La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 07/04/24
. Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle : À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question : Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ? Je suis jeune. Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts. M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien. J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger. Je suis des études. Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape". Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion. À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi. J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser.. Ce mec / cette meuf est trop beau / belle ! J'ai juste envie de m'éclater et de voyager. Je suis jeune. D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française (Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE). Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes.. Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ? La réponse est non. Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême. L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses. Cependant.. Il existe un petit pourcentage..   Je suis moins jeune que j'en ai l'air. - Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là. - J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale. - J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique. - J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents. - J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer ! - J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans. Je suis moins jeune que j'en ai l'air. À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ? Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains. Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement. Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité. Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins. Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter. Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM". Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau. Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail. Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte. Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose.. Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ? Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" : - Être Dominant. - Ne pas être Dominant. Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle". Plusieurs états d'esprits en résultent : Je ne suis pas dominant. - Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin. - Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là ! - Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante. - "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller. - "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ??? - "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda) - "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?" Je ne suis pas dominant.   Je suis Dominant. - Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance. - Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres. - "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter." - "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?" - "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?" - "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM." - "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner." Je suis Dominant.   Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge. Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez. Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences. Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM. Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence". Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas). En conclusion : La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..) Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent. Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux. Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ? La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ? Allez savoir.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître ! https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.  
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Par : le 29/03/24
Le fétichisme, faut-il le rappeler, désigne la fascination (parfois obsessionnelle) ou l'adoration pour un objet non vivant ou une partie spécifique du corps. Dans le contexte du BDSM, le fétichisme transcende la simple attraction est tient un rôle central dans les dynamiques de pouvoir, les jeux érotiques, et l'expression de désirs profonds et complexes. Ce concept, riche et multidimensionnel, sert de point d'ancrage pour des expériences allant de la domination et soumission, au rapport "douleur/plaisir", jusqu'au contrôle et le lâcher-prise associé. L'évolution du fétichisme au travers les siècles est marquée par des périodes où le fétichisme a été réprimé,a peine toléré ou au contraire été accepté voire intégré dans la société. Des civilisations antiques, qui vénéraient des objets et des symboles chargés de pouvoir et de mystère, aux sociétés médiévales, où ces pratiques étaient souvent occultées ou réinterprétées à travers le prisme de la spiritualité dominante, le fétichisme a constamment évolué. À l'ère moderne, avec l'émergence du BDSM comme une culture et une communauté distincte, le fétichisme a été réévalué et a fini par s'intégrer dans un cadre plus large de pratiques sexuelles et relationnelles. Origines ancestrales du fétichisme L'exploration des origines antiques et médiévales du fétichisme, dans le sens historiquement premier du terme, nous entraine dans un voyage dans le temps, où les pratiques qui peuvent être aujourd'hui identifiées comme fétichistes (de par l'exploration des travaux des grands psychanalystes) sont souvent entrelacées avec les traditions religieuses, culturelles, et sociales des civilisations passées. Le fétichisme, bien avant d'être conceptualisé comme tel, joue ainsi un rôle dans l'expression de la spiritualité, du pouvoir, et de la sexualité (dans ce qu'elle a de procréative, au principal). Dans les civilisations antiques, de l'Égypte ancienne à la Grèce antique , en passant par l'empire Romain, le fétichisme se manifeste à travers la vénération d'objets et de symboles dotés d'une importance spirituelle ou magique. Ces objets, qu'il s'agisse de statuettes représentant des divinités, d'amulettes censées conférer protection et fertilité, ou de représentations phalliques utilisées dans les rites de fertilité, sont intégrés dans la vie quotidienne comme la vie religieuse (qui était tellement entremelés que de les séparer peut s'avérer d'ailleurs discutable). Ils servent de ponts entre le monde matériel et le domaine des dieux, incarnant des forces ou des attributs divins spécifiques. Par exemple, dans l'Égypte ancienne, les amulettes, en particulier celles à l'image de l'Œil d'Horus, étaient considérées comme des protecteurs puissants, tandis que dans la Rome antique, les phallus sculptés, souvent accrochés aux portes des maisons, étaient censés éloigner le mauvais œil. Plus tard, à l'approche du Moyen Âge, la perception du fétichisme commence à se transformer. L'expansion du christianisme en Europe apporte une nouvelle interprétation des objets "fétiches" et des pratiques préexistants. Ce qui était autrefois vénéré fait alors l'objet de suspicion quant on ne crie pas à l'hérésie. Cependant, même dans ce contexte de transformation culturelle et religieuse, certaines formes de vénération d'objets persistent, on bascule vers le temps de la vénération des reliques des saints et des martyrs. Les reliques, ossements ou fragments de vêtements, par exemple, sont censées posséder des pouvoirs miraculeux, reflétant la manière dont les objets pouvaient encore être imprégnés de significations spirituelles et magiques. Cependant, à côté de ces formes acceptées de vénération, des pratiques moins orthodoxes survivaient souvent à la marge marge ou en secret. Les traditions folkloriques et les croyances païennes, bien que réinterrogées du fait de la montée du monothéisme, conservaient des éléments qui, à bien des égards, ressemblaient au fétichisme antique. Les herbes, les pierres, et les amulettes continuent à être utilisées dans des pratiques de guérison et de protection, reflétant une continuité sous-jacente avec le passé antique. Ainsi, les origines antiques et médiévales du fétichisme révèlent un panorama complexe où les objets, loin d'être de simples artefacts, sont chargés de significations multiples, servant de catalyseurs pour le divin, le magique, et le sacré. Cette longue période de l'Histoire montre clairement que le fétichisme, bien avant de devenir un terme d'analyse dans la psychologie ou la sexologie modernes, était une composante intrinsèque de l'expérience humaine, façonnant et étant façonné par les croyances et les pratiques de l'époque. Le fétichisme à l'ère moderne Lère moderne marque une période d'avancées significatives dans la compréhension et l'interprétation du fétichisme. C'est au cours de cette période que le fétichisme commence à être scruté à l'aulne de la psychologie et de la sexologie, disciplines naissantes qui cherchent à catégoriser et à comprendre les comportements humains sous un jour nouveau. Les figures de proue de cette exploration que sont Richard von Krafft-Ebing ou Sigmund Freud, par exemple, jouent un rôle déterminant dans la théorisation du fétichisme, l'extrayant de la sphère religieuse et culturelle pour le placer dans le domainede l'étude scientifique de la sexualité. Richard von Krafft-Ebing, dans son œuvre pionnière "Psychopathia Sexualis", est l'un des premiers à définir le fétichisme dans un cadre médical, le présentant comme une forme de déviance sexuelle où l'attraction pour un objet inanimé remplace l'intérêt pour un partenaire sexuel humain. Cette approche pathologisante met en lumière les objets fétiches non plus comme des symboles de pouvoir ou de spiritualité, mais comme des catalyseurs de désir anormal. Sigmund Freud, quant à lui, apporte une dimension psychanalytique au fétichisme, le voyant comme un symptôme de conflits psychiques non résolus. Dans son interprétation, le fétiche devient un substitut, un ersatz pour l'incongrue et falacieux pénis de la mère d'un enfant mâle qui, selon Freud, croit à tort avoir qu'elle a été castrée. Cette théorie, bien qu'elle soit largement contestée et critiquée aujourd'hui, a néanmoins contribué à placer le fétichisme au cœur des discussions sur la psychologie de la sexualité. Parallèlement à ces théorisations, l'ère moderne est également témoin de transformations sociales et économiques majeures, notamment l'industrialisation et l'avènement de la modernité, qui influencent profondément les pratiques et les communautés fétichistes. L'industrialisation, en particulier, modifie la relation des individus aux objets, rendant les produits manufacturés abondants et facilement accessibles. Cette profusion d'objets nouveaux et variés crée un terrain fertile pour l'expansion des pratiques fétichistes, où des matériaux comme le caoutchouc, le cuir et le latex commencent à être érotisés. La modernité apporte également avec elle une transformation des espaces sociaux, avec l'émergence de sous-cultures et de communautés où les pratiques fétichistes peuvent être explorées et vécues ouvertement, bien que souvent de manière clandestine. Les clubs, les magazines spécialisés et, plus tard, les forums internet (puis les réseaux sociaux), deviennent des espaces où les fétichistes peuvent se rencontrer, partager leurs expériences, et construire des identités autour de leurs pratiques. Cette période voit également une remise en question progressive des normes sexuelles et une exploration plus large des expressions de la sexualité humaine. Ainsi, l'ère moderne est caractérisée par une dualité dans l'approche du fétichisme : d'un côté, une pathologisation et tentative de comprendre le phénomène dans un cadre clinique, de l'autre, une expansion et une diversification des pratiques fétichistes, facilitées par les transformations sociales et technologiques. Ensemble, ces éléments forment le terreau sur lequel le fétichisme contemporain, avec ses multiples facettes et sa richesse, continue de s'épanouir et de se redéfinir. Le fétichisme dans la société au XXe Siècle Le XXe siècle marque un tournant décisif pour le fétichisme, propulsant des pratiques jusqu'alors marginales ou confidentielles au cœur de la culture de masse. Cette période voit le fétichisme se démocratiser et s'intégrer dans le tissu même de la culture populaire, influençant la mode, la musique, le cinéma et l'art. Cette intégration s'est accompagnée d'une évolution significative dans la perception publique du BDSM, transformant progressivement les stigmates théorisés en psychanaluse en signes de rébellion, d'expression personnelle, et d'avant-gardisme. L'émergence du fétichisme dans la culture de masse peut être attribuée à plusieurs facteurs clés, notamment la libéralisation des mœurs sexuelles et la montée des mouvements de contre-culture. Les années 60 et 70, avec leur ethos de liberté et d'expérimentation, ont vu naître un intérêt accru pour les pratiques sexuelles alternatives, parmi lesquelles le BDSM et le fétichisme ont trouvé une nouvelle caisse de résonnance. Cette période correspond également à la publication de travaux littéraires et de manuels qui explorent ouvertement la sexualité et les pratiques BDSM, rendant ces sujets plus accessibles au grand public. En outre, l'avènement des médias de masse a joué un rôle crucial dans la diffusion d'images et d'idées fétichistes. Les magazines, les films et plus tard, les chaînes de télévision et internet, offrent une plateforme pour la représentation et la discussion des fétichismes, contribuant à leur démocratisation. Les objets fétiches comme le cuir, les chaînes, et le latex commencent à apparaître régulièrement dans les médias, souvent décontextualisés de leurs origines BDSM pour devenir des symboles de mode et de non-conformité. Les stars du XXe siècle ont joué un rôle indéniable dans la popularisation du fétichisme. Des artistes comme Madonna dans les années 80 et 90, avec ses clips vidéos et ses performances scéniques chargées de références au BDSM, ont contribué à introduire le fétichisme dans les foyers du monde entier. De même, le glam rock et des artistes comme David Bowie, avec leur esthétique androgyne et leurs costumes extravagants, ont brouillé les lignes entre les genres et érotisé des éléments fétichistes, les rendant partie intégrante de leur image publique. Ces icônes, par leur visibilité et leur influence, ont non seulement aidé à normaliser certaines pratiques fétichistes mais ont également inspiré des discussions sur la sexualité, l'identité de genre, et l'expression personnelle. Leur adoption de la mode fétichiste a transformé celle-ci de tabou en tendance, modifiant la perception publique du fétichisme de quelque chose de caché ou de honteux en un acte de rébellion ou d'expression artistique. L'ère contemporaine et la "normalisation" du fétichisme L'ère contemporaine a ainsi été témoin d'une transformation sans précédent dans la manière dont le fétichisme et le BDSM sont perçus et pratiqués, grâce en grande partie à l'essor d'Internet et des médias sociaux. Le fétichisme s'est petit a petit imposé comme une forme d'expression largement acceptée et explorée par le grand public (même si bien entendu, toute la société ne s'est pas convertie ;-) ). Cette acceptation normalisation est donc le fruit d'une convergence entre des facteurs culturels, technologiques et sociaux qui ont contribués à faciliter l'expansion des communautés fétichistes et modifié les attitudes sociétales à leur égard. L'avènement d'Internet a marqué un tournant réellement décisif pour les communautés BDSM et fétichistes, leur offrant un espace sans précédent pour se rassembler, échanger des connaissances et des expériences, et construire une culture et une identité partagées. Les forums en ligne, les blogs, et les réseaux sociaux comme BDSM.FR ont permis aux personnes curieuse d'explorer le fétichisme de trouver une communauté d'échange et de se confronter, souvent pour la première fois à ces pratiques. Ces plateformes numériques ont également joué un rôle crucial dans la pédagogie et la démystification du BDSM, offrant des ressources allant des techniques de sécurité aux aspects psychologiques des pratiques fétichistes. En parallèle, les postures sociétales envers le fétichisme et le BDSM ont subi une évolution notable. La visibilité accrue des pratiques fétichistes dans la culture populaire, associée à un dialogue plus ouvert et inclusif sur la sexualité en général, a participé à déstigmatiser ces pratiques. Des événements culturels, tels que les Gay prides ou les muncjs ont commencé à intégrer des éléments fétichistes de manière ouverte, reflétant et encourageant en même temps une acceptation plus large de la diversité sexuelle. Cette période contemporaine a également vu la publication de littérature et le cinéma grand public (on ne citera pas le titre du film de référence en la matière, vous le connaissez ;-) ) traitant de thèmes BDSM et fétichistes, bien que ces représentations aient parfois été remises en cause pour leur inexactitude, par les clichés véhiculés, ou leur simplification à l'extrême. Néanmoins, leur impact sur la perception publique du fétichisme a été indéniable, ouvrant le dialogue sur ces sujets et encourageant une exploration personnelle et collective. L'évolution des attitudes a été soutenue par des changements législatifs et politiques dans de nombreux pays, ou à tous le moins par la constitutions de jurisprudence, reconnaissant les droits et les libertés des personnes pratiquant le BDSM et le fétichisme. Ces évolutions législatives ont non seulement protégé les adeptes du fétichisme et du BDSM contre la discrimination voire la persécution mais ont également validé le BDSM et le fétichisme comme des expressions légitimes de la sexualité humaine. Les défis actuels et à venir du fétichisme (et du BDSM) Tandis que le fétichisme et le BDSM sont devenus plus visibles et mieux acceptés, de nouveaux défis émergent, notamment en ce qui concerne le consentement, la sécurité et la légalité. Ces enjeux, cruciaux pour la pérennité et l'éthique des pratiques fétichistes, soulèvent des questions importantes sur la manière dont la communauté peut continuer à évoluer de manière responsable et inclusive. L'accent mis sur le consentement éclairé, révocable et mutuel a transformé la manière dont les pratiques fétichistes sont perçues et réalisées. Cependant, la nature même de certaines pratiques fétichistes, qui peuvent impliquer des jeux de pouvoir et de domination, exige une vigilance constante et une communication ouverte pour s'assurer que toutes les parties impliquées se sentent respectées et en sécurité. La sécurité, tant physique qu'émotionnelle, reste enjeu majeur. Alors que la communauté BDSM adopte le mantra "sain, sûr et consensuel" (SSC) ou "risque aware consensual kink" (RACK), les défis liés à la prévention des blessures, à la gestion des risques et à la santé mentale restent essentiels. L'éducation, à travers des ateliers, des munchs et des ressources en ligne, joue un rôle essentiel dans la promotion de pratiques sécuritaires et éthiques. Sur le plan légal, bien que des progrès aient été réalisés dans la reconnaissance des droits des pratiquants du BDSM, la situation est et restera précaires. Dans de nombreux pays, les activités BDSM peuvent encore être interdite par la loi, notamment en ce qui concerne les aspects de douleur, de contrainte ou de domination. L'avenir exigera un dialogue continu avec les législateurs et le grand public pour démystifier les pratiques fétichistes et plaider pour une législation qui protège tout en respectant la liberté d'expression sexuelle. On comprends aussi que les alternances politiques pourront jouer un rôle déterminant dans l'avenir de ces pratiques. Le fétichisme dans le BDSM va probablement continuer de s'adapter et d'évoluer avec la société. Les technologies émergentes, telles que la réalité virtuelle et les plateformes en ligne, offrent de nouvelles voies d'exploration du fétichisme, permettant des expériences immersives et la formation de communautés virtuelles. En outre, une plus grande diversité au sein de la communauté fétichiste, reflétant un éventail plus large d'identités sexuelles, de genres et d'orientations, pousse à une remise en question continue des normes et à une évolution des pratiques. L'avenir du fétichisme dans le BDSM semble donc prometteur, avec une tendance vers une plus grande acceptation, une exploration plus profonde et une innovation continue. Il ne tient qu'à nous tous de continuer à faire évoluer les moeurs et la perception de nos pratiques, dans le "bon" sens.
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Par : le 15/03/24
Esclave financier, comment on tombe dans le piège ! Suite à différentes discussions que j'ai eues sur le site dernièrement, je vois que ce sujet revient sur le devant de l'actualité. Je me permets de (re)publier ce texte autobiographique que j'avais écrit il y a quelques années. En fait, il n'y a pas que moi en tant qu'idiot à avoir donné à sa Dame des moyens de pressions. Il y a aussi les esclaves financiers. Ces hommes (rarement des femmes) qui offrent à une Maîtresse du matériel à révéler publiquement s’ils ne remplissent plus leurs obligations de paiement. - Chantage dans le SM et le BDSM - un esclavage peut-être à vie ! Si vous cherchez une Maîtresse qui va, disons le clairement, vous faire chanter, vous trouverez généralement une Maîtresse, enfin je suppose, à qui vous allez envoyer, transférer régulièrement une somme d'argent prédéterminée. En retour, vous obtiendrez de l’humiliation verbale, des insultes, des remarques méprisantes et désobligeantes sur le fait de n’être qu’un porte-monnaie stupide qui n’est là que pour son argent. Un esclave financier peut être rapidement amener à signer un contrat qui induit un aspect juridique. Par exemple un contrat de prêt avec intérêts. Il ne touchera évidemment pas le montant du prêt. Mais Oui, juridique, rien à voir ici avec le BDSM. Ce contrat détermine combien d'argent est dû et à quels intervalles. Une fois conclu, la Dame peut toujours augmenter le taux jusqu'au maximum légal... Ainsi, il est facile d'imaginer quelles seront les conséquences si l'esclave financier est en retard dans un ou plusieurs paiements ou cesse de faire des paiements. Comment le chantage se met en place. Il existe plusieurs possibilités. Un site Web spécialement conçu, comme une sorte de pilori public où le contenu personnel collecté par la Maitresse est publié d'abord en privé. La Maitresse augmente au fur et à mesure la pression en donnant accès à ce site à l'esclave financier. Si l'esclave financier ne paie pas à nouveau, alors du contenu personnel sera rendu visible pour tous sur Internet. Évidemment, tout ce fait par étape. Il est clair que pour éviter une augmentation de la somme due, l'esclave financier pris dans l’engrenage devra remettre de plus en plus de documents pertinents à sa Maîtresse. Il creuse son propre trou. Selon le type et la portée du chantage, diverses formes de sorties publiques peuvent avoir lieu. Des photos qui le montrent clairement, de grandes photos faciales, des photos du corps entier nu, des photos de sa femme et des photos nues de sa femme etc… A un moment, sa Maîtresse peut lui demander de lui remettre une copie de sa carte d'identité ou les adresses électroniques de sa femme et de ses supérieurs, ses collègues et des membres de sa famille. - Promesse de séance SM, BDSM et l'avidité de vouloir tout remettre - le repentir s'installe rapidement. Il y a des Maîtresses qui offrent les premières séances. Ainsi, Elles peuvent, par exemple, prendre des photos, faire un film plus ou moins secrètement dans lequel l'esclave financier doit se présenter puis s'humilier verbalement en disant quelle misérable créature il est. La Maitresse continuera à le filmer et le photographier alors qu'il est soumis à des pratiques sexuelles dégradantes. Ensuite tout s’accélère. Les vidéos sont de plus en plus sales et violentes. Pisse, gode ceinture, utilisation par un autre homme, anal et oral etc… Pour certains esclaves financiers, le chantage les dépasse ; ils doivent humilier leurs femmes devant la caméra de la Maitresse en disant qu'elles ont trop peu à offrir sexuellement et donc qu’elles forcent leur mari à chercher une amante. D'autres ont dû prétendre avoir trompé leur femme avec des prostituées à plusieurs reprises et avoir eu plusieurs rapports sexuels non protégés dans leur voiture dans la rue. Tout ça très bien orchestré et filmé. Tout ça peut très bien rester dans le placard à poison si l'esclave financier remplit ses obligations financières. Mais ce que j'ai vu a été conçu que pour être complètement divulgué et publié. A un moment donné, les montants mensuels sont tout simplement trop élevés pour pouvoir continuer plus longtemps. Il y a des pratiques où, dès le premier versement manquant, la divulgation publique commence. Les pauvres gars retrouvent sur Internet leurs photos, leurs adresses, parfois des photos nues de leurs femmes, sous-titrées d'insultes humiliantes. Et il y a parfois pire. Il est absolument insensé de s'impliquer dans le SM et le BDSM en payant de l’argent chaque mois afin d'être soumis à un chantage qui pourrait publiquement révélé que vous êtes un "pervers" devant votre famille, votre travail, vos amis. Vous payez pour ne pas être publié sur Internet comme un idiot naïf. Tôt ou tard vous serez sur internet et reconnu. - Mon expérience Pourquoi ces pensées flottent en moi. Je ne savais rien de tout ça avant que ma première Dame entre dans ma vie. Pendant un certain temps j'ai poursuivi l'intention de devenir son esclave. Ne rien recevoir, ou en fait si peu, mais donner tout pour cette Dame. Devoir lui prouver que je l’aimais et que j’étais prêt à tout faire pour la mériter, m'excitait beaucoup. A mes débuts, j’ai été un esclave financier des années sans l'avoir appelé ainsi. Ma première Dame non plus ne l'a pas appelé ainsi. Elle a juste contribué à sortir l'argent de ma poche. Être contrôlé financièrement par cette Dame m'excitait beaucoup. Au final, cette forme existentielle de domination et de soumission nous a rapidement conduits à la surveillance et au contrôle de mes finances et jusqu’à me priver de mon propre argent. Voilà le résultat d’années avec une dominatrice qui n’a voulu que m’humilier, me détruire. Un soumis averti a autant de valeur que deux !
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Par : le 11/03/24
La Belle et la Bête (suite)   Elle s’éxécute, gravit prestement les marches, réajuste son maquillage de seins comme exigé. Puis elle s’installe sur le plancher, à quatre pattes, le cul en l’air, tête baissée, les mains posées bien à plat de chaque côté de sa tête, à genoux les cuisses bien écartées et la croupe cambrée, elle prend sa position de soumise, celle qu’elle aime qui précède des plaisirs intenses, qui rappelle sa condition de petite chienne. Rapidement, elle commence à s’impatienter, l’attente est interminable. Quand va-t-il monter pour enfin la rejoindre? Néanmoins, elle ne modifie pas sa posture de peur de lui déplaire et d’être forcément sanctionnée. Elle sait que son plug va décorer son petit trou et scintiller de mille feux à la lumière. Cette petite coquetterie l’excite un peu plus. Elle attend, le maître est toujours absent. L’absence est trop longue, peuplée d’angoisses et de désirs inavoués. Que va-t-il faire en arrivant? La féliciter de sa docilité ou seulement la chevaucher et l’enfiler de force juste pour vider ses couilles tout en l’inondant de sa semence poisseuse qu’elle devra recueillir avec ses doigts pour finir par la boire. Non, il ne peut se contenter de si peu. Il va jouir d’elle pour son unique plaisir à lui et lui faire subir les pires sévices qu’elle ne peut même pas imaginer encore.   Tara perçoit indistinctement ses pas, il approche, il est là enfin. Il lui tourne autour et de la pointe de sa cravage caresse cette croupe qu‘il ne trouve pas à son goût, trop relâchée. Il lui frappe violemment le bas des reins. Tara se cambre immédiatement sous la semonce. Elle le connait, il est sans concession et exige la perfection. Cette position le comble, Tara est à sa merci, mais pas suffisamment à son goût. Elle sait qu’il va vérifier les ajustement demandés. Elle pense ne rien avoir oublié. Il lui intime l’ordre de se lever et inspecte de nouveau chaque partie de son corps. Tara aime cette introspection et est fière de s’être apprêtée avec tant de minutie pour lui. Il commence par le haut : le maquillage de son visage semble à sa convenance, Il lui introduit deux doigts dans la bouche qu’elle suce goulûment et avec application. Puis il descend, titille le bout de ses seins qui pointent et dont les mamelons sont réhaussés de son collier. Il semble qu’il soit plutôt satisfait de son nouveau maquillage. Il descend toujours, en caressant son ventre et arrive sur sa chatte. Elle a pris soin de la tailler à la perfection comme il aime. De la distinction avant tout. Il enfile vigoureusement deux doigts dans son orifice intime afin d’en verifier l’état. Elle mouille bien sûr, tous ses préparatifs ont éveillé ses désirs. Il saisit une fesse d’une main ferme et la fait pivoter, elle exerce alors un léger déhanchement puis se penche en avant en exibant son derrière, fière de lui montrer son plug orné de sa pierre rouge qui scintille. Là encore il lui introduit deux doigts après lui avoir retiré son bijou de cul. Tara tressaille sous la douleur mais n’en laisse rien paraître. Soumise elle est, soumise elle reste pour l’unique plaisir de son Maître. Il prend soin de remplacer son plug par son crochet anal qu’il relie par un ruban à son collier, ce qui l’oblige à se cambrer un peu plus. Il saisit ensuite son collier de chienne et y accroche la laisse. Elle ne sait pas encore à quoi il veut jouer. Elle cherche par sa posture à déjouer ses desseins qu’elle devine funestes. Chienne, elle se doit de l’être. - A quatre pattes, - Oui Maître, à votre convenance. Elle obtempère, et endosse son rôle de chienne ; ce titre fait tressaillir tout son corps, elle subit cette humiliation dégradante, mais au fond d’elle, elle adore. Elle tire la langue, la passe avec gourmandise sur ses lèvres rouges, gémit, envahie par le désir de lècher une queue, de l’emboucher, l’aspirer, de la mordiller, de l’avaler jusqu’à la garde. Elle agite son corps en tout sens. Elle est rapidemment ramenée à son obligation d’obéissance lorsque la voix grave de son Maître associée à une tension sur la laisse lui intime l’ordre d’avancer. Ce dernier geste la fera se trémousser pour un petit plaisir anal conjugué à son oeuf de jade confiné dans son intimité. - Jappe comme un petit toutou et tortille des fesses. Oubliant toute dignité, elle s’exécute docilement. Il tire de nouveau sur la laisse tout en donnant un petit coup de cravache sur ses fesses afin de faire quelques mètres, elle se sent flattée par cette attention. Une petite tension sur la laisse, - Stop! - Lèche moi les pieds, suce mes orteils Elle s’éxécute, un peu réticente, mais respecte ces dernières consignes. Elle aspire consciencieusement chacun de ses doigts de pieds. - Lèche mes jambes et mes cuisses. Elle remonte lentement. Sa langue est un peu sèche. - Broute moi les couilles et ne touche pas à ma queue. Elle s’applique dans cette tâche plus qu’humiliante. Peut être y trouve-t-elle un plaisir indicible… Elle lui avale ses couilles, gourmande, les caresse de sa langue et les aspire avec douceur. Elle connait bien l’extrême sensibilité de ces jumelles. Elle regarde sa queue qui pointe fièrement au dessus, frustrée de ne pas avoir le droit de la flatter. Car elle l’aime ce pieu qui sait si bien la pilonner au plus profond de son intimité. Elle a mal parfois, mais cette douleur l’exalte aussi. Et puis l’avaler jusqu’au fond de la gorge à s’en étouffer,. Elle adore cette pratique jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche et l’inonde de sa semence. Ensuite tout avaler avec délectation. Tout en poursuivant son labeur, elle se permet de rêver. Allait-il l’honnorer ce soir ou alors la délaisser toute pantelante, ignorant ses désirs les plus profonds? Elle sait qu’il en est capable pour marquer un peu plus sa domination en la laissant inassouvie. “Tara cesse de penser et applique-toi”. - Lèche moi le cul à présent et rentre bien ta langue dans mon petit trou. Il fait volte face et elle se retrouve collée à ses deux fesses musclées. Elle les écarte et cherche sa voie. Elle trouve rapidement sa cible et d’une langue agile s’y enfonce le plus possible. Elle y trouve des goûts un peu forts mais néanmoins subtils, comme des fragrances de rut. Elle travaille de son mieux mais il se lasse vite de ce petit jeu. - C’est bien, va t’asseoir sur le lit, je n’en ai pas fini avec toi. Pose ton cadenas sur tes anneaux, je suis le seul détenteur de la clé qui le déverrouille, tu le sais. - Oui Maître, tout de suite.
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Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.   L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.   Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité. J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.   Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.    confession: j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas. lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes. depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶  
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Par : le 23/10/23
Le terme "subdrop" est dérivé de l'anglais et fait référence à une chute, une descente, dans ce cas, émotionnelle ou physique. Cette réaction est souvent la conséquence d'une expérience intense, qui peut être aussi bien psychologique que physique. Les pratiques BDSM peuvent engendrer des niveaux élevés d'adrénaline et d'endorphines. L'adrénaline, souvent appelée "hormone du stress", est libérée en réponse à une situation stressante ou excitante. Elle prépare le corps à réagir, que ce soit pour fuir ou combattre. Les endorphines, quant à elles, sont des peptides qui agissent sur les récepteurs opioïdes du cerveau pour réduire la perception de la douleur. Elles sont souvent surnommées les "hormones du bonheur" car elles peuvent provoquer des sensations d'euphorie. Après une scène ou une session BDSM, où ces substances chimiques ont été libérées en grande quantité, leur niveau dans le corps commence à diminuer. C'est à ce moment que le "subdrop" peut se manifester. Les participants peuvent ressentir une profonde tristesse, une sensation de dépression, ou un épuisement général. Cette descente émotionnelle et physique est parfois comparée à la sensation que l'on peut ressentir après un événement très attendu qui prend fin, comme un concert ou un grand événement sportif. Il est absolument crucial de comprendre que le "subdrop" ne témoigne pas d'une expérience négative ou traumatisante en soi. C'est plutôt une réaction naturelle du corps à la suite d'une montée intense d'émotions et de sensations. Cependant, il est essentiel d'en être conscient et de prendre les mesures appropriées pour soutenir la personne qui en fait l'expérience. Le "subdrop", bien que souvent associé au BDSM, trouve en réalité ses racines dans la biologie humaine. Pour comprendre ce phénomène, il est essentiel de se pencher sur les mécanismes neurobiologiques qui se déclenchent lors d'expériences intenses. Lorsque nous vivons des moments d'intensité, qu'ils soient d'ordre physique, émotionnel ou psychologique, notre corps a une réponse chimique. Une des principales substances chimiques libérées est l'endorphine. Les endorphines sont des neurotransmetteurs, c'est-à-dire des messagers chimiques qui transmettent des informations d'un neurone à un autre dans le cerveau. Ces molécules jouent un rôle crucial dans la modulation de la douleur et la production de sensations agréables. Agissant comme des analgésiques naturels, les endorphines ont la capacité de réduire la perception de la douleur. Elles sont souvent comparées à des opioïdes comme la morphine, bien qu'elles soient produites naturellement par le corps. Lors de leur libération, elles peuvent provoquer une sensation d'euphorie, un sentiment d'extase ou de bien-être intense. Cependant, la nature a une manière d'équilibrer les choses. Après une telle montée d'endorphines, il est courant que leur niveau diminue une fois l'expérience intense terminée. Cette chute peut être abrupte, et c'est là que le phénomène du "subdrop" intervient. L'euphorie laisse place à des sentiments contrastés de tristesse, de mélancolie ou de vide. Cette transition peut être déroutante, surtout si la personne n'est pas préparée ou consciente de cette réaction biologique. Il faut donc garder en tête que le "subdrop" n'est pas simplement une réaction psychologique, mais aussi une conséquence directe de la manière dont notre cerveau et notre corps gèrent les expériences intenses. La compréhension de ce mécanisme peut aider à mieux anticiper, gérer et soutenir ceux qui vivent cette descente émotionnelle. Il est essentiel d'apprendre à reconnaître et à comprendre le "subdrop" pour plusieurs raisons : Pour préserver sa santé mentale et bien-être émotionnel et/ou celle de son/sa partenaire : Impact psychologique : Le "subdrop" n'est pas simplement une baisse d'humeur passagère. Pour certains, il peut s'apparenter à une véritable dépression temporaire, avec tous les symptômes associés tels que la tristesse, l'anxiété ou le sentiment d'isolement. Soutien nécessaire : Ignorer ou minimiser le "subdrop" peut aggraver ces symptômes et avoir des conséquences durables sur la santé mentale d'une personne. Il est donc primordial d'offrir un soutien adapté, qu'il soit émotionnel, psychologique ou même physique, à ceux qui traversent cette période délicate. Pour maintenir la confiance entre les partenaires : Échange ouvert : Dans le contexte des relations BDSM, où la confiance est un pilier, la communication revêt une importance capitale. Les partenaires doivent être en mesure de discuter ouvertement de leurs ressentis, de leurs craintes et de leurs besoins. Anticipation : Être conscient du potentiel de "subdrop" permet d'anticiper et de préparer la suite d'une session. Cela peut inclure des discussions préalables sur ce à quoi s'attendre et comment y faire face. Prévention et gestion : Mesures préventives : Bien que le "subdrop" ne puisse pas toujours être totalement évité, il est possible de mettre en place des stratégies pour en réduire l'impact. Cela peut inclure des techniques de relaxation, de méditation ou même des activités distrayantes. L'importance de l'aftercare : L'aftercare, ou les soins post-session, est un élément essentiel pour aider à gérer le "subdrop". Il s'agit d'un moment dédié à la récupération, où les partenaires peuvent se reconnecter, discuter et s'assurer du bien-être de l'autre. Cela peut inclure des gestes simples comme se tenir la main, échanger des mots réconfortants ou partager une activité apaisante. Le "subdrop" est un phénomène complexe qui mérite une attention toute particulière. En comprenant ses origines et ses implications, nous pouvons mieux soutenir ceux qui en font l'expérience.
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Par : le 24/08/23
Valeri et Xian rentrent à  la base de la milice Stalin sur les bords de la Mer Noire, avec son petit aérodrome privé,  ses bâtiments pour les entraînements et les préparations d'opérations spéciales. Une base discrète, qui ressemble plus à une petite station balnéaire qu'à un camp militaire.  Un coup de fil urgent. - Salut Valeri, il faut que tu démontés l'opération Prigojine. Je te fais suivre toutes les instructions. - ce sera fait camarade Président.  Valeri attire contre lui Xian,  sa pire tueuse, une manchoue emasculeuse.  Il a encore envie d'elle.  Xian comprend de suite. Elle baisse son pantalon et offre son superbe fessier sur le bureau de Valeri. Un petit cul très serré  et incroyablement jouissif. Valeri est son seul homme, celui qui l'a depucelee  Elle le laisse s'enfoncer sans le moindre ménagement dans sa chatte aussi tonique et serrée que son anus. C'est presque un viol à chaque fois. Valeri en a une grosse et n'aime pas les preliminaires. De toute façon, une fois passée la douleur, Xian adore cela. C'est une tigresse. Son mâle doit la prendre de force et lui faire mal, sans quoi ce n'est pas son mâle.  Elle hurle et jouit. Valeri grogne son orgasme. Xian est vraiment jouissive. Rassasié de sexe, il allume un cigare et réfléchi. Xian ne se rhabille pas. Elle montre sa chatte qui dégouline de sperme. Elle se masse son clito et se fait encore jouir devant son maître.  Valeri lit le dossier secret reçu via le canal sécurisé.  Un coup facile cette fois. - Rhabille toi Xian. Tu pars dans trente minutes. Tu te souviens du faux Prigojine et du faux coup d'état, de la substitution dans la station?  Il faut tout démonter. Bonne chance. Tu as tout la dedans. Un bon 100xe fera l'affaire. Allez file.  Xian ne dit pas un mot. Elle ne parle jamais de toute façon. Une femme d'une fidélité  et loyauté à toute épreuve. Le soir Valeri regarde Russie one. On parle en boucle du crash d'un avion avec Prigojine et son état major à bord. Il s'allume un cigare et se sert un excellent cognac de Géorgie. Il boit à la santé du camarade Président.  Et un autre verre à  la santé du joli cul serré de Xian.  La base dort. Il fait une nuit d'encre sur la Mer Noire. Il est temps de rentrer à la maison. Roxana et Valentina doivent l'attendre. Il sourit. Elles en sont aux tours de chauffe. Une femme et une trans dans le même lit,  elles ont de quoi faire quand il n'est pas là.  Encore une mission réussie.  Et chaque fois, il a une forte envie de baiser. 
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Par : le 05/07/23
Vêtue de dentelle, de soie, elle se positionne.   Attendant patiemment son retour, agenouillée derrière la porte, elle se perd dans ces pensées. Se questionne. Se demande si chaques taches qui lui ont été imposées sont réalisées à la perfection. Minutieuse elle espère le rendre fière,  Docile, obéissante, serviable et très chienne, elle mets tout à disposition pour le satisfaire.   Le coeur chamboulé, la chatte mouillée, elle imagine,  Sentir la puissance de sa main dans ces cheveux, sa fermeté dans ces gifles, son sadisme dans l'humiliation, son désir de la maltraité, de s'occuper d'elle à coups de ceintures en lui rappelant sa place de femme inférieur.   Bouche ouverte, cuisses ouvertes, elle souhaite avoir l'honneur de le soulager, de sentir cette douce semance couler le long de sa gorge. Étouffée, impuissante, elle s'en remet à son supérieur. Hypnotisée elle lache prise, ces yeux larmoyant, suppliant de pouvoir vivre ce qui l'excite tant, servir son Maitre pour le rendre heureux. N'ayant pas le privilège de contempler un si beau visage et un si beau corps, respctant la supériorité de l'homme qui l'a dresse et l'éduque, elle ferme les yeux ne faisant qu'entendre ces pas venir de l'ombre. Son coeur s'affole, son excitation augmente, trempée elle ne resiste plus à échapper des gémissements.   Elle attends, d'entendre le son de sa voix, de sentir son corps toucher le sein. Elle attends qu'il lui prête attention. Surgissant avec force et autorité, un ordre raisonne dans la piece.    - Ouvre les yeux salope.   La peur, l'excitation, la surprise, l'inconnu, tout ce mélange et ce bouscule dans sa tête,  Sans hésitations, elle obeis, découvrant son Maitre, assis confortablement à l'autre bout de la pièce, En un claquements de doigts, elle se positionne à quatres pattes, et marche en sa direction.  Un deuxième ordre surgit et l'à fait vibrer.   - Debout, danse.    Ce qu'elle fit, une danse sensuelle, balançant ses hanches, dévoilant son corps nu, un spectacle qui ne fait que grandir l'excitation du Maitre, une source d'inspiration pour ces idées perverses.   Il arrive d'un pas élancé, l'attrape violemment par les cheveux, la fait se coucher au sol à plat ventre, il défait sa ceinture, lentement, avant d'abattre le premier coups sur ces fesses, les coups s'enchaines, sur le dos, les cuisses, la plantes des pieds, elle pleurs se debats, hurle, elle le supplie.    Excité par tant d'agitation, de larmes, de supplications, il l'à révèle, lui fait défaire sa braquette, observant une si belle et grosse queue, enfoncé d'un coups au fond de la gorge, elle pleure de nouveau, des gifles s'abats sur son visage, épuisée, le corps douloureux, elle se bat pour continuer à le satisfaire comme il le mérite, passant langouresement sa langue sur son engin, descendants petit à petit, elle se retrouve la tête étouffée entre ces jambes Il glisse sa mains le long de ses fesses, examinant l'état de ses trous, elle dégouline le long de sa jambe, il l'a positionne sur le dos, les jambes relevé, allongé sur le canapé, ses trous offert, prête à être utilisée.   Il entre, dans sa chatte si serrée, agrandissant son intérieur, il accélère, elle lui chochotte à l'oreille à qu'elle point elle aime être brutalisée, qu'elle n est bonne qu à ça entre deux larmes ruisselant sur sa joue. Il se retire, se positionne au dessus d'elle pour qu'elle puisse accueillir toute sa semance sur son jolie visage bon a souillé.   Fouettée, humiliée, heureuse d'avoir remplie son devoir de vide couille, d'avoir satisfait le Maitre, aussi bien dans ses taches ménagères, que dans son role d'object sexuel, il lui accorde le droit de se toucher, brisant sa frustration de 3 semaines, elle glisse sa main, le Maitre joue, l'ordonnant de relâcher, de reprendre, épuisée, elle supplie. Le maitre accepte.  Elle hurle de joie, d'excitation, de reconnaissance, elle pleure de délivrance.  Épuisés, ils se prennent dans les bras, se couchant ensemble, et finissent par rejoindre morphée.    Elle se réveille, le regard perdu, inquiète que ça ne soit qu'un rêve, elle se redresse, obervant autour d'elle, le regard porté en direction de la fenêtre, une lueure vient étinceller son regard, la lune apaise son coeur, la douceur de ces doigts carressant son dos nu, elle sourie, des frisons l'envahit, ces yeux remplis de desirs, plongeant le regard dans celui de son Maitre. Le rêve devient réalité.
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Par : le 02/06/23
Jeune sous officier de 25 ans dans les années 80, solitaire, beau gosse me trouvaient les filles, à l'époque, séductueur plutot d'épouses mariées, aventureux, sans lendemain, pas envie de vivre en couple.  Sportifs, militaires, nous avions l'habitude de prendre une douche à coté des vestiaires. Douches communes tous ensemble, quel que soit le grade. "Bonjour,... ça va ?.... à demain..." , échanges neutres et polis, jusqu'au jour ou un jeune capitaine, à peine 30ans m'invite. "On se croise, on ne se connait pas, après le travail, venez boire un verre, j'habite à trois stations de métro d'ici" .  Naif, réellement naif, je me rends chez lui, juste pour échanger, aucune idée derrière la tete. Juste une amitié naissante. Assis dans son salon, devant un petit apéro, il mets une K7 vidéo érotique, se caresse à travers son pantalon. Il sort son sexe et se masturbe naturellement. Dans ma culture à l'époque, se masturber est mal, honteux, je pose ma main sur la sienne d'une façon volontaire pour qu'il arrete. En meme temps je touche son sexe sans arrière pensée. Et c'est là que tout a basculé, ma vie chamboulée par ce simple geste spontanné. en disant "Arretez..." J'avais honte pour lui, franchement, se masturber... Naturellement j'ai pris son sexe chaud dans ma main, des doux va et vient réconfortants, et sentir ma puissance devant ce jeune et beau capitaine, je voulait lui donner du plaisir. Tout en restant vêtu, j'ai approché mes lèvres de son sexe pour ressentir encore plus son désir, son plaisir jusqu'à ce qu'il s'abandonne dans ma bouche. Ensuite je l'ai embrassé, partageant sa semence. Première fois que j'avais un rapport avec un homme. Je suis rentré ensuite chez moi, en banlieue, honteux, de part mon éducation et mes valeurs. Nous nous sommes revus au mess, cotoyés dans les couloirs, complices sans que plus rien ne se passe, de part ma volonté. Il aurait voulu continuer. Nous avons eu des mutations, nos chemins ne se sont plus croisés. Qu est il  devenu ? De mon coté des regrets... la bisexualité n'éxistait pas dans les années 80.  
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Par : le 26/05/23
CONFIANCE / RECIPROCITE / COMPLICITE / SENSUALITE :    1 CONFIANCE Ce n'est pas anodin que de pratiquer une relation BDSM ! En premier lieu, le Soumis doit avoir une confiance aveugle envers son Maître, car il y a des risques à  se laisser librement & volontairement dominer autant sensuellement, physiquement & sexuellement! Le soumis peut en effet se retrouver dans une situation bien délicate où alors il lui sera impossible de demander une libération ou de pouvoir se libérer lui-même ! C'est déjà arrivé de trouver un soumis incapable de se libérer! Le Maître doit également avoir une entière confiance avec celui qui a accepté de se livrer, une fois bien clairement établi les limites des deux complices bien réciproques! J'ai pu ainsi me laisser entraver dans des lieux privés ou publics en toute confiance envers celui qui aimait ainsi voir mon corps offert et disponible en toute sérénité et confiance ! Je savais qu'il prenait du plaisir à me voir ainsi immobilisé autant que j'en prenais à me savoir à sa disposition !    2 RECIPROCITE : Ce n'est guère évident de trouver une réelle réciprocité entre le soumis et son Dominant : j'avoue avoir eu le bonheur et la chance d'avoir pu expérimenter une réelle réciprocité avec deux de mes anciens Maîtres ! Je suis toujours venu chez mes Dominateurs sans crainte du risque de pouvoir me trouver dans une situation indésirable ! 3 COMPLICITE : Pas toujours sur de trouver une agréable complicité entre les deux partenaires complémentaires et pourtant bien opposés ! Quels bonheurs et plaisirs surement partagés de se savoir réellement complice de son dominateur ! Savoir et parfois voir que son Dominateur prend autant de plaisirs à Vous contraindre qu'il en à Vous dominer physiquement, sensuellement et sexuellement ! Avoir la possibilité de sentir son corps à la complète disposition d'un Maître qui est vraiment complice d'une relation Dominant-Dominé !   4 SENSUALITE :   Personnellement c'est un passage obligé : je n'entrevois guère une relation Domi/soumis sans une réelle sensualité ! Le Maître doit exercer une sensualité forte sans brutalité qui doit mener son soumis à une soumission réelle, non exclue d'une forte sensualité bien réelle! Le Maître doit pouvoir parcourir l'ensemble du corps de son soumis sensuellement jusqu'à la limite du supportable sans devoir exercer une brutalité trop souvent inutile! La Domination n'exclue pas la sensualité, bien au contraire : elle peut être d'une violence souvent plus efficace que la brutalité!
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Par : le 26/05/23
Dans le BDSM, le piétinement peut avoir une symbolique forte de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut aussi procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission. Le piétinement : une pratique BDSM Le piétinement est une pratique BDSM où une personne (généralement la dominante) piétine l'autre personne (généralement la soumise) avec ses pieds nus ou chaussés. Cette pratique peut inclure plusieurs variantes, notamment : Piétinement en talons hauts : Cette variante consiste à piétiner la personne soumise avec des chaussures à talons hauts, ce qui peut intensifier la sensation de douleur ou d'inconfort. Les talons peuvent être pointus ou larges, en fonction des préférences des participants. Piétinement sur des parties spécifiques du corps : Cette variante implique de piétiner une partie spécifique du corps, comme le ventre, le visage ou les parties génitales. Cela peut être particulièrement stimulant pour la personne soumise. Piétinement avec des accessoires : Cette variante implique d'utiliser des accessoires tels que des bottes, , des bas ou des chaussettes pour piétiner la personne soumise. Ces accessoires peuvent ajouter une texture ou une sensation supplémentaire. Marche sur le corps : Cette variante implique que la dominante marche sur le corps de la personne soumise, de la tête aux pieds. Cette pratique peut être particulièrement intense, surtout si elle est pratiquée en talons hauts. Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination et de soumission, où la personne soumise est littéralement « écrasée » sous les pieds de la personne dominante. Cette pratique peut également procurer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, qui peut être utilisée pour la stimulation ou pour renforcer le sentiment de soumission. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et doivent être pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. La communication entre les participants est essentielle pour établir les limites et les règles de la pratique. La symbolique du piétinement dans le BDSM Dans le BDSM, le piétinement a une symbolique forte de domination et de soumission. La personne soumise est littéralement sous les pieds de la personne dominante, ce qui peut être interprété comme une représentation de son infériorité et de sa soumission totale à la volonté de la personne dominante. Le piétinement peut également symboliser la punition ou la correction. En effet, si la personne soumise a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre, la dominante peut lui infliger une punition en le piétinant. En outre, le piétinement peut être utilisé pour créer une sensation de douleur ou d'inconfort pour la personne soumise, ce qui peut renforcer le sentiment de soumission et de contrôle de la personne dominante. Enfin, le piétinement peut également être utilisé comme une pratique de fétichisme. Certaines personnes trouvent les pieds très érotiques et peuvent être excitées par l'idée d'être piétinées ou de piétiner quelqu'un d'autre.   Les dominatrices et le piétinement Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement Les raisons pour lesquelles les dominatrices pratiquent le piétinement peuvent varier en fonction des préférences et des motivations personnelles de chaque personne. Cependant, voici quelques raisons courantes pour lesquelles les dominatrices peuvent être attirées par cette pratique : 1. La domination : Le piétinement est souvent utilisé comme une pratique de domination dans le BDSM. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de pouvoir contrôler et dominer complètement la personne soumise, qui se trouve sous leurs pieds. 2. Le fétichisme des pieds : Certaines dominatrices peuvent avoir un fétichisme des pieds, ce qui signifie qu'elles sont sexuellement excitées par les pieds. Le piétinement peut leur permettre de satisfaire leur fétichisme tout en dominant leur partenaire. 3. La punition : Le piétinement peut être utilisé comme une forme de punition pour la personne soumise, si elle a enfreint une règle ou n'a pas obéi à un ordre. Les dominatrices peuvent trouver cela satisfaisant de pouvoir punir leur partenaire de cette manière. 4. La stimulation : Le piétinement peut être utilisé pour créer une stimulation physique pour la personne soumise. Les dominatrices peuvent trouver cela excitant de voir la réaction de leur partenaire à la sensation de douleur ou d'inconfort créée par le piétinement. La relation entre la dominatrice et le soumis dans le piétinement Le piétinement dans le BDSM implique une relation de domination et de soumission entre la dominatrice et le soumis. La dominatrice est celle qui domine et contrôle la situation, tandis que le soumis est celui qui est soumis à sa volonté. Le piétinement est l'un des moyens pour la dominatrice de manifester cette domination. Dans une relation BDSM, la dominatrice et le soumis ont établi des règles et des limites claires avant de commencer la pratique. Ils ont également discuté de leurs désirs et de leurs attentes en ce qui concerne le piétinement, afin que chacun soit conscient des attentes de l'autre. Le soumis est prêt à se soumettre à la volonté de la dominatrice, qui est prête à assumer la responsabilité de la sécurité et du bien-être de son partenaire soumis. Lors du piétinement, la dominatrice peut demander au soumis de se mettre à genoux ou à plat ventre, afin qu'elle puisse le piétiner. Elle peut utiliser ses pieds nus ou chaussés pour piétiner différentes parties du corps, en fonction de ce qui a été convenu au préalable. Le soumis peut ressentir de la douleur, de l'inconfort ou de l'excitation en fonction de l'intensité du piétinement. La dominatrice peut également communiquer avec son partenaire soumis pour savoir comment il se sent et s'assurer que les limites établies sont respectées. Dans le cadre d'une relation BDSM, le piétinement est une pratique consensuelle qui peut renforcer la relation de confiance et de respect mutuel entre la dominatrice et le soumis. En effet, le soumis fait confiance à la dominatrice pour respecter ses limites et pour le protéger, tandis que la dominatrice respecte les limites établies et assume la responsabilité de la sécurité de son partenaire soumis. Cette pratique peut également permettre aux participants de mieux comprendre leurs désirs et leurs limites, ainsi que de renforcer leur connexion émotionnelle et physique.  Les aspects psychologiques et physiques du piétinement Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement Les sensations ressenties par le soumis lors du piétinement par une dominatrice peuvent varier en fonction de l'intensité de la pratique, de la durée et des parties du corps impliquées. Cependant, voici quelques sensations courantes que le soumis peut ressentir : 1. Douleur : Le piétinement peut être douloureux, surtout si la dominatrice applique une pression importante sur une zone sensible du corps. Cette douleur peut être ressentie comme une sensation de brûlure ou de piqûre. 2. Inconfort : Même si le piétinement n'est pas nécessairement douloureux, il peut être très inconfortable pour le soumis. Il peut ressentir une pression sur les parties de son corps piétinées, qui peuvent devenir engourdies ou endolories. 3. Excitation : Certaines personnes soumises peuvent trouver le piétinement excitant, surtout s'il est pratiqué avec une certaine intensité. Cette excitation peut être ressentie comme une montée d'adrénaline ou une augmentation de la tension sexuelle. 4. Soumission : Le piétinement est une pratique BDSM qui implique une relation de domination et de soumission. Le soumis peut ressentir une sensation de soumission en étant sous les pieds de la dominatrice, qui contrôle la situation et a le pouvoir de décider de la suite des événements. Il est important de noter que toutes les pratiques BDSM doivent être consensuelles et pratiquées en toute sécurité pour éviter tout risque de blessure. Les limites et les règles de la pratique doivent être clairement établies avant de commencer, et la communication entre les participants est essentielle pour s'assurer que chacun est à l'aise avec ce qui se passe.   L'impact psychologique du piétinement sur les participants DOMINATRICE : Le piétinement dans le BDSM peut avoir un impact psychologique sur la dominatrice qui le pratique, même si cette pratique peut être source de plaisir et d'épanouissement pour elle. En effet, cette pratique implique une relation de domination et de soumission qui peut avoir des répercussions psychologiques sur les participants. Dans le cas spécifique de la dominatrice, le piétinement peut renforcer son sentiment de pouvoir et de contrôle sur son partenaire soumis. Elle peut ressentir une satisfaction à l'idée de dominer et de soumettre son partenaire, ce qui peut renforcer son estime de soi et son sentiment de puissance. Cependant, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur la dominatrice si elle se sent mal à l'aise ou coupable d'infliger de la douleur ou de l'inconfort à son partenaire. Si elle ne parvient pas à distinguer clairement la frontière entre le jeu BDSM et la réalité, cela peut entraîner des sentiments de culpabilité et de confusion chez la dominatrice. De plus, la pratique du piétinement peut être mentalement éprouvante pour la dominatrice. Elle doit être en mesure de gérer les émotions et les sensations de son partenaire soumis tout en restant concentrée sur la pratique elle-même. Si la dominatrice a du mal à gérer ses propres émotions ou à maintenir une communication claire avec son partenaire soumis, cela peut rendre la pratique difficile et épuisante sur le plan mental. Il est donc important que la dominatrice soit consciente de ses limites personnelles et qu'elle s'assure que son partenaire soumis respecte les règles et les limites établies. La communication ouverte et honnête est essentielle pour que les deux participants puissent tirer le maximum de plaisir et de satisfaction de cette pratique BDSM. SOUMIS : Le piétinement dans le cadre d'une relation BDSM peut avoir un impact psychologique sur le soumis qui peut être à la fois positif et négatif. D'une part, le piétinement peut provoquer une excitation sexuelle chez le soumis, ce qui peut renforcer son désir et son attraction pour la dominatrice. Il peut également ressentir une sensation de soumission qui peut être source de plaisir et d'épanouissement, en étant sous les pieds de la dominatrice et en se soumettant à ses désirs. D'autre part, le piétinement peut également avoir un impact négatif sur le soumis si les limites sont dépassées ou si la pratique est trop intense. La douleur et l'inconfort peuvent être ressentis comme extrêmement désagréables et traumatisants, ce qui peut avoir des conséquences psychologiques à long terme. Le piétinement peut également avoir un impact sur l'estime de soi du soumis. Si la dominatrice utilise cette pratique pour humilier ou dévaloriser le soumis, cela peut affecter son image de lui-même et le faire douter de sa valeur personnelle. Il est donc important que le soumis soit en mesure de fixer des limites claires et de communiquer ouvertement avec la dominatrice afin de s'assurer que ses besoins et ses désirs sont respectés. En fin de compte, il est important que les participants à une pratique BDSM comme le piétinement soient conscients des risques potentiels et de l'impact émotionnel que cela peut avoir sur eux. La communication ouverte, l'établissement de limites claires et le respect mutuel sont essentiels pour que cette pratique soit pratiquée en toute sécurité et pour que les participants en retirent une expérience positive et enrichissante.  
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Par : le 08/05/23
Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm Comment débuter une relation BDSM ? Vous vous sentez attiré par le BDSM, mais vous ne savez pas comment débuter une relation BDSM ? Cette page est faite pour vous ! Après avoir répondu à de nombreux lecteurs, je vais mettre ici quelques-unes des questions les plus posées et y apporter mes réponses. Si vous avez d’autres questions  venez sur le forum ou contactez-moi via ce formulaire. Je ferai souvent référence à notre jeu pour soumise, pas forcément parce que je pense que c’est la meilleure solution mais parce que les conseils que je donne je les ai intégré à notre jeu. Comment dresser une soumise ! Cette page évolue au fur et à mesure des questions. Elle peut s’appliquer quel que soit le sexe de la personne dominante et de la personne soumise. Afin d’éviter les lourdeurs dans le texte, je ne mettrai pas systématiquement toutes les versions de “le” ; “la” “soumis” dominatrice etc. Attention Les conseils prodigués ici ont pour but d’amener deux personnes consentantes à avoir une relation BDSM (ou Maître(sse) / esclave ou Dominant(e) / soumise) pour le plus grand plaisir des deux. Si votre question est “comment faire pour que ma femme soit mon esclave” mais sans s’occuper d’elle ni s’intéresser à ce qui lui plaît, vous pouvez d’ors et déjà fermer cette page. Ça doit rester ludique et amusant pour vous deux. Bon, oui, il y aura des moments un peu difficile, ça peut chauffer durement une fessée… De quoi parle-t-on exactement ? BDSM sont les initiales de Bondage et Discipline, Domination et Soumission, Sadisme et Masochisme. Il s’agit d’un ensemble de pratiques sexuelles faisant intervenir le bondage, les punitions, le sadisme et le masochisme, ou encore la domination et la soumission. C’est un jeu sexuel où chacun décide de prendre une position définie. Il y a plusieurs types de relations BDSM, en fait il y en a autant que de couples (ou de groupes…). C’est a vous de créer ce qui vous ressemble, ne vous intéressez pas à “ce qui se fait” ou “ce qui doit être fait”. On peut être masochiste ou pas, sadique ou pas, aimer l’humiliation ou pas, être libertin ou exclusif… Tout est possible. Vous pouvez tout de même jeter un œil à une référence “les 9 niveaux de soumissions dans le cadre BDSM” Comment trouver une soumise / Comment trouver un soumis ? Dans la vie de tout les jours ! Et oui, parfois on trouve juste un(e) partenaire et on se dirige lentement vers une relation dominant(e) / soumis(e). Les forums et sites dédiés au BDSM. Attention si vous allez sur des forums, ne postez PAS de petite annonce, en plus d’être parfaitement inutile c’est souvent mal pris. Ces lieux sont des communautés, vous ne pouvez pas demander quelque chose d’aussi intime à un groupe 15 minutes après vous y être inscrit. Je suis sur quelques forums / sites : Sur notre forum BDSM, ici www.bdsm.fr https://fetlife.com/ Les munchs Il s’agit de rencontres réelles de gens intéressés par le BDSM. Lors de ces réunions on discute, parfois on boit et on mange. Généralement, ces échanges se font dans des lieux tout public : il faut être habillé normalement, pas de relation sexuelle, bref comme on fait dans un bar. C’est plus rassurant pour tous, d’ailleurs ! Rien n’empêche après, si des affinités se créent, d’aller finir la soirée ailleurs. Comment trouver une Maîtresse ? Comment trouver un Maître ? (Ou un(e) dominant(e). Voir réponse ci-dessus ! J’ai trouvé un soumis / une soumise / un dominant / une dominante sur internet, et ça a l’air d’être une perle rare. Attention. C’est peut être tout à faire vrai, et la personne est peut être totalement honnête. Ou pas. Il y a beaucoup de ce qu’on appelle des “fantasmeurs”, ce sont des gens qui vont se projeter, pour un temps dans un jeu de rôle qui les excite. Cela agit pour eux comme un jeu de rôle (RolePlay BDSM). De votre côté, vous vous investissez beaucoup : soit à créer des scénarios, des ordres, établir et entretenir un lien. Soit en étant obéissant, en montrant votre dévotion. Dans les deux cas en vous rendant disponible. Sauf que, d’une part, du jour au lendemain l’autre personne peut tout plaquet. D’autre part, êtes vous certain que la personne à qui vous écrivez est celle qu’elle prétend être ? J’ai déjà un(e) partenaire, comment lui faire savoir mes penchants ? Et oui, c’est compliqué ! Peur d’être honteux, rejeté, moqué… Surtout si on est jeune et qu’on craint que ça ne se répande dans le cercle d’amis ou de connaissances. Si vous êtes dans ce dernier cas, faites très attention, car le harcèlement peut prendre des proportions énormes en un rien de temps. En cas de catastrophe ne restez pas seul(e), parlez avec un(e) ami(e) sûr(e), ou parlez en sur un forum ou ici, je ferme la parenthèse. Si vous êtes un peu anxieux(se), pour en parler à votre partenaire optez pour une solution qui ne laisse pas de trace : l’oral, des exemples sur votre téléphone ou ordinateur, mais rien d’écrits que vous envoyez. Ensuite, vous pouvez opter pour plusieurs choses :  Un SMS, si comme moi vous avez du mal à parler directement, “tu connais le BDSM ? Je découvre quelques photos que j’aime bien” et ajoutez en une ou deux pour amorcer la discussion. C’est un peu bateau mais ça peut se mêler dans la vie de tout les jours. Une lettre manuscrite ou écrite à l’ordinateur et imprimée ou envoyée par courriel. Il faut se poser et l’écrire, la relire, peut être attendre un peu… Et envoyer ! Ça permet de bien choisir ses mots et son moment. Lui parler, lui expliquer, pendant un repas, un RDV ou un apéro. Mais qu’est ce que je lui dit ? Ce que vous ressentez, pour elle / lui, ce que vous aimeriez lui faire, ou qu’elle vous fasse. Ce que vous aimeriez en plus, ce que vous avez déjà fait et que vous avez apprécié. Vous pouvez ajouter des photos et / ou vidéos, ou des liens vers des photos et vidéos qui vous plaisent. Essayez de savoir un peu ce que vous voulez avant d’aborder le sujet avec l’autre. Est-ce que la personne va refuser ou accepter ? Ça je ne peux pas le savoir. Mais honnêtement, aucune des personnes avec qui j’ai parlé est revenu me dire “bon, elle n’a pas voulu”. Et si mon (ma) conjoint(e) décide de me quitter ? Concrètement, si vous ne pouvez pas parler de sujets comme celui-ci à votre partenaire… Avez vous vraiment un partenaire ? Autant ne pas perdre de temps, si vous vous rendez compte que ça vous est “vital” et que c’est hors de question avec votre conjoint(e), l’un, l’autre, ou les deux risquez d’être malheureux et de vous abîmer. Elle semble partante pour essayer et elle voudrait en savoir plus, que faire ? Discuter, encore. Échanger vos préférences. Pourquoi ne pas lui indiquer ce site ? La personne pourra lire des questions réponses, et poser toutes celles qu’elle veut ! Je pourrais également transmettre les questions à ma soumise qui répondra directement. Mon conjoint semblait partant, mais tarde à prendre des initiatives pour me soumettre. Déjà un homme très excité (ça marche aussi pour les femmes…) aura probablement beaucoup plus tendance à se lâcher et à aller vers ce que vous souhaitez. Vous pouvez essayez de créer un scénario, même des grandes lignes, et  lui présenter afin de le réaliser. Sinon essayez de savoir ce dont vous avez envie, puis pendant une partie de jambe en l’air bien chaude, lui dire de vous fesser, de vous baiser bien fort à 4 pattes. Vous pouvez essayer de bien l’exciter : en le suçant à genoux, en écartant votre cul, votre chatte pour le mettre dans l’ambiance. Attention, si le but est d’avoir un(e) partenaire soumise, le vous déconseille de bien l’exciter pour ensuite le / la soumettre par surprise : c’est de l’abus. Comment savoir ce qu’on aime, il y a une liste ? Hé bien… Oui, j’ai une page dédiée à cette liste : Liste de préférence sexuelle (Checklist BDSM, questionnaire bdsm) je vous conseille de la remplir chacun de votre côté et de mettre en commun ensuite. Il faut clairement poser vos limites, l’un comme l’autre. Allez, on se lance ! Faut-il du matériel en particulier ? Absolument aucun. Ça viendra avec le temps ! Pour démarrer, vous avez déjà vos mains pour fesser, pourquoi pas une spatule de cuisine. A-t-on besoin de quelque chose pour se mettre à genoux ? Au gré des envies, des cadeaux, des promos, vous ferez votre stock d’accessoires et de tenues. Le but est de prendre du plaisir à deux : votre corps suffit. Je manque d’idée… Qu’est-ce que je peux faire ? C’est précisément pour cette question que je partage notre jeu : allez voir sa page ou celle de la version vanille. Il y a au total plus de 200 idées pour soumettre sa femme, ou pour se soumettre. Une version pour homme soumis devrait arriver. Mademoiselle (ou Madame, ou autre) accepte d’être ma soumise une soirée, qu’est ce que je fais ? C’est toujours compliqué de répondre à ce type de question, car elle dépend vraiment de vous, du couple que vous formez et de vos préférences. Parmi les idées que je propose, c’est à vous de créer votre projet. En revanche je vous conseille de créer un SafeWord (mot de sécurité, mot de secours, vous ci-dessous). Respectez ses limites et son consentement. Comment débuter une séance ? Il y a mille manières ! Mais si on est ensemble, je conseil de la mettre à genoux, de lui mettre un collier (voir plus bas), ou autre signe distinctif et de lui demander “qu’est ce que tu es ?”, elle répond alors “Je suis ta chienne” ou quelque chose comme ça. Plusieurs propositions sont intégrées dans les règles de notre jeu. Qu’est-ce que le SafeWord ? Il s’agit d’un ou plusieurs mot, qui, lorsqu’ils sont prononcés, font baisser l’intensité du jeu, ou arrête tout. Soit le temps de reprendre ses esprits et de ce mettre d’accord, soit complètement jusqu’à un prochain jeu. Dans notre contrat nous en avons plusieurs : « Orange » on calme un peu. « Rouge » on arrête tout et on discute. « Câlin », tu te mets contre moi et je te câline, tu me redis quand tu te sens prête à continuer. Lorsque le safeword est prononcé faites ce qui est prévu : calmez-vous ou arrêtez-vous immédiatement. Vraiment, sinon vous torpillez la confiance de votre partenaire -et à juste titre- vous ne la méritez pas. Pour les premiers jeux, évitez les baillons pour que votre partenaire puisse s’exprimer librement. Faut-il créer un scénario complet ? Vous pouvez, mais je vous conseille de faire quelque chose de vague : quelques idées notées, quelques pratiques, un déroulement schématique. Sachez inviter l’inattendu ! Sur le moment vous aurez probablement d’autres envies, d’autres idées. Vous pouvez également créer un scénario très précis et essayer de le respecter à la lettre, c’est autre chose et ça peut rassurer de savoir à l’avance ce qui est prévu. Quelque chose ne se passe pas comme prévu, je fais quoi ? Il faut savoir s’adapter : il y aura des bonnes et des mauvaises surprises. Ne vous vexez pas et avancez. Vous trouverez d’ailleurs des exemples de mes “échecs” sur ce blog, nous sommes humains et je tiens à montrer que nous ne sommes pas différents, quel que soit le côté du fouet où on est. Elle refuse un truc, je la punis ? C’est très excitant, on est bien lancé… Mais elle n’agit pas comme prévu. Clairement, surtout au début, je vous déconseille de la punir si ça ne va pas comme vous voulez, ça braquerait encore plus. Vous êtes dans la vraie vie : prenez soin l’un de l’autre. Attention à l’effet que ça peut avoir sur elle, restez bien à l’écoute. S’il s’agit d’un jeu entre vous, qu’elle vous teste, vous pouvez insistez en restant dans le cadre définit au départ. Si vous avez essayé de faire quelque chose alors qu’elle vous avait dit que c’était en dehors de ces limites, vous êtes fautif, présentez vos excuses et rassurez votre partenaire. Si vous avez juste proposé pour voir si elle pouvait aller plus loin, revenez en arrière. Mais, ma compagne n’est pas forcément prête en même temps que moi. Je suis personnellement parti du principe que le dominant serait toujours plus ou moins prêt et que c’est à la personne soumise de définir lorsqu’elle est prête. C’est pour ça que dans notre jeu, la soumise ou l’apprentie pioche deux actions par mois et les réalise quand elle veut dans le mois. Ça permet qu’elle se sente bien, prête, et qu’elle ait pu faire tout ce qui lui semble nécessaire pour le bon déroulement de l’action et du jeu. Cette article peut également aider : Je suis soumise mais je n’ai pas envie, que faire ? Est-il possible de lui imposer un moment où elle est soumise ? C’est à vous de voir. Surtout, ne vous précipitez pas. Dans une situation comme la notre, à mon avis il peut être nécessaire à un dominant de choisir un moment ou Mlle ou Mme DOIT être soumise quoi qu’elle en pense -à partir du moment où elle a accepté cette possibilité-. Dans le cadre de notre jeu, ma soumise l’est : pendant ses actions, pendant 96h à la suite une fois par an (la date est choisie ensemble), 3 fois 24h répartie dans l’année quand je veux. Je lui envoie ou lui dis simplement quelque chose du type “à partir de maintenant et pour 24h tu es ma soumise”, elle signe son contrat et débute sa période de soumission. Lorsque l’ordre est donné par SMS le contrat est signé plus tard. Un contrat est-il obligatoire ? Absolument pas. Alors pourquoi on en fait un ? Déjà, pour entrer dans le rôle, ça a un côté solennel, comme le collier. Ensuite, parce que ça peut permettre de mettre noir sur blanc les limites, les obligations, les rôles de chacun. Dans le BDSM, tout est souvent du spectacle ! Si vous en faites un, ne signez pas ce avec quoi vous ne seriez pas d’accord. Nous proposons un grand nombre de contrats BDSM ici. Comment être guidé ? Il y a plusieurs solutions, les forums, les réseaux sociaux, vous connaissez tout ça. Il y a aussi le mentorat BDSM : il s’agit de choisir un mentor, un compagnon de route a qui poser nos questions, construire avec lui le cheminement. Les personnes dominantes et les personnes soumises peuvent demander ceci, et à mon sens même si le mentor est souvent un dominant pour un autre dominant : il n’y a pas de règle. J’ai moi même conseillé plusieurs soumises, qui se posaient des questions sur le chemin que prenait leur relation. Vous pouvez me contacter via le formulaire, via instagram,  Le collier est-il obligatoire ? Ma femme refuse de porter un collier. Absolument pas. Si elle refuse, elle refuse, point. Elle trouve peut être cela trop dégradant. La situation changera sûrement si elle comprend, ou plutôt lorsque vous lui aurez montré que devenir “une chienne” ne ternit pas son image à vos yeux, mais au contraire vous rend fier. Pourquoi ne pas lui proposer de porter un joli ruban au départ ? Ou un petit bracelet, ou une petite chaîne de cou, sans connotation autre que pour vous. Ça peut être l’occasion d’un petit cadeau ! Par ailleurs certains dominants estiment que le collier doit se mériter et s’obtenir après un certain temps. Est-ce qu’on peut inverser les rôles ? Absolument ! Dans le milieu ça s’appelle “switcher”, on appelle “switch” ceux qui inversent régulièrement. Je trouve que c’est très positif : ça permet à celui / celle qui prend le rôle de dominant de se rendre compte de la responsabilité, de savoir à quoi il faut penser, de préparer des choses, de prendre soin de l’autre. Pour celui / celle qui devient soumise, ça permet de savoir la difficulté d’obéir en tout, voir de souffrir pour son / sa dominant(e). Je souhaite faire du Shibari / bondage, ligoter mon / ma partenaire ? Tant mieux ! Renseignez vous bien sur les consignes de sécurité avant de vous lancer. Vous trouverez quelques tutoriels de bondage simple ici: https://*** Lien en cours de validation (=attente du lien retour sur le site mentionné) ***/tag/tutoriel Mon / Ma conjoint(e) veux me soumettre, est ce qu’il m’aime ? Je ne connais pas votre couple, je ne peux pas être catégorique. Pour savoir s’il / elle vous aime : il faut lui demander. En revanche, est-ce qu’on peut être fou amoureux de quelqu’un et vouloir la soumettre ? Oui, c’est mon cas. Est-ce pour me punir, j’ai fais quelque chose de mal ? Non. Si d’ailleurs vous devez prendre une punition violente parce que vous “avez raté quelque chose” dans la vie de tous les jours, vous êtes probablement victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. On trouve d’ailleurs souvent des soumis(e)s qui disent “fauter” exprès pour que leur dominant(e) sen occupe. Mon mari veut me faire porter un collier en public, je ne veux pas ou Mon mari veut me prêter à d’autres hommes, je ne veux pas. D’une manière générale : mon (ma) conjoint(e) veut m’imposer quelque chose que je ne veux pas. Hé bien, ne le faites pas ! Si vous pensez qu’il / elle risque de vous quitter : avez vous envie de rester avec quelqu’un qui vous dit “soit tu fais ça soit je te quitte ?” ça finirai comment ? Après, oui, ça peut demander quelques efforts. Ne faites pas ce qui n’est pas tolérable pour vous, mais si un petit effort fait de gros effets ? J’essayerai bien, mais j’ai vu des photos de choses terrifiantes. Voir réponse ci-dessus : ne faites que ce que vous voulez. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Je n’y arriverai jamais ! Les soumis(es) sur internet font des choses extraordinaires, je vais forcément être une déception. Ayez confiance en vous ! Parlez avec votre partenaire, énoncez-lui vos craintes, vos limites, vos efforts. À chaque progrès il / elle sera comblé(e), promis. De nouveau, ne faites que ce que vous voulez, et que ce que vous pouvez assumer. Savez vous ce que veut votre conjoint(e) ? Il n’a peut être pas prévu de vous percer les seins à l’agrafeuse, il veut peut être juste vous contempler à genoux avec un beau collier. Mais si je me mets à ses genoux, si je me soumets… Il ne va plus me voir que comme une chienne ?! Si c’est quelqu’un de bien dans une relation équilibrée, non. Si ce n’est pas quelqu’un de bien : il vous voit déjà comme un trou. Personnellement, plus ma soumise accepte volontairement d’être soumise, humiliée, baisée… Plus elle est grande et merveilleuse à mes yeux. Il / elle veut me rabaisser en dehors des séances de BDSM Alors ce n’est pas un jeu, vous êtes juste victime de violence domestique, pas acteur d’une relation équilibrée avec un jeu dominant / soumise. Dans le cadre BDSM sain, les erreurs sont bien souvent un prétexte pour jouer. Personnellement, je pense que plus la soumise est forte dans tous les aspects de sa vie, plus sa soumission volontaire et joyeuse à de la valeur. Le rôle du (de la) dominant(e) est de soutenir son (sa) conjointe dans la vie de tous les jours, de le (la) rendre fort(e) et autonome. Voir cet article : BDSM sain ou violences. Que faire pour ne pas avoir de marque ? (Pour les enfants, le sport, l’été…) Privilégier les techniques qui ne laissent pas de marque : pincement de tétons et de lèvres, jeux d’humiliation, doigts dans la gorge, dilatation, déni d’orgasme… Plus les objets sont larges, moins ils marquent facilement : le paddle, la main sont donc à privilégier. Bien entendu, ne pas utiliser d’objet qui laissent des marques ou les utiliser doucement. Avec l’habitude, la peau durcit et on marque moins. Nous, nous pratiquons peu la douleur la peau est donc sensible en permanence.   Article d'origine : https://intime-photographie.fr/incontournable/comment-debuter-une-relation-bdsm
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Par : le 16/03/23
Pourquoi la plupart des gens ont peur du BDSM ? Il y a plusieurs raisons pour lesquelles certaines personnes pourraient trouver le BDSM intimidant ou effrayant. L'une des principales raisons est que le BDSM implique souvent des pratiques qui sortent des normes sexuelles traditionnelles et peuvent être considérées comme taboues ou déviantes par certaines personnes. Cela peut conduire à des idées fausses sur le BDSM, telles que la croyance qu'il est toujours abusif ou non consensuel, ce qui peut contribuer à la peur ou à l'inconfort. De plus, certaines personnes peuvent avoir peur du BDSM parce qu'elles l'associent à des stéréotypes de comportement extrême ou dangereux, comme la représentation du BDSM dans les médias populaires comme violente ou pathologique. Les représentations médiatiques du BDSM ont souvent été sensationnalisées ou déformées, créant une image biaisée du BDSM. Par exemple, certains films et émissions de télévision décrivent le BDSM comme violent, abusif ou non consensuel. Ces stéréotypes peuvent être inexacts et trompeurs, mais ils peuvent tout de même contribuer à la peur ou à l'inconfort. D'autres personnes peuvent tout simplement ne pas être familières avec le BDSM et ne pas comprendre les principes de consentement éclairé, de communication et de respect mutuel qui sont au cœur de la sous-culture. Sans cette compréhension, ils peuvent considérer le BDSM comme dangereux ou nuisible, conduisant à la peur ou à l'évitement. Alors que les participants aux activités BDSM prennent justement des mesures pour atténuer ces risques, comme établir des limites claires et utiliser des mots sûrs. Il est important de noter, cependant, que le BDSM peut être un moyen sûr et consensuel pour les individus d'explorer leur sexualité et leurs désirs. De nombreuses personnes qui pratiquent le BDSM rapportent que c'est une partie positive et épanouissante de leur vie, et que cela les a aidées à développer des liens plus profonds avec leurs partenaires et à explorer de nouveaux aspects de leur sexualité. Bien que ce ne soit pas pour tout le monde, il n'y a aucune raison de craindre ou de juger ceux qui choisissent de s'y engager.   Quelle est la philosophie du BDSM? Dans les profondeurs de la psyché humaine se révèle un royaume complexe et fascinant de désir et de plaisir. Un monde où le concept de pouvoir et de soumission, de douleur et de plaisir, se fond en une philosophie de vie profondément enracinée. Mais que se cache-t-il réellement derrière les liens noir et blanc de cette pratique ? Le BDSM, abréviation pour Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadisme et Masochisme, est bien plus qu'une simple inclination sexuelle ou une variante de l'érotisme. C'est un réseau complexe d'émotions, de confiance, de dévouement et de découverte de soi. Chaque lettre de cet acronyme dévoile une facette de l'être humain et nous invite à plonger profondément dans les abysses de nos propres désirs. Dans le BDSM, il ne s'agit pas seulement de céder au désir de douleur ou de soumission, mais aussi d'explorer les niveaux cachés de la psyché et de comprendre les nuances de l'interaction entre domination et soumission. C'est un voyage vers la connaissance de soi, où les limites sont repoussées, les peurs surmontées et une compréhension profonde de sa propre sexualité est acquise. La philosophie du BDSM repose sur les piliers du consentement, de la communication et du respect. Chaque action se déroule dans un cadre consensuel où tant le côté dominant que le côté soumis peuvent exprimer et respecter leurs besoins et leurs limites. C'est un monde de confiance et de responsabilité où les rôles sont clairement définis et où la liberté d'être soi-même existe, sans jugement ni honte. Le BDSM est une forme d'art érotique où le corps et l'esprit fusionnent. C'est une danse entre domination et dévotion, entre douleur et plaisir, qui nous apporte une profonde satisfaction et épanouissement. C'est une rébellion contre les normes sociales et un engagement envers la liberté de notre propre épanouissement sexuel. Dans les sentiers sinueux du BDSM se trouve une forme unique d'intimité où nous pouvons nous ouvrir complètement et nous découvrir d'une manière qui dépasse les limites du quotidien. C'est un monde d'extrêmes et de douceur à la fois, où les abîmes sombres de l'âme se fondent avec les sommets lumineux du plaisir. Le BDSM est un voyage de découverte, un voyage vers les recoins les plus profonds de nos propres désirs et peurs. C'est une invitation à nous explorer nous-mêmes et à trouver notre noyau véritable. C'est une philosophie qui nous enseigne que notre nature sexuelle est diverse et que la liberté d'exprimer nos besoins est une source de force et de bonheur. Dans la philosophie du BDSM, nous découvrons un espace de liberté, de croissance et d'accomplissement de soi, où les individus peuvent explorer leurs propres désirs et limites sexuelles. C'est un lieu où ils peuvent vivre leurs fantasmes les plus profonds sans jugement ni honte, afin de développer leur identité sexuelle et mener une vie épanouissante. Dans cet espace, la liberté individuelle, la croissance personnelle et la recherche d'une expression de soi authentique sont appréciées et encouragées. Certains thèmes et principes communs incluent : Consentement : Le consentement est la pierre angulaire de la philosophie BDSM. Toutes les activités doivent être négociées et convenues à l'avance par toutes les parties concernées, et toutes les frontières ou limites doivent être respectées.   Échange de pouvoir : le BDSM implique souvent une dynamique de pouvoir, où un partenaire assume un rôle dominant et l'autre un rôle de soumission. Cet échange de pouvoir peut être vu comme une forme de jeu, une façon d'explorer ses désirs et ses limites, et une façon d'approfondir l'intimité et la confiance.   Confiance et communication : étant donné que le BDSM implique un niveau élevé de vulnérabilité et de risque, il nécessite une base solide de confiance et de communication entre les partenaires. Une communication ouverte et honnête est essentielle pour négocier les limites, s'enregistrer pendant le jeu et assurer le suivi.   Exploration et découverte de soi : le BDSM peut être un moyen d'explorer sa sexualité, ses désirs et ses limites personnelles. En repoussant les limites de manière sûre et consensuelle, les individus peuvent découvrir de nouveaux aspects d'eux-mêmes et de leur sexualité.   Respect et empathie : Malgré la dynamique de pouvoir inhérente au BDSM, tous les participants sont égaux et méritent respect et empathie. Cela comprend le respect des limites et la reconnaissance de l'importance du suivi pour favoriser le bien-être émotionnel et physique.   La philosophie du BDSM est complexe et multiforme. Il souligne également l'importance de l'exploration de soi, de l'expression de soi et de l'acceptation de ses désirs et de ses fantasmes. Il encourage les individus à explorer leur propre sexualité, leurs désirs et leurs limites dans un environnement sûr et consensuel. Il met l'accent sur l'importance de la confiance et du respect entre les partenaires. Il est important de noter que l'échange de pouvoir n'est pas nécessairement une question d'abus ou de coercition. Dans le BDSM, le pouvoir est échangé de manière consensuelle et avec l'intention d'un plaisir et d'un épanouissement mutuels. Les deux partenaires doivent se sentir en sécurité, respectés et valorisés dans leurs rôles, et doivent pouvoir communiquer ouvertement et honnêtement l'un avec l'autre.   Comment se déroule une séance BDSM ? Les séances BDSM peuvent varier considérablement en fonction des préférences et des désirs des participants impliqués, ainsi que de la nature de leur relation. Cependant, il existe certaines directives générales que de nombreux praticiens BDSM suivent pour assurer la sécurité et le plaisir pendant leurs séances. Premièrement, les participants s'engageront généralement dans des discussions et des négociations détaillées au préalable pour établir leurs frontières, leurs limites et leurs désirs. Cela peut impliquer de discuter du type de jeu qui les intéresse, des limitations physiques ou émotionnelles qu'ils peuvent avoir et des déclencheurs ou des zones sensibles qui devraient être évités. Une fois ces détails convenus, la session peut commencer. Cela peut impliquer l'utilisation de divers outils BDSM, tels que des cordes, des menottes, des pagaies ou des fouets. Le partenaire dominant prendra souvent l'initiative de diriger les activités, tandis que le partenaire soumis peut être censé suivre ses instructions et céder le contrôle. Au cours de la session, les participants peuvent s'adonner à diverses activités, telles que le bondage, la domination, la soumission, le jeu d'impact ou la privation sensorielle. Ces activités peuvent être pré-négociées ou improvisées en fonction des préférences des participants. Tout au long de la session, les deux partenaires doivent vérifier l'un avec l'autre pour s'assurer que tout le monde est à l'aise et s'amuse. Il est important de prendre des pauses au besoin et de communiquer ouvertement et honnêtement au sujet de toute préoccupation ou problème qui survient. Les participants peuvent utiliser des mots sûrs ou d'autres signaux pour indiquer quand ils se sentent dépassés ou mal à l'aise, et le jeu peut être ajusté ou arrêté si nécessaire. Une fois la session terminée, les participants peuvent s'engager dans un suivi, qui consiste de débriefer et de discuter de ce qu'ils ont ressenti à propos de l'expérience, à fournir un soutien émotionnel, des soins physiques et à se rassurer les uns les autres. Cela peut être une partie importante du processus, car cela aide à garantir que les deux partenaires se sentent en sécurité, pris en charge et respectés après s'être livrés à des jeux intenses et intimes. Cela peut aider à établir la confiance et à renforcer la relation entre les partenaires. Il est important de noter que les séances BDSM doivent toujours être consensuelles, sûres et respectueuses, et ne doivent avoir lieu qu'entre des participants informés et consentants. Les participants doivent être conscients des risques liés à certains types de jeu et doivent prendre les précautions appropriées pour assurer leur sécurité et leur bien-être.   Quels sont les avantages d'une séance BDSM ? Les sessions BDSM peuvent avoir une variété d'avantages pour ceux qui choisissent de s'y engager. Voici quelques-uns des avantages potentiels du BDSM : Amélioration de la communication : le BDSM nécessite un haut niveau de communication et de négociation, ce qui peut aider les partenaires à développer des compétences de communication plus solides dans leur relation.   Confiance accrue : les séances BDSM impliquent souvent un degré élevé de confiance entre les partenaires, car un partenaire peut céder le contrôle à l'autre. Cette confiance peut aider à créer un profond sentiment de connexion entre les partenaires, alors qu'ils explorent ensemble leurs désirs et leurs limites.   Sens aiguisés : les jeux sensoriels, tels que le bandage des yeux ou la privation sensorielle, peuvent augmenter l'intensité des sensations et conduire à une expérience plus agréable.   Soulagement du stress : S'engager dans des activités BDSM peut fournir une libération du stress et des tensions quotidiennes, et permettre aux participants de s'immerger complètement dans le moment.   Exploration de la sexualité : les séances BDSM peuvent fournir un espace sûr et consensuel permettant aux individus d'explorer leur sexualité, leurs fantasmes et d'essayer de nouvelles choses. Cela peut aider à élargir les horizons sexuels et à augmenter le plaisir sans crainte de jugement ou de honte.   Autonomisation : pour certaines personnes, assumer un rôle de soumission ou de domination dans le BDSM peut être un moyen de se sentir autonome et en contrôle de leur sexualité.   Créativité accrue : les séances BDSM impliquent souvent un degré élevé de créativité et d'imagination, car les partenaires peuvent explorer différents scénarios et rôles. Cela peut aider à stimuler l'esprit et à augmenter la créativité dans d'autres domaines de la vie.   Conscience de soi accrue : S'engager dans des activités BDSM peut aider les participants à être plus en phase avec leurs propres désirs et limites, ce qui conduit à une plus grande conscience de soi et à une plus grande confiance en soi.   Pour ceux qui aiment le BDSM, cela peut être une partie enrichissante et épanouissante de leur vie sexuelle et émotionnelle. Maître Aik 2023
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Par : le 07/02/23
Il est un phénomène issu de la culture japonaise adepte des mangas et autre pop-culture qui a conquis une bonne partie de la jeune génération. Le cosplay qui autrefois était assez marginal, a envahit cet espace de pop-culture laissé à l’abandon. Durant les salons, conventions, ils ont même leur concours.  Force est de constater que beaucoup d’adeptes et de passionné(e)s redoublent de travail et d’imagination pour confectionner leur « costumes » dans le moindre détail et cela donne des résultats impressionnants...et sexy ! Car dans cette culture, il y a un point qui revient souvent dans les manifestations ou le cosplay est représenté, c’est que cela frôle souvent avec un petit côté sexy (Ce qui pose certains problèmes aussi avec certaines personnes malintentionnée durant ces salons, mais c’est un autre sujet.) voire pour certain(e)s un peu trop pour la fréquentation jeune qui arpente ce type d’événement. Durant ces conventions, je me suis toujours demandé si ces personnes avaient dans leur fantaisie, le fantasme de le faire en costume ? C’est de là que m’est venu l’idée d’un jeu en costume ou en cosplay. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/hot-cosplay/
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Par : le 18/12/22
Le Petplay dans le BDSM est une forme de jeu de rôle qui devient de plus en plus populaire au sein de la communauté BDSM. Il s'agit pour un ou plusieurs participants d'endosser le rôle d'un animal, humain ou non, et de se livrer à des activités qui imitent le comportement de l'animal choisi Les activités impliquées dans le Petplay varient largement en fonction du type d'animal choisi et peuvent aller du simple port d'un costume à des activités comme ramper, aboyer, ronronner, lécher et mordre. La durée du jeu peut aller de quelques minutes à un après-midi ou une soirée entière. Les animaux les plus populaires pour Petplay sont les chats, les chiens, les chevaux et autres animaux domestiques. En outre, certaines personnes choisissent d'incarner des animaux sauvages tels que des loups et des tigres ; toutefois, cela est beaucoup moins courant en raison de la difficulté à jouer ces rôles Dans la dynamique traditionnelle du Petplay, il y a généralement un participant qui joue le rôle du maître/propriétaire tandis que tous les autres jouent le rôle de l'animal de compagnie/esclave. Cette dynamique d'inversion des rôles est devenue de plus en plus populaire parmi les couples qui cherchent à explorer différents aspects du jeu BDSM Contrairement au jeu traditionnel de bondage et de domination où la domination est déterminée par la force physique ou la dynamique de pouvoir entre deux partenaires, le Petplay repose généralement davantage sur la psychologie, la communication et la confiance entre les deux participants. L'un des partenaires joue généralement le rôle du propriétaire tandis que le "familier" assume toutes les responsabilités associées au fait d'être possédé, comme l'obéissance et la soumission aux ordres donnés par le propriétaire Lors du petplay, il est important que tous les participants établissent au préalable des limites claires concernant les types d'activités autorisées pendant le temps de jeu, afin que chacun reste en sécurité et à l'aise dans son rôle tout au long de l'expérience. De plus, il est important que toutes les parties comprennent leurs propres mots de sécurité et en discutent avant de s'engager dans des activités qui pourraient causer du tort ou de la détresse si elles ne sont pas gérées correctement.   Les animaux les plus souvent incarnés dans les jeux de petplay Les rôles d'animaux les plus populaires dans les jeux BDSM de petplay sont les chats, les chiens, les poneys, les lapins et les renards Pour les chats, le déguisement comprend des oreilles, des moustaches, une queue et éventuellement un collier avec une cloche ou une laisse. Le chat peut être amené à agir comme un "animal de compagnie" en obéissant à des ordres comme aller chercher des jouets ou s'asseoir sur les genoux. La personne jouant le rôle du chat appréciera l'expérience en explorant son côté félin tout en s'exprimant d'une manière sûre et consensuelle Pour les chiens, le déguisement implique de porter des articles tels que des oreilles, des queues et des colliers de chien. La personne jouant ce rôle est censée agir conformément au comportement canin qui comprend l'aboiement, le remuement de la queue et l'obéissance aux ordres de son maître. Le plaisir pour la personne jouant le rôle du chien est d'explorer la dynamique entre la soumission et la dominance ainsi que de se sentir libre d'exprimer ses émotions dans la peau d'un autre être Pour les poneys, les costumes comprennent souvent des selles et des brides ainsi que des sabots pour les mains et les pieds. Ils peuvent également porter des œillères sur les yeux. Dans ce jeu, on attend des participants qu'ils se montrent obéissants, comme le font les chevaux lorsqu'on leur demande de galoper ou de sauter par-dessus des obstacles. Le fait d'endosser cette identité animale permet aux gens d'explorer les sentiments de contrôle mais aussi de confiance lorsqu'ils se laissent guider par les instructions de quelqu'un d'autre Les lapins portent souvent des oreilles et des queues associées aux lapins alors qu'ils sautillent en suivant les ordres donnés par leurs maîtres ou maîtresses. Pour certaines personnes, le fait d'agir comme un lapin peut évoquer des sentiments d'espièglerie ainsi que la démonstration de l'obéissance en sautillant tout en faisant des tours ou en sautant dans des cerceaux sur commande. Cela peut également donner l'occasion à ceux qui se sentent mal à l'aise dans certains rôles humains d'explorer des formes alternatives de communication sans avoir besoin de mots Les renards peuvent avoir des queues et des oreilles en fourrure artificielle ainsi que des colliers décorés de cloches ou d'autres objets, mais dans l'ensemble moins d'équipement que celui utilisé pour les autres animaux en raison de sa nature plus subtile. En ce qui concerne le comportement, les renards ont tendance à être espiègles, à s'attirer des ennuis et à créer le chaos, mais ils sont également loyaux lorsqu'ils sont félicités pour leur bon comportement ; ils ajoutent donc une dynamique intéressante entre les scènes de punition/récompense dans le cadre du BDSM, en fonction de la façon dont chaque individu souhaite que les choses se déroulent en fonction des règles établies au préalable. Les personnes qui endossent ce rôle trouvent du plaisir à être autorisées à s'exprimer par des comportements rusés tels que la ruse tout en étant capables de se rapprocher assez émotionnellement de quelqu'un d'autre, même si ce n'est que temporairement, par le biais de jeux de rôle comme les jeux BDSM de petplay leur offrent.   Comment dresser son animal dans un jeu de petplay ? Pour être un bon maître ou une bonne maîtresse avec votre animal dans un jeu de compagnie, il faut qu'il y ait une relation de compréhension et de confiance entre vous et l'animal. Il est important d'établir des limites, des règles et des attentes claires que vous pouvez tous deux comprendre. Ainsi, l'animal saura ce qu'il peut et ne peut pas faire pour éviter une punition. Pour dresser votre animal au jeu, il est essentiel d'être cohérent avec les récompenses et les punitions. Les propriétaires doivent récompenser leurs animaux lorsqu'ils se comportent conformément aux règles établies. Les récompenses doivent être données immédiatement après le comportement souhaité afin que les animaux soient plus enclins à poursuivre ce comportement à l'avenir. D'autre part, punir les mauvais comportements est également nécessaire pour renforcer l'obéissance. Toutefois, les punitions ne doivent jamais inclure des sévices physiques ou une correction excessive, car cela peut provoquer la peur et le ressentiment chez les animaux de compagnie. Il est également important de se rappeler que les punitions doivent être adaptées au mauvais comportement - les punitions trop sévères ou qui ne correspondent pas à l'infraction peuvent amener les animaux à ne plus savoir quel comportement suscite quelle réponse de votre part. Enfin, il est tout aussi important pour les propriétaires de fournir un renforcement positif à leurs animaux lorsqu'ils suivent correctement les instructions ou se comportent bien pendant une séance. Il peut s'agir d'éloges verbaux (p. ex., "Bonne fille !"), de friandises, de jouets ou de temps de jeu. Le fait de récompenser un bon comportement contribue à renforcer la confiance entre le maître et l'animal au fil du temps, tout en leur permettant à tous deux de profiter davantage du temps passé ensemble pendant une séance de jeu pour animaux que s'il n'y avait aucun système de récompense en place.   Comment le maître ou la maîtresse peuvent affirmer leur propriété sur l’animal petplay ? Dans les jeux de compagnie, les participants peuvent aller aussi loin que leurs propres limites et frontières le permettent. Chaque participant doit être conscient de ses propres capacités physiques et mentales afin de garantir une expérience sûre et agréable pour toutes les parties concernées. Afin de s'approprier un animal de compagnie, il est important que les deux parties se mettent d'accord sur les rôles qu'elles joueront pendant le jeu. Le collier et la médaille sont une partie essentielle du petplay et représentent un symbole de propriété entre les deux participants. Le collier est utilisé pour signifier que l'animal appartient à un maître particulier tandis que la médaille permet de s'identifier pour s'assurer qu'aucun autre joueur n'interfère dans leur jeu. Lorsque vous vous demandez si vous allez ou non tatouer ou marquer votre animal de compagnie, il est important de se rappeler que ces formes de marquage ne doivent être effectuées que lorsque les deux parties sont à l'aise avec elles et comprennent parfaitement ce qu'elles représentent pour chacune d'elles. Le tatouage peut aider à renforcer le lien entre le maître et l'animal, mais il ne doit être fait que si les deux parties sont d'accord. La puçage de votre animal de compagnie peut également être une option pour certaines personnes, mais ce processus ne devrait être effectué que par des professionnels afin d'assurer sa sécurité Dans l'ensemble, l'étendue des jeux de compagnie dépend en fin de compte du niveau de confort personnel. Il est important que tous les participants discutent des limites au préalable afin que chacun comprenne ce que l'on attend de lui avant de s'engager. En outre, tous les participants doivent prendre soin d'eux-mêmes tout au long du jeu afin de s'assurer qu'ils restent en sécurité tout en s'amusant.   La liste des équipements pour le petplay   La liste des équipements pour le petplay est souvent assez longue et peut varier en fonction du type d'animal que vous choisissez de jouer. Les articles courants comprennent les masques, les muselières, les colliers, les laisses et d'autres vêtements qui peuvent être utilisés pour signifier la propriété de l'animal. En outre, des accessoires tels qu'un grattoir ou des jouets peuvent être utilisés pour donner vie au jeu de rôle   Pour ceux qui souhaitent améliorer encore leur expérience, certains accessoires peuvent être achetés tels que des ceintures de chasteté, des cages ou des entraves conçues spécifiquement pour le petplay. Des harnais et des entraves spécialisés sont disponibles pour certains animaux comme les chats ou les chevaux. Dans certains cas, des attaches de queue peuvent être ajoutées afin de rendre l'expérience de jeu de rôle plus immersive Parmi les autres équipements qui peuvent s'avérer utiles, citons les lits (ou cages) pour animaux, les produits de toilettage comme les brosses et les peignes, les bols à nourriture et à eau et les bacs à litière (pour les chats). Des friandises spécialisées, telles que des jouets qui couinent, peuvent également ajouter une couche supplémentaire de plaisir lorsque vous vous livrez à un jeu de rôle animalier avec votre partenaire          
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Par : le 13/12/22
Le edging, que l'on traduit le plus souvent  par "déni d'orgasme", est un type de pratique le plus souvent lié au BDSM (même si certains le pratique dans le cadre d'une relation de couple vanille). Le edging est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler son soumis ou sa soumise jusqu'au point de quasi-orgasme, et d'obliger le contrôle d'orgasme ou d'arrêter temporairement le jeu avant que votre orgasme arrive. Le déni d'orgasme dans le BDSM Dans le BDSM, le déni d'orgasme est donc utilisé comme un moyen d'assoir la relation entre le soumis ou la soumise et la partenaire qui domine tout en prenant du plaisir. La personne soumise devra faire attention à respecter le moment dont le partenaire dominant va décider s'il peut jouir. Cette pratique joue à plein sur la psychologie et s'articule autour de la dynamique du pouvoir. Le edging dans une relation BDSM aboutit donc à des moments très forts tant d'un point de vue physique qu’émotionnel. Le déni d'orgasme, au delà de la tension sexuelle est aussi une pratique extrêmement cérébrale. Ceux qui pratiquent le edging le font, en première intention pour prolonger le plaisir (en le faisant durer) tout en l'intensifiant (l'orgasme final est très puissant du fait de l'accumulation de la tension sexuelle qui va crescendo . Le plaisir à l'issue d'une séance de edging est quasi systématiquement bien plus puissant. Comme les autres pratiques BDSM, le déni d'orgasme se fait après accord de chaque membre du couple. Au delà du consentement qui est la pierre angulaire de toute relation BDSM, comme chacun sait, le edging implique en plus que la personne qui s'y soumet fasse tout pour obéir et retarder sa jouissance. Comment se lancer dans le edging ? Parmi les conseils que l'on peut donner si vous avez envie de tester le edging, on trouvera l'immuable invitation à discuter entre partenaires. Lors de la discussion préparatoire entre les partenaires, pourra être déterminé les pratiques qui vont être employé par la maîtresse ou le maître pour emmener la personne soumise au bord de l'orgasme. Les pratiques peuvent être de tout ordre, l'edging peut inclure des stimulations plus ou moins rugueuse du gland et surtout de son frein (pour les soumis), du clitoris, de l'anus et des tétons (pour les soumise). Le jeu sexuel pourra également se faire avec des sextoys, notamment des vibromasseurs plus ou moins puissants (du vibro de base au très intense magic wand). Pour mieux contrôler la personne soumise et assoir sa domination, on aura souvent recours à des moyens d'immobilisation type menottes ou liens ou cordes de bondage. Cela peut participer grandement à l'excitation et au délicieux tutoiement de la limite de son désir, avant le basculement dans la jouissance. Le edging c'est stimuler très très très (très) progressivement Le principe est dans tous les cas de commencer doucement les stimulations de la personne sur qui on va pratiquer le edging. Il faut commencer par des contacts légers comme des caresses (pas nécessairement portées sur des zones érogènes) puis augmenter progressivement la tension liée au plaisir en se focalisant de plus en plus sur des zones érogènes. C'est ensuite le levier de l’intensité de la stimulation qui sera activé. On caressera plus fort, on griffera, on pincera. La personne qui domine est libre de choisir les pratiques (et de les utiliser graduellement, en finissant par la pratique qui donne le plus de plaisir, d'habitude, à leur partenaire). Pour emmener votre soumise au edging, vous pouvez regarder du côté des vibromasseurs offrent des réglages de vitesse et de rythme ajustables et qui peuvent ainsi être utilisés pour explorer différents niveaux de sensation, des grondements lents aux vibrations rapides qui enverront des vagues de plaisir dans tout le corps. De la même manière, pour les soumis, on pourra utiliser cockring vibrants, qui offrent également des modèles de vibrations réglables qui produisent des effets similaires à ceux des vibromasseurs tout en offrant un maintien supplémentaire aux organes génitaux masculins. Le edging si je suis seul.e c'est mort ? On l'a vu, un des piments (fort !!!) dans le déni d'orgasme c'est ce qui se noue entre la personne soumise et la personne dominante. Toutefois, le plaisir du déni d'orgasme (et l'intensité de l'orgasme, au bout du compte) peut être exploré en solitaire lors de la masturbation (j'avoue y succomber quand Chouchou est en déplacement). 1) Commencez encore plus doucement que d'habitude : mettez le téléphone en mode avion, fixez vous une heure avant laquelle vous vous refuser à jouir, et augmentez très très progressivement la pression, la vitesse ou l'intensité de vos stimulations sexuelles (qu'elles soient manuelles ou avec sextoy). 2) Faites des pauses, c'est l'une des clés : Lorsque vous vous sentez au bord d'un orgasme, changez de stimulation ou faites une pause (ne serait-ce que pour quelques instants). Cela permettra aux sensations d'excitation de se dissiper un peu avant de reprendre ( la reprise est en général très très très intense, un à chaque fois encore un peu plus "compliqué" de garder le contrôle). 3) Changez de main ! Que vous soyez un homme ou une femme, vous avez une main agile et précise et l'autre un peu plus gauche (même si c'est la mais droite !). Vous pouvez vous contraindre à vous caresser avec votre main la plus maladroite pour retarder les risques de jouir. 4) Concentrez-vous sur la respiration : Prendre de profondes respirations pendant que vous vous masturbez (ou pendant vos pauses) peut aider à détendre votre corps ce qui est très important pour essayez de retarder l'orgasme ! 5) Limitez l'utilisation des vibromasseurs, par exemple forcez vous à n'utiliser que l'intensité la plus faible de votre vibro habituel, ou imposez vous à ne l'utiliser qu'à travers vos vêtements pendant X minutes. 6) Rédigez un texte sur vos pratiques et vos sensations au fur à mesure que votre excitation monte. La phase de rédaction étant incompatible avec la masturbation, d'écrire vous forcera donc à arrêter (tout en vous excitant de l'écrire, ce qui a un côté redoutable, j'en conviens). Si c'est une masturbation edging parce que votre partenaire habituel.le est loin vous pourrez d'ailleurs lui envoyer ce texte quand vous aurez craqué ! (si vous n'avez pas de partenaire attitré(e), pourquoi ne pas les partager sur les sites (ou même dans les commentaires de cet article !). --- La première fois que l'on teste "en conscience" le déni d'orgasme n'est rien quant à ce qu'on ressentira les fois suivantes. En réalité, c'est d'avoir connu le déni d'orgasme et la libération finale parfois après des heures de stimulations (et de pause) qui va rendre un peu plus délcieuse encore la pratique : on sait l'intensité de ce que l'on va ressentir à la fin si on résiste !!!  
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Par : le 02/11/22
Charte Le collectif Kinky-Lorraine est un espace amical, inclusif, et respectueux de chacun. Son but est d’organiser des minis-Munch en Lorraine ainsi que des évènements plus privés. Il met également à disposition de certains membres un espace de communication de groupe, via son serveur. :la Charte 1 - Comportement : Respecter la vie privée des membres. Respecter l'anonymat des membres. Ne pas diffuser les propos que des membres ont tenus au sein du collectif, en dehors du collectif, sans leur autorisation explicite. Accepter que l’on souligne vos éventuelles maladresses, et accepter d'en discuter si nécessaire. Votre vision des choses vous appartient, vous ne devez forcer personne à l'adopter. Aucune forme de propos, de geste discriminatoire, ou favorisant une oppression, ne sera tolérée. Le serveur du collectif ne doit pas être utilisé comme un « site de rencontre ». Aucun message privé ne doit être adressé à d'autres membres via notre serveur, sans avoir recueilli préalablement son consentement explicite sur un salon public. Les photos et vidéos sont autorisées uniquement dans le cadre de l’accord préalable des personnes photographiées. Toute photo ou vidéo d’une personne n’y ayant pas consenti est proscrite. Toute diffusion sans autorisation expresse des personnes figurant sur la photo ou la vidéo est proscrite. Le "vrai" BDSM n'existe pas. Merci de garder ce paramètre à l’esprit lorsque vous échangez avec les autres participant·es. 2 - En cas de participation à des évènements et jeux : À la fois dans vos jeux BDSM, mais aussi dans toutes vos interactions lors des soirées, le consentement préalable de la personne avec qui vous interagissez est essentiel. Il doit être donné de façon explicite, libre, éclairé, informé, spécifique, et révocable. En cas de violation de consentement, vous pouvez vous adresser au staff. Le non-respect du consentement d’autrui entraine des mesures d’exclusion définitive. Durant les jeux proposés au sein du collectif, seuls les safe word ''Rouge'' et ''Orange'' devront être employés. Ces mots sont communément admis au sein du collectif et permettront aux autres membres d'intervenir si besoin. Vous devez vous sentir libre d’utiliser ces safes word pour stopper le jeu ou une pratique. Le non-respect de l’arrêt en cas de prononciation est sanctionné d’exclusion définitive. Les états de conscience modifiée (ébriété, drogue, manque de sommeil ou de nourriture…) sont dangereux dans le cadre de jeux BDSM, tant du côté Top que du côté Bottom. Le staff se réserve le droit de mettre un terme à toute séance dont le(s) participant·e(s) présente(nt) de tels signes. Les lieux et les espaces mis à disposition doivent rester propres et en bon état. Durant toute la soirée en général, et lorsque vous utilisez un espace pour les jeux en particulier, vous vous engagez à respecter la propreté et à prendre soin du matériel et des lieux mis à votre disposition. Vous vous engagez à nettoyer l’espace et le matériel après son utilisation. Du matériel de nettoyage et des poubelles seront mis à votre disposition. Évitez toute manifestation bruyante à proximité d’une scène de jeu. Soit-vous respectez ceux qui jouent, soit vous vous éclipsez. Lorsque des pratiquant·es officient, ne les dérangez pas, en tentant de vous insérer dans le jeu par des actes ou même des paroles. Si les pratiquant·es souhaitent vous intégrer dans leur jeu, iels sauront vous le demander. Le staff se réserve le droit d'autoriser ou non certaines pratiques durant les évènements organisés. Les pratiques autorisées le sont sous réserve d’une bonne connaissance et d’une bonne maîtrise des risques impliqués et des mesures de sécurité nécessaires. Le staff se réserve le droit de mettre un terme à toute séance ne respectant pas ces conditions. Si une pratique vous semble dangereuse ou mal réalisée, adressez-vous à un membre du staff. Il est interdit de fumer/vaper à l’intérieur des lieux mis a disposition. Respecter les propriétés individuelles de chacun. Si quelqu'un apporte du matériel, il est en droit de ne pas vous le prêter. Vous devez quoi qu'il arrive lui demander avant de vous en servir. Respecter son ou sa partenaire, autant que ses limites physiques et psychologique Systématiquement procéder à une négociation avant une session, afin de m’enquérir des limites de mon/ma partenaire. Connaître, accepter et communiquer mes limites. Pratiquer de manière à permettre à chaque instant l’expression d’un refus. Je m’engage à faire part à l’équipe d’organisation toute situation allant à l’encontre de cette charte. ​Je m'engage à respecter la législation en vigueur en France.
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Par : le 20/07/22
Voilà cela me reprend. J'ai des picotements au bout des doigts, de l'electricité dans le ventre. Il faut que j'explose un cul de lopette agenouillée, que je fasse cingler mon cruel fouet. Ne me demandez pas de safe Word. Vous pourrez supplier, pleurer appeler votre mère, prier cela ne changera rien au tarif, celui de mon bon vouloir. Solidement ligoté, vous pourrez hurler tant qu'il vous plaira. Cela ne fera qu'attiser ma furie. Mon fouet sifflera encore et encore. Je vous briserai complètement. Vous ramperez à mes pieds. Vous les lècherez avec délectation, votre dos encore en sang. Après zou...dans la cage Louis XI, dans le noir, vous pourrez méditer longuement. Chercher les secrets du mushin, du non esprit. Cela vous ira très bien... . Le fouet marquera votre âme à jamais. Je vous désire fier, fort et guerrier. Vous ne serez plus vile lopette mais combattant. Vous me montrerez votre courage à supporter la douleur. Votre sexe se redressera et sera bien tendu. Vous montrerez à votre maitresse votre force et votre virilité. Mon fouet sifflera plus fort et vous me direz merci. Je ferai de vous un vaillant, un coeur pur et sans reproche, un dévoué total. Vos fesses seront bien fermes et bien irriguées par les afflux de sang brûlant. Parfois mon beau guerrier, vous partagerez ma couche pour me donner du plaisir. Vous serez alors mon jouet sexuel et vous devrez vous retenir pour me procurer des orgasmes à répétition. Vous devrez ne point faillir à cette tache. Parfois au petit jour, s'il me plait ainsi, je vous laisserai exploser de jouissance en moi. Le fouet sera notre pacte. J'écrirai mon nom sur votre peau avec votre sang. Je vous souhaite en extase mon beau guerrier tout dévoué à votre Maitresse impitoyable.
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Par : le 04/07/22
Rita est une superbe métis, née d'un père métallo alcoolo blanc et d'une mère femme de ménage black. Un jour, son oncle, encore plus alcoolo que son père a voulu la violer dans la cuisine. Une bien mauvaise idée. Rita a saisi un couteau et l'a émasculé net, en totalité. L'oncle a hurlé. Il a pissé le sang. La police a embarqué Rita sans ménagement. Elle n'a pas pu prouver la tentative de viol et la bite d'un blanc, c'est protégé. Alors, comparution devant un juge avec un avocat commis d'office....qui ne trouve aucune excuse à Rita qu'il condamne par avance coupable et indéfendable. Le juge admire les jolies courbes de rita et fait hum hum, ....affaire en délibéré. Quelques jours plus tard, il convoque Rita. -hum, hum, c'est soit la prison à vie, couper la bite d'un blanc est un crime et une tentative d'assassinat, soit.... Le juge mate encore un coup les jolies jambes fuselées de Rita. -soit, je vous considère comme psychiatrique lourde et je vous fait interner à vie dans une prison privée où vous aurez un travail intéressant, vu vos aptitudes. Que choisissez vous? -Je préfère être folle a répondu sans hésiter Rita, et bosser. La voilà partie pour le meilleur des mondes où les lois n'existent plus, ou ni avocats, ni journalistes, ni rien même ne peut entrer sans autorisation: une prison privée administrée par des milliardaires. C'est un lieu bien pire que la mort pour certain détenus. Un vol de pizza, une mauvaise réponse à l'agent venu constater et c'est la prison à vie. Rita s'est de suite vue proposer un job de matonne. Quelques heures de formation et la voilà déjà avec un képi sur la tête et une matraque en bandoulière. Pour elle c'est la prison 24h sur 24 et 7 jours sur 7 avec juste le droit de la fermer. Une prison modèle ou le voleur de Pizza condamné à la prison à vie va bosser, bosser, bosser pour un salaire moins élevé que celui d'un ouvrier dans les pays les plus pauvres du monde. Les milliardaires ont trouvé une juteuse combine. Pas besoin de délocaliser les usines. Il suffit de construire une prison privée et la faire remplir par le système judiciaire de tous les pauvres pour avoir la main d'œuvre la plus exploitée et corvéable au monde. Et comme si cela ne suffisait pas, le travail est obligatoire pour un détenu qui doit payer son gite, ses repas et plus. Rita a commencé à faire sa vie dans cet univers clos. Aucune ouverture sur l'extérieur, plus aucune communication possible. Même la télé est privée est interne. Elle a la chance d'avoir sa petite chambre perso de matonne. C'est minuscule, avec vue sur la cour en béton et les barbelés. Alors elle s'est mise à bosser et elle a vite su devenir Kapo en chef de son unité. Sa réputation d'émasculeuse l'a suivie dans cette prison. Un jour, un détenu montagne de muscles a tenu des propos déplacés sur ses jolies jambes, juré qu'il allait se la faire avec des gestes obscènes. Un pauvre con qui n'avait rien compris. Une escouade de matons, tous d'anciens loubards des rues, reconvertis avec uniformes, képis et matraques, est allée le coincer dans la douche. Rita s'est faite un plaisir de l'émasculer net, sans bavure.. Le détenu montagne de muscle s'est effondré. Depuis cela, dès que Rita passe, les détenus baissent les yeux et obéissent. Les milliardaires à qui appartient ce monde clos se frottent les mains. C'est la section dirigée par Rita qui donne les meilleurs résultats financiers. Les jours se suivent. sans cesse de nouveaux détenus à vie arrivent, tête basse, broyés. Qu'ont ils fait? Des crimes abominables ? Celui ci est condamné à vie pour s'être moqué du caniche de madame P...., l'institutrice, qui l'a aussitôt dénoncé. Il a eu tord de protester devant la police. Celui là a râlé trop fort lorsque il a été viré de son job. Là encore la police est venue et ils ont vite su en faire un dangereux rebelle communiste. Tout peut servir de prétexte pour alimenter ces modèles de réussite et d'intégration sociale que sont les prisons privées dans ce meilleur des mondes. Le soir, Rita se caresse la chatte et sait se faire jouir seule. Parfois aussi, elle aime faire des inspections des cellules des détenus qui lui plaisent. Ce sont tous des castrés chimiques avec des produits mis dans la nourriture et les boisons pour les priver de tout désir sexuel et d'érections. Les castrats bossent mieux, c'est bien connu. Rita se fait lécher le minou. Elle jouit fort dans leurs bouches. Au moins cela ils peuvent encore faire. Tout n'est que glace, acier et béton. Les milliardaires parlent de remplacer les matons et matonnes par des robots et si besoin par des terminators. Ils ont fait leurs calculs. Rita va peut être devoir quitter son képi et rejoindre les chaines de production. Pour combien de temps là aussi? Dans un jour proche, les plus riches n'auront plus besoin des plus pauvres.... La morale de cette histoire c'est qu'il n'existe souvent aucune morale dans une histoire. Et cool, ce sont des fictions...toute ressemblance...etc...etc...
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Par : le 21/03/22
Et si vous tentiez le Edging ? Encore un mot anglais à ajouter a votre vocabulaire sexuel. Prenons la définition de Monsieur Wiki : (anglicisme) (sexualité) Technique sexuelle consistant à s’approcher de l’orgasme puis à ralentir pour maintenir cet état de plaisir intense un certain temps avant d’accélérer et de procurer un orgasme plus fort Je pense que cette définition est assez compréhensible non ? Le but est simple, vous excitez votre partenaire jusqu’au point ou l’orgasme se pointe, mais vous stoppez ou ralentissez afin que l’excitation redescende, mais pas trop !Le/la maintenant ainsi dans un état de plaisir pour qu’il/elle en profite. Un état d’excitation extrême. Puis vous ré-attaquez pour qu’au moment de l’orgasme, la sensation de plaisir soit multiplié. Tout un programme, n’est-ce pas ? Le edging peut avoir différents noms : Peaking, surfing, orgasm training ou orgasm denial. Malgré ses nombreuses appellations, la pratique est la même et est valable pour homme et femme. Ne pas confondre avec le Milking dont je parlerai prochainement. En théorie, ça à l’air super, mais ce n’est pas si facile de se retenir quand on est dans cet état de transition entre plaisir et l’envie de se laisser aller. D’autant plus quand on y joue à deux. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeu-pour-couple-le-edging/
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Par : le 09/03/22
Seven Days ou Sept jours de supplices ou de plaisir ? Dans ce nouveau jeu ou défi, il va vous falloir être rigoureux et assidu(e). J’avoue qu’il y a toujours une partie SM dans mes jeux. Le principe en est très simple. À la suite d’un défi ou de cartes tirées ou que sais-je ? Le ou la perdante, recevra durant sept jours ? Matin et soir une action à réaliser ou à subir. Notez que c’est deux fois par jour. C’est un supplice ou un plaisir ? Allez donc savoir. Cela peut paraître simple, mais la personne qui devra faire plaisir sera t’elle la plus à plaindre finalement ? Car la personne qui reçoit pourra t’elle recevoir du plaisir tous les jours, deux fois par jour ? Finalement, qui sera le plus perdant ? Dans un premier temps, il va vous falloir définir comment lancer le « Seven Days ». Est-ce un pari entre vous et votre partenaire ? Un défi ? Où encore le faire avec de petites cartes ou morceaux de papier à tirer à l’aveugle dans un petit sac ? Étant donné que j’aime les petits jeux avec des cartes, je vais partir sur cette dernière option. Vous décidez donc de noter sur des bouts de papiers, un acte à réaliser et deux autres bouts de papiers avec vos prénoms ou surnoms ou, comme vous voulez tant que cela définît chacun de vous deux. Là, c’est dans le cas où vous décideriez de vous défier et le résultat sera aléatoire. Sinon, inutile de définir le perdant. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/jeux-pour-couple-seven-days/
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Par : le 06/03/22
Pour ceux et celles qui n’ont jamais entendu cette expression tirée de l’anglais, le Camel Toe signifie littéralement « Orteil de chameau ». Il est vrai que dit comme cela, on ne voit pas le côté érotique de la chose. Il s’agit d’un mot anglais en argot qui est utilisé pour parler du sexe de la femme quand son vêtement est trop moulant et laisse apparaître la forme de sa vulve. On l’entend souvent dans les magazines people quand une star se fait paparazzier avec une tenue trop moulante. Il suffit de rechercher sur le web pour voir que ce genre d’article est fréquent. Le camel toe est décrié comme un non-respect de la féminité jugé choquant par certain(e)s alors que d’autres y voient une libération de la féminité. Vous l’aurez compris, comme à chaque fois sur le web et ailleurs, les gens ne vocifèrent que sur ce qui ne leur plaît pas et croyant qu’ils ont la parole absolue ! Et si ce genre de soucis qui peut être gênant pour les stars, devenaient une arme de séduction massive pour nos petits jeux érotiques ? Moi, je ne vais pas vous « l’imposer » mais vous le « proposer » comme une alternative érotique à nos petits jeux. Dans un premier temps, il va falloir définir dans quel type de soirée ou événement, Madame pourrait jouer de ses charmes. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-camel-toe/
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Par : le 30/01/22
#MMM, vous connaissez peut-être. Le hashtag créer par Charline Vermont autrice du compte Instragram @orgasme_et_moi. A l'origine, ce hashtag indiquait "Meufs Mecs Merveilleux.ses", qui s'est mué, dans un souci d'une plus grande inclusivité à "Mixed Marvelous Minds". Faut-il aujourd'hui en regretter l'anglicisation alors que le processus initial portait sur l'expression d'une pensée en français ? je l'ignore. Fait est que le hashtag #MMM est largement adopté et se croise régulièrement dans les profils d'appli de dating et les sites de rencontres, les personnes qui souhaitent indiquer qu'elles sont ouvertes à une sexualité décomplexée et bienveillante. Ce que d'autres ont nommé de longue date sexualités alternatives (notez les pluriels). Le glissement progressif d'un monde de sexualités aux nombreuses formes d'expressions, avec ou sans pouvoir qui s'exerce lors des jeux sensuels (D/s, soumission, shibari, discipline érotique, contrôle sensuel du partenaire...) pour une sexualité décomplexée et bienveillante, nouvelle dénomination pour des pratiques qui demeurent dans l'exécution, les mêmes que celles de nos aïeux. C'est dans la forme, dans la communication qu'il est signifié des attentes avec une précaution importante quant aux exigences de formulations explicites, modalité inclusive et soucieuse de ne pas créer d'incertitude pour les partenaires. Les générations antérieures aux années 1990 ont connu le consentement implicite, non sans avoir préalablement négocié les actes à venir, aujourd'hui il se doit d'y avoir une permanence dans l'acquiescement des partenaires à agir dans l'instant. Nouveau protocole d'expression et de sa permanence, avec pour corollaire de s'assurer de ne pas outrepasser l'accord des participants afin de ne pas créer de traumatisme, de violence. La généralisation du questionnement permanent du consentement dans l'action interroge sur la faculté à pouvoir lâcher-prise, et cela même dans l'espace/temps de déconnexion et d'envole vers les EMC (état modifié de conscience) propres à la libération de l'orgasme de quelque genre fusse-t-il. L'enthousiasme du consentement initial doit avoir pour préalable la préoccupation des protagonistes à interroger la validité de la responsabilité de chacun à formaliser ce consentement aux actes à venir, il ne faut jamais sous-estimer la phase où il va devenir plus incertain (EMC) de pouvoir s'exprimer sans avoir à garder les pieds sur terre. Cette quadrature du cercle doit faire autant réfléchir les plus matures comme les plus jeunes, si d'un côté, les quadras et plus doivent s'approprier ces nouveaux protocoles de dialogue et de communication, il ne faut pas que les moins de quarante ans oublient qu'il n'est pas acquis d'avoir une permanence de conscience et de capacité à exprimer en toute lucidité, sa responsabilité au travers du consentement à l'action en cours. Comme pour l'ensemble des résonances #SexPo, les approches positives et enthousiastes des rencontres et relations amoureuses n'échappent pas aux opportunismes des prédateurs et prédatrices, aujourd'hui désignés "wokefishers". A vous de cerner la sincérité et l'éthique de vos correspondants. Je ne doute pas qu'il soit heureux de pouvoir mieux communiquer, exprimer de façon formelle ses actions à venir, les accompagner de paroles, de mots qui permettent une douce mélodie sensuelle. Que les "Meufs Mecs Merveilleux.ses" puissent se rencontrer et s'épanouir, c'est toute la délicatesse que je leur souhaite.
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Par : le 13/12/21
Ma bouche est remplie, mais les mouvements ont cessés, ce que je pense être un gode, reste fixe, mais il semble fixé sur la table, sur laquelle mon torse est plaqué. il l'est d'autant plus que je ressent un poids, qui m'empêche de bouger, si j'en eu envie. des doigts saisissent mes fesses et les écartent. Je ressent le froid d'un liquide sur mon orifice, et un doigt s'introduit en moi. "je te l'ai dit, tu es a moi cette semaine, et je décide de tout, ne t'avise pas a bouger". Le poids qui me plaque sur la table, disparait, et j'attend obéissant. j'entend des bruits dans la cuisine, et avoue avoir peur. Le poids, que maintenant j'ai identifié comme celui de la dame, qui me chevauche, retourne avec ses doigts sur mes fesses, les écartant. je ressent une sorte de brulure sur mon orifice, qui progresse en moi. En fait, j'identifie que c'est de la glace qui me pénètre, des petites billes, qui sont des glaçons qui me remplissent. Les brulures sur mon orifice, s'estompent, mais mon corps veux les expulser, et j'avoue avoir peur d'être à l'origine d'une débâclé peu ragoutante. Je supplie Madame de me laisser aller aux toilettes. Madame, joue un peu de mon empressement, puis me libère, mais j'ai toujours les yeux bandés. Je ne sais vers ou aller, Madame, s'en apercevant, m'enlève le bandeau, mais l'envie étant tellement pressente je me précipite sur les toilette, ayant peur des fuites, et la débâclé a lieu sur les toilettes. C'est ainsi que je fis connaissance visuellement de Madame, qui apprécie la situation, me regardant me vider, en riant. Situation on ne peut plus humiliante. Je demande l'autorisation de prendre une douche, qui m'est accordée avec un grand sourire, moqueur.
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Par : le 03/11/21
Révision du monde, sous le signe du "patriarcat". En lieu et place de proposer des études et des connaissances qui se fondent sur les cadres scientifiques, de plus en plus de publications sociologiques, ethnologiques et cramouille sur le paternalisme, en phénoménologie. Ainsi, pour déconstruire le concept du "mâle alpha" créer de toute pièce par un incertain Schenkel tout juste après la Seconde Guerre mondiale. A-t-on la nécessité, en ce début de troisième décade du XXIe siècle, de forger des arguments à la sauce woke afin de ne pas sombrer dans un propos qui ne serait pas compatible avec la déconstruction et le féminisme politique extrêmes. Autant en résumé la connaissance contemporaine : —— Le mâle alpha n'existe pas chez le loup. Pas plus qu'il n'existe dans la nature animale mammifère, la moindre démonstration d'une prévalence d'un mâle sur la communauté. Voilà-voilà. Un monde devrait s'écrouler, non pas pour les kéké-alpha, ceux-là ont depuis toujours brillé par la niaiserie de leurs besoins de faire plus que le voisin, sans se soucier de la viande à l'étalage, de la grasse qui accepte volontiers d'exposer ses bourrelets à la cadavérique qui n'a plus de peau sur les os, quiconque à jeter un oeil distrait sur l'iconographie BDSM, à largement de quoi prendre du cliché le plus anorexique aux bottérines silhouettes, que le corps soit mâle ou femelle, cela ne se genre pas ces choses-là, Môssieur ! Qu'ont-ils donc besoin de justifier par des biais méandreux, des sophistications malsaines, dans le but d'acculer le quidam qui n'est en rien responsable de la situation induite par ces sophismes? En quoi, la terreur, les harcèlements des intersectionnels se légitimeraient du fait qu'un ethnologue à la petite semaine ait un jour cru voir (dans un zoo) un loup qui castagnait les autres et en fit une déduction hasardeuse et oisive. Qu'est-ce qui pourrait justifier les violences scripturales en bande organisée, lorsque les amateurs de rôles de pouvoir, questionnent les degrés de responsabilité? Par quelle tricherie, les sectaires de la wokosphère, peuvent-ils détruire les échanges que certaines spécialistes de la philosophie ou de la sociologie des sexualités alternatives et plus particulièrement le BDSM, considèrent comme un des environnements particulièrement conscients des principes de consentements de l'équité des rapports de pouvoir dans le couple, dans les rapports de genre ? Force est de constater que nous vivons, dans le péribole BDSM, un encerclement par une armée de colons qui s'en prennent aux groupes les plus progressistes de la relation humaine dans ses aspects sensuels, sexuels, sentimentaux, un environnement qui est probablement des plus sensibles aux abus, aux excès, aux dépassements des responsabilités communément engagées. Comment les acteurs du BDSM peuvent-ils tolérer ces assauts quotidiens, cette pollution des débats, ces attaques jusque dans les plus infimes espaces des relations de pouvoir. Comment, celles et ceux qui s'inclinent, se soumettent, aspirent à être sous le joug d'une amante, car il est notoire que la demande de lien asymétrique est d'abord et avant tout recherché par des individus du genre mâles, loin des salamalecs patriarcaux des porteuses de lances ultra-féministes. En niant ici, dans le cénacle BDSM, le fait que les personnes qui s'intéressent aux relations de pouvoir, qui s'éveillent aux sensualités atypiques, aux sexualités alternatives, sont soucieuses du bien être psychique, physique de leurs partenaires. Que les notions de genre sur ici, des plus fluides et des mieux partagées, de la soumise phallique à la prêtresse enculeuse, du Totor réac et sectaire à Monsieur Switch for ever, qu'icelle se réveille en icelui, que celui qui dort au pied du lit se réveille perclus de saines douleurs qui font son bonheur d'être sous le joug d'une amante intraitable. Toutes ces variations amoureuses, sensuelles, sexuelles, démontrent que les attaques dans le domaine du BDSM sont le fruit de personnes ayant ostensiblement le désir de créer de la difficulté, de perturber les débats, de parasiter les progrès et les consciences prudentielles, en détournant du fond, par des artifices, des sophismes pervers, les êtres en désir de sensualité, de plaisir, de jouissances, sont harcelés, poursuivis par quelques intrus véhéments dont la santé mentale est à questionner. Pour s'en convaincre, il nous suffit de regarder quelques mois, quelques années en arrière, pour nous rendre compte que les vindicatifs, les intégristes déterminés qui ont promu ces idées, qui ont violenté par le verbe de nombreuses personnes nouvellement venues, sans connaissance ou conscience de la présence de ces régiments de forcenés du devoir de culpabilisation de tout homme blanc hétérosexuel. Il est interdit de nommer ici, fait est. Il n'en est pas moins vrai que nous pouvons regarder vers l'Est et ses quelques crânes rasés au genre diffus et à la personnalité définitivement troublé. Nous pouvons sans aucun doute mettre en évidence les propos délétères de personnes transitionné, qui par leurs maux, n'ont de cesse de diffuser une haine des personnes à la vie sociale ordinaire. Il est frappant que des "alliés" des intersectionnels, nous prouvent quotidiennement, qu'à 45, 50, 60 ans et plus, les "grandes révélations" du non-binaire et de la fluidité de genre ou des affres du patriarcat justifie leurs agressions perpétuelles à l'endroit de quiconque s'exprime dans les normes sociales en vigueur aujourd'hui. Aucune volonté de ces bandes organisées pour instruire toute présence nouvelle, d'y apporter peu à peu une bienveillante instruction, les "éveillés" (comme ils se définissent) agissent comme une secte ou celles et ceux qui ne sont pas dans leurs extrémismes, dans leurs volontés de dresser les femmes contre les hommes, les indéterminés contre le mâle-cis, dans l'unique but de pourrir, de brûler les terres d'un espace que sociologues et philosophes considèrent, à la lumière de leurs études, comme un univers avant-gardiste, précurseur, sensible aux notions de pouvoir et à ce qui en découle tant sur les champs intimes que dans les domaines sociaux. Les sexualités alternatives ont le bénéfice d'éduquer à la prudence. Les sensualités atypiques permettent de stimuler les consciences à la responsabilité de soi, conséquences de ses choix, de ses actes pour soi comme sur autrui. Les amours différentes offrent à celles et ceux qui s'en approchent, le pouvoir de cheminer dans des pratiques qui s'accompagnent de réflexions dont la qualité dépasse le cadre du pret-à-penser, il n'y a que de très rares comportements marginaux, qui sont rapidement mis en lumière, pour démontrer combien ces d'explorations de soi sont propices à la recherche d'un épanouissement intime et non une zone borgne, de non-doit, de prédation hors norme. Je sais, simplement, que mes pairs dans cet environnement sont largement instruits sur les devoirs de prudences, sur les examens de responsabilités, sur les consciences de la qualité de la communication, qu'ils sont attachés à la qualité de leurs paroles, à la sincérité de leurs émotions, à la vigueur de leurs désirs. Tout ce dont les miliciennes et la soldatesque woke abhorrent. Par delà de ces êtres acariâtres et malséants, il est un fait : l'amour, le désir, les jouissances seront plus grands, indéniablement riches d'universalités. ➖ /V\✗✗ ————————————— • Science : Les meutes de loups n'ont pas réellement de mâles alpha et de femelles alpha, l'idée est basée sur un malentendu.https://phys.org/news/2021-04-wolf-dont-alpha-males-females.html • Clichés : « Mâles alpha », « violence naturelle », « exclus du sexe » : ces mythes d’extrême droite qui grignotent le discours sur la sexualité. https://www.nouvelobs.com/idees/20210504.OBS43637/males-alpha-violence-naturelle-exclus-du-sexe-ces-mythes-d-extreme-droite-qui-grignotent-le-discours-sur-la-sexualite.html
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Par : le 31/10/21
1- je viens d'une famille catholique croyante. 2- très jeune ma maman au fort caractère avait un malin plaisir à me rabaisser et m'humilier aussi bien devant la famille que des inconnus elle fait une différence entre moi et mon frère, je l'ai très mal vécu j'ai une jeunesse compliqué. 3- quand j'étais enfant j'étais hyperactif agité , je ne pouvais pas tenir en place toujours à faire des bêtises 😂😂. 4- j'étais un enfant timide caché dans l'ombre discret j'observai ce qui se passait autour de moi sans un mot. 5- j'avais également un pépé qui avait un comportement inapproprié dans ces mots dans ces gestes c'était un homme qui me faisait très peur ,alcoolique infidèle et je pense même pédophile, mais je n'ai jamais pu le prouver verbalement. 6- après avoir passé mon CAP/ BEP dans la restauration je me suis engagé à 18 ans dans l'armée de terre où j'ai servi mon pays pendant 11 ans, j'ai également participer au conflit au Kosovo principalement dans l'est lugoslavie pendant un an avec les casques bleus. 7- je n'ai jamais été dans les relations dit vanille pour ma part j'ai toujours eu une forte attirance pour le BDSM et les relations DS , ma première partenaire je l'ai rencontré au sein de l'armée de terre elle était sergent-chef et moi un simple caporal , c'est elle qui m'a fait découvrir ce milieu si particulier et si envoûtant une fois qu'on y rentre ,elle était ma soumise pendant 2 ans nous avons vécu un moment appréciable où je l'ai apprivoisé de jour en jour, c'est elle qui me commandait au travail et pas dans l'intimité sourire ... 8- pour moi les relations DS ont toujours été des moments de partage de complicité de respect pour avancer main dans la main ensemble dans la même direction, j'ai toujours été très respectueux de la gent féminine. 9- je suis un homme plein de qualités drôle attentionné fidèle sincère d'une grande franchise et une grande sincérité je suis également une personne avec qui on peut discuter de tout et de rien ouvert à beaucoup de choses mais également serviable gentil avec un très grand cœur . 10- j'aime la nature, les animaux les balades, mais galement les repas entre amis le bowling le billard ou simplement aller boire un verre dans un bar ou bien au restaurant . 11 - je m'intègre facilement dans les discussions et les dialogues qui peuvent être intéressante sur tout sujet, je reste ouvert au dialogue même si j'ai ce petit côté timide par moment je me livre pas facilement mais une fois que la confiance d'installer les choses sont plus simple et plus fluide. 12- je suis un homme têtu, j'ai également du caractère je dis ce que je pense mais toujours avec raffinement, j'ai un sale caractère que j'assume pleinement mais je sais me remettre en question quand c'est nécessaire et reconnaître mes torts quand je me trompe, mets dame si vous savez me prendreme je serai doux comme un agneau ou alors une tornade 😂😂😂. 13- j'aime l'autodérision la simplicité dès mots avec raffinement et élégance. 14 - par la suite j'ai rencontré ma compagne ma partenaire mon tous dans une relation DS , nous étions ensemble 6 ans, mais malheureusement la vie a fait que je lui ai repris mon collier tout simplement, parce que elle était tombée enceinte et que elle a avorter derrière mon dos et m'a trompé à plusieurs reprises avec d'autres dominants , cela je l'ai appris bien plus tard par la suite j'ai été brisé mon cœur détruit il m'a fallu du temps pour me remettre et passer à autre chose. 15- à 40 ans j'ai perdu ma chienne suite à un accident de voiture là aussi j'ai été meurtri accabler de la perte de ma chienne fana que j'aimais énormément là aussi je m'en suis voulu pendant longtemps aujourd'hui ça va mieux mais je pense toujours beaucoup à elle. 16- j'ai beau être un dominant je reste avant toute chose un homme avec des valeurs qui sont importante à mes yeux je suis connu par ma prestance et mon respect de la gente féminine mais également de ma droiture. 17- je déteste l'injustice le manque de respect qu'on peut apporter à toute personne ,les jugements et la méchanceté gratuite. 18 - je suis très sensible aux mots et aux échanges que je peux avoir avec des personnes sur le site... 19 - les demoiselles et les dames qui sont sur le site reste avant toute chose à mes yeux des personnes avant d'avoir un certain statut ,il est important de bien comprendre que le BDSM n'est pas juste un milieu particulier mais bien des relations humaine avant toute chose, ce n'est pas juste une histoire de fesses c'est bien plus fort que ça ,les liens qui se tissent dans la relation entre un homme et une femme se rejoigne comme deux âmes perdues et qui ne font qu'un dans la relation l'amour le partage est essentiel pour pouvoir avancer main dans la main dans la même direction... 20- j'aime sentir ma partenaire entre mes mains nos regards plongeant dans le désir la complicité et le partage, si vous avez l'occasion de regarder mon profil avec attention vous verrez que j'aime la sensualité l'élégance et le raffinement dans ce type de relation . 23 - le dominant a un rôle primordial pour la sécurité et le bien-être de sa partenaire, avoir la capacité de réaliser avec elle tous ses envies et ses fantasmes les plus fous, qu'elle puisse se sentir en sécurité avec un homme bienveillant qui pourra lui donner l'envie de se livrer entièrement et offrir sa dévotion, parce que il ne faut pas oublier une femme qui offre sa dévotion c'est un cadeau qu'elle nous font et sans elle nous sommes rien il faut pas oublier aussi que c'est la soumise qui choisit son dominant et non le contraire. 24 - la soumise exécute les ordres de son homme pour lui faire plaisir en tout lieu et à n'importe quel moment mais reste libre d'accepter ou refuser, elles ne sont pas comme les esclaves elles ont leur libre arbitre c'est pour ça que le dialogue et l'échange est très important. 25 - le dominant ne doit pas être égoïste il doit apporter beaucoup de choses à sa partenaire et son plaisir et aussi importante que celui de son homme . 26 - on pourrait penser par ce portrait que je ne suis pas un vrai dominant ne vous fiez pas aux apparences ce n'est pas parce que nous sommes bienveillant à l'écoute avec nos soumise que je ne peux pas être ferme et directive une main de fer dans un gant de velours tout simplement.. 27 j'aime sentir le désir et l'envie de pouvoir se livrer entièrement entre mes mains avec un regard malicieux coquin qui nous donneront tous les deux envie d'approfondir les choses... 28 après cette séparation qui a duré 6 ans j'ai fait des rencontres fort sympathique aussi bien des soumises que des switch et même une fois une dominatrice quand j'étais beaucoup plus jeune, j'ai également lier d'amitié avec des personnes des couples très intéressantes aussi bien.dans la vie de tous les jours que sur le site avec des affinités appréciable et très agréable je pense qu'il se reconnaîtront sourire . 29 - voilà esclave x défi relevé j'espère que tu prendras plaisir à me lire en vous souhaitant à toutes et à tous une belle soirée....
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Par : le 28/09/21
Mon premier dominant a rapidement prononcé une phrase au début de nos échanges qui ne m'a jamais quittée. Et qui constitue le socle de la réflexion que j'ai envie de vous proposer aujourd'hui. De cette fenêtre que j'ai envie de vous inviter à observer sur votre rapport à la domination et/ou la soumission. Qu'il s'agisse aujourd'hui pour vous d'une meurtrière, d'une lucarne, d'une fenêtre standardisée, d'une baie vitrée ou de l’hôtel des courants d'airs. Cette phrase c'est : "La soumission se vit en conscience". Et j'ai envie de vous proposer de faire le parallèle avec la domination : "La domination se fait en conscience". Cette phrase a résonné en moi, un peu la à manière des 4 Accords Toltèques de Miguel Ruiz. Pas au sens d'un accord en tant que tel, quoi que... Mais plutôt dans le sens où, comme ce livre, selon que notre expérience de vie évolue, lorsqu'on relit cet ouvrage (ou cette phrase), notre niveau de compréhension s'approfondit et s'élargit un peu plus à chaque fois. Aussi, j'ai eu l'occasion de décliner ma compréhension de cette phrase issue d'un début d'éducation à plusieurs reprises, à différents niveaux, en les expérimentant ou en les observants au cours de discussions. Le premier niveau de conscience que j'ai à la fois expérimenté et observé est un niveau plutôt instinctif, primal, et assez réducteur car basé uniquement sur l'hédonisme. Bien qu'en soit, savoir que l'on aime ou pas se soumettre ou dominer, c'est déjà un premier pas important et difficile pour certains. Et cela est sans jugement, chacun met le temps qui lui est propre et juste à poser ses compréhensions sur lui même, compréhensions qui évoluent avec le temps. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime dominer/me soumettre mais je ne sais pas pourquoi. J'apprécie les sensations physiques et cérébrales que ça me procure, mais je n'identifie pas clairement les stimuli en cause, ni pourquoi." Nous sommes dans la dimension du corps, peut-être commençons nous à entrer dans celle du mentale. A ce stade, nos désirs sont encore assez inconscients. Les limites peuvent être assez floues et difficiles à définir, ce qui peut impliquer une éventuelle mise en danger involontaire de soi ou son partenaire à différents niveaux. J'observe ensuite un second niveau de conscience, là encore basé sur l'hédonisme, mais qui permet de valider ou d'écarter les pratiques qui nous attirent ou non, et une première approche des limites qui s'y réfèrent. L'esprit critique s'allume, notre système de valeur commence à venir s'intégrer dans notre rapport à la domination/soumission et dans le choix de nos partenaires. La pratique et les expérimentations permettent d'ajuster les lignes et les contours de ce qui nous plait ou non, ainsi que de ce que l'on est prêt à accepter ou non. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime donner/recevoir la fessée, attacher/être attaché, etc." On est plus uniquement dans le corps, la dimension mentale s'intègre, et l'on peut même commencer à conscientiser un "pourquoi de surface" de ce qui nous plait ou non dans telle ou telle pratique. Par exemple : "J'aime être promené en laisse en extérieur car cela renforce mon sentiment d'humiliation/d'appartenance, etc." Il est intéressant de noter à ce stade que tout le monde ne met pas le même ressenti derrière une pratique commune. Là ou certains se sentent humiliés, d'autres peuvent ressentir une forme de fierté, voire de l'indifférence. Ce qui nous emmène au prochain stade de prise de conscience que j'ai pu observer. Celui où l'émotionnel commence à entrer en ligne de compte. Je ne parle pas ici de l'émotionnel au sens "du lien" entre partie dominante et soumise, même si cela en fait partie ; mais plutôt de l'émotionnel au sens strict des émotions ressenties. Ici la personne mesure l'impacte de sa psyché dans l'expérience qu'elle vit et partage avec son partenaire. A ce niveau, il est possible d'établir des "liens logiques" entre les émotions ressenties et des souvenirs d'expériences passées. Ou de faire le lien avec des besoins que la pratique vient combler ou équilibrer en nous. Par exemple : "J'aime dominer car j'aime la sensation de contrôle que cela me procure, et que je ne peux peut-être pas exprimer dans certains autres domaines de ma vie." "La soumission m'apporte un moment de décompression, une soupape, un lâcher prise, dans mon quotidien ou je dois sans cesse prendre des décisions". On commence à toucher aux motivations plus profondes que l'on porte en nous. Il y a une forme plus ou moins poussée de lucidité sur ce que la pratique nous apporte, en quoi elle peut venir équilibrer un autre domaine de notre vie, ou sur ce que l'on y recherche. Je discute régulièrement avec des personnes qui me disent que le bdsm, la domination, la soumission, ne sont qu'un aspect récréatif de leur vie. J'avoue avoir un peu de mal à le concevoir strictement, car pour moi, nous avons toujours d'excellentes raisons de choisir telle ou telle activité/loisir/compensation. Simplement nous n'avons pas toujours conscience de ces raisons car nous nous portons un jugement négatif (consciemment ou non) qui n'a pas lieu d'être. Mais ça, ce n'est que mon opinion très personnelle, subjective, et fort heureusement discutable ;) C'est aussi à ce niveau qu'une relation profonde peut commencer à s'établir entre les deux partenaires, et qui sera fonction de la vision que ces partenaire en ont, de la direction et du contenu affectif qu'ils choisissent d'y impliquer. Enfin un autre niveau de lecture, peut-être plus "spirituel", porte à la conscience le sens de ce que nous expérimentons à travers l'exploration du bdsm, de la domination et de la soumission. Qu'il s'agisse de revisiter nos archétypes blessés pour mettre en lumière les parties de nous qui ont besoin d'être apaisées (effet "thérapeutique" de la pratique, permettant une reprise de confiance en soi par exemple que certaines personnes relatent), de se connecter/libérer les mémoires du collectif qui s'y rattachent, ou encore de prendre conscience de schémas répétitifs de notre existence un peu à la manière d'une pièce de théâtre dans le grand jeu de l'incarnation. Ces dernières propositions parleront à certains, sembleront perchées pour d'autre, c'est bien normal, nous parlons ici de nos systèmes de croyance. Ceci étant, selon le caractère et l'expérience de vie de chacun, je remarque que ces différents niveaux de conscience peuvent s'acquérir ou se croiser dans un autre ordre, s'imbriquer les uns dans les autres, voire se contre-dire. Dans la description de ces différents niveaux de conscience, j'ai fait le choix de ne pas parler de la dualité qui peut-être ressentie vis à vis des pratiques bdsm. Qu'elle se matérialise sous la forme d'une culpabilité plus ou moins appuyée, témoin bruyant ou silencieux des conflits intérieurs que nous portons ; ou qu'elle ne se matérialise pas du tout, car on se sent dans son alignement. Ce point est propre à chacun, encore plus propice à la fluctuation que les prises de conscience évoquées précédemment et fait l'objet de nombreux écrits déjà en ces murs ;) Voilà là réflexion que je souhaitais ouvrir ici. Merci à tous d'être ce que vous êtes
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Par : le 21/09/21
Deux semaines se passèrent sans que nous nous voyions. Nous avions chacun nos activités et vies professionnelles qui ne nous permettaient pas de caler nos agendas. C’était ainsi et nous ne faisions pas de plan sur notre prochaine entrevue. Quelques questions me trottaient en tête. Avait-elle été trop loin et la gêne l’aurait-elle emporté ? Si c’était le cas, cela ne changerait rien de toute façon. Je réfléchissais à la suite sans m’encombrer l’esprit du pourquoi et du comment. Toutefois, afin de tester son envie de continuer, je pris le temps d’aller jusque sa boîte aux lettres ou j’y déposais un petit colis. Une fois de retour chez moi, je lui envoyais un texto pour lui dire qu’elle avait un colis en attente dans sa boîte, mais qu’elle ne devait pas l’ouvrir jusqu’à notre prochaine entrevue. Je passe sur la série longue comme le bras de textos pour essayer de savoir ce que contenait ce colis. J’ai d’ailleurs coupé cours en lui disant que trop de questions finiraient par faire que je le reprendrai. Silence radio depuis ! J’avais pris soin de mettre une petite pastille avec un tampon spécifique pour être sûre que lors de notre prochaine séance, elle ne puisse tricher. Je ne fus pas étonné qu’elle me recontacte le lendemain. Le rendez-vous était pris pour dans deux jours. La connaissant, je l’imaginais aisément tourné en rond à se demander ce que pouvait contenir cette boîte. Deux jours étaient passés. Je regarde ma montre et me mets à la fenêtre. Elle est pile à l’heure. Pressée de savoir ce que contient la boîte sans aucun doute. Elle porte encore l’une de ces robes moulantes outrancières avec des talons hauts. J’entends ces pas dans l’escalier de ma maison. Je la devance et me place en haut des marches. Elle est surprise. – Bonjour ! Me lance-t-elle. – Bonjour ! Ne monte pas encore ! Je veux que tu montes ces marches à 4 pattes. Lui dis-je. https://comtedenoirceuil.com/defis-en-cascade-part-iii/
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Par : le 06/09/21
Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis. Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée. Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones. Découvrir l’objet Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres… Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Par : le 01/08/21
La discipline, ce n'est pas juste des coup et des punition. La discipline, c'est la construction d'un moule pour changer une personne. Mais attention, il ne s'agit pas de n'importe quel moule. C'est un moule de l'esprit. 1- Bien choisir les règles : Le choix des règle est essentiel, en choisissant les bonnes règles, on peut avoir un impacte considérable avec très peu de règles. Par exemple, si je veux amener quelqu'un à être de nature docile, je peux lui fixer comme règle de toujours baisser la tête. A la fin de la journée il aura mal au cou... Ce n'est pas une bonne règle car elle n'utilise pas la structure de l'esprit. Je pourrai aussi lui demander de ne jamais donner son avis sur rien. Ainsi, ne pouvant donner son avis, il ne pourrait plus que se laisser entraîner par celui des autres et s’habituerait à tout accepter et à suivre ce qu'on lui demande. Évidemment cela peut sembler très amorale, ce n'est qu'un exemple, tout dépend de ce que l'on cherche. 2- L'effet papillon : dans le point 1-, j'ai donner un exemple de règle négative. On enlève quelque chose. L’intérêt d'enlever quelque chose, c'est de libérer une pare de l'esprit de la personne pour qu'elle puisse la réinvestir autre pare. Seulement voila, il est très difficile de contrôler où cette pare de l'esprit sera réinvestie. Il faut donc bien connaître la personne pour estimer ce qui va se passer. La plupart du temps elle réinvesti cette pare là ou c'était prévue. D'autre fois, il faut faire des réajustements. 3- Les réajustements : on peut faire une succession de règle négatives pour peu à peu obliger la personne à se réinvestir dans la direction choisi. c'est la méthode la plus simple à mettre en place et aussi la moins bonne... On peut aussi placé la personne dans un environnement qui agira sur son subconscient pour la pousser à s'investir dans la direction voulue. Par exemple, une femme artiste danseuse que l'on voudrait sublimé dans son art. On l'enfermerai, on la forcerai à vivre nue et on la placerai dans une école de danse, pleine de référence sur les mures et avec un grand miroir, on lui donnerai un accès illimité à la musique... Il est aussi possible de créer des règles positives (c'est un peu comme ça que marche la politesse pour rechercher la vertus). En gros, on dirait à la personne de faire certaines choses à certains moment, cela la conduirait comme une plante sur un tuteur a grandir dans la direction voulu. 4- La crédibilité des règles : pour que ça marche, il faut que les règles soient crédibles. Pour qu'une règle soit crédible, on peut s'appuyer sur deux ressors. L'engagement et le behaviorisme. L'engagement, c'est avoir tellement fait d'effort pour suivre une règle qu'on aurait l'impression d'avoir fait tout ces efforts pour rien si on arrêtait de la respecter. Il faut donc pousser le(la) soumis(e) au début à fournir tout ces efforts sans jamais s'éloigner des règles, après, l'engagement prend le relais. Le behaviorisme est beaucoup plus archaïque et couteus, on punie les eccart, on récompense les succès. Pour qu'il fonctionne, la punission doit être suffisamment désagréable voir traumatisante pour que l'on préfère respecter les règles la fois d'après. C'est une méthode dure et destructive mais qui donne une discipline d'une autre nature. 5- Gérer la chute : en fonction de la méthode choisi en (4-), les chutes sont différentes. Si c'est l'engagement qui a était utilisé, une seule dérogation à la règle peut tout ruiner. La personne est déprimé, elle se culpabilise et renonce a sa discipline comme pour se punir elle même. Bref il faut réagir vite et la réimposer tout de suite. Si c'est la méthode behavioriste qui a été utilisé, le dérogement à la règle ne sera pas aussi catastrophique, la punission suffira. Bref, vous l'avez compris, la technique behavioriste est plus coûteuse, destructive et nécessite un meilleur suivi que celle de l'engagement, mais elle donne aussi une discipline beaucoup plus robuste si on assure son suivi.
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Par : le 31/07/21
De prime abord l’on pourrait croire que le Dominant possède tous les droits et pouvoirs sur sa soumise. Il n’en est rien. En vérité chacun possède des pouvoirs en fonction de sa position. Je dirais même plus que le Dominant en possède moins que sa soumise. Ceci peut être sujet à discussion. Surtout avec les personnes qui s’inventent dans des rôles du jour au lendemain avec des Fantasmes en tête et qui ne regardent pas avant tout l’autre. Le Dominant pour moi a un rôle primordial sur sa soumise et se doit non seulement de la protéger mais de prendre soins de ses désirs avant toutes choses. Et s’il y a relation d’appartenance 24/24, il a le devoir de pourvoir à ses besoins vitaux pour qu’elle donne le meilleur d’elle-même. Le Dominant ne marchera pas sur la tête de sa soumise et ne la jettera pas dans les toilettes sans d'abord avoir entendu un grand "oui, s'il vous plait". J’entends par là : Il est absolument nécessaire d’avoir une discussion et briefing après chaque séance permettant au Dominant d’analyser et tirer des conclusions sur les désirs cachés ou mis au grand jour de sa soumise. Un Dominant n'est pas guidé par le sexe, c'est lui qui le guide. Un Dominant n'étale pas sa domination, elle se découvre à force de le connaitre. Le but ultime du dominant n’est pas de satisfaire son égo en premier lieu mais plutôt de pousser sa future soumise vanille ou non à se révéler à elle-même, en dépassant ses tabous et limites. Il est certainement plus compliqué et plus difficile d’être un bon dominant qu’une bonne soumise. Reste quand même à en discuter avec les intéressés. La soumise dans son rôle primaire doit exécuter les ordres de son Dominant qui s’attache lui à atteindre les limites des limites de sa soumise. La soumise fait tout pour faire plaisir à son dominant, mais reste son égal en tant qu’être humain et possède le droit de donner son avis à un moment donné. Certain couple décide de fonctionner par séances, d’autres l’intègre dans la vie de tous les jours, peu importe le fonctionnement les règles de bases ne changent pas. La soumise tire son plaisir dans l’apprentissage et le désir de satisfaire son Dominant Les règles : Je ne suis pas spécialiste des règles du monde BDSM, mais les lignes suivantes sont les fruits de mes expériences et mon ressenti personnel : Les limites : On sait très bien que les limites évoluent dans le temps et suivant le profil de chaque personne. Il est primordial d’avoir discuté en amont sincèrement, librement et sans contrainte des pratiques. Ces frontières évoluent au fur et à mesure de l'évolution de la relation. La communication verbale et non verbale: Tout Dominant doit s’attacher à détecter tous les signes de sa soumise. Il se doit de poser les questions appropriées, même pendant la séance et de pousser sa soumise à s’exprimer sincèrement. Il doit aussi la rassurer et montrer une seconde d’affection pendant la pratique. La séance : Pendant son déroulement, le Dominant va s’employer corps et âmes à satisfaire sa soumise. Il doit faire passer le plaisir de sa soumise avant son propre plaisir, mais oublier le sien n’est pas la bonne solution non plus. Le Dominant s’emploiera pendant la séance d’atteindre les limites de sa soumise sans les dépasser. Il n’est pas obligatoirement nécessaire de fonctionner par séance. Les mots clés : Le dominant doit installer avec sa soumise des mots clés. Pour ma part de façon à mieux appréhender et ressentir ma soumise, je procède de la façon suivante : Rouge : Arrêt total des pratiques et de la séance. Ceci doit être un échec pour le dominant. Le dominant doit préférer la séance qui se termine après jouissance de sa soumise ou naturellement lorsque l’un ou l’autre en ressent le besoin. Orange: Arrêt total de l’action en cours. Le dominant doit ressentir le besoin d’en parler avec sa soumise et de comprendre le pourquoi. Le mot Orange ne doit pas être un échec il est là pour aider le dominant et la soumise à discuter de la pratique. Pour ma part : je pousse souvent l’action à l’extrême limite jusqu’à ce que ma soumise éprouve le besoin de dire Orange alors que je l’avais prévu en amont. Vert: La soumise prononce ce mot lorsque elle en veut plus. Ceci est rare c’est au dominant à ressentir sans que la soumise prononce ce mot. Les blessures et marques : Aucunes blessures ou marques ne doit être infligées à la soumise sans son consentement total et sans équivoque. Chaque action doit être calculée de façon à ne pas infliger de blessures, physiques ou mentales, durable à la soumise.
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Par : le 18/04/21
Madame Domine : Que faire avec son soumis ? Bon nombre de questions reviennent suite à votre lecture de l’article « Madame Domine ». Une partie des réponses se trouvent sur l’article suivant « Madame Domine 2 ». Quelques clefs certes pour différencier le type de punitions, châtiments, etc. D’autres questions comme « Quelles positions pour le soumis ? », « Quels mots/insultes pour le soumis ? » Plus globalement, une fois que vous avez pris en compte la tenue, les accessoires, etc…Que fait-on ? Premièrement, en discuter avec le soumis. Je le répète à chaque article, mais il faut définir quelles sont les limites de celui-ci, mais aussi, jusqu’où notre nouvelle domina est prête à aller pour satisfaire son plaisir et celui de son homme ? Il est nécessaire d’avoir le mot respect par rapport aux désirs de l’un et l’autre et d’être dans une totale confiance. Dans un premier temps, vous avez défini votre « Safeword ». Le mot que le soumis à choisit pour dire « on arrête ». Le mot clé pour dire cela va trop loin. Ne perdez pas de vue que votre soumis doit vous vouvoyer et vous remercier pour chaque acte que vous ferez (même une punition) De même qu’il est là pour votre plaisir, le sien sera de vous servir et peut-être d’en avoir (sexuellement) s’il le mérite. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine-part-3/
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Par : le 16/04/21
Je. Je suis rond, gros, obèse. Je déborde, je suis excessif. Je parle en mon nom et témoigne, je ne donne aucun ordre, je donne mon avis. Je, parce que ce qui sort de JE c'est le fruit de mon expérience, mes réflexions, mes lectures, mes influences, mes curiosités, mes opinions, mes arbitrages(1). Je. Moi-moi-moi. Puisqu'il est nécessaire de répondre aux injonctions de "les autres", ma façon d'aborder les événements, les sentiments, les émotions, les autres, c'est par mes sens, cela me concerne donc, et si je veux pouvoir projeter ce que je reçois, je dois pouvoir me l'approprier, le ramener à ce que je connais : donc à moi. Ramener à soi dans le souhait de comprendre, entendre, recevoir ce qui émane de faits, d'autrui, d'événements, il faut être cohérent et avoir un écho en soi. Je. Je suis principalement autodidacte, alors j'ai réinventé la roue et le bonheur veut qu'elle puisse tourner. Certains jugent cette roue imparfaite, qu'ils le jugent ainsi. Qu'y puis-je ? Je. Je crois disposer de valeurs ancrées solidement, d'être sincère, transparent, fiable, engagé, précautionneux dans mes entreprises amoureuses, désireux d'entrer dans le monde de l'autre et d'élever notre relation à une construction positive dans un mode d'expression alternatif qui est la sexualité BDSM. Je. J'aime l'emprise, je la revendique, la recherche et je tends à la mettre en œuvre avec mes partenaires, avec le soin particulier à ce que celle-ci, sans aucune sophistication, puisse être vécue dans le désir d'accompagner ses explorations du plus sombre au plus lumineux, avec audace, avec désir d'animer les émotions, nos émois, avec et vers des pratiques amoureuses, sensuelles, sexuelles atypiques. Des expériences qui encouragent les émotions intenses, uniques, puissantes. Qui créer de nouvelles perspectives, avec le soin de ne jamais meurtrir l'âme de celle que j'aime, avec la prudence de ne point abîmer l'amour, les liens émotionnels, sentimentaux qui nous lie. Je. Je suis conscient d'avoir pour certains, l'odeur du souffre, d'être selon leurs présentations, un individu toxique. Un être à fuir. Un danger. Un harceleur (#legaliste). Je ne suis pas soucieux de "mon" image, ils perdent leurs temps. Je ne suis pas un prédateur, je n'ai rien à craindre des faits, de la justice, des jugements, parce que je suis loyal, responsable de mes actes, de mes initiatives, des résultats qu'ils ont produits. Je. Parce que ce "moi" et ce que JE suis forme un tout qui fait que ce que je façonne comme comportement de communication, d'interrogation, d'interventions, de réflexions sont puisés dans les artères de celui que JE suis, de mes expériences et mes connaissances. S'il m'arrive de faire fausse route, je sais le reconnaitre ; quand bien même qu'il me faudrait, comme autrui, j'imagine, un temps afin d' apprivoiser l'idée que je puisse m'être fourvoyé. Je suis organiquement engagé dans mes actes militants, dans mes relations amoureuses, dans ma loyauté aux amitiés. Je. Je n'use d'aucun artifice pour être "autre chose", "donner une image", le ton qui m'est imputé à l'écrit est une dimension qui est exprimée comme je le fais à l'oral, avec les différences qui résident dans le fait que la communication écrite et verbale n’est pas perçue de la même façon. Je ne sais pas dire autrement que "comme je parle, je vais l'écrire". Je. Je n'ai pas l'intention de blesser, chagriner. Ce n'est jamais l'intention "par défaut". Lorsque je veux cogner, je l'assume, je le fais savoir, je n'hésite pas et j'endosse, sans la moindre attente de clémence ma responsabilité d'aller à l'affrontement. JE suis responsable de mes propos, de mes actes, JE ne suis pas comptable des interprétations qu'en font les autres. Je. Pour m'effacer, écouter (tenter d'entendre!), pénétrer l'autre autrement que par ses orifices, recevoir ou percevoir la subtilité des peurs et des fantasmes, la création d'une histoire nouvelle. J'ai pour charge et besoin ; de redevenir un être inexploré, à l'égale de mon alter ego avec qui je vais cheminer sur les sentiers et les espaces non défrichés que nous allez créer, de concert. Les acquis "techniques" ne sont que compétences au service d'une aventure, pas de l'intelligence émotionnelle, parce que l'autre est unique. Mon JE, puissant(2) me permet de m'effacer, de n'être qu'une forme d'esprit qui a pour ambitions, vocations, de percevoir/recevoir/comprendre/entendre l'Autre, dans le but, dans le désir d'aller vers des latitudes inexplorées, agir à façon afin de créer une odyssée, de façonner des souvenirs, de manipuler -en conscience- la création composée à quatre mains. Je. JE suis continûment remis "en jeu". Je suis blessé. Je suis amoureux. Je suis heureux. Je suis en colère. Je suis curieux. Je suis en éveil. Je suis mutilé. Je suis dans l'ennui. Je suis joyeux. Je suis déprimé. Je suis : vivant. Je. Je ne m'excuserais pas, jamais, d'être dans ces modalités où il m'est nécessaire de ramener à ce que JE suis afin d'accéder au pouvoir de percevoir, concevoir le propos d'un tiers, pour entendre, comprendre l'autre, toi, le monde autour de MOI. Sans être certain d'y parvenir, et sans aucun doute, JE suis animé par le désir concret et sincère d'y parvenir. Je, Je, Je ... —————————————— 1) Arbitrer, dans le contexte présent, le mot revêt le sens d'une décision prise en conscience, d'agir avec réflexion, distance afin de motiver mes choix, à l'inverse de la pulsion, de l'animalité d'une attitude instinctive. Ce n'est pas juger, c'est choisir une option et l'exprimer, la motiver. Juger est une appréciation morale, éthique, philosophique sur un comportement. Si je dois juger, alors j'emploie le mot, sans difficulté, sans tourner autour du pot. Je sais juger avec légèreté ou ironie ou bien fermeté, parfois avec ce qui en découle, à regret, d'actions judiciaires à mettre en œuvre, s'il le faut - #Legaliste. 2) "Mon JE, puissant" je restitue ici une perception qui m'est souvent retournée, lorsqu'on me dit que je "ramène tout à moi", je comprends ce qui en agace plus d'un/e, c'est ma manière à moi-je, de comprendre ce qui m'est transmis, c'est ma façon d'aborder ce qui je reçois
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Par : le 05/04/21
Contrairement aux apparences, la masturbation masculine peut être diverse et varier et nécessite quelques points primordiaux quand on accepte de s’adonner à donner du plaisir à monsieur lors de cette pratique. Ce n’est pas seulement ce geste de va-et-vient, même s’il amène à la jouissance, qui est le seul point qui stimule et excite ces messieurs et je vais ici vous donner quelques clés qui vous permettront de voir, comprendre et surprendre Monsieur lors de ce jeu banal que vous rendrez, de par ces exercices, peu banals et extrêmement jouissifs. Bien sûr, je ne donnerai pas tout d’un seul coup et je posterai quelques trouvailles au fur et à mesure. D’abord, mettons les choses en place 1 – Qu’est-ce que la masturbation pour un homme ? Là ou pour la femme la masturbation (en couple) et le cunnilingus sont souvent associés à des préliminaires, pour les hommes, la masturbation quand elle va jusqu’au bout (éjaculation) est vécue comme une façon d’avoir un rapport charnel avec son/sa partenaire. C’est donc un rapport sexuel sans pénétration au même titre qu’une fellation. Il n’est pas exclu que Monsieur puisse poursuivre avec une «vraie» relation sexuelle, mais il faut bien assimiler que la masturbation masculine est un rapport qui au moment de la jouissance est un fait accompli. C’est une caresse privilégiée et certes quelque peu égoïste puisqu’à ce moment-là, seul Monsieur en tire du plaisir, mais si elle est faite en parfaite complicité avec son/sa partenaire, peut être un point aussi excitant et stimulant pour celui ou celle qui la pratique. Certaines masturbations demandent beaucoup d’affinités et de symbiose avec l’autre pour être faites tant elles peuvent être osées. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/lart-de-la-masturbation-masculine/
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Par : le 05/02/21
#Anduze Jamais joui autant que cette nuit-là. Et encore, je pense que j’aurais pris beaucoup, beaucoup plus. Quand tu m’as mis tes doigts là, au fond de la gorge, je sentais un peu ; un peu de douleur ; un peu de mal à respirer. Mais je crois j’aurais voulu ça force 12. Et que tu me glisses trois doigts dans l’anus. Sentir les tissus s’élargir et qu’il y ait un peu de sang, et que les claques pleuvent, pas forcément au moment où je m’y attends ; que la douleur vienne un peu par surprise. On s’est mis d’accord. Le jeu s’arrête quand l’un des deux dit stop. Mon jeu dans le jeu c’est de ne pas dire stop, de te laisser aller hyper loin, trop loin. De t’étonner que j’encaisse, que j’en redemande, de la domination, des claques, des pincements de nez, des doigts dans la gorge et le cul, des fluides corporels, des poils dans la bouche. Une brûlure ? Tu vois je crois je regrette maintenant. Quand j’y pense la brûlure aurait été plus radicale dans la douleur. Ca t’aurait fait peur et à moi aussi, mais pas longtemps. J’en aurais peut-être redemandé ;) Tes doigts s’enfoncent et restent bloqués dans ma gorge, bien rentrés, et je commence à avoir des hauts-le cœur, à étouffer. Si t’arrives à faire durer ce moment, à être cruelle quand je te le demande, à m’étrangler en fait, je ressens un peu d’éternité et de sérénité. J’aimerais que cet instant dure, dure. Qu’il dure putain et que je sente ma bite prête à exploser, ta sueur et ton crachat dans mes yeux mon nez ma bouche, ton sexe dans ma bouche, allers-retours sexe périnée anus, en s’attardant sur l’anus ou dans les plis du vagin, doucement, pour ne pas t’irriter. T’as la peau douce, et un peu moins à certains endroits. Ma langue voudrait lécher vulgairement tout ton corps ; comme un chien en fait, comme un clebs à sa maman pute. Je pense que je boufferais des caillots de sang si t’avais tes règles aujourd’hui. Je boufferais de la merde, si t’étais pas propre. Les marques sont apparues, plein de marques sur le visage, l’arcade un peu enflée, tout le visage endolori, quoi. Une gêne dans la gorge, etc. Ca m’est déjà arrivé. Une fois je me suis fait défoncer par un vigile tchétchène dans une boîte, à Rouen. Un dingo. Le mec ultra-violent, un Tchétchène. Genre Orange Mécanique mais à la tchétchène, tu vois ou pas ?… Bref, et puis, plein d’autres fois je me suis un peu battu dans les bars. Pas beaucoup en fait, parce que j’avais peur de perdre ma gueule et je m’arrêtais avant. Je n’ai jamais eu de plaisir à me faire frapper par des mecs. J’aime pas trop la violence en fait. Juste, en moi il y a ça – un besoin de me faire violer par toi, comme quand je me tapais avec mon père, comme les garçons qui m’ont obligé à les sucer, ado, comme… quoi ??? Ca vient d’où, ça ? C’est quoi en fait ? Masochisme ? C’est ça ? J’aime pas ce mot, ça fait penser à des vieux déguisés en soubrette et qui reçoivent des fessées. Ou au minitel rose, un truc que t’as pas connu. Ce dont j’ai envie n’a rien à voir avec ça. Il n’y a pas vraiment de codes, c’est juste une envie de se faire démonter la gueule par une belle femme, par toi ou par une autre mais par toi c’est mieux en fait. Je pourrais ne pas te respecter ; mais j’ai tellement envie de ta violence et de ton cul que je suis obligé de te respecter. Je suis obligé de te prendre en compte, de regarder tes yeux et de mettre les miens bien au fond pour te dire juste : encore, encore, claques, doigts, nez, gorge. Etrangle-moi pendant que je me branle et que je te caresse délicatement. J’en ai tellement envie que je suis obligé de prendre en compte tout : ton appartement bourgeois de merde, ton style de parisienne ++, tes yeux avec ces lunettes qui te mettent pas trop en valeur. T’as une myopie de ouf, non ? Les lunettes signifient : en fait là j’ai même pas envie de séduire. Et quand j’aurai envie, ça aura de la gueule, mais tu seras peut-être pas là .Et puis l’intelligence. Parler vite, réfléchir vite. Avoir des opinions certes un peu brouillonnes, mais sur tout. La situation est toujours en ta faveur. Petit côté baronne. En fait t’es juste un peu au-dessus. Pas très au-dessus mais tu domines. Vas-y, putain, mais mets-y les poings si c’est ce que je demande. Il faut que j’aie mal, que ça fasse putain de mal, que je sois juste un déchet, que j’aie des bleus, les lèvres ouvertes, l’arcade déformée. Que je ressemble à une femme battue et que j’aime ça. Mets-moi des coups de latte et suce-moi. J’espère qu’à Pékin tu trouveras des mecs à frapper. Tu fais ça si bien (smiley clin d’œil). Tu fais ça comme si t’aimais le faire, comme si frapper un mec (=le castrer) te remplissait l’âme. De joie, d’excitation, de profondeur. On dirait que tu frappes par éthique. Comme si ton rôle ici-bas était de le faire et de le faire bien. Un peu par devoir de fille-maman-épouse qui doit bien s’acquitter de son devoir conjugal parce qu’elle est quand même socialement dressée à ça. Pas à frapper, mais à rassurer, à être attentive, à être dévouée aux mecs. Sauf que là t’as bien vu que je voulais que tu t’occupes de moi en cognant, que ça me rassurait. Alors bon,pourquoi pas. Aussi parce que ça t’amuse. Tu peux y prendre goût. C’est probablement pas ce que tu préfères, mais bon ça te dérange pas. C’est quand même un sacré ramonage d’égo, frapper quelqu’un. C’est de la puissance en barres. C’est la loi du plus fort, la sauvagerie, la jouissance pure en fait. C’est transgressif mais là on a le droit ? Putain mais c’est clair, t’aurais eu trop tort de t’en priver. Ca arrive jamais ça. Tu m’as fait jouir, mais tu t’es fais du bien aussi. Ta chatte a dû ronronner toute la nuit, non ? Faut dire, j’ai essayé de la faire à l’ancienne. J’ai sorti mon sexe et te l’ai fourré en pleine montée. Ca a duré quoi ? C’est des secondes ou des minutes ? Je sais que c’est pas des heures. Mais quand même, pas mal de temps est passé. De 3 à 10 heures. A Pékin, tu sortiras avec un chinois, des chinois, des chinoises ? Est-ce que cette société l’autorise ? Est-ce qu’on peut s’y amuser ? En fait j’ai presque envie que tu me racontes Pékin. J’ai pas trop envie de quémander ton amitié, tu sais ? Mais bon se faire frapper autant ça rapproche. J’en arriverais presque à supporter ta classe sociale, ton mépris de classe pourvu que tu restes un peu intelligente. La bêtise de droite… Enfin bon bref, on s’en fout. Quand tu seras à Anduze, tu m’enverras un texto ? Est-ce qu’il y a : smiley qui étrangle ? Ca existe ou pas ? Smiley djihad LOL. Bon, tu m’enverras une lettre alors ? Une réponse ? Des mots qui jouent à dire des trucs ;-))
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Par : le 27/01/21
Article 1 Victimisation Ma recherche permanente de comprendre ou d’essayer de comprendre mes semblables m’a guidée vers ces personnalités victimistes, qui, pour attirer l’attention n’hésitent pas à se « sous-estimer » volontairement… Comment fais-je la différence entre une personne qui est réellement en souffrance dans sa dévalorisation et celle qui se victimise ? Mon caractère faisant, je suis beaucoup plus dans l’observation que dans l’interaction. Je manque peut-être ainsi de spontanéité mais je me permets de me forger une opinion plus sûre et moins de jugement à l’emporte-pièce comme souvent constaté, du moins je l’espère… Mes propos ne sont pas une vérité absolue mais l'expression d'un ressenti qui m'appartient. Je décèle ainsi les contradictions permanentes, des pseudos en tout, et là, sur ce point, des pseudos victimes… Ces contradictions se révèlent sous différentes formes ou procédés ou tactiques… Comme celle de le/la novice qui semble expérimenté(e) vs l’expérimenté(e) qui veut passer pour un/e éternelle novice. Il sera donc ainsi plus aisé au victimiste de jouer sur tous les tableaux et ainsi augmenter son champ d’actions. Les contradictions sont nombreuses et prendre le temps de lire… entre les lignes… entre les mots et les maux… recouper les informations ou les vérités distillées au fil des posts est très révélateur… Il est vrai que la victimisation est devenue un sport national, mais dans le BDSM, sa dangerosité prend une envergure beaucoup plus malsaine pour celle ou celui qui se fait « piéger » et ils/elles sont nombreux(ses). Il ne s’agit pas de taire ses réelles souffrances ou complexes, au contraire, j’encourage celles et ceux qui en sont malheureusement pourvu(e)s de s’exprimer et de trouver l’aide et la considération qu’ils/elles méritent. Voici quelques extraits d’articles pris lors de mes recherches sur le sujet, il y a quelques clefs intéressantes pour déceler ces phénomènes polluants. Comment agit une personne qui se victimise ? Elle veut attirer l’attention. Au lieu de chercher une aide efficace ou une empathie légitime, la victime cherche à éveiller la pitié des autres… Elle n’assume pas ses responsabilités, élude consciemment son rôle face aux conflits. Elle évite les problèmes et préfère rester dans le rôle de la victime. Elle accuse les autres de ses malheurs, alors que la réalité est qu’elle change elle-même la réalité en sa faveur pour se placer confortablement dans le rôle de la victime. Elle exagère ce qui lui fait mal, ce qui la dérange, mais elle essaie de faire croire qu’elle a fait tout son possible parce que les choses changent, alors qu’au fond, elle sait qu’elle n’est pas forte et ne fait aucun effort pour changer son attitude face à ce qu'elle n’aime pas. Prenez soin de vous et attention aux victimistes… ils/elles sont dangeureux(es) et n’ont de légitimité que dans leur propre esprit…
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Par : le 13/11/20
Le collier est une part importante de la soumission. Quand je le porte, que je le mets, je ne suis plus moi, je deviens une autre, je deviens sa soumise. Mon état d’esprit change totalement, ma personnalité s’efface face à la soumise. J’appartiens à mon DOM dès que mon collier est bouclé. Mon regard change, ma posture aussi, j’essaye d’être plus sérieuse, ce qui n’est pas forcément le cas, mais je passe à ses ordres. Le but étant de me laisser aller et de me laisser faire. Mon collier est un vrai collier de chienne, pas de soumise comme on voit souvent dans les films, je ne mérite rien d’autre, je deviens sa chienne, obéissante, docile… peut-être pas tout le temps, mais c’est ce qu’il apprécie avec moi. Je garde quand même la décision finale sur ce que l’on peut faire, surtout sur les nouveaux jeux, sur les choses connues, il a la main libre. J’ai une fierté en le portant, je suis fière de lui appartenir, qu’il m’ai choisis, moi la débutante, moi qui prends confiance en moi quand je porte mon collier. Il me rend plus forte car je me dépasse quand je le porte, je dépasse tant de choses et surtout je m’affirme, et surtout je m’oublie un peu en le portant. J’oublie les soucis et les choses qui me tracassent, je n’ai plus rien à penser sauf le satisfaire et qu’il soit fier de moi. Je ne pensais pas au départ quand il m’en parlait, que ce collier pouvait tant faire de bien, je me disais oui c’est juste un point de repère, je n’imaginais pas une seule seconde que ce collier allait m’aider. Il signe mon appartenance à mon DOM, le respect que je lui porte. On ne peut pas savoir ce que c’est tant qu’il ne nous l’a pas passé avec un air satisfait, et réjouis. Bien sûr il ne m’a pas apprivoisé aussi facilement que ça. Notre première rencontre a même été cinglante, mon DOM m’ayant fouetté avec car j’avais oublié de le mettre. Les premières fois c’était juste un symbole sans grande importance pour moi. Puis, petit à petit, il est devenu LUI, lui le collier, lui le DOM ? Je ne sais plus très bien faire la différence. Quand je ne peux joindre mon DOM et je j’ai un coup de blues, il me suffit de mettre mon collier et je ressens un calme, une présence comme s’il là, près de moi. Vous direz surement que je suis folle ? Peut-être… mais avez-vous déjà appartenu à quelqu’un ? Vous êtes-vous déjà remis à lui totalement, en pleine confiance, en lui offrant votre corps pour des sévices physiques que vous n’accepteriez d’aucune autre personne ? En lui offrant votre esprit pour qu’il puisse le torturer, vous faire douter de vous-même pour mieux vous faire grandir ? Si oui, et si cette personne est votre DOM alors vous comprendrez certainement ce que je veux dire, sinon il vous sera impossible de comprendre avoir d’avoir vécu cette expérience. Ce petit bout de cuir, anodin et sans importance pour qui ne sait ce qu’il représente pour la soumise qui le porte parfois, est en réalité le support physique de toutes les frustrations que je souhaite éliminer, de tous les progrès que j’ai accomplis depuis que je suis SA soumise, de tous les progrès qui me reste à accomplir… Sans lui je serais sans ce lien permanent qui me permet de grandir, de capitaliser de mes expériences et progrès réalisés pendant les séances. C’est comme s’il enregistrait mes souffrances et mes victoires et c’est vrai, vu ma nudité lors de ces séances, c’est le seul témoin de ce que j’endure, de l’application que je mets à essayer de le satisfaire, de mon abnégation totale devant ses désirs. Et puis, finalement, ce n’est peut-être pas MON collier… C’est peut-être bien une partie de mon DOM qui m’accompagne au jour le jour. C’est mon DOM qui me l’a confié, c’est lui et lui seul qui peut me le reprendre un jour… Alors c’est un simple bout de cuir ou … Suggestion BDSM.FR pour continuer vos lectures sur le sujet : Collier et Laisse en BDSM, La symbolique du collier et le groupe Collier & Appartenance
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Par : le 14/10/20
Se donner à l'autel des perversions. Nourrir l'espoir; cette bête difforme, tentaculaire, arrangeante... Apte à se faufiler dans les moindres recoins de notre être. Sortir de cette obscurité qu'est la perdition, et aspirer à se livrer à un dessein plus grand. Etre happé(e), forcé(e), vidé(e) de sa conscience, sous totale emprise de l'inconnu. A la fois effrayant et fascinant... Se livrer à cette entité, ne sachant où son regard et ses membres vont se porter. Implorer sa clémence de se repaître de ce qui nous rend abject(e), névrosé(e), frustré(e), incapable de reprendre le contrôle de nos vies. Se réapproprier ce corps translucide, et se donner matière dans un enchevêtrement de chairs et de sensations extrêmes. Emprunt de souillure, de volupté, faire partie d'un tout, et se définir en rien. Prier à que cela soit au bon endroit, assez profond et suffisamment fort, à se reconnecter dans des spasmes grotesques. Pour se redonner naissance et respirer pour la première fois.
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Par : le 27/09/20
Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement. Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit: -Madam j'ai envie pipi Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud. C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud. Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé. Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Par : le 01/08/20
Le sergent Ramirez est pilote de chasse en protection du vaisseau intergalactique Agammnon en direction de l'étoile U354 et ses deux planètes habitées et encore sans contact avec l'humanité. Celle ci a bien changé avec l'exploration de l'espace insondable. Fini les mystiques, les théories fumeuses, les postulats moralistes et autres inventions de l'humanité terrestre. A présent nous sommes dans l'hyper réalisme, sans morale ni état d'âme. Les morts sont recyclés dans les étoiles, et retournent ainsi à la poussière des origines. -Sergent Ramirez au rapport ! Une bombe sexuelle se pointe. Une qui a du coucher et se servir de son joli cul pour être affectée dans mon escadrille. (Rires, allez un peu de "je" pour écrire). Une nouvelle, une blonde et qui sait jouer à la conne pour me plaire. J'adore les femmes très intelligentes mais pour la baise, les connes c'est pas mal. Et cette sergent Ramirez sait que nous partons pour une longue mission et l’inconnu des mondes nouveaux et donc, autant s'amuser. Elle se met au garde à vous et écarte légèrement les cuisses. Putain qu'elle est bandante. Et elle sait jouer. Une experte. J'adore sa petite lèvre supérieure légèrement retroussée, la marque des supers salopes qui savent foutre le feu dans les braguettes et pas que. Ses yeux brillent d’intelligence et elle sait bien faire la conne. -Oui , mon Maitre. Aux ordres ! Et elle fait claquer ses talons. Son cul bombé trémousse. Putain la salope ! -On va tester le nouveau chasseur Cobra et vous allez me montrer ce que vous savez faire. Un petit vol de routine en suivant l'Agamemnon. -Bien maître ! Elle c'est le sergent Raimrez, ne me parlez pas de la sergente et mon grade c'est "Maitre" d'escadrille, et comme les spartiates, j'ai rétabli tous les châtiments corporels pour que mes pilotes aient plus peur de mon bâton que des dangers extérieurs. Le commandant de l'Agamemnon nous fout la paix pourvu que le job soit fait et bien fait. Le sergent Ramirez est une excellente pilote. Elle adore conduire à l’instinct (avec la force? rires), sans l'assistance des robots et intelligences artificielles. Une surdouée. Nous nous posons sur un astéroïde, une grosse patate difforme de la ceinture de Kuiper. Là se trouve notre dernière base avant le plongeon vers les autres étoiles. -On va se boire un bon cognac. Dans moins d'une semaine terrestre, ce sera le grand départ vers U354. Notre soleil est si loin que ce n'est plus qu'une étoile quelconque. Magnifique ! Le sergent Ramirez a trinqué. Je n'ai pas pu résister à l'envie de bien la tringler aussi, de bien la remplir de sperme. Pour me faire plaisir, elle a joué à être la plus conne possible. J'ai pris mon pied. J'ai adoré la sodomiser et l'entendre couiner. Ici le Maitre à tous les droits. Je suis le Pacha a la tête d'une escadrille d'élite avec douze superbes femmes pilotes toutes bien dévouées, prêtes à se sacrifier corps et âme. J'adore ce métier. Elles adorent aussi. La morale de cette histoire c'est que les connes sont les meilleures pour ce qui est de faire jouir un mâle.
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Par : le 23/07/20
Oleg et Kathrin sont en couple. Ils adorent baiser. Ils se sont rencontrés dans un club de lutte Gréco Romaine de Moscou. Bien sûr,, ils ont voulu jouer à la lutte sexuelle où celui qui gagne domine l'autre. Interdit de pénétrer l'autre pendant la lutte, par contre pour compenser la différence de masse, Kathrin a droit à la saisie des couilles et du pénis. Une arme redoutable qui lui donne souvent l'avantage. Oleg croit avoir gagner. Il écrase Kathrin de tout son poids et l'immobilise. Il protège ses couilles de la main droite. Kathrin est rusée. Cette fois elle glisse sa langue dans une oreille d'Oleg et le chatouille. Il se déconcentre. Trop tard, une main vient de le choper par les couilles... -Alors mon doudou, on fait moins le malin. -Salope, tu m'as encore baisé -Tu abandonnes ou je te castre ? -J'abandonne pardi, pas le choix. On devrait interdire les chatouilles dans les oreilles. -Dis pas de conneries, t'as pedu, t'as perdu, on râle pas et tourne toi, je vais t'enculer au god ceinture, tu te sentiras bien mieux après. -Salope ! ...putain pas si fort avec le god...Ouille... -Mais t'es une vraie gonzesse mon doudou et tu aimes cela, regarde tu coules. -Salope, tu me fais jouir. -Allez, viens mon doudou, viens te finir dans ma chatte, tu l'as bien grosse à présent. Oleg ne se fait pas prier, il défonce la chatte de Kathrin qui ruisselle et explose un orgasme de mammouth de Sibérie. -Putain que c'est bon ! t'es la plus grosse salope des rives de la Volga ! La morale de cette histoire c'est qu'un enculé bande mieux après s’être bien fait mettre.
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Par : le 21/07/20
Loïc est un marin, il n'est bien que sur son bateau, au large, glissant sur les abîmes insondables des vastes océans. Il navigue partout, surfe sur les grandes vagues et les courants, se laisse guider par les vents. Il aime accoster dans des criques ou des baies isolées, loin des ports encombrés. Il aime la pêche aux gros et préfère griller du thon ou de l'espadon aux lyophilisés. Son bateau est agile, il est bon navigateur et sait déjouer tous les pièges, éviter les tempêtes folles et rester tant que faire se peut sur les vastes flots. Loïc a une autre passion, il adore attacher les filles dans des toiles d'araignées toutes en cordes solides, bien les ficeller et bien les niquer ainsi, offertes et exposées nues, aux vagues et aux vents. Il n'a eu aucun mal à se trouver trois jolies équipières qui aiment aussi cela, être attachées nues et suspendues entre les mats d'un beau bateau. Ce ne sont point seulement fantasmes. Les filles qui essaient cela deviennent toutes acrros. Les liens et les suspensions facilitent un total lacher prise et la méditation. Les roulis du bateau et le bercement de vagues font le reste, c'est l'extase, la grande paix intérieure. Loïc adore conduire son bateau face au vent, avec ses trois superbes filles pendues nues entre les maits, dans leurs toiles de cordes. Elles sont si belles et si paisibles ballottées par les vagues. Parfois, il quitte la barrre et va en tringler une. Elles sont incroyablement jouissives avec leurs minous serrés. Il aime se vider dans un cri, puis il retourne à la barre apaisé. Elles peuvent rester des heures ainsi, a méditer. Puis il les détache. Elles vont boire le thé et reviennent se lover contre lui, nues dans d'amples peignoirs éponges. Elles sont bien. Personne ne parle ou presque sur le bateau de Loïc. La morale de cette histoire c'est que si votre femme vous casse les couilles, attachez là et suspendez la nue. Laissez la méditer en silence. Elle vous reviendra en paix et heureuse.
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Par : le 16/07/20
Anitson et Patrick viennent de se marier, dans la plus pure tradition catholique du village, un petit bourg d'Irlande battu par les vents du nord et du grand large. La nuit de noces se passe très mal. Ils sont vierges tous les deux et ce crétin de Patrick, pour ne pas montrer à son épouse qu'il n'y connait rien, est allé chercher des infos sur le net. Il a voulu faire de longs préliminaires, un cunni, et il a failli se prendre une baffe. Il n'a pas pu la sauter et pourtant il en meurent d'envie tous les deux. On ne déflore pas une rousse irlandaise traditionaliste, comme cela. Patrick est désespéré de ne pas avoir consommé ce mariage. Il ne veut pas devenir la risée du village. Il va trouver le prêtre qui vient de célébrer la noce pour lui demander conseil. Ce dernier le confesse, c'est plus discret et plus libre. -Mon Père, j'aime ma femme et je n'ai pas pu lui faire l'amour, elle a failli me gifler, comme si je m'y prenais mal. J'ai honte. -Qu'as tu donc fait? Je sais qu' Anitson t'aime. Tu es son homme, son époux. -Je suis aller chercher des conseils sur internet pour savoir comment bien faire l'amour à ma femme. Je n'ai aucune expérience, vous le savez bien, mon Père. -Pardonnez le Seigneur, votre Fils s'est égaré sur internet, le royaume de Satan. Pardonnez le. -Je croyais bien faire. -Allons mon fils, récitons ensemble, le "Notre Père" et allons voir Madame Suzan, elle va t'expliquer. Ils partent vers la belle demeure de Madame Suzan, qui est fort riche, fort pieuse et veuve. Lorsque le Prêtre explique les raisons de leur visite, elle éclate de rire: -Patrick, oh mon Patrick, toi le beau bagarreur pendant les fêtes du village, toi qui boxe si bien, tu ne sais pas baiser ta femme ! Ce n'est pas sur internet que tu vas apprendre à sauter une belle irlandaise rousse comme Anitson. Tu as l'épouse la plus racée du village. Il faut faire comme avec une jument rétive, le fouet. Ta femme n'attend que cela, que tu la prennes en main et que tu la montes pour de bon. -Ah, j'ai eu peur de lui faire mal. J'ai voulu être doux et caressant. -Tiens je te fait cadeau de la badine de mon regretté époux. C'est avec cette verge cinglante qu'il m'a bien rougi les fesses le premier soir et fait filer droit. C'est cela qu'aiment les irlandaises comme Anitson et moi, des hommes qui savent manier la badine. Le visage de Patrick s'est éclairé. Il a prit la badine et il a filé chez lui, bien colère cette fois. L'orgasme violent d'Anitson a été entendu par tout le village. Les chats se sont couchés, les poules ont levé la tête inquiètes, les coqs ont chanté. Un beau rayon de soleil a illuminé ce paisible village battu par les froids vents chargés des pluies venues de l'Atlantique Nord.
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Par : le 15/07/20
Haya est une fort jolie jeune femme, libre et indépendante, qui travaille et refuse la domination des hommes, le port du voile. Une libanaise métis, avec du sang chinois par sa mère et arabe par son père. Une passionnnée de wing chun, l'art martial, le seul conçu par une femme et utilisé par le célèbre Bruce Lee dans ses films. Haya a tout pour être heureuse; elle est riche, jolie, très intelligente. Sauf que sa route vient de croiser celle du cheikh Hassan, un prédateur sans foi ni loi. Cela s'est passé dans les salons d'un grand hôtel de Beyrouth. Leurs regard se sont croisés. Haya a lu toute la perversité d'Hassan et elle a eu peur. Un fou....sans limites ni barrières. Le soir même Haya a été enlevée, séquestrée dans une grosse valise et expédiée via un jet privé dans un pays de sables brûlants. Une disparition de plus dans ce vaste monde. Haya a été lavée, parfumée, habillée d’étoffes précieuses et laisée libre d'aller et venir dans ce harem merveilleux, avec de beaux jardins fleuris, des fontaines et des bains, des esclaves eunuques pour faire le service, servir du thé à la menthe ou aux épices. Que des femmes somptueuses, des beautés à couper le souffle. Hassan s'est choisi ce qu'il y avait de plus beau pour décorer son harem et ses femmes sont un peu comme des meubles de luxe. -Tu es nouvelle? Fais bien attention. Hassan notre maître est un fou. Si tu lui déplaît, il te place dans un hélico et te lâche au large dans une baie infestée de requin. Ce malade filme et il nous passe les vidéos de ses meurtres. Nous filons toutes droit après avoir vu cela. Et ce n'est pas du bluff , il est vraiment fou. Haya n'a pas peur. Elle en a vu d'autres avec Karim, le loubard de son quartier qui voulait la violer. Pauvre karim, il ne connaissait pas le wing chun....c'est lui qui s'est fait enculer et Haya a posté la vidéo sur le net. Karim a du s'exiler en Argentine à cause de la honte. Un soir Hassan convoque la sublime Haya pour la troncher dans son baisodrome privé rempli de splendides tapis persans et de toutes sortes de gadgets pour ses fantasmes. Il porte son poignard acéré à la ceinture et visiblement il sait très bien s'en servir. Haya l'afronte du regard et tourne autour de lui comme un fauve. Et tout à coup c'est Hassan qui a peur. Il veut appeler ses gardes eunuques noirs, formés aux combats, mais il est trop tard. Un direct en pleine face à la Bruce Lee le met ko d'un coup. -Cela c'est pour m'avoir fait enlever, salopard de macaque de mes deux et tu vas payer. Hassan se réveille. Il est ligoté et bâillonné solidement. Haya a trouvé tout un assortiment de fouets arabes et elle commence par bien lui labourer le dos et le cul. -Mais tu es une vraie gonzesse mon Hassan, tu pleures sous les coups. Tu n'as pas l'habitude. Attends je vais t'enculer et t'empaler, tu vas hurler comme un chacal. Hassan se dit qu' il est tombé sur une folle et il a vraiment peur. Il se fait dessus. -Mais tu as la trouille, petite vermine qui donne les femmes aux requins. T'es vraiment une petite merde. Faut que je reste loin tellement tu pues du cul. Elle avise une longue lance avec un très gros manche en bois. Elle trouve sur le plateau des collations de la sauce piquante, une belle harissa bien rouge et enduit la hampe de sa lance. Hassan la regarde horrifié, les yeux ruisselants de terreur. -Dans le cul la lance avec la harissa ! Dans le cul et tu va hurler comme un goret ! On va t'entendre de la Mecque à Istanbul ! Tu va être la risée de tous les musulmans du vaste monde. Tu vois, j'ai ton téléphone. Je vais te filmer et publier toutes les saloperies que tu fais ici et comment je vais t'enculer ma salope. Le manche de la lance a perforé le cul d'Hassan. La douleur a été fulgurante. Il s'est évanoui. Haya est allée chercher toutes les autres filles du Harem pour leur montrer le spectacle. Les gardes eunuques, sans ordres, n'ont pas bronché. Ils ont compris qu' Haya était celle qui commandait, une dominante sans pitié et ils se sont mis sous ses ordres. Peut être eux aussi, en ont ils marre des extravagances sanguinaires d' Hassan. Haya leur a promis la liberté. C'est inutile. Ils n'ont plus de couilles ni de pénis, et ils sont fait pour obéir.... Hassan se réveille. Il hurle et hurle comme un goret qu'on égorge. Ses captives lui pissent dessus. La vidéo fait le tour du monde. Les ambassadeurs sont vite au courant. Les filles parlent, donnent leurs identités et les lieux de leurs enlèvements. Des hélicos et des grappes de soldats dans les jardins. Le Roi de ce pays intervient personnellement. Il fait décapiter Hassan sur-le-champ et il ordonne de jeter son corps au requins. Une justice rapide et efficace ? Le Roi regarde Haya et la trouve fort belle. - Je vous offre ce domaine et tout ce qu'il contient, ainsi que la fortune d'Hassan pour vous dédommager. Les filles sont libres de partir ou de rester. Je vous accorde des titres de séjour à vie comme invitées d'honneur. Les filles et les eunuques sont resté avec Haya. C'est vrai que la propriété d'Hassan est superbe et très richement dotée, et que ses comptes ont des chiffres avec beaucoup de zéros après.
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Par : le 15/07/20
Nichdali est une passionnée d'ésotérisme, de méditation, de yoga, bref, elle ne peut plus baiser que suivant les préceptes du tantrisme. Faut pas être pressé. Faire l'amour avec Nichdali peut durer des heures et même des nuits entières. Il n'est pas rare qu'elle commence la pénétration le soir et que l’orgasme et la libération de sperme ne soit que pour le matin. Elle a un Yoni très musclé et une fois un pénis inséré, c'est elle qui décide de le relâcher ou pas. Elle en fait sa propriété tout le temps de la pénétration. Cela peut être très jouissif pour un homme, mais aussi très douloureux parfois. Comme Nichdali adore faire l'amour, c'est devenue une experte. Le problème c'est qu'elle a voulu se faire sauter par un beau noir avec une pine énorme. Ce dernier en a vite eu mare des préliminaires et il a défoncé Nichdali par tous les trous comme un sauvage. Et Nichdali a explosé les orgasmes en lâchant complètement prise sous les coups de ce pal monstrueux. Fini son approche tantrique du sexe. Elle est devenue l'esclave de la bite d'Amir, le lion indomptable du Cameroun. Et Amir ne se contente pas d'une seule femme, il faut qu'il en bourre plusieurs différentes chaque jours. Et toutes jouissent très fort et toutes sont accros. Nichdali la fière féministe, féru d'amour tantrique n'est plus qu'un garage pour la bite d'Amir et elle doit obéir, être disponible quand son maître veut et comme il veut. Et Amir est un pressé, il a de belles chattes à visiter. Elle doit être la huitième sur sa liste, peut être plus loin encore. Elle pense être tombée bien bas. Elle qui était contre la polygamie, le patriarcat, la toute puissance du mâle dominant. Et maintenant Amir en veut plus, il lui donne de copieuses fessées, il l'attache et parle même de la fouetter bientôt. Elle tremble, elle est prise au piège. Elle ne peut plus s'échapper. Elle jouit trop et trop fort ! A peine Amir la touche, elle brame. Son maître a du lui jeter un sort, il doit être marabout ou sorcier ! C'est incroyable, dès qu'il est là, elle n'est plus rien, sauf une chatte, un cul et une bouche ouverte. Et Amir a fait ce qu'il a dit. Il a attaché Nichdali et il a sorti un fouet terrifiant. Nichdali a hurlé, supplié, pleuré. Rien à faire, Amir lui a labouré le dos. Puis il l' a détachée et il est parti sans un mot. Nichdali sent la douleur brûler. Elle sanglote. Puis elle se calme. Elle se souvient de ses séances de méditation....la paix revient. Sa douleur devient plaisir. La morale de cette histoire, c'est qu'avec les soumises le fouet est le meilleur des préliminaires.
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Par : le 07/07/20
(Réédition du 07/07/2020 -> 20/04/2024 - 1103 Vues) . Quelles peuvent être les véritables raisons, qui poussent les femmes mariées à s'ouvrir au BDSM ? Quelles sont les limites de ces femmes censées être sociétalement établie ? Ironiquement, deux questions qui n'ont que finalement que très peu d'importance, lorsque l'homme entreprends une relation BDSM avec une femme mariée. L'auto-satisfaction de la conquête ou de répondre à l'envie d'adultère paralysant toutes exigences, à savoir si la relation que l'on débutera sera aussi éphémère que futile. Et c'est lorsque le plaisir de consommation retombe, qu'un vide abyssal se dévoile en terme de compréhension et de communication envers l'autre. Comprendre que le domaine du BDSM est affilié à un public de "niche", c'est accepter que pour beaucoup, c'est la facilité de palier à une frustration en utilisant l'autre qui attire.. Aucunement de se donner dans ses pulsions viscérales, pouvant se révéler invivables en solitaire, et s'ouvrir à une perspective d'avenir moins sombre avec un partenaire adéquat. Pour en appréhender la portée, la Domination / Soumission appelle à l'état de conscience suivant : Est-ce que le plaisir BDSM des femmes les amènent t'elles à s'accepter, ou à s'éloigner de leurs chemins à s'épanouir dans leurs existences ?   07 - Les femmes dites "switch" au service de la compréhension des femmes mariées ? "Soit "Switch" ou mariée !" : Pourrait-on dire à l'étalage flagrant de profils les plus répandus sur internet, ou du chouinement perpétuel des femmes envers la gente masculine, dans leurs propos de la vie quotidienne. Pour en découvrir la raison, et ainsi permettre de faire la part des choses entre une volonté de s'émanciper dans leurs vies sexuelles, tout en s’affranchissant de l'homme.. Intéressons-nous à certains traits* de l'attitude "switch" : La frustration et les tensions étant légion dans le domaine du BDSM, l'aspect "switch" est une attitude basée sur l'incertitude et l’opportunité. Les "switchs" sont de véritables couteaux suisses, où leurs polyvalences leurs offrent un argument de choix à ne pouvoir se placer et s'investir dans une relation, par jeux ou nécessité. Un mécanisme propice à combler ou renouveler une partie de leurs libidos, non dans une aspiration à s'épanouir. Entre amertume, désappointement, et famine... 3 raisons majeures poussent les femmes à devenir "Switch" pour continuer à côtoyer l'homme :   - Entre amertume et désir, d'accéder aux plaisirs "simple" de l'homme (Penser que l'hypothétique "pouvoir" d'imposer, ou répondre à une demande, soient liés à la notion d'aller plus facilement vers son plaisir). - Le désappointement de ne pas avoir atteint son paroxysme de plaisir et d'épanouissement en tant que femme (Vouloir témoigner leurs hautes frustrations à leurs partenaires, sous le couvert de pratiques Dominantes). - L'état de "famine sexuelle" de ne pouvoir sustenter leurs besoins nutritionnels personnels (Espérer dans la dévotion au plaisir de l'autre, un retour sur investissement en terme de plaisir charnel ou au moins dans l'égo d'avoir été utile). En résulte une dualité à vouloir se différencier de l'homme et non de le compléter, et pourtant s'évertuer à mimer sa vénalité et son adaptabilité pour arriver à ses fins. Les femmes dites "switch" et les femmes mariées se rejoignant sous la même bannière : "Ce que tu ne peux atteindre, tu le deviens."   08 - L'Union ou le Célibat ; Quelle est la source ou l'origine d'un meilleur épanouissement BDSM ? Le BDSM amène à un état de conscience développé. Il réponds à un besoin perpétuel à se réguler, et à l'hypothétique désir "d'être", ce que l'on était destiné à "être". Pour la métaphore, c'est comme faire face au cahier vierge de sa vie, que tous le monde possède à sa naissance, et se torturer à écrire dessus de ses doigts ensanglantés.. Tout cela parce qu'un "vil" environnement, nous a piqué notre crayon ou notre stylo. La Domination étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, cela ne nous empêcherait pas de faire et d'écrire de la "merde". La Soumission étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, nous ne l'utiliserions pas pour autant, de peur de raconter des "conneries". Un désir fort d'exister et de compenser en révélant une authenticité qui nous est propre, et par la même occasion approcher de notre ferveur à l'ouvrage, une des vérités absolues de la vie. Il sera toujours possible de copier ou d'écrire sur le cahier de son voisin, mais il est assurément plus difficile d'écrire à deux avec le même stylo, pour raconter sa propre histoire ! Clairement, pour n'évoquer que ces autres exemples métaphoriques, un couple ouvert d'esprit écrivant son expérience au crayon, aura toujours la possibilité de réécrire sa propre histoire individuellement.. Tandis qu'un couple l'ayant écrit au stylo, témoignera à jamais de sa frustration à vouloir effacer ou se ré-accaparer ce qu'il ne leur appartient plus, car tombé sciemment dans le "tronc commun". Vouloir se donner plus de force à se convaincre que son ou ses partenaires soient nécessaires à son propre épanouissement, est du domaine de la puérilité ou de la paresse, aucunement du BDSM. La femme mariée par définition, a autant de possibilité de s'investir dans une relation BDSM que la femme célibataire. Encore faut-il qu'elles s'avouent toutes les deux, que ce n'est pas une question de chance ni de disponibilités, mais bien d'un travail préalable d'introspection personnel, réel et immodéré.   09 - Y a t'il un âge révélateur de l'éveil des pulsions BDSM d'une femme mariée ? Si l'on se devait de faire des conjonctures et statistiques sur des tranches d'âges des activités pulsionnelles des femmes mariées, 4 périodes seraient mise à l'honneur :   De 18 à 25 ans : Age révélant l'idéalisme, ou au contraire l'aspect militant d'une femme mariée. Une volonté et plaisir à se trouver des preuves à s'aimer, et s'appartenir par un esprit de mise en valeur, de sécurité, ou de fuite en avant. De 26 à 39 ans : Age révélant sa maturité ou sa puérilité à faire face à la vision de son corps se transformant irrémédiablement. Dans l'enfantement, dans l'assèchement et l'épuisement professionnelle, ou dans la boulimie à vouloir profiter de la vie. De 40 à 50 ans : Période d'âge où la notion des contraintes d'horloge interne prends tous son sens. Et qui en découle l'anxiété d'un sursis d'une ménopause à venir, l'évolution d'un corps et de son humeur qui désormais ne nous appartient plus, ainsi qu'une perception différente du plaisir et de son bien être. Plus de 50 ans : l'âge de la résolution, de la résignation, ou de la détresse palpable du corps et de l'esprit. Où la principale activité d'une femme n'est plus de cumuler du plaisir, mais au minima de le retrouver. Majoritairement, les femmes mariées ou célibataires s'évertuent à prendre élan sur le BDSM pour ne pas penser à la réalité de la vie qui leurs échappent. Les femmes ayant besoin de Soumission quand à elles, n'aspirent qu'à la commencer. Les femmes et mères à l'apogée de leurs maturités, ou à contrario à bout de souffle, ont plus un besoin BDSM pour faire un bilan de leurs vies, plutôt qu'à envisager de s'épanouir dans ce substitue. Un désir de troquer ne serait-ce qu'un instant, "leurs chronomètres" accrochés à leurs cous (Représentation de leurs horloges internes qui défilent), par le collier tout neuf d'un Dominant (Représentation de l'emprise et d'un plaisir éternel). La stimulation qu'engendre ce "médoc" qu'est le BDSM, étant propice à être de nouveau en accord avec elles-mêmes. (Le BDSM pouvant être affilié à la "pilule bleu" de l'homme à se redécouvrir une nouvelle jeunesse, dans un bon coup de fouet !)   En conclusion : Plus excitée par la transgression, que pour se livrer à un dépassement de soi dans le BDSM, la femme mariée souhaite être plus fidèle à elle-même, que Soumise à l'autre à proprement dit. Sujette à l'obsession à se prouver "qu'elle vit sa vie au lieu de passer à coté", l'homme sert de "défouloir" pour ces femmes se plaignant de ne jamais joindre le "service après-vente" de la vie. Celle-ci leur ayant vendu d'office la certitude de ne jamais oublier ce pourquoi leurs corps sont programmés à réaliser, reléguant leurs épanouissements en second plan. (*Oui parce que bon, je vais pas écrire systématiquement 5 articles pour traiter une thématique !)   A suivre : Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 4 sur 5)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2) https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis. https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins -> Les trois chemins.
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Par : le 02/06/20
Deuxième partie. ******************** Notre séjour au Cap d'Agde se termine sur une note humide ! Jibi me donne son adresse et son téléphone, on peut aller leur pisser dessus quand on veut. Le jour du départ, je reçois une enveloppe au camping, les photos de Dave, le photographe connu. Je suis belle à côté de ce garçonnet... Ah, mince, c'est Julien. Je suis triste de quitter le Cap d'Agde : les vacances sont finies. J'ai quand même un sale goût en bouche, pas comme Jibi et Cynthia, plutôt de ce qui s'est passé avec Kriss. Le retour n'est pas intéressant, parce que tout se passe trop bien. On est pris en stop par des gens sympas, au lieu de prêtres lubriques. Alors je vais faire le grand écart entre Agde et Lille et gommer le voyage du retour. Si vous vous baladez dans le parc naturel du Morvan, levez la tête, ma chatte est juste au-dessus de vous?! Les parents de Julien sont mitigés, heureux de voir un fils devenu "clean" mais pas très enthousiastes à l'idée qu'il épouse une Rom. Je ne crois pas les avoir convaincus que j'étais un bon parti... mais, ils veulent le caser et surtout, qu'il arrête de se "poudrer" le nez et de picoler. Le mariage va se faire rapidement, grâce aux relations de mon futur beau-père. Mon père est parti vers le Sud. On se parle au téléphone, il me donne sa bénédiction... On se verra plus tard. Vous voyez, rien de passionnant. Avec les parents de Julien, je fais profil bas, pas de caprices, pas de punitions pour Julien, ou alors en privé. Je veux que rien ne vienne faire capoter mon mariage. Bientôt, je serai la Comtesse Samia de Préville?! Ah, putain?! Ça me troue le cul, tellement c'est classe?! Moi qui suis née sur la route, je vais devenir une aristocrate... avant de passer à autre chose. C'est une étape, dès que j'ai une opportunité, je la saisis par les cheveux ou les poils de sa chatte. Je joue donc les fiancées modèles. On habite la grande maison de la famille de Préville, pendant que celle des concierges, où on habitera, est remise en état. C'est une jolie petite maison datant de la fin du 19e siècle. Je surveille les travaux, choisis les couleurs, fais installer une véranda. Mon beau-père finance les travaux, mais il me refuse une piscine, le rat?! Je passe aussi plusieurs jours avec lui dans ses usines : «?Les filatures du Nord Est?». C'est une très grosse affaire et bientôt, elle sera à moi... enfin, comme Julien a un frère et une sœur plus âgés, elle sera à nous pour 1/3 quand mon beau père rendra le denier soupir. Qu'est-ce qu'il y a de très amusant dans ma vie de fiancée modèle?? Les rapports entre mes futurs beaux parents. C'est la mère de Julien, née Cynthia Ballard, ma future belle mère, qui est la riche héritière. Elle a la majorité des actions. Sylvain, mon futur beau-père, a amené le titre de noblesse et il "file doux". Je crois que père et fils sont des mâles oméga – c’est-à-dire au bas de l’échelle – même si le père est d'une autre trempe. Cynthia amène ses amants chez eux, comme c'était le cas au Touquet, mais lui ne peut pas bouger. Le petit déjeuner se prend à 8 h. Une bonne le sert, je suis là avec Julien et Sylvain. Sa femme se pointe avec un amant, pas toujours le même, qu'elle bécote devant son mari. Vous voyez, le père et le fils sont pareils?! *** On est à une semaine du mariage. Ce matin, Sylvain, mon futur beau-père, me dit qu'après le voyage de noces, je serai chargée des contacts avec les différents syndicats. Il croit sans doute que je suis une fille du peuple, comme les syndicalistes et... il n'a pas tort. Je dois préparer mon enterrement de fille de jeune fille. Dans la famille de Préville, ils le font un peu à l'américaine, les amies de la mariée lui préparent des surprises à la con. Je m'entends très bien avec la sœur aînée de Julien, Emma. Elle est la seule un peu rock'n roll, même plus que ça. Je lui ai demandé de s'occuper de mon enterrement de vie de jeune fille?! Elle a une trentaine d'années et ne veut pas travailler dans l'usine. Heureusement que l'autre frère seconde son père. J'ai aperçu un tatoo sur le bras d'Emma, c'est ma sœur de tatouage. Ce matin, on parle de la fameuse soirée. Emma commence par me demander : — Qui s'occupe de l'enterrement de vie de jeune homme de Julien?? — Aucune idée. Personne encore, je pense. Elle réfléchit, puis me regarde tout à coup en riant. Je lui dis : — Quoi?? Pourquoi tu ris?? — Non, pour rien. — Allez, dis-moi. — Bon... Ça ne te dérange pas que je dise que Julien n'est pas très viril?? — Bien sûr que non. — Alors, je me suis dit, si on l'habillait en femme afin de faire un double enterrement de vie de jeunes filles?? Il faut un moment pour que je visualise la scène et... j'adore. Je lui réponds : — Tu es géniale, c’est vendu?! Tu t'en occupes?? — D'accord. Si on faisait ça dans une boîte gay, filles et garçons?? J'ai une copine parmi les ouvrières de l'usine et on sort souvent ensemble dans une boîte de ce genre... Elle m'étonne de plus en plus, si ça se trouve, c'est une butineuse. Je veux dire qu'elle aime les filles. Le lendemain soir, Emma vient me chercher. On passe prendre sa copine qui travaille dans un des ateliers. Elle est encore plus rock'n roll. Nettement, même. Grande, mince, des cheveux noirs et une cicatrice en travers d'un sourcil, mais une vraie, pas comme un chanteur pour minettes qui se coupe le milieu du sourcil pour faire genre, "je suis un dur". Elle me dit : — Alors, c'est toi qui vas épouser le fils du patron?? Elle me tutoie alors que je serai bientôt la patronne?! Enfin, un peu... Mais vous me voyez lui dire "Mademoiselle, chacun à sa place??" Non?! Je lui dis : — En effet. Tu le connais?? — Oui et vous allez très bien ensemble Elle se fout de moi, là?? Oui, elles se mettent à rire toutes les deux. Je ris avec elles. Je suis contente d'être avec ces filles, parce que par moment, les de Préville, j'en ai jusque là. Je veux toujours devenir comtesse, mais j'ai besoin d’amies du peuple. Emma a aussi l'air d'avoir besoin de changer de monde. On monte dans sa petite voiture et 15 minutes plus tard, on s'arrête devant une maison aux volets fermés. Sur la porte, il y a juste le dessin d'un monocle. On rencontre le patron, un costaud avec un pantalon de cuir et les cheveux rasés. Emma lui dit ce qu'on veut faire. Il la regarde, surpris, puis éclate de rire. Voilà, c'est bien parti pour enterrer ma vie de jeune fille et la vie de jeune homme de Julien. Après cette soirée, il sera... un homme?! Enfin, peut-être. Mon futur beau-père m'a donné un budget pour la soirée. Je le confie à Emma. Après tout, on est dans la même famille. *** Trois jours plus tard, Emma vient m'aider à tout préparer pour la soirée. Elle est accompagnée par une de ses amies qui l'aide à me coiffer et me maquiller. Elles rasent même ma petite pelouse qui a eu le temps de repousser, un peu. Emma m'apporte aussi une jolie robe rose... La totale "jeune fille"?! Et puis, ça devient intéressant, elle appelle Julien, son frère. Il sait qu'on va passer la soirée ensemble, mais il n'en sait pas plus. Dès qu’il me voit, Julien s’exclame : — Comme tu es belle?! — Toi aussi, tu vas être belle. Déshabille-toi. La coiffeuse maquilleuse glousse un peu en voyant son petit zizi. Ensuite, elle s'occupe de lui : coiffure, maquillage, vernis sur les ongles. Il a des cheveux assez longs et grâce à un brushing, il a vraiment une coiffure de fille. Voilà, il est presque... prête. Je lui donne une jolie culotte avec de la dentelle et une robe qui ressemble à la mienne, mais en bleu pastel. Franchement, elle est très mignonne?! Emma et sa copine le lui disent aussi et c'est vrai. Il lui reste à mettre des chaussures avec un petit talon, pas plus pour éviter qu'il se casse la figure. Julien manque un peu de nichons, mais il y a de la dentelle assortie à sa culotte à l'endroit de la poitrine. On se regarde toutes les trois dans un miroir... Pas mal... surtout moi, bien sûr. Franchement, faut aimer le second degré pour se déguiser en vraies pétasses. On s'arrange pour quitter la maison en douce. J'ai pas envie que les parents fassent une crise en voyant leur nouvelle... fille. On prend la voiture d'Emma. Je parle avec elle et la maquilleuse. Julien, comme à son habitude, ne dit rien : sois belle et tais-toi. Je lui demande : — Ça te plaît, être en fille?? — ... Euh... oui... Pas loquace, la gamine?! On va chez l'amie d'Emma, Manu, qui est ouvrière. Il y a aussi trois de leurs amies qui ne sont pas du tout le genre de fille qu'Emma devait rencontrer dans les rallyes d'aristos. Il y a une autre ouvrière de l'usine, une serveuse et une "on ne sait pas". Des filles plutôt jolies, mais des Chtis de base. Deux d'entre elles sont sûrement des butineuses, maintenant vous savez ce que ça veut dire. On s'embrasse toutes. Elles trouvent Julien trop mignonne, je relève sa jupe pour montrer sa jolie culotte en dentelle. Julien est toute rougissante, une vraie future mariée. Je crois que ce déguisement lui plaît, il serait bien mi-chair, mi-poisson. Je vais peut-être le faire dépuceler ce soir, on verra.... On part dans le centre-ville. Dans les rues, les gens se rendent tout de suite compte que c'est un enterrement de vie de jeunes filles : six filles un peu bourrées qui rigolent. Des garçons nous abordent, ils veulent embrasser la future mariée pour lu porter sa chance. Ils embrassent... Julien aussi, bien sûr. Après s’être bien fait remarquer, on rejoint le bar, QG de Manu et Emma. Les clients sont au courant et ils sont ravis de nous voir. Il y a des butineuses et puis des mâles gays, mais dans le style du patron : crâne rasé, moustaches, jeans troués avec traces de cambouis. Moi, je me réserve les filles, et Julien, je lui laisse les hommes. Quoi?? C'est lui qui ressemble à une fille. Euh... moi aussi, c'est vrai. J'ai un peu trop picolé?! Le patron du bar nous dit : — On a fermé les portes pour être entre nous, si vous voulez vous détendre... À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
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Par : le 02/06/20
Olga s'est pris un jour une belle prune avec deux $&à$ de flics à moto. Manquait plus que cela, elle avait plus un kopec en poche et ces deux là qui se marraient, qui faisaient et refaisaient le tour de sa vespa pour voir comment lui en remettre d'autres. Olga s'est enervée: -Plutôt que de me mettre des prunes et des contredanses vous voulez pas plutôt me bourrer le minou? J'ai le feu au cul avec ces chaleurs . Les deux poulets ont accepté. C'est vrai qu'Olga a des arguments au balcon. -avant faut que je pisse a dit Olga et elle a fait devant eux pour bien leurs montrer sa chatte. Une hypnotisation par le minou vengeur. Les flics n'ont pas pu résister et ils ont embroché sur sa vespa la belle Olga toute humide. Et puis Olga a encore eu envie de pisser. Elle a dit aux deux poulets: -A genoux mes loulous et profitez bien de mon élixir doré. Ils ont été ravis de boire à la source. La chatte d'Olga sent si bon. Oublié les prunes et les contredanses, les képis et les menottes. Olga est une jolie nana qui aime les hommes en uniforme. Alors, elle sait où les trouver et comment les draguer avec sa petite vespa.
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Par : le 31/05/20
Pour ceux trop pressés : la soumination n'existe pas, c'est une autre façon de dire D/s. Pour la suite de mon propos, j'ai choisi un Dominant et une soumise, mais le sexe des protagonistes n'a aucune importance, c'est le rôle et non le genre qui importe. Analysons les rapports de pouvoir dans une relation D/s. Tout le monde sait que le Dominant ordonne et que la soumise exécute. Donc la logique veut que ce soit le Dominant qui ait le pouvoir. Mais est-ce vraiment le cas ? À moins d'habiter dans certaines parties du monde où l'esclavage existe encore, la soumise se soumet par choix. Mieux, elle choisit même son Maître. Nous voici devant le premier paradoxe. Dans toute relation D/s de bon niveau, il est coutumier d'avoir un "safeword" qui signale au Maître qu'il dépasse les capacités de la soumise. Et j'irais même plus loin, si le Dominant ne remplit pas les attentes de la soumise, elle peut partir purement et simplement. Tiens encore un paradoxe : la soumise décide de quand on arrête. Certains ne jurent que par le contrat qui lient et sacralisent les limites des deux parties. Encore une fois la soumise a son mot à dire avant de signer. Elle va fixer des limites, formalisées ou non par écrit. Troisième paradoxe : la soumise fixe les limites. Avec une soumise qui choisit son Maître, qui a le pouvoir de dire stop et de fixer les limites de la relation, qui détient réellement le pouvoir ? La soumise ! Et oui, les soumises ont aussi des attentes. Certaines veulent souffrir, se faire humilier, aiment la violence ou le sexe. Aussi douloureuses et pénibles que soient les activités et punitions offertes par leur Maîtres, elles en ont besoin. Mais plus qu'un besoin physique, un besoin psychologique. De ce fait, une soumise va faire tout ce qu'elle peut pour pousser son Maître à la combler : la vilaine souminatrice ! Et le Dominant va tout faire pour garder sa soumise et donc tout faire pour la combler : le vilain souminateur ! Malheureusement, vous pouvez retourner le problème dans tous les sens, une relation D/s durable sera faite de compromis. Dès lors, elles seront toutes des relations souminateur/souminatrice et là, personne n'y comprend plus rien, et personne ne sait qui fait quoi. Alors restons sur nos conventionnels D/s pour que chacun sache se situer et ce qu'il est censé faire et arrêtons de parler de soumination.
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Par : le 24/05/20
(Réédition du 24/05/2020 -> 06/04/2024 - 1026 Vues) . "Je me présente ; Stéphanie. Je suis une femme assez élancée et svelte (174 pour 62kg), mes cheveux sont châtains et mi longs. Actuellement dans une relation vanille qui ne me convient pas, je me sens frustrée. Je me suis pris d'excitation à exprimer mes pulsions refoulées, que je pense BDSM. J'ai envie d'en parler, de comprendre, d'être initiée, dans la confiance et la discrétion."   Depuis approximativement 1 an, certains profils particuliers fleurissent en ces lieux. Profils spécialement créés pour contrer le nombre de bannissements effectués "à la racine" par les modérateurs du site BDSM.fr (Ou la dénonciation par ses membres). Dans un esprit de clarté, ainsi que de savoir s'adapter à la "menace" de ressembler à d'autres sites payants lambda, où ces profils pilulent, et sont créés par les instigateurs/modérateurs eux mêmes, je me propose de vous l'énoncer en détails.   A qui s'adresse cet article ? Principalement, à celles et ceux pratiquant le BDSM. Le titre et le visuel de cet article favorisant la vue par des éléments masculins, sa lecture permet cependant et surtout à la gente féminine de comprendre en partie, la recrudescence des hommes "non-Dominants" sur les sites liés au BDSM. Mais qu'elle est cette technique particulière de création de profils ? Elle se passe en 3 temps ; Étape Numéro 1 : La création d'un profil de Soumis(e) évoquant un désir de s'exprimer, de dialoguer, avec une certaine évocation d'ouverture à l'autre. Ces profils sont généralement dans l'orientation sexuelle "bi" pour toucher un maximum de public. Et là où se caractérise cette technique, c'est que dans leurs premières créations de comptes, ces individus ne mettent pas de photos d'avatar, et n'ajoutent en aucun cas de membres en favoris. (Pour éviter le sus nommé bannissement d'être découvert trop vite d'une photo falsifiée/en inéquation/récupérée sur le net) Ces créations de profils peuvent se cumuler jusqu'à 5 à 10 par semaine, et sont essentiellement créés entre 23h00 et 6h00 du matin en dehors de l'affluence du site. Étape Numéro 2 : Entre 12h et 24h plus tard, ces individus ajoutent une première vague de membres (Entre 5 à 15 généralement pour la première fournée) Ce temps de déconnexion ayant servi à laisser le temps au "pingouin" de "faire une demande d'ami" ou d'écrire un commentaire sur son mur. (Les membres masculins étant "rapides" à vouloir tchatter dès la demande d'ami acceptée, c'est une autre source de communication à se trahir, se faire dénoncer et bannir. Tandis que si ceux-ci sont ajoutés en masse d'une seule fournée, cela suggère que l'on est accaparée/occupée ailleurs et que l'on ne peut répondre) Les pulsions et le noviciat se faisant, en résulte qu'il est plus facile de voir ce que l'on veut croire, et par défaut de cliquer, parce que l'on ne sait jamais. Une sensation donnant vie et matière à une "concurrence" virtuelle, et une potentialité à pouvoir être le "premier". Étape Numéro 3 : L'ajout d'une photo d'avatar la plus part du temps recadrée et l'ajout d'une "phrasette" sur leur mur ou en complément de leurs profils (Cela peut correspondre à leurs "âge", ou plus informel.) Qu'importe, du moment que cette petite touche légitime leur existence, et ne peut être affilié à un faux profil fait à la volée. Quel est l'objectif de la création de ces profils ? La fidélisation d'un public : En premier lieu, et "je vais mettre cela sur les crédits d'autres sites", ce n'est pas tant les femmes désireuses de se lancer dans le domaine du BDSM qu'intéressent les individus mal intentionnés, mais Ceux/celles capables de débourser de l'argent pour les atteindre. Et se faisant, pour fidéliser le "pingouin", il faut lui donner une voie à se dire dans sa petite tête d’écervelée qu'il/elle puisse avoir une chance ne serait ce que d'échanger avec l'une d'entre elles/lui. Car après tout, donner vie à un personnage, c'est le faire exister de par ses "faire valoir" qui l'entourent, par leurs volontés de se démarquer dans leurs mots, ou dans leurs photos. Une sensation galvanisante qui accoutumera le "pingouin" en question, qui n'aura de cesse de se connecter, ne serait-ce que par l’appât à pouvoir concrétiser du jour au lendemain. L'Utilisation frauduleuse : En deuxième lieu, l'utilisation de photos, de vidéos, voir de textes du "pingouin". Car dans son égo surdimensionné à vouloir se positionner, le "pingouin" pourra ne pas hésiter à évoquer son expérience de par ses prouesses en terme BDSM. Se donnant sous forme d'images/photos, vidéos, voir textes... Il s'en trouve qu'il est plus intéressant pour l'individu malicieux, d'obtenir de l'autre un groupe hétérogène d'éléments visuels. Pour les réutiliser dans la conception d'un profil plus complet et crédible sur un autre site, où dans l'intimité d'un échange sur une autre plateforme commune de tchat (Lorsque les choses sérieuses commencent, et qu'il faut ferrer l'animal). En clair, de par ces "donations" créer une identité, donnant l'illusion que l'on échange avec une personne qui "existe", laissant libre court à générer une égérie virtuelle. Troisième étape : Le cheminement académique des rabatteurs/rabatteuses... Soit dans un vol de données liés à des jeux en ligne, l'orientation vers des sites frauduleux lui donnant accès à vos informations etc. etc. Ou tout autant, au vue de la pression du "pingouin" à vouloir l'obtenir, des offrandes d'achats en ligne. Ce qu'il faut retenir, dans cette technique qui se démocratise, ce n'est plus le simple rabatteur en ligne qui essai de vous voler qui est à l'ordre du jour, mais le "geek" se croyant malin parmi des "pingouins", qui vous fidélise et vous oriente. (On va dire que c'est l'étape au dessus, du simple nom d'avatar crée spécialement pour faire ressortir ses commentaires et générer des "vues" vers son site, par le référencement Google :b) Dans un ordre personnel, ce genre de pratiques est facilement "contrable", déjà à savoir l'objectif de l'individu. Si ses informations d'ajouts sont visibles par toutes et tous, c'est que c'est un "faux-profil" pour toucher un maximum de public et faire jouer la concurrence (Visibilité). A contrario, pour un "faux-profil", créé par des Masochistes essentiellement Brat, ou femmes en berne... à un moment donné, elles ferment ce genre d'informations au regard du public, de peur justement d'être grillées dans leurs objectifs d'espionnage ou de foutage de gueule (Le bannissement étant pour elles, beaucoup plus préjudiciable). Quelles sont les répercussions à ce genre de pratiques ? Il n'en sort pas que du négative ou du suspicieux. Toujours dans un ordre personnel, les "pingouins" sont donc facilement identifiables, puisqu'il suffit juste de visualiser leurs listes d'amis. (L'intérêt de ce genre d'information, à proprement dit, est d'avoir un son de cloche sur les "professionnels" tous domaines confondus arpentant le site, et les "baltringues") Car maintenir ce genre de profils dans ses "amis", c'est une preuve de laxisme ou d'espérance, qui n'est pas en adéquation avec la Domination/Soumission tout du moins. Les "crises" contribuent-elles à l'expansion de ce genre de pratiques ? Assurément oui. A la base, les comportements Dominants/Sadiques et Masochistes/Débauchées ont toujours su s'exprimer clairement sur le terrain, pendant les "crises" qui ont traversés l'humanité dans son histoire, qu'elles soient guerrières, virales ou monétaires. Ce qui fait qu'entre la peur des uns, et la galvanisation d'exister et de survivre des autres, il n'y a que très peu d'intérêt à côtoyer des plateformes liés aux plaisirs ! Une perte drastique de dépendant(e)s au sexe entrainant une surabondance de "tape à l’œil" pour de nouveau fidéliser le moindre "pingouins" courant dans tous les sens. Deux vérités seront toujours à prendre en compte : L'homme sera toujours prêt à payer pour du sexe. La femme sera toujours prête à payer pour de l'amour. Et si certain(e)s s'y prennent l'idée à s'ouvrir à la prostitution virtuelle, à travers l'évocation qu'on leurs fasses des donations parce que c'est la mode, d'autres en profitent pour sortir leurs nouveaux livres romancés au possible. Le rabattage étant de le réaliser à la chaine, ces pratiques s'épanouissent sans modération (Vous saisissez le véritable sens de "sans modération" ?! :b ). Les prétendantes Soumises/Switch, sont-elles concernées par cet article ? Au vu que ces profils ont tendance à passer sous les radars des modérateurs, avoir "Un Dominant ou un ex-Dominant" s'affilier à ce genre de profils, c'est bien-sûr s'exposer à qu'il donne de ce qu'il a fait, et non sur ce qu'il est. Peut être un jour, si vous ne leur remontez pas leurs bretelles avant, que vous aurez le plaisir de faire Bien Bander des inconnus dans d'autres contrées. (Et c'est du même acabit pour les hommes se retrouvant sur des sites Bi/Gay) Ceci dit, il est très rare que les Soumises/Dominants consultent les profils de leurs Consœurs/Collègues. Et même si démocratisée actuellement, cette technique ne date pas d'hier. Inutile donc de paniquer sur mes propos, puisqu'à l'origine ce qui est invisible à vos yeux ne vous atteignaient pas par le passé, donc aucune raison que cela ne le soit également maintenant. En conclusion : Prônant la sélection naturelle, et sachant que la sociabilité étant de mise pour ne pas que l'anarchie règne, les "pingouins" sont ce qu'ils sont ; Une alimentation comme une autre. Comme les "moutons", il faut juste réduire leurs nombres sous peine de ne plus s'entendre parler, et transformer ce site spécialisé en une bétaillère de plus.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/4500/lamour-brat-lamour-fendu-en-deux -> L'Amour Brat ; L'Amour fendu en deux. https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4265/toujours-plus-vite-toujours-plus-haut -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Par : le 09/05/20
(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues) . Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.   04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ? En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :   Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".   - "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit. Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va. Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.   - "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre. Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services. Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.   - "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission. Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée". Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins. Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs. Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême. Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise. L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie. La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.   05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ? Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres. Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions. Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité. "Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir." Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite. Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes. Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité.. Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées. Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité. Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles. Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.   06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ? Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants. Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles. Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation. Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido. Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches. Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances. Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions. Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds. Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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Par : le 28/04/20
(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues) . Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ? Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ? Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine. "Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci. A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements.. Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités. Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.   01 - A qui s'adresse cet article ? Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir.. Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir). Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes. Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures. Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.   02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?   - La femme dite "Vanille". - La femme dite "Débauchée". - La femme dite "Masochiste". - La femme dite "En relation BDSM".   - La femme dite "Vanille". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple. Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer. Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples. Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées). Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert. Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).   - La femme dite "Débauchée". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale. A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes. Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder. Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires. Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple. Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.   - La femme dite "Masochiste". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale. Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir. Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments. Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles. Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.   - La femme dite "En relation BDSM". Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix. Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable. Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions. Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples. Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.   03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ? Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue. Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps. En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues. Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations. Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes. (La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.) Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui. Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper. Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.   La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis. https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Par : le 17/04/20
Aussi bien synonyme de chaos dans une société s'évertuant à prôner des valeurs morales, que symbolisant un acte de libération de l'être et d'un retour à sa véritable nature, l'exhibition ne cesse de faire parler d'elle. Loin de décrier l'existence de multiples approches et ferveur à traiter cette thématique, l'exhibition physique comme virtuelle consentie, reste un élément et une pratique incontournable du BDSM. Et de par cet article, je vous propose d'en découvrir ses principaux tenants et aboutissants. 01 - Mais en fait, l'exhibition virtuelle, qu'est-ce que c'est ? L'exhibition n'est pas liée directement à un plaisir qu'il soit cérébral ou physique, mais une volonté par intérêt ou un bien être à devenir visible au yeux de tous, ou dans un contexte en particulier (Personne et/ou environnement). c'est pourquoi l'on peut s'exhiber sans même s'en rendre compte. Ceci dit, l'acte d'exhibition se fait principalement ressentir lorsque le sujet est mis sur le devant de la scène, dans une satisfaction de son égo, ou à contrario sa perdition. A une époque pas si éloignée que cela, un mollet apparent pouvait soulever les foules. La perception que l'on a de l'exhibition exacerbe nos pulsions, et c'est pour cela qu'il est difficile de pouvoir s'exprimer des plus objectivement sur le sujet. Elle reflète une connotation d'influence, de gêne face à ses rapports à sa propre libido. 02 - Pourquoi n'est ton jamais insensible à l'exhibition quelle qu'elle soit ? La perception de l’ostentatoire : Le tabou ; Les règles générées par un comportement de masse, et l'excitation de ne pas s'y plier. L'expérimentation ; La définition de son identité dans le regard de l'autre. L'affranchissement ; D'exister dans sa simplicité ou dans ses potentiels atouts. 03 - Quelles joies, comportements et émotions, je procure à m'exhiber ? La fascination, la provocation, l'accessibilité, l'excitation, l'ivresse, l'addiction, le plaisir, le confort, l’opulence, la vénération, l'imagination, l'aveuglement... Savoir pourquoi l'on s'exhibe et s'y plier, est la réponse et le plaisir en soi : 1 - J’éprouve le désir d'être désiré(e), exploité(e) ou dirigé(e). 2 - J’éprouve le désir d'être visible, d'être reconnu(e) dans une pratique ou dans mon expérience. 3 - J’éprouve le désir d'exhiber pour un intérêt personnel et précis, de manipulation, pour en retirer des informations qui me soient utiles, ou simplement par égocentrisme. 4 - J’éprouve le désir d'expérimenter, me donner à l'inconnu dans la parfaite insouciance pour une sensation intense. 5 - J’éprouve le désir de montrer mon visage, de dévoiler mon identité, de me compléter dans mes pulsions. 6 - J’éprouve le désir de me donner corps et âme sans y réfléchir. Le plaisir et le bien être que l'on retire de séances d'exhibition sont propices à des excitations profondes, pour des jouissances stimulantes. Littéralement : "Une joie de l'impensable à s'exhiber il y a quelques minutes auparavant, et un corps qui réagit au quart de tour". C'est idéalement un regain de libido à se trouver désirable, convoité(e) par le regard de l'autre, et se rassurer à que tout fonctionne dans son corps et dans sa tête. Pour beaucoup, "l'autorisation de" et "la liberté de" ne suffisent pas à s'abandonner dans leurs pulsions. Adopter le dirigisme pour s'exhiber à la satisfaction de l'autre, c'est s'acquitter de sa responsabilité, de ses principes ou de sa vertu pour déverrouiller son obsession BDSM et son éveil sexuel hors norme. 04 - Qu'en est il de l'exhibition virtuelle dans le BDSM ? Elle se traduit par l'image (Photos et vidéos), par l'oral (Les conversations vocales étroitement liées au numérique ou au téléphonique), les textes (Articles, écrits et commentaires). Elle se caractérise dans un but d'aller à l'essentiel : - De visibilité (Désir de légitimité dans le "milieu" onirique du BDSM). - D'excitation (Voyeurisme, défouloir, évasion). - De bien être (Thérapie,comparatif, identitaire). - Dans un contexte commercial (Vouloir vendre ses charmes dans une prostitution virtuelle, ou indirectement pour rendre visible des produits ou services). - Et enfin dans des centres d'intérêt purement BDSM (Créer un auditoire nécessaire à une bonne pratique particulière). Loin des politiques de confidentialité, de protection, et de moral, il se révèle que se livrer à un autre en restant chez soi, procure excitation, plaisir et bien être. Alors pourquoi a t'elle une connotation "négative" même sur un site de BDSM ? Et bien il se trouve que celles ou ceux qui la pratiquent font fi de certaines convenances pour un plaisir et une libération totale de leurs corps et de leurs pulsions, et que ceux/celles qui sont imposés par leurs visions, perdent leur objectivité dans une morale ou dans un désir de protection mal placé. Le fait de s'exhiber génère assurément une joie et une répercussion dans le même temps, pour ceux/celles qui n'ont aucune connaissance de cette pratique : Le but étant de profiter d'un public pour se permettre de s'exciter dessus, et non par une docilité mal avisée. Il est légitime que tous le monde se sente concerné à la vue d'un cul bien exposé, et la morale est en ce cas nécessaire, sinon l'excitation de l'exhibition serait inexistante ou se rapprocherait plus de la pratique du naturisme. 05 - A quoi suis-je exposé(e) à m'exhiber ? Considérez que toutes données que vous diffusez sur le net peuvent être interceptées, sauvegardées, et utilisées. Encore faut il que celles-ci soient intéressantes, et se démarquent dans le flot continu d'images/textes à connotation sexuelle sur la toile... Ce qui n'est pas du tout aisé. Également, il est important à considérer que celles ou ceux vous informant et vous incitant à vous rediriger vers un plaisir autre que l'exhibition, ne sont pas pour autant légitime dans leurs intentions. En effet, la protection informatique est un marché commercial en soi, mais elle ne doit pas servir comme argument à réorienter votre libido, pour le compte d'autrui dans un élan "de générosité et d'altruisme" (Manipulation 1 vérité, pour deux mensonges). Le meilleur exemple étant la visibilité sur les propositions en commentaires de "Munchs"/"Soirées", qui ne sont pas adaptés à tous arrivant(e)s, et propice justement à un plus fort embrigadement. Réunions se voulant de bouches à oreilles comme "sympathoche", limite réunions "Tupperware". Mais cette information se transmettant allégrement parce que personne n'y voit d'objection, et que l'on pourrait y voir une expérience BDSM à citer ce genre d'événements... Alors qu'en fait, ceux qui dévoilent cette information n'y vont jamais ou au contraire ont tous intérêts à vous pousser dedans, voulant vous accaparer en bonne et due forme :b Les sites liés au BDSM sont les parfaits endroits à s'exprimer à cette pratique qu'est l'exhibition virtuelle, et il est indispensable à comprendre que tous jugements à votre encontre évoque une étroitesse d'esprit ou une peur liée à la maitrise consciente de cette pratique (Le fait de ne pouvoir s'exhiber soi même, provoquant un rejet du à la frustration ou la méconnaissance). 06 - L'exhibition virtuelle ; Synonyme de relations qu'à distance ? L'exhibition virtuelle peut être un apport de rapprochement, un outil au service d'une libido (Rituels, scénarios...) , mais n'est pas ancrée dans une durée. C'est un moyen de communication différent des relations physiques, elle sollicite d'autant plus le "langage non verbal" et la capacité à s'exprimer. On ne connaitra jamais aussi bien Son/Sa Dominant/Domina de par sa posture et ses actes face à l’accessibilité et la satisfaction de ses pulsions. L'exhibition virtuelle est d'ailleurs le moyen le plus efficace à savoir à qui l'on a à faire ; Un(e) Dominant/Domina se délectant simplement à vous diriger OU un/une homme/femme enfant avide à vous dire que vous aimez cela, parce qu'il/elle ne sait pas quoi dire d'autre quand son plaisir à "mater" survient. 07 - Quelles sont les pratiques courantes de l’exhibition virtuelle, d'un point de vue Domination, sur un site de BDSM ? Il est très difficile d'être et de se sentir original sur un site BDSM, c'est pour cela que la formule "pratiques courantes" est bien ancrée en ces lieux. A trop vouloir s'exposer, on se complet dans Une Soumission de visibilité (Donc Dominants/Dominas compris), ce qui trahit également votre niveau d'expérience en terme de BDSM. En voici quelques exemples : 1 - Si vous montrez votre cul ou votre torse (Un bout de chair dans vos photos/avatar) dès l'arrivée en ces lieux, c'est que votre joie est à plaire, pas à faire du BDSM. Car il n'y a aucun intérêt à vouloir se faire posséder/chasser par une femme ou un homme qui se donne déjà à tout le monde. Vous devenez le produit de consommation générique et jetable que vous méritez. 2 - Vous exposez votre Soumise/Soumis dans des postures de Soumission, ou dans leur actes infligés. Vous avez la joie de générer une excitation à un auditoire, pour que l'on voit en vous un individu expérimenté. Alors qu'au final, vous vous faite passer pour un(e) Dominant/Domina "Leader Price" puisque le jour véritable ou vous gagnerez en respectabilité et notoriété, est lorsque vous vous investirez à l'habiller en terme BDSM (Ce qui n'est pas du tout le même budget et investissement moral). 3 - Vous avez la joie d'avoir plus de 200 membres dans votre liste "d'ami(e)s", une performance qui vous donne des ailes à vous sentir exister et avoir du poids dans vos propos, votre profil étant de notoriété publique. Vous vous ramasserez du jour au lendemain d'avoir accumulé(e) simplement un cheptel, après avoir ouvert votre bouche malta-propos, dans un manque avéré d'exigence qui vous fait cruellement défaut. 4 - Vous avez la joie de vous mettre en avant en écrivant directement sur le profil des Soumis(e)s/Switchs de votre attrait envers elles/lui et pour leurs charmes. Vous polluez systématiquement les lieux dans des actes qui se révèlent vains, puisque si la/le dite Soumis(e)/Switch ne lave pas son mur de vos impuretés, ce n'est pas dans son objectif de se Soumettre. La Soumission exigeant du travail, une personne ne balayant pas devant sa porte ne sera pas en capacité de s'investir de quelques manières que ce soient. Révélant finalement votre manque de discernement et de compréhension face à la gente féminine/masculine dite "vanille". 5 - Vous aimez et avez la joie de mener votre nez partout, sur chaque commentaires, sur chaque photos, et adorez poster à votre tour. Pour rivaliser à dénicher les images les plus provocantes, bordées d'émotions, ou de phrasés valorisant une harmonie BDSM. Vous n’appréhendez jamais que les photos BDSM d'artistes photographes ou de récits grand public existent parce cela leurs offres de la visibilité et une légitimité dans leurs milieux, à sublimer des scéniques et des modèles. Alors qu'ils n'y comprennent strictement rien en terme de BDSM puisqu'ils/elles ont simplement autre chose à faire (S'y intéresser, ce n'est ni comprendre, ni pratiquer. Une belle image peut faire juste oublier le fait que l'on retranscrit un domaine que l'on ne connait pas). Reprendre ces images/récits, c'est faire perdurer un idéalisme baignée d'utopie, qui sert de marchandises ou de monnaies d'échanges dans d'autres domaines d'activités. Il n'y a pas d'avenir "harmonieux" dans le BDSM, il n'y a qu'un présent se révélant peut être cru, mais non porté par les illusions. La science amène plus à vivre une relation saine dite BDSM, et vous dira que vos jours sont comptés d'un point de vue plaisir physique, et plus court encore d'un point de vue cérébral, si vous ne travaillez pas vos méninges ! :b Il est bien clair que l'exhibition est liée à la sensation grisante ou déroutante de pouvoir posséder sans travailler pour. De ce fait, tous les articles romancés vous berçant d'espérance, les photos vous prenant aux tripes, les belles paroles idéalistes emplis du respect que vous ne méritez en rien, les échanges ou rencontres vous permettant d'exister dans un plaisir fugace, ne sont présentes que pour faire contraste avec votre oisiveté à vous rendre libre d'entreprendre, d'imaginer, de créer, d'évoluer, de transmettre... Quand ceux/celles pratiquant le BDSM y voit une pratique concrète à s'exprimer dans leurs pulsions parce que c'est dans leurs natures, le "reste" y voit une occasion de s'évader de plus, loin de leurs vies qu'ils/elles jugent routinières. En conclusion : L'exhibition virtuelle est un moyen de communication et d'éveil BDSM. A trop s'exhiber vous n'êtes rien, à ne jamais le faire vous êtes déconnecté(e). L'excitation intense à pouvoir être démasqué(e) dans ses pulsions ou dans ses intérêts propres à l'exercer, en donne toute sa valeur. Sa principale alliée est la frustration, sa principale contrainte son égo. Elle éprouve votre vulnérabilité et votre désir à vous dépasser. Et si je ne devais vous donner qu'un seul conseil avisé, cela serait celui-ci : Si vous vous exhibez, faites le bien ! Spéciale Dédicace : Pour Daphné. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/4291/%C2%AB%C3%AAtre%C2%BB-ou-%C2%ABavoir%C2%BB/ -> "être" ou avoir https://www.bdsm.fr/blog/2669/ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction. https://www.bdsm.fr/blog/4723/un-ma%C3%AEtre-des-soumises/ -> Un Maître, Des Soumises.
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Par : le 13/04/20
morsure de ceinture ! Morsure de ceinture vaut douleur et moiteur Bientôt, je serai punie. Et pendant des heures. Jambes écartées. Et mains à plat sur le mur. Reins creusés. Cul relevé. Offerte en pâture. Fil-de-feriste, entre excitation, inquiétude Autour de nous, toujours le silence, la quiétude Brisée par nos souffles, mes gémissements et mes cris Ma respiration s’altère, ma raison aussi. Il me bascule sur le lit. Me dit « Cambre-toi ». J’obéis. « Et présente-moi donc ton petit cul » Je lui obéis. Encore. Comme à chaque fois. L’index sur mon anneau, sa queue bat contre mes fesses. Mes fesses, elles, battent sur son bas-ventre. Il m’ouvre. Il entre. « Est-ce-que tu me sens, là ? » me chuchote-t-il « Oui, Monsieur. » « Et qu’est-ce-que je fais ? » demande-t-il « Vous m’enculez, Monsieur » « Comment ? » il m’interrompt « Comme une chienne. », je réponds. Plus il m’appuie sur la tête, plus mon cul se donne Je gémis, supplie. Rien à faire : il me pilonne. Et ça dure jusqu’à ce : « Est-ce-que je peux jouir ? » Je demande..mal. La claque n’attend pas pour partir. « Répète.» « Est-ce-que je peux jouir, s’il-vous-plait, Monsieur ? » « Vas-y » : avec M, les leçons se prennent au pieu.
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 09/02/20
(Réédition du 09/02/2020 -> 31/03/2024 - 838 Vues) . Bref, Rien ne vaut un homme, pour exposer les penchants de La Masturbation Féminine. Si il y a bien une réalité lorsqu'une femme arrive sur un site BDSM, ce n'est pas tant le plaisir à regarder les photos ou lire des écrits BDSM, que de trouver un défouloir de l'esprit, à pouvoir être encore effrayée et stimulée par l'inconnu. De se questionner si l'on pourrait supporter maintes pratiques sexuelles et BDSM, en se mettant à la place d'une autre. Si la masturbation masculine est essentiellement portée sur la possession des femmes, il en est tout autre pour la masturbation féminine, portée sur l'utilisation et l'exploitation de leurs corps face à la pluralité. Le plus excitant dans le plaisir d'une femme, est de se représenter comme la catin que personne n'effleure du doigt (ou du poing :b), et de se sentir capable de l'avouer et de le dévoiler à son prétendant.. Tandis que pour l'homme, c'est dans sa puissance de mâle à prendre ouvertement le corps de la femme. Un plaisir venant simplement de sa propre valeur ajoutée, et de par toute son énergie innée primitive, à vouloir porter la femme vers la jouissance. En somme, une attirance, une excitation et un plaisir venant des projections sur que l'on peut faire de l'autre, ou ce que l'on peut faire de soi. L'accumulation du désir sexuel de la femme vient dans sa frustration et de son manque à dévoiler qui elle est véritablement, voulant faire fi de sa notion de sociabilité et de jugement en rapport aux autres. De plus, elles sont accompagnés dans toutes les étapes de leurs vies, par des hommes enfants et des chevaliers servants, bercés par leurs ignorances et leurs désirs utopique, que les femmes ont comme centres d'intérêt des êtres profondément protecteurs et rassurants à leurs yeux. Mais aussi, par des hommes entreprenants contant leurs récits épiques et héroïques, ayant pour vocation unique de les éblouir d'une fugace convoitise. Entre Coqs et Chapons, la femme n'a d'inspiration que dans le pouvoir de l'homme à s'exprimer librement et sans complexe, Ce que bien entendu la femme n'est pas par nature ! :b La femme n'aura de cesse de se torturer à ce qu'y est, ou aurait pu être la passion primitive de celle ou celui qui l'aura provoquée, rejetée, ignorée ou possédée ardemment. Remettant en cause sa "normalité", son expérience, son physique...dans une danse endiablée de l'esprit, et finir par se branler copieusement de sa fébrilité à vouloir succomber, s'abandonner ou se donner, par unique rédemption de ne pas savoir ce qu'elle veut ! Pour faire court, et si vous deviez vous arrêter qu'à une seule vérité ; La femme est une boisson gazeuse qui s'ignore. Jusqu'à tant qu'un mâle l'a secoue. Je ne peux que recommander le film "6 jours, 7 nuits" ( https://www.youtube.com/watch?v=uvBETmcVhjs ) représentant bien l'aspect routinier, tribal et fusionnel des relations hommes / femmes dans leurs approches respectives l'un envers l'autre. La complaisance des "touristes" qui se pignolent dans leurs feeling et leurs éloquences, et qui repartent littéralement la queue entre les jambes :b Dans la vie comme sur ce site, il y aura toujours un ratio de "pilotes" et de "touristes", ne vivant qu'à s'envoyer en l'air. Et quand certains y voient du haut de leurs "coucous", des opportunités d'acrobaties pour le plaisir, d'autres y voient un simple "charter" à se rediriger vers leurs désirs et espérances perdues. Pour le reste, c'est autre chose.. Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1) https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 02/11/19
(Réédition du 02/11/2019 -> 31/03/2024 - 1394 Vues) . Avoir Des Soumises, c'est avoir Des Femmes qui se portent l'une l'autre, et non qui se supportent. Ce n'est pas tant l'importance de leurs désirs à s'aimer, mais à se fondre dans leurs vulnérabilités durement acquise. La vision d'une sensualité qui ondule, apte à vous bercer et rendre l'horizon plus clair et serein. Des sirènes le vent en poupe, vous dans leur sillage, seul Maître à bord et à la barre. Avec comme profond plaisir, l'ivresse de dompter des nymphes, furies des mères et des "o", avec comme seule frustration, de ne pouvoir nager en leur compagnie, car ce bien-être leurs sont réservées. Une célébration de la vie, où l'homme pour une fois, en est le vaisseau et l'instigateur.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 23/09/19
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues) . Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes. Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! : -> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido.. -> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter. -> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens. Et tout s'avère possible ! Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue : 01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité. Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être. Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ? Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239 02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres. Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM. 03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ? Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre. Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience. Bon séjour sur le site !   *Trait d'humour caché dans le titre de cet article. Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.  
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Par : le 29/04/19
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues) . Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".   Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.   Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante. Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.   A quoi reconnait-on une "Brat" ? -----------------------------------------   Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues... Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation. Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.   Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement. Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.   Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé. La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer. Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence. Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu. Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience. Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.     Par quoi une "Brat" est elle attirée ? -------------------------------------------   Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci. Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger. Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.   La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :   - Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face. - Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne. - L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.     Que fait fuir une "Brat" ? -------------------------------   Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite, comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant. Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.     L'excitation compulsive d'une "Brat" ---------------------------------------------   Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée. Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.   Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ? Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.   Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.   La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.     En conclusion ? --------------------   Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.   Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004) marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille. L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.   https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I   (Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")     A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat". Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.   Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.   Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles. Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...   Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice. Cette liberté qui n'aura jamais de destination.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 26/12/18
un petit lexique des surprenantes rencontres virtuelles faites ici ou là ! cela fait deux ans que je me suis lancée dans cette drôle de recherche, de vivre une relation bdsm suivie avec un partenaire bienveillant, conscient de ses droits et de ses devoirs et pour lequel je serai prête à me livrer corps et âme . j'ai rencontré pas mal de personnes, virtuellement et réellement . beaucoup de ces échanges furent enrichissants, mais beaucoup d'autres furent juste con-sternants ! heureusement, il existe des gens biens, des doms aussi ;-) mais de ces échanges avec ces autres, je voulais en parler, histoire de repartir dans cette recherche la tête un peu plus légère. cet écrit est juste le fruit de mon expérience, elle ne vaut que pour moi, elle est aussi liée à ma sensibilité et ma recherche. par avance je m'excuse si j'offusque quiconque ici dominant ou soumise. si d'autres souhaitent compléter cet écrit, ma foi, j'en serai ravie - le graveleux en général, ce spécimen commence l'échange par un verbiage du genre "droit au but" exemple : tu suces, tu avales, tu aimes te faire enculer .... (désolée, j'ai corrigé les fotes d'aurtografes !) réaction épidermique (voir épidémique !) en ce qui me concerne, je leur renvoie leurs questions en ajoutant que j'adore fister le cul de mon dom avant une bonne séance, histoire de se mettre en condition résultat : ils s'en vont, YES !!!!! - les sûrs (quoique "sur") d'eux (deux) au commencement : je suis maître bidule, je pratique depuis 15 ans, je recherche ma prochaine soumise , elle doit être un mouton de Panurge et en plus fermer sa gueule, merci (ah non, le merci, y peuvent pas le dire, ils sont trop haut perchés pour s'abaisser à de telles banalités d'usage réaction : je suis désolée ô grand maître tout puissant, mais je ne pratique pas tel truc (pourtant, j'en pratique pas mal, mais bon !) s'ensuit le "je suis un maitre, je sais ce qui est bon pour toi et je sais ce que je veux, dans la relation , blablabla, c'est moi qui décide et toi tu ouvres juste la bouche pour me sucer ! re réaction : ah ben non, je ne souhaite pas être une esclave et suis très attachée à mon libre arbitre et à ma liberté d'expression, en plus j'ai un léger côté brat, donc ton truc, j'en veux pas ! résultat : il s'en va , en m'expliquant que je loupe l'affaire du siècle et que je n'ai rien compris au bdsm ( ben voyons ) - les protocolaires, variante des sûrs d'eux un préambule plutôt courtois, voire un chouïa rigide, mais agréable de prime abord ils expliquent assez rapidement qu'il faut faire ceci ou cela, comme ceci et comme cela, que le vous est obligatoire, que le sérieux est de rigueur, qu'aucun manquement à la règle ne sera toléré, blablabla .... moi de lui répondre en toute honnêteté que je suis plutôt de nature joyeuse spontanée et passionnée , que j'ai du mal avec le protocole et que je risque de ne pas m'y plier et d'enfreindre trop souvent les règles, ne sont elles pas progressives et adaptables ? ah mais non mademoiselle, le protocole ne souffre aucun aménagement, c'est la toute puissance du sacro saint protocole et rien d'autre résultat : c'est moi qui m'en vais ! merci au plaisir ! - les justes trop flingués dans leur life là tout se passe bien, en général, un échange agréable, un premier rendez vous basique avec un être intelligent (nom d'une pipe, ça fait du bien) où l'on parle de tout et du bdsm réponse j'en viens à accepter le premier vrai rendez vous et découvre alors que la situation est en effet très compliquée, un ex souminatrice encore très présente , un déprimé profond, voir viscérale, attachant mais too much pour moi (même si j'ai un côté soeur thérésa, si si au fond à droite ! ), un dark gothique ultra, archi torturé et torturant .... résultat : ça se finit en queue de poisson parce que trop compliqué ! - les affamés ils arrivent tout fraîchement inscrits sur le site et lancent quinze demandes d'amis , ils sont chaud bouillants, là tout de suite, maintenant puis disparaissent comme ils sont venus ! chouette, vous dites vous, eh ben, non, rien n'y fera de ceux là, on ne s'en défait pas, par la porte ou par la fenêtre, ils reviennent ! tout y passe, les grandes déclarations, les promesses, les propositions financières ... cycliques ils repassent vous harceler régulièrement, ça les prend comme ça, ils ne vous lâchent pas ma réponse : refusant de tchatter, je garde les mails , au moins, ça me permet de retrouver le fil des conversations (merci le site pour ça , c'est trop bien pour se rafraichir la mémoire !) et de renvoyer à mon correspondant sa chaleur précédente - les hommes mariés pour ceux là, j'ai une tendresse particulière comprenons nous bien, qu'ils soient mariés, je m'en fous, ça n'est pas moi que ça regarde, c'est eux, mais qu'ils le dissimulent m'agace. ils vous racontent assez facilement que le bdsm est un relation basée sur la confiance, qu'il est bon de se livrer à minima à l'autre, blablabla .... et comme je suis un peu psychorigide du côté de l'honnêteté, ça m'agace. résultat : ne pouvant me libérer que les weekends c'est assez vite vu, ça ne cadre pas bien avec leur vie maritale merci de m'avoir lue jusqu'au bout et toujours aux plaisirs kty
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Par : le 15/10/18
(Réédition du 15/10/2018 -> 24/03/2024 - 448 Vues) . Les preuves d’amour éclairent nos vies. Cette lumière nous invite à explorer, Ou nous pousse à l’envie de nous libérer. Nos pulsions désirent la transmettre, ou nous poussent à vouloir en devenir l’unique détenteur. Elle nous met au centre de tout, Mais nous enveloppe d’obscurité. Se dévoile alors une réalité ; Que nous ne pouvons plus nous passer de l’autre pour la contempler, et pour nous atteindre.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 02/10/18
Pour éclaircir un peu… Thutale rime avec monacal (et donc avec vestale) dans le qui m'a inspiré mon pseudo (la magistrale trilogie de Pierre Bordage : ). Oniki est membre du Thûta, un ordre féminin voué à la sauvegarde du fragile équilibre écologique d’une planète (Ephren) jadis recouverte par les eaux. Les mers, après avoir engendré une profusion de corail, ont baissé, laissant la dentelle minérale à découvert. Elle forme à présent une voûte de plusieurs centaines de mètres d’épaisseur au-dessus de la surface habitée, qu’elle écrase de son gigantisme. Le vent mugissant ne cesse de jouer dans les creux et les failles de la structure, de ce fait rebaptisée les orgues de corail et dont s’échappe continuellement une étrange et languissante mélopée. Ce monde mourrait vite sans les thutales, qui inlassablement nettoient les orgues de leur lichen pour permettre aux rayons du (des) soleil d’emprunter ces puits de lumière et d’éclairer et réchauffer leurs complanétaires. D’une grande force physique, agilité et sang-froid, elles se hissent à la force des doigts et des bras jusqu’au bouclier de corail supérieur, que, selon les lois de leur planète, il est interdit de fouler. Pour plus de commodité, et grisées par le vent, les hauteurs et l’étrange murmure des orgues, elles abandonnent dans les soubassements coralliens, une fois hors de vue, leur sobre tunique de laine blanche, et s’élèvent dans les rochers, portant leur nudité en étendard de leur liberté. Voilà pour le décor. J'espère ne pas trahir Pierre Bordage en disant qu'il y a une dimension symbolique (omniprésente ?) dans son œuvre. Voici donc une interprétation du passage présenté ci-dessus. La trilogie des , comme le titre peut le laisser deviner, a une dimension spirituelle importante. Oniki, sur Ephren, se dépouille de ses voiles au fil de son ascension vers la lumière pure des étoiles jumelles de son monde, lumière entravée par le gigantisme du corail (structure lourde et rigide, archaïque mémoire de la planète) et toujours menacée d'être définitivement occultée par le lichen des orgues, véritable chiendent, robuste et à croissance rapide. Dans le massif corallien, se faufilent, onduleux, des serpents géants, reptiles au regard captivant, puissants et dangereux : reflets de la force brute des instincts non maîtrisés (ici sexuels, vous voyez que je ne suis pas complétement à côté). Il va de soi que cette gigantesque et pourtant fragile structure minérale doit être purifiée, éclairée, et non détruite. Oniki est répudiée de son ordre pour avoir rompu son vœu de chasteté. Or c'est justement l'esprit lumineux d'un guerrier accompli qui s'est uni à la matière vierge de son corps... Exilée par ses pairs sur une île sans lumière, l'infatigable ouvrière de la clarté poursuit seule, pour les autres réprouvés (des fous pour la plupart), son œuvre de thutale, et dégageant une galerie majeure encombrée d'un lichen millénaire, permet enfin à la lumière d'atteindre ce lieu de souffrance. Bravant un ultime interdit, elle se hisse sur le bouclier de corail, en pleine lumière, et ce sont les serpents qui deviennent les témoins attentifs de la naissance de l'enfant qui a pris forme en elle au fil de ses épreuves. Pour conclure et pour être définitivement claire au risque de lever le mystère : Oniki, c'est la force sexuelle sublimée qui s'élève... Le serpent qui se redresse... Le bas qui rejoint enfin le haut... La levée de tous les anathèmes. Oniki, Thutale (oui, j'en parlerai un jour à un psychiatre )
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Par : le 27/09/18
(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues) . Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique. Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même. Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme. Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut. Etre Dominant ; Toujours plus vite. Etre Maître ; Toujours plus haut.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 21/08/18
Aimer la femme au point de fantasmer à être contraint de vivre une transformation humiliante . Phase première , se mettre à poils ,et chausser des chaussures de femmes ,se munir de cette accessoire féminin ,à lui seule ,le plus fantastique ,le SG, sentir les bretelles sur ses épaules ,1ère excitation. enfiler robe ,mi jupe ,chemisier, enfin bref,parfaire sa tenue et sentir le bout rose de son organe intime frotter sous le tissu . Ensuite place au fantasme à l'imagination de l'acte suprème : "Prendre une chaise ,en s'asseyant à l'envers dessus ,donc,face au dossier, relever le devant de la robe pour dégager le pénis et à l'aide d'une ficelle nouée derrière le bourrelet du gland ,serrer très fort en tendant le lombric au maximum par devant en nouant la ficelle au bois du bas de dossier de chaise .le gland gros et raide ,dépasse bien de l'autre côté et la tension extrème fait souffrir ;c'est très bon!!! Prendre une paire d'escarpins à talons aiguille et ficeler un, de chaque aux extrémités du dossier et scotcher 1 punaise à l'envers sur les reposes talons ,car escarpins à brides , En l'occurence ; avec robe à manches courtes ,retrousser les brassières sur les épaules ,cela est déjà excitant,car fait penser à une sorte de viol ,enfin je n'aime pas ce mot ,forced,humiliation,; tout cela pour dégager le SG ,qui devra être à son tour retroussé ,mais par le bas ,pour dégager les tétons ,ce qui les fait gonfler vers l'avant . Régler la hauteur de la punaise en face le centre des tétons . les bras comme attachés derrière le dos et les jambes en arrière avec les pieds dressés sur le bout des sandales . Pencher le torse en avant ,et griffer les tétons sur les punaises ,c'est vraiment excitant !!!! le fantasme ressenti ,est d'être humilié ,forcé à devenir une femme en détruisant les parties intimes du mâle ; (du porc) . Transformer un brave porc en génisse ,c'est lui faire éprouver le plaisir à détruire ses parties érotiques et génitales afin de devenir femme .(excusez j'emploie des termes choc (porc) et autres pour le ressenti uniquement) . options fantasme à la scène décrite : enfoncer une tige de fer dans l'urètre du lombric en situation d'arrachement ,et planter carrément la pointe de la punaise dans les tétons ,afin de crever l'alvéole canalaire ,en faisant peser tout le poids de son torse sur les repose talons .La déchirure de l'alvéole va enfin faire juter ce gland dure . Option 2 : se prendre un collier de femme autour du coup et une autre paire d'escarpins pointus et s'enfoncer les deux bouts pointus bien au fond de la gorge ,le soumis bave ,c'est sublime !! une alliance dans le nombril et une gourmette nouée autour des couilles . Viens ensuite ce que j'appelle l'étalonnage des tétons d'homme soumis au sacrifice ; choisir une paire d'escarpins à talon et les rentrer dans le ST ,en tournant la pointe des talons sur les tétons et s'allonger au sol ,en faisant peser le poids de tout son corps . l'Ecrasement des tétons par l'accéssoir fétiche est un régal d'humiliation pour enfin exprimer son désir mammaire ,avoir des vraies mamelles au lieu de ces ridicules petits boutons
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Par : le 07/08/18
Lyon. Restaurant Les Comédiens rue E. Herriot. Juin 1994. Je me souviens de tous les détails de cette scène. Les personnes présentes, l'endroit exact où se situe notre table, la température plutôt chaude pour la saison, ce qu'elle porte, la façon dont elle entre dans ce restaurant où je dîne avec des amis, ce que je ressens en la voyant pour la toute première fois. Ce que je me dis aussi : "c'est exactement elle, je veux cette fille". Lise. Grande. Mince et bien faite. Etudiante en Droit. Une grande robe bleue, un grand chapeau de paille élégant. Des yeux bleus hypnotisants. Une semaine plus tard, je la croise de nouveau dans une fête sur les pentes de la Croix-Rousse. Guitare. Elle chante. Bien. Clapton et "Tears in heaven" qui achève de m'ensorceler. Je la raccompagne, tard. Premier baiser sur les quais du Rhône, elle traversant vers la Guillotière, moi rejoignant St-Georges. Je la voulais et je l'embrasse dans la chaleur de la nuit. Tout est allé vite. Nos amis communs sont passés par là, sans aucun doute. Je n'ai pas cherché à cacher mon trouble, mon état d'hébétude totale disons la vérité. Un sourire béat sur mon visage. Subjugué. Elle souffre à l'époque d'alopécie nerveuse. Aussi porte t-elle toujours un chapeau, une casquette ou un bandana noué sur son crâne. Crâne que je la persuade rapidement de raser totalement. Elle assume parfaitement cette tête lisse en public, d'un érotisme qui aujourd'hui encore, à mes yeux, ne se dément pas. C'est l'été. Une bande d'amis, pas grand chose à faire si ce n'est profiter de la vie. Pique-niques, virées en 2CV, "Allons à la campagne" de Kent hurlé à pleins poumons. Des rires, des discussions, des soirées arrosées. Période magique. Nous sommes restés ensemble quelques semaines Lise et moi, mais notre relation n'est jamais devenue sérieuse. Pas de sexe pour cette première période. Première, oui, car il y en aura d'autres. Une présentation à ses frères, quelques jours chez ses parents en Savoie, puis la séparation car elle ne ressentait pas ce qu'elle avait espéré. Fin du premier épisode. Je me souviens en détails de mon retour en stop et des heures passées au péage de Chambéry, à attendre une bonne âme. Poursuite de mes études, direction Paris. 2 ans se passent. Retour à Lyon pour travailler quelques mois dans un hebdo local. Et nouveau contact avec Lise. Nous nous remettons ensemble. Elle est plus mûre me dit-elle, regrette d'avoir rompu. Pas de sexe, enfin pas vraiment. Elle aime que je la masturbe avec la paume de ma main bien à plat sur son mont de Vénus, elle allongée  sur le dos, cuisses ouvertes, ou bien sur le ventre, fesses relevées, ma main glissée sous son ventre, entre ses cuisses. Elle ne me suce pas mais me caresse. J'attends  plus bien sûr. Mais je ne sais sans doute pas l'y amener. Départ au service militaire.  Deux ans dont un en opération extérieure. Nous nous retrouvons à chaque permission. Toujours pas de pénétration. Puis vient la nouvelle rupture. Plus dure pour moi cette fois. Je suis amoureux, du moins je crois l'être. Elle, elle est désolée mais elle ne peut pas, n'est pas assez amoureuse. Bref.... je l'oublie, enfin non, je ne l'oublie pas mais je vis ma vie. Rencontre, mariage, enfants, carrière. Presque 20 ans s'écoulent avant que je ne la recroise. Je n'ai pas passé toutes ces années en l'ignorant. J'ai suivi sa vie, du moins ce qu'elle en a laissé voir sur les réseaux sociaux. Pourquoi ? Je m'interroge encore. Nostalgie sans doute. Ou autre chose. Elle a trouvé l'amour me semble-t-il, est devenue maman. Je ne sais rien d'autre. Il aura suffi d'une terrasse de café. Elle lisant Barjavel. Moi prenant une bière avec un ami. Elle est redevenue brune, une magnifique chevelure. Presque dommage, j'aimais son crâne lisse. Regards échangés... Est-ce elle ??? J'en suis sûr. Oui, c'est elle. Aussi belle, plus "femme" avec les années. Magnétique, toujours. L'ami prend congé et Lise se lève. "Bonjour Victor... cela fait longtemps." "Bonjour Lise.... oui, 19 ans exactement. Tu es... radieuse je dois dire. Que deviens-tu ? Je t'en prie, assieds toi." Elle me raconte ces années. Son mariage, son divorce, la garde de sa fille puis le choix de cette dernière de vivre avec son père. Je lui raconte mes années. Mariage, paternité, lassitude mais pas de divorce. Elle habite juste à côté, m'invite à poursuivre la conversation chez elle. Son charme opérant toujours sur moi, plus que jamais devrais-je dire, je la suis, trop content de respirer son parfum, admirer ses courbes et entendre sa voix. "Tu sais" me dit elle une fois la porte de son charmant appartement refermée "J'ai bien changée. La Lise un peu prude que tu as connue, elle n'existe plus... j'aimerais, disons, me faire pardonner de t'avoir largué, deux fois..." Je reste sans voix, me demandant si je suis en train de bien comprendre ce qu'elle me dit, si elle me propose bien ce que je crois... "Ca m'a fait mal tu sais, à l'époque. Surtout la deuxième rupture, j'étais amoureux, moi. Dis-moi, comment pourrais-tu te faire pardonner ? Et bien... peut-être comme ceci..." Lise s'approche et me prend la main. "Viens..." Elle me conduit dans une petite pièce. Son boudoir me dit-elle. Un grand miroir, allant du sol au plafond. Ambiance feutrée, tentures, fauteuil et méridienne, légère pénombre. Je m'attends à un baiser, pour commencer. Mais elle s'agenouille, ses yeux dans les miens. Pas un mot. Je suis subjugué, anesthésié par la surprise. Elle me libère, déjà dur et tendu. Petits baisers, coups de langues sur mon gland, le long de ma hampe. Ses doigts qui m'enserrent, sa langue sur mes testicules. Une fellation divine. Elle m'avale presque entièrement, joue de ses lèvres qui m'effleurent, m'embouche à nouveau. Jusqu'au bord de l'explosion. Puis elle se redresse, me tenant toujours entre ses doigts. Elle relève sa jupe, ne porte rien dessous. Une main en appui sur le dossier de la méridienne, reins cambrés, cuisses qui s'écartent... son regard toujours vissé au mien : "Viens... baise-moi". Je ne me fais pas prier davantage. Aucun homme n'y résisterait, surtout pas moi. Lentement d'abord. Savourer cette possession, mains sur sa taille toujours aussi fine. Je m'enfonce en elle. Elle est trempée, me désire. Je la prends jusqu'à la garde, me retirant lentement pour mieux m'enfoncer, de plus en plus brutalement. Elle apprécie, me le dit. "Encore.... baise moi bien, baise moi bien fort... vas-y... je suis ta salope.... ". Je ne la reconnais effectivement plus, mais pour l'heure, pour l'instant je devrais dire, j'en profite pleinement. Les questions viendront plus tard, après la jouissance. Ses mains ouvrent ses reins, me les offrent. Elle tourne la tête, me regarde et..." Encule moi,... j'aime être enculée comme une chienne. Vas-y, enfonce ta queue, baise moi le cul..." Il est des jours où vous vous pensez béni des dieux, enfin de celui de la luxure pour ma part. Je la sodomise, lui claque les fesses, la défonce aussi fort que possible en regardant ce tableau sexuel dans le grand miroir... Tableau d'une beauté sauvage, animale. Elle répète qu'elle est ma pute, ma salope, qu'elle veut que je la remplisse, que je lui donne mon foutre... Ce que je ne tarde pas à faire, en hurlant mon plaisir alors qu'elle atteint elle aussi le nirvana des sens. Nous sommes trempés de sueur, souffle court. Nous restons ainsi de longues minutes avant que je ne me retire. Je l'ai baisée sans capote. Folie pure, je le sais. Mais une autre folie, plus puissante encore que le risque, s'est emparée de moi. Et puis.... il s'agit de Lise... MA Lise... et j'avais un compte à régler avec notre passé. Elle s'agenouille à nouveau et me nettoie, longuement. Elle ne semble pas rebuter par cette queue qui vient de sortir de ses reins. "J'espère que tu as aimé" me dit-elle..... "C'était..... inouï, et inoubliable. Je te remercie, sincèrement. Il y a longtemps que je n'avais pas joui aussi fort." "De rien, nous n'oublierons pas non plus, rassures toi. Tu m'a bien baisée et j'ai joui très fort moi aussi." Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et m'embrasse à pleine bouche...."A très vite, à très très vite" me murmure t-elle en me glissant un petit bristol avec son numéro dans la main. Retour à la rue, nuage sur lequel je flotte, jambes coupées par le plaisir, interrogations multiples. Incompréhension totale. Retour en arrière et rediffusion du film. "Nous n'oublierons pas non plus....". Nous ? Mais c'est quoi ça ? Une erreur ou bien ??? Réflexion à vitesse supersonique. Evacuation des hypothèses fumeuses. N'en reste qu'une seule, qui douche instantanément mon euphorie : le miroir. Chapitre Deux Des heures à me morfondre et à me perdre en conjectures. Je passe une mauvaise nuit. Puis vient le matin, et enfin seul, de retour au bureau. Hésitations, encore, puis j'ose. Sonneries, elle décroche, fébrile est un mot faible pour décrire mon état. J'ai décidé de ne pas la laisser parler. Il faut que je sache. "Bonjour Lise. Je vais être direct. Hier tu as dit, nous n'oublierons pas non plus. Pourquoi ce nous ? Ta langue a fourché ou.... " "Quand peux tu être libre aujourd'hui ?" Sa question me désarçonne. Je m'attendais à une réponse, pas une question sans rapport... "Euh... 12h30 ?" "Alors à tout à l'heure. Tu connais l'adresse, la porte sera ouverte. Tu auras ta réponse. Je te conseille de ne pas être en retard". Nouvelles heures à me torturer l'esprit. Fébrilité accrue. Je ne tiens plus en place. Je décide d'y aller en avance, à pieds, pour essayer de me vider l'esprit. Mais les questions m'assaillent de plus belle après cette courte conversation. Pourquoi son conseil ? Si elle ne m'a pas répondu, c'est que le "nous" n'était pas une erreur de sa part. J'imagine le pire sur ce nous. Chantage, extorsion, enfer et explosion de ma vie. Après tout, que sais-je de la sienne sauf ce qu'elle a bien voulu m'en dire ou ce que j'ai trouvé sur le net ? Encore une fois, j'ai laissé ma queue me diriger, j'ai été faible.... Je me console en me disant que cette séance de cul était sublime. Mais c'est maigre face aux conséquences que j'imagine. Reste qu'il est trop tard et que je ne peux reculer le temps. 12h29, je monte les deux étages. 12h30, je pousse la porte effectivement entrouverte. Des voix, le boudoir. Je m'y dirige et reste figé sur le seuil. Statufié par ce que je vois. Incapable de bouger, de réfléchir, de parler. Lise, à genoux. Le crâne à nouveau lisse. Collier de cuir à son cou, bas et gants de latex noir, mains dans le dos. Une autre personne. Féminine. Grande, belle me semble t-il. Bustier noir sur sa peau caramel, jupe longue, noire également, talons aiguilles. Etrange créature envoûtante et effrayante qui se tient dans une relative pénombre. Entre les deux, la source des voix. Un écran et un film. Notre film, celui d'hier, vu de l'autre côté du miroir. Du porno trash dont les deux acteurs sont parfaitement reconnaissables. Je suis fasciné, hypnotisé par ce que je vois. Et la créature ne me laisse pas le temps de sortir de ma torpeur. "Avant que tu ne réagisses, mal sans doute, sache que tu visionnes une copie. La version originale est en lieu sûr, sur le cloud. Alors ravale ta dignité, ton éventuelle colère, et écoute. Ecoute moi bien : tout d'abord, si Lise a agi de la sorte, c'est sur mon ordre. Oh bien sûr, c'est elle qui a proposé ta candidature, mais c'est moi qui ai fait ce choix. Ensuite, elle n'a fait que m'obéir. Tu as bien entendu: m'obéir. Je suis sa Maîtresse. Maîtresse Inès, comme toi aussi tu vas m'appeler à partir de maintenant. Je crois que tu es un homme intelligent, tu imagines aisément ce qu'il adviendra de ce film. Sûr qu'il sera très apprécié de ta femme, de ta famille, de tes collègues. Et je ne doute pas de son succès sur le net. Je te laisse 5 minutes pour y réfléchir, mais je ne veux pas entendre le son de ta voix. Pas un mot et aucun geste déplacé. Tu n'es pas en position de négocier". Elle a débité sa tirade d'une voix calme, mais froide et déterminée. Nul doute qu'elle ne bluffe pas. Je suis anéanti et mon cerveau tourne à vide. Aucun choix. Sauf celui d'obéir à cette femme, cette Maîtresse. Lise garde le regard baissé. J'aimerais tant pouvoir croiser le sien, y lire quelque chose... mais non. "Bien, je pense que tu as réfléchi. Maintenant, à poil. A POIL TOUT DE SUITE !!!" Elle ne souffrirait aucune contestation, alors j'obéis. "Mains sur la tête, tu ne bouges pas. Lise, explique lui maintenant". "Je suis la soumise de Maîtresse Inès depuis 2 ans. Je ne t'ai jamais oublié, quoi que tu en penses. Depuis toutes ces années. J'ai suivi ta carrière, et un peu de ta vie. Je t'ai même suivi, parfois, dans la rue. Une obsession secrète. Tu dois te demander pourquoi, pourquoi j'ai fait ça alors que je t'ai largué, par deux fois. Moi même j'ai du mal à répondre à ça.  Quand Maîtresse m'a ordonné de lui trouver un soumis pour avoir un couple à son service, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai repensé à toi immédiatement et j'ai soumis ta candidature à Maîtresse. Ensuite, nous avons mis au point ce piège. Rien n'est arrivé par hasard. Je t'ai piégé, sur ordre de ma Maîtresse. Qui est maintenant la tienne aussi. Tu vas être éduqué, comme je l'ai été, dressé comme j'ai été dressée. Tu vas te rebeller, tu seras puni puis tu accepteras. Tu n'as pas le choix. Alors ne complique pas les choses. Tu apprendras à aimer cela. Moi j'ai appris. J'en avais envie, vraiment. Depuis toujours je crois. Maîtresse m'a révélée à moi-même. Aujourd'hui je suis fière de lui appartenir. Fière de mon statut de soumise, d'esclave de Maîtresse Inès. C'est un honneur. Et tu vas le partager". "C'est bien ma petite chienne... je crois qu'il a toutes les informations dont il a besoin. Sauf une, mais il la découvrira plus tard. Pour l'instant, ce petit film m'a bien excitée. J'en veux encore.... recommencez, maintenant". Crâne rasé, collier de cuir, latex gainant ses bras et ses longues jambes toujours aussi sublimes... Lise est un fantasme vivant. Mon fantasme de toujours. J'ai taché tant de draps en l'imaginant dans cette tenue, depuis toutes ces années. Mon imaginaire sexuel a toujours été riche et s'est souvent, peut-être même toujours, aventuré du côté de l'univers BDSM. Moi en soumis bien plus qu'en Maître. J'ai même tenté, sans grand succès, de vivre ces désirs en réel et d'assouvir mes fantasmes de soumission. Reste que Lise a largement été là lorsque mes doigts me faisaient jouir, et encore aujourd'hui, je veux dire "avant" que cela ne devienne réalité. Je me laisse faire, incapable d'agir, happé par le désir, brutal. Lise se lève et plonge son regard dans le mien. Elle s'approche lentement et une main de latex se pose sur mon torse, l'autre sur ma nuque pour attirer ma bouche à la sienne. Sa langue me fouille et son ventre se presse contre ma queue dure. Je sens cette femme se rapprocher et tourner autour de nous. Mes mains sur les hanches de Lise se montrent peu entreprenantes. Pas assez au goût de sa Maîtresse. Une douleur fulgurante traverse mes reins et m'arrache un cri.... la cravache... "J'ai dit que je voulais vous voir baiser MAINTENANT ! Alors bouge toi PETITE MERDE !!! Quelque chose se passe. Je me déconnecte. Enfin mon esprit se déconnecte de mon corps. Je ne suis plus qu'un animal guidé par son instinct primaire : jouir. Baiser et jouir. Je ressens chaque contact avec le corps de Lise avec une puissance inconnue de moi. Je suce, lèche, baise, perfore, embrasse, sens et ressens, je m'enfonce, je m'ouvre, je bois, je crie, je hurle, j'encule, je m'offre. Lise est assise sur ma bouche et m'abreuve de son champagne pendant que je lèche son clitoris. Je suis à quatre pattes et elle me branle sans ménagement en enfonçant sa langue dans mon petit. Elle est empalée sur ma queue et me chevauche pendant que je suce ses  seins. Enculée en levrette, enculée dans toutes les positions, reins offerts à pleines mains. 69 détrempé. Doigts qui ouvrent, masturbent, cherchent une bouche, une langue. Sueurs et fluides mêlés. Cris, râles, halètements, gémissements. Sa Maîtresse qui nous harangue, plus vite, plus fort. Final sur sa langue. Je crois que jamais autant de sperme n'est sorti de moi, comme si je m'étais retenu pendant 20 ans. Lise me renverse sur le dos et plonge sa langue gluante de foutre dans ma bouche. Elle s'empale une dernière fois sur ma queue restée dure. Elle se frotte de plus en plus vite, au rythme de la cravache qui cingle ses reins. Cri. Jouissance. Elle s'effondre sur moi. Il me faut de longues minutes pour me reconnecter. Reconnecter mon esprit et prendre conscience de mon environnement. De ce qui vient de se passer, comme si j'y avais été étranger. Je tourne la tête et découvre une image que je n'ai pas imaginée un seul instant. Sa Maîtresse est assise sur la méridienne, jupe relevée et cuisses largement ouvertes. Elle se masturbe avec frénésie. Entre ses doigts, une queue énorme au gland luisant, prêt à éclater. Un claquement de doigts. Lise se précipite. Cri. Jouissance. Elle avale et nettoie. Et moi je suis fasciné.
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Par : le 06/08/18
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues) . Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme. Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ? Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non. Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine. Comment devient une/un "Cum-Slave" ? Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser. Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou). Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment. Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ? L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite. Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source. Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet). Amour et "Cum-Slave" ? Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie. Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant. L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs. Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable. Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête. Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ? Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être. Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave". Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave". Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière. (Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave") En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre. Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu. C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée. Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ? Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte. Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin. Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ? Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle. Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme. Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé. Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda. Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation. En conclusion ; Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM. Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail. Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b) Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 22/05/18
Beaucoup de libertins et de libertines se revendiquent d’Epicure alors même que la philosophie épicurienne considère la sexualité comme étant un désir naturel, non nécessaire. Non nécessaire ?! Vivre pleinement sa sexualité contribue pourtant à l’équilibre psychologique et favorise une certaine sérénité de l’esprit. Quel antagonisme, par méconnaissance sémantique, ces derniers au nom des plaisirs de la chair feraient-ils l’apologie de la vie monacale ou d’Eunuques ? Préférence accordée à Eschyle pour qui « il est agréable, d’être agréable à quelqu'un » ou Sophocle qui préconise « être fou de joie, dans les plaisirs, au milieu des plaisirs » . L'hédoniste considère le plaisir comme le bien unique et suprême dans la vie, et professe la recherche du plaisir, et même des plaisirs multiples, en tant que fin idéale de toute conduite. Alors que pour Epicure, le but ultime est l'atteinte de l’ataraxie. Donc sortons de notre léthargie épicurienne pour entrer dans les folies hédonistes. La vie est une succession de souffrances et de petits instants de bonheur. Les plaisirs y sont trop éphémères. Cueillir le plaisir du moment, sans dol ni préjudice pour autrui, est de bon conseil pour agrémenter sa vie. Mettre ses sens en exubérance et son esprit en harmonie avec les saines forfaitures des corps.
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Par : le 11/04/18
Je t’attends, comme à mon habitude devant la porte d’entrée. Il est à peine 18h15 et tu n’arrives uniquement à 18h30. Je suis impatiente de te retrouver mon maître adoré, mon corps entier rentre dans le désir les plus charnel. Je me mets un coussin sous les genoux, et me mais a quatre pattes comme tu aimes, avec le collier sur le cou, et la laisses dans la bouche. Je me répète sans cesse les règles que tu ma fais apprendre. • « Toujours attendre le maître devant la porte avants qu’il n’arrive. » • « Ne jamais regarder le maître dans les yeux. » • « Ne jamais parler sans en avoir l’autorisation donnée. » • « Toujours avoir les yeux baissés quand le maître nous regarde. » • « Toutes les punitions, j’accepterais sans broncher. » • « A chaque punition, je remercierais le maître de ce plaisir. » • « Au plaisir du maître, je me plierais. » Il est l’heure, je vous entends arriver devant le hall d’entrée, j’écarte mieux les jambes pour vous montrer à quel point je vous et désiré. Vous ouvrez la porte et prenez un ton plutôt sec à mon égard, je comprends alors que je n’allais moins faire la fière. Vous tourner aux tours de moi, palper mes fesses avec envie, et prenez bien le temps de vérifier à quel point mon vagin, c’est humidifier pendant que je pensée a vous. « Tourne-toi, dépêche-toi ma chienne. » M’ordonna le maître. J’acquis en baisant la tête et les yeux, tout en me tournant vers vous. Vous me prenez la laisse, et vous l’attachassiez à mon collier, que vous prenez soin de bien resserrer. Vous me faites marcher à quatre pattes jusqu’à la chambre, ou vous avez disposer tout les jouet dans le placard bien fermer pour que la petite soumise que je suis ne puisse y accéder. Je vous attends assise les fesses sur les talons, pendant que vous ouvrez le placard pour prendre la cravache en cuir que vous adorez tant. « Cambre-toi, que j’admire t’es fesses rosir sous mes coups. » M’ordonna le maître. Je me cambre donc bien, le visage touchant le parquet les fesses relever pour vous mon maître, j’attends avec désire tous vos coups, je prends plaisir à compter comme vous l’aimais le nombre de fois ou la cravache rebondie sur mes fesses. Ce que vous voulez sait me marquer, j’adore ça quand le maître me marque de son envie. Je sens mes fesses chauffer sous la cravache, vous riais et prenez un malin plaisir à m’entendre beugler de plaisir. « Tu aimes ça ma chienne, dit le que tu aimes ça. » M’ordonnât le maître. « J’aime ça maître, merci maître de me donner tant de bien » rebondi-je. Vous me faites me relever pour monter sur le lit, ou vous me mettais le baillons en cercle, pour que vous puissiez insérer votre doux membre au fond de ma gorge. Vous savez que j’aime ça et ne vous retenez pas, plus je bave et plus vous aimer mon maître, que j’aime me voir à votre service. Vous prenez mes cheveux et les attacher, pour mieux les agripper, de façon a ce que mon visage balance bien le long de vôtre verge. Je deviens de plus en plus excitée, et ma cyprine commence a humidifier l’intérieur de mes cuisses. « Tourne toi, que j’admire ton sexe remplie de mouille a mon égard. » M’ordonna le maître. Je me tourne et montrai avec les jambes bien écarté à mon maître a quel point lui servir étais pour moi un plaisir fou et exquis. Je sens les doigts du mètre caresser les contours de mon vagin, pour aller directement aux grandes lèvres pour remonter jusqu’à mon joli bourgeon gonflé de plaisir. Je sens votre doigt le titiller de droite à gauche et de haut en bas ce qui me fait mouiller encore plus. Le maître fait des mouvements de plus en plus vite et je gémis de plus belle. « Ta gueule, et écarte donc plus t’es cuisse. » M’ordonna le maître. Je le fis aussitôt dit, il me met le vibro coller au clitoris attaché d’un scotch bien adhésif, avants de rentrée bien au fond de mon vagin, vous agrippez mes cheveux pour me cambrer de plus belle. J’entends vos testicules claquer contre moi, vous me donnez des fessées en même temps, vous adorez quand je gémis de plus en plus fort sous le rythme de son sexe. « Je te sens jouir sur ma queue salope, je vais donc te remplir la chatte. » Me dit-il. Effectivement, mes parois vaginales ce serré contre sa verge, alors que mon corps tremblé du plaisir qu’il me donnait. Mes yeux tournent de plaisir, et je sens le maître ce vidé a l’intérieur de mon vagin, puis le maître se retira pour en faire couler sa semence. « Merci maître pour tout ce plaisir que vous m’avez apporté. » Dit-je. _________________________________________________________________________ Je préviens, avants d'avoir un masse de critique concernant l’orthographe. Que je suis Dyslexique et fait donc déjà de mon mieux.
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Par : le 01/01/18
  Qu'est-ce qu'un MUNCH ?   Un Munch est un rendez-vous de rencontres entre personnes ayant pour intérêt le BDSM, ces personnes peuvent être des personnes impliqués de la pratique de relations BDSM ou des personnes qui montrent un intérêt pour ce style d'expressions relationnelles et de pratiques sexuelles. Un Munch dans l’univers BDSM est organisé de manière formelle ou informelle par des gens identifiables(1). Le lieu où sont organisées ces rencontres est important: - C'est un lieu qui présente des caractéristiques qui permettent aux participants de pouvoir bénéficier de toutes les garanties d'être libre d'aller et de venir. L'endroit doit être facile d'accès et permettre de laisser aux participants le choix de leurs anonymats. C'est un lieu neutre, un point de rendez-vous qui n'est pas isolé et/ou clos, un lieu qui est ordinairement un restaurant, une brasserie, un café en ville/village. Les horaires des Munch sont choisis pour permettre au plus grand nombre de participer, il débute le plus tôt qu'il est possible et se termine a des horaires compatibles avec les transports en commun (si ceux-ci sont disponibles dans les environs). C'est une rencontre dédiée à l'expression et de mise en relation sociale. Le but d'un Munch est la discussion, l'échange de points de vue, d'expériences. Un Munch est un lieu de rencontres à des fins de communications avec des personnes qui montrent une attention pour un domaine de réflexions et de comportement relationnels, ce n'est pas un lieu de drague! Les personnes qui s'y présentent doivent pouvoir se sentir dans u environnement propice à la réflexion, à la communication sans aucune pression de séduction ou de jugement comportemental (LGBT bienvenu(e)s !) :) Il n'y à aucun enjeu de pouvoir entre les différents intervenants ou participants, en aucun cas, d'aucune manière. Quiconque participe à un Munch est en droit d'exiger qu'il soit traité d'égal à égale avec les autres personnes présentes. S'il existe des règles de bienséance sociale comme dans toutes les réunions publiques, il n'existe pas de "dogme" (règles écrites) ou de manière de s'adresser aux personnes présentes. Le respect des "protocoles" qui peuvent avoir du sens dans des groupements particuliers n’est pas applicable lors de la participation à un Munch.   Ce qui n'est pas un Munch?   Ce n'est pas un moment de pratique BDSM. - Vous n'avez d'ordres à recevoir de personne ni contraintes à subir de quiconque est présent à ces Munch, seul les règles de civilités ordinaires applicables à une rencontre dans un lieu public sont acceptables. - Vous ne devez pas accepter d'être témoin ou acteur malgré vous d'exhibition à caractère érotique ou sexuel, celles et ceux qui souhaitent s'y adonner ont de nombreuses autres occasions pour le faire ou doivent, à tout le moins, requérir au consentement explicite de chacun des participants. Vous êtes en droit de refuser ce type de démonstration. Ce n'est pas organisé dans un endroit isolé. - Gardez simplement à l'esprit que les gens qui pratiquent et ont le besoin de partager dans la pratique d'un BDSM peuvent le faire lors de centaines d'autres occasions. Le Munch est un moment ou la neutralité et le partage d'expériences sont privilégiés, pas l'action, c'est un lieu de discussions, de réflexions. Ne vous sentez jamais obligé de suivre des personnes qui vont ensuite s'amuser dans un autre lieu, là encore tout repose sur votre libre arbitre. Vous et vous seul êtes en mesure de donner votre opinion et n'avez à subir aucune pression, aucune contrainte d'aucune sorte. Soyez ferme et intransigeant sur ces points. Ce n'est pas obligatoirement organisé par des associations/entreprises dédiées aux activités libertines et/ou BDSM. - Si cela va sans le dire, c'est toujours bien mieux en le disant. Vous devez savoir que certaines entreprises commerciales ou associations en mal de notoriété ont compris que le terme "Munch" pouvait apporter "du monde", de la fréquentation, donc un peu d'argent pour leurs petites entreprises. Conséquence de quoi, ces personnes détournent les principes fondateurs des Munch, qui je le rappelle ont pour vocation de permettre aux personnes qui ont une curiosité pour ces pratiques de pouvoir rencontrer et discuter en dehors de toutes contraintes. Exception notable pour le l'Association Paris-M(4) qui à pour vocation l'organisation de Munch et d’Apé’Rencontres, cette association veille depuis de nombreuses années à ce que cela soit un moment de rencontres qui respect les principaux fondamentaux décrits dans le ce billet. Ce n'est pas un endroit ou les gens seront mis en situation d'être voyeurs ou exhibés. Ce n'est pas un endroit ou il est enseigné une "méthode" ou techniques de pratique (cordes, aiguilles, jeux de rôles D/s) Ce n'est pas un endroit où il est fait commerce de marchandises en relation avec le BDSM (cela n'empêche pas que les équipes organisatrices puissent trouver des partenaires pour les aider dans la promotion de leurs rencontres Munch) Ce n'est pas une rencontre ou vous avez obligation d'adhérer à une association ou un mouvement spécialisé. Ce n'est pas un endroit ou l'ont peux faire des photos ou des enregistrements (vidéo/audio). Ce n'est pas un endroit sélectif ni discriminatoire, il n'y a pas de lettre de motivation à présenter ou de cursus à respecter(3). Il ne doit pas y avoir de ticket d'entrée ou de paiement préalablement requis pour y avoir accès. Par exemple, les intitulés "Munch & Play" ou encore des “Munch’n play Maverick”(2) ne sont pas respectueux des bases conventionnelles des "Munch" qui sont pratiqués depuis le début des années 1990 en Amérique du Nord ou bien depuis la fin des années 2000 en France, pour ne citer que ces exemples. Cette usurpation de dénomination n'a que pour but de siphonner la popularité des Munchs historiques. Si vous avez été abusé par ces appellations, n'hésitez pas à le faire savoir autour de vous. 1) Une personne est identifiable par des éléments simples: Si vous ne disposez pas de son identité sociale (un pseudonyme est respectable !!), vous devez au moins disposer d'éléments de contact comme par exemple un Facebook avec un visage identifiable (identifiable en en privé, cela va de soi). Un numéro de téléphone est fortement recommandé pour pouvoir joindre les personnes sur place afin de vous y retrouver, vous situez si vous êtes égaré en allant sur les lieux du Munch. 2) le fait que cette appellation "munch" soit dévoyée ne présume en rien des qualités des organisateurs de ces moments de rencontres qui ne sont pas des MUNCH. https://www.google.fr/search?q=Munch+%26+Play&cr=countryFR,lr:lang_1fr&source=lnt&lr=lang_fr 3) seules les règles de courtoisie liées à l'espace public (brasserie, restaurant ...) sont à respecter. Vous n'avez pas à être traité autrement qu'avec respect et ne devez recevoir d'ordre de personne et n'être contraint à rien ni par personne. 4) http://www.paris-m.org Version 1.1 (c) Maxence Lascombe - 28 décembre 2017 00H00 Version récente : http://maxxence.tumblr.com/post/169069850348/quest-ce-quun-munch BDSM.FR vous suggère également cette page
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Par : le 08/12/17
Avant toute choses, je n’ai la prétention d’aucune vérités, ceci est ma pensée, mon D/s, mon metasexe, avec Linsoumise.. D/s’ment parlant, pour moi, au début, dès le début même, le lien était l’évidence, la clé du fonctionnement, du maintient et de l’équilibre. L’arcade commune pouvait alors supporter les fardeaux et explorations individuelles, fondements vers un metasexe amplifiant. Bien que tous les actes ont un sens, individuellement parlant, il est fondamental de leur donner du sens au travers du Lien et de dévoiler l’intelligence organisatrice de ces actes. Le lien alors, c’est ma possibilité de passer à l’acte pour « moi », au travers de l’autre. L’autre devenant l’objet d’investigation profonde à soi même, à moi-même.. En créant le lien à l’autre, j’allais pouvoir aller chercher mon centre véritable dans un transfert avec l’autre, mais sans m’inspirer ou me confronter à son image; j’allais l’utiliser en modelant sa réponse pour moi même, un vecteur physique, une réponse psychologique à mon individualisation. Mes inhibitions, mes pulsions ou mes phobies, résultant d’avantage d’une forme intelligente que d’un désordre, allaient donner le sens des actes, qui se teinteraient du Lien, matrice de passage de mon autonomie, de ma capacité à l’échange, vers ma réalisation individuelle au travers et à l’aide de l’autre. Être moi au travers d’un autre... les Psy vont me décapiter ^^ . L’autonomie des actes sans plonger dans la connexion à l’autre est pour moi, d’une pauvreté incroyable, égoïste, d’une dimension de surface, sans densité et sans finesse. Donner de l’épaisseur, de la densité aux actes, leur accorder une forme de dignité, sublimée par l’interprétation profonde et commune du Lien. Avec ses nuances infimes, ses subtilités, ses méandres, et le poids titanesque des flux émotionnels qu’il peut supporter, transcende le rapport D/s. Mais avant de créer du lien avec l’autre, il faut se comprendre soi même, car l’on accorde plus de valeur, ce que l’on sent par soi même, que ce que l’on nous dit de croire, de faire ou d’être. Ces formes d’intoxications éducatives, il est important de les écarter et de désactiver sa propre image: Adhérer à une idée commune, imiter des leaders, suivre la voie du troupeau parasitant la perception du « soi » profond. On est seuls au fond, car nous sommes tous différents, et c’est sans doute cette peur de solitude qui nous pousse à essayer de convaincre que l’on a raison ou d’adhérer à ce que pensent les autres..individualisme d’exclusion ou collectivisme uniformisant entretiennent un état fusionnel artificiel écartant la rencontre pour défendre leur points de vues au détriment de l’accueil et la compréhension de l’autre. Finalement, écraser l’autre ou se laisser écraser par lui en détruisant la différence, détruit l’autre et nous laisse bien seul... Ainsi le lien servirait à répondre aux interrogations de soi et de l’autre, s’appuyant sur des valeurs fondamentales: Le Respect, prendre en considération, avec égards, honnêteté et décence, forme révérencieuse voire de vénération de soi même, de l’autre, du N/nous, des valeurs et éthiques défendues. La Sincérité, en toutes circonstances, ne point mentir, ni dans la composition de l’ensemble, ni dans celle des moindres détails du Lien à construire. La Transparence, offre des actes, des pensées et des sentiments faciles à comprendre, à deviner, d’être visible au travers de ce qui fera écran. Dans la Durée, le mensonge devient insupportable; la continuité est essentielle car l’écoulement du temps, ne s’arrête pas. La Cohérence, apporter une harmonie, un rapport logique, une absence de contradiction dans l’enchaînement des parties de ce tout, pour soi et pour l’autre. Et ce dans la durée. Avoir le droit de se tromper en toute sincérité, transparence, et cohérence puis rétablir la chose sur la nouvelle vérité dans le respect de soi même, de l’autre... A ce point précis, le lien est créé, il est solide, il est fort des deux individus ayant éprouvé ce lien : Exploration de soi Exploration de soi à travers l’autre. Il devient alors logique et motivant d’explorer par l’amplifications des variables intimes (du soi et du soi par l’autre) en créant une dynamique émotionnelle libérant l’espace de conscience du soi et de l’autre en même temps, établissant une dimension sexuelle commune: le meta sexe. Outre ce qui retient l’animal, enchaîne ou ligote ma prisonnière, le lien, c’est le point essentiel dont dépend l’existence et l’équilibre de la relation D/s. Bien plus que la connexion physique ou amoureuse de deux individus, c’est l’articulation fondamentale entre les individus vers leurs meta-sexe. Le lien unit ici deux personnes, il établit entre elles des relations , les met en rapport; le rapport tel qu’il est perçu par l’esprit. Il pousse à échapper au temps, au mode des apparences multiples, pour permettre de saisir enfin, l’absolu et l’unité dans cette dimension ... meta-sexuelle. Pensée au Parloire pour ma muse.
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Par : le 04/12/17
Les Boules de Geisha 9 novembre 2011 Il existe peu de personnages plus secrets et plus mystérieux que Gianfranco Armando Geisha; né au début de sa vie dans un endroit caché de cette belle province Romaine riche en inventeurs et en artistes, il n'aura jamais récolté la gloire de sa plus belle invention: les boules qui portent son nom, les fameuses «Boules de Geisha ». A celles et ceux qui croiraient encore à d'incertaines et délirantes rumeurs qui situent l'origine de cet instrument ludique au Japon, il convient de spécifier que le véritable inventeur est bel et bien né en Italie, bien que vivant au pays du Soleil Levant à cette époque. Il exerçait la noble profession de fondeur et était le seul à savoir refaire des clés de Kangoo, ce qui était très rare à l'époque et lui laissait un peu de temps libre. Il faisait aussi d'excellentes pâtes. Sa réputation était immense; elle dépassait les limites de l'Italie et du monde connu alors. Il travaillait au feu des volcans surtout le matin et ensuite il passait beaucoup de temps à regarder la mer et la plage; comme ce pays parsemé de volcans et de montagnes ne présentait que peu de parties planes, il eut un beau matin l'idée de récupérer un peu d'acier et de le façonner en boules en incorporant au centre un métal plus souple et plus léger fixé par des petits ressorts à la conque de métal dur et lourd. Remarquant que cet ingénieux montage pouvait se lancer d'une seule main et rester à l'endroit précis du retour sur le sol-ce qui était très pratique dans un pays comme le Japon très en pente et agité sans cesse par des tremblements de terre, il en répandit l'usage et ce fut aussitôt un succès retentissant; il inventa ainsi en une seule fois les boules et le jeu de boules. Au départ le jeu de boules était destiné aux femmes; elles pouvaient y jouer en s'amusant à laver le linge et s'occuper de la maison et comme les boules n'allaient pas très loin elles réservaient ainsi plus de temps à l'entretien de la maison. Il leur fallait lancer leurs boules chacune leur tour, et les boules qui rebondissaient le moins loin faisaient gagner leur joueuse; celles qui perdaient tout le temps devraient « embrasser Fanie»; cela mérite une explication. Pour être vraiment précis dans ce récit il convient de préciser qu'on prétend que Gianfranco Armando Geisha est sans doute né à Fano en Italie, et il donna à cette tradition le nom de « embrasser Fano » en pensant à son village; par la suite on a dit « embrasser Fanie » au lieu de « embrasser Fano »... De retour dans son pays il n'eut plus beaucoup l'occasion d'utiliser ses jouets, mais il fit par la suite partie de la première expédition Romaine vers la Gaule et il participa à la fondation de Massilia, devenue par la suite Marseille. Il avait pris la précaution d'emmener avec lui les désormais célèbres « Boules de Geisha », mais dès l'apparition des premiers Marseillais il les perdit au jeu dans une rue sordide du centre-ville et dès lors l'Histoire a attribué la paternité des « Boules de Geisha » aux gens du Sud de la France... Certains fabricants peu scrupuleux, trahissant Gianfranco Armando Geisha, n'hésitent même pas, de nos jours, à vendre leurs boules sans mécanisme intérieur et ces ersatz se reconnaissent à ce qu'elles rebondissent beaucoup plus et pour ainsi dire presque trop. Rendons donc aujourd'hui hommage à Gianfranco Armando Geisha pour cette contribution majeure au développement de l'Humanité et sachons reconnaître les vraies Boules de Geisha avec certitude: on peut encore trouver ces objets rares dans un état proche du neuf malgré l'usure du temps en passant le doigt sur leur surface; on peut y sentir encore les initiales de notre génial inventeur gravées sur les véritables pièces encore en état. Merci à toi Gianfranco Armando Geisha, artiste méconnu et fondateur d'une tradition qui ne s'éteindra pas.
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Par : le 28/09/17
Mesdames, le présent article a pour but de vous expliquer la bonne façon d'être féministe, afin que vous ne commettiez pas d'impairs lors de vos diners en ville, tant il est important de ne froisser personne lorsque l'on veut avoir des contacts sociaux. Avant toute chose, gardez toujours à l'esprit qu'il vous faut ne pas affirmer. Affirmer est par essence agressif. Surtout lorsqu'on est une femme. Tout au plus doit-on suggérer, émettre quelques idées sur le mode prudent et interrogatif, afin de voir quelles seront les réactions autour de vous. Si elles paraissent positives, ne prenez pas cela pour un acquis, et ne tentez pas de pousser votre avantage trop loin. N'oubliez jamais que votre vocabulaire devra être choisi avec soin, et qu'il vous faudra éviter tout terme pouvant heurter les sensibilités. Ainsi, patriarcat, lutte, égalité sont à proscrire, puisqu'ils sont typiquement agressifs. D'ailleurs, ne prononcez pas le mot féminisme, par essence, il prédispose à un monologue et vous condamnera pour absence de débat. Plus qu'un tabou, c'est une hérésie à lui seul. Lorsque votre prudente avancée aura portée quelques fruits, laissez donc d'autres que vous reprendre le flambeau. Vous vous apercevrez que vous êtes entourée d'hommes prenant faits et causes pour les femmes, prêts à se mettre en avant pour expliquer ce qu'est le féminisme, ce que ce combat vous apportera, et comment, surtout, il convient de le mener. Ces hommes vous expliqueront ce que vous pensez, et ce qu'il vous faudra penser à l'avenir, allant même, ces précieux précurseurs, jusqu'à vous détailler ce que vous ressentez. Croyez bien que la gente masculine, depuis que le monde est monde, a eut à mener moult batailles et sait donc parfaitement ce qu'il faut faire pour, non seulement les mener à bien, mais les gagner. Effacez vous devant ces spécialistes , et n'oubliez pas de sourire, en acquiesçant avec conviction. Le sourire prouvera que vous n'êtes pas sur un mode agressif, et la conviction vous mettra à l'abri de toute réaction négative, que du bénéfice ! Voyez comme il est simple de ne heurter personne quand vous vous piquez d'idéaux. Et lorsque, par exceptionnel, vous aurez envie d'en découdre, ne perdez pas de vue que vous avez la chance de vivre dans un pays progressiste, et que, comparé à d'autres pays, votre condition de femme n'est pas si terrible. Ne faites donc pas l'enfant en voulant plus qu'il n'est humainement entendu d'attendre. Toute autre façon de faire serait perçue comme agressive, socialement inacceptable, et bien propre à refuser le débat. Affirmer, s'affirmer, vouloir, ne pas accepter, n'est pas un dialogue, mais une revendication. Se battre pour ses droits, pour le respect, c'est forcément combattre, et ça demande de l'énergie. Mais ne perdez pas espoir. A force de dire les choses, de les expliquer, de les rendre visibles, elles prendront forme et réalité. Vous trouverez sur votre route des hommes discrets, qui sont en phase avec vous, et qui n'éprouveront pas le besoin de se mettre en avant avec leurs principes d'égalité. Chérissez ceux-là, ils seront vos amis sincères. Mesdames, votre parole compte et vous pouvez la faire valoir, de la façon dont il vous sied. Faites au mieux pour vous, et comme vous le ressentez, ne laissez personne vous dire ce que vous devez penser.
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Par : le 08/06/17
(Réédition du 08/06/2017 -> 23/03/2024 - 518 Vues) . A défaut d'avoir trouvé sa place en tant qu'Homme, il cherchera à plaire toute sa vie pour y être accepté. Véritable "outil" forgé par toutes sociétés, il est tout aussi bien souple dans sa manière d'entrevoir les choses, que l'objectivité est pour lui de l'ordre de l'abstrait. L'Homme Enfant se fit principalement à son ressenti ou aux principes qu'on lui a inculqué. Un raisonnement qui fait de lui un rémora apte à se faufiler, s'inviter, et se coller aux sillages de celles ou ceux suivants leurs propres voies (Ou du moins l'a cherchant). Véritable Faire Valoir de tous les instants, il gratifie dans la complaisance et l'admiration. Pour autant, que cela soit d'êtres terre à terre, qu'éternels amoureux de l'inaccessible (Puisqu'ils ne travaillent pas sur eux même, mais bien à être choisi dans une image qu'ils veulent donner d'eux même), ils deviennent irrémédiablement d'un ennui et d'une frustration extrême lorsque l'on est amené à les côtoyer ouvertement. Bien sûr, il n'en pas moins une force pour eux, que leur malléabilité qui intéresse un tant soi peu la gente féminine, férue de transmettre leurs propres frustrations sur ceux-ci... Ce qui en résulte des êtres aptes à rassurer quelque soit la situation, à désirer et à tomber amoureux de l'autre, son comportement, et ses actes (Même si l'on fait de la merde). Aisément manipulable et aimant l'être par faiblesse, il n'en est pas moins le désir de systématiquement culpabiliser les femmes pour les ramener à leurs niveaux, ne pouvant s'élever dans l'introspection (Culpabiliser une femme étant le meilleur moyen de la faire arrêter de réfléchir de base... Car dans toutes Femmes il y une mère... et l'Homme Enfant est ce qu'il est). La femme se rend donc dépendante de sa propre oisiveté et de son manque d'exigence dans son épanouissement, dans le bien être et le plaisir. Ne survivant qu'avec très peu de récompense, l'Homme Enfant manque cependant cruellement de consistance, de développement dans son hygiène de vie, voulant la trouver chez les autres. L'Homme Enfant écoute, mais ne sait traiter les informations, veut mais ne travaille pas pour, et ne sait pas anticiper pour le meilleur dans sa propre vie.... alors dans celle des autres... Cette petite description fait émerger également que si celui-ci "existe" toujours, et est de plus en plus présent, est que la femme y est pour quelque chose à le faire espérer dans son utilisation, et qu'en définitive il trouvera sa place à vos cotés. Ne pouvant justifier en rien leur manque de travail, et par ironie, ils ont le rôle ingrat de servir la Femme Enfant ne sachant attirer l'Homme.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins/ -> Les 3 chemins. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4265/Toujours-plus-vite-Toujours-plus-haut/ -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Par : le 23/04/17
Allongée dans ce lit, ses pensées la tourmentent, elle ne sait pas où ça la mènera, mais elle sait ce que son instinct lui dicte, là tout de suite. Lentement elle se rapproche de lui, jusqu’à se retrouver collée à son dos, à sentir sa peau toucher la sienne. Ce contact l’électrise, elle sent monter en elle cette chaleur qu’elle avait oubliée. Il dort, ou du moins fait comme s’il dormait. Alors, doucement, elle pose sa main sur son épaule. Ses doigts glissent le long du dessin, en apprenant chaque courbe, chaque détail. Lentement, elle fait courir sa main sur son bras. Elle se demande à cet instant ce qu’il ressent, lui. Mais au fond d’elle elle se fiche de ce qu’il pense. Elle a carte blanche, tant qu’il ne la repousse pas, elle compte bien en profiter. Après avoir appris les courbes du dessin, ses doigts remontent sur son épaule, pour attaquer sa nuque et redescendre gentiment le long de son échine. Toujours du bout des doigts, elle détaille chaque vertèbre, chaque parcelle de peau qu’elle peut toucher. Rien ne lui échappe … Puis c’en est trop, elle veut connaître son odeur, la douceur de cette peau que ses doigts explorent depuis de longues minutes. Tendrement elle pose un premier baiser sur son épaule chaude. Cette chaleur … comme ça lui a manqué … Elle colle sa bouche à sa peau et hume son odeur, s’imprégnant pour quelques instants de tout ce que cela représente pour elle. La douceur de ce moment la rend tellement calme, elle pourrait rester ainsi des heures durant, à caresser et embrasser sa peau … sans un mot, sans un geste, juste profiter du moment ! Sa bouche court le long de ses épaules, embrassant à la volée, tendrement, lentement, langoureusement … Le souffle court, elle s’écarte un instant, pour calmer le feu qui monte en elle. Il bouge … se met sur le dos, et elle se retrouve alors la tête sur son cœur. Mon Dieu, elle ne sait pas depuis combien de temps elle n’a pas ressenti cela, mais cette chaleur monte en elle, doucement, progressivement, l’envahissant jusqu’au plus profond d’elle-même … Toujours sans un mot, elle pose sa main sur son torse et la fait voyager. Lentement, elle remonte jusqu’à sa clavicule, saillante, mais pas trop. Ses doigts en dessinent le contour pour en apprendre chaque millimètre. Ensuite elle les fait descendre au milieu de son torse, glissant dangereusement vers son nombril … ultime limite de leurs non-dits … Pendant que sa main explore et découvre ce torse d’homme, elle écoute son cœur battre dans sa poitrine. Malgré elle, elle se surprend à savourer ce rythme endormi, comme une musique qui la berce elle aussi, sans parvenir à l’endormir. Elle le sait, la nuit touche bientôt à sa fin … alors elle emmagasine des souvenirs. Cette odeur, la texture de sa peau sous ses doigts et contre ses lèvres, le rythme de son cœur et ce sentiment de sécurité à ses côtés … tout ce qui a fait de ce moment un instant magique … Elle emmagasine pour ne plus oublier ce qui la rend femme …
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Par : le 25/05/12
La Knismolagnie (on dit aussi Titilagnie) est d'avoir recours aux chatouilles pour des pratiques sexuelles. Le terme anglais est Tickling. On trouve dans les tribus d'Afrique (chez les Baganda par exemple) des femmes qui se servent des chatoullis fait aux aisselles des hommes un mode de séduction. Il se trouve également des sectes où les chatouilles des femmes sont pratiquées jusqu'à ce qu'elles s'évanouissent. Dans un cadre strictement BDSM, les chatouilles sont utilisés comme moyen de torture : on attache la "victime" est on lui chatouille différentes parties du corps, à la main, avec une plume, etc. Voir également le sujet sur les chatouilles dans le forum        
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Par : le 22/04/12
Comme le nom le laisse deviner, les auto-masochistes s'infligent eux même des actes douloureux parce qu'ils en tirent un plaisir sexuel et émotionel. Dans l'auto-masochisme, on va chercher la douleur, on se flagelle, on se fait des piercings soi-même, on marche sur du verre, on se brule volontairement. L'auto-masochisme est un inépuisable sujet d'étude pour les psy, qui vont chercher quel est l'origine de ce goût pour la douleur auto-infligée.  Certains y verront des maltraitances pendant l'enfance, d'autres un manque d'estime de soi, ou le moyen d'attirer l'attention sur soi.
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Par : le 15/04/12
L'acrophilie repose sur l'excitation d'une personne par l'altitude (acro="point culminant"). L'excitation sexuelle peut être ressenti par certaines personnes pratiquant le saut à l'elastique ou le parachutisme : ces pratiques font vibrer, finalement, les mêmes "cordes" (c'est le cas de le dire) que celle du bondage : enserrage dans un harnais, suspension, vertige. Certain(e)s soumis(e)s ayant le vertige sont d'ailleurs parfois forcé par leur domina ou leur dom, a monter les yeux bandés sur une echelle. Par contre, l'acrophilie a tendance à s'épuiser au fil des expériences, car l'acoutumence à l'altitude diminue l'excitation.
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Par : le 14/04/12
L'acousticophilie concerne les personnes qui sont excitées sexuellement par les sons émis durant les actes sexuels. Ces sons peuvent être de tout ordre : grossieretés, chuchotement, cris, pleurs, halètements. Il peut s'agir plus simplements de musique. Une variante de l'acouticophilie constitue à s'enfoncer dans le vagin ou dans l'anus un objet vibrant au rythme des sons (musique ou paroles) du type haut parleur de casque, téléphone, baladeur pendant qu'il fonctionne. Les amateurs et amatrices certifient que cette pratique procurent des sensations troublantes et agréables.
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Par : le 13/04/12
L'abattage était une punition infligée par les souteneurs aux prostituées qui ne filaient pas droit. Il s'agissait de placer la prostituée dans les hôtels les plus sordides ou autres cabanes de chantiers pour les livrer à un grand nombre d'hommes, en proposant un tarif "symbolique" pour rendre la "séance" abordable au plus grand nombre. L'abattage était également un moyen d'exploiter les prostitués arrivant en fin de carrière et ayant perdu leurs charmes les plus vendeurs. Il existait à Paris des hôtels de passe qui étaient spécialisés dans ce "commerce". Dans les rapport de soumission/Domination, on considère l'abattage comme une preuve que la soumise (ou le soumis) sont dignes de leur Maître ou de leur Maîtresse dans la mesure où ils ou elles acceptent cet acte "intense".
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Par : le 10/04/12
Le bondage qu’est ce que c’est ?(du verbe anglais to bind, lier).... Il s’agit d’une pratique érotique qui consiste à contraindre ses partenaires en leur liant le corps dans sa totalité ou en partie, le plus souvent à l'aide de cordes, ainsi que de scotch spécifique, lanières de cuir ou de plastique, chaînes, foulards, bandes de tissu …  aptent à exercer une immobilisation de la ou des partie(s) concernée(s). L'immobilisation totale n’est pas forcément la finalité de cette pratique. Le bondage ce n’est pas obligatoirement du SM, même si pour certains pratiquants il s’agit bel et bien d’un moyen plus que d’un but. Le bondage pratiqué par les puristes n’engage pas de postures de dominant/dominé mais est l’expression d’un art érotique en tant que tel. Au Japon, la pratique du bondage se nomme Shibari ou Kinbaku  et procède de traditions historiques et artistiques. Etre attaché peut être très agréable, on ne sent plus le poids de son corps, on se laisse aller entre les mains de l’autre et oubliant inhibitions et responsabilités on s’abandonne au plaisir de la contrainte. Pour l’attachant il y’a le plaisir de créer une sculpture humaine, de positionner l’autre pour un usage sexuel sans refus possible etc etc… Une séance peut durer quelques minutes ou plusieurs heures, question d’expérience et de tolérance . N’abusez pas, cela doit rester un jeu surtout si vous n’avez pas ou peu d’expérience. Comme tout bon artisan il est d’usage d’avoir les bons outils pour pratiquer correctement l’art du bondage. Pour un débutant le « bondage tape » peut s’avérer un bon début. Et si l’envie d’aller plus loin vous prend, achetez les bonnes cordes. Celles vendus dans les magasins de sport pour faire de l’escalade ou de l’alpinisme ne sont pas adaptées du tout. Elles peuvent même blesser et brûler si vous vous en servez!!! Pour le bondage il existe aujourd’hui de très bonnes cordes synthétiques assez douces et dans de multiples coloris. Pour le shibari ou bondage avec suspension, utilisez de préférence des cordes en matières naturelles : chanvre ou coton et si vous en trouvez des cordes de soie.  Quelques précautions d'usage incontournables : Le bondage doit être basé sur une forte relation de confiance entre la personne qui attache et la personne attachée. C’est une énorme responsabilité pour l’attachant, on lui fait confiance pour que tout se passe bien, à lui de mettre tout en œuvre pour honorer cette confiance et ne pas mettre la vie de l’attaché en péril. Ne jamais laissé seule une personne attachée et/ou baillonnée; Il ne faut jamais mettre une corde autours du cou de l’attaché, même sous surveillance, un accident arrive très vite et la mort accidentelle par étouffement encore plus ; Il faut toujours garder un ciseau opérationnel spécifique ou un couteau à portée de main ; Attention aux chutes ; Ne suspendez vos partenaires que si vous maitrisez l’art de la suspension ; Suspendre et attaché c’est bien si c’est fait avec de bonnes cordes : naturelles de préférence pour les suspensions ; N'utilisez jamais de nœuds coulants ; L’attaché a mal ? Les membres deviennent violets ? DETACHEZ le ou la, restez vigilant et soyez à l’écoute. Le B A BA : On a détaillé pour vous les 6 étapes de la fabrication de menottes en corde. La corde est en chanvre et d’un diamètre pas trop petit pour ne pas couper la peau. Les liens sont lâches. Regardez bien la photo 1 et les suivantes, les poignets de l’attachée ne se touchent pas laissant ainsi de la marge pour permettre de glisser les cordes entre eux dans les étapes suivantes.   Amusez vous bien !!! Lady Boudoir  
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