Maîtresse. Un bon feeling avec Tous deux et quelques larmes d'émotion à voir leur complicité évidente, les regards échangés, j'en ai été bien ému. Mistral a fouetté sa soumise sur la croix de St André. Celle-ci a changé de tenues x fois sourire. Mr TSM a été prolixe envers Ginou gourmande, que j'affectionne. Que cela soit les fouets de son Maître, celui de Mr Vich corail et autre canning, elle endure... Allain le fouet lui aussi par Monsieur Vich, Maître Pierre, il a en gardé de belles marques. Hum... KiO séance fouet avec son Maître, une re découverte après quelques mois sans y avoir goûté. Moi attachée sur la croix de St André, fouetté par Maître Pierre et faire la poupée de chiffon à un moment... Mr Vich a demandé une volontaire pour une suspension, je me suis proposée ... Cette découverte m'a comblé depuis le temps que je voulais découvrir les cordes, bien qu'à un moment donné, une me serrait bien au-dessus de ma poitrine, mais comme m'a expliqué Mr Vich : c'est mon poids qui a fait que la tension était ... sourire Etre attachée et suspendue ainsi a été une totale initiation que je pensais à tort impossible vu ma corpulence. Comme quoi quelque fois, on se fait des idées qui ne sont pas ... Saphyr s'est également fait fouetter par Maître Pierre sous le regard de son Maître, des belles marques pour son retour elle a eu, et a découvert la cire samedi soir après que Mr TSM a posé des aiguilles sur le dos de sa soumise KiO entrelaçant celles-ci d'une petite chaîne et faisant couler de la cire en bas de son dos, en forme de coeur. Dessin qu'il a pu retirer avec son couteau et offrir à sa soumise avec la chaîne qu'elle pouvait porter comme un médaillon. Les applaudissements ont été. J'ai répondu à un moment donné dans l'après-midi sur un ton qui a déplu à Mr TSM ce qui m'a valu 5 coups de paddle bien frappé quand Maître Pierre se servait de ses cannes, je n'ai rien dit et accepté cette remontrance qui était justifiée. Maître Pierre a la maîtrise, le sérieux, les compétences, l'hygiène est présente, le samedi cela a été le tour de soumis Allain sous le regard de sa Maîtresse Dame Freya de découvrir les sondes d'urètre, j'ai été impressionné par la longueur, par les diverses diamètres, Maître Pierre attentif comme à son habitude. Allain faisait honneur à sa Maîtresse, une première pour lui également et bravo. Moment fort dimanche après-midi, Maître Pierre, Dame Freya avaient comploté pour clouer la peau du sexe de Daniel, il y la vidéo sur le site. Ce dernier a été attaché sur une chaise, bras et pieds entravés par JDuroc avec ses cordes suivant les consignes de Maître Pierre pour ne pas qu'il bouge. Daniel a eu droit à un cloutage, c'est impressionnant, j'étais assise proche de lui à voir son visage grimacer de dépassement, de don, j'ai eu mal. Dame Freya étirait comme il faut la peau de son sexe ainsi les clous étaient bien placés, aie. Maître Pierre et son marteau, entendre le bruit et regarder les expressions de Daniel, aie Son Maître attentif, à l'écoute, patient, rassurant, c'était une première et le moins que l'on puisse dire, c'est que la réussite a été, bravo à Toi quel soumis, ESCLAVE depuis peu, je suis fière de lui Après les clous... La CBT, je suis partie après les clous, Dame Freya lui a percé les seins avec des aiguilles, Maître Pierre diverses sondes d'urètre, puis des vis, à visionner la vidéo c'est hard. Cet Homme a la maîtrise, l'hygiène est de rigueur il va de soi ainsi que la patience. Revoir certaines Personnes comme Dame Emma et sa soumise Kanaria pour qui j'ai de l'estime et du respect, de belles rencontres à Fessestivités, un bonheur que leur venue. Le dimanche 11 août Le Scorpion soumis m'a étonné, par sa façon d'oser certaines pratiques, de se donner à la morsure du fouet, martinets, fessées bien marquées par certaines Personnes, j'ai posé 8 aiguilles sur la hampe du sexe à sa demande, une première pour moi, Dame Freya lui a mis une aiguille à chaque sein et fait un superbe dessin avec un long ruban entrelaçant les aiguilles de son sexe à ceux de ses tétons, le rendu était de toute beauté. Et sous la cagoule Scorpion soumis s'est incliné remerciant Dame Freya. Avant son départ pour Paris, ce gourmand a reçu du champagne sur son corps, sourire. Une bonne douche avec le tuyau du jardin et il était enfin prêt pour faire x kilomètres avant de rejoindre la capitale. Un soumis à revoir si possible ... Léa sylphide soumise avait acheté des gâteaux pour fêter dimanche après-midi l'anniversaire de son Maître JDuroc Gracieuse, elle a déposé devant celui-ci le plateau composé des 3 desserts puis les deux cadeaux accompagnés d'une jolie petite carte écrite. Une soumise offre un présent à son Maître mais là était une excellente occasion. Certains (es) ont eu du fouet, martinet, des fessées, des contraintes, du canning, des dessins à la cire, des soumis lavés et rincés au tuyau d'arrosage, la pratique des aiguilles, et j'en oublie surement. Des photos ont été prises, des vidéos ont été tournés seulement et c'est très bien ainsi, que par l'Organisateur de ce pique-nique. La CBT pour deux soumis qui aiment les beaux égards et qui ne sont pas de couards. Le port d'une ceinture de chasteté Sacherm pour ne pas le citer qui a eu droit à une épilation intégrale de ces attributs. A un moment donné pas moins de 4 Femmes que cela soit Domina, Maîtresse, soumises à ses côtés ainsi exposés, sur une table, le carcan maintenant sa tête et ses mains, les pieds attachés. Pendant le repas de samedi vers 15 heures, il est resté à genoux sous la table pendant x temps. Comme Ginou à un moment donné dimanche après-midi, j'ai été également nue dans les jets d'eau, à genoux je devais avancer, Mr TSM avec son fouet, un régal et puis KiO s'y est mise aussi, elle manie avec dextérité cet instrument, l'eau me faisait du bien, puis j'ai eu bien froid et l'on a arrêté. Le dimanche en fin de soirée, à un moment donné petit jeu entre Dame Nadia, Maître Pierre pour que Tous deux arrivent et ils y sont arrivés à retirer des tomates du potager de Mr TSM qui avaient été disposés sur le dos de Maud, avec leur fouet respectif, et la participation de Mr Vich, je ne vous dis pas les rires, la joie, la bonne humeur, pour ce défi. Puis vient le tour des tomates concassées... Tomates éclatées par Maître Pierre à la demande de Maud avec l'aval bien sûr de Dame Nadia, les tomates ont été écrasé avec le nunchaku d'entrainement en mousse mais que l'on sent bien en ce qui me concerne. Pour ce trip, j'avais installé ma chaise pour être aux premières loges, Maître Pierre adroit tout comme Dame Nadia avec le fouet à part un raté de chaque côté, petit délire entre gens de bonne compagnie. J'avais demandé à me faire fouetter par Mr Vich qui avait accepté, le fouet corail sur ma peau, hum ... Maître Pierre je l'ai vu à un moment donné était devant moi, pour le fouet enroulé c'est plus prudent et l'on peut voir ainsi les marques sur la poitrine. Je ferme toujours les yeux quand je suis dominée et quelque fois les aient ouverts et eus certains coups comme deux sur mon sexe. Le respect a été aucun débordement Nous étions 26 à ce pique-nique, j'ai bonne mémoire. Les marques des cannes ont été présentes pendant une semaine passée sur mon généreux fessier par contre, les marques des fouets de Maître Pierre le samedi après-midi, et Mr Vich le dimanche se sont estompées au fur et à mesure, me reste à ce jour du 26 août, une trace enfin un bleu, sur mon sein gauche, rappel du fouet enroulé de Maître Pierre. Merci à mon Maître aimé qui a la confiance de Maître Pierre, pour m'avoir permis de participer à ce second pique-nique. Merci à ce dernier pour les belles marques qu'il m'a offertes et son respect à mon égard. Merci à Monsieur Vich pour la suspension, vos fouets, dont le superbe fouet corail, votre respect et bonne humeur, dialogues. Merci à Monsieur TSM pour son accueil ainsi qu'à ses deux soumises pour l'organisation complexe d'une telle rencontre sur deux jours, il y a du travail avant, pendant et après les départs. De belles rencontres, découvertes à ce deuxième pique- nique, de la convivialité, du respect, de l'amitié, des initiations, de l'écoute. J'ai écrit ce second récit à ma façon avec mes propres ressentis, mes émotions. J'ai demandé l'accord de Toutes les Personnes mentionnées dans cet écrit. Le 27 08 2013
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Par : le 23/03/21
Un superbe week-end, de belles Rencontres que cela soit Maître (sse) dominateur, trice, soumis (e) abdl De riches découvertes avec des Personnes souriantes, conviviales, charmantes, intelligentes, j'en oublie surement. Le partage des repas préparés apportés par les participants (es) j'ai aimé, en cuisine Ginou et Kio qui savent toutes deux ce qu'est l'organisation d'un tel événement, beaucoup de travail derrière ; KiO sait manier avec brio les ordres pour que tout se passe au mieux que cela soit pour ranger, desservir, apporter ainsi que sa soeur de soumission, merci à Toutes deux et à Emma pour la recette de cuisine ainsi qu'à Ginou pour une entrée chaude préparée sur place. Le débat m'a semblé long mais utile pour les participants (es) ne connaissant pas trop certains sujets. J'ai bien aimé que chaque personne se présente brièvement cela permet de savoir qui est qui. 23 Personnes présentes, une belle complicité, des connaissances avec autres Personnes, des partages, des émotions, des sensations, des initiations que cela soit : soubrette à plateau, ballbusting j'ai été impressionné par Daniel et Kanaria, Emma superbe complicité, une Maîtresse jeune par son âge, qui a la maîtrise, elle m'a époustouflé. La pratique des aiguilles avec le Dr Attila et Nurse Eva, Léa gracile soumise a expérimenté cette découverte sous le regard bienveillant de son MaîtreJDuroc, merveilleux partage que j'ai admiré. Dame Nadia accompagnée de Maud qui a été intenable, tellement électrique, sur piles dois-je dire ce jour-là. Merci pour vos sourires, ta gentillesse à mon égard, ton petit conseil au sujet de mains .... Chut Un réel bonheur Tous deux et cela ravi mon coeur. Les cravaches musicales, bien que je ne sois pas musique en bdsm, aie ! Je vais me faire des ennemis tant pis. J'ai apprécié, je l'avoue d'admirer Nurse Eva qui a pris un réel bonheur à frapper en tempo. J'ai moi-même à un court moment pris la place de Chienne 34 (qui était accompagné de son mari pour le pique-nique) pour être fessée par TSM en musique. Je n'allais pas faire la tête et bouder de mon côté, j'ai participé. Nous sommes là pour découvrir, pour partager. Par contre, pour les bougies et la suspension bondage kinbaku, shibari un pur moment de bonheur, la musique douce est la bienvenue, je dis à ma façon ce que j'ai vécu et mes ressentis qui ne sont pas ceux que tout le monde a vécu bien sûr, chaque personne ressent les émotions différemment. Une personne m'a et me fait toujours pleurer c'est Ginou, douce soumise blonde, une belle Soumise et l'éclat de son visage, son regard sous le fouet de son Maître, elle m'émeut tout simplement, c'est de toute beauté en regardant les photos prises, que tu es belle dans ton abandon. KiO dans les cordes de toute beauté également, un réel bonheur de te voir t'envoler dans la suspension, radieuse, magnifiée si besoin était dans ces cordes de chanvre, ton regard magnifique, je suis très regard. Le canning Aie, Ginou, KiO, Daniel et ceux que j'oublie. Tenir les mains de Ginou avec Mistral et que son Maître lui fasse un certain comptage plus la tva si j'ai bonne mémoire. Quelle endurance et que dire de Daniel, Soumis oh combien agréable, maso, toujours à rire, sourire, et qui reçoit beaucoup, gentil provocateur toujours en recherche de marques. Maître Pierre, son Maître est fier de lui et moi qui les ai accompagnés Tous deux pour ce pique-nique, j'ai été sous le charme de ces deux Personnes et d'autres. Sourire. La cage de chasteté de Daniel et j'ai su plus tard qu'il y avait des pointes dedans aie, Ginou et KiO qui se sont amusés à lui faire des chatouilles. Aie Léa en cage, un merveilleux instant de quiétude, son Maître lui souriait, veillant sur Elle à un moment donné où KiO était allongée dessus pour un fist pratiqué par Son Maître. Puis plus tard Ginou enfermée elle aussi, une prochaine fois j'aimerai être dans la cage... Les martinets ont été à l'honneur ainsi que les fouets divers, les paddles, les cravaches certains (es) ont eu des révélations, se sont découverts des talents cachés, sourire Joffrey jeune et joli soumis abdl qui a été féminisé, maquillé, le rendu était superbe, il a joué le jeu, il s'est abandonné, a goûté au martinet, a servi de table pour qu'Emma et Kanaria puissent déjeuner, je ne suis pas branchée abdl et respecte les pratiques des uns et des autres qui font à leur guise. En ce qui me concerne les bébés et l'enfance, c'est pour moi un sujet qui me tient à cœur et vu ma sensibilité, je ne pourrais pas, bien que cela ne soit qu'un jeu, une pratique, que certains font par amour de l'autre et qui m'a beaucoup ému, j'aurais du mal, j'avoue. J'ai accompagné Sylvie pour la jouissance forcée enfin chacune à notre tour, il était tard et quelques personnes étaient présentes, TSM a changé les serviettes, le vibro recouvert d'un préservatif, je suis axée sur l'hygiène qui doit être en toute circonstance. Je suis pudique et me montrer nue sexe et clitoris offert, allongée, sanglée pieds, cuisses et les mains, mon bandeau noir cachant mes yeux bleus, ainsi je n'ai pas vu les regards et ai pu me concentrer et entrer dans ma bulle comme j'aime. J'ai mentalement offert ma jouissance à Mon Maître et j'avais demandé à Maître Pierre si je pouvais lui tenir la main pendant ce temps, il a acquiescé. Toutes deux ont découvert l'électro avec Maître Pierre bien que la musique un peu forte à un moment donné pour moi m'a déconcentré, mais dehors autre pratique faites en musique, une autre fois au calme je découvrirais à nouveau l'électro. Le water-bondage que j'ai voulu découvrir étant de nature curieuse, impression bizarre, sensations diverses, la peur, la panique un court instant, le cœur qui cogne, les pieds que je remuais et TSM qui ne me fait pas remonter la tête tout de suite, le mental qui est là, les bulles qui se forment à coté de ma bouche, Daniel qui a pris les photos pour que mon Maître voit mes initiations. SM 30 et son regard coquin, ses mains agiles. Aie Libellule au fouet ravissante brune Merci à TSM et ses deux adorables soumises pour ce pique-nique riche en découvertes, à ces deux dernières pour toute la préparation que l'on n'a pas vue derrière et que l'on a bien apprécié, gentillesse, moments de partage, mots réconfortants, petits conseils, et le massage que m'a prodigué KiO à un moment donné. Merci à tous les participants (es) et si j'ai oublié quelqu'un (e), je vous présente mes excuses. Je voudrais associer Ludic avec qui je converse depuis 2 ans passés ici, qui m'a fait découvrir l'autre site, grâce à lui, j'ai pu faire de belles Rencontres des rares personnes m'ont marqué à leur façon marques visibles ou invisibles que je garde dans l'écrin de mon cœur. Merci à Mon Maître aimé pour m'avoir permis d'aller à ce pique-nique, de découvrir beaucoup avec la confiance et le respect de Maître Pierre. PS : J'avais demandé l'accord des participants (e) à la fin du week-end pour écrire ce récit plus tard. le 27 07 2013
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Par : le 20/03/21
A la croisée de nos chemins, une belle rencontre qui dure depuis trois ans. Que celle-ci perdure dans le temps, et bien au-delà... Bien que je sache depuis l'année dernière qu'elle se terminera en mars 2014. Nous n'en sommes pas encore là, alors savourons ces instants présents. J'ai accepté d'être votre soumise en toute connaissance de cause. Pour fêter cet anniversaire, un séjour de deux jours était prévu depuis x mois. Un imprévu pour Vous a fait qu'un jour et une nuit étaient de Votre présence. J'ai donc pris le train seule, Vous aviez réservé pour moi une chambre d'hôtel. Comme la fois précédente, un rappel, tout près du Moulin rouge. Arrivée en début d'après-midi, j'ai déposé ma valise. Je repars aussitôt pour rendre visite à une amie. A mon retour, il est déjà 21 h passées, je suis fatiguée et me couche. Je me réveille tôt, j'ai peu dormi en fait. Je descends pour le petit déjeuner puis, m'affaire. Vous arriverez vers 13 h et quelque, il faut que je sois en forme. Je me prépare tranquillement. Heureusement que je suis partie avec mon manteau en ce début de saison. Sur Paris, il fait froid ce jeudi, tout le monde est vêtu chaudement. Je décide d'aller faire quelques pas en Vous attendant. L'heure approche et je patiente à la sortie du métro. Je n'ai pas écouté Votre conseil à rester au chaud dans la chambre. Sortir un peu pour voir comment j'allais et si je tenais le coup... Vous êtes là avec ce sourire malicieux que j'aime tant. Nous nous dirigeons vers l'hôtel, Vous déposez Vos effets et nous allons déjeuner. Après le repas, nous partons en direction de la boutique Démonia bien connue. J'aime cet endroit, il y a tant de nouveautés à l'entrée et dedans. L'agencement des articles a été modifié, des vêtements vinyles et cuir à profusion La couleur noire et rouge est de rigueur de toute beauté pour femmes graciles De sublimes masques en métal dentelle, merveilleux d'originalité. Nous arrivons vers la caisse et à gauche se trouve une vitrine fermée à clef contenant divers bijoux comme rosebud, collier, bracelet, bague d'O. J'essaye les deux bracelets acier et opte pour le premier qui convient à mon fin poignet. Un joli présent pour cet anniversaire, nos goûts sont communs sur le choix de certains articles. Comme entre autres, cette cagoule fine laissant entrevoir mes yeux bleus et ma bouche. Vous aimez tant mon regard et n'appréciez pas que je le baisse, Vous m'en aviez fait part lors de Notre belle rencontre le 23 mars 2010. Vous pouvez y lire tant dedans et toutes mes émotions y passent... Je l'incline quand j'ai honte, quand je me sens humiliée ou qu'il le faut. Nous quittons les lieux et nous nous installons à la terrasse intérieure d'un café. Dehors les gens vont et viennent, travail, courses et autres, toujours le mouvement. A notre retour, une sieste s'impose pour moi, Vous en profitez aussi. Nous allons à Cris et Chuchotements. Ce soir, il faut que je sois bien. La nuit commence à tomber, Vous m'invitez dans un joli restaurant italien Les tables sont bien dressées, des petites fleurs dans leur vase ornent le centre. Face à face comme toujours, nous en profitons pour discuter en attendant les plats. Délicieux repas, belle ambiance, joli décor, il y a beaucoup de monde. L'heure de se préparer pour la sortie se profile, douche, habillage, maquillage. Je vêts mon serre taille avec les jarretelles et bas noirs que Vous m'aidez à attacher. Ma jupe en cuir, un haut noir assorti aux talons, mon collier acier, le bracelet acheté l'après-midi, et mon manteau complète ma tenue. Vous également, vêtu dans la même teinte, dans ce costume qui vous sied si bien. A pied pour nous rendre au club, il fait frais dehors. La porte s'ouvre et une sublime jeune femme au corps de liane, cheveux courts, nous annonce que nous sommes en avance, que la mise en place n'est pas terminée. Nous nous promenons dans les rues adjacentes attendant l'heure d'ouverture. De retour devant la porte, nous donnons nos manteaux et prénoms avant de descendre. Il n'y a rien de nouveau au club comme aménagement. Vous me dominez en m'attachant à la croix de St André, avec martinet et fouet. Vous ne voyez pas bien l'état de ma peau puisqu'il fait sombre. Puis nous nous dirigeons vers le bar pour nous désaltérer et nous dialoguons tous deux. Un couple est arrivé qui part prestement dans une pièce, un homme seul les suis à un moment donné. Une jolie domina M et son soumis H qui porte un harnais de chanvre sur son torse vont dans une autre salle, j'entends quelques coups de cravache. Nous décidons de partir quand M fait connaissance avec Vous, Elle aimerait me dominer et Vous en fait part. Vous m'attachez les mains, et sur une autre croix je suis. Elle me signifie que je n'ai pas écarté les jambes... Des fessées à mains nues, puis vient le martinet et la cravache. Elle regarde de chaque côté et caresse ma peau pour constater que cela chauffe. En même temps, Elle fait des réflexions à son soumis et j'ai envie de rire, je me contiens. Vous me fouettez et je commence à compter. Certaines marques sont là qui resteront le temps de mon séjour sur l'Essonne M Vous demande si son soumis peut lécher mes fesses pour atténuer les coups. Vous acquiescez. Il porte la barbe et cela me chatouille. Quelque dialogue échangé entre Vous par ci par là. Elle me demande de retirer le bondage de son soumis. La corde de chanvre est douce. Je tourne auprès de H pour défaire les nœuds, passant, repassant à certains endroits. La corde est très longue ; je parle un peu à H. Je n'y étais pas autorisée. Elle me reprend et continue la conversation avec Vous. J'entends un peu ce qui se dit, mais je ne dois pas prêter l'oreille ... Je fais défiler la corde, et la plie comme il faut, M est ravie et m'en fait part. Nous quittons le club et disons au revoir aux personnes présentes, M m'embrasse ainsi que H, Pascal nous raccompagne à la porte et nous nous dirigeons vers l'hôtel à pied. Un peu de marche fait du bien, nous conversons de la soirée passée. Une bonne nuit de sommeil à Vos côtés ; un copieux petit déjeuner avec la vue sur le jardin d'hiver ; il nous faut partir et chacun ira dans sa direction à un moment donné. Je suis à nouveau affaiblie, j'ai tenu le coup jusqu'à votre départ. Dans le métro, nous nous séparons, Vous rentrez chez Vous dans le Sud Je rejoins l'Essonne où mon amie m'héberge jusqu'à mon départ le 26 mars. Merci à Vous pour cet anniversaire, Vous m'avez comblé par Vos nombreuses et diverses attentions tout au long de ce court séjour, où je n'étais pas au mieux de ma forme. Le 29 avril 2013. Ajout de Mon Maître Comme toujours en pareilles circonstances, le hasard d'un profil sur un site SM, un profil qui en croise un autre, quelques messages échangés et juste l'envie de faire connaissance. Et puis la magie de la rencontre, des caractères si complémentaires, des envies partagées pour aboutir à une symbiose parfaite et une relation sincère, durable dans le respect et l'attention à l'autre. Que de bons moments passés ensemble et de belles escapades parisiennes. A toi aussi merci mon amour de soumise.
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Par : le 11/03/21
Je me souviendrais longtemps de ce 16 février où Maîtresse m’a annoncé : «je suis officiellement Ta Maîtresse. Rnby tu es à moi». Je deviens son soumis, son maso, sa propriété. Je l'ai tellement désiré que j'en deviens fébrile, la peur m'envahit. Peut-être ai-je pris conscience de la tâche qui m'attend. Respect et obéissance ne devraient être qu'une formalité pour moi qui la vénère, et bien non, je fais des bêtises ! Elle a beaucoup joui de moi, sa petite salope. Je ne devrais pas le dire car mes sentiments passent au second plan, mais j'ai aussi beaucoup joui de cette intense domination aux pieds de Ma Maîtresse et de toutes ses pénétrations lors de cette fameuse première nuit. Je reviens à ma niche empli de joie. Bien sûr Maîtresse est la seule à posséder la clé de ma cage me privant ainsi de cette jouissance masculine mais je sais que ma chatte m'apportera bien plus de plaisir. J'avoue ma naïveté car Maîtresse n'est pas du genre à laisser son soumis dans son égoïste petit confort. Je reçois très vite, comme une claque, le nouveau défi de Maîtresse : "Je garde la clé et tu gardes chaste ta petite chatte. Tu mets un plug que tu n'enlèveras que pour faire tes besoins"   Aïe aïe aïe abstinence absolue, je palis. Plus aucune jouissance sans la moindre idée de la durée. Je devine bien ses sourires tant pour ce défi que pour la petite surprise qu'Elle me fait. Pas le choix, Ma Maîtresse a tous les droits. Les jours suivants ont été difficiles. L'impression désagréable d'être en manque permanent dès le 1er jour. J'ai vite caché tous les godes qui me faisaient jouir de plus en plus souvent. Éviter à tout prix toute tentation. J'ai bien tenté une esquive dès le lendemain mais tellement maladroite que mes fesses ont pris chères. Maîtresse n’a pas goûté à mon humour quand je lui ai dis que mes godes protestaient. "Qu'ils osent! " M'a t'elle répondu... Première erreur, j’ai fait parler mes godes pour obtenir sa clémence. «On veut notre jouet». Oh la la ! Que n' ai-je pas dit là... Je suis le jouet de Maîtresse et de personne ni rien d'autre. Deuxième erreur... Et en plus, je ne me rends pas compte de suite que l' orage s'est levé sur moi et je continue à faire parler mes godes : «Allez, au moins une fois par semaine Maîtresse». Quand enfin je prends conscience de mon erreur, sa foudre s'abat sur moi. Elle me fera payer cash ce manque de respect par une mémorable fessée au paddle et une humiliation publique, promené en laisse , la tête et les oreilles basses comme le petit toutou que je suis devenu. Ne plus pouvoir jouir et s’asseoir, je pense que Maîtresse doit beaucoup en rire encore maintenant ! Oui, le début a été dur. Mais la situation se normalise. Je bascule toute mon énergie sexuelle vers le plaisir absolu à satisfaire Ma Maîtresse. J'ai de plus en plus besoin de sa présence, de sa mansuétude. J'ai seulement l'envie de tout lui donner pour sa seule jouissance. Et si cela était Sa réussite de ma soumission ? Sa domination se met en place inexorablement lors de nos rencontres mais aussi à distance lorsque je suis à ma niche. Tous les canaux sont bons pour m'éduquer, me mettre à ses pieds, me surprendre... Aujourd’hui dimanche, ce seront les SMS de Maîtresse qui me donneront la leçon : Apprendre à répondre correctement à ses textos. -Tu es seul ma salope ? -Oui Maîtresse, je fais du repassage. -Repasse en regardant du porno de domination féminine bien hard pendant une heure. Je m'affaire avant de répondre correctement le « bien maîtresse» attendu et il est bien trop tardif à son goût. Elle me rajoute du temps... Je lui écris mon contentement à lui obéir mais : « Tu parles trop ! Mets-toi un bâillon». Je vais terminer mon repassage et mon ménage en bavant partout. J'ai fini par recevoir 30 minutes de plus de porno. Vous me direz rien de bien méchant, au contraire... Sauf que, quand vous êtes chaste de tous plaisirs et en cage , elle vous semble bien vite étroite. Je souffre tendu derrière ces barreaux. 11H15, Maîtresse me libère de ses contraintes mais Elle n’en finit pas pour autant avec moi ; un SMS suit dans la foulée. -J’aime quand tu manges dans ta gamelle. Manger dans ma gamelle aux pieds de Maîtresse est la place qui m’est dorénavant dévolue. Je prépare un petit repas adapté que je mange difficilement en lui adressant quelques photos pour lui faire plaisir. Maîtresse me laisse sur une promesse urticante. -Surveille l’arrivée des orties. Grâce au réchauffement climatique, ils arriveront sans doute plus tôt pour satisfaire ma Maîtresse. J’imagine déjà ses grands sourires quand viendra ce petit supplice
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Par : le 08/03/21
La fessée peut être aussi punitive , par des claque sèche mais aussi la fessée , si douce si forte reçue ou donnée ..installer sur mes cuisses .. Mes mains qui prennes possession de ces fesses offertes .. des mains caressantes qui claquent d’abords doucement , de plus en plus forts , s’arrêtant , pour caresser des fesses qui deviennent de plus en plus chaudes .. Entendre des gémissements , des cris , des Madame encore , je vous en prie .. Recommencer , le /la sentir se trémousser , être au bord de la jouissance , Caresser cette chaleur appuyer ou les traces des doigts sont la .. Voir ses fesses prendre une belle couleur de feu les sensations sont fortes des deux côtés .. Il ou elle jouira , de cette fessée que je donne toujours avec plaisir .. La /le consoler ensuite de cette forte émotion et recommencer encore .. Lady H
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Par : le 06/03/21
Bonjour, Je m'appelle Ahsan, homme de 33 ans de l'Ile de la Réunion. Ancien Balnéolais (92) je souhaite partager avec vous mon expérience. Je tiens tout d'abord à m'excuser pour mes fautes d'orthographes ou syntaxes (je suis anglophone). Je ne saurais dire d'où me viens cette envie d'être fésser et de corriger mais ma 1ère expérience était innoubliable. J'était alors étudiant, fantasmant sur ma prof (Mme. M.S) une jolie femme brune, mince toujours bien habillée. Je passais mes nuits à rêver qu'elle me prenne sur ses genoux et qu'elle m'administre la fessée. J'ai donc commencé à publier des annonces afin de trouver une partenaire pour passer de bons moments cuisants mais en vain... Je ne sais pas si j'étais trop jeune, ou mon métissage faisait peur (je suis indien à la peau très claire, plutôt mignon d'après mes copines de classes). Je n'ai donc pas trouvé de partenaires en ligne. Je n'étais pourtant pas de nature timide, j'aimais le contact avec les gens mais mes recherches n'ont malheureusement pas portés leurs fruits. Entendre le mot fessée ou voir une scène de fessée provoquait (maintenant aussi) une forte excitation en moi. Un soir j'ai décidé de prendre les choses en mains. J'ai pris dans mon tirroir ma brosse à cheveux, je me suis allongé sur le lit en boxer et j'ai commencer à m'auto-fesser (self spanking) ! J'imaginais que la correction était administrée par ma prof, je n'avais jamais eu une érection aussi dure. J'ai continuer à me fesser (j'avais autant mal au bras qu'aux fesses) mais le plaisir que je ressentais était indescriptible. J'ai posé ma brosse pour baisser mon boxer, lentement, délicatement comme une fésseuse qui prendrait plaisir à déculotter son soumis. J'étais cul nu ! j'ai repris la brosse et j'ai continuer à m'offrir ce plaisir... Je n'ai pas pu résister plus, je me suis retourné ! Je n'oublierai jamais cet instant ou mes fesses encores chaudes ont touché le lit. Je me suis soulagé avec ma main, l'ejaculation fût intense, le sperme avait atteint le haut de mon torse. J'était aux anges...
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Par : le 06/03/21
Avec l’aide de quelques amis, j’avais organisé une soirée très chaude pour ma femme, sous le signe de la pluralité masculine comme d’habitude, vu que ma chérie adore le sexe et n’en a jamais assez… Nous avons donc organisé un gang-bang avec la participation de neuf hommes triés sur le volet qui, bien sûr, étaient montés comme il se doit. En outre, tous ces messieurs étaient très endurants. Nous avions rendez-vous à 20 h 30 dans une maison spécialement conçue pour ce genre de soirées. Nath s’était habillée sexy et très léger, comme d’habitude pour ce genre de sortie, avec de la lingerie provocante. Une fois arrivés devant la maison, nous avons été accueillis par deux amis, qui ont fait les présentations d’usage. Avec Nath, nous sommes ensuite allés prendre un verre et fumer une cigarette dans la cuisine. D’un coup, trois hommes sont entrés. Ils ont abordé Nath devant moi. Je dois bien l’avouer, cela m’excitait à fond. Ça ne faisait pas cinq minutes que Nath discutait avec eux, et je voyais déjà leurs mains courir sur le corps de ma miss. Moi, pendant ce temps-là, je n’en perdais pas une miette. Mon sexe durcissait dans mon jean qui se déformait. En même pas dix minutes, ma chérie s’est retrouvée en string et seins nus en plein milieu de la cuisine. L’un des hommes a pris Nath par la main et l’a emmenée dans le salon, où se trouvait une grande banquette. Il l’a installée dessus, et a attendu que tous nos amis soient là. En un rien de temps, Nath s’est retrouvée entourée des neuf hommes qui ont profité de son corps. Elle a été caressée, léchée, embrassée par toutes ces mains, par toutes ces bouches. Je l’entendais gémir de plus en plus fort. Quand je me suis rapproché, j’ai vu ma femme qui se faisait enfoncer des doigts dans chaque trou. Elle se trouvait les jambes écartées, avec deux doigts dans la chatte, trois dans le cul, une bite dans chaque main et une autre, énorme, dans la bouche. Nath se faisait défoncer par tous les orifices, je voyais les phalanges lui éclater le trou du cul, et sa bouche complètement déformée par ce sexe géant. À un moment, Nath s’est retournée sur la banquette. Là, un mec avec un sexe comme je n’en avais jamais vu, épais et très courbé, le lui a enfoncé dans le cul pendant qu’elle continuait à lécher le gros membre de l’autre type. Elle s’est fait sodomiser énergiquement. D’un coup, celui qu’elle avait en bouche a lâché son sperme au fond de sa gorge. Elle a tout avalé. Un autre est venu prendre la place de la bite ramollie dans la bouche chaude de ma mie, et puis un deuxième. Nath a tenté de pomper les deux en même temps, mais c’était un peu maladroit, d’autant qu’elle était toujours en train de se faire défoncer le cul. A un moment, l’homme s’est retiré de son petit trou et a ôté son préservatif pour se vider les couilles sur le visage de ma chérie. Puis, un cinquième a pris sa bite en main et s’est présenté à l’entrée de la chatte béante de ma miss, qui coulait de plaisir et d’envie. Il est entré d’un seul coup, sans ménagement, et s’est mis à la baiser avec force, à lui donner de grands coups pour s’enfoncer le plus loin possible. Pendant ce temps-là, Nath était toujours occupée à sucer les deux sexes qu’elle avait en bouche, et ils se sont tous les deux vidés, à quelques secondes près, eux aussi sur son visage. Il était tapissé de sperme, ça lui coulait jusque dans le cou. Ensuite deux autres sexes sont venus se présenter à sa bouche, les glands s’entrechoquaient contre ses dents, et ma petite Nath les suçait avec ardeur. L’un des deux hommes s’est enfoncé jusqu’à sa glotte pour lui décharger son sperme au fond de la gorge pendant qu’elle se faisait toujours labourer. L’homme qui la baisait s’est retiré pour lui jouir sur le minou. Après ce début de soirée qui promettait beaucoup de sexe, nous avons pris une pause pour boire un verre et se décontracter. Mais le répit fut de courte durée. Encore une fois, Nath a été sollicitée par tous ces sexes qui en redemandaient. Mais, bien sûr, ma miss était parfaitement ok pour prendre à nouveau du plaisir et jouir encore et encore. Eh oui ça, c’est Miss, elle n’en a jamais assez, c’est une gourmande. Je ne vous raconte pas la suite, car ce serait beaucoup trop long. Mais je peux vous dire que la soirée a duré jusqu’à 5 heures du matin, et que Nath s’est fait baiser par tous les trous, et que plus d’un homme lui a joui dessus, dedans, elle a même eu droit à une très longue double pénétration. Enfin, pour clôturer notre fiesta, je lui ai fait une sodomie d’enfer. Moi, son mari, je n’en pouvais plus de regarder sans toucher… Alors, je lui ai tout simplement défoncé son petit cul en lui donnant une fessée magistrale. Notre future soirée sera encore plus chaude, vu que son prochain gang-bang se fera avec un autre couple et plus d’une dizaine d’hommes, que j’espère tous très bien membrés et très endurants. Source : union
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Par : le 01/03/21
Elle pénétra sa demeure. Chaque porte-fenêtre était condamnée par de grands volets blancs laqués. Chacun scellé par un cadenas d'or. Elle était là, piégée dans son temple, une brise cavalant à l'échine. Elle sentait poindre cette délicieuse inquiétude de l'épiderme aux aguets. Sa chair ondulait du dedans. - Es-tu vraiment sorcier ? Demanda-t-elle - Je suis ton intime grimoire.. S'amusa-t-il. Il imposait de ces regards malicieux qui inspiraient qu'on s'y soumette. - On dit que tu te changes en bête, en femme ; en toute créature que ta fantaisie convoque.. - Suis-moi ! Répondit sobrement Akenos. D'entrée de jeu, Sofya découvrit son boudoir. Elle ne voyait que le lit, le grand lit qui semblait les attendre. Elle s'allongea bien vite sur le flanc, sous le règne d'un parfait silence.. Sofya sentit bientôt le poids du corps d'Akenos creuser l'épaisseur du pageot. Il était venu se poster derrière elle sans un mot ; tout près.. Le silence implacable trahissait la respiration de Sofya ; son impatiente, son désir et sa peur. Son coeur cognait à fendre-sein. Akenos porta sa main à l'épaule de Sofya qui retint son souffle. Il fit glisser lentement la tunique le long de son bras et laissa la belle ainsi, quelques instants distendus. Tel une caresse de plume échappée du bercement des pesanteurs, il déposa très doucement un baiser délicat sur son épaule douce. Elle n'en pouvait plus de retenir son souffle, elle souhaitait le laisser galoper.. Akenos embrassa son encolure. Il semblait disperser ses baisers comme autant de pierres dessinant un parcours dont il faudrait -tôt ou tard- revenir sans trop d'encombres.. A présent, Sofya sentait le visage du garçon proche du sien. Elle voulait être la proie dont on se saisit, qu'on traine jusqu'à la tanière. Elle rêvait de se faire dépecer ; qu'un homme possédé par une ferveur reptilienne du fond des âges, la dévore tout entière… Elle lâcha un soupir de langueur, largua ses amarres au long cours.. Akenos la retourna brutalement. Elle ferma aussitôt les yeux. Elle sentit le visage de l'amant qui s'approchait tandis qu'elle détournait le sien. Sofya prenait plaisir à se défendre. C'était un apéritif de circonstance avant l'exultation de sa défaite annoncée. Il l'embrassa aux entournures puis descendit sur son sein gauche. C'était le plus sensible des deux ; le plus doux, le plus dense, le plus débraillé ; Sofya avait pour elle l'insolente fraicheur, l'irrésistible outrage de la fleur de l'âge. Ses seins si pleins, si ronds, semblaient éclore de sa tunique comme autant d'audaces, comme autant d'hypnoses rendues à la voute céleste. Le cratère de son volcan se trouvait à présent dans une bouche pleine de lave ! Akenos faisait tournoyait sa langue de vipère tandis que ses doigts ondulaient sous l'arc infiniment doux du sein de la belle.. Son esprit flambait déjà comme une étable sèche dans un été torride. Brusquement, une parcelle du vêtement de Sofya céda comme peau-morte: Akenos venait de déchirer l'étoffe d'un geste violent. Sofya gisait, le poitrail à l'air. Elle était l'agneau du sacrifice sur l'autel du mâle. Elle entrouvrit les yeux et fit la moue. Sa bouche esquissait des non-dits: Qu'attends-tu ? Dévaste-moi ! Prends-moi sauvagement, de toute ta fougue ! Crache-moi tes vices !! Akenos -féroce- plaqua sa bouche sur ses lèvres fiévreuses. Elle le repoussait en vain du plaisir de sentir son torse imposer son poids, sa force et sa loi. L'ivresse montait en elle. Chaque baiser fougueux était une gorgée d'alcool ; de ces alcools intenses qu'on distille entre amants parmi les herbes folles. Sofya sentait ses cuisses goutteler : elle n'avait jamais vu de sexe d'homme autrement qu'en mosaïques parmi les arabesques du palais. A présent elle désirait ardemment sentir la chaleur d'un sexe mâle contre sa cuisse, contre son ventre, contre son sein.. Elle flairait les vapeurs nouvelles émaner d'Akenos. Elle voulait garder cette odeur, ce parfum exquis et rance sur le buvard de sa peau. Sofya voulait gouter à cette peau d'homme dans la force de l'âge, cette peau tannée par endroits. Elle voulait boire de ce vin bien mûr alors elle dégrafa la tunique du prince de sa main fredonnante .. Elle découvrit, fascinée, ses épaules tachetées de morsures solaires. Tandis que la femme venait faire éclore sa main sur le torse de l'homme, Akenos sentit sa poitrine s'irradier de lumière. Tout sorcier qu'il était, le grand, le zélé Akenos se trouvait à son tour sous le joug d'un exquis sortilège.. Sofya découvrit son torse tel un paysage sauvage parsemé de fine toison. La demoiselle plongea chichement sa tête en avant pour lui déposer son baiser. A cet instant, elle sentit le corps d'Akenos à la merci de ses lèvres humides. A présent elle souhaitait follement s'emparer de sa virilité. Sofya voyait la forme lourde épouser l'étoffe du fuseau ; le sexe d'Akenos semblait à peine contenu par un cordon. Et tandis qu'elle butinait son torse, Sofya tira d'une main discrète sur ce ruban d'offrande. Le pantalon glissa sur les cuisses de l'homme. Elle ne s'attarda pas sur la surprise de cette chose qu'elle pouvait désormais contempler. Sofya saisit le sexe du sorcier et entama un lent, un très lent va-et-vient.. La lenteur était sa profession de foi voluptueuse. Elle voulait contempler la lumière grimper peu à peu dans le corps de cet homme ; la voir déborder des remparts et jaillir de toutes parts. Un climax absolu au pic de l'instant. Soudain, la nymphe cessa d'empoigner son homme pour se hisser au bas du lit. Elle se trouvait à présent truffe à truffe avec la queue de l'animal. Son regard était traversé de malice et d'effroi : elle découvrait - oh délice ! - qu'elle aimait goûter à ce genre de peur. Akenos, quant à lui, semblait fébrile, hésitant : sa verge pointait désormais au visage de sa muse. Sofyia semblait s'amuser de cette posture. A présent, elle dévisageait Akenos avec un petit sourire qui traduisant autant de gêne que de désir. Elle entrouvrit la bouche en guise d'invitation sauvage. Dans le silence implacable, Akenos caressa le visage de sa reine avec son pénis. La belle ferma les yeux,.. puis les rouvrit. La liqueur séminale d'Akenos s'était déposée par endroit sur son visage. Elle se mit à froncer les sourcils, plaçant ses lèvres en ventouse sur les trajectoires de sa verge: Elle voulait goûter cette substance. Il plaça son gland sur les lèvres de la furieuse qui, spontanément, y passa la langue. Akenos sentit des oiseaux électriques lui piquer la tête. Le regard de Sofya s'encombrait désormais d'orages menaçants. - Qu'attends-tu pour me violer la bouche ? - Akenos pénétra consciencieusement sa jolie petite gueule vicieuse. Il n'avait pas imaginé un instant que les choses se dérouleraient de la sorte. Sofya inclinait la tête pour inciter le bougre à lui déformer les joues. Akenos prit alors conscience que le chasseur qu'il était s'apprêtait à muter en proie. Il ne souhaitait pas plus longtemps tordre le cou à sa légende: ses instinct guerriers remontèrent bientôt des tréfonds de sa matrice. Celle là même héritée de la très longue lignée de ses ancêtres. Une envie irrépressible de s'enfoncer plus profondément dans sa gorge le saisit. Plus il s'aventurait dans la bouche de sa muse plus elle plissait ses paupières fardées d'une extase troublante.. Elle laissa doucement glisser un main vers sa vulve. Akenos la surprit en flagrant délice. Sur le vif du vit, il cessa ses va-et-vient, s'extirpa de sa bouche et la tira à l'autre bout du lit. Il descendit à terre tel un serpent fluide qui glisserait d'un coussin jusqu'au sol. La petite garce enjouée prit appui sur ses coudes histoire de pister son partenaire. C'est alors qu'elle sentit un corps humide remonter tour à tour chacune des commissures de son entrecuisse. Akenos lui offrit un petit intermède pour caresser de sa joue ses cuisses dodues et douces. Sofya se surprit à couiner comme une chienne ; elle crispait la trogne. Haletante, la petit canine attendait la morsure du maitre. Le gaillard plaça tout le plat de sa langue sur le bouton de rose et remonta son large pinceau jusqu'au mont de Venus. Elle reçut cette étreinte de loup d'un vertige violent. La langue D'Akenos découvrit le petit coquillage de son jardin secret. Il s'amusa à le happer, à le pointer et l'essorer, tandis qu'un de ses doigts s'occupait insidieusement de sa pourpre serrure. Akenos se plaisait à tourner sa langue dans le sens inverse de l'aiguille de son doigt. Il s'excitait d'imaginer la belle perdant tout repère, abandonnée toute entière à ses sens affolés. Il plaquait désormais son doigt contre sa parois interne, frottant lentement sa revanche lubrique. La femelle en chaleur lâcha une exclamation. Elle était devenue la grand-voile infiniment tendue d'un drakkar claquant dans la tempête. Akenos pénétra Sofya de toute la longueur de sa langue, la fouillant comme un damné. La belle n'en pouvant plus, son sexe explosa comme une fontaine dont on aurait sabré la tour. Akenos se retrouva brusquement le visage inondé de son breuvage intime. Possédée par l'ivresse qui venait de jaillir de sa lune, Sofya l'interpella. - Alors sorcier, est-ce donc la première fois que tu goûtes à l'eau d'une femme-fontaine ? Elle s'était soudain redressée, lui attrapant vigoureusement la chevelure et l'invitant à boire le filet de mouille qui s'écoulait encore de sa chatte. Akenos fut frappé d'un coup d'adrénaline aux tempes en recevant cette mixture en bouche. Sofya tanguait, bienheureuse, toute possédée de son ivresse. La lionne ébouriffée posa son pied nu sur le torse du chasseur.. Ce dernier contemplait son petit bracelet de cheville qui tintait d'une douce lumière. D'un coup Sofya projeta l'homme au sol ; il gisait désormais de tout son long. Elle descendit sur lui imperceptiblement, tel un tapis de fumée, et hissa son visage jusqu'au sien ; elle le dévisageait. Akenos sentait à présent sa vulve de silvidre lui taquiner la verge. Sofyia souriait. Elle se mit à lécher son héros. La petite peste ronronnait, grognait de plaisir.. Elle caressa de sa langue fouineuse l'oreille d'Akenos, puis, comme une panthère docile, s'empara de sa lèvre inférieure entre ses babines.. Amoureusement, les yeux mi-clos, elle suçait sa bouche comme une languette sucrée. Bientôt, il ferma les yeux et se laissa glisser dans cette lagune: l'instant s'étira délicieusement en frôlement de langues: Akenos, à son tour, léchait les lèves de Sofya qui souriait de plus belle.. Elle se redressa doucement, en silence. Lui, sous elle, contemplait sa chevelure qui rebiffait, ses tétons qui pointaient, sa bouche béante superbement lascive.. Il caressait les hanches de sa petite jument racée ; aimait soyer du doigt l'orée de sa raie, revêche au toucher. Akenos palpitait de la voir s'asseoir là maintenant sur lui; de pénétrer ses méandres, Sofya savourait sa montée de sève, la houle dans le yeux de son homme.. - Traverse-moi ! dit-elle.. Elle se mit à répéter ces mots, decrescendo, à l'infini ; à se draper dans leur écho. Traverse-moi traverse-moi traverse-moi.. Sofya passa son bras à rebrousse-corps -sous elle- pour s'emparer du membre viril et le placer au mieux à l'entrée de sa vulve. Alors qu'Akenos se décidait promptement à redresser ses hanches, Sofya descendit les siennes. D'une main puissante, il chargea son épaule pour qu'elle s'abatte sur son gun. Akenos risqua la pulpe d'un doigt sur sa rustine plissée visant à lui décontracter le con. Son vit entra d'un coup en elle. Il rencontra à mi-chemin une paroi qui l'empêchait d'aller planter plus haut son drapeau. Empressée, Sofya lui lança un regard consentant. Akenos -chichement- traversa la fleur de Sofya qui dès lors, se cramponnait à lui de tous ses muscles. La belle fronça légèrement ses sourcils, restant un instant en suspens à le dévisager. Sofya releva doucement sa croupe ; Akenos décela un filet de sang sur sa verge. L'ingénue passa lentement une main sur le mont de Venus ; Ses doigts si délicats s'en trouvèrent ensanglantés. De cela elle semblait étrangement satisfaite. La demoiselle redescendit sa croupe sur la queue d'Akenos, entamant une danse des plus con-sciencieuses. Sofya était en re-con-naissance, dans tous les sens du terme. - Dans toute l'essence du derme - Ses hanches dessinaient à présent des volutes, une danse aux cerceaux. Son sang s'écoulait de plus belle de sa membrane, éclaboussant le corps d'Akenos. La demoiselle paraissait ravie du spectacle. Elle se mit à donner des coups de hanches de plus en plus secs contre le ventre du gaillard. Le sang giclait partout : sur le sol immaculé, les jambes d'Akenos, sur chaque carcasse d'amant pourrissant dans l'âpre vérité des sous-sol voraces. Elle remonta son con au sommet de sa verge, à l'affut désormais des assauts du sorcier. Il lui attrapa les hanches et, affectueusement, pilonna son éminence charnue. Sofya chérissait cette impression de s'ouvrir, d'éclore de l'intérieur. La petite fleur qu'elle avait perdue semblait renaitre partout en elle. Etre femme, sans doute, c'était cela: se voir tout à tour éclore puis pulvérisée puis éclore de plus belle. Combien de vies possédait-on ainsi se demanda-t-elle, avant de venir téter le sein d'Akenos. Ce dernier semblait bien apprécier son art combinatoire des stimulis. Elle se redressa et plaça sa main sur le visage de cet homme répandu qui, du sol, contemplait la grâce géométrique de sa pilosité pubienne. Sofya signifia qu'elle reprenait les rennes de son grand canasson pour mener à bien le bouquet final. Et de redoubler ses mouvements de bassin autant qu'elle déchiffrait les sensations d'Akenos sur son visage. Sa main descendit dans la bouche du guerrier tandis que ce dernier malaxait les seins de sa belle. Bientôt, la jolie se trouvait à l'unisson du bellâtre dans l'avènement de la jouissance. Akenos jaillit en elle -avec elle- dans le grand fracas d'un orgasme simultané. Sofya sentit son amant se répandre en semence et saccades. Les spasmes de sa foune aiguisaient ceux de la lance du troupier qui sursautait de son épileptique jouissance. Une bain chaud semblait à présent couler dans le cerveau de ce gros tigre d'Akenos, quant à Sofya, elle avait des larmes de joie qui ruisselaient sur son petit minois. Elle descendit se blottir contre son homme-édredon. Elle raffolait sans fin de caresser sa peau. Il était sa contrée mystérieuse, son damier, son domaine, son désert d'or de jade et de safran. Akenos s'enroulait amoureusement au cou de sa reine. Une odeur insensée grimpait à chaque mur : telle une tenture; telle une fiévreuse alchimie d'âme et de chair. Sofya -groguie- ne voulait pas pour autant voir son homme s'assagir de si tôt. Elle profita de l'abandon d'Akenos à son plaisir, pour s'extraire lentement de lui. Du lait de son homme coulait de son vagin: le fourreau de Sofya baptisait l'épée d'Akenos de sa propre gerbe de miel. Tel un reflux de marée, Sofya rebroussa aux jambes du prince. Akenos sentit une sensation vive au sommet de son pic qui ne manqua pas de réveiller quelques braises folâtres. Il redressa la tête pour contempler la belle qui lui léchait son bien. Habitée d'une troublante ferveur, Sofya se badigeonnait les lèvres de son foutre. Elle relevait sa langue pour recevoir sa dose homéopathique de semence. La belle succube raffolait de sentir sa chair absorber les fluides du mâle. Sa langue vint signer à feu et à sang ce passage à la postérité de leurs postérieurs: Akenos sentit Sofya furieusement affairée à lui lécher son myosotis de dunes. Elle lui glissa un doigt comme une missive et, de son autre main, le branla frénétiquement dans sa bouche. Akenos -surpris- fit entendre son râle. Sofya s'arrêta un instant pour cligner ses jolis yeux de fouine. Akenos lui chopa la tête dans un réflexe félin. Elle résistait en souriant. Il la força de plus belle. Sofya serrait ses lèvres sur la pine du mâle histoire qu'il se consacre à lui baiser la bouche. Elle le fixait, s'amusait d'entrainer Akenos sur ce terrain salace. . Sofya se redressa nette. - Lève toi ! Lui lança-t-elle avec autorité. Akenos se redressa, piqué par ce ton qu'elle avait. Elle le projeta alors contre le mur. Le lascar, à son tour, l'attrapa par le collet et la mit de force à genoux. Il plaça sa queue entre ses crocs de chienne avide et l'enfonça profondément. La petite salope se félicitait intérieurement de la férocité naissante d'Akenos. Le pervers la laissa reprendre sa respiration. C'est alors que, du coin de l'oeil, elle aperçut des huiles précieuses placées soigneusement en rang sur une étagère. Akenos suivit son regard. Sofya s'était déjà redressée pour décapsuler une des bouteilles et se la verser sur le corps. Elle se laissa pétrir les seins par son amant. Sublimée de ce vernis nouveau, Sofya lui adressa un regard de feu. Elle s'accroupit, attrapa sa bite et la plaça entre ses seins qu'elle compressa fermement. Elle le branlait souplement de ses superbes mamelles. La sauvageonne s'interrompit un instant pour verser la bouteille dans sa paume avec laquelle elle entreprit de malaxer la verge. Ses doigts de femme badigeonnés s'aventurèrent alors obscurément vers son arrière train. Akenos frappa la visage de la fille avec sa queue tandis qu'elle se doigtait la raie de sa main huileuse. - ttention au tapis tout de même ! se permit Akenos. - punis-moi ! rétorqua Sofya. Toujours accroupie, elle se mit à uriner sur le kashmir.. Il la propulsa en arrière et vînt sur elle; la bascula de sorte que les chevilles de la meuf se calent de part et d'autre de ses épaules. Le sexe huileux d'Akenos glissa dans le cul de Sofya : Il s'étonna de ce rectum qui épousait si bien sa queue. Alors qu'il caressait ses entrailles, Sofya le gifla puis lui cracha violemment au visage. - plus fort que ça chacal ! Il l'attrapa au cou comme pour l'étrangler et commença à lui prodiguer une série de violentes fessées avec ses reins . Elle l'encourageait de tout son coeur, de tout le coeur de son cul, en vocalises lubriques. Le “barbarian” stoppa net sa progression et se retira. Sofya se redressa pour protester. C'est alors qu'Akenos la retourna pour la choper en levrette. Il la saisit par la crinière et vint percuter sèchement son derrière, avec un rythme martial. Plus il la baisait plus elle ruisselait de mouille et de ce sperme qu'elle contenait encore. Au dernier coup de trique, elle urina sur lui. Akenos se dégagea de son bouquet fleuri. L'arrière train de la belle ruisselait de fluides. Sofya apercevait son superbe cul dans le grand miroir qui semblait dressé pour elle. Pisse, mouille, sang, foutre, transpiration et huiles.. Akenos passa sa queue sur la raie de Sofya pour récolter sa propre semence puis entreprit de souiller les aréoles de la belle. Son pénis battait encore la chamade; tous ses réseaux veineux étaient tendus comme des arcs. Pris à son tour d'un élan de fantaisie décadente, il lui pissa au cou. Sofya plaça sa bouche sur la trajectoire du jet en guise d'ultime fusée pour le bouquet final . Enfin, les deux basculèrent chacun sur le flanc, absolument repus. Akenos contemplait le dos de Sofya. Il le trouvait étrangement expressif ; poétique ; émouvant. Il la caressa longuement dans le silence serein. - Je crois que je vais nous faire couler un bain, qu'en dis-tu ? Elle se mit à rire et vient l'embrasser sur la joue d'un baiser languissant et généreux. Il n'aimait rien d'avantage que ces baisers là, des papillons de sourires en plein soleil. Sofya bondit la première vers la salle de bain, puis après quelques mystérieux instants reparut. Akenos gisait toujours au sol. - Tu m'as bien ramoné les entrailles, ça mérite un petit cadeau ! Lança soudainement Sofya. Elle s'accroupit vers lui et le jeune homme découvrit avec stupeur qu'elle déféquait. Il esquiva partiellement l'assaut de la belle, troublé un bref instant par le spectacle irrésistible de son cul en seize neuvième. Sofya passa son pied nue sur le visage d'Akenos. - Allez, tu vas goûter ça ! Akenos se redressa violemment. Il s'était assoupi dans son bain. Sofya était en train de lui lécher l'orteil. - Comme au bon vieux temps, doux chéri ! Tu t'étais endormi dis-moi ? Akenos contemplait son épouse. Ils avaient décidé de fêter dignement leur vingtième année de mariage. - Te souviens-tu de la première fois où nous avons fait l'amour ? Demanda Sofya.. Ca me parcourt, encore vois-tu ! Ajouta-t-elle. - Et bien figure-toi que je viens de faire une rêverie assez salace à l'instant même !.. - Noooon ? - Si si ! Ils rièrent ensemble de bon coeur. Akenos plongea délicatement ses doigts champouineux dans la chevelure de sa femme. Elle ferma les yeux pour se concentrer sur ses mains qui, tant d'années durant, n'avaient jamais rien perdues de leur ferveur.. Elle se tourna légèrement vers lui. Il l'embrassa avec passion. Tout en éprouvant le baiser d'Akenos, Sofya caressa le sexe de son homme qui ne tarda pas à se raidir. Elle sortit alors du bain, et disparut dans le corridor. Akenos, perplexe sortit à son tour de l'eau. En arrivant dans son salon il découvrit avec stupéfaction une multitude de femmes dispersées ça et là, sur son lit, sur ses chaises, sur son bureau.. Jadis, Akenos se faisait passer pour un sorcier dans l'idée d'attirer les femmes. Il s'était fait prendre à son propre jeu en rencontrant Sofya, véritable sorcière quant à elle, de par sa descendance. - Sofya, mon amour, n'aurais-tu pas transformé à mon insu notre baignoire en marmite à sortilèges ?. - Les huiles parfumées ont parfois des vertus cachées ! Lui répondit-elle, amusée. - Quelle belle idée de cadeau nous fais-tu là petite voyeuse ! Akenos semblait évoluer désormais dans une sorte de rêverie hallucinée. Alors qu'il s'apprêtait à niquer, sous les yeux voraces de sa femme, la plantureuse rouquine qui s'épanchait sur son bureau, il s'aperçut que les demoiselles qui trônaient sagement dans son salon avaient, chacune, quelque chose de Sofya . Quelque chose de ses seins, de ses yeux, de ses jambes… Chacune d'entre elles se dirigea vers Akenos. En tête de cortège, la rouquine en robe noire s'approcha de lui, un sourire en coin. Ses opales aux grands cils semblaient lui sourire. Mais c'est d'un coup de genoux dans les parties qu'elle le salua. Les demoiselles entrainèrent leur esclave au sol. Chacune jeta son dévolu sur chaque extrémité de son corps: Tandis qu'une fille l'embrassait à pleine bouche, une autre lui suçait le sein, une autre encore lui léchait la queue et le cul. Akenos scrutait la jolie blonde qui gobait son orteil lorsqu'on vint s'asseoir sur son visage. Quand on interrogeait Sofya sur sa faculté à prendre toutes sortes de formes féminines, il lui était arrivé de déclarer qu'il s'agissait en réalité de ses soeurs illégitimes. Ses parents s'était unis dans un hôpital qui soignait la nymphomanie.ainsi que quelques cas isolés de cannibalisme. On ne l'avait jamais crue. A grand tord. Akenos lança son regard en direction des portes fenêtres. Chacune des femmes stoppa sa besogne, agitant sous ses yeux une petite clef en or qu'elles avalèrent tour à tour. Akenos se tourna alors vers sa femme qui lui déclara calmement. - Tu ne croyais pas que j'allais te laisser crever de ton cancer sans rien faire, tout de même ? J'en conviens, je te présente mes soeurs un peu tardivement.. Je n'ai plus de frère. Selon notre tradition millénaire, nous avons été tenues de les dévorer pour récupérer leur énergie vitale déclinante. Akenos resta interdit à ces mots. Sofya poursuivit. - Chéri, c'était une idée très romantique de projeter de te faire brûler sur un bûcher face à la mer. Seulement voilà: Très solennellement je t'annonce que chacune de mes soeurs va te faire un enfant, t'épuiser à la baise et te dévorer. L'heure à sonné, c'est ton ultime orgie.
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Par : le 27/02/21
La copine d'Huguette Encouragé par mes deux premiers succès, ne voulant pas gâcher des dons évidents, je me remis à l'ouvrage. J'appelai Huguette pour la revoir, toujours sous le charme. Elle n'était plus libre me confia-t-elle, avait déménagé, n'était plus intéressée par le BDSM, et n'avait rien ressenti – de quelconque façon à ses dires – lors de notre rencontre. Si je n'avais su lire entre les lignes j'aurais naïvement pensé qu'elle m'évitait ou avait été déçue. Ma grande expérience de la psychologie féminine me fit heureusement deviner, que, probablement par peur de tomber follement amoureuse, elle préférait une vaine fuite. Je dis vaine, car évidemment, je ne voyais pas comment son esprit eût pu se détacher de moi. Pas plus que son corps qui devait m'appeler chaque nuit . Gentleman, je n'insistai pas, la laissant toute à la pudeur de ses sentiments. Juste avant de me raccrocher au nez (assurément pour cause de forfait dépassé – tiens au fait c'est moi qui l'appelais …), elle me donna le numéro d'une amie, qui, disait-elle pourrait être intéressée, elle ( je cite ). Ah ces femmes , quels bijoux… Elle avait été si enthousiasmée qu'elle n'avait pu s'empêcher d'en parler à sa copine. Bon Prince je décidai de l'appeler . Evidemment cette dernière fut emballée et me donna rencart le jour même. Lorsque j'entrai dans le café, je la reconnu immédiatement. Sa paire de Rangers , son pantalon treillis très en vogue chez les femmes à cette époque me plurent immédiatement; je devinai vite qu'il s'agissait de masquer maladroitement sa fragilité, sa féminité… Et ce ne sont pas ses cheveux hirsutes et son maquillage outrancier qui allaient me faire changer d'avis. Pas plus que ses 15 bons centimètres de plus que moi, ni ses épaules de déménageur. Je mis sur le compte du tabac (elle écrasa son cigare dans le cendrier à mon arrivée en me dévisageant …) sa voix grave . _ Bonjour Madame, je … _ 'sied toi! Quelle économie de mot, et quelle concision; j'en était admiratif! Je saisis au vol cette invitation et pris place face à elle. _ alors c'est toi qui voulait dominer Huguette? Force était de constater que ma réputation m'avait précédé; je conçu une certaine gène (humilité quand tu nous tiens) devant ce compliment déguisé. Toujours cette subtilité du langage féminin… _ moi aussi j'aime la fessée... lâcha-t-elle en même temps qu'un rot qui fit se retourner même les plus habitués des lieux. Elle reposa sa bière en s'essuyant sensuellement les lèvres d'un revers de la main. _ ...mais je préfère la cravache, mon pêché mignon! J'étais sous le charme, nos goûts correspondaient à merveille. Savait-elle qu'elle était déjà perdue corps et âme? Son regard et un signe du menton m'indiquèrent la porte des toilettes où elle avait visiblement l'intention de me suivre; évidemment l'endroit n'était pas aussi romantique que j'aurais pu le souhaiter, mais son envie, son impatience eurent raison de ma pseudo réticence. En outre elle venait de me confier qu'elle avait tout ce qu'il fallait avec elle, dans son sac. Vraiment bien organisée cette charmante jeune femme, avoisinant les 70, 75 ans. Elle avait certainement tout prévu la coquine. J'en étais à bénir ma bonne fortune lorsque j'entendis la voix de ma belle à travers la porte: _ J'espère que t'a remis du PQ Pierrot , sinon je m'essuie sur les murs ! Les rires gras de l'assemblée me transportaient; elle savait y faire pour donner le change, et mine de crayon, me rejoindre. La porte s'ouvrit; elle était encore plus grande que je ne croyais. A peine entrée elle ouvrit sans un mot la porte des WC femme et me poussa dedans. Impatience quand tu nous tiens… De son sac elle sortit une magnifique cravache noire, un modèle assez court, avec un large embout en cuir. _ Baisse ton pantalon! J'en étais gêné! Voulait-elle passer à une gâterie tout de suite? C'eût été gâcher, je ne l'avais même pas encore fessée. Je fus rassuré quand elle me fit appuyer au mur, pantalon sur les talons; dans cette pause noble j'entendis (et surtout sentis!) le sifflement de la cravache s'abattre sur mon arrière train! Elle voulait vraisemblablement vérifier son bon fonctionnement avant de me la tendre. Visiblement dans le doute, elle vérifia une bonne trentaine de fois l'outil sur la partie la plus charnue de mon individu. Etrangement , dansant d'un pied sur l'autre, j'avais de moins en moins envie de la dominer. J'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas trop. Je sentais à son souffle court qu'elle fatiguait; cela m'arrangeait un peu à vrai dire… Quand elle eu fini, elle claqua la porte et sorti, me laissant le soin, me précisa-t-elle, de régler ses «4 bières descendues en t'attendant plus la tournée générale» qu'elle allait mettre sur mon compte. Je remontai sans hâte et avec une infinie délicatesse mon pantalon dont il me sembla soudainement que la matière était proche du gant de crin. Décidément ma carrière de dominateur se poursuivait aussi fort qu'elle avait démarré; j'en concevais une légitime fièrté , bien décidé à ne pas m'arrêter en si bon chemin. Quand tout vous sourit dans la vie , quelle extase ..
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Par : le 16/02/21
  Ce mercredi, j’arrive à me libérer plus tôt que prévu. Je sais que Maîtresse va me punir mais je supporterai car j’ai fauté par impatience. Tous ses reproches transpirent de ses directives et je m’incline humblement à ses pieds pour lui rendre l’hommage qu’elle mérite. «Déshabille toi et vite» me lance-t-elle sèchement. Un petit coussin m’attend dans le salon. Je m’agenouille, les yeux baissés, honteux d’avoir fauté. «Tu m’as déçu, tu n’as pas à aller voir ailleurs ce que j’écris. Je me suis senti épié» me dit-elle d’un ton qui ne présage rien de bon pour mes fesses. Maîtresse tourne autour de moi avec sa cravache qui tantôt caresse ma peau et tantôt la fouette avec l’effet de surprise que vous pouvez imaginer. Elle s'assoit  et me lance: «Allonge toi sur mes genoux».  Je m’empresse de lui obéir comme le petit garçon que je suis redevenu, Une fessée humiliante et douloureuse s’abat sur mes fesses qui se teintent bien vite ; je compte les coups. Ce n’est pas aujourd’hui que je contredirais Maîtresse. Comment fait-elle pour libérer autant d’énergie ? Je ne sais pas mais j’endure espérant que son pardon n’en sera que plus rapide. Elle m’inculque la patience méthodiquement en m’humiliant systématiquement. J’avais tellement envie de lire son article que je lui ai enlevé tout effet de surprise  en cherchant à le lire avant qu'il n'apparaisse enfin sur le site. Je ne cherche pas d’excuses tant mes torts sont évidents, elle m'avait bien dit  que ma place à ses pieds ici suffisait,  alors j’accepte sa punition, quelle qu’en soit la sévérité. Elle me fesse sur ses genoux  tel un petit garçon désobéissant et j' en mène pas large, je l' avoue...  La tempête semble s’éloigner. Je me retrouve à genoux. Maîtresse va chercher tous les accessoires pour me sortir bien féminisée. Je passe plusieurs jupes mais son choix reviens à cette jupe plissée  et  un chemisier noir. Un soutien-gorge et des faux seins viennent me donner la poitrine qui me manque. J’ai déjà mis des bas noirs et une paire de bottes avec talon aiguille vont   tenter  de féminiser ma démarche. Enfin, une perruque brune , ébouriffée, mais pas le temps de la démêler,  achève cette féminisation express. Maîtresse prend soin de moi et me fait enfiler une petite veste noire que j’apprécierais beaucoup dans cette fraîcheur hivernale. Nous quittons l’appartement et allons nous garer à proximité de l’Impérial, vaste palace entouré d’un jardin public. C’est en laisse, derrière Maîtresse que nous gagnons le jardin en traversant l’avenue assez passagère en cette fin de matinée. Je tente d’assurer ma démarche avec plus ou moins de succès. Je me sens un peu honteux et je n’ose regarder autour de moi. Il y aura bien assez de regards tournés vers nous et je n’ai pas encore l’assurance de les croiser. Maîtresse me tient naturellement en laisse et peu de passants semblent faire attention à notre  duo singulier. Rassuré, mon appréhension fait vite place à la fierté d’être ainsi si près de ma Maîtresse. Je ne pouvais alors imaginer que ma punition se poursuivrait ici. En plein lieu public.  Je dois m’installer à genoux sur un banc attaché à celui-ci par la laisse, les fesses face au Lac et bien en vue de tout le monde. Elle relève ma jupe et m’administre une nouvelle fessée qui me fait vaciller en avant. Humilié devant les promeneurs et joggers plutôt nombreux à cette heure-ci, je ne peux retenir des gémissements qui amplifient un peu plus ma honte. Après cet épisode cinglant, nous reprenons notre promenade. Maîtresse voit un arbre offrant une couverture naturelle et un branchage à hauteur d’homme à laquelle je me retrouve vite attaché. Seul regret, en cette saison, il n’y a pas de branche pour un fouettage en règle. Tant pis, ses mains et son énergie ne manquent pas de marquer à nouveau mes fesses et mon amour propre même si le bosquet nous met plus à l’abri des regards que sur le banc, le claquement de ses mains reste  bruyant... Je ne m’appartiens plus depuis bien longtemps et Maîtresse m’arrache des gémissements par la force de son autorité . Comme pour une fable de La Fontaine Maîtresse m’en tire une morale bien à elle : «La première fessée sur mes genoux comme punition, celle sur le banc pour un brin d'humiliation et la suivante pour m' assurer que la leçon soit bien retenue».   Leçon retenue, je vous l'assure Maîtresse ... 
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Par : le 13/02/21
Ecrire quand on ressent ce petit démon abîme mon estime de soi. Je me regarde dans ce miroir qui me renvoie une image grossissante. Ambiance musicale : https://youtu.be/kvHiflzabHg https://youtu.be/dCYtesyE7OA ******************************************************************************** Je me regardais dans le miroir. J’étais dans ce jour où je ne me sentais pas bien. Celui où je me trouvais grosse, où rien n’allait. C’est une dualité en soi. S’aimer ou regarder ce qui ne va pas. Depuis jeune il y a ce poids sociétal à la recherche de la beauté imposée des standards.. Taille fine, longue jambe, de magnifiques seins, cheveux.. des photos de catalogues qui sont tout.. sauf la réalité. Notre vie est faite d’imperfections. Choisir de vivre une vie par procuration est un mensonge. Apprendre à s’aimer, à s’accepter avec ce que nous avons. Jeune, je voulais être cette sportive de haut niveau.. La vie en a décider autrement. Une opération du dos a enterré cet avenir rêvé. Il est dur de se relever quand on a modifié votre corps. Savoir que plus rien ne sera comme avant. On vous met des broches le long de la colonne vertébrale, vous serez à jamais droite et il va falloir veiller à ce qu’on décide de faire comme sport. En somme, on m’a interdit tout ce qui aurait pu me faire rêver..L L’équitation, la danse, le canyoning, les sports à sensation.. Et là, les plus bienveillants vous parleront.. De la piscine.. Eh oui c’est bon pour le dos.. Ainsi, j’ai vécu avec cette terrible frustration tout en recherchant cette perfection des magazines.. Au fond, il aura fallu un événement triste pour comprendre que ce n’est pas cela vivre.. Juste accepter qui l'on est. J’ai commencé à apprendre à m’aimer, à accepter mes imperfections, à travailler sur ce que je pouvais travailler. Mais il y a cette dualité en moi, celle qui se déteste et celle qui s’aimait. Nous sommes tellement intransigeant avec nous même. On s'insulte des pires maux. Ces derniers temps je passais mon temps à me rabaisser, insatisfaite de mon corps, de ma prise de poids. Le confinement jouait sur mon moral et là… je ne me sentais pas bien. - Hâte de te voir ma belle, m’envoya t il par texto. - Moi aussi… Des fois je me demandais comment il pouvait me désirer alors que j’avais tant d’imperfections. Le démon en moi s’amusait à me culpabiliser. J’entendis la porte s’ouvrir, j’étais posée calmement sur le canapé à profiter du feu de cheminée tout en ruminant. Le petit démon me parlait. Il rentrait du travail bien tardivement. Nous aimions que chacun ait son propre chez soi. Cela nous laissait toujours plusieurs possibilités.. de se voir ou de profiter de nos envies d’être seuls. Il s’avança vers moi et m’embrassa tendrement le front. - Je n’aime pas te voir la mine morose ! J’étais fatiguée, je portais cette robe de chambre si confortable et réconfortante. Celle que je mets à chaque fois que j’ai ces baisses de moral. Il me connaissait par cœur. - Allez lève toi ! Je n’avais aucune envie de me lever. - Lève toi ! Il m’envoya son regard le plus ardent qui soit. Ses yeux était plein de désir. Celui qui vous donne le sourire alors que vous avez envie de pleurer. Sa bienveillance et son aura m’apportait la protection dont j’avais besoin. Il connaissait la femme sur d’elle, mais aussi cette femme-enfant, avec cet air vulnérable qui attendait qu’on s’occupe d’elle, d’être dorloter. Il me plaqua contre lui avec une telle tendresse. Il prit possession de mes lèvres. Nos doigts s’entremélaient. - Avance, va dans la chambre. Il me suivait. J’allumais la lumière. Il me força à me mettre devant le miroir. Il se tenait juste derrière moi. - Enlève ton peignoir. Je me retrouvais ainsi nue. Je détournais le regard. Je sentais son regard sur moi à travers le miroir qui était juste en face de moi. - Maintenant regarde toi. Je baissais les yeux, ne voulant pas voir mon image. Je me sentais si moche. Je voyais mes grosses cuisses, ma cellulite, mon ventre horrible. Il se saisit par la gorge avec sa main puissante. Cette étreinte me rendait folle. Il me poussa légèrement en avant pour m’approcher du miroir. - J’ai dit.. regarde toi ! Je le regardais à travers le miroir. Il m’observait. Avec son autre main, il se dirigea vers mon sexe. - A moi ! Tu es à moi. Crois tu que j’ai mauvais goût ? - Réponds ! - Non murmurai-je. Il commença à me caresser. Je fermais les yeux face à cette délicieuse caresse. - Regarde moi te caresser. Regarde moi t'aimer. - Regarde combien j’aime donner du plaisir à celle qui incarne la féminité, la beauté à mes yeux… - HUmmm… hummm.. je pinçais mes lèvres. Il plaqua son sexe contre mes fesses. - Tu sens combien je te désire. Arrête de douter de toi. - Caresse tes seins, montre moi combien ils sont splendides. Je commençais alors à caresser mes seins. Il savait que je les trouvais beaux. - C’est ça… maintenant dresse tes tétons… Pince-les.. - Ohh mais que se passe t il.?. tu mouilles.. Je rougissais.. En quelques secondes il avait réussi à me sentir désirable. - Voilà c’est ça, pince les bien… - Regarde toi, j’ai dit ! Il continuait à me caresser savamment, et serrait de plus en plus fort ma gorge. - Ohhhhhh…. Ohhh.. Je gémissais tellement c’était bon. Il me forçait à me tenir droite pour me regarder pendant qu’il me caressait. Il savait que j’avais du mal avec mon image. - Si je dis que tu es belle… tu écoutes ! Ohhhh… ohhhh… ses caresses étaient si envoutantes… je commençais à plier mes jambes.. Je laissais tomber ma tête en arrière tout en continuant à le regarder me masturber. - C’est ça ma belle… aime toi… caresse toi. Il prit ma main pour la placer sur mon sexe et poser la sienne sur ma mienne… - Hum que tu es belle ainsi… en train de te donner du plaisir, de t’aimer… - C’est bien.. me murmura t il.. ma petite chienne… tu es belle. Si tu pouvais voir avec mes yeux… tu ne te dévaloriserais pas. Je t’interdis de te dévaloriser. Compris.. - Va te mettre à quatre patte , tête face au miroir. Je me doutais qu’il voulait me forcer à regarder, là où je détournais le regard. - Observe toi… Il passa sa main sur mes pieds, sur mes jambes… il remontait mes cuisses… - Chaque parcelle de ton corps a sa beauté. Elle mérite d’être honorée. Tu mérites d’être honorée. Si tu n’avais pas cet état d’esprit, cette personnalité, tu pourrais être une beauté sans âme. Ses caresses étaient des plus douces. - Regarde toi ! Je le voyais chercher dans l’armoire le paddle. - Maintenant, je vais te punir de douter de toi. Tu le mérites, et tu le sais.. - Je… - A chaque coup, je veux t’entendre dire.. je m’aime, je suis belle… Tant que je ne serai pas satisfait, je te punirais. Je pinçais à nouveau mes lèvres. Il commença par caresser mes fesses. Je voyais dans le miroir la fessée que j’allais me prendre.. Le premier coup s’abattit. Il me regardait à travers le miroir.. - Ahhhh…. … Je m’aime.. je suis belle… Merci. Ce premier coup était fort.. Il continua avec un second.. je tentais de me dérober. - Redresse toi, regarde toi. Je t’interdis de détourner ton regard… Tout en me tenant par la gorge, un nouveau coup. - Aiieee… Je m’aime.. je suis belle… Merci… Il caressait ma fesse… Puis sans attendre me donna un autre coup.. - Je m’aime, je suis belle… Merci… Monsieur.. Il me fit comprendre par sa punition son envie que je sois bien. Il me donna plusieurs coups avec différente intensité. Au dernier il avait sa tête à ma hauteur. - Merci… monsieur.. je m’aime je suis belle.. - Oui.. tu l’es ! - Hum j’aime te voir ainsi… Sublime, reine..ma reine. Il caressa mes cheveux, ma bouche, ma joue. Il griffa mon dos . - Mets toi à l’aise.. sur le dos… Je reviens. Il avait réussi à changer mon état d’esprit. Il me délaissa quelques minutes. Quand il revint dans la chambre, il passa sa main sur ma bouche. J’entreouvris ma bouche et il inséra son pouce. Je ne pus m’empêcher de me délecter de le sucer. C’est là qu’il remplaça son pouce par une fraise.. il me surprit… Tellement inattendu, je savourais… Puis une seconde. - Gourmande…dit il en souriant Il me tira pour mettre ma tête au bord du lit. - Maintenant tu vas regarder tête en bas, dans le miroir… Je vais te prendre par la bouche. Je veux que tu te regardes. Que tu regardes combien je t’aime, et que la chienne qui est en toi me rend tout aussi fou. Il plaça sa queue sans aucun ménagement dans ma bouche. Il était debout et regardait aussi le miroir.. - Je l’entendis râler de plaisir quand je le pris dans ma bouche. - Hum que j’aime ta bouche.. Il faisait des mouvements de va et vient. Il me surveillait en train de regarder. Je regardais, je nous matais. Il en faisait de même. Il me regarda et me dit.. - Doutes tu de ta beauté ? de toi? Je lui fis comprendre que non… Avec lui, je me sentais la plus belle., sure de moi. Il se retourna et pris de pleine main ma gorge.. et il serra. - Ne doute plus ! compris.. Je te baise aussi fort que je peux te trouver magnifique ! J’adorais sa main sur ma gorge, cela me rendait folle. Il Glissait encore plus loin sa queue dans ma bouche… Il prenait son temps… Puis il saisit mes deux seins. Il les tenait bien fort, il les malaxait, puis les maintenait comme dans un étaux… - Ooohhh…. Ohhhhhh.. c’est ça ;.. suce bien.. regarde comment elle rentre…. Une fois qu’il eu stopper de me prendre, il se mit à califourchon sur moi. Il me couvrait de baiser, il me léchait le corps. Prenant de pleine mains mes seins il titillait, mordait, suçait mes seins. Je l’enlaçais. Il prit mes poignets et les maintenant de part et d’autres de ma tête. - Je n’aime pas te voir ainsi, douter. Chasse tout cela. Sinon, je vais devoir te corriger encore et encore et de plus en plus fort. Je lui souris..Il me souriait - Je sais que tu as raison, c’est dans ma tête, un état d’esprit.. je suis désolée.. C’est plus fort que moi. - Je suis là.. à tes côtés. Tt sais ce que je pense de toi, mais il n’y a que toi qui peut enlever cet état d’esprit à te dénigrer. Il me retourna sur le ventre. IL tira sur mes jambes pour me mettre au milieu du lit. Tel un tigre, il me mit à nouveau à quatre pattes. Il me pénétra la chatte. - Redresse toi. - Voilà…. La main sur la gorge tout en me mordant il me faisait l’amour.. D’une intensité si douce. - Regarde nous.. regarde … Je souriais encore et encore - Ahhh…ahhhh…ahhhh Je sentais ses coups vigoureux - Ahhh… ahhhh… ahhhh… TU me rends si fou… Il se releva, et tira sur mes chevilles pour m’amener à lui au bord du lit… - Humm Cette vue… Il me doigta profondément… - Ohh…. Ohhhh… Ouiiiiiii gémissais-je. Il s’approcha pour me regarder droit dans les yeux. Mes cris s’évanouissait dans sa main qu’il avait placé sur ma bouche. Ses va et vient rapide, je me dandinais pour apprécier ses caresses. J’étais au bord de la jouissance. Je commençais à jaillir de ma fontaine intime. - Hummm oui.. C’est ça.. tu aimes ça Je hochais la tête pour dire oui.. Mes yeux se révulsaient de plaisir frénétique. Il m’acheva en me pénétra. Il releva mes jambes et les resserra contre lui. Je me sentais si combler, si heureuse… Je sentais sa jouissance arriver rien à l’intensité de ses coups. - Rahhhhhhhhhh… Il était si beau quand il jouissait. Je le regardais. Ce moment où il lâchait tout… Ce moment où il tenait fermement mon sein que j’avais la trace éphémère de ses mains. Il se retomba sur moi. Il transpirait. Je le voyais haletant. Il posa sa main sur ma gorge et m’embrassait… - Je t’aime.
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Par : le 08/02/21
Que faire lorsqu'on est loin de l'objet de son désir ? Comment pratiquer une relation D/s à distance ? Dans cet article, je vais répondre à quelques questions que vous vous posez certainement. Sinon, vous ne seriez pas là ! Je vais commencer par analyser les besoins de chacun et comment y répondre au mieux. Et oui, dans une relation D/s chacun a un rôle à jouer. Accepter ce rôle, c'est s'engager dans une relation qui apporte bien plus que du plaisir sexuel. Je ne vais pas vous livrer un guide pratique à suivre pas-à-pas vu que chaque relation est différente. Par contre, je vais vous aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête et le corps des protagonistes. Et cela vous permettra de mieux vivre votre relation à distance. 1 - Chacun ses besoins ! Que l'on soit le D ou le s de la relation D/s, le S ou le M du mot SM, l'exhibitionniste ou le voyeur, chacun a des désirs différents. On en connaît la plupart, on s'imagine les autres mais quoi qu'il en soit, les voir en vidéo sur le net ou imaginer la scène nous met en émoi. Si certains signes physiques sont immédiatement reconnaissables (bander ou mouiller), c'est parfois plus discret et subtil, comme le fait de se mordre la lèvre inférieure. Mais attention, une excitation ne signifie pas forcément que l'on a le désir de concrétiser cette pratique. On peut être excité à regarder une personne attachée, suspendue dans le vide alors qu'on est soi-même sujet au vertige. On peut se masturber devant des vidéos de couples "jouant" avec des aiguilles et en avoir un peur bleue au point de s'évanouir à la vue d'un vaccin anti-CoVid. Il ne faut pas confondre fantasme, désir et envie. Je vais simplifier à l'extrême alors inutile de venir lancer un troll sur l'emploi que je fais de ces trois mots, on s'en fout, ce n'est pas le sujet de l'article. Et comme je n'ai pas la prétention de savoir parler français mieux que vous, je vais utiliser des gros copier-coller du dictionnaire de l'Académie Française. - Le fantasme : Issu de la psychanalyse de Freud, c'est une construction imaginaire, consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s'y met en scène, d'exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse. Le mot clé, c'est imaginaire. Ce n'est pas réel ! C'est comme un rêve, éveillé ou pas. On s'imagine dans une situation et le cerveau sachant très mal faire la différence entre le réel et l'imaginaire, prend son pied comme si on vivait vraiment la situation. Et comme ça vient de Freud, le fantasme a forcément une connotation sexuelle. Le fantasme : c'est sexuel et dans la tête. (Non, c'est pas une fellation !!!) - Le désir : C'est l'aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente. L'aspiration instinctive de l'être à combler le sentiment d'un manque, d'une incomplétude. Tendance consciente de l'être vers un objet ou un acte déterminé qui comble une aspiration profonde (bonne ou mauvaise) de l'âme, du cœur ou de l'esprit. Instinct physique qui pousse l'homme au plaisir sexuel, aux satisfactions des ardeurs de l'amour; convoitise qui pousse à la possession charnelle. Ici, on se rend compte que l'on sort de l'imaginaire pour y associer la notion de manque et surtout le besoin de le combler. Le désir : c'est le besoin de combler un manque sexuel. - L'envie : Petit filet de peau à la racine des ongles (si, si, c'est dans le dico). Plus sérieusement, l'envie est un besoin, désir plus ou moins violent. C'est éprouver le désir sexuel pour une personne. Le désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Dans l'envie apparaît la notion d'appropriation, de propriété et aussi une notion péjorative, celle de faire du mal à quelqu'un. L'envie : c'est le besoin de prendre du plaisir. Au final, une relation D/s, ce sont d'abord des fantasmes. Quelque chose qu'on a en soi et qui demande à s'exprimer. Puis on se focalise sur ses désirs, on cherche à combler un manque et on finit par éprouver du plaisir et avoir l'envie d'en avoir toujours plus. Et cette définition s'applique pour les deux parties, que l'on donne ou reçoive, que l'on prenne ou subisse, que l'on s'offre ou reçoive. Nous n'avons pas les mêmes besoins que les vanilles. Nous avons d'autres fantasmes, d'autres désirs et d'autres envies. Nous cherchons à répondre à d'autres besoins. Et pourtant il y a un besoin commun dans tout ça : celui d'être en accord avec soi-même. 2 - Les inconvénients de la distance Il y a plein de choses totalement impossibles à distance : attacher, fesser et tout simplement, le contact physique. C'est particulièrement ennuyeux pour une soumise qui aime se laisser aller. Elle peut attendre tant qu'elle veut à côté de sa corde, elle ne va pas s'attacher toute seule ! Mais le pire reste tout de même le manque de proximité. La seule présence de son Maître rend la soumise docile. Son aura se manifeste par sa présence physique à proximité de sa soumise. Il est là et occupe un espace, à une distance socialement inacceptable pour toute autre personne. Il est là à portée de main, il est visible, son odeur est perceptible, sa voix relaie ses ordres. Ce n'est pas un fantasme, il est là, en chair et en os. Où est le plaisir de la caresse sensuelle, du claquement sec du fouet contre la peau, le contact de la peau, la souplesse d'une paire de fesses qu'une main raide vient frapper ? Où est la chaleur du ventre de ma partenaire, qui réchauffe mes cuisses quand je lui donne une fessée ? Où est la joie d'être chatouillée par une plume et de ne pas savoir la direction qu'elle va prendre ? Et puis, c'est affreusement impersonnel. Il manque le regard. Les yeux en disent bien plus long que n'importe quel roman quand on parle des choses du cœur. Ils sont le reflet de l'âme, dit-on. Une larme chaude fait basculer le monde durant une session intense. Bref, la distance, c'est nul, on ne peut rien faire. Il manque tout ce qui fait une relation D/s. Il n'y a ni proximité ni toucher. L'abandon et la surprise sont aux abonnés absents, quand c'est pas les parties prenantes qui ont toujours la mauvaise idée de passer sous un tunnel au mauvais moment (surtout avec l'internet fixe de la maison). 3 - Faire de la distance un atout J'ai déjà entendu que "de nos jours, dominer à distance, c'est facile : une application d'appel vidéo et c'est parti, mon kiki !" C'est con, mais c'est vrai. Ce n'est pas la distance qui va faire qu'une relation est pourrie, c'est le manque de communication. Et de nos jours, grâce à internet, la communication est immédiate. Vous vous rappelez que dans ma première partie, je vous ai dit que le cerveau avait du mal à faire la différence entre le réel et l'imaginaire ? Et si on en faisait un as dans notre manche ? a - Démarrer ou poursuivre une relation à distance Quand on débute, la distance, c'est super sécurisant ! On peut rester anonyme, ne jamais montrer sa tête, se cacher derrière un pseudo : "Maître Dominant" ou "Soumise Obéissante". C'est très pratique pour changer de sexe sans avoir à subir ni l'opération ni les frais qui en découlent. Et c'est ultra sécurisant, vu qu'une simple pression sur le bouton off met fin à toute conversation un peu trop chiante. Ca permet de discuter avec des fous ou des gens biens et d'avoir le temps de se rendre compte s'ils sont de la 1ère ou 2ème catégorie avant de penser caresser l'espoir d'une hypothétique rencontre. Et oui, la distance : c'est la sécurité ultime ! Et c'est aussi le meilleur moyen de découvrir quelque chose de nouveau. Que l'on soit dans une relation depuis 30 ans ou complétement novice, il y a toujours une pratique que l'on ne connaît pas, mais que l'on désire essayer. On a fantasmé beaucoup dessus et maintenant, il est temps de passer à l'acte. Ou plutôt de se renseigner avant de prendre une telle décision et ne pas la prendre à la légère. La distance, ça permet d'aller à son rythme, de s'apprivoiser et de se rassurer. b - La valeur variable de l'engagement La distance permet la consommation de masse et éviter l'attachement. On peut se trouver un partenaire pour une session rapide en quelques minutes sur certains sites de chat spécialisés. Deux ou trois ordres et deux orgasmes plus tard, on se quitte bons amis et on se promet de recommencer, en sachant pertinemment que non. Ben ouais, physiquement c'est pas mon genre mais pour dépanner, ça le fait. Et bien entendu, une relation à distance, ça permet d'éviter l'adultère tout en ayant une vie sexuelle ! Obéir à quelqu'un qui n'est pas là, c'est avoir la volonté de lui obéir. Car il ne faut pas se leurrer : la soumise est bien consciente que le dominant ne peut pas se lever, l'attraper par les cheveux et la forcer à quoi que ce soit. La soumise obéit donc à son besoin de soumission. C'est la réponse à un désir. Cela vient combler un manque. Dès lors, il n'est pas étonnant qu'elle accepte de faire des choses aussi dégradantes ou aussi douloureuses pour son Maître. Qui lui assouvit son envie de dominer. La fessée a distance c'est complètement absurde quand on y pense. Se taper dessus, soi-même, pour se punir de n'avoir pas respectée une règle édictée par quelqu'un qui n'est pas présent... bienvenue dans le monde de Pierre Dac (ou des Monty Python pour ceux qui ne connaissent pas leur mentor). Et pourtant, dans presque toutes les religions, il y a des exemples d'auto flagellation pour expier ses fautes devant sa divinité. Serait-ce une marque de soumission ultime ? c - Comment faire durer une relation à distance : Parlez-vous ! Dans notre monde de télécommunication instantanée, on a la possibilité de se parler à l'autre bout de la planète... et pourtant, les échanges sont souvent stériles. Un D ou un s, c'est une personne ! Et il n'y en n'a pas deux identiques sur la planète. Même les jumeaux ont des goûts différents ! Dès lors, on ne doit avoir aucune certitude envers sa partenaire. Et puis les gens ont des humeurs en fonction du pied par lequel on se lève. Je peux avoir une envie terrible de fellation le lundi mais pas le mardi (ma soumise vous dira le contraire mais c'est juste pour l'exemple). La communication, c'est la base. Il faut se comprendre mutuellement pour que ça marche. Prendre des décisions pour sa soumise, c'est bien mais prendre de bonnes décisions qui vont la faire progresser, c'est mieux. Par exemple : la priver de dessert, c'est utile. Elle déteste le fait de ne pas pouvoir manger son délicieux gâteau mais dans le fond, elle sait que c'est pour son bien et le fera avec plaisir et surtout avec fierté. Et l'obliger à faire des choses qu'elle affectionne particulièrement, c'est la cerise sur le gâteau. Imaginez maintenant l'effet d'un ordre comme : obligée de se masturber tous les soirs à 22h17 ! Il faut savoir ce que votre soumise désire profondément. En apparence, c'est facile, surtout quand on lit un profil ou une annonce. Mais en fait pas du tout. Examinons un échange de message : - "Soumise aime être insultée et humiliée..." - "Salut sale chienne, prosterne-toi devant ton Maître" - "Va chier connard, chuis pas ta pute !" Et oui, elles sont loin mes premières expériences, mais je m'en rappelle encore ;-) Pendant longtemps, j'ai ressassé cet échec cuisant sans comprendre : je l'ai insultée et humiliée direct ! Qu'est-ce qu'elle voulait de plus ? Simplement qu'elle légitime la personne qui la rabaisse. En ce qui concerne les sentiments, on a souvent du mal à les exprimer. Et n'oubliez jamais que la communication est à deux sens. Cette analyse de la relation D/s à distance m'a permis de montrer qu'elle répond essentiellement aux besoins des protagonistes, aussi différents soient-ils. Et que si la distance peut-être vue comme un inconvénient majeur, elle peut également devenir un atout par la sécurité qu'elle apporte, par l'intensité de l'engagement qu'elle engendre et par les infinies possibilités de communiquer qui existent aujourd'hui. Ma soumise me dit souvent que j'arrive à mettre les mots justes sur ce qu'elle ressent. C'est sans doute pour ça qu'elle est toujours avec moi ;-)
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Par : le 05/02/21
#Anduze Jamais joui autant que cette nuit-là. Et encore, je pense que j’aurais pris beaucoup, beaucoup plus. Quand tu m’as mis tes doigts là, au fond de la gorge, je sentais un peu ; un peu de douleur ; un peu de mal à respirer. Mais je crois j’aurais voulu ça force 12. Et que tu me glisses trois doigts dans l’anus. Sentir les tissus s’élargir et qu’il y ait un peu de sang, et que les claques pleuvent, pas forcément au moment où je m’y attends ; que la douleur vienne un peu par surprise. On s’est mis d’accord. Le jeu s’arrête quand l’un des deux dit stop. Mon jeu dans le jeu c’est de ne pas dire stop, de te laisser aller hyper loin, trop loin. De t’étonner que j’encaisse, que j’en redemande, de la domination, des claques, des pincements de nez, des doigts dans la gorge et le cul, des fluides corporels, des poils dans la bouche. Une brûlure ? Tu vois je crois je regrette maintenant. Quand j’y pense la brûlure aurait été plus radicale dans la douleur. Ca t’aurait fait peur et à moi aussi, mais pas longtemps. J’en aurais peut-être redemandé ;) Tes doigts s’enfoncent et restent bloqués dans ma gorge, bien rentrés, et je commence à avoir des hauts-le cœur, à étouffer. Si t’arrives à faire durer ce moment, à être cruelle quand je te le demande, à m’étrangler en fait, je ressens un peu d’éternité et de sérénité. J’aimerais que cet instant dure, dure. Qu’il dure putain et que je sente ma bite prête à exploser, ta sueur et ton crachat dans mes yeux mon nez ma bouche, ton sexe dans ma bouche, allers-retours sexe périnée anus, en s’attardant sur l’anus ou dans les plis du vagin, doucement, pour ne pas t’irriter. T’as la peau douce, et un peu moins à certains endroits. Ma langue voudrait lécher vulgairement tout ton corps ; comme un chien en fait, comme un clebs à sa maman pute. Je pense que je boufferais des caillots de sang si t’avais tes règles aujourd’hui. Je boufferais de la merde, si t’étais pas propre. Les marques sont apparues, plein de marques sur le visage, l’arcade un peu enflée, tout le visage endolori, quoi. Une gêne dans la gorge, etc. Ca m’est déjà arrivé. Une fois je me suis fait défoncer par un vigile tchétchène dans une boîte, à Rouen. Un dingo. Le mec ultra-violent, un Tchétchène. Genre Orange Mécanique mais à la tchétchène, tu vois ou pas ?… Bref, et puis, plein d’autres fois je me suis un peu battu dans les bars. Pas beaucoup en fait, parce que j’avais peur de perdre ma gueule et je m’arrêtais avant. Je n’ai jamais eu de plaisir à me faire frapper par des mecs. J’aime pas trop la violence en fait. Juste, en moi il y a ça – un besoin de me faire violer par toi, comme quand je me tapais avec mon père, comme les garçons qui m’ont obligé à les sucer, ado, comme… quoi ??? Ca vient d’où, ça ? C’est quoi en fait ? Masochisme ? C’est ça ? J’aime pas ce mot, ça fait penser à des vieux déguisés en soubrette et qui reçoivent des fessées. Ou au minitel rose, un truc que t’as pas connu. Ce dont j’ai envie n’a rien à voir avec ça. Il n’y a pas vraiment de codes, c’est juste une envie de se faire démonter la gueule par une belle femme, par toi ou par une autre mais par toi c’est mieux en fait. Je pourrais ne pas te respecter ; mais j’ai tellement envie de ta violence et de ton cul que je suis obligé de te respecter. Je suis obligé de te prendre en compte, de regarder tes yeux et de mettre les miens bien au fond pour te dire juste : encore, encore, claques, doigts, nez, gorge. Etrangle-moi pendant que je me branle et que je te caresse délicatement. J’en ai tellement envie que je suis obligé de prendre en compte tout : ton appartement bourgeois de merde, ton style de parisienne ++, tes yeux avec ces lunettes qui te mettent pas trop en valeur. T’as une myopie de ouf, non ? Les lunettes signifient : en fait là j’ai même pas envie de séduire. Et quand j’aurai envie, ça aura de la gueule, mais tu seras peut-être pas là .Et puis l’intelligence. Parler vite, réfléchir vite. Avoir des opinions certes un peu brouillonnes, mais sur tout. La situation est toujours en ta faveur. Petit côté baronne. En fait t’es juste un peu au-dessus. Pas très au-dessus mais tu domines. Vas-y, putain, mais mets-y les poings si c’est ce que je demande. Il faut que j’aie mal, que ça fasse putain de mal, que je sois juste un déchet, que j’aie des bleus, les lèvres ouvertes, l’arcade déformée. Que je ressemble à une femme battue et que j’aime ça. Mets-moi des coups de latte et suce-moi. J’espère qu’à Pékin tu trouveras des mecs à frapper. Tu fais ça si bien (smiley clin d’œil). Tu fais ça comme si t’aimais le faire, comme si frapper un mec (=le castrer) te remplissait l’âme. De joie, d’excitation, de profondeur. On dirait que tu frappes par éthique. Comme si ton rôle ici-bas était de le faire et de le faire bien. Un peu par devoir de fille-maman-épouse qui doit bien s’acquitter de son devoir conjugal parce qu’elle est quand même socialement dressée à ça. Pas à frapper, mais à rassurer, à être attentive, à être dévouée aux mecs. Sauf que là t’as bien vu que je voulais que tu t’occupes de moi en cognant, que ça me rassurait. Alors bon,pourquoi pas. Aussi parce que ça t’amuse. Tu peux y prendre goût. C’est probablement pas ce que tu préfères, mais bon ça te dérange pas. C’est quand même un sacré ramonage d’égo, frapper quelqu’un. C’est de la puissance en barres. C’est la loi du plus fort, la sauvagerie, la jouissance pure en fait. C’est transgressif mais là on a le droit ? Putain mais c’est clair, t’aurais eu trop tort de t’en priver. Ca arrive jamais ça. Tu m’as fait jouir, mais tu t’es fais du bien aussi. Ta chatte a dû ronronner toute la nuit, non ? Faut dire, j’ai essayé de la faire à l’ancienne. J’ai sorti mon sexe et te l’ai fourré en pleine montée. Ca a duré quoi ? C’est des secondes ou des minutes ? Je sais que c’est pas des heures. Mais quand même, pas mal de temps est passé. De 3 à 10 heures. A Pékin, tu sortiras avec un chinois, des chinois, des chinoises ? Est-ce que cette société l’autorise ? Est-ce qu’on peut s’y amuser ? En fait j’ai presque envie que tu me racontes Pékin. J’ai pas trop envie de quémander ton amitié, tu sais ? Mais bon se faire frapper autant ça rapproche. J’en arriverais presque à supporter ta classe sociale, ton mépris de classe pourvu que tu restes un peu intelligente. La bêtise de droite… Enfin bon bref, on s’en fout. Quand tu seras à Anduze, tu m’enverras un texto ? Est-ce qu’il y a : smiley qui étrangle ? Ca existe ou pas ? Smiley djihad LOL. Bon, tu m’enverras une lettre alors ? Une réponse ? Des mots qui jouent à dire des trucs ;-))
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Par : le 03/02/21
Quand Votre main s’élève au-dessus de mes fesses J’aime Mon Maitre, le phrasé somptueux Quand, malicieusement, nous goûtons à ces jeux Et que claquent dans l’air Vos viriles caresses. Vous délectant de ce désir que je confesse Moi votre soumise aux yeux bleus Vous Vous plaisez à m’offrir votre courroux délicieux M’administrant la correction dont je vous presse. Le 26 05 2011
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Par : le 02/02/21
Je vous attends, à genoux, mains posées, paumes ouvertes, bandeau sur les yeux. Je suis face à la porte que j'ai ouverte peu de temps avant l'heure de notre rendez vous. Mon coeur bas la chamade par l'excitation de vous rencontrer enfin. Par l'envie de vous servir et de vous sentir. Sentir votre puissance sur moi, sur mon corps. Je vous entends vous garer, la portière claquer, et franchir la porte d'entrée. Je me redresse pour mieux vous offrir mes seins. Vous êtes face à moi, j'entends votre souffle, vous m'observez je le sens. Vous vérifiez que tout soit en place et à disposition. Puis enfin vous vous approchez de moi. Vous vous saisissez des pinces tétons que j'ai posées à côté de moi. Vous prenez un premier tétons en main pour le faire davantage durcir. Ils le sont déjà par l'excitation. Vous posez la première pince et serrez jusqu'à ce que je réagisse... vous mettez ensuite la deuxième pince de la même façon. Mes tétons me brûlent, que c'est bon. J'avais perdu le goût de cette sensation. "Ouvres la bouche !" Je m'exécute et vous passez votre sexe sur mes lèvres et me le faite sentir, puis vous me pénétrez violemment la bouche avec. J'en étouffe presque. Puis vous me baisez la bouche ainsi quelques minutes. Vous stoppez au fond de ma gorge que vous forcez petit à petit, jusqu'à mettre tout au fond votre sexe durcit encore par l'excitation. Vous me laissez ainsi, suffocant, sans respiration et vous retirez. Je prends une grande inspiration sonore, puis petit à petit je retrouve mon souffle. Vous saisissez ma laisse et me faites marcher à 4 pattes dans le salon où nous nous trouvons. Vous savez que je déteste ça, peu importe... Vous me ramenez face à la porte, me faites monter sur un pouf à disposition. Vous me posez le baillon boule que j'ai laissé à porté de main. J'adore cet accessoire que j'ai longtemps abhorré. Vous faites le tour de mon corps et vous m'administrez une fessée puissante, claquante, vibrante ! Je manque de tomber du pouf. Vous malmenez ainsi mon fessié pendant quelques minutes, alternant vos mains, la cravache et le martinet. Je gueule de douleur mais ne peut pas prononcer pas le safeword, que je n'aurai de toute façon pas prononcé, tellement le plaisir est intense. Vous me laissez ainsi, le souffle court, et vous installez dans le fauteuil. J'ai mis à disposition votre boisson préférée. "Viens me masser les pieds Chienne" Je descends de mon pouf, me sachant la vue entravée, j'avais mis tous ce dont nous aurions besoin près de moi. Vous me retirez le baillon couvert de ma bave. Je saisi l'huile de massage et avant de commencer, je baise les pieds de Monsieur, mon mâle à vénérer... Je prends mon temps pour faire en sorte d'apporter à Monsieur le bien être qui lui convient. Je masse ses pieds consciencieusement, en appuyant bien sur la plante pour un meilleur effet. J'attends que vous me donniez un nouvel ordre avant d'arrêter. Vous vous levez et vous approchez de mon visage pour me faire sentir votre sexe, le frotter sur mon visage pour me faire sentir votre puissante virilité. Vous saisissez ma laisse pour à nouveau me faire marcher, cette fois jusqu'à la chambre, dont je vous avais indiqué la place dans la maison. Vous vous étiez saisi de l'huile de massage en quittant le salon. "Tu vas me masser le corps maintenant Esclave" "Oui Monsieur" En disant cela, je vous entends vous allonger sur le lit, je sens que vous mettez entre mes mains l'huile. Je m'approche du lit à taton. Je m'aperçois que vous êtes sur le ventre. Je me positionne à vos côtés et commence à vous masser le dos, je dois appuyer fort pour satisfaire ce corps musclé et puissant. Je m'attache à votre dos d'abord, avant de descendre au niveau de vos jolies fesses. Je sens sous mes mains un cul ferme, bombé, musclé, comme je les aime. Je prends le temps de vous caresser plus que vous masser, je profite un peu de cet instant... puis je viens écarter doucement vos fesses et y fourre mon nez à l'intérieur. Je viens humer l'odeur intime de votre sillon. Après m'en être imprégnée, je viens glisser ma langue sur votre rose, doucement. Je vous sens vous contracter et je donne des petits coups de langue afin de vous ouvrir petit à petit. Une fois suffisamment ouvert, je m'insère intimement en vous, et vos gémissements de plaisir me comblent de bonheur. Vous vous retournez sur le dos, et par ce geste votre sexe dur vient taper sur ma joue. Vous répétez ce geste manuellement. Vous posez votre sexe sur mes lèvres afin que je le sente. Que je sente toute votre virilité en cet instant. Je sens que vous vous délectez de cette situation. Je sens l'excitation battre dans votre magnifique queue. Je n'ose bouger. J'attends, à ma place. Vous vous assoupissez un peu. Je sens que vous vous relâchez et un sourire se dessine sur mes lèvres. L'instant n'a duré que quelques secondes, un moment de grâce pour moi. Il me saisit la tête "Ouvres la bouche" Je m'exécute et je sens votre tige envahir ma bouche. Vous vous levez, m'attrapez fermement et me positionnez en levrette au bord du lit, de façon à ce que nous soyons face au miroir qui se trouve dans ma chambre, à cet effet. Vous tapez sur mes fesses avec votre sexe dur. Vous le passez sur la chair tendre de mon sexe, sur ma rose, vous semblez hésiter mais il n'en est rien. Vous testez ma résistance à l'envie d'être remplie de votre chair. Après vous être frotté à moi, vous m'ordonnez de me lever. "Fais moi à manger et sers moi" Vous m'amenez dans la cuisine et m'enlevez mon bandeau. Je lève les yeux pour vous admirer, je vous savais grand mais en ma présence, votre taille et votre corpulence d'athlète sont encore plus impressionnantes. Je me reprends rapidement et prépare rapidement de quoi vous restaurer, selon vos consignes. Je viens vous servir dans le salon, où vous vous êtes installé. Je déjeune à vos pieds. Vous me faites signe de débarrasser et me rejoignez pour me mettre à nouveau le bandeau sur les yeux. Vous en profitez pour arracher les pinces tétons. Je laisse échapper un cri de douleur autant que de surprise. Pour faire durer la douleur, vous frappez à plusieurs reprises mes tétons, après avoir pris chaque sein en main pour en faire ressortir davantage l'objet de torture. La douleur est vive, intense, et tellement jouissive. Vous empoignez fermement ma laisse et m'emmenez, debout cette fois ci, dans la chambre. Là, vous vous allongez sur le dos et m'ordonnez de venir sur le lit avec vous. Je m'exécute avec plaisir, et ayant compris ce que vous attendez de moi, je m'approche doucement de votre corps. Je me place à vos côtés pour venir renifler vos aisselles. Je mets mon nez le long de cet endroit d'odeur masculine et virile par excellence. Je renifle chaque centimètre carré de cette première aisselle jusqu'à ce que vous me demandiez d'en faire de même pour l'autre. À taton, je descends du lit pour en faire le tour, venir me placer à vos côtés et renouveler mon action. Une fois satisfait de moi, vous insérez votre sexe dans ma bouche pour la baiser. Je bave de plus en plus sous les assauts de cette grosse queue dure. Je manque de vomir à plusieurs reprises, mais j'arrive à tout ravaler à chaque fois. A ce moment là, vous m'autorisez à venir m'empaler sur votre sexe en rute. Je me rapproche, passe une jambe de l'autre côté de votre corps et je viens prendre en moi, en entier, cette magnifique tige, tout en expirant un soupir de plaisir. Je porte ma main à mon sexe pour branler mon clitoris, alors que vous passez une main sous mon collier, autour de mon cou, afin de m'étouffer au rythme de mon plaisir qui monte. Les mouvements de mon corps sur votre queue, ma main entre mes lèvres et mon souffle coupé, je monte petit à petit à l'orgasme mais me retiens en attendant votre ordre. Je sais que je ne dois pas jouir tant que je n'en ai pas reçu l'autorisation de votre part. Je commence à perdre toute capacité respiratoire et mon clito est si dur entre mes doigts, vous sentez ma chatte comprimer votre sexe de plus en plus, et tout en relâchant ma gorge, vous m'ordonnez de jouir : "Vas y !" Un torrent électrique parcoure mon corps et dans la reprise de mon souffle, mon clito opère la contraction ultime qui fait que mon corps entier est secoué de spasmes violents de plaisir, au milieu de mes cris de femelles. Cet orgasme va durer quelques minutes, mon corps tressautant à chaque caresse de mon bouton, et mes cris de bêtes devenant peu à peu des soupirs d'apaisement. Avant même la fin de cet explosif orgasme, vous me basculez sur le dos, me relevez les jambes et insérez violemment votre sexe dans ma chatte. Vos coups de reins font taper le lit contre le mur dans un bruit répétitif. Votre puissance de mâle s'exerce pleinement sur mon corps, vous tenez mes jambes écartées et prenez appuie sur elles pour me maintenir dans cette position et me dominer de tout votre corps. Alors que vous sentez votre semence monter, vous accélérez vos coups de boutoir pour vous retirer en vitesse afin de m'arroser de votre semence. Le jet est si puissant qu'il vient jusqu'à mon visage. Je ne bouge pas. Vous savez que cela est tabou pour moi, mais je reçois ce jus sans bouger, je sais votre plaisir à l'instant...
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Par : le 02/02/21
C'était le troisième homme... Le troisième déjà, le troisième seulement. Que pouvais-je en penser, tout était allé très vite, moi qui un an auparavant n'imaginait pas me retrouver un jour au lit avec un homme. Une femme un peu joueuse m'avait fait basculer dans la perversité de ma sexualité à l'aide d'un doigt aventureux, puis un homme terriblement frustrant m'avait emmené chez lui, puis un second qui en trois rencontres et un petit mot avait changé ma vie. Il avait dit "Salope" et en six lettre avait ouvert la porte, une porte insoupçonnée, une porte dont seul un moi obscure et refoulé possédait la clef, clef que je m'empressait de remettre entre nouvelles mains. J'entends la voiture stationner devant la maison, soudain je comprends ce qui arrive à ce genre de personne que je suis, la pression. Les volets sont fermés, les bougies disposées comme demandé par le Maitre, un peu partout dans la maison. Je vérifis ma tenue, chemisier blanc, soutien gorge, jupe noir et string assorti au sous tif susnommé. Une paire de collant qui tombent à pique car Septembre est froid et je tremble de nervosité. Ai-je tout bien fait ? C'est ma première soumission et je suis tout aussi inquiet(e) qu'excité(e). L'inconnu entre avec son petit sac de sport. Il me tend son manteau que j'accroche sur la rampe d'escalier. Je me retourne à peine qu'il m'empoigne les fesses et fourre goulument sa langue dans ma bouche maquillée. Le ton est donné, le territoire est marqué, la première fessée rapidement donnée ( une caresse en comparaison de ce qui m'attend). - Montre moi la chambre ! - Oui. Suivez moi. - Suivez moi qui ? - Suivez moi Maître. - C'est bien. Je monte l'escalier, il me palpe les miches comme on tâte un animal. Ca m'excite et je ralentis pour qu'il en profite. - Va t'asseoir sur le lit et ferme les yeux. Je m'exécute, je l'entends poser le sac, sortir des trucs et des machins. Il s'approche de moi et me gratifie d'un "Joli tenue" en me caressant la cuisse. Effet immédiat sur mon sexe qui se dresse et qui me fait toujours un peu honte mais bon, on est ce qu'on est. Il me bande les yeux et je sens bientôt sur mes lèvres et le bout de mon nez le frottement du textile épais et rugueux d'un pantalon. Réflexe révélateur, j'entrouvre les lèvres et embrasse. Sa main se pose sur ma tête, huuuum c'est un début plutôt sympa. La braguette s'ouvre, à l'aveugle je lèche, je suce et j'embrasse. Très vite je ne contrôle plus rien ma tête enserrée dans ses mains il s'occupe du va et vient et je m'occupe à essayer de respirer quand un peu d'air me parvient. Il faut satisfaire le maître. Le bandeau de mes yeux tombe. - Allonge toi au bord du lit, sur le dos. - Bien Maître. Je m'allonge bimbo stupide sur le dos jambes écartées prête à me faire sauter comme une crevette dans un restaurant Japonais. - La tête vers moi salope. Perdue je m'exécute en me demandant ce que l'on va bien pouvoir faire dans cette position là. Il m'attrape par les épaules, amène ma tête au bord du lit jusqu'a ce qu'elle se renverse vers le sol. Je cherche toujours à comprendre lorsque son sexe rentre dans ma bouche. Là c'est bon je comprends, il entame un va et vient. Je ne suis plus rien, je n'existe plus, je ne suis qu'un trou, une bouche qui tente désespérément de se maintenir en vie. Il s'enfonce de plus en plus et s'arrête de plus en plus longtemps lorsque ma gorge est littéralement envahie par son gland. Je bave abondamment, n'importe comment, je pleure et tout ça dégouline et se mélange sur mon visage. Je réalise qu'un homme me baise la bouche. Comme si c'était un sexe de femme, je ne peux pas lutter, je n'en ai pas envie, mes mains s'agrippent à ses mollets. Cet homme est en train de me faire chialer, de m'humilier, de me forcer à me salir pour son seul plaisir et ses mollets sont la seule chose à laquelle je peux me raccrocher... Il jubile, il baise plus fort, je dégouline d'un mélange indescriptible de liquides venants presque tous de moi... La jupe sur le haut de mes cuisses, le string qui me fend les fesses, le lycra, le soutien gorge qui me serre le poitrail... Il fait de moi sa salope et pour le moment j'adore ça.... "Salope".
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Par : le 01/02/21
Ambiance musicale : KOVACS, my love Le Froid me paralysait. J’aimais tant le froid sec mais quand je suis bien au chaud. J’avais pris mon après midi. Ce temps où l’on se fait belle pour son mâle.. Ce soir il m’attendait avant le couvre feu. Cela présageait une douce soirée en perspective, pleine de détente, de surprise. Alors que j’étais dans le bain, il m’envoyait un message.. « Nue sous ton manteau et ton joli petit anus serti d’un beau bijo u » J’avais qu’une envie lui dire qu’il est en train de rêver avec ce temps… Mais au fond de moi, je savais qu’il ne faisait jamais rien au hasard, que j’en étais capable. Je me disais toujours que certaines situations provoquent une adrénaline pour ensuite laisser place au plaisir. Un peu comme une bonne séance de sport où l’on se dépasse pour ensuite être sur son nuage. C’est ce que je ressens quand je suis avec lui. Ainsi, il me voulait nue.. sous mon manteau.. soit.. Comme une adolescente, je prenais soin de me faire belle pour le satisfaire et me satisfaire au passage… Un doux gommage pour la peau douce, une huile sentant les îles et pour parfaire ce que je porterais.. quelques paillettes pour faire briller mon corps. Puis j’ouvris dans ma chambre mon armoire chinoise où se cachait mes petits jouets et autres fantaisies. Je pris alors ce plug en cristal ni trop gros, ni trop petit.. Je relevais alors ma jambe sur mon lit. Puis avec douceur, j’enfonçais ce petit bijou dans mon petit cul. Quand je le sentis céder et le sentir disparaitre en moi, une excitation forte m’envahissait. Je commençais à mouiller. Presque l’heure de partir, je trainais en peignoir, chaudement emmitouflée. Je saisis alors mon manteau violet en laine. Un dernier regard dans le miroir.. hum je me trouvais des plus jolies. Je descendais les escaliers qui menaient à ma cave pour chausser mes plus beau escarpins d’un rouge vernis de Nina Ricci que j’affectionne particulièrement. Heureusement que chez lui, je ne marche jamais beaucoup. Je mettais le chauffage au maximum dans la voiture. Mon coupé avait l’avantage d’être au garage et rapidement agréable niveau température. Je me garais devant chez lui. Juste quelques mètres à faire pour accéder aux portes du paradis.. Je toquais.. Il me laissa quelques minutes dans le froid. Je le maudissais. Je commençais à avoir la chair de poule. Je trépignais pour me réchauffer, mes mains commençaient à rougir. Heureusement que la Chapka blanche sur ma tête m’éviter encore d’avoir trop froid. Mon téléphone vibra, un nouveau texto «Entre , je t’interdis de parler. Tu te présenteras face à moi. Tu enlèveras ton manteau, puis tu présenteras ton cul comme il se doit.» J’ouvris alors la porte. La lumière était tamisée, il nous avait préparé une ambiance très relaxante. Des bougies, allumées de partout, donnaient cette ambiance d’un autre temps. Du jazz.. IL était assis sur son canapé, un verre de Rhum à la main. Je m’avançais pour me mettre face à lui. Il ne me quittait pas des yeux, un regard intransigeant un sourire dévastateur qui laissait deviner le bonheur de me voir ainsi. Fièrement je me mis face à lui, tête haute. Je le regardais droit dans les yeux. Je soutenais son regard. J’étais si fière.. J’avais écartée doucement mes jambes . Je défis ma ceinture. Puis, un à un avec une certaine longueur j’enlevais mon manteau. IL m’observait.. Son regard aurait fait fondre n’importe quelle glace. Mon désir était brulant. Je posais alors le manteau sur le fauteuil art déco bleu marine qui se trouvait juste à coté. J’étais nue face à lui portant uniquement mes talons, tête droite je baissais naturellement le regard. Il ne disait toujours rien. Le silence était d’or. Quand soudain, il me dit. « A genou, et viens te présenter à moi » Je m’exécutais. Je descendais sur mes genoux, tête baissée pour lui offrir ma soumission. Le plus beau cadeau que je pouvais lui faire car cette confiance entre lui et moi était d’une telle intensité et d’une telle force que je me sentais libre. Je mis mes mains au sol pour m’avancer à lui à quatre pattes, une démarche féline, prenant mon temps. Arrivée devant lui j’étais agenouillée, les jambes offertes, ouvertes. Les mains posées sur mes cuisses paumes vers le haut. En attente. Il releva de sa main ma tête. Il plongea ses yeux dans les miens. Il me rendait alors timide comme une gamine. Je détournais alors le regard en regardant à nouveau en bas. Il caressa mes lèvres puis s’en empara comme pour marquer son territoire et me montrer que je lui appartenais. Puis, je devais maintenant me présenter à lui. Je me retournais. Je levais alors mon postérieur, je mis ma tête au sol, dans une position des plus provocantes. Je sentis alors ses mains caresser mon fessier. Il inspectait ce qui était à lui. Ses mains étaient chaudes, douces mais aussi inquisitrices. « Quel postérieur ». - Mets toi à quatre pattes, dresse bien ta tête, cambre toi. Je lui obéissais, sans aucune envie de résister. Je sentis alors le froid de son verre au niveau de mes lombaires. - Tu es la plus belle table de salon qui soit.. en plus elle est des plus artistique et unique. Il écarta alors mes fesses. Je restais concentrer sur le verre, pour ne pas qu’il tombe. IL joua avec le plug.. à appuyer dessus, à doucement le sortir, puis le mettre au fond de mon fondement. - Alors, tu aimes ? - Oui.. j’adore… - J’adore … Qui ? - J’adore… Monsieur.. - Tu vas le garder toute la soirée dans ton petit cul. Ce soir je vais m’occuper de ta petite chatte. Cette double pénétration te fera le plus grand bien. Gourmande comme tu es… Je sais que tu aimes être remplie.. N’est ce pas ? Il savait que j’avais du mal à dire les choses… Je n’osais répondre. - Alors ? - Je.. - Réponds.. dis moi ce que tu aimes.. - J’aime.. être remplie, Monsieur.. - Tu vois ce n’est pas si difficile. Et dans cette position d’attente, tu ne pourrais dire le contraire.. Il manque encore juste une queue dans ta bouche pour être totalement comblée.. Je rougissais intérieurement.. Il reprit son verre. - Viens te mettre sur moi à plat ventre. - Tes mains dans le dos, je te prie. Il y plaça son verre. - Hum en plus d’être sublime, ma table est si pratique… Un modèle si unique. Il me caressait le corps. Je sentais ses doigts me parcourir, me masser légèrement, parfois me malaxant les fesses et autres parties du corps. C’était si érotique. J’avais tellement envie de lui… Il me caressait les cheveux. Cela m’hypnotisait - Je vois que le froid n’a eu aucun impact sur ses blanches fesse ma petite blanche Neige.. tu sais que j’aime le rouge… Je commençais à deviner ce qui allait se passer. Je sentis le premier claquement s’abattre sur mon postérieur. Il jouait avec l’intensité.. Une fois forte me laissant échapper un cri, l’autre plus douce, puis à nouveau plus intense. Je devais me concentrer sur ce verre à ne pas faire tomber. Un vrai challenge. Je criais.. certaines fessées, il n’y allait pas de main morte, mais ce qui était doux, c’était sa main caressante après.. Je sentais le rouge à mes fesses, comme légèrement boursouflées. Puis il commença à me griffer avec délicatesse le corps… Pour ensuite malaxer mes fesses et les embrasser et reprendre la fessée qu’il avait décidé de m’administrer. Il repris son verre. Il but une gorgée. - Relève toi. Il défit sa robe de chambre. Il portait cette robe de chambre qui lui donnait ce style rétro que j’adorais. Il prit la ceinture puis me noua les poignets dans le dos. Il tenait sa queue dans sa main.. - Empale toi ma chatte, tu la mérites. Me mettant à califourchon sur lui, il plaça sa queue afin qu’elle soit bien placé. Un râle de plaisir s’échappa quand je sentis le gland à l’orée de ma petite chatte. Doucement, elle glissa en moi. Je m’assis alors sur lui. On se regardait, profitant de ce moment si intense. Cet instant où nous n’avions pas de parler, où plus rien n’existait. Doucement il commença a donner quelques coups des plus doux. Parfois il s’amusait aussi avec mon plug à appuyer dessus, à s’assurer qu’il était bien à sa place. - Hum, je sens ta mouille sur mes couilles.. - Je crois que c’est l’effet du plug.. et de toi.. tu me rends folle. Il pris de pleine main mes fesses pour m’indiquer comment le chevaucher. Parfois il me les claquait fortement. J’aimais aussi me déhancher, profiter de ce dard en moi. Il me saisit alors les deux tétons et les tira à lui. - Chut… Je tentais de rester droite, alors que mes tétons étaient en train de s’allonger. Il les relâcha brutalement pour ensuite les pincer fortement. Soudain il me les gifla… encore et encore. - Oh ouiii.. hurlais-je.. - Tu aimes ça, être baisée comme une reine… - Humm.. oui..j’adore ça Il me mit alors ses doigts dans ma bouche. Il m’attira à lui pour me mordre ensuite dans le cou. Il m’étrangla ensuite en me regardant droit dans les yeux pour ensuite me donner une petite gifle. Malgré ses apparences, je me suis toujours demandée pourquoi j’aimais cela.. Je pense qu’il voulait me punir de lui provoquer peut être un tel désir… Puis il me jeta sur le coté pour calmer le feu entre nous. Il dénoua mes liens. - Va t’asseoir sur le fauteuil.. - Mets bien ton cul au bord, sois outrageante, tes jambes écartées… que je vois bien comment ta chatte est bien béante maintenant que je t’ai prise. Je m’exécutais. J’allais sur l’autre fauteuil très confortable qui m’arrivait à hauteur de la taille. Il y avait une sorte de tétière qui était là pour maintenir le dos. Je me posais ainsi les jambes bien écartées, au bord. - Caresse toi. Doucement, j’aventurais mes mains sur mon sexe, à la recherche de mon petit oiseau du paradis, mon clitoris. J’aimais me caresser doucement. J’étais bien trempée. - Enfonce toi deux doigts dans la chatte... non trois.. autant qu'elle peut en prendre.. Alors provocante, je le regarfais tout en mettant progressivement quatre de mes doigts fins et longs.. Il me regardait toujours aussi intensement. Il bandait si fort. Il se caressait doucement. Il se rapprocha de moi au bout de quelques temps comme un tigre sautant sur sa proie. Il releva alors mes jambes au niveau de mes chevilles et me posséda. - Tiens.. prends ça dans ta petite chatte de salope… Je.. Il ne terminait même pas sa phase que chacun de ses coups allait au plus profond. Le fauteuil reculait tellement son assaut était puissant. Puis il écarta mes jambes en grand, me tenant par les chevilles.. - Allez, branle toi petite chienne Je me caressais alors encore et encore en le regardant dans les yeux. - Tu transpires le sexe.. me dit il - Tu es trop bonne à baiser.. à chevaucher… Quand il s’arrêta, il se mit à genou pour prendre en pleine bouche ma chatte et l’aspirer de partout. - J’adore te sucer et ton jus.. hum un délice. Puis il me pénétra de trois doigts tout en continuant de me lécher. Je perdais alors pied.. Il m’aspirait si divinement mon petit clitoris et je sentais ses doigts me fouiller… Je commençais à avoir les jambes tremblantes… je ne me contrôlais plus. - Je vais Jouir…. - Jouis ma putain.. Jouis. Il me tenait.. je ne me contrôlais plus. Je serrais alors mes jambes. Il tenait ma chatte encore et encore à me fouiller. Je me contractais. Cette vague était si intense… Je le regardais, le regard rendant les armes, comme une biche sans défense. Ce paradis éphémère, laissa l’orage gronder. Je pleurais de bonheur. Il se releva pour se mettre à ma hauteur.. Il me caressa alors le visage pour essayer mes larmes. - Tu es si belle comme ça.. si angélique, si démon.. J’ai tellement envie de t’embrasser, de te punir, de te cajoler.. Ma petite chatte. Je me blottissais alors dans ses bras. - Lève toi. - Regarde ce que je t’ai préparé.. Il m’avais installé une sorte de petit lit au sol, avec plein de couverture et coussins. - Ton lit, ta place de petite chienne à disposition de son maître. Je le regardais souriante. Je m’installais sur cette place préparée avec tant d’affection. - Profite de ce moment.. Je n’en ai pas fini avec toi..
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Par : le 27/01/21
Deux ambiances intenses pour plonger dans ma nouvelle. J'ai écrit dessus.. donc.. bonne découverte en musique : - The Wolf - FEVER RAY - If I had a heart - FEVER RAY ( pour les amateurs de viking.. vous reconnaitrez tout de suite ) ================================================== Effrayée je sentie une cagoule se mettre sur ma tête. J’étais dans mon lit. Je devinais qu’il était rentré. Que me préparait il? Je me débattais.. - Arrête.. non.. je. Il mit sa main sur ma bouche. J’entendis le son de sa voix à mon oreille. - J’aime attrapée ma louve. Reste sage, compris Je gémissais doucement pour ne pas le laisser trop faire. Je sentis son poids sur ma taille. Il me retourna sur le ventre avec une telle dextérité. J’étais à sa merci ! Il me griffait le dos avec douceur. Je sentais ses baisers s’enivrer de ma peau. Il me respirait. - Hum ton odeur… me dit il.. elle me rend fou. Je sentais son nez me respirer comme un chien respirerait sa chienne. Je sentais ses crocs se planter dans mon cou, sa main saisir ma gorge. Doucement je lâchais la pression. Son être faisait que je me soumettais naturellement. Son intégrité, ses valeurs, il savait me faire sentir femme, un être considéré pour sa personnalité, mes valeurs, mon indépendance. Il était entier autant que je pouvais être entière. On s’était choisi. C’était si naturel qu’aucune question venait mettre un grain de sable dans notre relation. Aucun non dit, aucun mensonge. Une évidence. Jamais je n’avais rencontré un homme qui me faisait vibrer ainsi à me rendre si femme. Il me possédait autant que je le possédais. Parfois nous aimons garder notre indépendance ne pas nous voir. Mais quand on se retrouvait ensemble, le temps se suspendait. Il saisit mes mains pour les maintenir dans mon dos. Je sentais son sexe qui grossissait au niveau de mes fesses. Tout en me tenant les poignets il avait introduit son pouce dans mon cul.. - Ahhhhhh… humm - Oui je sais c’est bon ma louve… Il m’attacha les avant bras de manière parallèle dans mon dos. - Je veux que tu te laisses faire. Je ne veux rien entendre… dit il en m’embrassant à travers la cagoule. Des sons métalliques se firent entendre. Il s’empara d’une de mes chevilles. Je sentis le fer… Il m’enchainait. Je sentis le fer autours de ma cheville, qu’il referma fermement . Le cadenas se refermait. Puis l'autre.. - Je n’aime pas voir une proie sauvage m’échapper. Intérieurement je souriais. J’aimais ce côté animal qu’il avait. Mon alpha. Mon loup Je me retrouvais ainsi enchaînée avec des fers à sa merci. Sans prendre de gant, il m’enfonça dans mon petit trou un plug.. Je sentis qu’il était différent de ce que je connaissais. La douceur d’une fourrure me fit tressailir au niveau de mes cuisses. - Ma louve… à part entière. J’allais être son animal sauvage qu’il allait vouloir dresser, jouer, caresser, câliner, punir, prendre… Il me releva. J’avais la tête qui tournait un peu. Il mit autours de mon cou un collier qu’il serra fermement pour me faire comprendre que j’étais captive, sans échappatoire. Que je ne devais opposer aucune résistance sinon la sanction se ferait sentir. Il me dit descendre les escaliers. Je marchais avec nonchalance. Où m’emmenait-il? Je marchais avec prudence. Au bout de quelques minutes, il me jeta sur une sorte de lit pleine de couverture. Une tanière. Je sentais la chaleur d'un feu de cheminée. J'étais nue. Mon corps tremblait. Je sentis qu’il accrocha mes chevilles à un crochet et de même pour mon cou. Je me retrouvais ainsi immobilisée. A ne pas savoir ce qui m’attendais. Je sentis alors sa main saisir ma queue pour bien la replacer. Elle parcourait ensuite mon corps pour saisir mes seins et les tenir fermement. - Tout doux… tout doux dit il en me caressant avec tant de douceur. Maintenant je vais te laisser te calmer… Il mit quelques couvertures sur moi. il prenait soin de mon confort, de moi tout simplement. J’entendais le bruit de ses pas partir. Je gémissais.. Je m’amusais à tirer sur mes chaînes pour essayer naïvement de me défaire. Je sentais sa présence. Je savais qu’il m’observait. - Ca ne sert à rien. - Je… - Je ne veux pas t’entendre, une louve ne parle pas.. elle hurle, elle gémit, elle couine, elle mord, elle se fait prendre.. Voilà ce que tu es autorisée à faire ce soir. Compris ? Je hochais la tête. Il détacha mes poignets. Il me redressa et me fit comprendre que je devais me mettre sur mes quatre pattes. - Tends moi ce sublime fessier… Je sentis alors qu’il me dirigeait avec la cravache. - Tu sais ce que je tiens en main.. A toi d’être obéissante ou non . Je sentais la chaine me contraindre. Elle était courte. Il ôta alors la cagoule. J’étais éblouie. Je découvrais qu'il avait transformer cette pièce en antre, un éclairage avec de grosses bougies. Il était face à moi, agenouillé ,avec ses chaussures parfaitement ciré. Il portait une chemise blanche où il avait retroussé les manches, laissant deviner la force de ses bras. Il plaça la cravache sous mon menton pour me redresser la tête et me regarder. Nous étions alors face à face, gueule contre gueule. Il caressait ensuite mon visage avec… on ne se quittait pas du regard. Avec rapidité, je la saisis par les dents. Je ne voulais pas lui céder. Je résistais. - Lâche… m’ordonna t il. Je refusais de céder. J’aimais ce jeu, celui de ne pas lui céder, de lui résister. - Lâche, c’est la dernière fois que je te préviens. Je ne cédais toujours pas. Je grognais telle une louve ne voulant pas se laisser faire. Il se déplaça et me fessa si fortement que j’ouvris ma gueule, couinant de douleur. Il m'avait remise à ma place - Voilà ! - Tends ces fesses… Je ne voulais toujours pas céder. Il commença alors me cravacher… A plusieurs reprises il se lâcha au même endroit de ma fesse droite. Je pliais. - Accepte ta condition. Je veux que tu plies par choix et pas parce que je te punis. Est-ce clair ? Je baissais la tête en signe de soumission. Je tentais alors d’aller vers lui. Il tendit alors sa main vers moi. Naturellement je lui léchais pour lui faire comprendre mon allégeance. Il caressa alors mes cheveux. - Embrasse maintenant la cravache. J’obéissais. Il releva ma queue et commença à tapoter ma chatte. Je me redressais pour me retourner et me soustraire Sans crier gare, il était dans mon dos, plaçant son avant bras sur ma gorge. - Tu es ma louve, tu le sais… Il me mordit dans le cou puis passa sa langue sur ma jugulaire. Il me renifla encore et encore. Je me sentais possédée.. Une de ses mains s’aventura alors sur mon entrejambe. Une tension si érotique - Ton sexe m’appartient. Il pinça alors mon sexe pour le prendre en pleine main. - Ta bouche, tes seins, tes fesses, ta chatte, ton cul, tout m'appartient dit il dans un murmure sensuel qui me fit fondre. Je gémissais de plus belle.. - Hummmmmm.. humm.. - Hum tu couines ma belle… tu aimes, n’est ce pas.? . sentir des doigts caressant ton petit clitoris, ta peau, remonter le long de ta colonne vertébrale, s'aventurer sur tes seins ou te prendre la gorge... - C’est ça couine , gémit.... - hummmm.. hummmmmm Il engouffra son pouce dans ma bouche. Instinctivement je le léchais Il plaça ensuite ses mains vers mes seins. - Déjà dressées ces petites mamelles dit il en les empoignant d'une main de fer. - Ohhhhhh.. hummmmm J’émettais des petits sons plaisirs. il me rendait folle. J'aimais lui offrir ma soumission. Seulement à lui.. Il me comprenait, savait qui j'étais. - Ces mamelles que j’adore punir… comme ça.. Soudain il les gifla fortement. - Ahhhh… oohhhh… gémissais-je - Et ces tétons… je vois à quel point je peux les tirer… ça me donne des idées… Sans ménagement il jeta ma tête au sol. - Maintenant, sache que je vais te doigter à te faire gicler.. Il commença par quelques bonnes fessées. Je gémissais surprise de sentir à quel point mes fesses allaient rougir. Le feu s’empara de moi. Il tenait alors la queue de fourrure remontée? Violemment il pénétra ma chatte de ses doigts. J’étais déjà trempé. Sa main était perpendiculaire à ma chatte. Je devinais quatre doigt à l'exception du pouce. Il prenait malin plaisir à bien la tenir droite pour m’élargir le mieux qu’il pouvait. - Ohhh…. Oohhhhh… hummmm.. hummm.. Je couinais comme une petite chienne reconnaissante. Il se montrait de plus en plus sauvage. - Tiens ma belle.. tiens… Je sentais sa main pousser encore et encore, de plus en plus profondement.. Des vas des viens frénétiques. Je sentais que mon corps bougeait vers l’avant tellement il me pénétra bien au fond. - Ahhhhh… ahhhhhhhhhh… ahhhh.. Je haletais de plaisir.. encore et encore. Il aimait me faire couiner à me faire perdre la tête, le contrôle. - Ajhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Il claquait mes fesses fermement pour les tenir sous le chaud. - Maintenant je pense qu’avec l’entrainement que tu as eu… je vais pouvoir mieux t’élargir ta chatte.. quoi que ce plug dans ton fion va peut être m’en empêcher… Seléna à la main pour te fister… Il força alors le passage avec son pouce. - Caresse toi ma belle. - C’est ça.. regarde comme tu t'ouvres... Cambre toi.. Il appuya sa main sur mes lombaires pour me cambrer davantage. - Si grande ouverte, je me demande ce qu’on peut y fourrer…. Il m’excitait. Il aimait me faire fontaine. - C’est ça marque ton territoire de chienne… C’est ça … - Oh mais regardez moi ça.. tu en mets partout. Il me redressa et me força à regarder tout ce que j’avais mouillé. Puis il me rejeta sur le dos sur cette place de fortune, notre lit. Il se colla contre moi pour m’embrasser sauvagement, prendre l’assaut de mes lèvres, mordre ma lèvre inférieure. Il me humait. - Ton parfum me rend fou Quand il plaçait son main autours de mon cou, je ne m’appartenais plus. Je me lovais naturellement contre lui. Son autre main sur mon clitoris, je me déhanchais pour me masturber sur sa main. - HUmmmmm… hummmm…….Ohhhhhh gémissais je Mes yeux se révulsaient de plaisir. Il me regardait. Il était attentif à tout ce que je pouvais renvoyer. Puis il reprit l’assaut de ma chatte pour me doigter encore et encore tout en étant plaqué contre lui. Je sentais sa force dans ses bras, la chaleur de son torse si réconfortante. Nous étions entier mais ne faisons qu'un. Je soupirais au creux de son cou de ces plaisirs qu’il m’offrait. Je sentais la jouissance arriver. Mon dansions sexuellement l'un contre l'autre. Nous appartenant. Ma tête partait en arrière. - Ahhhhhhhhh, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, ahhhhhhhhh Je bougeais dans tous les sens quand il se stoppa brutalement juste avant que je jouisse. Il se leva et m’abandonna à mon triste sort. Ma main s’aventura alors sur ma chatte, en manque de sa jouissance. Il savait faire monter le désir. - Je t’interdis de te faire jouir, tu as compris ? Je grognais pour lui montrer ma dévotion. Malgré mon indépendance, mon caractère, j’étais sous son contrôle incapable de résister au bonheur qu’il me donnait. Il me bâillonna et remit alors la cagoule sur ma tête et m’attacha à nouveau les mains dans le dos. - Ma louve… calme toi, dit-elle en me caressant. Je sens ta fougue. Ton envie, ton désir. Tu ne mérites pas encore que ta saillie. Puis il m’enchaina très court au niveau de l’anneau fixé au mur m’obligeant à rester allonger Je tremblais de désir, fatiguée, pleine de désir, tentée, triste . Je passais par tant d'émotion. La privation était terrible. L'attente était longue, il jouait avec mes nerfs. Quand il revint dans la pièce, Il détacha mes chaines. Voilà ce qu'il faut pour retenir une louve si puissante. Il enleva alors la cagoule. Son regard plongeant dans le mien. Il me montra comment il tenait la laisse de sa louve en main. - Viens, suis moi. Maintenant que tu es apprivoisée Il me fit avancer ainsi, haut et court provoquant un certain inconfort. Il me plaça au niveau de la pièce et alla s’asseoir sur le canapé. Assise sur mes genoux, je relevais la tête fièrement. Je ne le quittais pas du regard, lui non plu. Nous nous dévorions. Il claqua des doigts et m’indiqua ses chaussures. Il avait mis entre ses jambes une gamelle. Je compris alors que je devais venir vers lui pour ensuite laper dans la gamelle. Tout en le regardant avec effronterie, je m’avançais à lui. Je sentais le poids de la chaine. Le bruit métallique quand j'avançais vers lui. Arrivée à sa hauteur, je lui lançais mon regard de défiance. Il claqua à nouveau des doigts. - Lape. Je ne voulais pas céder. Je le regardais, je lui souriais. Il s’avança alors vers moi pour m’embrasser sauvagement pour mieux me rejeter au sol. - Lape… Je plaçais alors mes mains autours de la gamelle; Tout doucement pour faire durer le plaisir, lui résister pour mieux lui céder. Lâcher prise. Je lapais me prenant au jeu. Il avait eu l’audace de mettre du champagne. J’aimais cette délicate attention. Je m’amusais alors à prendre une posture des plus provocantes à bien me cambrer et tendre mes fesses. A être sa louve. Il se posa contre le dos du canapé. - Occupe toi de ton loup maintenant. Avec délectation, comme une louve en chasse je m'approchais de lui comme pour marquer mon territoire. Je me frottais contre lui. Ma tête sur sa cuisse cherchant son attention. Avec délicatesse, je sortis sa queue. J’allais la savourer. - Tout doux, renifle la ma douce. Il tenait alors ma tête contre sa queue pour me forcer à rester ainsi. Il m’observait quémander ce que j’aimais avoir en bouche. J’adorais le sucer, l’honorer de ma bouche, lui rendre le plaisir qu’il me donnait. Il saisit le collier avec la chaine . Son autre main sur ma tête Il me força la tête pour me donner la cadence. C'était doux, calme, sensuel. . Tout doucement il me laissait prendre l'assaut, la cadence. . - Ohhhh… ohhh.. cette bouche… continue… léche….ohhhh ouiiii.. Je sentais sa force me maintenir. - Ohhhhh… . ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii continue.. continue… - Ohhhh ouiiii… IL prit alors ma tête sauvagement, la main sur ma gorge et me baisa. Il engouffra si profondément sa queue que j’eusse envie de vomir. - Garde…. Garde…. Voilà…. - Regarde moi … Je levais les yeux.. - Hum j’adore t’étouffer avec ma queue. Tu es si belle ainsi. Il releva alors ses jambes. - Lèche moi de partout maintenant. Sors ta petite langue ma louve. Il maintenait encore sa main pour que je plonge ma langue sur son anus et sur cette partie sensible qui le rendait fou entre ses couilles,. Il adorait que je les lèche les aspire. Que je m’enivre de lui. - Quelle suceuse tu es !! - Ohhhhhh.. ohhhhh c’est ça.. sors bien ta langue, nettoie moi bien… voilà.. J’en profitais alors pour le lécher de partout. J’avais envie de tout son corps… - Doucement … Branle moi … pendant que tu lèches. J’aimais saisir sa queue dans ma main de faire des va et vient savant, de mouiller ma main avec ma langue, pour l’humidier, lui faire ressentir que mes mains pouvaient être aussi glissante et chaude que ma chatte ou non cul. J'aimais le regarder perdre pied. - Ohhhhhhh ouiiiiiii… - Il ne m’en.. a pas.. ouiiiiii…. Fallu longtemps pour que tu te soumettes - Suffit maintenant.. au pied.. Il m’attacha mains dans le dos. Avec son regard froid, il bonda mes seins pour les faire ressortir. Il les admira et les prit en main.A nouveau il les titilla. Il m’avait laissé au sol, assise sur mes genoux, attachée, offerte, jambes écartées. Il se ltournait autours de moi, mes sens en éveil - Pas bouger Il saisit un grand martinet avec des lanières longues. Il le plaça à ma vue. Il me caressa avec. Le dos, les seins, la gorge, le visage, l'entre cuisse. Il me donna un premier coup sur les seins. Puis un second et puis d’autres. Je sentais le vent des lanières. Je restais fière. Je me tenais bien droite ne voulant pas lui donner le plaisir de céder. - Hum magnifique. Tu es magnifique quand tu es punie. Avec ton regard si insolent. Je grognais de défiance encore et encore. Plus je grognais plus il me fouettais. Parfois, il se stoppait pour mbrasser fougueusement et passionnément tout en serrant ma bouche dans sa main. Je lui appartenais, la chaleur de son empreinte sur ma bouche, la fougue de ses baisers me faisait oublier les coups du fouet. Puis il recommença à me fouetter, me cajoler et pour finir à me faire baisser la tête en appuyant sur ma nuque. Il tournoyait autours de moi. Il passa alors le manche du martinet au niveau de mon cou, puis enroula les lanières autours de mon cou. Il m'étranglait aussi. il s'assurait de faire ce qu'il voulait de moi. Il me fît avancer vers lui en tirant sur le fouet. - Ouvre ta bouche ma louve. il replongea sa queue dans ma bouche. - C’est ça… prends la bien. Je sentais de la bave s’échapper de ma bouche. Il ne me laissait aucun répit.. - Humm c’est bon.. ohhhhhhh.. rohhhhhhhhh Il me baisa la bouche encore et encore. Il m’empoigna les cheveux pour me forcer à rester sexe en bouche tout en gardant la tension sur mon cou. Il aimait me voir me trémousser, à tenter de me défiler de cette emprise - Arhhhhgggggggggggg… hummm.. je faisais des bruits d’une louve se faisant prendre bien sauvagement par son alpha. La bave coulait de part et d’autres de ma bouche. Il se plaça au dessus de moi, forçant ma bouche à aller sur son anus.. - Humm je ne me lasserai jamais de cette langue oooohhhhhhhhh - C’est ça continue,. ouiiiiiiii Il plaqua ma bouche encore plus fortement en tirant vers le haut le fouet pour que ma langue le pénètre. - Bonne salope… Il avait pris sa queue et se caressait. - Tu me donnes envie de gicler dans ta bouche si accueillante. Il savait que cela me ferait fuir. Il était sur le fil… - Ouvre ta gueule. Il continuait à se caresser à mettre son gland au bord de ma bouche. J'avais confiance, il ne dépasserait jamais ma limite. - j'ouvrais ma bouche, je sortais ma langue - Ohhhh… oohhhhh Il plaçait son gland à l'orée de ma gueule. Il se retient et me rejeta sauvagement. Je sentais qu'il avait du mal à se contenir mais il se contrôlait. Je trouvais sa force admirable. - Assieds toi sur ma queue. Je me levais, je me mis à califourchon sur lui. Toujours attachée mains dans le dos, il m'aida à m'empaler sur son sexe si dur et dressé. Il saisissait mes seins avec tellement de force. Je sentais sa queue frénétique dans ma chatte. - C’est ça dandine toi bien, cherche la, mets la bien profondément. Il tira sur ma chaine pour me plaquer contre lui. Je sentais sa peau transpirante. Ses crocs se planter dans mon cou. - Humm ma louve… tu me rends fou…Il me léchait la bouche encore et encore. Ses baisers si passionnés. Sa frénésie n’avait aucune limite. Sa queue si forte et puissante me transperçait. Il tenait la queue de mon plug dans la main et la remonter pour jouer avec le plug… - Mets toi au sol, cul tendu vers moi comme une bonne petite louve que je vais saillir à nouveau. - Humm tu es si belle ainsi. Il était toujours assis au bord du canapé. Il saisit alors la queue de mon plug pour la remonter. IL caressait ma croupe et me pénétra à nouveau. - Allez cherche mon sexe , branle moi avec ta chatte. Il me laissait mener la cadence. - Hum j’aime voir les aller et venues de ce petit cul pour voir ma queue prendre ta chatte de salope.. Il caressait mes reins. Puis dans un mouvement frénétique, Il me prit par la taille . Nous fusionnons. Je laissons ma tête aller au sol, naturellement. Comme l'étais ma dévotion à son égard. - Ahhhhhh… ahhhh… ahhhhh.. gémissions nous ensemble. Je ne tenais plus. Il était si fort si vaillant. J’aimais être sa louve, comme il était mon loup. Nous nous étions choisi. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… rahhhhhhh gémit il Ses assauts avant sa jouissance étaient toujours si fort. Je sentais mon sexe gorger par le désir . Il sortit de ma chatte pour répandre sa semence sur ma croupe. Il s’écroula, épuisé, par l’intensité de sa jouissance. Il était si beau. A la fois fort et sans défense. Mis à nu. Il m’aida à me relever, il me prit dans ses bras, il détacha mes poignets. il me prit avec douceur pour qu'on s'allonge l'un contre l'autre sur ce lit. Il me couvrait de couvertures. . Je sentais sa force réconfortante. Je m’endormais ainsi contre lui.. et lui contre moi. Le silence planait. Je sentais sa respiration ralentir. J'étais blottis dans le creux de son cou. Je l'embrassais tendrement. Je me lovais. Sa main avait saisi mon sein, il jouait avec un de mes tétons. Puis doucement je la sente s’immobiliser. - Je t’aime mon loup lui murmurai je. - Ma louve…. Dit il en me calinant… -
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Par : le 23/01/21
Jasmine est subliment belle. Pourquoi? Parce qu'elle est nature. Elle déteste l'apparence, les maquillages et artifices. Elle n'a pas besoin de cela. Plus les femmes sont belles et plus elles savent qu'elles n'ont besoin de rien, pas même de quelques gouttes de parfum. Les males se retournent, les admirent, les désirent, elles ont le choix. Ce n'est pas si facile d'être subliment belle et de n'avoir besoin de rien d'autre. C'est un cadeau de Dieu ou des Dieux qui aiment se moquer des désirs des hommes pour l'éphémère. Ce qui dure et c'est la plus belle beauté, c'est ce qui se trouve à l'intérieur, c'est cette grâce interne qui rayonne et illumine, le reste n'est qu'illusions. Jasmine est de tous les combats féministes. Elle milite pour les droits des minorités, les gays, les bi, les trans, les lesbiennes, les indiens d'Amazonie, les gorilles d'Ouganda. On peut admirer ses longues jambes si bien galbées au devant des manifestations. Des journalistes la flashent tellement elle est sublime lorsqu'elle revendique. Elle est vite repérée par une agence de mannequins et cela devient sont métier. Vendre sa beauté sur des réclames. Elle gagne fort bien sa vie et celui qui lui demande de coucher se prend une baffe. Seulement voilà, l'amour est un mystère. Jasmine rêve du grand amour. Elle ne veut pas d'aventures. Elle est toujours vierge et se réserve pour son homme. Elle n'en veut qu'un seul pour toute la vie. C'est son choix et elle l'assume. Elle est impitoyable avec tous ses prétendants qui se jettent à ses pieds. Elle sait que lorsqu'elle rencontrera son homme, ils n'auront pas besoin de mots pour se déclarer leur amour, le premier regard suffira. Mourat est un émigré tchétchène. Il s'est battu contre les russes dans le Caucase. Sa tête a été mise à prix et il a du fuir loin de son pays et loin des tueurs à sa recherche. Il a fini à Paris. Il a facilement trouvé du travail dans une agence de sécurité. C'est un expert dans de la maniement du Kindjal ce long couteau qui ressemble un peu au gladius des légionnaires romains. il est efficace, discret et fort apprécié pour ses talents. Il aime sa nouvelle vie. Un jour par hasard, dans un salon, son regard a croisé celui de Jasmine, ils se sont accrochés et ils ont su de suite, tous les deux que leurs âmes étaient liées. Ils se sont éloignés, chacun occupé à ses taches. Mourat a tout fait pour la retrouver et lui parler. Il sait qu'elle est la femme de sa vie. Il n'a eu aucun mal à savoir qui elle était et ou elle vivait. La deuxième rencontre a été magie. leurs lèvres se sont trouvées, leurs corps se sont serrés. Ils ont voulu être un. Depuis ils ne se quittent plus. Mourat, le tueur, est si doux, si prévenant, si respectueux avec sa femme. Un contraste qui n'a rien de surprenant. C'est Jasmine, la féministe pure et dure qui est devenue une surprise. C'est elle qui a voulu devenir l'esclave de son homme. C'est elle qui a voulu recevoir la fessée sur ses genoux. -Je ne suis pas sage, dit elle, corrige moi sept fois par jours, tu sais combien j'aime cela. Et Mourat a su faire et combler son épouse. -attache moi et prend moi ainsi, comme ton esclave. Je n'ai qu'un désir, te servir et t'obéir. C'est cela qui me fait jouir. Et son époux a su récompenser son épouse. -cadenasse ma chatte et porte la clé autour de ton cou. C'est mieux qu'une alliance au doigt. Mourat a sorti son kindjal et à percé son épouse comme il fallait. Depuis Jasmine est heureuse et en paix. Son vœux le plus cher s'est accompli.
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Par : le 13/01/21
Abandon avec Vous, attachée ou pas avec des bracelets de cuir que Vous reliez dans mon dos ou ailleurs. Badine que j'ai découvert avec Vous. Cravache dont les coups comptés forment des marques de couleurs différentes suivant l'intensité, et qui s'estompent au fil des jours. Don de soi sans lequel rien ne va. Expressive et Vous appréciez que je sois ainsi. Fouet que j'affectionne, fessées qui rougissent ma peau. Grimacer sous la douleur. Humiliation, j'ai du mal avec cela et pourtant, j'ai pris sur moi les rares fois où .... Ivresse des sens et de certaines essences qui enivrent mon nez et ma peau. Jouir si on le peut, crier et hurler sa jouissance. Kilos qu'il me faut perdre... Liens qui entravent, qui attachent, qui lient, liens visibles et invisibles. Maitre Vous à qui j'appartiens. Nœuds de bondage que j'aimerais connaitre... Obéissance que j'ai pour et envers Vous. Pinces qui emprisonnent le bout de mes seins, mes lèvres intimes, les poids cela viendra bientôt je l'espère. Questions que je peux vous poser, Vous n'en éludez aucune, toujours la sincérité. Rosebud, c'est un très joli bijou anal de différents motifs, couleurs, tailles, poids. Sensations variées, alternées, les sensations que j'éprouve pour et avec Vous. Tenue qu'il faut porter pour respecter le dresse code dans certaines soirées ou lieux. Unique, c'est Vous, mon Maitre. Vaincre ses peurs, cela se fait au fur et à mesure de la relation en confiance totale. Week-end et le manque de Vous qui est présent. X non, Vous qui avez un prénom. Yeux bandés, les sens et plaisirs décuplés, entendre des bruits parfois et ne pas savoir ou et quoi. Zébrures du fouet et les marques qui y découlent. Le 07 12 2010
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Par : le 21/12/20
Sauf  vacances et événements, le lundi c'est le jour  de mon soumis P---y. Le lundi je me réjouis  de sa venue. Dans  un weekend  d'été, il me prévient que dans la semaine il va aller à la plage avec des amis. Ce qui veut dire: attention à bien veiller qu'il n'y ai pas de marques de tous les côtés . Hors les marques, on aime ça... J'ai eu le weekend pour m'y  préparer psychologiquement  mais comme à chaque fois, je brûle d'impatience  bien avant l' heure fixée et mes doigts s'imaginent  déjà sillonner son dos de long en large.  NON!  Il ne faut pas !  Ça laisse des marques, surtout si je m' emballe.  OK donc ne pas s'emballer... Pas s'emballer... Je sais faire, oui, si, si,  je sais faire... Mais c'est P---y! C'est MON soumis et il l' est justement parce que je peux planter mes ongles sur lui.   Dès notre premier rendez-vous c'est ainsi. J'aime aller droit au but. Pas de chichi, de protocole à n'en plus finir. On sait pourquoi on est là, on sait ce que l' on veut tout les deux: Mon Plaisir. Je le trouve à travers ses maux et c'est à travers lui qu'il trouve le sien.  Ce depuis la première fois, Il se dépasse, se surpasse pour que prime mon plaisir... Marquer son corps de mon passage ... Je pourrais prévoir d'autres pratiques adaptées à cette petite contrainte, mais la simple idée de ne pouvoir le faire rend cette envie obsédante. Je ne pense plus qu'à ça.... Je n' ai plus qu'envie de ça... Je sais!  Je vais préparer une paire de gants en satin. Ainsi je pourrais contrer la tentation trop prononcée de le griffer. Et c'est effectivement  ce que j' ai fait....  Menotté aux barreaux de ma descente d'escalier, son dos sublimement offert à mes volontés, j'use  de ma sensualité pour le faire bander. Sa verge ainsi érigée, le dos soigneusement cambré, j'alterne mes caresses gantées et mes fessées  satinées... Je découvre un nouveau son. Un claquement plus étouffé mais pas moins envoûtant...  Sa peau se teinte différemment. Un ton rosé, discret, frustrant...  Oui! C'est ça que je ressens ! Le goût enivrant de la frustration. Privée du sens du toucher tel que je le connais. Luttant pour ne pas virer ces gants qui empêchent mes ongles de dessiner sur sa peau et me privent du claquement pimpant de mes mains sur ses fesses...  Mon soumis  le sens, je vois bien qu'il s'offre à moi avec plus de volupté. Il alimente mon plaisir en m' encourageant à claquer plus fort...  Lui aussi ressent ma frustration et s' excuse encore,  il s’adonne à mes pulsions avec une  authenticité  aussi rare que délicieuse et ça, vraiment, gant ou pas gant, c'est trippant... Non!  Faut pas faire de marque aujourd'hui. Pas s'emballer ou du moins pas trop... Je laisse cette frustration envahir mes sens et me conduire vers des sentiers nouveaux...   Il bande tellement... Je suis tellement frustrée... Je masturbe sa queue, prenant plaisir à lui souffler à l' oreille qu'à mon tour je vais le frustrer... Interdit d'éjaculer...  Le branler... Le serrer... Le serrer trop fort... Relâcher... Son gland est humide...Je retire un gant...  Sa queue , à même ma peau,  dans ma main dénudée, humm! je me sens respirée...Serrer encore plus fort... Desserrer, masturber... Amener au bord de la jouissance... J'ote le second  gant et frôle la douce chaleur de ses fesses...  Je plaque son cul contre moi d'une main ferme, branle de l' autre plus fermement et  pose sur son dos un baiser...  Respire profondément... Tellement envie de lui faire mal...    Je le lâche... Oui! Je le laisse ...   Tous deux délicieusement suspendus entre plaisir et frustration... ... Silence ...  Je le détache et le mets à genoux à mes pieds...  Il me faut maîtriser mes envies, contrôler mes pulsions...  C'est mon rôle, mon souhait. Je respecte les limites fixées de mes soumis... Pas de marques visibles aujourd'hui... "Maîtresse! _ Oui P---y? _ Je vous offrirais mon dos autant qu'il vous plaira la prochaine fois. _ Je sais oui. _ Faites vous plaisir sur mes fesses Maîtresse. Le maillot cachera tout. _Oh! Tu tentes le diable P---y! _ Oui Maîtresse. C'est pas grave si ça dépasse un peu. Hummm! Cette petite chose à mes pieds que je m' efforce de ménager depuis une heure, s'offre à ma perversité frustrée...  De, à genoux,  il se retrouve à 4 pattes...  De,  debout,  je me retrouve un genou à terre . Les deux mains bien placées au-dessus de  son si joli petit cul, j'entame la délivrance  de mes sens...  Enfin le doux bruit puissant de mes dix phalanges qui s'impriment sur sa peau...Enfin la chaleur cuisante de mes mains sur ses fesses réveille ma perversité... Brimée depuis la veille, l'envie de faire mal  sort de sa  cachette du fin fond de mes entrailles et s'empare de mon valeureux soumis .  Son corps tremble sous mes supplices. Non pas de  douleur, bien qu'elle soit   présente, mais des vibrations de mon corps qu'il ressent ...  De l' accélération de mon souffle... De l' intensité de mon émoi ...  Il tremble et fléchit... Je frappe et caresse...  Caresse et frappe... Il gémit, je mouille,mes mains le caressent  autant qu'elles le fessent et ma bouche salive se son petit cul tout rouge qui faut absolument que je m' applique à viser.  PAS GRIFFER! Non! Pas griffer... Hummm!  Ça me démange... Je louche sur son dos. Non! Ne le  regarde  pas... Son cul ... Rester concentrée sur son cul... Pas de marques au-dessus de la ceinture. Pas griffures . Pas griffer.. Ces mots tournent en boucle dans ma tête. Ils  dansent avec ma frustration au nez de ma perversité,  ce  qui fait naître en moi une pulsion sauvage... Telle une lionne saisissant enfin sa proie après une course folle, je mord dans la fesse de ma convoitise.  Sa cambrure est telle celle de la gazelle avant de s’abattre sur le sol... Son cri me transperce d'un intense frisson...  Ma mâchoire fermement   refermée sur son fessier, nos  corps s' écrasent  au sol...  Je savoure et  desserre  lentement les dents... Je passe ma main sur la trace ronde  de mon empreinte dentaire. Un sourire radieux illumine mon visage.... Je mouille tellement que mon bassin entame de langoureux balancements.  Mon jeune soumis gémit les yeux clos , son corps abandonné à mes pulsions....  Je regarde son dos sans plus  en être frustrée. Il n' est pas marqué. Il n' est pas griffer. A peine deux rougeurs sur un côté.  Hummm!  ENCORE!  J'approche ma bouche près de son cul, l' embrasse  et lui administre une seconde vive morsure...  J' entre alors dans un espace temps où mon plaisir est Maître des lieux. Mon sexe se gorge de foutre et vient se branler au plus prés des traces profondes de dents... Je savoure le lâcher-prise  de son corps...    Ma jouissance  monte en moi...  Mes hanches se déchaînent. Mes mains s’agrippent à je ne sais quoi.  MERDE!  NON!  Pas le dos.  Dans un ultime effort je rentre mes griffes, passe mes mains sous les bras de  ma petite chose  ainsi à l'abri de toutes griffures. Je  le plaque, le bloque, le  love de tout mon long contre lui... et laisse ma jouissance  s'exprimer sans retenue... Il me  faudra plus longtemps que d'habitude pour reprendre pleinement possession de mes esprits ... Finalement, la frustration ça a du bon.  ( Quand ce n'est pas souvent...) 
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Par : le 10/11/20
— Tu dois me lécher le cul, aussi, petite. J'aime bien ça. C'est vrai, mais où ai-je la tête?? Je lui dis : — Mettez-vous à quatre pattes, Monsieur Juan. Pas très viril comme position, mais comme il est lui-même super viril, ça ne le dérange pas. Quand il est dans la position de la première salope venue qui va se faire prendre en levrette, je pose mes mains sur ses fesses. Je les écarte et me retrouve à nouveau face à une forêt de poils. Oui, une mer qui descend du torse vers les jambes et une forêt entre les fesses. J'aime que Julien me fignole une "feuille de rose", une métaphore pour dire "lécher un trou du cul", donc je sais ce que j'aime et comment m'y prendre. Je promène ma bouche de haut en bas de la raie de son cul. Ses poils me chatouillent le nez.... Ensuite, je lèche son anus – oui, autant appeler un chat un chat. Il aime et tend son cul vers moi. Oh, calme-toi l'Espagnol, c'est moi qui suis aux commandes. Je l'encule un peu avec le bout de ma langue roulé. Vous voyez?? Sinon, demandez à votre femme comment elle fait pour convaincre son patron de l'augmenter. Elle n'a pas de patron?? Ben... peut-être le concierge de l'immeuble... ou alors votre papa. C'est pour rire, ne vous fâchez pas, je suis sûre qu'elle ne fait pas ça à votre père. Mais peut-être au sien... — Continue Samia?! Ça, c'est ma voix intérieure, un petit lutin coincé qui me rabroue. Je continue. Tandis que j'ai ma langue dans son cul, il me dit : — Branle-moi en même temps. Eh, oh?! Il deviendrait pas un peu familier, l'autre?? Bon, tout en léchant son anus, je le masturbe. Son bel engin vibre dans ma main. J'ai dans l'idée qu'il ne va pas pouvoir se retenir longtemps. Faut dire qu'il m'a massé les fesses, puis je lui ai léché la bite, je lui ai poignardé le trou du cul à coups de langue et enfin, je le branle, ça fait beaucoup. Je continue à l'astiquer de tous les côtés, jusqu'à ce qu'il me donne un petit coup de cul en disant : — Je veux jouir dans ta bouche, mets-toi en dessous de moi. Je me mets vite sur le dos et me glisse jusqu'à sa bite. J'ouvre grand la bouche, genre la ville qui ne veut pas se faire assiéger et accueille l'envahisseur en ouvrant grand ses portes. Il était temps, dès que son gland emplit mon gosier, je sens qu'un jet de foutre chaud vient repeindre le fond de ma gorge, je l'avale sans le mordre. C'est toute une technique, demandez à votre... — Samia?! Aussitôt que j'ai avalé, il remet une deuxième couche puis une troisième... Son sperme coule dans mon ventre.... Je le tète encore un peu comme un bébé goulu qui n'a pas eu tout à fait assez de lait. Y a plus rien?! Il se bouge et me dit : — T'es super bonne, toi. — Merci M'sieur Juan... On se repose un peu, mais je suis super excitée?! Ma chatte envoie des plaintes à mon cerveau. Au prix d'un énorme effort, j'attends 10 minutes à côté de lui. Voilà, ça y est?! Ma chatte gueule "ouaaaaaiiiis!". Tout bas, bien sûr. Elle a beau avoir des lèvres, elle ne cause pas, et d'un côté, tant mieux. Je pose ma joue droite sur son ventre et dépose son sexe alangui sur ma joue gauche. J'ai le nez dans ses poils. Le message est-il assez explicite?? Oui?! Son sexe tressaille sur ma joue... Il me dit : — Toi, tu veux que je t'enfile?! Il me prend pour une perle?? Je réponds : — M'enfiler, me monter, me baiser, comme vous vous voulez, du moment que je vous sens en moi. Je remonte à sa hauteur et il se couche sur moi. Ouch?! Il est lourd. Va pour la position du missionnaire. Il m'embrasse sur la bouche tandis que je croise mes chevilles sur ses reins. Son sexe me pénètre, enfin... Je gémis... c'est bon... Ma chatte chante "alleluia", c'est une image. Surtout, ne pas jouir trop vite, je dois penser à une chose qui ne serait pas excitante. Tifa?! C’est bizarre, j'ai détesté qu'elle me frappe et maintenant, en y repensant, ça m'excite... et... oh oui, je jouis... Ça fait un bien fou.... Voilààà... ça, c'est fait. Merci M'sieur Juan, vous pouvez descendre. Mais lui, rien à foutre (à part moi?!) il continue... Très vite, ça me plaît à nouveau, il caresse mes seins et sa bite va visiter tous les coins de mon vagin. Je sens que son sexe grossit en moi, tandis qu'il jure en espagnol, avec des mots genre "Madonna", "porca", "madre" et "puta". Ça y est, je repars aussi... Mon vagin se serre sur son sexe qui grossit. Il jouit, moi aussi... C'est très bon?! Dès que la dernière goutte de sperme est passée dans mon vagin, il se remet à côté de moi. On est couverts de sueur tous les deux. La position du missionnaire est reposante, mais quand il y a 35 °, c'est quand même chaud... On souffle tous les deux. Pendant un moment, ma chatte va roupiller... Ça fait du bien... Au bout de quelques minutes, Juan me dit : — Tu vas devoir y aller, petite, tu dois être là pour le repas de ce soir. — Pas envie... — Allez, viens. On va se laver. Je me lève en grommelant : — J'ai envie de dormir un peu... Il me prend par la main. On traverse le bar à poil. Oui, mais il y a des clients et un jeune qui sert. Juan leur dit : — Sorry les gars, y avait urgence : la petite avait le feu au cul. Les clients rigolent et il y en a un qui dit : — On le voit qu'elle a le feu au cul : il est tout rouge. Les rires repartent. On va derrière la maison. Il y a une pompe et on se lave rapidement à l'eau fraîche... Ça fait du bien... On repasse dans le bar. Je suis l'attraction du jour ou carrément de l'année. On retourne dans la chambre. Je remets la djellaba, j'y prends goût, c'est frais et... transparent. Juan me dit : — Sois gentille, va aider dans la grande tente. — Vous m'emmènerez voir les singes, demain?? — Promis. À quatre heures, je viendrai te chercher et on ira avec le gars qui les nourrit. — Je serai avec mon mari. Il répond en souriant : — Pas de problème, il paraît qu'il n'est pas jaloux. — Non, pas du tout, je baise devant lui. Je suis obligée, il a un sexe minuscule. — Le singe alpha, il aime les jolies femmes. Tu verras, il va te coller. — Il ne va pas me mordre?? — Mais non. Par contre, il va peut-être essayer de te monter. On s'embrasse et je vais vers la grande tente. Moi, je n'ai jamais fantasmé sur les singes... ni les animaux en général. Bon, il y a bien eu quelques fois le chien du voisin quand j'étais jeune et puis quelques autres et même beaucoup, mais que des chiens. Les macaques, jamais. Faut pas être racistes, non plus?! Je vais vers la grande tente, un peu apaisée. Même si je râle toujours sur Malha et cette folle de Tifa et sur Djibril. Josiane me voit, elle laisse tomber ce qu’elle fait et vient tout de suite vers moi en demandant : — Et alors, où t'étais?? — Malha m'a envoyée chez une folle qui m'a frappée?! Après ça Djibril était tellement embêté à l'idée que je ne veuille plus la faire la soirée qu'il m'a amenée chez un beau mec pour me reposer. N°2 me dit : — Il paraît que tu as reçu une fessée. Montre. Une fois de plus, je me retourne et je montre mes fesses, toujours rouges. N°1 me dit : — Tu es ravissante dans ce vêtement. Ah, Malha arrive. Elle me dit : — Écoute, je ne pouvais pas savoir que tu allais te mettre nue sous ce vêtement léger ni qu'elle allait te donner une fessée. Je ne réponds rien, je ne la regarde même pas. Il faut la vouvoyer, lui donner du Mademoiselle et puis elle m'envoie chez une folle furieuse?! Qu'elle aille se faire foutre?! Elle ajoute : — Excuse-moi, Samia. Quand même?!! Je réponds : — J'accepte vos excuses, "Mademoiselle" Malha. J'ai mis l'accent sur le "Mademoiselle". En clair : tu devras faire plus pour que je te pardonne. Elle regarde les autres et leur dit : — Soyez gentils, continuez ce que vous faisiez. Ils s'éloignent... moi aussi, mais elle me prend par la main en disant : — Viens avec moi. On va dans la tente et elle me montre une chaise en disant : — Assieds-toi. Ensuite, elle s'assied sur mes genoux et met ses bras autour de mon cou en me chuchotant à l'oreille : — Quand tout ça sera fini, on pourra jouer comme l'autre jour. En attendant, on fait la paix?? — Oui. Après m’avoir embrassée, elle me dit : — Aide qui tu veux. Moi, je dois surveiller. Je dois avouer qu'elle a fait un effort. Je cherche Julien, qui doit s'occuper de la table. Il me demande : — Ça a été, Samia ? — Oui, demain, on ira voir les singes ensemble. La soirée avec les chefs berbères est tout ce qu'il y a de convenable. Il faut dire qu'il y a des chefs religieux, aussi. Josiane et moi, on fait le service. Pas de quoi épiloguer. Je passe la nuit sur un lit de camp, Julien est dans le lit voisin. *** Le lendemain, on range et on prépare tout. À 15 h, je dis à Djibril : — Vous m'avez promis que je pourrais aller voir les singes avec Monsieur Juan et Julien. — D'accord, amuse-toi, mais sois là à 17 h. Il tient tellement à sa soirée que je pourrais demander n'importe quoi. On va chez Juan. Il est dans le jardin du bar avec les mêmes amis qu'hier. Juan se lève et m'embrasse sur la bouche. Ensuite, il serre la main de Julien en disant : — Alors, c'est toi le mari qui a une bite comme un enfant de 9 ans?? Je rectifie : — Ah non, pas 9 ans, 7 ans. Montre-la. Julien baisse son pantalon de training et exhibe sa... virilité?? Non, disons sa bite de pinson. C'est joli comme image. Les hommes éclatent de rire. Le plus vieux me dit : — Il paraît que ton homme suce mieux qu'une femme. — C'est vrai, vous voulez essayer ? — Volontiers, ma belle. Un coup d'œil à Julien et il file à la fois sous la table et entre les cuisses de l'homme qui enlève sa djellaba. Comme moi il n'a rien en dessous. Il est gros et suant... Une chose est sûre, c'est que sa bite sera propre dans 5 minutes. C'est aussi son voyage de noces à Julien, faut qu'on fasse des choses qui lui plaisent. Vous allez me dire "Qu'est ce qu'il y a de plaisant à sucer la bite d'un vieil homme gras et suant dont le dernier bain ne remonte même pas à son baptême, puisqu'il n'est pas catholique"?? Vous avez le mauvais esprit vous, hein?? Je dis à Julien "suce" et Julien est content de m'obéir. Et puis, j'exagère... si ça se trouve, cet homme prend une douche tous les matins sous la cascade, mais il n'a pas l'air soigné, voilà... Au bout de quelques minutes, l'homme pousse quelques grognements de cochon. À mon avis, il jouit dans la bouche de Julien. Lequel avale tout, bien sûr, puis il se redresse les yeux clignotants. Les hommes rient et l'applaudissent. Juan annonce : — A tout à l'heure les amis, on va voir les singes. On se dirige vers le sentier. On croise des familles de touristes qui viennent d'aller les voir. Ils semblent surpris, peut-être parce que ma djellaba est transparente. Il toque à la porte d'une petite maison. Un homme vient ouvrir, Juan l'embrasse sur la joue en disant : — Salut Ajdir. Cette demoiselle est la petite protégée de Djibril. C'est elle qui va participer à la soirée des investisseurs. On est avec son mari, qui va en être aussi. Grand sourire du gars, qui m'embrasse en disant : — Tu es très mignonne. Il serre la main de Julien. Juan poursuit : — Elle a envie de voir les singes, je crois qu'elle pourrait intéresser Alpha. Je dis très vite : — Il ne va pas me mordre?? — Oh non, sois tranquille. Je vais te donner quelque chose qui va lui plaire. Il va même être super attentionné. Évidemment, je sens bien qu'ils préparent quelque chose de spécial, mais en même temps, je sens entre mes cuisses que ma vulve est rouge et gonflée comme celle d'une femelle macaque en chaleur. L'homme nous dit : — Je prends leur nourriture et on y va. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous", ainsi que "Samia, fille du voyage" tome 1 et 2, sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 03/11/20
Maurice est un prof de philo à la retraite. Cela fait plus de 40 ans qu'il est marié avec Paulette, une prof de français, retraitée aussi. Un long bonheur conjugal sans jamais la moindre incartade, un amour passionné depuis le début. La raison en est que Maurice et Paulette appartiennent à ces couples qui ont besoin de baiser tout le temps. Les autres n'existent pas. Ils baissent n'importe où, n'importa quand. Ils ne se lassent jamais, ne comptent pas, n'ont aucune arrière pensée, c'est physique, c'est comme cela depuis le premier regard. Maurice a vu Paulette, ils se sont plus, elle l'a eu de suite dans le cul. Maurice est un dominant. Paulette adore lui obéir et le servir. Cela aussi c'est naturel entre eux. Ils sont trop heureux de se confiner à nouveau, rien que pour le plaisir d'être ensemble et de baiser à tout va. Ils vivent dans un appartement cossu avec un joli balcon qui domine les toits de la grande ville. Ils ne veulent plus sortir, se font tout livrer à domicile. Le matin Maurice aime glander au lit. Paulette lui prépare son café, des viennoiseries chaudes, et lui porte tout cela avec les journaux, livrés eux aussi. Maurice aime lire au lit pendant que Paulette fait le ménage. C'est une méticuleuse. L'appart est très agréable à vivre, d'une propreté incomparable, lumineux, bien aéré, chaud et très confortable. Maurice se lève. Il regarde le beau cul de Paulette qui s'affaire en cuisine. Il la tronche en passant. C'est si bon de la baiser pendant qu'elle bosse. C'est une femme fontaine. Elle mouille toujours beaucoup. Elle sent si bon. Elle adore être prise ainsi, à l'improviste, sans cesser ses occupations. Elle aime laisser son homme aller et venir en elle comme il lui plait. Elle aime sentir être son entière propriété. A Midi Maurice met les pieds sous la table et déguste les excellents repas préparés par son épouse. Ce sont deux épicuriens. Ils aiment faire bonne chère et déguster de bons vins. Après ils jouent à la belotte, style belotte de comptoir et c'est toujours Paulette qui gagne. Sa récompense c'est une bonne fessée sur les genoux de Maurice. La fessée fait toujours jouir Paulette. Elle est punie et mise au piquet, cul nu, culotte sur les chevilles. Son cul est trop beau. Maurice ne peux jamais résister au plaisir de bien la pénétrer et la remplir de sperme. Ils n'ont pas besoin de sortir. Le sport en chambre leur suffit. Le soir Paulette fait la lecture à son époux. Ils commentent, discutent, philosophent. Les bons livres c'est une passion pour eux. Cela les repose et leur redonne envie de baiser. Le lit conjugal est là, chaud et accueillant. Maurice adore s'enfoncer dans la chatte ruisselante de son épouse adorée. Ils hurlent des orgasmes. Ils sont heureux, s'endorment dans les bras l'un de l'autre. Les rondeurs de Paulette sont un si doux coussin. C'est beau la vie. Ils aiment le confinement et son calme.
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Par : le 25/10/20
On arrive aux cascades d'Ouzoud et on descend le sentier escarpé. En bas, j'aperçois des singes que je n'avais pas vus la première fois. Je dis : — Oh?! des singes, qu'est-ce qu'ils font là?? Djibril répond : — Ils sont chez eux. Ce sont des macaques sauvages mais habitués aux touristes. Les mêmes qu'à Gibraltar, d’ailleurs. J'aime bien les singes, je viendrai leur donner à manger. On arrive devant une très grande tente blanche. C'est là que se tiendra la réception. Il y a quelques hommes qui travaillent et puis, j'aperçois Malha. Aussitôt, je me précipite vers elle en disant : — Oh?! je suis contente de te voir. Elle est en jean et tee-shirt avec des auréoles sous les bras. Il fait plus de 30°, aussi. Je veux l'embrasser sur la bouche, mais elle me tend sa joue en disant : — Bonjour Samia. C'est bien que vous soyez là. — Tu ne m'embrasses pas?? — Tu sais, je dois m'occuper de tout le monde, ici. Je ne peux pas être trop familière avec toi. D'ailleurs, ce serait bien que tu dises Mademoiselle et que tu me vouvoies. OK?? — ... Oui... Elle me dit comme son frère tout à l'heure : — Oui qui, Samia?? — Oui Mademoiselle Malha. — Bien... Tu vois cette petite tente, là-bas?? Va aider la cuisinière. D'accord?? — Oui... Mademoiselle. — Bonne petite. Eh?! J'ai plus 8 ans?! Mais bon... je serai propriétaire d'une demi-maison et puis, ce soir, j'essaierai de... — Allez Samia, vas-y?! — Oui Mademoiselle. Elle parle à Josiane tandis que je me dirige vers la petite tente. Vous savez que je suis Comtesse??? Si, si, rappelez-vous, Comtesse de Préville à la suite de mon mariage avec mon petit chien, enfin de Julien. Toute Comtesse que je sois, je dois dire crûment que Djibril et Malha nous ont bien fourrés à sec?! Et ça fait mal?! Sous la petite tente, il y a une cuisinière assez grosse, ce qui est la caractéristique de beaucoup de cuisinières. Elle doit avoir 40 ans et peser 80 kg. Je lui dis : — Bonjour Madame. Mademoiselle Malha m'a dit de venir vous aider. Elle me regarde comme si j'étais... une salope d'infidèle à moitié à poil en public. Elle me dit : — Tu n'as pas honte de te promener comme ça?? — Mais, il fait chaud et... — Et rien du tout. Monsieur Djibril m'a prévenue. Tiens, mets ça?! Elle me tend une djellaba. Je regarde la cuisinière. Elle a des mains deux fois comme les miennes. Bon, je ne vais pas l'envoyer se faire foutre... Je prends le vêtement et je vais dans le fond de la tente pour l'enfiler. Après ça, je fais glisser mon top et mon short que j'enlève par les pieds. Je planque mes vêtements pour qu'elle ne voie pas que je les ai enlevés. La djellaba est en tissu léger qui me caresse quand je bouge. La cuisinière me dit : — Mets la capuche. Une femme ne montre pas ses cheveux. Elle a surgi du moyen âge par une déchirure temporelle?!? Elle ajoute : — Je m'appelle Tifa, mais tu diras Madame et tu feras ce que je te dis. On croirait entendre Djibril ou Malha?! Je réponds : — Oui Madame. Imaginez que vous ayez un objet très lourd en main. Vous ne voulez pas qu'il tombe, vous le tenez de toutes vos forces. Jusqu'au moment où vous n'en pouvez plus et vous le lâchez. Moi, je suis comme ça. J'ai de la force et je tiens bon, mais quand je lâche, c'est fini. Il faut comprendre que je suis dans un pays étranger, chez des Berbères dont le nom vient de Barbares et... ils sont plus forts que moi. Si on était en Roumanie ou en France je tiendrais bon. Enfin, je pense... C'est comme avec Kristos ou la fille des Flots Bleus, dont j'ai oublié le nom. Avec la cuisinière, je lâche. J'ai mis la djellaba et la capuche et j'épluche des pommes?! Mon mécanisme de soumission est enclenché... Elle le sent bien, Tifa. L'aider, ça signifie, qu'elle est assise peinarde et qu'elle me donne des ordres. Elle m'a même donné un coup sur les doigts avec le manche d'une cuiller en bois, parce que je faisais des épluchures trop épaisses. Ça fait mal, cette cuiller en bois. C'est juste bon pour le cul des hommes?! Je lui dis : — Vous savez, mon mari est très obéissant et il pourrait... — Non?! C'est toi que je veux faire obéir. Toi qui montres ton corps sans honte?! Même si ça ne dure que deux jours, je vais t'apprendre la pudeur et la modestie. Oulah?! C'est mission impossible, ça. Mais comme elle le dit, ça ne va durer que deux jours. Si j'osais, je lui répondrais : «?Si vous réussissez à m'apprendre la pudeur demain, je ne baiserai pas avec les investisseurs et vous l'aurez dans votre gros cul pour le Parc Régional de l'Atlas?». Mais mes doigts me font encore mal, alors je la ferme?! Ah?! il va m'entendre, Djibril?! Je vais saboter sa soirée, je vais... — ... Et alors tu dors?? — Non Madame. — Ça fait deux fois que je te dis de jeter l'eau qui est dans cette bassine. Je prends le récipient et je sors de la tente pour le vider un peu plus loin. À mon retour, je vois qu'elle me regarde attentivement. Elle me dit : — Mais ma parole, tu es nue là-dessous?! Tu as enlevé tes vêtements sans que je le voie et cette djellaba est transparente, parce qu'elle doit se porter au-dessus des vêtements?! — Comment, je pourrais le savoir, moi ! Il fallait... Elle m'attrape par le poignet et me bascule en travers de ses cuisses, en criant : — Tu as vraiment le diable au corps, toi?! Attends, je vais t'apprendre la pudeur?! Elle lève le bas de la djellaba jusqu'à mes reins?! C'est ça, la pudeur pour elle?? Et là, son énorme main me claque les fesses avec le bruit d'un pétard qui explose, ça fait : — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe... noooonnn arrêtez... PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Vous n'avez pas le droit... PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe — Tu vas voir si j'ai pas le droit?! — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Pardon, je serai... PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! pudiiique?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Sa paume est dure comme du bois et un déluge de claques s'abat sur mes pauvres fesses?! — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Et là, j'entends la voix de Djibril : — Mais qu'est-ce que tu fais, Tifa?? — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! — J'apprends la pudeur à cette petite traînée. — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Au secours Monsieur Djibril?! — Arrête Tifa?! — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! En tournant la tête, je vois qu'il lui a saisi le poignet?! Il me prend par la taille et me remet debout. Je pleure, le derrière en feu. Il me demande : — Qui t'a dit de venir ici?? — C'est Malha... sniiif... — La conne?! Bon, viens. Je t'envoie quelqu'un d'autre, Tifa. Elle lui répond : — Si c'est une du même genre, je lui tannerai les fesses, aussi?! On sort, entourés de jeunes qui ont assisté au spectacle?!! On va vers la grande tente, moi toujours en larmes et frottant mes fesses. Dès qu'on voit Malha, Djibril se met à crier sur elle en berbère. Bien fait?! Quand il l'a bien engueulée, il me dit : — Viens, tu vas te reposer pour être en forme ce soir. C’est tout ce qui lui importe?! Je réponds : — Je ne serai pas en forme et vous ne pouvez pas m'obliger... — On retourne chez Tifa?? — NON?! — Bon, tu as reçu une fessée, c'est pas la fin du monde. Il me prend par le bras et on va devant un petit établissement, comme il y en a beaucoup. Sur la terrasse, il y a quatre hommes qui boivent un verre en discutant. Un des quatre est vraiment... beau : 35 ans, brun, costaud, souriant. Il est habillé à l'européenne, les 3 autres, je ne sais pas, car je ne les regarde pas?! Le beau mec lui dit : — Salut Djibril, qu'est-ce que tu nous amènes de beau?? — Une petite qui a eu un différend avec Tifa. Montre tes fesses, Samia. Ah, tiens, maintenant il faut les montrer?? Je me retourne et relève ma djellaba. Aussitôt, il y a différents commentaires, genre «?Quel beau cul?!?» et «?Il est bien rouge?! ». Djibril s'adresse au beau mec en disant : — Juan, sois gentil, occupe-toi d'elle, il faut qu'elle soit en forme pour ce soir. Il s'en va. Juan se lève et me tend la main en disant : — Viens petite, je vais te soigner. — Ça fait maaal?! — J’ai un truc, tu vas voir. On traverse le petit bar pour aller dans la pièce du fond. Il me dit : — Couche-toi sur le ventre, je vais chercher ce qu’il faut. Il revient avec une boîte de Nivea. C'est ça qui va me soulager?? Il s'assied à côté de moi, relève ma djellaba et commence à me masser. D'abord, je crie un peu, mais rapidement, je ronronne... Il me masse doucement les fesses et c'est vrai que la crème me soulage. Djibril n'est pas si mauvais que ça, après tout... D'accord, cette correction m’a fait vraiment mal, mais il y a aussi les soins "après-fessée". Je demande à mon masseur : — Dites, je peux vous rendre la pareille?? — Quel appareil, petite?? Il est con, mais beau... — Je veux dire, vous masser. — Ah oui, mais pas avec de la Nivea. — Non. Enlevez vos vêtements et couchez-vous sur le dos. Il se déshabille et... il bande... bien?! Passer de la Nivea sur mes fesses rouges, ça lui a fait de l'effet. Il se couche sur le lit, le mât dressé prêt à appareiller pour Cythère. Mais si, vous savez bien, là où Aphrodite avait sa villa de vacances, avec piscine. Il a mis un bras derrière la tête. Je vous le décris : une masse de cheveux bruns, un beau visage et des poils s'échappant de l'aisselle. Il a aussi des poils sur la poitrine, le ventre le sexe, les jambes et, oui, j'aime les poils... Il sent l'eau de Cologne et la sueur d'homme. J'embrasse sa bouche, pas longtemps, je plonge le nez dans son aisselle. Il rit en disant : — Tu me chatouilles... Et, vous savez ce qu'on dit : homme qui rit, bientôt dans votre lit. Euh... oui, il y est déjà. Je descends en suivant les poils qui ondulent comme des vagues vers son phare – c'est une image, je veux parler de son sexe. D'ailleurs, qu'est-ce que je ferais avec un phare?? Ah oui, m'asseoir dessus??? C'est son sexe le phare et, à vue de nez, il fait un bon 20 cm. Comme Juan est sans doute espagnol, il n'est pas circoncis... J'embrasse la toison de son ventre, fais un détour par ses couilles gonflées de désir pour moi – comme on dit dans les romans d'amour pour jeunes filles – je les lèche, les mordille.. Puis, je m'attaque au sexe, je tire sur la peau qui recouvre la chair rose du gland... Le bout est très mouillé, je le promène sur ma bouche, puis sur mes joues pour envoyer le message aux autres femelles : ce mâle est à moi, je suis son territoire... Les hommes ne sont pas patients, vous avez déjà remarqué?? S'il y a une bite d'un côté et une bouche de l'autre ils veulent absolument que l'une entre dans l'autre... Bon, d'accord, je dégage complètement le gland et je le lèche. Son sexe et ses couilles, c'est comme une glace «?trois boules?» dans un cornet. Deux grosses boules de glace caramel en dessous et une boule à la framboise au-dessus. Il me prend par la nuque et, oui, j'ai compris, j'engloutis ma boule à la framboise d'un coup... J'apprécie son goût un peu salé, son odeur... Il me dit : — Tu dois me lécher le cul, aussi, petite. J'aime bien ça. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 12/10/20
J'ai un besoin irrésistible de me faire sauter, j'ai besoin d'une belle et grosse bite dans ma chatte de femme du troisième sexe. J'ai rencontré Pat sur des petites annonces. J'aime ses mains. De belles et grosses mains d'ouvrier métallurgiste. J'ai envie d'être caressée et j'aime les belles grosses paluches d'hommes, puissantes, râpeuses, surtout sur mes petits seins. Cela me fait mouiller. Pat m'invite pour une soirée et une nuit chez lui. J'accepte. J'adore me préparer et rouler en femme, jambes nues. J'adore me caresser les jambes quand je conduis. Merde, un contrôle de gendarmerie à un carrefour. Une jolie gendarmette. je relève ma jupe haut sur mes cuisses pour bien lui montrer mes très jolies jambes de sportive. Je ne la regarde pas mais je devine son sourire amusé sous son masque anti covid. Elle me fait signe de passer. J'arrive chez Pat, mon homme pour cette soirée. C'est vrai que ses mains sont superbes. Il commence par m'offrir un verre, mais je ne suis pas préliminaires. Déjà je me love dans ses bras et cherche ses lèvres. Sa bouche est douce, nos langues se frottent. Merde au covid 19 et à tous les protocoles de sécurité. J'ai envie de baiser. Il me caresse les fesses, les seins. Je lui caresse l'entrejambe. Et là, merde de merde, un impuissant. Heureusement il caresse et embrasse très bien. Moi qui rêvait d'un démonte pneux dans la chatte, ...pourtant je ne me sens pas frustrée. C'est étrange je suis même bien entre ses bras. -Tu es une coquine toi, tu aimes embrasser. -Non, je ne suis pas une coquine, j'aime juste être femme et sentir de belles mains d'hommes sur moi. Pat fait comme tous les impuissants, il essaie de me faire jouir en me suçant le clito. Il veut me palucher. -Non, on ne paluche pas le clito d'une femme, on se contente juste de bien lui masser le gland. Après il décide de me bouffer la chatte. Je me laisse retourner et faire. Sa langue est douce. Je le laisse me doigter. Il ne sait pas bien si prendre pour masser une prostate et trouver le point P. Mais à ma surprise, je ne suis pas frustrée. Je suis bien avec lui. il est doux. Je ne peux résister à l'envie de lui flanquer une bonne fessée. Il résiste un peu, puis se soumet. Je fais très très mal. Une fois qu'il a les fesses bien rouges, il semble bien. Son sexe est toujours désespérément mou. Dans le lit, je me love entre ses bras. J'aime ses caresses avec ses belles mains râpeuses d'ouvrier. Je ne me sens toujours pas frustrée. Une sensation étrange. Je suis bien même et je m'endors sur son épaule. Le lendemain, café et je file vite. Je me fais plaisir de nouveau à rouler en femme, jambes nues et serrées. C'est jouissif ce truc. Plus de jolie gendarmette au carrefour. Arrivée chez moi, je me donne seule un délicieux orgasme et je me délecte de mon sperme. De quoi être bien en forme pour cette nouvelle journée radieuse. Bisous
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Par : le 05/10/20
Vous appelez cela cirer ? Il me regardait fixement en me serrant la gorge. Il plaçait sous mon nez ses bottes d’équitation. - Alors ? j’attends vos explications ? - Je.. commençai-je hésitante, je n’ai pas eu le temps de les cirer, Monsieur. - C’est bien ce que je constate. Vous savez j’aime que lorsque je vous donne un ordre et que vous vous engagiez à le faire, que ce soit exécutez. - Oui.. Monsieur. - Donc, vous savez ce que vous me contraignez à faire ? je crains que vous manquiez de discipline. Nous allons remédier à cela. Devant moi il mis alors ses bottes. - Vous allez les nettoyez maintenant. J’allais chercher avec hâte le nécessaire pour cirer ses bottes. Il s’installa dans son fauteuil chesterfield fétiche. Il tenait dans sa main la cravache. Je savais que j’allais être punie. J’avais fauté. Après tout, j’avais fait exprès. Ma journée avait été pleine de tensions, j’avais besoin de lâcher prise. Je m’assis devant lui sur mes genoux, la boite de cirage juste à coté. Je commençais ma tâche. Il ne me regardait pas puis quand je jetais un regard furtif, je sentais son intransigeance. Son regard était froid, possessif. Je savais qu’il ne me laisserait rien passer. - Appliquez-vous mieux que cela, je vous prie. - Oui.. Monsieur. - Frottez bien, mieux que cela ! Soudainement il releva mon visage avec le bout de la cravache sur le menton. - Vous savez que je vais vous punir. Je le regardais avec une certaine gravité. Je hochais la tête pour lui dire que je comprenais. - Allez continuez de frotter ! plus fort ! allez. Je m’attelais à ma tache pour faire briller ses bottes. - Remontez moi votre robe sur votre cul, écartez moi donc ces jambes. Avec sa cravache, il savait me faire exécuter ses ordres. Son autorité était naturelle. - Parfait, je vois que vous n’avez pas de culotte. Maintenant mettez votre chatte sur ma botte que vous venez de nettoyez et faite la luire de votre mouille de petite chienne. J’obéissais. - Allez encore ! Voilà c’est bien. Je baissais la tête. Je savais qu’il ne ratait pas une miette de me voir en train de me masturber sur sa chaussure. - Je vais vous enseigner de rester à votre place. Je continuais encore à me déhancher d’avant en arrière sur sa botte, quand il m’ordonna de me reculer. Il leva sa botte et la regarder. - Humm voilà c’est presque parfait. Maintenant lécher. Je m’abaissais lentement. Il se releva tout en restant assis pour s’avancer vers moi. - Suffit maintenant vos petites provocations. Il indiqua de son doigt sa botte. Il me gifla sans trop de force. Il n’aimait pas me faire plier par la force. Bien au contraire. Et c’est ça que j’aimais chez lui. Ce respect que nous avions l’un pour l’autre. Certain ou certaines pourraient juger cela irrespectueux, mais au fond pourquoi est ce que je ressens ce désir en moi ? faut il en chercher des causes alors que nous sommes en train de nous satisfaire l’un de l’autre. Je baissais alors le regard et j’avançais ainsi vers le bout de sa botte. Je sortais ma langue et je commençais à lécher avec une certaine délectation comme si je léchais une sucette. Au bout de quelques instants, après s’être délecter de ce spectacle, il m’ordonna de me releva. - Venez ici. J’étais alors sur mes genoux, mon ventre se mit contre sa cuisse ferme et réconfortante. Je sentais sa chaleur comme une étreinte. Il me fit poser mes coudes sur la table basse en bois. Il releva davantage ma robe légère que je portais. Elle était noire et blanche, avec un col qui se fermait de manière assez stricte. J’étais parfaitement dans le jeu de rôle que nous jouions.. Il commença alors sa fessée. Je sentais sa main forte s’abattre sur mes fesses. Il me parlait. - Alors pensez vous mériter que je vous punisse. - Oui.. Monsieur. - Savez vous que c’est pour votre bien. Je veux que vous gardiez cela à votre esprit. Vous devez chaque jour vous améliorez dans votre tache. Ses fessées se faisait de plus en plus forte. J’avais de plus en plus chaud. Je gémissais. Il ne s’arrêtait pas. Je gémissais, quand il fessa encore de plus belle. - Vous pouvez gémir autant que vous voulez. Vous n’avez que ce que vous méritez. Je contractai mes fesses comme pour atténuer la douleur. Je devinais qu’elles étaient rouges, bien rouge. Marquées en signe de punition pour mes manquements. Chaque coup de sa main était déterminé et ferme. J’entendais chaque claquement résonner. - Je n’accepterai plus que vous preniez vos libertés sans demander permission. - Aller mettez vos mains au sol et posez votre tête dessus. - Bien. Quelle belle posture. - Maintenant écartez vos jambes. - Parfait ! Il caressa alors mes fesses puis les malaxa fortement. Puis il repris de plus belle la belle fessée que je méritais. - Je crois que chaque jour je devrais vous fesser, pour que vous rougissiez de honte d’avoir été vilaine. Encore une fois chacun de ses coup de main étaient déterminés. Intérieurement je me demandais comment il faisait pour ne pas avoir la main qui le démangeait à force de me fesser. Quand il s’arrêta, il se replongea sur son fauteuil et déposa sa botte sur mon dos. - Voulez vous que je vous laisse encore une dernière chance ? de bien faire ce que je vous demande ? ou dois je bien vous faire comprendre que je serai de plus en plus intransigeant ? - Alors ? que dois-je faire de vous ? Je savais que je devais me taire, ne pas répondre. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes fesses bien rouges tandis qu’il gardait sa botte sur le haut de mes fesses. Puis, quand il s’arrêta, il garda le silence quelques secondes. Il ôta sa jambe puis m’ordonna de me redresser face à lui. Il dégraffa alors le haut de ma robe afin de me libérer de mon carcan. Je ne portais pas de soutien gorge. Je savais qu’il aimait voir mes seins pointés à travers le tissu. Et j’assumais cette féminité. La liberté de ne pas en porter. - Voilà qui est mieux. Hummm… alors ? Je relevais mes yeux pour le regarder. Il posa sa main sur ma joue comme pour me réconforter. Mais cela ne fût que d’une courte durer quand il me gifla. Je savais qu’il était sensible à mon regard. Je voulais en jouer pour atténuer la punition que je méritais. Mais quand il était dans son rôle, il ne faisait preuve d’aucune clémence à mon égard. - Allez redressez votre dos Tenez vous droite. Vos seins doivent être présentables. Presque froidement, il les admira, les sous-pesa comme pour s’assurer qu’ils tiennent bien. Puis pour être certaine que je sois présentable, comme il le disait, il posa la cravache contre ses cuisses, puis saisit mes tétons et les tira vers lui. Je commençais à râler. Il me gifla une autre fois. - Tournez vous d’un quart de tour sur votre gauche. - Baissez donc votre tête ! arrêter votre arrogance je vous prie. Je m’exécutai, j’avais juste envie d’obéir, de ne plus penser à rien. J’avoue toute son attention. Il avait j’imagine aussi passer une rude journée. J’étais toujours admirative de sa détermination à tenir ce rôle tout en gardant sa maîtrise. Je ne savais pas s’il y avait un meilleur rôle à tenir le sien ou le mien. Dans mon cas c’est de lui offrir ma soumission, ma dévotion et toute ma confiance pour qu’il profite de moi, de l’autre, lui devait s’assurer de ma parfaite sécurité, de mes limites, de comprendre chacune de mes réactions et d’avoir cette inventivité et ce contrôle de soi. Il repris sa cravache pour me caresser alors les seins avec. Il la passa sur ma bouche, ma gorge. Je fermais les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait suivre. - Ouvrez vos yeux ! Dès que je les ouvris, je sentis la cravache frapper en premier mon sein droit puis gauche. Puis de sa main, il venait me cajoler avec une telle douceur. Cela ne durait que quelques secondes avant de reprendre son envie de me punir et de s’attarder à nouveau sur mes fesses. - Taisez vous je ne veux rien entendre, sinon je serai contraint de vous bâillonner. Il semblerait que ce ne soit pas suffisant. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Et j’entendais à nouveau le claquement de ses mains sur mon fessier bien douloureux. - Allez à quatre pattes, petite effrontée. A peine mise à quatre pattes, ses coups de cravache étaient précis. - Je vous ai donné un travail à faire et vous ne l’avez pas fait. Vous êtes ingrate. Je m’occupe de vous et au lieu de me rendre fière, vous m’obligez à vous corriger. - Vous voulez me tenir tête, vous allez voir comment je punis les vilaines filles comme vous. - Ne bougez pas ! je n’en ai pas terminé avec vous. Je gémissais encore et encore. Il soupirait comme s’il était exaspéré. - A genoux, le ventre contre vos genoux, mettez vous en boule. J’ai envie de voir quel repose pied vous faites. J’avais ma tête sur mes mains. Il me parlait de ce qu’il pouvait faire pour m’éduquer. - Je vais vous donner une belle correction pour vous faire mieux progresser rapidement. - Vous êtes bien confortable quand vous êtes à votre place, à mes pieds. Avec la cravache, il tapa sur le sol pour me montrer comment je devais me mettre. Je me relevais pour faire demi tour, - restez à quatre pattes, tête au sol. - Jambes écartées ! Allez plus vite. - Votre cul est bien rouge, comme le rouge de la honte dont vous devriez être couverte. Je sentais alors sa main douce me caressa doucement le sexe. J’étais toute trempée. Il me rendait complètement folle. J’aimais sentir ses caresses. Elles étaient un peu comme cette atmosphère après un orage, le relâchement de tensions, une plénitude. Il s’amusa à écarter mes jambes puis à insérer un doigt dans ma petite chatte. Je commençais à gémir. - Non vous ne le méritez pas. Il saisit sa cravache et s’affaira à continuer ma punition. Quelques coups s’abattaient sur ma petite chatte, sans y mettre trop de force. Cela me faisait sursauter. Il savait doser pour me donner cette douleur qui me procurait ce plaisir. - Maintenant redressez- vous , mettez -vous ici. - Allez sur les genoux, bien droite. - Mains dans le dos. - Plus vite j’ai dit ! - Baissez votre tête ! Il marqua une pause un bref instant et cravacha mes seins par des coups bien fermes et précis. Je gémissais encore voulant me défaire de cette position inconfortable. Quand il reposa sa cravache il posa à nouveau sa main sur ma joue. Je m’aventurai à le regarder, quand il me gifla. - Embrassez ma main. J’embrassais alors sa main comme l’adolescente qui avait été prise en faute et qui demandait pardon. - Pensez vous que je dois reprendre cette leçon combien de fois ? - Combien de fois faut il pour que vous compreniez ? - Maintenant vous allez aller dans votre chambre, je ne veux plus vous voir. Je me relevais pour aller dans ma chambre. Je regardais alors dans le miroir les marques de ma punition. Mes fesses étaient d’un rouge vif, parfois bleutées par endroit. J’avais quelques boursouflures. Certains ou certaines penseront que j’aime me faire battre, mais il n’en ai rien. C’est un contrôle de soi qui amène à libérer un plaisir. Il y a toujours un dosage aux coups et à la douleur. Ce qui est important c’est notre état d’esprit. Il y aura des personnes qui aiment être énormément marqués, allant à des pratiques qui ne sont pas les miennes. Certaines peuvent être selon moi des déviances. En tout cas chaque chose qui sont faites dans ce genre de relation sont voulus. La communication, le respect et parler de ce qu’on veut et ne veut pas dès le départ sont très importants. Ainsi, un homme à qui j’offre ma soumission ne fera jamais ce que je ne veux pas. Et si cela ne correspond en rien à mes envies, la confiance sera rompue, tout comme la relation. Un homme réellement dominant le sait. Et c’est ce qui en fait la différence avec un dominateur qui prend son plaisir en se fichant de sa partenaire. Je n’osais pas sortir de la chambre, comme une vilaine fille qui n’a que ce qu’elle mérite. J’allais alors prendre une bonne douche pour ensuite me poser en attendant qu’il vienne. Cette douche me fit le plus grand bien, elle me cajola. Quand je sortis de la douche il était là. A la main, une cagoule. Je devinais alors qu’il n’en avait pas fini avec moi. Il me saisit alors par les cheveux et me jeta sur le lit. Il me redressa en me tenant par les cheveux puis saisit avec brutalité mes mains. Il s’empressa de me mettre des liens et de les attacher dans mon dos. Fermement. Bien fermement. Puis il me mit cette cagoule sur la tête avec un trou au niveau de ma bouche. Puis pour parfaire le tout, mis mon collier. Je savais que je serais sa chienne ce soir. Je me sentais complètement désorientée et plus aucun repère. Il me jeta ensuite sur le lit puis s’allongea sur moi. Je tentais de bouger pour me défaire. Il dit à mon oreille : - Ta punition est loin d’être finie. - Ouvre ta bouche. Il y insérera un écarteur. Il voulait que je reste bien ouverte pour être sa disposition. Ainsi offerte à ses plaisirs. Je me retrouvais dans la position où j’étais à genoux, le ventre replié vers mes cuisses. IL ne disait aucun mot. - Prête ma petite chienne ? Il pénétra alors bien profondément ma chatte. Je ne pouvais dire mot. Ma bouche était grande ouverte. J’émettais juste le son de cette petite chienne qui allait être saillie. Il saisit alors le haut de la cagoule en empoignant également les cheveux. Il me redressait. Cela me cambrait un peu. Je ne pouvais davantage avec mes problèmes. Mais je savais qu’il voulait me baiser avec frénésie, sans aucun ménagement. - Regarde toi petite chienne. Tu n’attendais que cela avoue le ! Je sentais son souffle quand il me prenait, chaque coup où ses couilles s’abattaient contre moi. Quand il décidait de se stopper il prenait alors possession de ma bouche. J’étais son objet à disposition. Il pouvait alors faire de moi ce qu’il voulait. Il avait le choix de me prendre par le trou qu’il désirait, la chatte, le cul ou alors ma bouche. Avec l’écarteur, il ne se gênait pas pour me la mettre bien au fond de la gorge, à m’étouffer. J’étais sa salope. Il maintenait toujours ma tête par le haut de ma cagoule tout en me baisant la bouffe. Je ne pouvais dire aucun mot, juste quelques sons. Il me baisait si fortement. Il me rejeta sur le lit comme une marionnette et vint cette fois prendre l’assaut à nouveau de ma chatte. Il me mit alors sur mon flanc et remonta mes jambes sur le coté. Il tenait encore ma tête comme pour montrer que j’étais qu’un objet pour le satisfaire. - Regarde quelle bonne petite salope tu es. - T’es qu’une putain et tu dois m’honorer avec tous tes petits trous. - Regarde combien je te bourre ta petite chatte. Il rejeta ma tête violemment pour se saisir de mon sein gauche. Il le malaxait bien fermement tout en me baisant. Puis parfois il s’agrippait à mes hanches puis revenait me gifler les seins. Une fois il me disait qu’il m’aimait me punir d’être aussi belle. Il les tenait bien fermement et me pilonnait encore et encore. - Je sais que tu aimes être ma putain. Regarde toi. Tu es si belle. Puis il stoppa et me claqua les fesses. Il me laissa ainsi sur le lit. Je perdais la notion du temps. Je ne sais pas au bout de combien de temps il était revenu. IL m’agrippa par les chevilles pour me tirer au bord du lit. J’avais les pieds au sol. Avec son pieds il me fit écarter les jambes. C’est là que je sentis la froideur du métal sur mon petit trou. Il le passa sur ma petite chatte. - Oh comme t’es humide, prête comme toujours à ce que je t’utilises. Soudain, je sentis une boule de métal dans ma bouche. - Regarde ce que je vais mettre dans ton cul de pute. - J’aime quand tu ne peux rien dire, juste subir. Quand il le sortit de ma bouche, il s’assit à califourchon sur mon dos. Il écarta bien mes fesses de ses mains… Je sentais qu’il forçait le passage de la boule pour qu’elle soit aspirée. Doucement il cédait à cette pression pour qu’elle disparaisse. Il tira ensuite dessus… - Voilà, tu vas pouvoir être bien tenue. Droite. Il se dégagea puis accrocha le crochet anal à mes mains liées dans mon dos. Il s’était arrangé pour que je ne puisse plus bouger. Puis pour être certain que je sois bien maintenue, il encorda mes mains à mon collier. IL tira ensuite sur la corde. Cela me faisait me redresser, et je sentais la pression du crochet dans mon petit cul. Je sentais qu’il s’était levé. Puis il écarta mon cul, j’imagine pour admirer son œuvre. - Comme tu es belle, exposée ainsi. Il tapotait légèrement ma fesse gauche. - T’inquiète pas je vais encore te baiser petite chienne. Puis il me laissa là. Cette position était un peu inconfortable. Je tentais de me défaire mais rien à faire. Il m’avait attaché bien solidement. Puis il me donna une fessée pour me stopper dans mon élan. Il écarta encore mes fesses. - Je vois que cette situation te plait, tu dégoulines Il passa avec son sexe sur ma chatte pour le lubrifier. - Voilà petite salope. Tu as ce que tu mérites. Je sentais son membre glisser bien au fond de mon con. Je sentais son pouvoir sur moi. Quand il pris la corde qui me tenait mes mains à mon collier, cela me fit me redresser. Il voulait jouer de la contrainte. Le nœud qu’il avait fait m’étranglait un peu. Parfois il relâcha la pression pour me permettre de reprendre mon souffle. - T’es qu’une salope bonne à baiser. Je sentais son hardeur à me prendre sauvagement, fermement et bien profondément. Je ne pouvais émettre trop de son. Il me malmenait ce soir. Il tira à nouveau sur ma cagoule. Je gémissais, encore et encore. Il ne cédait rien. Il avait poser ses mains sur les miennes. Je sentais sa chaleur pendant qu’il me besognait. Puis il s’arrêta et me délaissa à nouveau. Quand il revint, il retira alors mon crochet. Il enleva mon écarteur bucal. Je n’offrais plus aucune résistance. J’étais à ses ordres ou étais ce lui qui était au mien. - Demande moi de t’enculer. - Je.. Je reprenais mon souffle, et je desserrai ma mâchoire, qui était restée ouverte si longtemps. - Alors ? - Monsieur, je vous en prie, enculez moi. - Croyez vous que vous méritez que je vous honore de mon membre alors que vous avez été si vilaine ? - Je vous en prie.. Monsieur. Il malaxa bien mes petites fesses, puis introduit son pouce dans mon fion. - Hum, comme il est bien ouvert… Je me dandinais. - Je vous en supplie, monsieur, enculez moi. Il retira son pouce et posa son membre à l’orée de mon auréole S’il vous plait Monsieur… - Non, tu ne le mérites pas. Il me retourna alors brutalement sur le dos, me retourna la tête pour la mettre au bord. Et il me baisa la bouche. J’étais endolori. Il me tenait la gorge pour qu’elle soit bien au fond. J’étais presque sur le point de vomir tellement il voulait me punir, me faire taire. Il éjacula sur mes seins. - Alors? Il me donna un claque sur la joue.. - Remercie moi! - Je vous remercie.. Monsieur? Tu me remercies de quoi? - Je vous remercie de m'honorer comme vous le faîtes. - Continue? - Je vous remercie de m'avoir punie. Il caressa alors ma joue et me laissa ainsi attachée et souillée.
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Par : le 04/10/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je suis vilaine, je ne me relis pas.. J'écris instantanément. J'ai écris sur cette musique, donc je vous invite à lire en l'écoutant NINE INCH NAILS - "CLOSER" *************************************************************************** A peine arrivée chez lui après une longue journée, je n’avais qu’une envie. Me poser. Juste avant de toquer, je me regardais encore dans le miroir afin de paraitre à mon avantage. Mes traits étaient un peu tirés. Je portais une chemise blanche avec une jupe crayon. J’affectionne particulièrement ce style. J’avais pris soin de mettre des bas couture. J’avais échangé mes chaussures à petits talons contre mes vertigineux Nina Ricci, d’un vernis rouge hypnotisant. Je sonnais, il ouvrit la porte. Il était encore habillé de son costume bleu marine. Il était si sexy. Je sentais son regard me dévorer tout en étant froid. En voyant la cravache dans sa main, je baissais naturellement les yeux. Nous allions pénétrer dans notre jardin secret où nous sommes complètement à nu. Le bruit de pas se frayait le chemin dans son antre. Je prenais soin d’avoir la démarche la plus provocante qu’il soit. Je voulais le rendre fou comme il me rendait folle. La sensualité est un art. Je me postais au milieu du salon, les jambes entreouvertes avec mon appui sur la jambe droite, me faisant me déhancher. C’est là que je sentis la cravache sur ma hanche droite m’indiquant que je devais me tenir droite. - Voilà qui est mieux ! me dit il. Il était derrière moi, je sentais son torse contre moi. Mon cœur palpitait, mon souffle l’appelait. Ma tête se glissa en arrière, recherchant son contact. Il passa la cravache alors sur ma gorge. Cela m’électrisait. Mes mains commençaient alors à chercher son contact au niveau de son entrejambe. J’avais du mal à me contenir. Je me frottais contre lui telle une petite chatte en chaleur. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Il remonta d’un coup brutal ma jupe sur mon fessier. - Hum ce cul.. une peau si blanche. Je sais que vous aimez rougir. Je sentis cette vague en moi monter, j’avais envie de serrer fortement mes jambes, de contracter mon sexe. J’avais envie qu’il me prenne là et maintenant. Il caressa doucement mon fessier. Il écartait ses doigts pour mieux mesurer le galbe de chacune de mes fesses. Il me fessa à travers ma petite culotte. Je sursautais. Il appuya sur ma tête pour la baisser. Il tournait tout autours de moi comme si j’étais sa proie qu’il allait dévorer ou plutôt avec laquelle il allait se délecter. Il parlait peu. Mes sens étaient complètement en éveil. Le bruit de ses pas. J’aimais fermer mes yeux juste pour ressentir. La privation de la vue a toujours été si excitant me donnant ce sentiment de vivre la liberté de qui je suis. Je restais ainsi en attente. Je mouillais complètement. Il tira alors sur mes cheveux pour ensuite redresser ma tête. - Votre collier ma petite chienne. Il relacha son emprise au niveau de mes cheveux. - Relevez vos cheveux. Il passa entre mes bras et ma nuque pour me faire comprendre son statut de petite chienne, et j’adorais ça. Il aimait que je me tienne fière en le portant. Il le serra fortement. Je sentais un léger étranglement si érotique. Je sentais l’odeur du cuir et cette fois ci il le verrouilla un cadenas. Il m’excitant tant. Cette envie qu’il me possède. Ce désir si animal et à la fois si beau. Il était là en train de me respirer. J’avais toujours la cravache en bouche. Il déposa un baiser si sauvage dans mon cou à la limite de la morsure. Il me léchait. Sa langue était inquisitrice, puissante. Ses dents voulait marquer son désir. Je me contenais. Garder cette frustration. Il m’avait demandé de ne pas me caresser durant une semaine. J’étais dans un tel état. Alors que je ne m’y attendais pas il claqua mes fesses avec une telle force que j’ai failli en faire tomber la cravache. Il abattit une seconde fessée sur mon postérieur. Il saisit alors ma culotte pour qu’elle se fraye un chemin dans la douce raie de mon cul. Il tira vers le haut. Je sentais la pression du tissu sur mon clitoris. Il s’amusait ainsi à jouer en tenant ma culotte ainsi avec des va et vient. Mon sexe se consumait, ma mouille devait couler entre mes lèvres. Tout en tenant ma culotte fermement vers le haut, j’avais la sensation que ce string éphémère était e train de me faire perdre pied. Je me cambrais naturellement. Il passa sa main sur ma chatte. - Hum ma petite salope, vous êtes si trempée. IL passa sa main a hauteur de mes yeux.. Ses doigts étaient en effet trempés. Il était devant moi. Son regard plonger dans le mien. C’est là qu’il saisit la cravache de ma bouche. - Bonne petite gardienne. Je le regardais fixement, avec cette fierté, cette envie de le provoquer pour qu’il me punisse. J’adorais cela. Avec le bout de la cravache, il tapotait de chaque coté de mes cuisses pour m’indiquer de les ouvrir davantage. Il glissa alors la cravache sur la culotte au niveau de mon sexe. J’avais envie de me déhancher dessus pour me caresser avec. Totalement impudique, voulant me satisfaire et me libérer de ce désir. Soudainement il me cravacha le sexe. Naturellement j’eusse envie de serrer mes jambes. - Ecarte ! Je le regardais droit dans les yeux avec cette défiance et ce sourire provoquant. - E…car…te.. Je m’exécutais et je savais que j’allais me faire punir pour cette audace qu’il aimait tant. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes cuisses. Il jouait alors encore avec ma chatte pour ensuite la punir. Il alla chercher la laisse qui gisait sur la table. Naturellement je m’accroupis Il était là à mes côtés. Il me caressait la tête. Je plaquais ma tête contre sa cuisse. Il était d’une telle douceur. Je pouvais me laisser complètement aller. J’étais en confiance car je savais qu’il me considérait et il savait me rassurer. Il posa alors son pouce sur ma bouche pour en dessiner le contour. Il inséra doucement son pouce dans ma bouche. Je le suçais, je m’en délectais. Je voulais aussi lui apporter toute ma dévotion, ma reconnaissance et les sentiments que j’avais à son égard. Je lui offrais ma soumission pour me sentir libre. Combien il était bon d’être avec un homme qui partageait les mêmes envies que les miennes. Mes envies peuvent s’apparenter à l’univers du BDSM, mais pour autant je déteste les cases. Cet univers peut être peuplé de fantasmeurs, de manipulateurs ou de personnes qui réduisent la domination à de la violence, ou encore à pouvoir faire ce qu’ils veulent d’une femme ou d’un homme, ayant trop regardé peut être des pornos. La soumission se mérite et chacun en a sa définition. Cette mise à nu à tout se dire est la relation la plus intense que je connaisse. Avez-vous déjà vécu une relation où vous êtes simplement vous. Soumise ne veut pas dire qui n’a pas de personnalité, qui ne se respecte pas, bien au contraire, c’est une femme qui s’amuse. Je sais je parle au féminin. Elle demande à l’autre de faire des efforts, de vous connaître. Messieurs, vous pensez réellement que sans savoir prendre le temps de s’intéresser à l’autre vous pouvez tout obtenir de lui ?. Et là à ce moment ici où il attache la laisse, je suis libre. Je n’ai plus besoin de penser. Il prend les rennes. Quelle libération pour moi. Quel plaisir de marcher à quatre pattes à ses côtés. Il connait tout de moi, ma personnalité, cette femme-enfant, cette femme indépendante et celle qui a envie aussi de se laisser aller à sa perversité. Il me promenait ainsi jusqu’à sa chambre. Félinement je le suivais et parfois j’aimais résister pour que la laisse se tende. Arrivés à la chambre, il me plaça devant son lit sur son tapis. Il avait pris soin de mettre une musique des plus excitantes. Nous avions cette passion pour la musique, elle nous met parfois dans un tel état. Certaines musiques sont si sexuelles. Celle-ci me rendait folle. J'étais là à quatre pattes. Il descendit alors ma culotte sur mes cuisses. Il avait appuyé sur ma tête pour la baisser vers le sol. Il s’était placé au- dessus de moi. Il avait ses jambes de pare et d’autres de ma taille. Il redressa ma jupe complètement sur ma taille. Avec la cravache il appuya sur mon dos afin que je me cambre. Je devinais qu’il regardait mon cul offert à sa vue. Je ne sentais pas le temps passé. Que faisait- il ? que me réservait il ? C’est la que je devinais un paddle long caresser mon fessier.. Il le passait d’une fesse à l’autre. Quand le premier s’abattit, je sentis force et détermination. Le ton était donné. Je savais que je ne devais pas bouger, ni rien dire. J’aimais la fessée mais parfois ses coups étaient si forts que je n’en voulais pas davantage. Parfois je faisais taire la provocation. Il me donnait des coups ferme que j’avais presque envie de me dérober. Il savait me canaliser par des gestes tendres entre pour me soulager pour mieux me punir comme je le méritais. Quand il s’arrêta, je restais statique. Mon fessier devait être écarlate. La fin donnait place à cette endorphine qui me faisait me sentir bien. Il tournait autours de moi, me laissant ainsi. Puis avec sa main, il m’appuya la tête pour que je la mette au sol. - Reste ainsi. Il me fit attendre, comme une bonne chienne attend son maitre. Quand il me laissait ainsi, je savais qu’il pensait à moi et il savait que je pensai à lui. Cette tension était palpable, mon sexe était totalement en attente. Il était en train de défaire ses boutons de manchettes, tout en ôtant sa cravate. Il sortit de la pièce et revint avec un verre de Whisky à la main. Il consultait alors son portable. Je devinais qu’il gardait un œil sur moi. Mon cul surélevé lui donnait le meilleur angle d’observation. - Tu es divine ainsi. Quelle belles chaussures ! elle te vont à ravir. Je vais prendre un plaisir à m’occuper de toi. Il prenait son temps, je commençais à être impatiente. Ce n’était pas ma meilleure qualité. Il appuya sa chaussure sur ma tête… - Prête à être baiser come une petite pute ? - Je… Un long soupir s’échappa, oui j’avais envie de cela ! qu’il me libère de cette tension animale. Il saisit alors la laisse et me redressa. Il était face à moi, il me jeta alors sur le lit. Je tombais sur son bord. Ce sentiment de vulnérabilité me donnait envie de reculer. Je commençais doucement avec mes mains à me mettre vers le milieu de celui-ci. Il plongeait son regard dans le mien. C’était électrique Je le sentais sauvage, possédé, tout comme moi. J’étais panthère. D’un seul coup il me stoppa dans mon recul. Il écarta mes jambes brutalement. Il me saisit alors sous le genou et me tira violemment à lui. Je me sentais conquise, prête à être possédée avec cette fougue qui l’animait. Mon dos tomba sur le lit soudainement. Lui était au bord du lit entre mes jambes qu’il tenait fermement de ses mains dominantes. Nous nous regardions avec une telle intensité. Naturellement je lui appartenais, naturellement il me donnait envie de me soumettre. C’était d’une évidence. Cette passion. Il se pencha alors vers moi Je sentais à travers son pantalon son sexe dressé. Il mis alors sa main sur mon visage pour le caresser puis il passa son pouce sur ma bouche. Elle était complètement asséchée. Il força ma bouche à céder sous sa pression pour qu’elle s’entrouve. Il l’enfonça dans ma bouche. Naturellement je l’ouvrais davantage, je le désirai. Je commençais à me délecter de son pouce. Il saisit alors ma gorge pour maintenir plus de pression. Il s’approcha davantage pour passer sa langue sur ma bouche. Il plongea ses yeux dans mon regard. Je le regardais droit dans les yeux. Il me gifla. Ma tête était partie sur le côté gauche. IL mis sa main sur mon cou, il serra, tout en me léchant la joue, tel un loup qui s’apprête à dévorer le pauvre petit chaperon rouge. Il se redressa. Il saisit ma chemise et fit sauter les boutons pour me l’arracher. C’était si intense, si excitant. Il voulait libérer mes seins. Il me fixa encore. Il libéra mes seins en les sortant du soutien gorge. Il les pris alors de ses pleines mains pour les malaxer. Je sentais ses doigts marqués ma peau. Il saisit d’un coup net mes tétons pour les tirer à lui comme il aimait tirer sur ma laisse. Je me redressai alors. Il me gifla pour me faire comprendre que je ne devais pas bouger. Il avait pris soin de préparer les pinces à tétons que je redoutais tant. J’avais une sensibilité certaine. Il aimait me parer ainsi pour me rendre des plus dociles, sentir la douleur m’exciter. Il me para également de bracelets en cuir noir à mes chevilles ainsi qu’à mes poignets. Et les attacha ensemble pour avoir un accès total à mon sexe et à mon cul. J’étais là exposée, soumise à ses moindres envies. Il mis sur mes yeux un bandeau également tout en cuir. Ma poitrine se soulevait. Je ne tenais plus jusqu’au moment où je sentis ses doigts toucher mon clitoris. - Que tu es trempée, je vais me délecter de ce doux nectar. Quand sa langue s’abattit sur mon sexe, je soupirais. C’était si bon. Il titillait doucement mon clitoris. Mon sexe était lisse, sans poil, j’aimais sentir ses doigts recouvrir tout mon sexe de ma mouille. Il écartait mes lèvres pour l’aspirer c’était tellement intense. J’avais envie qu’il me possède sur le chant, qu’il me baise comme jamais. Il savait me rendre folle. Il m’acheva quand il enfonça ses doigts dans ma petite chatte. Il aimait s’y aventurer, me l’écarteler. J’adorais ça. Il y allait en profondeur avec des vas et viens puissants, tout en continuant à me lécher. Je me dandinais comme une bonne petite chienne qui n’attend que d’être prise. Je suffoque de ce désir. Il me fait monter à la limite de la jouissance. Je me contracte, voulant de cette jouissance, mais il arrive à me mettre au bord. Il m’a interdit de jouir. Pour me faire redescendre il aime continuer à me lécher tout en tirant sur la chaine de mes pinces. Des petits cris de douleurs, de plaisirs s’échappent alors de ma bouche. J’ai senti qu’il se redressait quand il plaqua sa main sur ma bouche. Il me détacha. Il saisit à nouveau mes jambes pour bien les ramener au bord. Tout en me regardant il prit la mouille de ma chatte, il se délecta les doigts puis les posa à nouveau à l’orée de mon trou. Il défit son pantalon et sortit son sexe en érection. Il me pénétra ainsi sauvagement. D’un coup sec. Il me tenait par les cuisses, il était debout. Il prenait ce qui était à lui. De bons coups de queue me transperçaient. Mes seins volaient dans tous les sens. Il me baisait comme une bonne petite putain. Il soulevait soudainement mes jambes pour les mettre contre lui. Je le sentais intensément. Ses coups étaient si fort. Il prenait aussi son temps pour me la mettre dans profond. Quand il saisit mes poignets pour me rapprocher de lui, c’était pour mieux me transpercer. - Petite putain ! J’aimais quand il m’insultait. Je n’ai jamais compris pourquoi cela me faisait tant d’effet. Mais j’aimais être sa putain. Il faut être femme, amante, maîtresse et putain. D’un seul coup il me retourna sur le ventre. Il saisit mes poignets et les attacha fermement dans le bain. En me tenant par les coudes, il me prit à nouveau sauvagement. Je le sentais bien au fond de ma chatte. Parfois une douleur venait. Mon utérus rétroversé parfois me donnait quelques douleurs. Mais que j’aimais être possédée ainsi. Je sentais alors son poids sur moi et il me tenait par la gorge. Je ne pouvais pas me cambrer comme je voulais au niveau de mon dos. Sentir son souffle était si bon. Il m’embrassait l’épaule gauche, il la mordait puis dans une frénésie il appuyait ma tête contre le lit. Et il entamait de me labourer comme il se devait. C’était si fort que j’en étais arrivée, je le devinais au milieu du lit. J’étais alors allongée sur le ventre. Il se relevait et écarter mes fesses. - Reste les jambes bien fermées. - J’ai tellement envie de rendre béante ta petite rondelle ma chienne. Laisser l’empreinte de ma bite. Il commença par insérer un premier doigt.. il s’amusait avec son jouet. Il faisait des va et vient. Il aimait ensuite passer sa main sur ma chatte pour s’assurer de bien me lubrifier de partout. J’étais si trempée. - Hum j’ai du travail à faire avec ton petit fion pour bien l’écarteler. Tu es si serré. Il plaça un doigt de chacune de ses mains pour l’ouvrir. Il voulait l’inspecter, voir ce qu’il pouvait en faire. Puis il remit deux doigts bien fermement. Il commença à nouveau des vas et bien puis à l’élargir. - Humm tu t’ouvres doucement. J’aurai tant aimé t’enculer comme ça à sec comme une vraie salope.. mais tu n’es pas encore prête. Cela me vexait mais m’excitait à la fois. - Je vais te faire porter un rosebud pour ton entrainement anal. Il me tenait le cou, et il me baisait de ses doigts. - Tu aimes avoue ! - Oui j’adore… encore… - Regarde moi comme tu te dandines… Je voulais davantage. Puis il écarta si fortement mes fesses que j’en eu presque mal. Je sentis alors sa queue au niveau de mon anus. -Hum si tu voyais comment ton petit orifice cède.. tu sais que tu vas prendre cher. Je ne veux rien entendre. Compris. - oui… - Oui qui ? - Oui.. Monsieur. Tout en douceur je sentais mon fion cédé. Quand il fut bien en moi, il prit son temps. Puis tout doucement commença à me chevaucher. Il me claquait les fesses. Un son s’échappa de ma bouche. Quand soudainement Il s’allongea sur moi, et mit sa main sur ma bouche pour me faire taire. Sa frénésie commença, je me débattais pour limiter son assaut. Mes mains dans le dos tentaient de le repousser pour le calmer. Il continuer de me baiser. Quand je sentais ses coups de rein de plus en plus fort, je compris que sa jouissance était proche. Il éjacula. Je n’entendais que son souffle. Ce silence qui parle. Je sentis alors son poids sur moi. Il s’était complètement relâché. - Ne bouge pas ! Il resta quelques minutes sur moi. Je sentais son cœur battre. Il était à nu sur moi. Je sentais sa chaleur, il transpirait. Il me caressait doucement les cheveux. Je sentais sa semence au fond de mon petit cul. J’ai toujours eu un rapport au sperme particulier. Au bout de quelques minutes il se releva. Il s’absenta. Il était allé se nettoyer. Quand il revint, il caressa mes fesses. Je sentais qu’il m’observait. Peut être regarder il le spectacle du sperme s’écouler de mon petit trou ?. Soudain, je sentis la chaleur d’un gant de toilettes me laver. C’était si érotique, intime. Quand il eu finit, il me retourna. J’avais toujours mon masque sur les yeux. C’est là que je lui dis. - Je ne tiens plus il faut que j’aille faire pipi. Tout en m’aidant il me releva. Il me conduisit aux toilettes. Il rabaissa alors la cuvette comme un réel gentleman. - Détachez moi, s’il vous plait C’est là qu’il me dit. - Allez fais tes besoins ma petite chienne, dit il . Je sentis dans son regard une forme de taquinerie. Je le regardais un peu gênée mais nous aimions jouer. Nous avions un tel degré d’intimité qu’au fond cela était presque naturel. Je m’assis alors sur les toilettes pour me soulager. Quand j’eusse fini il s’approcha de moi. Il saisit le papier toilettes et m’essuya et tira la chasse d’eau. Puis soigneusement il lava ma petite chatte Il me tira à lui et m’embrasser avec tant de passion. - Mademoiselle mouille encore.. Nous sortîmes de la salle de bain. Il me poussa alors sur le fauteuil. Il noua mes chevilles à l’assise pour que mes cuisses restent bien ouvertes. C’est là qu’il ôta mon bandeau. Il me regardait avec une telle passion, une telle détermination. Il mit ses doigts dans ma bouche pour que je les mouille. Puis tout en me regardant, il les mis dans ma chatte. Il le fit avec une telle intensité. IL me tenait bien dressée par le collier. - Allez .. - Non… non… Je voyais qu’il avait mis une serviette au sol, il aimait me rendre fontaine. Ca l’excitait. - Regarde tout ce que tu mets partout petite chienne - Tiens ma petite catin. Fontaine, je l’étais. J’en avais presque honte. Il recommençait, je perdais complètement pied. Il tapait ensuite sur ma petite chatte pour engouffrer à nouveaux ses doigts, il aimait me remplir. Puis une fois mûre il déposa sa langue sur mon clitoris. Il prenait ma chatte mais aussi mon petit fion. - Oh oui c’est bon des doigts dans la chatte et dans le cul.. hein ? - Oui.. c’est… c’est .. si bon. - Allez jouis ma belle…. Je me sentais au bord du précipice voulant que cela dure et à la fois être soulagée. IL m’acheva. Mon corps tremblait de partout. Je sentis les secousses m’envahir et ce plaisir me faire monter dans les étoiles. Les larmes commençaient à monter. Tout en me regardant il me détacha les jambes. Il me leva, pris ma place. IL me fit m’asseoir sur lui. Je me lovais contre lui. Tremblante de mon désir, de ma jouissance, d’avoir atteint ce bonheur, ce plaisir. Je me sentais à la fois vulnérable et à la fois protéger contre lui. Je sentais ses bras me tenir fermement et ses mains me caresser. Au bout de quelques minutes il me releva. - Viens, viens au chaud. IL m’invita alors à me mettre sous les draps. J’étais frigorifiée. Il me déshabilla complètement, je me laissais faire, j'en avais envie. C’est là que je me rendis compte que la pluie s’abattait dehors. Complètement heureuse d’être ici. Je m’endormais. Quand je me réveillais, il m’avait alors enchaînée au lit avec des cadenas…
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Par : le 27/09/20
Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement. Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit: -Madam j'ai envie pipi Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud. C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé. Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Par : le 22/09/20
Je nettoie bien mon plan de travail, puis je remonte vers les étages supérieurs pour l'embrasser, mais elle détourne le visage en riant. Je demande : — Tu n'as pas aimé?? — Si, c'était délicieux, mais tu sens trop la chatte?! — J'aime ton odeur... — Tu es mignonne. Tandis qu'on bêtifie, une grosse voix se fait entendre : — Alors Samia, pour demain?? Je fais la conne en répondant : — Quoi, Monsieur Djibril?? — Est-ce que tu viens?? Malha se lève et me prend contre elle, on est peau à peau, seins à seins, ses poils caressent mon pubis épilé. Elle met ses bras autour de mon cou, en disant : — On dansera ensemble. — Bon... alors, je viens... pour toi. Malha dit à son frère : — Djibril, sois gentil avec elle, c'est une femme, pas une gamine... Arrête de la fesser. — La ramène pas trop, toi. Rappelle-moi la dernière fois que tu as reçu une fessée?? Elle rougit, enfin, j'imagine, parce que c'est difficile de rougir quand on a un teint... ambré. Elle me dit : — Mets ma robe pour rentrer... Tu me la ramèneras demain. — On ne se voit plus aujourd'hui?? — On doit aller discuter avec le chef de la région, mais demain, on viendra vous chercher vers 14 h et on préparera tout ensemble. — Tu resteras près de moi?? La grosse voix de Djibril retentit à nouveau : — Dis, Samia, t'as plus 8 ans. Oui, elle s'occupera de toi et si tu fais ce qu'on te demande, tu pourras passer la nuit avec elle. Mets la robe, je te raccompagne. J'enfile la robe de Malha... Oh?! il y a des auréoles de transpiration sous les bras et... Ho, vos gueules les hormones?! Arrivée à la maison, je vais dans le jardin... Josiane est là avec les jumeaux. Je leur dis : — Vous m'avez bien laissée tomber?! C'est Josiane qui répond : — Qu'est-ce que tu voulais qu'on fasse?? Jumeau 1 ajoute : — On savait bien qu'il ne te ferait pas de mal. — La fessée, je te jure que ça fait mal ! Josiane vient près de moi en disant : — Djibril nous a fait un signe le pouce levé, on savait qu'il allait se racheter, c'est ce qu'il a fait?? — ... Euh... — Mais dis donc, toi?! Elle me renifle, puis s’exclame : — Tu sens la chatte?! Qu'est-ce que tu as fait?? — C'est que... euh... je suis très souple. Elle ouvre de grands yeux, puis éclate de rire. Je lui dis : — C'est Malha, la sœur de Djibril. — Aaah d'accord, elle t'a prise par les sentiments... Djibril met fin à cet échange mondain en nous annonçant : — Cet après-midi, je dois voir des gens importants. Je voudrais que les deux femmes en profitent pour faire le ménage à fond. Ça devient une porcherie, cette maison. Ramassez tout ce qui traîne, faites la vaisselle, donnez un coup de torchon par terre, prenez les poussières... C'est tout, faut pas lui cirer les chaussures en plus?? Il ajoute : — J'ai dit les femmes, Samia. Compris?? — Ouais, ouais... — Est-ce que c'est poli de répondre comme ça?? — Non, monsieur Djibril, et oui, le ménage sera fait. — Voilà qui est mieux... quand tout sera impeccable ici, vous pouvez aller dans la 5e maison en descendant, il y a une piscine. Vous pouvez en profiter, mais sans foutre le bordel. Il nous traite vraiment comme des enfants, mais on dit tous «?Oui Monsieur Djibril?». Il ne sait pas si c'est pour se foutre de lui ou pas. Il s'en va, le macho. Qui a dit que c'était aux femmes de nettoyer?? Et là, j'ai une idée... je dis à Julien : — Va chercher la valise Il obéit toujours aussi vite et aussi bien. Quand il la pose devant moi, je lui dis : — Transforme-toi en Giulia. Pas un instant d'hésitation, ce qui lui vaudrait une raclée avec la cuiller... Oui, la même, et je sais qu'elle fait vraiment mal?! Il se déshabille, les jumeaux rient en voyant son petit sexe. Il met une mini, un top, des chaussures à haut talon et voilà Giulia. J’explique à Josiane : — Djibril a dit les femmes, et voici Giulia, la nouvelle bonne. Elle rit, puis s’exclame : — Super?! Mais j'ai une autre idée. Elle va dans sa chambre et revient avec une perruque blonde qu'elle met sur la tête de Robert. Les jumeaux éclatent de rire, eux aussi. Il faut dire Robert avec une perruque blonde, il y a de quoi se marrer. Les deux nouvelles "servantes" commencent à tout ranger et à nettoyer. Je dis à Josiane et aux jumeaux : — C'est vrai que les femmes nettoient bien... Dites, si Djibril revient, vous me défendrez?? Ils me le jurent. Jumeau 1 me dit : — Tout à l'heure, on a été surpris et puis on avait envie de voir ce qu'il allait faire et... c'était si beau la cuiller sur tes fesses?! Ils n'ont pas de filtres, les frangins. Pendant que les "femmes" font le ménage, je vais me laver... Ensuite, Josiane me propose : — Si on allait à la piscine?? — Bonne idée... Il est déjà 15 h. Josiane crie : — Plus vite les femmes de ménage?! Sinon, pas de piscine?! Ils sont déjà rouges et suants, mais ils se dépêchent... C'est cool d'avoir des servantes aussi dévouées. C'est vrai que la maison avait besoin d'un bon nettoyage. Je dis à Julien : — Change-toi... On part pour la 5e maison. La porte est ouverte et on entend déjà des cris d'enfants. Merde?! Il y a d'autres gens. Il s'agit d'un couple de Scandinaves avec leurs gosses. Je leur parle en anglais, ils sont sympas... La fille, très blonde, est à l'ombre d'un parasol. Je lui demande : — Ça ne vous dérange pas si on fait du topless?? — Pas du tout, on a déjà fait du naturisme, allez-y... Le mari est d'accord aussi et les enfants n'ont pas l'air de se soucier de ce qu'on fait. Évidemment, il n’est pas possible de "jouer" devant les Suédois... Alors on se baigne. Les jumeaux ont du mal à ne pas regarder nos nichons. On envoie les maris acheter à boire, quelque chose d'alcoolisé. Josiane donne de l'argent à Robert, en fait, son argent. Ils vont dans le magasin du village et reviennent avec des bières et du vin. En principe, on ne vend pas de boissons alcoolisées ici, mais on est des touristes et on paye. On donne une bière aux Suédois. Les jumeaux boivent aussi, bien que ce ne soit pas habituel. Ça m'arrange, parce que j'ai envie de leur demander quelque chose. Je différencie bien les jumeaux, maintenant, mais je ne retiens pas leurs prénoms. Mon préféré, je l'appelle N° 1. On nage et on s'amuse dans la piscine. N° 2 joue à la balle avec les enfants, tandis que N° 1 se repose appuyé sur le bord de la piscine. Je m'approche de lui jusqu'à ce que le bout de mes seins s'appuie sur sa peau douce. Il s'immobilise comme paralysé par le contact de mes nichons. Je lui dis : — Tu as vu comme on regarde les marques sur le haut de mes cuisses?? C'est vraiment gênant. J'en ai marre des sévices de Djibril. Je n’irai pas à la soirée demain... Je vais peut-être retourner à Marrakech. Oulah, N° 1 fait une de ces têtes. Il me supplie pratiquement : — Oh non, ne nous fait pas ça, je t'en prie?! — Je ne sais même pas ce qui va se passer. Si ça se trouve, il va me fouetter pour amuser ces putains d'investisseurs. — Non?! Je te jure... — Alors, raconte-moi ce que Djibril t'a dit... N° 2 arrive au secours de son frère qui perd pied. Vous savez que certains jumeaux inventent une langue à eux que les autres ne peuvent pas comprendre?? Ben, si... Ils parlent en jumeau bas et vite. Donc je ne comprends rien. On a de l'eau jusqu'à la taille et je plonge la main dans leurs maillots. Ouch?! Radio jumeau s'arrête net. Par contre, leurs bites grandissent entre mes doigts... N° 1 me demande : — Tu jures de ne pas répéter qu'on te l'a dit?? — Je le jure?! Alors ils me racontent en se relayant : — Il y aura une grande soirée aux cascades. — C'est très important pour la région. — Il y aura un DJ, plein à boire et à manger. — Et aussi de très belles filles. C'est un peu comme si j'assistais à un match de tennis, je passe d'un jumeau à l'autre... Je leur demande : — Quelles filles?? — La sœur de Djibril, une de ses amies, deux belles Marocaines et... — Et puis Josiane et toi. Il s'arrête. Je leur redemande : — Qu'est-ce qu'on devra faire?? Là, ils se bloquent tous les deux. J'accentue la pression de mes doigts sur leurs sexes qui frétillent dans mes mains... Les Suédois se lèvent et nous disent au revoir... Ils ont rendez-vous avec un guide. Güt. On est seuls... Josiane s'approche de nous en disant : — Vous faites quoi?? — Les jumeaux me parlent de la soirée. On est toutes les deux en face des jumeaux qui déballent tout : «?On devra distraire les investisseurs, ce qui ne sera pas un problème, puisque nous sommes du genre à se coucher en écartant les cuisses, quand on nous propose de nous asseoir?». Je reconnais le style de Djibril... Josiane et moi, on se regarde en riant. C'est vrai qu'on n'est pas tellement farouches. Je dis à N° 1. — Continue. — Il nous a promis qu'on pourrait baiser les filles, après les hommes importants... — Et même vous... On a tellement envie de vous... C'est mignon, non?? Et puis ça me plaît qu'ils baisent leur belle-mère... Je dis : — Et c'est tout?? — Non, vous recevrez des cadeaux. Josiane leur fait remarquer : — Si vous aviez envie de me baiser, fallait simplement me le dire. Les deux numéros ensemble : — Tu serais d'accord?? — Évidemment et Samia aussi. Hein chérie?? — Mais oui, bien sûr. Toujours d'accord pour me faire baiser, moi. Ils nous regardent tous les deux, comme s'ils étaient affamés, et nous, deux gros gâteaux au chocolat et crème fraîche?! Ils demandent : — Maintenant?? Josiane répond : — Oui, on rentre, on boit un coup et on le fait. Mais avant ça, faut penser aux maris. Elle crie : — Les maris à poil?! Après qu’ils se soient déshabillés, elle leur jette : — Allez, dans la piscine?! Oh?? Elle se préoccupe d'eux maintenant?? Elle leur lance une balle en disant : — Vous pouvez jouer. Ils obéissent. Putain, ces deux-là, la cigogne qui les apportés a dû égarer leurs paires de couilles en chemin?! Je sens la main du N° 1 sur mes fesses tandis que N° 2 tète goulûment les seins de sa belle-maman. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 13/09/20
Le lendemain, je me réveille en forme. Julien me fait un peu de bouche-à-bouche. Entendons nous, ses lèvres horizontales sur mes lèvres verticales, un peu collantes le matin, surtout quand j'ai fait des rêves érotiques... Ensuite, il va aider l'autre domestique. Mais si, vous savez bien, l'autre mari. Je me lève un quart d'heure plus tard et je vais embrasser Josiane et les jumeaux. Tous sur la bouche, ce matin. Il faut dire qu'on est devenus intimes. Ils vont de mieux en mieux, ces petits, ils sont même de très bonne humeur. Même d'humeur à faire des farces, vous voyez. Au moment où leur père arrive avec une théière, un des deux lui fait un "croche-patte" ! Résultat, ce maladroit de Robert trébuche et renverse la théière sur la table. Et "presque" sur les cuisses de Josiane, qui se met à gueuler comme un putois femelle à qui on vient de marcher sur la queue?! Elle le traite de connard, d'enculé, de grosse larve et j'en passe des moins classes. Ce qui est amusant, c'est que Josiane m'a dit que Robert n'est pas un petit employé de banque comme je le pensais, mais le PDG d'une grosse société de vins et spiritueux. Josiane me dit : — Samia, tu me prêtes ton truc à punir les maladroits?? — Oui, avec plaisir. Julien, va chercher?! Robert bredouille : — Excuse-moi ma chérie... on m'a fait trébucher. — C'est ça, accuse les autres?! Julien revient avec la grande cuiller en bois que j'emploie régulièrement pour lui donner des corrections. Quand il a fait une connerie ou simplement parce que quelque chose m’a énervée... Hé oui, ça me calme. Pas de chance pour ses fesses... Comme il est excessivement douillet, Julien piaille délicieusement quand je le corrige. Josiane crie à son mari : — En position ! Oh?! Je vois qu’il est également bien dressé puisque, sans discuter, il baisse son short et se penche en avant, les coudes posés sur l’assise de la chaise. Son gros derrière tout blanc est une cible parfaite. Il va avoir des couleurs dans pas longtemps. J'adore voir ce PDG, tout penaud, les fesses en l'air et en plus devant ses fils. Justement, un des jumeaux demande à Josiane : — On peut le faire aussi?? Steupléééé... Alors ça, c'est limite pas convenable. J'adore?! Josiane tend la cuiller au Jumeau N° 1, qui en envoie un grand coup sur les fesses de son père. Oh qu'il n'aime pas. Il crie : — Aïe... ça fait mal?! Ben évidemment, banane, c'est une punition. Jumeau N° 1 y va de bon cœur et donne une douzaine de coups de cuiller tandis que son père crie comme un bébé qui fait ses dents. Il passe la cuiller à Jumeau N° 2 qui frappe à son tour. Le gros derrière du PDG est constellé de grosses marques rouges en forme de cuiller... Jumeau N° 2 me demande : — Tu ne veux pas le punir, toi aussi?? On ne refuse pas quelque chose qui est offert de bon cœur... Je prends la cuiller en disant : — Volontiers... Je vais vous montrer un petit mouvement du poignet qui rend le coup encore plus douloureux. Je frappe et, bizarrement, Robert n'aime pas du tout mon petit mouvement du poignet. D’ailleurs, il le crie bien fort. Je suis là, la cuiller levée prête à corriger, quand Djibril arrive en disant : — Mais qu'est-ce que tu fais encore?? On entend ce pauvre homme crier à l'autre bout du village. Je bredouille : — Mais... euh... c'est pas moi, c'est... — Comment ça, c'est pas toi?? Je t'ai vue. On ne traite pas un homme comme ça?! Non mais, de quoi il se mêle?!? Qu'il nous laisse nous amuser. Sans réfléchir, je réponds : — C'est pas vos affaires et d'ailleurs... Je regrette aussitôt d'avoir dit ça, car Djibril répond sur un ton furieux : — Si, c'est mes affaires?! Maintenant, je vais te montrer comment moi, je traite les gamines insolentes?! L'instant d'après, il saisit mon poignet, s'assied sur une chaise et me couche en travers de ses cuisses, les fesses en l'air. Je crie aux autres : — Ne le laissez pas faire?! Personne ne bouge... Alors, j'essaie autre chose : — Pardon Monsieur Djibril, je... Trop tard : il a déjà descendu ma culotte de maillot sur mes talons. Je crie : — Je vous donnerai... Aïïïe?!! Il vient de me balancer un grand coup de cuiller en bois sur les fesses?! Ça fait un mal de chien?! Et ça repart : — Aïe... aïïe... nnooonnn... aïe, aïe... pardon, noonnn... ça fait trop mal?! Il s'arrête pour me demander : — Et à lui, tu crois que ça ne faisait pas mal?? — Siiii, mais c'est pas moi qui.... Aïe?! Noooonnn?!!! Aïe... — Si c'est toi?! Et je vais te filer quelques coups sur le haut des cuisses, tu te souviendras que ça fait mal chaque fois que tu t'assiéras?! — Noooonnn?!!! Aïe, aïe, aïe... Enfin, il s'arrête. J'ai terriblement mal aux fesses et aux cuisses. Il pose sa main sur mon derrière en disant : — Tu n'as rien à me dire?? — Pardon Monsieur Djibril. — Que ça te serve de leçon. Moi, on ne me parle pas mal. OK?? Tout en frottant mes fesses, je réponds : — Oui, j'ai compris Monsieur Djibril. D'accord, je m'aplatis, mais elle fait vraiment mal, cette cuiller?! Je me défoulerai sur les fesses de Julien, chacun son tour?! Djibril annonce à tout le monde : — Je n'étais pas venu pour fesser Samia, mais pour vous inviter à une soirée aux cascades, demain en fin d'après midi, en l'honneur d'investisseurs étrangers. Il y aura le chef du village et des gens importants. Il continue pour moi et Josiane : — Comme vous êtes belles toutes les deux... Je devine la suite "belles et pas farouches"... Mais en fait, il dit : — On a prévu des cadeaux qui vont vous plaire et... Je le coupe en disant : — Je suis désolée, j'ai un projet pour demain soir. De toute façon, je ne compte pas montrer mes fesses et mes cuisses couvertes de traces rouges. Les jumeaux disent : — On restera avec toi. Merci, les frérots?! Djibril paie ce qu'il m'a fait. Je me demande comment il va rattraper la situation... Il prend les deux jumeaux par les épaules et va dehors avec eux. Josiane essaie de me raisonner : — Ce n'est jamais qu'une fessée. — Tu as vu mes fesses?? — Oui, mais une fessée, c’est quand même pas si terrible et... Et je ne sais pas quoi, car Djibril revient avec les jumeaux en disant : — Voilà, ils viennent. Toi aussi, Samia. — Non?! D'ailleurs, je vais aller m'allonger sur mon lit, je ne me sens pas très bien. Djibril insiste : — Ce sera une super fête. Je me frotte à nouveau les fesses en disant : — Je n'en doute pas. Amusez-vous bien. Alors, il me prend et me met sur son épaule comme si j'étais un sac à patates?! Je crie : — Au secours?! Personne ne bouge, évidemment. Il sort de la maison et on traverse une partie du village, moi sur son dos, en train de crier. Ça fait rire les gens qu'on croise. Je lui donne des coups de poing dans le dos, mais en guise de réponse, il me claque chaque fois les fesses... donc j'arrête tout de suite. On arrive devant la maison de ses parents. Je crie : — Qu'est-ce que vous allez me faire??!!! On monte une volée d'escaliers. Au premier, il me remet sur mes pieds mais en me tenant fermement. Il me dit : — J'ai une surprise pour toi. Je m'en fous de sa surprise?! Il me pousse dans une chambre... et là, sur le lit, il y a une apparition : la reine de Saba nue... ou Cléopâtre avec un petit nez... ou Shéhérazade... C'est Malha, ce qui veut dire "charmante" en Berbère. Comme elle dormait, notre arrivée l’a réveillée. Elle se redresse et dit en bâillant : — Kes' tu veux encore Djibril?? — Tu te souviens de Samia?? — Bien sûr. — Je compte sur toi pour la convaincre de venir à la soirée de demain. Mes hormones se mettent à crier : "Ouais, super?! Elle est belle, elle sent bon la fille qui a eu chaud, va vite mettre ton nez dans ses poils." Je leur réponds (en pensée) : "Cette brute m'a fait trop mal, j'en veux pas de sa surprise, il peut se la remballer?!" Ouh là?! Mes hormones deviennent enragées, puisqu’en guise de réponse, elles me gueulent : "Tu mens, tu as fait beaucoup de cinéma pour qu'il ne frappe pas trop fort, mais tes fesses en ont vu d'autres?!" Tout ce dialogue en une fraction de seconde... Malha me tend la main, m'attire à elle et m'embrasse sur la bouche. Mes hormones roucoulent : "Trop bonne, sa salive?!" C'est pas faux. Je dis quand même a Malha : — Ton frère est une brute?! — Je sais, mais, moi, je vais être très gentille avec toi... Dans mon dos, Djibril me dit : — Alors, tu viens?? Malha sera là... Je crève d'envie de lui dire d'aller se faire foutre, mais je suis prudente et puis, elle est trop belle et elle sent trop bon... La forêt, la mer, le cuir humide... De plus, j'ai toujours eu l'intention d'aller à cette fête, mais je voulais le faire chier un peu, pour appeler un chat, un chat. Je réponds : — Oui.... — Reconnais que tu la méritais, cette fessée. NON?! Malha me caresse la hanche, alors le non se transforme en : — Oui. Ma grand-mère disait "Un petit moment de honte est vite passé". Mais ici, c'est un grand moment de honte. Il est satisfait, il m'a retourné le cerveau avec les odeurs de sa soeur. Justement, elle me dit : — Tu veux que je te console?? — Je voudrais plutôt m'occuper de toi. — D’accord. Je l'embrasse à nouveau sur la bouche. De là, je mets mon nez dans le buisson humide de son aisselle gauche. J'adore... Je lèche la sueur de ses poils, mes hormones surexcitées me disent : "Tu avales sa sueur, trop bon?!" Je lèche et je suce ses poils de ses aisselles. Elle rit et dit : — Tu chatouilles. Embrasse mes seins. Oh oui?! Elle a des superbes seins en poire. Je la tète comme un gros bébé affamé, je retrouve le goût de sa sueur... Après m’être occupée de ses beaux seins, je file à l'étage en dessous en faisant une incursion par son nombril. J'arrive aux abords d'une forêt tropicale humide et odorante. Je sens l'odeur musquée de ses aines... Dans le sillon, entre l’aine et les grandes lèvres, ses sécrétions ont formé un léger dépôt blanchâtre que je lèche?! Ouch?! Deux ou trois hormones manquent de faire une crise cardiaque. Pour les ranimer, j'embrasse le clito et le méat de Malha. Odeur beaucoup plus acidulée, marine, de crustacé, aussi... Mes hormones font une "hola" en criant "lèche?!" Bon, d'accord. Je lèche comme un petit chat qui lape son lait, ma petite langue va et vient très vite. J'ai appris à Julien à me lécher comme ça, alors je sais l'effet que ça fait. Malha se tortille sous ma langue. Mes hormones sont aux anges : elles ont le goût, l'odeur et la douceur du clito de ma Princesse du désert. Je ne veux pas que ça aille trop vite, alors je ne mets pas mes doigts. J'évite surtout de faire un truc genre la pince de crabe (le majeur dans le cul, l'index dans la chatte et le pouce sur le clito)... Je veux tout faire avec ma petite langue de chatte, genre "lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap..." Elle me caresse le dos de son pied nu... Bientôt, je sens qu'elle va décoller. Surtout ne pas changer de rythme. Elle pousse un cri tandis que ses cuisses serrent mon visage et que ses glandes le mouillent. Championnat du meilleur Cunni d'Afrique du Nord... And the winner is... Miss Samia ! Mes hormones entonnent "on est les meilleures, on est les meilleures..." Quelles petites cabotines?! A suivre. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici : http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … … Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 06/09/20
Il est 4h30. Le silence. Apaisant mentalement. Pour la douleur physique, il faudra plus de temps. Je viens d’achever une grosse partie du ménage. Débarrasser les cadavres de bouteilles de champagne, les verres, la vaisselle, vider les cendriers, nettoyer et ranger les accessoires de tortures dont mes Maîtresses, de jeunes étudiantes dominatrices, ont usé sur moi durant des heures. Il ne me reste que l’aspirateur, impossible à passer à cette heure. Mes Dominas d’une nuit sont parties vers 3h. Maîtresse Chloé dort, j’ai ordre de ne pas la déranger. Elle n’a pas cours aujourd’hui. Journée pédagogique. La plupart des professeurs sont en formation. J’y échappe miraculeusement, et je dispose moi aussi d’une journée off. Elle ne sera pas de trop pour récupérer de cette nuit folle. Le dernier gage, celui non limité dans le temps, m’a laissé des marques. Pour plusieurs jours sans aucun doute. Je porte les stigmates de ma soumission, pour le plus grand plaisir de Maîtresse Chloé. C’est elle qui a utilisé la canne. Et mes fesses en portent les stries violacées. Toutes mes Maîtresses ont abusé de moi. Le dernier gage, sans limite de temps, consistait à m’utiliser pour leur jouissance, sans aucune restriction. Autrement dit, à me faire subir tout ce qui leur passait par la tête. J’ai léché, sucé, j’ai été utilisé comme god vivant, mes reins ont été violés sans ménagement, j’ai bu leur champagne, nettoyé leur liqueur, j’ai reçu la cravache, le martinet, la fessée, encore et encore lorsqu’elles ne me jugeaient pas assez performant. Et pour finir, j’ai du me masturber, face à elles, et jouir sur le string noir de Maîtresse Christelle qui avait eu la chance d’être tirée au sort. String que j’ai ensuite léché longuement pour le nettoyer. La fin de soirée n’a été que cris de plaisirs et d’excitation, gémissements, cris de douleur pour moi, humiliations, coups, utilisation sexuelle et jouissance finale tout en éclatant en sanglots. Je reste dans ce silence, dans le noir. en fumant une cigarette retrouvée sur une table. En fait, je sais que je n’ai pas ce droit, mais Maîtresse Chloé n’est pas prête de se réveiller, aussi je prends ce risque. Je n’ai aucune consigne pour la réveiller à une heure précise, aussi je dois me tenir prêt. Mais je suis certain d’avoir quelques heures devant moi, pour plonger dans un sommeil réparateur. Je suis à bout, épuisé physiquement et mentalement. Je sens le cul, la jouissance, je me sens sale, imprégné des parfums de mes Maîtresses. Mais j’aime cela. Je sais que cette nuit marquera un tournant dans ma condition de soumis, d’esclave. Je ne saurais l’expliquer mais je le sens. Tout à l’heure, en me réveillant, je ne serai plus le même. Je programme mon réveil à 10h. En espérant que Maîtresse Chloé ne se réveille pas avant moi, mais j’estime les chances assez faibles au regard de la quantité de champagne ingurgitée cette nuit. 5 heures 30 plus tard, douché, épilé, je suis en dessous sexy, bas et serre-taille en vinyle noir à jarretelles en train de passer l’aspirateur. Je n’ai pas entendu Maîtresse Chloé se lever. Elle m’observe sur le pas de la chambre lorsque je croise son regard. D’un geste elle m’ordonne de cesser. Elle s’approche sans un mot et tourne autour de moi en laissant aller ses doigts sur ma taille emprisonnée dans le vinyle. -Hmmmmm mais tu t’es faite belle ma petite soumise…. j’adore te voir travailler dans cette tenue… Viens, suis-moi, tu vas me laver. Je sens la baise et j’ai horreur de ça au réveil. Ensuite tu me prépareras un café. Allez… Maîtresse Chloé prend tout son temps son la douche. Je la lave, la masse longuement sous l’eau chaude puis la sèche le plus doucement possible. Nous sommes tous les deux dans un état de fatigue avancée. Et quelque chose de très spécial flotte dans l’air. Une certaine tendresse j’ai l’impression. Je sens son trouble et cela renforce le mien. Je ressens cette sensation étrange depuis que je l’ai surprise à m’observer. -Hmm merci ma petite chatte… j’aime quand tu es doux avec ta Maîtresse. Viens, à genoux, j’ai envie ! Je colle ma bouche à son sexe et boit son champagne. Cela me dégoutte de moins en moins et je suis presque fier que Maîtresse Chloé m’accorde ce privilège. -Lave toi gourmande…. et rejoins moi dans la cuisine. Vite ! Je rejoins ma Maîtresse et lui fait couler son café. Elle me regarde sans dire un mot. Presque amoureusement je trouve. Maîtresse Chloé déguste son nectar noir lentement, debout face à moi. Je garde le regard baissé, comme Maîtresse Caroline m’a appris à le faire. Maîtresse Chloé se rapproche, et tout en buvant, commence à caresser ma queue. Je porte encore quelques marques de cravache, bien rouges. Je suis très sensible et je gémis de douleur lorsque ses doigts, bien que très doux, me font bander très dur. Elle m’effleure à peine, s’amuse avec ses ongles sur mon gland, prend ma hampe à pleine mains pour quelques allers et retours lents. -C’est notre dernière journée, seuls tous les deux ma petite soumise. Maîtresse Caroline, TA Maîtresse, rentre demain. Elle ne sera pas seule. Je ne t’en dis pas plus. J’ai envie de profiter de cette journée, de vraiment en profiter tu sais. Je ne sais pas quand tu seras de nouveau à moi pour plusieurs jours. Aujourd’hui, je veux que tu sois totalement à moi. Ton corps et ton âme. Aujourd’hui je veux que tu m’aimes. Regarde moi petite soumise…! Je lève mes yeux et plonge mon regard dans celui de Maîtresse Chloé. J’y lis beaucoup de douceur, de tendresse… et cela me bouleverse. Sans doute l’effet de la fatigue. Je me sens à fleur de peau, rempli d’émotions incontrôlables. Son visage se rapproche et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Un baiser infiniment doux. Nos langues se trouvent et nous nous embrassons passionnément. Je n’ose prendre ma Maîtresse dans mes bras, c’est elle qui attrape mes mains et les poses sur ses fesses. Je me laisse aller, redevient « homme ». Sans un mot, en nous embrassant, nous caressant, en riant aussi, Maîtresse Chloé m’entraîne vers la chambre. Je porte toujours mes bas et mon serre-taille, ainsi que mes longs gants de vinyle. Je suis allongé sur le dos, Maîtresse à mon côté, en appui sur un coude. Elle caresse mon corps lentement. Mon torse, mon ventre luisant et noir, ma queue dure. Nous nous embrassons encore et sa bouche quitte la mienne, descend, lèche, embrasse, effleure, agace…. je manque de jouir lorsque ses lèvres se posent sur mon gland, tant la sensation est intense. Je râle, gémis de plaisir sous la fellation douce, lente, de ma Maîtresse. -Chuuutttt doucement… résiste… aujourd’hui je veux faire l’amour… toute la journée…. retiens toi… ! Maîtresse Chloé replonge sur sa proie et l’engloutit. J’arrive à ne pas céder. Elle abandonne ma hampe et vient s’allonger sur moi. Sa main me saisie et me dirige, et lentement je sens la chaleur de son ventre m’absorber. Baisers lents et profonds, au rythme de ses va-et-vient sur moi. Je me laisse aller, et les larmes coulent sans que je puisse rien y faire. Je lui souris, je gémis de plaisir, de bonheur instantané, je l’embrasse, caresse ses fesses, les attrape pour mieux l’attirer sur moi. Nous faisons l’amour longuement, lentement. Maîtresse Chloé jouit la première. Je n’ose pas, pas sans son accord. Maîtresse reste empalée sur moi. Elle m’embrasse doucement, en retrouvant son souffle et me murmure… -Viens, jouis en moi… tu as le droit…! Elle recommence, très très lentement, à me chevaucher. Quelques va-et-vient suffisent tant je suis au bord de l’explosion et ultra sensible. Je jouis en elle, longuement. En cet instant précis, nous nous aimons, intensément.
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Par : le 05/09/20
Maîtresse Christelle et son soumis m’abandonnent. La porte se referme, à clé, et je reste à genoux, épuisé, le visage maculé de foutre. Je suis dans un état second. Ensuite, le temps passe, lentement, et nulle autre cliente ne se présente. J’en suis presque déçu. Enfin, la sonnerie qui marque la fin de la journée retentit. Et Maîtresse Chloé vient me délivrer… -Wouahouh… ça pue le cul ici. C’est intenable ! Alors ma salope, on a bien travaillé ? Maîtresse Chloé ne me laisse pas le temps de répondre et me jette mes affaires « civiles » au visage. -Tu as 3 minutes pour être présentable ! De retour à l’appartement, Maîtresse Chloé m’ordonne de me doucher, puis de la rejoindre au salon. Cependant, elle m’autorise à prendre mon temps dans la salle de bains. Chose rare, car mes passages y sont généralement minutés. Je reprends peu à peu des forces sous l’eau chaude, et mon esprit tente de faire le bilan de ce que je viens de vivre. Je suis forcé de reconnaître que j’ai aimé cela. J’ai aimé être offert à ces jeunes femmes et à cet homme. J’ai aimé n’être qu’un objet de plaisir, un esclave que l’on baise, que l’on utilise. L’humiliation, la douleur, la perversité de ces instants uniques m’ont amené au bord de la jouissance. Plus cérébrale que physique. Et c’est un nouveau monde pour moi. Comme une nouvelle libération. Un stade supérieur dans ma soumission, aux pieds de mes Maîtresses. Ensuite, je rejoins Maîtresse Chloé au salon, comme ordonné. J’ai passé une tenue minimale, préparée par ma Maîtresse : bracelets de cuir à mes poignets et mes chevilles, collier large et cagoule de latex. Rien d’autre. J’ai lutté contre l’envie de me caresser. Le contact de l’eau et les souvenirs de mon abattage m’ont fait bandé. C’est, ainsi, la queue dressée que je viens m’agenouiller devant ma Maîtresse, dans la posture de présentation. -Hmmmm je vois que la séance de cet après-midi ne t’a pas fait perdre ta vigueur ma chienne. As-tu joui ? -Non Maîtresse. -Debout, et approche…. J’obéis, et viens me présenter devant Maîtresse Chloé. Elle saisit ma queue et commence à me masturber lentement. Puis de son autre main, elle vient caresser mes testicules, gonflées à éclater. -Tu es bien plein ma petite salope… depuis combien de temps n’as tu pas été vidangé ? Cinq jours Maîtresse Chloé. Hmmm il est temps de te traire, mais ne crois pas que je vais faire le boulot…. J’attends Christelle, et je crois qu’elle vient accompagnée. De qui, je ne sais pas. L’heure de la traite n’a pas encore sonné dit-elle en éclatant de rire. En attendant, déchausse moi, et occupe toi de mes pieds. Ils ont besoin d’un bon coup de langue. Je lui ôte ses bottines, puis ses bas, et je commence ma vénération de ses divins pieds. Car ils sont vraiment divins. Fins, racés, doux… Je ne suis pas un fétichiste des pieds mais j’avoue qu’user de ma bouche, de ma langue sur ceux de mes Maîtresses me trouble profondément. Et j’y mets toute mon ardeur, tout mon désir de bien faire. Tout mon amour oserais-je dire. Maîtresse Chloé savoure mes caresses et se laisse aller dans son fauteuil. J’aime intensément ces instants, pendant lesquels je peux voir le plaisir que je donne à ma Maîtresse. C’est une totale satisfaction de soumis que de la regarder s’abandonner et apprécier mon travail. Ainsi, je redouble d’application, suce, lèche entre les orteils comme Maîtresse Chloé adore, pendant que des mes mains je lui masse la plante des pieds. La séance de vénération est interrompue par la sonnerie de l’entrée. J’abandonne à regrets ses pieds pour aller ouvrir. Maîtresse Christelle entre la première, et je me jette à ses pieds pour les baiser en lui souhaitant la bienvenue. D’autres escarpins suivent, sans que je puisse voir à qui ils appartiennent. Je les baise également en signe d’allégeance et de bienvenue. Et avant que je ne puisse refermer la porte, c’est une paire de ballerines qui entre, suivie par une autre paire de talons-aiguilles. Baisers, paroles de bienvenue, prosternations. Ensuite, je me redresse et conduis les invitées au salon. Je réussis à glisser un rapide coup d’œil. Céline, Nadia et une troisième jeune femme que je crois être Sophie. Trois de mes clientes de cet après-midi. Heureusement pour moi, elles ne peuvent me reconnaître, ou plutôt m’identifier. -Hmmm Chloé, tu as vraiment de la chance d’avoir cette pute à domicile. Et toi aussi Christelle, j’ai cru comprendre que tu en profites pas mal ! C’est Céline qui a parlé. Céline qui a baisé mon cul avec une infinie douceur. Merci les filles, de nous inviter à en profiter encore. Maîtresse Chloé réclame le silence, difficilement, au milieu des éclats de rire. -Ce soir, nous allons jouer. Avec notre salope bien entendu. J’ai préparé plein de petits papiers. Vous allez écrire dessus tout ce que vous avez envie de faire et de faire subir à notre petite chienne. Un gage par papier. Ainsi, au cours de la soirée, nous tirerons chacune à notre tour un bulletin dans cette boîte. Et celle qui tirera devra désigner celle qui appliquera le gage. En attendant, Puta va nous servir le champagne et les petits fours. Que la fête commence ! Ces Dames discutent de choses et d’autres, des cours, de mecs. Rires de plus en plus forts, au fur et à mesure que le champagne coule. J’ai très régulièrement droit à une claque sur mon cul, une caresse appuyée sur la queue ou mes couilles. Maîtresse Christelle, assise confortablement dans le grand fauteuil, m’a administré une fessée, sur ses genoux, pour me chauffer a t-elle dit. Maîtresse Chloé réclame une nouvelle fois le silence. -Il est temps de commencer le jeu ! Sophie, le tirage au sort t’a désignée. A toi d’ouvrir le bal des supplices ! Sophie tire un bulletin, et le lit à haute voix, en ménageant son suspens… -Le premier gage pour notre salope sera…… 3 minutes de léchage de cul ! Et je désigne Céline ! Applaudissements, rires… Céline ôte sa jupe, elle ne porte rien dessous. -Allez ma lécheuse, viens me montrer ce que tu sais faire ! Elle se met à quatre pattes sur le canapé et je viens me placer derrière elle. Ensuite, je lèche délicatement son oeillet, enfonce timidement ma langue. Céline semble apprécier. -Plus fort la chienne… bouffe moi bien la rondelle ! J’obéis, pendant que Maîtresse Chloé garde un oeil sur le chronomètre. Ma Maîtresse délicieuse gémit sous mes coups de langues plus appuyés. Une main sur ma tête, elle maintient mon visage plaqué entre ses globes. -Top ! 3 minutes ! Céline proteste, arguant qu’elle commence à peine à être excitée. -C’est à toi de tirer un bulletin Céline ! -Et le gage est … 10 coups de cravaches, Et je désigne…. Nadia ! Nouveaux applaudissements. Ainsi, Nadia m’ordonne de prendre place au centre du salon. Debout, mains sur la tête, cuisses écartées. Elle prend son temps, tourne autour de moi. Mes autres Maîtresses se sont installées pour profiter du spectacle. -Compte petite pute… et remercie ta Maîtresse à chaque coup ! Le premier s’abat en travers de mes fesses. Nadia a frappé fort et je lâche un cri, oubliant de remercier. -Petite pute…. on reprend à zéro ! Ensuite, elle enchaîne 4 coups, salués par des salves d’applaudissement. Je n’oublie pas de compter cette fois, j’encaisse difficilement car Nadia à la main lourde. -Ecarte mieux tes cuisses, salope ! Mes jambes tremblent. Mes reins irradient de douleur et j’appréhende en sentant le cuir caresser l’intérieur de mes cuisses. Nadia prend son temps, effleure à nouveau mes fesses, fait glisser la cravache sur mon ventre, ma poitrine… puis un coup sec sur ma queue bandée. Hurlements de joie des spectatrices. Je me plie en deux sous le coup de la douleur. -Debout, tiens ta position soumis ! -Cinq.. merci Maîtresse Nadia ! -Christelle, tu veux bien te mettre derrière lui et lui tenir les bras s’il te plaît ? Voilà… Sophie, Céline, tenez ses chevilles, bien écartées… les 5 derniers pour ses couilles ! Prêt à encaisser petite salope ? Je hurle de douleur et mes jambes cèdent. Seule Maîtresse Christelle, en me tenant les bras dans le dos, m’empêche de vraiment m’effondrer sur le sol. Je suis tétanisé et j’ai peur. La violence de mes Dominatrices vient de franchir un cran. Et je bascule dans un autre monde, dans lequel je réalise pleinement ce que je suis : un jouet. Que l’on martyrise pour s’amuser. Peu importe ce que je peux ressentir, mon ressenti n’a justement pas sa place, il n’existe pas aux yeux de mes Maîtresses d’un soir. Effet de groupe ? De l’alcool qui coule à flots ? Sadisme communicatif ? Leur excitation semble croître de concert avec ma douleur. La soirée sera longue, douloureuse, et je redoute vraiment ce que mes Maîtresses dominatrices vont inventer, tant la notion de limite me parait inexistante ce soir. Nadia se penche vers moi : -Alors ma petite chienne…. on a mal à ses petites couilles, hein ? Elle explose de rire avant de tirer à son tour un gage. -Hmmmm intéressant, dommage que je ne sois pas tombée sur celui là ! Le gage suivant est…… 10 minutes de sodomie ! Et je désigne….. Christelle ! -J’ai le choix de mon arme ? répond l’intéressée. -Bien sûr… Chloé, montre-lui ta collection s’il te plaît. Je suis sûre que tu as le gode-ceinture parfait pour baiser notre salope… -Hmmm je crois que je sais lequel Christelle va choisir. Nadia a vu juste. Christelle ne prend que quelques secondes pour faire son choix. Elle jette son dévolu sur le plus beau et le plus gros. Maîtresse Caroline ne m’a prise que rarement avec celui-là. Et Maîtresse Chloé ne l’a utilisé qu’une fois. Noir, luisant, un gland énorme… Maîtresse Christelle s’harnache avec l’aide de Céline. -Ma pute, tu vas goûter au plaisir de te faire prendre par ta Maîtresse. Enfin, peut-être que le plaisir ne sera que pour moi…En position, à quatre pattes sur la table basse, et offre bien ton cul, je te veux cambrée comme une chienne qui a envie de se faire saillir. Aller, ta petite chatte n’attend que cela j’en suis sûre… » Je me positionne selon les ordres de Maîtresse Christelle. Je me cambre au maximum, espérant secrètement que mon obéissance parfaite rendra Maîtresse Christelle plus clémente. Mais j’en doute, connaissant sa capacité à se montrer sans pitié. Mes 5 Maîtresses m’entourent, elles sont toutes sous l’euphorie de l’alcool et totalement désinhibées. Je sens leurs mains sur mon corps, je ne sais plus laquelle appartient à qui. Une main se glisse sur mon torse et me travaille le téton, l’autre ouvre mes fesses pour mieux offrir ma petite chatte à Maîtresse Christelle, une autre empoigne mes couilles et les étire ce qui me fait gémir de douleur, je n’ai pas encore récupéré des coups infligés par Nadia. J’implore la pitié de mes dominatrices. Maîtresse Chloé consent à me préparer : -Attends Chris, faut le lubrifier correctement, sinon tu vas le déchirer… Et Caro va me pourrir si jamais je lui abîme son jouet préféré..! Je sens l’embout de la bouteille de lubrifiant forcer mon anneau, et le liquide froid couler abondamment. Plusieurs fois, elles me massent, s’enfoncent, m’ouvrent sans aucune douceur. Je gémis et me tortille, tentative vaine pour échapper à mes tourmenteuses. Je prends une série de claques sèches sur mon cul, pour me faire tenir tranquille. Puis le silence se fait. Maîtresse Christelle caresse mon anus avec le gland de son gode-ceinture. Mes cinq Maîtresses retiennent leur souffle.. Nadia murmure ses encouragements, non pour moi, mais pour Christelle : -Hmm vas-y Chris, baise le bien, force encore.. regarde, il commence à s’ouvrir… C’est fascinant, je crois que c’est le plus beau spectacle du monde, le cul d’un soumis qui accueille le sceptre de sa Maîtresse !!! Éclat de rire général…. L’excitation te rend poète Nadia ! rigole Maîtresse Chloé. Maîtresse Christelle s’impatiente, elle a beau forcer, le gland est trop gros, et mon anneau refuse de céder. Je gémis de douleur, je suis à la limite de craquer. Je fonds en larmes et j’ose implorer la pitié de mes Maîtresses… erreur. Maîtresse Chloé rentre dans un colère noire : -Ta gueule sale chienne, personne ne t’a autorisé à t’adresser à nous. Tu es là juste pour notre plaisir, t’as pas encore compris ? Tu n’es rien ! Un esclave, une chose pour qu’on s’amuse ! Christelle, baise-le, vas-y. défonce moi cette sale petite pute, qu’elle comprenne une bonne fois pour toutes ! Attends qu’on se retrouve toutes les deux, salope, tu m’as fait honte devant mes amies, tu vas prendre une bonne raclée pour t’apprendre le respect. Crois-moi. Vas-y Chris, encule-le ! Maîtresse Christelle n’hésite pas. Elle appuie plus fort et force. Je hurle en sentant mon anneau céder. Mes Maîtresses encouragent Christelle comme si elles étaient au stade , alors que Maîtresse Nadia déclenche le chrono: -Top, c’est parti ! Vas-y, à fond, défonce-la… encule-la plus profond cette salope… Encore, baise-la au maximum… Allez Christelle, allez Christelle, allez Christelle !!! Elles se laissent griser, emporter dans leur délire sportif. Maîtresse Christelle s’enfonce jusqu’à venir coller ses hanches contre mes fesses. Je crie sans discontinuer, à moitié étouffé par le string trempé de liqueur que Maîtresse Céline a fourré dans ma bouche. Je pleure de douleur, le corps tremblant, tétanisé par cette sodomie brutale. Maîtresse Christelle se retire entièrement et me force à nouveau. Insoutenable. Je suis au bord de l’évanouissement, totalement ailleurs, assommé par la douleur, les cris de mes Maîtresses, l’humiliation jamais ressentie. Maîtresse Christelle joue avec mon cul, se retire, rentre, alterne lenteur et baise brutale. Commentaires crus des spectatrices, claques sur mon cul, ordres qui fusent en tous sens… -Cambre toi la pute, empale toi bien sur sa queue… hmmmm mais c’est qu’elle aime ça regardez les filles, elle est bien ouverte notre chienne… vas-y Chris, baise là encore plus fort… il te reste 3 minutes, défonce la ! -Top ! Terminé ! Maîtresse Christelle se retire une dernière fois. Je ne sens plus mes reins, je me sens béant, comme anesthésié… je tiens à peine en appui sur mes bras et mes genoux. -Debout esclave, nos verres sont vides, allez… abreuve tes Maîtresses ! L’ordre vient de Chloé, et ne souffre aucune rébellion. Je me relève, chancelant, j’ai mal et je peine à me diriger vers la cuisine, prendre du champagne au réfrigérateur. Étonnamment, je bande. Dur. Les deux pilules bleues que mes Maîtresses m’ont déjà fait avaler font leur effet. Ma queue se dresse comme jamais, ce qui fait hurler de rire mes Maîtresses… -Regardez les filles, elle en veut encore notre salope, elle est toute excitée… va falloir qu’on s’en occupe : rigole Sophie. -T’inquiète Soph, il reste encore un gage…. tu vas voir, on va se régaler ! La soirée n’est pas finie ! : commente Maîtresse Chloé. Je reviens chargé de champagne frappé et j’assure le service, en prenant bien garde de n’en renverser une goutte, sous peine de punition. Et dans l’état de déchaînement de mes Maîtresses, je ne sais ce qu’elles seraient capables de m’infliger. Maîtresse Christelle demande le silence : -Chères amies, je crois que notre soumis a droit lui aussi de boire un coup. Et je crois que Céline a très envie, n’est-ce pas ? -Oui… je n’en peux plus. Le champagne me fait un effet terrible, j’ai trop envie là… ! -Allez la chienne, va chercher une coupe pour toi ! Je reviens avec une flûte à champagne propre et la tend à Maîtresse Céline. -Vas-y Céline, soulage toi. Notre petite salope a très soif, n’est-ce pas ? Je tarde un peu trop à répondre, et Maîtresse Chloé me cingle le reins d’un coup de cravache. -Oui Maîtresse, j’ai très soif, je vous remercie de m’offrir à boire votre champagne ! Céline a rempli mon verre et le dépose sur la table basse du salon. Entouré de mes Dominas, je viens à quatre pattes boire mon dû. Humiliation maximale. J’ai un haut le coeur, je n’ai jamais aimé l’urine, cela me dégoutte. Maîtresse Caroline affirme qu’un bon soumis doit déguster le champagne de sa Domina, il doit l’adorer, l’espérer, c’est un honneur que de le boire. Mais je n’arrive pas à m’y faire. Sauf que je n’ai pas le choix. -Allez, ne fais pas ta mijaurée.. avale et remercie comme il se doit Maîtresse Céline ! J’avale d’un trait, tant bien que mal et je remercie Maîtresse Céline pour sa liqueur précieuse. Je ne me sens plus rien, je ne suis plus rien. Rien d’humain à mes yeux. Je suis brisé, du moins c’est ce que je ressens. J’atteins un stade où je suis prêt à subir n’importe quoi, plus rien ne m’importe. Ni ma condition, ni la souffrance, ni les conséquences. Maîtresse Chloé me regarde longuement puis lance le départ du dernier gage, un gage non limité dans le temps précise t-elle, qui marquera la fin de la soirée. Je n’ai plus aucune idée de l’heure qu’il peut être. Une nuit sans fin, à souffrir pour le plaisir de mes Déesses.
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Par : le 05/09/20
Ce texte est entre le réel et le fictif. Toutes les sensations sont miennes lors des épisodes passés de sm. Certains passages sont véridiques mais l’histoire est totalement inventée. Peut-être y’a t’il un message à lire entre les lignes, ou pas... À vous de voir... Je reprends le chemin de mon écriture, soyez indulgents.... « Je ne suis qu’un jouet entre tes mains, qu’un fantasme ni plus ni moins.... et pourtant, parfois, j’aimerai qu’il en soit tout autre. Ton désir est palpable, même si j’essaie de t’éloigner depuis tant d’années.... ne pas franchir cette limite... et laisser les choses où elles en sont... » On se cherche mutuellement depuis des mois, à coup de sms torrides, à coup de vidéo de cul pour nous chauffer tous les deux... Jusqu’ici je me défilais, trouvais une excuse, un rdv de dernière minute pour que l’on évite de se croiser. Mais là je ne peux plus reculer, tu m’as donné un ultimatum... Nos regards se croisent, je baisse les yeux, je tourne la tête encore une fois.... je sens mes petits seins pointer sous le tissu de la robe que j’ai mise pour toi... la tête me tourne presque... Tu m’excites au-delà du raisonnable... « Viens ma chienne me montrer à quel point tu as envie de moi » Pas eu le temps de fuir, tu m’attrapes par les cheveux, m’immobilisant la nuque... avec ta poigne inutile d’insister. Je joue les offusquée, mais j’adore quand t’es brutal...j’aime bien aussi les p’tits moments où tu m’embrasses en disant que tu m’aimes, même si c’est pour de faux, (mais c’est le jeu), mais je préfère vraiment quand tu me laisses aucune chance, quand je suis à ta merci. Tu me tiens fermement par les cheveux, un peu plus fort, me bloquant contre toi. Aucune échappatoire. ... J’en ai pas envie de toute façon... Tu plonges tes doigts dans ma chatte, même si je mouille, ça ripe un peu et ça titille. Non ça fait pas mal. Tu retires ma robe, je suis nue devant toi, gênée par ce corps éprouvé par les années. Tu aimes pas quand je me dévalorise, tu aimes pas quand je dis que je suis grosse et laide. Tu mets tes doigts tous mouillés dans ma bouche, me demande de lécher ma cyprine. Je te regarde, je te défie j’aime ça, le jeu du chat et de la souris. Tu me retournes contre le mur, fesses devant toi, j’écarte mes jambes, une envie irrésistible de toi. Ouille... Quand je le dis que tu sens pas ta force... une fessée, une grosse fessée, je me mords l’intérieur des joues, je contracte les muscles... pas question de montrer que ça fait mal... et même si ça fait mal, de toute façon ça fait du bien aussi. Une seconde, je m’y attendais pas trop sans m’y attendre... Puis tu continues. Tu sens que le plaisir se mélange à la douleur, tu as envie de me voir « partir », parce que l’orgasme intellectuel te dépasse... Moi dans ces moments là, je passe dans une espèce de mi-transe mi-auto hypnose. Je m’envole vers ce lieu que j’aime tant, et la douleur s’éloigne pour ne laisser que des picotis sensoriels, qui vous emporte dans des méandres de plaisir. J’ai le cul qui chauffe, ça brûle limite... J’ai a peine passé un doigt sur mes fesses pour tâter d’éventuelles boursouflures, que tu me bloques les mains enfermant les poignets dans un carcan... « Bloquée chérie... aujourd’hui je vais enfin avoir ce que tu me refuses... » Regard noir de ma part, je lui refuse la sodo que je supporte de moins en moins en vieillissant. Brusquement tu me tires de nouveau par les cheveux et me jette comme une poupée de chiffon sur le lit. J’ai a peine le temps de reprendre mon souffle, que déjà le cravache siffle.... Hé on avait dit doucement !! Ça fait deux ans que j’ai pas eu de sm, deux ans sans cul, retrouver ma forme et mon endurance ça va pas se faire en un jour.... Apparemment non, pas avec toi. Je tressaute, sursaute... ça fait mal, je tente de bouger pour pallier certains impacts, je me mords les lèvres, je supplie en silence.... Je crois que j ai jamais eu de coups de cravache aussi forts... La douleur, la brûlure, l’envie de me dépasser, de lui montrer que je suis pas une midinette qui se la raconte fait que je dis rien... Je serre les dents et les poings, emportée dans un tumulte de sensations diverses. Et ma jouissance arrive, me faisant presque hurler sous ton dernier coup mon amour. Tu rentres de nouveau tes doigts, je suis mouillée mais pas trempée, je te l’ai dit l’orgasme il est dans la tête avant toute chose. Tu comprends pas et tu me fistes avec violence comme j’aime que tu le fasses, mais ça je te le dis pas. Je jouis, je t’éclabousse et j’aime ça. Tu me pousses plus vers le lit, tu détaches mes mains, tu écartes mes cuisses et sans me demander quoique ce soit tu forces le passage interdit. J’hurle de douleur et de plaisir, heureuse tout en étant à la fois contrariée, offerte tout en ne l’étant pas. Tu sais que j’ai mal vraiment, alors tu y vas quand même doucement et je t’en remercie... Une décharge électrique, une ultime fessée et j’explose dans un orgasme violent... Mes seins me brûlent, tu les as touchés avec ta cravache car tu les sais hyper sensibles... Mes fesses sont une douleur au moindre mouvement mais j’aime ça .... Liquide chaud qui ravive mes blessures, tu me recouvres de ta pisse, ton offrande... Je suis nettoyée et purifiée... J’avale et je bois avec plaisir ce nectar salé, que tu me donnes comme un cadeau... ..... Je me regarde dans la glace, à certains endroits la peau a éclaté et ça saigne. C’est si beau... « Ça fait pas mal ? » Bien sûr que si, ça fait mal. Un mal de chien... qu’est ce que tu crois ? Suis maso certes, mais la douleur est bien réelle... J’aime avoir mal pendant plusieurs jours, la douleur me rappelle ce moment intense. Je porte avec fierté ces hématomes, ces coupures, ces stries, comme s’ils étaient les étapes d’un passage, un rituel. Oui un rituel, celui d’apprendre à dominer son corps, à se dépasser sans cesse chaque jour. Merci pour tout.... Octavia 3 septembre 2020.
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Par : le 02/09/20
Suite à cette séance je dormis aux pieds du lit de mes Déesses. Le réveil était programmé sur 6h. Après avoir préparé leur petit-déjeuner, je dus les réveiller chacune à leur tour en leur prodiguant un long cunnilingus. Maîtresse Christelle, prétextant que le matin était la meilleure heure pour faire du sport, entreprit de me chauffer au martinet. Elle s’amusa à me rougir le cul pendant que je léchais Maîtresse Chloé. Puis je dus également la faire jouir avec ma langue. Je ne portais toujours pas ma cage de chasteté, selon le désir de Maîtresse Chloé. Ainsi, je bandais dur, comme toujours à la vue du corps de mes sublimes Déesses et surtout de leur miel qui agissait sur moi comme le plus puissant des aphrodisiaques. La veille, je n’avais pas joui. 6 jours déjà, sans jouissance. Mes Maîtresses n’avaient aucune idée de la douleur que l’abstinence, doublée d’une excitation quasi permanente, pouvait engendrer. Je ressentais une douleur sourde, permanente, lancinante, qui vous prend tout le bas du ventre. Rien, sans doute, comparé à la douleur d’un accouchement. Je me souviens avoir lu un article sur la douleur des contractions. Une douleur qu’aucun homme ne connaîtra jamais, et que sans doute peu seraient à même de supporter. Aussi ce que je ressentais n’était rien, même si cela occupait pour l’heure tout mon esprit. Je fis jouir mes Maîtresses plusieurs fois, uniquement avec ma langue. Pendant que Maîtresse Christelle occupait la salle de bains, Maîtresse Caroline me fit m’agenouiller aux pieds du lit, face à elle. Cuisses ouvertes, mains dans le dos, regard baissé… position de présentation que j’adoptais depuis un certain temps mécaniquement, sans même y réfléchir. Maîtresse Caroline aimait à dire qu’elle m’éduquait comme un chien, qu’elle programmait mon cerveau d’esclave. Elle avait raison. Peu à peu j’avais acquis certains réflexes. Une routine finalement reposante. Nul besoin de réfléchir, juste obéir. Et c’est de cette routine, justement, dont Maîtresse Chloé voulait me parler…. -Petite chienne, il est temps de casser un peu nos habitudes. Cette fois tu vas servir en dehors de cet appartement. On va t’exposer !!! Tu vas voir, tu n’es pas au bout de tes surprises crois moi…. Allez, après moi tu passeras à la douche. Je t’ai préparé tes dessous. Tu vas avoir l’air d’une bonne salope, une bonne pute en chaleur. Par dessus, costard, comme d’habitude. N’oublies pas que tu as cours tout à l’heure. Maîtresse Chloé avait prononcé ces derniers mots sur un ton très ironique et je redoutais le pire. Jamais encore mes Maîtresses ne m’avaient exposé en dehors de l’appartement. Sauf une fois, dans ce garage au sous-sol froid, lorsque Maîtresse Caroline m’avait fait venir chercher à la gare par une de ses amies dominatrices. Ce fut la seule fois. Depuis, je servais toujours sur le terrain douillet et protecteur de son appartement, son univers qui était maintenant le mien. Etre exposé en dehors de ce cocon m’effrayait énormément. J’avais peur même si je faisais confiance à mes Maîtresses. 10h50, l’heure de gagner l’école. Sous mon costume noir, une tenue de pute, Maîtresse Chloé avait bien choisi : bas noirs à couture, corset porte jarretelles en latex, de couleur rose, plug… et dans un petit sac, une cagoule aveuglante également en latex, de même couleur ainsi que deux longs gants. Elle avait rajouté un gode-ceinture, de très bonne taille, ainsi que du lubrifiant, un collier de cuir lui aussi rose, une chaîne et deux cadenas. Mon esprit tournait à pleine régime. Pourquoi devais-je emmener tout cela à l’école ? Où allait-elle m’emmener après mes 2 heures de cours ? J’avais pour consigne, à 13h, de rester dans ma salle après le départ de mes élèves. J’appréhendais la suite. Maîtresse Chloé me rejoignit à 13h05, accompagnée par Christelle, dans sa tenue de secrétaire stricte, tailleur gris, chemisier blanc. C’était un uniforme qui lui allait merveilleusement bien et qui me faisait bander à chaque fois que je la croisais. -Ma salope, cet après-midi tu vas servir… Tu vas être réellement un esclave de plaisir. Tu vas prendre ton sac, avec tes jouets et me suivre. J’obéis, m’attendant à sortir de l’école pour me rendre dans un autre lieu. Mais Maîtresse Chloé se dirigea vers les toilettes des femmes. Elle m’y fit entrer discrètement, un sourire amusé sur son visage face à mon incompréhension totale. -Ma salope, entre là-dedans : me dit-elle, en me désignant les toilettes pour handicapés. -Déshabille toi, dépêche ! -Mais Maîtresse….! Une gifle me fit taire immédiatement. -Ta gueule, tu obéis, c’est tout. Je ne t’ai pas autorisé à parler que je sache ! Je m’exécutai rapidement. Maîtresse Chloé fit disparaître mon costume dans son sac puis elle m’enfila la cagoule, posa le collier sur mon cou et y fixa la chaîne, cadenassée à la fois à l’anneau de mon collier et à la tuyauterie des toilettes. -Voilà, tu ne vas pas te sauver comme ça… A genoux, regarde moi ! A partir de maintenant, et jusqu’à ce que l’on vienne te chercher, tu es à la disposition de quiconque pénètre dans ces toilettes. Tu obéis, sers, exécutes ! Tu lèches, suces, nettoies et surtout tu te tais ! Avec Christelle, nous avons prévenu un certain nombre de filles qu’un esclave sexuel serait à leur disposition, aujourd’hui. Tu n’imagines pas le nombre que cette nouvelle a excité ! Tu ne vas pas t’ennuyer à attendre la cliente je crois. Rassures toi ma petite salope qui bande déjà, Christelle a réussi à se procurer une clé. Tes utilisatrices n’auront qu’à se la passer entre-elles, ainsi pas de risque que tu sois découvert par hasard. Nous ne voulons pas de scandale, et nous tenons à ce que notre petite chienne personnelle reste à son poste de professeur…. Allez, je te laisse… Et attention, tu as intérêt à les satisfaire… Et qui sait, va savoir, tu auras peut-être d’autres surprises…. je sais que ces toilettes sont réservées aux femmes, mais… Je restai sans voix. Ainsi, elles me mettaient à la disposition des élèves, comme une salope qu’on emmène sur un chantier, pour qu’elle vide tous les ouvriers. Avant de sortir, Maîtresse Chloé avait disposé le gode-ceinture et le lubrifiant bien en évidence sur le lavabo. Et elle avait scotché une pancarte au dessus des toilettes : Pute à votre service. Abusez-en ! Elle me quitta, refermant à clé la porte derrière elle. Mon calvaire n’allait pas tarder à commencer. Je perdis rapidement la notion du temps. Ma première « cliente » arriva seulement quelques minutes après le départ de Maîtresse Chloé. Impossible de deviner qui était entré dans ces toilettes. Impossible de reconnaître sa voix. La cagoule déformait les sons et me privait de ma vue. -Wouahouh….. putain mais c’est dingue ! Elle avait murmuré et semblait ne pas croire ce qu’elle voyait. Elle s’approcha de moi, toujours à genoux, dans ma posture de présentation, cuisses ouvertes, mains derrière le dos, queue bien bandée. Maîtresse Chloé m’avait posé un cockring très serré, pour que je sois apte à bien satisfaire une cliente, selon ses propres mots, si l’une d’entre-elles avait envie d’une queue. Ou simplement de me travailler un peu. Toujours en murmurant, ma visiteuse m’ordonna de me relever. Ensuite, elle tourna autour de moi, laissant ses mains parcourir mon corps. Elle n’en revenait pas. -Et si je t’ordonne quelque chose, tu le fais ? Tu le fais vraiment ? -Oui Mademoiselle ! -Voyons voir…. dos contre le mur, branle-toi, très lentement ! Je m’exécutai pendant que je l’entendait se déshabiller. Je savais que je n’avais pas le droit de jouir, sauf ordre express d’une cliente. Elle se rapprocha lentement et, toujours en murmurant, m’ordonna de me mettre à genoux. -Lèche moi, fais moi jouir avec ta langue ! Elle m’offrit mon premier orgasme de cette journée de travail à la chaîne. Les sexes juteux s’enchaînèrent durant deux heures. Peu de ces jeunes femmes osaient ordonner autre chose que de les faire jouir avec ma langue. L’une m’avait même sucé, mais sans me permettre d’atteindre la jouissance. Ma queue me faisait terriblement souffrir. En effet, elle était gonflée à bloc, ultra sensible. Une autre s’était enhardie à me donner une fessée, et à jouer avec le plug qui remplissait mon cul. Aucune n’avait encore utilisé le gode-ceinture. J’étais surtout une langue obéissante, et mon visage avec ma cagoule de latex rose, était maculé de mouille. Dans l’ensemble elles avaient été plus surprises que vraiment perverses, mais je savais que cela ne durerait pas. A 15h, la sonnerie de fin de cours retentit. 15 minutes de pause. J’entends des voix, plusieurs, qui résonnent dans l’espace toilette réservé aux Dames. J’entends la serrure jouer, et plusieurs personnes entrer. Rires, commentaires, surprise… -On peut vraiment lui faire ce que l’on veut ? Lui donner des ordres ? -Essaye, tu verras… -Tiens, regarde, il y a une cravache, J’ai toujours eu envie de tester sur mon ex…. il l’aurait bien mérité. Soph, tiens-le par la queue, qu’il ne puisse pas bouger. Debout, mains dans le dos, enchaîné par le cou à la tuyauterie, aveuglé, je ne vois pas comment je pourrais fuir. On me retourne contre le mur, cul offert. Une main saisie la base de ma queue, et me maintient fermement. -Chuttt… ne bouge pas petite chienne… Ma copine va donner sa première fessée, et à la cravache en plus… j’espère que tu vas aimer! Avec une main inexpérimentée, il n’y a que deux possibilités : soit elle hésite et caresse, soit elle ne maîtrise pas sa force et fait mal, très mal. Cette Sophie, que je ne pensais pas avoir comme élève, appartenait à la deuxième catégorie. Grisée par la situation et par la présence de ses amies qui l’encourageaient, elle m’asséna une dizaines de coups, rapides, secs, forts. Je ruai et tentai de maîtriser mes cris de douleurs, avec plus ou moins de succès. -Ta gueule… tu veux qu’on se fasse choper ou quoi ? Vas-y, encore quelque uns, pour qu’il apprenne à la fermer. Et puis moi j’aime bien les marques que ça laisse… ça m’excite. Tu vas bientôt goûter ma chatte, esclave, je coule comme une fontaine ! Je n’avais pas reconnu la voix de celle qui me tenait maintenant par les couilles. Mais visiblement, elle avait un peu d’expérience en matière de domination, ou alors elle était faite pour cela. -A moi maintenant… il y a un truc que j’ai envie de faire depuis que j’ai vu son petit cul. Je meurs d’envie de le baiser. De l’enculer bien à fond. Céline, passe moi le gode-ceinture s’il te plait. Et le lubrifiant ! Céline. Si je ne me trompais pas, elle suivait mes cours, en deuxième année. Petite, menue, plutôt jolie avec un regard qui ne laissait pas indifférent. Si elle était là, ses deux amies, Sophie et celle qui me tenait fermement, devaient aussi être parmi mes élèves. Je n’avais qu’une hantise… qu’elles me reconnaissent. Pour l’instant, aucune n’avait eu l’idée de retirer ma cagoule. Peut-être que Maîtresses Chloé et Christelle les avaient briefées. Je sentis des mains écarter mes fesses, une autre retira le plug… -Hmmm regarde, j’hallucine, son cul reste bien ouvert ! Vas-y, doigte-le bien et remplit le de gel, je vais le défoncer ! Éclats de rire, trois doigts qui m’ouvrent. Je sens le gel froid qui coule. Ensuite, elles me remplissent directement en introduisant l’embout du flacon. Puis le gland qui se pose sur ma rondelle. -Allez… ma petite pute, je suis ton mâle, tend ton cul vers moi ! Dis nous que tu as envie de te faire enculer… Allez ! -Oui Maîtresse, j’ai envie de me faire enculer. Baisez moi le cul Maîtresse s’il vous plaît ! Putain, c’est une vraie chienne ! je crois que je n’ai jamais été excitée comme ça ! Ses mains sur mes hanches, le gode-ceinture s’enfonce d’un coup, jusqu’à la garde. Je crie mais une main posée sur ma bouche étouffe mon hurlement. Ma cliente me baise bien à fond, sans ménagement. Ainsi, elle se retire presque entièrement puis replonge entre mes reins. La sodomie brutale dure plusieurs minutes avant qu’elle ne cède la place à Céline. -Ta nouvelle Maîtresse est plus petite. Vas y ma salope, plie les jambes pour bien te mettre à niveau, offre ton cul mieux que ça ! Toujours cette voix que je ne réussis pas à identifier. La meneuse du groupe. C’est elle qui décide. Céline est donc plus petite, je dois avoir raison : c’est bien l’élève à laquelle je pense. Un intense sentiment d’humiliation s’empare de moi, moi le professeur soumis, je suis devenu la pute de l’école. Je suis attaché dans les toilettes pour filles et une de mes élèves est en train de m’enculer. Céline le fait avec douceur. Je la sens coulisser en moi, ses mains me caressent le dos, les hanches pendant qu’elle rythme sa pénétration. Une main se pose sur ma queue et me branle doucement. Je sens le plaisir monter. Ensuite, je me tends vers le gode et la Maîtresse du groupe le remarque : -Hmmm regardez les filles, elle vient se baiser elle-même sur ton gode Céline. Regardez comme elle aime ça… une vraie chienne en chaleur !!! Nad, tu veux la baiser toi aussi ? Nad. Pour Nadia, sans aucun doute. Deuxième année elle aussi. Grande, brune, un peu forte. Assez effacée comme élève. -Non… par contre je meurs d’envie de me faire lécher la chatte… A genoux esclave ! Nouvel éclat de rire général. Nadia m’ordonne ne m’accroupir, dos au mur, et vient coller son sexe contre ma bouche. Elle m’abreuve de son miel, abondant, et jouit rapidement. La troisième participante prend aussitôt sa place, suivie par Sophie. -Moi, j’ai surtout envie de pisser ! Tu dois avoir soif, la lécheuse, non ? Ouvre bien grand, et avale ! Son jet m’inonde la bouche, et j’ai du mal à surmonter mon dégoût. Son urine coule sur mon visage, mon torse…. -Hmmmm j’espère que tu apprécies mon champagne. Allez, maintenant, fais moi jouir. Et dépêche toi, on a cours ! La porte se referme. Je pue la pisse et le cul. Je n’ai pas le temps de m’apitoyer, la serrure joue à nouveau et deux personnes pénètrent dans les toilettes. -Lave-le ! La voix est féminine et je crois la reconnaître, sans certitude. La main armée de lingettes nettoyantes, qui passe et repasse sur mon corps, mon visage cagoulé, qui s’attarde sur ma queue, entre mes fesses, sur ma rondelle laissée nue par l’absence du plug, je ne sais pas. Aucun mot n’est échangé. J’entends une fermeture éclair, quelques gémissements. Deux mains appuient sur mes épaules pour me faire m’accroupir. -Vas-y, baise lui la bouche. Interdiction de jouir ! Aucun doute. C’est une Maîtresse et son soumis. Élève ou non ? Dans ma classe ou non ? Un gland énorme se pose sur mes lèvres, et ma langue, docile, vient à sa rencontre.
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Par : le 30/08/20
Soirée de Septembre. J'avais un ex collègue avec qui j'avais décidé de dîner ce vendredi soir sur Paris et en provenance de Bruges, j'avais demandé à Annelore de nous rejoindre. Lors du dîner dans un petit établissement typique de Montmartre, je voyais que le regard de Christian se posait régulièrement sur Annelore. Il en était de même d'ailleurs, du regard du Patron de l'établissement qui assurait aussi le service. lui il semblait surtout sous le charme de l'accent Flamand De Annelore. Je connaissais beaucoup de choses de la vie sexuelle de Christian, car lorsque nous étions collègues, étant plus âgé que moi et surtout vrai Parisien, il m'avait fait visiter tout Pigalle. Je savais donc qu'il adorait fesser des filles. J'orientais donc la conversation sur le sujet de la fessée en fin de repas, au moment du café. "Alors Christian, tu as fessé qui dernièrement" ? Annelore leva les yeux, posa sa tasse et de sa voie gutturale et sonore elle s'adressa à Christian. "Toi aussi tu aimes taper les fesses, j'aime quand Jean me le fait et tu le fait aussi le fouet"? Les quelques personnes, encore attablées tournèrent toutes le regard vers nous. Nos échanges sur le sujet, se firent moins bruyants, mais nul doute que les autres convives de l'établissement tendaient l'oreille. La petite salle se vida doucement et le Patron nous offrit le dernier verre. Je profitais de cette petite intimité, nous trois et le Patron, qui s'était assis à notre table pour lui demander si il connaissait un Club sur Paris ou nous pourrions nous rendre pour satisfaire les désirs de mes deux compagnons de soirées. C'est ainsi que j'obtins l'adresse de "Cris et Chuchotements" et aux mouvements qu'Annelore faisait sur sa chaise , je notais son impatience de découvrir ce lieu. Nous abandonnâmes notre hôte qui ne put s'empêcher de laisser son regard se poser sur le postérieur de Annelore quand elle franchit la porte et il nous souhaitât une très bonne soirée fortement appuyé, d'un air de dire je sais ou vous allez finir. Surprise quand nous arrivâmes Rue TRUFFAUT, devant la porte discrète de "Cris et Chuchotements", l'établissement est juste à coté du commissariat du 17ème arrondissement de Paris. Nous sommes reçu par un Monsieur tout habillé de noir (Pascal le patron qui devint une relation amicale), et qui dans un premier temps nous fis savoir que nous n'avions pas le "dress code", nous les deux hommes et que de toutes les façons il n'y avait personne ce soir là dans son établissement. Lui expliquant que nous aurions aimé au moins voir son établissement, que Annelore venait de loin, ce que confirmait son accent, Pascal accepta de nous faire rentrer, en nous proposant à Christian et moi, un tee shit noir de la maison. Nous découvrîmes l'établissement. Derrière la porte un petit comptoir, un vestiaire et les sanitaires et une vue su l'escalier qui menait à la cave. Christian et moi, revêtîmes le Tee shirt et je demandais à Annelore d'aller se mettre nue et de nous rejoindre. En descendant avec Pascal, Christian et moi, nous pûmes découvrir une première pièce aux couleurs chaleureuses avec un grand Bar. Effectivement l' établissement était vide. Nous commandions un verre à Pascal et avec Christian nous fîmes vite le tour des différentes salles de l'établissement. Annelore, descendit enfin les escaliers, resplendissante dans sa nudité, ses petits seins fièrement dressés. Même Pascal qui nous avait expliqué que jamais il ne faisait des choses avec les clients et clientes , ne put s'empêcher de laisser passer un petit sifflement, même si il convint très vite qu'il voyait passer très souvent de jolies femmes. Annelore, appuyée au Bar pu boire son verre de Porto. Je commandais un deuxième verre pour Christian et Moi et nous allâmes nous installer dans un canapé avec Pascal, pour discuter du lieu et des pratiques. Je n'avais pas oublié avant de demander une règle, que j'avais posé au sol et j'avais ordonné à Annelore de se mettre à genoux dessus, en nous tournant le dos les mains sur le haut de la tête en accentuant sa cambrure. Après vingt minutes environ d'échanges avec Pascal, Annelore s'adressa à moi " Monsieur, j'ai vraiment très mal, je peux arrêter" ? Ce fut toujours pour moi une marque de Respect envers Annelore, quand elle voulait arrêter, je lui disais oui immédiatement pour que nos pratiques restent plaisir partagé. Alors qu'elle se relevait pour venir vers nous, la sonnette de l'établissement retentit. Pascal, nous quitta pour remonter vers l'accueil. "Tu veux toujours poursuivre" ? Liefde (Amour en Flamand) "oui je le veux, Monsieur" Pascal redescendit avec un de ses ami mais aussi client. Dans une petite alcôve à coté du Bar, il y avait un Phallus artificiel, posé sur une tabouret, j'y envoyais Annelore s'empaler dessus et nous attendre. Christian et moi, en compagnie de Pascal pûmes ainsi discuter avec Philippe, le nouvel arrivant. Un verre de plus, et Philipe me demanda si il pouvait profiter de Annelore. Nous nous dirigeâmes tout trois, Christian, Philippe et moi vers l'alcôve, laissant Pascal à son Bar. Annelore, le visage rosit par le Plaisir ou par l'effort, car elle montait et descendait sur le godemichet depuis un petit moment, nous fixa du regard, cessant ses mouvements pour rester posséder à fond par le Phallus. "Debout et nettoies" Annelore, s'exécuta pour enlever le préservatif enfiler sur le Gode et nettoyer le tabouret. Christian, ne put s'empêcher de passer la main entre les jambes de ma compagne pour constater l'humidité de son sexe. A son regard je compris que Annelore était fortement excitée. Je dirigeais, Annelore dans la seconde alcôve ou un SLING trônait au milieu de la pièce. Elle se posa docilement sur le cuir, se laissant attacher par Christian. Philippe reçu alors mon autorisation de posséder Annelore. Sa pénétration fut violente, arrachant un cri à Annelore et le SLING se mit a se balancer aux rythmes des mouvemenst de Philippe. Christian profitant de la disponibilité de Annelore, lui, lui pénétra la bouche. Les cris de jouissances des deux Hommes et de Annelore sonnèrent la fin de cette première soirée. Nous nous retrouvâmes au Bar pour un dernier verre et nous éclatâmes de rire quand Annelore nous déclara. " Les mouvements de la balançoire ça donne mal au cœur" Je ne pu attendre d'être de retour dans ma propriété de Sologne, pour posséder ma soumise et je lui fis en toute simplicité l'Amour sur une aire d'autoroute de l'A10 entre Paris et Orleans. (Oui, nous savions aussi nous aimer dans l'acte simple) A suivre prochainement...
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Par : le 23/08/20
Nous nous réveillons côte à côte pour la 1ère fois, et quel bonheur de me retrouver à côté de mon Maître, depuis le temps que nous attendions cela. Je regarde s'il est réveillé...à mon grand bonheur il dort encore...j'en profite pour m'extirper du lit pour aller prendree une douche avec tous mes orifices soient propres quand mon Maître se réveillera. Sans faire aucun bruit, ou de mouvement brusque, je me glisse tout doucement de nouveau dans le lit...puis je me colle à lui, fesse sur sa queue...il a senti la chaleur de mon corps contre lui et se réveille doucement... Sa main parcourt mon corps et me fait frissonner tellement les sensations sont fortes, puis prend une de mes mamelles dans sa main et commence à titiller mon téton pour le faire durcir et pouvoir le tirer afin que la sensation de douleur et de plaisir montent en moi... Ce qui fut rapidement le cas. Il m'ordonne de me mettre sur le dos afin de pouvoir accéder à tous mes orifices, je m'excute immédiatement...me demande d'écarter les jambes afin que ses doigts puissent caresser ma chatte et me faire mouiller à souhait... Il ne lui faut pas longtemps pour y arriver... Il m'enfonce 3 doigts et mon corps se cambre de plaisir... je dois rester dans cette position car il adore quand je me cambre... Et sa bouche prend mes tétons tour à tour afin qu'ils pointent et qu'ils puissent profiter de ces belles mamelles... Je suis fortement excitée que je ne rends même pas compte que j'en jouis de plaisir... La femme fontaine que je suis c'est laissée avoir à son propre jeu...mais normal mon Maître connaît les moindres réactions de mon corps... L'excitation en moi ne s'arrête plus que je supplie mon Maître de bien vouloir me laisser venir sur lui afin de lui faire sentir mon envie...il acquiesça rapidement et le mouvement de mon bassin...lui fait durcir sa queue encore un peu plus à chaque mouvement que quand je la sens bien dure et en moi, j'en crie de plaisir....ce qui m'a value une fessée car je n'avais pas prévenu mon Maître de cette montée en jouissance.... La fessée fût appréciée et adorée, la mise en levrette a fait raviver l'excitation en moi, qu'en bonne soumise, je présenta de nouveau mes fesses pour que mon bon Maître puisse prendre à son tour le plaisir et la jouissance dont il se contient depuis le début....nous avons malgré tout ceci pris notre pied ensemble alors que cela m'était interdit par mon Maître En guise de punition.... J'ai eu droit à être mise au coin et à être fessée par la cravache de mon bon Maître
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Par : le 23/08/20
J’ai cru un instant que notre malédiction sévissait à nouveau quand ta cheville a lâché en début de semaine. Par chance, à la énième entorse, tu t’en remets assez vite, en tout cas, suffisamment pour que nous puissions quand même profiter tous les deux de ces jours ensembles… Comme cela nous arrive quand nous avons un peu de temps devant nous, les « hostilités » commencent ce vendredi par un shooting photo. Et dire que tu n’aimais pas te faire photographier quand nous nous sommes rencontrés. La première fut épique … en milieu naturel, en plus ! Avec ce beau soleil sur fond de ciel bleu quasi pur, il eut été dommage de ne pas profiter du jardin pour mettre en avant ta dernière robe. Violette, lacée par un ruban sur la poitrine, vaporeuse à souhait, transparente juste ce qu’il faut pour suggérer sans tout dévoiler. Et pour rehausser le tout, tu optes même pour les plateformes noires, malgré ta cheville encore sensible. Pour le coup, aujourd’hui, c’est moi qui tourne autour de mon modèle obligé de rester immobile. L’appareil crépite jusqu’à partir en rafale à certains moments … Changement de tenue pour les escarpins suivants. Tu redescends avec une jupe longue et noire qui laisse apparaître au gré de tes pas la fameuse paire de Louboutin dont tu me parlais depuis des semaines. Elles sont discrètes mais il faut reconnaitre qu’elles sont jolies. Du coup, mon objectif se sent obligé de focaliser sur elles ;-) . Nous terminons avec une dernière tenue, toujours accordée avec ces talons noirs à semelle rouge, cette fois étendue sur le lit. Tu sembles préférer ce dernier cadre, des plus reposants et confortables. La séance se termine par l’idée que tu avais en tête depuis que tu as fait l’acquisition de talons quasi identiques à ceux que tu m’avais offert il y a quelques mois. Ainsi, mes bagages se sont vus lestés d’une boite à chaussures pour venir te rejoindre. Telles deux victimes de la mode, nous faisons toute une série de clichés avec nos talons respectifs, rouges pour les tiens, noirs pour les miens. Il était temps de faire une pause bien méritée avant de passer à la suite, une soirée placée sous le signe des essais. Ces derniers mois de confinement ont été propices à quelques achats de nouveaux jouets que tu voulais ardemment tester sans délai. Cela commence très classiquement par le collier à pointes que tu me tends. Une fois que je l’ai mis en place, tu me tends les bracelets que je boucle sur les chevilles et les poignets. Tu termines en me tendant le bâillon-pénis, qui fait son retour. Tu me fais bien rire en me faisant remarquer que j’ai mordu dedans la fois précédente : comment dire ? Pas vraiment le choix ? Alors seulement tu me fais mettre en place sur le lit, couché sur le dos, les jambes repliées au bord du matelas. J’ai l’impression que tu prends de plus en plus goût à cette disposition. Une fois n’est pas coutume, tu me laisses le bénéfice de la vue. Néanmoins, ainsi allongé, je ne peux guère voir que ton visage, sûrement pas tes mains, ce qu’elles attrapent et ce qu’elles font. Envie subite d’endosser le rôle de dentiste, tu t’amuses à me poser une question alors que je ne peux plus répondre de manière audible Tu extrais alors de ta valise à cordes deux cordelettes roses qui finissent par relier de près chevilles et poignets sans oublier quelques tours de cuisses. Pour être sûre de la solidité de tes liens, tu infliges quelques coups sur mon sexe avec ton mini paddle en cuir. Comme tu l’espérais, je me tortille immédiatement dès la première morsure. Visiblement tu es satisfaite de ton test : les contraintes ont résisté. Tu peux donc passer aux choses sérieuses. Il manquait tout de même une petite touche de nouveauté. Tu viens mettre en place ces nouvelles pinces faites d’une paire de fines baguettes métalliques dotées de petits anneaux permettant de moduler le mordant à ta guise. Inutile de les serrer beaucoup pour que leur effet se fasse sentir. Sur le moment, comme souvent avec les pinces, la douleur est « transperçante » avant que le corps, tout du moins les tétons s’habituent à cette présence. Les années passent mais je reste toujours aussi réactif aux morsures quelles que soit la nature des pinces. Ce nouveau modèle est presqu’aussi pinçant que les japonaises, sans même insister. C’est dire… Pour t’assurer de mon confort afin de profiter à fond de tes tourments du soir liés à tes essais, tu glisses un coussin sous ma tête avant de t’installer sur ton « trône » du jour, face à mon entrejambe, a priori juste à la bonne hauteur pour t’amuser et en profiter sans encombre, surtout que ton coffre aux trésors est juste à côté. Il suffit de piocher dedans en fonction de l’inspiration de l’instant. En entendant claquer les gants sur tes mains, je devine sans difficulté que tu te prépares à tester ta nouvelle sonde. J’ai beau ne plus être inquiet à ce sujet, je préfère ne pas essayer de regarder. Elle me semble bien bien longue par rapport à l’autre. J’ai la sensation que tu peines à faire pénétrer cette longue tige boursouflée toute en silicone. La suite va me prouver que mes sens m’ont largement égaré. Les seuls quelques centimètres que je pense être entrés font leur effet. J’ai rapidement le sentiment de ne plus rien contrôler. Par moments, je crois même que je suis en train de me vider. Mais a priori, il ne doit rien en être : tu ne fais pas le moindre commentaire sur le sujet. Quand tu déclenches les vibrations, mes couinements se poursuivent de plus belle, virant même aux gémissements … de plaisir ; le peu de maitrise que je pouvais encore penser avoir s’est évanoui. Impossible d’échapper à ce fin « serpent » vibrant qui s’est insinué en moi. En revanche, les différents modes de vibration ne changent pas réellement la sensation procurée. Ou alors je ne suis déjà plus en état de les distinguer ! Lorsque tu arrêtes cette divine torture, il me faut de longues minutes avant de revenir sur terre alors que je suis resté confortablement étendu sur le lit. Même la caresse raisonnable du petit martinet sur mon pénis et mes testicules ne suffit à pas me sortir de cette délicieuse torpeur. Toujours pourvue de tes gants, tu titilles mon pénis désormais calmé et apaisé : c’est a mi-chemin entre la griffure et le massage : pas désagréable du tout comme sensation. La présence des gants change totalement la sensation procurée : j’y goûte bien volontiers. Un bien agréable moment de simili-douceur. Après cet intermède tactile, tu passes à la suite. En sentant le contact du stylo sur mes cuisses, j’en conclus que tu as finis pas retrouver l’inspiration qui te fuyait il y a quelques jours encore pour écrire quelques mots à mon sujet … sur le-dit sujet ;-) Comme à chaque fois, il faudra que j’attende de voir les photos pour découvrir ce qui t’es passé par la tête. Toujours assez largement offert, il était trop tentant de ne pas abuser de la situation. Je devine le contact en cuir d’un petit paddle qui vient tourmenter mes couilles et mon pénis. Ma zone sensible par excellence. Impossible pour moi de retenir le moindre couinement et de ne pas me tortiller, du moins essayer. Les gants, une fois retirés, prolongent efficacement tes mains pour continuer dans le même esprit. Le tourment est simplement plus doux. D’ailleurs, je pense que je sursaute moins sous les impacts. C’est dire. En revanche, je redeviens extrêmement sensible lorsque tu dégaines la spatule en bois. Tout du moins c’est elle que je crois reconnaitre. De là, à prendre un pari …. C’est quand même terrible d’avoir les sens perturbés malgré le fait que tu m’aies laissé la vision libre … Toujours est-il que le plat rigide du bois sur mon intimité la plus chère est des plus « stimulant » ! Place au nouveau jouet suivant délicatement appelé « Anal Intruder » par son vendeur. On devine mieux sa forme lorsqu’on l’appelle cockring à double boules anales, tout en métal et pesant son poids selon tes dires ! Voici qui annonce une charmante parure pour ton soumis. Si l’anneau passe très bien autour du pénis, il en va bien différemment lorsque tu arrives à la base. Impossible de faire passer les testicules. Et mon excitation soudaine n’aide pas ! Qu’à cela ne tienne ! Tu ne vas pas te laisser arrêter par si peu. Quelques noix de lubrifiant sur la tige et tu poursuis la mise en place. J’ai l’impression que tu galères pour arriver à trouver le chemin. A croire que j’ai une anatomie hors normes. Après quelques efforts raisonnables, je sens se présenter la première boule qui semble pénétrer sans trop d’encombres, rapidement suivi de la seconde. Je sens que tu pousses sur l’ensemble pour t’assurer qu’il est bien en place. Je n’ai guère l’impression qu’il risque de s’échapper tout seul. Ainsi équipé, mon excitation est à son paroxysme. En plus, tu prends un malin plaisir à venir appuyer régulièrement sur cette pièce de métal qui m’envahit tout autant qu’elle me leste. Je n’ose imaginer l’effet que cela doit procurer une fois debout. Très, très efficace : l’adaptation n’a, semble-t-il, rien gâché ! Ainsi tendu, tes griffes sur ma tige sont des plus efficaces. Avant de l’enlever totalement, tu m’amuses un moment à faire coulisser la tige métallique et ses deux excroissances. Je reste aux anges ... C’est alors que tu me fais retirer le bâillon. Mais comble de sadisme, tu t’amuses immédiatement à me faire parler. Sauf que les premiers mots qui sortent sont tout bonnement inintelligibles. Cela déclenche un des fous rires dont tu as le secret, et, surtout, tu continues à m’interroger … Il reste tout de même le plus délicat à essayer. Je dois reconnaître que cela faisait longtemps que j’avais un œil sur cet engin diabolique qu’est le humbler. Et cela a fini par piquer ta curiosité aussi. Désormais, il faut passer à l’action. Plus facile à dire qu’à faire ! Mélange d’excitation et d’incompatibilité anatomique (encore une fois ! Décidément, je finis par croire que je suis totalement anormal !), il s’avère impossible de le mettre en place lorsque je suis à quatre pattes. Il en faut plus pour nous freiner. Je m’installe sur le dos, les cuisses les plus relevées possible. A quatre mains, cela devrait peut-être faciliter la mise en place. C’est un peu mieux mais encore pas le top. Mais tout de même suffisamment pour bien sentir la tension dès lors que je laisse redescendre très délicatement mes cuisses. A quatre pattes cela doit être terrible …. Restrictif à souhait. Il faut peut-être que nous trouvions un tuto ;-) Dimanche matin, nous remettons le couvert avec une deuxième séance photo. A défaut d’aller à l’église, tu as enfilé une vaporeuse petite robe noire toute en suggestion avec ses voiles, et surtout tes nouveaux escarpins noirs à semelle rouge. Le jardin représente une nouvelle fois un parfait écrin pour mon modèle et mon appareil photo à la limite de la surchauffe. Avec la climatisation, il fait meilleur dedans. D’ailleurs, la chambre se prête bien mieux à l’idée que je voulais développer : variations de menottes présentées avec les talons aiguilles. Je crois que nous avons fini par faire le tour de la question. Pour une raison que j’ignore, comme à peu près une fois par an, la séance dérape en délire peluche. L’ours en peluche est croqué à toutes les sauces … Nous essayons de finir plus sérieusement avec les plateformes rouges, mais pas question de se lever avec. Il est encore trop tôt pour celles-ci. La fin de la séance m’est consacrée : il fallait bien faire l’essayage des nouveaux boxers en vinyle. Comme cela tu m’auras vu dedans en direct. Une pause était plus que nécessaire avant la soirée. Il fallait bien se reposer un peu. Côté tenue, tu as prévu une légère variation. Le collier, incontournable, est le premier à prendre place, suivi de près par les bracelets de poignets. Enfin tu me tends la cagoule. Il devrait donc logiquement y avoir de longues lanières au programme. Une fois installé à genoux au milieu du lit, tu viens fixer mes poignets au niveau de l’anneau du collier. Nous avons la même idée au même instant : je t’entends dire que je ressemble à un chien ainsi présenté. Ni une ni deux, tu attrapes l’appareil pour immortaliser cette transformation d’un nounours en chien ! Je ne suis pas surpris que tu commences par essayer le dernier jouet à avoir rejoint ta panoplie. Déjà hier, alors que nous vérifions comment cela fonctionnait, tu étais impatiente de savoir l’effet que cela allait avoir ailleurs que sur ma cuisse. Dans la position que tu m’as fait prendre, tu as libre accès à ta cible favorite. Après avoir oint mon intimité du gel spécial électro, tu commences à promener ton stick électrique sur ma verge. Tout d’abord la sensation ressemble à une sorte de brûlure très localisée et très fugace. Elle est identique sur les testicules. Un peu plus tard, la sensation change totalement, peut-être as-tu changé les réglages. Cette fois, c’est totalement différent : l’électricité semble courir sous la peau quelques centimètres autour du stick. C’est un effet inattendu mais tout à fait plaisant, quoi que difficile à décrire précisément. Finalement, en s’y prenant correctement, cette nouvelle extension de ton kit d’électrostimulation pourrait trouver une bonne place dans ta panoplie. Après cette électrisante mise en bouche, je me roule en boule l’espace d’un instant. Il n’en faut pas plus pour dégainer tes griffes, enfin retrouvées avec une longueur conséquente. J’en suis toujours aussi friand, au point de ronronner dès lors que tu parcours mon échine, depuis les fesses jusqu’au cou, depuis les flans jusqu’au creux du dos, sans oublier le haut des bras. Je ne m’en lasserai jamais. A une phase de douceur succède une série de douleurs. Je pensais que tu voulais « traiter » ces vieilles ceintures avant de t’en servir. Finalement non ! C’est bien l’une d’entre elles que je sens claquer sur mon postérieur à plusieurs reprises. Visiblement, il va falloir s’y adapter : je crois deviner que tu as subi un dommage collatéral. Mes sens m’égarent encore une fois lorsque tu dégaines une baguette dont je n’ai pas souvenir d’y avoir déjà goutté. Trop flexible pour correspondre aux baguettes en bois que je connais. J’opte alors pour une cravache. Pourtant, jamais je ne ressens l’impact si spécifique de sa tête. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, en jetant un œil sur le plancher que je comprends enfin ce qui était si mordant sur mes fesses : une simple tige de seringat (merci le jardin !). Moins lourd et plus fin mais au mordant certain. De quoi me revigorer, si c’était nécessaire et de continuer à faire monter la température. Mes capteurs sont toujours aussi déréglés quand je confonds le long strap clouté avec une des spatules en bois. Tu en uses longuement et j’imagine aisément que je dois commencer à virer au rouge et à chauffer l’atmosphère de la pièce. La situation est telle que j’en oublie même la petite cravache en forme de cœur qui l’a précédé. En guise d’apaisement, tout est relatif, tu laisses tes griffes acérées autour de mon sexe. Ma réaction est immédiate : je couine. J’hésite aussi entre « l’obligation » de garder la position et le réflexe de me tortiller pour tenter d’y échapper … en vain. De toute façon, ce serait mal te connaitre que de penser que cela t’arrêterait. Bien au contraire. Une courte fessée à mains nues marque ton retour dans mon dos. Cette fois, je n’ai pas de doute, c’est bien une cravache qui se promène entre mes cuisses, tantôt frôlant astucieusement mes couilles, tantôt claquant l’intérieur de mes jambes. On dirait que je résiste mieux à ce traitement que certains autres. Pourtant c’est toujours en zone hyper réactive ! Un flogger que je n’ai ni reconnu ni mémorisé prend le relais. Le lourd contact qui suit me rappelle immédiatement la « caresse » du martinet. Celui-ci procure un mélange très spécial de sensations, à la fois cet impact imposant et la fine et délicate morsure de chacune des lanières. J’aime beaucoup. Mais question morsure, rien ne vaut ce qui vient derrière. Tu dégaines un de tes fouets qui vient zébrer mon dos de belles marques rouges. Malgré les morsures provoquées, je dois reconnaitre que je ne regrette jamais ces moments-là. La cagoule avait donc bien son utilité : tu ne fais jamais rien au hasard. Pour conclure cette belle soirée, tu me refais pencher en avant, la tête plantée dans le couvre-lit et le postérieur bien tendu. Ainsi, tu peux allègrement y déposer de multiples gouttes de cire. J’aurais tendance à dire que tu cherches à en faire couler un peu partout sur cette zone des plus charnues. Tu finis même par empoigner mon sexe pour atteindre l’arrière de mes couilles avec ta cire chaude. Étonnamment, la sensation fugace de brûlure est moins importante à cet endroit précis que sur mes fesses. La cravache ne semblant pas être des plus efficaces pour assurer le « décirage », j’entends que tu quittes la pièce avant de revenir et de présenter sur mon corps une sorte de racloir qui fait sauter la plupart des gouttelettes solidifiées, en réalité la plus petite de tes spatules métalliques, pour une fois en mode délicatesse. Pour le coup, je dois reconnaitre que j’ai eu beaucoup moins de souci sous la douche pour finir le nettoyage. Presque épuisés, nous nous étendons côte à côte, moi libéré de mes contraintes et reprenant mes esprits, toi reprenant des forces. Néanmoins, tu me gratifies à nouveau de délicieuses et frissonnantes griffures qui me font ronronner de plus belle. Cela ressemble à un pêcher mignon. Lundi Pour conclure mon séjour à tes côtés, tu as imaginé une séance de shibari. Hier, tu m’as dessiné une esquisse de ce que tu avais en tête. Pourquoi ce thème des losanges ? Mystère ! Toujours est-il que c’est le motif central de ta réalisation du soir. Commençant par équiper mon buste avec une première série de losanges colorés et concentriques, tu poursuis sur mes membres, une fois étendu sur le lit. Bras et jambes doivent eux aussi former des losanges. De fait, la position devient petit à petit moins confortable. Pourtant il semblerait que la situation ne me laisse pas insensible. Difficile de le cacher… Le résultat est un mélange d’esthétique et de contrainte, car, malgré tout, les différentes cordes enserrent de près tout mon corps. Je n’ai pas vu le temps passer pourtant quand je me relève, libéré de tes cordes, je découvre que deux heures au moins se sont écoulées. Pas étonnant que tu sois épuisée …. Comment te remercier pour tout cela ?
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Par : le 13/08/20
Margot est une des quatre femmes du Commandeur de classe D, qui commande l''Agamemnon et l'exploration du système planétaire U354 à plus de soixante années lumières de la Terre. Ce qui distingue les Commandeurs et leurs femmes, toujours au nombre de quatre, c'est la taille de leur cerveau. Il a fallu loger dedans toutes sortes de connexions et interfaces, sans compter les ajouts de mémoires et intelligences artificielles, et même avec des ultras nano technologies, il a fallu pousser un peu les parois du crane. Les commandeurs et leurs femmes ne font plus l'amour physique, ils pratiquent une sexualité très sophistiquée, purement par ondes mentales, sans aucun contact charnel. Il parait que c'est le must absolu. Pour ma part, je n'ai pas envie d'essayer, j'ai besoin du contact avec les chattes bien humides. Le commandeur est venu faire une inspection à notre base de Khe sanh, je l'ai appelée ainsi parce que nous sommes entourés d'énormes prédateurs qui rôdent la nuit sur la planète Monstra. Il veut se rendre compte par lui même de l'excellent travail réalisé par le sergent chef Ramirez, avec l'espèce la plus évoluée de cette planète, de grosses crevettes absolument horribles selon nos critères de beauté, mais fort attachantes, et pleine d'humour. Grâce au sergent chef Ramirez, nous sommes devenus presque des amis de ces aliens, et ce, même si le QI de ces crevettes géantes dépasse rarement le 100. Le sergent chef Ramirez fait de nombreux exposés au Commandeur. Elle explique le langage amusant des monstriens, c'est ainsi que nous avons appelé ces crevettes. Les mâles utilisent très peu de mots, dont presque tous, sont en apparence des insultes fort grossières et obscènes. Cela fait penser aux Marseillais avec des "putain con" ou des "con putain con" dans toutes les phrases et même sans phrases. De là à penser que nos chers marseillais ont des QI de crevettes...je blague. Les monstriens eux, c'est gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée....et avec cela, ils se comprennent très bien. Les femelles crevettes n'utilisent pas les insultes, jamais! Elles sifflent , façon de dire, cause toujours tu m'intéresses. L'étude Ramirez a montré des dons artistiques incroyables chez ces crevettes. Donnez trois cailloux à un enfant monstrien, il va en faire une oeuvre d'art avec un talent qui frise chaque fois le génie. Cela se retrouve partout dans leur culture. C'est aussi une forme de langage, plus complexe et subtile. les jeux amoureux reposent beaucoup sur les capacités de créations. Pour séduire il faut offrir une belle oeuvre, peu importe la forme et les matériaux utilisés. Le sergent chef Ramirez reçoit beaucoup de cadeaux fort jolis de la part des crevettes mâles. Allez savoir pourquoi? J'ai été surpris que le Commandeur me propose un échange de femelles, le sergent chef Ramirez contre Margot, une de ses quatre femmes. J'ai bien évidement accepté. J'adore les échanges. Le soir venu sur Monstra, nous avons dégusté le repas du soir préparé et servi par des crevettes géantes, invitées sur notre base, où nous avons beaucoup ri et surtout très bien mangé, la cuisine des crevettes est exceptionnelle de finesse et de saveurs. Là aussi ce sont des artistes. Le Commandeur a fait un signe au sergent Chef Ramirez qui ne s'est pas faite prier pour le suivre, passant bien devant moi et tortillant à l’exprès son cul de rêve et en jouant bien à la conne, comme elle sait que j'aime. Les crevettes mâles n'ont pas pu s'empêcher de dire: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée...et là encore Ramirez, toute sourire a ondulé sa croupe. Et c'est reparti de plus belle: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée..J'ai du débrancher le traducteur. Pour ma part j'ai pris par la main la superbe Margot pour la conduire vers mon logement près de la serre. Une main très douce et chaude. De très agréables vibrations. Le Commandeur et ses quatre femmes cachent leur masse crânienne beaucoup plus imposante sous de longs cheveux. Dans ma chambre Margot m'a demandé si je voulais essayer le sexe sans contact physique. J'ai presque hurlé: -Non, mais ça va pas! je vais d'abord bien te troncher par tous les trous et te remplir de sperme, après, on verra pour les expériences. Je mes suis éclaté avec Margot et son corps de bombe sexuelle. Une belle salope avec des airs de sainte ni-touche, première de la classe. Je l'ai violée et re-violée, on a joué à cela pour commencer. Margot s'est retrouvée, vêtements déchirés, attachée, fessée hard, orifices ouverts de force et remplis de sperme. Au bout d'un moment, bien pinée et perforée de partout, elle a commencé à gémir, puis à bien se cambrer et à être secouée de spasmes, de plus en plus violents, de plus en plus fréquents. Elle a fini par partir en fontaine, à ruisseler les grandes eaux. Elle me pisse carrément dessus, cette belle salope, ne peut plus rien retenir. -Ben toi ma Margot, quand tu lâches prise, tu lâches prise ! -C'est trop bon, j'adore être violée, prise de force, sodomisée , fessée. Nous nous sommes reposés un peu, nous avons bu un verre et j'ai fait goûter à Margot un calumet spécial avec des herbes choisies et savamment mélangées par les crevettes. Un truc de ouf ! Un démonte pneu cérébral ! Cela sent très bon et l'envie de baiser revient aussitôt, brutale, avec une érection d'une vigueur incroyable. En voyant mon pieu dressé, Margot a remis cela: -Voulez vous , Mon Maître, essayer le sexe sans contact. -Ok, mais si cela ne me va pas, tu seras bien corrigée. A peine ai-je dit cela que Margot m'a envahit de ses ondes cérébrales qui toutes puent le sexe le plus cochon qui soit. Je sent la sève qui monte, monte. Je vais exploser lorsque Margot stoppe l'orgasme, me laisse souffler un peu puis remet cela. Au bout de la dixième montée, j'en peux vraiment plus. Je me dis dans ma tête: "si cette salope de Margot m'arrête encore, je l'étrangle ! ". Elle a du entendre mes pensées car cette fois j'ai explosé un orgasme d'un violence inouïe. Je tombe dans les pommes tellement c'est fort. Lorsque je me suis reveillé, j'ai estimé que Margot méritait une bonne raclée pour m'avoir trop bien fait jouir. Je l'ai solidement attachée et baillonnée et elle a dérouillé à coup de ma grosse ceinture militaire en cuir épais. Son cul a vite été rouge feu. Et comme cela l'a fait jouir, elle a ruisselé de nouveau, lâché les écluses. Je me suis régalé à l'obliger à tout nettoyer à quatre pattes, bien ouverte et cambrée. La nuit ne fait que commencer. Dans les habitations à coté, les râles du sergent chef Ramirez secouent presque la base. Ses orgasmes sont comme des ondes telluriques qui parcourent le sol et vont se perdre je ne sais où, très loin, dans les vastes plaines. Le Commandeur est sans doute un cérébral pur, on ne l'entend pas. Mais sur Monstra, les terriens baisent et ne se privent de rien. ------------------ Voilà, c'est la fin de cette petite série de fictions sur fond de science fiction. J'espère qu'elles vous auront détendus. A ne jamais prendre au sérieux. C'est par plaisir d'écrire. Prenez soin de vous.
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Par : le 03/08/20
vous me faites patientez quelques secondes comme ca...privé de ma vue, j ecoute le moindre de vos mouvements. Le seul bruit que je capte est celui de vos talons, vous marchez autour de moi puls j entends le bruit de vos chaussures juste a cote de mes oreilles... puis quelques secondes apres, je sens le poids de votre corps sur mon visage, ma bouche au contact de votre petite culotte que je devine legerement humide...cela m excite terriblement d etre dans cette position j adore cela et j imagine la vue que je pourrai avoir si je n avais pas les yeux bandés.. Vous ondulez legerement votre corps, faites de petits va et vient puis vous caressez mon torse avec vos mains ...vous accentuez la pression sur ma tete, j embrasse votre sexe a travers ce bout de tissu, je suis attentif a chacun de vos mouvements, vous decollez quelques secondes vos mains, puis revenez les poser sur mon torse pour y plantez vos ongles et vous vous amusez a les faire parcourir sur ma poitrine autour de mes tetons... cela me plait beaucoup, j intensifie mes mouvements de bouche, puis d un coup vous attrappez mes 2 tetons et les serrez bien fort. je pousse un gemissement ettouffe par votre corps, je sursaute... vous tirez delicatement sur mes tetons, doucement mais fermement, je me laisse entierement faire, j adore souffrir sous vos doigts... vous les relachez, vous vous penchez en avant, je leve ma tete pour rester au contact de votre sexe, puis passez une de vos mains autour de mes testicules, vous les serrez progressivement au creux de vos mains, je gemis, je gigote... j aime quand vous me tenez par cet endroit... Vous relachez votre prise, puis je vous sens vous relever. Vous me dites alors de votre voix excitante et sensuelle " maintenant leve toi". Je m execute, me met en position assise, puis vous attrapez une de mes mains pour m aider a me relever. Une fois debout, vous tirez sur ma main, je comprends qu il faut que je vous suive. Je n ai aucun repere, je vous suis aveuglemment en me demandant bien ou vous allez me mener. Je marche doucement me fiant entierement a vous, en essayant de ne pas perdre l equilibre. Apres quelques metres, vous vous stoppez, puis posez ma main sur un objet que je devine etre une table. Vous prenez mon autre main que vous posez a son tour sur cette table, puis me dites d un ton plus autoritaire " laisse bien tes mains poser a plat, ne bouge pas , penche toi en avant et tends bien ton cul". En meme temps vous placez une de vos mains sur mes hanches et appuyez dessus en arriere pour m inciter a me mettre dans la position souhaitée. Je m execute, un sourire au coin des levres, penché en avant, les jambes tendues legerement ecartees et mes fesses bien tendues dans la position que vous souhaitez Vous commencez par caresser doucement, tendrement mon cul, passez bien votre main sur toute la surface de mes globes fermes, vous intensifiez vos caresses, votre main devient plus ferme, par moment vous compressez une de mes fesses au creux de vos mains... de mon cote je me laisse aller a vos caresses, j adore le contact de votre main sur ma peau, je ne bouge pas et garde mon cul bien tendu.... puis vous alternez petites claques et caresses, pour ensuite ne mettre que des claques... elles deviennent de plus en plus fortes, vous changez regulierement de zone de frappe, je sens mon cul chauffer lentement et devenir legerement rose, ce qui me ravi. De votre autre main vous attrappez un de mes tetons et tirez bien fort dessus ce qui m excite encore plus... Vous relachez un de mes tetons, je vous entends vous eloigner, chercher quelque chose dans votre sac puis revenir vers moi... soudain je sens un coup dur s abattre sur mes fesses, je gemis, sursaute, mais je reconnai instatannement cet instrument... un paddle en cuir... vous continuez a me fesser avec, en espacant chaque coup, en variant bien les intensites et les zones de contact.... ma douleur initiale se transforme petit a petit en plaisir, je garde bien mon cul tendu, j adore sentir mon cul rougir sous l effet de votre instrument... mon cul doit etre bien rouge la... une fois que ma peau a la couleur qui vous plait vous venez vous placer derriere moi, votre bassin contre mes fesses, le cuir de votre mini jupe contre ma peau puis deposez un long baiser dans mon cou... puis vous me dites " suis moi" vous attrapez une de mes mains, me guider vers un autre endroit, vous placez une chaise contre mes genoux. "assieds toi puis ecartes tes cuisses" je m execute, la chaise est en bois dur, ce qui me fait bien ressentir l effet de vos fessées, j ecarte mes cuisses, puis vous aggrippez mes poignets fermement dans vos mains, vous les placez derriere la chaise puis je sens que vous attachez mes poignets avec une paire de menottes. Me voila donc attaché, yeux bandés, le cul en feu, tres excité entierement a Vous.
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Par : le 02/08/20
« Comme j'aimerais révolutionner dans votre tête votre vision violente et sombre du BDSM pour y mettre des coloriages gaies de fleurs, de papillons et de petits camions. ^^ » Quel parent aime punir son enfant? Bien sûr on peut aimer donner la fessée, la recevoir. Mais punir, infliger quelque chose qu'on SAURA désagréable pour l'autre... quelqu'un qu'on cherche à élever... Personnellement, je n'aime pas ça. (Et je soupçonne que le contraire soit du sadisme pur et simple à la source de l'abus) Est-ce qu'on ne ressent pas une sincère et amère déception en soi de voir l'être qu'on aime transgresser nos limites? Pour moi, le BDSM n'est pas un jeu. Dans le BDSM il y a des jeux. Et pour certains, c'est peut-être un jeu. C'est peut-être bien ainsi. Mais je vous demande alors de comprendre que même ce que vous appelez ''soft'' comporte des enjeux et pas seulement le jeu. :wink: Faire semblant de punir c'est très bien. C'est mignon. On applique les quelques règles de sécurité et de consentement et c'est très ludique! Pour un dressage, là, c'est tout autre chose. C'est important de le comprendre je trouve. Vous ne pouvez pas punir impunément. :yum: Dans ma vision des choses, il est souhaitable que la dynamique occasionne du plaisir et de la sécurité pour les 2 partis. C'est assez difficile à faire si votre soumis craint continuellement de faire un faux pas (état de stress et de tension négative/chercher à échapper à quelque chose/atteinte à l'estime de soi) plutôt que d'espérer vous faire plaisir (état d'appréhension, d'anticipation, d'espoir: tension positive/dépendance à l'approbation du dominant). C'est très différent. L'un entraînera votre protégé dans des séquelles psychologiques et l'autre dans un entretien du lien qui vous unit. Et encore selon moi, le plus souhaitable reste, (une coche au-dessus) de tenter de faire en sorte que le soumis développe son propre discernement et auto-jugement pour qu'il ait grandit de votre échange une fois qu'il retournera dans le grand monde. :two_hearts: Pour cela, il est indispensable, à mon avis de forcer la dose de renforcement positif. Et pour ça, il faut être très attentif à son soumis/sa soumise. Il faut cerner ce qui peut constituer pour lui, une gratification qui occasionnera cet infime boost de dopamine dans son cerveau. Ce que vous considérez une récompense, pour lui, n'en est peut-être pas une. Afin qu'il reproduise le comportement attendu, il est essentiel que ça soit à LUI que vous pensiez. Et en fait, ça fonctionne également pour une soumise qui chercherait à signaler à son Dominant son appréciation. On récompense toujours ceux qui nous entoure pour leurs bienfaits. L'essentiel est de le faire avec ce qui, pour eux, constitue une gratification. Bonne journée mes amours! :blush: Mme Julie :blue_heart::revolving_hearts:
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Par : le 20/07/20
Tessa et Abby sont des adeptes du wrestling, ce combat au sol qui peut être un jeu sexuel avec une dominante et une dominée. Elles ont fixé des règles simples. Le combat commence en maillot de bain et se termine par abandon de l'une des deux, peu importe la forme, mais en évitant de se blesser. Ce peut être par de redoutables armblocs, des immobilisation au sol, dés clés diverses. Les étranglements sont interdits, de même que tirer les cheveux mais pas la saisie de poils de chatte. Tessa et Abby se sont vite épilées pour éviter cela, car la saisie d'une chatte poilue fait très mal. Tessa et Abby se sont aménagées une pièce avec de bons tapis de sol pour jouer. C'est souvent Tessa qui gagne. Le prix c'est la soumission inconditionnelle de la vaincue jusqu'au combat suivant, en tout et pour tout, et bien sûr sexuellement. Abby vient encore de perdre. Tessa a réussi à lui faire une clé de jambe et elle a du abandonner à cause de la douleur. C'est le moment que Tessa préfère, celui où elle prend possession de sa soumise. Elle enserre son visage entre ses cuisses musclées et l'oblige d'abord à bien lui lécher le minou. C'est délicieux et elle jouit dans la bouche d'Abby qui doit ne pas perdre une goutte de cyprine. La fessée est un autre moment de plaisir. Abby doit couiner de douleur ! Un bon martinet en cuir fait très bien l’affaire, surtout que Tessa ne fait pas semblant quand elle frappe. Elle empoigne les cheveux de sa soumise, cette fois c'est permis et aime la corriger comme une jument rétive. Tessa adore son god sans harnais, avec une partie qu'elle introduit dans son vagin bien serré et le reste à l'extérieur, dressé comme une belle bite de mâle en rut. Un bon 30 cm et 6 cm de diamètre, de quoi bien dilater Abby. Cette dernière hurle chaque fois qu'elle se fait enculer et sans préliminaires, à la cosaque. Elle pleure, se débat, supplie, mais en vain, Tessa lui démonte chaque fois le cul, en bonne sauvage. C'est une façon de briser psychologiquement Abby et de lui faire comprendre par la sodomie qui est la Maîtresse. De toute façon Abby est rentrée dans son rôlr de soumise et de vaincue. Tessa est de loin la plus forte. Elle domine en tout. Ce soir Abby devra encore faire le service cul nu, les fessées bien zébrées au martinet. Toutes les corvées c'est pour elle. La morale de cette histoire c'est qu 'une soumise doit se la fermer, filer droit et bien obéir.
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Par : le 15/07/20
Nichdali est une passionnée d'ésotérisme, de méditation, de yoga, bref, elle ne peut plus baiser que suivant les préceptes du tantrisme. Faut pas être pressé. Faire l'amour avec Nichdali peut durer des heures et même des nuits entières. Il n'est pas rare qu'elle commence la pénétration le soir et que l’orgasme et la libération de sperme ne soit que pour le matin. Elle a un Yoni très musclé et une fois un pénis inséré, c'est elle qui décide de le relâcher ou pas. Elle en fait sa propriété tout le temps de la pénétration. Cela peut être très jouissif pour un homme, mais aussi très douloureux parfois. Comme Nichdali adore faire l'amour, c'est devenue une experte. Le problème c'est qu'elle a voulu se faire sauter par un beau noir avec une pine énorme. Ce dernier en a vite eu mare des préliminaires et il a défoncé Nichdali par tous les trous comme un sauvage. Et Nichdali a explosé les orgasmes en lâchant complètement prise sous les coups de ce pal monstrueux. Fini son approche tantrique du sexe. Elle est devenue l'esclave de la bite d'Amir, le lion indomptable du Cameroun. Et Amir ne se contente pas d'une seule femme, il faut qu'il en bourre plusieurs différentes chaque jours. Et toutes jouissent très fort et toutes sont accros. Nichdali la fière féministe, féru d'amour tantrique n'est plus qu'un garage pour la bite d'Amir et elle doit obéir, être disponible quand son maître veut et comme il veut. Et Amir est un pressé, il a de belles chattes à visiter. Elle doit être la huitième sur sa liste, peut être plus loin encore. Elle pense être tombée bien bas. Elle qui était contre la polygamie, le patriarcat, la toute puissance du mâle dominant. Et maintenant Amir en veut plus, il lui donne de copieuses fessées, il l'attache et parle même de la fouetter bientôt. Elle tremble, elle est prise au piège. Elle ne peut plus s'échapper. Elle jouit trop et trop fort ! A peine Amir la touche, elle brame. Son maître a du lui jeter un sort, il doit être marabout ou sorcier ! C'est incroyable, dès qu'il est là, elle n'est plus rien, sauf une chatte, un cul et une bouche ouverte. Et Amir a fait ce qu'il a dit. Il a attaché Nichdali et il a sorti un fouet terrifiant. Nichdali a hurlé, supplié, pleuré. Rien à faire, Amir lui a labouré le dos. Puis il l' a détachée et il est parti sans un mot. Nichdali sent la douleur brûler. Elle sanglote. Puis elle se calme. Elle se souvient de ses séances de méditation....la paix revient. Sa douleur devient plaisir. La morale de cette histoire, c'est qu'avec les soumises le fouet est le meilleur des préliminaires.
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Par : le 12/07/20
Jean Michel se travesti depuis tout petit. En cachette d'abord, puis ouvertement avec l'aide de sa mère. Celle ci l'avait découverte un jour en train d'essayer sa lingerie et l'avait trouvée très mimie. c'est elle qui lui a appris à s'épiler, se maquiller et à vivre en fille. Une parfaite complicité et entente. Sa mère y est allé au culot et a réussi à le faire inscrire comme une fille dans une école mixte et cela a très bien fonctionné. Jean Michel a disparu, si tant est qu'il ait existé un jour et a laissé place à Jemma. De toute façon son micropénis ne bande pas et même en sport il a fait parfaite illusion avec les filles. Devenue grande Jemma, qui est intelligente s'est trouvée un bon job comme cadre dans une grande société de commerce international. Seulement voilà, son chef de service la trouve fort jolie et semble dingue d'elle. Jemma a toujours réussi à éviter les aventures, de peur d'être découverte. Elle ne se sent bien qu'avec les garçons. Dans sa tête elle se sent femme et donc hétéro. Lucas, son chef de service parvient une fois à la coincer dans l'ascenseur. Il n'en peut plus, n'en dort plus. Il sait que Jemma est la femme de sa vie. Alors il lui vole un baiser. Il ne reçoit pas de gifle. Jemma est rouge, troublée. Son premier baiser....et Lucas qui recommence. C'est si doux, si bon. Suivent les premiers rendez vous, les premières sorties, les premiers restos. Lucas est sage. Il se contente de l'embrasser, de peloter un peu tendrement, mais reste très sage. Ils partent un week end ensemble. Jemma sait que cette fois elle va devoir y passer. Sa regrettée mère, lui a appris une chose: ne jamais avoir honte de ce que l'on est et assumer la différence. Elle se dit que si Lucas l'aime et la veut pour femme, il devra l'accepter comme elle est. La première nuit d'amour est un enchantement. Lucas la dépucelle en douceur. Il aime son micropénis qui ressemble à un gros clito et qui reste mou, juste gonfle t-il un peu sous les caresses. Il adore ses petits seins et ses fesses bien musclées. Il est encore plus fou d'amour. C'est là que Jemma se surprend. Lucas revient nu de la salle de bain et elle trouve ses fesses jolies. Elle le prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée. Lucas est un peu récalcitrant au début et pourtant très vite il adore. Il jouit même sur les jambes de Jemma. -pourquoi as tu fait cela? Dit Lucas en se massant les fesses. En plus tu m'as fait jouir très fort. -Je ne sais pas. J'ai eu envie. J'aimerai t’attacher aussi, Utiliser une cravache, un fouet, des pinces. Bref je sens cela en moi et c'est très fort? Je n'y peut rien. C'est comme mon besoin d'être en jupe depuis tout petit. -Tu es une dominatrice.... -Oui mon Lucas et tu aimes cela, regarde, cela te fait bander. Tu ne peux pas cacher ta nature. Tu as envie d'être totalement soumis à ta femme. Allons viens, je vais t'attacher et te punir un peu. A genoux mon chéri et obéis, c'est la place que tu souhaites près de moi. -Oui maîtresse - C'est bien, tu vas commencer par m'embrasser les pieds et bien les masser. Après tu me feras encore l'amour. J'ai adoré. Tu me rempliras bien de sperme; je sens que cela me fait beaucoup de bien.
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Par : le 10/07/20
-Ben oui mon chéri, tu es cocu, et alors? -Cela me fait très mal, Nath, de savoir qu'un autre homme te touche. -Ne fait pas cette tête mon loulou chéri, mon amant me baise très bien et il en a une grosse. -C'est juste une question de taille? -Pas du tout sauf que Mika, mon amant sait très bien se servir de sa grosse et je peux plus m'en passer. -Tu veux qu'on divorce? -Non, je tiens à toi, pour plein d'autres choses que la baise. Cela tu sais pas faire. -C'est sympa pour moi, je croyais que je te faisais jouir. -Tu sais, j'en ai parlé à Mika et il ne veux plus que tu me pénètres. C'est son domaine réservé maintenant. Par contre il t'autorise à me lécher le minou et à bien me nettoyer. Il veut bien aussi que je te sodomise pour te faire jouir. -C'est maintenant l'amant qui décide de tout? -Oui, lui c'est un dom et toi mon chéri, tu es un soumis et il est temps que tu restes à ta place de soumis. En plus Mika veut t'obliger à porter une cage de chasteté. Il ne veut plus que tu bandes en ma présence. C'est lui qui gardera la clé. -Et si je refuse. -Ne dis pas de bêtises, un soumis cela obéit et ne discute pas. allez, je vais te donner une bonne fessée et te sodomiser, après tu te sentiras bien mieux et à ta place. -Non, pas la féssée. -Mais si mon loulou chéri, et tu vas devoir me dire merci. ---------------- La morale de cette histoire c'est qu'un soumis est toujours coupable et qu'il n'est jamais assez puni
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Par : le 01/07/20
Maître Trépuissant éprouve un grand plaisir à contrôler ainsi le plaisir de ses soumis-esclaves.Le sexe de Marc la soubrette entre et sort de l’anus de la jeune Bianca au rythme des claquements des doigts du dominant. Les deux autres femmes sentent quant à elle leurs anus et leurs vagins se resserrer à l’écoute de ce petit bruit qui résonne si bien dans le silence du salon. Elles ont été soumises à Maître Trépuissant toutes les deux, elles ont appris à contrôler leur plaisir afin de pouvoir par la suite maîtriser celui des soumis. Elles ont connu la frustration des interdictions de jouir qui sont imposées pour la satisfaction du Maître et comme le chien de Pavlov, elles ont acquis des réflexes conditionnés qui persistent alors qu’elles sont devenues toutes les deux des domina chevronnées. Mais dans ce pavillon de la banlieue de Versailles qu’elles connaissent si bien pour y avoir vécu de nombreuses séances de dressage, leurs corps réagissent parfois encore comme lors de leur état antérieur, en soumises malgré leur changement de statut . Maître Trépuissant qui connaît bien ses anciennes soumises sourit intérieurement de la force du conditionnement qu’il leur a imposé. Il voit à leurs expressions le plaisir diffus lié au petit son répétitif du claquement de doigts. Cela lui procure une satisfaction intense, un pur plaisir cérébral rare , une jouissance intellectuelle difficile à décrire tant l’intensité en ce moment parfait est importante. Il n’est pas jusqu’au p’tit soumis qui ne réagisse à ce rythme claqué doucement. Sa tête dodeline d’un coté à l’autre bien qu’elle soit maintenue contre le torse de la jeune Julie. C’est un pur moment , un exemple parfait d’entente entre les protagonistes de séances de jeu bdsm. La jeune Bianca jouit de plus en plus, et Marc derrière elle commence à sentir ses genoux le brûler. Son plaisir s’amoindrit. Maître Trépuissant perçoit le changement sur le visage de la soubrette et d’un doigt relevé lui indique qu’il peut jouir sur le dos de Bianca. Marc se retire de l’anus si bien servi et de son sexe tendu jaillit un long jet de sperme chaud qui inonde le dos de la petite esclave. Il s’empresse de tout lécher avant que sa semence ne coule à terre comme un certain nombre de coups de fouet sur ses fesses ont fini par lui apprendre à le faire avec une grande célérité. Le p’tit soumis de Maîtresse Julie est très surpris de cette capacité et s’interroge : « saurait-il lui aussi se contrôler aussi rapidement ? » en cet instant il en doute fort, il est persuadé qu’il n’y arrivera pas, tellement ses éjaculations le vident de ses forces et l’obligent à se reposer. Dame Méphista le regarde d’un air interrogateur, un sourcil fin relevé vers son front et un petit sourire asymétrique sur les lèvres. La jeune Bianca s’étire lentement comme elle sait en avoir le droit puis vient poser sa tête sur les chaussures de son maître avec un profond soupir de satisfaction. Elle est si heureuse de s’être ainsi offerte entièrement à cet homme si grand, si beau, si juste mais surtout si bon Maître. Avant de le rencontrer elle avait tenté la soumission auprès de deux autres dominants. L’un était assez âgé, et malgré de profonds et longs échanges sur un site spécialisé, puis des conversations téléphoniques répétées, elle avait été déçue de ce début d’apprentissage : il ne l’autorisait jamais à jouir, se satisfaisant lui de la grande frustration qu’elle laissait apparaître sur son visage rond. Il l’obligeait sans cesse à porter des tenues vraiment horribles, elle devait seule apprendre à se fister, il ne la complimentait ni ne l’encourageait jamais mais par contre s’adonnait à l’insulte, elle ne savait pas s’il était satisfait ou pas. Bien sûr la frustration fait partie du jeu, mais il doit exister un juste milieu, puis ce dominant âgé, malgré son expérience, ne lui apportait pas réellement satisfaction. Elle qui voulait connaître le plaisir sexuel de la jouissance n’y trouvait jamais son compte et ressortait désenchantée des rares séances accordées. Elle avait alors porté son dévolu sur un jeune Maître qui semblait toutefois expérimenté.La situation était très différente, malgré ses dires, il ne donnait que quelques fessées au début des rencontres, puis lui faisait l’amour un peu vivement, ce qui semble être appelé de l’amour vanille épicée. Encore une fois déçue,Bianca avait hésité à faire confiance une troisième fois. Ce n’est qu’après de longs échanges avec Méphista qui était encore soumise, qu’elle avait accepté de se joindre au couple. Son attente avait été enfin comblée et rapidement de soumise elle était devenue l’esclave du couple. Cette situation l’enchantait, elle continuait ses études d’infirmières au centre mutualiste de La Verrière , était logé chez le couple et n’avait que très peu de frais pour ses études. Elle avait ainsi économisé sur sa bourse d’étudiante pour s’acheter une petite voiture qui lui apportait un peu d’autonomie pour se rendre à l’école. Il lui était permis une fois par mois d’aller voir sa famille, mais celle-ci ne lui manquait guère. Elle se sentait bien plus en paix en présence de ses Maîtres. Sa situation d’esclave sexuelle lui apportait un vrai contentement, elle aimait les punitions, elle jouissait des humiliations, elle éprouvait une profonde satisfaction à être utilisée comme un jouet sexuel,réduite à ses orifices pour le plus grand plaisir de ses dominants. Elle avait découvert des capacités insoupçonnées jusque là. Elle lâchait facilement prise car sa confiance en eux était totale.Ils la laissaient s’entraîner et participer à toutes les courses de vélo qu’elle souhaitait. La soubrette Marc était attentif à ses besoins et à ses goûts, il lui préparait régulièrement des petits desserts sucrés et prenait soin d’équilibrer son alimentation. Par rapport à ses amies élèves infirmières elle s’estimait chanceuse . Elle se sentait sereine et épanouie dans son corps malgré son jeune âge. Maître Trépuissant retourne s’asseoir dans la Méridienne délaissée par son épouse. Celle-ci garde un air rêveur sur le visage, il connaît cette expression : Madame souhaite encore jouer avec le p’tit soumis de son amie Julie. D’un clignement des yeux il lui donne un accord tacite. Maîtresse Méphista pose sa tablette sur un guéridon au coin de la pièce et s’approche de Julie qui s’est relevée, son soumis à ses pieds. Elle l’enlace et lui murmure quelques mots à l’oreille. Julie se fend d’un magnifique sourire vers son ancien Maître et s’éloigne. Baptiste ressent un changement dans l’ambiance de la pièce, il tourne un regard inquiet vers les autres soumis mais ceux-ci restent impassibles. Marc a changé de position, il sert de repose-pied à Maître Trépuissant qui a déployé ses longues jambes. La petite jupe blanche de soubrette s’est relevée sur son dos afin que les chaussures du Maître ne soient pas en contact avec le dos humide de transpiration du soumis. Son derrière est bien relevé, son service trois-pièces pend librement entre ses jambes, son sexe ramolli est à peine visible derrière ses testicules plutôt grosse. Ses cuisses peu poilues sont tendues à la verticales et s’ajustent parfaitement à la hauteur du siège. Maître Trépuissant est très bien installé ! Il caresse doucement Bianca qu’il a fait allonger contre lui , la tête sur ses cuisses. Julie regarde son p’tit soumis d’un air dubitatif. Il a l’air perdu, toujours à même le sol les membres repliés, seul son derrière est redressé pour bien présenté son anus à la domina. Celle-ci s’est équipé d’un gode ceinture qu’elle a fixé à sa taille . Le diamètre en est modeste mais le sphincter de Baptiste n’a connu que des doigts de femmes plutôt fins. Il a été décidé d’y aller progressivement et de commencer par le petit gode. L’idée n’est pas de le faire fuir, mais plutôt de stimuler une réelle sodomie qui est le but final à atteindre. Méphista a attrapé un tube de gel lubrifiant sur la table et en a déposé une noisette près du petit orifice vierge. Baptiste frémit de crainte quand le froid du gel pénètre son anus. Méphista lui caresse la tête et lui parle gentiment « ne t’inquiète pas petit chien , je sais faire, je vais te préparer, tu n’auras pas mal. Enfin pas trop » murmure-t-elle dans un léger ricanement. Elle sait que les premières pénétrations sont souvent douloureuses. L’appréhension limite la dilatation de l’oeillet malgré le gel qui assouplit un peu.Alors Méphista prend son temps , elle caresse autour de l’orifice, donne un petite tape sur la fesse rebondie, et lui caresse aussi la tête pour le rassure.Elle introduit un index long et fin , le fait entrer et sortir , puis passe au majeur. Elle joint les deux doigts , et en ajoute un troisième puis tente le quatrième. Baptiste n’est pas prêt et tente d’échapper aux doigts inquisiteurs. Sa position ne le lui permet pas et un coup de ceinture claque près de lui. Il sursaute et se met à trembler. Julia se rapproche, prend le cou du jeune homme entre ses mains et positionne de nouveau sa tête contre son sein en souriant à sa complice.Le p’tit soumis rassuré se détend un peu et la domina recommence à masser son anus.Elle y introduit de nouveau ses doigts un à un et s’aperçoit que l’intervention de Julie a été bénéfique, l’anneau se dilate très bien. Elle s’agenouille alors derrière le soumis et commence à approcher le gode tout en continuant le massage. Baptiste se crispe un peu mais il a donné son accord à Julie. Il a dit qu’il accepterait une sodomie préparée bien qu’il ne l’ait jamais pratiquée.Mais il veut être un bon soumis pour sa Maîtresse versaillaise si élégante, si belle, si souriante si...si belle domina. Il ne veut pas lui faire honte devant ses amis. Même s’il ne connaît pas tous les tenants de l’histoire, il est conscient qu’il s’agit d’un test, non seulement pour lui mais aussi pour Julie. Il entent son coeur battre fort sous sa poitrine généreuse. Il ne veut pas la décevoir et tiendra ses engagements. Dame Méphista va le dépuceler avec son gode, malgré sa peur il ne fuira pas l’épreuve. A ce moment là il sent le plastique qui commence à forcer sa rondelle. La main douce de Julie caresse sa tignasse tendrement, il essaie de régler sa respiration sur la sienne, il se concentre sur leurs souffles mêlés pour ne pas sentir le viol de son intimité. Bien sûr il a donné son accord , bien sûr Dame Méphista le fait avec une délicatesse surprenante, n’empêche qu’il est en train de se faire défoncer le trou de balle par une nana ! Heureusement que personne de son entourage n’est au courant, lui qui plaît tant aux jeunes et jolies voisines de ses tantes de province qu’il visite régulièrement. Que dirait ces jeunes filles catholiques si sages si elles avaient vent de cette histoire ? La réputation de toute sa famille en pâtirait grandement c’est certain. Tout à ses réflexions, Baptiste commence à ne plus avoir mal d’être ainsi sodomisé par cette femme qu’il rencontre pour la première fois. Le contact doux de sa domina le rassure, il se sent bien, il est réduit à être un jouet dont usent et abusent ces femmes, mais il en est heureux. Il commence alors à se concentrer sur les sensations qui lui parviennent de son arrière train : curieux, cela ne fait pas si mal si on se détend. Il éprouve même du plaisir. Les mains un peu rugueuses de Méphista caresse doucement ses fesses, Julia continue à le bercer de sons rassurants, Baptiste se laisse aller. Et au moment où le gode le pénètre il en est à peine surpris, il trouve même agréable cette situation. Deux belles femmes sont aux petits soins pour lui et il en oublie l’humiliation légitime qu’il pourrait ressentir. Puis un claquement de doigts rythmé se fait de nouveau entendre et il sent le gode suivre le son, en avant et en arrière , doucement puis lorsque la vitesse accélère, le gode pénètre de plus en plus vite, de plus en plus loin. Et dans un éclat surprenant, un point particulièrement sensible se révèle au p’tit soumis tout surpris, tout surpris et tout heureux. Son sexe tente de s’étirer, son anus se dilate et un rayonnement diffus accompagne les mouvements. De curieuses sensations lui parcourent tout le corps et il ne peut retenir un petit cri de satisfaction. Celui-ci cesse rapidement quand Julie tire de toutes ses forces les cheveux si doucement caressés l’instant d’avant. Elle fait claquer l’élastique de la culotte rouge en dentelle qui a été juste écartée pour faciliter le passage du gode. Méphista continue et Baptiste se détend et se sent bien, son visage se lâche, et son sexe tente de se redresser malgré les entraves qu’a installées Marc la soubrette ou plutôt Marc le repose-pied tout à l’heure dans la cuisine. Maître Trépuissant commence à ressentir une certaine admiration pour ce jeune soumis mais il n’en laisse rien paraître. Il ne faudrait pas que le p’tit soumis se croit autre chose que ce qu’il est : un soumis, un chien, un jouet sexuel dont on use et abuse. Difficile pour le dominant de comprendre qu’un homme aime être ainsi avili par des femmes. Mais bon , chacun sa vie, chacun sa façon de vivre ses relations bdsm du moment que tout le monde y trouve satisfaction. Julie a l’air de l’apprécier, elle se montre tendre et cruelle avec lui. Dame Méphista a l’air de bien s’amuser aussi. Baptiste se sent bien , son sexe se gonfle, il n’aurait jamais supposé qu’il allait réellement aimer cela, même avec un gode aussi fin. Vivement la prochaine séance.
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Par : le 16/06/20
Presque 24h, un peu moins. Un timing plus que serré. Plein d'envies et de désirs, alors je ne perds aucune de ces heures, je fonce. Je teste une nouvelle cravache, elle claque,mais marque trop légèrement. A peine dévêtu, encore sous le coup des kilomètres et d'une fin de conduite pluvieuse. Je ne lui laisse pas de repos. Il sait. Il désire mais sans l'avouer, il provoque, recule, approche puis obéit. Je veux poser une de mes empreintes : tout de suite, ne pas lui laisser le temps de réfléchir, le cueillir à froid pour le réchauffer et m'échauffer avant les prochaines heures. Il sait. Le stick claque sans bruit. Un long gémissement pourtant. Main droite, main gauche, stricte application au centre de ses fesses, je frappe pour obtenir cette marque particulière lorsque l'extrémité vient éroder la peau de sa cuisse, de son ventre ou de sa queue. Une marque rouge, douloureuse, quelques centimètres seulement, une résonance vive. J'aime. Terriblement. Il le sait. D'autres gémissements, une attitude de protection. Inutile. Nouveaux claquements, comme pour équilibrer. Fin de nos retrouvailles immédiates. L'heure avance, nous rejoignons un domicile ami. Un garage. Aménagé. Fabuleusement aménagé. De nouveaux désirs en frôlant certains instruments cinglants, brûlants, piquants. "Déshabille toi. Retire tout" Gêne. Son cerveau en ébullition face à nos amis. Je l'installe sur une banc à fessées, le ventre sur le cuir rouge, genoux repliés. Je fixe les attaches : j'aime cet instant précis où je le sangle serré, en le pinçant parfois. Pas grave. Il sait. Pas de bandeau, je veux qu'il voit. Je lui glisse à l'oreille : "tu as une pose d'une grande indécence" Puis, je redis cette phrase à nos hôtes. Mon amie domina commente d'un ton badin : "Hmmm, intéressante cette pose, elle permet d'imaginer des tas de gestes " Il rit mais n'en mène pas large. Je le chauffe en le fessant : j'aime ce contact, doux, sensuel, j'aime le bruit de mes mains sur son cul tentant. Je joue. Sérieusement. Je reprends possession de son corps. Il me l'offre, il grince des dents, gémit, crie, se cambre, tente d'éviter. Les liens enserrent ses bras, ses mollets et ne lui permettent que peu de liberté. Je joue toujours. Fouets rapides, vifs, irradiants. Fouets lourds : ses préférés, coups répétés, cadence élevée. Poings serrés, paupières closes, sourcils froncés. Il gémit de plus en plus et de plus en plus fort. Je ralentis puis cesse. Je le regarde, je touche sa peau, sa chaleur, sa transpiration, ses boursouflures . Question : "je poursuis ? " Murmure assuré : "Oui, ma Lady" Je cingle ses fesses, zone de frappe non érogène pour lui, il se concentre pour accepter cette douleur. Je suis attirée par son cul tendu Il sait. Je reprends mais en le détachant et en le faisant lever. Un instrument m'attire terriblement. Deux longues griffes sur une bague. Je strie son corps entier, je dessine, je compose Je trace de longs traits rouges puis je coupe leur trajectoire en retraversant de l'autre coté. Son corps devient damier. Il aime mes griffures. Il geint et il aime De nouveau sur le banc, je griffe sa queue et ses couilles. Délicatement. Il a peur. J'aime sa peur. Terriblement. Il sait. 1 heure pleine de contacts appuyés, zébrant sa peau, la chauffant de plus en plus. Il aime mais sans l'avouer. Je frôle les marques, pose mes doigts sur les traits larges du fouet bifide, masse légèrement ce corps bouleversé mais pas assez travaillé encore. Pas assez repossédé. Je le relève, l'observe, le contrôle, le surveille, le cajole. Il ne lâche pas prise facilement. Il contrôle aussi, sans se laisser aller totalement : alors, je saisis un couteau. Il sait, recule et me fixe. Muet, il dit non. Je lui conseille juste de ne pas bouger. Je passe la lame sur ses joues, sur ses yeux fermés, sur ses lèvres gémissantes. Je descends la lame sur sa gorge, je reste en appui sur sa peau si fine. Il tremble mais accepte. Ma main est sûre, ne tremble pas : une des différences entre le soumis et la domme. Merci à toi, pour ces émotions Merci à eux de nous avoir reçus et accompagnés Et merci à vous si vous en êtes arrivés là
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Par : le 04/06/20
Chez moi, vendredi prochain, tu auras droit à cela, je te l'ai promis. Rendez-vous à dix-huit heures précise, sinon correction. Tu porteras ce que je t'ai demandé: des chaussures à talons hauts et une robe courte découvrant tes fines jambes brunies qui me reviennent. Si tu as mis un string ou un soutien-gorge, je suspends le jeu. Un arrêt irréversible. Tu es en retard ma Juliette qui longe les murs du boulevard, tantôt poussée, tantôt ralentie par ton désir qui t'éclabousse. Tu es venue en bus. La moiteur du skaï de la banquette rouge sous ton sexe ouvert. Ton sexe ouvert, mouillé, déjà prêt. Tu traverses la place ronde. À trois-cents soixante degrés, des terrasses de café. Des hommes. Leurs yeux comme des jumelles sous le fottant tissu à pois blancs de ta robe bleu. La main d'un vent taquin frôle l'intérieur de tes cuisses. Ils devinent tes seins. Ton désir te fait honte. Bientôt, tu marches très vite jambes serrées, une main tenant ta robe volage. Tu caches tes seins. Ton ventre lisse avance vers moi qui t'attends. Je t'attends sur le canapé, à l'angle. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de dix-neuf heures, Juliette en retard sonne à la porte. Trop facile, pas de punition, je ne suis pas dupe. Nonchalante, elle pousse la porte entrouverte. À double tour, la referme. La voici introduite dans la pénombre fraîche de mon salon, par une très jeune fille nue, complice de nos jeux. En fond sonore, du Satie, les Gymnopédies; c'est la "fête des enfants nus". Doucement le piano pour entendre le bruit de tes pas quand sur le parquet point de hongrie, tu te déshabilleras lentement, une épaule après l'autre, ta robe glissera sur le sol. Doucement pour écouter le clapotis de ton sexe entre mes doigts. Je décroise mes jambes. Viens ici. Mes paumes claquant deux fois sur mes cuisses te prient d'avancer. Plus vite Juliette. L'œil de ton nombril, je le vois, de si près maintenant. Retourne-toi. Assieds-toi. Non, pas comme ça. Pas de profil. Ne me présente pas tes fesses. Pas de fessée. Tu ne le mérites pas, c'est trop facile d'arriver en retard. Tu me présentes ton dos. Le dessin de tes omoplates, ailes de papillon. La rivière de ta colonne vertébrale coule entre tes reins creusés par le désir. Le relief de tes vertèbres, des cailloux polis sous mes doigts. Assieds-toi. De dos, tu te présentes. Ta cuisse qui s'ouvre en arc de cercle. Lentement, joueuse. Ton sexe danse sur l'arête de mes genoux. Je sens l'écartement de tes lèvres, la pointe de ton clitoris. Ta nuque balancée qui dit tantôt non, tantôt oui. Mes doigts s'égarent dessus dessous les lèvres de ton sexe. Tu te laisses dompter trop facilement. Ainsi, tu le désires, tu exiges vraiment ce que je t'ai promis ? Tes yeux se retournent vers mon sourire. Te taire. Le silence, nous l'avons décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Tes longs cils recourbés de chatte. La fente des pupilles. Tes yeux rieurs. Juliette ne sait pas ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme le sperme des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque passe le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt, mes en synchronie, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur ton épaule. Te taire. Tes mains à l'envers ont fermé les crochets en métal. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par la nuque. Te renverse sur le canapé. Je te dévores. Tu te débats. Tu me supplies. Juliette n'a pas de honte à exposer son corps asséché de solitude. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur ton entrecuisse à peine ouverte. Ton désir est envahissant, toute les lèvres de ton sexe, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Le feu innonde tes reins. Tu es foudroyée. Tu me gicles au visage des flots de plaisir. La jouissance est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Elle te pénètre. Mes mains sous tes fesses pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui nous bascule. Un baiser qui énerva chaque projectile de jouissance. Assouvie nuit pareille à nulle autre, jamais Juliette ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Dehors, il pleuvait, et le catalpa de la place près de la fenêtre se courbait et se redressait sous le vent. Des feuilles pâles, mouillées, se plaquaient sur les vitres. Il faisait noir comme au cœur de la nuit. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/06/20
Myrna a été bien tronchée, elle a jouit et elle a cru. Ce style de connes croient toujours. Ou bien elles n'y croient pas. Mais lorsque la réalité les rattrape, il est trop tard. Après avoir été bien tronchée et avoir bien jouit, son amant a voulu lui donner une bonne fessée. Myrna ne voulait pas. Sauf qu'elle a eu le cul bien rouge. Puis son amant l'a laissée tomber quelque temps. Myrna a voulu le revoir, il avait laissé son tél en précisant: -n’appelle que si tu veux devenir mon esclave. Cette conne de Myrna a appelé en voulant se persuader que c'était un jeu. Son amant lui a dit: -tu es certaine de vouloir devenir mon esclave? Elle a répondu oui et a franchi la porte. Elle croyait que....mais non, il ne fallait pas croire. Depuis elle porte le collier, elle a été marqué au fer rouge et file droit sous les coups de cravache. Elle est la propriété de son Maitre qui en dispose comme il veut. Sa seule liberté elle la trouve dans son subspace, ce monde de silence intérieur. Là, elle peut méditer tant qu'elle veut. Plus elle doit obéir à son Maitre et plus elle se sent libre dans son intérieur, connu d'elle seule. Une illusion? Non, pas du tout. Là elle trouve ce qu'elle cherchait sans savoir, la paix dans une forme d'extase. Oui, elle jouit avec son Maitre, mais pas en surface, non, de façon très profonde, dans le grand silence de son être intérieur. Son esclavage est une forme de mystique. La morale de cette histoire c'est qu'il faut aller au bout de son désir. Au diable les sécurités.
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Par : le 31/05/20
Dame Méphista est satisfaite. Julie a su dresser son p’tit soumis, il n’a eu qu’une seule séance et se débrouille plutôt bien pour un débutant. Voyons s il va continuer à endurer les sévices maintenant. Elle se saisit d’une des paires de menottes sélectionnées par Julie et s approche du jeune couple. La main tendue vers les cheveux légèrement humides de transpiration de Baptiste elle se penche un peu « bien ,bien, à genoux le chien, voyons si ces bracelets te vont bien et peuvent te rendre plus beau » et elle s empare brutalement du poignet droit du jeune homme pour l emprisonner dans l anneau de métal brillant. Déséquilibré, un cri de surprise échappe au p’tit soumis vite interrompu par une tape brutale sur la tête accompagnée d’un « silence le chien !» péremptoire. Les yeux humides de douleur et de honte, le nez coulant de morve, la bouche baveuse, juste vêtu de sa culotte de dentelle rouge, Baptiste n’a vraiment plus rien du cadre Supérieur dont il revêt le costume pour se rendre à son travail. Il est heureux maintenant, heureux d obéir, heureux de subir, heureux du plaisir qu’il offre à sa domina et à son amie. Il ressent de la honte aussi, mais cela lui procure du plaisir, plaisir intense de n être plus qu’un jouet, un sextoy , un corps dévoué au plaisir des dominants. Le contact du métal froid sur son poignet fait remonter un frisson tout le long du bras qui ensuite envahit son corps. Obéissant il se pose sur ses genoux et présente son poignet gauche pour qu’il soit inséré dans le deuxième anneau relié par une chaîne plutôt courte. Puis Dame Méphista tire un peu sur les bras du soumis pour qu’il se retrouve à quatre pattes. Elle se relève et regarde le résultat « Mmm, pas trop mal, voyons les pieds maintenant ». Elle se redresse et se saisit de la deuxième paire de menottes choisie par Julie ainsi que du rosebud qu’elle caresse avec un regard vicieux. Elle tourne autour de Baptiste dont Julie s’est un peu éloignée et le tapote du pied sur ses testicules emprisonnées. Un début d érection affole les sens de Baptiste, et Julie sourit derrière sa main. Elle suçote le rosebud métallique pour l humidifier. Le contact du métal sur sa langue lui rappelle l’époque pas si lointaine de sa soumission avec Maitre Trépuissant. Un petit sourire tendre étire ses lèvres. Son regard croise celui de son amie et elles s’enlacent tendrement, se bécotent et commencent à se caresser un peu. Baptiste ose encore moins bouger. Les deux dominas sont chacune d un côté de l’homme à quatre pattes. Leurs mollets le frôlent lorsqu’elles se rapprochent et il en frémit de plaisir. Puis il les sent s éloigner et une grande main fine appuie sur sa hanche au moment où il sent des doigts forcer avec une certaine douceur son anneau rectal. Il retient son souffle, il retient sa respiration, il retient un cri. Les doigts s éloignent, appuient sur sa raie et il sent un objet froid prendre leur place. Méphista crache sur ses fesses , et introduit le rosebud dans son trou. Le premier anneau se dilate, l’objet est enfoncé, le deuxième anneau se dilate et le sexe de Baptiste lui envoie un signal de douleur, douleur de ne pas pouvoir s’étirer de plaisir. Marc a bien serré les liens qui le retiennent en position de repos, Baptiste sent des larmes de frustration perler au coin de ses paupières, et son nez coule de plus belle. Julie se penche et insère une cheville dans un anneau métallique, puis la deuxième dans l anneau au bout de la chaine. Le froid du métal fait frissonner encore le pauvre soumis dont les sens s’affolent à cause de toutes ces sensations de froid : anus, chevilles, poignets, et une boule buccale introduite d’un seul coup dans la bouche qui a provoqué une sécrétion de bave intense. Les dominas se relèvent et il reste entre elles. Elles reculent pour l admirer et se moquer un peu « qu’est-ce donc que nous avons là ? – est ce ton p’tit soumis belle Julie ?—non non voyons, mon soumis n’est pas aussi sage ! – alors est-ce ton chien Julie jolie ? – mon chien ? Chère Méphista ? Non non, ce n’est pas mon chien, il est chez toi, il est a toi, ne t-a-t-il pas bien léché ? Les pieds ?la minette ?n’as-tu pas bien joué ?N’as-tu pas bien joui ? Non non il n’est pas à moi en cet instant. –Tu as raison, peu importe, l essentiel c’est qu’il soit sage ce p’tit soumis. » et un double éclat de rire joyeux éclate dans ce salon bourgeois de la banlieue de Versailles. Maître Trépuissant sourit tout en continuant à caresser la tête crépue de sa petite chienne. Puis sa main glisse le long du dos dans une ferme caresse non dénuée de tendresse. Ses doigts glissent vers la croupe cambrée et son majeur commence à jouer avec l’anus de la jeune femme imperturbable. Elle sait quelle ne doit surtout pas manifester la moindre émotion. C’est un calvaire car le plaisir irradie vers son sexe, mais elle se retient. Un long entraînement lui a été nécessaire, elle a reçu des fessées et des coups de martinet, elle a été privée de jouissance souvent, mais maintenant elle peut être fière de maitriser ses expressions et son plaisir. Son Maître l a félicitée une ou deux fois. Elle ne va pas le décevoir en présence de ce débutant ! Et peut-être aura-t-elle sa récompense ? Le droit de sucer le membre de son Maître ? De recueillir sa semence ?Ce jus sacré dont la pensée lui procure un frisson de plaisir mental qu’elle s empresse de censurer de peur que son corps ne la trahisse. Bianca rêve éveillée, essayant de contrôler encore et encore le plaisir que son Maitre a la bonté de lui octroyer. Maître Trépuissant connaît son pouvoir, et secrètement il admire le contrôle de la jeune soumise, bien que son statut l empêche de le montrer ! Le p’tit soumis de Julie ne se comporte pas si mal pour une deuxième séance. Sa bouche a été douce à son sexe, mais le plus jouissif, c’est quand même le regard peureux et plein de honte de ce jeune homme au moment de la gorge profonde ! Mais il a tenu le bougre !On en fera un bon jouet ! Saisi d’une envie subite, Trépuissant repousse la petite chienne , qui de surprise tombe sur le côté et s empresse de reprendre une position humble, le front au sol, les jambes bien pliées ,la croupe tendue vers le ciel et les mains croisées sur la nuque. Un imperceptible haussement de sourcil trahit seul sa surprise. Ce n’est pas dans les habitudes de son Maître ce type d attitude, il a toujours une profonde maîtrise de ses actes pendant les séances et sa spontanéité apparaît rarement. Trépuissant jaillit de son fauteuil tel le diablotin de sa boite et se dirige vers la table. Les deux femmes se sont immobilisées en silence de surprise : c’est sans doute la première fois qu’elles le voient s agiter ainsi. Il saisit entre ses mains musclées deux chaînes métalliques et les jette sur le dos de Baptiste. Celui-ci ne peut retenir un cri. Les chaînes ont atterri brusquement sur son dos, elles sont très lourdes et très froides. Elles glissent en partie au sol puis trouvent leurs places et se stabilisent. Un curieux silence s installe. Maître Trépuissant retourne vers son fauteuil, d’une petite tape sur le fessier de Bianca il la fait se relever et il recommence à lui masser son petit trou arrière comme si rien n avait eu lieu. Baptiste tremble de froid et de peur. Ce petit intermède rapide et violent l’a effrayé. Julie ressent son désarroi et se met à genoux près de lui. Elle prend sa tête dans ses bras et le presse contre ses seins si doux. Méphista lui donne une petite tape réconfortante sur la fesse et s éloigne. Julie ramasse les chaînes et les positionne de nouveau sur le dos de son p’tit soumis qui tremble encore : peur, froid, soulagement, frustration , tous ces sentiments se mêlent, il est perdu, il lâche prise, et , contre le sein de Julie, redevient petit garçon. Il se souvient des câlins de sa mère après ses chutes et se met à rêver. Il revoit son tablier en grosse toile bleue, ses mains rugueuses des travaux d aiguilles et son sourire si doux. Il ressent ses caresses dans les cheveux qu’il a porté longs toute son enfance, il respire de nouveau cette douce odeur d huile d olives dont elle nourrissait sa peau. Sur un geste du majeur de Maitre Trépuissant, Marc toujours agenouillé mains sur la tête dans sa tenue de soubrette se relève vivement pour servir un verre de jus de poires à son Maître. Et sur un deuxième geste il se faufile entre les jambes de la petite chienne Bianca, lui écarte les grandes lèvres cachées et commence un long et doux cuni. La jeune femme lève les yeux vers son Maître qui, dans un sourire ,l autorise à exprimer son plaisir. Celui-ci explose en petits cris ininterrompus. Julie continue de caresser Baptiste. C’est un instant de paix et de plaisir pour les soumis qui s emble s éterniser .
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Par : le 30/05/20
Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur. Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux. Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait. Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin. Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air. À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ? Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas. Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées. Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait. Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui. Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne. Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire. Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître. Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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Par : le 23/05/20
Après cette agréable après-midi en forêt, Dame Blanche avait bien mérité un peu de repos. Dans la cour pavée du château le Duc tire sur les mors des chevaux qui cessent aussitôt leur course effrénée. Il tend les rênes à Jannot et descend puis ouvre la portière et regarde à l’intérieur les deux femmes qui se sont endormies malgré les secousses de la course endiablée. Faut-il quelles aient été fatiguées. Blotties dans les bras l’une de l’autre le tableau est charmant à regarder. La jeune duchesse et sa servante sont couvertes de leurs vêtements tout froissés, et leurs coiffures défaites ont laissé beaucoup de mèches s échapper des coiffes. Blonds et bruns cheveux se mêlent sur les épaules de Dame Blanche, Babette s’est endormie dans ses bras, contre son épaule. Le Duc attend un peu que l’absence de secousses les réveillent. Il admire ce doux tableau de son cheptel féminin si agréable à conduire sur les chemins du plaisir. Babette ouvre les yeux, et , effarée de la présence du duc s’empresse de descendre de la voiture pour se vautrer à ses pieds. Il lui caresse la tête doucement et dit « Va donc te reposer chez Jannot, tu m’as bien servi. Je suis content de toi ! » et la jeune femme dans une révérence s'enfuit en courant rejoindre son nouvel amant qui loge dans une belle mansarde au dessus de l’écurie . A cet instant Blanche ouvre les yeux et croise le regard tendre de son époux. Très dignement elle glisse deux mèches de cheveux derrière ses petites oreilles si finement ourlées, étire ses jambes ankylosées et tend sa petite main fine vers son Maître. Celui-ci la saisit entre deux doigts, l’approche de sa bouche et telles un papillon de printemps ses lèvres viennent en effleurer la paume dans un sourire tendre et doux. Il aide son épouse à descendre du véhicule en la laissant s appuyer sur son épaule musclée. Il glisse un bras sous son épaule et c’est ainsi que tendrement enlacés ils entrent au château et traversent le hall jusqu’au grand escalier. Il la soutient jusqu’à leur chambre et la fait asseoir sur le petit tabouret au coin de la cheminée pour la déshabiller. Il joue avec ses mèches qui se sont de nouveau échappées de la coiffe. En parfait homme à femmes, il connait les subtilités des vêtements féminins et Blanche se retrouve très vite avec uniquement sa petite chemise de baptiste. Il se saisit de la brosse à cheveux qu’il sait trouver dans un petit panier d’osier sur le côté du renfoncement. C’est sans même tourner la tête que ses doigts trouvent ce dont il a besoin tant Babette est ordonnée. Certes il a fallu plusieurs essais et coups de badine sur son jeune corps pour que le duc soit satisfait mais maintenant c’est chose faite, tout est bien rangé comme il le souhaite. Il peut ainsi brosser la longue chevelure de sa femme jusqu’à la disparition de tous les nœuds. Les derniers reflets du soleil brillent dans l’or de la blondeur de Blanche qui sourit, détendue. Ce rituel de brossage, lorsque le duc s’y adonne , lui procure un grand bien-être. Il l’aide à se lever et la laisse se diriger vers la petite tour ronde sise dans un angle de la pièce. Derrière l’épaisse porte en bois se dissimule une petite pièce réservée aux ablutions de la duchesse. C’est un endroit où le duc lui laisse son intimité ,il à compris des le départ que c’était une limite que la jeune duchesse n’était pas encore prête à franchir. Mais un jour cela viendra, le Duc est un homme très patient parfois. En attendant, Blanche seule dans la tourelle , accroupie au dessus du trou d aisance du plancher qui donne directement dans les douves se soulage tranquillement. Elle connaît le souhait du duc qui voudrait pouvoir la regarder dans ces moments d intimité mais ne peut s’y résoudre, un dernier vernis de pudeur l’empêche de satisfaire son époux. Alors que l’exposition de son corps lorsqu’elle se conduit en chienne ne lui pose aucun problème elle est consciente de son blocage par rapport à la scatologie et aux excrétions des déchets de son corps. Peut-être un jour y parviendra-t-elle mais ce n’est pas le moment. Une fois ses petites affaires terminées elle prend la douce éponge naturelle en mousse posée dans un petit panier à côté d’une bassine en terre cuite dans laquelle elle verse l’eau du pichet et procède à une toilette intime approfondie . Dame Gertrude lui a bien expliqué l’importance de la propreté pour ne pas dégager d’odeurs nauséabondes toujours signes d’infection. Même si les connaissances des apothicaires sont très limitées , les femmes connaissent des secrets pour retarder la venue des bébés et soigner cette partie du corps si méprisée et si mal connue. Beaucoup d’informations circulent quand les oreilles masculines se sont éloignées. La vieille Marie est un peu sorcière, elle connaît les plantes, et instruit Blanche sur leurs bienfaits. Prête pour la nuit elle rejoint son époux. Un sourire, un claquement de doigts, et elle s’installe sur le bord du lit, à quatre pattes, la croupe dressée, les cuisses bien écartées. Elle appuie son front sur l’édredon soyeux, les mains bien à plat encadrent son visage et ses longs cheveux lui font un mantel d’or. Le duc caresse cette belle croupe musclée en admirant la petite chatte parfaite et si mignonne de son épouse. Le temps semble s’arrêter. Blanche est immobile, seul un frisson de plaisir invisible la parcourt sous les mains expertes qui la caressent. Une main tire doucement les cheveux pour redresser la tête puis vient appuyer sur son menton pour lui faire ouvrir la bouche. Tout naturellement sa langue sort et elle se met à haleter comme la petite chienne qu’elle est redevenue par le claquement de doigts autoritaire de son époux. Il continue ses caresses qui deviennent de plus en plus fermes, et dose en fonction du souffle de sa femme. Il sait entendre son plaisir dans les changements de rythme du halètement qui se modifie avec ses mouvements. Et subitement une fessée claque, puis plusieurs très rapprochées. Blanche se concentre sur sa respiration pour ne pas bouger ni manifester de plaisir. Elle a appris à se contrôler à coups de trique qui ont laissé quelques marques sur son fessier parfait. Maintenant elle se contente de respirer mais elle se trahit malgré elle. Le plaisir monte à chaque claque et son contrôle s’en ressent. Alors les coups cessent et de belles caresses sur tout son corps la font frissonner et gémir. Puis les claques reprennent partout, alternées avec des caresses fermes qui sont dignes de celles donc le duc gratifie son alezan. La peau fine rougit, le sourire du duc s’élargit, le cerveau de la petite duchesse commence à lâcher prise, elle se sent bien, son corps de plus en plus malmené lui envoie des signaux contradictoires. Le duc le ressent et commence à caresser d’un doigt expert le petit didi turgescent de la belle qui laisse jaillir un petit couinement. « Tu peux crier duchesse ! Tu l’as bien mérité par ta docilité. » Alors un « Merci Monsieur » semble transparaître dans le cri inarticulé de la belle. Elle s’est légèrement redressée et ses seins bien ronds pendent entre ses bras qui se sont tendus tout seuls. La main gauche ducale s’en empare et les palpe en alternance pendant que la droite explore la vulve. La petite chienne redresse la tête, cambre son corps , tend ses membres et laisse échapper des cris inarticulés tant le plaisir est fort. Sa croupe tendue vers le plafond elle sent tous ses muscles dorsaux se contracter. La main du duc joue avec ses grandes lèvres inférieures. Il les pince, les tourne , les remet en contact entre ses pouces et les frottent l’une contre l’autre . La paume presse sur le mont de Venus pendant que ses doigts s’agitent comme sur un clavecin, et pénètrent l’entrée de la grotte qui suinte. Blanche se met à hurler comme une louve montée par le mâle alpha au fin fond des forêts du Morvan. Elle gémit et se met à supplier son Maître dans des parcelles de mots incompréhensibles . Le sourire du duc s’élargit tant il est heureux de jouer avec ce corps si sensible qui réagit si bien sous ses doigts. Son majeur tout trempé de mouille part explorer la voie étroite qui semble l’aspirer, aussi l’index le rejoint et ils commencent à danser ensemble pour dilater ce petit trou qui adore se faire prendre après préparation. L’annulaire les rejoints et c’est une sarabande de plaisir qu’il procure à sa petite chérie qui bave et gémit et crie et grince et hurle. Que de sons différents pour exprimer l’intensité de la jouissance reçue. La main gauche lâche les seins pour se débattre avec la ceinture croisée qui retient le pantalon très tendu par sa virilité. Le membre jaillit et va cogner sur la blanche cuisse de la jeune duchesse dont le cri se modifie aussitôt pour tendre vers un oui plaintif. Alors le sexe s’introduit sans difficulté dans la petite chatte si bien ouverte qui dégouline de cyprine. Après plusieurs pénétrations successives il est couvert des glaires blanches de la jouissance féminine et peut donc changer d’orifice sans souci. Le duc sen saisit de sa grande main virile et le dirige vers le petit trou de madame. Il semble vibrer d’une vie autonome dans sa splendeur d’érection. Il est à peine besoin de forcer tant l’anneau est dilaté, habitué de cette voie qu’il pénètre doucement jusqu’aux bourses gonflées. Blanche se sent prise par derrière et gémis de plaisir. Aucune honte à cette pratique sodomite tant décriée par le prêtre lors de certains sermons. Dans le secret du confessionnal elle sent bien l’intérêt de l’homme de dieu aux questions précises qu’il lui pose et elle s interroge parfois sur la réalité de sa chasteté. Ou bien l’écoute de ses paroissiennes lui permet de se satisfaire dans un désir malsain de voyeurisme ? Dame Blanche n’a jamais posé de questions la dessus aux autres femmes quelle fréquente si peu mais ce sujet lui fait s’interroger beaucoup sur la religion et sa toute-puissance . Son époux est actif dans ses orifices et un pur plaisir la parcourt. Une claque résonne et son anus se contracte, pour le plus grand plaisir masculin. Il alterne sur les fesses bien rouges caresses et claques. Une main pour guider parfois son membre qui semble vibrer d’une vie autonome il joue de l’autre dans le sexe humide . Ses doigts fouillent, caressent , pincent , griffent même toutes les muqueuses gonflées de plaisir. La danse des mains se poursuit ,le sexe entre et ressort, les cris alternent avec les gémissements et de brefs instants de silence quand le plaisir est si intense que la respiration s’interrompt. Les longs cheveux d’or semblent vibrer d’une vie autonome et sauvage .Ils volent au gré des va et vient du Duc. Les corps des deux amants ne font plus qu’un et les mouvements s’harmonisent dans une danse lascive. Leur entente est telle qu’ils arrivent ensemble à la jouissance suprême et expulsent leur plaisir en même temps. Il a fallu a chacun apprendre à connaître l’autre et la petite duchesse a reçu de nombreuses fessées qui l’ont conduite aux larmes avant de se maîtriser suffisamment pour un résultat somme toute sublime. Le grand corps du duc s affaisse sur le dos de son épouse, son sexe se flétrit et sort tout doucement pour pendre de nouveau entre ses cuisses. Il caresse la tête de la duchesse et la laisse sombrer dans le sommeil après quelques mouvements de reptation vers le haut du lit. Il tire l’édredon si gonflé sur son dos et la regarde un court instant. Le souffle régulier, le corps apaisé lui font comprendre qu’ils viennent de vivre un instant parfait. Il se dirige vers la porte et repart tranquillement rejoindre son cheval pour s’assurer qu’il a bien été bouchonné à la paille fraîche et que son avoine est accessible. Un dernier regard sur son épouse endormie qui ronfle légèrement fait remonter les coins de ses lèvres pour éclairer son visage de ce sourire charmeur qui lui vient de sa mère.
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Par : le 22/05/20
Voilà, nous y sommes, l'histoire N° 100 sur bdsm.fr. Je ne pensais pas arriver jusque là. Écrire est un plaisir. Il suffit de commencer, une première histoire, un premier personnage, et cela vient seul, c'est magique. Ce qui est intéressant, c'est de poser un thème, une question et de laisser une sorte d'alchimie opérer seule. Pour cette histoire N° 100, la question que je me pose c'est le mystère des affinités. reprenons nos personnages. Pam et Joe. Pourquoi ont ils eu ces affinités depuis le début et ce pour aller jusqu'au mariage. Écrire c'est regarder vivre les personnages générés par le récit. Ils vivent leurs vies, indépendantes de l'auteur qui ne fait que prêter ses doigts pour les retranscrire du mieux qu'il peut. Pam et Joe ont rejoint leur base dans un coin de désert perdu. Ils ont repri leurs recherches pour l'armée sur les implants cérébraux. Pam fait toujours l'amour à califourchon, bien fichée sur la bite tendue de son homme et c'est toujours elle qui conduit l'acte. Elle pisse toujours debout. Ado, elle croyait être une FTM. Une garçonne manquée? L'exploration de ses mémoires akashiques vient de lui donner un nouvel éclairage. Son époux a eu une très bonne idée de lui offrir comme cadeau de mariage ces plongées, avec Akhor comme guide expérimenté, dans ses vies antérieures. Elle comprend mieux pourquoi elle est amoureuse de Joe. il se connaissaient déjà, avant même de naitre. .Dans grand nombre de ses vies antérieures, Pam a été dans l'armée, souvent comme officier, souvent mort(e) très jeune au combat et presque toujours en homme. Elle appartient à la caste des guerriers.Le sacrifice de sa vie ne lui pose jamais de problèmes, elle fonce tête la première. Elle est de ceux ou celles qui, lorsqu'on demande des volontaires, avancent toujours d'un pas. Elle a rencontré Joe depuis longtemps, très longtemps. Il se sont aimés déjà. Joe appartient à la caste des princes, des nobles, ceux qui ne respectent rien et doivent subir les conséquences au niveau du karma. Ce qui explique son handicap de départ dans cette vie actuelle. Joe a souvent été en femme dans ses vies passées. C'est comme cela qu'il se sont aimés. Le jeune officier qui devient l'amant d'une noble sensuelle et passionnée. Le jeune officier qui joute avec panache pour se faire remarquer de sa belle. -Tu sais, Pam, cette étrange impression de déjà vu ressentie par tous les deux , à notre première rencontre., c'est vraiment comme si nous nous sommes toujours connu. C'est si simple et naturel entre nous. -Oui, comme un très vieux couple, répond Pam, un vieux couple sur des millénaires. Sauf que, dans nos vies antérieures, nos retrouvailles, c'était toujours moi l'homme et toi la femme, à l'inverse d'aujourd'hui. J'ai du mal à ne pas avoir un beau pénis entre les jambes. J'en ai beaucoup souffert quand j'étais ado et que ma poitrine poussait. -Être une femme c'est ta récompense, c'est pour que cette vie ci soit plaisir et jouissance pour toi. Tu n'as pas pu t'empêcher d’être de nouveau militaire et tu es vraiment magnifique en femme officier. Moi j'ai du faire le con et je dois payer. Je suis presque né estropié. ' -La belle et la bête, dit Pam en riant. Et avec tes recherches c 'est reparti pour de nouvelles emmerdes avec ton karma. Le dernier Terminator est vraiment effrayant. -Oui, un monstre avec neuf ogives nucléaires tactiques, un 20mm rotatif à munitions conventionnelles explosives, un laser hyper fréquence, le vol dronique longue distance, la furtivité...il peut raser Beijing ou Teheran en quelques secondes. Tu as raison, en coopérant à la réalisation de ce Terminator, j'arrange vraiment pas mon karma. Mais bon, nous sommes des militaires. -Je me suis fait très souvent trouer la peau dans mes vies antérieures, mais cela semble avoir bonifié mon karma, dit Pam. Cela me donne envie, de me faire trouer autre chose de plus ludique. Elle éclate de rire. Joe regarde sa femme et l'empoigne d'un coup sec.Il l'embrasse..lui aussi a une grosse envie. Pam se laisse faire et se retourne.C'est toujours elle qui prend les initiatives en amour. Elle se cambre et frotte ses fesses contre la bosse du pantalon de son homme. Joe la déculotte aussitôt et lui administre une féssée monumentale. Pam en bon soldat ne bronche pas. Elle a le cul bien rouge et visiblement elle adore. -Tu sais, dès que je t'ai vue, j'ai eu envie de te sodomiser. Tu as des fesses incroyablement fermes et bombées. Il se baisse et lui lèche la rondelle. Il la mouille bien avec sa langue. Puis il l'embroche d'un coup. Pam hurle. Joe est au fond et ne bouge plus. Il sait qu'il faut laisser passer la douleur. Puis il commence le va et vient. Pam se cambre. Elle ne tarde pas à jouir. Joe lui empoigne la chatte sans ménagement. Sa femme ruisselle, elle couine, elle se tortille puis s'embroche d'elle même jusqu'à la garde. -Mais tu y prend goût ma chérie. Tu crois pas que tu était un peu gay dans tes vies passées pour baiser aussi bien par derrière. C'est ta première sodomie et tu es déjà experte. Pam ne dit plus rien. Elle explose un superbe orgasme anal dans un long râle. Son corps se tétanise. son anus se contracte. Joe est prit au piège. Ils sont de nouveau soudés.Cela fait rire Joe. Il embrasse sa femme dans le cou. -Cool bébé, relax. Profite de ta vie de femme. D'après Tirésias tu as 9 fois plus de plaisir que moi. Détends toi, j'ai encore envie. Et Pam se détend, elle s'ouvre de nouveau et Joe reprend sa séance de marteau niqueur. C'est beau l'amour conjugal sur des millénaires. Je comprends mieux en écrivant cette histoire pourquoi les Dieux envient nos existences de mortels.
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Par : le 12/05/20
Isabelle aime ses seins. Elle adore les caresser. C'est si doux, si relaxant. Elle trouve toujours un moment pour se caresser la poitrine et se faire du bien. Sauf que parfois elle s'oublie et Ben son collègue de bureau a remarqué. Il adore la regarder .....Mais cette allumeuse d'Isabelle a remarqué aussi que Ben en pince pour elle. Alors elle joue et le nargue. Elle aime bien Ben, c'est un beau gosse, un peu timide, craquant. Mais elle aime se faire désirer. Elle croise ses cuisses bien musclées et se fait jouir. Elle joue à la sainte nitouche. Ben est rouge, il transpire. Cela suffit pour déclencher un premier orgasme. C'est si facile pour isabelle en croisant bien les jambes sur son clito. -Ben, tu veux pas aller me chercher un café? -Oui Madame. Un vrai soumis ce Ben, et Isabelle a envie de jouer à la Maitresse avec lui. Ben rapporte le café en bon toutou. -Dis moi Ben, tu es encore puceau? Le pauvre ne sait plus ou se mettre. Il est géné et mets ses mains devant son sexe comme pour se protéger. Il n'ose pas répondre. -Tu sais Ben, tu es un vilain petit garçon à me regarder quand je me masse les seins. -Pardon Madame Isabelle. Je ne le ferais plus. il reçoit une bonne gifle. -Dire pardon ne suffit pas. Il faut dire Pardon Maitresse Isabelle. -Pardon Maitresse Isabelle. -Bon, tu sais quoi, tu vas finir pour moi le dossier Duval. Et fait le bien, moi je vais faire des courses. Je reviens dans une heure. -Oui Maitresse Isabelle. Une heure trente après, Maitresse Isabelle revient. Le Dossier Duval est bouclé. Son bureau est rangé, nettoyé, propret. -C'est bien toutou Ben. Tu as droit à un sucre. Viens ici. Ben se rapproche regard baissé. Il est rentré dans son rôle de soumis. Maitresse Isabelle l'empoigne, le retourne et lui baisse son pantalon sur son bureau. Elle lui administre une fessée. Mais ben n'a pas assez mal. Elle prend un cable de secours et se fabrique un fouet. Pauvre Ben, il est vite rouge sang. il gémit et pleure. -Te voilà marqué toutou Ben. Tu veux etre mon esclave? -Oui Maitresse Isabelle. Tu sais ce que cela veut dire ? -Oui Maitresse Isabelle.
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Par : le 10/05/20
C'est le déconfinement. Julie mouille déjà. Il est 00h01. Elle en peut plus. Elle enlève sa petite culotte trempée, passe une mini jupe raz la moule et enfile des bottines sexy. Un bon rouge à lèvre provoc, elle se sent prête pour aller retrouver ses amants. Dans un rayon de 100 km, sa chatte en feu n'est pas en manque. Elle commence par bob, un gros cretin mais une pine d'enfer. Dès qu'il voit Julie, il bande comme un Grizzly. Au moins Bob est pas compliqué. Et comme il a les couilles pleines, il se décharge d'un coup dans le petit cul de Julie. Bob a du bide. Il sait pas viser. Là il a sodomisé Julie qui a hurlé de plaisir et de douleur. Bob n'aime pas les préliminaires. Il baise d'abord et discute après. Julie reprend sa virée. Elle sent le sperme chaud de bob qui coule le long de ses jambes nues et elle adore suinter du cul. A présent il 00h 35 et c'est Jeannot qui l'attend avec impatience. Plus con que Bob , ce Jeannot. Lui veut toujours l'épouser et en faire sa femme au foyer. Beurk. Heureusement, il est tellement amoureux qu'il baise bien. C'est un excellent lécheur de minou, un buveur de cyprine. Et Julie est style chutes du Niagara quand elle jouit. Jeannot se soule avec. Son défaut c'est qu'il éjacule trop vite. Heureusement, c'est une mitraillette à dix coups. Julie adore contracter son yoni sur la pine en feu de Jeannot. Elle sait lui pomper tout son foutre et le laisser sombrer dans un sommeil profond. Julie peut s'éclipser, sans quoi il parlerait encore de mariage. 01 17. Julie remonte dans son cabriolet. Cette fois elle suinte par devant et par derrière. Son siège en cuir est trempé. Merde des poulets ! Ah ce sont Albert et Nico, deux potes. Elle se gare. Ils saluent en souriant. -Julie! tu nous a manqué ! Julie leur met la main sur les braguettes bien gonflées. -Vous dites ça, mais je demande qu'à voir. Par chance les deux poulets ont leur estafette...Ils se font pomper le dard à l'abri. Julie adore les déguster. Du bon sperme, c'est excellent pour la santé. Les flics veulent la sodomiser. -Non, non, une autre fois. Je suis pressée.promis. Elle a donné rendez vous a Seb, pour 02 00, mais Julie en bonne garce aime arriver en retard....Seb est à point. Il en peut plus. -Mais tu as encore trainé où salope ! tu dégoulines de sperme . Julie ne réponds pas. Elle adore les mots crus. Elle débraguette Seb et s'empale debout. Seb explose vite son sperme. Il retourne Julie et lui donne une fessée monumentale. -Salope, pouffiasse, guenon, pute à pas cher, gouine crado, pétasse.... Plus Julie se fait botter le cul et insulter et plus elle jouit. Elle décide de finir sa nuit avec Seb. Au moins lui sait parler aux femmes et ne la demanderas pas en mariage. La morale de cette histoire c'est que les femmes sont toujours plus salopes qu'on ne croit.
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Par : le 09/05/20
Juliette avait cru, ou voulu croire, pour se faire pardonner, que Charlotte serait farouche. Elle fut détrompée aussitôt qu'elle voulut l'être. Les airs pudiques que prenaient son amie, fermant la porte du boudoir où elle mettait et ôtait ses jupes, étaient précisemment destinés à l'aguicher. Quand l'aidant à s'habiller, elle la laissait saisir ses seins, fermes et hauts placés, l'embrasser et la caresser, les yeux fermés, encore moite de son bain, en gémissant. Elle se réveilla, la tête pleine d'images, elle revoyait Charlotte, attachée, fouettée, sodomisée, râlant de plaisir sous les coups de cravache de Xavier. Sous la douche, glissant le pommeau entre ses cuisses, elle se besogna, en s’imaginant baisée et flagellée par des inconnus. Elle ne se doutait pas que son fantasme allait se réaliser le soir même au Cercle. Lorsqu'elles entrèrent dans le salon, un homme, assis dans un canapé, jouait avec le sexe d'une nymphette. Du pommeau de sa cravache, il la masturbait à travers sa culotte de coton blanc. Charlotte glissa à l'oreille de Juliette: - C'est Chloé, une nouvelle. Je soupçonne Xavier de vouloir en faire son esclave, une vicieuse de prédilection. La fille semblait sortie tout droit du pensionnat. Brune, les cheveux courts, de grands yeux bleus, la lèvre boudeuse. - Chers amis, je vous présente Chloé, une petite perverse qui va découvrir les délices de la condition de soumise. Aujourd'hui, elle va faire connaissance avec la cravache. Xavier fit signe à Chloé de s‘approcher. Elle resta debout devant lui, les yeux baissés. Après un long silence, il dit le plus naturellement du monde: - Tu es une gamine vicieuse. Et les vicieuses méritent une correction. Une Maîtresse apporta une boîte de godes, un foulard et une cordelette. Chloé fit mine de se déshabiller. - Garde ta culotte. Chloé obéit avec un frisson d’angoisse. Cependant, ce n’était pas désagréable, au fond, d’avoir peur. En tout cas, cela ne l’empêchait pas de mouiller. La Maîtresse lui banda les yeux. Elle lui attacha les poignets, l’amena sous une poutre, fixa la cordelette à un crochet. Chloé se retrouva les bras en l’air. Elle dut se dresser pour que ses pieds reposent sur le sol. La position faisait saillir ses fesses musclées et ses seins haut perchés. Après l’avoir attachée, ni la Maîtresse, ni Xavier ne donnèrent signe de vie. N’y tenant plus, la petite demanda au bout d’un moment: - Maîtresse, Maître, s’il vous plaît, où êtes-vous ? Elle cria. Un objet métallique froid vint se poser sur sa nuque. Elle réalisa qu’il s’agissait du pommeau de la cravache. Xavier le glissa le long de son dos en épousant les arêtes de la colonne vertébrale. Il jouait avec les nerfs de la fille. Arrivé aux creux des reins, il fit le tour de la taille et se retrouva devant elle. Le pommeau de la cravache s’attarda sur le nombril avant de remonter entre les seins. Chloé s’efforça de demeurer impassible, mais comment dissimuler son excitation, quand on a les mamelons tendus, et que l'on devine une tache humide s’élargir dans sa culotte ? Xavier jouait, il lui tapota la pointe des seins et lui caressa les aréoles avec le pommeau de la cravache. Ensuite, il redescendit au nombril, et de là dans l’entrecuisse de Chloé. Elle écarta les jambes autant que le lui permettait sa posture. Le pommeau s’introduisit dans la fourche. Il appuya sur le fond de la culotte comme s’il voulait la pénétrer avec la cravache. Le tissu épousa les contours de la chatte et chaque attouchement provoquait un bruit mouillé. - Tu es trempée, petite salope. Tu as vraiment le feu au cul. Xavier poursuivit son jeu un moment avant de se reculer. Maintenant Chloé implora: - Encore, Monsieur. C’est bon. Pour toute réponse, elle reçut un coup de cravache sur le haut de la cuisse. Il n’avait pas frappé fort. Assez, cependant, pour arracher un cri à Chloé et lui faire redouter la suite. Il passa derrière elle, glissa la tige de la cravache entre les cuisses et entama un va-et-vient. Elle se démèna au bout de la corde en se mordant les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Ce n’était pas de l’orgueil. Elle craignait seulement de recevoir un nouveau coup de cravache. Il la branla ainsi un long moment. Xavier jouait avec tous les endroits sensibles du corps de sa victime: les seins, les fesses, le bas-ventre. Même à travers la culotte, il parvint à la rendre folle en caressant son clitoris, ses petites lèvres, les bords de son vagin. Chloé n’en pouvait plus. Au fond, il lui sembla qu'elle préfèrait être fouettée. Elle se mit à geindre et immédiatement la cravache s‘abattit sur sa cuisse. Plus fort cette fois. Elle poussa une plainte. La cravache striait ses fesses, lui arrachant un cri strident. Alors les coups se mirent à pleuvoir, ou plus haut, ou plus bas pour laisser des traces. La cravache s‘abattit sur ses cuisses, ses fesses et son ventre. Chloé se tordait au bout de la cordelette. Elle ne criait plus, elle sanglotait, une sourde plainte s‘échappa de sa bouche, à la fois de douleur, mais surtout de plaisir. À plusieurs reprises, Chloé crut s‘évanouir mais Xavier s’arrêta au dernier moment. Il cessa de la fouetter et s’agenouilla devant elle. Il baissa sa culotte et lècha les grandes lèvres. Chloé se tortillait au bout de la cordelette. Il dut l’immobiliser en la prenant par les fesses. Il se livra à un long et cruel travail de sape. La chatte en feu, elle n’avait plus peur de crier, à présent, quand la langue de Xavier s’attaqua à son clitoris et à ses petites lèvres. Chloé était à demi-évanouie quand il lui enfonça un gode dans le vagin. Elle cria et eut un orgasme d’une violence inouïe. Au point qu’elle l'urina. Xavier se plaça derrière elle. De ses doigts , il sépara les fesses et plaça l’extrémité du gode sur l’anus. Encore secouée par les frissons de sa jouissance, elle gémit de douleur et de plaisir pendant que ses deux sphincters anaux cèdaient. Bientôt, le gode fut enfoncé jusqu'à la garde. Les muscles l'empêchèrent de sortir de l’anus. Xavier le lâcha et en prit un autre, plus gros, en métal, qu’il introduisit dans le vagin. Il le fit aller d’avant en arrière, comme une verge. Chloé eut un second orgasme presque aussi violent que le premier. Il lui retira les godes et la détacha. Il lui ôta son bandeau et la conduisit jusqu’au canapé où il l’allongea. Chloé eut du mal à reprendre ses esprits. Les muscles de ses bras et de ses jambes étaient douloureux et ses jouissances semblaient l'avoir anéantie. N’empêche, elle était contente d’échapper à la fessée, bien qu'au fond, une part d’elle-même se sentit frustrée. - Messieurs, je souhaiterais que vous complétiez mes premiers enseignements. Elle est à vous. Aussitôt, des mains se précipitèrent sur Chloé, palpèrent chaque recoin de son corps. On lui écarta les cuisses. Des doigts inquisiteurs forcèrent son intimité, pincèrent ses seins, s'attardèrent sur les marques de fouet laissées sur sa peau. Un homme sollicita l'autorisation de Xavier pour forcer la bouche de sa soumise. Il y consentit. Elle fut contrainte d'accepter le membre qui se présenta avec violence à ses lèvres, et qui s'enfonça très vite au plus profond de sa gorge. Suffoquant, respirant à peine, elle suçait la verge sous les insultes, pendant que les mains d'autres hommes la fouillaient sans relâche. Spectatrice de la scène, Juliette n'en pouvait plus, son excitation était parvenue à son paroxysme. Elle n’avait qu’un désir: être prise, pénétrée, saccagée par des hommes en rut. Une ravissante blonde aux cheveux courts, assise à côté d'elle sur le canapé, lui caressait l’intérieur des cuisses, effleurant son sexe déjà moite. Elle sentait la cyprine couler dans son intimité. La main posée sur celle de la blonde, Juliette écarta les jambes, guidant les doigts de la femme sous son string. Elle se laissait branler langoureusement. Un homme sortit son sexe, le donna à sucer à sa compagne, puis força de sa verge raide la bouche de Juliette pendant que la blonde se lèchait les doigts avant de les plonger profondément dans le vagin innondé. Xavier intervint: - Juliette, je constate que cette séance t'a plu, je dirais même excitée. Et s'adressant à la responsable du Cercle: - Béatrice, déshabillez notre amie. La maîtresse des lieux lui ôta sa robe, lui laissant seulement des bas noirs tenus par un porte-jaretelle, puis la débarassa de son string , qu'elle tendit à Xavier. Il le porta à ses narines, et le renifla: - Tu n'es qu'une femelle en chaleur, Juliette. Béatrice, emmenez cette chienne au salon bleu, elle n'attend que cela. Juliette sentit cette tension voluptueuse, cette lourdeur lui tordre le ventre lorsque elle pénètra dans le petit salon, où des participants, tous masqués, une vingtaine, masculins surtout, cinq ou six femmes, déambulaient dans la pièce. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante brune aux cheveux courts, commençait à se déshabiller; sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaitre l'aréoles de ses seins. Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge. On attacha Juliette à une croix de Saint-André. Des lanières en cuir maintenaient ses poignets et ses chevilles au bois, ainsi que ses aisselles et le haut de ses cuisses. Le point de jonction se trouvait juste au-dessus de ses épaules nues. Sa tête était libre, elle pouvait regarder autour d'elle. Elle savait que les participants pouvaient tous voir sa vulve offerte. Béatrice examina longuement les seins insolents, elle posa ses mains sur les globes fermes et de douces caresses les parcoururent. Juliette ferma les yeux, se laissant griser par le reflet du miroir de l'intimité qu'elle offrait impudiquement aux invités. Alors la maîtresse des lieux prit un martinet au poil soyeux et, doucement, effleura un mamelon d'une lente caresse sur la pointe extrême; une sensation délicieuse envahit le corps de Juliette, parcouru de frissons. Alors bientôt, Béatrice leva le bras et une méthodique flagellation commença. Les coups étaient dosés, mesurés pour ne pas blesser Juliette qui, les yeux clos, sentait monter en elle une chaleur intense; sa poitrine était secouée par des coups de plus en plus secs, comme une caresse de feu qui irradiait sa chair. Les seins devenaient de plus en plus marqués. Une chaleur intense innonda la poitrine de Juliette comme une boule de feu; ses seins, plus violemment heurtés, se choquèrent dans un bruit mat, les lanières s'entouraient autour d'eux, giflaient la chair, écrasaient les pointes en cinglant les aréoles. La maîtresse des lieux, après trois derniers coups, cessa de la flageller pour écarter ses cuisses. Elle plongea ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant non sans fierté, que Juliette avait réellement joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longtemps entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine. Deux femmes ayant assisté au spectacle de la flagellation, s'approchèrent de Juliette. Elles commencèrent par la caresser puis la pénétrèrent à l'aide de godes de plus en plus épais. Fesses tendues, bouche tordue par la jouissance impérieuse, Juliette râlait doucement, goûtant avec ferveur le cruel supplice raffiné; mais le gode, plus gros encore, distendait la chair, tandis que la main de l'invitée appuyait à peine pour faire pénétrer le phallus en elle. Et un autre prit la place dans la gaine gluante, distentue mais docile et souple; l'anus plissé disparaissait derrière le renflement émergeant au milieu de l'olisbos. Bientôt, les deux femmes se déshabillèrent, et se ceignirent chacune d'un gode-ceinture. Elles s'approchèrent de Juliette, les hommes formèrent un cercle autour des trois. La croix de Saint André fut alors mise en position horizontale. les deux femmes sodomisèrent Juliette avec force dans un intense bruit mat de succion. Sur un signe, tous les invités se levèrent en silence et vinrent contempler le spectacle. Ce fut une dizaine d'hommes qui se succédèrent, remontant et frappant au fond de ses reins. Charlotte, éberluée, assistait pour la première fois à une séance de soumission de sa propre Maîtresse. Pour Juliette, la douleur ressentie lors de la double pénétration se transforma en jouissance. Le corps marqué par de longues estafilades, elle avait gémi sous les coups de Béatrice comme jamais une femme ne l'avait fait gémir, crié sous le choc des membres des invités, comme jamais elle avait crié; elle devait leur être soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel elle accueillait une Domina; elle était là dans la soirée pour servir de réceptacle à la semence des hommes qu'elle devait recevoir par tous les orifices, sans jamais protester ni même trahir un quelconque sentiment. Sur le chemin du retour, épuisée mais heureuse, Juliette s'endormit sur l'épaule de Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/05/20
Désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'ai préféré ouvrir une bouteille de champagne.. ************************************************************************************************* Cheveux au vent, je conduisais mon cabriolet. Une Z3 couleur vert anglais. J’adorais le coté rétro qu’elle avait. Il aimait me voir conduire. Main sur le volant. Un accès parfait à toutes ses caresses. Nous partions en week end au Luxembourg pour son anniversaire. J’avais pris le soin de tout organiser pour le surprendre, que nous passions du bon temps. Il ne faisait pas trop chaud c’était si agréable. Nous empruntions toutes les petites routes. J’avais réservé un hôtel spa en pleine nature, invitant à une détente totale. Cela faisait 1h30 que nous roulions. Nous étions partis en fin de matinée de Strasbourg. Au feeling de mon humeur, en passant dans cette forêt, je me suis dis voilà un endroit parfait pour mon pique nique. J’humais cet air si agréable sentant la nature. C’était si agréable. Seul les oiseaux se faisaient entendre. Je lui souriais. - Ne bougez pas dis-je d’un regard bien complice. - Non, je ne bouge pas, je te laisse faire. J’allais lui ouvrir la portière avec mon coté espiègle. - Après vous Monsieur. En sortant de la voiture, il me claqua avec affection mes petites fesses. J’ouvrais alors le coffre. J’avais tout préparé avec minutie.. Le vieux panier en osier, de vrais couverts, des assiettes en porcelaine, mes verres à vins et mes coupes de champagne. Il m’était d’ailleurs inconcevable, comme lui d’ailleurs, de boire de si bonnes choses dans des verres de merde. J’étalais alors la nappe blanche rayée de bleue, j’y déposais de cousins. J’installait une petite table que je recouvrais également d’une nappe blanche. Un Pique nique chic ! Je voyais son regard amusé. - As-tu besoin d’aide ? - Non , je vous remercie. C’est très gentil à vous mais vous me connaissez dans ces moments là. Je veux que tout soit parfait, surtout quand il s’agit de vous. - Tu es adorable ma petite Nina. C’était le diminutif qu’il m’avait donné. Celui de mon véritable prénom. J’étais à quatre pattes en train de bien tout disposer pour ne mettre aucune saleté. J’avais oté mes petites chaussures. Ma petite robe légère se retrouva sur mes fesses. La brise s’était amusée à la faire valsée. D’un d’air timide je la rabattais. - Oh, tu étais très bien avec ta robe sur la taille riait il Il me taquinait toujours car j’étais tellement concentrée et maladroite quand je voulais tout mettre en place. Il comprenait que c’était un exécutoire pour moi. Lui indiquant par la main sa place. - Monsieur.. votre table est prête. Me permettez vous de vous servir du champagne ? - Oui, bien volontiers. Je me saisis de la bouteille que j’avais mis bien au frais dans un sac prévu à cet effet et les bons pains de glaces. Champenoise d’origine, on va dire que j’ai une aisance naturelle à les ouvrir. Je laissais le bouchon cédé. Nous le regardions ensemble s’envoler. Je le servais puis j’en profitais pour me servir aussi. C’était dans ces moments où j’aimais ces instants où nous échangions de tout, nous débattions.. et le coté soumise était en général mis de coté. Même si.. je ne pouvais m’empêcher de le vouvoyer. J’avais préparé un bons plateaux de charcuteries et de fromages que j’avais sélectionné avec soin. IL méritait ce qu’il y avait de mieux. - Je te félicite pour tout ce que tu as préparé. Tu es vraiment douée ! J’adore. Merci. Il m’avait rapproché de lui pour m’embrasser tendrement tout en maintenant une petite tension en s’agrippant par mes cheveux. Ce champagne était si bon.. un repas au champagne. Voilà que la bouteille se finissait. - Viens là… IL tenait la bouteille dans ses mains et la posa à coté de lui. J’aimerai qu’on mémorise au mieux cette délicieuse bouteille. Il commença à mettre la bouteille à nue. - Empale toi dessus, je te prie. Je le regardais, tout en rougissant. - Par le cul, je précise ! Pas besoin de lever ta petite robe. Je me retrouvais alors debout. IL tenait la bouteille pour ne pas qu’elle tombe. J’installais mon anus sur le goulot de la bouteille. Je poussais un petit cri. - Allez enfonce le bien. Je sentais doucement le bout de la bouteille s’insérer en moi. - Hum tu peux mieux faire.. allez encore. Je l’écoutais, je forçais davantage la bouteille. - Maintenant baise toi avec. Il me regardait alors faire des va et viens. - Stop ! plus bougé. IL souleva ma robe pour s’assurer que la bouteille était bien au fond. - Garde ta robe sur la taille et caresse toi. Tout en le fixant, j’aventurai mes doigts sur mon clitoris. Je n’aimais pas me caresser devant qui que ce soit. IL le savait. Je pense qu’il me punaisait des libertés que j’avais prise . - En voilà une bonne petite chienne. Tu aimes avoir le cul bien rempli.. Regarde moi ! J’avais baissé les yeux. Je les relevai - Oui, monsieur j’aime avoir le cul bien rempli. Allez à quatre pattes, bouteille au cul. Il s’était alors relevé. - Hum quel magnifique porte bouteille. Avec son pied, il appuyait la bouteille par le culot pour mieux me l’enfoncer. - Allez continue de te baiser.. Je continuais les va et va. A chaque fois il poussait davantage. J’avais du mal. - Tête au sol. Il tenait son verre de champagne dans les mains.. c’était un détail que j’avais retenu. J’entendais qu’il le posa sur la table. Il prit la bouteille entre les mains. Il commença a la sortir.. - Hum, j’aime quand tu t’ouvres ainsi… Ecarte bien tes fesses. J’obtempérais pour lui présenter mon cul. Il me glissa à nouveau la bouteille dans le fion. - Tu aimes te faire prendre ainsi ? - Oui .. Monsieur. - Je me doute bien. Regarde moi tu bas de mouille. Il retira la bouteille et la présenta à ma tête. Il posa le doigt en me regarda : - Voilà jusqu’où elle est rentrée petite salope. J’espère que nous pourrons mieux faire la prochaine fois. Hum en voilà un bon début de week end. Il replaça la bouteille. Reste comme ça ! Au bout de quelques temps. - Relève toi et range tout. Ensuite tu iras te cambrer sur le capot de ta voiture. Je m’exécutais. Une fois en place, il défit sa ceinture. - Pas un bruit, compris. Je baissais la tête.. - Oui Monsieur. Il me donna la fessée avec sa ceinture. Elle avait le don de laisser de sacrées marques. Ces coups étaient parfois des plus doux, parfois des plus cinglants. Il m’apaisait aussi en passant sa main pour me les cajoler. Il me passa la ceinture autours de mon cou et s’assura de bien le serré pour me dresser comme il le faut. Je sentais son souffle et son excitation. Sa queue était son gonfler. En pleine frénésie IL jeta mon ventre contre le capot. Il avait pris mes bras et s’en servi pour me prendre encore plus profondément. Il râlait de prendre son pied. C’était si animal. Il repris alors la ceinture et m’étrangla avec pendant qu’il jouissait bien au fond de mon cul. - Petite putain. Tu rouleras ainsi… Allez en voiture. J’étais complètement sonné par l’assaut qu’il avait eu à l’égard de mon cul. J’avais perdu de ma superbe. - Donne moi les clés. Je vais conduire. A l’arrivée à l’hotel, notre chambre était assez spacieuse avec des poutres apparentes. J’aimais sélectionner des hotels laissant place aux jeux.. Il avait toute une valise avec ce qu’il faut pour nous adonner à nos jeux. - Va te laver m’ordonna t il. J’allais à la douche. Je le sentis alors venir derrière moi. Je me déshabillais. Il me saisit par les cheveux et me poussa sous la douche me forçant à m’agenouiller. Il avait enclenché la douche. IL me plaqua alors contre le mur en me tenant les bras au dessus de la tête. IL me baisa la bouche. Il aimait me la faire garder bien au fond. Il pinça alors mon nez pour me faire ouvrir mieux la bouche. Soudain, il me prit par la gorge et y aller sans aucun ménagement. Il me releva. Je le regardais droit dans les yeux avec un sourire satisfaite. Il me gifla. - Baisse tes yeux. Je remis alors ma tête en place et je le regardais - Baisse tes yeux, petite salope. Il me regifla. Il me tena la gueule avec sa main. Il me redressait j’étais sur la pointe des pieds. - Tu sais ce qu’on fait aux petites putains ? Il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il me doigtait bien intensément. - Tu en as besoin, n’est ce pas. Tu aimes être doigtée ? Je baissais le regard. - Réponds moi. Il tenait toujours fermement ma bouche.. - Oui Monsieur j’aime être doigtée.. - Bien… Il s’était alors agenouillée. Il plaça au mieux son bras en dessous. - Allez empale bien. Il m’avait présenté 4 doigts ; J’adorais le sentir ainsi ça me rendait complèment folle. Il repris rapidement le contrôle. Savamment doigtée il jouait avec ma chatte puis il commença à la fistée. Je ne pue m’empêcher d’hurler.. J’étais alors empalée sur son bras.. - Regarde ça… sale putain.. Quand il ressortit sa main. J’étais alors vidée.. - Allez lave toi. Prépare toi pour le diner. Je prenais ma bouche. Quand je ressortis, je vis alors des boules de geischa posées sur le lavabo. Je m’employais à les mettre dans ma chatte. Cela me stressait déjà car quand je mouille déjà tant, j’avais peur de les perdre en marchant. Nous allions au restaurant de l’hôtel. L’ambiance était bien feutrée c’était si agréable. - Tu nous a organisé un superbe week end. - Je vous remercie. - Maintenant tu vas aller à la chambre. Tu vas faire couler un bain chaud et tu m’attendras nue comme il se doit. - Oui Monsieur. Je sortais alors de table pour me diriger vers la chambre. Il y avait une sublime baignoire avec pattes de lion. Je tournais les robinet. Je testais l’eau pour m’assurer que la température était agréable. Il revenait après 20 min. Je me demandais ce qu’il avait fait. J’étais à coté du lit a genou, les mains ouvertes. L’attendant. - Enlève moi les chaussures je te prie. Il s’était assis sur le lit. Avec mes mains je m’avançais pour retirer les lacets. - Non défaits les avec ta bouche . - Oui.. monsieur.. Avec mes dents je me saisis des lacets pour tenter de les défaire, mais je n’y arrivais pas. - Espèce de conne, incapable d’enlever correctement un lacet… - Lèche les chaussures je te prie dit il en claquant des doigts. Je me baisais pour bien lui lécher les chaussures. Il observait pour s’assurer que j’effectue au mieux ma table. - Bien , retire les chaussures et mes chaussettes. - Défais mon pantalon. - Déboutonne ma chemise. - Enlève mon boxer. Une fois ma tache accomplie, je me remise à genou à attendre ce qu’il voulait. Il s’était levée en allant vers ses affaires. Il me montra mon collier. Il me le mit. Comme a son habitude il le serra bien fortement. Il y mis la laisse puis me tenant à court il se rapprocha de moi pour me pincer à nouveau les lèvres. Il me posa des bracelets au niveau de mes poignets, de mes chevilles. - Mets tes bras au dessus de ta tête. Je m’exécutais quand je vis qu’il sortait les pinces à tétons. Il me vit alors faire les gros yeux. - Oh oui je vais bien m’occuper du travail de tes seins et de tes petits tétons fragiles. Il y déposa des pinces et s’amusa à y attacher des petites sonnettes. - Allez petit quatre pattes, on avance. Il me faisait alors marcher dans la chambre pour ensuite me conduire jusqu’à la salle de bain. - Bouge pas. Il revint alors avec un gode ventouse et un gros plug. C’est à ce moment là que je perdis mes boules de geisha ; J’étais honteuse. - Je reconnais bien ma petite chienne qui ne sait pas se contenir. Il posa l’énorme plug au sol et colla l'autre au carrelage un peu plus loin. Il mit alors la laisse dans mes mains. - Garde la bien ainsi en présentation. Tu resteras à genou le plug dans ton cul. - Oui, Maitre. Il se glissa alors dans le bain avec le verre qu’il s’était préparé. Il saisit la laisse pour ne pas que je parte. - Allez baise toi comme tu sais si bien le faire. Encore une fois je m’éxécutais. - Tu n’es pas assez bruyante, mets y plus de puissance, de force que tes sonnettes montre combien tu t’atèles à ta tache. - Voilà c’est mieux… Il souriait et profiter de son bain. - Suffit maintenant. - Retourne toi, gode toi la bouche et présente moi ton petit cul élargi. - Humm .. tu es très belle tu sais, ainsi. Il me tenait toujours par la laisse. - Merci.. Monsieur.. - De rien petite putain. Au bout d’un moment, il sortit de son bain. - Viens me sécher. Je le séchais aussi bien que je pouvais profitant de son corps que j’adorais. Je m’étais alors agenouillée tenant par mes mains sa cuisse. JE me blottissais contre lui. IL me caressait les cheveux.. en signe d’affection.. Il ressaisit ma laisse. - Allez gode en bouche. Suce le comme si c’était ma bite. Quand je reviens, je veux quetu les toujours en gueule tu penses que c’est possible ? Je bougeais de la tête en faisait une affirmation. Il ressortit me laissant ainsi. - Bien, tu n’as pas bougé. C’est parfait. Je n’ai pas entendu tes petites clochettes. Allez viens. Il avait installé des cordes. Il m’attacha les bras dans le dos à hauteur des coudes puis des poignets. Il la tendit en la passant sur la poutre. J’étais alors ainsi mains et bras attachés partant par l’arrière. Une position relativement inconfortable qui me faisait me pencher en avant. - Mords. IL me présenta le gag ball. - Voilà.. une belle posture. Prête à se faire enculer. Il passa sa main sur ma chatte.. Ah oui.. bien trempée… Il avait dans ma main sa badine. Il la passa entre mes jambes pour me forcer à les écarter. - Tu vas compter. 1… difficilement prononçable. Le premier coup s’abattit sur mes cuisses. 2.. Toujours sur mes cuisses mais un peu plus haut. Il faisait monter la tension me caressant avec ou parfois faisant mine de me frapper. 3… .. Sur la naissance de mon cul. 4.. Sur mes fesses 5.. Sur mes fesses. 6.. Sur mes fesses. Je hurlais à travers le gagball .. Ils s’approcha pour me calmer. - Chut… ce n’est que le début. 7.. sur mes cuisses. Je les refermais. - Ecarte tes cuisses de putain. 8… Il me remit un coup au même endroit. - Voilà de jolies petites marques bien rouges. Tu es ma petite œuvre d’art. - Regarde ce que j’ai pour toi.. IL me montra des pinces pour mes lèvres.. Je me dandinais.. jamais il ne m’en avait posé. J’étais sensible. - Je vais te laisser le choix.. Soit c’est les pinces sur ta chatte ou du poids sur des seins.. Je te laisse réfléchir. Je ne savais pas quoi choisir.. sensible de partout. - Je vois que tu n’arrives pas. D’accord.. Tes petites lèvres. Je fis mine que non… - Be voilà, ce n’est pas compliqué de faire un choix. Tu devrais me remercier d’être si indulgent avec toi. - Merci.. Monsieur. IL retira les petites clochettes et y fixa des poids. - Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas lourds me murmura t il. Je mordais dans mon gag ball à en baver. De sa main, il m’enleva ce filet. - Et ça bave. Bon maintenant que vais-je faire ? Est-ce que je te laisse ainsi ? Est-ce que je te baise ? ou est ce que je te doigte.. - Hum je vais te baisser. Je crois que c’est ça qui va te faire bouger au mieux tes seins histoire que tu ne prennes pas des aises par rapport à mon indulgence. Il me prit alors par la taille et me baissa en premier lieu ma chatte. Mes seins bougeaient tant. Je voyais les poids se balader. Tout en me baissant il me claqua les fesses. - Mais je crois que le trou que je préfère c’est ton fion de salope. Il plaça son gland dans mon cul et me pilonna. Un coup.. puis un autre.. puis encore un autre bien au fond. Il prenait totalement possession de mon cul. Il éjacula . IL se retira. Il écarta mes fesses. - Je veux te voir suinter du cul avec mon foutre. Mon petit sac à foutre. Il s’installait alors sur le fauteuil et me laissa ainsi… Mon cul allait se remplir au fil de la soirée.
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Par : le 06/05/20
Les clients arrivent déjà. J’ai droit à quelques plaisanteries au sujet de mes fesses, je dis que je suis tombée... jusqu’à ce que Kriss explique aux clients qu’elle m’a donné une fessée, parce que je n'avais pas obéi !?! À 14 h 30', on fait la caisse. Je dis à Madame Simone : — Je suis contente de ne pas avoir vu Kristos. — C’est un filou?! Je n’en veux plus. Filou?! Un mot passé de mode mais qui lui va bien. Kriss arrive et me dit : — Viens, on va chez les clients. Oh?! Elle aussi?? Elle sort son vélo du garage et on part le long du chenal. On arrive devant une belle maison. Kriss entre dans le jardin en disant : — On est là?! De loin, on entend quelqu’un répondre : — Par ici?! On contourne la maison. Deux hommes arrivent à notre rencontre. Ouah ! Belles bêtes?! Grands, baraqués, avec des bites de guerriers (!) qui se balancent quand ils marchent. Ils nous embrassent sur la bouche, tandis que leurs mains se baladent de mes seins à mes fesses. Ils ne regardent même pas Julien. Ils sont secs et musclés et ils ont bien 15 cm de plus que moi. On va s’installer près d’une petite piscine. Il y a une table, des chaises et des lits de plage. Kriss leur dit : — Voilà Samia, que vous avez vue en photos et son frère. Pas trop déçus?? Le blond répond : — Non, pas du tout, elle est très mignonne. Presque aussi jolie que toi. Eh, Machin ! Faut acheter des lunettes?! Ils se présentent à leur tour. Le blond, c’est Speed et le brun, c’est Black. Vous ne saviez pas que c’est très dangereux, de donner son vrai prénom?? Je dirais bien, moi, c’est Angel et l'autre, c’est Devil. Mais, je ne sais pas si ça va les amuser. Speed nous demande : — Qu’est-ce que vous voulez boire?? Il y a du rosé... Je réponds : — Volontiers. Si vous voulez, mon frère peut s’occuper du service, il fait ça très bien et... Kriss me coupe : — C’est toi qui vas faire le service, Samia?! Elle explique aux deux autres : — Je la dresse un peu cette petite. Mais, qu’elle me foute la paix, cette conne, je suis ici pour gagner de l’argent et baiser avec ces deux mecs?! Je vais faire comme si elle n’existait pas. D’ailleurs, je lui dis : — Je n’ai pas l’intention de... Elle me coupe sèchement : — Aux pieds ! Elle est folle... et... et je vais me mettre à genoux devant elle. — Embrasse mes chevilles. Je... j’embrasse ses chevilles. Les deux hommes rigolent, Speed me dit : — Samia, tu vas chercher le rosé qui est dans le frigo, tu l’ouvres, tu cherches des verres puis tu ramènes tout ici. Fais ça vite et bien, car je crois que ta maîtresse n’attend qu’une occasion pour te mettre une 2e couche sur les fesses. Ils rigolent tous les trois à cette phrase stupide?! Je vais faire ça et puis.. Je vais aller sur les genoux d’un mec et je ne ferai plus attention à Kriss. Je débouche la bouteille et je prends cinq verres dans l’armoire. Ensuite, je retourne près de la piscine avec mon plateau. Ils sont installés sur des lits de plage, même Julien. Quand j’arrive, Kriss me dit : — Pourquoi cinq verres?? — Parce qu’on est cinq, Mademoiselle. — Toi, tu boiras quand je le déciderai. Allez, sers-nous. Je remplis les verres et les leur donne. Kriss cherche de la musique sur une petite radio. Elle trouve une musique de flamenco et me dit : — Danse?! — Mais... pour le flamenco, il faut une robe et... — Je compte jusqu’à cinq. 1, 2... Je danse, car... je m’en fous de danser. J’aime danser. Je fais ça depuis que j’ai cinq ans quand il y a une occasion. Nue, c’est la première fois, mais puisque j’ai commencé à lui obéir... Je danse, tape du talon sur le sol, lève les bras pour faire les mouvements du flamenco. Je me cambre aussi en regardant les deux hommes dans les yeux. Ils ont l’air très intéressés. Kriss se lève et vient danser avec moi. Oh?!!! Elle sait danser en plus?!! Elle fait l’homme en me prenant par la taille, me courbe, nos seins se touchent... Tout en dansant, elle me prévient : — Si tu ne veux pas une nouvelle fessée, il va falloir bien m’obéir. Mes fesses se serrent d’appréhension tandis que je réponds : — Oui, Mademoiselle. Je ne me reconnais pas?! Qu’est ce qu’il m’arrive?? C’est une fille?! Je n’ai jamais été spécialement attiré par une femme, sauf quelques exceptions, comme une jeune nonne, il y a longtemps... On danse le flamenco, nues, en agitant une robe imaginaire, c’est ridicule. Enfin, je trouve ça ridicule, mais les deux hommes et Julien ont l’air de beaucoup apprécier. Il fait chaud et on transpire. Le corps moite de Kriss se colle au mien par moment et je respire son odeur. Elle m’a humiliée en public et m’a fessée avec une sandale... mais sa peau contre la mienne m’excite et son odeur me plaît... C’est dingue... On termine notre flamenco. Kriss me prend contre elle en disant : — Ça te plaît de danser avec moi?? — Oui Mademoiselle — Dans ce cas, on va voir comment tu te débrouilles avec une chatte. Mais... non?! Une odeur de transpiration, ça va, mais sa chatte, non, pas question?! Avec Sœur Marie... c’était différent. Kriss, c’est mon ennemie. Ça, c’est mon cerveau qui parle mais... mes hormones, ces sales petites garces ont pris le contrôle de mon cerveau?! Kriss se couche sur un des lits de plage. Elle écarte les cuisses et me désigne du doigt, sa chatte qui brille au soleil. Elle me dit : — Quelques claques sur les fesses, ça t’aiderait?? Je me glisse entre ses cuisses et je colle ma bouche à sa chatte. Je suis bouche à con avec mon ennemie et ça m’excite affreusement. Comme je ne bouge pas, elle me donne un petit coup de talon sur la nuque. Message reçu : je commence à lécher. C’est mouillé et son odeur est forte, genre fin de matinée sur le marché aux poissons un jour de canicule. En fait, non, car il n’y a aucune note ammoniaquée, c’est sauvage, acidulé, musqué, en réalité c’est délicieux. Je regrette de ne pas avoir fourré mon nez plus tôt dans les chattes de mes copines. Bien sûr, je sais comment fonctionne une chatte et les cunnis, je connais bien mais c’est à moi qu’on les fait. Je glisse ma langue entre ses lèvres et je lèche en faisant une incursion dans le vagin. Ensuite, je me concentre sur le clito. Là, l’odeur me rappelle celle de ma culotte quand je suis en panne de papier. Ben oui, les filles sentent leur culotte le soir, quand elles l’enlèvent. Demandez à votre femme. Quand on suce un homme, il bouge, il se fait aller et venir, vous attrape par la nuque ou les oreilles... Kriss ne bouge pas ou à peine, elle se contente de me caresser le dos avec un de ses pieds tandis que ma langue tourne autour de son clito.... Je ne sais pas si je fais ce qu’elle aime, car elle ne réagit pas. Ah si?! Une de ses cuisses tressaille contre ma joue et puis l’autre cuisse. Ensuite son bassin vient au-devant de ma langue... Un des deux hommes me caresse les fesses pendant que je lèche. Puis, il enfonce négligemment un doigt dans ma chatte. Je sais que je mouille, mais c’est personnel, ça, non?? Non, car il dit : — Elle mouille bien, la petite salope Kriss répond : — Elle a le feu au cul. T’as pas envie de la baiser?? Eh, oh?! On demande?! Je relève la tête pour le dire, mais Kriss me repousse contre sa chatte... S’en fout le mec de mon consentement, il se positionne derrière moi et m’enfonce son sexe dans la chatte. Bien que je suis très mouillée, je le sens bien. Depuis la chatte de Kriss, je crie : — Aiiieee?! Faites doucement?! Je commence à les trouver tous un peu... sans gêne?! Je lèche et je suce le clito de Kriss... Ça dure longtemps, j’en ai mal à la mâchoire. Enfin, elle jouit en plaquant mon visage contre son sexe. Ça va être à mon tour d’avoir le visage qui sent la chatte?! Le gars qui me baise accélère et il jouit aussi... Moi, pas. Il se retire et dit à son copain : — Tu veux prendre ma place?? Mais je te conseille de l’enculer, parce que j’ai inondé sa chatte. L’autre répond : — Non, venez me sucer à deux les filles. Kriss lui dit : — Tu n’as pas envie de te faire lécher par le frère et la sœur?? — Ils font ça?? — Bien sûr. Kriss se tourne vers moi en disant : — Allez ! Je n’ai pas demandé combien on était payés et je n’ai pas l’intention de faire ça pour rien. Mais c’est difficile de le demander maintenant... Julien s’est déjà mis à genou par terre d’un côté du gars, moi je me mets de l’autre côté. Entre nous, un sexe se dresse agressivement, une goutte perle du méat. Julien me regarde, genre «?Qu’est-ce que je dois faire Maîtresse???» Je commence par l’embrasser, une sœur qui embrasse son frère... ça devrait plaire au mec. Le troisième personnage de la pièce, la bite du mec, fait un petit bond. Je fais coulisser la peau qui recouvre le gland en disant à Julien : — Tu fais comme moi. On s’embrasse à nouveau, mais avec un gland entre nos bouches. Ensuite on le suce à tour de rôle. Quand je sens qu’il va jouir, je dis à Julien : — Tu avales?! Il prend le sexe en bouche pendant que je mordille les couilles. Quelques grognements plus tard, je vois Julien déglutir. Il devient bon, Julien. Il pourrait même me rapporter de l’argent. J’entends l’autre homme dire : — Il est mignon, le petit. J’ai envie de l’enculer?! Et, là, mon cerveau se réveille enfin et il file un grand coup de pied dans le cul de mes salopes d’hormones?! Ça piaille sec, je vous jure?! Le "petit" il est à moi?! Il se fera enculer quand et comme je le déciderai?! C’est comme si je me réveillais d’un mauvais rêve. Qu’est-ce que je fais là, à ramper devant une salope et à lécher une chatte qui n’est même pas propre ! Je leur dis : — Il faut d’abord que j’en discute à Julien. Kriss répond : — Non, tu dois obéir. — Après lui avoir parlé?! Un de mecs lui dit : — Laisse-la faire. Je ramasse mon sac, puis je prends Julien par la main et on contourne la maison. Quand ils ne nous voient plus, je lui dis : — On court?! On sort du jardin et on saute sur nos vélos, je manque tomber de ma selle tellement ma chatte est glissante... On s’enfuit?! Mon cerveau me souffle, «?comme des voleurs...?» Je réponds «?ta gueule?!?» C’est vrai quoi, qu’est ce qu’il a besoin de se laisser manipuler par mes hormones?? A suivre. Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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Par : le 04/05/20
Désolée pour les fautes, je suis partie jouer.. Il y a toujours en nous cette petite fille qui sommeille. Celle qui se dit.. oh zut suis adulte.. pfff. Au-delà de la femme indépendante que je suis, j’ai ce coté femme-enfant qui aime régresser. Peut être pour oublier les soucis. A vouloir faire une bataille d’oreiller, à rejouer à ces jeux de notre enfance. J’aime toujours user, abuser de ce regard innocent, à faire qui ne comprend pas… mais qui a besoin d’apprendre. Ce côté petite sotte qui a besoin de recevoir une petite leçon.. Vous voyez très bien de quoi je parle, n’est ce pas ?. Cette petite qui a envie de se faire corriger comme une petite fille fautive qui voulait cacher ses bêtises, et qui pour se faire pardonner affichait ce petit regard, tout innocent lui aussi.. Mais qu’ai-je fait de mal ? Lors de notre dernière entrevue, il m’avait laissé une boite à ouvrir dès qu’il me le demanderait. La curiosité est un vilain défaut n’est ce pas. Vous aussi vous auriez voulu savoir ce qu’il y avait dans cette boite, si belle, blanche perlé fermé à l’aide d’un magnifique ruban rouge rubis… Si je regarde qu’en saura t il ? mais si je regarde pas, mon excitation ne fera qu’augmenter… Je l’avais posé sur la table juste à coté de mon canapé en velours rouge opéra de mon dressing. Mon dressing dispose d’un choix incroyable de tenues, robes, lingeries, chaussures et accessoires me permettant à la fois d’avoir un look BCBG, plus bohème , plus années folles ou ce look hollywoodien des actrices des années 40/50. D’ailleurs il parait que je ressemble à Dita Von Teese… ou plutôt c’est elle qui me ressemble. Donc j’étais assise sur mon canapé à regarder cette boite. Je me mordais les lèvres. Un petit démon me disait.. ouvre là… l’autre… non regarde ton entrejambe.. il est tout émoustillé. Je prenais sur moi… J’envoyais un message à Monsieur. - Monsieur, je suis sur le point de fauter.. ouvrir cette boite… puis-je ? Il me faisait languir.. je voyais qu’il avait lu le message sur Whattsapp. Arghh je le maudissais. Une heure après : - Non je te l’interdit. Tu auras le droit de l’ouvrir demain-matin. Après tout, je me disais demain matin.. il n’en saura rien si je l’ouvre maintenant. Mon coté chipie ressortait. J’attrapais cette boite que je posais sur mes cuisses. Avec une délectation enfantine, je défis le nœud. J’ôtais le couvercle. Et là je vis.. une peluche. Une peluche, il m’offrait une peluche.. Ah moi ? qui aime plutôt être très femme. J’y voyais une pointe d’humour mais peut être un indice pour notre prochaine rencontre ? Message Whattsapp reçu : Je suis certain que vous avez ouvert la boite ? Je vous connais… Je souriais, il me connaissait par cœur.. Je répondais instantamment. - Oui Monsieur, je n’ai pas pu résister… et puis avec une peluche à la main et mon regard mutin.. vous allez me pardonner ? - Oh.. mais vous vous trompez lourdement ma chère. Je suis en train de prendre note sur votre carnet. Je passe vous chercher demain à 20h. La peluche est un indice sur ce que vous devez porter demain. Ne me décevez pas et n’oubliez pas d’emmener votre peluche. Je levais les yeux en l’air.. Une peluche… forcement j’imaginais ce jeu de rôle où je serais une jeune fille bien innocente. C’est alors que je réfléchissais à ma garde robe, et à ce que je pourrais mettre. Eh bien j’allais la jouer bien sur femme très innocente. La nuit porte conseil. Le lendemain, j’étais passée chez l’esthéticienne afin d’avoir mon entrejambe le plus lisse possible. Je déteste les poils. Puis en rentrant, je décidais de me faire ce soin éclair « coup d’éclat » jouer les jeunes filles à mon âge.. même s’il paraît que je ne le fais pas.. mais j’adore jouer ces jeux de rôle dans lesquels il m’emmène par jeux. Il se donne toujours les moyens. Je mis cette petite robe légère qui me donnait ce coté sage avec un col claudine. J’avais mis en dessous une lingerie dans les tons blanc / rosé. Ma culotte était légèrement bouffante comme pour rappeler ces culottes des années 1900… j’avais également mis des bas blanc. Et pour agrémenter le tout.. j’avais fait des couettes… En me regardant dans le miroir, je m’étais amusé à voir le résultat. Je me disais. J’espère que nous n’allons pas en ville.. Il était venu à l’heure précise. Je sortais en faisant attention à ce que les voisins ne me voient pas. IL m’avait envoyé un message comme d’habitude. Ma peluche à la main, je ressemblais à cette petite sainte nitouche.. sexy qui cherche les regards en faignant son innocence. Je montais rapidement dans sa voiture. - Oh en voilà une bien jolie jeune fille.. - Vous.. êtes… Il souriait.. - Oui je suis ? C’est là qu’il se pencha vers moi. De son pouce, il entreouvrait ma bouche pour le faire pénétrer.. - Une jeune fille suce t elle encore son pouce à son âge ? et se balade t elle encore avec une peluche ? Il écarta mes jambes et me deshabilla du regard. - Je t’emmène dans un lieu spécial où l’on pourra bien s’amuser ensemble. C’est en Allemagne. Nous allons rouler une petite heure. C’est dans un club mais nous serons que tous les deux. J’ai réservé une pièce bien spéciale pour nous deux. C’est là qu’il me tendit une sucette.. - Tiens, je me souviens que tu aimes les sucettes ? rappelle toi une de tes punitions. Là je veux que tu la suces, que tu te délectes, que tu la lèches. J’adorai faire la petite allumeuse. Nous arrivions dans ce club, qui était dans un petit village. C’était assez étrange à vrai dire. Mais bon, tant que j’étais avec lui, je me sentais en sécurité. Il sortit de la voiture un sac. Nous rentions dans ce club. IL maitrisait parfaitement l’allemand. Nous allions au vestiaire. - Mets toi en sous vêtement et prends ta peluche, petite allumeuse. Il me prit par la main. Le responsable du club nous montra le chemin jusqu’à une pièce au fond d’un couloir. - Ce soir, tu seras une petite fille qui a besoin de recevoir une petite éducation comme il se doit. Attends moi. Je reviens. Il était rentré dans la pièce avec son sac. Puis il me dit de rentrer. Il était installé sur le lit. Il s’agissait d’une centre d’environ 20m2 avec un lit de jeune fille en fer forgé. Plein de peluches adossées à une commode et au mur des images très enfantines avec des jeux. Une pièce très colorées avec un grand tapis circulaires, des poufs et des oreillers de partout. - Viens t’asseoir à coté de moi.. IL tapotait le lit. Il me faisait tout de suite entrer dans ce personnage. Prenant une démarche coquine et un peu à la légère, je m’approchais de lui, peluche à la main. - Je vois que tu n’as pas pu tenir pour ouvrir cette boite. Sais-tu ce qui arrive aux jeunes filles qui n’écoutent pas ? - Humm.. non Monsieur ? je ne sais pas… dis-je avec une voix légèrement d’idiote. - Eh bien on leur met la fessée cul nu. Alors tu vas baisser ta petite culotte sur des cuisses et tu vas me les présenter. Avec insolence, je passais au dessus de lui pour me mettre en position. Quand tout à coup, il me fit m’allonger en me poussant avec sa main sur mon dos. Il me caressait les cuisses puis se dirigea vers mes fesses. Il commença à me fesser avec fermeté.. - Tu ne me remercies pas ? - Pardon.. monsieur… Mer.. aie.. merci… Monsieur. Sa main s’abattait encore.. et encore.. parfois plusieurs fois au même endroit. J’étais ainsi allongée sur lui à lui tendre mes fesses qui étaient probablement devenues écarlates. - Voilà comment on corrige les vilaines.. les vilaines petites filles qui ne sont pas obéissantes. Humm quelles belles fesses bien rouges. IL les caressa, les serra… Puis il écarta mes fesses pour regarder mon entrejambe.. Il y passa sa main.. - Ah je vois l’effet que cela provoque à cette innocente jeune fille… un état d’émoi de petite chienne en chaleur.. - Oh Monsieur, je ne sais pas ce qui m’arrive.. Dites le moi.. - Oh je vais te donner quelques leçons pour comprendre une nouvelle matière physique. - Ah oui Monsieur, qu’allons nous apprendre. - Tout d’abord, nous allons apprendre en jouant. Est-ce que cela te convient ? - Ohh.. oui Monsieur.. dis-je avec cette voix enfantine à me triturer les couettes.. - Alors on va jouer. Va à cette sublime boite à jouet. Prends celui qui te fait plaisir.. Je te montrerai des exercices pratiques. Allez remonte ta culotte, ce n’est pas une tenue de s’exhiber ainsi. Je me rendis à quatre pattes en dandinant mon derrière pour aller jusqu’à cette boite qui était sur le tapis. J’ouvrais la boite avec cette mine complètement surprise ( eh oui j’aimais jouer mon personnage). - Oh mais monsieur.. je ne sais pas à quoi servent tous ces objets. - Choisis en un.. je t’expliquerai. C’est là que je sortis un gode ventouse. Je m’empressais de revenir vers lui à genou et à lui tendre. - Hum cher Monsieur voilà ce que je choisis. - Hum.. je vois que tu as de bonnes prédispositions. Il se leva et se dirigea vers le miroir. Il y faisait adhérer le gode ventouse. - Nous allons faire un petit exercice pratique avec ta bouche et ta langue. Tu vas prendre cet objet et tu vas le lécher, te l’introduire dans ta bouche, quitte à aller jusqu’à ta gorge. Je vais te regarder faire. Si je ne suis pas satisfait, je te corrigerais.. - Ohh merci Monsieur. Toujours à quatre pattes en dandinant mon cul, et prenant une démarche que je savais sensuelle pour le rendre fou, j’allais vers le gode. Doucement j’ouvrai ma bouche pour commencer à le lécher, comme ci je découvrais cet objet. - Allez, dans ta bouche Je commençais à sucer ce gode. - Allez, va y plus profondément, tu en es capable. De moi-même je forçais ma gorge à en baver. C’est là que je sentis le coup de la badine s’abattre sur mon cul. - Cambre -toi, tiens toi bien et continue de sucer. Au bout d’un moment il me dit de le garder bien dans ma bouche. - Voilà une bonne petite suceuse. Il maintenait ma tête pour que je la garde bien en bouche. Puis en me tirant par les couettes il me redressa. J’avais de la bave qui dégoulinait. - Maintenant nous allons passé à l’exercice en réel. Il me releva en me tenant pour le cou et mis sa main dans ma petite culotte de jeune fille. - Oh mais cette innocente demoiselle est bien lubrique. T’es toute trempée… Il me poussa vers le lit, puis avec son savoir faire me retourna afin que j’ai la tête à l’envers. - Avec sa main, il ouvrait ma gueule et y fourra un doigt. Je me délectais de le lécher.. Puis avec une certaine fougue, il prit son sexe en main et le dirigea vers ma bouche ouverte qui n’attendait qu’à passer à cet exercice pratique. Il me baise bien comme j’aimais. Il adorait me faire des gorges profondes. Il m’imposait son rythme effrainé. Tout en me prenant ainsi, il avait sortie mes seins de mon petit soutien gorge. Il jouait aussi avec mes tétons. Je bougeais alors mon corps pour me défaire de cette emprise. C’est là qu’il me prit le cou.. et serra. Il stoppa sa frénésie et laissa son sexe en moi. - Brave petite fille. Il me tapotait la joue.. - Allez sors ta langue, lèche moi les couilles, lèche bien partout. Ma langue passait dans tous les endroits de son entrejambe. Il me rendait folle. Puis c’est là qu’il se retourna et s’assit sur moi. - Regarde moi . - Je t’ai dit regarde moi. Je veux te voir me bouffer les couilles, petite salope. - Tu les veux hein ? De mon regard naïvement pervers, il comprenait.. - Oh oui.. Monsieur merci.. Je l’entendais râler de plaisir. Il me saisit par les couettes et m’utilisa à son bout vouloir à faire des va et vient puis stoppa net. - Bonne petite elève - Oh merci Monsieur.. c’était si bon. - Allez va choisir un autre jouet.. - OH Monsieur, qu’est ce que ce fil avec plein de boules attachées. - Apporte le. Comme une enfant qui découvre un trésor, je m’avançais vers lui. - Allez reviens sur mes genoux. - Qu’aillez vous faire, Monsieur ? - Chut… Laisse toi faire, tu vas aimer. - Oh mais monsieur, que faites vous ? Il écartait mes fesses, - Oh, regarde moi ce petit trou.. Tu vois je vais introduire ces 3 boules dans ton petit cul. - Ah oui Monsieur ? et vous pensez que cela va rentrer ? - Nous allons le voir. - Ouvre ta petite bouche et mouille moi cela. Avec sa main il me présentait le jouet que je me devais d’humidifier. - Cambre toi et remonte des fesses. Il plaça la première boule à l’entrée de mon orifice.. - Allez pousse ma belle. Mon fion céda rapidement. Puis il opéra lopération une seconde fois.. puis une troisième. - Oh regarde comme tout est rentré. Tu es une petite magicienne. Je le regardais en souriant avec ce regard malicieux. - Allez va sur le tapis, je vais te regarder jouer. - Oh oui à quoi voulez vous jouer ? - A la petite chienne qui va m’aguicher avec son petit cul. - Oh Monsieur.. non… - Allez fais ce que je te dis.. Je descendis du lit. Je baisais alors ma tête au sol puis je dandinais mon cul pour lui. - Allez bouge le encore mieux que ça. Je sais que tu aimes ça. - Oh oui.. monsieur - Tu ne sais vraiment pas te tenir.. C’est là qu’il saisit le petit anneau à mon petit cul.. Oh mais regarde ce que je tiens en main.. Tout doucement il tira dessus.. Il sortit la première balle puis la rentra une seconde fois. J’étais complètement excitée. - Oh oui, tu avais besoin de te sentir combler, n’est ce pas.. - Oh oui.. monsieur, je vous en prie.. combler moi encore. Il sorti ces boules avec délectation. Je devinais son regard qu’il avait. A voir mon petit trou s’ouvrir, se grossir.. - Oh mais je vois que ma petite chienne est bien trempée.. Je vais te prendre la température ma belle. Il se plaça debout au dessus de moi. Sa queue prenait la direction de mon trou. Il s’y fraya un chemin.. à sec. Il y allait doucement. - Tu vas voir tu vas aimer, petite allumeuse. - Je commençais à crier. Puis il commença à me culbuter . Je sentais ses couilles me frapper. Il tenait mes fesses pour les écarter et admirer son œuvre entrer et sortir. Parfois il prenait de la hauteur et admirer mon trou bien ouvert, bien offert. - Oh regarde comme tu es ouverte.. Il me pris par les poignets et repris sa chevauchée. Puis dans un mouvement de fougue, il me releva et me jeta sur le lit. - Garde tes jambes bien ecartées. Il saisit des liens pour m’attacher les jambes afin que je les garde bien ouvertes. IL fit de même avec mes bras.. Attachés de part et d’autres. - Sais tu ce qu’on fait aux petites chattes qui s’exhibent ainsi ? Son regard était si. Intense. Il tapotait ma chatte, puis commença à la claquer.. Je voulais refermer mes cuisses mais je ne pouvais pas le faire. Il se leva vers la boite et sortit un gode gonflable ainsi qu’un baillon. IL aimait m’entendre gémir ainsi. - Oh mais regardons cette chatte si douce.. Il aimer me doigter, et j’adorais cela. Je mouillais tellement qu’il en entra directement 4… Puis il commença à vouloir introduire son poing. Je me débattais, j’écarquillais les yeux.. mais il n’y arrivais pas. Cela ne l’empechait pas d’aller au plus profond pour me stimuler … Il mis le gode dans mon petit fion . Je poussais des cris en feignant de ne pas vouloir plus.. Mais au fond mon corps réclamait bien sur davantage. Il pressa une première fois la pompe… Je bougeais.. Puis une seconde.. Il le gonflait encore et encore. IL connaissait mes limites. C’est là qu’il me prit par la chatte tout en ayant le gode dans le cul. - Alors petite vicieuse.. C’est bon d’’avoir ses deux trous bien remplis ? Je faisais oui de la tête. Il ota mon baillon et dit.. - Va y je t’écoute. - Oh .. que dire que de sentir votre queue me prendre tout en ayant le fion rempli.. Merci. Monsieur. Tout en me besognant il me gifla, probablement pour être si chienne. J’aimais cette frénésie où au fond j’aimais qu’il me déprava à faire une petite chienne à son image. Elle est là mais il arrive toujours à me rendre encore plus.. chienne. Il s’arreta en remplaça sa queue par ses doigts si magiques. Il me doigtait tout en maintenant la pression au fond de ma chatte. Je ne tenais plus. Il me caressait en même temps le clitoris.. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de la jouissance. - Monsieur.. Monsieur.. je vais.. jouir.. - Va y.. Jouis.. Je me laissais aller à cette déferlente. J’essayai de me soustraire à la magie de son savoir faire. J’en mettais partout. Je jouissais avec une telle force. Puis il continuait à vouloir me rendre encore fontaine jusqu’à ce que je sois vidée. Il me tira par les couettes pour me forcer à regarder. - Regarde petite cochonne, regarde tout ce que tu as. Quelle innocente putain.. Puis ma tête partie en arrière. J’étais épuisée. Je sentis alors qu’il retira le gode de mon cul.. Je ne sentais plus rien à vrai dire . J’étais encore dans mon paradis. Il me sodomisa à nouveau. Il prit mes seins avec force et les pressait comme des oranges. IL aimait les presser, les faire se dresser. Il m’utilisait comme une petite poupée. Je le regardais prendre aussi son pied. J’aimais cet instant où il perdait lui aussi pied… Ses coups se faisaient plus rythmés plus violent. Il me tenaient par les cuisses. Il se déchainait jusqu’à la libération. Il s’assit sur le sol à me regarder ainsi… la chatte exposée, mon fion dégoullinant de son foutre. Il se rapprocha pour m’embrasser la cuisse gauche. Je vais te laisser ainsi, je crois que je vais avoir encore envie de jouer avec mon petit jouet...
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Par : le 02/05/20
l redescendit. Il ota me donna quelques bonnes fessées. Je ralais à travers mon baillon. - Va y parle.. Je t’écoute.. - Je suis désolée Monsieur avec une voix quelque peu masquée. - Il me gifla de plus belle. - Tu vas m’écouter petite garce ? - OUii Monsieur.. Il me detacha. Je me mis sur les genou et me prosternait à ses pieds. Je tentais une démarche pour attirer ses douces faveurs. Mais je sentais à son attitude que j’allais être encore punie. Il posa alors son pied sur ma nuque. - Tu vois, j’avais prévu d’être plus doux avec toi, mais au vu de ce que tu fais, tu comprends bien que je vais devoir te punir. Le comprends-tu ? - Oui .. Monsieur. - Allez relève moi ton cul de chienne. Il se retourna vivement. Puis des deux mains me fessa lourdement. J’en avais des fourmillements. Je refreina mon envie de crier.. mais je ne voulais pas. - Je t’ai amené ton repas. Mais tu comprendras qu’au vu de ta situation, tu vas manger comme une brave petite chienne de luxe. IL m’avait rapporté mon collier, ainsi que ma laisse. - Voilà, ma petite chienne prêt à prendre son repas. Il tira sur la chaine pour me ramener à lui. C’est là qu’il me tendit dans sa main une gamelle. J’étais à genoux. - Tu vois, je vais être indulgent, je vais te donner à manger. Tiens toi bien droite et mange avec finesse et raffinement. Je souriais car parfois je donnais à mon chien à manger à la fourchette. - Tire la langue pour réclamer.. allez. Je sortais alors ma langue et avec douceur, il me faisait déguster, me délecter de différents mets raffinés. Bouchées par petites bouchées. Toujours en position d’attente que mon Maître me nourrisse, à quémander comme je quémanderais sa queue, à avoir ce regard de désir pour qu’il continue à s’occuper de moi. Mon repas terminé, il déposa l’assiette au sol. - J’ai soif, Monsieur. Il tira sur la laisse, la mise bien courte pour maintenir mon cou bien droit. Il m’incita à marcher à quatre pattes jusqu’à la gamelle déposée face au lit. Devant la gamelle que je constatais vide, il me dit. Il s’agenouilla à ma hauteur. Il plongea son doux regard dans le mien. Tira à nouveau sur la laisse pour me susurer à l’oreille. - Je te laisse le choix petite chienne. Que préfères tu ? - Eau.. ou Champagne. Je ne pue m’empecher de sourire.. - Champagne, Monsieur. - Ne bouge pas, cambre toi bien… je reviens. Il savait toujours montrer sa bienveillance que j’aimais tant. Il revint avec une bouteille de Joseph Perrier, chamapgne que j’affectionne. Il versa le chamapgne dans ma gamelle. - Allez, bois. Tout en le regardant je m’abaissais avec ce regard fougueux, plein de désir.. Je voulais le rendre fou autant qu’il me rendait folle. Je lapais ce doux nectar qui allait me rendre encore plus pétillante. - Regarde ce que j’ai pour toi.. dans ma main.. Je regardais ces framboises avec des yeux gourmands. En général j’aime les plonger dans le champagne.. une expérience que je vous recommande afin de faire pétiller ce dernier davantage. Je m’avançais vers ces fruits des plus tentants. J’ouvrai ma bouche pour me servir avec le plus de sensualité animale possible. Je souriais. Ces moments complices me rendaient heureuse. C’est là qu’il me rejetta au sol pour me faire reprendre ma place. Il me griffa alors le dos puis me redressa. Derrière moi, il tenait mes poignets ferment dans le dos d’une main forte. De l’autre il me maintenait droite laisse courte. Sans douceur il me faisait marcher vers le lit où il me jetta dessus telle une poupée. Il se saisit d’une corde puis m’encorda les bras, puis les mains attachés dans le dos. Mes seins étaient magnifiés par les cordes qui les enlaçaient. J’aimais ces moments érotiques hors du temps. Il me redressa. J’étais complètement à sa merci. Mon torse était posée contre le matelas, mes jambes, elle était au sol. Mon cul offert. C’est là qu’il me fouilla de ces doigts experts à nouveau, comme il aime le faire. Puis sèchement il me pénétra. Je sentais mon petit fion céder rapidement. Ses doigts ayant préparé le terrain. Il relava au mieux mon fessier pour me prendre comme il se faut, avec profondeur, comme s’il voulait me transpercer. Je criai, je hurlai. Plus il me possédait, plus il me fessa en même temps. - Voilà ce qu’il te fallait ! Un coup de bite dans ton cul de chienne. Regarde moi ça.. Il me saisit par la queue de cheval pour me redresser. - Alors, tu aimes ça ? te faire prendre comme ça ? tu en veux plus ? - Oh.. oui Mon.. Monsieur , répondais je complètement haletante. Incapable de parler correcterment à chaque butée. Je sentais ma taille s’engouffrer contre le matelas. Puis il me rejeta en maintenant ma tête appuyée contre le matelas. Je sentais ses gouttes de transpiration tomber comme la pluie sur moi. C’était si intense, si sauvage, mais que dire.. Puis soudainement il s’alongea sur moi.. - Ton corps appelle à tous ces vices. Que vais-je faire de toi ? Il me fit tourner sur mon flanc. Il se saisit de mes seins fermement. Il me griffait, me giflait, parfois mettait ma main sur ma bouche où mes cris de bonheur s’évanouissaient dans le silence. Nous nous possédions l’un l’autre. - Je veux te remplir de tout le bonheur que tu me donnes. Te montrer combien je suis fière d’être avec la chienne que tu es. Son souffle était fort, je sentais son cœur battre si rapidement. L’homme avait laisser place à cet animal que j’aimais. Celui qui prendrait, qui possédait.. simplement. Son autorité était naturelle. Il éjacula en moi avec une telle force. Je sentais son abandon.. autant que le mien. Après cette jouissance, je le sentais trembler. Il reprit alors rapidement ses esprits au bout de quelques minutes. Il m’attachait assise, les bras dans la longueur contre les barreaux du lit. Il m’encorda le cou également au barreau. Je ne pouvais pas me mouvoir. C’est là qu’il me banda à nouveau les yeux et me rebaillonna. Il partit sans dire un seul mot, me laissant ainsi interdite. J’aimais quand il était dans son rôle dominant à me laisser ainsi.. mais pour combien de temps. Le désir montant.. toujours et encore avec l’absence. Je tentais alors de me libérer, mais les liens étaient si bien fait. Je m’étais résolu à attendre. Quand je sentis soudainement une main saisir mon menton, puis d’un revers mettre une gentille gifle, puis une seconde.. - Brave petite fille… Je le sentis monter sur le lit. Il s’était agenouillé de part et d’autres de mes cuisses. Il s’était emparé de chacun de mes tétons. Il les pressait, les tiraient vers lui. Les cordes mettaient en valeurs mes seins triomphants. - Aie.. criai- je, complètement surprise. Il commença alors à s’en occuper, à les travailler… Je ne pouvais le voir ni savoir ce qui allait m’attendre. C’est là que je sentis la morsure du paddle s’abattre sur moi. D’abord sur mes seins puis sur mes cuisses, puis ensuite sur mes jambes. Il s’était retiré me voyant me dandiner. Cela l’amusait. Je laissais échapper quelques cris. Il alternait entre douceur et fermeté. Parfois il m’effrayait à mettre des coups dans le vide. Mes sens étaient totalement en éveil. Il enleva le gag ball et y introduisit un gode que je devais sucer comme ci c’était son sexe. Il me faisait baver litterallement. Il y mettait une intensité, un certain cœur à l’ouvrage. A regarder le fruit de son éducation. Soudain il remplaça le gode pour me fourrer de ses doigts. Il ouvrait ma gueule pour voir si sa chienne était bonne à sucer. Ma poitrine se soulevait. Tout était si intense. La fatigue me gagnait, lui était je le sentais en pleine frénésie. JE ne pouvais lutter.. je ne pouvais que me laisser faire. N’étais ce pas ce que j’aimais au fond. Être cette petite poupée. C’est là qu’il me détacha. Avait il senti ma fatigue rien qu’en m’observant. - Je vois que tu es bien fatiguée. Je vais te mettre au lit petite servante. Va faire un brin de toilette avant de te coucher. Je me levais, les jambes en coton après les différents assauts que j’avais subis, mes bras étaient un peu douloureux. Je me regardais à travers le miroir. J’avais une mise bien fatiguée. - Pose tes mains sur l’armoire, écarte moi tes jambes. Il prie alors le gant de toilettes, le trempa et d’une douceur infinie commença à nettoyer mon intimité. Je le voyais derrière moi à travers le miroir. Mon cœur battait. J’avais qu’une envie, me retourner, le serrer dans mes bras.. Mais je voulais savourer ce moment si … si.. longs soupirs… Il me faisait la toilette, même si cela était rudimentaire. - Maintenant, va t’asseoir sur le lit. Il se saisit de ma creme pour le corps que j’avais sorti de mon sac puis commença par me masser en premier les pieds.. il était à mes pieds. Son regard intense plonger dans le mien. Je ronronnais de plaisirs, de détente. Puis doucement il passait ses mains sur mes mollets, toujours en remontant avec cette douce fermeté il s’attardait sur le creux de mes genoux. Je ne pouvais que chavirer. Il remontait encore et encore… Puis il s’assit alors derrière moi, pour s’occuper de mon dos. Il prenait son temps pour me masser, passer ses doigts sur ma cicatrice, celle qui parcourait tout ma colonne vertébrale. Puis il s’attarda sur mes petites cervicales. Je penchais alors ma tête en arrière, la posant contre son épaule. Il passa alors sa main sur ma gorge. Je me sentais complètement à nue face à lui. Complètement nue.. mise à nue. Cette sensation de ne pas à avoir se cacher, à se montrer juste soi. Puis d’un main coquine, il s’occupa de mettre de la creme sur mes seins, en les pinçant légèrement. Il devinait alors mon sourire de plaisir. C’est là que d’une infinie douceur il prit mon elastique des cheveux pour le faire glisser avec tendresse afin de les libérer. Il y passer ses doigts pour les démeler. - Attends, ne bouge pas. Il avait saisi ma brosse à cheveux et me peigna les cheveux. C’est là qu’il me borda. J’avais qu’une envie c’est qu’il vienne avec moi dans le lit.. pour me réchauffer, me réconforter. Il laissa une bougie allumée. Je regardais les ombres dansées sur le mur. J'étais bien emitouflée; - Bonne nuit petite chienne. Il monta les escaliers, me laissant seule, à mes songes et mes pensées les plus douces. Cette journée aller se mêler à mes rêves et à mes futurs écrits. J’étais épuisée. Je m’endormais comme un bébé. Allait il me rejoindre ? je vous laisse imaginer la suite …. Qu’auriez vous voulu… qu’il fasse ?
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Par : le 02/05/20
LA servante. - Je te prépare un week end intensif petite chienne. - Ah oui, Monsieur ? - Oui, j’espère que ton éducation saura me montrer combien tu as bien compris où était ta place. Il avait son sourire complice mais sérieux. Je me demandais ce qu’il avait prévu. Nous avions pris la route, je ne savais pas où nous allions. J’avais préparé quelques affaires pour le week end avec ce les indications qu’il m’avait donné. Nous étions en pleine campagne, loin de tout. Il avait mis le GPS, nous en avions pour 2h de route. - Puis-je savoir où nous allons ? - Non.. - Même pas un indice ? - Ta curiosité est un vilain défaut. Ecarte moi tes jambes. Il mis sa main sur mon sexe. Je commençais déjà à ne plus me contenir. Pendant le temps de la route il m’avait interdit de parler, juste d’écouter. Il me trouvait insolente ces derniers jours. Après tout, c’est mon tempérament. J’aime être effrontée. Nous étions arrivé à destination. - Ne bouge pas, je viens t’ouvrir la porte. Il descendit de la voiture, pris sa veste légère située à l’arrière puis viens m’ouvrir la porte. - C’est la maison d’un ami qui nous la prête pour le week end. Tourne- toi. Il me plaqua contre la voiture. Je sentais son corps chaud contre moi. J’aimais quand il me faisait tomber le visage en pressant sur ma gorge. Je me sentais posséder de tout mon être, à être dévouée. J’étais esclave de mon désir pour lui. Il me banda alors les yeux avec un masque en cuir. Cette odeur si particulière et si excitante. Il me prenait toujours par la gorge et me forçait à avancer. J’entendis le claquetis de la clé s’insérer dans la serrure. - Attention à la petite marche. Ne bouge pas et reste debout ici. Je sentais ses vas et vient. Je bouillais à l’idée de regarder où nous étions. Profitant alors de le savoir dehors, comme un enfant, je soulevais légèrement le masque. C’est là qu’il me plaqua contre le mur . Il tenait ma gueule de sa main menaçante. - T’ai-je autorisé à ôter ton masque ? Je crois bien que non. Vu que tu ne sembles pas comprendre ses mots simples, je vais te donner l’occasion de voir. Il m’avait bien remis le masque à sa place et sans aucune délicatesse me faisait marcher. La perte de la vue sans repère, nous fait marcher à taton, avec cette crainte de tomber , prendre un mur ou un meuble. Mais à quoi bon, puisqu’il me tient. Que pouvait -il arriver. J’entendis une porte s’ouvrir . - On va descendre des escaliers. Je te tiens. Tu ne risques rien. Sa voix m’apaisait. La voix est si importante. Une voix peut en un instant provoqué un tel émoi, un frisson ou parfois aussi un dégoût. Je ne pouvais envisager une relation sans que la voix de Monsieur me provoque cet émoi. Je suis certaine que vous comprenez ? J’étais en confiance. Il me tenait d’une main ferme. - A genou ! - J’allais te mettre dans ta chambre, à l’aise. Mais tu mérites une petite leçon. Je vais te laisser dans l’ignorance. Tes mains ! Il m’attacha les mains. Puis, j’entendis des bruits de chaînes. Je commençais légèrement à trembler. Les mains attachées, il les releva. Il les avait rattaché à une chaine et probablement à un anneau que je devinais au plafond. La corse était bien tendue. J’étais à la limite sur la pointe des pieds. Ensuite, il saisit ma cheville droite et m’enchaina. Il opéra cette opération avec l’autre cheville. Mes jambes étaient écartées. - Humm voilà… petite chienne. Il releva ma robe et me fessa avec fermeté. Je ne pouvais me soustraire. - Tu pourras crier autant que tu veux ici… personne ne t’entendra. Je te laisse maintenant méditer à ta condition petite insolente. Il partit. J’étais ainsi enchainée, privée de la vue, probablement dans une cave. Cette situation m’excitait au plus haut point. Cette sensation de ne pouvoir m’échapper, de lui obéir, d’être à sa merci. Il savait jouer à la perfection avec moi. A me rendre folle. Folle d’impatience, folle de désir, follement curieuse… Je perdais la notion du temps. Quand j’entendis à nouveau le son de ses pas, j’étais assez engourdie, calme et obéissante. Il s’approcha de moi. Encore un long silence Il prit à nouveau mon menton entre ses doigts bien ferme. Il m’immobilisa bien à tel point que j’imaginais parfaitement son regard à travers mon masque. Ce regard profond, pénétrant qui a fait que je l’avais choisi pour prendre possession de mon être. - Je t’ai préparé quelques affaires à porter. Je vais te laisser le temps pour te préparer. Sache que je vérifierai que tu sois bien habillée. Tu t’attacheras les cheveux avec une queue de cheval. Tu comprendras rapidement ton rôle durant ce week end. Hoche de la tête pour me dire que tu comprends. J’hochais de la tête. Il me détacha en premier les jambes. Puis les bras. Il n’avait aucun geste d’affection à mon égard pour me soulager. J’attendais cela. Il me punissait de ma petite insolence. Mais après tout, je le cherchais aussi.. Me faire punir, souffrir et avoir du plaisir. Sans ménagement il m’ota le masque qu’il avait bien serré. Ma vue avait du mal à se faire à la lumière. J’étais dans une cave aménagée. De la pierre au mur, c’était très brut. Le sol était également en pierre. La pièce devait faire 20m2. Il y avait quelques anneaux disposés, laissant devinés de nombreux jeux interdits. Cette pièce disposait d’un lit avec des barreaux. Un miroir ainsi qu’une vasque et un pot.. Je devinais alors que c’était un pot de nuit. Je commençais à deviner son envie de ce week end. C’est là que j’aperçus mon sac avec mes affaires, puis sur le lit, je vis une tenue. Elle était noire et blanche. Des vêtements de soubrette. Ainsi j’allais être sa servante durant le week-end. Je commençais à perdre la notion du temps je ne savais même pas quelle heure il pouvait être. Et après tout était-ce le plus important. Dans ces moments là, on a envie que cela dure et pourtant c’est là que le temps passe si vite. Il revint. Il était là face à moi. J’avais baissé naturellement mes yeux. - Bien. Petite soubrette. Je vois que tu as bien suivi mes instructions. Leve moi cette jupe. Je levais ma jupe, qui était particulièrement courte. Ce genre de jupe où si vous vous baissez, on voit tout. Elle était légèrement bouffante. - Parfait. Je ne veux aucune culotte. Tu seras à mes ordres, cela va de soi. Interdiction de parler sauf si je te l’autorise. Si tu as besoin de me dire quelque chose, tu t’agenouilleras à mes pieds. Suis-je clair ? Hoche de la tête. J’hochais de la tête. - Maintenant tourne-toi. Il me mit un gag-ball. Il était certain que je n’allais pas parlé.. j’avais envie de sourire. Pourquoi me dire ne pas dire un mot si c’est pour ensuite me baillonnée. J’étais effrontée dans ma tête. - Comme toute bonne petite servante, je vais te mettre tes attributs. Vu que tu as des problèmes avec la compréhension de mes ordres, à prendre souvent quelques libertés, je vais t’aider. Il mis alors autours de mon cou un collier en acier. Le contact froid me surpris. Il le ferma avec un cadenas. Sauf que de chaque coté du collier, il y avait deux barres auxquelles étaient attachés des bracelets aussi en acier. Il pris sans ménagement mon poignet droit et le mis dans le bracelet.. Il le referma avec un cadenas également, de même pour l’autre poignet. Il me retourna. Je croisais son regard complètement satisfait. Il mit devant mes yeux les clés des cadenas afin que je les regarde bien. Puis il les imbriquas dans un anneaux qu’il fixa ensuite à son pantalon. - Voilà, tu es parfaite, sale petite chienne insolente. Maintenant on va monter et je vais t’expliquer tes taches. Je montais alors les escaliers en me mettant sur le coté. Je n’étais pas à l’aise. Je n’étais pas fière, mais je ne voulais pas lui laisser ce plaisir. - Voilà. Tu trouveras de quoi faire les poussières. Mes yeux s’écarquillaient ! Mais il rêvait ! - Aucune objection. Active toi allez. Je me demandais comment avec ces bras coincés comment j’allais opérer. IL s’était installé sur la table en bois. La pièce était sublime je devais le reconnaitre. Un âtre ouvert sublime, un canapé chesterfield vert anglais. La pièce avait une réelle âme avec des poutres apparentes. J’aimais ce mobilier qui avait une âme. Je me pris le plumeau et je commençais à faire les poussières. Il s’était assis sur la table avec son ordinateur. Je l’imaginais à travailler sur un de ces dossiers professionnels. Je savais qu’il me regardait mais il ne voulait pas que je le regarde faire. J’avais une très forte envie de faire pipi. Quelle nouille. J’aurai dû y aller bien avant quand j’avais la possibilité. C’est alors que j’essayais de trouver les toilettes. - Revenez ici. Qui vous a autorisé à sortir de la pièce. Servante. C’est alors que je m’avançais vers lui, le regard fautif avec cet air faussement innocente. Espérant échappée à sa sévérité. C’est alors que je me mise à genou avec grande peine, tête baissée. Il me releva alors la tête et me libéra du gag-ball. - De voulez-vous. - Je.. (je n’avais pas envie de lui dire que je voulais aller aux toilettes, mais je n’avais pas le choix). J’ai besoin d’aller aux toilettes Monsieur. - Très bien. Je comprends que ma servante a besoin de soulager des besoins naturels. Je t’accompagne à ta chambre. On descendait les escaliers. Il baissa alors ma culotte jusqu’à mes chevilles. - Allez, va pisser petite chienne. J’avais les yeux râleurs. Il me regardait marcher avec difficulté la culotte au niveau des chevilles. Il s’était retourné, mais il aimait tout contrôlé. Une fois soulagée, il revint vers moi. - Cambre toi et écarte tes jambes. Il prit un gant de toilettes qu’il trempa dans une bassine d’eau qui était posé sur un petit meuble. Puis il me nettoya la chatte. Il frottait bien. Puis il prit la serviette et me secha bien l’entrejambe - Je veux que tu sois propre. D’ailleurs tu peux laisser ta culotte ici. Je te veux à ma disposition à n’importe quel moment. Je vais ôter le gag-ball. A la moindre insolence de ta part, je te descends et je te laisse ici. Compris ? Je savais qu’il ne plaisantait aucunement. Je hochais la tête à l’affirmative. - EN tout cas je vois que tu as bien compris le mot disposition. Tu es déjà bien trempée, petite trainée. Que pouvais-je ? oui j’étais sa petite trainée, à l’affut de chacun de ses supplices. - Allez va monte et va me préparer un café. Nous remontions ensemble. Il me montra la cuisine. Je m’appliquais à ma tâche. IL avait tant pris soin de m’organiser tout cela que j’allais laissée ce coté brat de coté. J’aimais ces instants où je suis sa chienne. Celle où je peux me libérer totalement. Il est là pour mon bien, pour son bien. Pour notre bien. Avez-vous déjà tenté€) de faire un café en ayant quelques contraintes ? je vous l’assure c’est comme de la contorsion, demandant ingéniosité et aussi à essayer de faire les choses avec une élégance certaine pour ne pas paraître ridicule. Je revenais dans la salle à manger. Je m’abaissais afin de poser sur la table la tasse de café, et de l’autre main le sucre. - Sers moi le sucre et touille. J’obtempérais. J’essayais d’y mettre une certaine grâce, mais cela était bien compliqué. Il était penché sur un tableau excel mais au fond de moi je savais qu’il n’en ratait pas une seule miette. - Agenouille toi à coté de moi maintenant. Je te veux proche. De temps à autre, il me jetta un œil et me caressait les cheveux. - Douce petite chienne bien docile. Regarde toi. Tu n’attends qu’une chose que je te remarque. Que je te regarde. Quand il me tendit sa main, je n’ai pas pu m’empecher de la lécher, de l’embrasser. Je le remerciais. Je voulais qu’il soit fière de ma dévotion. J’avais totalement lâcher prise. Mon regard avait tellement faim de lui. Il me caressa encore. - Quel regard de putain. Faut apprendre à se tenir. Mais je suis heureux de voir que tu as cette bonne attitude. Je vais te libérer. Tu vas monter sur cette table. Tu vas ensuite mettre ton fessier fasse à moi. Je veux qu’avec tes mains tu me présentes tes orifices. Et tu ne bougeras pas. C’est alors que je m’exécutais. Mes bras étaient heureux de retrouver leur liberté. Je m’installais alors comme Monsieur me l’avait demandé. J’étais outrageusement obscène. Habillée ainsi en soubrette, le cul bien relevé. Mes mains écartant mes fesses. J’exposai ainsi au regarde de Monsieur ma vulve ainsi que mon fion. - Parfait petite soubrette. Tu es un magnifique centre de table ! A me demander si je ne vais pas te recycler comme tel ! Ecarte moi mieux ces fesses ! Tu es magnifique ainsi. Attendant patiemment d’être fouerée par tous ces trous. Je t’autorise à le dire.. - Oui, Monsieur, j’aime exposer ainsi mes attributs. La petite soubrette qui se présente devant vous, n’attends qu’être à votre disposition et à être utilisée comme il se doit. - Ah oui ? continue. - Je souhaite que Monsieur me fasse subir ce que je mérite pour parfaire mon éducation. J’ai envie d’être baisée, sodomisée, fouillée, fessée.. ou tout autre chose que Monsieur juge important à faire. - Oui en effet, seul moi décide de comment je vais disposer de tes trous de salope, ou de ton corps. Oh mais que vois-je ? Ta chatte est bien luisante dis moi.. Il y passa un doigt. - Tourne toi. Avec langueur, je me tournais vers lui. Il me tendait son doigt. - Lèche. Je sortais alors ma langue afin de goûter à ma excitation. - J’ai dit.. LECHE.. pas SUCE. Je léchais alors son doigts, ou plutôt je lappais comme une chienne en chaleur. Il me rendait complètement folle. A ce moment là j’étais totalement chienne. Il s’était levé. Il avait poussé son ordinateur. - Sur le dos ! Une fois sur le dos, il me poussa afin que ma tête soit dans le vide. Il défit son pantalon. - Sors ta langue. Une bonne soubrette est faite pour nettoyer. Alors tu vas lécher. Ma tête était relativement basse dans le vide. Ma langue était sortie. C’est alors qu’il se retourna puis mis ma tête entre ses jambes. J’allais presque me sentir étouffer par ses couilles. Heureusement il était grand. Il me tira par les cheveux pour m’obliger à encore plus m’étouffer. - Ouvre tes yeux et regarde moi. Je veux voir ma chienne s’étouffer avec ma queue et mes couilles. Il utilisait ma bouche comme une serpillère pour nettoyer les sols. Je rafolais de la lécher ainsi. J’aimais quand il rajoutait cette violence animale qui faisait que j’étais complètement folle. Il tenait bien ma tête et faisait ses mouvemens de va et vient comme si j’étais une poupée gonflable. Quand il forca le passage de ma bouche pour enfoncer son gland, il reserra alors ses cuisses. - Quelle bonne petite suceuse. J’osais imaginer le tableau loin de l’image de princesse que je peux avoir. Celle où j’étais presque étouffée par une queue et des couilles. Il me tenait alors par la gorge pour faire passer.. la pilulle. La gorge profonde dont il m’assaillait me faisait baver de partout. D’un coup sec, il s’arrêta, se retourna et me retourna. Il me saisit par le haut de mes cuisses. IL inserra brutalement quelques doigts dans ma chatte. - Déjà bien ouverte, petite salope. D’un coup de rien il me pénétra. Tout en me culbitant, il me serrait le cou.. J’adorais ça, cela me rendait folle de lui appartenir. Parfois il me giflait… Je ne culpabilisais pas d’être sa chienne lubrique. Il avait sauvagement défait mon chemisier. Il avait sorti mon sein droit qu’il tenait très fermement. Je prenais de partout. Ma chatte prise d’assaut, j’étais giflée, parfois il me pénétrait aussi de quelques doigts dans ma bouche. Dans sa frénésie il me baillonait de sa main. Puis il me susurrait à l’oreille. - Petite pute. Tu mérites d’être prise ainsi. Dépravée, baisée.. tu as besoin de tout cela. - Oui,..Monsieur Il me gifla. - Ta gueule putain ! De plus belle il me besognait. Sur un dernier rale, il se retira sans avoir joui. - Suffit maintenant. Mets de l’ordre. Je ne veux plus te voir descends dans ta chambre. Je viendrais te voir plus tard. Je te veux nue ! Je n’avais envie que d’une chose, que cela continue. J’étais encore plus excitée à ce qui allait se passer. Je redescendais alors dans cette chambre qu’il m’avait attrituée. Une fois la porte passée, c’est là que j’entendais qu’il m’avait enfermée à clef. J’étais totalement impatiente. Le temps encore filait. La faim commençait aussi à me gagner. J’avais fait ma toilette et comme il me l’avait demandé, je m’étais mise nue. Heureusement que sur le lit il y avait de douces couvertures et douces fourrures (je précise.. fausses). Quand il revint, je m’étais endormie sur le lit. Il me réveilla en ayant mis sa main sur ma bouche. - Un véritable ange quand tu dors. Puis il se mit sur moi en tenant fermemant mes poignets au dessus de ma tête. Puis, il me mit des bracelets en cuir et m’attacher bras écartés au lit et fit de même pour mes chevilles. Il s’assit sur moi à hauteur de poitrine. Il aimait me regarder ainsi quand il me baisait par la bouche. Il aimait engouffrer profondément son sexe dans ma bouche, à tester les limites - Je vois que la petite chienne se réveille. Honore moi encore avec ta langue et ta bouche. C’est là qu’il resta dans ma bouche, sans bouger. IL tapottait mes joues. - Brave pute. Puis il me pinça le nez. Je ne pouvais plus respirer, presque étoufée à nouveau par son gland. Il avait la maitrise, je ne pouvais rien faire. J’avais de la bave partout. - Maintenant que tu en as bien partout, sors bien ta langue. C’est là qu’il s’assit directement sur ma bouche m’offrant alors son anus à lécher. - Quelle bonne petite bouche nettoyeuse. J’étais son objet. Il pouvait faire ce qu’il voulait. J’adorais cela. J’étais comme possédée dans ce moment là. Au bout d’un moment il se releva puis partit à l’assaut de mes autres petits trous. Il mis alors sur mes cuisses des attaches pour les relier à mes chevilles ou mes poignets. Il aimait me contraindre et après tout j’adorais cela. IL me détacha les chevilles du lit pour les rattacher à mes cuisses. Mes jambes étaient alors pliées montrant bien mes deux trous à mon maître. C’est alors qu’il me gifla le con. A plusieurs reprise. Je lâchais alors plusieurs cris. Il mis sa main sur ma bouche et introduisa sa ménagement Trois doigts dans mon petit trous. Il s’amusa a les regarder aller et venir comme pour les sortir par ma chatte. - Plus ? - Je disais oui du regard. Je prenais ce regard qui disait non.. mais oui quand même ????. Il tournait savamment ses doigts pour élargir au mieux mon fion. Il introduisait un quatrième doigts. Mon trou n’était pas encore assez travaillé comme il le désirait. - Hum, regarde.. quatre doigts dans le cul de ma putain.. Il y allait avec douceur, il jouait, il tournait sa main. Il y mettait une dévotion particulière à m’élargir. Il regardait la réaction de mon fion quand il sortait ses doigts. A regarder la trace de son passage. A voir s’il se refermait ou s’il restait béant comme pour réclamer plus. C’est là que de l’autre mois, il introduisait aussi des doigts dans ma petite chausse. Il était maintenant à s’afférer à bien me remplir. - Quatre doigts dans le cul, deux dans la chatte.. C’est là qu’il força le passage de ma chatte avec un troisième doigt. - Comme tu en mets partout.. regarde le lit est plein de mouille de petite salope… Ainsi il me fouilla de ses doigts, jouant avec mes orifices. Tout glissait.. naturellement tellement j’étais trempée. Je sentais mon corps frémir surtout quand il caressait en plus mon clitoris. Je n’arrivais pas à résister que je jouis. - Petite salope. Jouir sans me le dire… Quelle égoïste tu es. D’un geste sec, il me détacha. Les chevilles des cuisses. Il serra mon bras et m’attacha à nouveau comme à mon arrivée les bras au dessus de la tête. Je vis alors le martinet.. Mes yeux grossissaient. Il me flagellait alors de haut en bas. Les cuisses, les fesses, le dos. Il avait tellement rehausser mes mains, que j’en étais sur la pointe des pieds. Je voulais me dédouaner de cette punition méritée. J’étais bien rouge. Rouge de honte. Il me baillonna de mon gag ball, me remit le bandeau et me laissa ainsi… Qu’allait il ensuite faire de moi….
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Par : le 30/04/20
Par avance, navrée pour les fautes. J'écris instantanément. J'aurai peut être besoin.. d'une correction. ************************************************************************************************************************** « Habille toi comme une petite écolière quand tu viens. Je te veux en chaussettes hautes, une petite jupe d’écolière et un chemisier. Mets des sous vêtement simples, de jeune fille. Tu t’attacheras les cheveux avec un joli nœud. Tu viendras avec un cartable, un cahier de note et tout ce qu’il te faudra pour prendre ta leçon du jour. Je t’attend pour 16h30. Soit à l’heure. A le lecture de son message, un sourire me prit. Je me demandais encore ce qu’il avait pu imaginer. Je regardais dans mon dressing ce qui ferait bien l’affaire pour sa demande précise. C’est là que je trouvais une paire de chaussettes hautes noires arrivant au genou, décorées sur l’une, d’une rose brodée. Je mis cette petite jupe de motif écossais en carreau Rouge, Noir et vert. Je pris un chemisier blanc des plus simple. Je pris alors en sous vêtement ce petit shorty noir et un soutien gorge adapté à mon chemisier blanc. Tout doucement, je me regardais dans le miroir. Soigneusement je mis peu de maquillage mais juste ce qu’il faut pour avoir un teint éclatant, le tout réhaussé d’un gloss à cette couleur légèrement rouge orangé.. Je redressais mes cheveux en une belle queue de cheval auquel j’ajoutais comme Monsieur me l’avait demandé un ruban rouge que j’ai détourné. Me voilà replonger dans ma jeunesse. Il ne me manquait plus que le nécessaire pour écrire ma leçon d’école. Arrivant chez Monsieur, je vérifiai ma tenue afin de lui plaire. Mon cœur battait à la chamade. Par jeu, j’avais sorti une de ces petites sucettes au goût pomme, pour me montrer un brin provocatrice comme il aime que je sois. Et puis, les adolescentes n’aiment-elles pas sucer.. des sucettes ? La porte s’ouvrit. Il était tout de suite dans son rôle de maitre d’école, sévère. Il était habillé avec élégance, un pantalon de toile bleu marine, une chemise blanc-perle, le tout réhaussé de belles bretelles. Il avait un goût parfait pour savoir se vêtir selon les circonstances. Je sentais l’odeur de son parfum m’envouter. Je me souviens la première fois que je l’avais rencontré. J’étais comme hypnotisée car cela lui collait à la peau… La nuit de l’homme. Sa voix était assurée, grave, d’une telle douceur même dans les jeux. Il me conduisait à son garage qu’il avait pris soin d’arranger. Il avait réussi à placer un tableau blanc, une table d’écolier et il avait placé un bureau en bois qui me faisait réellement penser à mes années de lycée à Châlons en Champagne, un ancien couvent.. avec ce vieux mobilier et le vieux parquet au sol. Bien sur on en était loin ici mais je devais reconnaître l’’art qu’il avait à mettre des scénarii en place. - Prenez place, Mademoiselle Lane. Tout en le regardant je profitais de sucer langoureusement ma sucette et de jouer avec comme une adolescente qui cherche à attirer l’attention de son professeur, je m’installais sur le banc de la table d’école. Et je sortais mes affaires de mon cartable. Il me regarda alors droit dans les yeux d’un regard sévère. - Veuillez immédiatement enlever cette sucette. Vous ai-je autorisé à venir en classe avec ? - Non, Monsieur, je l’avoue, dis-je avec une moue pleine de défiance. - Ah ainsi, vous voulez prendre mes dires par-dessus l’épaule, je vais donc vous donner une leçon bien éducative et inscructive. - Levez- vous et placer vos mains devant-vous, paume vers le haut. Il s’était muni de la règle que j’avais sortie de mon cartable. - Eh bien vue que la discipline ne soit pas votre fort, nous allons y remédier. Je vais vous donner trois coups sur chaque main. Je ne veux pas vous voir ôter vos mains, ni crier. - Je (baissant alors mon regard à la peur de subir cette première punition), je.. oui, Monsieur. Il se mit à ma hauteur et ôter de ma bouche cette sucette. Il plaça la badine sur ma main droite. Il tapotait tout doucement augmentant alors mon stress, ma respiration. Le premier coup s’abattu. C’était si.. vil de sa part. Mais ma fierté prenait le dessus comme lorsque j’étais jeune et que j’étais dans cette déviance, voulant dire.. même pas mal, mais je bouillais pour me retenir de ne pas crier en voulant même faire ce petit sourire en coin, le regarder dans les yeux. - Merci, Monsieur… avec un ton provocateur. Il fit alors de même à deux autres reprises. Il avait ce coté un peu sadique à frapper au même endroit. Au dernier coup, j’avais ravalé ma fierté. Je me pinçais les lèvres. Il faisait la même opération sur ma main gauche. J’étais calmée. - Donc où en étais-je ? me dit-il Vous avez été convoqué Mademoiselle Lane pour deux heures de colle. J’ai ici un carnet de notes à votre égard sur vos manquements qui semblent s’accumuler ces derniers temps. Vous comprenez bien que je ne peux pas tolérer tout cela est que vous allez être punie. Le comprenez-vous, Mademoiselle Lane ? Je souriais intérieurement car il avait réellement pris des notes sur les petites libertés que j’avais prises ces derniers jours avec les dates et les horaires ! Lisez- moi à haute voix cette page. Il me tendit alors son carnet de note. - Lundi 19h : non envoi de la photo de sa chatte trempée. - Mercredi 15h : Echange téléphonique - Oubli de m’appeler Monsieur à 3 reprises. - Jeudi 17h : avoue s’être caressée malgré mon interdiction. Je me disais qu’il n’avait rien relevé. Il est vrai que lundi, il m’avait mis dans un tel état d’excitation mais je n’avais pas forcément envie de lui envoyer ma photo de mon sexe brulant puisque je ne la jugeais pas présentable. Je n’étais pas encore aller chez l’esthécienne.. Mercredi, je devais être tête en l’air et guillerette. C’est probablement la raison pour laquelle il ne m’a pas corrigé.. Quand à Jeudi, c’est pas très sympa car j’ai avoué ma faute. Je n’en pouvais plus. La voix de la petite chienne que je suis a pris le dessus… mais j’avais avoué. C’est là que j’arrêtais la lecture. Je voulais m’expliquer et je commençais à lui répondre - Cher Monsieur, je suis navrée m.. - Vous ai-je donner le droit de répondre ? Taisez-vous maintenant. Vous allez me faire une lettre d’excuse pour votre mauvais comportement ! Vous avez 15 min. Je m’installais alors sur le banc. Je pris mon vieux stylo plume. Le silence s’était installé et était à la limite stressante. Il s’était assis sur sa chaise, à son bureau, face à moi. IL m’observait. Le regard inquisiteur. Le rouge me monta au joue. IL avait cette prestance, ce regard, cette voix.. toutes ces petites choses inexplicables qui sont si importantes. Vous le comprenez j’en suis certaine, surtout vous Mesdames. Je commençais alors ma lettre *********************************************************************************************************** Cher Monsieur, Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. Mademoiselle Lane ******************************************************************************************************************** - Avez-vous terminé, Mademoiselle Lane ? - Oui, Monsieur. - Parfait, me dit-il. Maintenant venez ici à mon bureau, avec votre lettre d’excuse avec une voix autoritaire. Je me levais et je me dirigeais vers lui. - Bien, maintenant que vous vous êtes penchée sur votre mauvaise attitude, vous allez vous allonger sur mes genoux. Maintenant ! Je m’installais sur ses genoux. Je sentais à travers mon bas entre son sexe. Toujours dans ce silence, il soulevait avec délicatesse ma petite jupe. Il caressa mes cuisses, puis les empoigna de manière plus ferme. Il remonta ma jupe sur mes fesses. - Quelle croupe chère Mademoiselle. D’une main ferme, il baissa ma culotte sur mes cuisses. - Maintenant Mademoiselle Lane, vous allez me lire votre lettre d’excuse, tout doucement pendant que je vous fesse. Vous allez me remercier pour chaque coup que je mettrai. - Je… Oui, Monsieur, j’ai saisi. Je prie alors ma lettre à deux mains et je commençais à lire ma lettre. - Cher Monsieur, Une première claque s’abaissa sur ma fesse droite. - Merci Monsieur. Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours Puis une autre… bien plus forte celle-ci qu’elle m’arracha un cri. - Merci Monsieur. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses Deux autres d’affilées s’abattirent au même endroit. Ma fesse droite commençait à chauffer. - Merci Monsieur. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo. Ma fesse gauche ne resta pas en reste quand il m’en mis une.. puis une.. puis encore une.. J’avais du mal à me concentrer à ma lecture, à ne rien laisser transparaître. Ma correction était bien méritée. Il avait une telle poigne.. - Merci… Monsieur, dis-je avec une voix troublée et douloureuse. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Il continua.. Mes fesses commençaient à me gratter. Je commençais à vouloir me défiler de cette punition. - Me.. hésitante.. Merci Monsieur. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur. Il me fessa pour cette dernière d’une telle force que je m’en souviendra je pense.. Un cri s’échappa. J’avais envie de me soustraire, de ne pas être sur ses genoux. Puis me voyant ainsi, il me laissa le temps de me ressaisir tout en caressant doucement mes fesses qui devaient être écarlates. - Merci.. merci Monsieur. - Continuez je vous prie Mademoiselle Lane. - Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Je sentis sa main se soulever à nouveau, et contre tout attente, au lieu de me fesser il malaxait mes fesses. Certes c’était douloureux, mais quelques part cela apaiser le brasier qu’il avait mis à mes fesses. - Je vous remercie Monsieur. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable. Il me remit une fessée. J’avais envie de pleurer cette fois. Faire tomber ma fierté. Lâcher prise. Merci.. Monsieur, en laissant perler les larmes de mes yeux. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous. C’est là qu’il me caressa d’une infinie douceur, pour me soulager. - Merci Monsieur pour l’attention que vous m’accordez. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon. - Vos excuses sont acceptées Mademoiselle Lane. J’espère que vous en avez tirez les conséquences. Asseyez vous devant moi, les jambes bien ecartées, les paumes posées vers le haut, sur vos cuisses. Je m’exécutais. Une fois assise à ses pieds devant lui, j’avais stoppé mon attitude insolente. Il m’avait bien remise à ma place. Mes yeux étaient naturellement baissés. Je n’osais plus croisé son regard. Honteuse petite chienne que j’étais. J’avais cedée à la facilité. Je sais que ce qu’il me demande c’est autant d’attention qu’il m’en donne. J’avais regretté de mettre caresser car au fond, il voulait me faire jouir avec encore plus de violence. Je comprenais qu’il ne voulait que mon bien. De sa main droite, il me releva le menton afin de me regarder et que je puisse plonger mon regard dans ses yeux bleus. Puis il secha mes larmes avec la pulpe de ses doigts. Naturellement je plaçais ma joue contre sa main si réconfortante. J’aimais ce moment de relâchement, cette parenthèse de douceur entre différents.. Mots.. maux. - Vous savez que j’accorde une importance au maintien chère Mademoiselle Lane. J’aime vous voir dans cette position d’attente à mes pieds. C’est là qu’il prit entre ces doigts ma bouche puis me gifla. Bonne petite chienne. Je vous interdis de me regarder ainsi. Je savais jouer de mon regard, je savais qu’il l’adorait. J’aimais quand il me punissait parce que je le regardais. En même temps j’adorais qu’il me traite ainsi. Lui seul savait, lui seul avait ce droit sur moi. Il me releva en me tenant par la queue de cheval. Il se tenait derrière moi. J’aimais sentir son souffle au creux de mon oreille, quand il me parlait doucement. Cela me rendait toute folle, à obéir. Ma tête était maintenant en arrière, il me disait comment j’étais sa petite putain, voulant me faire dire tout ce que je suis , tout ce que je mérite. Il saisit à travers mon chemisier mon sein droit. Avec force il me malaxa. - Tu es à moi. Rien qu’à moi petite catin. C’est là qu’il déboutonna un à un les boutons de mon chemisier tout en me maintenant fermement. - Regarde moi comment tu es, petite trainée. Tu n’attends que cela.. d’être comblée, prise, doigtée, fouillée, enculée, bourrée, labourée.. Mais comme tu es dégouillante. Mais doigts sont trempés de ta cyprine. Quelle chienne tu es ! D’un seul coup il me poussa vers son bureau. J’avais les deux mains dessus. D’un geste très viril, il souleva ma jupe et déchira ma culotte. C’était un moment si.. érotique, si bestial. Je gémissais de désir. Je lui résistais, ne voulant pas succomber, ne voulant pas céder si rapidement à cet état qu’il me provoquait. Mais peut on raisonner une chienne qui ne demande que cela ? non.. Il me retourna avec cette violence virile puis mis ma culotte trempée dans ma bouche. Puis il mis sa main sur ma gorge et la serra. Il me possédait avec cette force ; J’aimais sentir sa poigne sur ma gorge. Je me sentais encore plus lui appartenir. - Je ne veux même pas t’entendre ! Je vais te prendre et abuser de toi. Prendre mon plaisir. Tu vas être ma putain. Tu as osé te caresse sans mon autorisation. C’est là qu’il mis plusieurs doigts dans ma chatte. Elle était si trempée qu’elle aura pu engloutir bien plus que ces deux doigts qu’il avait mis… C’est alors qu’il en mis quatre.. A faire des va et vient si fort. A me stimuler. J’étais là.. Muselée par ma culotte, je sentais sa main sur mon cou. Je sentais son regard sur moi. Je me sentais toujours honteuse quand il faisait cela. Je ne pouvais plus rien contrôler. J’étais si fontaine. Il aimer me vider, m’épuiser… - Petite garce, regarde tout ce que tu fais jaillir… Des larmes de joies coulaient de mes joues. Je tremblais de désir, j’avais tant envie de l’honorer comme il m’honore. Je n’attendais qu’une chose, et vous devinez bien quoi… ? - Tu ne mérites pas ma queue ! Il me gifla un coup puis un autre.. Puis il me laissa là.. interdite, sans aucune force. - - Allez debout ! qu’elle est cette manière de se dandiner ? A coté de ta table. J’avançais à ma table avec cette démarche incertaine. Mon entrejambe lui aussi se dandinait à l’envie de sentir une queue y entrer.. ou tout autre chose. Il m’avait juste mis l’excitation à un tel point. Il s’avança vers moi et plaça un livre sur ma tête.. - Chère Mademoiselle Lane.. reprenons notre leçon.. de maintien. Ce livre ne doit pas tomber. Est-ce bien clair ? - Oui.. cher Monsieur. - Bien… Maintenant je vais m’occuper du maintien de vos seins. Il aimait jouer des corses. C’est là qu’il entreprit d’utiliser mon corps pour sa toile. Aucun mot ne sortait même si on se disait tout.. Ces moments là où tout est parlant dans le silence. Cette concentration qu’il mettait à faire chaque passage de corde, chaque nœud pour mettre en valeur mon corps. C’était une fierté d’avoir toute cette attention à mon égard. Il me fascinait. Mais avec ce livre sur la tête, je ne pouvais le regarder. Il m’en avait privé. Il avait particulièrement fait passé les cordes autours de mes seins, les maintenant fermement, les faisant ressortir. Il s’éloigna de quelques pas pour admirer son œuvre. Il faisait le tour de moi, m’effleurait.. La posture a tenir n’était pas aisé avec ce maudit livre. C’est là qu’il prit la paire de ciseaux de ma trousse et entrepris de couper.. couper la chemise, couper le soutien gorge.. - Voila je préfère… Je vois que vous avez su faire preuve de tenue. Je vous en félicite,dit -il en me regardant dans les yeux et en tenant dans chacune de ses mains mes tétons Il les tira pour les amener à lui. J’avais envie de pousser un tri mais je pensai à ce livre sur ma tête à ne pas faire tomber. - Ne bougez pas. Vous êtes très belle ainsi. Je vais vous ornementer. Il se dirigea vers le tiroir de son bureau. Je devinais ce qu’il sorta… - Vos seins, Mademoiselle Lane sont si magnifiques. Vos tétons si.. doux.. une invitation à s’en occuper. Je sentis le métal de la pince. Il avait choisit une pince qui s’adaptait. J’étais très sensible et il le savait. Mais je savais que j’allais devoir me surpasser. Malgré ce qu’on pense, cette douce douleur amène ensuite un tel plaisir, une libération, un lâcher prise comme lorsqu’on gravit cette montagne et qu’on a souffert mais on est si heureux après. Me voilà avec des pinces sur mes seins reliés par une chaine. Il tira la chaine à lui. Je ralais.. Puis il tira à nouveau. Le livre tomba. - Vilaine petite écolière incapable de se tenir. A genou sur votre table ! - Voyons l’état de ma petite chienne. Ah oui je vois que ça mouille toujours autant. C’est là qu’il passa entre mes lèvres quelque chose de rond et métallique. - Voila, je pense que cela va rentrer comme dans du beurre.. dans votre petit fion de salope innoncente. Je sentis mon petit anus céder sous la pression de cette boule. Cette dernière a été engloutit rapidement. Il me l’avait enfoncé avec force et sans réel ménagement. Il attacha le crochet anal à ma queue de cheval en laissant un léger mot pour préserver mon dos. Je me retrouvais ainsi tel une chienne cambrée à exposer ses attribus et en ayant la tête maintenu fièrement dressée. - Voilà ce qu’est avoir du maintien Mademoiselle Lane.. Un cul prêt à recevoir, des seins dressés et un port de tête altier. Une chienne muselée..Le cours de maintien débute si bien. Il ne vous manque que votre collier.. mais vous n’êtes pas digne aujourd’hui… Il était derrière moi à regarder mon sexe offert à sa vue. Il effleurait mes cuisses, mon entrejambe.. Je n’attendais moi qu’une chose..mais je ne pouvais bouger. Il prie chacune de mes lèvres entre ses doigts, les pinça, les écarta… Il m’inspectait. - Je vois que votre chatte est bien douce et lisse. Votre cyprine coule dessus c’est divin à regarder. Il plaça alors un gode rattacher à un manche dans ma chatte. - Ne pensez pas que je vais vous faire le plaisir de vous baiser avec. J’ai juste envie de vous voir remplie comme une bonne petite pute qui n’attend que ça. Il retira ensuite de ma bouche ma culotte. Il prie à nouveau un objet de son bureau… un baillon avec un anneau. Il me plaça afin que je garde la bouche bien ouverte, attendant d’être à la disposition de la queue de mon Maître. Puis pour terminer son œuvre, il mis une corde autours de mon cou qu’il fixa à un anneau. Ainsi j’étais à sa merci, à ne plus pouvoir rien faire si ce n’est.. attendre. Voilà, vous allez terminer votre colle ainsi.. Mademoiselle Lane. Je vous laisse méditer, petite chienne. C’est là que je sentis une frustration immense. La punition était à la hauteur de mes manquements.
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Par : le 29/04/20
Je rentrais complètement énervée. Dans ces moments là, je suis plutôt expéditive à vouloir m’isoler. Un rien peut me rendre comme une panthère, prête à sortir les crocs, à griffer. J’allais le rejoindre. Il m’avait ordonné de venir dans son antre. Vêtue d’une robe légère framboise laissant apparaître un décolleté léger qui arrivait sous mes genoux avec des petites sandales printanières, je toquais à sa porte. Sa maison était située à la campagne, une maison faîte de pierre décorée avec goût et des matières naturelles. J’aimais beaucoup me rendre dans cet espace où je pouvais me libérer de toute tension. C’est là qu’il ouvrit la porte. Habillé d’un Jean bleu foncé tenu par une ceinture marron clair et une boucle élégante, il portait une chemise légère qui le rendait tellement sexy. C’est là qu’en arrivant je manquais à tous mes devoirs. Je rentrais sans répondre à son bonjour, et en parlant de mon énervement. C’est là que d’un seul geste, il se rapprocha de moi, m’empoigna les cheveux et se mit derrière moi. - Tout doux… Respire… Je crois que tu en as oublié tes belles manières. C’est là que je voulais répondre pour m’expliquer. Il mis sa main sur ma bouche tout en mettant son bras autours de mon cou - A partir de maintenant, je vais t’apprendre à te contrôler, à gérer ta colère et surtout à ne pas jeter ta mauvaise humeur sur moi. Je t’interdis de me parler, sauf si je te l’autorise. Je vais te traiter comme une poupée, ma petite poupée, dévouée. Je vais devoir te punir comme une enfant. C’est tout ce que tu mérites. Suis-je clair ? Je hochais de la tête un oui avec une certaine crainte ce qui allait venir. IL savait tout de suite prendre les rennes. Au fond, il savait baisser mes tensions, me rassurer. - Enlève moi cette robe. C’est là qu’il me jeta au sol, le visage plaqué contre le parquet qu’il maintenait avec son pied. - Tu n’es qu’une bonne petite chienne. Tes mains dans le dos puis ne bouge pas. C’est là qu’il se mit sur mon dos. IL me mis un gag ball et le serra très fortement. - Voilà qui va être parfait. Ne pas t’entendre râler. - Puis il me mis des bracelets en cuir aux poignets, puis à mes chevilles. - Allez à quatre pattes, petite chienne. Je m’executais. J’étais ainsi les seins dénudés, avec une petite culotte fine. Il me botta les fesses avec son pied pour me faire avancer. - Allez marche un peu, je vais te remettre à la place qu’il se doit. Tu vas méditer à ton comportement. Allez avance vers là bas.. Le là bas était son bureau / boudoir où parfois il me recevait. Je savais que cette pièce était relativement petite, sans fenêtre où l’on trouvait un bureau avec un fauteuil voltaire, un canapé. Elle était relativement froide et rustique. Il alluma la lumière et sans ménagement, je découvris une couche au sol. - Allez sur ton tapis. Je me refusais à ce traitement. Je n’aimais pas cela. C’est là qu’il me traina par les cheveux. Il entreprit alors de m’encorder afin de m’immobiliser complètement. Quand il est dans cet état, j’aime le regarder. Il est comme posséder. Je ressens une certaine froideur malgré sa bienveillance. Je souris intérieurement. Il prit un malin plaisir à jouer des cordes pour que je sois à sa merci, toute offerte, de manière à être inconfortable pour me voir me mouvoir. Je devinais que cela le rendait fou, de me voir ainsi à sa merci. Le regardant droit dans les yeux, comme pour le supplier de me libérer. - Il te manque ton collier de chienne. Et ne me regarde pas. Tu baisses le regard sinon je vais être obligée de bien te corriger. Est-ce cela que tu veux ? Des coups de cravache ? hum.. non le martinet serait plus appropriées aux petites chiennes dévergondées. Une fois le collier mis, il prit la laisse qu’il serra court contre le radiateur. Puis il sorti en éteignant la lumière. J’étais ainsi dans le noir, offerte à ses moindres désirs, enchaînée. J’étais quelque part énervée de me retrouver ainsi alors que je voulais être contre lui et de l’autre je sentais l’excitation me gagner. Son imagination était toujours incroyable. Il savait me surprendre, il savait de quoi j’avais besoin. J’essayais de me détendre, de respirer calmement. Tout doucement, cet immobilisme me conduisit à ne plus penser à mon état de l’après midi, mais je n’avais qu’une envie, qu’il s’occupe de moi. J’entendais à travers la porte ses pas, je devinais dans quelle pièce il était. Il avait mis une musique de fond, une musique classique. Il était dans un contrôle incroyable, sachant ce qu’il fallait pour me détendre malgré tout. Je notais ce geste d’attention à mon égard. Je commençais à perdre la notion du temps. Je tremblais un peu de froid. La porte s’ouvrit, il alluma la lumière. J’étais aveuglé. Il me regardait en train de supplier en bouger de me défaire de cette place. Mais je sentais que ce n’était pas dans sa volonté.. IL avait le regard rude. Il se rapprocha puis caressa mes cuisses, remonta sur mes fesses. Il se saisit de ma culotte qu’il resserra dans sa main. Il s’amusa à jouer avec le tissu afin qu’il fasse comme une corde passant sur mes lèvres et mon petit anus. Je me dandinais.. - Humm.. je vois que tu ne peux pas te contrôler. Il faut que tu te déhanches. Il placa alors sa main sur mon entrejambe puis m’assena une claque dessus. Puis je senti un effleurement de ses doigts sur mes lèvres. Un filet de mouille s’en dégageait. IL enleva mon gag ball et introduisit ses doigts dans ma bouche. - Allez lèche moi ça… Je ne voudrais pas en mettre partout puis te faire nettoyer les sols. J’ai un petit cadeau pour toi… Regarde. Il sortit alors un plug d’une taille certaine. Mes yeux s’écarquillaient. - Ouvre ta bouche de petite putain. On va s’occuper que tu sois bonne de partout. J’ai une envie de faire de ton petit fion une chatte, un petit garage à bite. - Il tira mes cheveux en arrière pour me redresser et me mit le plug dans la bouche. - Allez lèche le comme si c’était ma bite. Tu es si douée pour ça. Montre moi ton talent. Je veux voir jusqu’où tu es capable de l’engloutir. Il était en train de m’humilier. Je hais quand il fait cela mais au fond, peut être une partie sombre mais cela me met dans un tel état. Etais ce au final une punition ? ou une récompense ?. Je suçais ce plug parfois avec difficulté. Le rythme qu’il donnait me laissait aucun répis, j’en bavais. - Voilà, je pense qu’il est parfaitement humide et préparé pour le mettre dans ton cul. Je te préviens, je ne rien entendre. Compris. - Oui Monsieur. Il me tira à nouveau par les cheveux.. - Je t’ai dit que je ne voulais pas t’entendre. Il remit mon gang ball. Il descendit ma culotte sur mes cuisses. Je me sentie ainsi humilée. J’étais ainsi face contre le sol, les fesses relevées avec cette culotte baissée et trempée. Victime de toute mon excitation. - Tu garderas toute la soirée ta culotte sur les cuisses. Puis je sentie le bout du plug qui commençait à s’engouffrait doucement dans mon anus. Il me demandait de pousser, de travailler à son ouverture. - Allez va-y petite pute. Tu vas y arriver. Je veux que tu sois bien ouverte. Ouverte à ce plug, à ma queue, à mes doigts ou à ma main.. On verra tout ce qui peut y passer. Suis- je clair ? Je hochais la tête avec un léger son timide. Malgré cette situation, j’était toute excitée. - Humm, voila.. tu es parée, ornée.. Je vais maintenant te laisser encore un peu méditer à ton comportement quand tu es arrivée. Je me devais te rappeler qui est ton Maître. Oh oui il était mon Maître, par là je voulais dire mon guide.. Il me connaissait, il me faisait sortir des sentiers battus, en pensant à moi, à lui. Je me sentais lui appartenir, j’avais une telle confiance. Je fermais les yeux en pensant à tout cela.. à ce qui allait aussi se passer. Je soupirais.. Le temps se faisait long. Je l’entendais. Je me sentais délaissée. Je commençais à m’exciter à vouloir bouger, me dégourdir. Quand il revint j’étais presque heureuse. J’étais à nouveau ébloui. Me voyant calme il me caressa la joue puis je sentie sa main ferme me maintenir par le cou. Il détacha ma laisse du radiateur, puis libéra mes mains et mes jambes. Il me tenait haut et court, à maintenir un petit étranglement très excitant. - Cambre toi. Je veux une chienne noble qui expose son cul. Il me faisait marcher à coté de lui, avec fermeté jusqu’à son salon. J’avais ma culotte à ne pas faire tomber davantage Il avait une table- fauteuil posé juste devant la cheminée. - Allez monte dit il en papotant dessus. Ma démarche de chienne était assurée et je montais dessus comme le ferait un chien. A quatre pattes, il appuya sur mon dos pour me faire cambrer. Il maintenant ma laisse courte pour bien me redresser, me dresser. Il se saisit alors de la cravache pour bien corriger ma posture. - Je vais te donner des coups de crache, 10. Tu vas les compter un à un.. et tu vas me remercie par .. Merci Monsieur. Je sentais la cravache parcourir mon corps, je ne savais pas où elle allait s’abattre. Il aimait m’effleurer avec, comme pour détourner mon attention. Le premier coup fut sur ma fesse droite.. et le second aussi et le troisième. IL se montrait particulièrement rude avec moi ce soir. Est-ce don j’avais besoin. Je voulais me dédouaner de la cravache. C’est là qu’il me réprimanda. - Je vois que cela ne semble pas suffisant à t’éduquer comme il se doit. Très bien. Il lâcha ma laisse. Il mit la cravache dans ma bouche puis se saisit du martinet. - Ma blanche neige va comprendre comment une belle pomme rougit… Aucune partie de mon corps n’était épargner. Il commença par mon dos, mes fesses puis mes seins. - Allez cambre toi, écarte bien tes jambes.. que je m’occupe de ton entrejambe de chienne. Là je commençais à trembler. Je n’aimais pas cela. J’avais peur. Je ne voulais pas. Mais ses coups de martinet se faisait de plus en plus fort. Je compris que je devais céder. Il me mit un seul coup sur ma chatte qui me faisait crier et tomber la cravache de ma bouche. Je m’attendais à ce qu’il soit rude mais au contraire, il me caressait doucement sur les parties sur lesquelles il avait adoré mettre des couleurs. J’aimais ce moment là, plein de douceur, où je devais quand même rester sur mes gardes, puisqu’il avait toujours le martinet en main. Alors que je m’attendais à recevoir d’autres coups, il me me redressa. Sors ta petite langue qui n’attend qu’une chose. Il enleva la boucle de sa ceinture. - Enlève là avec ta bouche, puis met là autours de ton cou. - Je veux que tu sortes ta langue de chienne. Je sais que tu la veux ma queue. TU n’as pas le droit de la toucher. Compris ? Il défit son jean et en sorta son membre. Il bandait. - Regarde ce que tu provoques.. Puis il plaça son sexe devant moi, ma langue étant dehors. Je ne voulais qu’une chose, l’honorer, le lecher, le sucer. - Renifle la. Il passa ensuite son sexe sur ma langue et ma bouche. Puis il entra son membre dans ma bouche. Il bloqua alors ma tête en l’amenant vers lui. J’étais là, sans l’incapacité de bouger, ma bouche empaler sur son gland. Il forçait le passa pour atteindre ma gorge à m’en faire baver comme une petite putain. - Regarde moi. Je le regardais droit dans les yeux. Il avait ce regard si intense. Je sentais que j’allais être la victime de son désir. C’est là qu’il saisit la ceinture et serra mon cou avec tout en me baisant la bouche. Je n’avais même pas le temps de comprendre ce qui se passait. J’étais à son service, l’esclave de son plaisir, l’esclave de mon plaisir. Ma bave dégoulinait sur le sol, sur sa queue, je peinais à respirer. - Garde ta putain de bouche bien ouverte ! Je ne veux pas sentir tes dents. Il me gifla. - Brave petite pute. Sa queue était toute dure, je sentais le gland au fond de ma gorge, puis contre ma joue. J’étais dans un tel état. J’adorais quand il m’utilisait comme cela. - T’es la bonne chienne à ton maître. Allez descend et nettoie moi cette bave que tu as mis partout. Je refusais cette tache qui me demandait. Il en était hors de question. - Ah tu rechignes à cette tache… Il me prie par le cou et m’obligea a mettre mon visage contre le sol mouillé. - Nettoie ! Je me refusais à nettoyer. C’est là qu’il prie la cravache.. - Nettoie ! J’aimais ne pas me laisser faire quand je ne voulais pas faire quelque chose. - Je ne le répéterais pas. Nettoie ou tu te souviendras de cette correction. Et crois moi, les coups de cravache de tout à l’heure ne seront rien comparer à ce qui t’attend. Je vais peut être m’amuser avec tes seins. Je sais que tu adores ça. Alors ? Je me refusais toujours. - Très bien, c’est ton choix. Mets toi à genou, les mains dans le dos. Je vois que tu as repris ton tempérament rebelle. Serais ce mes sévices qui te donnent le droit de me défier ? Je souris intérieurement. Mais je ne voulais pas que tout soit facile. - Tu sais très bien que je ne vais pas te soumettre par la force. Je pense que le plus simple, serait de t’abandonner à nouveau dans le bureau.. Est-ce ce que tu veux ? Il savait utiliser les mots justes.. Je m’executais.. je me mis sur les genoux, les jambes ecartées. - Mets des bras derrière la tête. Cela mettait en avant ma poitrine. Je savais ce qui m’attendait. Je devinais dans son regard que mes seins allaient être l’objet de son attention. Il se saisit de deux tires tétons. - Alors voyons voir ce qu’on peut tirer de tes mamelles de chienne. Il positionna le premier. Je sentais alors l’aspiration. C’était une première pour moi. J’étais relativement surprise par à la fois la douleur et le plaisir. Allez encore un peu. - Regarde comme tout est aspirer, penses tu qu’on puisse le mesurer ? - Tais toi, je ne veux pas de réponse. Il fit de même avec le second. J’avoue que je sentie l’inconfort. Il me laissa ainsi, à ma méditation au milieu de la pièce. IL était aller se servir un verre. Il s’était assis face à moi sur le canapé. Je commençais à avoir mal au genou. Mes bras commençaient à s’engourdir. Puis au bout d’un moment. - Alors tu es calmée ? Je fis un signe par l’affirmative. Il s’approcha et retira les tire tétons. Je sentis un soulagement mais qui fut de courte durée. Il se saisit de chacun de mes tétons et les serra fortement. Les tritura. Je le regardais droit dans les yeux. Ma fierté me poussa à refreiner le moindre bruit. Je ne voulais rien montrer, un peu comme une adolescente recevant une fessée pour mauvaise conduite et qui répond .. même pas mal. Voila, tes petits tétons bien dressés, à la différence de toi. Il me releva. Il passa son bras autours de mon cou, et le serra. Cette étreinte me permettait de sentir son souffle. J’aimais quand il me parlait avec murmure au creux de mon oreille - La soirée ne fait que commencer ma petite. Tu es ma fierté, sache-le. Il me caressait le visage, mes fesses. Je n’arrivais plus à me tenir. J’ondulais contre lui. J’aimais son odeur, la douceur de ses mains, sa fermeté aussi. Ce tout qui fait que je sais que quoi qu’il arrive, je suis incapable de lui résister. Toujours en me tenant ainsi, il mit sa main sur mon sexe et me caressa. - Que tu es trempée… je vais me délecter de toi. Regarde mes doigts remplis de ta mouille… Il lecha ensuite ses doigts. Hum ta mouille est exquise, divine. Un si bon nectar. Je veux te voir dégouillanante. C’est là qu’il me relacha, s’accroupit et commença à me fouiller la chatte. Je sentais ses doigts en prendre possession. Il voulait me rendre fontaine. Et il savait y faire. - Regarde moi quelle petite salope que tu fais. Tu ne sais pas te retenir hein ? regarde tout ce que tu as mis par terre… Tout est trempé. Dis moi ce que tu es ? - Je suis votre chienne, Monsieur. - Et que fais la chienne de Monsieur ? - Elle est à sa disposition, à son service, tout comme sa bouche, sa chatte et son cul qui ne demanda qu’à être utiliser. Monsieur. - C’est bien. On va continuer ton éducation anale. Je n’ai aucune envie d’honorer ta petite chatte avec ma queue. Tu ne le mérites pas. Remonte moi ta culotte ! et marche à quatre patte jusqu’à la table. Ensuite je veux que tu te cambres au dessus de la table du salon et que tu écartes tes fesses avec tes mains. Je remontais ainsi ma culotte et j’entrepris de marcher jusqu’à la table. J’avais la sensation que j’allais perdre le plug qu’il avait incéré dans mon petit fion, tellement j’étais trempée. Arrivée à la table, je me remettais debout. Je mis mes mains sur mes fesses avant de les écarter. Je sentis le tissu humide de ma culotte entre elles. - Ecarte moi bien tes jambes. Il s’approcha de moi puis me forca à mettre mon ventre contre la table. C’est là qu’il m’attacha les chevilles de part et d’autres aux pieds de la table. Ensuite il attache mes poignets ensemble et les attacha à l’avant. C’est là qu’il déchira ma culotte avec une telle force que j’en fus surprise. Il claqua ensuite mes fesses, les malaxa et s’amusa à les ouvrir et voir le plug qu’il avait placé. Il appuyait dessus, il passait aussi sa cuisse à hauteur de mon entrejambe. Je me sentais si chaude, prêt à être cueillie. Je n’opposais plus aucune résistance. - Je vais m’occuper de ton fion. Je vais l’élargir. Je vais enfoncer plusieurs doigts, je vais t’écarteler, de fouiller, te baiser peut être avec .. ou peut être avec ma main.. ou peut être avec ma queue. Je veux t’entendre dire que tu es une chienne en chaleur, que tu veux que je t’écartèle le fion pour qu’il soit aussi ouvert que ta chatte de putain. Il releva alors ma tête en tirant mes cheveux. Je sentais à nouveau son souffle. - Allez je t’écoute. - D’une voix, presque un murmure.. Monsieur, je veux être votre chienne que vous l’art de mettre en chaleur, je veux que vous m’écartelez mon fion afin qu’il soit ouvert comme ma chatte de putain. J’en serai honorée Monsieur. - Hum… tu es parfaite me murmurait il. IL jetta ensuite ma tête contre la table. Doucement, il sorta le plug de mon cul. Il regardait mon fion céder. Une fois enlevé, il regarda ce trou dans lequel il voulait se perdre. Il passa sa langue dessus puis commença a m’honorer avec sa bouche sur mon sexe également. Je me sentais complètement défaillir. Il introduisait savamment un premier doigt dans mon fion. - Oh c’est comme dans du beurre… Oh le second aussi… C’est là que de son autre main, il introduisit aussi deux autres doigts.. - Humm quatre doigts dans le cul de ma chienne. Il écartela alors mon fion. - Tu es encore bien étroite.. Il va falloir travailler tout ça. De là il me caressa tout doucement puis il commença à vouloir frayer un chemin avec sa main. J’étais effrayer. - Regarde comment tu te montres.. Montre moi comment tu as envie de ma main en toi, combien tu es faite pour ça. Je soupirais de désir, un fantasme, une envie, mais en suis-je capable ? Il commença par me fouiller, à tourner avec ses doigts jusqu’à en mettre 4… - On va voir si tu es capable de te faire baiser par mon poing, petite salope. - Mon dieu, quelle pute tu fais… Je me dandinais pour aller chercher ses doigts, à faire comme si on me baisait. La douleur était relativement saississante que je ne faisais plus la belle afin de trouver la bonne posture pour me faire baiser avec son poing. Il se faisait doux pour se frayer le passage. IL n’y arriva pas totalement, il ne força pas. IL ne voulait pas casser son petit jouet sexuel. - Regarde moi comme tu es trempée, ta mouille coule au sol. Supplie moi de te baiser maintenant. - Monsieur je vous en supplie, baisez- moi. Il retira alors la ceinture de mon cou et la passa sous mes hanches. Il me mit ensuite mon gag ball Il trempa sa queue avec ma mouille et me sodomisa sans ménagement. Il pris de part et d’autre la ceinture pour coller encore plus mes fesses et me prendre bien profondément comme une chienne le mérite. Je sentais son souffle saccadé, ses coups de queue me heurter. Il me baisa avec une telle violence. Des coups si forts, encore et encore. Il s’était déchainé. J’étais épuisé. Il jouit sur mes fesses. Il me laissa ainsi sa semence sur moi. J’étais les jambes écartées, attachées, muselée.. à subir les désirs de mon maitre. J’étais sa chienne, sa putain.. Il revint, me banda les yeux… J’étais épuisée.. Il vint tel un félin me murmurer à l’oreille - Ma douce panthère, je vais te détacher. C’est là qu’il me prit ensuite dans ses bras. Toujours les yeux bandés, il me fit marcher jusqu’à une pièce.. me demanda ensuite de lever ma jambe.. d’avancer.. IL m’avait préparé un bain. Je sentais la chaleur de ce bain me réchauffer. - Non, n’enlève pas le bandeau.. j’ai plein de surprises pour toi…
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Par : le 25/04/20
Ulrich, vit dans un canton reculé de la Suisse profonde où les femmes n'ont toujours pas le droit de vote. Pourquoi faire? La politique, elles y comprennent rien. Pour Ulrich, les femmes c'est à peine un peu plus que les vaches de son étable, mais vraiment à peine plus. Des fois Ulrich se demande même si ses vaches ne sont pas plus intelligentes que les femmes. Moins casse couilles c'est sûr. La seule femelle qu'aime Ulrich, c'est Maïke, la reine de son troupeau. Celle là, il la vendrait pas contre toutes les femmes du canton. Sa Maïke est vraiment la reine. Faut voir comme elle marche avant d'aller au combat. Elle gagne toujours. Un rival du hameau voisin lui a proposé ses deux filles, deux jolies vierges, en échange. Ulrich a répondu: - Mais qu'est ce que tu veux que j'en foute de tes filles. Tu veux me ruiner ou quoi? la femme d'Ulrich est une soumise totale, non seulement elle n'a pas le droit de vote, mais elle a en plus un devoir, c'est de la fermer. Ulrich aime manger sa soupe au calme. Sa femme se tient derrière lui et doit le servir en silence, debout, regard baissé. Non mais, c'est la moindre des politesses. Les femmes mangent après les hommes dans son canton, juste avant les chiens qui finissent les restes. Et le soir, elles doivent écarter et se laisser saillir. Ulrich a tous les droits sur sa femme, il l'a baise quand il veut et comme il veut. L'autre doit écarter s'ouvrir et se taire. Et quand Ulrich se libère, il beugle dans son patois. La jouissance de sa femme ? Pour Ulrich les femmes n'ont d'autre jouissance que de faire plaisir à leur propriétaire. On ne se marie pas à une femme, on en fait sa propriété. D'ailleurs Ulrich a marqué le cul de sa femme au fer rouge, comme ses vaches. Au moins elle sait où est sa place. Sa femme n'a pas de nom, ni même de petit nom. Il l'appelle "ma pisseuse". Elle ne doit jamais porter de culottes sous son épaisse longue jupe fleurie et brodée. La pisseuse d'Ulrich a de bonnes grosses mamelles bien laiteuses et un gros cul bien blanc. Il adore la trousser quand elle retourne les foins dans l'étable. Il lui a fabriqué une muselière en cuir épais avec un mors en bois. Il l'attache solidement par les mains à une traverse en bois, l'oblige à bien se cambrer. Une bonne pisseuse doit être bien fouettée avant l'amour. Cela lui détend les fesses et la chatte. Ce n'est qu'une fois qu'elle a le cul bien rouge qu'il faut la saillir d'un coup. Les pisseuses adorent se faire violer la chatte et le cul, dans une étable. C'est bien connu. Et Hercule, le gros taureau noir adore mater, pour voir comment Ulrich fait avec ses femelles. Cela doit lui donner des idées car il va aussitôt se taper lui aussi de belles vaches. C'est vrai que la pisseuse a un cul superbe, bien bombé et tonique. L'air frais des montagnes, l'eau de source, de bonne fessées bien méritées, de bonnes giclées de sperme. la pisseuse d'Ulrich respire la santé.
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Par : le 21/04/20
À mon arrivée, je demande à Madame Simone : — Kristos n’est pas là?? — On fait d’abord nos comptes. Elle pourrait me répondre?! Je lui dis : — Voici 1000 francs, Madame. Elle me regarde, surprise, puis elle s’approche de moi et... me renifle. Elle me dit : — Tu sens le clebs?! En rougissant bêtement, je réponds : — Oui, j’ai fait des photos avec son chien. Elle lève les yeux au ciel, mais empoche les 1 000 francs. en m’annonçant : — Ils sont tous dans la dernière villa, celle qui donne sur la plage. — Julien aussi, Madame?? — Sans doute. J’ai déjà dit « salope », non?? Je confirme. J’en ai marre d’elle et de sa putain de fille?! Le photographe m’a proposé de loger dans sa villa. Je serais bien là avec Julien et mon nouvel ami. Je me gratte?! Ça, c’est le seul défaut du chien jaune : il a des puces. Si j’allais loger là, il me faudrait un collier anti-puce. Je préfère imaginer ce genre de trucs, plutôt que penser à Kristos et Kriss en train de discuter. Hélas, je l’ai dans la peau... oui, aussi vite?! Je roule le long du chenal, qui clôt le village naturiste. De l’autre côté, ce sont les "textiles". Il y en a qui viennent en nageant. La dernière villa est beaucoup plus petite que celle du chien jaune. Sur la plage, juste devant la villa, quelqu'un a fait un feu, ce qui n’est certainement pas autorisé. Une douzaine de personnes sont assises autour du foyer. On dirait une bande de scouts... sauf qu’ils sont à poil, qu’ils boivent de la bière et que leur musique n’est pas un chant scout, mais Hôtel California. Kristos et Kriss dansent... Je me dirige vers eux. Dès qu’elle me voit, Kriss dit : — Tiens, Samia. Alors, on s’est fait des nouveaux amis?? — ... euh ... — Si tu te fais monter par un chien, tu vas attraper des puces. Ils rient tous les deux ! Merde, comment elle sait ça?? Sa mère a dû téléphoner à la villa?! Tout le monde me regarde, il y en a que ça amuse mais d’autres sont franchement dégoûtés. Je lui réponds : — C’est pas vrai ! Menteuse ! — Ton client a téléphoné à ma mère parce que tu as oublié ton collier. Il était ravi que tu aies posé avec son chien, ou plus exactement avec le chien en toi?! Ma mère a demandé quelques photos... On va faire ta pub dans les chenils?! Là, je pète un plomb, et mon poing lui arrive droit sur le nez et l’œil. Elle pousse un cri et me repousse avec tant de force que je m’étale sur le sable. Elle crie : — Maintenez-la par terre, sur le ventre?! Plusieurs garçons me retournent et me tiennent par les chevilles et les poignets. Je crie à mon tour : — Kristos, au secours, défends-moi?! Il répond calmement : — Tu ne dois pas frapper les gens, ça mérite une punition. Ils sont tous d’accord, j’entends « Cette fille est cinglée », « C’est une Rom?! », « Punis-la, Kriss ! » et enfin la voix de Kristos : — Tiens, prends ma sandale. Je suis couchée sur le ventre bras et jambes écartées maintenues par plusieurs garçons. Je crie : — Je vais porter plainte, vous ne pouvez pas me frapper ! Kriss répond : — Et toi, tu as le droit?de me frapper ? Tiens?! PAF?! Je reçois un méchant coup de sandale en cuir en travers des fesses. Ça fait un mal de... chien?! Je pousse un cri, et aussitôt, "PAF?!" elle me frappe à nouveau. Elle me donne une dizaine de coups de sandale. Je crie à chaque coup le visage plein de larmes. Quand elle s’arrête enfin, une fille lui dit : — À moi, s’il te plaît Kriss. Et quelques secondes plus tard : — Tiens?! PAF, c’est reparti. Je crie et je pleure dans le sable. Une autre prend sa place, je reçois des dizaines de coups de sandale depuis la pliure des genoux jusqu’en haut des fesses. Je finis par supplier, honteusement : — Pitiééé... aïe... Mademoiselle... aïe... Kriss... aïe?! Autour de moi, on rit et on encourage les filles qui me frappent. Enfin, ça s’arrête?! Mes fesses sont dans un volcan en éruption. Je reprends mon souffle et je me lève péniblement, tenant à peine sur mes jambes. Je ne pense qu’à une chose : foutre le camp?! Je dois passer par le jardin pour déguerpir. En passant, je ramasse une serviette éponge qui traîne par terre. Je la mets autour de la taille. Je me demande où est passé Julien, quand je le vois arriver sur son vélo. Il me demande : — Ça va, Samia ? Tu as pleuré ? — Tu étais où?? — Mademoiselle Kriss m’a envoyé faire des courses... — Va les lui donner et puis on rentre. Je piquerais volontiers ce qu’il a acheté mais je n’ai pas envie qu’ils viennent le récupérer au camping. Je ne veux plus jamais voir ces gens, de toute ma vie. Quand il revient, je vois à sa tête qu’on lui a dit ce qui s’était passé. Je lui demande : — Tu as vu Kriss?? — Oui... elle a le nez tout gonflé et un œil au beurre noir. Merci Sainte Sara... Je prends l’essuie et le plie en quatre. Julien qui voit mes fesses me dit : — Tu veux qu’on passe dans une pharmacie?? Je m’imagine montrant mes fesses à un pharmacien... Je lui réponds : — C’est pas tes affaires?! — Pardon, Samia. Faire du vélo avec un derrière incandescent, c’est pas le pied. J’aurais dû être plus subtile, me venger en douce. La frapper devant témoins, c’est stupide. Elle a beau jeu de dire « C’est elle qui m’a frappé en premier », comme dans une cour de récréation. Je ne vais pas mentir, il n’y a pas que mes fesses qui me font souffrir... Disons qu’une autre souffrance se situe derrière mon nichon gauche. On va dormir au camping. Julien a bien compris qu’il ne devait surtout pas me poser des questions. *** J’ai dormi sur le ventre et ce matin, je ne suis pas en pleine forme. J’espère que je n’ai pas cassé le nez de Kriss, étant donné que Madame Simone a des amis et des parents qui font partie du milieu marseillais. De plus, je ne veux à aucun prix revoir Kristos. Mes fesses gardent les traces de la semelle d’une de ses sandales... Celle qu'il a passée à Kriss?! Ce n’est pas que j’en ai marre du Cap d’Agde, je me sens bien ici, mais... pour le moment, on va redevenir des "textiles". On va se doucher et on s’habille pour de vrai. Je mets ma jolie robe rouge, des espadrilles compensées et même une culotte ! On va prendre le petit déjeuner. Julien se tait. Quoi qu’il dise, ça ne me plaira pas. Ensuite, on va à la réception pour payer l’emplacement. Le patron me dit : — Tu dois appeler ce numéro. C’est celui de Madame Simone. Autant savoir ce qu’elle prépare et puis, je ne vais pas me dégonfler. J’appelle, madame Simone répond. Je lui dis : — J’ai eu votre message. — Je suis contente que tu appelles, Samia. Ma fille est une garce. Le photographe d’hier ne va jamais donner tes photos à personne. D’ailleurs, je regrette d’en avoir parlé à ma fille. Viens travailler, Kriss s’excusera. — Sérieux?? — Oui. Il y a aussi deux garçons, vraiment pas mal, qui ont vu des photos de toi et qui te proposent 2 000 francs. Viens travailler. — J’ai des marques... c’est gênant. Elle se marre en répondant : — Je te mettrai du fond de teint sur les fesses. Je ris aussi... — D’accord, on sera là à 11 h. Ce n’est pas la première fessée que je reçois, on s’en remet. Par contre, mon amour propre a pris une raclée nettement plus douloureuse. Je sais que Madame Simone ne fait pas ça par altruisme, mais par intérêt et parce qu’elle a besoin d’une serveuse. Moi aussi, j’ai envie de cet argent. Bientôt, je pourrai faire du shopping à Cannes, dormir dans un bel hôtel et puis retrouver mes futurs beaux parents dans le Nord?! On sort, j’annonce à Julien : — On se déshabille. J’enlève ma robe et ma culotte avec grand plaisir. On remonte à vélo... Ça, c’est un mauvais moment à passer, mes fesses me font toujours franchement mal. Mais ce n’est pas grave. On arrive aux Flots Bleus. Je vois Kriss, qui a un joli cerne sous l’œil droit, mais, son nez est à peine gonflé. Dès qu’elle me voit, elle vient me dire : — Excuse-moi Samia, je n’aurais pas dû te dire ça. On oublie?? Elle me tend la main. Je la serre. De loin, Madame Simone apprécie : — C’est bien les filles. Kriss m’embrasse, ses seins écrasent les miens et elle me tient fermement contre elle par la taille en me disant assez bas pour que sa mère n’entende pas : — Je m’excuse pour faire plaisir à ma mère, mais j’ai beaucoup aimé frapper tes grosses fesses et entendre tes couinements. Sale garce?! On est les yeux dans les yeux et là... ça dérape. Je veux dire que mes hormones me font un croche-patte. Comme avec Kristos, il y a quelques jours... Kriss est tellement sûre d’elle et d’une telle désinvolture que... je baisse les yeux. Je reconnais qu’elle est la plus forte. D’ailleurs, quand elle me dit : — Tu vas m’obéir?? Je réponds : — Oui Mademoiselle. Mais vous ne me frapperez plus ? — Qui a commencé?? — Oui, pardon Mademoiselle. C’est moi qui m’excuse?! Saloperie d’hormones?! Madame Simone est un peu plus loin, mais elle a bien compris ce qui se passait. Elle soupire en levant les yeux au ciel. Kriss m’annonce : — Maintenant au travail. — Oui Mademoiselle Kriss. Mais... euh... Madame m’a dit qu’elle me mettrait du fond de teint sur les fesses pour cacher les marques. — Tu rêves?! Allez au travail. — Oui Mademoiselle. Je vous imagine : vous soupirez en levant les yeux au ciel, comme Madame Simone?! Tant pis, c’est plus fort que moi. Je rejoins Anaïs, on s’embrasse, puis on dresse les tables avec Julien. Je lui demande : — Tu sais ce qui s’est passé?? — Oui, tu as bien fait de lui casser la gueule à cette garce. A suivre.
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Par : le 16/04/20
-Quelle bande de cons ! C'est par les mots célèbres de Daladier lorsqu'il était applaudit à Paris, de retour de Munich, que Loïc fulmine, tous les soirs à 20 h, lorsqu'on applaudit les soignants des hôpitaux. -non mais quelle bande de cons ! C'est 15 000 morts de trop, 200 milliards de dettes en plus et ils applaudissent ! Ils viennent de se faire mettre profond et ils sont contents ! -calme toi, Loïc , dit Eva, sa sublime compagne. T'y changera rien. 99, 99% de la population sont fait pour se faire enculer et ils aiment cela. -T'as raison, je m’énerve pour rien et il va bien y avoir un con de voisin pour me dénoncer. -ceux qui se font enculer aiment bien parler, répond Eva en écartant légèrement les cuisses. Elle enlace Loïc. -Viens, baise moi au lieu de te rendre malade. Heureusement qu'on a ni la télé, ni internet, sans quoi... Et Loïc ne se fait pas prier. Il adore baiser Eva, 100%naturelle, jamais de produits chimiques sur la peau, aucun vaccin ni médicaments chimiques de merde. Une femme qui sent bon. Il la baise et la rebaise, là au moins il ne paie pas d'impôts à ce régime pourri infesté d'escrocs publics. -Tu sais quoi, on va se barrer, j'en peux plus. Faut qu'on se trouve une Haute Terre à nous. Pourquoi pas au Greenland ou au Vinland, le paradis des vikings. Eva toute pleine de bon sperme et dégoulinant de mouille et jouissance ne répond pas. Ah son Loïc. Heureusement qu'il l'a baise bien. C'est fou le nombre de ripoux qui ont voulu sa main, le nombre de notables qui voulaient se jeter à ses pieds. Non, elle a choisi ce timbré de Loïc. C'est vrai, il a une très grosse queue et il sait lui exploser les orgasmes. -Oui, le Vinland si tu veux. Pour l'instant, attaches moi, donne moi une bonne féssée, je suis pas sage et encule moi profond. Penses que tu te venges de ces escrocs qui nous dirigent. Et loïc n'a jamais su dire non à Eva. Diable qu'elle est bandante avec ce cul bombé qui s'offre.
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Par : le 15/04/20
tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin.... Sauf qu'Ahmed, n'a que cela en tête, se troncher la boulangère, avec ses gros nichons bien lourds au balcon, son cul énorme. Ahmed adore les grosses, et sa boulangère est trop belle pour lui, avec tous ses bijoux en or, ses longs cheveux blonds. Elle est à la caisse et fait marcher le tiroir ou les biftons s'entassent. Jamais un regard pour Ahmed et ses yeux amoureux. Un petit con de flic de quartier, avec une paye de sous of, bref, pas assez pour la boulangère. Une belle garce qui tue son mari à la tache. Le pauvre, toujours à marner aux fourneaux, il doit plus bander beaucoup, trop épuisé. Et voilà le covid 19 est arrivé et Ahmed a de suite compris que c'était sa chance. Il s'est posté devant la boulangerie et a sorti son carnet de contredanses. -une seule baguette de pain, c'est pas conforme madame. 135 euros pour ne pas respecter la règlementation. -Mais c'est ma seule sortie de la journée, j'aime le pain frais; -circulez ou je vous verbalise encore, et directement pour rentrer chez vous. La boulangère sort outrée. -Mais à ce rythme nous allons crever de misère pas du covid 19. -adressez vous à votre député, moi j'applique la loi. La boulangère et son mari sont brisés, ils ont peur du lendemain. les charges s’accumulent. La propagande dans les médias fait croire qu'ils vont être aidés. Que de l'intox. C'est le moment pour ceux qui ne prennent aucun risques de se mettre en chasse aux bonnes affaires. La belle boulangère a du ravaler sa morgue et venir sucer Ahmed, puis se faire sodomiser. Et finalement elle a aimé cela et compris que c'est Ahmed qui tenait le bâton. Elle est devenue sa poule et le mari cocu, croulant sous les dettes a du fermer les yeux de crainte de contrôles à répétition. Ahmed a même poussé le bouchon jusqu'au ménage à trois. Il saute la boulangère chez elle où il a pris ses quartiers. Le mari a du se contenter d'une chambre de bonne sous l'escalier. Sa femme lui donne la fessée s'il ne bosse pas assez pour bien l'entretenir. Et finalement la boulangère prend son pied. Ne cherchez pas la morale de l'histoire, il n'y en a aucune, comme bien souvent.
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Par : le 15/04/20
Putains de féministes de merde, c'est ce que pense Jacob, mais en fait il devrait dire merci. Grâce à ces connes, il se tape les plus belles femmes du coin. L'a vite compris le Jacob, un fut fut, que les femelles étaient devenues en gros manque de bonne baise avec leur manie à vouloir castrer les hommes, à les saigner et les laisser exsangues. Alors il en a fait son job. Enculeur de femelles en manque et il a un succès fou. Mais chut...il n'a pas trop besoin de pub. Il a posé un vieux camping-car bien retapé, tout confort, très clean à l'intérieur, sur un bout de rue très calme, sous de grands arbres, il a sorti sa table pliante, son pastis bien frais, sa chaise, ses glaçons et il a attendu qu'elles se pointent. C'est curieux les femelles. Il n'a pas attendu longtemps. Elles sont venues avec petit toutou en laisse, mine de rien, histoire de le promener et de regarder ailleurs. Jacob leur a juste fait un sourire bien canaille et elles sont venues causer. Et Jacob les a toutes enculées dans son camping car tout mignon à l'intérieur. Jamais de préliminaires, de bonnes saillies à sec, bien profond dans les reins, pour leur donner les frissons du viol. Quelques bonnes tapes sur le cul pour faire circuler le sang, elles adorent. Avec Jacob, l'orgasme est garanti. Pas contre, pas de chichis, de blas blas. Jacob n'embrasse pas, ne se fait pas sucer, ne pistonne pas les minous. Non, lui c'est fessée érotique et sodomie et qu'avec des femelles. Et ilse lave au savon de marseille avant et après. Par contre il n'utilise pas de préservatif. Il donne généreusement son sperme aux femelles qui en ont bien besoin par ces temps de pénuries. Cela doit leur faire beaucoup de bien car ce sont des fidèles. Devant son succès, il s'est déclaré autoentrepreneur en soins ambulants aux personnes fragiles, tout un programme. C'est vrai que les femelles, surtout les féministes, sont bien fragiles de la tête. Avant Jacob, les meufs en manque devaient partir se faire troncher en Afrique. A présent les devises restent dans le pays d'origine. Les femelles doivent payer mais le tarif est libre. Il a mit une boite en fer avec une fente dessus pour glisser les biftons. D'après Jacob ce n'est pas de la prostitution de la sorte puisqu'il ne reçoit pas d'argent de la main à la main. Les femelles sont généreuses avec ceux qui les baisent bien, c'est pas un souci. De toute façon, Jacob vire les pingres en tout. Des maris cocus l'ont bien dénoncé aux flics, mais comme la commissaire et la juge se font troncher par Jacob régulièrement, ce sont les cocus qui ont été emmerdés. Encore des crétins qui n'ont pas compris que ce sont les femmes qui ont les droits. Dans la vie courante, ce sont les hommes qui se font mettre profond par les femmes. On comprend mieux les envies secrètes de ces dernières.
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Par : le 05/04/20
À la meurtrière de l escalier de la tour un visage mélancolique apparaît. Damoiselle Blanche enserre les barreaux de ses fines mains. Son derrière rougi et marqué des coups de fouet lui fait encore mal. La dernière leçon à été sévère. Dame Gertrude n'a guerre de pitié pour la jeune chatelaine. Dame Blanche revoit son sourire heureux de la voir souffrir. Elle n'a personne à qui se confier. Comment avouer à son confesseur le plaisir qu'elle ressent à chaque fois que sa croupe est fessée ou fouettée? À qui décrire ce frisson qui parcourt son corps? Qui pourrait comprendre ce plaisir qu'elle ressent à chaque fois qu'elle se retrouve à quatre pattes, nue, ses jeunes seins fermes pointant vers le bas, sa croupe tendue, ses cuisses écartées, la tête baissée vers les pieds de Dame Gertrude, l'ourlet de la robe de sa suivante dans la bouche, telle une jeune chienne obeissante? Qui pourrait comprendre ce plaisir qu'elle ressent s'il n'a pas été vécu? Ce n'est pas humiliation pour elle, elle est fière de s'offrir ainsi. Elle sait que c'est pour plaire à son Duc, celui qui l'épousera et permettra à son père d'enfin accéder à son premier cercle. Ce n'est point sacrifier ses jeunes années, c'est si bon de lâcher prise entièrement. Qui pourrait comprendre que son cerveau enfin la laisse en paix et que son corps exhulte lorsqu'elle devient chienne? Dame Gertrude a été exigeante . Elle est entrée dans la chambre d'un pas vif . Je lisais assise à la fenêtre. " Déshabille-toi! Seule! " Je posai mon livre sur le banc, et d'un seul mouvement m'agenouillai en baissant la tête. Je défis fébrilement les lacets qui retenaient mon corsage. Enfin libres, mes seins jaillirent du corset. Je fis glisser les bretelles de ma chemise le long des bras. En très peu de temps, entourée de ma robe à terre ,je posai mes mains au sol ,fis un pas de côté , retenant d'un pied mon sous vêtement, je me retrouvai nue. Un frisson de plaisir anticipé parcourut mon corps et un gémissement s'échappa de mes lèvres, vite interrompu par une claque sonore sur mes fesses. " Lève donc un peu la tête petite chienne! " et d'une main rapide Dame Gertrude attrapa ma brune tignasse ,la tira vers le sommet de mon crâne et prestement entortillée la fixa de quelques épingles sorties de sa manche. Puis elle caressa tendrement ma joue. Ce doux contact irradia tout mon corps de plaisir. "Assis! Pas bouger! Je reviens! " et je l'entendis s'éloigner, ses pas claquant sur le parquet. Je restai sans bouger, je sentis les fourmis parcourir mes jambes. Dans un état second ma chatte tentait de se refermer, mes lèvres voulaient se rejoindre, mais non,les cuisses ainsi écartées, ce n'était pas possible! Je n'osais les refermer de crainte de désobéir. De plus en plus ankylosee, mes bras fléchirent et je me tapis sur le sol en fermant les yeux. Une douce somnolence m'envahit . Le dos à la porte, celui qui entrerait verrait toute mon intimité offerte. Cette pensée m'excita et je sentis ma grotte s'humidifier et de petites contractions faire bouger ma vulve. Je ne sais combien de temps j'attendis mais je finis par entendre le pas de Dame Gertrude dans le couloir. Elle n'était pas seule,mon père venait assister à ma séance de dressage. La porte se referma et Dame Gertrude se retrouva devant moi. Je rougis de penser que celui que je prenais pour mon père me voyait ainsi avilie. Je sentis qu'on me tirait les cheveux pour me redresser." Tu vas être punie de t'être ainsi avachie sur le sol! Tiens toi bien sale bête! " Ces mots me firent le même effet qu'une claque. Je me redressai rapidement malgré les fourmis dans mes membres, redressai la tête, les yeux baissés et retins un gémissement de douleur. Puis le fouet claqua sur ma croupe et mon corps se cambra. "À genoux, une main sur la tête, et de l'autre tripote toi, tu es autorisée à t exciter petite chienne! " À ces mots je me redressais, la main gauche sur la tête ,la droite se précipita vers mon sexe et mon majeur se mit à jouer avec ce petit bout de chair extérieur si sensible. Je ne connais pas le nom et l'ai appelé pour moi seule didi. Il me procure un grand plaisir quand je le touche ou qu'il est écrasé sur la selle de mon poney Roméo. Je n'ose en parler car je crains d'être punie. "Compte et dis je ne suis qu'une chienne à chaque nombre! " Je m'empresse d'obéir et d'une petite voix murmure : " Un, je ne suis qu'une chienne " Mon majeur s'agite, malgré la honte ressentie le plaisir est grand. Un deuxième coup claque sur mes fesses . " Plus fort la chienne! Je n'entends pas! " Alors je tente d'obéir " Deux! Je ne suis qu'une chienne! " Je perds l'équilibre et heurte le sol de mon front. " Ah tu préfère ainsi, très bien, reste à terre , mais je veux t'entendre mieux. " Dans un sourire je crie " Merci Dame Gertrude" Le fouet claque de nouveau, mon corps se tortille sous la violence et je crie " Trois! Je ne suis qu'une chienne! ." Je reprends mon souffle ,parfaitement immobile à l'exception de mon majeur. Puis je sens une main sur ma tête qui me caresse :"Encore un peu petite chienne. " Et le fouet claque encore. Je crie :" Quatre! JE ne suis QU'UNE CHIENNE! , Pitié, Pitié. ..." Une main caresse mon dos doucement, le fouet frôle mon visage, des larmes mouillent mes yeux, de la morve sort de mon nez et suit les lignes de ma bouche jusqu'au menton. La main masse mes fesses endolories, un doigt s'introduit dans ma fente humide. Mon corps exhulte de jouissance. Je me sens animale, si bien, je suis dans l'instant et oublie presque la douleur tant le plaisir est grand. Il irradie de mon sexe vers mon dos et mon ventre. Il remonte le long de ma colonne vertébrale. Il tourne dans mon bassin tel un serpent qui va bondir. Mes lèvres s'étirent en un sourire ravi. Puis une claque sur mes fesses interrompt ce moment d'hébétude et je reviens brutalement sur terre. Je pleure de frustration. " continue de compter ! " Et le fouet claque de nouveau " Cinq! Je ne suis qu'une chienne! " et cela continue jusqu'à dix. Les coups sont moins forts, presque des caresses pour les deux derniers. Puis Dame Gertrude me prend dans ses bras. Son doigt pénètre mon anus et bouge doucement. " C'est bien petite chienne. Le Maître est satisfait. Tu es très obéissante. Le Duc aura une belle jeune femme soumise à ses désirs. Et je vois bien que tu aimes cela. Ta chatte ne saurait mentir." Ces douces paroles et son doigt intrusif me rassurent et me bercent. Je sens le plaisir venir et mon corps se redresse dans les bras de mon bourreau. Elle introduit délicatement un deuxième doigt puis un troisième, me repousse pour me mettre à quatre pattes et continue cette pénétration arrière. Tout cesse. Puis je sens un objet oblong remplacer ses doigts. Les mouvements se font brusques. Une claque résonne. Je crie de surprise puis la douleur vient. Le gode en bois force mes muscles et je me laisse aller. Un doigt vient jouer avec mon didi qui s'étire de plaisir , je sens de la mouille couler et je jouis à plusieurs reprises. La douleur s'évanouit, remplacée par un plaisir étrange. Le gode est enlevé, les doigts experts de Dame Gertrude prennent sa place et mon orifice s'élargit encore :" Je vais pouvoir bientôt y entrer toute la main " murmure-t-elle. Un frisson de crainte me fait trembler mais je ne dis rien car je viens de trouver cette expérience troublante et anticipe les sensations futures. Après encore quelques minutes je me retrouve seule, toujours au sol, tous mes orifices bien ouverts. Je tremble de froid et m'empresse de me rhabiller. Je vais me réfugier dans l'escalier de la tour, le regard perdu vers l'horizon....
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Par : le 04/03/20
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est encore noire; avant l'aube, Juliette reparut. Rares étaient les soirées où elle n'éprouvait pas l'irrésistible plaisir de maltraiter ou d'user de sa jeune soumise. Elle alluma la lumière de la salle de bains, en laissant la porte ouverte, faisant un halo de lumière sur le milieu du lit, à l'endroit où le corps de Charlotte, nu et attaché, déformait les draps de soie, recroquevillé et contrainte; comme elle était couchée sur la droite, le visage vers la fenêtre, les genoux un peu remontés, elle offrait à son regard sa croupe pâle sur la soie rose. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et fouettée afin qu'elle fut prête. Juliette eut soin à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui maintenant en pleine lumière pour qu'elle pût la voir en détail; sur son ventre lisse, le tatouage portait en toutes lettres qu'elle était sa propriété. Charlotte gémit plus d'une heure sous les caresses de sa maîtresse; enfin les seins dressés, elle commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses dents, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un seul coup, moite de plaisir; Juliette était aussi attirante et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait, qu'inlassable dans ses exigences. Ni le plaisir qu'elle avait pu prendre la nuit ni le choix qu'elle avait fait la veille n'influaient sur la décision. Charlotte serait offerte, dans les pires conditions auxquelles elle serait confrontée. Qu'à être offerte elle dût gagner en dignité l'étonnait; c'est pourtant de dignité qu'il s'agissait; sa bouche refermée sur des sexes anonymes, les pointes de ses seins que des doigts constamment maltraitaient, et entre ses reins écartés le chemin le plus étroit, sentier commun labouré à plaisir, elle en était éclairée comme par le dedans; se soumettre, désobéir, endurer, alternances délicates auxquelles elle ne voulait plus se dérober; l'abnégation d'elle même qu'elle conservait constamment présente. Le lendemain, elle fut mise à l'abattage. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Juliette expliqua seulement aux hôtes invisibles que sa bouche, ses seins et particulièrement les orifices de son corps pouvaient être fouillés à leur gré; des hommes s'approchèrent d'elle; brusquement des dizaines de doigts commencèrent à s'insinuer en elle, à la palper, à la dilater. Juliette interrompit la séance qui lui parut trop douce. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet; dans cette position infammante, elle attendit quelques minutes avant que des sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer. Elle fut fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée. Elle était devenue une chose muette et ouverte. Puis elle fut ramenée dans le salon où les hommes attendaient déjà son retour. Les yeux de nouveau bandés, nue droite et fière, Juliette la guida vers le cercle d'hommes excités et ce fut elle qui s'agenouilla pour prendre leur verge dans sa bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur son visage ou sa poitrine offerte. Souillée de sperme et de sueur, on l'envoya se laver; la salle de bain était vaste et claire. Juliette la rejoignit pour assister à sa toilette intime; elle était accompagnée de deux hommes; avant qu'elle ait eu le temps de se doucher, ils urinèrent sur elle en l'éclaboussant chacun d'un jet dru et tiède; elle tourna sur elle-même afin que chaque parcelle de son corps reçoive leur ondée. Après un minutieux nettoyage, sa maîtresse lui ordonna de s'habiller pour aller dîner; nous allâmes dans un club échangiste pour achever la soirée; outre son harnais et une ceinture de chasteté, Charlotte portait un bustier en cuir, des bas noirs et une veste en soie de la même couleur laissant entrevoir son intimité; un collier de chien ciselé de métal argent serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse donnait à sa tenue un bel effet; Juliette l'amena en laisse jusqu'au bar. Elle la fit monter sur une table haute où lui fût administrée une violente fessée qui empourpra ses reins; un esclave mâle fut requis pour lécher et apaiser sa croupe; on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche de façon à ce qu'elle soit offerte; un homme lui baisa la bouche, sa gorge lui servant d'écrin; excité par le spectacle de la fellation, un autre décida brusquement d'utiliser ses reins; il s'enfonça en elle sans préliminaire pour faire mal. Comment éprouver la satisfaction insane d'offrir son corps ? Le souhait de Charlotte est d'aller toujours jusqu'au bout de ses fantasmes, au-delà des désirs de Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/02/20
Jules César en avait fait par testament son fils adoptif. Il faut rendre à César ce qui est à césar et d'abord son incroyable génie militaire et politique. Et César avait vu juste. Caius Octavius Thurinus (Auguste) s'est révélé être lui aussi un génie politique et militaire tel que les mois de Juillet et Août sont là pour nous rappeler cette histoire. Auguste est pourtant de santé fragile, mais à l'intérieur c'est un roc inébranlable. Intelligence, ruse, grande habilité, ...tout cela au service de sa propre ambition et pour la grandeur de Rome. En privé c'est un Dom qui a trouvé après plusieurs mariages sa soumise, celle avec qui il se détend et pratique. Livie est belle et se prête à tous ses jeux. Elle est son équilibre. Bien sur , elle vient d'une grand famille, mais entre eux c'est le coup de foudre. Ils divorcent tous les deux pour se marier. Une passion qui n'attend pas. Ils n'auront pas d'enfants de cette union. Ils sont fous amoureux,complices en tout. Auguste ne prend plus de décisions sans la consulter. Livie par devant montre l'image de la femme romaine vertueuse et chaste. Mais dans les secrets des amours conjugales ils s'éclatent et jouent. Auguste aime lui donner la fessée et il se sert souvent des fines canes romaines qui cinglent bien et font très mal. Livie adore cela. Ce qui est plaisant dans cette histoire c'est l'intelligence d'une relation bdsm saine.Bien que soumise en tout et pour tout, Livie ne renonce pas à son intelligence pour servir Auguste, le conseiller. ils s'écrivent, se parlent, se comprennent et c’est cela un véritable couple. Ensemble ils peuvent traverser toutes les tempêtes politiques. ils sont forts. Leur amour les rend forts. Après, comme toujours, cela fait jaser. Bien que soumise à son dom, Livie est une femme de pouvoir, et les mauvaises langues vont bon train, surtout dans la Rome antique. J'aime cette histoire car un dom implacable comme Auguste et une soumise très intelligente comme Livie peuvent faire de grandes choses ensemble et d'abord beaucoup s'aimer.
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Par : le 19/01/20
Un milliardaire japonais vient de réserver le premier vol privé autour de la lune. Il pense inviter des amis artistes pour compléter son vol. Mais les artistes c'est bien sauf qu' une bonne femelle à bourrer dans l'espace c'est mieux. Notre milliardaire a passé une annonce avec un questionnaire très précis. Il sait ce qu'il veut ou croit le savoir, en bon machonaute qui a réussi. Plus de 20 000 femmes ont répondu en très peu de temps et il a du fermer son annonce. Il a assez de candidatures de prétendantes, du moins pour la première partie de la sélection. Notre brave milliardaire commence par dégager son pénis et par se branler devant toutes les fiches des candidates. Lesquelles l'excitent le plus, font bien monter sa sève? Il en reste mille possible. Il organise un second tour avec ces mille, un nouveau questionnaire plus précis, il veut tout savoir. Nouvelle série de branlettes et il en reste 300, les plus bandantes d'après lui et son pénis. Là il utilise les services d'une agence privée de détectives pour faire des enquêtes discrètes, voler des photos etc...Il se branle encore devant toute cette documentation et il en reste 10 seulement, dix perles rares, sublimes, qui ont toutes, les dons requis. Il a beau se branler, il ne peut choisir. Aussi il les invite dans le centre spatial où il doit s'entrainer, chaque jour. Notre milliardaire ne lache rien, il suit ses idées jusqu'au bout. Ses dix perles se présentent dans la même combinaison bleu, en coton, style salopette avec une fermeture sur le devant. Il les met de suite en compétition. Laquelle pourra écraser les autres et devenir sa femelle? Toutes n'ont qu'une envie, c'est d'écarter les cuisses pour le rendre définitivement accro. Toutes, sauf une, Yoko, le garçon manqué, cheveux courts, regard perçant, toute en muscles. Le milliardaire se saute toutes les autres, mais lorsqu'il veut écarter les cuisses de Yoko, il se prend une dérouillée monumentale. De rage il veut la virer sur le champ mais il n'a pas le temps de donner quelque ordre que ce soit. Yoko, experte en arts martiaux l'a déjà maitrisé, attaché et bâillonné. -c'est toi pauvre con qui va faire la femelle. Yoko lui administre une fessée à la main si terrifiante que notre milliardaire a ses cheveux qui blanchissent d'effroi. Comment cette folle avait elle pu le faire bander et passer les sélections? Il n'a pas le temps de connaître la réponse. Déjà la folle a enfilé un god énorme et se place derrière son cul rouge sang et encore tout tremblant. Elle le viole d'un coup et le pilonne avec rage, Les 30 cm rentrent jusqu'à la garde à chaque fois. Le milliardaire tombe vite dans les pommes, sa seule façon de fuir la douleur. De bonnes baffes et un seau d'eau froide le réveillent vite. -mais t'es une petite crevette toi. Et c'est avec un con pareil que je dois faire le tour de la lune. Les neuf autres femelles attirées par les cris arrivent. Yoko les attend avec un fouet. -cassez vous les pouffiasses ou je vous explose à votre tour. Aucune n'insiste. Toutes savent que même à neuf, Yoko peut vite les réduire en pâtée ron ron pour chatonnes castrés des ovaires. Là le milliardaire a vraiment peur. Il va se retrouver seul avec une dingue. -t'as fini de bander et de te branler pauvre carpette immonde. Voici une petite cage pour ta petite bite et un bon cadenas. Et si tu n'obéis pas, je te la coupe à raz. Et baisse les yeux. Une carpette comme toi n'a le droit que de me regarder les pieds. Les chevilles c'est la limite. Au delà tu dérouilles. Et tu m’appelles Maitresse. Toi t'es plus rien, pas même un chien. D'ailleurs donne ton cou que je te passe aussi ton collier de dressage avec des pointes contre ta gorge. Crois moi, tu as intérêt à obéir en tout et pour tout. Yoko enferme son milliardaire dans la centrifugeuse, à genoux et à l'envers, avec un gros plug acier bien lourd dans le cul. Elle lance la machine et s'installe confortablement dans une chaise longue. Elle sirote une vodka bien glacée. en croisant ses longues jambes bien galbées. Comme cela elle peut serrer son clito et se donner de délicieux orgasmes. La centrifugeuse commence à tourner. La milliardaire a compris ce qui l'attend. Le plug très lourd commence à pousser. Il implore. Appelle sa mère, se maudit d'avoir passé cette annonce. Il est trop tard. Cette folle de Yoko va détourner tout le matériel d'entrainement, pour former les spationautes, en instruments de torture. Le pire c'est qu'elle a beaucoup d'idées. Il se souvient de ce détail sur sa fiche.... Yoko lève son verre et éclate de rire. -Jouit pauvre con ! Et c'est ce que fait le milliardaire, il obéit. Il tapisse de sperme la centrifugeuse et enchaine les orgasmes. La cage de chasteté ne les empêche pas. A partir d'un certain nombre de tours, il ne sent plus rien. Il lui semble être au nirvana. Yoko est bien la bonne. il l'aime. Pour son malheur son cœur le brule ...Cela c'est le pire de ses supplices....
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Par : le 05/01/20
Sandra: " Il y a environ trois mois que je connais cet homme, il n'a fallu qu'un mois pour réorienter sa sexualité vers le plaisir de la soumission. L'érotisme du corps de la femme, la jouissance, la frustration, le transfert petit à petit de son plaisir pénien à un plaisir anal prostatique. Il faut du temps mais un homme bien dressé devient docile, découvre qu'il n'a pas les armes pour lutter contre une femme et fini par apprécier cette situation:" "Vous voulez un petit avant goût?" . Je frissonnais! "Baisse ta culotte!" j'obéis, baissant mon pantalon et ma petite culotte. La femme poussa un petit cri de surprise devant le spectacle. Il est vrai que voir un homme obéir ainsi peut surprendre, mais découvrir des sous vêtements féminin, a de quoi déstabiliser. "Vous voulez un petit aperçu de votre vengeance et de votre future puissance ?" la femme hocha la tête. Peu de temps après je me couchais sur ses genoux. Les claques étaient hésitantes mais fortes, Sandra m'avait fait garder la culotte à mi-cuisse pour le plus grand plaisir des deux femmes. J'avais de nouveau envie de jouir, ma bite voulait grossir, mon ventre me tirait. "Voyez, cette humiliation, mes paroles et son sexe coule déjà, il est en demande de soumission permanente. Je vous l'ai promis, " Je me préparais à mon hôtel pour ma soirée avec Sandra. Toujours un peu anxieux avant de sonner chez elle, soumis comme jamais, mis au pas par cette jolie femme, transformé en sissy, j'étais vraiment son esclave. Elle m'avait dressé, j'acceptais cette rédition sans condition. Sitôt dans son appartement, sans un seul ordre de sa part, je me mis à genoux, me déshabillais en restant en dessous féminin, pris le collier et la laisse et lui tendis. Ma tête à hauteur de son pubis pendant le passage autour du cou, mais je ne fis aucun geste pour toucher sa jupe fendue. A quatre patte elle m'amena dans la chambre d'amis où se trouvait un grand lit adapté à ses pratiques. A savoir un barreau en fer central qui partageait l'armature du lit en deux. "Allez, monte !" Les menottes m’enserrerent les poignets, la chaîne derrière le barreau. Mon corps et mon esprit tendu de désir, elle me mis une claque sur les fesses avec un petit sourire. "Tu sais ce que c'est ce soir?" Non, je ne savais pas. Tout ce que je voulais c'était qu'elle me fesse, qu'elle me mette ma tête entre ses cuisses, qu'elle me sodomise enfin et qu'elle me fasse jouir. "C'est ce que j'appelle la soirée de l'alalie. La fin du dressage d'un homme ? Dans ta tête, tout au fond il y a encore un bout de toi qui pense qu'un jour il reprendra sa vie d'avant, lorsqu'il aura exploré tout les recoins de la soumission! Je sais, tu vas me jurer que non et peut être, à ce moment, tu seras sincère. Mais ce n'est pas vrai! Je vais extirpé cet espoir, je vais le brûler devant toi et tes larmes ni changerons rien. Elle me fit un peu peur, je me rassurais en me disant qu'elle parlait de me sodomiser, de toute façon j'en mourais d'envie. Son téléphone en main, elle pianotait sur le tactile. Sa voix, pendant qu'elle m'exposait mon sort prochain, était compatissante, et encore plus flippante. "Ta vie va prendre un tournant auquel tu ne t'attendais pas et en même temps reprendre une direction qu'elle n'aurait jamais du quitter" Elle commençait vraiment à me faire avec ses propos sibyllins. Le son du carillon de la porte d'entrée déchira l'air. Je fis un bond. Sandra ne fut pas surprise, elle l'attendait donc, je fis de suite la relation avec le sms envoyé deux minutes avant. Des invités? Déguisé en fille et attaché au lit je n'en menait pas large. « Qui c'est Maîtresse? » Elle ne regarda pas, ne me répondit pas et sortie de la chambre vers la porte d'entrée que je ne pouvait pas voir. J'entendis la porte s'ouvrir, des pas passant l’entrebâillement, des chuchotements, plusieurs personnes. J'étais aux abois. La porte se referma. D'autres chuchotements. Le silence, angoissant, pétrifiant. Puis des talons qui claquent et se dirige vers ma chambre. Interminable, les yeux rivés à l'encadrement de la porte de la chambre, la chaîne de mes menottes tendue, j'écoutais les pas se rapprochaient. Les bottes s’arrêtèrent une fraction de seconde, comme si la femme hésitait, puis franchit le dernier espace la protégeant de mes yeux. Mon cœur s'arrêta une fraction de seconde, tout autour de moi l'air devient dense, sombre. Nathalie était là! Cuissardes jusqu'à mi cuisse, jupe courte en cuir, corset cuir lui remontant les seins, nombril et petit ventre nu, ses magnifiques cheveux blonds remontés en une splendide queue de cheval, un grand manteau noir descendant jusqu'aux chevilles et son visage d'ange orné de ses yeux bleus très clairs. L'archétype de la Dominatrice. Mon univers venait de se contracter en une singularité pour exploser la seconde d'après. Nathalie me voyait! Elle m'avait trahi, Sandra m'avait trahi! Le silence fut terrible, je ne bougeais pas elle non plus, le visage dur, des yeux de glace m'écrasant de sa hauteur, de ses vêtements moi qui était ridicule dans ceux qu'elle portais jadis pour me faire plaisir, pour faire plaisir à l'homme que j'étais avant. "Nathalie!" Stupide. Elle fit deux pas de plus touchant presque le lit. Le temps que je me retourne une autre personne était entrée. Cécile me regardait, les yeux ronds de surprise, surprise de ma présence car à sa tête je sus qu'elle ne savait pas que j'étais là, surprise de ma situation dégradante. J'avais repris mes esprits. Elle entra à son tour avec un homme, trente cinq ans environ qui se mit en retrait. "Pourquoi! Je te l'ai toujours dit, te dresser, te soumettre! Te rendre docile et soumis! Mais tu dois te sentir un peu seul devant nous dans ta tenue préférée de petite salope ! Elle se tourna, et alluma l'écran de télévision, chercha le canal de la clef USB et lança le fichier vidéo. Sandra, Julie et moi même étions sur l'écran. J'étais attéré. Cécile avait braqué son regard sur la scène, je sentis celui de Nathalie se poser sur moi, je n’eus pas le courage de la regarder.. Tout avait été filmé, mon déculottage devant Sandra et Julie, la fessée sur les genoux de Sandra. Même à poil, une fille est moins ridicule qu'un homme en sous vêtement féminin devant une maîtresse. Malheureusement ce n'était pas fini, la clef contenait d'autres vidéos. J'apparus de nouveau, à genoux devant Sandra et Julie. Puis la suite, la fessée par Julie, mon cuni à Sandra, et enfin mon éjaculation sur ses talons et enfin le léchage de mon sperme. La troisième vidéo était dans ce même appartement, ma soirée avec Sandra, je suçais son gode comme une pute, puis cul par dessus tête je jouissais du cul comme une fille mon sperme coulant directement dans ma bouche et sur ma figure. Sandra sortie et revint avec une caméra sur pieds et l'installa à côté du lit. "Je t'ai dit que ta première sodomie serait inoubliable, elle le sera." Elle donna à Nathalie son gode ceinture. Elle enleva son manteau, elle était d'une beauté à couper le souffle, elle me défia du regard pendant qu'elle installait le symbole de ma soumission. Après tout ce que la caméra avait filmée je ne pouvais plus rien dire, anéanti. durant toute la séance vidéo tandis que je m'enfonçait toujours plus loin dans les situations dégradantes, moi qui l'avait baisé dans toutes les positions; elle avait vu ce même homme s'avilir et devenir une lope. Nathalie s'approcha du lit, de moi. Elle me fixa les yeux dans les yeux. "Tourne toi et lève les fesses!" Nathalie! Non, c'était un cauchemar, j'allais me réveiller! "Non, Nath, je t'en pris, pas ça, pas ça, pas toi!" "Tu préfèrerai que ce soit une autre qui t'encule, Sandra m'a dit que tu en mourais d'envie. C'est juste que c'est moi qui te gêne. Il va falloir t'y faire parce que je vais te prendre régulièrement. Tourne toi et lève tes fesses!" Les derniers mots était plus sourd, plus lent, plus menaçant. J'obéis! Elle me fit baisser la tête dans l'oreiller, me fit tendre mon cul et ses douces mains touchèrent mes fesses pour baisser ma petite culotte. Je frissonnais! Le gland du gode, tout luisant de gel toucha mes fesses avant d'être guidé vers sa cible. Elle me saisit à deux mains et écarta un peu. L'engin se positionna, buta sur ma pastille et avec la plus grande douceur entra tout doucement. Il lui fallu plusieurs minutes pour me mettre jusqu'à la garde. Je râlais une ou deux fois. Quelle sensation, le cul totalement soumis, fiché sur cet engin raide qui dictait sa loi à mon postérieur. Sodomisé par ma maîtresse! C'était moins agréable que le point P mais symboliquement tellement plus fort. Les va et vient se firent plus intense et mon sexe ne pu résister à cette stimulation. Je le sentis grossir et commencer à couler. Sandra le fit remarquer aux deux femmes. Nathalie s'arrêta alors qu'elle me baisais à fond et s'approcha de mon oreille. Çà te plaît mon salaud. La plus salope de nous deux n'étais pas celle qu'on croyait hein?" Je ne répondis rien et je me concentrais au maximum pour ne pas jouir, mais j'aimais ça, oui j'aimais. Je commençais à lâcher, le plaisir menaçait de me submerger, seul une dernière parcelle de pudeur, de dignité m'empêchait de lui crier "plus vite, plus fort!!" Elle sortie entièrement, puis entra à nouveau, sorti attendit plusieurs secondes, et entra encore, elle répéta ce jeu à plusieurs reprises, me faisant croire que ma sodomie était finie. Deux, trois quatre secondes et elle me pénétrait de nouveau, l'engin de nouveau à fond, mais la butée fut différente, je ne compris vraiment que quand des mains viriles m'emprisonnèrent les hanches. J'hurlais de toutes mes forces "NNNOOOONNN!!!!". Je me débattis, mais sans les mains je n'avais aucune chance. Planté entre mes fesses la bite de l'homme ne bougeait plus, les bras venaient de passer autour de ma taille, le pubis collé à mes fesses, aucune chance de le désarçonner et d'expulser son pénis. Il me fit passer sur son ventre, lui le dos contre le lit, moi les quatre fers en l'air sur lui. J'avais beau jeter mes jambes en tout sens je ne pouvais plus rien faire, exposé aux yeux des trois femmes ainsi que la queue qui disparaissait à l’intérieur de mes fesses. Il commença à me pistonner. Je continuais à me débattre ne supportant pas cet outrage, pas devant Nathalie, Cécile et Sandra, pas moi, pas elles. Sandra s'approcha et me mis la main sur la tête: "calme toi c'est bientôt fini et tu aimes ça!" Toujours sa fausse tendresse, et pourtant malgré ce qu'elle m'avait fait ça marchait encore, cette femme était une ensorceleuse, son pouvoir sur les hommes était immense. L'homme resserra sa prise et recommença à me besogner comme une femelle. Mais je ne bougeais plus, tétanisé pas ce qui était en train de se passer. Une énorme érection gagna ma queue, turgescente, bouillonnante, mes couilles se reserrerent en même temps que naissait dans mon ventre le plaisir prostatique. Nathalie m'avait déjà stimulé, excité, par son contact, par sa sodomie, et mon cul comme doué d'une volonté propre fut incapable de faire la différence. Sa queue sortait et rentrait de mon cul, ses couilles butaient contre mes fesses et indépendamment de ma volonté mon plaisir grandissait. Je luttais, mais à chaque instant je perdais du terrain. En deux minutes ma bite coulait, des fourmillement courraient dans ma colonne vertébrale, de mes cuisses jusqu'à mes pieds des coups d'électricité m'agitaient. J'ouvrais les yeux, les trois femmes observaient le spectacle lubrique entre deux hommes, j'étais sûr que Sandra savait ce qu'il se passait. Elle m'avait imposé pour cet instant, portant les bas et les porte-jarretelles et jouissant comme une femme sous les assauts d'un mâle. Mes jambes bougeaient toutes seules, l'homme derrière moi respirait fort, je sentais qu'il prenait son pied, son plaisir par moi. Chaque seconde rendait encore plus irréversible la trahison de mon corps, mes jambes se serraient toutes seules, ma bite enflait, je perdis la notion du temps, mon esprit se brouilla en même temps que les préorgasmes m'emportaient. Je voulais jouir, jouir devant ma Maîtresse Sandra, devant la belle Nathalie, je voulais me soumettre à elle, qu'elle me fasse ce qu'elles voulaient, que Cécile me fesse devant les autres avec Julie, j'étais une salope, mon cul se baissait sur cette bite pour en prendre encore plus, objet sexuel je criais "OUI, OUI", l'homme de qui j'étais la salope m'ordonna de lui crier de m'enculer ce que je fis dans l'instant en gémissant et en levant les jambes le plus haut possible pour faciliter les mouvement de sa bite. Je sentis son plaisir monter, il allait éjaculer et il entraîna le mien avec, l'onde de plaisir m'emporta je me cambrais, le sperme jaillissant de ma bite m'inonda le torse et le visage tellement mes jambes étaient hautes, en même temps je jouissais du cul. Je restais plusieurs secondes tendu comme un arc contractant de moins en moins les jambes au fur à mesure que s'éloignait l'indigne plaisir. Je sentis la bite se retirer de mes fesses. Je repris mes esprits, je compris ce que je venais de montrer. Après le plaisir c'est la honte qui me submergea, dernière abjecte humiliation devant des femmes. Sandra s'approcha et défit les menottes. "C'est terminé, c'est dur et cruel mais tu devais en passer par là. A présent tu es vraiment une pute et je te ferais enculer quand j’en aurais envie. » Nathalie s'approcha, le contraste entre son doux visage et l'expression de ses yeux rendait le tout hypnotique: " Ta situation dégradante, ton avilissement devant nous est une juste punition. Elle m'envoya me doucher, je parti en titubant, groggy.
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Par : le 09/12/19
Mardi 3 décembre 2019, quelque part dans les Hauts-de-France... Une fois parvenue à destination, je gare mon véhicule et téléphone, impatiente, à mon Maître pour lui indiquer que je suis arrivée à bon port. Il me rejoint presque immédiatement et m'accueille avec un large sourire, comme à son habitude. C'est un homme élégant, raffiné avec beaucoup de charme et qui prend soin de son apparence. Sa personnalité est profonde et rassurante. Je suis heureuse d'être en sa compagnie pour la journée et de pouvoir m'abandonner librement à lui, sans tabou, en toute confiance. Sans doute cela est-il rendu possible par le fait que nous nous connaissons depuis de nombreuses années. En guise d’introduction il me propose de partager un café dans un établissement de la ville qu'il aime fréquenter. Je suis heureuse et touchée qu'il m'entrouvre la porte sur un morceau de son quotidien. Nous marchons côte à côte, je me laisse guider vers ce lieu que je ne connais pas, fière d'être au côté de cet homme que j'adule. Nous entrons dans un endroit décoré avec goût et nous sommes heureux de de nous lover dans la chaleur ambiante qui contraste avec la température extérieure. Nous passons commande auprès d'une jolie serveuse, avec qui mon Maître ne manque pas d'échanger quelques mots courtois. Je dépose mon manteau sur mon siège tandis que mon Maître me dévore du regard, ce qui n'est pas pour me déplaire. Nous bavardons avec complicité, abordant des sujets importants mais aussi d'autres plus légers. Je pourrais boire ses paroles des heures durant... Mon propriétaire me complimente à plusieurs reprise sur mon apparence. N'ayant reçu aucune indication précise à ce sujet, j'ai choisi de porter une robe grise en tweed, moulante en haut et plus évasée vers le bas, assez courte, un remonte-seins en dentelle noire, des collants noirs, sans lingerie dessous, et des escarpins à talons aiguilles vernis noirs. Mes cheveux bruns sont lâchés sur mes épaules. J'adore quand il m'appelle "ma belle brune". Il me confie qu'il aime cet aspect de "working-girl" qui contraste avec la dépravée que je vais devenir dans un petit moment... Je partage avec lui le plaisir cérébral de cette ambivalence ! Je suis satisfaite que les artifices déployés séduisent mon Maître. Au bout d'un moment, Monsieur se lève et se dirige vers les toilettes...le connaissant, mon instinct de soumise me dit qu'il me prépare quelque chose...et je ne m'étais pas trompée ! De retour à notre table, il me demande de me rendre à mon tour au petit coin, de me saisir de l'objet qu'il a placé à mon attention au dessus de la porte et de le placer dans mon intimité. Toutefois, comme il sait que je ne porte pas de culotte, il me laisse le choix d'accepter ou pas son "défi", ce que je trouve très respectueux. J'accueille sa demande avec un sourire malicieux. Je me lève en espérant qu'il me matte tandis que je m'éloigne vers les WC. A tâtons, du bout des doigts, je cherche ce fameux objet que je ne tarde pas à débusquer : il s'agit d'un œuf vibrant télécommandé ! Je souris toute seule dans la pièce. J'adore la créativité de mon Maître, il déborde d'idées...et j'aime le suivre là où il m'emmène. Je lave l'objet puis le lèche avec envie et l'introduit doucement dans ma petite fente déjà bien humide, tout en pensant à mon Maître. La situation est plus que pimentée ! Je retourne auprès de celui à qui j'appartiens en lui indiquant fièrement que sa demande est exécutée et j'en suis félicitée en retour. Nous poursuivons nos bavardages tandis que le petit jouet sexuel fait son effet...je ne peux m'empêcher de planter mes yeux dans les siens en pensant à tout ce qui nous attend durant cette journée spéciale et je savoure cet instant hors du temps. Nous faisons un brin de chemin à pied ensemble dans le froid, jusqu'au domicile de mon Maître. Celui-ci me faire remarquer les regards qui se posent sur moi/nous au cours de notre balade. Je ne les avais pas remarqué, trop focalisée sur la contraction de mon périnée, histoire de ne pas égarer mes petites affaires en cours de route ! Une fois la porte de son antre refermée sur nous, nous entrons pleinement dans nos rôles respectifs. J'ai beaucoup de chance qu'il puisse m'accueillir dans un lieu qui n'est pas froid et impersonnel et dans lequel nous pouvons évoluer librement. Il me semble que cela contribue également à la réussite de nos entrevues. Je n'oublie jamais de le remercier de m'ouvrir ses portes...tout le monde ne le ferait pas. Lui n'est pas tout le monde. Mains derrière le dos et regard baissé, je me demande à quelle sauce je vais être mangée. Dans des flashs, je revois des images de nos séances passées qui me mettent l'eau à la bouche...entre autre. Mon Maître s'approche doucement de sa petite chose. Je peux enfin m'enivrer de son odeur naturelle que j'aime tant et profiter de ses divins baisers très sensuels et charnels. Je compte bien profiter de tout ce qu'il a m'offrir et le servir avec obéissance, du mieux que je peux. Il me fait remarquer qu'il bande déjà rien qu'à regarder sa soumise...je ne peux m'empêcher de frotter tout mon corps contre le sien, à la manière d'une petite chatte pour sentir son membre durci. J'adore le sentir dans cet état. Stoppant mes ardeurs, il me demande de m'agenouiller au sol. Mon Maître, comme toujours, avait prémédité ce moment puisque je découvre qu'il a préparé pour moi un petit tapis rectangulaire en mousse, qui me permet de ne pas avoir les genoux en compote. Ses attentions sont toujours délicates malgré son niveau d’exigence élevé. L'un n'est pas incompatible avec l'autre… Mon Maître me surprend une fois encore avec une nouveauté : il dépose sur mes oreilles un casque audio sans fil. Auparavant il m'explique qu'il va me faire écouter des musiques d'ambiance, destinées à créer une sorte de bulle confortable dans laquelle je dois me laisser aller. Encore une brillante idée et une nouvelle expérience que je suis curieuse de vire à ses côtés ! Une fois que le premier morceau est lancé, je suis littéralement coupée du monde extérieur et je n'entends plus aucun bruit de mon environnement immédiat, ce qui est assez déstabilisant, mais agréable malgré tout. Il me laisse un moment ainsi dans l'attente, à genoux, le temps que je m'habitue et que je démarre mon voyage intérieur. J'ai adoré les choix musicaux qu'il a fait spécialement pour cette situation, c'est un homme de goût. Monsieur se positionne debout derrière moi afin de fixer mon collier : un très joli objet en inox avec un anneau en son centre, permettant notamment d'y fixer une laisse. J'aime beaucoup le porter. Il est le symbole de ma soumission et de mon appartenance envers lui. Me voilà totalement à sa merci... M'aidant ensuite à me relever, il me fait faire quelques pas pour me placer face à une jolie table en bois sur laquelle il m'invite à me pencher. Il prend place sur une chaise devant moi, se saisi d'une clémentine et commence doucement à l'éplucher sous mon regard plein d’interrogations...il aime me déstabiliser tout autant que j'aime l'être. Chaque séance est une partition dont j'ignore la musique, mais par laquelle j'adore me faire bercer. Je devine tout le temps qu'il a passé à préparer ma venue, les réflexions qu'il a mené pour tout envisager et faire les choix les plus judicieux pour que tout se déroule dans les meilleures conditions. Rien n'est jamais laissé au hasard. Entre chacune de mes visites, nous entretenons un lien permanent et des discussions fournies sur tout ce qui relève de l'aspect D/s notamment. Il prend soin de me faire m'exprimer sur mes envies et mes fantasmes. C'est un exercice dans lequel je n'étais pas très à l'aise au départ pour tout vous dire, retenue par une forme de pudeur éducative. Et puis j'ai compris avec le temps que si je ne lui disais pas clairement les choses, il ne pourrait pas les deviner. D'où l'importance, une fois encore, du dialogue entre un Dominant et sa soumise. La parle est ma véritable libération en tant que soumise. Monsieur déguste un premier morceau de clémentine, puis en place un autre au creux de sa main. Dans cette histoire sans paroles, je comprends néanmoins là il veut me voir aller. C'est intéressant de tester ce mode de communication et de constater que nous parvenons à nous comprendre simplement par des regards, des gestes et des attitudes. Je me saisie alors doucement du quartier avec mes dents en le regardant, comme une brave petit animal de compagnie. Il poursuit en coupant en deux un autre quartier, place son avant bras sous ma gueule et presse le fruit entre ses doigts pour en faire couler le jus. Vous pensez bien que je me fait un plaisir de laper sa peau, sentant ses veines saillantes que je trouve terriblement viriles, irrésistibles et sexy. C'est d'ailleurs parce que je lui avais fait cette confidence il y a quelques temps qu'il me donne à vivre ce moment très jouissif pour moi. J'ai beaucoup de chance d'avoir un Maître qui s'adapte si bien à ma soumission. Après cette petite collation partagée, il se saisit d'un stylo à bille et commence à écrire quelque chose sur le dos de ma main droite...c'est une agréable sensation que d'être marquée par mon Maître, très symbolique. Quand il a terminé je regarde les mots rédigés et je peux lire : "lèche-moi"... Je relève la tête et l'observe de manière dubitative. Est-ce qu'il souhaite que je lèche ma main ou que je lèche lui ? Dans ce dernier cas, sur quelle partie de son corps souhaite t-il que je passe ma langue ? La musique m'empêche de lui poser toutes ces questions, je reste donc silencieuse. Il attend patiemment sans sourciller, mais je reste plantée devant lui sans bouger, honteuse de ne pas saisir ce qu'il attend de moi, me pinçant les lèvres. Voyant que je suis à côté de la plaque, il laisse tomber et décide de passer à autre chose. Cela m'arrive régulièrement...je suis tellement concentrée, plongée dans mon monde, que j'en viens à avoir du mal à saisir une simple consigne. Monsieur vient se placer derrière moi et descend mes collants pour mettre mon cul à nu. C'est un geste qui me plait particulièrement...Je sens ses mains effleurer mon petit abricot lisse et parfaitement épilée...Me vient à l'esprit l'envie qu'il déchire mes collants brutalement, mais j'ai besoin d'eux pour repartir dans une tenue correcte. Je me prends pour une vilaine écolière l'espace d'un instant, dans cette position tout à fait indécente. Quand il me met à nue de la sorte je n'ai qu'une envie : m'offrir à lui. Troussant ma robe sur mes hanches il fait abattre soudainement sa cravache son mon cul...alternant avec des caresses et des fessées, de sa main gantée de cuir. Je ne l'avais pas vu arriver celle là et une fois encore l'effet de surprise m'excite beaucoup. C'était assez étrange car la musique m'empêchait de mesurer l’intensité de ma propre voix. Quel son sont sortis de ma bouche ? Des cris ou des petits gémissements étouffés ? Il faudra que je songe à poser la question à mon Maître ! Monsieur n'est pas du genre à me punir sans raison, trouvant des prétextes pour le faire. Il assume sa perversité et aime à me faire rougir mon séant, juste pour nos plaisirs. J'ai adoré ressentir la morsure du cuir sur mon cul qui a bien morflé...j'entendais son instrument fendre l'air avant de s'abattre sur moi avec intensité...qu'est-ce que c'était bon ! Soudain, je ne sens plus rien, je suis dans l'attente, toujours dans ma bulle musicale...quand mon Maître introduit subitement sa queue en moi, d'un coup de reins puissant. Je ne m'attendais pas à ça et je ressens à la fois de la surprise mais aussi le plaisir de sentir son membre qui me remplit généreusement ! Qu'est-ce que je peux aimer ça, quand il s'invite dans sa soumise, quand il me malmène, quand il me baise à sa guise, quand il me possède. Il me lime ainsi délicieusement un moment. Je regrette de ne pas entendre son souffle et ses râles de plaisir à cause du casque. Il coulisse dans ma mouille abondante en me rendant plus femelle que jamais... Je ne suis qu'incandescence. Arrêtant ses délicieux assauts, il m'emmène ensuite dans une autre pièce de sa demeure, me fait asseoir sous une fenêtre qu'il ouvre. Le froid s'engouffre dans la pièce et il prendre soin de déposer une étole sur mes épaule. Il se place devant moi, présente à mes lèvres sa queue virile et s'allume une cigarette. Penser que les passants dans la rue voyaient peut-être le haut de son corps, sans pouvoir s'imaginer un instant qu'il était en train de se faire pomper, m'a particulièrement inspiré...Le côté voyeur/exhibitionniste me stimule. Il retire le casque de mes oreilles...mais la bulle n'explose pas pour autant. Appliquée, je lèche et suce son beau gland gonflé et lisse avec avidité, comme s'il s'agissait d'une douce sucrerie. Il doit être bien au chaud dans ma bouche alors qu'il fait si froid autour de nous. Il m'est très agréable de le servir de la sorte, d'être à ses pieds tout en ayant le pouvoir de m'occuper de son plaisir en bonne gourmande que je suis. Alternant entre sa queue et sa clope dans ma bouche, mon Maître m'a ensuite invité à me rendre à quatre pattes vers un fauteuil du salon. J'aime lui donner à voir le spectacle de sa petite chienne docile qui déambule sur son sol, à ses pieds, dans un total asservissement. Cela renforce mes envies d’animalité et même de bestialité. Il prend place dans un confortable fauteuil et m'invite à m’asseoir sur son pieux puis m'encourage à me baiser...je ne me fais pas prier et m'empale sur lui...chaque mouvement me fait couiner de plaisir. Il me fait allonger sur lui pour mieux avoir accès à ma petite perle sensible qu'il caresse avec habilité. Puis, me penchant plus en avant, ma croupe offerte à son regard, il ne peut s'empêcher d'introduire un doigt dans mon fondement encore bien serré. L’excitation est à son paroxysme... A bientôt pour la suite de mon récit...si elle vous fait envie :) Swann
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Par : le 09/11/19
"La pauvre Julie fut traitée avec une fureur qui n'a pas d'exemple, fouettée, nue et écartelée avec des verges, puis avec des martinets, dont chaque cinglement faisait jaillir le sang dans la chambre. La mère fut à son tour placée sur le bord du canapé, les cuisses dans le plus grand écartement possible, et cinglée dans l'intérieur du vagin." Histoire de Juliette ou les prospérités du vice (marquis de Sade 1797) Emblématique des cuisantes corrections d'enfance, le martinet éveille désormais des instincts de soumission, délicieux instants de jouissance partagée, prélude à d'autres tourments ou de simples ébats amoureux. Instrument traditionnel de correction né et utilisé autrefois en France et plus généralement en Europe, l'usage du martinet pour fesser un enfant est cependant tombé en désuétude, assimilé désormais à de la maltraitance. Le faisceau de lanières qui le compose, échauffe le corps tout entier: le dos, les bras, les fesses, les seins, même les parties génitales (vulve, pénis). Plus d'un tiers de la population francophone, en quête de cinglantes séances de soumission pratiquerait la flagellation. Le tabou persistant, au moment d’avouer ces fantaisies érotiques, rares sont les langues qui se délient aisément. Paradoxalement, elle figure toujours au titre des "troubles paraphiliques" dans la très sérieuse étude médicale américaine, la DSM5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), comme diagnostiqués chez "des individus éprouvant une excitation sexuelle en réponse à une douleur extrême, à l'humiliation, à la servitude ou à la torture". En réalité, les nombreux adeptes peuvent se rassurer sur l'état de leur équilibre psychique car les critères de diagnostic, exigent que la personne éprouve une détresse, telle que la honte, la culpabilité ou l’anxiété liée à un fantasme sexuel, à des pulsions ou à des expériences sexuelles. Autant dire les choses clairement, les formes les plus légères de SM pratiquées entre adultes consentants, ne sont pas classées parmi les troubles étudiés. Le manuel exploité par l'armée de terre des Etats Unis fait en outre l'objet de vives critiques. Goûtons alors sans rougir (ou presque), aux délices épicés d’une séance de martinet bien administrée, en conservant à l'esprit, toutefois que le S/M est avant tout une jouissance mentale, un plaisir cérébral. Comme un jeu sexuel, un scénario érotique préalablement choisi, et consenti entre adultes consentants, mieux encore, consentants et enthousiastes. Exploration impétueuse d'émotions sensorielles inédites et saisissantes, la flagellation est l’occasion d’affirmer symboliquement les rôles au sein d'une relation S/M entre une soumise et son Maître, combinée à l'érotisme mental des jeux de pouvoir sexuel, elle apporte à leurs ébats une saveur nouvelle. Pratiquée de manière sûre, saine, consensuelle et ludique, la flagellation revigore une relation engourdie par la routine. Le martinet est un petit fouet, constitué d'un manche en bois d'environ vingt-cinq centimètres, équipé de lanières, au nombre, d'une dizaine en général, en cuir. Le martinet est similaire au chat à neuf queues, instrument à neuf lanières ou cordes longues, utilisé autrefois, par les forces armées, les institutions pénitentiaires dans l'empire britannique, et au knout de l'Empire russe. Au Moyen Age, jusqu'au XVIIème siècle, la peine de mort était prononcée et appliquée avec une extrême rigueur. Il fallut attendre le règne de Louis XIV pour qu’un certain officier supérieur nommé Martinet adoucisse les peines, léguant son nom au célèbre accessoire, instrument de nos plaisirs. C'est en effet un lieutenant-colonel, Jean Martinet qui, indigné des cruautés dont il avait été souvent témoin, eut la philanthropique idée de faire remplacer le fouet par de petites lanières fixées à un manche, plus inoffensives pour la peau, tout en imposant toutefois d' interminables exercices aux troupes, exigeant d'elles un respect absolu du règlement. Le nouvel instrument prit le nom de son inventeur, qu’il porte toujours aujourd’hui. Officier contemporain du célèbre Charles de Folard (1669-1752), l'officier supérieur Martinet, commandant sous l’armée de Louis XIV, mérite toute sa place à côté du stratège écrivain, par les changements révolutionnaires qu’il introduisit dans les manœuvres de l’armée, en modernisant le recrutement (suppression des mercenaires). Il est cependant fort probable que, sans quelques lignes de Voltaire, il serait à ce jour un illustre inconnu. L'armée du Roi Soleil ne comportait pas à l'époque d’inspecteurs d’infanterie et de cavalerie mais deux officiers de valeur, le chevalier de Fourille pour la cavalerie, et le colonel Martinet, pour l'infanterie. Précurseur également de la baïonnette, Il se distingua lors du fameux passage du Rhin chanté par Boileau. Ses inventions furent précieuses et décisives pour le monarque français lors de la partition de la Hollande. Utilisé jusque dans les années 1980, l'objet tant redouté des enfants, les tribunaux le considère désormais, au même titre que la fessée comme un instrument prohibé, de pratique répréhensible, punie par les tribunaux. La mégère Madame Mac'Miche l'infligeant sur le bon petit diable, Charles, de la moraliste Comtesse de Ségur, fait désormais partie des images d’Épinal. Tout comme la légende enfantine du Père Fouettard, dans le Nord de la France, et en Alsace (appelé Hans Trapp). Dans le sadomasochisme, on échappe toujours au plaisir, que pour être repris par le plaisir. Le martinet est un instrument de précision frappant de ses lanières la partie du corps décidée. Pour la Dominatrice, ou le Dominateur, il est primordial de prendre conscience de l'impact sur la peau. D'utilisation plus aisée que le fouet, indispensable est également d'apprendre à en contrôler le mouvement. Les lanières sont le plus souvent en cuir, en nylon, en tissus, en peau de daim ou de chamois, ou en crinière de cheval. La liste étant loin d'être exhaustive. Lors d'une séance de flagellation, il est conseillé de commencer par glisser doucement les lanières sur la peau. C'est l'indispensable période d'échauffement. Ensuite, les coups doivent être espacés et entrecoupés de caresses à l’endroit fouetté, en demeurant toujours attentive (if) aux réactions du partenaire soumis aux délices. L’injonction d’arrêter par l'emploi d'un safeword (verbal ou gestuel) mettant immédiatement fin à la séance. La personne soumise, ayant librement consentie, emportée par l'excitation de la séance, ou par le désir de satisfaire la ou le Dominatrice (eur), peut perdre elle-même le sens de ses limites. La dominatrice ou le dominateur, constatant que le seuil de tolérance est alors atteint, doit mettre un terme aussitôt à la flagellation, évitant blessures physiques ou mentales parfois irrémédiables. Rappelons que le safeword en amont est essentiel. Un simple code, visuel ou sonore permet de mettre fin aussitôt à la séance. les marques définitives ne sont acceptables que dans un processus ritualisé mûrement réfléchi, et consenti. Un onguent ou une crème analgésique font disparaître plus rapidement les traces, et calment la douleur. Sauf désir contraire de la soumise souhaitant les conserver comme marques fières d'appartenance. Quel qu'en soit le mode, rappelons avec force que frapper un corps humain n'est jamais anodin. La flagellation doit être considérée comme dangereuse. Il est indispensable, pour la soumise, ou le soumis, ayant librement consenti, de s'assurer de la technicité de la Dominatrice ou du Dominateur évitant ainsi désillusions ou blessures. Elle ou lui doit s'assurer que les lanières sont très fermement fixées à l'extrémité du manche. Pour la même énergie, plus la surface de la peau flagellée est concentrée, plus le dommage potentiel causé est important. Les lanières fines cinglent, alors que les lanières larges provoquent une sensation sourde. Concernant les techniques basiques de flagellation, quatre se distinguent généralement: - Le mouvement du poignet peut induire des coups par des lanières à plat. - Il peut provoquer un mouvement de balayage simple ou elliptique. - Il peut également entraîner des figures de rotation (attention aux risques d'enroulement). - Enfin conduire par un mouvement puissant, les lanières à frapper de manière sourde au même endroit. Le plaisir partagé tient tout autant de la ritualisation de la séance, de la mise à nu de la soumise, et de la posture choisie. La flagellation est un acte symbolique fort dans la soumission, comme l'union mystique de deux désirs par un instrument. Si l'expertise de la Maîtresse ou du Maître est requise, l'attention des deux partenaires l'est tout autant. "Une seule abominable douleur la transperça, la jeta hurlante et raidie dans ses liens, elle ne sut jamais qui avait enfoncé dans la chair de ses fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix avait compté jusqu’à cinq, ni sur le geste de qui ils avaient été retirés." (Histoire d'O) Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/11/19
Une pénitence assumée... Le paquet arriva par la poste. Cet envoi apparamment anonyme la troubla plus qu'elle ne l'aurait pensée. L'expéditeur, lui envoyait ainsi les ordres qu'elle s'était engagée à respecter... Novice dans cet univers si subtil, elle doutait de tout et d’elle-même surtout… Mariée avec un époux qui n’aurait pas compris malgré quelques audaces qu’elle avait proposées… Heureusement personne n'était au courant de l'arrivée du colis lui évitant ainsi quelques questions curieuses qui l'auraient embarrassées. ELLE attendit d'être seule, le soir, pour découvrir le contenu. Une robe légère, noire, sans ceinture, ample au niveau des hanches accompagnée d'une paire de bas vaporeux gris clair seraient donc la tenue vestimentaire qu'elle devrait porter pour se rendre à la séance. Elle savait n'avoir droit à rien d'autre... S'imaginer marchant dans la rue, nue sous cette robe si légère lui procura une délicieuse mais angoissante bouffée de chaleur. Son cœur battait très fort. Le doute était là mais il n'était pas question de renoncer. C'est elle qui le voulait. Elle méritait ce châtiment qu'en fait elle attendait depuis tellement longtemps. Était-elle maso...? Sûrement, en s'imposant à elle-même une punition qu'elle voulait brûlante. Elle se voulait pénitente, responsable d’elle ne savait quels pêchés mais, ils étaient sûrement si nombreux qu'elle méritait cette sanction. Son corps entier craignait la douleur et pourtant il lui fallait souffrir, elle savait que ce serait un plaisir... Elle voulait être le jouet asservi à ce partenaire qui avait su la comprendre. Elle se jugeait impure. Pour lui, elle allait l'être, justifiant cette fessée qui pourrait l'absoudre. Ses reproches étaient simples mais tellement sources de culpabilités. Elle se savait injuste avec les hommes qui l'aimaient. Leur tendresse lui paraissait être de la faiblesse. Alors, elle les manipulait, s'en voulait mais recommençait. Elle n'était troublée que par ceux qui ne voyaient en elle qu'un joli corps aux qualités sensuelles insatiables dont ils aimaient savourer les largesses. Elle voulait expier cette bassesse pour certains et cet asservissement à d'autres tout en sachant qu'elle ne pouvait s'en passer. Cette incohérence, elle devait en souffrir car elle savait qu'elle y trouverait du plaisir... Encore une raison justifiant la sanction comme l'auraient confirmé ces sclérosants préceptes religieux qui l'avaient tant bridées. ------- C'était le jour... Ce soir précisément...! Un sms strict reçu sur son téléphone, lui indiquait l'heure, le lieu et rappelait qu'elle ne devait porter que ce qui était dans le colis. Ce message reçu à son bureau, lui fit l'effet d'une bombe incendiaire qui embrasa tout son corps. Elle regarda autour d'elle avec la sensation que tout le monde était au courant de ce qui l'attendait... Elle se sentit oppressée par le doute et liquéfiée par une excitation incontrôlable. Elle devait être rouge de honte et d'envie. Elle mit son visage dans ses mains essayant de retrouver son calme. Elle essayait de réfléchir sur son organisation. IL l'avait fait exprès, elle en était sûre, de lui laisser si peu de temps... Elle ne pouvait plus réfléchir. Débaucher tôt, passer à la maison, se doucher, se changer et se rendre à cette adresse. Elle avait peu de temps. Pourvu que rien ne la retienne. Elle était folle de se lancer dans cette histoire mais elle ne pouvait plus reculer... Elle se dit qu'elle ne valait rien d'être autant sulfureuse... Et elle aima cette idée...! Le temps s'écoulait lentement alors qu'elle aurait eu tellement de chose intéressantes à faire. Son impatience devenait excitation. Elle ne tenait plus en place, soupirant sans cesse, croisant et décroisant les jambes pour soulager cette tension subtile qui s'animait entre elles. Dès que ce fut l'heure, elle quitta son travail. Heureusement, les courses étaient faites, l'emploi du temps de sa famille permettrait son absence en ce début de soirée. Cette oppression angoissante augmentait au fur et à mesure que le temps passait... Comment allait-elle vivre cette punition...? Était-elle raisonnable de se lancer dans un tel scénario. Elle ne voyait rien, inconsciente, sonnée par l'échéance qui approchait. Elle se doucha très vite en essayant de souffler, de s'apaiser avant la tempête qui l'inquiétait et qu'elle attendait. Elle se maquilla légèrement se demandant si c'était bien nécessaire, se parfuma, se caressa en regardant son corps qu'elle espérait, maintenant ne pas retrouver trop tourmenté. Elle se para des bas et enfila la robe. Pas mal se dit-elle, se regardant dans le miroir en exhibant son arme fatale, ce sourire au charme ravageur... Mais elle savait que dans quelques minutes, rien n'y ferait et qu'un rictus de souffrance le remplacerait sur ses lèvres. Elle s'échappa discrètement. Elle put se garer pas très loin de l'immeuble. Les quelques mètres à faire, elle les fit cramoisie de gène car un vent léger mais insistant s'acharnait à glisser sous sa robe qui ne demandait qu'à s'envoler sous ce souffle excitant mais qui bientôt, allait devenir obscène pour elle. Les personnes qui la croisait, devaient la trouver bien prude à tenir ainsi serré les pans de son vêtement. S'ils avaient eu la moindre idée d'où elle se rendait...!!! Elle appuya sur l'interphone. Personne ne lui répondit mais la lourde porte s'ouvrit. Elle prit l'ascenseur le cœur battant. Ne pas réfléchir, assumer sa propre demande, se jeter dans cette pénitence les yeux fermés. La porte de l'appartement était ouverte. Elle entra. Au fond du couloir, une pièce était allumée, la seule...ce qui rendait encore plus angoissant l'intensité pathétique de ce moment. Elle demanda si quelqu'un était là. Elle n'eut pas réponse . C'était une chambre sobre, digne d'une cellule, idéale pour la situation. Elle posa son sac sur une petite table et s'assit sur le lit. Elle aperçut un mot sur l'oreiller. C'était des ordres exigeant d'elle de ne jamais rien dire et de se déshabiller. ELLE s'exécuta, fébrile, en sueur, impatiente et inquiète à la fois. Sans un bruit, IL entra, nu, le visage recouvert d'un masque noir qui rendait cette scène terriblement excitante. Dans sa main droite il tenait un gros ceinturon de cuir qui lui parut redoutable. ELLE sentit son corps fondre, son trouble était incontrôlable. Ce moment tant attendu, elle allait le vivre ou plutôt le subir. Sans un mot, IL la fit se retourner et s'étendre sur le ventre . Il lui prit les poignets et lui montra qu'il fallait qu'elle se tienne aux barreaux des montants du lit. Il lui remontra le mot en insistant sur le passage lui imposant le silence. Elle se mordait la langue. Elle avait mille questions mais ce n'était plus le moment. L'ambiance était pesante. Elle n'était plus rien qu'un jouet offert à son bourreau. Son ventre était rempli d'incohérence, bouleversé par l'angoisse et chaviré par un besoin sensuellement et charnellement insupportable. IL lui écarta les jambes, son corps ainsi couché dessinait un grand X de circonstances. Elle entendait le sang fracasser ses tempes, sa respiration haletante, depuis longtemps, n'était plus contrôlée. Elle essayait sans succès de se reprendre. Le premier coup la surprit par sa soudaineté. Son corps entier se raidit mais il était trop tard. Le claquement sensuel de la sangle de cuir comblait ses attentes. Elle pensa qu'elle était sacrément vicieuse pour se faire une telle réflexion. Cet écart de concentration ne lui fit pas penser au second coup qui enflamma son postérieur. Elle y était, elle assumait, elle souffrait... Épiant la frappe suivante elle hurla malgré tout, en ressentant la puissance du troisième choc. Une main s'abattit sur ses fesses. IL lui tira les cheveux pour relever sa tête. Tendant un index explicite, toujours sans un mot, il lui montra sa main au doigts reliés comme pour une gifle puis, les écarta formant le chiffre cinq qu'elle comprit de suite être la menace d'une rallonge possible de son supplice en cas de nouvelle rupture du silence. Le quatrième coup électrisa son corps. La douleur brûlante, lancinante, se diffusa dans toute sa carcasse de vilaine fille. Oui, une vilaine fille... C'est ce qu'elle était se dit-elle en pensant à toutes ses erreurs qu'elle était en train d'expier. Le cinquième lui donna l'impression qu'il la déchirait. Instinctivement, elle placa ses mains comme pour se protéger... Cette insoumission flagrante lui valut la colère de IL qui lui retira ses bas pour les enrouler à ses poignets et l'attacher avec, aux barreaux qu'elle avait fait l'erreur de lâcher. Lui tirant une nouvelle fois les cheveux pour relever sa tête, il lui montra la sentence en exhibant les cinq doigts bien écartés. Il n'y aurait pas de sursis. Ne plus réagir, uniquement subir...! Le sixième contact embrassa ses cuisses et ses reins. Elle était essoufflée, sans conscience du temps passé. Il lui fallait penser pour compenser la douleur qui se diffusait malignement comme elle le redoutait... Cette vilaine fille aux si nombreux pêchés qu'avait-elle de si pervers à se reprocher...? Le septième cinglement de la courroie de cuir lui rappela ce délicieux garçon qu'elle avait prit plaisir à faire souffrir alors qu'il ne voulait que son bonheur. Elle s'en était (un peu...) voulu de l'avoir délaissé pour s'afficher ouvertement avec un inconnu qui lui, l'avait très vite, délaissée, elle...! Le huitième , elle l'entendit siffler avant de se fracasser sur sa chair. Elle le dédiait à cet amant d'un soir qui n'avait eu pour elle que de l'attrait pour ses formes et son excès d'intérêt pour sa virilité. Elle qui rêvait de libertinage se disait qu'elle y avait déjà goûté sans s'en apercevoir. Le neuvième fut terrible car, la tête vide, elle n'était que souffrance. Elle tirait sur les bas toujours agrippée aux barreaux. Elle espérait trouver de l'apaisement dans la douceur du nylon. Il lui fallait penser. Elle n'y arrivait plus... Elle sentait le goût salé de ses larmes qui glissaient sur les bords de ses lèvres. Le dixième lui arracha un sanglot hoquetant. De suite, elle se mordit la langue de regrets. Il devait être le dernier initialement et elle avait espéré l'amnistie de son erreur et l'oubli des cinq coups supplémentaires... Elle compris au onzième qui vint très vite, qu'il n'en serait rien. Tout était couleur de sang dans sa tête mais malgré cette douleur entièrement diffusée dans chaque parcelle de son être, elle ressentait le plaisir d'avoir osée aller au bout de sa démarche. Le douzième fut horrible et divin à la fois. Souffrir dans ce moment là, était sa quête. Elle était martyre et elle s'aperçut qu'elle aimait ça... Pour le moment et modérément toutefois...! Le treizième fut insupportable. Elle haïssait tous ces hommes qui n'avait pas su l'aimer comme elle l'espérait. Les doux, les durs, tous étaient responsables de son mal être qui inspirait ce manque qui la conduisait ici... Le quatorzième la rendit philosophe. Elle avait voulu souffrir pour expier toutes ses errances de choix, de goûts, de décisions... Elle était comblée... IL, véritable sadique (elle en était maintenant et hypocritement persuadée) avait sublimé son aspiration. Au quinzième, elle ne put retenir ses sanglots. Son corps entier gémissait. Elle pleurait, criait, le corps secoué de spasmes dont elle ne savait plus s'ils étaient de souffrance ou de plaisirs... Haletante, hoquetante, hébétée, surprise par elle-même, elle se rendit compte qu'elle avait joui. Ses pleurs ne pouvaient plus s'arrêter. L'arrêt du supplice la laissait comme une marionnette dont seul IL pouvait tirer les ficelles. La tête dans l'oreiller, le cœur au bord des lèvres, elle sursauta à la fraîcheur du contact apaisant qui irradia dans son dos. IL étalait sur les marques pour quelques temps, tatouées sur sa peau, un onguent apaisant qu'il régalait doucement sur sa peau meurtrie. ELLE était en transe. Sa sensualité n'avait jamais été autant exacerbée. Après cette souffrance, tout n'était que caresses voluptueuses et son envie de plaisir était au paroxysme. Elle ouvrait et fermait sans pouvoir se modérer ses cuisses libres et gourmandes d'extases. Son bourreau devint son amant à qui elle s'offrit sans pudeur dans une position qui n'était que soumission. Sa pénitence continuait et elle l'appréciait de plus en plus... Elle se dit qu'elle était vraiment perverse tout en se laissant submerger bruyamment par l'orgasme formidable qui la chavira... Son cri fut un exutoire délicieux. IL la libéra en défaisant lentement les liens qu'étaient devenus ses bas. Exténuée, libérée enfin de cette frustration qui la tétanisait, ELLE se laissa aller dans ce silence devenu rassurant. Elle s'assoupit, la conscience tranquille. Ce petit somme réparateur lui avait fait du bien. Elle se leva et chercha la salle de bains. IL était déjà parti, l'appartement était vide. Elle répendit de l'eau fraîche sur son visage et fit de même délicatement avec son bas de dos. Ses fesses étaient écarlates et les traces du ceinturon commençaient à se dessiner sur sa peau nacrée... En se caressant, la douleur enflamma ses sens. Elle se dit qu'elle n'était pas normale d'aimer ça...! Elle apprécia l'intention précautionneuse de IL d'avoir prévu cette robe large au niveau des hanches et trouva pertinente l'absence de culotte car la morsure de l'élastique aurait été intolérable. Elle sourit en se disant qu'elle allait adopter cette tenue vestimentaire durant quelques jours car son postérieur la brûlait avec une intensité qu'elle pensait devoir durer un moment. Elle sourit en pensant à ce que diraient ses collègues s'ils savaient ce qu'elle ne portait pas...! Elle était bien et trouvait cela excitant. Avoir franchit cette étape, l'apaisait... Elle était fière d'avoir enfin osé. IL avait pleins d'idées pour l'entraîner vers ces chemins buissonniers qu'elle avait envie d'explorer. Elle sourit à cette idée qu'elle trouva grisante. Elle était vraiment perverse et cela était délicieusement bon. Les cernes sous les yeux lui rappelèrent l'intensité sensuelle de l'expérience venant d'être vécue. Elle mit des lunettes de soleil pour les cacher et quitta rapidement l'appartement. Elle se sentait légère, moins prude en regagnant sa voiture. Elle appréciait ce petit vent bien agréable qui glissait sous sa robe et calmait ses brûlures. Elle marchait doucement, savourant la caresse. Mais il fallait se dépêcher. ELLE avait disparue momentanément. La mère de famille respectable et très sage, avait repris sa place...!!!
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Par : le 07/11/19
"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles que la pornographie se plaît à inventorier. Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et sadique des partenaires en les unissant par un instrument. La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur et de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais autonome dans le BDSM. Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent. Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM. Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses. Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences. Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer. Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation. Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM. Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers. Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir la douleur et la cruauté dans la soumission. On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur). La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté. Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie. Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs. Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé. Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques. Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit. L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables. Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle. Les sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants. Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité. Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles. Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples. Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse. Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants, les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire. Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles. Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante. À Rome, les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies. Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville. Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris, à les flageller jusqu'au sang. Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards et obscènes sur le raffinement de leurs débauches. Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir. Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre. Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue de dompter les élans de leur chair. De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié. Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse. Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître. Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses pour les ordres féminins. En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation. Quant au trop fameux Marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique. La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments. Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite. Pour autant, l'Histoire est trompeuse. Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire son implantation dans l’ordre des plaisirs. C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens. La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel, de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts, a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit. Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place. Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir. Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue, dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures de soumission. Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion, chevilles et poignets entravés sur une Croix de Saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité, comme une proie. La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus, le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine. Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est. Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance, ne doit pas occulter la sécurité. La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire. De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation. En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger et plus la sensation est douce. Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés, pour des raisons évidentes de sécurité. Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté. Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté. Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter. Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement. En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections. Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles. Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre. De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée. Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter. A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle. Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance. Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. "O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O." Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/11/19
"O était heureuse que René la fit fouetter parce que sa soumission passionnée donnerait à son amant la preuve de son appartenance, mais aussi parce que la douleur et la honte du fouet, lui semblaient le rachat de sa faute." (Histoire d'O) Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage. Un soupçon de plaisir dissimulé a toujours pesé sur la flagellation. Une lecture historique dénote une constante évolution, au cours des millénaires et des civilisations, de l'attrait pour sa puissance symbolique et sa beauté brutale. Á la ritualisation du supplice, pratiquée à l'origine, par une caste aristocratique grecque, célébrant la pureté des sensations excessives, s'est jointe une volonté de transgresser des mœurs sexuels, l'imposant par sa force érotisante, comme une véritable discipline incontournable, autonome et idoine, dans la rhétorique du désir. Dans la Grèce antique, la vérité et le sexe étaient liés par la transmission d'une connaissance d'un corps à l'autre. Le sexe servant, avant tout d'initiation pédagogique et d'apprentissage à des enseignements sophistiqués et précieux. Le degré de complexité du savoir dépendait de la sagesse et de l'appartenance souvent à l'élite. Certaines relations étaient axées sur le rapport élève/enseignant, d'autres comme à Thèbes sur la survie. L'étude des comportements sexuels, dans l'Antiquité, s'est trop concentrée sur la comparaison avec notre vision moderne. Les historiens ne se sont pas suffisamment penchés sur la richesse du discours de ces éléments constitutifs. La flagellation se rattachait plus globalement à un art de vivre, ne se résumant pas à une simple pratique érotique. Plutarque a écrit de nombreux récits lyriques sur les compétitions sportives de fouet spartiates. "Les garçons de Sparte ont été fouettés pendant toute la journée à l'autel d'Artémis Orthia, souvent jusqu'à la mort, et ils l'ont courageusement enduré, joyeux et fier, se disputant la suprématie sur l'un d'entre eux, Il pouvait supporter d'être battu plus longtemps et plus souvent, et celui qui était victorieux avait une réputation particulière." Andromède, fille du roi Céphée et de la reine Cassiopée de Jopée fut la première femme à entrer en servitude. Enchaînée nue à un rocher, ce fut Persée qui la sauva. Euripide décrit Aphrodite ordonnant à Thésée de supplicier son fils Hippolyte. Les auteurs grecs et romains comme, Theopompus de Chios et Platon, qualifiaient les Étrusques d'immoraux. Dans les cités d'Étrurie, les femmes esclaves, lubriquement extravagantes, attendaient les hommes, pour subir, en place publique, nues et enchaînées, le supplice du fouet, avant d'être possédées. Tite-Live légitimait la prostitution et le viol de Lucrèce, idéalisant la fidèle et vertueuse romaine. Le mari avait des rapports sexuels avec sa femme et des courtisanes libérées, avant de se livrer à des scènes orgiaques de débauche, avec de jeunes garçons, éphèbes et lisses qu'il sodomisait. Les Romains l'utilisaient comme châtiment corporel, comme sanction pour punir des actes criminels, à l'aide d'un fouet, le flagrum, à l'encontre de suppliciés avant de les crucifier. La fonction sexuelle de la flagellation apparaît donc en filigrane tout au long de l'histoire, dès le Kâma-Sûtra. Elle constitue un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé depuis le 17éme siècle. Au début du XIXème siècle, Sade fit de la flagellation son châtiment de prédilection, lors de scènes de tortures d'une extrême sauvagerie, mêlant cruauté et fantasmes sexuels, décrites dans "Justine", l'une de ses œuvres les plus célèbres. Frédéric II de Prusse fouettait avec vigueur de sa propre main les femmes de la cour, pendant que Marcel Proust fervent adepte, lui même, décrivait dans "À la recherche du temps perdu", un baron de Charlus, inverti cultivé et aux goûts raffinés, allègrement rougi. Chez les femmes de pouvoir, jetant hélas leur dévolu sur des sujets non-consentants, après Messaline et Cléopâtre, Marie de Médicis (Pierre de Brantôme l’évoque) fut une grande manieuse de fouet, de même que Catherine de Russie. L'Angleterre, avec le déclin de l'Eglise catholique au XVIIème siècle, laïcisa la pratique dans les maisons closes alors très populaires. Le Roi Georges VI appréciait tout particulièrement la chaise fessée en prêtant son siège aux délicieux tourments. De nombreuses conférences étaient consacrées sur l'utilité et l'agrément de la verge par de ferventes Ladies appartenant à la meilleure société de Londres, désirant s'instruire dans l'art de la flagellation, mais surtout s'adonner à ce piquant et aimable passe-temps, avec de jeunes filles susceptibles de correction. Détaillant avec d'infinies précautions, les postures idéales promptes à déclencher la jouissance, lors de fustigations, avec une inclinaison naturelle, pour la position gomorrhéenne. La victime mise à nu, les pieds et les poignets liées, les yeux bandés, était meurtrie jusqu'au sang par une longue et fine verge. Les lanières d'un martinet se promenaient des épaules aux chevilles, cinglant les endroits intimes et sensibles, en s'arrangeant pour lacérer la chair sans la déchirer. Les contorsions voluptueuses sous l'ardente meurtrissure exacerbaient le plaisir de la fouetteuse la conduisant à un état extatique. On employait indifféremment le fouet, la canne, la cravache ou le fouet, exceptionnellement la main réservée à la seule fessée. Le mot fouet, du XIIIème siècle, vient du latin "fagus", le hêtre, et signifie verge de hêtre. Le fléau, instrument pour battre le blé, signifie également châtiment adressé par Dieu. La flagellation inclut l'idée d'instrument, de mouvement, et d'action. On peut donc flageller son partenaire avec toutes sortes d'instruments: fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, câble électrique, paddles, battes, etc. La liste n'est jamais exhaustive laissant libre cours à l'imagination. Le Fouet est constitué d'un manche de cuir tressé muni d'une ou de plusieurs lanières de cuir, de longueur différente selon les usages. Ses usages sont liés à sa composition. La longueur de la lanière permet de frapper le corps avec une redoutable précision en le meurtrissant. Mais manié avec prudence et dextérité, il peut lui apporter de chaudes voluptés, après une attention persévérante et soutenue. Dans les relations BDSM, la flagellation par le fouet, véritable rite initiatique, constitue un symbole fort de domination pour celui qui soumet. Elle est presque toujours pratiquée de façon légère, de manière à ne pas blesser gravement la personne qui reçoit les coups. Son maniement spectaculaire exige une très grande technicité, et une indispensable modération. Un fouet mal utilisé, ou en mauvais état, peut très rapidement cisailler la peau. Un entraînement préalable sur un objet inanimé est vivement conseillé. En claquant le fouet, le bout de la lanière émet un bruit caractéristique en dépassant le mur du son, le claquement. Il est craint car il procure une intense douleur et peut laisser des traces durables. L'objet provoque à sa simple vue, chez la (e) soumise (s), excitation, émotion avant même le début de la séance. Promené sur les parties sensibles ou génitales, il provoque un sentiment d'abandon total de la part de la soumise et d'adoration à la Maîtresse ou au Maître. La soumise n'est plus que corps et volonté abandonnés dans la soumission à l'être aimé. C'est un instrument de précision exigeant beaucoup d'espace car le porteur du fouet doit se tenir loin de l'esclave pour le frapper. La personne fouettée est nue et attachée sur un cheval d'arçon ou le plus souvent sur une croix de Saint André. Les yeux bandés, elle ignore l'emplacement de l'impact suivant, de la caresse cinglante et mordante. L'ambiance faisant partie intégrante de la séance, surtout lors de la préparation et la mise à nu. Les coups de fouet placés et répétés peuvent conduire à l'orgasme. La flagellation par le fouet exige expérience et entraînement pour des personnes consentantes, conscientes et responsables. Des conseils d'utilisation, de prévention, de mise en garde et de sécurité lors de son utilisation, seront étudiés lors d'un prochain article. Le martinet s'apparente au fouet d'une longueur plus courte, doté de multiples lanières, en général en cuir. Les sensations qu'il produit varient en fonction de la matière dont elles sont constituées, chameau, soie, nylon, de leurs nombres, de leurs dimensions et de l'usage qu'en fait le fesseur. La flagellation peut-être légère ou énergique selon les endroits caressés, mais doit toujours être précédée d'un échauffement. Appliquée avec vigueur sur une zone érogène de la soumise, la douleur dissipée peut faire place à une fulgurante jouissance. Elle s'adresse également à des partenaires consentants, conscients et responsables. La canne anglaise semble être l'instrument qui fascine le plus dans les séances de flagellation. Généralement en rotin et plus rarement en bambou, elle mesure entre un mètre et un mètre-vingt de longueur, pour des diamètres variables. Réminiscence d'un passé punitif, très utilisée dans l'Angleterre Victorienne du XIXème siècle, elle représentait l'autorité professorale ou directoriale. Facile à se procurer et discrète, entre les mains d'un fesseur expérimenté, elle devient un redoutable instrument de correction. Les vibrations enregistrées dans les organes sexuels, lorsque la canne s'abat sur la partie inférieure des fesses, peut de la douleur au plaisir, conduire à l'orgasme. La cravache plus ou moins longue, plus ou moins épaisse, de couleurs différentes, peut être décorée. Elle possède des formes variées de poignée et de claquettes. Elles est constituée soit de cuir soit d'un matériau synthétique. Sa flexibilité la rapproche de la canne, mais possède une boucle de cuir à l'extrémité du manche. Le dominateur peut choisir de n'utiliser que cette partie de l'instrument, ou de se servir du manche également. L'instrument est d'une redoutable efficacité sur les cuisses ou les fessiers nus. Rien n’est comparable à la cravache quand elle est bien utilisée. Il est indispensable de commencer doucement par échauffer les fesses afin de créer une sensation de brûlure profonde et sensuelle. Notons qu'Il ne faut jamais utiliser la cravache et le fouet au cours de la même session de soumission. Les coups de la cravache (ou du fouet) peuvent devenir de plus en plus forts, seuls alors les supplications de la soumise, son orgasme ou bien entendu le mot d'arrêt (verbal ou corporel) peuvent arrêter la séance. La chaleur progressive envahissant les fesses offertes de la femme soumise se transforme peu à peu en ondes bienfaisantes. Elle peut atteindre rapidement l'orgasme, voire plusieurs orgasmes consécutifs lorsqu'elle est prise immédiatement après. La flagellation peut devenir un acte d'amour puissant, les deux partenaires n'étant pas séparés mais reliés par l'instrument. Le savoir-faire et la sensibilité sont bien entendu indispensables, mais l'attention portée à l'autre l'est tout autant. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. Les techniques, les parties du corps à fouetter, à ne jamais fouetter, ainsi que des conseils de mise en garde et de sécurité, à respecter pour un plaisir partagé, au cours de chaque séance seront étudiés dans le prochain article. "René, bouleversé, regarda longuement le corps mince où d'épaisses balafres violettes faisaient comme des cordes en travers des épaules, du dos, du ventre, et des seins, et parfois s'entrecroisaient. De place en place un peu de sang perlait." Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 02/11/19
A écouter avec Beth Hart - Caught Out in the Rain… Et a la fin de l'histoire, pour redescendre Antony and the Johnsons : fistful of love.. Bonne lecture. Bien sur c'est une pure fiction… Le Bureau Le réveil sonne, je me réveille en sursaut. Je bondis, j’étais très en retard pour mon travail. A peine le temps d’une douche bien chaude, je me demandais quoi porter avec ce temps si tristounet. Je n’avais malheureusement pas le temps à la réflexion. J’enfilais un chemisier blanc et une jupe crayon noire, le tout avec des chaussures vernies à talons rouge. Vu le temps, je n’avais pas le choix que de mettre des collants et une lingerie des plus invisibles. J’ai la chance de mon responsable soit très sympa, car je savais que j’étais déjà en retard. Je jouais un peu de ma féminité pour camoufler mon léger retard. Un rouge à lèvre rouge pour égayer mon visage et me voilà partie. Quelle journée horrible, en plus d’être en retard, un bouchon se forme. Je sens que je vais passer un sale quart d’heure, vu que nous avons une présentation à faire.arr Je cours pour arriver à mon bureau, je suis quelque essouffler. A peine mon sac à main posé, je me précipite pour préparer le café que je fais comme chaque matin. J’arrive avec le plateau dans le bureau de mon responsable. C’est un homme très grand, blond et des yeux bleux qui vous transperce. J’avoue qu’en sa présence, je me sens toute chose. Il dégage cette attitude bienveillante. J’ouvre doucement la porte, la franchie avec mon plateau et la ferme avec une certaine familiarité avec mon derrière. Il était déjà là.. et il me toisa du regard avec un air contrarié. - C’est à cette heure ci que vous arrivez ? - Je suis désolée mais il y a eu un accident sur la route et.. - C’est bon ça suffit ! Nous devons avancer sur cette réunion, et pour le moment on ne peut pas dire que vous ayez été d’une aide précieuse. - Qu’avez-vous fait à ce document, je n’arrive même pas à l’ouvrir. Le rouge m’était monté au nez. -Puis je ? Il acquissa. C’est là qu’il recula son fauteuil pour me laisser prendre place devant lui. Je me penchais sur son ordinateur, lui offrant ainsi une certaine vue sur mon fessier. Au fond de moi cela me faisait plaisir et à la fois j’étais très intimidé par cette proximité. C’est alors qu’en voulant me retourner je fis tomber le café sur le sol. De là je sentis son regard encore plus sévère. - Je pense qu’il est grand temps de vous corriger, de corriger votre attitude desinvolte chère Mademoiselle. - Mais de quoi parlez vous ? - Je sais très bien à quel jeu vous jouez. Vos regards, votre posture, ce rouge à lèvre. Vous cherchez à provoquer. Maintenant vous devez assumer. - Pardon ? dis je presque offusquée. - Ne faites pas l’innocente effarouchée. J’étais relevé, le dos au bureau, face à lui. Il s’approcha de moi tout en me regardant droit dans les yeux. Je reculais.. reculais, mais pour ne pas aller trop loin. Je me sentie prise au piège. Je me retrouvais ainsi assise sur son bureau. - Vous allez me nettoyer cela immédiatement, avant que vous ne partiez ce soir nous aurons un entretien sur votre comportement. Dans ma tête, je ne savais pas quoi penser. Que voulait il ? Une fois les fichiers récupérés, il avait retrouvé ce petit sourire que j’aime voir. La journée passa à une vitesse entre les appels, les e mails et autres réunions. Je passais une dernière fois aux toilettes avant de partir. Mon cœur battait. Il m’avait convoqué pour un entretien. Tout le monde était parti. Il était 19h. Une journée bien longue. Je toquais à sa porte. - Entrez. - Voilà, j’allais partir, vous souhaitiez qu’on se parle. - Oui en effet. Venez ici. J’étais debout face à son bureau, lui assis. - Aimez vous les règles Mademoiselle Lane ? - Les règles ? - Oui, il semblerait que vous ayez quelques soucis avec le réglement. Vous êtes souvent en retard.. - C’est que.. je.. - Tssss, suffit de vos petites excuses avec votre air aguicheur. - Mettez vos deux mains sur le bureau et cambrez vous. - Je… mais… - Obeissez ou alors je pense que vous n’aimerez pas l’autre tournure de cet entretien. Vous ne voulez pas me décevoir ? Je me sentais un peu chipée par cela mais vu l’attirance que j’avais, je décidais de m’exécuter. - Penchez vous mieux que cela. Il se plaça juste derrière moi, je sentais presque son sexe se frotter à mon fessier. - Je vois que vous êtes dans de très bonne disposition très cher. - Il est temps de recevoir votre correction. - Relevez moi cette jupe sur votre taille. Je relevais avec un certain amusement ma jupe sur ma taille. - Un collant ? Il s’approcha de mon oreille et me susurra - Je vais vous baiser comme une bonne petite assistante doit être baisée. Je ne veux pas vous entendre. C’est alors qu’il déchira avec force mon collant, se saisit du ciseau de la table et coupa ma culotte. - Voilà qui est bien mieux. Il saisit dans sa poche un préservatif, Il passa sa main sur mes lèvres. - Je vois que tu es déjà bien mouillée. Une assistante se doit toujours d’être prête. puis sans aucun ménagement enfonça son gland dans ma chatte qui dégoulinait d’exictation. Il saisit ma queue de cheval. Il me chevauchait littéralement. IL me baisa comme on ne m’avait jamais baisé. Je ne savais même plus à quel saint me vouez tellement il me prenait avec force, vigueur. Puis je le sentis en train de se freiner. Il retira sa ceinture et la placa sous mon ventre. De là il me plaqua le ventre contre le bureau. Et m’assena d’une bonne fessée sur la fesse droite. - Dis moi que tu aimes être baisée ainsi ? - Oui.. Monsieur.. dis je rougissante. Je me dandinais en voulant plus.. - Demande moi de te prendre par le cul. - Monsieur, je vous en prie, prenez mon petit cul. C’est là qu’il était à l’entrée de mon petit orifice. Il était si serré. Il me doigta un peu pour pouvoir mouiller au mieux mon orifice. - Mais comme tu es mouillée , on voit que tu es faite pour le sexe. ¨Puis d’un seul coup il commenca à s’introduire en moi. Doucement, lentement tout en tirant sur ma queue de cheval.. toujours et encore. Un cri s’échappa. Il plaça sa main sur ma bouche. -Taie toi. Je ne veux rien entendre, Est-ce bien compris ? Hoche ta tête. Je hochais la tête. C’est alors qu’il pris les bouts de sa ceinture dans les mains et les rapprocha de lui pour mieux me prendre avec profondeur. Je sentais toute sa queue en moi. Il me possédait. - Pas un mot tu as compris petite chienne ? Je hochais la tête. Il me sodomisait avec une telle force, Je sentais sa queue rentrer et sortir, rentrer et sortir. Je sentais son corps claquer contre mes fesses. Ses couilles tapaient fortement. Je hurlais intérieurement. - Tu es vraiment bonne, tu es faite pour ça. Je n’en ai pas fini avec toi. Je vais te baiser de partout. Et crois moi tu vas encore prendre cher. C’est alors qu’il s’arretera. - Relève toi. - A genou. J en’ai pas besoin de te faire un dessin sur ce que j’attend de toi. A genou a ses pieds, je levais la tête. Il avait cet air grave. IL tenait dans sa main son sexe. - Allez viens la chercher. Tu en meurs d’envie. Ouvre ta bouche. C’est à ce moment là qu’il passa sa ceinture autours de mon cou et le serra assez fortement. Cela m’existait terriblement d’être son objet sexuele. Ma bouche était ouverte, prêt à l’honorer comme il se doit. - Sort moi ta petite langue, allez . J’hésitai.. Il serra davantage la ceinture puis me gifla. - Sort moi ta langue. Je veux que tu me lèches de partout, comme une chienne le doit à son Maitre. C’est alors qu’il me fit marcher à quatre patte jusqu’à son fauteuil dans lequel il s’agit. - Garde bien ta bouche ouverte et ta langue dehors. Il prie sa queue et s’amusa avec le bout de son gland sur ma langue. Il l’introduisait puis le sortait. Puis sans ménagement le poussa jusqu’au bout de ma gorge. IL commenca à me baiser rudement la bouche. - Je vais faire un comparatif pour la prochaine fois. Par quel trou commencer à baiser ma petite chienne. C’est alors qu’il stoppa net, sa queue dans ma bouche. Il me caressa en même temps les cheveux. J’avais du mal à tenir cette position, je commençais à baver de partout. Il recommença a me prendre par la bouche, très profondément. Il me tenait par la gorge comme pour mieux faire passer la pilulle. - Tu manques d’entrainement. Je vais faire en sorte que tu sois bonne à baiser de porter. Allez reste ta langue dehors. - Lèche moi les couilles et mon cul aussi. Je rechignais à faire cela, je ne voulais pas. C’est alors qu’il prie ma tête et me forca à m’occuper de ses couilles. Je les prenais en bouche, puis de ma main droite, je plaçais ma main sur queue pour le sucer. Je sentais son abandon. Son sexe était dur dans ma bouche. Je continuais à lui caresser la queue, je la lechais, je passai ma langue entre son sexe et son cul. Cette zone si sensible. HU je devinais qu’il aimait cela. Je plaçais un de mes doigts proche de son anus, pour le titiller. Faisait il partie de ses hommes qui aimait qu’on leur introduise un doigt ? - C’est alors qu’il me dit. Mets le. Et suce moi, lèche loi. J’entrepris ma tache avec sérieux. Je m’abandonnais tellement j’aimais sucer. A la fois être baisée de la bouche, tout comme avoir le contrôle de moment beaucoup plus suave et doux où chacun s’abandonne. Puis pour reprendre la main sur moi, il me bloqua à nouveau, sa queue transperçant ma bouche, rester ainsi immobile. De sa main il me caressait le visage, d’une telle douceur. - Mets toi sur le bureau. Je m’exécutais. C’est alors qu’il me fit mettre la tête en arrière. J’étais très excitée. - Continue ce que tu sais si bien faire petite suceuse. Tu es vraiment faite pour ça. Quelle plaisir à baiser une belle bouche. Il me pénétra profondément, mis sa main sur ma gorge, comme pour tout faire passer. - Je vais gaver ta bouche de ma queue comme on gave une oie pour Noel. Tu vas être farcie de partout. Dis moi que tu veux cela. C’est alors qu’il prie ma tête dans sa main . J’étais son instrument pour sa queue. Il me baisait la bouche avec une telle frénésie que je n’arrivais pas à reprendre mon souffle. Il déboutonait rapidement quelques boutons de mon chemisier. Il entreprit de faire sortir mon sein droit de mon soutien gorge. Puis le second. IL prie mes deux globes dans ses mains tout en les serrant avec vigueur. J’étais à son service pour le satisfaire. Quand tout un coup, il se déchargeait sur mes seins tachant par la même occasion mon chemisier. Il se retira. - Reste comme ca que je t’admire ainsi souillée. Il caressa mon visage puis au creux de mon oreille me demanda. - Alors, cela te plait d’être ma chienne ? Timide je souris. - Alors dit le moi que tu aimes être ma petite chienne. - Oui Monsieur j’aime être votre petite chienne. Hum… Je vais te récompenser. Tu le mérites. Tu es une très bonne assistante. C’est alors qu’il me tira par les chanches pour me mettre mon cul au bord du bureau. - Ecarte tes jambes. - Hum que tu es trempée. J’adore cela. Je vois que d’être traitée ainsi te met dans tous tes émois. - Je vais m’occuper de toi.. Je vais m’assurer que tu sois toujours aussi ouverte les prochaines fois que je te baiserai. Je sens que je vais aimer m’amuser à tester le degré d’ouverture de ta petite chatte, de ton petit fion et de ta bouche. C’est alors qu’il posa sa bouche sur mon sexe. Je me dandinais. Il jouait avec mon clitoris. Je retenais mon souffle, je me cambrai. J’avais envie de sentir quelque choses aussi bien dans ma chatte que dans mon cul. Je défaillais. D’où me venais cette envie d’être remplie de partout… C’est alors qu’il commençait par mettre un de ses doigts en moi tout en continuant à me lécher. Je soupirai.. J’en voulais plus. Il jouait avec, à le mettre bien profondément dans ma chatte. C’est alors qu’il en mis un second.. - C’est ça que tu veux petite gourmande. Je hochais de la tête. Puis il enfonça un troisième. - Petite trainée… Ses mouvements de va et vient était si fort.. - Je vois que ma petite chienne aime tout ce qui lui sert à être défoncée.. ma queue.. mes doigts.. Je sens qu’elle en demande toujours plus… C’est alors qu’il en enfonça un quatrième. Je me dandinais encore plus, je mouillais encore plus. J’étais en transe. SA voix m’excitait au plus point. Être sa chienne, sa putain me faisait complement mouillée. - La prochaine je pense que je pourrais te baiser avec ma main. - Hum.. Je vois que cette idée te plait ? regarde moi comme tu mouilles… Nous avons plein de choses à découvrir. Petite dépravée. Je vais m’occuper de te faire perdre toute ta vertue de jeune femme bien élevée… Ainsi tout en me léchant, me doigtant et avec un certain savoir faire, il me fit jouir avec une telle intensité.. Les larmes de plaisir coulaient sur ma joue. Je le voyais, le regard grave sur moi. Il semblait hypnotiser. Il caressa ma joue. Il me releva e - Deshabille toi. Une fois nue, il cajola. Sa chaleur me réchauffa. Puis il prit son imper, le mit sur moi. - Tu me le rameneras demain. A partir de maintenant, interdiction de venir en collant au bureau…. Il me sourit, me serra dans ses bras et me raccompagna jusqu'à ma voiture en parfait gentleman
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Par : le 29/09/19
Déjà lorsque j'avais 5 ans et que nous habitions près de Bucarest, je me disais, "Un jour, j'épouserai un homme riche." A l'époque, je rêvais au Prince Charmant. Un prince Charmant qui habiterait un château et pas une caravane comme nous. C'est vers mes dix ans que mon père a décidé de partir pour la France, suite à quelques problèmes avec les autorités. De toutes façons on ne restait jamais longtemps au même endroit, nous sommes "Les gens du voyage". J'étais contente de pouvoir aller à l'école, même si je changeais d'école au gré des destinations des foires que nous suivions. Tout le monde aura compris que je suis une Rom. On nous appelle aussi Tzigane, Manouche, Gitans, Romanichels dans les meilleurs des cas. Mais, aussi "voleurs de poules." Ce sont les citoyens 100 % honnêtes qui nous appellent comme ça... Adolescente, je voulais toujours épouser un homme riche et voyager autrement qu'en caravane. Dans une des écoles que j'ai fréquentée, il y avait un garçon qui fait tout ce que je voulais et j'avais déjà beaucoup d'imagination à l'époque. Pour moi, le mari idéal était comme ça. Je choisissais d'abord un petit ami pour me défendre : dur d'être Rom dans la campagne française. Le genre de garçon dur à cuire me plaisait. Mais je recherchais aussi un petit esclave, un garçon amoureux de moi qui faisait mes devoirs, portait mon cartable, se faisait punir à ma place en échange de quelques rares baisers Le fait d'être Rom est un handicap, bien sûr. Quels sont les parents qui accepteraient que leur fils épouse une voleuse de poules ? Par contre, je suis séduisante. Notre peuple est originaire des Indes et je ressemble un peu à une Indienne : j'ai des cheveux et des yeux très noirs et ma peau est légèrement ambré. Je plais aux hommes et aux femmes. Des amants décidés, j'en trouve, par contre des futurs maris à qui je pourrais mettre un collier et une laisse, c'est rare ! Début juillet, nos étions dans un village près de Marseille et je suis allé en stop aux Saintes Maries de la mer. J'ai demandé à notre patronne Sara la Noire, de m'aider à trouver un mari. J'y crois. Et j'ai raison d'y croire, parce que trois semaines plus tard dans le Nord, un jeune homme avec une montre Cartier semblait fasciné par moi. Genre, je suis une vipère à cornes et lui une gerbille. Au moment où il a renversé sa bière et où je l'ai obligé à nettoyer, j'ai sût qu'il ferait le mari idéal. Merci, Sainte Sara. Il faisait exactement tout ce que je lui disait... C'est grisant, je mouillais de le voir obéir. On a été danser et j'ai flirté devant lui avec un homme comme je les aime, c'est à dire, un homme viril. Sara me guide, comme Dieu l'a aidée à traverser la Méditerranée avec les deux Marie. Oui, je connais bien son histoire. Cet après midi, je rencontre sa mère. D'après ce qu'il m'a dit, elle n'est pas commode. Je lui ai demandé de me donner ses clefs de voiture et son portefeuille. Il se trouve aussi démuni qu'un nouveau-né et sa maman c'est moi. Je le contrôle complètement, j'adore ! Ce midi, on s'est fait invité à manger par la famille. Je mets dans un sac quelques affaires et puis en route. Il m'indique le chemin, jusqu'à une superbe villa dans une propriété au Touquet. On entre et on se dirige vers la piscine, une grande piscine. Il y a un couple, sûrement ses parents, je ne savais pas qu'il y aurait son père aussi. Julien non plus, car il murmure : — Merde, mon père est là. Sa mère est une blonde d'une quarantaine d'années, c'est une belle femme bien en chair. Comme elle n'est vêtue que d'une culotte de maillot, je constate que sa poitrine accuse un petit coup de fatigue. Le père est un peu plus âgé, il est aussi en maillot. Il est gros et velu. Je me dis qu'est ce que j'ai à perdre ? Rien ! Au pire, je largue leur rejeton et je retourne au camp. Je me présente : — Samia, ravie de vous connaître Eux ne se présentent pas et le père attaque tout de suite : — Alors tu t'appelles Samia et tu as envie de passer des vacances avec notre fils ? — Oui, Monsieur, mais d'abord... Je me tourne vers Julien et lui dis : — On doit parler entre grandes personnes. Va prendre une douche et prépare quelques affaires. Ensuite attend dans ta chambre, je viendrai te chercher. — Oui Samia. Ils sont sciés, les parents ! Yeux ronds, bouches ouvertes. Comme Julien se lève et s'en va aussitôt. La mère me dit : — Il t'obéit aussi facilement ? — Oui. — Et s'il ne l'avait pas fait ? — Je l'aurais pris en travers de mes cuisses et je lui aurais donné une bonne fessée. C'est la seule façon de faire obéir les enfants, non ? Là, ça passe ou sa casse. Ça passe : ils éclatent de rire. Le père dit : — J'adore cette fille. Tu vois Cynthia c'est ce qu'on aurait du faire depuis longtemps. — C'est vrai. Le père redevient sérieux, il me dit : — Pourquoi, veux-tu passer tes vacances avec lui ? — J'ai envie d'un homme obéissant et attentionné. — Tu l'aimes ? — Je l'aimes bien — Alors c'est par intérêt ? — Oui, bien sûr, mais pas que ça (Sainte Sara, ne m'abandonne pas)!. Je vous explique, vers 8 ans j'ai eu un petit copain qui faisait tout ce que je voulais : j'ai adoré ça. Je me suis dis "plus tard j'aurai un mari riche, qui fera tout ce que je veux." Quand votre fils a semblé subjugué par moi, je me suis dit "c'est lui que je cherche." La mère répond : — Tu sais qu'il est dépressif, paresseux comme une couleuvre. De plus, il boit beaucoup trop d'alcool et prend de la coke régulièrement. — Je le changerai. — Tu es bien sûre de toi. — Oui. Le père me dit : — Tu as couché avec lui — Plus ou moins, il m'a léchée. Ils se regardent en souriant. La mère me dit : — Et il te satisfait ? — Avec sa langue, oui. Rien ne m'empêche de prendre un amant viril si j'ai envie de sentir une vraie queue en moi (Sainte Sara !!) Ils restent un moment muets, puis, ils se remettent à rire tous les deux. Je mouille ! Le père me dit : — Qu'est ce que tu veux et qu'est ce que tu proposes ? — Je veux qu'on se marie et j'en ferai un mari obéissant, sobre et travailleur. Ils sont un peu sur le cul, les grands bourgeois. Le père me dit : — Si tu arrives à le changer, d'accord pour le mariage. — Je dois encore vous dire que je suis une Rom et que mes papiers ne sont pas en règle. Ils se regardent à nouveau. La mère me dit : — Laisse-nous parler entre nous. — D'accord ça ne vous dérange pas que je nage un peu ? — Vas y. J'enlève ma robe et je plonge dans la piscine. Mmmmhh, le froid me fait du bien... Je fais quelques longueurs puis je sors de la piscine en me hissant sur le bord opposé à eux. Matez mon cul, les gadjé ! Le père me dit : — Reviens. Quand je suis prés d'eux, mouillée et nue, il me dit : — Si tu le guéris de ces addictions, d'accord pour le mariage dans un mois. Tu vois ça comment ces vacances ? — On part à l'aventure en stop vers le Midi. — Vous n'irez pas loin avec ce qu'il a. Tu veux de l'argent, sans doute. — Non, merci, on va se débrouiller. Là, ils sont encore une fois surpris. Ils ont vraiment envie que je dresse leurs fils, mais ils sont méfiants. Le vent m'a séchée, je remets ma robe. Je leur plais ? Physiquement, oui, sans doute, pour le reste... à moi de jouer finement. Le père me dit : — Laisse-nous 5 minutes en parler entre nous. — Oui, bien sûr. Je vais chercher Julien. J'entre dans la maison en passant par la porte fenêtre du living et je vois la bonne en uniforme qui fait semblant de ramasser quelque chose. Elle écoutait la conversation, bien sûr. Je lui dis : — Bonjour, il est comment Julien avec toi ? Elle lève les yeux au ciel. Ok j'ai compris. J'ajoute : — Je vais le dresser ! Montre moi sa chambre. Grand sourire de la petite bonne qui me dit : — J'en serais ravie. Suivez-moi. On va au premier étage où se trouve la chambre de Julien. Il est là avec des paquets de vêtements et deux grandes valises à moitié remplie. Il est malade. Je dis à la petite bonne qui est resté sur le pas de la porte : — Tu pourrais aller me chercher un petit sac de voyage ? — Oui, Mademoiselle, tout de suite. Cool d'avoir une bonne, j'en aurai une aussi... bientôt. Julien crève d'envie de me demander comment ça s'est passé avec ses parents, mais il ne le fait pas. je lui dis : — Tu mets un jean, un tee shirt et des baskets ou des chaussures de sport. pas de caleçon. Allez ! La bonne est revenue avec un petit sac de voyage. Elle le regarde se déshabiller en souriant. Elle me dit : — Je peux vous aider Mademoiselle ? — Oui, apporte sa brosse à dents et du dentifrice.. Elle va dans la salle de bain attenante et revient avec ce que je lui ai demandé. Dans le sac, je mets un tee shirt, deux pulls et une veste en cuir. Voilà, je veux qu'on voyage "léger" en tout cas lui. Maintenant une petit peu de dressage ! Je dis à Julien : — D'après ce que tu me dis, tu n'as pas toujours été très gentil avec la bonne, hein ? — C'est... vrai, mais... — Excuse-toi avant de partir ! Il reste là tout con ! Je hausse le ton : — Obéis ! — Je... je vous prie de m'excuser, Mademoiselle. A suivre.
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Par : le 28/09/19
Je la connaissais bien, la bougresse, et j'entretenais une relation exécrable avec elle. Il faut dire que je n'avais que des mauvais souvenirs en sa compagnie. Je la trouvais laide, impitoyable, fondamentalement détestable. Je la haïssais avec passion, la chienne... Et puis un jour, sans prévenir, je l'ai embrassée. Nul récit saphique ici, celle dont je parle aujourd'hui se nomme la Douleur. Un grand mot, pour de grands maux. J'ai passé 20 ans à ses côtés, sans la connaître vraiment. À tenter de la repousser, de l'annihiler, et à défaut, de la museler. Et puis, un beau jour, tout a changé. Je n'étais alors coutumière que des fessées raisonnables, de celles qui mettent du piment dans un couple, mais ne laissent de trace ni sur le corps ni sur l'esprit. Mais ce jour-là, allez savoir pourquoi, il a mis plus de cœur à l'ouvrage. La sensation de brûlure s'est faite plus franche, plus nette. La Douleur est arrivée sur son cheval noir, désagréable, cinglante, et pour finir violente. J'ai décidé de tenir bon, serré les dents et enduré, pour ne pas capituler devant Elle. Et c'est là que le miracle s'est produit... Il y a eu un basculement dans ma tête, dans mon être. Un lâcher-prise salvateur. Tout à coup, j'ai cessé de lutter contre la Douleur. Je l'ai regardée, droit dans la noirceur de ses yeux, et je l'ai acceptée. Le prochain coup sur ma fesse rougie aurait dû être insupportable. Il l'a été. Mais la seconde d'après, la Douleur s'est faite douce, aguicheuse, et terriblement excitante. Il a senti le changement dans mon souffle, dans ma posture, et a porté un nouveau coup, plus fort. Encore cette brûlure intolérable, suivie immédiatement par un plaisir galopant, plus franc, plus sucré. Qui ne cessait de s'élever plus haut de seconde en seconde. Mon corps se fit alors plus chaud, plus dense, gorgé de sève. Je redoutais le prochain coup dans une attente fébrile, inquiète et impatiente à la fois. Deux nouveaux coups, très rapprochés. La Douleur, immense, éclatante, a pris toute la place. Je n'ai pu retenir un cri, suivi de près par des gémissements, d'abord ténus, puis de plus en plus vibrants. Le plaisir s'élevait en vagues puissantes, divinement ravageuses. J'ai creusé davantage les reins, offrant mon cul affamé, réclamé plus, encore. Plus fort ! Je n'étais plus que désir brûlant... Les coups se sont succédé, mordants, cruels. Les pauses se sont espacées, pour finir par disparaître, la cadence devenant somptueusement diabolique. Je ne supportais plus que ça s'arrête... Je priais, implorais, pour que les coups pleuvent. Je n'avais jamais tant perdu le contrôle de moi-même. La morsure dans ma chair était intolérable, mes cris, emplis de sanglots, se faisaient déchirants. La Douleur était omniprésente, immense, superbe, elle m'aveuglait de sa force et annihilait ma volonté. Le plaisir, incandescent, dévastateur, prenait tant de place que c'était à la limite du supportable. Mes gémissements s'étaient mués en râles, longs, profonds, suppliants, remontant des tréfonds de mon être. Jamais je n'avais ressenti une telle montée de plaisir, aussi entière, étendue, étourdissante. Plus rien d'autre n'existait que les coups et la Douleur. Et mon plaisir, toujours plus fort, au-delà de ce que je pensais possible. L'orgasme, salvateur, est enfin venu m'en libérer. Long, très long, démesurément fort, ne ressemblant en rien à tout ce que je connaissais jusque-là. Une sensation pure, nouvelle, presque trop puissante pour être supportée. Les coups ne cessèrent qu'après que mon corps, agité par de violents mouvements incontrôlables, ne finisse par s'effondrer. Je ne faisais plus un bruit, je ne bougeais plus, je ne respirais même plus. Je n'étais plus. C'est lui qui, inquiet, m'a ramené doucement à lui par la voix, me rappelant qu'il y avait un monde, dans lequel j'existais. Il m'a fallu un long moment pour reprendre pied, revenir à la réalité. Je planais... Haut, très haut. Je ressentais une sérénité pleine, absolue, comme je n'en avais jamais connue. Tous mes doutes, toutes mes peurs, toutes mes angoisses, tous mes regrets, tout s'était envolé, loin, très loin. L'abandon, la plénitude... La sensation d'avoir trouvé ce que je recherchais depuis toujours sans le savoir. D'avoir touché du doigt le Beau, le Sacré, la Vie. Je me sentais bien. Je me sentais moi. Il m'a fallu du temps pour me remettre du choc. J'ai mis longtemps à accepter ce qu'il s'était produit. Et ce que ça faisait de moi... Mais rien n'aurait pu m'arracher à ça. Ce que la Douleur m'a fait vivre, ce jour-là, transcendait tout. Les codes, la honte, les préjugés, rien ne pouvait faire le poids face à ça. J'avais regardé la Douleur en face, et je l'avais embrassée. Je l'avais aimée... Et dire que je la détestais tant ! Elle était belle, désormais, sur son cheval noir. Grande, puissante, redoutable... Une Reine. Je la respectais. Bien sûr, nous avons toujours nos différends, j'ai parfois du mal à supporter sa présence, mais je sais que lorsque je fais appel à elle, c'est une alliée incomparable. Elle est toujours mon fardeau, mais est devenue mon amie, mon amante... Mon amour secret.
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Par : le 25/08/19
Il était largement midi lorsqu?elle se manifesta. J?en étais à mon cinquième café et la migraine ne battait toujours pas en retraite. J?avais eu le temps se sortir prendre le journal et d?acheter des croissants. J?étais donc plongé dans ma lecture des nouvelles du monde lorsqu?elle apparut dans l?escalier, pieds nus et vêtue de mon peignoir, son sac à la main. Ce n?était plus l?animal humilié de la veille. Au contraire, il émanait d?elle un air de fraîcheur inattendu, après une telle nuit. Coiffée et légèrement maquillée, un timide sourire aux lèvres, elle semblait aussi légère qu?une brise. Je me levais pour l?inviter à me rejoindre à table. Elle ne fit que grignoter, le regard perdu, au-delà de la véranda, sur la végétation du jardin qui frémissait dans l?air tiède d?un dimanche de printemps. Nous avions sans doute besoin aussi bien l?un que l?autre, de ce calme. Lorsqu?elle en fut à picorer du bout des ongles les miettes de croissant tombées sur la nappe, je compris qu?elle avait quelque chose à me dire. - Désirez-vous un autre café ? Elle grimaça puis, après un long soupir, elle se saisit de son sac à main et en extirpa divers objets qu?elle plaqua sur la table, juste sous mon nez. Il y avait là un fin collier de métal brossé muni d?un anneau, un plug de petite taille et l?alliance qu?elle portait la veille à l?annulaire. Mon étonnement lui tira un sourire ironique. - Il reste une chose que je ne peux retirer seule. Il faudra m?emmener chez un pierceur. Le reste est remplacer selon vos désirs. En prononçant ces derniers mots, elle baissa les yeux et les conserva ainsi presque tout le temps de la conversation. J?étais stupéfié. Passent encore les mots étranges qu?elle avait prononcé la veille après que son mari l?ait scandaleusement perdue au poker, ils pouvaient être mis sur le compte du dégoût ou d?une légitime révolte. Mon intention avait toujours été de la raccompagner chez elle une fois l?affront digéré et de la remettre au mari auquel elle « appartenait », selon ses propres termes. Je ne pouvais donc m?attendre à une telle entrée en matière. Pris au dépourvu, j?examinai ses offrandes – si le terme est adéquat – en feignant le plus grand intérêt. Le collier était fait d?aluminium, ce qui en expliquait la légèreté et la solidité. Il se fermait par l?arrière à l?aide de minuscules mollettes chiffrées. Au vue d?oeil, son diamètre correspondait exactement à celui du cou de ma pensionnaire. Le plug, en acier chromé, était de petite taille et avait la forme d?un cône allongé. Sa face externe était assortie d?une jolie pierre translucide aux reflets irisés. Une opale, sans doute. Quand à l?alliance, elle était d?acier, assez large, avec gravés en lettres dorées à l' intérieur : « esclave de », puis, en vis à vis « Mtr A ». Je voulus interroger Sarah à la fois sur ces objets et sur la raison pour laquelle elle me les montrait, mais les mots me manquaient. Ce fut elle qui, les yeux toujours baissés, me tira d?embarras. - C?est mon précédent maître qui me m?a imposé ces bijoux. Je ne peux plus les conserver depuis qu?il m?a perdue. C?est à vous de choisir ce que je dois dorénavant porter, si vous m?acceptez. La réserve finale me fit tiquer. C?était la première fois qu?elle ouvrait une autre issue à notre improbable relation. Je pouvais refuser et la laisser partir. - Mais dites-moi, de quoi parliez-vous lorsque vous avez évoqué la nécessité d?un pierceur ? - S?il vous plaît, tutoyez-moi. Je ne suis pas votre égale. - En ce cas, dis-moi pourquoi tu as besoin d?un pierceur ? Se détournant vers moi, elle avança légèrement le bassin et, tout en écartant ses cuisses, elle écarta les pans du peignoir afin de découvrir son entrejambe. La fente parfaitement épilée, prenait naissance haut sur son mont de Vénus. Sa vulve avait des lèvres charnues, au dessin parfait. Il en émergeait, à peine visibles, les pétales froissés et sensiblement plus sombres de ses petites lèvres. Mais ce qui attirait en premier le regard était l?anneau d?acier d?un diamètre et d?une épaisseur imposants qui traversait ses grandes lèvres, juste en dessous du clitoris. - Il est soudé, je ne peux pas l?enlever, expliqua Sarah. Il est impossible de décrire le trouble qui m?envahit. Le souffle me manqua. Elle dut percevoir la fêlure dans ma voix mais elle devina plus sûrement l?érection entre mes jambes, ou, du moins, le souci que j?avais de la dissimuler. - Aimeriez-vous que je fasse quelque-chose pour vous, monsieur ? J?étais à deux doigts de la basculer sur la table et de violemment la forcer. Une pulsion brutale me montait du ventre, un désir de la profaner, un instinct archaïque de domination. Mais en la pénétrant, j'aurais satisfait à son projet plutôt qu?au mien, qui était, d?abord, de rester libre et ensuite, si les choses se présentaient favorablement, de lui imposer ma loi plutôt que de subir ses stratégies. Si j?avais lu quelques romans au sujet de la domination et ressenti à leur lecture une intérêt inhabituel, si je les avais dévoré en dépit de leur trop fréquente fadeur littéraire, mon absence d?expérience était évidente. L?envie de dresser une femme m?était venue, à ces lectures, plus que d?autres tentations, mais sans que jamais les circonstances m?offrent de la concrétiser. Outrées, mes amantes successives avaient chaque fois refusé d?être seulement fessées et l?une d?elles avait rompu sur le champ en me traitant de pervers. J?avais donc relégué ces jeux à l?imaginaire et j?avoue m?être masturbé plus d?une fois en compagnie de semblables rêveries. Sarah était adorablement belle et elle s?offrait avec un mélange de candeur et de malignité désarmant. Dressée ? Elle l?était déjà. Mais c?était à moi de la prendre, pas à elle de se donner. Tandis que je recouvrais mes esprits, je surpris Sarah, toujours cuisses ouvertes, qui glissait le doigt sur la fente avec une langueur calculée, écartant à peine ses lèvres pour enfin s?attarder insensiblement sur le bouton de son clitoris. La poésie décrit exactement ce que sont les choses : Piste fraîche sentier sous la pluie sur de la rosée Allée des sueurs avenue des sèves jardin des humeurs Festival de larmes gala de salives assemblée de mousses Grappe d?éventails avalanche de plumes vivier de poulpes et de pulpes Alors que je détachai brusquement les yeux de son entrejambe, je surpris le regard de défi qu?elle me lançait tout en suçant ses doigts luisants de cyprine. Elle soutint le duel. Furieux, je la giflais. Elle ouvrit grand la bouche, ses beaux yeux verts se brouillèrent tandis que sa main, incrédule, caressait la trace rouge sur sa joue.
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Par : le 17/06/19
Pour une fois que j’obéis sans sourciller à une injonction non verbale, en l’occurrence, une série d’accessoires sur mon lit à la sortie de la douche, voilà que j’en ai trop fait. La cage et le collier étaient suffisants pour commencer la journée ; la nuisette n’était pas pour tout de suite ! Je me suis aéré les fesses et le reste quelques minutes avant d’enfiler une tenue plus classique. Je dois t’avouer que j’ai eu un peu de mal à mettre en place ma « contrainte métallique ». D’habitude la douche refroidit les ardeurs. Mais aujourd’hui, la simple pensée de cette nouvelle étape m’a temporairement rendu incompatible avec son port. Commence alors ma première période de chasteté en ta présence. J’avais déjà pu tester son efficacité par le passé, à distance, et plutôt de manière nocturne. Mais là, c’est parfois quelques mots exprimés sur de futurs amusements, ou même ta simple présence à mes côtés qui me la font remplir, la rappelant rapidement à mon bon souvenir. Lorsque nous sortons promener dans le village, j’ai l’impression que tous les gens que nous croisons peuvent entendre le cliquetis du cadenas alors qu’il n’y a guère que moi qui m’en rend compte, à se demander si je n’ai pas quelques hallucinations auditives. Je souris intérieurement au milieu de cette place alors que personne ne peut imaginer ce qu’il peut y avoir sous mes vêtements. Cela a un petit côté transgressif plaisant à souhait. Depuis longtemps tu tenais les commandes dans notre relation, désormais tu tiens la clé. Non pas que la cage soit nouvellement arrivée, mais à l’occasion de ce week-end passé chaste, tu as émis le désir de garder une des clés accrochée à une chaine. Je suis touché et honoré par ta demande que je ne pouvais qu’accepter tant le symbole est fort. Merci beaucoup de l’avoir faite. Alors que nous n’irons jamais sur une restriction de longue durée, c’est une nouvelle petite touche à notre panoplie qui me satisfait grandement. Après un petit cérémonial de remise immortalisé pour la postérité, tu passes à la suite. Comme tout athlète, j’ai droit à un échauffement. Agenouillé sur le lit, le fessier tendu, tu prépares mon postérieur tout en douceur avec un martinet. Après cet apéritif, tu attrapes la plus fine des cannes pour me strier les fesses. Sans forcer le moins du monde, elle me semble efficace. Reste à savoir si elle a aussi produit les marques que tu souhaitais. Je suppose que oui en devinant que tu as quitté la pièce. J’obtiens la confirmation quand je sens que tu déposes un premier puis un second smack sur mon arrière-train. A priori ton objectif visuel est atteint. Encore qu’il doit manquer quelque chose puisque la canne repasse à l’action pour quelques finitions. C’est alors que commence un long manège, je devine que tu t’agites entre la chambre et la salle de bains. Pendant ce temps, j’essaie de garder cette position que j’imagine si tentante. Heureusement que tu n’abuses pas d’un nounours sans défense au croupion tendu. Régulièrement, je sens que tu déposes de nouveaux smacks. Peut être une dizaine, je n’ai pas compté. Voilà que se matérialise le concept du moulin à bisous dont on parle depuis si longtemps. En revanche, je n’ai aucune idée de ce que tu as pu faire en guise de conclusion. Je suppose que tu as dû écrire quelque chose sur le bas de mon dos, mais le contact est différent des fois précédentes. Il faudra que j’étudie les photos de près pour comprendre ce que tu as bien pu imaginer Sans aucun doute quelque chose qui me plaira. J’adore te servir d’ardoise et porter des messages « suggestifs » ! J’ai ensuite droit à un bon moment de bien-être tandis que tu nettoies toutes ces traces de rouges à lèvres. Cela serait dommage de tâcher ton beau et confortable dessus de lit blanc. Tu me demandes alors de m’étendre à plat ventre pour la suite. Assise près de moi, je comprends vite que tu es plus que ravie de pouvoir à nouveau me triturer le dos de tes griffes retrouvées. Mon dos n’a pas changé, il réagit toujours aussi bien. Les frissons parcourent rapidement mon échine générant une plaisante vague intérieure. Même si je n’ai pas l’image, je suis très content de t’offrir à nouveau ce plaisir. Les stries rouges sur le haut de mon dos sont réussies. Tu n’as pas perdu la main, enfin, …. les griffes. Et la cage a bien fait son office pendant cet épisode. Quand les premiers coups sur le bas du dos et les fesses tombent, je ne reconnais aucun objet déjà utilisé. Cela ne peut être que le torchon dont tu t’étonnais il y a quelques jours que je n’y ai jamais goûté. Le manque est désormais comblé : une fois encore, un détournement fait preuve de son efficacité. Le claquement est bien différent des lanières. Peut être moins mordant dans un premier temps mais bien marquant quand l’angle atterrit sur les chairs tendres et offertes. A la longue, ce simple morceau de tissu finit par bien me réchauffer. Une bien intéressante variante dans ta panoplie désormais bien fournie. A être dans les pratiques d’inspiration culinaire, tu poursuis avec quelque chose que je reconnais parfaitement. Cette spatule de bois est diablement mordante. Je deviens rapidement hypersensible à son contact. C’est peut être pour cela que tu m’as demandé plus tard si je n’avais pas trop mal au postérieur. Ben non, y avait juste ce qu’il fallait. La bonne quantité de chaque ingrédient. Sentant le matelas bouger à mes côtés, je comprends que tu viens t’installer à califourchon sur mon dos. Si tu n’osais pas trop le faire au début de notre relation, je note avec une certaine satisfaction que tu ne rechignes désormais plus à t’installer ainsi pour être bien à portée de mes globes de chair pour les attendrir du plat de tes mains. De temps en temps ce sont quelques griffes qui dérapent. J’aime beaucoup ce moment où je te suis totalement livré sans échappatoire aucune. Juste à « profiter » de cette pluie de phalanges sans bouger le moins du monde. Toute l’emprise de la Maitresse sur son soumis … Il semblerait qu’un fouet vienne vivifier mon dos claquant alternativement d’un flanc à l’autre sans oublier le creux de mon dos ce qui a pour effet immédiatement de me faire creuser l’échine. Invitation inconsciente à un autre coup ? Je l’ignore. Tes griffes se réveillent à nouveau avant que tu me demandes de me remettre à genoux, toujours cagoulé, et toujours les fesses tendues. Les sons qui me parviennent ne me donnent aucune indication précise de ce qui m’attend ensuite. Trop vagues pour fournir le moindre indice. En revanche, le contact de tes doigts humidifiés sur mon œillet est beaucoup plus explicite. D’une manière ou d’une autre, tu vas me sodomiser. En quelques essais à peine, tu réussis à me pénétrer jusqu’à la garde. Je comprends alors que c’est ton gode qui est fiché dans mon postérieur. Mais ne te sentant pas en contact avec moi, j’en conclus que tu n’as pas enfilé la ceinture. Ma fois, il est pas mal non plus manié ainsi à la main. Surtout que tu commences à le faire aller et venir en moi ce qui a pour effet quasi immédiat de m’arracher quelques couinements et gémissements. D’autant plus que tu titilles ma cage et son contenu des griffes de l’autre main. A vrai dire, je ne saurais même pas dire si elle a fait son effet ou pas pendant ce délicieux moment tant tous mes sens sont concentrés sur tout autre chose. Alors que tu appuies pour le faire pénétrer une fois encore, je me rends compte que je suis en train de t’enserrer avec mes jambes, comme pour ne faire qu’un avec ma sodomisatrice, comme pour l’inciter à continuer. Réflexe ? Geste inconscient ? Mystère. Le moment est si bon que même après que tu l’as retiré, j’ai l’impression que cet appendice de latex est encore en moi. Ce n’est qu’en t’entendant descendre que je comprends que ce n’est plus le cas. Il semblerait que je sois bon client ! Il faut aussi reconnaître qu’associer cage de chasteté et gode a quelque chose de spécial : quand une queue est finalement remplacée par une autre. Avant d’aller nous coucher, tu me demandes enfin de passer la nuisette. Je la trouve plus courte que la dernière fois ce qui me laisse penser que c’en est une autre. Mais non, c’est la même. Je suis toujours aussi peu vêtu. Tu prends un malin plaisir à me photographier sous toutes les coutures ainsi paré pour la nuit. Sans aucun doute la situation me fait de l’effet si j’en crois la « morsure » soudaine de ma contrainte. A cet instant, j’ai un peu l’impression d’être ta poupée que tu maîtrises à ta guise. Et puis le doux contact du tissu n’est pas des plus désagréables sur ma peau. Des pensées des plus excitantes ! Je peux alors me glisser sous la couverture avec la tenue que tu m’as choisie pour bien dormir. Inévitablement, la cage signale sa présence sur le petit matin quand l’érection matinale se produit. Un petit rappel que je suis aux mains de ma Maitresse. Tu me surprends un peu plus tard dans la matinée lorsque tu essaies de me couvrir autant que possible avec le bas de la nuisette. Je me souviens qu’il y a un peu plus d’un mois, tu te moquais de moi quand j’essayais en vain d’être un tantinet pudique. Quelques minutes après, au contraire, tu désires profiter du spectacle que je t’offre avec ma cage. Les choses qui bougent ont toujours suscité ta curiosité, alors tu ne peux pas résister à une cage qui se soulève avec le flux puis retombe avec le reflux. Un véritable phénomène de marées qui t’amuse au plus haut point. Et je ne suis même plus gêné de t’offrir ce spectacle. Pas même quand tu glisses tes griffes pour remettre son contenu dans le droit chemin. Peu après tu me libères après vingt quatre heures de chasteté à tes côtés. Assurément, c’est beaucoup plus efficace près de toi, plus stimulé que je suis. Un peu plus tard, nous concluons le week-end par une dernière séance de fessée. L’expérience d’hier ayant été plutôt satisfaisante, nous recommençons sur le même modèle. A une différence près : cette fois, nous essayons d’immortaliser le moment. Le résultat a l’air plutôt réussi.
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Par : le 29/04/19
Avril 2019 En ce début de soirée de mercredi, tu me prends totalement au dépourvu en me demandant ce dont j’ai envie, exclues quelques choses que tu conserves pour demain. Chanceux, j’ai quelques minutes de réflexion. Il faudra bien ça. Cela parait facile comme ça, on aurait presque envie de tout, tout le temps. Méninges en mode concentration pour essayer de ne pas te décevoir. Je finis par dégager quatre pistes qui vont te servir de trame pour tisser ta toile sadique du soir. Je monte à l’étage avec un peu d’avance pour préparer le matériel de prise de vue. On devient de plus en plus « modernes ». Une toile d’inspiration aquatique est indispensable pour protéger le parquet de ce qui va suivre. En effet, une de mes propositions avait un rapport avec les bougies. Une fois parée et la musique d’ambiance lancée, tu me fais enfiler la cagoule que tu noues gentiment sur ma nuque, puis je remets en place le collier par-dessus. Placé au centre de la pièce, tu rajoutes les moufles en cuir (une première). Elles sont confortables mais j’ai vite l’impression que je vais être empoté avec. Pour l’instant, tu fixes mes deux poignets à l’anneau du collier avec deux mousquetons, paumes des mains collées. J’essaie d’imaginer quelle peut être mon apparence pendant que tu te prépares pour la suite. J’hésite entre deux images totalement opposées : un pieux pénitent en prière ou une otarie claquant des nageoires en attendant son ballon. Le bruit caractéristique du briquet et l’odeur de brûlé me ramène à la réalité. Ainsi offert, tu commences bien évidemment par ta cible favorite. Ma queue est rapidement parée d’une pellicule noire. A en croire mes premières réactions, j’aurais presque perdu l’habitude. Tu libères mes poignets du collier pour les fixer ensembles devant moi. Je dois alors m’agenouiller tant bien que mal pour finir à quatre pattes comme tu me l’as demandé. A cet instant, je repense à mon apparence : pattes de nounours, ou bien bon toutou à sa Maitresse à qui il ne manquerait plus qu’une laisse pour sa promenade. Encore une fois, les premières gouttes chaudes me ramènent à la réalité. Tu ne sembles épargner aucune zone. Si les épaules sont les moins réactives, les fesses le sont à l’extrême, sans parler de cette sensation d’écoulement brûlant le long de ma colonne vertébrale. Je me tortille en tous sens, tantôt cambrant les reins, tantôt faisant le dos rond alors que cela ne changera rien à ma situation. Une courte pause signale un changement de bougie donc de couleur. Quand mon dos est suffisamment ciré à ton goût, tu me fais alors mettre sur le dos pour terminer avec la dernière face. Le même cérémonial recommence à une différence près. Dans cette position, je ne peux plus gigoter autant. J’essaie désespérément de rentre le ventre mais là encore, c’est bien inutile. Et la « vigueur » de mon baromètre trahit mon plaisir. Il faut dire qu’il reçoit régulièrement sa ration. Pas le temps de refroidir que je sens déjà la caresse de lanières. C’est qu’il va falloir faire le ménage maintenant. A la relative douceur, je reconnais le petit martinet de poche. Quelques gouttes de cire séchée volètent déjà. Malgré sa taille, et aussi à cause de ma réactivité extrême, je gigote tant que je peux dès que tu l’approches de mon sexe. Ce qui t’incite à y rester encore plus. On ne refait pas une sadique comme toi. Après ce nettoyage de surface, tu passes au martinet marron pour une deuxième passe plus efficace… Visiblement tu insistes toujours sur la même zone. On se demande pourquoi. Mais on n’a rien inventé de mieux que l’extrémité d’une cravache pour nettoyer cette zone aussi sensible. D’autant plus que ta manière de la manier lui donne un effet taillant qui me surprend à chaque fois. Elle est tout aussi efficace pour libérer en bonne partie les têtons de leur gangue noire. Finie la position couchée. Tu me fais relever. Le poignet droit se retrouve à la chaine qui pend à ma droite. Quant à l’autre, il retrouve sa place au niveau du collier. J’ai l’impression de faire une parodie BDSM du signe de la foudre, made in Usain Bolt. J’essaie de réprimer un fou rire que tu remarques néanmoins sans pour autant savoir ce qui est en train de me traverser l’esprit. Ainsi « installé », tu poursuis le décirage de ma poitrine et de mon pubis avec cette fois un des martinets noirs. Il ne te faut que quelques poignées de secondes pour en venir à bout. Désormais, c’est le tour de mon dos qui me donne l’impression d’avoir reçu bien plus de cire que les fois précédentes. Ces lanières noires sont diablement efficaces, je sens les pastilles se décoller et voler à chaque impact. Il va y en avoir partout dans la pièce (corvée de balayage en perspective !). Je ne me rends compte que bien plus tard que tu as fini par te saisir des martinets jumeaux. Ce n’est que quand je ressens un double contact sur les hanches que je devine enfin que tu es passée à la vitesse supérieure. Tu termines avec le lourd flogger que je sens particulièrement passer sur mes épaules. Heureusement qu’il fait chaud dans la pièce sinon je pourrais prendre mal avec tous ces courants d’air ? Pour les finitions, tu te saisis de la longue spatule métallique que tu manies bien délicatement pour racler les pastilles récalcitrantes. Tu m’as habitué à bien pire avec elle. Deux allers-retours de la main transforment une douce fessée en époussetage. Tu n’aurais pas pu ranger ta mordante extension sans la claquer trois ou quatre fois sur mes fesses rebondies. La suite abuse une nouvelle fois mes sens pourtant concentrés grâce à la présence de la cagoule. J’aurais juré que tu avais dégainé une spatule en bois. Mais il n’en est rien. C’est simplement la petite sœur de la précédente, dernière venue dans ta panoplie. Elle a un effet complètement différent et particulièrement marquant. Comme quoi il faut souvent se méfier de la taille. L’interlude griffes m’offre un agréable moment de douceur, si, si, je suis comme ça, avant que la main noire ne vienne finir d’attendrir mes chairs déjà bien chauffées. Même l’intérieur et l’arrière de mes cuisses y sont sensibles. Le moment semble venu d’intégrer une autre de mes suggestions. Même si tes cannes sont si mordantes de par leur nature même, je ne résiste pas à l’idée de les affronter une nouvelle fois. Je sais que mes fesses vont en garder le souvenir pendant de bonnes minutes ensuite mais ce n’est pas grave. La sensation est si spéciale. Tu commences par la plus grosse, à l’effet plus lourd avant de passer à la plus fine beaucoup plus vicieuse. Inutile d’insister longtemps pour faire un maximum d’effet. Rapidement, je me rends compte que tu as décidé de manier les deux à la fois, la petite devant, la grosse derrière. Je comprends vite qu’il ne sert à rien de me tortiller, de me pencher dans un sens ou dans l’autre : immédiatement, tu me rappelles à l’ordre d’un coup sec. Je me remets immédiatement en position avant de bouger à nouveau. Visiblement cette nouvelle façon de pratiquer semble te plaire. Je me sens comme la tranche de jambon dans le sandwich : impossible d’échapper à la morsure ! Une dernière série de cravache bien placée me plie en deux avant un dernier dépoussiérage de poitrine au martinet. Me voilà bien bien chaud ! Je te sens passer dans mon dos puis manier quelque chose de métallique sans parvenir à deviner quoi. Mais au premier contact, je reconnais ces nouvelles griffes métalliques que je viens de t’offrir. Elles apportent un effet bien différent des vraies, beaucoup plus concentré, en gros plus griffant. Mais le plus bluffant se produit quand tu joues avec mon sexe : j’ai littéralement la sensation que tu m’électrises. Tu t’amuses même à essayer de me les planter dans les fesses. Je ne suis pourtant pas un fakir ! Néanmoins, je valide à 200% cette nouveauté ! Tu décides de conclure ce chapitre par quelques « flatteries » avec la tapette cœur, que je reconnais bien cette fois. J’ai dû retenir la leçon depuis dimanche. Quant aux dernières morsures, je crois deviner un chat à neuf queues mais je serais bien en peine de confirmer. Cette fois tu me libères de ma chaîne. Retour sur le sol pour la dernière partie de la soirée. Tranquillement couché sur le dos, j’attends mon sort. Seuls quelques petits bruits partiellement masqués par la musique me laissent imaginer que tu es en train de préparer la suite. Je sens que tu me passes deux anneaux d’électrostimulation autour de la queue. Quand tu me demandes ce que je ressens, je réponds que j’ai l’impression qu’il ne se passe rien. Tu n’as pas l’air d’accord vu comment ma queue s’agite. C’est sûrement parce que je m’attendais à une sensation similaire à celle des patches. Avec ces anneaux, le ressenti est beaucoup plus lointain mais apparemment suffisamment efficace pour m’agiter à l’insu de mon plein gré. Tu m’abandonnes à mon sort pour préparer l’étape suivante. Mon esprit devait quelque peu vagabonder : je t’ai juste supposée dans la salle de bains voisine mais tu es aussi redescendue au rez-de-chaussée. Assise près de moi, je reconnais bien vite ce que tu me réserves. Je dois avouer que j’y ai pris sacrément goût après une certaine appréhension initiale. Une fois le passage ouvert, cela rentre tranquillement mais doucement. Tu t’amuses à faire quelques va-et-vient qui me provoquent une série de gémissements de contentement. Je dois commencer à partir car je ne me rends même pas compte que tu retires la sonde un instant avant de la remettre. Cette modeste tige métallique est diaboliquement efficace. Tu reprends tout en manipulant ma queue puis mes couilles. Je ne résiste pas longtemps : les couinements se rapprochent et surtout j’ai l’impression que tu me « satellises » complètement. Mon corps est traversé de tremblements de plaisir. Il me faut de longues minutes avant de reprendre mon souffle et atterrir à nouveau. Quelle soirée ! Une expérimentée Dominatrice doublée d’une bonne cuisinière est le meilleur moyen de transformer quelques pistes en une excellente soirée de plaisirs. Avant de nous séparer pour quelques semaines à peine, tu me gratifies d’une dernière nuit plaisante. Comme cela t’arrive régulièrement, tu procèdes à quelques adaptations de dernière minute. Tu optes finalement pour un mélange de cordes et de chaînes. Mais le chariot reste au centre de ton idée. Une fois équipé de ma cagoule et de mon collier, tu commences par me parer d’une chaîne a priori assez légère qui court depuis l’anneau du dit collier jusque dans ma nuque en passant entre mes cuisses. Je sens ensuite que tu passes du temps à mêler une corde à cette trame métallique. Arrivée au niveau du pubis, tu en profites pour faire quelques boucles histoire de bien tendre les liens. A partir de ce moment-là, je me surprends à garder la même excitation jusqu’au bout. On dirait que ta création nocturne m’a fait un effet certain ;-). Satisfaite de ma parure, tu m’invites à m’asseoir sur le chariot que tu as délicatement équipé d’un coussin pour le bien-être de mes petites fesses, un peu sollicitées ces derniers jours. Bien calé sur le montant vertical. Jambe droite repliée vers le buste. Jambe gauche repliée à plat sous l’autre. Tu peux désormais commencer à me nouer à la structure métallique de la base avec une esthétique certaine tout en laissant mon intimité bien visible et offerte. Mon poignet droit se retrouve noué non loin de mon genou dans la foulée. Après m’avoir demandé de placer mon bras gauche sur le haut de la cagoule, tu solidarises mon poignet avec la poignée du chariot. Mes mouvements sont devenus très limités. Mais pour être certaine que je ne vais tomber, tu termines par quelques boucles autour de mon torse. Je suis désormais totalement immobilisé. Seules mes extrémités, quelles qu’elles soient peuvent encore bouger. Pas longtemps pour la plus intime. Je comprends enfin ce que tu voulais faire avec la coquille d’œuf que tu as trouvé ce matin. J’imaginais un truc en rapport avec Caliméro. Je faisais complètement fausse route. Tu viens la déposer sur maqueue tendue : interdit de bouger. Puis tu réussis à la faire tenir au bout, un peu comme un capuchon. Ton imagination, et surtout ta capacité de détournement, sont toujours aussi puissantes. Tu réagis quasi immédiatement à ma remarque concernant ma main droite que je trouve un peu vide. S’y succèdent une bougie puis un petit martinet. Après m’avoir dénoué des plus grosses cordes, tu songes soudainement à une autre présentation. Une chance, je n’ai pas eu le temps de bouger, confortablement posé sur mon coussin. Tu me fais mettre en position crapaud, les jambes aussi écartées que possible et les bras placés à l’intérieur des cuisses. Ainsi positionné, tu procèdes à un nouveau nouage qui vient solidariser cuisse, cheville et poignet. Le résultat est visuellement très sympa aussi : j’y apparais totalement livré à mon encordeuse. Mais il est temps de me libérer totalement et pour toi de souffler un peu après tous ces efforts. Après la pause, nous terminons par une séance au fouet que tu souhaitais filmer. Toujours aussi protectrice, tu commences par me réchauffer le corps avec tes martinets, un puis deux à la fois, juste de quoi monter en température sans en faire trop. Puis tu te lances dans une démonstration en images de toutes les manières d’enlacer ton nounours avec cette « tige » de cuir. Cela claque un peu partout que ce soit devant ou derrière, en enroulé ou en direct. Malgré le côté relativement mordant du fouet, c’est chaque fois un moment que je déguste. Ainsi se conclut un délicieux séjour, comme il avait commencé : avec des lanières.
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Par : le 29/04/19
Avril 2019 Tu m’avais demandé si j’acceptais de servir de cobaye pour montrer à une amie le bon usage des martinets et autres objets à lanières. Te faisant confiance comme toujours, j’ai bien évidemment accepté. C’était en plus l’occasion de découvrir un autre contexte. Après une longue et fatigante journée de route, je vous ai rejointes alors que vous aviez déjà bien fait connaissance, sans oublier un inventaire complet de la caverne d’Ali Baba, alias Maitresse Samantha. Vous avez même, pour ainsi dire comploté. Mon lit était complété par deux petites choses qu’on ne trouve pas habituellement sur ce genre de mobilier. J’avoue que, claqué, je n’ai pas plus relevé que cela. Malgré tout vous attendiez ma réaction en redescendant de l’étage. C’était peine perdue pour aujourd’hui ! Après une bonne nuit de sommeil et un début de matinée sportif, je suis paré pour endosser ma panoplie de cobaye. Quelle dure tâche quand on sait tout ce que tu exiges pour vêtir ton soumis ;-). D’autant plus que j’ai mis le collier toujours aussi lourd dès ce matin. La formation commence dans l’après-midi après la sieste des Maitresses. Pour la première fois, j’ai à faire à deux personnes. Avant de commencer, j’ai vraiment l’impression de servir de simple tableau « noir ». Ton feutre court tout autour de mon corps pour rendre visibles les zones autorisées et celles à éviter. A posteriori, j’ai l’impression que tu m’as dessiné un corset, très facile à porter il est vrai. Mais pénible à faire disparaitre, surtout dans le dos. Je suis ensuite présenté sous tous les angles, histoire de montrer l’étendue des possibilités avec un martinet : à quatre pattes sur le lit, à genoux, debout, debout le buste penché en avant, de face … A chaque position son approche spécifique. Si ma cagoule m’empêche de voir ce qui se passe, j’entends bien tous les conseils prodigués. Privé d’image, j’ai parfois du mal à comprendre ce que vous pouvez bien être en train de faire tant cela parait bizarre, en particulier quand j’entends parler de corde, mais pas pour moi … J’entends aussi régulièrement des fous rires. Qui a dit que le BDSM ne se conjuguait pas avec la joie de vivre ? A priori, ils ne sont pas à mes dépens. Quoi que, souvent, je me demande. En revanche, je souris à mon tour sous ma cagoule quand tu lui dis qu’elle peut y aller plus fort, que j’encaisse bien. Elle semble avoir peur de me faire mal. Pour la convaincre, tu prends la relève quelques instants. Je sens de suite la différence. Juste ce qu’il faut pour me rappeler que ce n’est pas du chiqué, des fois que je finirais par m’endormir, confortablement allongé sur le lit. A plusieurs reprises, j’ai la sensation d’être une bête de foire. Vous tournez autour de moi sans que je ne sache vraiment qui est où. C’est un peu déstabilisant comme sensation. En fait, je ne peux anticiper d’où les lanières vont arriver. Ceci n’est pas fait pour te déplaire. Pendant un bon moment, je reconnais sans hésitation ton geste sûr, régulier et efficace. Quand ton amie commence à prendre le bon mouvement, j’arrive à la reconnaître quand elle utilise son propre martinet, plus mordant que les tiens. Un jour j’arriverais à deviner ce qui vient flatter mon corps offert. Tu en profites pour lui montrer un aperçu de ce qu’on peut faire avec un fouet. C’est de suite plus claquant ! Tu la surprends à me faire ronronner simplement avec tes griffes, même amoindries. Un accro et une experte, la recette est des plus simples. Difficile d’aller contre sa nature ! Au moment où je suis couché en travers du lit, tu en profites pour t’asseoir sur mon dos, histoire d’être à portée pour une bonne fessée. Suivie par la deuxième paire de mains …. Je crois que les moments que j’ai préférés sont les deux instants à quatre mains. D’abord, quand tu jouais avec tes griffes sur le haut de mon dos tandis qu’elle maniait le martinet sur mes fesses, un mélange de sensations pas désagréable du tout. Mais le fin du fin fut ce petit moment où chacune de vous maniait son martinet quasiment de manière synchronisée, une devant, une derrière. Après le repas, notre amie émet le vœu de refaire quelques « exercices » pour voir si elle a bien retenu la leçon. M’ayant consulté d’abord, tu acceptes volontiers. Cette fois, vous commencez par une leçon sur la famille des tapettes en tous genres. Je me laisse même mystifier confondant la main noire avec la tapette cœur. La conséquence est immédiate : une des quatre mains se charge d’utiliser l’une puis l’autre, sans réel succès. On dirait que je fais un blocage : cœur, main, après tout, c’est presque pareil ; cela claque bien. En revanche, je n’ai aucun mal à reconnaitre la raquette. Nouveau prétexte à fou rire : il est question de service, de lift ; il y a même une histoire de balle qui vient s’y greffer. Ca va mal finir cette histoire ! La formation se conclut par l’imposante et lourde semelle, toujours aussi « marquante ». Il doit y avoir une sadique dans mon duo de « tortionnaires » du soir. Non contente d’essayer le côté semelle, elle s’essaie au côté bois : oups ! La session se termine au martinet sous tes yeux attentifs et pédagogues. Les principes commencent à rentrer, il ne reste qu’à mettre en pratique. Voici qui conclut une journée sympathique, certes moins intense qu’entre tes seules mains expertes mais pas inintéressante du tout par certains aspects. Cette nuit, comme promis, j’enfile le vêtement que tu avais négligemment abandonné la veille sur mon oreiller. Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas une surprise étant donné que tu m’en avais déjà parlé. J’ignorais seulement comment l’idée allait se concrétiser, juste qu’une nouvelle fois tu allais jouer avec ce mélange des genres que j’affectionne. Je me rends vite compte que cette nuisette est vraiment bien courte. Je soupçonnerais presque un acte prémédité : tout est accessible, rien n’est vraiment dissimulé. Pour faire court (c’est le cas de le dire !), elle n’a pas grand intérêt fonctionnel quoi que son contact soit agréable sur la peau. C’est un peu comme s’il était écrit « accès libre : servez-vous » au bas du dos et sur le pubis. Mais cela, tu ne t’en rends compte qu’en ce lundi matin à me découvrant si légèrement vêtu. La vue te régale et cela me suffit bien assez Même sans café dans l’estomac, tu as déjà l’œil vif et intéressé ! Et que dire quand tu observes le résultat lorsque je me lève : un large sourire de satisfaction traverse ton visage. Tu me taquines en me rappelant que cela ne sert à rien de tirer dessus. C’est vrai, au mieux, elle remonte encore plus. J’ai beau être de moins en moins pudique, grâce à toi (ou à cause, va savoir), j’ai l’impression que mon ancienne nature essaie de refaire surface. Pour faire simple, j’ai la sensation d’être nu comme un ver devant toi. Ce n’est certes pas anormal en ta présence, mais tout de même plus rare hors de nos moments privilégiés. Le moindre début d’excitation me semble visible. Une pensée fugace, un frôlement de l’étoffe et le tour est joué. En fait, c’est une idée démoniaque quand on y réfléchit bien. Visiblement, je te surprends en la portant une deuxième nuit d’affilée. Peut-être que j’y prends goût ? Et encore tu n’as pas terminé la panoplie …
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Par : le 02/04/19
Il vient de partir et je sens son sperme couler entre mes cuisses... quel pied ! Nous avions convenu de nous voir en fin de matinée car je vais bientôt être en stand by pour un mois et nous voulons profiter un maximum avant. Je suis allée faire une marche ce matin avec un ami, presque 6 km en une heure. Je me disais que j'allais avoir du mal à chevaucher mon magnifique amant après une telle marche. Je me suis précipitée dans la douche en arrivant. Un trait de mascara, un soupçon de rouge à lèvres, mes talons rouge et or vertigineux et un déshabillé très sexy (en photo). Il arrive en tenu décontractée mais toujours classe. C'est un homme avec beaucoup de prestance et de charisme. Nous nous embrassons mais des bisous sur les lèvres, il n'embrasse pas avec la langue. Et nous nous enlaçons, contents de nous retrouver. Nous ne nous sommes pas vus depuis 10 jours. Nous prenons le temps d'un petit café avant de passer aux choses sérieuses. Nous nous embrassons après qu'il ait déboutonné son pantalon, pour que je puisse branler sa belle queue pendant qu'il me caresse la chatte. Étant très sensible du clito, je tressaute au fur et à mesure de ses caresses. Je me retourne pour lui signifier que je souhaite qu'il me prenne là debout dans la cuisine. Il glisse sa queue entre mes fesses et s'apprête à me sodomiser car il est très grand, je lui signifie que je préfére quand même que l'on commence par ma chatte. Je fini par me retourner et m'asseoir sur un tabouret de bar que je monte pour être à la hauteur de son sexe. Je le saisie et le mets dans ma chatte. Et là il rentre en 2,3 fois en entier et il commence à me limer comme j'aime. Je me tiens à lui et lui a les mains posés sur le plan de travail. Je me dégage de temps en temps pour voir sa queue rentrer dans ma chatte, j'adore ça. Je commence à me caresser de la main droite, mon bras gauche autour de son cou. Je parviens presque à l'orgasme, trop bon. Je lui demande à changer d'endroit et il m'amène au canapé. Il s'assoit et je m'empale sur sa grosse queue. Je commence à me caresser et je parviens rapidement au premier orgasme, fort, intense, que je lui offre dans les yeux. Je pense à la fenêtre de la salle de bain qui est ouverte et mes cris de jouissance qui doivent s'entendre dans la rue et je souris intérieurement. Je m'appuie sur mes genoux et entâme des vas et vient sur sa queue. Nous nous embrassons. Je m'assois à nouveau mais en restant proche car il avait saisi un de mes seins dans sa bouche et je ne voulais pas l'en priver (sourire). Je recommence à me caresser le clito. Il me dit à quel point ma chatte est bonne, je lui réponds quelle est bonne pour les grosses queues. Je me décale un peu pour mieux titiller mon bouton, tant pis pour mon sein. Et un deuxième orgasme me secoue le corps, je gueule encore plus fort, je manque de souffle, mon clito est tout gonflé et si sensible à mes caresses. Qu'il est bon d'éprouver autant de plaisir. Il m'allonge sur le dos et me prends les jambes relevées. Ses vas et vient sont si bons. Nous mettons un peu de gel, je suis un peu sèche après ma période rouge. Et là sa queue glisse à nouveau dans ma chatte. Je regarde ce bel instrument à orgasme me pénétrer à fond. Nous passons dans ma chambre et là je me mets à 4 pattes sur mon lit, je remets un peu de gel sur sa queue et lui demande de me prendre le cul. J'ai les jambes serrées et suis presque à genoux, j'adore cette position pour la sodomie. Il rentre son sexe presque en entier de suite ! Je lui fais part de ma surprise en lui disant que je suis vraiment bien excitée pour être ouverte comme ça et l'accepter de la sorte. La taille de son sexe est vraiment conséquente. Il commence à m'enculer à fond, de plus en plus fort. Et plus il tape au fond, plus je l'encourage ! "Oh oui c'est bon ! Vas y encules moi !" Mes cris se font rauques et sortent du fond de ma gorge. L'orgasme est intense car il est continu dans cette position pour moi en sodo. Son sexe en entier au fond de mon cul, élargissant mon cul à chaque passage est un bonheur. Je gueule de plus en plus et de de plus en plus fort. "Oh oui vas y encules moi ! Encules moi fort !" "Putain c'est bon ! Ta grosse queue dans mon cul !" Le plaisir est immense pour moi et pour mon amant qui me gratifie d'une ou deux fessées. Puis il ralentit et fini par se retirer. Je m'étonnes qu'il ait joui car il est assez sonore lui aussi et il me dit "non, non, je vais encore prendre ta ptite chatte" Il va se laver le sexe, j'en profite pour aller faire pipi et passer une petite lingette pour me nettoyer. Il revient et s'allonge sur le lit, je me positionne à genoux entre ses jambes. Position idéale pour sucer. Je prends sa belle queue en bouche et commence à l'avaler, doucement, en passant bien ma langue en dessous et en serrant bien les lèvres. J'adore sucer et quand la queue est belle, je prends vraiment beaucoup de plaisir. La sienne est toute lisse avec une peau bien tendue de circoncis, un régal. Et je réussis à lui faire 2 gorges profondes, preuve de mon excitation. Il me demande alors de venir m'empaler à nouveau sur lui. Ce que je fais de suite pour mon plus grand plaisir. Je porte ma main à mon sexe pour aller caresser ce petit curseur à jouissance. Je le sens se durcir, mes doigts accélérer leur mouvement, ma respiration se saccader,  et mon corps se cambrer pour un ultime orgasme, me faisant tousser d'étouffement tellement mon souffle s'est coupé. Je prolonge encore et encore en passant mes doigts sur mon clito tout dur et tout gonflé. Mon amant attend que mon plaisir soit totalement pris et me bascule sur le dos dans un missionnaire tendre, mais intense. Il prend ma jambe droite pour la lever et je tiens la gauche en l'air également pour bien le sentir au fond de moi. "J'adore regarder ta queue rentrer et sortir !" Puis je m'agrippe à lui du bras gauche, je pince son téton droit, et quand je le sens venir, je le prends dans mes bras pour partager avec lui, peau contre peau, sa jouissance explosive. Je suis repue de plaisir, la chatte pleine de sa semence, avec un sentiment de satisfaction absolue. Il me laisse après avoir échangé des baisers et en nous souhaitant un bon dimanche. Je sens son sperme couler le long de mes cuisses et j'adore ça.
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Par : le 29/03/19
Je vis ma soumission non comme un jeu sexuel mais comme un mode vie et une forme de spiritualité. Il y a pour moi dans cette façon de vivre une transcendance de ma féminité et de notre amour. Dans ce mode de vie M/s, j’ai une sensation d’accomplissement de mon être. C’est comme si aux autres endroits de ma vie, des parties de moi trouvaient leur réalisation : la joie d’étudier, le dépassement dans les défis, le flux dans la créativité, ... Mais quand je suis soumise, tout est là en même temps et se réalise. M’abandonner à Maître, Lui abandonner une partie de ma liberté me rend tellement heureuse. C’est une forme plus intense de mon amour pour Lui que de Lui offrir mon corps pour Son plaisir. Quand nous faisons l’amour et qu’Il est Maître, mes sens s’affolent, mon excitation est au comble. Je suis fière du plaisir que je Lui donne et je m’attache à Le rendre fier par mon obéissance. J’écoute, je guette Son plaisir. Quand Maître est sévère et qu’Il utilise la cravache ou la badine, je me fais un devoir de résister le plus longtemps possible. Je sens Sa queue qui se dresse, et cela fait flamber mon excitation. J’adore ce sentiment qu’Il me domine et qu’II me possède entièrement, qu’Il peut faire ce que bon Lui semble. Arrêter les coups ou les poursuivre. À une occasion, nous sommes allés au delà, et j’ai fait cette expérience de l’excitation et presque de l’orgasme, montant au rythme des fessées. J’ai tellement hâte de revivre cette sensation. Un plaisir immense que me laissent nos séances tient en particulier dans les traces laissées par nos ustensiles. Je me délecte des les observer dans le miroir ou de vivre les sachant là. J’espère qu’un jour Maître décidera de me marquer pour toujours et de percer mes lèvres d’anneaux qui signifieront mon statut sans équivoque. Dans le reste de notre vie, quand Il prend Sa voix de Maître et m’ordonne des choses du quotidien, je suis en plein ravissement. Je me sens enfin apaisée et totalement dans mon axe quand je sers mon Maître. Plus Il est mâle, plus je peux être femme. Dans ses moments là, Son regard change, Son autorité naturelle se voit. Je Le dévore des yeux, je Le trouve tellement beau, je craque, je fonds, je suis plus amoureuse chaque jour ...
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Par : le 29/03/19
Cet après midi nous devions juste prendre un verre chez Maitre Héphaïstos , avec Pourprea et mon Maître par manque de temps. J’arrive, j’accroche mon manteau puis je gravis lentement l’escalier vers le salon de jeux , suivie de ma nouvelle sœur de supplices, le pas massif des dresseurs sur nos traces. Mais un verre avec deux Maîtres et deux soumises ne peut pas être anodin. Je me place par terre dès mon arrivée, à genoux au pied de Maitre Héphaïstos et Maitre Hypérion. Je suis de suite rappelée à l’ordre par le propriétaire des lieux qui me dit de me déshabiller. J’obéis immédiatement et reprends ma place de soumise, assise sur mes talons. Maître Héphaïstos me somme de préparer un café et de servir les invités, je m’empresse de satisfaire cette directive. Quand subitement il décide d’utiliser tout de même le peu de temps que nous avons. On ne sait jamais ce qui va se passer lorsqu’on est entouré de dominateurs. Il ouvre sa malle et en sort deux curieuses espèces de manchettes en cuir noir, ornées de boucle métallique, m’enjoint de lui tendre la cheville et attache ces chevillères, il me demande de le suivre, j’ai du mal à marcher, l’accessoire est rigide. Pourprea n’est pas en reste, elle est menée dans le même couloir, à côté de moi ,mise à quatre pattes pour recevoir sa punition. Je viens de comprendre lorsque je voie la poulie, je vais être suspendue. J’avale ma salive, nouvelle expérience, je suis très excitée. Maître Héphaïstos me montre le sol, je m’allonge sur le dos, il attache mes chevilles à une boucle et la corde se tend, je suis pendue tête vers le plancher, mes mains dans le dos. Me laissant là Maître Héphaïstos rejoint Maître Hypérion auprès de Pourprea qui va recevoir son blâme. Tête en bas, j’observe la scène, et je vois l’instrument, pauvre petite, tu vas morfler. Le premier coup tombe, sec et les autres s’enchainent ,je crois qu’elle pleure, ses gémissements se font sourds. Maître Héphaïstos revient vers moi et me fait osciller, juste le poids de mon corps. Etrange sensation, je suis comme plongée sous les eaux, les sons deviennent étouffés, je suis totalement à la merci, mon sang afflue, je me sens à la fois légère flottant à quelques centimètres et pesante, tout le poids de mon corps gorgé de sang. Des fourmis envahissent mes pieds. Pourprea toujours à l’envers de ma position ne bouge plus, j’imagine la couleur de ses fesses. Elle est redressée, dans les deux sens du terme. La poulie actionnée, je retrouve le sol et ma circulation se refait, j’ai les pieds glacés. De dos, je vois maintenant les jolies marques sur le cul de Pourprea, bien marbrée. Retour au petit salon . Mon Maître tapote ses genoux ,il a envie de me donner une fessée. Je m’incline crâne vers ses chaussures et le chapelet de gifles fuse sur mon arrière train, une délicieuse fournaise bouillonne sous la poigne de Maître Hypérion. Mon excitation est à son comble. Il me remet debout et me pousse vers Maître Hephaistos qui, à son tour tapote ses cuisses avec un œil tout à fait impudique. Une nouvelle salve s’abat ,ma peau bat comme un cœur. Mon second fesseur enfouit ses doigts entre mes cuisses et savoure avec plaisir la liquéfaction de mon sexe , achevé de plaisir, je voudrais que ce moment ne s’arrête pas, ballotée d’un Maître à l’autre, objet de plaisir pour la satisfaction de mes censeurs. Une très belle manière d’occuper une fin de semaine par une journée froide , je rentre réchauffée et vidée, merveilleuse sensation plénifiante. Merci Maîtres.
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Par : le 18/03/19
Nous étions tellement en phase Nous étions tellement dans l'attente Une relation bdsm suivie Une relation de couple uni Malgré la distance Malgré ma vie de libertine Mais la magie n'a pas opérée Et nous avons dû nous séparer Sachez que j'ai aimé chacune de vos fessées Aussi dures et douloureuses furent elles Chacune de vos claques sur vos lèvres Aussi mâchée que ma tendre chaire fût Vos doux baisers dans un souffle de désir Votre main sur mon collier La laisse tirée Vos mains douces sur mon corps Pour apaiser le feu de vos rougeurs Je garderai de nos échanges Une très grande complicité De notre rencontre Notre dernière étreinte
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Par : le 18/03/19
La voici. Première soirée de soumise. Mon Dom m’a demandé de porter pour l’occasion une petite robe noire sexy mais plutôt habillée, au décolleté carré généreux, croisée dans le dos, des escarpins noirs simples et un soutien gorge en dentelle noir, des bas noirs. Des perles blanches aux oreilles et un bracelet fin au poignet. Je me sens féminine, je devrais être à l’aise dans cette robe que j’adore, mais je suis terriblement stressée. Je ne sais pas ce qui va se passer. Mon Dom m’a expliqué le strict minimum. Un dîner de Dominants, des soumis et soumises devant assurer le service et le plaisir de ces Dames et Messieurs, la possibilité d’être prêtée à un autre Dominant. Je suis excitée, nerveuse, heureuse… Nous sommes en pleine campagne. Mon Dom me caresse la joue et me souris tendrement. Il me chuchote à l’oreille : « Fais-moi confiance, je sais que tu seras parfaite ». Je devrais être rassurée par ces doux mots mais je n’arrive pas à me raisonner, j’ai peur de commettre un faux pas, de décevoir mon Dom, de ne pas réussir à me laisser aller, de ne pas po... Je suis interrompue par une grosse tape sur mes fesses, et par le bruit de la sonnette. Sourire, souffler, me tenir droite, sourire, respirer… Nous sommes accueillis par une femme élégante et un homme plutôt trapu. Un échange cordial, des sourires francs et conviviaux. Je respire un peu. J’ai à peine le temps d’apercevoir la tablée au fond de la pièce, de ressentir la chaleur d’un feu de cheminée et de parcourir des yeux cette grande pièce rustique. Déjà la main ferme mais douce de l’homme me tire vers une autre pièce. Je tourne la tête et je vois le sourire bienveillant de mon Dom qui me couve du regard s'éloigner peu à peu. Nous nous rapprochons d’une pièce qui sent terriblement bon et d’où fusent des rires. Trois autres personnes sont déjà là, un autre homme et deux femmes, qui me saluent à mon entrée dans ce qui s’avère être une belle cuisine en bois brut. « Voici Jen » Je me retourne vers mon hôte, surprise d’entendre mon nom prononcé. Il m’adresse un clin d’œil « J’ai bien travaillé ». Chacun se présente et explique de qui il est le soumis. Je reconnais quelques noms. L’ambiance se détend peu à peu. Enfin, JE me détends peu à peu car mes voisins semblent parfaitement à l’aise. Arrive une dernière soumise. Pour elle aussi il s’agit de son premier repas, je suis soulagée de ne pas être la seule novice ce soir. Minou nous distribue les tâches. J’ai beaucoup ri lorsqu’il a annoncé son petit nom qui ne colle pas vraiment à son gabarit. Je suis pour l’heure assignée au portage d’un plateau garni de petits fours apéritifs. Je félicite mon hôte pour son travail titanesque. Il m’avoue non sans humour que sa Maîtresse l’a assisté dans son travail. Je suis alors presque (presque hein) détendue. Les 5 petits serviteurs que nous sommes se dirigent vers la pièce principale. 2 femmes et 3 hommes sont assis sur des fauteuils qui paraissent moelleux et accueillants. Je passe tout sourire vers chacun, heureuse de la légèreté ambiante. J’essaie malgré tout de ne pas trop me relâcher, de rester la plus élégante possible dans mes déplacements. Nous sommes autorisés à nous asseoir aux pieds de nos Dom respectifs au milieu de l’apéritif. Cette position ne m’est pas très familière mais je la trouve ce soir plutôt naturelle. Puis nos charmants Dom s’installent autour de l’imposante table pour la suite du repas. Nous sommes invités avec forces fessées à nous presser de déguerpir et d’activer les fourneaux. Nous avons en réalité peu de travail qui nous attend car nos hôtes du jour ont réellement bien fait les choses. Chacun est chargé d’apporter une assiette et je me retrouve à servir une charmante Maîtresse. Sublime. En chemisier léger. Une jupe que je devine. Je croise le regard de mon Dom à qui mon sourire n’a pas échappé. Il pose son menton sur sa main et m’observe, amusé, un peu échauffé sans doute aussi. Au fur et à mesure de la soirée, les conversations virent et s’aiguisent. Côté salle à manger, et côté cuisine. On échange des anecdotes, des éclats de rires, des regards entendus. Est-ce le vin, la situation, les gens qui m’entourent , mais je me sens quelque peu excitée. Et je glousse. Bon dieu je glousse. Plus de vin pour moi ! Nous entendons « Le dessert ! » L’une des soumises se lève. Sans plateau. D’accord. C’est elle le dessert. Je frissonne. Elle avait l’air si sereine. Je l’envie, je l’admire… et je suis curieuse, tiens un peu jalouse peut-être aussi de savoir ce que mon Dom goûterait de cette belle. Minou l’accompagne. Nous observons discrètement la scène en passant la tête par l’ouverture de la porte. Minou est en train de la déshabiller et de l’asseoir sur la table basse, les Dom assis autour d’elle dans les fauteuils. Elle est en lingerie, la peau éclairée par la lumière douce de la cheminée. Le spectacle est à couper le souffle. Certains la touchent, on la pince, on la fait se mettre à 4 pattes, on la fesse, on la caresse. Mon Dom compris. Comme c’est excitant. Je ne vois pas son visage à elle mais je l’imagine très bien, je devine ses soupirs. Nous admirons le spectacle sans en perdre une miette. Minou revient nous chercher et nous demande de nous rasseoir aux pieds de nos Doms. L’air est chargé d’intensité. Mon Dom me passe un collier et une laisse. Certains quittent la partie salon, sans doute pour se diriger vers des chambres à l’étage. Restent nous deux, un Dom, notre hôte Domina et une soumise. Mon Maître se lève et tire sur ma laisse pour me faire avancer à 4 pattes. Il m’emmène vers l’autre Dom, lâche ma laisse, se baisse vers moi et me dit « Travaille bien ma belle ». Pas besoin de dessin pour comprendre ce qu’il attend de moi. Je suis tellement excitée que j’en oublie mes spectateurs du jour. Ou peut-être même que ces spectateurs participent à mon excitation (sûrement en fait). Mais là je suis déjà ailleurs, trop pour m’attarder à ces pensées. Je croise le regard gourmand de l’homme devant lequel je suis désormais agenouillée. Je lui adresse mon plus beau sourire de salope. Je déboutonne son pantalon sans le quitter des yeux. Je sens le regard de mon Dom sur moi, la présence des autres autour. J’ai envie de faire jouir cet homme sous ma langue, j’ai envie d’exciter mon Dom et de le satisfaire. Je veux qu’il soit fier de sa suceuse salope. Encore plus devant ce petit public, une nouveauté pour moi. Je veux mériter aussi dans mes actions tout ce qu’il m’offrira. Qu’y aura-t-il d’autres d’ailleurs ? Pour l’heure, tais-toi et suce.
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Par : le 18/03/19
Jenny vient de se faire violer sur le capot de sa voiture de police flambant neuve, par Skhor, le viking des quartiers nord. Personne n'est venu lui porter secours. Cet animal lui a perforé le cul avec son manche de pioche. C'est pas un sexe qu'il a ce fou furieux mais un marteau piqueur. Son cul saigne, le sperme coule le long de ses jambes. Elle tremble. C'est con, mais elle vient de jouir a répétition. Ce fou de skhor qui la pilonnait encore et encore. Au début, elle hurlait de douleur. C’était sa première sodomie. et puis, le premier orgasme anal est arrivé, une vague de chaleur, des spasmes dans tout le corps. Elle a lâché prise. Plus honte de rien, et l'orgasme suivant était déjà là. encore plus puissant. Et Skhor qui rigolait. Et ses cons de subordonnés, des flics minables qui avaient la trouille et qui n'osaient pas bouger. Personne pour lui venir en aide. Et le troisième orgasme. Jenny pleurait. Jamais elle n'aurait pensé se faire violer un jour en pleine rue, elle la commandante, la chef du commissariat de police du coin. Jamais elle aurait cru cela possible, à la vue de tous, et personne pour l'aider. Que des trouillards qui filaient bas, le regard en coin. Et le pire c'est que ce con de Skhor la faisait jouir comme jamais elle n'aurait cru cela possible. Le viking vient de partir, les tremblements cessent peu à peu. Elle remonte son slip sur ses fesses bien rebondies et luisantes d'un rouge sang du à la terrible féssée qu'elle a reçue avant d'être violée avec cette brutalité inouïe qui caractérise Skhor, le Seigneur et Maitre des quartiers nord. Elle rajuste son uniforme. Elle prend le volant de sa voiture et part en trombe. Personne n'osait regarder le viking, mais là, elle sent que tout le monde la regarde et semble se moquer. Elle laisse là ses deux collègues mâles qui lui font honte. Des péteux minables. . Elle file chez elle. Une seule envie: un grand bain chaud, un peu comme Claudia Cardinale dans un western spaghetti après son viol. Jenny, c'est la première partout, la mieux notée partout. Elle se rend d'un coup compte que tout cela n'était qu'illusions. Skhor n'est pas sur sa juridiction, non, c'est elle qui est sur le territoire de ce seigneur de guerre et elle ne fait pas le poids. Elle passe des heures a réfléchir. Le viol, elle a déjà oublié. Skhor, n'est qu'un exécutant. Il existe plus puissant que cette brute. C'est cela qu'elle doit chercher. Le Marquis de Sade avait bien raison. Il n'est pas allé en prison pour ses délires sexuels, non, il y est allé parce qu’il décrivait trop précisément les sphères de pouvoir. Plus on s'élève dans ces sphères et plus il faut être un criminel. C'est cela qui n'a pas été pardonné au Marquis. Jenny comprend que ce viol est un test. Porter plainte? A qui, à elle même dans son propre commissariat? Non, elle préfère utiliser Skhor pour savoir qui le protège. Quand au pourquoi....il est des choses que même dans des fictions, il est préférable de ne pas écrire. Je laisse donc le soin au lecteur de les imaginer.
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Par : le 05/03/19
* Voir sur mon blog l'article du Lundi 18 février Nous n'avons passé qu'une journée de sexe ensemble jusqu'à présent et je ne l'ai rencontré ni dans le milieu libertin ni dans le milieu bdsm. Mais il a réussi à me faire couler en préliminaire alors que je ne coule généralement qu'après pénétration et orgasme, et encore, quand le sourcier est doué ! (rire) Au deuxième round de la journée, je lui ai demandé de me pincer les tétons en l'informant du fait que je n'ai aucune sensation à la caresse ou au léchage, seule la douleur m'excite. Il a commencé alors doucement et avec mes encouragements, il a accentué la pression afin de m'arracher des petits cris de douleurs, enfin de plaisir... Et enfin au troisième round en levrette, il m'a gratifiée de magistrales fessées, comme je les aime, avec la main pleine. J'ai hâte de lui montrer petit à petit ma boîte à malice avec mes jouets divers et variés, en espérant ne pas le faire fuir et lui donner le goût de la correction et de la domination.
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Par : le 25/02/19
Nous montons l’escalier principal, je dois ressembler à une enfant, les yeux pétillants ayant hâte de découvrir sa surprise. J’ai ce sourire d’envie qui s’affiche en grand sur mon visage. J’ai chaud aussi. Les deux verres de vin bu à table quasiment cul sec, pour nous remonter le moral avec Louna après les gesticulations violentes et les éclats de voix, me chauffent les joues. Arrivés en haut, Max m’invite à tourner de suite à droite. Des personnes que je ne prends pas le temps de regarder se tiennent de chaque côté d’un petit renfoncement. Max pousse alors la porte de cette vaste chambre explorée plus tôt dans la soirée avec Shape. Elle est plongée dans le noir, ou plutôt dans une pénombre violette, à cause de grands néons fluo disposés aux quatre coins de la pièce qui donnent à nos dents le sourire émaille diamant et à nos yeux un air de vieux chien diabétique à la cataracte avancée. Il referme rapidement la porte derrière nous, après avoir dit aux personnes restées dehors « quelques secondes de patience ». A cet instant je ressens une petite touche d’angoisse, là au creux de mon ventre. Passagère, je sais que Shape ne me laisserait pas, là où je ne souhaite pas être. Respire Lilo, fais lui confiance. « Max, Shape, connait le jeu des fantômes ? Vous lui avez expliqué ? Ou vous lui direz ? » « Oui, oui ne t’inquiètes pas. Tu aimes jouer ? et ce soir tu vas pouvoir mener la danse ! » Je respire encore. Le lit immense est à ma gauche. Une armoire recouverte d’un miroir orné de jolies moulures se tient fièrement à droite. A côté il y a un mannequin de couture sur pieds. Un fauteuil joliment habillé fait face au lit. J’entends de suite, des rires et des secrets qui se partagent à voix basses derrière un paravent de tissus brodés dans le fond de cette grande chambre. Max me propose de me mettre plus à l’aise, et de retirer ma robe. Je commence donc à me déshabiller sans sourciller. Se tenant dans mon dos, il m’aide à y défaire le nœud. Je suis légèrement troublée mais également touchée par cette attention. Il me tend son bras afin que j’y dépose la robe. Lorsqu’il découvre mon tutu, je comprends qu’il me faut aussi le lui remettre. Encouragée par son sourire et ses yeux charmeurs, je me déchausse également. Me voici en sous-vêtements et bas, prête à participer à un jeu dont je ne connais toujours pas les règles. Voyant que je ne m’oppose pas à l’idée de me dévêtir, Max m’explique que je ne serais pas nue à la vue des hommes puisque recouverte d’un drap blanc, et que je serais bien plus à mon aise sans ma culotte et mon soutient gorge, mais que j’étais libre de le faire maintenant ou plus tard, ou pas. Trop de choix s’offrent à moi. Je ne réponds rien et ne bouge plus. Il invite alors les voix de derrière le paravent à finir de me préparer. Trois petits fantômes arrivent. Ce sont des femmes. Je suis rapidement recouverte d’un grand drap blanc, il y a des trous pour mes yeux et un pour ma bouche. Max fixe au niveau de mon regard un masque rose qui permet de maintenir les trous aux bons endroits. Puis il me rassure en me disant que je suis aussi très jolie en petit fantôme et me place face au miroir de l’armoire. Nous sommes quatre formes blanches fluorescentes. Je souris, j’adore cette image dans ce décor. Nous sommes les spectres magiques qui hantent ce château ! « Voilà ce qui va se passer, je vais faire entrer un homme Soumis ou Dominant choisi par mes soins dans la chambre des petits fantômes et vous aurez dix minutes pour faire ce que vous voulez de lui, Absolument tout. Il aura pour consigne de se laisser faire et de ne rien dire. » Mes trois autres complices sont emballées. Moi, sur l’instant, j’arrête bien vite mes gesticulations et mon début de balai fantomatique en me rapprochant de mes trois nouvelles amies. Le fantôme n’en mène plus large du tout. Et pourtant dans ma tête, des envies commencent à embouteiller le portillon. Personne ne me verra, je serais et ferais ce que je veux et cet homme volontaire sera le complice obligé de mes jeux. OUIIIiiiii, mais ouiiiiiiii, J’applaudi presque hystérique, au moment où Max quitte la pièce. Nous entrons doucement dans notre rôle et voletons sur le parquet, les immenses draps blancs se distinguent fortement dans l’environnement très sombre et perçu comme plus inquiétant de la chambre. Je recommence à danser, comme j’aime toujours à le faire. Je suis une petite fille à qui l’on vient d’offrir une superbe robe à paillette qui tourne ! Je fais l’oiseau avec mes bras, tente de découvrir mes jambes de façon sexy en face du miroir. Je trouve ces formes et leurs contrastes appuyés très jolies. Sous le tissu, je boue déjà et ma respiration et l’humidité qu’elle transporte me pique un peu les yeux. C’est à cet instant que Max réapparait dans la pièce avec notre première victime consentante. Mes trois amies se précipitent à sa rencontre tandis que je l’observe. Il est de taille plutôt petite, n’est pas souriant et semble comme gêné. Son regard est peu expressif, alors que les filles sont à caresser son corps au travers de ses habits de soirée. Je comprends à ce moment-là, que le trou pour la bouche ne serre pas uniquement à respirer. L’un des petits fantômes s’agenouille aux pieds de ce timide et s’empresse de défaire la fermeture éclair et la ceinture de son pantalon. Dans un premier temps, mes pieds sont comme vissés au sol, je n’arrive pas à me décoincer. Elles sont deux agenouillées à présent. J’ai fait un pas ou deux ou trois peut être. Je veux voir maintenant. Elles le font s’asseoir sur le lit. Lui frotte le ventre à six mains. Je suis toute proche. Il a l’air si mal à l’aise. Il m’est presque gênant de me tenir debout et de voir son visage. Je n’arrive pas à savoir s’il a une érection, alors qu’elles s’entraident à remettre en phase les bouches et orifices des tissus. Max au moment de ressortir, nous incite à nous amuser d’avantage car il ne reste plus que quelques minutes. Je m’encourage, -Allez Lilo, lance-toi, c’est le premier pas qui compte ! Je fais alors l’effort de m’agenouiller et de me frotter à sa jambe. A quatre patte, j’attrape ses lacets avec ma bouche et défais sa première chaussure, puis sa seconde et les envois loin de lui. Je fais de même avec ses chaussettes. J’ai envie qu’il me caresse la tête, les fesses aussi que je m’amuse à gigoter. J’ai besoin d’être encouragée pour toucher sa peau. Mais rien ne vient. Alors toujours à quatre pattes, je fais le tour du lit et m’allonge dans son dos afin de reprendre ma place de spectatrice. Un des petits fantômes vient me rejoindre, passe sa main sous mon drap et touche l’une de mes cuisses, je suis surprise, je me laisse faire pourtant. Et comme pour remercier ce geste, je pose ma bouche délicatement sur la sienne, c’est amusant. Je reçois une caresse sur mes fesses et un « merci c’est très agréable ». C’est le premier baiser que je donne à une femme. Max revient accompagné d’une dame brune qu’il installe sur le fauteuil faisant face au lit. Elle regarde plus qu’attentivement la scène qui s’offre à elle, le visage pointu, la bouche tout aussi serrée que sa jupe droite en simili cuir. Etrangement je sens l’homme timide plus détendu. L’un des fantômes incite la femme à se transformer également en spectre blanc, je les aide à fixer le masque. Ce nouveau complice se mélange alors aux autres l’espace d’un instant, mais me rejoint très vite à l’autre bout du lit en me disant « cela ne m’excite pas du tout ! » Max entre à nouveau « les dix minutes sont écoulées ! Monsieur, Madame, après vous…Petits fantômes, tenez-vous prêt, un autre candidat arrive ». « Bah, zut, je ne pensais pas rester pour un second round moi » et en même temps l’étincelle curiosité clignote en mode feux de Bengale. J’ai envie de voir qui s’invitera à présent chez nous. Je déguise le mannequin de bois et de velours, afin de rajouter une touche mystérieuse. Un des fantômes sera immobile et n’en perdra pas une miette ! Han…, il me vient une idée, celle que Shape pourrait lui aussi à son tour passer la porte de la chambre et se laisser aller aux plaisirs prodigués avidement par d’autres sous mes directives implicites. Il me reconnaitrait rapidement, malgré ce drap, c’est certain. C’est étrange, je suis jalouse, possessive, ses yeux ne doivent être que pour moi, ses intentions aussi, mais là, dans ce décorum, et grâce au jeu, je suis excitée en projetant une scène dans ma tête sur écran géant. Moi à ses genoux le suçant de manière appliquée et amoureuse et lui touché et explorant le corps d’autres… Oh … ou alors, non…il entre et assis sur le fauteuil regarde les fantômes lubriques animer d’autres désirs en plus des siens qui resteraient secrets. Il noterait les sévices et corrections qu’il s’appliquerait à me faire subir ensuite, à moi, sa vilaine soumise incapable de rester sage. Je souris. Je veux jouer encore… Il entre. Brun, la cinquantaine, un peu plus grand que moi, de corpulence moyenne, le visage sombre. Mes amies s’animent autour de lui, je m’avance à mon tour et trouve rapidement ma place face à lui légèrement décalée sur sa droite, ma jambe gauche bloquée par un fantôme déjà afféré à le masturber. J’aime sa main. Je la caresse doucement, remonte le long de sa chemise, son épaule, et dessine sa bouche avec mon index. C’est osé, mais il a pour consigne de se laisser faire, et moi j’ai tous les pouvoirs, alors… Il me fixe. Je ne décrocherais pas la première ! Il touche ma poitrine au travers du drap, la malaxe avec ses deux mains. Nos regards ne se lâchent pas. Puis il fait remonter le tissu et tire fortement sur mon soutient gorge pour faire sortir mes tétons déjà saillants. Il les ferre, et se met à les pincer. - Je ne lâcherais rien Monsieur. Mes yeux le lui disent, et je sais qu’il a compris, car déjà son emprise se fait plus forte. Encore un peu plus mordante à mesure que je soutiens plus intensément son regard. Je suis à présent obligée d’entrouvrir la bouche, afin de gérer cette douleur qui me trempe l’entre jambe. Ne sachant plus rester droite, je commence à frotter mes cuisses l’une contre l’autre. Je ressens une pointe honteuse, mais surtout du plaisir qui remonte depuis mon nombril, vacille en passant par la pointe de mes tétons suppliciés et termine à présent en soupir, là, tout contre mon palais. Lui transpire, son visage perle. J’aime ce qu’il me fait, j’aime cette façon qu’il a de me tester, j’aime le provoquer, me bousculer. Je gémis un peu, jusqu’au moment où, plus fort que moi, je lâche un cri et quitte ses yeux pour baisser les miens. Son souffle est devenu râle. Il lâche alors mes seins, dépose un baiser sur mon front puis je me retire. Je reprends ma place à l’autre bout du lit et récupère doucement une respiration plus calme. En retirant mon soutient gorge, et réajustant mon habit de lumière, je réalise avoir pris du plaisir uniquement grâce à mes tétons. Là encore, une première ! La personne suivante est plus joviale, il lui tarde de toutes nous toucher. Son corps est dur, son ventre rond. Il est debout au milieu de la chambre. Il m’est facile, de me faire féline à quatre pattes et de caresser, mes flancs, mes fesses, mes cuisses et une fois debout, d’écraser ma poitrine emplie de désir tout frais contre lui. Excité, il veut m’embrasser, mais ne trouve pas l’accès à ce qu’il désire, l’ouverture pour ma bouche ayant perdue sa place et se trouvant à présent sur le haut de mon crane. Aucun intérêt ! N’en pouvant plus, il soulève le drap et me retrouve en dessous. Je suis démasquée, à découvert. Il me voit, moi, mon visage qu’il caresse brutalement. Petit malaise, bien vite oublié. Je veux tout, satisfaire ma curiosité surtout, savoir de quoi je suis capable aussi. Je ressens comme une frénésie, un désir irrépressible, une faim de plaisir. Je sais à cet instant, que je ne contrôle plus rien, ou du moins, que je m’autorise à ne plus rien contrôler. Advienne que pourra Lilo, joue, joue, joue ... Je me sens puissante, forte, en pleine confiance. Il me saisit la nuque et prend ma bouche avec sa langue en l’enfonçant aussi durement qu’elle est raide et presque rêche. Je n’aime pas son contact, mais je l’accepte car son désir est fort. Il passe rapidement sur mes seins et se dirige bien vite dans ma culotte, ses doigts raides s’agitent et glissent sur ma mouille. C’est alors que deux fantômes nous rejoignent sous le chapiteau. Ses doigts quittent mon sexe et se perdent ailleurs. Je suis presque soulagée. Je laisse ces trois, puis quatre corps qui s’agitent et commencent à émettre des couinements. Je m’allonge sur le lit écartant mes bras et mes jambes pour récupérer un peu de fraicheur. Je retrouve alors ma bobine à question : - Qu’est-ce que je viens de faire ? Que va dire et penser Shape ? Vais-je être capable de tout lui raconter ? Sait-il ce qui se passe ici ? Max le tient informé ? Ces hommes lui font un rapport en sortant ? Ou est-il, Pourquoi ne vient-il pas ? Quelles seraient les limites à ne pas dépasser selon lui ? … « Petits fantômes, c’est le dernier candidat, il faut tout donner, je vous envoie le plus beau ! » Je me redresse rapidement. « C’est Shape ? » « Ah non, effectivement, ses Dames en avaient fait la demande, mais il a décliné l’invitation. » Je suis dépitée, n’ai plus envie de jouer. Je replace pourtant le masque et réajuste ma culotte en boudant. Est-il possible que tout est été discuté, prévu, avant ?... Mais non Lilo, ne soit pas bête, nous ne nous sommes pas quitté de la soirée ! . Il est là, une carrure de garde du corps, un athlète, avec des muscles qui doivent soulever de la fonte. Il est métisse, une petite quarantaine. Je n’ai jamais touché en corps comme celui-ci. Mes yeux se rallument à la vitesse de l’éclair. Je veux qu’il ne regarde que moi. Alors je me mets debout sur le lit et commence à bouger. Je fais le spectacle. Au départ timidement, puis je me mets à danser plus sensuellement, à faire voler ce blanc, plus haut, plus fort, je ris même un peu. Ses yeux sont sur moi maintenant. Je descends du lit et vais le retrouver en prenant tout mon temps. Arrivée derrière lui, mes mains passent dans son dos, et, sans comprendre ce qui me prend, comme énervée, je le mords, assez fort. Mes dents au niveau des omoplates, puis de ses reins, lorsque son pantalon tombe à ses genoux. Je le mords aussi sur ses biceps et lui pince les pectoraux. Je me trouve alors projeter sur le dos dans le lit. Et son corps écrase aussitôt le mien. Je ne vois plus rien. Le drap est appliqué sur mon visage et me colle. Son sexe dur, pressé sur ma hanche. Je ne proteste pas. Ne bouge aucunement lorsqu’Il retire mes bas et fait descendre ma culotte. Il n’est plus seul à me toucher, je le sais. Le drap se replie à mesure que mon corps se découvre à la vue de tous. J’ai un peu peur. D’abord des caresses sur l’intérieur de mes cuisses, un pli de plus, et c’est mon ventre que l’on touche, un pli encore, c’est au tour de ma poitrine d’être étreinte délicatement, un dernier pli. Le drap est toujours plus épais sur mon visage. Inquiète, je tente de décoller mes épaules du lit. Alors, une de mes nouvelles amies découvre ma bouche et m’embrasse affectueusement. Mes genoux sont écartés et je sens le souffle chaud de sa bouche à lui, se rapprocher, là à cet endroit. Sa langue me lèche, s’enfonce en moi, ses lèvres me sucent. Je ne sais plus réfléchir, je suis heureuse et soulagée lorsqu’il me pénètre de deux doigts fortement, je veux ça oui plus fort encore. Je perds la notion du temps, du bien du mal. Quatre personnes sont là et s’occupent de me donner du plaisir, à moi Lilo qui souvent hésite à aller au bout de celui-ci. Je ne tiens plus, je ne sais plus où je suis, ce qui se passe. J’entends que l'on m’encourage alors que j’hurle à ne pas reconnaitre ma propre voix. Mon corps se tord, s’étire, se cambre, se disloque. Oh non, je n’ai plus de craintes, je veux donner, leur donner et prendre aussi. Je jouis comme il est rare de jouir. Je jouis à en déchirer une solide pellicule qui encombrait mon corps de tant d’interdits. Je jouis de me retrouver moi, je jouis de les rencontrer eux. Je jouis de bonheur, je jouis à en chialer de toute l’affection que l’on me donne si généreusement. Je jouis pour ce partage d’amour simple, primaire, presque animal et pourtant tellement poétique. « Merci, merci, merci » Je le crie si fort lorsque ma nuque révulse et que mon crane pénètre le matelas. Les formes blanches me remercient à leur tour, l’une d’entre elles reste contre moi et me caresse le visage qu’elle vient finir de découvrir. Je respire fort, comme pour la première fois un air nouveau emplissant mes poumons avides de retrouver leur souffle . J’ouvre les yeux et lui souris lorsqu’ elle me dit « c’était si beau, quelle chance, quel cadeau ». Max est là au pied du lit et nous annonce que le spectacle commence à côté. Qu’il est temps de nous changer. « Et bien Lilo, ça a été crescendo, je me trompe ? Allez vite rejoindre votre Maitre, il vous attend impatient. A tout à l’heure ». Je peine à retrouver mes sous-vêtements dans le noir. De l'autre coté du lit, l’homme musclé fini de se rhabiller puis m’apporte mes bas et découvre alors mon visage. IL me prend dans ses bras, m’embrasse. Le gout de ce moment magique est accroché à sa peau. Je suis comme mélangée. Alors que je suis calme et sereine, j'éprouve une sorte de gêne, de petit malaise et aussi une grande reconnaissance envers cet homme . Il me remercie de lui avoir fait confiance, et prononce ce mot que je peine aujourd'hui à écrire hors contexte : "sublime". Il entoure mes joues de ses deux mains, me caresse la nuque et essuie mes yeux. Nous restons un moment debout l’un contre l’autre. Un instant je voudrais lui donner plus. Mais le jeu est terminé et je retrouve mes limites, le cadre n'est plus le même. « Au plaisir de nous revoir… » Je rejoins Shape en jupon et soutient gorge, je ne veux pas m’encombrer de d’avantage. Il est non loin de la chambre à regarder le spectacle qui se donne sur l’étage du dessous. Une magnifique femme, aux écailles de Dragon tatouées sur plus de la moitié de son corps se contorsionne autour d’une barre et crache du feu. J’ai besoin de me blottir contre lui, fort, de retrouver son gout, son odeur, qu'il me serre, m'écrase, qu’il m’embrasse et reprenne possession de moi entièrement. Plus personne n'existe autour de nous. Les sons se trouvent amortis contre cette bulle qu'il me faut urgemment reconstituer. « C’était bien ? » « Oh oui Shape, j’ai adoré et ai pu prendre tant de plaisir. C'était si étrange et tellement bon. J'aurais voulu que tu sois là. Tu veux que je te raconte tout ? Max t'a expliqué en quoi consistait le jeu ? Merci de m'avoir autorisé cela » « C’est bien alors, je suis content. Oui, je veux que tu me dises, si tu en as envie » « Shape, S’il te plait corrige moi fort avec la badine, donne moi la fessée sur le lit ou je me suis donnée, j’ai besoin de nous retrouver… » FIN
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Par : le 19/12/18
Ces premières minutes passées et avec elles l'inhibition de ma partenaire, elle se retrouva, fesses rosies et sans qu'elle s'en rende tout à fait compte dans une nouvelle position que la recherche de stabilité et le souhait de s'offrir au mieux exigeaient. Ses épaules touchaient maintenant le lit, ses bras étaient de part et d'autre de son corps, elle avait écarté encore ses jambes et la cambrure de ses reins avait un arrondi extraordinairement creux, elle faisait ressortir son sexe et son anus plus encore que les instants d'avant cherchant à offrir plus d'espace encore aux coups qu'elle quémandait. Une sensation délicieusement sourde m'envahissait le ventre. Elle s'était jusqu'alors offerte mais maintenant, sous l'effet de la douleur et du plaisir conjoints, elle s'écartelait. Je tentai de continuer de la fesser tout en restant en elle mais la position ne le permettait plus. Nos sexes ne pouvaient plus se joindre. Elle, plus basse, moi, trop grand. Je me retirai donc, me plaçant sur son côté gauche et continuant de frapper et d'en savourer les effets. Je dois avouer que ma propre excitation était montée très fortement et que la tension de mon sexe était telle qu'elle en devenait presque douloureuse. La fessée continuait de dispenser généreusement ses bienfaits mais elle ne sentait plus rien en elle lui permettant d'entrelacer les douleurs des claques avec le plaisir de la pénétration. Je lui demandais, hypocritement, d'en profiter pour se caresser, ses mains étaient libres après tout ! (j'ai dû ponctuer ma demande d'un mot comme "cochonne", cela lui plaisait et l'encourageait...) J'adorai la voir se masturber devant moi mais c'était un plaisir qu'elle ne me donnait que trop rarement. Dans cette situation, comme j'avais accédé à ses désirs, ne devait-elle pas accéder un peu aux miens ? J'en fus étonné, elle n'hésita pas. Sa main vint se placer sur son sexe et elle commença de se caresser, ouverte, impudique, animale. Sa position ne cachait rien des mouvements de sa main qui s'interrompait une seconde, parfois, quand un coup plus fort la surprenait. Mais cette main que je croyais timide reprenait vite sa place et je continuais de dispenser de mes mains les éclairs et la chaleur sur son corps plus que rose à présent. La fessée continuait et je me rendis vite compte que ma main, pourtant puissante commençait à fatiguer. (Je n'envisageais pas encore d'avoir recours à un autre instrument, cela ne vint que plus tard.). Je lui dis la fatigue de ma main. Elle me supplia de continuer encore un peu, qu'elle allait jouir bientôt. Elle étouffa ses cris dans l'oreiller, tendue vers l'arrière, cambrée, son orgasme montant sous les les effets de sa main pour le plaisir et de la mienne pour la douleur. Je frappais plus fort encore, je ne pouvais plus distinguer les cris de jouissance de ceux provoqués par mes coups. Ne voulant être en reste, je lui remontais les fesses, continuant de la fesser, je me glissais derrière pour entrer en elle d'un coup brusque qui soulagea un peu ma tension. Elle hurla dans son oreiller en feulant au rythme de mes coups de rein et des cuisantes claques sur ses fesses franchement rouges. Nous avons joui ensemble. Elle s'apaisa. Mon corps était devenu lourd, j'étais appuyé de mes mains sur ses fesses, sonné par l'orgasme, les jambes tremblantes. J'ai encore présente en moi la vision du contraste de mes mains brunies au soleil sur le rouge de ses fesses brûlantes. Je m'effondrais, plus que je m'installai, à côté d'elle. Elle n'avait pas varié sa position, fesses tendues, écartelée. Elle la conserva quelque temps foudroyée qu'elle était par le plaisir conjoint de nos sexes, de sa main, de la mienne. Quand elle s'allongea et vint se blottir dans mes bras, sa bouche près de la mienne, elle murmura, "J'ai un peu honte...". Ses yeux, illuminés, affirmaient le contraire."
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Par : le 14/12/18
"Elle était brune sa chevelure tombant sur les épaules. Au matin, la nuit l’ayant décoiffée, une sorte de crinière environnait son visage qui donnait aux gestes lents de l’engourdissement du réveil une touche animale. Lorsqu’elle avait quitté le lit, ses yeux noirs s’éveillaient à leur tour. Ils étaient capables, j’en avais fait l’expérience, de se révéler les alliés puissants de sa détermination et dans les extrêmes, de brûler à distance l’objet de sa colère. Rien dans les traits de son caractère entier ne laissaient supposer une nature soumise. Une part de sang espagnol affirmait souvent sa présence, passionnée en amour, combative dans l’adversité. Nous étions amoureux et nous nous essayions, dans les jeux de l’amour sans chercher à restreindre les possibles que d’ailleurs nous n’imaginions pas. Je me souviens d’un après-midi d’automne chaud et lumineux comme le sud-ouest parfois en offre quand l’été semble vouloir rester encore un peu. Le petit animal sauvage que j’avais apprivoisé s’était alangui et, dans un lit, cette fois, nous faisions l’amour. Bien des minutes s’étaient écoulées dans nos jeux lorsque elle prit, provocante, une position qu’elle appréciait. A quatre pattes, cambrée, proposée à mes caresses et à mon sexe, elle tourna la tête et me regardait derrière son épaule. Il me sembla percevoir dans ses yeux une interrogation mêlée de doute. Dans le feu de cette action, je n'étais guère porté sur l'introspection, je n'y prêtais pas plus d'attention. Une fois entré en elle, je ne sentis pas de différence dans son attitude. Ni les cris, ni les mouvements compulsifs du bassin que son plaisir imposait ne m'ont paru différents de ceux que je connaissais déjà bien. Puis au milieu de ces ébats sans surprise deux mots comme un souffle trop longtemps retenu, deux mots seulement : « Frappe-moi ! ». Pour être sûr que je comprenais bien je demandais qu’elle répète, sa voix presque incontrôlée lors de la première demande se mua en une supplique "Sur les fesses, sur les cuisses, frappe-moi !" Je restais quelques secondes en suspens. Je n'aurai pas voulu me voir en cet instant-là. A genou, planté en elle, ne bougeant plus avec sur le visage une expression sans doute à mi-chemin entre l''incompréhension et l'ébahissement. Elle non plus ne bougeait plus, mais ne montrait aucun des signes de mon hésitation, elle. Je me repris : comme j'aimais lui donner du plaisir, elle me montrait un chemin auquel je ne pensais pas, voilà tout. Ma main se leva une première fois pour frapper mais ce premier coup n'étant pas assuré, il ne fit que caresser rudement, du bas vers le haut sa fesse droite dont la peau bougea en onde sous l'effet du choc relativement léger. Elle me donna là un premier soupir qui montrait l'impatience contenue. Un deuxième coup, plus sec cette fois vient frapper au même endroit, celui-ci fut suivi d'un petit cri bref, plus de surprise que douleur je pensais. Je recommençais sur l'autre fesse, l'équilibre me semblait important, et je revenais sur la première fesse cette fois avec plus de rudesse puisque ses cris traduisaient son désir de plus de force. Quelques minutes passèrent dans les claques mêlées de cris ou de gémissements, lorsqu’elle arrivait à contenir les cris. Je trouvais très excitant ce nouveau jeu et je prenais plaisir à alterner des caresses/claques avec des coups plus rudes, m'amusant à déclencher des cris plus forts par une plus cuisante claque aux moments où il lui semblait que la fessée devenait plus douce.../..." La suite si cela plait assez... Z.
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Par : le 08/10/18
Faut pas faire chier jules. Depuis tout petit, la baston et lui ne font qu'un. C'est pas le plus fort, mais c'est le plus teigneux. Et Jules, y craint dégun. L'autre fois, c'est une montagne de muscles qui est venue le chercher. En moins de deux, la montagne est devenue carpette, tapis pour mettre devant la cheminée. A force de pratiquer la baston de rue, jules est expert en coups tordus, en coups qui font très mal, en coups efficaces. Les soi disants experts japonais, il s'en sert de cure dents, même pas de baguettes pour bol de riz, une fois qu'il les a pliés et repliés. Et jules se tape la plus belle fille du coin. Encore une, qui trop belle, s'est mise sous la protection du plus costaud dans les bastons. Comme cela elle peut être la plus belle sans être emmerdée et même régner dans le coin. Plus personne n'ose défier son "jules". Ils se sont mis à la moto. le cuir cela leur plait. Jules est vigile au super marché, il tronche sa patronne qui le paie bien pour cela. Le dimanche il emmène sa meuf, la plus belle fille du coin, à la campagne. Ils adorent la moto qui vibre sur les routes sinueuses et les parties de jambes en l'air sous les arbres, au bord des rivières, dans les champs. Partout où il fait bon être libres et heureux. Jules adore les petits pic-nique nique sur l'herbe verte. Sa meuf a la peau blanche. Il adore l'attacher, lui donner la féssée, lui pincer les seins. Il adore la ligotter à sa moto et bien lui défoncer le cul. Sa meuf est une gourmande, elle en redemande toujours. Une soumise délurée et pleine d'imagination. Un minou étroit qui sent bon. Conclusion, dans la vie, pour se taper les plus belles femmes, il faut craindre dégun !
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Par : le 08/10/18
Nico, c'est nicole, mais elle déteste ce nom de gonzesse, c'est simple, depuis toute petite, elle déteste tout ce qui est féminin. Elle a toujours voulu s'habiller comme un garçon, jouer comme un garçon, se battre comme un garçon. Elle est taillée pour. Toute jeune, elle a voulu faire du rugby. Comme il n'y avait pas d'équipe de filles et comme elle était coupée en brosse, elle a joué avec les garçons. Et elle s'est vite révelée excellente. Sauf que, lorsque ses mamelles ont poussé, les garçons ne voulaient plus d'elle. Pour être formée, elle était formée. Un gros cul et de gros nichons. Heureusement il y avait dans son sud ouest un club féminin, pas trop loin. Cela lui a plus de suite. C'était même mieux qu'avec les garçons, plus amusant. Elle est devenue championne du coin. Une vraie panzer sur un stade, capable de tout défoncer devant. Son surnom "le sanglier". Humm, c'est vrai, elle schlingue un peu comme les phacochères en rut après un bon match. Raison de plus pour filer sous la douche et la troisieme mi-temps. Elle s'est rendue compte qu'elle était 100% lesbienne dominatrice. Le sanglier des stades devenait le sanglier sous la douche, toujours à renifler des chattes à les labourer et à se les troncher profond. Nico opta pour le gode sans ceinture, un gros gode. Comme c'était la chapionne et la plus costaude, elle se les tapait toutes. Elle se tapait même l'entraineur, une petite bite sur pattes, un homme fluet et timide, mais très bon technicien. Nico lui avait foutu la honte de sa vie lorsqu'elle l'avait sodomisé devant toute l'équipe. Les filles s'étaient moquées de sa petite bite. Il était rouge, couvert de honte et ce con avait joui, bramé comme les filles. depuis, il s'appèle "la pie". Il a tendance à jacasser quand il jouit en se faisant mettre profond par nico, qui de fait montre à tout le monde que c'est elle qui commande. Finalement nico a repéré la plus jolie des supportrices, une petite blonde hyper sexy, une pom pom girl très provoc sur les stades. Mais en dehors, une petite bourge bien rangée, bien comme il faut. Nico s'est mise en couple avec. Nico se comporte en macho et sa pom pom girl file droit. Elle adore lui donner la féssée, bien la rougir avant de lui enfoncer son groin de sanglier entre ses petites fentes intimes. Et l'autre qui hurle de plaisir à chaque fois. Nico, avec ses 90 kg, ses épaules de déménageur, sa tronche patibulaire, son nez cassé, n'a rien des canons de beauté des magazine. On aurait pu croire qu'elle finisse seule, aigrie, moche pour la vie. Au contraire c'est elle qui se tape les femmes qu'elle veut. Aucune qui ne résiste à son groin. La sanglier des stades est aussi celle qui se tronche le plus de chattes. Et au besoin, elle encule aussi les mecs qui sont pas contents. Les soumis, sont trop nombreux, c'est pas du sport, elle les ignore. Non, ses extras c'est les bons gros machos de supporters adverses avec zéros neurones et bien du muscle.une fois bien enculés par son god, elle fait des selfies. Plus aucun n'ose se moquer d'elle après.
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Par : le 02/10/18
Partie 1 PREPARATIFS C’est la veille de cette nuit-là ! Mon Maitre Shape l’a décidé, nous irons ! Et j’en crève d’envie, j’en trépigne d’impatience. Pourtant comme à mon habitude, je me laisse bercer entre envie, désirs, curiosité absolue, peurs et doutes. Depuis une semaine, une boule au ventre grandie et pèse à mesure que les jours de la semaine s’égrènent. Ce weekend occupe mon esprit quoi que je fasse et habite mes nuits, beaucoup plus agitées. Tout se bouscule en dedans, les émotions s’agitent me procurant diverses sensations plus ou moins agréables à vivre. Je suis dans l’attente. Derniers préparatifs ... Les essayages ont lieu sous ses yeux, ses mains qui ajustent celle qu’il me faudra être pour lui. Le thème de cette soirée « La rentrée des Soumises » Un dress code est donné, et je dois me munir également d’une feuille blanche et d’un crayon bleu ou noir, afin de répondre à des questions de culture générale. Ce qui m’a valu de petites révisions … Je me transforme donc en une écolière d’apparence sage, avec une jupe écossaise rouge, une jolie chemise blanche, une veste en jean, un béret en feutrine noir et les bottines de la même couleur. En dessous, il me veut sexy. Des bas noirs sont tenus par un corset jarretière en dentelle qui nous a valu moultes questions, ajustements, rires, agacements et démêlages en cascade. Mais Ouff, il me va ! C’est la première fois que j’en porte un. Je me trouve presque jolie, je souris à tous les miroirs que je rencontre. Je m’amuse et joue à me promener dans la maison et à passer le balai ainsi vêtue, en repensant à certaine photos et images regardées, envieuse, ici et là sur la toile. Partie 2 LE JOUR J Je suis détendue, tout est callé. Shape a réservé une nuit sur le domaine ou nous nous rendons. Je pourrais donc prendre le temps de m’imprégner des lieux, d’avoir notre espace à nous (j’avoue avoir pensé au repli au cas où) . En prime, le lendemain, ballade en amoureux et découverte d’une côte Bretonne que je ne connais pas ! La route est interminable, il pleut sans discontinuer, le brouillard et le vent sont de mèches également. Ce qui pourrait me chagriner habituellement, voir me contrarier, m’adoucie et amène une certaine pesanteur qui semble me faire prendre le bon rythme. Je suis calme, en confiance et heureuse. Même mes mots, mes phrases sont dites sans précipitation. Je m’en fais la remarque et me répète à intervalle régulier, de ressentir, de profiter de l’instant. Nous échangeons encore une dernière fois dans la voiture, sur nos attentes, nos envies, les limites fixées, les codes que seuls nous comprendrons. En chemin nous nous sommes arrêté dans une boutique qui vend des accessoires,des vêtements, de la lingerie érotique et instruments SM . J'ai repéré un martinet à longues, lourdes et nombreuses lanières de cuir, absolument parfait pour réveiller et chauffer ma peau, mais Shape ne fait l'achat que d'une nouvelle cravache, le manche de la dernière ne lui plaisant pas. L'odeur de Patchouli gluant un tantinet trop vanillé de la boutique me rend presque nauséeuse et cela m'empêche de m'emballer pour un quelconque article. Je constate que Shape semble connu des lieux lorsque l'hôtesse lui fait remarquer que cela fait un moment qu'elle ne l'a pas vu et qu'ils engagent tous deux la conversation sur leur dernière entrevue au marcher aux plantes non loin de là. Elle se rend compte de ce que je pourrais mal interpréter et se rattrape en explications supplémentaires. Je ne lui dis pas, mais elle n'a pas besoin de le faire, je ne lui en veux pas, Shape m'expliquera. Alors je me contente de lui dire timidement "non mais pas de soucis".Elle est gentille, à une petite cinquantaine très fine voir maigre, habillée en femme fatale avec la coupe carrée stricte noir corbeau. Cela me fait penser que je m'étonne toujours du contraste qu'occasionne la dégaine de certains visiteurs qui passent la porte de ces boutiques. Moi, qui, il y a encore trois ans, pensait que cela était réservé à une certaine élite où aux Vicelards tordus. Je n'y suis tout de même pas encore bien à mon aise, ces endroits ne m'émoustillent pas le moins du monde, trop de déballage, et mon imaginaire se trouve comme bloqué. Il est 20h00 lorsque nous arrivons. Nous sommes en avance et comme prévu, Maitre Balthazar nous attend et nous conduit à notre chambre afin de nous changer. Il fait noir dehors et je n’ai pas pu admirer les extérieurs qui semblent magnifiques. Dans la demeure, je n’ai à aucun moment détourné les yeux de Shape et de Maitre Balthazar. Je veux tout entendre, tout comprendre. Je reste concentrée. Je vis l’instant et ne veux plus imaginer. J’ai entendu des voix et des rires dans une grande salle derrière la cuisine. J’ai frôlé des rideaux lourds dans un couloir qui mène à un escalier moquetté qui assourdi chacun de mes bruits de pas. Je suis comme en apnée, je m’en rends compte lorsque Shape ferme la porte de notre chambre et qu’il repart chercher nos affaires laissées dans la voiture. J’inspire alors à plein poumon, je frissonne. Les odeurs sont agréables et douces. Tout semble comme feutré. Je regarde les tableaux et les breloques accrochées ou déposées. La décoration ne me plaît pas vraiment, mais je me sens à mon aise. La note colorée de notre chambre est le rouge. Un rouge puissant et massif. C’est un signe ! c’est ce que je me dis en souriant. Une fois changée, je lui demande de faire des photos, je prends des poses debout sur le lit. Je joue, je rigole et j’adore ça. Il est si décontracté, à l’aise, je te trouve beau dans ses vetements sombres. Je suis en totale confiance, ou inconsciente, au choix, mais ça me va !!! alors simplement je profite. La boule au ventre est un lointain souvenir lorsque Maitre Balthazar frappe à notre porte et me surprend à faire l’andouille sautillant sur le lit. A cet instant ça y est, je le sais, je suis dans mon rôle, je prends une place qui me convient. Shape vient de me passer mon collier de Soumise autour du cou et tel un bolide, me voilà dans les starting block . Je contrôle encore le démarrage. Mais je sens les chevaux qui me poussent. « L’autre moi » prend place et n’en peut plus d’attendre d’être toute entière. Nous descendons dans cette grande salle. L’immense cheminée réchauffe la pièce. Il y a du monde. Les Maitres et Domina se tiennent debout et les soumis(es) souvent à genoux ou assis. Je ne me sens pas faire cela. Ce n’est pas dans nos codes et habitudes. Je reste donc droite comme un I aux côtés de Shape qui arbore un regard fier. J’admire tout, je n’ai pas assez de deux yeux, je n’ai pas assez de mes narines et de mes doigts pour gouter et savourer ce moment. Il nous est demandé de faire connaissance et de nous présenter. Chaque Dom le fait accompagné de sa moitié. Je dois visiblement me taire. Ici, ce n’est pas à moi de parler. Que c’est difficile pour moi ! Ma langue accepte de rester coincée entre mes dents. J’ai cette sensation de sourire bêtement et de ne pas savoir ou mettre mes bras et comment démêler mes jambes. Je m’appuie maladroitement sur une épaisse table en chêne massif. Je comprends qu’ il est au final plus facile d’être à genoux par terre!!! Shape serein et très calme nous présente succinctement tous deux, en précisant que c’est une réelle première pour nous. C’était parfait. Un verre est servi et les conversations commencent à remplir doucement la pièce. Je suis heureuse de reconnaitre une soumise, Luna que j’avais rencontré lors d’un Munch et after. Elle est aussi libertine et tellement nature, elle me fait rire. Et Dragon29 est là aussi. Un Maitre d’expérience qui nous connait Shape et moi puisque mon ancien Maitre nous avait introduit dans cette communauté du Triskèle dont Dragon était président. Le punch n’est pas assez fort à mon gout, je veux du pure du dur et pourtant j’ai déjà chaud. Après quelques échanges, je remarque que je suis la plus couverte. Certains jeux se mettent en place notamment sur cette grande table qui m’avait servie de soutien. Des culs sont déjà tendus et réclament. Ce que j’avais envisagé est donc, sous mes yeux, en train de se réaliser. Ce sont les soumis qui sont mis à contribution les premiers, ils semblent pouvoir détendre activement l’atmosphère. Les fessées fusent mais restent modestes. Les coups de cravaches ou de martinets sont timides. Je le sais, je le sens en moi, je veux voir du « spectacle ». Et le déguster comme un cadeau, comme quelque chose de beau. Le voir comme un précieux moment de « vie à part », de « parenthèse autorisée » et de partage. Non, Mieux, je veux avoir le courage de faire partie du tableau, qui s’agite et prend vie devant moi, de faire partie de ce spectacle ! je lève ma tète vers Shape, il était fixé sur moi. Il a compris, je le sais, je n'ai pas besoin de faire l'effort de lui dire. Je n’ai qu’à attendre, lui aussi en a envie. Je suis heureuse, et la patience sera mon amie. Les corps sont beaux. Ils ondulent, invitent, vibrent et vivent l’instant. Je crois que personne ne regarde comme moi; comme pour la première fois. J’ai peur de gêner parfois. Je souris beaucoup trop à mon gout, car il me manque de pouvoir dire tant de mots !! Une Domina répond à mon sourire en donnant la fessée à son soumis. Je fredonne tout en la fixant au travers de son masque, la musique qui passe à ce moment précis. Elle commence à battre le rythme sur les fesses rosies et appuie d’avantage les coups avec la cravaches. Je continue à chanter. Elle en fait autant, jusqu’à ce qu’un coup plus fort atteint le postérieur rouge du soumis et qu’il se met à crier. Cela me fait éclater de rire. Le soumis me dira merci peu sympathiquement plus tard dans la soirée. Je m’en ficherais un peu, mais afin de ne pas détonner, je m’excuserai du mieux que je peux, de mon attitude de petite peste que je ne me connaissais pas jusqu’ici. Maitre Balthazar nous invite Shape et moi à nous rendre dans la pièce bleue. Il y fait bleu oui, et des instruments et mobiliers sont installés autour d’un immense salon qui lui, se trouve en contrebas. Des tapis partout. Une croix magnifique en bois et cuir et d’autres meubles que je reconnais, mais dont je ne connais pas les noms. Je m’imagine attachée, mon corps nu et touché …mais nous sommes appelés. C’est le moment du test de culture générale. Shape me laisse m’installer autour de la grande table. Une soubrette Homme est non loin de moi. Deux autres soumis Hommes Femmes ou inversent me demandent si j’ai de quoi écrire. Leur voix les trahit, alors que j’ai envié peu de temps avant leur corps magnifique , sans avoir regarder si une chose, voir deux ou trois gigotaient au milieu. Ce qui m’étonne, c’est que je trouve tout normal et que je suis bien ici, à ma place, dans ce monde qui reflète les couleurs de ma vie intérieure et des valeurs qui me sont chères. Luna est à mes côtés. Comme dans un vrai examen les copies nous sont remises faces cachées. Et nous sommes surveillés. Luna et moi plaisantons et remplissons le rôle des élèves dissipés. Les questions ne sont pas simples du tout. Et entre les dates des grands évènements, les guerres, les problèmes de médecines et les départements, je me perds un peu. Ma concentration n’est pas au rendez-vous sur cette partie de soirée, et mes camarades de classe sont peu joueurs. J’essaye en vain de tricher. A deux reprises, on me demande de me taire et de travailler. C’est plus fort que moi. Je veux jouer à provoquer, histoire de voir. Et Luna me suit sur ce coup là. C’est alors que la Domina au masque nous dit à toutes deux, qu’après avoir rendue nos copies nous serons châtiées. Bizarre, Je crois être heureuse d’avoir comme gagné un bon point. La Domina n’est pas dupe et nous le dit d’ailleurs, que ce sera pour notre plaisir. Je me retourne vers Shape, qui me lance depuis le canapé, « C’est ce que tu voulais ?! Non ?! ». Je me retourne boudeuse et entoure ma dernière réponse, puis brandis ma feuille en criant « J’ai fini !! ». Luna me fait remarquer que je suis la dernière, et qu'il ne serre à rien de me venter. Nous rions comme deux gamines. Un Maitre sur ma gauche, me précise que la domina au masque, à la main lourde et semble inquiet pour moi. Un léger doute me prend, un genre de petit fourmillement envahit mes mains et tombe sur mes pommettes. je suis pourtant impatiente de recevoir ce qui nous a été promis. Luna me prend pour alibi et explique à la Domina que je suis novice et qu’il faudra adapter. « Si seulement elle savait !!!! ». Mais après tout un petit tour de chauffe tranquilou n’est pas de refus. Sa jupe est déjà remontée et ses fesses crient « je n’ai pas été gentille ! ». Je m’installe de la même façon, retroussant ma jupe, écrasant ma poitrine sur cette table et posant mon visage en direction de celui de ma copine de classe. Je sais que tous derrière peuvent voir mes jambes, mes fesses, et je m’étonne encore une fois, de n’avoir aucun souci avec cette nouveauté. Luna reçoit son due, le bruit est enrobant et je sais d’avance que ce seront alors des mains caressantes pour moi, et donc assurément frustrantes. Mais que je suis heureuse de cette première fessée donnée par des mains de femme. Je suis surexcitée !! Il me semble à cette instant, que je n’ai plus aucun tabou ni retenue. Je veux tout, j’ai envie de tout ce qui pourra s’offrir à moi en sachant que Shape est garant de Nos limites. Cette fessée est bien trop courte à mon gout. Je m’en veux de ne pas avoir dansé sur cette table la macaréna ou une autre connerie du genre. Shape et moi voyageons d’une pièce à l’autre. J’envie certain corps sublimes, mes yeux repassent leurs contours à coup de crayon de lumière. Mes mains accompagnent les mouvements. Je vois de l'amour, des câlins de la tendresse partout...Lui parle technique. Il est 23Hoo c’est l’heure ! Les corrections sont faites. Les notes établies. Nous nous rendons dans la pièce bleue. Il est demandé aux soumis(es) de s’asseoir dans la partie en contrebas, les Dom nous surplombant. Nous serons appelés un par un et devrons nous mettre à genoux afin de recevoir notre diplôme. Une punition sera donnée par la main de notre Maitre en cas de note inférieure à la moyenne. Je reçois mon diplôme après avoir manqué atterrir en mode vol plané aux pieds de Maitre Balthazar, ayant pris mon talon dans un tapis et un pouf au sol. J’ai un peu honte, j’aurais voulu m’appliquer et m’agenouiller avec classe comme j’ai appris à le faire. Mais, visiblement, je garde le mystère et cache mon jeu involontairement jusqu’au bout. En tous cas, c’est ce que je me dis pour me consoler. Shape ne semble pas m’en vouloir, il me sourit et hoche la tête en me félicitant pour mon diplôme de « bonne soumise ». Je me précipite à ma place et lui tends fière de moi. Seul deux n’ont pas été appelés. Un jeune soumis d’à peine 20 ans et une magnifique soumise au corps percé et tatoué. C’est elle qui ouvre le bal des punitions. Elle doit se placer sur la croix, bras et jambes écartées, et ne plus bouger. Son maitre lui explique qu’elle devra compter les coups à haute voix, et qu’en soustrayant le nombre de coups reçus de 20, elle saura sa note et pourra alors chercher son diplôme. Son Maitre prend un bâton lourd et long, une sorte de badine épaisse d’un diamètre de3 centimètres environ. Elle est entièrement nue. Lui, lui parle doucement à l’oreille. Je suis trop loin pour entendre, mais je ressens l’attention et l’affection qu’il lui porte. Le premier coup est donné suivi du « 1 » qu’elle donne dans un éclat de voix. Le silence envahit la pièce. Ça va faire très mal ! Une marque violette est déjà en place à la naissance des cuisses de la soumise. Je sais d’avance qu’au second coup à cet endroit, elle n’aura pas d’autres choix que de s’écrouler. Aux coups suivants, la jolie soumise se met à pleurer de plus en plus fort, son Maitre la soutien par des mots, des caresses, mais exécute impitoyablement la sentence. Certaines soumises ferment les yeux comme pour ne plus entendre, d’autres détournent le regard de cette scène, des mâchoires se crispent. L’atmosphère est devenue tendue, pesante, poisseuse, et je souhaite de tout cœur pour elle que sa note approche de la moyenne. Au treizième et dernier coup, elle s’effondre. Ses fesses, sont très marqués et la douleur ressentie doit être d’une extrême violence. Son Maitre la prend dans ses bras assez maladroitement, comme gêné par le regard des autres et lui demande « alors, qu’elle est ta note ? », elle répond "7, ma note est 7 Maitre" et le remercie. A cet instant, je ne sais pas quoi penser de cette scène et de ma complicité dans cette histoire subit. J’aurais voulu comme prendre sa place à un moment pour la soulager ou avoir la réponse au département 87. Mais moi aussi comme les autres je suis restée là, stoïque. Je laisse ces images en digestions. Je ne suis pas choquée. Je ne sais pas, c’est tout… et Luna la console déjà en me précisant « c’est dur la pauvre, elle n’est pas maso du tout ! ». Moi j’ai un léger doute à voir les tas de tatouages et de piercing placés là où ça ne doit pas faire du bien en plus du branding à la signature de son Maitre. Un peu plus tard, je la retrouverais épanouie à rouler sa cigarette et celle de son Maitre puis à vivre un moment de dressage merveilleux. C’est ensuite au tour du jeune soumis qui recevra le même nombre de coups avec une badine plus fine de la main de sa Domina très appliquée avec des gestes plus souples et plus chorégraphiés, esthétiques. A la suite de quoi, Shape est parti chercher le résultat de mon écrit. J’ai obtenu 12 sur 20. La pièce s’est vidée. Il me demande de me placer sur la croix et de compter les 8 coups me séparant de 20. Je ne rechigne pas. La badine est cinglante et libératrice. J’en avais besoin. Il est heureux des premières marques qu’il vient de m’administrer. Je l embrasse goulûment. La soirée reprendra son cours ensuite et se remplira de jeux SM plus marqués dans toutes les pièces. Des chaines suspendues au plafond seront aux premières loges pour admirer les corps offerts aux jonglages de martinets, aux coups maitrisés des fouets de toutes tailles. Je resterais admirative d’un homme maso qui venant de se faire écraser les testicules sur le sol pendant plusieurs minutes par sa Maitresse, se suspendra aux chaines et recevra sur l’ensemble de son corps, des coups d’une force et d’une voracité à peine imaginable pendant plus d’une demie heure. Sa Maitresse et lui sont en parfaite osmose. Ils se donnent autant l’un que l’autre. Ils sont animaux, bestiales et émettent des cris et sons à peine identifiables. Elles se déchaine, les coups pleuvent. J’ai l’impression qu’il n’arrive pas à lâcher, et qu’il ne sera jamais rassasié. Elle est comme à bout de souffle et finit par sortir une lame énorme et commence à lui entailler le dos doucement. Shape et moi nous détournons de cette scène, et retournons dans la pièce bleue. Il m’installe sur une sorte de cheval d’arçon et nous savourons tous deux ce moment de complicité et de marquage amoureux. Le fouet court qu’il a en main est un délice et je ressens chacune des marques qu’il me laisse à la surface de la peau comme un cadeau que je veux pouvoir garder sur moi le plus précieusement du monde. Nous sommes si bien là, tous deux ! Il s’applique comme jamais et je me nourris de ces moments comme toujours. Je suis si détendue, que cela pourrait durer des heures. Après ce moment complice, et autour d’un verre et de nos discussions, je lui soumets l’idée de s'essayer aux fouets et techniques de Dragon et de pouvoir apprendre et se perfectionner. Il en fait la demande, je les vois parler un peu plus loin. Dragon vient me chercher peu de temps après, et me fait déshabiller entièrement. Je m’exécute sous le regard de mon Maitre. Dragon me fait remarquer, à la vue des marques rouges sur ma croupe mes fesses et les cuisses, que je n’ai pas été si sage qu’il n’y parait. Je suis sur la croix et m’installe en suivant les consignes qu' il me donne. Je veux rendre fière mon Maitre et lui montrer comme je sais être une bonne soumise obéissante. Mes mains sont accrochées aux chaines qu’elles trouvent à taton. Mon front est posé contre le rond de cuir. Dragon s’essaye à de premiers instruments et comprend assez vite qu’il lui faut passer à d’autres « jouets ». Il me remercie de ma tenue et m’encourage à vivre pleinement ce moment. Il me dit l'apprécier également à chaque fois qu’il revient vers moi pour s’assurer que je vais bien. Je suis en totale confiance. Ses coups de fouets sont un supplice délicieux. Il me demande à intervalle régulier de me tourner d’un côté et de l’autre en faisant attention de lui laisser admirer mon visage. J’ai cette sensation d’être seule au monde avec lui et mon Maitre. Certains coups sont plus appuyés, incisifs. Il souhaite atteindre des zones de mon corps plus délicates. Il s’étonne que je ne bouge pas, ne pleure pas, qu’aucun son ne sorte de ma bouche. Seules mes lèvres s’entrouvrent par moment comme pour aspirer d’avantage de plaisir. Ma peau est chaude, je bouillonne littéralement, et suis ailleurs depuis déjà un long moment. Ce sera à lui et à Shape de savoir quand il faut arrêter, car moi je suis incapable de le dire car incapable de savoir quand il faudra stopper. J'ai trop peur qu'il m'en manque un peu, un bout de cet instant et que le regret me gagne, que je m'en veuille ensuite. Je suis si bien, à ma juste place, je me sens vivante et belle. L’adrénaline et toute cette excitation en moi, en plus du manque de sommeil cumulé fait que je voyage. Ma résistance physique est grande, je me fais confiance, elle ne faiblira pas. Je ne ressens pas la douleur, je m’en délecte, m’en réjouis. Douleur, même ce nom ne lui va plus ! Il faut que je lui en trouve un autre dans ces instants-là. Je l’offre, je la partage, la donne à apprécier, à la voir autrement, belle, heureuse, joyeuse, vivante, vibrante de bonheur et de vie... Je tremble, mes bras ne tiennent plus bien dans les chaines, ma tête tourne un peu. Je sens des mains posées et une voix qui me dira. On arrête là. Je me mettrais alors au sol en dévotion aux pieds de ceux qui m’auront aimés soumise cette nuit-là. Je suis sereine, souriante, d’un sourire qui veut enfin dire quelque chose et qui n’a pas besoin de se justifier en mot. Le reste de cette nuit fut douce, belle tendre et juste. Merci mon Maitre Shape pour ce weekend Notre parenthèse de VIE à deux . Je t'aime
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Par : le 02/10/18
Julie arretait pas d'emmerder Tonio, le beau ténébreux, qui ne pensait qu'aux études. Et puis quand Tonio voulait, Julie disait non. Et puis, elle revenait l'emmerder quelques jours après. Une allumeuse, une qui se la petait avec sa mini provoc, ses jambes fines, ses seins pointus, son rouge à lèvre bien rouge. Tonio fulminait avec cette conne qui le provoquait. Mais julie, fit la provoc de trop. Elle aimait se caresser après avoir dit non à Tonio et à la bosse dans son pantalon. Elle voulait jouer à ce jeu ce soir là. Allumer Tonio, l'obliger à quémander pour lui dire non et aller ensuite se caresser seule. Tonio rentrait du lycée en empruntant les traboules, les passages secrets du vieux Lyon, le quartier des canuts autrefois. Julie l'attendait dans un coin sombre avec sa mini retroussée au raz de la moule. Une bombe sexuelle sur pattes. Et elle recommença à jouer à la chatte en chaleur. Notre beau ténébreux en avait marre de se faire allumer. Personne! Il chopa Julie et la tira vers lui. Elle résista tout en se collant pour sentir son "os" entre ses jambes. Elle reçu une bonne baffe. -mais tu es fou. Qu'est ce qui te prend? -ta gueule guenon, j'en ai marre de tes jeux à la con, tu veux ou tu veux pas, oui non, ce soir c'est fini, je ne joue plus. -tu ne vas pas me violer tout de même? -ta gueule et baisse ta culotte. -non, non. Tonio l'empoigne, la retourne et lui arrache son mini slip parfumé. -non, non, c'est un viol. Et la première giffle est partie sur le petit cul de Julie, bien sonore, bien forte. La garce senti la douleur l'envahir. Tonio la prit sur ses genoux et ne se controlla plus. Il lui explosa les fesses. Julie, pleurait, hurlait appelait sa mère, la police, les saints du paradis. Personne pour l'entendre dans ce coin sombre qu'elle avait choisi. La douleur devenait insoutenable. Arrête, non, non, je t'en prie. Je me moquerai plus jamais de toi. Je t'aime, je t'aime. Ce fou de Tonio n'écoutait rien? Il frappait de sa main lourde les fesses de Julie qui se pissait dessus de peur. -Mais tu jouis espèce d'allumeuse, tu jouis. Et Julie ne pouvait plus cacher cela, sa douleur devenait plaisir. Orgasmes après orgasmes, elle se liquéfiait sous cette féssée démoniaque. Et Tonio qui continuait encore et encore...Diable que c'était bon. Finalement Tonio baissa son pantalon et il embrocha d'un coup cette Julie au cul bouillant. il explosa, l'innonda de sperme. Il resta fiché en elle. ils ne bougeaitent plus. Julie sentait son "os" dans ses reins. Elle était perforée mais toujours vierge par la chatte. Tonio dormait. elle se dégagea et remit sa petite culotte. Puis elle se lova dans les bras de Tonio qui émergeait. Elle l'embrassa. il n'en revenait pas. -On recommence demain dit Julie. -promis. Décidement Tonio se dit qu'il ne comprendrait jamais les femmes...ou trop bien?
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Par : le 12/09/18
Acte 1 - Le Trajet Il est temps, que les mots deviennent des actes. Un peu d'appréhension, mais cela ne m’empêchera pas de prendre ma voiture et monter sur Lyon. Un arrêt a la station d'essence et direction l'A7 jusqu'au centre commercial de la confluence à Pérache. La route est fluide, même si la vigilance est de mise, avec ces camions fous qui déboîtent et mettent leurs clignotants après. Plus je m'approche de Lyon, plus je ressens quelques inquiétudes, pourtant je ne les laissent pas me distraire. Tous ces mots, échangés depuis plus d'un mois maintenant... ou j'ai découverts cette belle personne, d'une richesse impressionnante. J'ai tant de respect pour elle, et d'admiration, même si je ne le lui dit pas trop. Sensible, connaissant les énergies, pratiquant l'ésothérisme, passionnée des pierres... ce ne sont la que quelques exemples qui me séduient. Mais ce qui nous a rapproché c'est un tout autre domaine. Mes connaissances du coté obscur depuis 10 ans font que j'aime de temps en temps parcourir des forums de discussions sur ce sujet. Je me souviens encore de ces années ou je m'étais investi pour mettre en garde sur les règles de sécurité, comme faire la première rencontre dans un lieu public, bien prendre le temps avant, de connaitre l'autre, afin de savoir si nos univers s'accordent ; bref cela me fait sourire, car tout cela était en veille depuis un certain temps. Mais en revenant un peu sur ce site, j'ai vu son profil et j'ai eu envie d'échanger avec elle. Après une réponse positive, nous avons d'abord échangé des mails, puis nous sommes passé sur Messenger afin de pouvoir se parler plus facilement lorsque nous étions disponible. Il y a eu des mots, puis des rapprochements, parfois intimistes, parfois coquins, mais toujours dans la courtoisie. Ce respect auquel je porte tant d'importance, était la. Un détail qui me fait sourire, c'est ce vouvoiement que l'on emploi tous les deux. Nous avons su exploré aussi nos natures joueurs, a en avoir des crises de rires en créant ou imaginant des situations bien tordues. Plus nous avancions dans le temps, plus ses confidences montraient sa soif de découvrir ce qu'est ce monde D/s, tout en ayant la tête sur les épaules. Et c'est ça qui m'a touché, car elle ne le sait peut-être pas encore, mais c'est elle qui m'a choisie pour trouver des réponses. J'arrive sur Lyon, ou la circulation devient plus dense, il me reste un quart d'heure environ avant d'arriver au point de rendez-vous. Je sens que je vais être un poil en retard, ce que je déteste, mais tant pis, et cette circulation dans cette ville est stressante. Mais arrivé au parking, ni une, ni deux, je prends l’ascenseur et je vais au 2e étage au point de rendez-vous. Acte 2 - Les premiers Regards J'avance dans les allées puis arrivé pret de l'UGC, je la reconnais de suite. Grande, avec une belle robe à fleurs, ses long cheveux noir et son regard un peu intimidée. Ces premières secondes sont magnifique, ou on se regarde sans se regarder, se tournant autour discretement... Rapidement un sentiment d'apaisement s'est installé et au fur et à mesure de notre conversation, quant bien même simple, je l'ai senti de plus en plus à l'aise. Après avoir essayé de trouver un bar on s'est résigné a prendre une boisson au Macdo et nous somme descendu dans cette sorte de petite marina au pied de la Confluence. La, nous avons commencé à parler comme on se parlait au téléphone ou par mail. Nous nous étions retrouvé, avec toute cette authenticité, et j'ai ressenti un plaisir immense. C'était elle, oui elle, cette femme aussi belle a l'intérieur qu'a l'extérieur. Evidemment, nous nous sommes un peu titillé l'un et l'autre et nous avons rit. Je me souviens quand je lui ai demandé de se rapprocher un peu de moi, elle a rougi mais l'a fait, de même quand je lui ai demandé de poser sa main sur la mienne. Ce premier contact de peau est difficile à décrire par des mots, car c'est beaucoup de ressenti. J'ai senti qu'il y avait beaucoup d'émotions, et j'ai libéré sa main après un cours instant. Après deux heures de discussions, la nuit tombant, l'appétit se faisant entendre, nous reflechissions pour un bon restaurant, mais... cela ne s'est pas du tout passé comme cela. L'idée que l'on prenne quelques chose à emporter et trouver un lieu plus intimiste était ce que nous voulions tous les deux, sur l'instant. En effet, pour moi, rien n'était prévu, et je pensais repartir en fin de soirée après un bon repas. Car même si mon désir pour elle était énorme, s'il devait se passer quelque chose, cela ne pouvait se faire que si elle me montrait son désir que cela se réalise. Nous avons donc trouvé cette endroit, dans la périphérie de Lyon, ou nous nous sommes retrouvé après avoir pris de quoi manger. Acte 3 - Voyage des sens Arrivée dans la chambre, nous savions tous les deux pourquoi nous y étions, et je lui ai bandé les yeux avec un tissu de soie. Plus je la déshabillais, plus les sens s’éveillaient, entre les odeurs, les effleurements sur sa peau douce par endroits, fermes à d'autres, j'avais cette sensation que son corps se dessinais sur les paumes de mes mains. Ce sentiment, qu'elle s'offrait à moi, pour découvrir, était intense. Lorsqu'elle fut mis a nue, avec simplement ce bandeau, nous avons commencé cette séance découverte. Cela fut d'une force, d'une douce heure (même plusieurs) entre des douces fessées, ces caresses qu'on aimerait encore, en corps... ou elle m'a offert ce plaisir de jouissance au gout si particulier. J'ai pu lui montrer que, contrairement à ce qu'elle a l'habitude, cette fois ci elle n'avait pas de contrôle, et que mon plaisir était le sien. Et lorsque je lui ai détaché le bandeau, j'ai pu lire son bien être à ses expressions jusqu’à l'explosion de son plaisir. Femme qui s'abandonne un court instant, découvrant les plaisirs de guidances, jusqu'a la jouissance, fut un moment si beau. Car ce n'est pas que le corps mais l'esprit qui vit ce moment. C'est une porte qui s'ouvre, vers l'abandon, mais en douceur, sans violence. Pour une première expérience, j'ai été touché de sa confiance et son premier pas vers l'abandon. Acte 4 - Le temps Le lendemain, balade dans cette belle ville qu'est Lyon, des rires, des échanges encore et toujours, des émotions aussi, des pierres de protections, un grignotage sur les bords de Saône, et mon retour vers le sud. C'est la beauté d'une rencontre, sans anicroche, dans les règles de l'art. Parfois c'est éphémère, parfois c'est les prémisses d'une future relation. Devenir Maître cela prend du temps, pour que le Lien soit bien construit et solide. Et quand c'est le moment, alors on se pose et on décide ensemble si c'est la ou nous voulons aller. C.O
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Par : le 21/08/18
Août 2018 Impatience, le mot est faible. Depuis que nous avons bloqué ce week-end ensemble, l’envie mutuelle monte de jour en jour. Hâte de prendre ce nouveau départ après cette mauvaise période. Hâte d’être à tes côtés, de voir tes mimiques, tes « miaulements ». Tout simplement te retrouver, toi ma Maitresse Samantha. Histoire de me mettre en condition, tu m’as demandé de mettre ma cage en place avant de partir. Je dois reconnaître qu’elle a fait son effet, à chaque fois que je songeais à ce que nous allions faire, quand bien même je ne connaissais que partiellement le programme. Y a pas à dire, c’est un parfait prolongement de ton emprise sur moi, pour ainsi dire de ta « poigne ». Après plusieurs heures de route, je pose enfin mes affaires dans ta tanière. L’heure est venue de mettre une autre de tes marques, ton collier. Un vrai plaisir de me retrouver là près de toi, de te voir toute souriante, voire même prête à bondir sur ton nounours. Tu me laisses me reposer jusqu’au lendemain. Dès la sortie de la douche, le body promis m’attend sur le lit. J’avoue m’être demandé pendant quelques secondes comment l’enfiler. L’idée même me fait de l’effet. Ca n’aide pas à caler des « choses » pas prévues pour être couvertes par ce modeste bout de tissu. Je comprends vite ton choix : mon dos est totalement découvert, fesses y compris. Autant dire que tu as prévu de ne pas être gênée pour cette après-midi de flagellations en tous genres. Il faut dire que ta panoplie s’est récemment enrichie. Taquine, tu me dis que ce body me va à merveille. Mais avant de mériter cette « récompense », je dois faire de mon mieux pour refaire le book de ma Maitresse. Loin d’être une corvée, c’est plutôt un sympathique moment de complicité. Allez trouver un photographe simplement paré d’un petit body blanc et d’un collier .... Les résultats sont plutôt biens dans l’ensemble. En tout cas, cette séance photo m’a émoustillé. Prêt pour passer à la suite, après avoir repris des forces. Confortablement installé sur le lit, je me retrouve vite bloqué dès que tu t’assoies sur mon dos pour être parfaitement à portée de mes fesses. Et l’averse commence, il pleut dru des doigts à un rythme soutenu. J’imagine que je dois être en train de prendre des couleurs si j’en juge la température qui monte. Tu essaies de continuer par côtés, façon joueuse de tam-tam mais tu reviens rapidement à la position d’origine. Tu abandonnes vite les gants qui, bien que protecteurs pour tes mains, nuisent à toute sensation pour chacun de nous. Une fois à la bonne température, tu maintiens la « cuisson » à l’aide de la nouvelle tapette. J’avais bien en tête son look avec son cœur ; j’ignorais sa structure à deux lamelles. Mes fesses comprennent presque immédiatement la nouveauté. C’est comme le deuxième effet kiss cool de la fessée. Pas inintéressant du tout. Malgré sa taille limitée, elle se révèle bien efficace sans être trop dure, juste ce qu’il faut. Et encore, j’imagine qu’elle doit pouvoir être plus mordante. Entre chaque série de flagellation, je suis étonné mais ravi, accro que je suis, de découvrir que les griffes deviennent la touche de douceur. Si, si ! Bon Elles ne le sont pas tout le temps. Elles semblent même parties dans un véritable tourbillon qui ne laisse que peu de portions apparentes de mon corps épargnées. D’ailleurs, tu sembles bien t’amuser à strier le haut de mon dos. Je devine que tu dois être en train de préparer ton terrain de jeu pour la partie de morpion que tu m’avais promise. Sauf que tu joues toute seule tandis que je sers sagement de damier. Tant qu’à avoir sorti tes feutres, tu en profites pour laisser quelques mots sur le haut des fesses. Tu sais que c’est une chose que j’apprécie, quand bien même je ne vois rien. Cela doit faire partie de mon côté exhib de montrer des parties de mon corps portant des mots, souvent avilissants ou humiliants, sortis de l’imagination fertile de ma Maitresse. Tu choisis aussi d’essayer ce flogger à nombreux brins qu’on t’a prêté. Étonnamment, de la soirée, c’est celui qui a le moins marqué mon esprit, non pas qu’il ne soit pas efficace mais peut-être une question d’intensités relatives, et probablement d’attente de ma part à cet instant-là. Pour sûr, il ne laisse pas indifférent avec ses nombreuses lanières. Impossible de l’oublier ou de ne pas le reconnaitre. Changement de format pour la suite. Depuis le temps que tu en rêvais, tu vas enfin pouvoir me faire goûter aux joies du fouet, tout récemment ajouté à ta panoplie de fouetteuse avertie. Par la même, je deviens petit à petit un fouetté averti ;-) . Peut-être un peu moins mordant que le mono-lanière, il se révèle en revanche beaucoup plus lourd au contact. Il me semble que j’en courbe l’échine, j’imagine pour profiter au maximum de ses effets. Une nouvelle journée qui me laisse aux anges à tes côtés. Mais pas la dernière. Pour nos retrouvailles, tu as prévu des « petites » choses tous les jours. Je t’adore. Toujours autant. L’après-midi suivante se déroule sur un autre thème. Tu voulais en apprendre un peu plus, et aussi te rassurer, sur l’usage des cordes et l’art du shibari. Nous recevons donc un couple Maitre-soumise pour faire quelques démonstrations de base avant que tu ne passes aux travaux pratiques sur moi. Je n’appréhendais pas plus que ça. Encore que ce fût la première fois que je me retrouvais nu devant d’autres personnes que ma Maitresse. Finalement, cela ne m’a causé aucun blocage ou réticence. Maintenant, il ne reste qu’à faire nos propres réalisations. Et les idées commencent à germer. Croissance rapide même ;-). Au cours de cette agréable rencontre, je me délecte une nouvelle fois de ta connaissance parfaite de ton nounours. Si je n’avais jamais réussi à trouver les bons mots pour l’exprimer, toi en revanche, tu décris tout naturellement le pourquoi du port de quelques pièces de vêtements féminins : des sous-vêtements de ma Maitresse, et souvent portés en total contraste avec le contexte. Suite à cette mise en bouche bien appréciable, tu décides de passer à des choses un peu différentes dans l’intimité de ta chambre qui constitue notre donjon à nous. Pour cela, tu me fais mettre à genoux sur le lit, la tête enfoncée dans la fourrure et la croupe bien tendue vers le haut. Limite un appel à la flagellation ! La nouvelle roulette avec ses trois rangées de piques se fait invasive. Elle est beaucoup plus efficace que sa petite sœur. Il semblerait qu’elle veuille visiter à peu près toutes les parties apparentes, depuis l’arrière des cuisses jusqu’aux flancs en passant par le dos, mais surtout en s’attardant longuement sur mes bourses parfaitement exposées vu ma position. Afin de mieux apprécier la suite, il faut d’abord en passer par une phase de préchauffage, selon tes termes. Quoi de mieux qu’un flogger, avant de t’essayer à une florentine. Une vraie climatisation : chauffage et ventilation en même temps ! Tu en termines avec le gros flogger à multiples lanières. Y a pas à dire, c’est du lourd à tous points de vue. Pas forcément le plus mordant mais il s’impose avec sa masse. Mes fesses sont désormais à point pour recevoir une série de coups de canne. Mon cerveau se souvenait que l’effet était très rapidement électrisant. Mon corps s’en souvenait un peu moins. Tu alternes entre deux baguettes de diamètres sensiblement différents. La plus petite est encore plus incisive. Avec le rythme plutôt élevé, je finis par avoir la sensation que les baguettes se multiplient. C’est comme une vague qui m’enflamme le postérieur. Je ressens alors la mise en place du fameux nœud papillon que tu viens d’acheter tout spécialement pour moi. Comme je m’y attendais, il n’allait pas finir à sa place normale. Tu préfères en orner mes couilles avant de recommencer une petite série de roulette histoire de rajouter un peu de piquant. Mais cela ne dure pas, les baguettes font leur retour. Et la nouvelle série est encore plus mordante, toujours avec cet effet de morsure continue… Tu poursuis avec ce nouveau fouet qui te met en joie dès que tu l’as en main. J’ai l’impression que tu t’entraines à viser droit, long de ma colonne. C’est toujours aussi plaisant que la veille. Tu réussis même à le faire claquer de la bordure de la fesse, sensible à souhait, jusqu’aux omoplates, ce qui me fait lâcher à plusieurs reprises un petit couinement de surprise. A la fois, j’aime ça et j’en courbe l’échine de satisfaction et de plaisir. La cravache fait un retour remarqué entre tes mains. Si tu t’en sers pour flatter rapidement mes fesses, c’est surtout au milieu que tu t’attardes. Je ne sais pas comment tu t’y prends mais la sensation varie du chatouillement à la décharge électrique, sans que je ne sache à chaque instant à quoi m’attendre. Le résultat ne se fait pas attendre et je couine à nouveau ce qui semble t’amuser et t’invite à continuer de plus belle. La conclusion est apportée par ta dernière création. Quand tu m’avais parlé de ceinture à transformer, je m’attendais bêtement à une large lanière de cuir. J’avais tout faux. C’est à un chat à huit queues que ressemble la tienne. Les nœuds aux extrémités des lanières se font lourdement sentir. Encore une sensation différente. La flagellation est un mot bien limité quand on découvre les multiples sensations qui peuvent être provoquées. Et jusqu’à présent, aucune ne m’a déçu. L’éventail en terme mordant est vraiment large. Tu es un peu comme une musicienne qui choisirait ses notes. Les jours se succèdent sans que le charme de nos retrouvailles ne se rompe. Vivement demain. En attendant, je devrais encore faire de beaux rêves … J’ai envie de savourer plus encore cette dernière journée entière à tes côtés. Faiblement motivé, je passe une bonne partie de la matinée tel le bulot sur son rocher, collé à toi, la tête posée sur ta cuisse. Un paisible et agréable moment câlin, vaguement entrecoupé de quelques photos dont les idées surgissent soudainement. L’après-midi laisse place à la réalisation de mon délire. Il eut été dommage de ne pas profiter d’avoir une panthère en peluche et un nounours pour mettre en scène quelques scènes réelles ou purement imaginaires. Un bon moment de rigolade, et une imagination débordante. Presque cela pourrait donner des idées à nous les humains ;-). Petit à petit s’approche le clou du séjour, quand bien même, tu m’as précisé que c’était surtout un galop d’essai pour voir si ça nous branche (c’est le cas de le dire) et aller plus loin le cas échéant. Pour une fois, je savais globalement ce qui m’attendait, mais j’avais évité de l’imaginer avant, histoire de profiter à fond de l’instant. Tes préparatifs me font penser à une infirmière, un peu de matériel par ici, des gants par là, des flacons non loin. Et une crainte qui se confirme. J’avais cru deviner que tu avais parlé d’une sonde, puis je l’ai aperçue dans un sac, et voilà que tu la sors. Tu as donc décidé de t’en servir dès ce soir. J’ai beau faire une totalement confiance à ma Maitresse, je dois reconnaitre que ce pieu me parait démesuré. J’angoissais même que tu t’en serves direct avec l’électricité. Cela me troublait pour une première. Mais finalement, chaque chose en son temps. Tu me fais installer sur le dos les cuisses les plus écartées possibles et tu t’attèles à la pose des quatre patches de l’appareil d’électrostimulation. Deux sur les couilles, deux sur la queue. A ma grande surprise, ils semblent rester en place assez longtemps. Rien à voir avec les précédents essais. Les effets sont plus marqués. Je retrouve la sensation des aiguilles qui oscillent du chatouillement au picotement ainsi que l’effet de martèlement. En revanche, tu arrives à générer des sensations nouvelles : une sensation d’anneaux au niveau du pénis qui viendraient le serrer en cadence et à différents niveaux. En extrapolant, ce serait presque comme une masturbation. Au niveau des couilles, c’est plutôt la sensation que tu es en train de les arracher en tirant dessus avec tes griffes. Assez étonnant et pas inintéressant du tout ! Je vois dans tes yeux que mes réactions te rassurent. Tu vas pouvoir aller plus loin. Arrive le moment fatidique, celui que j’appréhendais. Tu me demandes si je suis partant pour la tige urétrale. Ma confiance en toi est telle que je ne peux pas refuser. Ca ne coûte pas grand-chose d’essayer surtout entre les mains d’une Maitresse bienveillante comme toi. Les premiers instants ne sont pas faits pour me rassurer …. Je préfère ne pas regarder et me fier à mon ressenti. Une fois lubrifiée, je sens la tige se présenter à l’entrée de ma queue. Je commence à compter une à une les billes qui rentrent. Sauf qu’au bout de quatre ou cinq, plus rien. Et c’est là que tu me dis que la tige est rentrée entièrement. Force est de constater en tournant la tête que c’est vrai. Finalement, je m’inquiétais pour rien. A posteriori, cela aurait été dommage de passer à côté. Ma queue a repris de la vigueur, envahi par ce tuteur démesuré. Tu t’amuses à me masturber avec. La présence des billes à l’intérieur ne se fait pas forcément sentir. En revanche, j’ai l’impression de plus rien maitriser, que des fluides pourraient jaillir à tout moment sans contrôle. Etonnante sensation de lâcher prise. Tu parviens facilement à la faire coulisser. C’est comme si tu me pénétrais la queue : une sensation toute nouvelle et plutôt plaisante que je n’aurais pas soupçonné quelques minutes plus tôt. Comme quoi, une fois de plus, j’ai bien fait de me reposer sur ma totale confiance en toi. Voici venue l’heure de la cerise sur le gâteau. Là encore sous forme d’une découverte. Cette fois je ne te verrai plus, vu que tu me fais mettre à quatre pattes sur le bord du lit. Je sens d’abord un doigt ganté s’immiscer lentement pour préparer le terrain. C’est déjà une sensation nouvelle et agréable. Tu peux alors présenter ton nouvel appendice qui rentre facilement sans douleur ni contraction. Tu fais de ton mieux pour me faire plaisir et je t’en remercie énormément. J’aime quand tu m’agrippes les hanches, quand nos corps se trouvent au plus prés. Je finis par haleter sous tes coups de boutoir… Quelle apothéose pour cette soirée ! Une expérience que je n’espérais pas et que tu m’as offerte. MERCI MILLE FOIS En rentrant, seul dans ma voiture, je me rends compte que le simple fait de repenser à tous ces instants me donne d’agréables frissons dans le dos, la sensation que le gode serait encore là à faire son œuvre, que la tige en ferait de même. Je suis envouté …. Mais un envouté heureux et comblé.
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Par : le 13/08/18
de longue date je m'habille en fille, en étant marié et encore plus maintenant étant divorcé. bas, robe, escarpins, string, collier de chienne avec laisse, pompes à tétons, gods, plug avec cockring etc etc. sur internet je rencontre un monsieur. il veut me baiser. j'étais à peine divorcé et dans un meublé. c'était en 2016. il vient. on discute sexe et je le sens très pervers. moi en petite tenue sexy. je commençais à être super excitée. sur la banquette il m'embrasse à pleine bouche en me bouffant la langue, me mordant les lèvres et en me touchant de partout. je commençais à mouiller comme une folle. en plus il faut dire que j'avais bu trois ou quatre apéritifs avant et que j'étais un peu pompette. lui à peut près 48/50 ans et moi j'avais 54 ans. on a commencé à baiser sur la banquette et il a pris toutes les initiatives. je me laissais faire. suce, léchage de cul et de boules, bref je lui ai tout fais. après il m'a engodé avec mon gros god. j'avais le cul en l'air. en même temps il m'a donné une formidable fessée et j'avais les fesses qui brûlaient. après il s'est mis sur moi et m'a encore embrassé comme un fou. j'écartais les cuisses comme une fille soumise. je lui dis que j'aimais les coups de ceinture. il a pris une de mes ceinture et je me suis mise debout plaquée contre le mur de la pièce pour recevoir la sentence. le fait est qu'il m'a donné des coups de ceinture du coté de la boucle. donc du fer. il m'a démonté les fesses et je criais. j'ai eu de la chance de pas être dérangée par les voisins mais ils ont du entendre. j'ai mis une semaine à m'en remettre.
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Par : le 25/07/18
Jeune homme, veuillez cesser de me provoquer car, au bout de ma cane en bois; vos fesses ne cesseront de se tortiller. Puis, dans le bois, je vous mènerez pour que vous comptez. Cul nu vous recevrez des fessées bien méritées et la main promulguée vous remercierez. A genoux, il vous sera ordonné " Bois la sève de ta Dame préférée ". Mais ne vous risquez pas à prendre votre air trop zélé sous peine de vous retrouver, au bois du lit, attaché. Dans cette position, vous accueillerez, avec délice, mon bois affuté venant s’engouffrer dans votre intimité. Et tel un hautbois, on entendra votre exaltation résonnée dans tout le quartier. Jeune homme soyez vigilant quand vous vous trouvez auprès de la belle au bois dormant, ne vous laissez pas charmer. Emeraude et les p'tits textes malicieux.
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Par : le 19/06/18
Le lendemain matin, et à condition qu'il ne fut pas trop tôt, j'adorais aller vous rejoindre dans votre lit, me glisser sous les draps comme ça l'air de rien. Vous sentiez alors que je vous caressais délicatement.. Oh ! ...je savais que vous m'aviez entendu et que vous faisiez mine de dormir encore. Alors je plongeais sous les draps et d'une langue délicate je descendais le long de votre poitrail pour finir au saint des saints !! Bien souvent elle réagissait avant que je ne l'eue atteinte !! Ce qui me ravissait...alors je m'appliquais du mieux que je pouvais. C'est alors que vos mains rejoignait ma tête, et que votre respiration se faisait lente et plus profonde comme si vous vouliez retenir en vous toutes ces émotions que vous ressentiez. S'en suivait un petit déjeuner où votre soumise vous appelez Hervé et où le voile n'avait pas sa place. Une fois la douche prise c'était une toute autre histoire ! La météo déterminait comme bien souvent la suite que nous donnerions à cette journée ! Il pleuvait ? Nous restions chez vous et j'étais totalement à votre disposition... Il faisait beau ? Nous nous baladions ou nous restions sur votre terrasse et là encore votre soumise était votre objet de plaisir ! Notre histoire se forgeait ainsi mois après mois et le socle de notre relation devenait de plus en plus solide. Ce que je pouvais vivre avec vous était unique. Vous étiez et êtes toujours un subtil mélange délicieux d'attention, de douceur mais aussi d'autorité et de charisme. Je me souviens que lorsque je goutais à ce genre de relation pour la première fois, j'avais rencontré un homme qui lui aussi dégageait cette particularité. J'avais beaucoup aimé ce trait de caractère. Ce qui me plu d'emblée chez vous. Avec vous, je me rendais compte que j'étais en train de redécouvrir ou plutôt de découvrir les plaisirs que mon propre corps pouvait m'offrir. Je vous faisais don de mon corps et vous en extirpiez votre plaisir tout en transcendant le mien. A chaque innovation vous étiez là à guetter la moindre désapprobation le moindre désagrément que je pouvais exprimer...c'était important pour vous comme pour moi. De cela il fallait absolument que nous le partagions. Votre plaisir ne pouvait passer que par l'expression du mien. J'étais votre soumise et paradoxalement je détenais les clefs de votre ou plutôt de notre plaisir. Vous aviez semble t'il une idée assez précise de ce que vous vouliez... J'avais admis la fessée, vos claques sur mon corps que vous pratiquiez couramment, et ce pilier qui était devenu maintenant un compagnon...un de mes 3 ou 4 accessoires. J'aimais m'y retrouver vous offrant mes fesses ou mes mamelles que vous honoriez à votre convenance. En guise de prélude, vous m'offriez un de vos baisers profonds tandis que votre sexe ne pouvait s'empêcher d'essayer de s'insinuer en moi. S'en suivait l'expression d'un plaisir crescendo. Et puis il y eu cette première fois où vous avez voulu expérimenté le fouet. Pour cela vous avez voulu marquer l'évènement et aviez misé sur un bel endroit ....neutre ! Vous aviez réservé un gite de charme à 200 kms de Paris : - Dis moi... tu es disponible le week end prochain n'est-ce-pas ? Aviez-vous lancé comme ça l'air de rien alors que nous dissertions sur les conditions de la femme, si mes souvenirs sont exacts ! -J'aimerais t'emmener à la campagne... vois si tu peux prendre ton lundi...d'accord ? - oui bien sur maitre...où m’emmenez-vous my dear master ? vous me direz ce qu'il faut que j’amène... ? - tu le sauras ...mais plus tard... pour le moment demande ta journée ! Evidemment, vous avez voulu entretenir le mystère et sur la destination et sur ce qui m'attendait. Je dois dire que vous aviez réussi votre coup. Mon imaginaire fonctionna à plein régime durant toute la semaine précédent ce week end...Impossible de vous arracher le moindre détail ! Le mercredi de la fameuse semaine vous avez consenti à me donner ces quelques consigne vestimentaire : - tu prendras une tenue habillée, tes accessoires évidemment. 1 jupe et un jean si tu veux, une et une seule petite culotte. Il est évident que lorsque je te récupérerais samedi matin à 10h tu seras en jupe sans dessous ! ! Vous prononciez ces derniers mots sur un ton presque narquois avec j’imagine des yeux plein de malice. Je soupçonne même qu'à ce moment précis vous vous imaginiez la scène où je découvrirais la véritable raison de ce déplacement. Comme toujours nous en avions discuté et je savais que vous y viendriez un jour sans pour autant en connaitre le moment exact. Tout autant curieux par nature que moi vous aviez choisi ce bout de province où il y fait bon vivre et qui de surcroit regorge de trésors historique et culturel ! Il était évident que nous ne resterions pas enfermés tout le séjour !! Par chance, la météo avait annoncé du beau temps à peu prés partout. Je dormis la veille de ce grand jour, d'un sommeil agité pour finalement me lever sur le coup de 7h ! Petit déjeuner et toilette soignée...il me fallait être imberbe, parfumée et maquillée légèrement. Mon sac était prêt et c'est fébrilement que je vous attendais. 9h55 le téléphone sonna : - dans 5 mn je suis en bas de chez toi, j'espère que tu y seras également! Nous partirons immédiatement... - humm ... mon maitre arrive vous avais je répondu sur un ton suave et légèrement moqueur ... Humm .. oui je serais là fidele au rendez vous !! Poursuivais-je ! - oui ..oui. c'est ça...fait ta maligne...en attendant je serais là dans 3 mn.. et tu as intérêt à y être !! - humm...je n'sais pas ...à y réfléchir je crois que je ne viendrais pas ..!! A près tout je ne sais même pas où vous m'emmenez, disais je en souriant,...et si vous aviez l'intention de .. je n' sais pas moi...euh... abusez de moi ou me trucider... vous avez pensé à ça ?? Vous saviez que je plaisantais... Et tout en vous parlant je m'étais rapproché du trottoir et y fut bien avant votre arrivée! Vous m'avez souri tout en me saluant d'un simple baiser sur mes lèvres ! Sitôt le sac embarqué nous prenions l'autoroute du sud...direction...l'inconnu ! Assise sur mes fesses, les jambes entrouvertes et la jupe légèrement remontée sur les genoux nous dissertions comme à votre habitude sur nos petites tracasseries du moment. La destination finale devait rester un mystère jusqu'au bout ! Il commençait â faire faim et vous avez cédé aux demandes incessantes de votre soumise.. Déjeuner correct dans l'auberge du coin et enfin découverte du lieu de villégiature... Une magnifique maison d'hôte au bout d'une allée bordée de tilleuls. Cela vous ressemble bien... vous aimez tellement les belles choses !! Le propriétaire nous attendait sur le seuil et nous fit visiter les lieux : 2 chambres à l'étage, une superbe salle de bain.. Au rez de chaussée une belle terrasse donnait sur un jardin fleuri et un petit cours d'eau ..au salon deux grand canapés trônaient en son milieu. Il vous en confire les clefs et disparu. La porte refermée notre séjour pouvait débuter. Nos diverses activités nous avait tenu éloignés l'un de l'autre depuis plus de 3 semaines ...et l'appel des sens commençait à réclamer son dû ! - eh bien soumise ! ...on a déjà oubliée les bonnes habitudes...même ici tu les respecteras ... Allez...commence par me saluer ..! - bien sur maitre... avec plaisir ! un sourire illumina mon visage...je m'agenouilla et commença à déboutonner son pantalon afin de le saluer comme il le voulait ! Encore une fois je remerciais mon maitre pour ce week end en cette belle demeure. - Va enfiler ta tenue et rejoints moi ici ..tu as 10mn. Pas le temps de flemmarder .. Et 9 mn plus tard je fus devant lui. - remonte ce voile .... approche toi ...écarte les jambes ! Vos invectives n'avaient alors qu'un but ..faire monter, comme s'il en était besoin, ce désir de vous qui déjà me brulait intérieurement ! En l'espace d'une fraction de seconde votre main était sur mon sexe et contrôlait la netteté de l'endroit ! Constatant mon etat d'excitation flagrant : - eh bien soumise .. c'est bon de te savoir ainsi ! Ce à quoi je repondis : - merci maitre ... vous savez que j'ai toujours envie de vous ...ce n'est pas un scoop !! Vos yeux délicieusement pervers et un grand sourire eclairait votre visage ...puis : - tourne toi..penche toi et écarte tes fesses ! Là encore un doigt ferme s'aventura et fit quelques aller retour !! - bien soumise ..tu es comme j'aime...mouillée et prête !! maintenant assis toi là et offre toi .. que je vois bien tes trous ... salope !!! Je remerciais mon maitre pour son inspection et m'asseya juste devant lui ! - cet apres midi, commença t'il, nous irons faire du tourisme et avant de rentrer nous irons peut être visiter une cave ... Ca te va ? - vous savez que j'aime ça, en plus je ne connais pas la région ...tout va bien donc ....le temps de prendre mon appareil photo et je suis à vous .euh...jupe ou je peux mettre mon jean ? - mets ton djean si tu veux ! Je t'attends ...tu as ...allez on va dire 15 mn ! -20 ? tentais je de négocier en souriant .. - non 15 .. Allez depeche toi - bien maitre ..à tout de suite ..je m'eclipsa et m'habilla ! Nous partimes pour une belle ballade : ... le joli château de l'Islette logé au coeur d' un écrin de verdure ... puis nous nous dirigions vers la cave que vous vouliez visiter également ! durant le trajet votre main alla souvent flâner ....allant et venant du genou à l'entrecuisse. Ma main quand à elle, avait pour consigne de se tenir sur votre sexe. Votre desir etait toujours là. Ses soubresauts m'indiquait son desir de s'affranchir de toutes les barrieres qui le tenait encore enfermé! Soudain ce petit chemin là à gauche, où vous vous etes soudain engouffré : - tient ma belle ..vas y suce moi ..maintenant que tu m'as bien excite . ..allez salope ..allez vas y .. tu le sais que tu es une salope ..hein !!! oui comme ça bien au fond ..oh oui hummm que c'est bon et quelques instants plus tard nous étions à l'extérieur du véhicule - tourne toi et baisse ton djean petite pute ...écarte tes fesses .. !! Connaissant mon maitre depuis maintenant plus de 2 ans je savais ce qu'il aimait entendre dans ces moments là : - oh oui maitre enculez moi ... enculez votre salope ! - penche toi alors et ecarte bien tes fesses ..salope !! Et puis tandis qu'allongeais sur le capot de la voiture je vous offrais mes fesses : - merci maitre !! et je sentais son membre dur me pénétrer doucement d'abord puis plus vigoureusement Juste avant de jouir je devais me retourner et recevoir votre précieuse semence que j'eue soin d'étaler sur mon visage pour mieux vous affirmer ma soumission et donc votre domination. Ce fut un moment tellement intense que ce plaisir m'avait une fois de plus transperce le corps - merci maitre vous remerciais je encore Puis nous repartimes en direction de la cave que vous vouliez visiter. Je remarquais ce petit sourire persistant. Votre regard me racontait combien vous etiez fier et content d'avoir marqué votre territoire ! Durant toute cette visite vous n'avez pas arrêter de me sourire, heureux de savoir que je portais sur mon visage votre marque d'appartenance..j'en fus fière et honorée..vous me faisiez quelques clins d'oeil entendu !! Je vois repondais par mon sourire ! Sur le chemin qui nous menait sur le lieu de notre séjour vous m'avez dis d'un ton ferme mais cependant bienveillant : - en arrivant tu monteras te changer bien sûr ! et je veux que tu mettes, ta nuisette noire avec tes belles mamelles à l'exterieure,..tu sais celle que j'aime bien et ton string noire! - bien maitre ..repondis je sans plus me soucier de ce qu'il adviendrait plus tard .. Sitôt arrivée, je montais me changer et réapparu dans la tenue exigée ! - bien. .assis toi là ..allez ...offre toi à ton maitre .. soumise ..!.puis quelques instants plus tard, alors que vous me tendiez un verre .. - je voudrais expérimenter une nouvelle chose avec toi .. Je te sens prête pour cela .. Es tu d'accord pour essayer quelque chose de nouveau ? - euh ...oui maitre, l'air tout de même un peu inquiète - tu sais que nous discutons beaucoup de ton éducation et que je ne ferais rien contre ta volonté ou du moins rien que l'on est pas discuté !! -oui maitre acquiesçais je .. ça je le sais et vous avez toute ma confiance maitre - bien ... j'aimerais donc tester le fouet ! .nous en avons parlé et tu n'etais pas contre me semble t'il !...nous dinerons avant ..puis tu te prépareras ..tu mettras un voile recouvrant pour ton dos ! Tu t'installeras face au canapé ..tu commenceras par te caresser puis je te fouetterais ..tu es d'accord ? - oui maitre ..bien sur ..je sais que vous vouliez cela depuis un bon moment ..merci maitre ! Je vous repondais d'un ton pas tres assuré , cette annonce m'avait immédiatement remplie d'inquiétude ! On sonna à la porte. Mon maitre alla ouvrir apres m'avoir demandé de m'en tenir à l'ecart. Notre diner arrivait .. Un beau chandelier ...une bouteille de ce que mon maitre venait d'acquérir pour arroser notre repas.. Je fus légèrement tendue et angoissée connaissant la suite que vois alliez donner à cette soirée ! Puis vint le grand moment ! Comme à son habitude mon maitre commença a m'embrasser amoureusement puis m'invita à prendre place en me désignant le canapé ! - va ma belle .. ! Ne t'inquiete pas je serais doux ...tu me connais et tu sais que je ne suis pas une brute ! - oui oui je sais ça ...maitre mais vous savez en meme temps que je ne suis pas mazo non plus !! - aaaahh mais qui te parle de ça ...enfin ! tu me connais quand meme !! bon assez parlé ....je ne fouetterais que tes fesses .. ! Face contre le dossier du canapé .. mes mains étaient mointes et mon coeur battait à tout rompre ! J'attendais la première morsure de la lanière... au lieu de cela je sentis une main chaude caresser mon fessier. J'avais commencé à me masturber et cette main inattendue m'avait détendue ..sans me prévenir mon maitre m'assena le premier coup ! J'etais saisi ..j'avais ressenti une vive morsure ! Je me concentrais sur mes caresses ..puis vint le second ..d'une meme intensité et toujours aussi mordant ..mon maitre vint me voir et passa sa main sur mon dos et sur mes fesses suppliciées : .. Ça va soumise ? Es tu contente que ton maitre te fouette ? - euh ..c'est à dire cher maitre que je ne dirais pas que je suis contente, vous avais je alors repondu sur un ton malicieux et éprouvée .. Euh ...disons plutôt que je suis contente que mon maitre me fasse connaitre une nouvelle chose ! Mais vous n'avez fait que me caresser ..là cher maitre ...trouvais je alors intelligent de rajouter... Je le reconnais cela etait quelque peu inconsideré -ah bon ? m'avez vous repondu affichant un sourire jusqu'aux oreilles ...ah bon ..es tu sûr de cela soumise ? -euh ...non pas du tout ! Mais il etait trop tard et vous avez enchainé les troisiemes et quatrieme coups à la file. Ils furent plus marqués mais sans etre non plus trop appuyés ! Fiere et forte je ne laissais entendre qu'un simple cri dû à la surprise de l'enchainement de ces deux derniers coups ! Je redoublais d'intensite dans mes caresses pour me laisser envahir par un orgasme intense pendant que vous m'asseniez un cinquieme et dernier coup Il me fallu tout de meme quelques minutes pour me remette de mes emotions ....et je me retourna. Je devais alors constater que vous ne portiez plus votre pantalon et que de surcroit votre queue affichait fièrement son contentement ! J'eue grand plaisir alors à la prendre en bouche l'avalant goulument pour en extirpez tout votre plaisir. Il ne me fallut que quelques secondes à peine..vos mains réconfortantes caressaient mon fessier apaisant ainsi les morsures du fouet ! Vous etiez heureux et moi plus encore Je su qu'il me faudrait désormais compter avec ce nouvel accessoire! Pour marquer ce baptême vous avez débouché cette bouteille de champagne que vous teniez jusqu'alors cachée ! Nous finissions la soiree sur le canapé à discuter moi caler contre vous ! Je fus extraordinairement bien comme à chaque fois que nous connaissions un moment si fort. Puis chacun regagna une chambre et je m'endormis d'un sommeil de plomb. Le lendemain vous fûtes levé plus tot que moi et m'avez fait la surprise d'un café au lit. C'était la première fois que vous vous adonniez à cet exercice. Exercice réussi ! (vous recommencez quand vous voulez cher maitre!) Café...une petite fleur dans un soliflore et un baiser sur chacune de mes mamelles ..un vrai réveil romantique !! vous m'avez gâté .très cher maitre! S'en suivait un petit déjeuner sur la terrasse au soleil puis la douche et je reprenais mon rôle de soumise. Votre sollicitude m'avait beaucoup touchée ce matin là et c'est ainsi que je pus prendre le soleil revetue de la nuisette et du plug inséré entre mes fesses ...vous pouviez contempler ainsi à loisir les marques laissées par votre oeuvre ! La matinée se déroula ainsi tranquillement ! L'après midi nous faisions une expo sur des artistes peintre contemporains ! Beau bâtiment et belle expo ..jupe sans dessous et decolleté furent de sortie.. Nous poursuivions par la visite du cloitre de la Psalette et sa cathédrale attenante. ! J'aime ces endroits là ..ils dégagent de la sereinité et force l'humilité face à l'oeuvre accomplie par la main de l'homme ! Je vous faisais remarquer que cela n'était guère décent ... moi en jupe sans dessous me promener dans un endroit aussi pieux !! Vous m'avez répondu par un sourire . Je vous ai senti à cet instant très amoureux ..vous me teniez par l'épaule .. des petits bisous venaient se poser sur mes lèvres ... . Plus tard vous m'avouerez que cela vous avez bien excité et j'aime vous voir ainsi ! Le soir vous m'avez demandé de revêtir ma tenue habillée toujours sans dessous ! En effet nous sortions ! Vos activités professionnelles vous avez amenées par ici et vous aviez gardé quelques contacts. Vous aviez choisi de m'emmener chez l'un d'eux ! Ce petit manoir qui se dessinait au bout d'une belle allée allait nous accueillir pour cette soirée .. je sentais qu'elle serait particulière ....une impression ...rien qu'une simple impression..! Un majordome vint nous ouvrir la porte puis un peu plus tard vos amis nous accueillaient enfin ! Un couple la cinquantaine ..à peine grisonnant ..elle .. feminine distinguée sans en faire trop, lui elegant et de surcroit bel homme !! tres sympatique, pensais je !!. Durant cette prise de connaissance je sentais les regards sur moi ...me scrutant .. me déshabillant presque !! Cela me mettait mal à l'aise .. j'avais un tres mauvais pressentiment .plus les minutes passaient plus mon impression du départ se confirmait. Une ambiance assez spéciale s'installait .. J'avoue que je ne comprenais pas et n'avais qu'une envie ... partir loin de là avec quelques explications !! Une chose me tenait ...vous êtes pas homme à dévoiler votre intimité et j'étais donc sûre que vous n'aviez pas revelé ce qui nous unissait.. Me voyant désemparée et tendue vous vous êtes adressé discrètement à votre ami et vous m'avez prise a part : - ma belle, avez vous commencé par me dire, t'ais je deja decu ? - non maitre, non bien sur .. mais là je ne comprends pas pourquoi vos amis me dévisagent ainsi ..j'ai un truc qui ne va pas ? Je dépareille dans le paysage ? La il faut que vous me disiez parce que je n'aime pas ça du tout !! - oui c'est vrai tu as raison j'aurais dû t'en parler et te prie de m'en excuser ..voilà .. Marc était une relation de travail au départ..nous avons sympathisé et nos conversations nous ont poussé parfois a nous raconter intimement c'est comme ça que je sais que sa femme Isabelle a parfois des aventures avec des femmes. Je me suis dis que cela te plairait peut être ... en plus c'est une belle femme ... tu en as toujours envie .. n'est ce pas ? - j'en dis que vous auriez pu effectivement m'en parler ..là j'ai l'impression d'être une bête curieuse et ce n'est pas tres agréable Hervé ! D'autant que vous avez dû le dire à votre ami .. qui lui en a parlé à sa femme !! En fait je suis la seule idiote à ne pas être au courant !! Vraiment là je vous en remercie !! moi qui pensait finir ce week end en apothéose .. - encore une fois excuse moi ma belle. !! - et donc qu'est il censé se passer ce soir ?? je vais passer à la casserole ?? - mais non ...bien sur que non ...nous faisons juste connaissance ...voir si toi et elle ça pourrait coller ... ! - ah oui ? Et puis apres ?? Vous avez deja tout planifié si je comprends bien .. Vous avez peut être déjà la date et l'heure de fixer ??Ais je mon mot à dire ? - ah mais oui et j'y compte bien !! tu sais que rien ne se fait si tu n'es pas d'accord. ..je ne t'ai jamais rien imposé ! - bien maitre ..retournons voir vos amis ..ils vont s'inquiéter et nous en reparleront ailleurs quand nous serons seuls !! Sur le principe je suis tjs d'accord ..sur la méthode employée ...non ! Repondis je sur un ton emporté mais discret. - bien... merci ma soumise ..tu as raison retournons voir nos amis ! De retour vous m'avez tendu une coupe de champagne vous m'avez souri et nous avons poursuivi la soirée ! Vous sentant coupable de ce contretemps vous vous êtes montré plus que prévenant A table je fus à vos coté et je dû m'assoir comme à l'accoutumé sur mes fesses .. laissant votre main vagabondee sur mes cuisses et parfois jusque mon entrecuisses ..vous savez que cela m'excites ..je vous laissais faire ...je ne voulais pas gacher votre plaisir !! nous discuterions de cette soiree plus tard !! Pour l'instant je ne voulais pas rendre vos retrouvailles désagréable !! Je me montrais donc agreable souriante et disponible. Je pense que vous avez su apprécier cela ! Il se faisait tard et nous prenions congés de vos amis ! Sur le trajet vous m'avez demandé si gentiment de vous caresser que je n'eu pas la force de vous le refuser ..je m'exécutais et sans que vous n'ayez eu besoin de le demander je me penchais vers votre sexe le suçant sur toute sa longueur. Votre main soudain me maintint la tête alors que votre sexe était au fond de ma gorge ...je sentis votre chaude semence m'envahir la bouche tandis que vous poussiez un râle de satisfaction ! J'avalais toute votre substance, je nettoyais du mieux que je pouvais votre membre et me relevais! Ce soir là nous dormions ensemble et vous me faisiez l'amour. J'aime ces instants .. si rare et si précieux. Ils me dévoilent alors une autre facette de votre être : le mâle dominant fendant l'armure. Vous vous faites alors si doux. Votre regard pétillant, vos gestes tendre et votre attention constante me raconte ce que vous ne me révélez pas autrement. Oh oui ! je les connais ces sentiments ...ils sont la pierre angulaire de notre histoire sans laquelle rien de tout cela n'existerait ! Merci maitre pour tout cela ! Lundi ..jour de retour sur Paris ..pas très envie de rentrer mais il le fallait bien. Nous n'avions pas reparler de la soirée de la veille .."laissons les choses s'apaiser" avez vous dit ..et j'étais assez d'accord avec cela.. Il nous fallu faire nos sa sacs et partir pour midi après avoir restitué les clefs ! J'avais adoré ce week end provincial...et j'en espérais bien d'autre !
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Par : le 10/06/18
C'est mon truc. Tout est dans le titre. C'est ainsi. Lorsque j'ai enfilé ma première jupe, j'ai senti des picotements dans les doigts, l'envie de tenir un fouet, et j'ai beaucoup aimé cette sensation. Je me suis senti femme, une gynarchiste impitoyable. Ma mère voulait une fille. Elle a eu un garçon, mais ce besoin de féminité est resté profondément ancré en moi, comme pour beaucoup de travestis occasionnels. Mon premier orgasme a été celui d'une femme. Au judo, avec un beau jeune homme, fort séduisant, mon professeur, fier de sa ceinture noire. Nous étions seuls dans le dojo. Je n'étais que ceinture blanche et parfaite débutante, ce crétin a eu provisoirement le dessus. Il m'a projettée au sol, m'a immobilisée et a glissé sa jambe entre les miennes et a appuyé sur mon bas ventre. J'ai joui très fort, pas en éjaculant comme un homme, non, comme une femme au clito très très sensible. Des orgasmes à répétition. Il se frottait lorsqu'il a vu qu'il me faisait jouir très fort. Mal lui en a pris, car je l'ai retourné, j'ai défait sa ceinture, j'ai baissé son pantalon blanc et il a reçu une fessée monumentale. Il avait les fesses si rouges qu'il s'est mis à pleurer de plaisir. Je me suis servi de sa ceinture pour lui attacher les mains dans le dos. Fessé sur mes genoux, ce crétin m'a jouit dessus. J'avais sa semence sur mes jambes. Je l'ai obligé à me lécher. Il était aux anges, tout tremblant, tout en excuses. Sous la douche, je lui ai redonné une sévère correction et j'ai eu un nouvel orgasme, différent du premier, totalement cérébral cette fois. C'était si jouissif de voir les jolies petites fesses bien rouges et bien musclées de celui qui était censé être mon professeur de judo. j'aurais pu le sodomiser, mais j'ai préféré en rester à cette jouissance de femme. C'était le pied. J'étais une vrai fille à l'intérieur et j'adorais cela. Le beau jeune homme aux fesses bien rebondies avait envie de se faire prendre. Rien, je ne lui ai même pas donné mon gros clito à sucer. J'ai voulu le Frustrer, histoire d'en faire un chien docile. Il me regardait avec des yeux grand ouverts, comme en adoration. il a reçu une bonne baffe et il a couiné. Depuis, c'est ainsi, chaque fois que je passe une jupe, je me sens dominatrice impitoyable jusqu'au bout des ongles. J'adore attacher, et infliger de très sévères correction. Implorer ma pitié ne sert à rien. Avec une jupe, je deviens terrifiante. Je veux voir des fesses bien rouges et des larmes, celles du plaisir de mes soumises et soumis, en proie à l'extase. Travesti et dominatrice, c'est vraiment le pied.
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Par : le 14/05/18
Le voyage en train n'est pas franchement long, mais à force de voir le même paysage défiler, il devient lassant. Bien que la journée eut été remplie, Il a hâte de rentrer ... et le plus tôt sera le mieux. Le paysage, comme celui de hier, continuer de défiler sous ses yeux. Non, il n'a pas changé et même si, aujourd'hui, il fait beau, le paysage est toujours le même. En scrutant de loin sans plus d'attention une ligne à haute tension sur une montagne, Son regard la suit descendre dans ce vallon, passer ensuite la crête, remonter la pente, survoler la falaise et, au final, se cacher sur l'autre versant pour finir quelque part, tout comme elle a démarré : quelque part. L'imagination prend le relais pour voyager ailleurs .... Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque. Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent. " Veux-tu prendre un verre avant de manger ? - Volontiers, lui répond-il." S'asseyant dans le divan, Il attend qu'elle vienne lui servir ce verre de Muscat qu'Il savoure de temps à autre. En cette fin de journée, ce n'est pas pour lui déplaire, au final. Pour elle, elle se choisit un jus de fruit. Quand elle vient avec les verres, Il sort un oreiller assez large qu'Il dépose devant Ses jambes et lui débarrasse ses mains. "Installe-toi ici, devant Moi". Une petite hésitation mélangée à de la surprise, puis elle se met à genoux. Il lui rend son verre. Passant Sa main pour lui caresser sa nuque et la joue, chose qu'elle apprécie grandement, Il lui dépose un baiser sur le front et un autre sur la bouche. " A la tienne, Hestia - A la vôtre, Maitre". Un tchine et les verres se dégustent. Mais il n'est pas encore vide qu'Il se lève, en laissant Sa main sur son épaule de manière à ce qu'elle ne bouge pas et s'éloigne. Docile, et curieuse de cette tournure des événements, elle patiente.... pas très longtemps. De retour, Il s'est débrouillé pour revenir en cachant ce dont il était parti prendre. En s'asseyant à nouveau en face d'elle, Il lui dépose un nouveau baiser sur le front. " Voulez-vous passer à table ? C'est prêt. - Non, je préfère passer directement au dessert." Sur ces mots, Il lui dépose un bandeau sur les yeux ainsi qu'un nouveau baiser sur la bouche. Puis, avec les 2 mains, Il lui caresse à nouveau le côté de la tête et la joue. Le Voyage débute ... Un tintement d'objet plus ou moins familiers et confus résonnent dans ses oreilles, mais très vite, elle devine ce qui a été sorti sur le canapé.... et fixé à ses poignets. Les attaches en cuir s'enroulent comme des prédateurs de plaisir et se lient intimement l'un avec l'autre. A nouveau, les mains, plus fermes, passent dans ses cheveux. Mais cette fois, la réalité sous le bandeau devient volupté et celle-ci se transforme. Ce qui devait être un classique dîner entre 2 amoureux devient .... Son esprit prend son envol... Les baisers qu'Il dépose sur ses lèvres et son front migrent vers son cou, décuplant les effets de plaisir. Ceux-ci restent de moins en moins emprisonnés et s'échappent via des petits soupirs et des rictus si particuliers et si amoureux. Une surface fraîche sur ses lèvres, c'est son verre qu'Il dépose afin qu'elle continue son apéritif. Il est devenu dérisoire au regard de ce qui va arriver, mais boire le verre aveuglément que lui donne Son Maitre fait partie de ces gestes si intimes, et si symboliques à la fois.... Elle boit tranquillement, jusqu'à la fin. Mais à peine terminé, une Main saisit toute sa tête et la dirige vers le bas, sur Sa cuisse. Se réajustant, elle y prend position pendant que Son Maitre savoure son verre .... bien que ce ne soit pas le verre en lui-même qu'Il apprécie particulièrement. La tête de Sa soumise sur Sa jambe. Si enfin le Lacher Prise pouvait survenir et Les Libérer ... De Sa main, des petites caresses parcourent la joue de Hestia qui répond par des petits soupirs apaisés, et gourmands pour certains. Il prend son temps, tout comme Il lui fait prendre le sien. Les 2 verres terminés et reposés, Il joint Ses 2 mains pour lui caresser toute la tête, comme il lui plaît. Les gémissements et les petits mouvements de plaisir ne se font pas attendre. Puis, Il lui redresse la tête. " Qui es-tu ? - Je suis Votre soumise, Maitre" Un autre tintement métallique familier résonne et une sensation de frais entoure le cou de celle qui se laisse d’avantage glisser vers la Liberté : son collier de séance. Aussi noir que le bandeau, la suite des événements est toute autant imprévue. La soirée ne fait que commencer.... Le collier est à peine fixé que Sa main saisit sa mâchoire pour forcer son ouverture; une large boule est fourrée dans sa bouche, les lanières sont bien serrées, ses bras sont libérées et elle doit se lever. Contrastant avec l'extrême douceur d'il y a quelques minutes, les vêtements sont retirés assez rapidement. Puis, une main ferme la fait asseoir là où Il était assis. Cette fois, c'est pour habiller son pied d'escarpins qu'elle connaît aussi très bien. Les charmes ou les avantages d'avoir son Homme et Maitre fétichiste de ces accessoires... Quoi qu'il en soit, elle retourne à nouveau sur son coussin, face à Lui, les yeux bandés, bâillonnée et les mains attachées. "Ma soumise se tient droite". Ces mots sont prononcés alors que 2 mains la saisisse pour la redresser. Posture droite, peut-être pas la plus confortable des positions, mais il y a le coussin. Posture droite, offerte, surtout. Peut-être des cordes auraient parcouru son Corps afin d'être bien présentée. Mais Il avait décidé de faire ainsi. Posture droite, c'est ainsi qu'Il la regarde, l'admire, la savoure. Confortablement assis dans le canapé, Il goûte à ce moment unique de Partage et d'Abandon à la fois. Elle sait qu'Il est fier d'elle. Très fier. Alors, elle soigne sa posture autant pour satisfaire Son exigence et Plaisir que pour son propre plaisir monté en flèche. Celui-ci grimpe d'avantage quand elle ressent des bouts de doigt titiller le bout de ses seins. Mais c'est sans commune mesure quand c'est Sa langue qui vient englober le téton et le lécher avec une envie passionnée. Là, plus question de faire attention à sa posture. Une main lui saisit la tête la forçant à rester droite, tandis qu'une autre parcourt son Corps pour qu'il reste droit. Les gémissements augmentent au grès des torsions de son Corps qui ne parvient finalement pas à rester droit. Les tétons sont devenus durs sous l'effet de cette langue qui ne laisse aucun répit. Si elle cesse un moment, c'est pour recommencer de plus belle sur l'un ou l'autre téton. Gauche ou droite, il est loin le moment où il fallait rester droite... La baillon retiré lui laisse enfin la possibilité de respirer à fond. Ses seins, léchés, titillés, caressés lâchent tout un flot de sensations parcourant tout son Corps, plié et torsadé de Plaisir. Un autre cliquetis métallique familier résonne au niveau de cou et sa tête est alors tirée vers l'avant, soutenu par une Main. Ce qui est aussi son objet de Plaisir s'enfonce dans sa bouche. Le sexe de Son Maitre est déjà bien en forme; il a eu tout le temps d'être excité par ces précédents préliminaires. A présent, seule la laisse la retient. A genoux, elle s'affaire sur Son Membre et, à son tour, peut déguster les gémissements lâchés par Son Maitre. Plus discret qu'elle, Il n'en éprouve pas moins de Plaisir et lui fait savoir par les caresses plus ou moins contrôlées qu'Il lui fait sur la tête et par les ondulations de son Corps lui-même. Paradoxalement, sans mains, le Plaisir est tout aussi au rendez-vous. C'est un Voyage de Partage, Echanges, chacun jouant de ce qu'il lui appartient chez l'autre en s'offrant d'avantages pour fait grimper d'avantage ce Plaisir déjà très haut. Déjà trés haut, presque trop pour voyager encore plus longtemps. D'un geste de main, Il arrête son va-et-vient de sa tête ce qui lui permet de reprendre son souffle. Que fait-Il ? La regarde-t-il pour mieux la Dévorer ? La contemple-t-il ? La savoure-t-il ? Ou prend-il juste le temps avec sa soumise devenue Son Plaisir, Son Jouet.... Des 2, l'esprit est tout autant embrouillé par les vapeurs de Plaisir entrée en ébullition pendant cette fellation. Une simple pause pour faire retomber la pression et mieux ré-attaquer après. Qu'est-ce que va suivre .... D'un coup, 2 mains lui plaquent la tête contre Ses jambes. Il s'est relevé et la ainsi pénètre sans crier gare. Cette fois, c'est Lui. La tête est maintenue fermement, subissant les va-et-vient rapides de cette queue devenue aussi large que dure. Il ne lui laisse aucun répit. Le Plaisir est encore monté d'un cran quand Il la relâche enfin, laissant sa bouche tranquille après cette baise. Elle reprend sa respiration, mais c'est de courte durée. Ses tétons sont pincés pour la forcer à se redresser et à libérer son sexe. Il est très mouillé quand Il loge un doigt sous les lèvres et chatouille le clitoris. Un coup de fouet de sensations parcourent son Corps devenu ainsi très sensible et elle lâche un nouveau gémissement. Il est de courte durée, une main ferme la rebaillonne à nouveau. L'autre main continue de caresser le clitoris et soudain... un des tétons reçoit l'assaut d'une langue bien connue et trés gourmande. Le chemin vers l'orgasme se réduit, la fin n'est plus bien loin. Subir de plaisir, parce que le Voyage n'est pas terminé.... Enfin la position à genoux est terminée. Son Maître la relève et elle peut dégourdir ses genoux. Mais tout son Corps est en extase et aimerait bien ne pas rester debout.... Une pression sur sa laisse l'amène peu à côté et attend. Pas très longtemps, un autre cliquetis très familier la fait frissonner. Ses mains sont attachées devant cette fois, ne laissant plus aucun doute sur la suite du programme. Le "claque" si caractéristique et si excitant résonne dans toute la pièce. Son sexe ne peut plus retenir toute l'humidité à ce niveau d'excitation. Le second "claque" est plus proche. Il n'y aura pas de 3ème mais une piquante sensation zèbre ses fesses, suivie d'une autre, plus bas. Fouettée, elle reste docile, se contraignant à l'immobilité et savourant cet autre instant plus qu'unique. Elle aurait préféré être totalement attachée à une croix de St-André ou un autre support pour savourer d’avantage du Serpent, mais il n'y en a pas ici. De toute façon, ça n'empêche pas la lanière de cuir de zébrer sa peau sur un côté puis un autre, inscrivant des marques rouges piquantes. De l'autre côté, Il prend un Plaisir tout aussi intense, différent, de diriger ce Serpent sur elle, infligeant toutes ces marques de Plaisir. Il le fait durer. Le Corps de sa soumise tressaille de douleur bénite et de Plaisir à chaque coup de fouet. Plus il rougit, plus il devient sensible et meilleur c'est. Elle est en plein voyage, Il le devine par ces petites mimiques de son Corps et ces gémissements. Il s'arrête. Il s'approche d'elle et fait serpenter le fouet sur sa poitrine, ses hanches, vers son cou... Petit à petit, il prend possession de ce Corps qui n'appartient plus à sa soumise, elle même partie en Voyage dans un monde de volupté, Liberté. Ce spectacle, Il aime le contempler. C'est contre Lui que son corps, chauffé par ce fouet, s'abandonne, couvert de sueur et d'une multitude de marques. Après avoir joué avec ses seins, Il repart jouer à nouveau du Serpent. D'autres zébrures se rajoutent, accompagnés d'autres gémissement de Plaisir. Il n'existe plus de temps, ni d'horloge. Seul le claquement du fouet sert de repère; le Corps rougit d'avantage, devenant brillant par la sueur discrète. Il préférerait d'avantage la voir encore plus libre de ces gestes si une structure lui permettait d'attacher sa soumise. Elle pourrait se laisser aller librement à chaque claque. Mais ce Cadeau, Sa soumise qu'Il fouette, Sa soumise qui s'offre à Lui est déjà inestimable qui n'a aucun équivalent. Tout comme un joyau sacré, Il prend soin de magner le Serpent pour apposer uniquement ces marques et douleur de Plaisir. Chose qu'elle lui rend bien par ces gémissements et ces torsions. Nouvelle pause, Il la saisit à nouveau pour l'accroupir face à Lui. Une nouvelle fellation est imposée, plus brute. Jouant avec son propre "feu", Il est proche de l'orgasme. C'est un défi de Plaisir. Puis, à nouveau, sa langue part taquiner les tétons, à présent bien plus que sensibles. Elle manquerait de perdre l'équilibre parcourue par cet électricité de Plaisir. Malgré ces gémissements, ces frémissements, Il continue à jouer de ces seins, et encore plus. Pourquoi s'arrêter ainsi ...... Il fait partie de ces moments uniques. Celui où le Corps est en ébullition, l'Esprit embrumé dans des vapeurs de volupté et de bien-être. Sans atteindre le « Sub-space », ils sont tous les 2 dans leur Univers, leur coquille. L'une s'abandonnant à Lui, Lui menant la danse, les 2 savourant et échangeant le moindre fait, son, le moindre contact ou odeur, le moindre …. tout pour prendre son pied et en offrir autant voir plus à l'autre. Le Graal n'est plus bien loin. L'Esprit n'est en mesure que de subir pour Elle. Quant à Lui, il lui reste une portion de lucidité pour la suite du programme. Enfin..... quel programme.... Tout ne s'est pas passé franchement comme prévu. Comme Il l'avait voulu, elle s'est bien mise en position « Offerte » et Il avait pris le temps de savourer ce moment. Moment trop rare à Son goût. Ensuite, il devait y avoir les cordes. Mais si celles-ci devaient sublimer le Corps de sa Fierté, elles allaient gêner les morsures du Serpent. Et, aujourd'hui, sur le coup, le Serpent avait gagné sa faveur. C'est très fréquent que le programme change en cours de route. Ce n'est pas pour déplaire. Cela donne l'impression d'être devant un immense et magnifique buffet auquel on veut goûter à tout..... sachant que cela ne sera pas possible d'un coup et que le choix du meilleur est à faire. Pratiquement rassasié « de force », Il s'offre une pause. Une pause aussi pour elle, en Voyage quelque part au 7e Ciel. Il la contemple. Quelle beauté de voir sa soumise en extase, lâchant prise de tout. Quelle sensation étrange parcourt son Esprit... La volonté d'emmener encore plus loin sa soumise dans ce monde merveilleux, et plus longtemps en utilisant des manières, des accessoires violents, quitte à violenter son Corps. Cet extase qu'Il lui offre ne serait-il pas assez puissant comme cela ? Ce sont pourtant ces sensations, ces envies si puissantes, paradoxales qui font ce qu'ils sont et de dont ils se sont rencontrés. Moment trop rare de séances et de sueur, le Graal est très proche, mais l'atteindre signifierait la fin de la quête, toute aussi jouissive que le décrocher. Une pause.... qui cesse enfin. Jetant un plaid épais par terre, Il dispose Sa soumise par terre, à 4 pattes, accompagné de quelques fessées. Les quelques zones restées encore blanches rougissent entre 2 marques de fouet. Tout est pratiquement rouge sur ce Corps à nouveau offert. « Tu vas pouvoir crier » et s'installe derrière elle. Au comble de l'excitation, Il n'a aucun mal à s'installer en elle au son d'un fort gémissement. A Lui, elle s'offre aux coups de bassin. Son intimité déborde de Plaisir, assoiffée de ce Sexe attendu, voulu et enfin au rendez-vous. Instant magique de bouillonnement des esprits et corps déjà brûlants. Les va-et-vient s'accentuent, accélèrent, les mains glissent sur la peau. Vite, attraper les épaules et s 'enfoncer d'avantage dans cette Chatte des Plaisirs, le Graal approche, des cris, le cœur s'emballe, les gémissements … Le train s'est immobilisé le long du quai. Un trou du c.... heuu, passager tente de forcer le passage encombré par le vélo qu'il suffit juste de sortir pour dégager la voie... Arriver à la maison est très rapide. Enfin, la porte s'ouvre et Il peut rentrer chez eux. Elle est déjà accaparée dans la cuisine; Il la rejoint et dépose un baiser sur sa nuque. Un petit sourire accompagné d'un petit gémissement Lui répondent.
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Par : le 11/04/18
Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre. • « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. » • « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. » • « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. » • « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. » • « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. » • « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. » • « Au plaisir du maître, je me plierais. » Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous. « Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître. J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant. « Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître. Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir. « Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître. « J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je. Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses. « Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître. Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle. « Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître. Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe. « Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il. Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence. « Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je. _________________________________________________________________________ Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe. Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Par : le 19/02/18
Bonjour Lady Gabrielle . Saint Valentin Vous m'avez interdit de Vous souhaiter la saint Valentin . Bien ! Mais laissez moi Vous dire mon amour . Vous m'avez pris , ce fameux matin d'août 2005 et depuis je suis devenu enfin moi même . J'étais au crépuscule d'une vie terne , Vous en avez fait un lever de soleil , un petit matin de juin après une nuit d'orage . Vous , seule , savez changer l'ouragan que je sais être , que je puis être , en doux alizé . Vous seule savez , aimez me faire trembler comme un champ de blé sous les brises de juillet . Vous seule savez manier le Fer et le Cuir comme le Ciel et l'Orage martyrisant La Terre . Vous seule avez su voir ,dans ce brouillard nébuleux , la lueur qui présage les grands matins du monde . Vous seule avez transformé mes ténèbres en aurores boréales . Et , pour que notre ciel flamboie Vous avez Marié , Unis , Epousé , le rouge que Vous êtes au noir que j'étais en ce treize octobre 2012 . Alors , je ne Vous souhaite pas une bonne saint Valentin mais laissez moi Vous dire que je vous aime . Mais pour moi ces années de bonheur n'ont pas commencées le jour de notre mariage . En fait , elles ont commencées ce jour d'août 2005 quand Lady Gabrielle me demanda si je voulais être son soumis . Et , récemment , il m'est venu à l'esprit que mon acceptation est le dernier acte volontaire que j'ai accomplie . Oh , bien sûr il m'est arrivé d'acheter un fer à repassé ou un aspirateur sans autorisation mais pour ce qui est des grandes étapes de notre vie , c'est bien Lady Gabrielle qui tient la barre et moi qui hisse la voile . Il en est de même pour notre mariage . ELLE aurait voulu que je fasse ma demande en bonne et dû forme . Je crois que j'ai , à peu près , réussi cette demande . Mais , honnêtement ce n'était pas à moi de faire cette demande . C'était à ELLE . C'est moi qui possède le côté féminin dans la psychologie de notre couple . Si Si . . . Certaines et certains d'entre vous qui nous connaissent se disent que je suis devenu fou de dire des trucs pareils . Mais non . . . Jamais je n'ai réfléchi avec plus de lucidité . Je pense définitivement qu'ELLE aurait dû me demander en mariage . comme ELLE m'a demandé de devenir son soumis en 2005 .Parce que Je crois que la psychologie de couple traditionnelle , judéo-chrétienne est inversée chez les couple D/S ,sado-maso , BDSM . De cela , je suis quasiment convaincu . Il faudrait demander à des philosophes BDSM éminemment plus doués que moi en philosophie ce qu'ils en pensent . Toujours est il que ces gars là devront se donner du mal pour me faire admettre une autre théorie . Mais bon , le sado-masochisme n'étant pas la tasse de thé des philosophes , je me garderais bien d'aller dévaliser la maison LIPTON . Redeviens sérieux berny : que croyez vous qu'aurait été ma réponse si Lady Gabrielle m'avait fait sa demande en mariage ? Comme je sais que personne ne répondra à cette question , je vais vous dire ce qu'aurait été ma réponse : Cela aurait été : OUI OUI OUI ! ! ! évidemment . Se sentir aimer par sa Maîtresse ? C'est mon cas . Tenez pas plus tard que dimanche dernier , j'ai dû réviser mon emploie du temps de la soirée en raison d'un brusque débordement d'amour de la part de Lady Gabrielle . Dimanche fin d'après midi , nous rentrons d'une sortie raquettes ( il y a beaucoup de neige dans notre région et n'allez pas croire que parce que nous rentrons et sortons , nous habitons la maison des courants d'air ) nous sommes un peu fatigués , je prépare un thé reconstituant accompagné de petit gâteau de la marque ""Lefèvre Utile"" plus connu sous le nom de ""LU"" (et oui on s'instruit toujours en lisant les posts de berny ) . Je pose le plateau avec théière , tasses et biscuit devant Lady Gabrielle , je prends place à ses côtés me réjouissant de regarder "" Question pour un champion "". Quand my Lady me dit "" tu sais de quoi j'ai envie ( alors déjà Elle n'attend pas ma réponse ) d'une soirée BDSM . "" Heu. . . oui . ah bin non Maîtresse . . . là va y avoir """ Question pour un champion .""" Mais voyons berny , je ne veux pas te priver de ton émission , tu te met nu , à genoux , ta tête sur mes genoux à moi et tu écoutes . J'aime beaucoup la formule """ tu sais de quoi j'ai envie """ Comme si Lady me demandait mon avis . ELLE ne me demande pas mon avis Elle me donne un ordre . Et je m'exécute . Cela fait bizarre d' être privé de voir Juju Leperse courant autour de son pupitre ou jetant ses fiches en l'air . Enfin . . . à défaut de me concentrer sur cette émission je me suis préparé mentalement à ce qui allait suivre , et croyez moi cette préparation fut nécessaire . Bon alors donc . . . je suis à genoux ,nu devant Lady Gabrielle , j'écoute "" Question pour un champion "" ne me demandez pas ce qui s'est passé durant l'émission , je n'en ai aucun souvenir . A la fin de celle ci Maîtresse m'ordonna de rester en position pendant qu'Elle préparait notre soirée . Sa tenue hérotiquement BDSM revêtue , ses jouets préférés disposés à portée de sa main gantée de cuir , Dame Gabrielle alluma les bougies sans lesquelles , Elle considèrerait que toutes séances bdsm ne seraient pas abouties . Figé dans la position qu'il m'était interdit de changer je commençait à greloter . j'en faisais part à Lady . Pour me réchauffer ELLE m'administra , illico , 30 coups de fouet assenés avec une certaine hargne. Mouvement d'humeur provoqué par le dérangement dans ses préparatifs . L'impréparation de mon corps ne m'aida certainement pas à supporter la douleur , je me tenais donc coi , attendant calmement le bon vouloir de ma Maîtresse . Cette flagellation expresse avait , cependant , contribué considérablement à rétablir mon confort calorifique . Quand , enfin , Lady prêta attention à l'objet de son désir , mon corps en l'occurrence , j'étais prêt psychologiquement . ELLE mit des pinces sur mes seins , un bandeau sur mes yeux , m'ordonna la position debout au milieu de la pièce , main derrière le dos . Et c'est dans cette tenue que j'écoutais l'énoncé des griefs que Lady avait à me reprocher depuis notre dernière séance . Naturellement , enfin pour ELLE , chaque grief était ponctué d'un coup de cravache sur une partie différente de mon épiderme . Est ce que Lady Gabrielle a oublié des griefs ? Il y a de fortes probabilités . Mais , franchement , ce n'est pas important car j'ai ,tellement , été sévèrement châtié que les fautes oubliées et même celles que je n'ai pas commises ont été prises en compte . """Tellement châtié""" """Sévèrement """ n'exagérons rien . Je n'ai pas subis ,quoi que ce soit qui m'aurait mené au point de rupture . Je ne me souviens pas de la chronologie des actions mais entre deux flagellations à la cravache je reçu une fessée magistrale qui m'oblige à me poser la question suivante : """Comment Lady Gabrielle a t-elle pu me l'administrer sans avoir mal aux mains .""" Pour ce faire ELLE était assise sur mon dos , moi à quatre pattes . ELLE utilisa mon postérieur comme d'un tamtam . Je ne crois pas que les sons obtenus par ces mains expertes , étaient destinés à envoyer quelque message obscure . Quelles oreilles auraient ils atteint? Si tant est qu'ils purent dépassés les murs de la maison . Non . . . je crois que la musique des coups de main s'abattant sur mes fesses , depuis longtemps rougies , était destinées à charmer l'ouïe de ma Maîtresse . Tout simplement . Naguère , Lady Gabrielle m'a avoué aimer le bruit des claquements sur mon corps . Elle possède un fouet vipère terminé par deux mèches de tissu assez longues . Quand ce fouet est utilisé correctement seules les mèches viennent frapper , provoquant un bruit sec et agréable à l'oreille De ma Dame . Moi je dois avoué que ce fouet n'engendre pas des douleurs insupportables ce qui me le fait apprécié . Fait qui n'a pas échappé à la sagacité de Lady car Elle alterne l'utilisation de ce fouet avec celle d'un autre qui est beaucoup plus silencieux et beaucoup plus méchant . Un fouet terminé par une très fine tresse de cuire . Une horreur . Insupportable mais que je suis bien obligé de supporter . Larmes aux yeux . Par ce soucis d'alternance , Lady Gabrielle tient à me signifier que si nos séances BDSM sont des parties de plaisir ce ne sont quand même pas des réunions de jardin ( garden-party si vous préférez ) bucoliques . ELLE tient à ce que soit bien défini , la position de Chacune et chacun de part et d'autre du fouet . Soyez sans crainte , Lady Gabrielle , je connais parfaitement le bout du fouet avec lequel j'ai le plus d'affinité . Il convient de terminer le récit de cette soirée . Bien que d'autres aussi intenses émotionnellement ont eues lieu depuis . Après cette flagellation et cette fessée Lady Gabrielle utilisa quelques bougies non plus pour éclairer le lieu où je subissais ses tortures mais pour les prolonger . Elle fit couler la cire de ces complices momentanés et complaisants sur toute la surface de mon corps . Sachant que la stature de ce corps est imposante , je compatis à la peine qui a été celle de Lady Gabrielle pour accomplir cette tâche . Cette dernière phrase ne révèle pas la stricte vérité , au regard du sourire qui illumine son visage , je ne pense pas que Lady Gabrielle , trouve la tâche très pénible . Et que dire de ce sourire quand ELLE arrache à grand coups de martinet , la cire collée aux poils de ce corps velu comme celui d'un ours . Ce supplice est horrible . Cela m'apprendra à désobéir à Lady . Je devais me passer le peigne rasoir pour raccourcir les poils en question . En effet Lady a renoncé à exiger mon épilation. Vous avez déjà vu un ours épilé VOUS ? Ah que n'ai-je donc pas obéi ? Les poils eurent été plus courts , la cire de bougies eut été moins adhérante donc les coups de martinet moins nombreux .CQFD . Berny
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Par : le 09/02/18
2 ans. Cela faisait deux années que la vie les avaient séparée. Comme deux univers parallèles, ils avaient repris le cours de leurs vies. Et en ce jour pluvieux, ils se retrouvaient et retrouvaient leur monde comme deux voyageurs qui rentrent chez eux après une longue absence. Son dernier échange expliquait minutieusement les consignes qu’elle devait suivre. D’un simple « Entendu », elle avait répondu laissant entrevoir toute son appréhension et son excitation. Il se délectait déjà de la savoir dans cet état car il savait, les mille et une saveurs que ce mot transportait. Elle se présentait à l’adresse. Flageolante et remplie de désir, elle remontait la longue allée. Au fur et à mesure, une vieille demeure se dessinait. De loin, elle paraissait superbe mais, plus elle s’en approchait et plus elle comprenait que la maison avait perdue depuis longtemps sa superbe. Les questions commençaient à fuser dans son esprit déjà ébranlé à l’idée de le retrouver. Le vent qui jouait avec ses cheveux la faisait, par moment, frissonner. A présent, un escalier qui montrait le chemin d’une imposante porte se dressait devant elle. Elle marqua un arrêt comme si c’était sa dernière chance de faire demi-tour. « Je ne suis pas venue jusqu’ici pour rebrousser chemin » se disait-elle comme pour retrouver un peu d’aplomb et de courage. D’un pas hésitant, elle commença à gravir l’escalier pour se retrouver devant la porte et entrer. Il était 9h45. La nuit avait été longue. Il se repassait en boucle le scénario qu’il avait en tête. C’était son plaisir. Il aimait imaginer les réactions qu’elle pourrait avoir car ils savaient qu’il ne pourrait jamais vraiment la prédire. Il avait tout organisé afin de laisser de place qu’au plaisir. Il voulait des retrouvailles marquantes et dans tout les sens du terme. Arrivant à trouver le sommeil à peine quelques heures, il se préparait déjà pour aller à une ultime réunion avant de la rejoindre. Le trafic était fluide malgré la pluie et son esprit vagabondait dans la direction de l’objet de son désir. La bosse de son pantalon lui sommait de se reprendre. Il était déjà 9h. Timidement, elle faisait ses premiers pas dans cette maison, scrutant le moindre recoin. Le froid d’une maison sans âme et abandonnée la saisissait. Pour reprendre son calme, elle se remémorait les consignes qu’il lui avait été données. Elle devait se presser. Ne faisant peu de cas de la grande pièce qui s’offrait à elle, elle se dirigea vers l’escalier central. Les bruits la faisaient sursauter, chaque marche était une épreuve de plus à surmonter. S’enfonçant de plus en plus dans la demeure, elle arrivait au premier étage. Sa consigne était de se déshabiller et de laisser ses affaires bien en vue pour qu’il n’ait aucun mal à l’imaginer habillée. Elle avait choisi sa tenue avec beaucoup de précautions. Une jupe droite noire avec un chemisier rosée, un ensemble de lingerie en dentelle blanche et des bas noirs. Le tout porté sur des talons de 12 cm, escarpins à lacé qui lui donnait un air salope sans trop en faire. Il n’était pas encore 10h05. Le regard en direction de la fenêtre, il distinguait seulement le brouhaha des voix qu’ils l’entouraient. Pensif mais lace d’être ici. Il voulait la rejoindre. Comme si il c’était coupé du monde pour déjà n’être que dans le leurs. Il espérait ne pas avoir poussé le jeu trop loin. De temps en temps, il revenait à lui en répondant à une question de ses collaborateurs mais lorsque que son regard croisant les aiguilles de l’horloge triomphante, il retournait avec elle, comme pour l’accompagner dans le périple qu’il lui avait concocté. Il savait qu’elle venait de franchir la porte et qu’elle devait entamer la montée des escaliers. Il aimait la contrôler. La réunion avançait point par point et se fut bientôt au sien quand, il se rendit compte qu’il était 10h45. Elle continuait son ascension avec pour seul compagnon ses talons qui à présent ne laissaient pas juste deviner son côté salope mais l exposé entièrement. La transition entre le premier et le second étage lui paraissait interminable. Elle essayait de se donner une contenance car, le connaissant, elle savait qu’elle était observée d'une manière ou d'une autre. Difficile de garder une allure sensuelle lorsque vous êtes dans le plus simple appareil, devant lutter contre le réflexe de mettre ses bras autour de sa taille ou d enjambait les escaliers 2 à 2, elle prenait des grandes respirations afin de se décontractée. La dernière marche se dessinait et elle apercevait une couverture placée au milieu de celle ci. S'installant timidement dessus et jetant un ultime coup d œil aux alentours, elle s'appliquer à effectuer la consigne qu’il lui avait été ordonné. Assise au sommet de cet endroit lugubre, elle commençait à écarter ses jambes pour y glisser sa main. Elle fut surprise de sentir a quel point son sexe était gonflé et mouillé déjà abondamment. Il lui fallu peu d effort pour recouvrir ses doigts de sa mouille. Elle se saisit du téléphone qu’il lui avait envoyé. Prit une photo de sa chatte bien humide avec pour preuve ses doigts inondés et l envoya au numéro donné. Le feu lui montait de plus en plus aux joues. Reprenant ses esprits, elle se relevait pour se diriger vers l immense couloir qui s étirait devant elle. Il était à peine plus de 11h. La réunion touchait à sa fin quand son téléphone vibra dans sa poche. Lentement il l extirpa. C était un message "Parfait". A la lecture de se simple mot, un sourire un coin se dessinait sur sa bouche tandis qu’une lueur pervers allumait ses yeux. Une stagiaire l observa et quand il croisa son regard, elle commençait à se dandiner sur sa chaise. L’objet de son désir l occupait tellement qu’il ne s en aperçu même pas. Alors que chacun retournait à son bureau, lui se dirigeait vers la sortie en faisant bien comprendre à sa secrétaire de ne le déranger sous aucun prétexte. Lui, si professionnel en toutes circonstances d habitudes, laissait quelque peu transparaître son émoi. Son corps était en mode automatique, aller au parking, appuyer sur le bouton de déverrouillage de sa voiture, s asseoir, mettre le contact et conduire jusqu' à l endroit où se trouvait l objet de son désir. Son esprit était déjà ailleurs, parfois avec elle et parfois entrains de réciter les quelques règles qu’il c était fixé. Un regard sur le tableau de bord qu’il lui indiquait l’heure : 11H20 Ce couloir lui donnait la chair de poule. L obscurité était total par endroit. Elle rassemblait toutes ses forces pour continuer son chemin. La nudité dans laquelle elle se promenait ne lui posait plus de problème et elle déambuler pour atteindre son but ultime. " Vas jusqu’a la porte qui se trouve à la fin du couloir", on aurait pu croire que cette phrase était anodine, mais revêtue de la perversion de son Maître, elle devenait une torture. Plus elle se rapprochait et plus ses pas devenaient facile. Au moment où elle fit face à la porte, son esprit commença à bouillir, est il là ? Que vais-je devoir affronter ? Quand sa main se posa sur la poignée, son corps entier tressaillit. Elle l ouvrir avec prudence comme pour ne pas réveiller le grand méchant loup qui se trouvait derrière. Passant de l obscurité a une lumière tamisée mais chaleureuse, il fallut a ses yeux quelques instants pour s ajuster. La pièce était spacieuse. D un côté un grand lit a baldaquin orné de voiles dont on ne distinguait pas la matière. Ils avaient l air fin et solide à la fois. De l autre côté, un petit boudoir confortable, meublé d un canapé et de 2 fauteuils clubs. L espace d un instant, elle aurait aimé avoir le temps de parcourir la chambre, toucher les tissues mais elle devait s afférer aux directives qu’il lui avait dicté. Elle savait que c était lui qui avait organisé ce nid spécialement pour leurs retrouvailles. Cette pensée la réchauffa. A mi-chemin entre le lit et le salon, elle se mit à genoux, les cuisses bien ouvertes, le dos bien droits et le regard baissé. Elle était en position d’attente et l heure fatidique se rapprochait. Alors qu'il entrait dans l allée, son cœur commença à s accélérer et son pantalon commençait à devenir étroit. Doux mélange entre l envie de retrouver son amour et le besoin de tourmenter sa soumise. Ne voulant pas gâcher son effet de surprise, il laissa sa voiture au milieu de l allée pour rejoindre la maison à pied. Il connaissait chaque parcelle de cet endroit. Cela faisait des mois qu’il en avait fait son refuge et son terrain propice à la rêverie. Il y avait passé des heures à réfléchir au choix de la pièce, la mise en scène et tous les détails que seul lui connaissait. Son pas était tellement léger qu'il en devenait inaudible. Il entra, se dirigea vers l escalier, arriva au premier étage et pris son temps pour apprécié la vue des vêtements qui y était disposés. Il l imaginait vêtue ainsi et marchant dans l'allée. Cette pensée le troubla et instinctivement, il continua sa route. En passant devant la couverture, il ne put s empêcher d arborer un large sourire. Le couloir s’offrait à lui et très vite il se retrouva devant la porte. Il ajuste son costume, calme les battements de son cœur et entre. C était l heure. La rencontre de deux univers pour en faire qu’un. Il referma la porte et tout en s approchant d’elle, la fixait comme pour graver cette vision à jamais dans sa mémoire. Elle tremblait légèrement luttant pour ne pas lever les yeux. La tension était palpable. D un côté ils mourraient d envie de se sauter dans les bras l un de l autre et de l autre de rester dans cette scène hors du temps. Il prit un fauteuil et le plaça face à elle mais en gardant une bonne distance. Il s’y installa pour la contempler. Accoudé, il passait sa main sur ses lèvres comme pour l’aider à réfléchir. Elle sentait son regard sur elle et rougissait a l idée de sa chatte exposée et humide. Le silence était pesant, presque électrique. Les minutes semblaient des heures. D un coup, il se dirigea vers la grande cheminée pour allumer le feu. Puis marcha vers elle. Il lui tournait autour pour se figer et s accroupi afin de vérifier par lui même l état scandaleux de son sexe. Il aimait son odeur et son gout. Se rapprochant de son oreille, il lui dit " à 4 pattes" d un ton froid. Elle s exécuta. Le cul bien offert et donnant toute commodité pour subir l’inspection dont elle allait faire l’objet. Elle sentait un regard de plus en plus intense se poser sur elle et sa main commençait à remonter de ses échines au haut de sa colonne vertébral. D’un coup, il ne put s’empêcher de lui octroyer une fessée des plus stimulantes. Elle se raidie. Son souffle s’accélère mais il reprend son inspection. Il prend une grande inspiration comme pour s’enivrer de son parfum et lui caresse les cheveux. Il aimait tout chez elle. La perfection dans ses imperfections. Sa main se fait plus dur sur ses cheveux jusqu’à les empoigner vivement la forçant à redresser la tête. Une deuxième claque tombe, plus dur que la première. Il caresse son cul rond pour commencer à parcourir les quelques centimètres qui le sépare de sa chatte bien ouverte pour recevoir la fouille de son Maître. Il s’amuse le long de ses lèvres gonflées pour aller s’engouffrer à l’intérieur de sa chaleureuse intimité. Des gémissements incontrôlables s’échappent de sa bouche alors que lui émet des grognements. Il accélère le mouvement jusqu’à la faire couler. Il la veut chienne, trempée et surtout à lui. Sa queue le somme de sortir. Il relâche la tension et se met face à elle pour lui ordonner de se mettre à genoux. Elle comprend de suite ce qu’il veut. Il avance son bassin vers son visage et dans le silence le plus total, elle commence à défaire son pantalon et à sortir son sexe. Elle se lèche les mains pour les rendre accueillantes et s’en saisie. Le portant doucement à sa bouche pour le faire languir et le déguster comme une friandise. Il sait qu’elle joue avec lui et cela l’excite encore plus. Sa queue est raide comme un I et il ne veut plus jouer. Il empoigne sa tête comme pour sonner la fin de la partie et lui dit « ouvres bien ta bouche de Salope ». La tension c’est transformée en pulsion animal. Il veut posséder chacun de ses trous comme pour reprendre un territoire qu’il avait autrefois conquit. Il fait des va et vient profond dans sa gorge. Le rythme s’accélère jusqu’à ce qu’il y déverse son jus. Elle l’accueil avec passion et ne manque pas de n’en laisser aucunes gouttes. Il se place derrière elle et lui ordonne d’aller se mettre au bord du lit. Perchée sur ses talons, elle place ses mains au bord de manière à avoir un bon appui et reste ainsi en silence. En rejoignant le fauteuil, il se sert un verre de vin. « Remue ton cul pour moi ma chienne » et dans un mouvement lascif, elle ondule son bassin de droite à gauche et de haut en bas. Se spectacle et les possibilités qu’il offre lui fait monter doucement l’excitation. Le temps ne compte plus. Il prend le temps de déguster tous les plaisirs qui lui sont offert. Reposant son verre de vin, il se dirige vers elle pour la placer sur l’un des piliers du lit à baldaquin. D’un mouvement agile, il se saisit d’un des voiles solidement attacher et lui lies les mains. Instinctivement, elle se cambre. Son corps est complètement tendu. Un bruit frappe l’air et sa ceinture s’abat sur ses fesses laissant une trace bien rouge. Des répliques ne tardent pas à se faire sentir. Le plaisir laisse un peu de place à la douleur lorsqu’il revient sur des zones déjà foudroyées. Malgré tout, son cul en redemandait inexorablement. Elle mouille et continue à mouiller. Ses tétons deviennent raides à vu d’œil. De temps en temps, un claquement vient se perdre sur son sexe ce qui la fait gémir encore plus fort. Lorsqu’il fut satisfait de la couleur, il laissa tomber sa ceinture pour s’emparer d’un bandeau en soie. Lui recouvrant ainsi les yeux, il peut enfin la contempler de face. Une émotion le prend aux trippes. Il secoue la tête comme pour reprendre ses esprits. Il veut être en elle. Les jambes bien écartées, il n’a aucun mal à la prendre. Il ne s’attarde pas sur la délicatesse et vient la pénétrer en profondeur. Il sent son sexe se refermer sur lui et très vite il entend « puis-je jouir Maître ». Il accélère le mouvement sans répondre pendant quelques seconds et lui dits « viens ma chienne, jouis pour moi ». A ces mots, elle part la tête en arrière, son corps et parcouru de violentes secousses la laissant pantelante. Il la prend dans ses bras tout en restant en elle et la sert comme pour ne faire qu’un. Après le séisme passé, il reprend doucement une cadence plus calme et plus tendre. Il se retire avec lenteur de sa chatte dégoulinante pour aller chercher des pinces à tétons et lui placer méticuleusement. Détache ses liens et lui dit d’aller se mettre à genoux au milieu du lit. Son répit fut bref. Caressant son bras, il le prend et l’attache au voile du côté droit du lit et fait de même pour celui de gauche. Elle se retrouve à genoux et écartelée. Ne voyant rien de ce qui peut se passer. Un corps vient s’allonger à coté d’elle et lui fait comprendre de venir le chevaucher. Sans attendre, elle passe sa jambe de l’autre coté et marque une légère pause afin de venir s’empaler sur le sexe qui était dresser. Elle se faisait pénétrer doucement, ressentant chaque centimètre qui rentrait en elle. Sans qu’on ne lui demande rien, elle commence à onduler son bassin ne cachant pas son envie d’être baisée bien à fond. Ses mouvements tiraient légèrement sur la chaîne qui lui pinçait le bout de ses seins. Exquise souffrance qui lui donnait que plus envie d’être utiliser. Soudain, elle sentie le lit s’abaisser comme si une autre personne venait d’y être invitée. Une main vient se poser sur ses reins lui indiquant de se cambrer. La terreur l’envahit. Que se passe-t-il ? Lui, sentant son effroi, se penche à son oreille et lui dit « chut … Ton cul est à moi, ne t’inquiète pas. Profite de ce moment ma belle soumise ». Au son de sa voix, elle se calme. Son petit trou commençait à s’ouvrir de plus en plus. A présent, ils étaient tous les deux biens ancrés en elle et pouvaient amplifier le mouvement. Elle se faisait littéralement pilonner. Transpercé par 2 lances qui venait faire exploser des bulles de plaisir au fond d’elle. A chaque coup de rien, elle criait de plus en plus fort. De temps en temps son Maître tirait sur sa chaine comme un rappel. Sa chatte, son anus tout étaient complètement offert. Les fessées qu’il lui donnait la transportaient dans un état second. Elle en voulait d’avantage. La découverte de se plaisir inattendue la rendait folle. Elle supplier qu’ils la baise encore plus fort. D’un coup, son corps devient mou comme si toute tension avait disparue. Elle venait de jouir dans un crie qui résonnait dans toute la maison. Mais ne lui laissant aucun répits, il lui dit « tu as supplié pour qu’on te baise salope, maintenant assume » et les coups de reins reprenaient de plus belle pour la faire basculer dans un autre orgasme. La chambre sentait le cul. Ses bras devenaient endoloris et la cadence commençait à ralentir jusqu’à s’éteindre. L’homme qui lui avait pris sa chatte s’extirpa. Son Maître la détacha. « J’en ai pas fini avec toi ma belle ». Elle était à présent en levrette, la tête dans le matelas et lui qui revenait prendre son cul. L’autre homme sortit de la chambre pour se finir dans un endroit isolé. Les instructions était simple, nul n’avait droit de lui faire goutter son jus ou de la souiller à part lui. Quand il se retrouva bien au chaud au fond de son cul, une rage l’envahit. L’envie de lui donner une pluie de fessées lui prit. Comme pour la punir d’avoir eu du plaisir avec l’autre homme. Une poignée de cheveux dans ses mains et l’autre s’abattant sur son cul au rythme de ses aller retour, leurs corps entiers se tendirent et dans un râle ahurissant ils jouirent à l’uni son. Son corps vint s’écrouler à côté du sien et dans un ultime geste, il la prit dans ses bras pour sombrer dans un profond coma ...
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Par : le 22/12/17
2 couples novices nous ont fait le plaisir de choisir le Kinky Club pour leur première sortie. Olivia, notre travestie préférée s’est jointe à eux pour entamer les festivités. Dès 15h, les joueurs se pressent à la porte, au total, 7 couples, 8 femmes seules et autant d’hommes se sont retrouvés pour partager un nouvel après-midi de jeux où les femmes étaient à l’honneur, dominantes expertes ou simplement joueuses. Maitresse Alizée et Maitresse Pun se sont occupées d’H. pour son plus grand plaisir. La 1ere soumise de Mlle Calamity avait une correction de retard à rattraper, fessée, martinet et badine ont précédés un moment d’isolement dans la petite prison. Nos complices Mlle M et Mr R jouaient avec Olivia et l’un des couples novices dont Madame D confessait une envie de s’initier à la domination. Ne perdons pas de temps ! Rdv dans la salle de jeux à l’étage pour une co-séance. Mlle Calamity jouait de la badine sur sa deuxième soumise , attachée sur la croix de St André et avait prêté son autre soumise à Mlle M et Mme D sous le regard des nos voyeurs habituels toujours ravis d’assister au délicieux spectacle d’un corps ondulant sous les impacts. Mr DirtyVonP attachait une amie dans la salle tandis que nos barmaids s’affairaient à préparer leurs cocktails et sortir le champagne, Mr O et Mme D voulant fêter cette première sortie. Attachée, tête en bas, seulement vêtue de ses chaussures, J goûtait les morsures du single tail et de la queue de Dragon. Un couple Suisse nous a offert de magnifiques et bruyants orgasmes alors que Dirty Von P, toujours soucieux de bien recevoir, fouettait une autre amie de passage. Mlle M a organisé ensuite un superbe tableau : dans l’alcôve câline, Olivia officiait comme matelas et bouche accueillante pour H, qui lui-même, offrait son plus intime repli au poing de Mlle M. Ensuite, bonne joueuse, elle a tenu à célébrer l’anniversaire de son complice, agenouillée au centre du salon Baroque, vêtue de son porte jarretelles et ses bas, une bougie fixée sur son dos. Il est certain que des détails nous échappent mais voici un agréable résumé du vendredi 15 décembre au Kinky Club !
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Par : le 15/11/17
Il était tard ce soir du 10 mai et sur le parking où nous nous quittâmes, déjà pointé comme une envie de se revoir.. Pas de suite ...non... la dictature des agendas n'en laissaient assurément pas le moindre espoir. Heureuse et reconnaissante de pouvoir vivre ces instants si particuliers, je vous laissais un texto quelques jours plus tard afin de vous convier à un diner après la mi juin. En attendant la vie avait repris son quotidien. Le souvenir sensuel de nos derniers jeux m'accompagnait parfois lorsque je m’évadais en me caressant.Me revenait également en mémoire votre dernière proposition : celle de vous en maitre de cérémonie veillant sur votre soumise alors que je me ferais saillir par différents mâles. Je dois bien vous avouer que celle ci a le don de me faire encore un peu plus fantasmer. Evidemment comme toute chose nouvelle j'appréhende ce moment où vous me proposerez cette expérience. En attendant dans ma fantasmagorie cela tend à rendre la chose plus excitante encore. En attendant les jours se succédaient presque égaux à eux mêmes. Et puis un jour de semaine, un mardi, contre toute attente vers 16h un texto : - « Voilà une proposition qui devrait vous plaire : Rdv ce soir vers 22h30 / 23 h devant la mairie du 17ème, lavement fait, collier et escarpins. J'attends votre réponse... » puis : - « Vous allez avoir du mal à vous concentrer pour cette fin de journée » A la lecture de ce premier sms j'avoue n'avoir pas bien compris et il me fallut plusieurs lectures, être vraiment sûre de bien lire et de comprendre la signification de ce message avant de réaliser et de pouvoir vous répondre. Comme par un fait exprès un cours ce soir là au conservatoire était annulé, et un ami qui revenait de province avait émis l'hypothèse de nous retrouver autour d’une table d'un restaurant. Je déclinais son invitation et décidais de vous rejoindre, mon envie de vous fut plus pressante : - « Bonjour cher maitre Gold, je serais au rendez vous ce soir » et de rajouter : - « En effet, votre proposition est tout à fait indécente et toute aussi excitante... à ce soir donc » La surprise de votre proposition eut un effet immédiat et conformément à ce que vous prédisiez dans votre deuxième texto la fin de l'après midi fut plus laborieuse et cela se concrétisa par une moiteur qui déjà avait pris possession de mon intimité. Vous étiez alors ravi de me savoir doucement excitée. La douche prise, le lavement fait, le collier et les escarpins rangés au fond du sac, je programmais le GPS et pris la route. La circulation ne fut pas trop dense ce soir là et j' arrivais en avance au rendez vous. Alors que je vous attendais un homme d'une trentaine d'années m'interpellais tandis qu'il me croisait : - « Vous êtes très belle mademoiselle... » Plutôt flatteur pour une femme de 50 ans et de rajouter sitôt que je l’eus remercié pour son compliment : - « je peux vous parler ? » là je dû l'éconduire poliment. Vous arriviez peu de temps après ..et je fus heureuse de vous voir... Évidemment le lieu je le connaissais... mais c'est toujours un réel plaisir de vous sentir près de moi...j'aime votre proximité.. votre façon d'être à moi pour ces instants là... Point de bandeau cette fois là. Il m'a été permis de cheminer là où vous portiez mes pas pour mon initiation...je devais donc découvrir certaines salles... Plus que la surprise de cette soirée ce que j’allais alors vivre aller me marquer. Tout commença alors que nous étions en train de nous déshabiller. Je n'avais pas encore complètement revêtue ma chère tenue de soumise, c'est-à-dire... nue ! quand la sonnerie de la porte d’entrée du club retentit. Nous étions jusqu'alors seuls dans ce club et un homme venait de nous y rejoindre. Des salutations de courtoisie passées, nous nous dirigions vers nos premiers jeux... toujours la croix de St André, comme un rituel, mais cette fois vous m'attachiez les chevilles. J'étais impatiente de sentir une nouvelle fois vos caresses... vos mains reprenant possession de mes tétons déjà tendus par ce plaisir à venir...et ce moment si particulier où votre soumise Alphée renait et vous abandonne son corps ... ma récompense à cette attente et une amorce pour les jouissances à venir... Vous m'aviez prévenu et vous aviez raison .. sans le bandeau les sensations sont différentes. Je fermais les yeux et tentais de lâcher prise, d'oublier le monde du dehors. Installée sur cette croix les yeux fermés,tandis que vos doigts caressaient mon clitoris, je percevais le grincement des pas de cet autre homme sur le parquet il nous avait rejoint et il se voulait discret. Sans doute vous regardait t'il, il me semblait qu'il allait et venait. Premiers émois, premiers plaisirs timide...et mes pieds entravés commençaient à fatiguer. Deuxième mobilier, une sorte de cheval d'arçon sur lequel vous m'installiez. Une jambe de chaque coté de ses flancs et une ceinture qui me plaque sur son dos. Les mains quand à elles ont gardé toute leur liberté et par souci de confort personnel je décidais de les croiser sous ma tête. Les yeux toujours clos, je tentais de faire abstraction de cet autre que je savais là .... je voulais profiter un maximum de cet instant précieux avec vous, lâcher prise et jouir pour vous, pour nous. La croupe bien offerte et lubrifiée vous me doigtiez largement, la chatte...le cul ! Oh oui je devais assurément mouiller ...Quelques fessées en prémisse histoire de me mettre en appétit puis bientôt les lanières d'un martinet qui rebondissaient sur mes reins. D’abord doux puis allant crescendo au fur et à mesure que vous changiez d'instrument, les morsures devenaient plus forte presque à la manière d'une lanière d'un fouet. La douleur est l'amie du plaisir je le sais. Il me faut transcender cette douleur apprendre à la transformer en un plaisir et vous vous en assuriez..en ce domaine le chemin est à peine parcouru. C'est alors, que surprise par une douleur plus vive, je portais mes mains sur mon dos. Vous me demandiez de les retirer... je les ôtais timidement et c'est alors que cet autre homme se joignit à nous. Il s'approcha de moi et d'un geste doux et assuré me retint mes mains tandis que le martinet avait repris le chemin de mes fesses. A cet instant précis j'eus la sensation que nous étions uni par un seul et unique but...le plaisir...le mien mais aussi le votre et le sien. Il les retira, mais un instant plus tard il recommença, toujours avec cette même bienveillance et cette même douceur. Afin de le faire participer encore un peu plus à nos jeux, et à votre demande j'imagine, ses mains vinrent claquer, sur mes fesses puis les caresser pour de nouveau les claquer. Quelques instant plus tard il s'emparait de votre martinet et se mit à en jouer habilement. A des morsures plus vive se succédaient des lanières caressantes. Dans l’entre fait vous aviez pris sa place et c'était maintenant vos mains que je serrais. Il semblait avoir lui aussi une certaine expérience en ce domaine. Un jeu à 4 mains inattendu unique et précieux, un instant vraiment hors du temps, où sans nous connaître nous étions habité par le plaisir et la bienveillance .. merci maitre de m'avoir permis de connaître un tel moment. Cet homme devait alors nous laissait mais nous devions le retrouver un peu plus tard dans la soirée. Nous reprenions nos jeux et insatisfait de n'avoir pu obtenir une jouissance aussi forte que vous l'auriez voulu, vous m’installiez sur un lit les jambes bien écartées afin de pouvoir mieux profiter de ma chatte... vos caresses furent alors un vrai régal. J'ai toujours ce regret de ne pouvoir ou de ne pas encore savoir me lâcher si facilement malgré vos doigts ou votre langue si experte. Je m'en excuse cher maitre. Un escalier plus bas nous nous retrouvions dans ce lounge si harmonieusement décoré... de belles statues... un canapé et des fauteuils dans le plus pur style BDSM. Le souvenir de notre dernière soirée passée en ce lieu me revint en mémoire.. notamment le souvenir de cet exécrable maitre qui tentait un exercice de bondage avec sa soumise pour qui le respect ne semblait pas transpirer. Je vous suivais alors....vous teniez la laisse de votre soumise Alphée. Nous retrouvions cet autre homme adossé au comptoir et devant le miroir où vous m’aviez installé il nous rejoignait. Vous vous teniez derrière moi tandis qu'il se tint debout devant moi . Il se saisit de bâtons et comme pour une tenaille il enserra mes seins.. je voyais la peau de mes seins rougir. Je résistais un petit moment surprise par son initiative mais la douleur se fit plus forte et il déposa ses instruments... première expérience de bondage... peut être... je ne sais pas vraiment. Cet exercice passé vous m'emmeniez alors vers la pièce du fond, celle où je me souvenais avoir pour la première fois goutée à une femme. Cette soumise si douce de ce maitre si minable . Je pris place sur ce sling, les jambes et les mains fixées sur ces chaines, je fus une nouvelle fois exposée, ouverte, offerte au regard et plus encore... ma condition de soumise était de nouveau clairement énoncée et j'adore cela. Une fois de plus il nous avait rejoint et étions donc trois et dans cette pièce étroite.. J'étais maintenant beaucoup moins intimidé par sa présence rassurée indubitablement par ses bonnes intentions. Tandis qu'il jouait avec mes tétons, les tirant, les pinçant, vous vous étiez installé entre mes jambes écartées et aviez commencé à me lécher le clitoris..je ressentais alors une explosion de sensations.. Cet autre homme nous laissa alors définitivement et nous devions finir cette magnifique soirée à deux. J'affectionne tout particulièrement votre langue et vos doigts experts. Maintenant complètement à vous,vous m'emmeniez vers des sommets de jouissance que je devais alors dépasser à plusieurs reprises. Cette soirée aussi inattendue fut un réel bonheur et plus encore. Repue par toutes ces émotions je quittais ce sling et tout doucement nous retrouvions ce lounge où nous étions maintenant complément seul. Toujours ce moment à deux si important et bien installé sur un canapé confortable nous discutions...une sorte de transition entre ce que nous venions de vivre et un retour à la réalité de la vie du dehors. La soirée s'achevait et il nous fallait rentrer.. Merci maitre Gold pour cette soirée magnifique, surprenante.
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Par : le 15/11/17
"Tu porteras un serre-taille et un shorty. C’est parfait pour ce que j’ai en tête". Comme toujours, Madame a donné sa consigne pour ma tenue. Inutile de poser la moindre question, je sais que je n’aurai aucune explication. Bien Madame est la seule réponse possible -et admise. Le moment venu, je me prépare avec soin, longue douche brûlante, maquillage un peu plus appuyé qu’en journée mais, c’est l’usage, pas de rouge à lèvres. Madame n’ayant pas précisé la couleur du serre-taille, j’en mets trois dans un sac. Je choisis aussi plusieurs shortys, j’ajoute deux paires de bas identiques et des bottines pointues à fin talon. En attendant, j’enfile une petite robe noire près du corps et des bottes montantes. Un chèche, un fin blouson en cuir ajusté, je suis prête. A l’heure prévue, je passe chercher Madame. Son sac -*le* sac- est particulièrement lourd, cette fois. Il nous reste un peu de route à faire, moment pendant lequel s’installe une ambiance joyeuse. Je n’oublie jamais que la femme assise à côté de moi est une Domina sévère et exigeante, qu’elle a mon profond respect et que je lui appartiens, mais nos conversations en voiture ne sont pas très codifiées. Nous nous connaissons bien et j’ai le privilège, dans l’intimité, d’avoir une grande liberté de ton. La brat en moi fait surface, je plaisante, le tête-à-tête est léger. Madame est détendue, elle plaisante aussi, son rire est cristallin. Je trouve cette connexion parfaite. Nous y sommes. Je prends ma place derrière Madame pour entrer. Soixante-dix personnes sont là, le cadre a été aménagé pour jouer dans toutes les pièces. Rapidement, nous allons nous changer. Madame désigne pour moi un serre-taille rouge et noir et un shorty en dentelle noire qui m’arrive à mi fesses. La tenue qu’elle a choisie pour elle-même me laisse sans voix. Son corset en cuir met ses épaules et son décolleté follement en valeur, sa jupe ample en voile laisse entrevoir juste ce qu’il faut de ses courbes, ses jambes sont impeccablement gainées dans des bottes à talons hauts. Je la trouve magnifique. Le temps de déposer nos affaires au cellier transformé en vestiaire et je rejoins Madame. Elle croise amis et connaissances. Je suis le mouvement, à ses côtés mais toujours en retrait. Madame discute ici et là, embrasse des Dominants, salue des soumis. Je reconnais du monde et je découvre avec plaisir des personnes croisées uniquement en virtuel jusqu'à présent. Nous plaisantons un moment avec deux soumises de nos "dîners de filles" lyonnais, qui accompagnent leur Maître. L’ambiance générale est agréable et respectueuse. Dans cette maison aménagée en donjon, la température monte doucement. Les soumis des deux sexes prennent leurs consignes pour le dîner de leurs Dominants. Madame s’installe dans un canapé. Je propose d’aller lui chercher une assiette au buffet. Inutile de demander ce qui lui ferait plaisir, je connais ses goûts. A mon retour, un regard bienveillant, un léger sourire : "Merci Lily, tu peux aller te servir". Je souris aussi, merci Madame. Comme d’habitude y compris lorsque nous sommes seules, je m’assois à ses pieds, position naturelle, évidente. Madame veille toujours à ce que j’ai suffisamment de place. Tandis qu’elle discute avec ses voisins, sa main se pose sur ma tête et joue avec mes cheveux. Un de ses gestes ordinaires de propriétaire. Le dîner s'achève. Les soumis débarrassent et font circuler les cafés, puis les invités se répartissent dans toutes les pièces de la maison, aux lumières tamisées. Très vite, les premières frappes des martinets se font entendre, des mains claquent sur des peaux nues, des fouets se mettent à siffler. Des gémissements leur font écho. Je surprends quelques regards qui m’amusent. Il est vrai que Madame passe rarement inaperçue, avec sa peau sombre et douce aux reflets satinés, son profil délicat et son autorité naturelle. Sa main glisse dans mon dos. La caresse devient griffure. Ses ongles, manucurés mais naturels ce soir, s’enfoncent dans ma peau. J’ai un hoquet de surprise. La pression s’accentue, elle s’étend à mes épaules et à ma nuque. La main de Madame se fait douce à nouveau et caresse mes seins nus, soulignés par mon serre-taille. Puis elle griffe encore, de plus en plus lentement mais aussi de plus en plus profondément, tandis qu’elle empoigne mes cheveux dans un ordre silencieux de ne pas bouger. La douleur naissante fait monter le plaisir, je m’entends gémir doucement à ses pieds. Madame laboure ma peau. Elle pince mes tétons, pince encore, de plus en plus fort. Son autre main se referme sur ma gorge. Elle serre, dans ce geste de Domination dont je raffole. Je ferme les yeux et je respire son parfum. Son souffle s’accélère dans mon cou. Madame fait une pause, désigne le sac et se lève. "Suis-moi". Nous passons dans la pièce voisine. Un banc. J’y dépose le sac et j’attends. Le bruit de la fermeture éclair me fait frissonner, comme à chaque fois. "Penche-toi. Tes mains sur le banc". J’entends un petit rire, puis deux claques s’abattent sur mes fesses. Suivent deux autres, plus fortes. Encore deux, intenses. Les deux dernières sont magistrales. Ça fait mal mais j’aime. Quelques personnes passent discrètement dans la pièce. Moi, je ne vois rien à part ma Domina. Madame plonge la main dans le sac et je comprends que cette petite fessée n’avait pour but que de sensibiliser ma peau, de la préparer pour la suite. Du coin de l’œil, j’aperçois ce qui m’attend. Je grimace et je me crispe. Non, pas lui. J’expire bruyamment. "Tu sais pourquoi". Oui Madame. "Je n’ai toujours pas mon dû". Mes comptes-rendus. Je suis horriblement en retard dans leur rédaction. La punition, je l’ai sous le nez : un paddle de cuir rouge garni de têtes de métal. Ce terrible paddle. Mieux vaut le chat, mieux vaut le fouet que le paddle. Je le déteste et je le dis. Madame s’esclaffe. "Mais lui, il t’aime beaucoup. C’est ton ami. En position". Résignée, je m'exécute. En rythme, le paddle vient rougir mes fesses. J’essaie de retenir mes gémissements. La punition s'achève enfin et je sens la caresse d’une main douce et fraîche. Je bredouille merci Madame. "Ce n’est pas moi que tu dois remercier. Dis merci à ton ami". Je ne réponds pas. Son corps se plaque derrière le mien, sa voix chuchote à mon oreille, sadique et autoritaire. "Lily. Dis merci à ton ami". Je murmure, merci mon ami. Madame me retourne, me tient dans ses bras et me fait un sourire éclatant. Mon regard se verrouille au sien, je me détends. Comment ne pas sourire en retour ? Mes fesses cuisent mais je sais que la douleur s’estompera rapidement. Du moins jusqu’à ce que je m’assoie. Avec soulagement, je vois Madame remettre le maudit paddle dans son sac. J’entends tinter. Des chaînes. Madame m’a enchaînée pour la première fois il y a quelques mois, bousculant mes certitudes, effaçant des années de crainte. Sans doute n’avais-je jamais été suffisamment en confiance pour repousser cette limite. J’ai eu mal. Mais j’ai aussi été dévorée par un plaisir cérébral autant que physique. Chaque fois que Madame sort ses chaînes, les sensations sont différentes, mais toujours intenses. Ce soir, je trouve les chaînes particulièrement froides. Je frissonne tandis qu’elles s’enroulent autour de moi, un peu à la manière d’un karada, et passent entre mes jambes, compressant déjà mon sexe. Madame me fait légèrement pencher en avant puis sur les côtés pour donner du jeu et accrocher les mousquetons. Dès que je me redresse, les chaînes se tendent et je sens les maillons appuyer sur mes flancs, mes clavicules, dans la zone du sacrum et du coccyx. Me tenir droite -point sur lequel Madame ne transige pas- va rapidement devenir douloureux, je le sais. Des bracelets de cuir rouge se referment sur mes poignets et sont reliés par des mousquetons à la chaîne qui passe autour de mon bassin. Je ne vais plus pouvoir faire grand-chose de mes bras. Madame recule et me détaille, comme elle le fait souvent. Les yeux plissés, elle semble satisfaite et prend quelques photos. Du monde continue à passer, on admire et on complimente respectueusement. Madame apprécie et remercie. Puis elle finit d'accentuer la tension en reliant deux maillons au-dessus de mon plexus par l'attache d’une laisse. Un coup sec sur la laisse et je suis à quelques centimètres, partiellement entravée, de cette femme à qui j’appartiens. Je pose ma tête dans son cou, je respire son odeur, j’embrasse sa peau. Madame me parle doucement à l’oreille. Je sens poindre une douleur sourde, surtout sur mes épaules, accompagnée d’une chaleur diffuse qui monte dans mon sexe pourtant écrasé. Madame s’assoit sur le banc et m'enjoint de m’allonger sur le dos à ses côtés, ma tête sur ses genoux. Je repose sur les chaînes et mes fesses sont loin d'avoir récupéré de ma punition. Une main ferme mes yeux et j'entends le bruit d'un briquet. L'heure de la cire. Mais je n’imaginais pas que les premières gouttes allaient être pour mon front. C'est une bougie de massage, je sens une délicate odeur d’agrumes. La cire tombe et coule, sensation surprenante mais pas franchement douloureuse. Madame l’étale et masse mon visage. Je me sens glisser dans un bien-être à forte connotation érotique, les chaines scient mon corps, mes fesses font mal mais mon intimité palpite franchement. Comme pour me rappeler à l’ordre, Madame me griffe à nouveau, les bras, la gorge, les seins. J’entends son plaisir, qui décuple le mien. Elle malmène, elle tire, elle tord mes tétons et je gémis de douleur autant que d’excitation. J’ai toujours les yeux fermés. Alors je sens couler une autre cire, cuisante cette fois. Des filets brûlants se répandent sur le haut de mon corps. Mes seins griffés et mes tétons, pincés à vif, sont peu à peu recouverts. Je peine à retenir mes cris, Madame exulte. J’ai l’impression que les maillons des chaînes sont incrustés dans mes os et que ma peau va bouillir. Le parfum de Madame me transporte, je suis trempée de désir. Écartant les chaînes, Madame glisse enfin une main dans mon shorty... #BMOM
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Par : le 25/09/17
Je fus sorti de mes rêveries par un jet d'eau qui avait pour butte de me laver le corps du vin séché. Sophie m’a dit d’aller débarrasser, faire la vaisselle et de revenir ensuite. Ses ordres donné, elle est partie s'installer sur le transate avec son bouquin. Moi de mon côté, je suis allé vaquer à mes tâches, comme un esclave du temps de rome. Une foi celle si terminées, je suis retourné sur la terrasse me positionner debout les mains dans le dos à côté du transate de sofie toujours nu comme un verre. “Voila Maîtresse sophie les tâches que tu m'a demandées sont accomplies.” Dis je. Elle lève alors les yeux de son livre pour les poser sur moi. “C'est bien belle bite” dit 'elle. Par contre tu va cramer avec ta peau blanche au soleil sans protection. -” attend.” Elle se lève ,prend de la crème solaire dans ses mains et me dit de lever les bras . Ensuite elle commence à tendrement me mettre de la crème sur le corp, les épaules,les bras, le torse,le visage. Nos deux corps sont très proche, presque l'un contre l’autre. Cette situation n'en finit pas de m'exciter et je me met à bander bien dur. Elle le voit. En me regardant dans les yeux elle se met à m'enduire les testicules de crème solaire. Mon visage se déforme de plaisir mon corp est parcouru par un soubresaut. Ensuite elle saisit ma queue et commence à l’astiquer doucement pour l'enduire elle aussi. Mon souffle se fait plus fort. Elle me regarde dans le syeux et me dit : -” Tu n'en peux plus hein ? cela t'excite grave! “ On se retrouve front contre front et je m'entend lui dire ,oui sophie. “Tu es ma chose.” Me dit 'elle, en prenant mon menton dans sa main libre avant de m'embrasser intensément.Toujours front à front, elle me dit d'une voix,plus douce de m'allonger sur le ventre les bras en croix . Je m'exécute. Je sent qu'elle fait couler de la crème sur le haut de mon dos. Elle est positionnée au dessu de moi. je vois ensuite tomber à côté de ma tête son haut et son bas de bikini. Mon dieu elle est nue au dessu de moi. Cette idée me fait encore bander plus fort si il est possible. Mon sex est écrasé sur le carrelage de la terrasse. Je la sent s'asseoir sur mes fesses.Elle passe ses mains dans mon dos, ma nuqe, pour étaler la crème .humm c'est divin... Ensuite elle descend sur le bas de mon dos, mes fesses, l'intérieur de mes cuisses pour descendre doucement et langoureusement jusqu'au bout de mes orteille. Une foi cette étalage de crème hautement excitant,réalisé . elle se positionne devant moi et reprend son ton autoritaire - “A genoux, jambes ouverte esclave.” Je prend la position et lève enfin les yeux sur elle. Les mains sur les hanches jambes ouvertes, elle me regarde de haut avec des yeux autoritaires. Elle est magnifique. Elle me voit la contempler et me dit: -” Au lieu de te rincer l'oeil enduit moi de crème solaire.” “Oui sofie.” Je m'entend lui répondre. Je commence par prendre de la crème solaire au creux de mes mains et j'enduis ses petits pieds,je remonte sur ses mollet ses cuisses, je m’appliques. L'instant est troublant. Je crois que c'est la première fois que je la touche. j'arrive à ses fesses, ses hanches son sex que je masse avec plaisir.Je sent bien qu'elle est excitée elle aussi. Sa respiration s'accélère. “n'en profite pas trop belle bite, continue.” Je continue de parcourir son corps pour l’enduire de crème solaire; son dos, ses bras , ses épaules. J’arrive à son coup et son visage, l'instant est troublant. Nos regards se croisent de nouveau. Son corp m'attire. paff je suis sorti de ma rêverie par une gifle monumentale. -” A genoux.” Me crie telle. Elle m'empoigne par les cheveux pour me traîner vers la table. Bien que tous les deux nu, il n'y a aucun doute qu'en à la hiérarchie établi entre nous. Pour commencer, je suis à quatre pattes, traîné par les cheveux d'une main ferme et mon cul est rougi par les fessées reçues alors que le sien est d'une perfection immaculée. Ensuite à son attitude on voit qu'elle est à l'aise nue dans ce jardin, alors que moi j'ai la peur du débutant. La peur d'être surpris. Sans lacher ma chevelure, elle atrape son telephone sur la table,et m'entraine vers le transate. Elle s'installe confortablement me temps une de ses jambe de manière nonchalante. ” Allez. Leche mes pieds. Suce mes orteilles, masse moi.J'ai un coup de file à passer.” M’ordonne t elle. Me voila a ses pieds, à les lécher, les sucer, tendit qu'elle passe ses coups de fil. Elle appelle d'abord un ami, puis sa mère. Elle était en grande conversation avec une amie quand à force de voir son sex nu devant moi,à quelques dizaines de centimètres de ma bouche, je ne pu résister à l'envie de la lecher. Ma bouche remonte le long de sa jambe et arrive à l'entrée de son sex. Elle me jette un regard mais ne m'interrompe pas. Je suis en trian de laicher son sex tandis qu'elle reprend la conversation. Elle mouille abondamment, c'est un régal de la titiller alors qu'elle essaye de continuer ca conversation. Je sent sa respiration s'accélérer, son auditrice aussi. Je l'entend lui demander.” sofie ca va? tu as laire essoufflée.” - “ oui ma chérie ca va je viens juste de descendre les escalier c'est pour ca. jen profite pour accélérer mes coup de langue sur son sex. je sent sofie s'emballer juste avant de dire à son amie d'une voix hésitante. - “ Je vais devoir te laisser. Je suis désolé mais je dois y aller, je suis déjà en retard.” Elle lui raccroche précipitamment le téléphone au nez. Elle m'atrappe par les cheveux,attire ma tête encore plus contre elle et pendant que je le lèche, frote son sex sur mon visage en gémissant. Ca respiration se met à s'accélérer alors qu'elle écarte encore plus les jambes pour mieu me sentir. Encouragé par ses gémissements de plus en plus sonore je la lèche frénétiquement. Son corps se met à trembler de plus en plus fort jusqu'à son orgazme qu'elle acompagne d'un cri de plaisir. Totalement impudique, se moquant éperdument d'être entendue, alors que nous nous trouvons dans le jardin de la propriété. En plein paroxysme de son plaisir, elle m'enserre avec ses jambes autour de ma tête,m'empêchant presque de respirer. Elle fini par me libérer au bord de l'asphyxie. je suis a ses pieds en train de reprendre mon souffle. Son regard se pose sur moi. Affalée dans son transate une jambe grande ouverte, elle me dit avec un regard coquin. - “ humm tu va être une bonne pute toi belle bite. Allez allonge toi sur le dos.” Finit elle en me montrant le sol d'une main nonchalante. Me voila nu sur le sol la queue raide comme un piquet. Assise sur son transate, les coudes sur les genoux, la tête dans la paume des mains. Sophie apprécie le spectacle d'un regard félin Elle se lève, vient se positionner au-dessus de moi les jambes écartées. Elle me sourit. descends doucement se mettre à genoux. D'une main elle prend mon sexe bandé en l'attrapant par le gland entre un doigts et son pousse. Le Décalotte doucement avant de le faire entrer lentement en elle. Quand mon sexe rentre en contact avec le sien je sens un frisson de plaisir nous parcourir. Sa bouche s'ouvre doucement et elle enfonce lentement ma queue de toute sa longueur dans son sexe. Elle lâcher un petit souffle qui trahit son plaisir, avant de poser ses mains sur mon torse. Elle commence à faire des va-et-vient sur ma queue. Je me fais littéralement chevaucher. Je sens notre excitation à tous les deux monter ses mouvements de rein accélèrent. Quand j'essaye de poser mes mains sur son cul, une gifle monumentale me ramène à la réalité. “ même pas en rêve belle bite. Me crie-t-elle d’une voie pleine d'excitation. Tu touchera mon cul quand je te le dirai.” Elle continue à accélérer ses mouvements. Elle se met à gémir des gifles volent sur mes joues. En pleine frénésie, sans un mot elle attrape mes mains et les pose sur ses fesses. Je je les les Agrippent pleinement. Cette action est comme un signal. Elle pose alors ses mains sur mon torse et accélère encore ses mouvements de hanches. Je sent le plaisir monter en elle. Elle se met à respirer de plus en plus fort, à pousser des gémissement de plus en plus sonores. Elle est au bord d'un nouvelle orgasme quand elle me dit hors d'haleine.-” Je t'interdis de jouir. Tu jouiras quand je te le dirai retient toi! ” Je lui répond oui maîtresse sophie. Ces mots sont un déclencheur pour elle.Son corp est parcouru de spasmes, ses ongles s'enfoncent dans la chère de mes pectoraux. Elle pousse un grand cri de jouissance,tout son corp se tend de nombreuses seconde et sa tête est tirée vers l'arrière. Elle fini par s'effondrer sur mon torse. Je sens son soufle dans mon coup.Je lui caresse le dos doucement, ses mains caresse maintenant plus tendrement ma nuque.Ma queue est toujours en elle ,sensible sous l'exitation du moment.
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Par : le 20/09/17
prenant des poses obscènes et dégradantes pour un homme,tripotant mes parties génitales pour me rendre compte de leur nouvelle état. -” Tu es bien excité dit moi belle bite. Allez met toi à genoux jambes ouvertes devant moi et branle toi. Je veux te voir jouir..” Je sors un peu de mon état et suis un peu gêné à cette idée, mais la je me rend conte que sophie ah une main dans son maillot de bain et se caresse aussi. Je me laisse aller en arrière m'apuyant sur une main offrand ainsi mon sex tendu dans la direction de sofie. De l'autre main, je saisi mon membre et commence à me masturber. -” Allez belle bite regarde moi dans les yeux quand tu fais ça.” me dit 'elle. Me voilà en train de me masturber devant sofie, nu, à genou au pied de cette jeune fille autoritaire et magnifique... Quand je la regarde sur son translate une main dans son bas de maillot à me contempler me rabaisser devant elle, quand mes yeux croisent les siens, je n'aie plus qu'une envie contenter le moindre de ses désirs. “C'est bien belle bite demande moi l'autorisation pour jouir.” Quand je sent le plaisir monter en moi je lui dit:” sophie je vais venir est que je peut jouir!” -“oui belle bite” me dit 'elle, un sourire au lèvre.” Jouis ma salope!” Je ne tien plus je joui et perd toutes notions de réalités et d'espace pendant un court instant. Je reviens à moi, au moment ou sofie , toujours installée sur son transate m'asperge d'eau . -”'T’endors pas belle bite. Tu dois me servir maintenant.” Un peu confus je me ressaisi et déclare - oui sofie. ”aujourd'hui c'est Maîtresse sophie me lance t elle.” je me corrige - “Oui maitresse Sophie.” Le reste de la matinée nous voit , elle toujours dans son transate, moi la servant en esclave nu comme un verre. temps tôt lui amenant un verre d'eau, temps tôt lui servant de repose pied. Elle me gratifiant par moment d'une vulgarité,par d'autre instant d'une bonne claque sur les fesses, le tout dans la complicité et les rires... Vient ensuite l'heure du repa,elle m'habille d'un tablier blanc de cuisine et me demande d'aller lui faire à manger. je commence à lui cuisiner des spaghettis bolognaise, son repas préféré. Pendant ce temps là, elle s'installe sur la table de jardin et commence à faire ses contes. Je peux la voir depuis la fenêtre de la cuisine, ne prêtant aucune attention à moi. Cela rajoute à mon humiliation d'être là, à cuisiner pour elle, excité par la situation tandis qu'elle vaque à ses occupations sans tenir compte de moi. Quand le repas est prêt je lui signale. Elle me dit depuis le jardin. -”Enlève ton tablier et sert moi à manger. je m'exécute. Me revoilà nu comme un verre mettant la table.Une foi qu'elle a fini ses contes je lui sert son repas et un verre de vin, attendant nu à côté d'elle la bouteille à la main et la queue de nouveau raide... ” Ca à l'aire bon belle bite.” Déclare t elle. Elle porte la fourchette à sa bouche en me regardant dans les yeux. Je peux voir de la satisfaction sur son visage.- ” C'est délicieux ma pute, bravo.” Elle porte ensuite le verre de vin à ses lèvres mais dès qu'elle y goûte je comprend que quelques choses ne va pas... ” c'est le vin d'hier ça esclave. Non? ” ” Oui maîtresse ” “Tu l'as gouté avant de me l'amener? “ Je perçois mon erreur “ non sofie “ “ Il est éventé.” dit elle . Elle pose le verre sur la table,claque des doigts en montrant la cuisine et me dit d'aller chercher un autr verre, et une autre bouteille de vin. “Oui maîtresse.” Dis je, en courant lui chercher. Je reviens bien vite lui sert un verre et me prosterne à ses pieds, lui demandant pardon. Elle goûte le nouveau verre et semble satisfaite. Ensuite sofie d'une main me caresse les cheveux, d'une voix ferme et douce à la fois. - “ allez viens t'asseoir on va manger maintenant”. Nous commençons à manger tout les deux, je me détend un peu. On rigole, discute de tout et de ce que l'on est en train de faire. “ Tu es vraiment givré! ” me dit t'elle en souriant. “Tu te serrai vu courir cul tout nu me chercher une autre bouteille de vin.” Tu étais ridicule. Un peu honteux je rougi. -” Oui je sais, c'est un peu bizarre. Je dois être pervers d'aimer cela.” -” Ne t'inquiète pas. C'est bizarre mais ce n'est pas grave.Puis j'aime bien avoir mon petit esclave à la maison.Puis pour tout te dire, j'aime bien qu'on m'obéisse et soumettre un hommes et 'l'humilier Ca commence à me plaire.J'y prend goût. ” Sur ces dernières paroles sont sourires s'élargit. Le repas touche à sa fin quand sophie me dit : - “ bon maintenant belle bite tu vas débarrasser et faire la vaisselle, mais avant il faut te punir pour ce mauvais vin servi lève toi! “ Je m'exécute, le coeur battant à la chamade de peur et d'excitation. Je me demande ce qu'elle va bien pouvoir inventer. Je sais qu'elle est pleine d'imagination... Elle recule un peu la chaise sur laquelle elle est installée. Toujours assise elle me regarde dans les yeux et en claquant des doigts me montre ses genoux. Je comprend directement ce qu'elle veut et ne me fait pas prier... Silencieusement je m'installe sur le ventre en travers de ses jambes, mon nombril sur ses cuisses. Elle me demande de passer les mains dans le dos. Elles me saisis les poignets et les emprisonnes. Le contactes de nos peaux qui se touchent et la situation commence à me faire bander. Sophie doit sentir ma queue grossir contre sa cuisse. Elle pose alors son autre main sur mes fesses et les caresse doucement en me susurrant. “Ca t'excite belle bite hein? c'est ton grand fantasme de recevoir la fessée? “ “oui Maîtresse sophie ca m'excite beaucoup.” Dit je d'une petite voix un peu honteuse. “Allez belle bite, écarte un peu tes jambes.” En silence je le fais. Je suis sur la pointe des pieds les fesse tendues vers le haut. Elle en profite pour passer sa main entre mes cuisses à fin de me caresser doucement les testicules et la verge. Tu sais belle bite, j'ai lu qu'il y a deux type de fessée, la petite fessée gentille pour faire plaisir... et celle pour punir. Tout le long de son discours elle me mettait des petites fessées de plus en plus fort . Je sentais mes fesses devenir chaude et picoter cela m'excitait doucement, mais sur le dernier mot la claque fut beaucoup plus forte m'arrachant un cri de surprise et de douleur. Ensuite les coups se sont mit à pleuvoir sur mes fesses de plus en plus fort et douloureux, devenant rapide pour finir en rafale. Mes fesses me brûle me font mal.Je la supplie d'arrêter. -”pitié sophie j'ai mal,arrête”. Mais rien y fait. -”J'arrêterai quand j’en aurai envie! ” Me crie t elle en repartant de plus belle. Je suis vaincu je couine à chaque coup je supplie, j'implore. Elle finit par arréter me repoussant en bas de ses genoux. Je tombe à ses pieds vaincus et épuisé. Elle se lève me temps un pied et me dit: - “ allez face contre terre, implore mon pardon. “ Je pose ma tête sur son pied et lui gémit pardon sophie,pitié je t'implore. J'implore ton pardon. “A genoux les mains sur la tête. “ Me dit 'elle. Je m'exécute,les fesses brulantes. Je la voit aller chercher mon téléphone portable sur la table. Elle comprend que je suis inquiet. “Ne t'en fait pas belle bite. je vais juste te faire une vidéo souvenir… “ Elle passe passe derrière moi. Je comprend qu'elle a dut commencer la vidéo... j'entend ses commentaires. -” Voilà belle bite, et oui c'est ton nouveau nom . Voila je te fait une petite vidéo souvenir pour que tu puisses te branler quand je serais pas là pour t'humilier.. regarde l'état de tes fesses.Tu as le cul tout rouge.” Elle passe ensuite devant moi le téléphone à la main, braque la caméra sur moi, à genoux les mains derrière la tête ”Alors belle bite,regarde la caméra et dit combien tu es content d'avoir reçu une fessée.” Je lève la tête toujours dans la même position. Je vois son visage radieu et moqueur regarder le mien au travers de l'écran du téléphone. ”Merci sophie de m'avoir donné la fessée. ” Dis je un peu honteux. “Mais de rien ma petite pute. hein oui que tu es ma pute? “ “Oui maîtresse sophie. Je suis votre pute , votre salope male, votre esclave et votre chien. “ Elle se met à rire et me dit : - “ C'est bien ma salope, allez ouvre ta bouche que je la fourre.” Je m'exécute et aussitôt elle m'enfonce plusieur doigts dans la bouche, et s’amuse à faire des va et vient dedans. Elle rigole toujours et me dit que bientôt c'est son gode ceinture que je vais sucer.Le vas et vient de ses doigts fini par me faire beaucoup saliver et baver. Elle décide alors d'enlever ses doigts de ma bouche, de me mettre deux gifle et de s'essuyer la mains sur mon visage - “Que voilà une belle vidéo souvenir....” En coupant le téléphone elle me dit de mettre ma tête en arrière et de garder ma bouche ouverte. Ensuite elle pose le portable sur la table et prend le verre rempli de mauvais vin. Elle me dit de fermer les yeux et je sent le vin couler dans ma bouche et sur mon visage. Il ruisselle sur mon corp . “Allez avale ce mauvais vin que tu voulais donner à ta reine, voilà c'est bien salope. Maintenant tu va rester un peu nu comme cela pour méditer sur ton erreur.” Et c'est ainsi que je suis resté complètement nu à genou, les mains derrière la tête, du vin collant sur mon corps. Exposé pendant un temps indéterminé sur le sol de la terrasse. Pendant ce moment j'ai eu le temps de penser à la situation. Au fait que j'étais en train de vivre mon fantasme après tout ce temps. Au fait que; oh mon dieu. J'avais montré cette face cachée de ma personnalité à une amie proche. Que je n'étais plus en train de fantasmer derrière mon écran, à parler à des inconnus, mais que maintenant quelqu'un connaissait vraiment cette facette de ma personnalité.
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Par : le 11/09/17
Outrage - L’OLNI de la rentrée littéraire 2017. On enfile les clichés comme autant de perles de pluie de pays où il ne pleut pas. Si je ne l'ai pas lu mil fois, je ne l'ai jamais lu. Pourtant, comme le paradoxe des perles de pluie, c’est rare, précieux. Je ne suis pas qualifié pour parler style. Cependant je crois être de ceux qui apprécient, par leurs lectures du genre, que l’ouvrage proposé par Franck Spengler chez Hugo Roman est un de ces pavés qui compteras comme témoignage qui marque son temps. Il en fut de même pour Baise-moi, pour Confessée/Noli me tangere, la trilogie de Dugas, le classique de Duriès, pour «Emmanuelle », pour « Histoire d’Ô », pour « Barbarella », pour « le con d’Irène » ou l’ »Histoire de l’Oeil ». Ouvrages confidentiels ou populaires, qui marquent une étape singulière dans le cycle perpétuelle de l'écriture amoureuse. Un temps où le filtre n’a plus sa place. Sans filtre, aurait été le sous titre idéal. Pour celles et ceux, nombreux, qui ont une culture des forums sentimentaux ou sexo-sentimentaux(1) du Net, ils y retrouveront un quasi-annuaire des situations douloureuses, des situations de manipulations, des situations d’engouements et de déceptions. C’est un chaud/froid, un sucré/salé. Qui sait, si cela ne serait pas cette cinquième saveur littéraire, l’umami du récit. Cruel, tripale, assassin et si vivant, vibrant, chavirant. Mot à la mode, primal. Dérangeant, c’est le mot pour exprimer le sentiment qui m’enserre à la lecture de ce récit. L'inconfort, la gène, l'au delà de la pudeur. J'y retrouves des provocations de sentiments de malaise, de troubles érotiques avec des touches d'envie de ne pas en être le témoin. Brusque ou brutal, comme pour les « 120 journées de sodome », si chère à Sade, plus contemporain avec le génialissime « Château de Cène », là ; Bernard Noël nous fait passer de la bandaison festive à l'effroie glacial. Je tente ici de vous restituer les inconforts vécus, les allégresses coupables, les audaces prescrites, les débauches contraintes. Tout est en rime avec l'oxymore. Le sentiment d’être dans le «dedans» de l’autre est effrayant, stimulant, dynamisant, cette posture ne me laisse jamais indifférent. J’ai l’impression d’une dualité qui est celle de l’écrivaine. J’ai des chaos émotionnels, comme la narratrice, j’ai des frissons, alors je monte le son. Il est difficile de s’endormir derrière une telle décharge. Pourtant, je garde profondément encré, un étrange sentiment de mal-être. Je suis incapable de dire que j’ai aimé, ou détesté. J’ai été le témoin, consentent, d’une livraison sans filtre. Cela fait écho, avec mes envies, mes habitudes d’habitué du sérail «bédéhaissèmesque» à la française. Cela pose une lumière blafarde sur la part sombre, celle que j’évite de fréquenter, qu’il nous arrive de croiser, malgré nous. Cela résonne profondément dans l’envie qui m’anime de savoir ce qu’il y à dans l’intimité de l’autre, pas en lurker(2), pas en voyeur, en explorateur de l’intimité. Moi qui aime questionner, là, j’ai bien plus de réponses que je ne puis en poser. C’est violent, cela me fait violence. Je suis impressionné, et déconcerté. Déconcerté par le fait que l’auteure ne pose pas le moindre filtre. Elle me fait peur. Voilà la vérité, nue, crue. Le froid est là, dans ces peurs, ces stigmates qui montent. Et pourtant, le chaud est là, soufflé sur des braises ardentes, sur des pulsions amoureuses puissantes, sur des ivresses de sensations, d’émotions, de folles libertés, de liens puissants qui chavire une liberté sans limite. A croire que les bornes des limites n'ont pas de frontière avec Maryssa. J'ai une envie, simple, sincère, celle de vous recommander la lecture de cet Ouvrage Littéraire Non Identifié, d'y réagir, de vous en effrayer, sans jamais vous y perdre. Vous aurez, peut-être, l'étrange culpabilité de l'excitation. Maxence Lascombe, 4 août 2017 Le livre : Outrage Maryssa Rachel Hugo Roman Aout 2017 ISBN : 9782755635720 http://www.hugoetcie.fr/livres/outrage/ sur amazon https://www.amazon.fr/Outrage-Maryssa-Rachel/dp/275… a la FNAC https://livre.fnac.com/a10615041/Maryssa-Rachel-Out… 1. (BDSM, PolySphère, anarchi-relationnelles et compagnie) 2. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lurker Umami : fr.wikipedia.org/wiki/Umami
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Par : le 30/08/17
Comme il me l'a indiqué je suis montée pour me preparer. Choisir une tenue, rassembler nos jouets, parfaire mon épilation. Je l'entend qui monte, je m'allonge sur le lit, cache mon visage dans l'oreiller. Il pose quelque chose sur moi et me demande de ne pas bouger. J'attends. Il revient, me bande les yeux, puis un plug. Il me guide, je descends, arrive au salon avant de retirer mon bandeau. La table basse recouverte d'un plaid, une musique un peu étrange, la pénombre, une bougie de part et d'autre de la table. Je me retrouve à 4 pattes sur la table, jambes écartées.  Une fessée à la main pour commencer, la position n'est pas facile à tenir, puis un gode... difficile de me laisser aller, entre plaisir et douleur... les choses s'enchainent gode, vibro, un autre plug... les coups sur mes fesses, l'intérieur de mes cuisses, mon sexe...j'oscille entre orange et rouge... moment de pause où je le suce, et il continue de me fesser.  Je suis allongée sur le dos, poignets attachés à un pied de la table. Les choses se poursuivent... par moment la cire tombe sur ma peau. La tête en arrière, une nouvelle fellation... des sensations... la bille du plug qui bouge, le gode en verre qui s'impose... ses doigts me font jouir à plusieurs reprises. Je reviens à 4 pattes, il me prend sauvagement, l'envie qu'il jouisse... la roulette à dent sur mes fesses... c'est bon... Le vibro, je me débats intérieurement... c'est trop, je ne peux pas poursuivre... je dis rouge. Il me détache, me prend dans ses bras, je ne pensais pas dire mon safeword... pourtant... On finit dans un bain, pour débriefer.
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Par : le 11/08/17
. . Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre. Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée. Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses. ?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes. À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou. Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée. Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés. Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol. L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante. Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements. Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même. Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer. Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité. _________________________________ . Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude .... Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ? Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités .... Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison . Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent . Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ? Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ? Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ? Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore ! Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" ..... Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas .... Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé .... Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses... Abyme en a décidé autrement Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien ! En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " .... Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ... Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé ! Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi . Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire .... La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre . Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ... Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse. Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul ! C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope ! Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ... Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ...... Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus .... Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler  pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière.... Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça ! Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme Elle me suit dans mes envies également L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ... Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre. Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage ! Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant ! J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment .... Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore ! Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir ! Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ??? Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux Merci pour nos fous-rires avec Lulla Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme ..... _________________________________________________ Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan : https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : le 03/07/17
Depuis que Silva m’a rendu son collier, nous sommes néanmoins restés amants et avons continué de nous voir aussi souvent qu’avant. Néanmoins, nous aimons toujours parfois jouer, pour le fun, sans nous prendre au sérieux. Elle redevient alors ma soumise ponctuellement. Pour elle qui pratique en amateur l’apiculture, les abeilles sont des créatures fascinantes, adorables et même amicales. Lors de nos premières ambitions de jeux atypiques en extérieur, dont j’ai déjà présenté certains ici-même, nous avions envisagé un jour de la couvrir entièrement d’abeilles. Cette performance aurait pu constituer pour moi une série exceptionnelle de photos spectaculaires, et pour elle une épreuve à la mesure de son attirance pour le risque masochiste. Elle m’avait expliqué qu’il suffit de s’approcher des ruches à un moment propice (milieu de journée, milieu d’année), s’enduire de miel et attendre que les abeilles viennent se poser pour le consommer. C’est imparable, elles n’aiment pas laisser traîner du miel, elles s’en nourrissent d’ailleurs. Si on ne fait pas de mouvements brusques, si on n’en effraie pas (par exemple en appuyant son bras où se trouvent des abeilles contre notre flanc, ce qui les écraserait), il n’y a aucune raison pour que les abeilles soient agressives (étant donné que lorsqu’elles piquent elles se condamnent à mort, car ça arrache le dard et une partie de leur abdomen). Nous guettions l’occasion de réaliser ce fantasme « zoophile ». Bref nous avons trouvé une complice libertine apicultrice qui était chaude pour un trio ET une telle expérience, chez elle dans le Var, où elle dispose de trois centaines de ruches, et nous voilà partis le week-end dernier pour l’arrière pays de Fréjus. Notre complice nous attendait, nous avons bien profité de cette rencontre sexuelle, et le samedi après-midi nous voilà sur place, aux ruches, où elle avait préparé le terrain en laissant un plateau plein de miel encore en cire, pour habituer les abeilles à être attirées à cet endroit précis sous un arbre où je devais attacher Silva en shibari à une branche avant l’enduire totalement de miel. Mais hélas, le plateau n’avait pratiquement pas attiré d’abeilles, à la grande surprise générale ! L’apicultrice ne comprenait pas la raison de ce dédain… Et ne l’a toujours pas comprise. Nous avons essayé tout de même, mais moins convaincus, d’enduire au moins les seins et le pubis de Silva, pour un résultat réduit mais au moins mignon, et avons attendu… En vain. Pas d’abeilles intéressées. Bref échec cuisant… Nous sommes donc allés à la rivière, dans des gorges, et avons passé le reste de la journée à nous baigner, nous dorer, et bien sûr à des jeux sexuels (notamment le moment où lorsque je la fistais, Silva a joui en hurlant pendant plusieurs minutes alors qu’un couple de randonneurs, très gênés, passait par là). Sur la route de retour dimanche soir, nous nous sommes arrêtés à une aire d’autoroute des Bouches-du-Rhône (Lançon) où étaient alignés un bon nombre de camions étrangers. J’ai dit à Silva de se vêtir uniquement d’une mini-jupe et d’un haut très sexy et de m’attendre, puis je suis allé voir des cammionneurs. Deux slovaques ont été d’accord poour baiser ma soumise entre deux camions. je suis revenu, ai amené Silva par la main, lui ai mis un bandeau sur les yeux avant d’arriver aux deux routiers, et la leur ai offerte, en leur recommandant de ne pas la ménager. Elle s’est rapidement retrouvée entièrement nue entre deux camions, à genoux dans le cambouis, à sucer les deux routiers affamés et agréablement surpris, puis ils l’ont baisée en levrette, appuyée sur la zone du plateau entre la cabine et la remorque, avec force fessées et grognements. Moi je réprimais mon érection, afin de lui en faire profiter plus tard, une fois rentrés à la maison. Silva n’a pas joui, et s’est retrouvée couverte de sperme et de cambouis pour le reste de la route vers Montpellier. Plus tard dans la nuit, elle a enchaîné les orgasmes jusqu’au petit matin ! Filo
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Par : le 30/06/17
1 je suis née un 2 octobre et j'ai reçu 5 prénoms 2 j'ai eu une enfance très heureuse et des parents aimants. En lisant certaines révélations, je me demande si dans le BDSM il y a beaucoup de personnes ayant connu une enfance malheureuse ou a tout le moins une épreuve émotionnelle marquante? Et si cela est en lien avec leur tendance au BDSM? 3 j'ai toujours admiré mes parents: mon père arrivé de Yougoslavie en vacances et hébergée chez l'amie d'un ami... Ma maman. Il l'a demandé en mariage après une semaine et ils sont toujours ensemble! Cela fait 42 ans. 4 première masturbation? Heu... J'étais petite 8/9 ans? Et je n'ai jamais arrêté depuis! 5 j'ai vu pleurer mon père une fois et cela m'a fendu le cœur: c'était pour la guerre de Yougoslavie. Un père ça peut pleurer? 6 j'ai décidé a 13 ans que je serai commissaire de police. J'ai fait tout mon droit pour ça. Un médecin a décidé en 10mn lors du concours que je ne le serai pas. 7 j'ai perdu une partie de mes cheveux a 8 ans. La Raison? Ché pô....aucun médecin n'a su me dire...Maintenant je suis boule a Z et je me plais comme ça. Et a priori... Ça me va pas trop mal. J'assume cette différence. Aussi au travers du regard des autres... 8 j'ai envie d'un tatouage sur le côté de la tête et qui descendrai dans le cou... 9 un jour de fin d'année 1992, une salle et un examinateur... Il me demande de traduire un texte espagnol en français. Et sort de la pièce... J'ai sorti mon dico. C'était lors de mon BAC ! Oui j'ai donc triché! Mais pourquoi il m'a laissé seule avec mon sac!!!!!! La tentation était trop grande! 10 dépucelée a 18 ans et 2 jours et ce fut une réussite! Suivi de 8 ans de passion avec ce jeune homme: Christophe. 11 je regardais des films érotiques dès 10 ans... Hummmmm 12 je ne voulais pas d'enfant: la grossesse était pour moi l'équivalent d'un alien dans le ventre ... Juste horrible. 13 je suis tombée enceinte par surprise ... De celui qui deviendra mon mari. Et ce fut la révélation. Alors que je me disais qu'être enceinte serait impossible au regard du 12, Au moment de l'annonce, Je pense avoir ressentie la même sensation qu'un croyant qui voit la vierge! 14 mon plus grand regret: ne pas avoir accouché de mes enfants... 2 césariennes. La loose. 15 j'ai eu un geste que je regrette envers mon premier fils qd il avait 2 jours: il ne tétait pas et la montée de lait était tellement douloureuse et j'étais si fatiguée ...j'ai fait le geste d'une "fessée" sur sa couche. Il n'a rien senti car franchement ce n'était qu'un geste sans le coup. Mais ce geste m'a fait peur. Je le regrette encore. Ce fut la seule "fessée" de sa vie. 16 qd on m'a amené mon premier fils après la césarienne je ne me suis pas du tout sentie sa mère. C'était pour moi un inconnu pour lequel je ressentais de l'indifférence.... Et cela a duré 3 jours. Je me suis dit que j'étais une mère indigne. Je n'en ai parlé à personne sur le coup 17 mes fils sont ce que j'ai fais de mieux dans ma vie (je ne suis pas si indigne que ça finalement!) 18 je ne porte jamais de montre. Mon grand père paternel est mort écrasé par un tram a Belgrade quand mon père avait 6 ans, car il se dépêchait... Il était en retard. 19 j'enveux a mon père de ne pas nous avoir transmis une culture yougoslave et la langue serbe... Parait qu'on est Français. Un point c'est tout... Mes enfants ont tous les 2 des prénoms serbes... Et TOC. 20 un 2 octobre j'ai été au salon de l'auto ... Et suis repartie en buggy. Je me suis offert un beau cadeau d'anniv... Plus tard, j'ai eu envie d'un bobber... J'ai visiter un atelier de moto... Promis on ne fait que regarder... Et je suis ressorti avec la commande d'un bobber sur mesure.... Rouge et noir. Quand j'ai une envie... Je fais tout pour qu'elle soit satisfaite 21 je n'ai jamais été fidèle à mon mari. Je sais c'est moche... Le profil de mes amants est toujours le même: grand/brun/musclé. Parceque tant que je peux avoir des beaux mecs ... Pourquoi s'en priver !!! Tant qu'on a l'embarras du choix et pas le choix de l'embarras!!! ;) 22 je ne fais que ce que je veux quand je veux... Je n'aime pas les contraintes... Et j'ai une haute conscience de l'importance de la LIBERTÉ 23 je n'aime pas être dans le troupeau. La pire phrase qu'on peut me dire c'est : fais ça! Pourquoi? Parceque ça se fait! Il faut se marier! Pourquoi? Parceque vous avez des enfants! A l'église! Pourquoi ? Parceque c'est comme ça! Il faut les faire baptiser! Pourquoi ? Parceque ça se fait! AAAARRGGHHH ma belle mère!!!!!! 24 lors de mon mariage (oui j'ai cédé.... Pour la robe... Mais pas d'église! Faut pas exagérer) et à la lecture des articles du code civil... J'ai croisé les doigts dans le dos quand le maire a parlé d'obligation de fidélité: parait que les croiser, ça permet de ne pas respecter la promesse faite... A ce moment là j'ai croisé le regard de mon pote notaire... J'me suis toujours demandé s'il avait vu... 25 il y a 6 ans j'ai avorté... J'me demande toujours si c'était une fille ou un garçon et comment ce bébé aurait été. Je regrette... Mais il n'était pas de mon mari... 26 J'aime les émotions fortes en tout genre car vibrer c'est se sentir vivant 27 j'aime sauter des avions en bon état de marche. Avec un parachute et à 4000m. J'ai passer ma PAC et j'ai qq sauts en chute libre à mon actif... 28 j'ai été une "autorité administrative" en protection de l'enfance pendant plusieurs années: j'ai vu les pires choses concernant des enfants: de la VRAIE violence et de la VRAIE perversion. Et la mort. A côté, le BDSM, c'est gentillet... 29 je pense souvent à M'rick N. et Irvin P... Aurais-je pu mieux faire pour les sauver? 30 j'ai détesté E. I. Substitut du procureur qui a classé l'un de mes signalements ... La suite a été dramatique pour le gamin et je savais que cela finirait ainsi. 31 je n'aime pas les gens qui se plaignent de leur vie sans se donner les moyens de la changer. j'ai changé de vie il y a un an et demi, et je n'exclu pas de la changer encore. N'écoutez pas les gens autour: ils vous freine toujours dans vos rêves. Sachez que tout est possible si on s'en donne les moyens. 32 je me demande si ce que je raconte intéressera quelqu'un? 33 j'ai rencontré un homme exceptionnel dont j'ai fait un Dom MON Dhom. J'aime savoir que j'ai changé le cours de sa vie... J'en suis amoureuse. D'un amour inconditionnel. 34 j'ai une peur terrible de l'électricité... ce qui a tendance à plaire à mon Dhom 35 je prends les gens comme ils sont et je n'attends rien de leur part... pour éviter d'être déçue. Parfois, j'ai de très belles surprises. 36 j'aime la photographie, c'est peut être génétique... 37 je suis bienveillante et j'ai appris à ne pas juger les gens ou a ne pas me laisser emporter par mes émotions, de par mes fonctions professionnelles... Et j'en ai rencontré des personnes en grandes difficultés ds mon boulot ...et fort détestables....qui m'ont insultée et menacée de mort. Mais je suis fière : je n'ai jamais changé (ou ne me suis jamais abstenue de prendre) une décision par peur. 38 je suis une passionnée, exaltée et curieuse de tout. Je n'aime pas l'ennui. J'aime apprendre. J'aime l'autre. 39 faut pas me faire chier. Je respecte les autres même (avec du mal) ceux qui sont irrespectueux. 40 j'ai vu Barbara en concert et je regrette de ne pas avoir croisé Jacques Brel... RÈGLES DU JEU Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Sandra », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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Par : le 23/06/17
-Jusque là Madame tout me semble cohérent et consensuel. -En effet Flynn rien ne te sera fait si tu ne le veux pas, je souhaites te corrompre mais pas sans ton autorisation. Maintenant veux tu connaitre la liste des pratiques que j'affectionne? -Avec plaisir et anxiété Madame mais je le souhaite. J'ai une question, puis je? -Bien sûr. -Tout ceci est très factuel mais dans la réalité y a t-il de la place à l'amour? -Assurément! Il n'est pas rare Flynn que les protagonistes d'une relation BDsM tombent amoureux. Les sentiments ne sont pas proscrits! Ils se mettent en place ou ne se mettent pas cela est affaire de Cupidon. A la base, il y a l'attirance de l'inconnu, l'exploration de contrées encore vierges puis une attraction cérébrale qui peut entraîner des sensations puissantes. Donc l'amour peut surgir... -Cela me rassure Madame, car pendant un moment je me demandais où l'humain intervenait... -Mais tout ceci est très humain, de tout temps à jamais il existe des dominés et des dominants. Le BDsM n'est qu'un moyen de mettre en lumière nos côtés obscures de ce fait la clarté de nos existences enfin se dévoile. "Liste des pratiques: -Sodomie masculine: plugs, doigts, godes, gode ceinture, sex toys, anulingus. -Bondage: bondage tape, spankies, menottes, liens, autres... -Fessée: mains, cravache, martinet, fouet, autres... -Contraintes: anneau pénien, liens, entraves, cires, bâillon, bandeau, autres... -Asphyxie érotique: face sitting La pratique la plus estimée de Smooth est le câlin tendre d'après empirisme... (Rayez les mentions inutiles pouvant être utilisées ultérieurement suivant évolution) La Maitresse pourra donc utiliser les pratiques non rayées à son bon vouloir en veillant à ce l'inconfort de son soumis n'aille pas au delà de ses limites personnelles. Pour se faire, elle ordonne que le mot "presque" soit prononcé par son soumis lorsqu'il sentira qu'il n'est pas à la lisière de sa possibilité mais assez près pour ne plus pouvoir endurer la douleur/plaisir ressentie. Ainsi la Maitresse pourra arrêter sa pratique, se renseigner sur l'état de son homme et prendre la décision de poursuivre ou d'arrêter complétement l'action entreprise. Il existe un mot de résolution pour mettre fin à ce contrat et donc à la relation. Il pourra être émis par le soumis lorsqu'il ne voudra plus que la relation perdure et y mettre un terme définitif, ce mot est "oméga". Lors de son affirmation Smooth n'exercera plus son emprise et se verra dans l'impossibilité de poursuivre la relation. De mon plein gré et mû par le désir de servir Smooth, de lui prouver ma dévotion et d'exprimer ma confiance en elle. Moi -----Flynn---- je lui offre ma soumission à compter de ce jour le --28-- du mois ---mars-- de l'année --2015-- et se terminant au gré de nos envies respectives. En retour Smooth accepte la soumission de ------Flynn----- à compter de ce jour où elle s'engage à respecter le desiderata de cet homme lui témoignant la confiance nécessaire pour la réalisation de cette liaison. Signatures: ------Flynn------, Smooth." Eva range alors le contrat puisqu'il a été discuté, expliqué et accepté en toute connaissance de cause. C'est alors que Flynn remarque qu'une lueur différente brille dans ses pupilles dorées, il se sent alors estimé peut être adoré allez donc savoir ce qui peut se tramer sous cette crinière brune. Ce dont il est sûr c'est que jamais encore il n'avait rencontré une femme si déterminée, certaine de ce qu'elle désire vivre et cela lui parait alors comme une évidence, c'est ce genre d'alter ego qui lui a fait défaut, conscient depuis longtemps que ce ne peut être que dans une relation asymétrique qu'il pourra se réaliser. L'aider à devenir plus fort dans sa position de mâle à dominance professionnelle enfin il aller pouvoir lâcher prise, s'oxygéner. -Viens là mon tout beau! Flynn sort alors de ses réflexions personnelles se lève, en contournant le bureau se place face à elle et attend. -Mets toi à genou! -Oui Maitresse. Alors qu'il est là encore un peu abasourdi par la lecture de ce contrat il se sent excité comme jamais car il ne sait pas ce qu'Eva lui réserve et cela l'apaise aussi par la même occasion. Alors en un geste tendre, elle prend sa tête à deux mains et l'embrasse langoureusement à bouche que veux tu. Puis place sa tête sur sa cuisse. Enfin elle va pouvoir profiter des cheveux soyeux de Flynn, mettre sa main dans ses reflets roux, se délecter de son abandon. Alors ils restent là dans le silence de la tour d'ivoire, dans cette position de réelle soumission, lui à ses pieds, près à agir à sa guise. -Je suis lucide Flynn que tout ceci est nouveau pour toi, je n'ai rien contre ton noviciat mais je peux t'assurer que j'irais progressivement. Je souhaite que tu te révèles, que tu explores le plaisir différent qui allie douleur et jouissance. Je te veux dans un bien être absolu et discordant. -Je vous en suis reconnaissant! -Alors maintenant allonges toi! Une fois effectué, Eva se positionne au dessus de ses yeux, debout les pieds encadrant son visage. -Regardes! Comme tu peux le constater je ne porte jamais de culotte... Flynn saoul de désir pour elle ne peut s'empêcher de poser ses mains sur les chevilles d'Eva espérant pouvoir la toucher comme il en rêve depuis lui semble t-il une éternité. Il a envie de sentir le grain de sa peau sous la sienne, besoin de découvrir les moindres recoins secrets de cette sublime femme. A ce geste, Eva lui donne un coup de talons de son escarpin. -T'ai je dis de me toucher? Je t'ai dis de regarder! Les effluves de son parfum mêlé à celles de ses odeurs corporelles font basculer Flynn qui sent que sa queue lui fait mal tant elle est dure! Sans oublier qu'il sent que son pénis perle et qu'il ressent en cet instant une excitation encore jamais éprouvée. -Ne bouge pas! Eva se rend alors dans l'armoire encastrée de son bureau. Des bruits inconnus se font jour dans l'audition de Flynn, froissement de papier, bruit métallique il n'est pas très sûr de ce qu'il entend. Elle revient, se place de nouveau au dessus de sa tête, elle a retiré son tailleur. Il peut ainsi constater qu'elle porte des bas, et un soutien gorge bustier noir. C'est alors qu'elle entreprend de se mettre à genou pour placer son sexe juste au dessus de la bouche charnue de Flynn. Lui n'en peux plus, il sent sa queue se contracter de désir, cette queue qui supplie maintenant que d'être soulagée. Alors qu'Eva est quasi assise au dessus de lui mais dans le sens où elle peut à loisir sortir sa queue pour s'en occuper, elle la délivre. Sortie du pantalon est gorgée de cet appétit dévorant cette queue sent tout de même que son heure n'est pas arrivée, Flynn sent alors les mains expertes enserrer sa protubérance ainsi que ses testicules, comme un lien se resserrant sur son intimité. Mais alors que les mains d'Eva se positionnent sur sa poitrine il ressent encore cette pression et comprendre alors que quelque chose s'enroule sur son pénis et ses testicules péniens! Etrange sensation jamais perçue encore... A ce moment d'intensité, elle lui dit: "Sors ta langue!" puis commence alors la danse de son clitoris sur sa langue, il s'en délecte, se réjouit même de pouvoir sentir qu'il donne ainsi du plaisir à Eva. Oh, comme il veut la satisfaire! Eva place l'entrée de son vagin sur l'appendice nasale de Flynn et ainsi alterne clitoris et vagin sur le visage de ce Flynn qui ne sait plus où il se trouve, qui se retrouve propulser loin très loin de la réalité. Elle joue avec ses tétons aussi, elle les serrent, les pincent, les étirent sans cesser sa danse érotique. Puis il commence à masturber Flynn surprit de ne pas ressentir l'éjaculation poindre alors que son excitation est à son paroxysme, il semble que le lien posé sur sa queue et ses couilles jouent un rôle retardant mais du coup c'est douloureux et plaisant. Comment peut on ressentir les deux en même temps? Eva se tord de plaisir en un gémissement sourd, elle s'immobilise. Flynn ressent alors le manque d'oxygène... Elle se relève légèrement lui permettant de reprendre son souffle. Un petit bruit sec... Il sent alors qu'elle lui pose un préservatif sur sa verge qui implore maintenant à être libérée. Cependant Eva bouge, gravite le long du corps de Flynn: "Tu ne bouges pas! Tu ne me touches pas! Restes ainsi!". Il obtempère pourtant il aimerait tant la toucher... Elle s'empale à ce moment précis sur sa queue, l'engouffrant complètement en elle. Ils ne font plus qu'un... Flynn est au bord du gouffre, il a envie d'éjaculer mais rien ne se produit. Eva quant à elle monte, redescend son vagin sur cette queue à l'agonie. Puis elle fond, elle jouit, elle s'éparpille en mille morceaux autour de Flynn, ses jambes sont prises de tremblements, elle ne touche plus terre, elle vient d'atteindre le point culminant de sa jouissance. Elle reste ainsi immobile sur la verge gonflée de désir. Elle en sort, défait le lien enserrant et masturbe Flynn qui explose en un volcan de jets chauds lui extorquant un râle de satisfaction qu'Eva emprisonne de sa main pour que ce cri de délivrance ne reste qu'entre eux deux.
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Par : le 23/05/17
Bonjour, j’espère que vous allez bien, souvenons nous ! il y a plus d'un an maintenant une fessée m'était promise par Lady H et Myrina. Une fessée à quatre mains. Une fessée virtuelle tout d'abord . Le genre de promesse que l'on ne croit pas vraiment possible réellement. Et puis, contre toute attente ! Un jour, Je roule vers les monts du lyonnais, concentré sur la route, surtout ne pas perdre son permis, respirer, ne pas penser à ce qui m'attend et surtout, surtout ! Ne pas fantasmer. Je roule. Arrivé sur le lieu de rencontre, avec pour cadeau en guise de fleur, une dizaine d'orties (tellement puissantes que ma main est ankylosée). je vois uniquement des visages connus souriant . Derrière moi un couple de belges que je connais pas, chemine dans le désert agricole français ! Ils arrivent. On discute, on essaie de ne pas bourrer le frigo à coups de pieds, le pauvre est déjà trop plein, on se rabat sur le deuxième. Les Mojitos se fabriquent de main de Maître secondé par Daybe, la bratt de sa Reine s'active à placer une sorte d'apéro dînatoire, un jeune sauvage donne la main de ci de la. Et nos Dominas essayent de laisser faire et de profiter du service. Chacun prend ses marques quand nos belges arrivent. Après cinq harassantes heures de route. Ils sont trop fort ces belges. Mais ils ont quand même un drôle d'accent. On se re-bise, ce sont là les deux seules personnes que je ne connais pas invités pour l'occasion de cette fessée. Jacques et Angie. AH mais oui quelqu'un nous enduit d'erreur ils ne sont pas belges mais Suisses. Bon, je ne dirais pas qui ! On discute, on se pose, j'en oublie un moment le pourquoi de la réunion. Quand elle me regarde droit dans les yeux. tu as installé le tréteau ? Demande Myrina le tréteau ? Répète-je bêtement . Le tréteau ! Ah non ! je vais le chercher. un petit coup de transpiration me taquine, tandis que nous installons une chambre dédiée aux jeux. Un tréteau solide, des bambous, un énorme sac à malice, un carcan. Et des orties trônant dans un gros bocal. Elles arrivent ensemble dans la pièce, son regard étonné m'accroche. - tu n'es pas encore déshabillé ? - ….. ! surtout se taire et s'exécuter. Pour la première fois, complètement nu devant Lady H, qui de nous est le plus intimidé ? Nous nous sourions. Myrina me guide au tréteau. Installé par dessus le tréteau, mes fesses se tendent, je ne vois rien qu'une fenêtre aux volets fermés, mais mes oreilles se dressent à l'énoncé de leur programme. Et puis finalement la douceur des caresses s'installe. Un duo de mains se promène sur mon dos, fesses et cuisses. La première claque me fait sursauter, deuxième, troisi... ah non ! Faux départ elles rigolent comme des enfants, me donnent ordre de compter des séries de dix, enchaînent les « faux départs », je me trompe dans les comptes, on recommence, maintenant on compte en canon, elles ne claquent plus à l'unisson. Je me trompe, on recommence.... et ça chauffe, mais ça chauffe. Le temps n'existe plus. Le compte et les claquements du fol amusement de ces dames emplissent la pièce, emplissent le temps. J'entends des voix derrière moi, ça commente, et ça rit. Je ne vois rien, je ressens seulement ma peau s'amincir à chaque claques. Ça finira par se déchirer j'en suis persuadé. Comment peuvent-elles ne pas avoir mal aux mains ? Comment ? Mon cul me brûle, un instant de calme s'installe. Quand soudain je hurle, les orties remontent le long de mes jambes. C'est horrible ! Et on reprend la fessée tant que je suis « chaud » elles sont inventives et poétiques, elles trouvent sympa de finir les comptes par un « petit tambourin » et hop un petit tambourin par ci, par là etc ! Entrée en matière magique et douloureuse, un chariot de joie se déverse sur l'assistance. Nous y sommes ! Bienvenue à vous tous à « la fessée à quatre mains » imaginée et mis en scène par les célèbres Lady H et Myrina pour satisfaire l'insatiable apôtre /heyoka. Bienvenue et merci ! Je n'ai pas dormi plus de trois heures, comme un ange repu. Gavé de douleurs, d'attentions. À sept heures j'enfile un legging et pars marcher, mes fesses endolories se contractent à chaque pas, il pleut et l'air froid pose sa pommade sur mon corps. A mon retour Lady H me propose un café à l'eau. Délicieux ceci dit ! Et nous chuchotons nos vies, nos envies dans la maisonnée endormie. Nos réflexions à voix basse sont soudain entrecoupées par les ébats d'un couple. Témoins chuchoteurs d'une intimité si belle que nous l'admirons. Le matin n'en finit plus, tour à tour on déjeune, puis on mange, ou certains déjeunent après avoir mangé, bref la colonie s’éveille tout au long d'une joie communicative. Angie infatigable, continue inlassablement de nous servir une merveilleuse charcuterie et son fromage, entrecoupé de shibari tout doux en corde de fibres de coco, gloups !!!!! Je n'ai pas pu tout suivre de ce qui s'est passé durant ces moments, mais le jeu est partout, vivant dans les yeux de chacun, des pointes carnassières apparaissent aux prunelles de tous ces Doms présents. Des claquements, des soupirs, des cris, des chuchotements ponctuent les discussions plus communes dans le salon. Elle me regarde, je frémis. Son doigt se lève et me montre la salle de jeu. Mon esprit aussi rapide que l'ours sortant d'hibernation, comprend sans peine que mon tour revient. Je prie pour mes fesses douloureuses. Je monte. J’attends, - mais tu es encore habillé ? Allez dépêche-toi ! Me dit-elle en arrivant. - …... s'ensuit un instant d'intimité en rythme, elle tape avec des bambous... c'est avec le feu au cul que l'heure du grand repas arrive. Chacun se met à la tâche et à tour de rôle on envahit les salles de bain. Le but étant de coller au thème de la soirée « portez de la dentelle ». Quand nous nous trouvons réunis autour d'une table dressée de belle façon, nous sommes tous terriblement beaux et s'ensuit une séance photo digne de Cannes. Le service assuré par les soumises et les soumis ligotés de manière astucieuse est ponctué de punitions suivant les règles établis au début du repas. Mais globalement nos chers Doms restent sur leur faim. Les soum's sont presque trop performants. Gniark, gniark ! Après un jour et demi d'amusement et d'échauffement, cette soirée prend une allure d'apothéose, je connais bien cette sensation où la douleur s'ajoutant aux précédentes me dépose dans un état de grâce. Je m'assoie avec délectation dans la souffrance, plaisir égoïste, purement égoïste, pas de sexe, juste une lancinante envie de monter un cran encore plus haut. La douleur me pénètre doucement ; ma douleur est votre sexe qui s'enfonce en moi elle me vrille le ventre, me donne des sueurs, me rend animal, mon cerveau se perd entre mes cuisses et mes reins tordu par le mal que vous m'infligez..... Jusqu'au moment..... où nous retournons à la fessée à quatre mains ! Et oui plus d'un an que l'on attend tout de même. - non mais ce n'est pas vrai tu n'est toujours pas déshabillé !!!! -........... Tréteau ! Côpain...... Au bout d'un temps, mes fesses n'en pouvant plus, vos caresses pour m'apaiser trouvent l'intérieur de mes cuisses, ma réaction vous étonne, vous revenez.... je me dérobe ! - mais tu es chatouilleux ???? - ….. - Lady il est chatouilleux là ! - Ici Myrina ? - OUIIIIII !! je hurle de rire, c'est insupportable, elles me massacrent de chatouilles je n'ai plus de souffle je crois que j'arrive au bout de vie, comme disent les djeun's. Elles sont aux anges. Je m'écroule épuisé, vidé. A nos cotés les couples jouent. Le martinet de Jacques s'envole, chante et mord Angie. Alter aide Daybe à gravir leur sommet. Je m'agenouille épuisé, Lily prend place au tréteau, et j'admire. Lady pose sa main sur mon cou, je me mets à quatre pattes elle s'assoit sur mon dos. La soirée est magnifique ! En ce qui me concerne cette nuit, se finira par un encasement des plus délicieux, dont un jour, peut-être, je romancerais l'histoire. Les attentions de ce week-end se sont nichées dans mille détails, des détails absolument drôles comme le caquelon gratiné de blettes. La marmelade de blettes au petit déjeuner. J'ose aussi exprimer le regret de ne pas avoir vu L que j'embrasse bien fort, Mais je garde mon uniforme de majorette uniquement pour une prochaine fois. Mais surtout !!!!!!! MERCI A VOUS TOUS....
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Par : le 23/05/17
Elle est Switch mais ne le sait pas encore, elle as voulut être dominé, prise en main puis s'est ravisé... nue à la fenêtre elle me disait que "non"... que "oui" elle prenait des décisions hâtives. Elle aurait voulu essayer ça puis ceci, ont en discuter, je la titiller, elle aimer ça, puis s'est ravisé. Elle prenait des décisions, puis s'est envolée... Elle m'as laissé, là, las. Elle m'as goulument avalé, puis elle as aimé recommencer. Je lui disais que non mais il lui fallait comprendre alors je prenais le temps de lui expliquer. Elle était nue à mes côtés. Enfin elle prenait les décisions et continuer à me les briser, mon bijou si précieux. Elle aurait du écouter, je lui donner la direction, elle as tout casser, brisé, milles morceaux de mon bijou elle en as fait. Elle est Switch et d'ailleurs quelques mois après ne le sait toujours pas. Elle veut encore et toujours... les yeux vers le bas... elle prend ses propres décisions. Ne veut pas m'écouter... Je la revois nue dans les cabinets. Je n'ose pas décrocher mon combiné elle me reprocherais de ne pas l'avoir prise en main, d'avoir fauté. Mais c'était sa décision... Elle n'entend pas les cris d'amour... elle ne verra pas l'écrit de mes sentiments que j'avais à lui faire partager. Je n'ai même pas à en décider... Mon bijou regarder dont ce qu'elle en as fait... Elle brille pour moi c'est un souvenir précieux... il s'est brisé. Six mois que je n'ai pas écrit... je ne vous ai donc pas dit... une fois de plus ont m'as brisé. Mon bijou c'est "elle" que je souhaitais combler. Elle m'as dit que "non" un souvenir d'hier, "elle" m'as dit que non je ne suis pas maître de mes décisions. Frapper plus fort ou laisser des marques indélébile, le temps l'aurait rendu amer, fébrile. Pour la rendre heureuse et docile j'ai préférer lui rendre sa liberté... et puis après tout c'est elle qui as décider. Elle prend ses propres décisions sans écouter, elle entend juste le souvenir d'hier, l'image imparfaite d'une fessée bien mérité au-quelle elle as eu droit mais dont elle ne s'est pas donné l'accès, mettre sa main au creux de la mienne... puis lui donner la direction. Moi je me suis laissé tenter. Mon bijou est de nouveau sur le marché, prenez ce temps si précieux pour apprendre à vous laisser Dominé avant de dire "je veux..." "Je souhaite..." je voudrai..." puis enfin prendre la décision de ne pas acquiescé aux désirs de celui qui veux vous emmener vers de nouveaux horizons, passionnés. Mon bijou n'est pas à vendre, ni à acheter, il faut miser sur son avenir, investir son potentiel, le polir poliment, le choyer tendrement, lui donner matière à être fière et complaisant. La seul et unique décision qu'il reste à prendre c'est de s'abandonner, non pas baisser les bras mais relever le menton, courber l'échine, monter sur ses hauts talons. Se donner et s'abandonner... vers d'autres horizons, passionnés. Mon bijou... mes envies, mes passions... mes décisions... c'est mérité !! Maintenant il va falloir cravaché... ;-) Allons à l'encontre d'autres traîtrises et trahison, un cœur brisé c'est remplacer un hôte par son autre. Toujours veiller, faire attention lorsque l'un et l'autre cherche le mieux dans vos imperfections, la roue de secours, le meilleurs ami(e)s qui là/le baise lorsque vous êtes au charbon prétextant toujours : "il/elle à quelques imperfections" "il/elle ne le saura jamais" Une caverne visitée par quelqu'un d'autre laisse des traces que le propriétaire reconnait à tous les coups. C'est comme se servir de son gourdin pour débroussailler un terrain voisin, après l'effort le réconfort... comment se dire ou se laisser entendre que son hôte n'as pas de besoin, pas d'effort à faire s'il n'accepte même plus le réconfort que vous lui procuriez... une anguille sous roche. Quand il y a un doute c'est parce qu'il n'y a en réalité que des certitudes. Mon bijou... Ma décision. Maître Lasky FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : le 19/05/17
La nuit avait été bien courte. Courte parce que le jour n'était déjà plus très loin quand tout le monde a fini par aller se coucher, investissant les multiples chambres de cette bâtisse plantée à flanc de colline. Courte aussi parce qu'en dépit de la fatigue, mon train était passé depuis longtemps, m'empêchant de sombrer dans le sommeil. Combien de temps ai-je réellement dormi ? Une heure, certainement, mais guère plus. Le jour est levé. Sur le dos, le corps détendu, je garde les yeux fermés et j'écoute le silence. Un léger parfum flotte dans l'air. Discret, chaud et un peu sucré. Je le connais bien. Il lui va comme un gant. Dans le lit d'à côté, Madame se réveille doucement et s'étire. Les rideaux ne masquent pas complètement les fenêtres, une petite clarté a envahi la chambre. Je finis par tourner la tête et, à voix basse, bonjour Madame. "Bonjour Lily". Une fois de plus, je suis stupéfaite par sa fraîcheur et son teint, quel que soit le nombre d'heures de sommeil. La cuisine est juste en-dessous. Je propose d'aller faire du café, d'en ramener une tasse. Madame ne répond pas. Un ange passe. Elle se lève, vêtue d'une nuisette qui met ses courbes terriblement en valeur, et se tourne vers moi. "Viens ici". Deux mots prononcés à mi-voix, calmement, et déjà ses yeux qui sourient. Deux mots qui déclenchent toujours chez moi la même réaction : le cœur qui accélère légèrement, un petit frisson le long de l'échine et un coup de chaud dans les reins. Mon esprit se vide immédiatement de tout ce qui n'est pas utile en cet instant : l'endroit où nous sommes, l'heure qu'il est, le peu de sommeil, les autres. Tous mes sens sont dirigés vers cette femme, sa grâce, son emprise. Je me lève, nue, et j'approche sans avoir la moindre idée de ce qui va se passer. En ce sens, Madame est une énigme : elle ne laisse jamais entrevoir ses intentions. Mais j’ai appris que tout est envisageable. Une étreinte, mon nez dans son cou, un deuxième bonjour. Je fais un pas en arrière. Madame me détaille de la tête aux pieds, puis ses yeux plongent dans les miens. Son regard de propriétaire. Je suis un peu plus grande mais je me sens toute petite, proie volontaire, victime consentante, jouet disponible. La brat est aux abonnés absents. Je soutiens ce regard avec un mélange de respect et d'intimité. Madame repousse la couette et tapote le lit. "Sur le ventre". Mon interrogation muette reste sans réponse. Je m'allonge. Alors je percute : la tête et le pied de lit sont faits de barreaux. Et je vois les cordes dans la seconde qui suit. Une petite onde d'appréhension traverse brièvement mon cerveau. Les cordes et moi, ce n'est pas naturel. Madame le sait, alors elle invente régulièrement des jeux pour repousser mes limites, patiemment, lentement. Des jeux qui ancrent chaque fois ma confiance plus profondément dans cette femme aussi protectrice que sadique, aussi bienveillante qu'exigeante. La corde rouge emprisonne très vite mes chevilles, les jambes aussi écartées que le permet la largeur du lit. Madame serre bien, pour s'assurer que je resterai en position et offerte aussi longtemps qu'elle le souhaitera. La noire s'enroule autour de mes poignets, tout aussi serrée. Le corps en croix, je sens le souffle de Madame dans ma nuque. Elle se redresse. Deux claques retentissantes s'abattent sans prévenir sur mes fesses. Je sursaute de surprise plus que de douleur et je sens immédiatement les liens qui se tendent. Dans mon dos, j'entends un soupir de satisfaction. Le ton est rieur. "Je vais chercher le sac". Silence dans la pièce. Je suis concentrée sur mes ressentis : la lumière filtrée par les rideaux, la température confortable, la douceur du drap sous ma peau. Des cordes m'immobilisent, mais pas le plus petit signe de panique. Curieuse de savoir ce que Madame me réserve, je sens monter l'excitation intellectuelle. Dans l'air, ce parfum n'en finit pas de me troubler. Mes fesses cuisent un petit peu, juste assez pour que monte aussi une autre excitation. Madame n'a pas été longue, j'entends qu'elle referme soigneusement la porte. Elle s’assoit à califourchon sur mes fesses, se penche et attrape mes poignets. La nuisette a disparu et je sens la chaleur de son corps avant même qu'elle s'allonge sur moi. Je pense à son grain de peau, doux comme de la soie. Je suis persuadée qu'elle affiche un sourire carnassier. "Maintenant, tu vas payer pour tous les sextos que tu m'envoies pendant que je travaille". Je suis soufflée : j'avais pensé à tout, mais pas à ça. Le rouge me monte aux joues. La facture risque d’être salée. La première morsure est pour ma nuque. Je laisse échapper en une seule fois tout l'air que j'ai dans les poumons. J'ai juste le temps d'inspirer avant de sentir Madame me mordre à nouveau. Une épaule. Deux fois. L'autre. Deux fois aussi. Ma nuque à nouveau. Ses dents si blanches s'enfoncent dans ma chair, lentement mais de plus en plus fort, de plus en plus longtemps. Madame se fait plaisir et prend son temps. La douleur s'intensifie. J'ai du mal à contenir mes gémissements. Madame ne s'interrompt que pour labourer mon dos de ses ongles manucurés et chuchoter à mon oreille tout ce que j'ai à expier. Je dis oui à tout, j'avoue, je confirme et même j'en rajoute. Féline, elle bouge sur moi et révolutionne mon bas-ventre. Je me cambre et cherche à amplifier le contact avec sa peau. Madame esquive. D'une main autoritaire elle bloque ma nuque, de l'autre elle caresse mes épaules douloureuses. Puis mord encore. Et encore. Et encore. Mes omoplates, mes cotes, mes hanches, mes reins. En cet instant, je joue avec un fauve. Un fauve qui se maîtrise, mais un fauve quand même. J'essaie d'étouffer mes gémissements dans le matelas, mais c'est peine perdue. Au fond, ça m'est totalement égal. La fessée qui suit est une parenthèse d'une douleur différente, mais tout aussi mémorable. Madame ondule à nouveau sur mon corps, pleinement consciente de son emprise érotique, de son pouvoir sexuel. Elle laisse échapper ce petit rire qui m'emporte. Je suis en nage. Mon excitation n'a fait qu'augmenter, en dépit des morsures qui ont repris et auxquelles n'échappent désormais ni mes fesses ni mes cuisses. Je n'ai pas compté mais, si cela avait été le cas, j'aurais perdu le fil depuis longtemps. Soudain, ses mains empoignent mon bassin, le soulèvent avec autorité. Mes chevilles et mes poignets tirent sur les liens. Mes sens s'affolent, je crains de comprendre. Je bloque ma respiration. Les mains de Madame glissent sur mes fesses et les maintiennent. Mes grandes lèvres. Une ultime morsure. A pleines dents. Cette fois, je crie. Je tremble en retombant sur le ventre. Madame s’allonge sur moi avec douceur. Elle m’étreint, caresse lentement ma peau, chuchote à mon oreille. Je respire profondément son odeur. La douleur commence à s’éloigner, je la regrette presque. Elle ne laissera qu’une sensation résiduelle, de celles qui persistent encore quelques heures avant de s’évanouir. Mais en cet instant, mon ventre continue de brûler et mon excitation sexuelle a encore augmenté. A la façon dont Madame se colle à moi, je sais que les morsures n’ont pas tout assouvi. Je suis écartelée, mais pas sans ressources. Je me cale sur son rythme. Une odeur de sexe envahit la chambre. Madame a ouvert le sac. Puis branché son wand. ……. Il parait que, plus tard, j’ai traversé pour aller à la salle de bain uniquement vêtue de mes traces de morsures. Mais de ça, je ne me souviens pas du tout.
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Par : le 27/04/17
Toutes mes tâches matinales étaient accomplies. Il ne me restait plus qu’à Lui apporter Son petit-déjeuner dans Son lit : trois tranches de pain grillé, un café fort et un jus d’oranges pressées. Le plateau servi, je devais reprendre ma position, à quatre pattes, au pied de Son lit. Elle se leva, nuisette noire, cheveux attachés, et me demanda de prendre place dans le carcan qui était positionné face au mur du fond. Elle souhaitait s’habiller et m’empêcher de L’observer. La planche qui encerclait ma nuque et mes poings pouvait coulisser et être abaissée au niveau du sol. Je me retrouvais à plat ventre, face au mur, et je L’entendais chercher dans Son armoire les habits qu’Elle allait choisir pour sortir avec Son amie. Elle enfila Ses bas, Ses dessous, Sa jupe, Son chemisier, Ses talons hauts, et partit inspecter la maison pour vérifier la qualité de mon travail. Elle détestait la poussière et n’hésitait pas à passer Son doigt dans tous les recoins pour être sûre que je faisais mon travail consciencieusement. Elle était satisfaite, et souhaitait me récompenser. Elle me délivra du carcan, et m’entraîna en laisse dans la salle de bain. Une fois les mains menottées dans le dos, je devais prendre place dans la baignoire, dont le froid de l'émail me fit tressaillir. Allongé dans le fond, Elle m’abandonna. Son amie venait de sonner à la porte, et Elle me promit qu’Elle reviendrait bientôt me réchauffer. Je Les entendais discuter et rire. Son amie connaissait mon existence. Elle était curieuse de ces jeux, sans Elle-même les pratiquer. Je Les entendais s’approcher. Elles entrèrent dans la salle de bain, une bouteille d’eau et deux verres en main. Elles buvaient et me regardaient. Elles me voyaient grelotter, et m’annonçaient qu’Elles me préparaient de quoi me réchauffer. J’avais compris. Son Amie fut la première à enjamber le rebord de la baignoire. Elle souleva Sa jupe, ne portait rien d’autre en-dessous, et fit couler le liquide jaune et chaud. Elle s’appliquait à viser tout mon corps, mon visage y compris. Une fois terminé, Elle me cracha dessus, me traitant de petite salope qui aimait ça, et se surprit Elle aussi à jouir de cette Emprise. Ma Maîtresse avait déjà quitté Sa jupe, et retiré Sa jolie culotte bleue turquoise, et prit à Son tour la position permettant de m’arroser. Elle avait beaucoup bu. Cela fut long. Et sans concession. J’étais forcé d’avaler quelques gorgées. Elle aussi termina Son œuvre en me crachant dessus. Je devais Les remercier. Elle fit couler l’eau froide et me rinça, me voyant remuer dans tous les sens sous les assauts d’une température glacée. Elles me firent sortir de la baignoire, m’essuyèrent sans précaution, et me menèrent au carcan. Elle plaça les trous à mi-hauteur, et m’encastra, me retrouvant à quatre-pattes face au mur. Une dizaine de fessées plus tard, Elles partirent. Je tremblais encore.
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Par : le 15/04/17
Mon rôle était très clair. Table basse. Le seau était posé sur mon dos, froid, trempé, glacé. Le champagne devait couler à flot. Madame avait invité quatre de Ses amies pour fêter Sa promotion. J’étais donc posé face au canapé, nu, encagé (2 semaines que je n’avais pas joui), et les convives arrivaient les Unes après les Autres. Elles étaient assises, jambes croisées, laissant apparaître la frontière délicieuse de leurs bas, sirotant leurs coupes pleines de bulles, et se moquant copieusement de celui qui était là, devant Elles, impuissant, tête baissée, dans l’impossibilité de bouger sous peine de faire tomber un seau de métal rempli d’eau. La soirée était gaie, pleine de rires et de verres qui trinquent, et l’alcool étaient en train d’aviver leur envie de se défouler sur moi. L’Une d’entre Elles se leva et renversa le contenu glacial du seau sur mon corps qui tressauta. Elles vinrent les Unes après les Autres me distribuer des fessées d’intensité croissante, faisant rougir une peau douce qui aimait ça. Elle retira ma cage. Chacune à Leur tour, Elles branlaient une queue qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour durcir. J’étais trait. La queue tirée en arrière, le seau positionné pour recevoir une semence qui ne pouvait plus être contenue, Chacune se donnait dix secondes pour me faire couler. Je ne pus résister plus de cinq tours. Le jus s’écoula dans le fond du seau. Une fois vidé, Madame m’attacha dans le coin du salon, et me fit avaler le fond du seau. Le bâillon-boule reprit ensuite sa place. Elles continuèrent de S’amuser, puis sortirent terminer Leur soirée, sans même m’adresser le moindre regard. J’étais nu et abandonné.
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Par : le 28/03/17
Pfuit ! Un sifflement, il est l'heure de sortir le chien. Celui-ci se redresse, il est grand et bipède ! Il me ressemble beaucoup, c'est normal, c'est moi ! C'est un chien qui porte, comme souvent, sa combinaison en résille (comme un p'tit fien qui ne doit pas prendre froid ! et c'est vrai, elle tient chaud), une combinaison ouverte à l'entrejambe. Maîtresse siffle à nouveau, je me précipite, lui offre mon cou et elle n'a plus qu'à fixer la laisse au collier que je porte déjà. Je suis tout excité, car j'ai envie et besoin de sortir, et je remue la queue, comme je peux (Maîtresse ne m'a pas affublé d'un appendice caudal fixé analement, alors je tords des fesses et remue mon sexe, et n'étant pas un yogi, je dois être passablement ridicule - c'est ce que Maîtresse aime) !!! Elle ouvre la porte et m'emmène dans le jardin. Dans ces circonstances, je me dois de me déplacer à quatre pattes dans l'herbe. Maîtresse aime bien me tenir en laisse, me tirer dans un sens ou dans l'autre et je m'efforce de suivre son rythme, ce qui n'est pas très aisé dans ma situation de quadrupède. Elle aime bien aussi me faire faire quelques exercices, des exercices de chien: assis, debout, couché ! Et il faut que je m'exécute parfaitement, sinon je reçois un petit coup de cravache (Maîtresse ne sort jamais sans sa cravache, un modèle simple pour l'équitation, avec une tête de cheval au pommeau et une petite main à l'autre extrémité, mmm cette main !). Madame apprécie également de me voir gambader. Alors elle me détache et je pars au fond du jardin, vais dans un sens, puis dans l'autre, m'arrête un peu, puis repars. Puis tout à coup elle s'écrie: "pipi le chien !". Enfin ! Aujourd'hui cet ordre est arrivé bien tardivement et ma vessie est bien pleine; heureusement que j'étais en mouvement, sinon je n'aurais plus pu me retenir ! N'y tenant plus, j'avise une grosse pierre à proximité, je lève la patte et commence à me soulager. Mais avez-vous déjà tenté cette expérience de pisser comme un chien dans un corps qui n'est pas fait pour cela ? L'ergonomie n'est pas bonne, je n'arrive pas à bien orienter le jet et je commence à en mettre partout: soit mon urine rebondit sur la pierre et m'éclabousse, soit elle coule sous moi en abondance et forme une flaque dans laquelle je patauge ! Ces sensations ne sont pas pour déplaire à un uro-addict comme moi, mais la situation énerve vivement Maîtresse, qui s'approche en me traitant de tous les noms (de cochon même, ce qui est un comble pour un chien !), me rattache en laisse, me tire et appuie sur mon visage pour me mettre la truffe dans ma pisse. "Reste comme ça, relève les fesses et écarte les jambes, sale chien !" Je comprends que je ne vais pas pouvoir échapper à une punition; je suis à la fois penaud et excité, je bande même un peu, m'attendant, vue ma position, à être sodomisé. Mais pas du tout, Maîtresse n'a pas envie de me donner ce plaisir; elle souhaiterait plutôt me donner la fessée, comme à un vilain garnement, mais comme risquer de se salir lui répugne, elle opte pour ce qui lui passe par la tête, ou plutôt pour ce qu'elle tient dans la main: la cravache ! Une bonne série de coups sur les fesses, entre les fesses, sur les testicules, sur le sexe, de quoi me faire réfléchir aux règles élémentaires de l'hygiène ! De quoi me faire sursauter également. De la douleur et des rougeurs pour moi, et du plaisir aussi. Et nous n'en avions pas encore fini ... "Maintenant, allonge-toi dans ta pisse, sale chien !" Et me voilà à plat ventre, reposant dans ma flaque, et me demandant ce qui allait suivre. Le temps que mes parties rougies par la cravache se refroidissent un peu et qu'en échange l'humidité de mon urine remonte le long de mon ventre, une nouvelle sensation surgit. C'est chaud, liquide, ça s'écoule sur mon dos, puis jusqu'au sol pour faire grossir la flaque jaune. Maîtresse se soulage sur moi ! Interminablement. Puis elle s'essuie avec un petit mouchoir qu'elle vient placer dans ma bouche. Il y a donc bien deux manières de pisser: celle du chien, maladroite, sale et punissable, et celle de la maîtresse, délectable. Maîtresse qui d'habitude verse l'intégralité de son urine dans ma bouche, m'a donné une bonne leçon et m'a doublement puni (rien à boire et un corps bien souillé); j'en suis bien conscient, mais je suis aux anges !!!
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Par : le 06/02/17
Ici j'ai reuni toutes mes petites reflexions nocturne (la plus part du temps) parsemées de ci de là a travers mon mur. trop courte pour en faire un article, trop longue pour les laisser se perdre sur la longueur du mur biensure il y a tjrs a lire au travers de mon murs. ==================================================== Ne craint pas ce frisson qui te parcours le corps, ce n'est que mon âme qui peu a peu s'empare de la tienne. Ne craint pas ces mots qui te frappe l'esprit, ce ne sont que mes murmures qui t’assaillent de sentiments. Ne craint pas cette douleur qui se repends dans ton cœur, ce n'est que le poison de mon amour qui le fait rebattre. Ne craint pas cette dépendance qui ne demande qu'a t'enlacer, ce n'est que les traits de mon corps qui te manques. Ne craint rien...je suis ta plénitude.... ==================================================== Tartines de mots et de pensées sans queue ni tete, mais non sans sens...à mon sens. il y a des soirs plus difficile que des journées des mots qui résonnent au fin fond de l'esprit qui s’étouffent dans les méandres des souvenirs un écho...du silence des mots...de l'âme un manque, de pas être, un vide, de ne plus être. il manques des données à l’équation 1, 2, 3, 4. 4-1=2 la soustraction ajoute il une plus value ? regarder la porte, cette porte, et n'y voir que de l'inconnu A(b)imé l'un n'engendre t il pas l'autre ? et le placard alors ? on tire sur la ficelle on allume l'ampoule en son centre et on y trouve plus qu'un livre, le chrome et le coton ne sont plus une evidence, mais de chapitre en chapitre, la lecture devient poussiereuse. On ze road, le cuir doux s'en mêle et affole mon imagination Être chasseur ou bien la proie...poison sucré, le chasseur devient la proie, la proie de sa propre chasse la raison n'est jamais notre allié. une tornade a traversée la realité en soufflant un vent de "hurry you can" Ces mots qui ne sont plus, mais leurs bruit nous font veiller toujours aussi tard, et surtout....surtout... nous font écrire de la merde .... A vos yeux....seulement. [u] ==================================================== - Tu entends ce silence ? - Non, je ne connais pas le silence. - Pourquoi ? - parceque j'entends mon sang couler dans mes veines. - Alors c'est quoi, ton silence ? - Ton absence. - Mais je ne suis jamais parti loin de toi. - Pour ca que je le connais pas non plus. [u] ==================================================== La lumiere s'est effacée au fil de mes pas sur le bitume...l'air s'est rafraichi...je suis prise soudain d'un frisson qui spasme mon corps, je crois qu'il etait temps que ma ballade se termine, je tipotte mes clés devant la porte, a croire qu'il y en a 50...alors qu'elles ne sont que 3... Je rentre a reculons ? ou je retarde ce que tu sais deja ?...surement un peu des deux oui. le bruit des clés qui se tourn ds la serrure, le grincement de la porte, ma main qui allume l'interrupteur... c'est fou comme on peut etre reglé comme des machines parfois... ce silence de mort que je deteste tant....soupir et enleve mes chaussures, que je prendrais pas la peine de ranger...comme d'hab... je traverse la cuisine et interchange les lumieres...le salon ne m'as jamais paru aussi grand.........naaan faut pas deconner...bon, jamais aussi vide...ouai c'est mieux le canapé est fade et le fauteuil sans saveur... j'allume mon pc et le temps qui charge je me serre un verre, ma playlist se met en route, et cette chanson me percute la tete plus qu'a son habitude If there ever was a reason To bring you all this way Now’s the time for chance Don’t you let it slip away Ooh, you’ll get over All your yesterdays And I will be here For all the things you need to say Ooh my dear Let me help you to believe ’Cause it’s over No more tears in your eyes ’Cause it’s over And I’m by your side Yes, it’s over Put your fears all away ’Cause it’s over Tonight we are one Though I’ll never know the feelings You’ve held so long inside Let me be the “someone” To help you leave it all behind Ooh, I know you’re needing A reason to believe Just open your heart And we’ll find a new dream Ooh my dear Let me show you I believe There’s so much more to discover... je ne dirais pas que j'aimerai qu'on me disent ses mots non... tt simplement parceque j'ai deja eu la chance de les entendre et surtout de vivre ses mots, sans maquillage et sans fard... mais ce canapé est tjrs aussi fade, et ce fauteuil tjrs sans saveur... la musique continue, et le temps defile ...sans moi...je suis loin... loin dans ma tète, mille et une pensée...mille et un souvenirs... mais une seule envie...une présence. [u] ==================================================== Aux soupirs de mes désirs, se dessinent les lignes de mes envies, entre le murmure de mes pensées et les hurlements de mes sens, mon corps qui se marque de ton nom se fait tendre, quand le mien se donne à l'espoir qu'il grave ton Âme. [u] ==================================================== Rhoooo bah c'est pas tres tres gentils d'effacer ma reponse a votre Add a peine 2 minutes apres l'avoir posté...Moi qui prend jamais la peine de repondre, j'y avais mis tant de devotion....je suis decue....Happy je cite votre add : "bonjour, Je suis maître francois, J'ai vus que tu cherche un maître,je fais de la domination sans objet bdsm,et je favorise la domination avec des ordre et du respect que par des fessées ,et des petites claques, contact moi" 1- Avant d'etre une Soumise, je suis un Femme, et avant d'etre une Femme, pour vous, je suis une inconnue...perso j'ai beau connaitre ma boulangere depuis des années je ne me permet tjrs pas de la tutoyer...question de politesse...bien avant d'etre une "regle BDSM" V/t. 2- "je fais de la domination sans objet bdsm,et je favorise la domination avec des ordre et du respect que par des fessées ,et des petites claques" [i] 3- Votre profil : "Dominateur depuis peut, 23 ans" [i] 4- Mon profil : Statut de situation sentimentale: Engag(éWinke Ce que je cherche : "N'esperez rien de Moi, car je n'attends absolument rien de Vous." [i] 5- Ce vous cherchez : "Prends conscience de ta condition de soumise, d'être inférieure, d'entité de bas étage." [i] "La première chose à faire c'est avant tout de te prosterne 3 fois ensuite m'adresser une Candidature de toi digne d'une esclave prêt à obéir ." [i] "Attention je saurai effectuer le tri alors ne t'avise pas à jouer ." [i] [u] ==================================================== je te pique pour que tu me mordes j't'engueule pour que tu me pourrisses j't'emmerde pour que tu m'encules refuses toute mes envies que je te supplie repousse moi que je te colle au basque dis moi que tu me deteste que je t'aime encore plus rhaaaa tu m'enerves !!!!!! barre toi, reviens, je t'aime je te hais [u] ==================================================== je suis prête. je baisserais pas les armes ! prépares tes munitions parce que je vais pas raté j'ai pas besoin de toi, mais j'ai envie de toi je cache mon jeu, mais je t'aime tu sais quoi ? prend le dans le bon sens mais tu es le "pire" truc qui me soit tombé dessus tu as foutu un de ces bordel en moi j'ai du tout remettre en question voir les choses sous un autre angle il a bien fallu admettre que... même si ca n'a jamais été un jeu tu as gagné. beaucoup et différents hommes ont tentés sans parvenir a garder le cap et toi..putain !!... avec toi,je fonce dans le mur en klaxonnant joyeusement approche toi plus pres on a des comptes à régler regarde moi bien, ce que tu as devant toi, tu en est responsable. maintenant va falloir que tu assumes " ta bête". je suis prête. j'ai lâché mes armes... alors maintenant tu dis quoi ? cherche pas d'excuses, surtout pas ! dis moi...je sais pas n'importe quoi mais reste pas planté là a m’écouter et me regarder pester contre mon amour pour toi arrête de sourire c'est pas drôle !! tu as fini ? ...ouai. bien. approche. ...Je T'aime Louve. [u] ==================================================== cet état dans lequel il me plonge, lorsque le cuir se referme sur mon cou, c moment où, je ne ressens plus le poids de mon corps, le poids de mon âme, seulement celui du collier il absorbe tt mon etre, je ne ressens plus l'apesanteur, comme un saut ds le vide en tte sérénité, parceque je ne toucherai jamais le sol, portée par sa main me retenant de tt mal, de tte blessure. Totale confiance, securité maximale, je ne vois plus rien...d'autre que lui, je n'entends plus rien...d'autre que sa voix, ne ressens plus rien...d'autre que ses mains, marionette...mon corps m'a quitté, n'obeissant a plus rien d'autre...que Lui Ce moment ou je lui donne tout pouvoir sur moi, ce moment où, je depose ma vie entre ses mains, ce moment où, je fais de lui un grand Homme, où il fait de moi une Femme libre... [u] ==================================================== [i] C'est dommage....je me suis battue tant d'année contre eux, puis un jour j'ai rencontré la paix, j'ai claqué la porte à Solitarisme et Mal-être s'est fait la malle effrayé par tt ce chamboulement. J’étais presque rentrée dans les rangs, couché pas trop tard, levé pas trop, meme si quelques nuits blanche persistait encore...j'avais trouvé le gout de remettre de l'ordre dans ma vie, je me sentais plus forte que jamais...j'etais bien. Et puis comme un dealer qui vient récupérer ses toxicos, Solitarisme est revenu frapper a ma porte, me vantant ses "bienfait" me disant que j'aurais toujours besoin de lui...que c’était de toute facon en moi. Je lui ai souris tout en refermant la porte, le laissant sur le palier. Mais il a laissé une parti de lui en partant delicatement enveloppé dans une carresse de mal etre ...petit a petit il a repris sa place, agissant comme un cancer, bouffant une par une les cellules saine. les nuits se refont longue, les journées courte, couché a pas d'heure, levé a pas d'heure, errer jusqu'a pas d'heure, pas l'envie, plus d'envie...sans oublier le mutisme. il n'y a que ma force qui mene la bataille avec moi, ce desir de ne plus vouloir cette "mort"....mais la guerre est loin d'etre gagné. [...]Ça faisait des mois que je pensais plus à toi, j'étais guérie, j'avais bonne mine, j'arrive pas à croire qu'on ait remis le couvert, Y'a des choses dans la vie qu'y tiennent du mystère, Tu sais pourtant tu me fais du mal [...] [u] ==================================================== La phrase du jour signé mon grand fils (17 ans) suite a une discussion sur les petit(e)s ami(e)s "Il va falloir expliquer que ma mere est ...prononcée." [u] ==================================================== Tu m'as trouvé, un jour, le sourire perdue, les yeux dans le vague et l'ame en peine, assise là, en bas d'un escalier regardant une porte, celle d'un nouvel ailleurs... Tu m'a tendue ta main, me persuadant malgré mon septicisme, que derriere cette porte que je regardais de travers, se trouvait bien plus de bonnes choses que je ne le pensais. De discours en discours, ma main s'est posée dans la tienne et je t'ai suivi sur ce chemin, avec un seul objectif, me montrer le loquet et me donner la force d'ouvrir cette porte. Pas a pas, nous avons gravi ces marches, Ensembles, nous avons grandi, Ensemble, nous avons appris, Ensemble, nous nous sommes donné, l'un a l'autre, nous avons donner, l'un a l'autre, tu m'as fait voir des choses que je ne connaissais pas, je t'ai montré des choses que tu ignorais, marche apres apres marche, nous avons fait la fierté de l'autre. Mais tt chemin a une fin nous avons regarder derriere nous vu cette ascension nous avons regarder devant nous et la porte etait la a portée de main a portée de ma main tu avais atteint ton but. Il te fallait me lacher la main il me faut te montrer la force que tu m'as inculqué ton chemin s'arrete là, le mien continue avec ton regard dans l'ombre de ma lumiere continuer a te rendre fier de moi, et de ton "travail" sur moi Te montrer, a present, ce que tu as fait de moi ... Lacher la main n'est jamais chose simple oh non ca ne l'est pas Mais la porte est là... D/s. [u] ==================================================== J'ai les fesses qui chauffent qd mes pensees s'envahissent de Toi. Ma peau me brule sous l'absence de la chaleur de tes mots qui temperent mes desirs Mes poignets de tordent et se cassent sans le maintiens de tes mains Je manques de Toi...mon dealer...injecte moi ma came...injecte moi de Toi, ma came. Emmene moi me perdre dans cette etat second, fais moi plonger dans cette ocean de bien etre...Je manques de Toi...Mon Dealer.... [u] ==================================================== il y a un gouffre entre fantasmer et le vivre, pour certain(e), ca depasse l'entendement, c'est tellement destabilisant, qu'on prefere rester dans sa petite vie bien rangée, parcequ'on ne sait pas gerer tt ce chamboulement en soi... on ne comprend pas, mais finalement cherche t on vraiment a comprendre ou rester dans sa ligne de confort est il plus simple ? est ce du courage de decidé de Vivre, ou de la connerie de ne plus vouloir se contenter de survivre ? finalement la definition de l'un et de l'autre ne sont pas si eloigné, peut etre est ce juste une question de paix avec soit meme. Il semble plus facile de regretter la vie qu'on aurait voulu avoir que d'assumer la vie qu'on veut. [u] ==================================================== J'ai eu des paroles sans voix, des silences qui ont hurlé, mais jamais pour rien dire. J'ai essayé de creuser dans le marbre, de graver dans le sable...et J'ai saigné toutes les larmes de mon corps, j'ai plus rien à dire...mais encore tout à écrire. [u] ==================================================== Ce soir Monsieur, vous serez mon objet. Ce soir Monsieur, je vous interdirez de poser Vos mains sur moi, vous reprendrai à chacun fois que votre bassin cherchera à dominer, mordrai vos levres quand elles tenteront de répondre aux miennes. Ce soir, Monsieur, je prendrai mon temps. Le temps d être égoiste, le temps de ressentir. Ce soir Monsieur, vous me detesterai, pour l'ignorance que je vous concèderai. Ce soir Monsieur, vous aussi vous allez prendre le temps, le temps de regarder, de regarder Votre Chienne. Ce soir Monsieur, vous êtes mon god. Ce soir Monsieur, je me jouierai de Vous. [u] ====================================================
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Par : le 07/12/16
Le sourire malicieux, les yeux courroucés L'allure rebelle, de la femme indomptée. La jeune femme trahit, son intime complicité. Un désir, une envie, d'une tendre fessée. Soudain basculée, sa jolie croupe offerte. La bouche refuse, mais ses pulsions se prêtent. robe relevée, comme un rideau de scène. Les doigts font glisser, la culotte sans peine Déjà la peau frissonne, de mille plaisirs. D'un désir infini, qu'elle ne peut contenir. Les tendres rondeurs, caressées par la fessée. S'offrent aux mains de son Dominant intéressé. Les gestes ébauchés, d'une lenteur pénétrante. Les fesses se tendent, devenant provocantes. La jeune femme gémit, le temps d'un délice. Lascive et ravie, de ces gracieux sévices. Le 6 décembre 2016
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Par : le 28/11/16
Je ne passe jamais par l’étape café. C’est ma règle. Je sais ce que je fais. Après quelques mois de discussions, cette rencontre sera probablement un one-shot… Ce sera dur, pas de quartier… Pas de tendresse, pas d’égarements. Pas de sentiments, que des centimètres ! Même pas de coït post-séance ; seulement de la douleur, du protocole et du décorum… Il aime le cacao pur, je lui trouve une jolie boîte de chocolats artisanaux. Peut-être que ça brisera la glace, je ne sais pas moi, comment ça va se passer…? La trouille me prend… Jamais vu ce type, je sais à peine à quoi il ressemble… Je prépare ma tenue de parfaite soumise protocolaire : un haut noir et transparent en tulle, un soutien-gorge noir, une jupe crayon, un porte jarretelles et des bas. Bec et ongles rouges, coiffure impeccable, pas de culotte. C’est pas moi, cette meuf. Elle a l’air conne. Je stresse, gère mal mon temps et me perds dans des précautions aussi inutiles que chronophages ; je laisse filer mes bas puis deux trains consécutifs. J’enfile mon énorme plug tant bien que mal. Je me dépêche, je cours et transpire dans tous les sens... Mon portable sonne, énervé ; je décroche, sa voix déçue résonne au bout du fil... Je le comprends. Il me conseille de prendre un taxi pour arriver plus tôt mais comme que je suis une petite conne têtue, je décide tout de même de prendre les transports en commun. Au trot dans le dédale des couloirs souterrains de Montparnasse... Je serre les fesses et réajuste sans cesse ma jupe. Et si le plug tombait ? Et si on voyait mes bas ? Et si on devinait ce que je suis ? Ligne 13. Le métro se tord dans tous les sens en faisant tressauter le strapontin sur lequel je suis assise. Ma punition commence déjà : je suis là, assise sur mon pauvre petit strapontin pourtant inoffensif et je me fais vigoureusement enculer au gré des mouvements de la rame. Il n’est pas encore là, mais sa présence se manifeste déjà en moi... Pas le choix. Je me fais tout un scénario... Va-t’il être enervé au point de ne pas me laisser entrer ? J’ai plus d’une heure de retard, moi qui suis d’habitude ponctuelle… Il me téléphone à nouveau, je me précipite vers la sortie du métro, profitant de la brise d’air frais pour rafraîchir mes joues enflammées. Je cours - encore - vers son immeuble et je suis déjà à bout de souffle. Vis ma vie de fumeuse asmathique en surcharge pondérale.. Il est adossé à la porte d’entrée et me fait signe d’entrer en me saluant. Un beau mec, tempes grisonnantes, yeux noirs... Je le suis jusqu’à l’ascenseur. Les portes se referment… Tout sourire, il passe directement sa main sous ma jupe et appuie brusquement sur le gros plug bien ancré dans mon cul déjà douloureux... Il me trouve belle et à son goût, salue mes efforts mais déplore mon retard d'une heure. Arrrrgg... Les portes s'ouvrent et il me saisit par la nuque en me poussant vers son appartement. Je me retrouve à genoux dans son salon... Effectivement, pas de perte de temps en présentations, straight to the point. L’endroit a été préparé, il y a des bougies chauffe-plat allumées un peu partout sur sa bibliothèque et son piano, une agréable odeur d’encens et du jazz en fond. Je ricane : lui, le soit-disant gros bourrin, a préparé l’endroit en suivant tous les codes traditionnels mièvres et sirupeux de la vanille...! Moi les chocolats, lui les bougies parfumées... La totale ! Vu la tronche qu’il tire, je pense qu’il a envie de me coller une bonne grosse baffe… Je l’avais prévenu : « vous n’etes pas à l’abri de mes provocations ». Il sort son sexe de son pantalon et le frotte sur mes lèvres entrouvertes. Comme ça, tout naturellement, sans aucun préambule... Le jeu est déjà gagné et il sait qu’il avance en terrain conquis. Malgré son introduction un petit peu brutale, ce moment est très doux. Je le découvre du bout des lèvres et des paupières. Ambiance électrique, nos regards s’accrochent l’un à l’autre. Il prend son temps, enlève sa chemise et son pantalon puis finit nu alors que je suis toujours habillée. La situation est très troublante ; j’ai beau être l’habillée, je reste la plus vulnérable... Il y a encore beaucoup à faire : je ne suis toujours pas découverte, je ne sais absolument pas ce qui va se passer alors qu’il est déjà à poil et dans ma bouche… L’attente. Ca va venir, t’inquiètes… Une fois que son sexe est dur, il me soulève par les aisselles et m’embrasse très doucement en me collant face la porte de la pièce. Il passe ses mains sur mon corps, sur mes seins, il sait que j’adore ça… Il soulève ma jupe sur mes hanches et enlève progressivement mon plug tout en continuant à me toucher un peu partout. Je me cambre. Sa tige vient se perdre entre mes fesses et son gland commence sournoisement à forcer mon cul. « Tu croyais pouvoir t’en sortir comme ça ? » La pause est terminée… Je suis sommée d’écarter mes fesses sur le champ, d'une manière lascive et impudique, si possible. Ses mouvements de bassin se font moins progressifs et beaucoup plus réguliers, je morfle déjà. Plus il s’avance en moi et me pénètre, plus j’ai cette impression d’être complètement clouée à la porte sans pouvoir trop faire quoi que ce soit… J’ai mal, je suis déchirée de l’intérieur et je finis même par m’accrocher d’une main au haut de la porte par peur de tomber. J’ai tellement mal… Mes genoux sont rentrés vers l’intérieur et je vacille dangereusement, tenant tant bien que mal en équilibre sur la pointe de mes pieds. Je gémis et commence à le supplier : je crève de douleur mais qu’est-ce que ça m’excite… Je ne saurais expliquer cette excitation, franchement… Je dois avoir un souci, c’est pas possible… J’ai horriblement mal et pourtant mon entrejambe est trempée, et lui comme moi savons qu’il n’y touchera pas de toute la soirée. Il prend son pied et ça me rend folle que ce mec ait cette audace, ce culot de se branler littéralement dans ma douleur et de jouir de celle-ci. Il halète, pousse des petits cris rauques. Je n’en peux plus… Ses ongles sont plantés sur mes hanches et il s’amuse à me donner quelques petites fessées, pour la beauté du geste, sûrement. Je hurle le plus bas possible. Je n’ai même pas été préparée bordel ! Et pourtant… Je suis ouverte et trempée… Je ne tiens plus ; je finis par m’écrouler, complètement à bout de souffle et à court d’équilibre. Ni une ni deux, il se saisit de mon visage, me retourne en me mettant dos à la porte et force ma bouche. Son gland se glisse au fond de ma gorge et ses couilles frappent mon menton. J'ai mal au cul, je suis complètement sonnée, je dégueule à moitié mais j’ai furieusement envie de baiser ; je sais que ça n’aura pas lieu et ça m’excite encore plus. Au bout de quelques râles, Il se retire et jouit dans le creux de sa paume. C’est le luxe et la délicatesse des premiers émois, quand on garde ces saveurs pour plus tard, quand les choses, les pratiques et les habitudes seront bien entamées... Et cette nuit, à cet instant, l'était à peine...
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Par : le 06/09/16
Lettre à ma future soumise, Je suis sur ce site pour y trouver une soumise. J’en ai trouvées quelques unes, rencontrées quelques unes, mais le processus de sélection n’est pas encore terminé et je n’ai pas encore MA soumise. Je voudrais m’adresser à toutes les candidates et leur raconteur un souvenir : ma première fois. La première expérience BDSM, lors de laquelle j’ai découvert que j’étais un home dominant. Alors que je ne m’en doutais absolument pas. J’espère que j’aurai beaucoup de retours pour cet article. Un soir, il y a des années, au moins 15 ans, dans une soirée libertine chez des amis, j'ai flashé sur une femme qui était là. Je l'ai draguée et elle a consenti à se faire baiser par moi. On s'est isolés dans une pièce. Je voulais la baiser seul. C'était une femme pas belle mais qui m'attirait beaucoup, avec des gros seins, vraiment ce qu'on appelle des seins lourds. Tout son physique était lourd, lourdes cuisses, lourdes fesses. Pas une beauté mais je la désirais violemment. Je l'ai caressée, puis pénétrée en levrette. Elle était plutôt du genre passive. Elle mouillait, acceptait d'être pénétrée mais n'avait pas l'air très excitée. Elle ne disait rien. C'était une femme silencieuse. Ca aussi, ce côté animal me plaisait. Tout en la limant, je lui ai donné des claques sur les fesses pour la réveiller un peu. Parce que je trouvais qu'elle dormait. D'un seul coup ça l'a réveillée en effet. Elle m'a dit (elle parlait mal le français) ouiiii, j'aime ça. Plus fort! Plus fort! J'ai giflé son fessier plus fort, très fort même. Elle semblait reprendre vie. Elle en voulait toujours plus. Moi, je n'avais aucune expérience du BDSM, ni savoir faire. Je me contentais de lui donner la fessée avec les mains, tout en la pénétrant. Visiblement elle restait sur sa faim. Elle me disait: tape moi, tape moi, plus fort, plus fort, plus fort. Elle me suppliait vraiment. Je faisais de mon mieux mais je ne savais pas comment la satisfaire, n'ayant ni fouet ni cravache ni rien de ce genre. Finalement j'ai vu une sorte de bouquet de fleurs artificielles très moches qui étaient là. Ca n'était pas un appartement de luxe avec du mobilier classe. C'étaient des grands tournesols en plastique, dont les tiges avaient un plus d'un mètre de long, en plastique également avec à l'intérieur une tige en métal, le genre de faux tournesols à 5 francs pièces sans doute achetés au garden center du coin. Ca pouvait servir de cravache, faute de mieux. Bon, je commence à lui cravacher les fesses, ses grosses fesses tellement bandantes, avec cette tige, mais j'avais peur de la blesser car c'était vraiment un instrument cinglant, contondant, avec en plus les fausses feuillolles en plastique vert qui devaient faire encore plus mal. Si j'y allais trop fort elle allait être blessée, peut-être saigner. Donc je tapais, mais doucement, en prenant soin de ne pas lui faire trop mal. Elle gémissait, elle me suppliait, d'une manière toujours plus lamentable: Plus fort, plus fort, plus fort. Moi je me retenais toujours parce que je me disais que ça allait mal finir. A la fin elle a tellement supplié, gémi, que d'un seul coup ça m'a pris et je me suis mis à la fouetter sans aucun égard. Vlan, vlan, vlan. Ca devait lui faire un mal de chien. Mais là, moi j'avais franchi un seuil. Je n'étais plus le garçon gentil, poli, civilisé que je suis normalement. J'étais devenu une vraie bête fauve et n'avais plus aucune inhibition. Donc je la fouettais comme un sourd avec cette affreuse tige cruelle. Pire qu'un nerf de boeuf. Et pendant ce temps je continuais à la limer et j'étais de plus en plus excité, je bandais comme un taureau et moi aussi je prenais mon pied. Elle a commencé à crier, mais c'était de jouissance. Elle a joui avec une violence incroyable, en beuglant. Et son vagin se contractait d'une manière terrible. C'était excitant à un point... Je ne vous dis pas. Je sens encore les spasmes de son vagin. Je pense que c'est une de mes expériences de baise et de jouissance les plus intenses de toute ma vie. Peut-être la plus intense. Elle a joui comme ça longuement, moi aussi. Plusieurs fois. Ca la reprenait, elle suppliait à nouveau d'être fouettée. Là je n'hésitais plus. Je lui donnais ce qu'elle voulait, sans ménagement. Et elle jouissait de nouveau, et moi aussi, etc., etc. Bon, je ne sais pas ce que les lecteurs vont penser de ce récit. Mais moi je dois avouer que cet épisode m'a excité à un point indescriptible. Je pense que c'est à moment là que j'ai pris conscience de mon caractère de dominant, dont je n'étais absolument pas conscient auparavant. Quand je dis que je suis un dominant, ça ne veut pas dire que j'éprouve le besoin de laisser pour morte toute partenaire sexuelle après lui avoir asséné des coups de fouet ou de cravache à assommer un boeuf. Ca veut juste dire que je sais que la relation dominant dominé me donne une satisfaction intense. Je précise aussi, pour rassurer les soumises potentielles, que je suis incapable de faire subir des abus de ce genre à quiconque, sauf si c'est la personne elle-même qui me le demande. D'autre part, je suis encore quelqu'un de gentil, poli, courtois, même assez réservé, bien élevé, même plutôt doux. Mais cette histoire m'a changé en me révélant à moi-même une part de ma personnalité inconnue, et probablement, ça ne se voit pas de l'extérieur que je suis comme ça. Je n'ai plus jamais revu cette femme et je l'ai amèrement regretté. J'aurais tant désiré une relation SM durable. Mais elle n'habitait pas la Suisse. Elle est repartie le lendemain et je ne l'ai plus jamais revue. J'ai eu quand-même le temps de bavarder un moment avec elle après l'amour, alors que tous les deux nous récupérions de nos orgasmes à répétition. J'ai compris que son père la battait comme plâtre quand elle était petite fille. Son mari la battait. Elle avait un blocage émotionnel, impossible de s'épanouir en tant que femme, impossible de jouir sans être battue très violemment. Pendant très longtemps j'ai cherché une soumise sexuelle maso hard comme cette femme. Elle m’a beaucoup manqué. J’aurais voulu avoir avec elle une relation de longue durée. J’étais très frustré de son absence. Je voulais une maso grave comme elle. J’en ai rencontrées quelques unes, mais qui n’étaient pas comme elle. J’ai en revanche rencontré d’autres femmes soumises, certaines masos et d’autre pas. Je suis devenu ce qu’on appelle un “maître expérimenté”. Avec le temps j’ai beaucoup appris et compris que chaque femme, et donc chaque femme soumise est différente. Il faut savoir tirer le meilleur de chacune. Au cours de ces diverses rencontres avec des soumises de toutes sortes, j'ai un peu mis de l’eau dans mon vin. Je m'adapte au désir de l'autre, comme j'espère que l'autre va s'adapter à mon désir à moi. Mais ce que je recherche c’est quand même la femme maso qui veut être cravachée comme une jument, battue, rabaissée, traitée plus bas que terre comme une catin, et qui a besoin de ça pour son plaisir. Elle ressent ça comme le summum de l’attention qu’on puisse donner à une femme, et elle en a besoin. C'est ce que je voulais dire. Je cherche une servante sexuelle et je désire qu'elle me server. C'est ça qui est si grisant. C'est ce qui m'enivre comme du champagne. A un moment donné je demanderai à ma soumise de me donner le même genre d'amour que cette femme aux gros seins. Si je sens que ça ne lui convient pas, je n'irai pas plus loin. Mais entre nous, la soumise et moi, tout pourra être tenté, en toute confiance. C'est ça qui compte. Est-ce qu'on est bien d'accord ? Ton Maître si tu veux P. S. J'espère que ce récit suscitera des vocations et que je recevrai beucoup de lettres
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Par : le 10/01/16
Le fouet clac A genoux devant son MaÏtre Le maître lui pose doucement la cagoule Les poignets menottés L'attache à leur arbre. Le fouet clac. Dévêtue elle est là.. Ses fermes fesses offertes. Reins cambré Le fouet clac. Sans plus voir, Les sens ouverts L'ouïe à l'extrême L’odorat en éveille Elle cherche le Maître Son Maître. Le fouet clac L'herbe se froisse Les feuilles les branches craquent Sous les pas du Maître Le fouet clac Les mains du Maître se posent, Sur ses reins, Ses fesses ferme et craintive pour " une fessée " pense t elle..! Le fouet clac. Attentif au frémissement Le Maître fait silence Le vent vient caresser ses reins Comme il fait frissonner les feuilles Le corps de soumise ce cabre Le fouet clac L'embout mord la peau Effleure les chaires Embrasse les fesses En de vif mouvement du poignet du Maître Le fouet clac Rougie la blanche peau Les gémissements sont doux N'expriment que le plaisir qui naît La jouissance monte Et remplace que qui fut morsures En une douce douleur Le fouet clac Le Maître attentif, écoute, Les petits râles Les petits gémissements Les petites suppliques De jouissance qui sortent Du fond corps de soumise Le fouet clac La peur La crainte L'angoisse Remplacés pas le désir Le corps ce cabre Se tend vers le fouet Cherche et attend ce dernier Avec désirs Avec envie. Le fouet clac Maître de son poignet Maîtrise son fouet Pour le faire aimer Soumise à découvert Comment vaincre ses peurs Le fouet clac Né maintenant la confiance En son Maître Le fouet se tait Les mains entour Les belles fesses rondes Rougie, rosie Un doux et ferme massage Repartie la chaleur Les rougeurs Le membre du Maître se pose Sur la fente humide Les Mains du Maître S’accrochent aux hanches de Soumise Le Maître tire fortement Soumise à LUI Et s'enfonce dans les Abysses Chaudes et trempés de Soumise Le Maître possède Soumise maintenant Longue est la saillie Le Maître ensemence Soumise Le Maître est satisfait Soumise libéré viens ce blottir contre son Maître Le corps tremblant De plaisir du solde de sa jouissance Le Maître s'inquiète de la douleur Soumise le rassure de son plaisir reçu le maître tendre calme la jouissance de soumise le fouet est rangé il sommeil maintenant. Première séance de fouet de ma soumise en foret . Maître-C78
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Par : le 12/06/13
! Comme chaque année, le réseau ***LIEN COMMERCIAL EN ATTENTE DE VALIDATION PAR L'ADMIN = lien vers bdsm.fr demandé : Lire https://www.bdsm.fr/regles-promo *** organise sur une propriété privée isolée des regards des week-ends de rencontre qui sont 100% gratuits. (Les thèmes sont BDSM ou ABDL ou Fessée ou shibari ou …..) Les 8 et 9 juin 2013, la thématique était ABDL et fessée sur la petite propriété camarguaise. Si le vendredi soir la météo était clémente, le week-end fut dès plus humide ! La pluie a contraint les membres à se replier dans la maison mais est-ce la promiscuité ou la motivation des membres, le moins que l’on puisse dire c’est que l’ambiance fut chaude ! ! ! Les nurses ont pu changer les ABDL mais également tanner les fessiers des plus espiègles sous le regard inquiet des nouveaux. Que l’on se rassure, cette inquiétude n’a pas durée et pour cause, avec autant de fous furieux, la folie devient contagieuse ! Les plus timides se sont donc aventurés à murmurer « j’aimerai bien essayer pour voir ». Les fous ! ! ! Il y eu donc des initiations à la fessée et des initiations à la canne anglaise pour les plus téméraires ce qui a généré des vocations y compris pour une nurse qui a trouvé cela très plaisant. Nous en déduisons qu’il y a de fortes chances qu’elle récidive lors des prochaines rencontres. Après les discussions, apéro, repas, un spectacle de marionnettes humoristiques, une dictée de masochiste humoristique, les changes, un atelier body paint et même un défilé de mode, les sens se sont enflammés pour générer des idées sadiques. UN GANG BANG FESSEE ( sans sexe) Le Maître de soumise Kioki-san, également connue sous bébé Kio, avait décidé de lui offrir une monstrueuse fessée plaisir pour satisfaire les plaisirs masochiste de cette soumise dès plus gourmande. Les fesseurs et les nurses et même les soumis et soumises se sont donc invertis pour satisfaire la grande gourmande de fessée. Elle fut fessée quasiment une heure non stop ! Le Maître de Kioki-san a fait « l’ouverture » de ce gang bang fessée avant de passer la main aux personnes désireuses de participer à cet évènement rare. Vers la fin de l’heure, l’a sentant prête à jouir (au sens propre du mot) le Maître de TSM a repris la main pour la dernière ligne droite la conduisant à la jouissance. Si l’entrejambe de cette soumise était mouillé, je peux vous affirmer que le front des fesseurs et fesseuses l’était également pour cause de transpiration ! Du vendredi soir au dimanche soir, les fesses rouges ont été talquées et mises à l’abri sous d’épaisses couches voir même sous des grenouillères, tout cela dans une ambiance cordiale où chacun a pu participer à ce qui le séduisait. Les trois prochains week-ends auront pour thème : Un week-end Ecole du BDSM (rencontre entre expérimentés et débutants) Un week-end SM pur avec un artiste du fouet Un week-end toutes activités confondues RAPPEL : Les soirées puis les fessestory puis les week-ends sont gratuits pour les membres du réseau TSM        
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Par : le 23/04/13
La fessée aux orties fait peur autant qu'elle fascine. Elle renvoie à des gravures anciennes de fillettes fouettées, à toute une littérature qui faisait la part belle à la flagellation aux orties. Je vous parlerai ici de la flagellation (mot terrifiant) aux orties appliquée sur les fesses dans le cadre de jeux de fessées ou BDSM appliquée à une "punie" qui bien évidemment joue son rôle de "punie" volontaire en quelque sorte. N'y voyons surtout pas l'apologie d'une violence faire aux femmes mais de jeux en adultes consentants et complices. Certes, il faut reconnaître que la vue d'un derrière bien fouetté aux orties, couvert de cloques blanchâtres, rougi, impressionne toujours. Les cloques rappellent aux spectateurs de douloureux souvenirs quand enfants, les mollets accidentellement piqués par quelques orties, ils rentraient à la maison en pleurnichant. On plaint alors de tout cœur la pauvrette au derrière couvert de terribles cloques parcouru de crispations et de frissons nerveux, qu'on suppose livrée aux affres d'une torture sans nom. En fait, passés les premiers effets des orties, la fessée n'est pas si désagréable qu'on l'imagine: loin de là ! Voici pourquoi. Le dessous des feuilles et des tiges des orties est garni d'une multitude de poils urticants qui secrètent un liquide contenant de l'acide formique et des enzymes analogues à ceux de certains venins de serpent. Lors de la fessée aux orties, le contact des poils urticants avec la peau diffuse dans celle-ci ce "venin" et on ressent alors comme des centaines de piqûres sur le coup parfaitement insupportables. Aïe... ça pique !!!!!!!!!! épouvantablement, si bien qu'à la première application des orties sur la peau de la "punie", celle-ci fait immédiatement des bonds et pousse de hauts cris et généralement s'écrie: (surprenant non ?). C'est pourquoi il est recommandé de ficeler auparavant solidement "la punie", ce qui donne davantage de piquant, si j'ose dire, à la mise ne scène et décuple l'angoisse de la "patiente' tout en s'assurant que le film ne s'interrompra pas avant la fin. Aux premiers coups, la peau fouettée s'empourpre et la douleur immédiate est extrêmement intense au point que retenir ses larmes et ses supplications est difficile. Les fesses se mettent à danser, tentent d' échapper aux piqures, sont parcourues de crispations. Je n'ai jamais vu un derrière rester stoïque ni une "punie" rester muette sous les premiers caresses! Les témoins d'une telle fessée sont horrifiés par le spectacle de la pauvrette qui tord désespérément ses fesses en tous sens et supplie qu'on arrête. Non seulement l'agitation et les supplications de "la punie" sont impressionnants mais la vue des fesses rapidement couvertes d'innombrables petits points rouges qui se transforment aussitôt en petits monticules blanchâtres qui ne cessent de grossir, incite à penser que la souffrance est insoutenable. On n'a pas tord, d'autant qu'il n'est pas rare qu'une "punie" peu aguerrie à ce genre de caresse laisse échapper ses larmes . On la plaint beaucoup. Mais...mais... mais... s'il est vrai que dans les premières minutes la souffrance réellement intense, dans les suivantes un phénomène curieux va convertir la douleur en plaisir. Si, si ... Celle-ci se dissipe assez rapidement car toute la zone fouettée est lentement anesthésiée. La sensation de "piqûres" s'estompe et la punie finit par ne plus ressentir qu'une énorme chaleur qui embrase ses rotondités et va petit à petit insensibiliser la peau aux effets "piquants". Cette chaleur intense et anesthésiante diffuse dans les alentours de la zone fouettée et précisément dans les zones érogènes voisines si bien que les supplications de la punie font bientôt faire place à de douces plaintes. Il est toujours extrêmement étonnant pour le néophyte ou le "Maître" débutant de constater que "la punie" qui aux premiers coups suppliait et se tordait dans ses liens, semble très vite supporter la poursuite de la fessée jusqu'à désirer celle-ci une fois la douleur apaisée, apprivoisée et la peur surmontée. Il ne faut jamais se fier aux paroles d'une femme fouettée mais uniquement à lecture de ses fesses. Dès lors que celles-ci cessent de se crisper et de se tordre c'est que le plaisir d'être "punie" est là. Quand on voit des fesses qui ondulent délicieusement et s'offrent complaisamment, on peut continuer la fessée. Les vertus aphrodisiaques des piqures d'ortie connues depuis l'antiquité pour stimuler le désir, lutter contre la frigidité, l'impuissance...etc, s'expriment pleinement et la punition devient plaisir. Alléluia ! Objectif atteint. Car dans les jeux BDSM, et vous l'avez compris, il ne s'agit nullement de "punir" et encore moins de "torturer" mais de donner à chacun du plaisir. C.Q.F.D Il m'est arrivé de retourner cueillir de nouvelles orties à la demande d'une de mes partenaires pas suffisamment fouettée à son goût et qui appréciait particulièrement la caresse des orties au plus secret de son intimité. J'ouvre ici une parenthèse pour dire que la fessée aux orties peu de se transformer en fouettée aux orties sur les seins ou sur le triangle de jambes bien écartées et pour l'avoir expérimenté, la flagellation aux orties de ces zones oh combien sensibles produit des effets secondaires surprenants.
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Par : le 10/04/12
La fessée est un châtiment corporel, une série de claques ou… …de coups administrés sur les fesses.Elle se donne uniquement avec la main, sans instrument, bien que l’on puisse utiliser parfois une planchette en bois ou un martifouet (mixe martinet/fouet).   L’usage de la fessée à l'égard des enfants est maintenant critiqué et certains pays interdisent d'ailleurs de fesser les enfants, considérant qu'il s'agit d'une forme de maltraitance. Dans d'autres pays, comme la France et les Etats-Unis, elle est légale, sauf si elle est excessive. Ce petit jeu entre adultes consentants a toujours été l'un des éléments des rituels érotiques les plus torrides. C’est une des pratiques sexuelles les plus anciennes et les plus répandues sans violence ni humiliation (ou peut être un peu des deux). Avec l’intervention d’un instrument, nous sommes dans une mise en scène qui ne relève plus de la fessée usuelle. Ce plaisir particulier serait un mélange de sensations fortes et troublantes mettant en question l’intimité profonde, le désir de soumission, de sévérité, de protection, le tout assaisonné de réminiscences d’enfance. Les zones érogènes se déchaînant sous la chaleur des frappes….La fessée est un excellent prémice à l’orgasme !! La fessée est quelque chose de gourmand. Alors pourquoi donc s’en priver ? Quels sont les blocages ? ….La sexualité féminine et masculine reste encore très complexe… Offrir notre derrière est juste une question de mise en situation, après à chacun et chacune de choisir la mise en situation qui lui correspondra (petites fessées de temps en temps pour la ou le réservé(e) à une joyeuse fessée punitive et insistante pour les plus accros avec différents scenarios de jeu possibles).   Rassurez-vous femmes bien en chair, au fessier bien ample, dodu, potelé (et tous les superlatifs adéquats), si vous êtes tentées par ce jeu mais complexée par la rondeur ou le rebondis de votre auguste fessier, dites vous que les « fesseurs » n’apprécient que les culs très rebondis. Ceci est aussi valable pour vous messieurs ! «  Les fessiers anorexiques et osseux n’ont que peu de chance d’intéresser un fesseur alors saisissez la vôtre. »
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